éventuelle invalidation de sa candidature pour faux diplômes, 7SUR7.CD republie un ancien article sur les diplômes que le candidat à la présidentielle Félix Tshisekedi avait mis dans son dossier de candidature pour prendre la tête de l’UDPS.La CENI délibère aujourd’hui jeudi 23 août et rendra la liste provisoire des candidats à la présidentielle de décembre prochain le vendredi 24 août.
Les candidats invalidés ont la possibilité de contester la mesure de la commission électorale nationale indépendante devant la Cour constitutionnelle.
Celle-ci publiera la liste définitive le 19 septembre.
(Ci-dessous l’article en question publié le 21 mars 2018)
F. Tshisekedi soigne sa stature de présidentiable en publiant son CV qui indique ses 4 diplômes
Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo ambitionne de diriger la RDC à l’issue des élections générales de décembre 2018. Il s’est lancé à l’assaut du fauteuil présidentiel.
La première étape : s’emparer de la présidence du parti laissée vacante par la mort de feu Étienne Tshisekedi en février 2017.
La seconde étape : se faire élire comme président de la République en décembre prochain.
A-t-il les moyens intellectuels de ses ambitions? Lui que la rumeur donne pour livreur des pizzas comme seule expérience professionnelle!
F. Tshisekedi a clarifié ses parcours professionnel et universitaire à l’occasion du dépôt de sa candidature comme président de l’UDPS dont le Congrès s’ouvre fin mars.
Dans le dépôt de son dossier, le Secrétaire général adjoint de l’UDPS a glissé son CV.
On y apprend que F. Tshisekedi a 4 diplômes.
Il est diplômé en comptabilité (ICC Bruxelles), en Gestion financière (ICHEC à Bruxelles), en marketing et communication (ICC Bruxelles) ainsi qu’en informatique et bureautique (Technologie sociale de Belgique).
La publication de son CV vient couper-court à tous les rumeurs sur son inexpérience et son faible niveau d’études.
Ce père de 5 enfants a travaillé notamment à la poste de Bruxelles 5 (Ixelles) et dans une entreprise d’assurance Zurich/Vita.
En tant que marketer, Fatshi a soigné lui-même son image de présidentiable dans une opinion de plus en plus tatillonne sur le background de ses dirigeants ou aspirants-dirigeants.
J.K.