Ils ont dit qu’ils étaient des agents de l’Etat et qu'ils avaient le mandat de traquer tous ceux qui véhiculent de fausses informations sur le gouvernement », rapporte une des victimes à Radio Okapi, estimant que le chauffeur du taxi était également victime de cette tentative de raft « parce qu’il tremblait ».
Ce sont les cris de la jeune femme, alors paniquée, qui ont poussé le chauffeur à arrêter le moteur au niveau de l’Université Protestante du Congo (UPC) sur l’avenue de libération (ex-24 novembre), a-t-il ajouté, précisant qu’ils ont réussi à s’échapper durant la dispute qui s’en est suivie entre le chauffeur et les malfrats à cause de cet arrêt imprévu.