L’Allemagne suspend ses discussions sur l’aide au développement avec le Rwanda en raison de la crise à l’Est de la RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLIA2o6NE7y0NMklgtMtOv76VYuDAF7doC5yKlcKAbuptYq7-c9d5qrFuy-5oaB-Wf8w6YFo0iJhq4PUHt438NM43N8PcAcp5BeUsEoVWYKPeux0MMSeOblJUEx0b4h_LIAZV3s6IiRO9j-_Z7QFzHeMu3MQzQZrD899wGCkLMJcQ75TuOYieWT6uylsRu/s299/images%20(71).jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="168" data-original-width="299" height="237" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLIA2o6NE7y0NMklgtMtOv76VYuDAF7doC5yKlcKAbuptYq7-c9d5qrFuy-5oaB-Wf8w6YFo0iJhq4PUHt438NM43N8PcAcp5BeUsEoVWYKPeux0MMSeOblJUEx0b4h_LIAZV3s6IiRO9j-_Z7QFzHeMu3MQzQZrD899wGCkLMJcQ75TuOYieWT6uylsRu/w422-h237/images%20(71).jpeg" width="422" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">L’Allemagne a annoncé ce mardi 28 janvier la suspension des consultations prévues avec le Rwanda sur son aide au développement, en exigeant le retrait des forces rwandaises et de leurs alliés du M23 de l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Cette décision marque une prise de position ferme de Berlin face à l’escalade des tensions dans la région.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Motifs de la suspension</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Un porte-parole du ministère allemand du Développement et de la Coopération économique a confirmé l’annulation des discussions bilatérales, initialement prévues pour février. Selon lui, dans le contexte actuel de crise, il est impossible de maintenir une coopération normale :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">"Dans l'escalade actuelle, il ne peut pas y avoir de 'business as usual'."</span></em></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">L’Allemagne a clairement indiqué que la reprise des discussions dépendra d’une désescalade de la situation dans l’est de la RDC et d’un retrait effectif des forces rwandaises et du M23 de la région.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appel à une approche commune</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Berlin a également mentionné être en consultation avec d’autres donateurs internationaux afin de coordonner une réponse collective. Cette démarche vise à accroître la pression sur le Rwanda et à encourager une solution pacifique au conflit.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le rôle clé de l’Allemagne dans l’aide internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Deuxième contributeur au système des Nations Unies, l’Allemagne joue un rôle crucial dans le financement de l’aide humanitaire et du maintien de la paix. En 2022, elle a investi 5 milliards d’euros dans la sécurité alimentaire, notamment via le Programme alimentaire mondial (PAM), et déployé 1 250 soldats dans des missions de paix onusiennes.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte du conflit</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette suspension intervient alors que l’est de la RDC reste en proie à de violents affrontements entre les Forces armées de la RDC (FARDC) et le groupe rebelle M23, soutenu par le Rwanda. Malgré de nombreux appels internationaux au retrait du M23 et à la fin des hostilités, la situation demeure critique, entraînant des déplacements massifs de population et une aggravation de la crise humanitaire.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une pression internationale croissante</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette décision allemande reflète un durcissement des positions internationales envers le Rwanda, déjà accusé par plusieurs pays et organisations de soutenir activement le M23. Elle pourrait encourager d’autres donateurs à envisager des mesures similaires, augmentant ainsi l’isolement diplomatique de Kigali.</span></p><p><span style="font-family: arial;"><strong>Conclusion :</strong> L’Allemagne exige une désescalade et un retrait immédiat des forces rwandaises de la RDC avant toute reprise de coopération, envoyant un signal fort sur la nécessité de mettre fin au soutien au M23 et de stabiliser la région.</span></p>

Securité L’Allemagne suspend ses discussions sur l’aide au développement avec le Rwanda en raison de la crise à l’Est de la RDC

L’Allemagne a annoncé ce mardi 28 janvier la suspension des consultations prévues avec le Rwanda sur son aide au développement, en exigeant ...

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Ouganda : Uganda Airlines suspend temporairement ses vols vers Kinshasa

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhGWwDUvfhu8q1Kb5kn5cTA0mgY6MEPPtqIJjnOVWAmMA_4VipaCjfM604O-e0_pD5k5IlmyWpRLviYkrSqS2uoXuWugAhKxrdApRDI47Zp1LX6qklPKRT7C3-us1SRuR67s7ISE2_f7uqPrO6HaZdo2zCBkuSLJqEWZgO6ynba1Llk_w-PAMtRcoVoBD-F/s800/avion.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhGWwDUvfhu8q1Kb5kn5cTA0mgY6MEPPtqIJjnOVWAmMA_4VipaCjfM604O-e0_pD5k5IlmyWpRLviYkrSqS2uoXuWugAhKxrdApRDI47Zp1LX6qklPKRT7C3-us1SRuR67s7ISE2_f7uqPrO6HaZdo2zCBkuSLJqEWZgO6ynba1Llk_w-PAMtRcoVoBD-F/s320/avion.jpeg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La compagnie aérienne <strong>Uganda Airlines</strong> a annoncé ce mardi la suspension immédiate de ses vols à destination de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC). Cette décision a été motivée par l'aggravation de la situation sécuritaire dans plusieurs régions du pays, y compris Kinshasa.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une décision liée à l'instabilité</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans un communiqué, Uganda Airlines a expliqué que cette suspension est une mesure préventive visant à garantir la sécurité de ses passagers et de son personnel.</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;"><em>« Les vols resteront suspendus jusqu'à ce que la situation permette une reprise normale des opérations »,</em> a déclaré la compagnie.</span></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Cette annonce intervient dans un contexte de manifestations tendues à Kinshasa, où des incidents ont été signalés devant les ambassades de France, des États-Unis, de la Belgique et du Rwanda. Ces troubles, marqués par des incendies de pneus et des tentatives d'intrusion dans certains bâtiments diplomatiques, reflètent une colère croissante face à la crise sécuritaire persistante dans l'Est de la RDC.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">La situation dans l’Est et ses répercussions</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La suspension des vols est également liée aux tensions exacerbées par les combats opposant les Forces armées de la RDC (FARDC) au groupe rebelle M23, soutenu par le Rwanda, selon des accusations du gouvernement congolais. Ces affrontements, concentrés autour de <strong>Goma</strong>, ont provoqué d'importants déplacements de population et une crise humanitaire critique.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Kinshasa, bien que géographiquement éloignée des combats, est devenue le théâtre de manifestations exprimant la solidarité avec les victimes de l'Est et le rejet de toute ingérence étrangère. Le gouvernement congolais a récemment suspendu toutes les manifestations prévues dans la capitale, appelant au calme tout en condamnant les violences constatées.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réactions régionales et internationales</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pour l’heure, le gouvernement ougandais n’a pas émis de réaction officielle à cette décision. Cependant, la suspension des vols souligne la gravité de la situation sécuritaire en RDC, qui a un impact direct sur les relations régionales.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La communauté internationale, dont l’ONU et l’Union africaine, continue de faire pression pour une désescalade de la situation et appelle à une solution diplomatique pour mettre fin aux violences.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une surveillance continue</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Uganda Airlines a assuré qu’elle évaluera régulièrement les conditions sur le terrain et informera le public de toute évolution concernant la reprise des vols. En attendant, cette mesure met en lumière les défis que pose la crise congolaise à la stabilité de la région des Grands Lacs.</span></p>

Securité Ouganda : Uganda Airlines suspend temporairement ses vols vers Kinshasa

La compagnie aérienne Uganda Airlines a annoncé ce mardi la suspension immédiate de ses vols à destination de Kinshasa, capitale de la Répu...

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Opposée à l'agression en RDC, la Belgique convoque le Chargé d'affaires rwandais après la prise de Goma

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg491IogDWgk27uyHhiscjLUt8GxXBrja1qv0SJuMrvZWyQuQ3ySGAGYEcL8FZnv7FU-npScnowfoLUspbWMeyNpbx5vMoPl_LIGHdCe9zY-MliwmHkelWLksz9eI3PggvXA_8b1puCanyK3iXEANKFGNfVxaAVB13Rr3VocPcHdtqyDVT134NpuXHSJcxY/s1080/Screenshot_20250127-141145_Gallery.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="589" data-original-width="1080" height="232" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg491IogDWgk27uyHhiscjLUt8GxXBrja1qv0SJuMrvZWyQuQ3ySGAGYEcL8FZnv7FU-npScnowfoLUspbWMeyNpbx5vMoPl_LIGHdCe9zY-MliwmHkelWLksz9eI3PggvXA_8b1puCanyK3iXEANKFGNfVxaAVB13Rr3VocPcHdtqyDVT134NpuXHSJcxY/w424-h232/Screenshot_20250127-141145_Gallery.jpg" width="424" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La Belgique a convoqué, ce mardi, <strong>André Bucyana</strong>, Chargé d'affaires par intérim de l’ambassade du Rwanda, en réponse à la prise de la ville de <strong>Goma</strong> par les rebelles du M23, soutenus par les Forces rwandaises (RDF). Cette démarche, initiée par le Service Public Fédéral (SPF) Affaires étrangères, souligne la condamnation ferme de Bruxelles à l'égard des violations de la souveraineté congolaise.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Position de la Belgique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le ministre des Affaires étrangères, <strong>Bernard Quintin</strong>, a exprimé l'indignation de son gouvernement face aux récents événements :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« La souveraineté et l'intégrité territoriale de la RDC doivent être respectées par tous, en tout temps et en tous lieux. »</span></em></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">La Belgique exige :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Le retrait immédiat des forces rwandaises du territoire congolais.</span></li><li><span style="font-family: arial;">La fin du soutien au M23.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Dans un communiqué, la Belgique a qualifié la progression du M23 de <em>« violation inacceptable du cessez-le-feu »</em> et a dénoncé son impact désastreux sur la situation humanitaire. Elle a également exhorté, en collaboration avec l’Union européenne, les rebelles à se retirer des zones occupées.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Manifestations à Kinshasa : l'ambassade belge ciblée</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Des manifestations violentes ont éclaté à <strong>Kinshasa</strong>, notamment devant l’ambassade de Belgique. Des protestataires, dénonçant la perception d’une complicité internationale dans la crise de l’Est, ont incendié le portail de l’ambassade.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Bien que l’incendie ait été rapidement maîtrisé et qu’aucune victime n’ait été signalée, cet incident a poussé Bruxelles à demander un renforcement des mesures de sécurité autour de ses missions diplomatiques. Le ministère belge a déclaré :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« La sécurité du personnel et de la communauté belge reste notre priorité absolue. »</span></em></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">L’ambassade belge a également conseillé à ses ressortissants de rester prudents et de limiter leurs déplacements dans la capitale.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une crise humanitaire aggravée dans l’Est</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La prise de <strong>Goma</strong> a exacerbé une crise humanitaire déjà alarmante dans l’Est de la RDC. Les affrontements ont entraîné des déplacements massifs de populations, avec des milliers de civils cherchant refuge dans des camps surpeuplés et sous-équipés.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les autorités locales et les organisations humanitaires peinent à répondre aux besoins des déplacés, notamment en matière de nourriture, d’eau potable et d’accès aux soins. Cette situation a été qualifiée par Bruxelles de <em>« catastrophe humanitaire nécessitant une action urgente »</em>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appel à une réponse internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La Belgique a réitéré son engagement à collaborer avec ses partenaires internationaux, notamment l’ONU et l’Union européenne, pour :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Exercer des pressions diplomatiques sur le Rwanda.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Soutenir les efforts de paix dans la région.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Allouer une assistance humanitaire accrue aux populations affectées.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Cette crise, mettant en lumière les tensions persistantes dans les Grands Lacs, appelle une mobilisation internationale pour rétablir la paix et protéger les populations vulnérables.</span></p>

Securité Opposée à l'agression en RDC, la Belgique convoque le Chargé d'affaires rwandais après la prise de Goma

La Belgique a convoqué, ce mardi, André Bucyana , Chargé d'affaires par intérim de l’ambassade du Rwanda, en réponse à la prise de la vi...

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L'ambassade des États-Unis à Kinshasa ferme temporairement et appelle ses citoyens à quitter le pays

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgT43cSpp8kpua5I_3Ms6cK0Y2OKngPjm4vGeI8ASzS8k3fVCctCBb6nPwSGU0olnoi_M5FDeR_OU42_9Wbe0rgZ8uPqjzwdt7EaL4nG5q8jD3FGtmbwzUshQiWqSOg5c0BuPHOnzRv3inl4WsRHXtiD02CpdCLpXrZtJ4V39UQrt8YGC86DZQdGpSna1BL/s800/manif2.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="280" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgT43cSpp8kpua5I_3Ms6cK0Y2OKngPjm4vGeI8ASzS8k3fVCctCBb6nPwSGU0olnoi_M5FDeR_OU42_9Wbe0rgZ8uPqjzwdt7EaL4nG5q8jD3FGtmbwzUshQiWqSOg5c0BuPHOnzRv3inl4WsRHXtiD02CpdCLpXrZtJ4V39UQrt8YGC86DZQdGpSna1BL/w373-h280/manif2.jpeg" width="373" /></a></div><span style="font-family: arial;"><br />Face à l’escalade des violences à <strong>Kinshasa</strong>, l’ambassade des <strong>États-Unis</strong> a annoncé sa fermeture au public jusqu’à nouvel ordre. Dans un communiqué, elle a exhorté ses ressortissants à quitter le pays tant que des vols commerciaux restent disponibles, tout en avertissant des risques liés à l’accès à l’aéroport de <strong>N’Djili</strong>, toujours opérationnel.</span><p></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;"><em>« Nous encourageons les citoyens américains à partir via des vols commerciaux lorsqu’ils estiment pouvoir se rendre en sécurité à l’aéroport »,</em> a déclaré l’ambassade.</span></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Mesures préventives pour les citoyens américains</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’ambassade a conseillé aux Américains sur place :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">De préparer des sacs d’urgence contenant des articles essentiels (vêtements, médicaments, documents de voyage).</span></li><li><span style="font-family: arial;">D’éviter les rassemblements et de surveiller les médias locaux pour suivre l’évolution de la situation.</span></li><li><span style="font-family: arial;">De rester discrets et vigilants dans leurs déplacements.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Elle a également mis en garde contre les <strong>barrages routiers</strong> et les <strong>manifestations</strong> qui pourraient perturber les routes vers l’aéroport.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Manifestations devant les ambassades</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les tensions à Kinshasa ont été marquées par des manifestations violentes devant plusieurs missions diplomatiques, notamment celles des <strong>États-Unis</strong>, de la <strong>France</strong>, de la <strong>Belgique</strong> et du <strong>Rwanda</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Devant l’ambassade américaine, des pneus ont été brûlés, nécessitant une importante mobilisation policière pour contenir les manifestants. Jean-Noël Barrot, ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, a fermement condamné ces attaques, les qualifiant d’<strong>inadmissibles</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais, via le ministère des Affaires étrangères, a exprimé ses regrets pour ces incidents et assuré que des mesures renforcées seraient prises pour <strong>protéger les missions diplomatiques</strong>, leurs personnels et leurs biens.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Crise humanitaire et violences dans l’Est</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pendant ce temps, à <strong>Goma</strong>, l’épicentre des affrontements entre les <strong>FARDC</strong> (Forces armées congolaises) et les rebelles du <strong>M23</strong>, la situation demeure critique. Les combats, particulièrement intenses autour de l’aéroport et de la grande barrière à la frontière avec le <strong>Rwanda</strong>, continuent de provoquer des <strong>déplacements massifs de populations</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les structures médicales, comme l’hôpital <strong>Heal Africa</strong>, reçoivent quotidiennement des civils blessés par des éclats d’obus ou des balles perdues. Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a dénoncé le <strong>pillage de son entrepôt médical</strong>, privant les populations et les hôpitaux de ressources vitales.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appel à une réponse internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La situation, marquée par une double crise <strong>sécuritaire</strong> et <strong>humanitaire</strong>, nécessite une mobilisation accrue de la communauté internationale. Les tensions autour de l’implication présumée du <strong>Rwanda</strong> dans le soutien au M23, et les appels répétés à un cessez-le-feu immédiat, restent au cœur des préoccupations des partenaires internationaux.</span></p>

Securité L'ambassade des États-Unis à Kinshasa ferme temporairement et appelle ses citoyens à quitter le pays

Face à l’escalade des violences à Kinshasa , l’ambassade des États-Unis a annoncé sa fermeture au public jusqu’à nouvel ordre. Dans un comm...

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La Belgique condamne l'agression en RDC et convoque le chargé d'affaires rwandais après la prise de Goma

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEierKK67xQOXCvnSJmuTLGsiCD_-UxHdAFDI7yU-R6bwrAmOgORRJAXUe9u6hdZxU9kxn2scjGPHBlmeyssqsUfC383UXRFCni1qAqJhreeteZykhAhZPLLfEMeCes2-7BU_ooeeO0_aYCvx1wKINZFq6q8RynMcz3v-MxYEZDlpyPuW9MR2vQ6-cZhtrC7/s1080/Screenshot_20250127-141145_Gallery.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="589" data-original-width="1080" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEierKK67xQOXCvnSJmuTLGsiCD_-UxHdAFDI7yU-R6bwrAmOgORRJAXUe9u6hdZxU9kxn2scjGPHBlmeyssqsUfC383UXRFCni1qAqJhreeteZykhAhZPLLfEMeCes2-7BU_ooeeO0_aYCvx1wKINZFq6q8RynMcz3v-MxYEZDlpyPuW9MR2vQ6-cZhtrC7/w406-h222/Screenshot_20250127-141145_Gallery.jpg" width="406" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La Belgique a convoqué ce mardi <strong>André Bucyana</strong>, Chargé d’affaires par intérim de l’ambassade du Rwanda, pour protester contre la prise de Goma par les rebelles du <strong>M23</strong>, soutenus par l'armée rwandaise (<strong>RDF</strong>). Cette démarche, initiée par le <strong>SPF Affaires étrangères</strong>, vise à réaffirmer l'opposition de Bruxelles à toute atteinte à la souveraineté de la République démocratique du Congo (<strong>RDC</strong>).</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Position ferme de la Belgique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans un communiqué, la Belgique a appelé au <strong>retrait immédiat des troupes rwandaises</strong> du territoire congolais et à la fin de tout soutien au <strong>M23</strong>.</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;"><em>« La souveraineté et l'intégrité territoriale de la RDC doivent être respectées par tous, en tout temps et en tous lieux »,</em> a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Bernard Quintin, lors du Conseil des Affaires étrangères de l’UE.</span></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Bruxelles a qualifié la progression du M23 de <strong>violation inacceptable du cessez-le-feu</strong> et a dénoncé ses conséquences humanitaires désastreuses, notamment dans l'Est de la RDC.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Manifestations violentes à Kinshasa : l’ambassade belge ciblée</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En réponse aux tensions, des <strong>manifestations violentes</strong> ont éclaté à Kinshasa devant plusieurs missions diplomatiques, dont l’ambassade de Belgique. Des manifestants ont incendié le portail de l’ambassade, protestant contre l’implication perçue de la communauté internationale dans la crise à l’Est.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L’incendie a été rapidement maîtrisé, et selon les autorités belges, aucun membre du personnel ou visiteur n’a été blessé.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le <strong>SPF Affaires étrangères</strong> a demandé aux autorités congolaises de renforcer la sécurité autour des missions diplomatiques. Cette demande a été bien accueillie par Kinshasa, qui a promis d'assurer la protection des ambassades et de leurs personnels.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Crise humanitaire à Goma</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La prise de Goma par le <strong>M23</strong>, soutenu par l’armée rwandaise, a aggravé une crise humanitaire déjà critique.</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Des milliers de civils ont été déplacés, fuyant les combats.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Les infrastructures locales, notamment les hôpitaux, peinent à répondre aux besoins croissants.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Les Nations Unies et des organisations humanitaires ont tiré la sonnette d’alarme, demandant une intervention urgente pour répondre aux besoins des populations affectées.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appel de la Belgique pour une solution diplomatique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La Belgique a réitéré son engagement à travailler avec l’Union européenne et ses partenaires internationaux pour trouver une solution diplomatique à la crise, tout en appelant à un <strong>cessez-le-feu immédiat</strong> et à un respect du droit humanitaire.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L’implication présumée du Rwanda dans le soutien au M23 continue de polariser les discussions internationales, alors que Kinshasa et ses alliés réclament des sanctions et des actions concrètes pour mettre fin aux violences.</span></p>

Securité La Belgique condamne l'agression en RDC et convoque le chargé d'affaires rwandais après la prise de Goma

La Belgique a convoqué ce mardi André Bucyana , Chargé d’affaires par intérim de l’ambassade du Rwanda, pour protester contre la prise de Go...

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Kinshasa : Manifestations devant l’ambassade des États-Unis, écoles fermées et perturbation des transports

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJkgagEdzWnxakOLhqBDIR0NIKWXJlyXsA3Hg5qi7gbEdcN3E9JRMGBeuW8Sd0XJQSewUzRnk7Jtz3OYehHlpnSVcFtkKqtDYkVBOtRRmrNeRacyDZCnmB0nXsIKNc8Mc3xzbEYwZ8BKxtIWiVX2J94Dev-cZrgQUFEDRTHXYAtXPXpSmmISUIJnvYyjiu/s800/manif.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="311" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJkgagEdzWnxakOLhqBDIR0NIKWXJlyXsA3Hg5qi7gbEdcN3E9JRMGBeuW8Sd0XJQSewUzRnk7Jtz3OYehHlpnSVcFtkKqtDYkVBOtRRmrNeRacyDZCnmB0nXsIKNc8Mc3xzbEYwZ8BKxtIWiVX2J94Dev-cZrgQUFEDRTHXYAtXPXpSmmISUIJnvYyjiu/w415-h311/manif.jpeg" width="415" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Ce mardi matin, la capitale congolaise, Kinshasa, a été marquée par des manifestations devant l’ambassade des <strong>États-Unis</strong>, où des protestataires réclamaient une plus grande implication internationale dans la résolution de la crise à l’Est de la République démocratique du Congo (<strong>RDC</strong>).</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Exigences des manifestants</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les manifestants dénoncent la passivité perçue de l'Occident face à l’agression rwandaise et appellent au <strong>retrait des rebelles du M23</strong> et des forces rwandaises de <strong>Goma</strong>, ville stratégique du Nord-Kivu. Certains manifestants ont exprimé leur soutien à une intervention de la <strong>Russie</strong>, vue comme une alternative face à l’inaction occidentale, en scandant des slogans tels que :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« Voleurs, dégagez ! »</span></em></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Des pneus ont été brûlés devant l’ambassade des États-Unis, tandis que les forces de l’ordre ont établi un périmètre de sécurité pour prévenir d’éventuelles violences.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Impact sur les écoles et le transport</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les manifestations ont également paralysé plusieurs secteurs de la ville :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Fermeture des écoles :</strong> Des établissements scolaires comme le <strong>Groupe Scolaire du Mont-Amba</strong> et le <strong>Collège Saint-Esprit</strong> ont renvoyé les élèves chez eux, les parents n’ayant souvent pas été informés des perturbations liées à cette journée de mobilisation.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Transports perturbés :</strong> Sur des axes tels que l’avenue de l’Université et l’avenue Kabasele Tshiamala (ex-Flambeau), la circulation était limitée, avec peu de taxis et de bus en service. Les motos-taxis, souvent décorées de rameaux, étaient les principales options de transport disponibles.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Barricades :</strong> À des endroits clés comme <strong>Limete</strong>, <strong>Barumbu</strong> et le <strong>Stade des Martyrs</strong>, des routes ont été bloquées par des manifestants ou des motocyclistes.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Symboles de deuil et solidarité</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les rameaux et fleurs affichés sur les motos et véhicules sont devenus des symboles de deuil en mémoire des victimes des conflits dans l’Est de la RDC. Les manifestants ont aussi exprimé leur solidarité envers les <strong>Forces armées de la RDC (FARDC)</strong>, engagées dans des affrontements contre le M23.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Journée ville morte et revendications</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les manifestations de ce jour s'inscrivent dans une mobilisation plus large, relayée via des tracts et les réseaux sociaux, pour une <strong>"journée ville morte"</strong>. Parmi les revendications principales :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Mettre fin à l'<strong>agression du Rwanda</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Dénoncer le <strong>soutien au M23</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Réclamer la fin du <strong>silence complice de la communauté internationale</strong> face au pillage des ressources naturelles de la RDC et au massacre des populations civiles.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Déploiement des forces de l’ordre</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les forces de sécurité restent massivement déployées dans les zones de forte mobilisation pour contenir les manifestations et rétablir la circulation. Des routes alternatives, comme celle passant par <strong>Kasavubu</strong>, sont utilisées par les usagers pour éviter les blocages.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La situation reste tendue, et les manifestations traduisent un ras-le-bol général face aux défis sécuritaires, humanitaires et politiques persistants dans l’Est de la RDC.</span></p>

Securité Kinshasa : Manifestations devant l’ambassade des États-Unis, écoles fermées et perturbation des transports

Ce mardi matin, la capitale congolaise, Kinshasa, a été marquée par des manifestations devant l’ambassade des États-Unis , où des protestata...

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Goma : Des manifestations attendues à Kinshasa suite à l'invasion rwandaise de Goma

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjfgmEyIi1_i4pFmvGsTzAjjXqFc77ouq6ECs_XVgSEtDRucj7xDp61eB51Nt6TrUJJ0b8K53A2hCZWngCTDU78F-VJD4kcCZtwFh8xp8cdhfML0pV8sztusnaNgBSO-jpPDKgX1xbZBlkU8XDe9wc_kXXRIo4xyS0f6CpA0Gi-W9o9bjdtu30B_EDkHL0W/s711/kinshasa_manifestation_contre_la_prise_de_goma_par_les_m23_28_janvier_2025_jpg_711_473_1%20(1).jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="263" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjfgmEyIi1_i4pFmvGsTzAjjXqFc77ouq6ECs_XVgSEtDRucj7xDp61eB51Nt6TrUJJ0b8K53A2hCZWngCTDU78F-VJD4kcCZtwFh8xp8cdhfML0pV8sztusnaNgBSO-jpPDKgX1xbZBlkU8XDe9wc_kXXRIo4xyS0f6CpA0Gi-W9o9bjdtu30B_EDkHL0W/w395-h263/kinshasa_manifestation_contre_la_prise_de_goma_par_les_m23_28_janvier_2025_jpg_711_473_1%20(1).jpeg" width="395" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La situation en République démocratique du Congo (RDC) pourrait se tendre davantage cette semaine, notamment à <strong>Kinshasa</strong>, à la suite de l'invasion de <strong>Goma</strong> par l'armée rwandaise. Les autorités et plusieurs acteurs politiques annoncent des manifestations dans la capitale et à travers le pays pour exprimer leur mécontentement face à cette agression.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Manifestations déjà en cours et futures</span></strong></h3><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Mardi 28 janvier</strong> : Des manifestations spontanées ont éclaté dans plusieurs quartiers de Kinshasa, marquées par des actions de protestation devant des ambassades, notamment celles des <strong>États-Unis</strong>, de la <strong>France</strong> et de <strong>l'Ouganda</strong>, accusées de complicité avec le Rwanda.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Mercredi 29 janvier</strong> : Le parti au pouvoir, l’<strong>UDPS/Tshisekedi</strong>, organisera une <strong>marche pacifique</strong>, selon un communiqué de son secrétaire général a.i., <strong>Déo Bizubu</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Jeudi 30 janvier</strong> : Le monde <strong>estudiantin</strong> prévoit également des manifestations pour marquer leur opposition à l'agression et exprimer leur solidarité avec les habitants du Nord-Kivu.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Samedi 2 février</strong> : Le <strong>parti ECIDÉ</strong> de l’opposant <strong>Martin Fayulu</strong> a annoncé une manifestation. Fayulu a, par ailleurs, appelé à une <strong>cohésion nationale</strong> et à un rassemblement urgent des forces vives du pays pour trouver une solution pacifique et durable à la crise.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte des manifestations</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Ces manifestations interviennent dans un contexte de <strong>protestations populaires</strong> qui dénoncent l'implication présumée du Rwanda dans l'agression de Goma et le soutien apporté par ce pays aux rebelles du <strong>M23</strong>. Les manifestants accusent la <strong>communauté internationale</strong> d'être complice de l'attaque, en raison de son absence de mesures concrètes pour arrêter les agissements rwandais.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les <strong>forces vives</strong> et les partis politiques de la RDC appellent à une action unifiée et à une plus grande mobilisation pour défendre la <strong>souveraineté nationale</strong> et obtenir des réponses claires face à l'agression.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réactions internationales et sécuritaires</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La <strong>sécurité à Kinshasa</strong> et dans d’autres villes pourrait se dégrader davantage en raison de ces manifestations à grande échelle. Le déploiement des forces de l'ordre est attendu pour tenter de contenir les rassemblements, tandis que plusieurs <strong>ambassades étrangères</strong> ont pris des mesures pour renforcer leur sécurité face à la colère populaire.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La semaine promet donc de rester marquée par des <strong>tensions politiques et sociales</strong>, avec des appels à l'unité nationale et à des actions concrètes pour mettre fin à la violence et à l'instabilité dans l'Est de la RDC.</span></p>

Securité Goma : Des manifestations attendues à Kinshasa suite à l'invasion rwandaise de Goma

La situation en République démocratique du Congo (RDC) pourrait se tendre davantage cette semaine, notamment à Kinshasa , à la suite de l...

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60 millions d'euros de l'UE pour les déplacés dans l'Est de la RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmGxKqWJJJrFuohsg7MWDaN4TimWVjXAfyEUOlRNalqTrMDtXXKVf1b3is57e9ewq-AsFKQ0ilt4TlidqCQM9mXrYfeSIp_L-wBFx6BfSk8RVdfmH0zkX7KvjFz80N_dGXwWfK57Ci82zVHMMd_wSBwT8J63hXINkC-wodg4PBBy_ZWT8vZTG06LIULwLq/s711/millions_60_d_euros_de_l_ue_en_faveur_de_deplaces_dans_l_est_du_pays_28_janv_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="255" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmGxKqWJJJrFuohsg7MWDaN4TimWVjXAfyEUOlRNalqTrMDtXXKVf1b3is57e9ewq-AsFKQ0ilt4TlidqCQM9mXrYfeSIp_L-wBFx6BfSk8RVdfmH0zkX7KvjFz80N_dGXwWfK57Ci82zVHMMd_wSBwT8J63hXINkC-wodg4PBBy_ZWT8vZTG06LIULwLq/w383-h255/millions_60_d_euros_de_l_ue_en_faveur_de_deplaces_dans_l_est_du_pays_28_janv_jpg_711_473_1.jpeg" width="383" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La <strong>Commission européenne</strong> a annoncé un financement de <strong>60 millions d'euros</strong> pour 2025, destiné à venir en aide aux populations déplacées dans l'<strong>Est de la République démocratique du Congo (RDC)</strong>, à la suite des récents affrontements dans la région. Ce montant est destiné à répondre aux besoins humanitaires urgents, notamment à <strong>Goma</strong> et dans ses environs, où les déplacements de populations sont massifs.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Détails de l'aide humanitaire de l'UE</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L'aide de l'Union européenne va couvrir plusieurs domaines essentiels pour les populations vulnérables :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Gestion des abris</strong> et installation dans les camps.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Mise en place de <strong>systèmes d'eau potable</strong> et de <strong>latrines</strong> pour prévenir la propagation de maladies.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Distribution de <strong>rations alimentaires</strong> de base et de <strong>transferts en espèces</strong> pour soutenir les familles.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Éducation d'urgence</strong> pour les enfants vulnérables, particulièrement ceux touchés par les conflits.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">L'UE met également l'accent sur la <strong>protection des civils</strong>, un élément central de ses actions humanitaires. Une attention particulière sera portée aux <strong>violences fondées sur le genre</strong>, avec des interventions en matière de santé, de <strong>soutien psychosocial</strong> et de <strong>réponse socio-économique</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte de la crise humanitaire</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La RDC continue de faire face à des <strong>besoins humanitaires extrêmes</strong>, alimentés par des <strong>conflits armés</strong>, la <strong>pauvreté</strong>, la <strong>malnutrition</strong> et des <strong>épidémies fréquentes</strong>. En <strong>2024</strong>, plus de <strong>480 000 personnes</strong> ont été nouvellement déplacées dans le <strong>Nord-Kivu</strong>, avec des déplacements massifs dans des zones déjà fragilisées par la guerre. En tout, <strong>6,4 millions de personnes</strong> étaient déplacées dans le pays, dont une part importante a été touchée par cette nouvelle escalade des violences.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L'<strong>accès humanitaire</strong> reste difficile dans les zones de conflit, compliquant la tâche des organisations pour apporter une aide suffisante à ceux qui en ont besoin.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Engagement de l'UE</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L'Union européenne, en tant que principal <strong>donateur humanitaire</strong>, a déjà fourni plus de <strong>272 millions d'euros</strong> depuis le début de l'année 2023, avec des <strong>vols humanitaires</strong> réguliers pour soutenir les opérations dans l'Est du pays.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette aide s'inscrit dans un effort plus large pour atténuer les souffrances des populations et aider à restaurer la stabilité dans une région dévastée par des années de guerre et de crise.</span></p>

Securité 60 millions d'euros de l'UE pour les déplacés dans l'Est de la RDC

La Commission européenne a annoncé un financement de 60 millions d'euros pour 2025, destiné à venir en aide aux populations déplacées ...

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Guerre à l’Est : la situation humanitaire à Goma décrite comme « extrêmement inquiétante » par l’ONU

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1jmue3RTEcbB-rQ-y2KMvZjWZ4sJw6l7uAI91Xfv1lt5Dr6I0Hb1f5HXEqifKjpDJVd52c77SQY84AA4NTci4iZHCwpDdjXef6iSHk1uVuKCdJYegE_Xr4I5dj45CZVAAOjzHkj6OL-tbfyapusCXrF-vaE0IfTfyTQlNjr5hrxIPXIwepOQ6FnEuWHi6/s711/jens_laerke_porte_parole_du_bureau_de_coordination_des_affaires_humanitaires_de_l_onu_ocha_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="270" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1jmue3RTEcbB-rQ-y2KMvZjWZ4sJw6l7uAI91Xfv1lt5Dr6I0Hb1f5HXEqifKjpDJVd52c77SQY84AA4NTci4iZHCwpDdjXef6iSHk1uVuKCdJYegE_Xr4I5dj45CZVAAOjzHkj6OL-tbfyapusCXrF-vaE0IfTfyTQlNjr5hrxIPXIwepOQ6FnEuWHi6/w405-h270/jens_laerke_porte_parole_du_bureau_de_coordination_des_affaires_humanitaires_de_l_onu_ocha_jpg_711_473_1.jpeg" width="405" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La crise humanitaire dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) atteint des proportions alarmantes, selon les agences des Nations Unies. Les combats en cours à Goma et ses environs entraînent un effondrement des conditions de vie, marquées par des violences, des déplacements massifs et une détérioration des infrastructures vitales.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Tirs, pillages et hôpitaux débordés</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Lors d’un point de presse à Genève, Jens Laerke, porte-parole de l’OCHA, a décrit une ville en proie à des <strong>tirs d’artillerie lourde</strong>, des <strong>pillage généralisés</strong>, et des <strong>cadavres dans les rues</strong>. Les hôpitaux, débordés, peinent à gérer l’afflux de blessés par balles et éclats d’obus, et le personnel médical est contraint d'improviser des unités de triage dans des espaces tels que des parkings.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Violences sexuelles et insécurité pour les femmes et filles</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les femmes et les jeunes filles sont particulièrement vulnérables, exposées à des violences sexuelles, notamment des viols, dans et autour des camps ou lorsqu’elles tentent de chercher du bois ou de l’eau. Des cas de <strong>violences répétées</strong> ont été signalés le long des routes empruntées par des combattants.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Déplacements massifs</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Depuis le début de l’année, près de <strong>700 000 personnes déplacées</strong> s’entassent autour de Goma dans des conditions désastreuses. En un week-end, 18 sites de déplacés ont été <strong>vidés sous la menace des combats</strong>, poussant des milliers de familles à fuir.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Effondrement des services essentiels</span></strong></h3><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Eau et électricité</strong> : Compromis, mettant des milliers de vies en danger.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Internet</strong> : Coupé depuis plusieurs jours, isolant encore plus la ville.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Alimentation</strong> : La pénurie alimentaire se fait ressentir, les routes d’approvisionnement et l’aéroport étant inaccessibles.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Épidémies et risques sanitaires</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La situation sanitaire est également critique. Des flambées de choléra, rougeole, et Mpox (variole simienne) affectent les déplacés et aggravent les souffrances. Plus de <strong>21 600 cas de choléra</strong> et <strong>11 700 cas de rougeole</strong> ont été recensés en 2024. Le CICR alerte aussi sur un laboratoire à proximité des combats qui stocke des échantillons de virus, notamment Ebola, et qui est menacé par des coupures d’électricité.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appels à des corridors humanitaires</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pour limiter les souffrances, Bruno Lemarquis, Coordinateur humanitaire en RDC, appelle à des <strong>pauses humanitaires temporaires</strong> permettant l’évacuation des blessés et la livraison d’une aide essentielle.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une résilience mise à rude épreuve</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré les efforts des agences humanitaires et de l’ONU pour répondre à cette crise, les conditions sur le terrain restent dramatiques. Les populations, déjà affaiblies par des années de conflits, font face à un défi sans précédent pour leur survie.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette crise illustre la nécessité urgente d’une réponse internationale accrue et d’une résolution politique pour stabiliser durablement la région.</span></p>

Securité Guerre à l’Est : la situation humanitaire à Goma décrite comme « extrêmement inquiétante » par l’ONU

La crise humanitaire dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) atteint des proportions alarmantes, selon les agences des Natio...

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Situation sécuritaire à Goma : Félix Tshisekedi absent au sommet de l’EAC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2a910lVirSw8vvX9YK5XZMmzb-DMolpg0wdQ04Eiul6awr3Tm8qB21cwm1kQkx_uavJrymAhcB1lHsRfJWIk2ABT8BH7inbTELTleG254VrGrv5gLRjD8OjAyMTBOpffRNnR0qdzVzVEFiJHN4qY9VYaPlYVeMlboDa4lrcE22YuggsYA41s4wV5Ziile/s711/felix_tshisekedi_conseil_des_ministres_25_jpeg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="254" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2a910lVirSw8vvX9YK5XZMmzb-DMolpg0wdQ04Eiul6awr3Tm8qB21cwm1kQkx_uavJrymAhcB1lHsRfJWIk2ABT8BH7inbTELTleG254VrGrv5gLRjD8OjAyMTBOpffRNnR0qdzVzVEFiJHN4qY9VYaPlYVeMlboDa4lrcE22YuggsYA41s4wV5Ziile/w382-h254/felix_tshisekedi_conseil_des_ministres_25_jpeg_711_473_1.jpeg" width="382" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Alors que la situation sécuritaire en République démocratique du Congo (RDC) reste critique, notamment à Goma où les tensions avec le groupe armé M23 s’intensifient, le président congolais Félix-Antoine Tshisekedi a décidé de ne pas participer au sommet extraordinaire de la Communauté des États de l’Afrique de l’Est (EAC) convoqué à Nairobi par le président kényan William Ruto.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une absence justifiée par les priorités nationales</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Tina Salama, porte-parole de Félix Tshisekedi, a confirmé que le président ne se rendra pas au sommet en raison de la situation actuelle :</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« Il est clair que face à la situation qui prévaut en ce moment, le président ne pourra aller à ce sommet. »</span></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Bien que Tshisekedi salue l’initiative des chefs d’État de l’EAC pour résoudre la crise, il privilégie pour l’instant la poursuite du processus de médiation de Luanda, déjà en cours.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le contexte sécuritaire alarmant</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La décision de Tshisekedi intervient alors que Goma, une ville stratégique située à l’est de la RDC, est sous la menace accrue des rebelles du M23. Ces derniers, soutenus selon l’ONU par des troupes rwandaises, ont intensifié leurs offensives, provoquant des déplacements massifs de populations et une instabilité croissante.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Face à ces défis, la priorité du gouvernement congolais semble être la gestion de la crise sur le terrain et le renforcement des efforts diplomatiques en cours à Luanda, au lieu d’une présence à Nairobi.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le rôle de l’EAC et la pression internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le sommet de l’EAC reste néanmoins une plateforme importante pour discuter de la crise à l’est de la RDC. La décision de Tshisekedi de ne pas y assister pourrait toutefois compliquer les discussions entre les dirigeants régionaux, dont le président rwandais Paul Kagame, accusé par Kinshasa de soutenir le M23.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L’absence de Tshisekedi pourrait être interprétée comme un signal fort, mettant en lumière la frustration de la RDC face aux initiatives régionales perçues comme inefficaces jusqu’à présent.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La non-participation de Félix Tshisekedi au sommet de l’EAC souligne la complexité de la crise en RDC et la nécessité d’une approche diplomatique plus cohérente. Pendant ce temps, la pression internationale sur le Rwanda pour qu’il cesse son soutien présumé au M23 reste essentielle pour envisager une issue pacifique.</span></p>

Securité Situation sécuritaire à Goma : Félix Tshisekedi absent au sommet de l’EAC

Alors que la situation sécuritaire en République démocratique du Congo (RDC) reste critique, notamment à Goma où les tensions avec le groupe...

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Pourquoi la communauté internationale traîne-t-elle à sanctionner le Rwanda ?

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgruY2ZzJA1NsfQXfoCF4VpN7AWcInBkoMt35ITvMtghpqF922CceTOcu_vewHOD_v36m80LiXd268LIeD6XuYmFll98UaImhy12Q87Vj_x_r1ypDCoQGDCX0RFdhh6GaAfeOi3eSxj-dDEQVnVGWXl9MX0OglQ774PZ_YNmepYUFGinKoFaDplAWOL0uYj/s711/conseil_de_securite_de_l_onu_sur_la_prise_de_goma_par_les_rebelles_du_m23_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="292" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgruY2ZzJA1NsfQXfoCF4VpN7AWcInBkoMt35ITvMtghpqF922CceTOcu_vewHOD_v36m80LiXd268LIeD6XuYmFll98UaImhy12Q87Vj_x_r1ypDCoQGDCX0RFdhh6GaAfeOi3eSxj-dDEQVnVGWXl9MX0OglQ774PZ_YNmepYUFGinKoFaDplAWOL0uYj/w439-h292/conseil_de_securite_de_l_onu_sur_la_prise_de_goma_par_les_rebelles_du_m23_jpg_711_473_1.jpeg" width="439" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le dilemme autour des sanctions contre le Rwanda pour son soutien présumé au M23 met en lumière des réalités géopolitiques complexes. Bien que la responsabilité du Rwanda dans cette crise soit documentée par l'ONU, plusieurs raisons expliquent la réticence de la communauté internationale à agir fermement :</span><p></p><h3><span style="font-family: arial;">1. <strong>L'influence régionale de Paul Kagame</strong></span></h3><p><span style="font-family: arial;">Paul Kagame s'est construit une réputation d'homme fort en Afrique, jouissant d'une crédibilité auprès de certains alliés occidentaux en tant que dirigeant efficace et réformateur. Le Rwanda, malgré sa petite taille, est perçu comme un acteur stratégique dans la région des Grands Lacs. Beaucoup de nations hésitent à froisser un allié jugé stable dans une région instable.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">2. <strong>Les intérêts géopolitiques et économiques</strong></span></h3><p><span style="font-family: arial;">Le Rwanda bénéficie de soutiens étrangers, notamment de pays qui voient en Kigali un partenaire clé dans la lutte contre le terrorisme, le maintien de la paix (avec ses casques bleus) ou même l’accès à des ressources précieuses issues de la RDC. Cette dépendance stratégique ralentit toute volonté de sanctionner Kigali.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">3. <strong>Un leadership congolais sous critique</strong></span></h3><p><span style="font-family: arial;">La fragilité du leadership en RDC contribue également à cette impasse. Le gouvernement congolais peine à inspirer confiance sur sa capacité à gérer efficacement le pays ou à protéger ses ressources naturelles. De nombreux partenaires internationaux voient un problème structurel en RDC, attribuant la crise autant à ses propres faiblesses qu’aux interventions extérieures.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">La dimension historique : un cercle vicieux de prédation</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’histoire récente de la RDC est marquée par des rébellions soutenues par des puissances étrangères. Depuis l'ère Mobutu, les dirigeants congolais ont souvent permis ou toléré des interventions extérieures qui ont fini par se retourner contre eux. Le soutien initial de Laurent-Désiré Kabila par le Rwanda et l'Ouganda illustre bien ce schéma. Lorsque Kabila a tenté de s’émanciper de ces alliances, cela a déclenché des conflits incessants, dont le M23 est l'un des derniers avatars.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une Afrique silencieuse ?</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Il est troublant de constater le silence de nombreux pays africains face à la situation en RDC. Si des puissances occidentales ou asiatiques exploitaient de manière aussi flagrante les ressources d’un autre pays, l’indignation serait probablement généralisée. Cependant, lorsque des nations africaines participent à ce pillage, elles bénéficient d’une relative complaisance, justifiée parfois par l’incapacité des dirigeants congolais à assurer la souveraineté de leur pays.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Quelle voie pour la RDC ?</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les Congolais ne peuvent plus compter uniquement sur des sanctions internationales pour résoudre leurs problèmes. Une solution durable nécessitera :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>Un renforcement de l’armée nationale</strong> : Réformer et professionnaliser les FARDC pour qu’elles deviennent une force capable de défendre le territoire.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Une gestion exemplaire des ressources nationales</strong> : Les dirigeants congolais doivent prouver leur intégrité en mettant fin à la corruption et en utilisant les richesses du pays pour améliorer le quotidien des citoyens.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Une mobilisation citoyenne</strong> : Convaincre la population que la défense de la patrie est une cause commune, au-delà des clivages politiques ou ethniques.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Un plaidoyer international crédible</strong> : Adopter une diplomatie active et cohérente pour mettre en lumière les responsabilités extérieures tout en montrant des avancées sur le plan interne.</span></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : une justice sélective</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La lenteur de la communauté internationale à sanctionner le Rwanda reflète une réalité où les décisions sont guidées par des intérêts stratégiques et non par des principes de justice. Cependant, la RDC ne peut se contenter de dénonciations. Il est urgent que le pays prenne son destin en main en renforçant ses institutions et en mobilisant ses citoyens autour d’un projet national. Car, au final, seule une RDC forte et unie pourra véritablement inverser la tendance.</span></p>

Securité Pourquoi la communauté internationale traîne-t-elle à sanctionner le Rwanda ?

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Crise sécuritaire : Christian Bosembe appelle à la responsabilité médiatique et condamne le silence des leaders d'opinion

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhK8NKDDHIFmJ3ZErHTeRzRdIpQ-3hqePGtnMgXnfZ3Lwd2KdZynAd7mQxWzzpvo8xkibQWSH9g-gZZNwc3I8khEyZ3xU_xFBQ2GJmFpIygKzakz_U7LdqO5KTWimkMCdS3MSGnE-1MqiL7XljNwj9zsojeOqZaPluhEacUGz1K2rBiasAYIjkefsWo9wXC/s711/christian_bosembe_csac_27_janv_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="244" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhK8NKDDHIFmJ3ZErHTeRzRdIpQ-3hqePGtnMgXnfZ3Lwd2KdZynAd7mQxWzzpvo8xkibQWSH9g-gZZNwc3I8khEyZ3xU_xFBQ2GJmFpIygKzakz_U7LdqO5KTWimkMCdS3MSGnE-1MqiL7XljNwj9zsojeOqZaPluhEacUGz1K2rBiasAYIjkefsWo9wXC/w367-h244/christian_bosembe_csac_27_janv_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="367" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Dans un contexte marqué par une intensification de la crise sécuritaire à l'Est de la RDC, Christian Bosembe, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), a pris position ce 27 janvier via un message sur son compte X (anciennement Twitter).</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appel à la responsabilité médiatique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Christian Bosembe a exhorté les journalistes et les médias à faire preuve de discernement et de responsabilité dans le traitement de l’information. Il a souligné la prolifération sur les réseaux sociaux de vidéos non vérifiées prétendant montrer des victoires des groupes armés, qui, selon lui, participent à une guerre psychologique contre la population et les forces armées de la RDC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Il a insisté sur l’importance pour les journalistes de :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Vérifier rigoureusement les informations</strong> avant toute publication ou diffusion.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Clarifier leurs lignes éditoriales</strong> pour ne pas compromettre les efforts des FARDC.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Soutenir les forces armées</strong>, qu’il a qualifiées de "vaillantes", dans la défense du territoire national.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Critique envers le silence de certains leaders d’opinion</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Christian Bosembe a également exprimé son indignation face à l’attitude de certains leaders d’opinion, journalistes et influenceurs qu’il accuse de contribuer indirectement à la crise par leur silence ou par des actions qui serviraient les intérêts de l’ennemi.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Il a déclaré :</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">"À ces journalistes traîtres, à ces leaders d’opinion qui choisissent le silence coupable, et à ces influenceurs achetés, souvenez-vous que l’histoire vous jugera avec sévérité."</span></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Cette déclaration traduit une frustration face à ce qu’il perçoit comme un manque d’unité et de responsabilité collective face à la crise.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un contexte de guerre de l'information</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La déclaration de Christian Bosembe s’inscrit dans un climat où l’information est devenue une arme stratégique. La diffusion de contenus non vérifiés ou orientés sur les réseaux sociaux alimente la désinformation, pouvant saper le moral des populations et des troupes.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Bosembe rappelle que, dans des moments aussi critiques, les médias et influenceurs ont un rôle clé : celui d’informer de manière responsable tout en soutenant les efforts pour la défense de la souveraineté nationale.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : un message pour l'unité nationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En ces temps de crise, l’appel de Christian Bosembe est un rappel fort de l’importance de la cohésion nationale et de la responsabilité collective. Les médias, les leaders d’opinion et les citoyens sont appelés à travailler ensemble pour contrer la désinformation et soutenir les efforts de la RDC dans sa quête de paix et de sécurité.</span></p>

Securité Crise sécuritaire : Christian Bosembe appelle à la responsabilité médiatique et condamne le silence des leaders d'opinion

Dans un contexte marqué par une intensification de la crise sécuritaire à l'Est de la RDC, Christian Bosembe, président du Conseil supér...

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RDC : L'ONU pointe directement la responsabilité du Rwanda dans la crise sécuritaire à l'Est

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjauBpkB_dTRbSknspNPTOxtS3u23Rdu1oEucrb3V4ARo6rbdAY_hvpu1X75vD_-Gy36evSSHIOYZFDws_kKSDCakcicYDPUWI5_bKlhdlie6_u8QjHdHxoVOVDg5qKsoM5TI6_Ym1nsR0auSO2VGvuVs7PDg_72-5PccA26Hdjafz70R_7bcvtQfRWiwUD/s800/antonio4.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjauBpkB_dTRbSknspNPTOxtS3u23Rdu1oEucrb3V4ARo6rbdAY_hvpu1X75vD_-Gy36evSSHIOYZFDws_kKSDCakcicYDPUWI5_bKlhdlie6_u8QjHdHxoVOVDg5qKsoM5TI6_Ym1nsR0auSO2VGvuVs7PDg_72-5PccA26Hdjafz70R_7bcvtQfRWiwUD/s320/antonio4.jpeg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Pour la première fois, le Secrétaire général des Nations unies, António Guterres, a officiellement accusé les Forces rwandaises de défense (RDF) de soutenir le groupe armé M23, intensifiant ainsi la pression sur Kigali dans le cadre du conflit à l'Est de la République démocratique du Congo (RDC).</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un tournant dans la position de l’ONU</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans un communiqué diffusé ce dimanche, António Guterres a exprimé sa <strong>"condamnation la plus ferme"</strong> des offensives menées par le M23 et a souligné l'implication directe des troupes rwandaises. Cette déclaration marque une rupture notable dans le discours des Nations unies, qui avaient jusqu'à présent adopté un ton plus prudent à l’égard du Rwanda.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Perte de Casques bleus et violations du droit international</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Au cours des dernières 48 heures, trois Casques bleus de la Mission de stabilisation de l'ONU en RDC (MONUSCO) ont perdu la vie dans des affrontements : deux Sud-Africains et un Uruguayen. Onze autres soldats de la paix ont été blessés et reçoivent des soins à Goma. António Guterres a rappelé que les attaques contre le personnel onusien peuvent constituer un <strong>crime de guerre</strong>, exigeant des enquêtes et des poursuites rapides contre les auteurs.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le chef de l'ONU a également présenté ses condoléances aux familles des victimes et aux gouvernements des pays concernés, tout en saluant la bravoure des Casques bleus déployés dans cette région instable.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appel au respect des accords et retrait rwandais</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">António Guterres a réitéré son soutien au <strong>processus de Luanda</strong>, appelant les parties prenantes à reprendre les négociations sans délai. Il a exigé :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Un retrait immédiat du M23</strong> des zones occupées.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>La cessation du soutien rwandais</strong> au groupe armé.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Le retrait des troupes rwandaises</strong> du territoire congolais.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Le communiqué met en avant l'importance du respect de l'accord de cessez-le-feu pour éviter une escalade supplémentaire du conflit.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une situation humanitaire et sécuritaire critique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La situation dans l'Est de la RDC continue de se détériorer, avec des attaques ciblant non seulement les militaires, mais aussi des civils. Le conflit a déjà déplacé des centaines de milliers de personnes et exacerbé une crise humanitaire majeure dans la région.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : un message fort mais des défis persistants</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La prise de position explicite du Secrétaire général de l’ONU est un signal fort adressé au Rwanda et au M23. Cependant, cette déclaration suffira-t-elle à faire bouger les lignes ? Alors que le processus de Luanda peine à produire des résultats concrets, la communauté internationale devra redoubler d’efforts pour appuyer la RDC dans sa quête de paix et de stabilité.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La prochaine étape résidera dans la capacité des Nations unies à transformer cette dénonciation en actions concrètes, notamment à travers des sanctions ou des mécanismes de pression sur les parties impliquées.</span></p>

Societé RDC : L'ONU pointe directement la responsabilité du Rwanda dans la crise sécuritaire à l'Est

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Crise RDC-M23 : 5 civils tués et 25 blessés au Rwanda suite à des explosions

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXMESV_p39zbXKaU9aLJQkLQ-XVXUo_wVAq16fyi8NZDnQZ0jTGCyfayMOFhyYRJ3xaAGq8w3rwNaYq01eZ_-aVsfrtaNnnwgwIMEf6Fcx3ezHFDTrCRASmRQeWyr-PREkQcTFm9Tl9NjHGInKF0tl5XzklZU5xxlrJXgkfxzCOPmPwA_Q5bJxHAiqfIvS/s1280/M23-rebels.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="959" data-original-width="1280" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXMESV_p39zbXKaU9aLJQkLQ-XVXUo_wVAq16fyi8NZDnQZ0jTGCyfayMOFhyYRJ3xaAGq8w3rwNaYq01eZ_-aVsfrtaNnnwgwIMEf6Fcx3ezHFDTrCRASmRQeWyr-PREkQcTFm9Tl9NjHGInKF0tl5XzklZU5xxlrJXgkfxzCOPmPwA_Q5bJxHAiqfIvS/s320/M23-rebels.jpg" width="320" /></a></div><br /></div><br /><span style="font-family: arial;">La situation sécuritaire reste explosive à la frontière entre la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda. Ce lundi, dans le district de <strong>Rubavu</strong>, voisin de Goma, <strong>cinq civils ont été tués</strong> et <strong>25 autres grièvement blessés</strong>, selon un communiqué de l’armée rwandaise.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Des circonstances encore floues</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le porte-parole des Forces rwandaises de défense (RDF), Ronald Rwivanga, a confirmé ces pertes humaines tout en restant vague sur les circonstances précises des explosions qui ont touché cette zone frontalière. Il a cependant indiqué qu’il y avait également des blessés légers.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Impact sur la population locale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">À <strong>Gisenyi</strong>, principale ville du district de Rubavu, les écoles sont restées fermées, les autorités craignant une dégradation rapide de la situation. Ce climat tendu coïncide avec les affrontements en cours à Goma, où des tirs et des explosions ont été signalés dans plusieurs quartiers, notamment <strong>Birere</strong>, <strong>Majengo</strong> et autour de l’aéroport.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Des bases d’ONG ont été infiltrées, et les humanitaires internationaux sur place ont dû se confiner par crainte pour leur sécurité.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les accusations persistent entre Kigali et Kinshasa</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La RDC continue de pointer du doigt le Rwanda, l'accusant de soutenir le groupe rebelle <strong>M23</strong>, responsable d’une pression militaire croissante sur Goma. De son côté, Kigali affirme que ses actions sont défensives, visant à protéger son territoire contre des attaques transfrontalières.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Des troupes et des équipements lourds, notamment des chars, ont été déployés par le Rwanda près de la frontière, augmentant le risque d'une escalade militaire directe entre les deux pays.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conséquences humanitaires préoccupantes</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La situation transfrontalière entre la RDC et le Rwanda est alarmante. Elle engendre non seulement des pertes civiles, mais aussi une crise humanitaire croissante à Goma et dans les environs. Les populations locales vivent dans la peur, tandis que l'accès humanitaire se réduit face à l'insécurité.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La communauté internationale est une fois de plus interpellée pour intervenir et désamorcer une crise qui menace de s’étendre bien au-delà des frontières actuelles.</span></p>

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CAN 2025 : Les Léopards héritent d’un groupe accessible

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgp6QcgFEtGBXBDDDQ4nMqyMQ9GywabOWu3caAmzorezMLx6jbzU1z_VUcRx0t529CE22pY2xofTbvXJmrmVqUy8uAkioRRS1DFIzx2dusGESIy1tt4cqdqQQL562gJYv84pX6ViNbt4cWf83_ZPCHtXStCAujNG6Kgk0soJxvTRm2Wt1i66UcmQ5q339Ua/s800/L%C3%A9opards%20au%20stade%20des%20Martyrs.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="275" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgp6QcgFEtGBXBDDDQ4nMqyMQ9GywabOWu3caAmzorezMLx6jbzU1z_VUcRx0t529CE22pY2xofTbvXJmrmVqUy8uAkioRRS1DFIzx2dusGESIy1tt4cqdqQQL562gJYv84pX6ViNbt4cWf83_ZPCHtXStCAujNG6Kgk0soJxvTRm2Wt1i66UcmQ5q339Ua/w367-h275/L%C3%A9opards%20au%20stade%20des%20Martyrs.jpg" width="367" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Les Léopards de la RDC connaissent désormais leurs adversaires pour la <strong>35e Coupe d’Afrique des Nations (CAN)</strong> prévue au Maroc du <strong>21 décembre 2025 au 18 janvier 2026</strong>. Lors du tirage au sort effectué au Théâtre national Mohammed V à Rabat, la RDC a été placée dans le <strong>groupe D</strong>, aux côtés du <strong>Sénégal</strong>, du <strong>Bénin</strong> et du <strong>Botswana</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un tirage plutôt favorable</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En figurant dans le chapeau 2, la RDC a évité certains poids lourds africains. Bien que le Sénégal, champion en titre, soit l’adversaire le plus redoutable du groupe, les Léopards ont de réelles chances de qualification face au Bénin et au Botswana.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La RDC entamera sa campagne <strong>le 22 décembre 2025</strong> face aux Guépards du Bénin au Grand Stade de Tanger. Cette rencontre sera déterminante pour lancer les Fauves de Sébastien Desabre dans une dynamique positive.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les enjeux et préparatifs</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré une campagne éliminatoire en demi-teinte marquée par des défaites contre la Guinée (1-0) et l’Éthiopie (2-1), les Léopards restent confiants. Ils visent à capitaliser sur leur quatrième place lors de la CAN 2023 en Côte d’Ivoire et espèrent aller plus loin cette fois.</span></p><p><span style="font-family: arial;">2025 s’annonce chargée pour les Congolais, avec des échéances clés :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Mars 2025</strong> : Matches de qualification pour la Coupe du Monde 2026 face au Soudan du Sud et à la Mauritanie.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Septembre 2025</strong> : Derby crucial contre le Sénégal à Kinshasa et déplacement au Soudan du Sud.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Octobre 2025</strong> : Derniers matchs des qualifications pour le Mondial face au Togo et au Soudan.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Ces rencontres serviront de tremplin pour affûter l’équipe en vue de la CAN.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un Maroc prêt à impressionner</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette édition de la CAN promet d’être mémorable. Le Maroc, connu pour ses infrastructures modernes, mobilisera <strong>neuf stades</strong> répartis dans <strong>six villes hôtes</strong> : Rabat, Casablanca, Agadir, Marrakech, Fès et Tanger. Ce sera un record en termes de capacités et de qualité d’organisation.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Format de la compétition</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Comme lors des éditions précédentes, les <strong>24 équipes qualifiées</strong> seront réparties en six groupes de quatre. Les deux premiers de chaque groupe, ainsi que les meilleurs troisièmes, se qualifieront pour les huitièmes de finale. La phase à élimination directe débutera à partir de là.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Avec un groupe à leur portée et une préparation minutieuse, les Léopards ont toutes les cartes en main pour briller au Maroc. Les supporters espèrent une performance digne de leur talent et, pourquoi pas, une place sur le podium.</span></p>

Sport CAN 2025 : Les Léopards héritent d’un groupe accessible

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RDC : L'Assemblée nationale réclame une réorganisation militaire et politique au Nord-Kivu

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEip78J1paFRcT1lhAAsEglZcvnwOczW2Ea4yzy3wjyoV-dGy-XEPzaT2LJDB2YT4J1riTwpaYy8K5sZETY0Y3JLro3CbfRTV5Nv1TIdYOiyye2KiR9q2YMEAUIj9YFNboZaaaIBK8rTiBhx3-magmDDKZOiYIDh_UFIhkNgtNzti1Dmj3b4dKbpEp83sHoo/s787/assembl%C3%A9e-nat_2-787x445.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="445" data-original-width="787" height="233" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEip78J1paFRcT1lhAAsEglZcvnwOczW2Ea4yzy3wjyoV-dGy-XEPzaT2LJDB2YT4J1riTwpaYy8K5sZETY0Y3JLro3CbfRTV5Nv1TIdYOiyye2KiR9q2YMEAUIj9YFNboZaaaIBK8rTiBhx3-magmDDKZOiYIDh_UFIhkNgtNzti1Dmj3b4dKbpEp83sHoo/w413-h233/assembl%C3%A9e-nat_2-787x445.jpg" width="413" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Face à la dégradation de la situation sécuritaire dans la province du <strong>Nord-Kivu</strong>, l’<strong>Assemblée nationale</strong> de la République Démocratique du Congo (RDC) a exprimé des préoccupations majeures et formulé des recommandations urgentes. En effet, le Bureau de l'Assemblée nationale a demandé une réorganisation immédiate du commandement militaire dans la région, notamment au niveau du <strong>secteur opérationnel</strong> et de la <strong>région militaire</strong>, afin de mieux gérer la crise liée aux attaques du <strong>M23</strong> et à l'ingérence présumée du <strong>Rwanda</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réorganisation du commandement militaire et administratif</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Lors de la réunion de ce lundi, élargie aux membres de la <strong>Commission Défense et Sécurité</strong>, le Bureau a insisté sur la nécessité d’une <strong>réorganisation politico-administrative</strong> du Nord-Kivu, en se concentrant sur les zones encore sous le contrôle des Forces armées de la RDC (<strong>FARDC</strong>). Cette réorganisation vise à renforcer la gestion de la crise dans l'attente d'une stabilisation de la situation à <strong>Goma</strong>, où les affrontements entre les FARDC et le M23 se poursuivent avec violence.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Soutien aux FARDC et à l’action diplomatique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le Bureau de l'Assemblée a également exprimé son soutien au Président <strong>Félix Tshisekedi</strong>, saluant ses efforts diplomatiques qui ont permis la convocation d'une session d'urgence du Conseil de sécurité des Nations unies sur la situation en RDC. Le Bureau a réitéré son soutien au chef de l'État, en sa qualité de <strong>commandant suprême des FARDC</strong>, et aux <strong>groupes d’autodéfense Wazalendo</strong>, qui participent activement à la défense de l'intégrité territoriale.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Mesures d’urgence pour la population civile</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le Bureau a également appelé à la mise en place urgente d'un <strong>couloir humanitaire</strong> afin de venir en aide aux populations civiles prises dans le conflit. L’accès humanitaire est d’autant plus crucial que la situation à Goma se détériore, avec des services essentiels comme l’eau, l’électricité et les communications actuellement coupés.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Dans ce contexte dramatique, la <strong>Première ministre Judith Suminwa</strong> a rendu hommage aux efforts des <strong>FARDC</strong> et des <strong>Wazalendo</strong>, les qualifiant de « rempart crucial contre l’agression ».</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Solidarité nationale et soutien à la population</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En dépit de la violence, la <strong>mobilisation de la population du Sud-Kivu</strong> a été saluée par le Bureau de l’Assemblée nationale. Des marches pacifiques ont été organisées en solidarité avec les habitants du Nord-Kivu. Cette mobilisation populaire a renforcé l’appel à l’unité nationale, en impliquant toutes les forces politiques, les confessions religieuses et la société civile pour soutenir les efforts de défense du pays.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte de l’escalade des violences</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les violences dans la région du <strong>Nord-Kivu</strong> se sont intensifiées ces derniers mois, avec Goma au cœur des affrontements entre les <strong>FARDC</strong> et le M23, un groupe armé soutenu, selon Kinshasa, par le Rwanda. La situation humanitaire à Goma est d’autant plus complexe avec les coupures de services de base et l’intensité des combats, mettant en péril la vie de milliers de civils.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le soutien politique et militaire de l'Assemblée nationale à la réorganisation des forces armées et à une meilleure gestion de la crise démontre une volonté d'unité nationale face à la menace sécuritaire.</span></p>

Securité RDC : L'Assemblée nationale réclame une réorganisation militaire et politique au Nord-Kivu

Face à la dégradation de la situation sécuritaire dans la province du Nord-Kivu , l’ Assemblée nationale de la République Démocratique du C...

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RDC-M23 : Thérèse Kayikwamba Wagner appelle l'ONU à des actions décisives face à l'agression rwandaise

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjku5qIenPyw0gv2Wa6YmU2-kcTMN74dbTiRuKNGkbZ8bCLLShnIHUPxEDVBcPgiJqtUcbpm35-HMcFj-sutaZ1p5iejNfRGblI4sk_iOvXspHm7ubRNaxefubbp8Tz8lW4Uf6j12K6jq18d1enEfbrlAKRLVOTOvgHgjTZbih0yUnTa1jtWEFKr3BFWXvf/s950/IMG-20250124-WA0009.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="636" data-original-width="950" height="239" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjku5qIenPyw0gv2Wa6YmU2-kcTMN74dbTiRuKNGkbZ8bCLLShnIHUPxEDVBcPgiJqtUcbpm35-HMcFj-sutaZ1p5iejNfRGblI4sk_iOvXspHm7ubRNaxefubbp8Tz8lW4Uf6j12K6jq18d1enEfbrlAKRLVOTOvgHgjTZbih0yUnTa1jtWEFKr3BFWXvf/w357-h239/IMG-20250124-WA0009.jpg" width="357" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Lors de son intervention devant le <strong>Conseil de sécurité de l'ONU</strong> le 25 janvier 2025, la <strong>Cheffe de la diplomatie congolaise</strong>, <strong>Thérèse Kayikwamba Wagner</strong>, a vivement dénoncé l'agression en cours contre la République Démocratique du Congo (RDC), soulignant que chaque minute sans actions décisives de l'ONU fragilise sa crédibilité et met en péril la vie de civils innocents.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une agression manifeste du Rwanda</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Kayikwamba Wagner a clairement affirmé que l'agression du <strong>Rwanda</strong> contre la RDC n'est plus un acte dissimulé sous des discours diplomatiques, mais une attaque frontale, avec des <strong>troupes rwandaises</strong> franchissant les postes frontières de <strong>Goma</strong> et <strong>Gisenyi</strong> en plein jour, dans une violation flagrante de la souveraineté nationale de la RDC. Elle a qualifié cet acte de <strong>"déclaration de guerre"</strong> ouverte.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les conséquences d'une inaction</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Elle a averti que <strong>l'inaction</strong> de l'ONU permettrait à l'agresseur de gagner du terrain et condamnerait des millions de personnes à des souffrances indescriptibles. Selon elle, <strong>chaque hésitation de ce Conseil</strong> sert de <strong>victoire pour l'agresseur</strong>, et les Nations-Unies doivent agir sans plus tarder pour préserver sa crédibilité et protéger les innocents. Elle a insisté sur le fait que cette attaque ne touche pas seulement la RDC mais aussi toute l'Afrique et l'humanité dans son ensemble, soulignant la présence de <strong>soldats de la paix internationaux</strong> venus pour protéger et non pour être pris pour cible.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le Rwanda et les risques d'un carnage</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La ministre a averti que la situation à <strong>Goma</strong>, où les <strong>FARDC</strong> combattent aux côtés des troupes de l'ONU et de la <strong>SADC</strong>, est critique. Elle a évoqué la possibilité d’un <strong>"carnage"</strong> orchestré par le Rwanda, avec des tactiques de terreur et de chaos visant à prendre des civils et humanitaires en otage. Elle a comparé ces agissements à ceux des années <strong>1996</strong>, une période marquée par des violences et des atrocités qui avaient secoué la région. Kayikwamba Wagner a appelé à un cessez-le-feu immédiat pour éviter une <strong>tragédie d’une ampleur insoutenable</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appel à l’action du Conseil de sécurité</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L'ambassadrice a exhorté le <strong>Conseil de sécurité de l'ONU</strong> à agir en vertu des prérogatives qui lui sont conférées par la <strong>Charte des Nations-Unies</strong>, affirmant que la situation en RDC n'est pas simplement un conflit régional mais une <strong>violation flagrante</strong> des principes fondateurs de l'ONU. Elle a insisté sur la nécessité d'une <strong>réaction ferme et rapide</strong> pour protéger la paix internationale et rétablir l'ordre.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réactions et tensions à Goma</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La tension reste vive à <strong>Goma</strong>, où la coalition <strong>M23-AFC-RDF</strong> cherche à prendre le contrôle de la ville. De son côté, le gouvernement congolais continue de promettre de tout mettre en œuvre pour défendre cette position stratégique. En réponse à l'agression, le <strong>gouvernement congolais</strong> a rappelé ses diplomates au <strong>Rwanda</strong> et a demandé à l'ambassade rwandaise à <strong>Kinshasa</strong> de répondre à cette décision, après une réunion du <strong>Conseil supérieur de la défense</strong> présidée par le <strong>président Félix Tshisekedi</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La situation reste extrêmement tendue, et les appels à une intervention urgente de la communauté internationale se multiplient pour éviter une escalade plus grave.</span></p>

Securité RDC-M23 : Thérèse Kayikwamba Wagner appelle l'ONU à des actions décisives face à l'agression rwandaise

Lors de son intervention devant le Conseil de sécurité de l'ONU le 25 janvier 2025, la Cheffe de la diplomatie congolaise , Thérèse Kay...

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Le Burundi appelle à une action immédiate du Conseil de sécurité de l'ONU pour la RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF8vrvqfIEnmPD_hAnykgRRD2TdJ13jtX7dYIJtg2oBcmll1bpnSk9lV9vYETDWlm_XWBiSumiJr4dNiad9DFuKp7-ED7PIZGYuLdMn6qapSn5SOb4He9qZzBF203QmZzrqUk6rF4ODbzrpwSOQ_0_V2zJ2r-BjJnmIm01EFbnW76Kp7Sba5I834h8KkeW/s800/Conseil%20de%20s%C3%A9curit%C3%A9.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF8vrvqfIEnmPD_hAnykgRRD2TdJ13jtX7dYIJtg2oBcmll1bpnSk9lV9vYETDWlm_XWBiSumiJr4dNiad9DFuKp7-ED7PIZGYuLdMn6qapSn5SOb4He9qZzBF203QmZzrqUk6rF4ODbzrpwSOQ_0_V2zJ2r-BjJnmIm01EFbnW76Kp7Sba5I834h8KkeW/s320/Conseil%20de%20s%C3%A9curit%C3%A9.jpg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Lors de la <strong>session d'urgence</strong> du <strong>Conseil de sécurité des Nations Unies</strong> consacrée à la crise en <strong>République Démocratique du Congo (RDC)</strong>, le <strong>Représentant permanent du Burundi</strong> auprès de l'ONU, <strong>Zéphyrin Maniratanga</strong>, a fermement appelé à une action immédiate face à l'aggravation de la situation sécuritaire dans l'Est de la RDC, notamment autour de <strong>Goma</strong>, soulignant les risques d'une escalade catastrophique pour la région.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une région au bord du chaos</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Maniratanga a averti que la crise dans l'Est de la RDC, en particulier au <strong>Nord-Kivu</strong>, ne menaçait pas seulement la paix locale, mais constituait également un défi pour la <strong>sécurité internationale</strong>. Selon lui, <strong>Goma</strong> est désormais "au bord du précipice", et toute aggravation de la situation pourrait entraîner des répercussions dramatiques pour la <strong>région</strong> et au-delà.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Critique de l'inaction du Conseil de sécurité</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le représentant burundais a exprimé son mécontentement face à l'<strong>inaction</strong> du <strong>Conseil de sécurité</strong> face aux violations répétées de la <strong>souveraineté</strong> de la RDC et du <strong>droit international humanitaire</strong>. Il a déploré le manque de résolution pour condamner les <strong>agressions flagrantes</strong>, qualifiant ce <strong>silence</strong> de "troublant". Cela a renforcé l'impression d'une absence de réponse efficace à la crise.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Soutien aux processus de paix régionaux</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré la situation critique, Maniratanga a salué les efforts déployés dans le cadre des <strong>processus de Luanda</strong> et de <strong>Nairobi</strong>, soulignant qu'ils constituaient des <strong>cadres essentiels</strong> pour une <strong>résolution pacifique</strong> du conflit. Il a exhorté toutes les parties à respecter les engagements pris dans ces cadres de paix et a appelé à leur renforcement.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appels à des actions concrètes</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le Burundi a formulé plusieurs demandes précises au <strong>Conseil de sécurité</strong> pour lutter contre l'escalade de la crise :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Cessation immédiate des hostilités</strong> dans l'Est de la RDC.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Retrait des forces étrangères</strong> impliquées dans le conflit.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Soutien aux autorités congolaises</strong> pour restaurer l'autorité de l'État sur tout le territoire.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Renforcement de l'aide humanitaire</strong> pour les populations déplacées, en mettant un accent particulier sur les <strong>femmes et les enfants</strong>.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la responsabilité internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Maniratanga a conclu son intervention en soulignant que le Conseil de sécurité ne pouvait pas rester spectateur face à une <strong>tragédie annoncée</strong>. Il a insisté sur le fait que la <strong>sécurité</strong> et la <strong>stabilité</strong> en <strong>Afrique centrale</strong> et au-delà dépendent des décisions du Conseil de sécurité.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette prise de position survient dans un contexte de combats intenses entre les <strong>Forces armées de la RDC</strong> et le <strong>M23</strong>, soutenu par le <strong>Rwanda</strong>, selon des rapports de l'ONU. La situation a entraîné des <strong>déplacements massifs de populations</strong> et exacerbé une <strong>crise humanitaire</strong> déjà grave dans la région.</span></p>

Securité Le Burundi appelle à une action immédiate du Conseil de sécurité de l'ONU pour la RDC

Lors de la session d'urgence du Conseil de sécurité des Nations Unies consacrée à la crise en République Démocratique du Congo (RDC) ,...

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L'Angola appelle à un respect strict du cessez-le-feu en RDC et au renforcement des efforts de médiation

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjk2222JJ8K5_Gn6syo_qmsNfbDnty_Lf8uYgFz4zcnDsmNs72q2ExvrGlSWvVSK7HmYc4DEibW_9Q9DnOJIWhxAfctCC39B-WTqWGgRBorM3viGXms9S2SgF-de9GuyTNsCEfk5TULgw7x8CwQWD_-Idsf_Cfg72ptRDHpgRMn3h_j0Q2ms-2yDjE6mfJW/s800/CONSEIL%20DE%20SECURITE.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="281" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjk2222JJ8K5_Gn6syo_qmsNfbDnty_Lf8uYgFz4zcnDsmNs72q2ExvrGlSWvVSK7HmYc4DEibW_9Q9DnOJIWhxAfctCC39B-WTqWGgRBorM3viGXms9S2SgF-de9GuyTNsCEfk5TULgw7x8CwQWD_-Idsf_Cfg72ptRDHpgRMn3h_j0Q2ms-2yDjE6mfJW/w375-h281/CONSEIL%20DE%20SECURITE.jpeg" width="375" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Lors de la <strong>session d'urgence</strong> du <strong>Conseil de sécurité des Nations Unies</strong>, le <strong>représentant permanent de l'Angola</strong> auprès des Nations Unies, <strong>M. Francisco José da Cruz</strong>, a exprimé la <strong>vive inquiétude</strong> de son gouvernement face à la <strong>recrudescence des violences</strong> dans l'Est de la <strong>République Démocratique du Congo (RDC)</strong>. Il a appelé au respect strict du <strong>cessez-le-feu</strong> signé le <strong>4 août 2024</strong> et à une intensification des <strong>efforts de médiation</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Violation du cessez-le-feu et occupation illégale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">M. da Cruz a dénoncé l'<strong>occupation illégale</strong> de localités stratégiques telles que <strong>Sake</strong> et <strong>Minova</strong> par le <strong>groupe armé M23</strong>, en violation flagrante de l'accord de cessez-le-feu. Selon lui, ces actes compromettent non seulement la paix en <strong>RDC</strong>, mais également la <strong>stabilité de toute la région des Grands Lacs</strong>, exacerbant les <strong>conséquences humanitaires</strong> pour les civils, en particulier autour de <strong>Goma</strong>, désormais assiégée.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Soutien au processus de Luanda</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L'Angola, mandaté par l'<strong>Union africaine</strong> pour la <strong>médiation</strong> entre la RDC et le Rwanda, a réaffirmé son engagement dans le <strong>processus de Luanda</strong>. M. da Cruz a salué les <strong>progrès réalisés</strong>, notamment l'<strong>opérationnalisation du mécanisme de vérification ad hoc renforcé</strong> en novembre 2024. Cependant, il a souligné que des <strong>différends persistants</strong>, particulièrement sur la question du M23, freinent la réalisation d'une <strong>résolution durable</strong> du conflit.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le représentant a appelé toutes les parties à <strong>respecter leurs engagements</strong> et a réaffirmé que le <strong>processus de Luanda</strong> demeurait le cadre légitime pour parvenir à une <strong>paix durable</strong> entre la <strong>RDC</strong> et le <strong>Rwanda</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Hommage aux forces de maintien de la paix</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">M. da Cruz a également rendu hommage aux <strong>soldats de la MONUSCO</strong> et de la mission de la <strong>SADC (SAMIDRC)</strong> qui ont perdu la vie lors des récents affrontements. Il a exprimé ses condoléances aux <strong>familles des victimes</strong> ainsi qu'aux pays contributeurs, notamment <strong>l'Afrique du Sud</strong>, <strong>le Malawi</strong> et <strong>l'Uruguay</strong>, tout en saluant leur <strong>bravoure</strong> dans la protection des civils.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appel à l'action internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le représentant angolais a enfin appelé la <strong>communauté internationale</strong>, et en particulier le <strong>Conseil de sécurité</strong>, à intensifier son <strong>soutien au processus de Luanda</strong> et à prendre des <strong>mesures décisives</strong> pour mettre fin aux hostilités. Selon lui, <strong>l'intégrité territoriale</strong> de la <strong>RDC</strong> doit être respectée, et le Conseil de sécurité a le devoir de <strong>protéger les civils</strong>, de garantir la <strong>paix</strong> et de prévenir une <strong>catastrophe humanitaire</strong> imminente.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En conclusion, M. da Cruz a insisté sur la nécessité d'un engagement international renforcé pour éviter une escalade du conflit en RDC et assurer une <strong>paix durable</strong> dans la région des Grands Lacs.</span></p>

Securité L'Angola appelle à un respect strict du cessez-le-feu en RDC et au renforcement des efforts de médiation

Lors de la session d'urgence du Conseil de sécurité des Nations Unies , le représentant permanent de l'Angola auprès des Nations U...

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Agression Rwandaise : Patrick Muyaya appelle à une mobilisation automatique des forces politiques et sociales

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgG7oNzzddU4zm6beEgQJRq5EpnjSr1oFohpgccLxP_VIweUTIczXrnzNtXMgBu8cRK1YzvzFKjqod6egNuuL-rISqKvD54N2n0xFza6glqvtEIlYMeEAVBq4qfXjky4wQfl1-2ffPbZID3GjHRTivRLfoMT7GuCQ0gK3kuZG9JGpZjOj53GlWvJNYklvLd/s800/Muyaya%20B.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgG7oNzzddU4zm6beEgQJRq5EpnjSr1oFohpgccLxP_VIweUTIczXrnzNtXMgBu8cRK1YzvzFKjqod6egNuuL-rISqKvD54N2n0xFza6glqvtEIlYMeEAVBq4qfXjky4wQfl1-2ffPbZID3GjHRTivRLfoMT7GuCQ0gK3kuZG9JGpZjOj53GlWvJNYklvLd/s320/Muyaya%20B.jpg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Dimanche 26 janvier 2025, <strong>Patrick Muyaya</strong>, porte-parole du gouvernement congolais, a abordé la question de la mobilisation de la classe politique congolaise face à la <strong>menace de l'agression rwandaise</strong> dans l'Est de la <strong>République Démocratique du Congo (RDC)</strong>, notamment autour de <strong>Goma</strong>, ville stratégique du <strong>Nord-Kivu</strong>. Interrogé sur l'éventuelle convocation des forces politiques, de la majorité, de l’opposition et de la société civile pour renforcer la <strong>cohésion nationale</strong>, <strong>Patrick Muyaya</strong> a insisté sur le fait que cette mobilisation devait se faire "automatiquement" en raison de la <strong>gravité de la situation</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">La guerre populaire selon Laurent Désiré Kabila</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pour <strong>Patrick Muyaya</strong>, une telle initiative ne nécessite pas une invitation officielle, mais doit être <strong>automatique</strong>, en raison de l'urgence de la situation où l'<strong>intégrité territoriale</strong> de la RDC est directement menacée. Il a rappelé les paroles de <strong>Laurent Désiré Kabila</strong> qui disait que la guerre serait longue et populaire, soulignant qu'aujourd'hui, en 2025, ces paroles résonnent encore. Il a interpellé les acteurs politiques en ces termes : "Lorsqu'il faut défendre le patrimoine que nous avons en commun, est-ce que vous avez besoin d'être invité ?"</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">L'ampleur de l'agression et la nécessité de se lever pour la patrie</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Muyaya a fait référence à un rapport des <strong>experts du Conseil de sécurité de l'ONU</strong> qui confirme l'implication d'<strong>environ 4000 soldats étrangers</strong> soutenant le groupe armé M23, qui ont été responsables de violations graves, comme des meurtres, des viols et des attaques contre des infrastructures vitales. Le porte-parole a ainsi posé la question : <strong>"Est-ce qu'on a besoin d'une invitation pour défendre la patrie?"</strong></span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le silence de certains acteurs et l'appel à la mobilisation générale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Il a exprimé son étonnement face au <strong>silence</strong> des <strong>acteurs religieux</strong> et des <strong>leaders politiques</strong> concernant la reprise des combats entre les <strong>FARDC</strong> et le M23. Patrick Muyaya a souligné que cette guerre n'est pas seulement celle du <strong>Président Félix Tshisekedi</strong>, mais de <strong>tous les Congolais</strong>. Il a également critiqué le manque de réaction, notamment des <strong>leaders politiques</strong> et des <strong>acteurs de la société civile</strong>, les appelant à se lever pour soutenir les forces armées et défendre la <strong>patrie</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les rebelles du M23 et l'occupation de Minova</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les combats récents ont vu une <strong>percée des rebelles du M23</strong>, soutenus par le Rwanda, qui ont pris le contrôle de <strong>Minova</strong>, une ville stratégique située près de <strong>Goma</strong>. Cette situation accentue les tensions sécuritaires dans la région, avec des implications graves pour la stabilité du pays.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">L'appel de l'opposition à renforcer la cohésion nationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Du côté de l’opposition, des voix, comme celle de <strong>Martin Fayulu</strong>, appellent à la convocation du <strong>processus de Kinshasa</strong> pour renforcer la <strong>cohésion nationale</strong> face à l’agression. Toutefois, à ce jour, aucune réaction officielle n’a été donnée par l’administration de <strong>Félix Tshisekedi</strong> à cet appel.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En résumé, Patrick Muyaya insiste sur la nécessité d'une <strong>mobilisation immédiate</strong> et <strong>automatique</strong> de tous les acteurs politiques et sociaux du pays pour soutenir les efforts de défense contre l’agression du M23, rappelant que la sécurité de la RDC ne doit pas être une question partagée ou différée, mais un <strong>engagement commun</strong> de tous.</span></p>

Securité Agression Rwandaise : Patrick Muyaya appelle à une mobilisation automatique des forces politiques et sociales

Dimanche 26 janvier 2025, Patrick Muyaya , porte-parole du gouvernement congolais, a abordé la question de la mobilisation de la classe poli...

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Situation sécuritaire à Goma : des militants de l'UDPS expriment leur colère à Limete

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4-1q2Oefm_JEZXaE5GFSPfgl-K4-CMjmwOUUvAuiWc9MkTSYtMryYLwKeOsxsYfu4WxnX1Rk5erQbP7T7syGYp4ZGD_tIkPR0B1EobLCHA3UbLHsmi6R3J6XniTY_27uRK8KY9OAsOjyEC97gli7a9adQryllQ0OoKqZLw4VG_14_FjXR6ABmNBRvLwvC/s976/_106050640_gettyimages-607691286.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="976" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4-1q2Oefm_JEZXaE5GFSPfgl-K4-CMjmwOUUvAuiWc9MkTSYtMryYLwKeOsxsYfu4WxnX1Rk5erQbP7T7syGYp4ZGD_tIkPR0B1EobLCHA3UbLHsmi6R3J6XniTY_27uRK8KY9OAsOjyEC97gli7a9adQryllQ0OoKqZLw4VG_14_FjXR6ABmNBRvLwvC/w405-h228/_106050640_gettyimages-607691286.jpg" width="405" /></a></div><br /><br /></div><p></p><p><span style="font-family: arial;">Les tensions sont montées d'un cran à <strong>Limete</strong>, un quartier de <strong>Kinshasa</strong>, où des militants du <strong>Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS)</strong> ont protesté contre l'<strong>invasion de la ville de Goma</strong> par l'<strong>armée rwandaise</strong> et ses supplétifs du <strong>groupe rebelle M23</strong>. Ces militants ont <strong>brûlé des pneus</strong> et deux <strong>motos</strong> à la <strong>10ᵉ rue Limete</strong> pour exprimer leur mécontentement face à la situation sécuritaire précaire dans la ville de <strong>Goma</strong>, capitale de la province du <strong>Nord-Kivu</strong>, actuellement menacée par les combats.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Protestations violentes et tensions croissantes</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les manifestants ont également ciblé des <strong>véhicules</strong> et des <strong>motos</strong>, les empêchant de circuler sur le petit <strong>boulevard Lumumba</strong>, dans un contexte de colère croissante face à l’agression rwandaise. La <strong>police</strong> s’est rapidement déployée dans le quartier pour tenter de maîtriser la situation et éviter tout dérapage violent.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Des manifestations également à Bukavu</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Des scènes similaires ont été observées à <strong>Bukavu</strong>, dans la province voisine du <strong>Sud-Kivu</strong>, où d’autres manifestations ont eu lieu en soutien à <strong>Goma</strong>. Les protestations dans ces deux grandes villes de la RDC montrent l'ampleur de la colère populaire face à la <strong>situation sécuritaire</strong> dans l'Est du pays, où la <strong>menace rwandaise</strong> reste un sujet majeur de tension.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ces événements mettent en lumière le mécontentement général face à l'agression continue des groupes armés soutenus par le Rwanda, et la frustration de nombreux Congolais face à la <strong>violence</strong> qui frappe leur pays.</span></p>

Societé Situation sécuritaire à Goma : des militants de l'UDPS expriment leur colère à Limete

Les tensions sont montées d'un cran à Limete , un quartier de Kinshasa , où des militants du Union pour la Démocratie et le Progrès Soci...

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Manifestations spontanées à Kinshasa en soutien à Goma et aux FARDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8Asboa1YPqJZAyGXXAO9x1AhNOdXQzT1VlK0v2st8t7Nyd5rUdxy49zuQZz6F5E-kYU-XH6x6CSBs9tplAKfY-G_KWwFe5KMdm9dWwVVCORkyQJzXi7w6y93aRWk2WJpbhYLY3fCPni8DEHS_xkcG0A_7oErvNxVJLWOKnV4XQ5B-__5ZJUdXRmBDRBOx/s711/manif_contre_guerre_est_25_png_711_473_1.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="253" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8Asboa1YPqJZAyGXXAO9x1AhNOdXQzT1VlK0v2st8t7Nyd5rUdxy49zuQZz6F5E-kYU-XH6x6CSBs9tplAKfY-G_KWwFe5KMdm9dWwVVCORkyQJzXi7w6y93aRWk2WJpbhYLY3fCPni8DEHS_xkcG0A_7oErvNxVJLWOKnV4XQ5B-__5ZJUdXRmBDRBOx/w380-h253/manif_contre_guerre_est_25_png_711_473_1.png" width="380" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le lundi 27 janvier, <strong>les étudiants de l’Université de Kinshasa</strong> ont manifesté spontanément pour exprimer leur colère face à la situation à <strong>Goma</strong>, où les rebelles du <strong>M23</strong>, soutenus par le Rwanda, ont intensifié leurs attaques. À travers ces manifestations, les étudiants ont également voulu apporter leur soutien aux <strong>FARDC</strong> (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) et au <strong>gouvernement</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Slogans patriotiques et mobilisation estudiantine</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les manifestants ont scandé des slogans tels que <strong>"Libérez Goma"</strong>, <strong>"Nous portons le Congo dans nos cœurs"</strong> et <strong>"La RDC est notre pays"</strong>, témoignant de leur solidarité avec Goma, une ville assiégée par les rebelles du M23. Ces manifestations se sont intensifiées en raison de la gravité de la situation dans le Nord-Kivu, marquée par la présence croissante des forces ennemies dans la ville.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réunion des coordonnateurs étudiants et nouvelles manifestations</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le même jour, une réunion des <strong>coordonnateurs des étudiants</strong> des institutions supérieures et universitaires de la capitale s'est tenue pour discuter de la manière de soutenir le pays face à l'agression.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les manifestations se sont étendues à plusieurs quartiers de Kinshasa, notamment :</span></p><ul><li><strong><span style="font-family: arial;">Le camp Kabila à Lemba</span></strong></li><li><strong><span style="font-family: arial;">Limete, sur le boulevard Lumumba</span></strong></li><li><strong><span style="font-family: arial;">Mombele</span></strong></li><li><strong><span style="font-family: arial;">La place DGC/Barré à Ngaliema</span></strong></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Ces actions populaires ont mis en lumière une forte mobilisation des jeunes Congolais, qui réclament une réponse résolue face à l'invasion du M23 et un soutien accru aux FARDC et au gouvernement dans cette période de crise.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le siège du média public RTNC à Goma</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les manifestations surviennent après que les rebelles du M23 aient pris le contrôle du <strong>média public RTNC</strong> à Goma après plusieurs jours de combats violents. Bien qu'ils aient été délogés en fin de soirée, cet événement a exacerbé la colère des citoyens, notamment à Kinshasa, où les jeunes expriment leur solidarité avec les forces congolaises et leur engagement à défendre l'intégrité du pays.</span></p>

Securité Manifestations spontanées à Kinshasa en soutien à Goma et aux FARDC

Le lundi 27 janvier, les étudiants de l’Université de Kinshasa ont manifesté spontanément pour exprimer leur colère face à la situation à G...

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