La ville de Bukavu a été le théâtre d’un tournant majeur ce samedi 15 février 2025 avec l’entrée de l’armée rwandaise et du M23. Malgré les résolutions de Dar-Es-Salaam et les appels au cessez-le-feu de la communauté internationale, la situation s’est aggravée.
Kinshasa condamne l’agression et appelle à la vigilance
Le gouvernement congolais a :
✔ Condamné fermement l’occupation de Bukavu
✔ Réaffirmé sa détermination à défendre l’intégrité territoriale
✔ Appelé la population à rester chez elle pour éviter toute exposition aux combats
🔹 « Nous mettons tout en œuvre pour protéger notre territoire », a déclaré un porte-parole du gouvernement.
Une crise aux racines profondes
🛑 Les tensions entre Kinshasa et Kigali sont alimentées par des rivalités historiques, ethniques et géopolitiques.
🛑 L’avancée du M23 dans le Sud-Kivu marque une escalade qui risque d’entraîner un conflit régional.
Appels internationaux à la diplomatie
⚠ Le président Emmanuel Macron a exprimé son inquiétude et exigé un cessez-le-feu immédiat.
⚠ La communauté internationale est appelée à intensifier les pressions sur Kigali pour éviter une guerre à grande échelle.
Quelle issue pour Bukavu ?
🔹 La situation reste très instable.
🔹 Kinshasa doit trouver une réponse rapide face à cette menace.
🔹 Un dialogue diplomatique est urgent pour éviter un embrasement total de la région.
Le défi est immense pour le gouvernement congolais, qui doit jongler entre défense nationale et pression internationale.