Le quatrième cycle électoral s’annonce « très agité » en République démocratique du Congo (RDC).




Si pour les uns, c’est l’occasion d’apporter une vraie alternance au sommet de l’Etat avec un nouveau président, les autres en revanche, croient à la réélection de Félix Tshisekedi.


Parmi les probables challengers redoutables du président en fonction, il y a l’ancien gouverneur de l’ex-Katanga. A la tête d’un méga parti politique, Moïse Katumbi n’a jamais caché ses ambitions d’accéder à la magistrature suprême.

Pour Gratien de Saint-Nicolas Iracan, député national et membre de Ensemble pour la République, M.Katumbi remplit les critères d’éligibilité. L’élu de l’Ituri souligne qu’il ne revient pas à un groupe d’individus de s’approprier la République pour des intérêts égoïstes.


« Moïse Katumbi est citoyen congolais. Il n’est pas exclu qu’il se présente à la présidentielle 2023. Si le peuple congolais au sein du parti Ensemble pour la République décide de porter sa candidature au sommet de l’État, il en sera ainsi. Il n’appartient pas à un groupe d’individus de s’approprier la République pour des intérêts égoïstes », a-t-il averti.


Face à tous les plans « machiavéliques  » qui peuvent être concoctés pour écarter la candidature du Chairman, Gratien Iracan prévient que son parti politique ne reculera pas.


« La priorité de Ensemble pour la République reste le bien-être de la population. Le parti ne reculera jamais face à l’oppression du peuple. Les Congolais ont tous le même droit », a-t-il prévenu.


Déjà victime de l’exclusion sous le régime de Joseph Kabila, Moïse Katumbi serait encore dans le viseur de sbires de l’administration Tshisekedi. Cependant, ses lieutenants ne comptent pas cautionner cette forfaiture, cette énième violation des droits lui reconnus par la Constitution.


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