« Le changement de la Constitution coûtera 1,7 milliard de dollars. C’est énorme ! Avec cette somme, nous pourrions reconstruire et asphalter les 3 600 kilomètres de routes que compte la ville de Kinshasa. Le reste de l’argent pourrait même servir à payer des bourses pour les étudiants de l’UNIKIN, de l’UNILU et de l’UNIKIS. Le changement de la Constitution n’est donc pas une priorité », a-t-il déclaré.

Priorité aux besoins socio-économiques

Cette prise de position met en lumière le dilemme entre investissements politiques et besoins urgents en infrastructures et éducation. Dans une ville comme Kinshasa, où les routes sont souvent en mauvais état, l’idée de réorienter ces fonds vers des projets de développement est saluée par une partie de la population.

Un débat qui divise

Les partisans d’une révision constitutionnelle défendent la nécessité d’adapter les lois fondamentales aux réalités actuelles, tandis que les opposants comme Prince Epenge jugent que ces ressources pourraient être mieux utilisées pour répondre aux défis quotidiens des Congolais.

Ce débat reflète une tension entre ambition politique et priorités économiques, un sujet qui continuera d’alimenter les discussions dans les mois à venir.

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