BA SANGO YA CONGO KINSHASA: Education

Paie des écoles désactivées: acculé par les enseignants, Tony Muaba cède à la pression !

December 24, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj1o1Us4Vz8l5NIkkZxP9CSgE0TZQSaRgNmJdx0tkMKPiMxScOTaBUh0fZOnhnH1HUHsEY_fr6Hgby7I8SOHrBb1brlC8-CzInnX3icJ5RcxJ-lPv5OSUndoMAGReTA3Lc_98ty0IKzLXHczmuffEsxptiBljsoRIlP7ISaokg6-3cTvPbz8edO6SrsIw=s994" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="994" height="154" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj1o1Us4Vz8l5NIkkZxP9CSgE0TZQSaRgNmJdx0tkMKPiMxScOTaBUh0fZOnhnH1HUHsEY_fr6Hgby7I8SOHrBb1brlC8-CzInnX3icJ5RcxJ-lPv5OSUndoMAGReTA3Lc_98ty0IKzLXHczmuffEsxptiBljsoRIlP7ISaokg6-3cTvPbz8edO6SrsIw=s320" width="280" /></a></div> Les écoles abusivement désactivées depuis le mois de juillet 2021, par le ministre de l’EPST, Tony Muaba, ont organisé du mercredi 22 au jeudi 23 décembre 2021, un sit-in devant le siège du ministère, pour réclamer leur réactivation et le payement de leurs salaires. Scandant des chansons hostiles à Tony Muaba et bloquant même la circulation, ces derniers viennent d’obtenir gain de cause. Face à cette pression et pour éviter tout désagrément, l’ordre public étant déjà perturbé, l’autorité a proposé aux enseignants un début de solution, qui est le payement d’un mois de salaire. Venus de toutes les quatre provinces éducationnelles de la ville de Kinshasa, ces enseignants ont été orientés vers leurs Directions provinciales du SECOPE, pour enfin toucher leurs salaires manuellement. Dans la province éducationnelle de Kinshasa-Tshangu où la rédaction de CONGOPROFOND.NET est descendue, le jeudi 23 décembre 2021, la paie a bel et bien commencé.

Ce n’est que vers 19h, faute d’éclairage, que l’opération a été suspendue. Certains enseignants trouvés sur place, n’ont pas hésité à nous manifester leur joie d’avoir réussi à faire revenir l’autorité à la raison. Aussi, promettent-ils de continuer leur mouvement jusqu’à la solution totale de leur problème, ce qui va aboutir à la decrispation de la situation. Rappelons qu’à la suite d’une opération dite de nettoyage du fichier paie des enseignants, lancée par le ministre Tony Muaba, dès son arrivée au Ministère de l’EPST, pour extirper des enseignants et écoles fictifs, certaines écoles opérationnelles avaient été désactivées au motif qu’elles étaient non viables, depuis le mois de juillet 2021. Cette désactivation était qualifiée « abusive » par les différents Syndicats des enseignants, pour la simple raison qu’il s’agit des écoles qui sont opérationnelles.
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L’on se souviendra que l’année scolaire 2021-2022 a démarré le 04 octobre 2021 sur fonds de grève des enseignants du secteur public. Ces derniers revendiquaient, entre autres, la réactivation des écoles abusivement désactivées. La question était aussi au centre des discussions de Mbuela Lodge à Kisantu, fin octobre et debut novembre 2021, entre Gouvernement et banc syndical des enseignants. C’est une très bonne décision de payer ces enseignants qui souffrent, voilà aujourd’hui six mois. Dossier à suivre. Jules KISEMA/Congoprofond.net

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Les écoles abusivement désactivées depuis le mois de juillet 2021, par le ministre de l’EPST, Tony Muaba, ont organisé du mercredi 22 au je...

Des écoles gratuites à la paix à l’Est, Félix Tshisekedi n’a pas tenu ses promesses

December 11, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEibY0b-9HlBTHjsbnObnqMfedaLL407flE4lQnpylVdl1ogFum1JWNETfI1cgX73o056OG8ecsZwHEroVHy4euYO7LrMv5_61hJxYW4up7vSq2_7xi_ZIVVhwP0yhm_oXl_r4SAesfDaaqJ57xb0uiYkWmVP4uB_0DTkShe9l0GTR98DajLSsq5Yq46Ow=s991" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="991" height="156" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEibY0b-9HlBTHjsbnObnqMfedaLL407flE4lQnpylVdl1ogFum1JWNETfI1cgX73o056OG8ecsZwHEroVHy4euYO7LrMv5_61hJxYW4up7vSq2_7xi_ZIVVhwP0yhm_oXl_r4SAesfDaaqJ57xb0uiYkWmVP4uB_0DTkShe9l0GTR98DajLSsq5Yq46Ow=s320" width="280" /></a></div> Louis bahati, enseignant dans une école primaire de Goma, une ville de l’est de la République démocratique du Congo, n’a pas été payé depuis plus de deux ans. Luttant pour nourrir sa famille et en grève pour la deuxième fois, il a commencé à peindre la maison d’un voisin. Lorsqu’un élève de passage l’a repéré, il a été humilié. « Ma classe s’est moquée de moi », dit-il. “L’élève leur a dit qu’il avait vu leur professeur, couvert de terre, faire ce travail de peinture.” Bien que M. Bahati ait été enseignant dans une école publique pendant six ans, il n’a pas encore été ajouté à la masse salariale du gouvernement. Cela signifiait que lorsque le président Félix Tshisekedi (photo) a annoncé que l’enseignement primaire serait gratuit à partir de septembre 2019 – ce qui était l’une de ses principales promesses électorales – M. Bahati a cessé de recevoir tout salaire. Comme des milliers d’autres enseignants qui ne figuraient pas dans les livres, il comptait sur les honoraires des parents. Après l’annonce du président, ils ont cessé de payer. Le hic avec l’engagement du président était que son gouvernement n’avait pas assez d’argent pour payer les salaires des enseignants. Même certains de ceux qui étaient sur la masse salariale ont vu leur salaire réduit de moitié, à 140 $ par mois dans la plupart des villes et 90 $ dans les villages. Lorsque les enseignants se sont mis en grève pendant deux semaines en octobre, les écoliers ont pris d’assaut le Parlement en scandant : « Nous voulons étudier » et « Si nous n’étudions pas, nous finirons dans la rue à consommer de la drogue ». Pour aggraver les choses, des dizaines de faux enseignants travaillant dans des écoles inexistantes ont en quelque sorte fait leur chemin sur la liste de paie, selon un rapport de l’Inspection générale des finances. Il a révélé qu’environ 31 millions de dollars destinés à l’éducation avaient été détournés.

Cela a incité la Banque mondiale à suspendre son premier versement des 800 millions de dollars qu’elle s’était engagé à soutenir le programme de scolarisation gratuite de M. Tshisekedi. Le gouvernement a depuis annoncé aux enseignants qu’ils seraient payés en janvier, ce qui a encouragé certains à retourner dans leurs classes. Mais beaucoup, dont M. Bahati, ne croient pas le gouvernement et sont toujours en grève. Le fiasco met en lumière un problème plus vaste : la tendance de M. Tshisekedi à promettre la lune. En plus de sa promesse d’une scolarité primaire gratuite, il a également fait campagne sur le vœu d’apporter la paix à l’est du pays et d’éradiquer la corruption. L’électorat semble avoir fait peu confiance à ces entreprises. Lors des élections présidentielles de 2018, il est arrivé loin derrière, avec environ 19% des voix, selon un décompte indépendant de l’église catholique. Il a déclaré que le scrutin avait été remporté par Martin Fayulu, un militant anti-corruption charismatique. M. Tshisekedi a néanmoins revendiqué la victoire et est arrivé au pouvoir, apparemment après un accord en coulisses avec le président sortant, Joseph Kabila, par lequel il aurait promis de laisser à l’impopulaire M. Kabila le contrôle d’une grande partie de l’État. Depuis, cependant, M. Tshisekedi a habilement réussi à prendre ses distances avec son prédécesseur, à former une nouvelle coalition et à consolider son emprise sur le pouvoir. Il a même réussi à licencier certains des plus proches alliés de M. Kabila, dont le président de la Gécamines, la société minière nationale et tirelire des amis de M. Kabila. Son ancien président, Albert Yuma Mulimbi, a été accusé d’avoir détourné plus de 8 milliards de dollars de revenus de l’exploitation du cuivre et du cobalt. Même ainsi, le président peut difficilement prétendre avoir éradiqué la corruption. Depuis son arrivée au pouvoir, le Congo a perdu neuf places pour se classer 170e sur 180 dans un classement établi par Transparency International, un organisme de surveillance anti-corruption. Le président a également fait peu de progrès dans le respect de sa promesse de rétablir la sécurité et de vaincre les groupes armés qui terrorisent l’est du Congo depuis 25 ans. Plus de 5,5 millions de personnes qui ont été forcées de quitter leur domicile ne peuvent toujours pas rentrer. Beaucoup vivent dans des camps misérables qui sont parfois attaqués par des rebelles. En novembre, une milice a pris d’assaut une milice dans la province de l’Ituri, tuant 44 personnes. Peu de temps après, un groupe armé a kidnappé deux travailleurs humanitaires près de Goma. Dans le but de rétablir l’ordre, M. Tshisekedi a imposé la loi martiale dans deux des provinces orientales les plus sanglantes en mai, mais avec peu d’effet. En novembre, il a autorisé les troupes de l’Ouganda voisin à traverser la frontière pour attaquer l’un des groupes les plus dangereux, les Forces démocratiques alliées (adf), une milice liée à l’État islamique, après avoir fait exploser des bombes à Kampala, la capitale ougandaise. Mais cela n’a pas permis aux habitants de se sentir plus en sécurité. Beaucoup craignent que les troupes ougandaises dépassent leur accueil et pillent les minerais de la région, comme elles l’ont fait pendant la deuxième guerre civile du Congo, qui a fait rage de 1998 à 2003. Pour être juste, le Congo n’est pas un endroit facile à gérer. « Tshisekedi a le travail le plus dur d’Afrique », déclare Piers Zvegintzov, un conseiller en sécurité basé dans la capitale, Kinshasa. Cela implique « gérer une impossible coalition d’adversaires tout en essayant désespérément de construire une véritable base de pouvoir, de mener des réformes et de ne pas se faire assassiner ».

Tenter de remporter un concours équitable lors de la prochaine élection présidentielle en 2023 doit désormais être ajouté à cette liste. Certains craignent que, parce que M. Tshise kedi n’a honoré aucun de ses engagements de campagne, il puisse simplement essayer de truquer le vote. “Il y a deux façons de rester au pouvoir”, a déclaré un député de la coalition au pouvoir qui a demandé à ne pas être nommé. « L’un est de devenir populaire en faisant le travail que vous avez promis, l’autre est d’être stratégique. » Par « stratégique », il entend tricherie, ajoutant que « Tshisekedi a opté pour ce dernier. » Le législateur a nommé un de ses alliés, Denis Kadima, à la tête de la commission électorale. La cour constitutionnelle, qui aurait le dernier mot en cas de contestation du vote, est empilée avec les fidèles de M. Tshisekedi. Les églises catholique et protestante, qui comptent parmi les rares institutions respectées au Congo, ont critiqué la nomination de M. Kadima. Il en va de même pour les partis d’opposition, qui disent que cela érodera la confiance dans les élections. “Nous intensifierons nos protestations jusqu’à ce qu’elles dépolitisent la commission électorale”, a déclaré M. Fayulu.

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RDC : les étudiants inscrits en classes de recrutement paieront 200 000 CDF comme frais académiques à la prochaine rentrée

December 10, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh_OqfTRHvPx-Sgi57feE0r2-udYJvKR1xC19FlQTYIGccRy55deLDovOCjivCg5Rt43rcAzwVaf0ThF1WO_WAawOKJX4GAnnvs6nK3USGTrhVx5hqHZZMvhPJgbabRkHsqHg2PN79ZYZRKf7IInbXzRJOi9k08PcGZiCyX9wSIEaTGspN0N1YJNYsZOw=s988" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="494" data-original-width="988" height="140" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh_OqfTRHvPx-Sgi57feE0r2-udYJvKR1xC19FlQTYIGccRy55deLDovOCjivCg5Rt43rcAzwVaf0ThF1WO_WAawOKJX4GAnnvs6nK3USGTrhVx5hqHZZMvhPJgbabRkHsqHg2PN79ZYZRKf7IInbXzRJOi9k08PcGZiCyX9wSIEaTGspN0N1YJNYsZOw=s320" width="280" /></a></div> Les frais académiques dans les classes de recrutement en République Démocratique du Congo, notamment le niveau préparatoire et la première année de graduat (1ère licence LMD) sont fixés à 200 000 Francs congolais CDF soit un montant équivalent à 100 dollars américains. Cette décision émane du Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Muhindo Nzangi Butondo. Ce dernier a procédé, le mardi 7 décembre 2021, à la présentation officielle de l’instruction académique 023 à l’approche du début de l’année académique 2021-2022 fixée au 5 janvier 2022. Dans la même instruction, les frais académiques pour les classes montantes 2ème et 3ème Licence (ex G2 et G3) ainsi que la 2ème année de Maîtrise (ex L2) sont arrêtés à 160 000 CDF.

Pour les filières techniques et technologiques (ISTA, INBTP, ISAU, ISEA, Polytechnique, Agronomie, Sciences-Géologie, Chimie, Biologie, Math-Info, Médecine vétérinaire, Pétrole et Gaz etc), les frais sont fixés à 160 000 CDF tandis que pour le 3ème cycle le montant est fixé à 300 000 CDF. Ces frais ont été revus à la baisse par rapport à l’année passée (2020-2021) où Ils ont été payés comme en 2019-2020 à hauteur de 580 000 CDF pour les classes de recrutement et 510 000 CDF pour les classes montantes.

Le Ministre Muhindo Nzangi fixe également les frais d’inscription dans les institutions supérieures et universitaires à 10 USD. Selon lui, cette instruction vise à lutter contre les dérapages constatés dans plusieurs établissements surtout dans les établissements privés. Il sied de noter que ces mesures prises par le Ministre de l’Enseignement supérieur et Universitaire sont applicables dans les établissements du secteur public.

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Scandale au ministère de l’EPST : Tony Mwaba s’embourbe avec Educ TV

December 06, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgARhHCi5Rt9CADM7xNFBWQKQ8jNUHUh2B9A6Y86XJ-aswAXAEif3MBz33RhRgEbMrv259IeD1n3S8bUcqTktZsdZGGeD3qxVQqRffvdvyhXH11LDYPzG3ms6ROnuwos9FjVo_kIL5p9J_jziTUsuSyaZ2f8NfrAWwDm6E3UrcEE0F1VtYYrb5FTZIqVg=s1238" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="826" data-original-width="1238" height="187" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgARhHCi5Rt9CADM7xNFBWQKQ8jNUHUh2B9A6Y86XJ-aswAXAEif3MBz33RhRgEbMrv259IeD1n3S8bUcqTktZsdZGGeD3qxVQqRffvdvyhXH11LDYPzG3ms6ROnuwos9FjVo_kIL5p9J_jziTUsuSyaZ2f8NfrAWwDm6E3UrcEE0F1VtYYrb5FTZIqVg=s320" width="280" /></a></div> Le roi du rétropédalage, voilà comment on peut caricaturer le ministre de l’EPST, le professeur Tony Mwaba kazadi. Le rétropédalage est devenu son sport roi à la tête de ce méga ministère qui constitue la prunelle des yeux du Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi. Tenez, la dernière pirouette de Tony Mwaba c’est la signature de deux arrêtés ministériels concernant Educ Tv en l’espace de deux mois seulement. Le premier arrêté ministériel concernant Educ Tv a été signé le 19 octobre 2021 et était relatif à la désignation des agents et cadres d’ Éduc TV. Comme Tony Mwaba n’est pas du tout différent de Gaston Lagaffe, cet arrêté contenait beaucoup d’incongruités et de monstruosités. D’ abord dans cet arrêté, tous les directeurs d’ Éduc TV ont été dégradés et faits des chefs de division. Pire encore, tout un directeur a été ramené au grade d’ATB 1. Des chefs de division ont été dégradés au rang d’ ATB 1 et cerise sur le gâteau, un ATB 1 a été élevé au grade de Chef de division. Et comme si tout cela ne suffisait pas, Tony Mwaba a rehabilté un directeur suspendu pour harcèlements sexuels et placé au dessus de la dame qui s’ était plainte du mauvais comportement dudit directeur. Décidément, celui qui s’ est fait passer pour le gardien de la gratuité de l’enseignement primaire prône pérennisation des antivaleurs et des harcèlements sexuels à Educ Tv.

Cet arrêté signé le 19 octobre a été notifié, il faut le souligner, en catimini, aupres de certains agents et cadres. Et lorsque le député provincial, Mike Mukebay Nkoso a organisé une émission le vendredi 3 décembre dernier pour dénoncer cet arrêté qui bafoue, de fond en comble, le droit administratif, vite vite, le roi du rétropédalage, le professeur de droit, Tony Mwaba kazadi a signé un deuxième arrêté, le samedi 4 décembre portant désignation des agents et cadres d’ Éduc TV. Et dans ce deuxième arrêté, le professeur Gaston Lagaffe a encore frappé. Des directeurs dégradés ont été ramenés à leurs postes sauf un directeur, celui qui a été ATB 1. Par pitié ou par compassion, le grand professeur de droit a fait de ce directeur un chef de division. Mais comme Tony Mwaba kazadi est friand d’ élévation d’ antivaleurs, il a maintenu son directeur harceleur dans son nouvel arrêté. Donc, en l’espace de deux mois, Tony Mwaba kazadi, l’ avocat conseil de Rambo a signé deux arrêtés ministériels au profit d’ Éduc TV mais contenant des graves violations des dispositions du droit administratif. Visiblement, Tony Mwaba n’est pas à sa place à la tête du méga ministère de l’EPST car l’homme se comporte en Véritable amateur et débrouillard.

Ce n’est pas pour rien qu’on le qualifie du roi du rétropédalage car l’homme n’est pas à sa première pirouette. On peut aisément dire que les rétropédalages et Tony Mwaba kazadi font un. Tenez, dans l’affaire des élèves du collège Saint François, l’ homme avait crié, urbi et orbi que ces élèves, auteurs de ces actes pornographiques, étaient exclus du système éducatif congolais. Rattrapé par son collègue ministre des Droits Humains, Albert Fabrice Puela , le professeur Gaston Lagaffe réalisera son premier rétropédalage en indiquant que ces élèves n’étaient pas exclus du système éducatif congolais mais du système éducatif catholique, comme si cela relevait de ses compétences. Et lui, en sa qualité de ministre National de l’éducation, pourquoi s’ était il immiscer dans cette affaire du collège Saint Georges qui aurait pu être réglée par d’ autres cadres de l’EPST ? C’ est le m’as tu vu. L’homme confond le méga ministère de l’EPST aux concerts de Rambo où il peut tout se permettre. Comme le rétropédalage , c’est son plat préféré, il va encore en réaliser un deuxième encore plus spectaculaire. Le professeur justicier, Tony Mwaba kazadi avait instruit ses services de désactiver 4 enseignants dont 2 du collège Boboto et 2 autres du lycée Sacre coeur pour, selon lui, grève illicite et sauvage.

Mais le même Grand professeur de droit, toute honte bue, va procéder avec pompe à la réactivation de ces 4 enseignants en les recevant, tapis rouge déployé, à son cabinet de travail. Il va même sommer le SECOPE, le service du contrôle et de la paie des enseignants, de procéder à la paie de ces 4 enseignants manuellement et devant les caméras de télévision. Visiblement, le président de la République et Chef de l’État, son excellence Félix Antoine Tshisekedi a nommé à la tête du méga ministère de l’EPST un charlot, un vrai charlot alors. Regardez que ce charlot a engagé un bras de fer avec les enseignants congolais en perturbant la rentrée scolaire 2021- 2022 voulue plutôt sereine et apaisée. Mais au finish, les enseignants ont eu raison de lui parce que, à l’heure ou nous parlons, Tony Mwaba kazadi a ressusciter l’ancien système de prise en charge des enseignants par les parents d’élèves* . Sans oublier la prise de bec honteuse avec Jules ALINGETI « IGF » sur l’affaire VERIDOS. Somme toute, Tony Mwaba kazadi est entrain de desservir le chef de l’État à la tête du ministère de l’EPST. Le roi du rétropédalage a plus d’un tour dans ses manches et en sa qualité de professeur Gaston Lagaffe, il faut s’ attendre à tout moment que Tony Mwaba kazadi merde et emmerde Félix Antoine Tshisekedi. MAESTRO STROMAE.

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Le roi du rétropédalage, voilà comment on peut caricaturer le ministre de l’EPST, le professeur Tony Mwaba kazadi. Le rétropédalage est dev...

UNIKIN : la chanson » Nini tosali te » et MPR au centre d’un examen à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines

December 06, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhtHzMXD7E5RS-TyUO3t0O7HQHGfHhR8j65MsX-tDhUv4hxfUwExU7AZF0qFdOOg4s9A054gX-XpI7Jbw5Paf2DdK_wQ8t9OgCtznqdBD24FHQoogyuLzq3OtHzZOJZgiizO-xsfJuMJM7I0LSPG3kLNKBz-bVKuIV-50nqrGQGrFLlpCsOvypdJ5x82g=s659" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="492" data-original-width="659" height="209" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhtHzMXD7E5RS-TyUO3t0O7HQHGfHhR8j65MsX-tDhUv4hxfUwExU7AZF0qFdOOg4s9A054gX-XpI7Jbw5Paf2DdK_wQ8t9OgCtznqdBD24FHQoogyuLzq3OtHzZOJZgiizO-xsfJuMJM7I0LSPG3kLNKBz-bVKuIV-50nqrGQGrFLlpCsOvypdJ5x82g=s320" width="280" /></a></div> » Soit la chanson Nini tosali te (MPR) : Quel est le signe construit par l’auteur ? Quels sont les signes à partir desquels l’auteur a construit le signe ? Quels rapports établissez-vous entre ce signe et les signes qui l’ont construit ? « . Ce questionnaire vient d’être soumis aux étudiants de première Licence du département des Sciences de l’information et de la Communication, de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université de Kinshasa. C’est dans le cadre du cours de Sémiologie de la communication, dispensé par le professeur Julien Mbwangi Mbwangi, que des étudiants ont eu à faire face, lors de la première session d’examens, pour l’année académique 2020-2021, à ce questionnaire portant essentiellement sur cette chanson qui défraye la chronique. L’examen en question vient de s’ajouter aux multiples commentaires suscités dans les réseaux sociaux, par ladite chanson, vu son caractère interpellateur à l’endroit des dirigeants et responsables socio-économico-politiques.

La rédaction de CONGOPROFOND.NET s’est penchée davantage sur cette démarche purement scientifique et non politique afin d’éclairer l’opinion sur les contours de cette œuvre qui a bougé toutes les sphères du pays. En effet, la chanson en tant que mode de communication, constitue bien évidemment un champ d’études et d’analyses de spécialistes des Sciences de l’information et de la communication. Le choix de » Nini tosali te « , par le professeur Julien Mbwangi, dans le cadre son cours, pourrait simplement se justifier par son caractère d’actualité.

Rappelons que » Nini tosali te ( Qu’avons-nous pas fait ?) « , est une œuvre du groupe musical MPR, qui vient d’accrocher plus d’un Congolais, parce qu’ interpellant les décideurs sur la misère de la population. Aussitôt lancée sur le marché de disques, elle a créé du boom dans le milieu aussi bien social que politique. Les réactions ont fusé de partout. Les hommes politiques, du pouvoir comme de l’opposition, ont donné de la voix quant à ce. A l’instar de » Nakomitunaka » de Verckys Kiamuangana Mateta de 1973, qui s’interroge sur l’origine de l’homme noir, » Nini tosali te » s’appesantit, quant à lui, sur la situation sociale du peuple congolais qui ne s’améliore pas, en dépit de plusieurs changements des régimes politiques. » Vous nous aviez promis le bonheur, après le départ de Mobutu.

Mobutu est parti, mais on a rien vu. Vous nous avez dit que tout va s’arranger si Kabila quittait le pouvoir. Kabila est parti, mais c’est toujours compliqué, malgré le changement de régime dans le pays « , soulignent ces jeunes artistes kinois du groupe MPR. Notons qu’aussitôt interdite de diffusion par la commission nationale de censure le 08 novembre 2021, cette chanson a obtenu la levée de cette mesure par le même organe, un jour après, soit le mercredi 10 novembre 2021 grâce à un tollé général sans pareil ! C’est ici l’occasion de féliciter le pouvoir de Félix-Antoinne Tshisekedi Tshilombo, pour son respect de la liberté d’expression et d’opinion. C’est une véritable interpellation des autorités, un éveil de conscience collective, pour l’amélioration des conditions de vie des congolais. Jules KISEMA/Congoprofond.net

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» Soit la chanson Nini tosali te (MPR) : Quel est le signe construit par l’auteur ? Quels sont les signes à partir desquels l’auteur a cons...

Gratuité de l'enseignement : Denis Lessie salue l'engagement de Tony Mwaba pour la réussite de cette réforme

December 03, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjngsAxD_4Sb8V2jUU_enx97j6ouMI0B2EwN_MMGBj3DVWQmvuPB6gVrM0TwsMk7ehc7XttmjuphB9n7r5BnOfMmz5trHzGRcFFIb2slyi2-3ZeCHsjrcp-m3OuDU2uCiI6_FPUQw39gD3Lzv8i-wrIokmb2OJYudabrCdLUdeQxcdIpD9-huTGZGXL3g=s994" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="994" height="155" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjngsAxD_4Sb8V2jUU_enx97j6ouMI0B2EwN_MMGBj3DVWQmvuPB6gVrM0TwsMk7ehc7XttmjuphB9n7r5BnOfMmz5trHzGRcFFIb2slyi2-3ZeCHsjrcp-m3OuDU2uCiI6_FPUQw39gD3Lzv8i-wrIokmb2OJYudabrCdLUdeQxcdIpD9-huTGZGXL3g=s320" width="280" /></a></div> Le Ministre de l’Enseignement primaire secondaire et technique, le Professeur Tony Mwaba Kazadi a accordé ce vendredi 03 décembre, dans son cabinet de travail, une audience au Pasteur Denis Lessie. Le Responsable de L’Eglise « Arche de Noé » est venu encourager le Ministre de l’EPST, dans sa lourde tâche lui confiée par le Chef de l’État, celle de s’occuper de l’instruction de la jeunesse congolaise. Pour Denis Lessie, le Ministre Tony Mwaba Kazadi est à la hauteur parce qu’il fait un bon travail depuis sa nomination à la tête du ministère de l’EPST. L’Evêque Président de « NERC », Nouvelle Église de Réveil Réformée », croit à la réussite de la gratuité de l’enseignement primaire, car, dit-il, le Professeur Tony Mwaba Kazadi a la rage de la réussite.

Le Pasteur Denis Lessie lance par ailleurs un message particulier aux combattants de l’UDPS afin de soutenir le Ministre Tony Mwaba Kazadi. Il fait allusion aux différentes réactions après la dernière mise en place au sein de l’administration de l’EPST. « Il ne faut pas pousser le Ministre à commettre les erreurs, pour éviter de souiller le Président de la République » a-t-il déclaré. Le Pasteur Denis Lessie invite par ailleurs d’autres serviteurs de Dieu » à soutenir le Ministre de l’Enseignement Primaire Secondaire et Technique. Par Siméon Isako

Education Gratuité de l'enseignement : Denis Lessie salue l'engagement de Tony Mwaba pour la réussite de cette réforme

Le Ministre de l’Enseignement primaire secondaire et technique, le Professeur Tony Mwaba Kazadi a accordé ce vendredi 03 décembre, dans son...

EPST : les religieux abandonnent la grève

November 10, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgllFIjtExSxeF6_9Po9Cf_DxjuNFVPt-UBU-Ew2dqio5egBDhXbXI9lTcpKxD7oE4VGIg8UnzpvoXV08Fcyqu4m703n_Kd8wUh3kqPwmcTreVyK2HrPFSGe3vaCDYW28geL-LGUjiVep4len1IffZxAmahmtJZRYU-VL0s5O6oqpSZ1DOAn1N5puT1Aw=s994" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="556" data-original-width="994" height="156" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgllFIjtExSxeF6_9Po9Cf_DxjuNFVPt-UBU-Ew2dqio5egBDhXbXI9lTcpKxD7oE4VGIg8UnzpvoXV08Fcyqu4m703n_Kd8wUh3kqPwmcTreVyK2HrPFSGe3vaCDYW28geL-LGUjiVep4len1IffZxAmahmtJZRYU-VL0s5O6oqpSZ1DOAn1N5puT1Aw=s320" width="280" /></a></div> Enfin, les écoles conventionnées catholiques et protestantes de Kinshasa, dans leur ensemble, ont décidé de lever la grève aujourd’hui mercredi, 10 novembre 2021. Cette bonne nouvelle qui circule depuis lundi jours parmi les syndicalistes et dans les réseaux sociaux est une solution momentanée qui vient suspendre une grève spontanée, non programmée qui a plombé la rentrée scolaire du 04 octobre dernier, lancée à partir de la ville de Mbuji-Mayi par le Professeur Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique (EPST). Certains responsables de ces écoles – à l’exemple de Bosangani, de Boboto, Bonsomi, Shaumba etc. – qui ont été contactés ont précisé qu’ils ont même appelé certains parents au téléphone pour les inviter à conduire aujourd’hui mercredi 10 novembre leurs enfants à l’école.

Cette évolution positive de la situation est à encourager pour permettre à tous les élèves du pays d’étudier régulièrement ; eux qui ont déjà énormément perdu des heures des cours depuis mars 2020, à cause de la survenue de la pandémie de la Covid-19. Toutefois, les enseignants des écoles conventionnées catholiques et protestants particulièrement qui, avant la survenue de la politique de la gratuité de l’Enseignement de base, bénéficiaient d’un système de prise en charge d’une partie de leurs salaires par les parents d’élèves (système nommé ‘motivation’), se sont estimés lésés par la suppression de cette pratique. Cela malgré le doublement des salaires de tous les enseignants que le gouvernement avait accordé lors de la mise en œuvre de la politique de la gratituité, avec promesse d’un 2ème et même 3ème palier de salaires.

A Kinshasa, l’Hôtel de Ville fixe les frais scolaires de 20.000 Fc à 600.000 Fc C’est ainsi qu’à la rentrée du 04 octobre, ces enseignants et leurs syndicats ont initié une grève qui a atteint les autres réseaux d’enseignement, particulièrement dans la capitale et à l’Est du pays. Ils ont exigé une clarification du champ d’application de la gratuité, le paiement du 2ème palier de salaire, de la prime de brousse, de l’extension de la Mutuelle de santé, etc. Même si ce débrayage a été qualifié d’illégal, cette situation a obligé le gouvernement à reconvoquer la Commission paritaire Gouvernement-Banc syndical dont les travaux ont été suspendus une semaine avant la rentrée des classes. Et présentement, ces négociations se déroulement depuis une semaine à Kisantu et les échos qui nous parviennent sont optimistes pour une bonne solution de la crise De Kisantu, le ministre de l’EPST a clarifié le champ d’application de la gratuité qui, conformément à la Constitution, ne concerne que le cycle d’étude primaire. Là, l’enfant ne doit rien payer, en dehors de l’uniforme que ses parents ont le loisir d’acheter n’importe où. Par ailleurs, pour les classes de la maternelle et de secondaire (7ème, 8ème et de 1ère à 4ème des humanités) chaque gouvernement provincial est sensé fixé les frais nécessaires que les parents d’élèves doivent payer pour la scolarisation de leurs enfants.

Des religieux qui se satisfont des souffrances des masses Profitant de cette ouverture, Charles Mbutamuntu, ministre provincial de l’Education de la Ville-Province de Kinshasa a signé et publié le lundi 08 novembre 2021, un arrêté – après avoir consulté certains partenaires éducatifs kinois – fixant les frais scolaires pour le cycle secondaire et humanité de 20.000Fc à 50.000Fc pour les écoles qu’il a qualifiées être de la 1ère catégorie ; et de 50 à 300 USD (ou 600.000 Fc) pour celles classées dans la seconde catégorie. C’est ainsi que sans attendre, ces écoles de la 2ème catégorie, dirigées essentiellement par des religieux se sont réjoui et ont sauté sur l’occasion pour déclarer la fin de la grève et rappeler vite les parents pour venir payer ces montants désormais tolérés par l’Etat dans leurs caisses à l’école. En RDC, nous avons des religieux qui ne prient pas le même Dieu que les communs des Congolais et se réjouissent des souffrances des masses. Bizarre. SAKAZ

Education EPST : les religieux abandonnent la grève

Enfin, les écoles conventionnées catholiques et protestantes de Kinshasa, dans leur ensemble, ont décidé de lever la grève aujourd’hui merc...

EPST :: Les délégués syndicaux entrevoient à leur tour l’atteinte des «objectifs attendus »

November 07, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhN5gyezZ7Wjjuma-9pjKmLLQgQBcmsAxAIhYm2JFAyOKJ-LyQ9lpXSxEYgevCC-xwOUCXeIYGyMa-x9-Q5V6vOKt5gHXk1NqapQWfCk9YNF35tZ7AoufIqV3obG3DNGpNberDRYXhMGoe2jBntyZJwY-WWy3Z42IySPuNpDPAdP3JVh7xlz9nU2ko6kQ=s1084" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="739" data-original-width="1084" height="190" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhN5gyezZ7Wjjuma-9pjKmLLQgQBcmsAxAIhYm2JFAyOKJ-LyQ9lpXSxEYgevCC-xwOUCXeIYGyMa-x9-Q5V6vOKt5gHXk1NqapQWfCk9YNF35tZ7AoufIqV3obG3DNGpNberDRYXhMGoe2jBntyZJwY-WWy3Z42IySPuNpDPAdP3JVh7xlz9nU2ko6kQ=s320" width="280" /></a></div>Entamées depuis le 26 octobre dernier à Mbuela lodge à Kinsantu dans le Kongo Central, les négociations entre le gouvernement Congolais et les syndicalistes de l’EPST vont bon train. Plus d’une semaine après le début des assises, les principaux délégués syndicaux se montrent de plus en plus optimistes. Interrogés, les négociateurs, côté banc syndical, révèlent qu’ils regardent désormais tous dans la même direction que le gouvernement central, ce, ‹‹dans le seul but de répondre aux attentes des enseignants et permettre à l’enfant Congolais d’étudier en toute quiétude››. À en croire ces syndicalistes, la place n’est plus à la dispute. ‹‹Nous avons déposé les armes, raison pour laquelle nous syndical responsable, SYNECAT, nous avons adhéré à la proposition››, révèle le délégué syndical du SYNECAT.

Pour lui, les négociations vont bon train. ‹‹l’évolution est positive, n’en déplaise aux mauvaises langues et à toutes les personnes qui pensent que ça ne sert à rien de négocier. Le gouvernement c’est le partenaire par lequel nous sommes obligés de regarder››, conclut-il, avant qu’un autre complète dans le même sens. ‹‹On ne négocie avec l’employeur que pour trouver des solutions. (…) Si vous ne croyez pas à votre employeur, à qui encore vous allez croire ?››, s’interroge t-il.

‹‹Si nous sommes ici ce n’est pas pour blaguer››, dit d’emblée un autre délégué syndical pour qui le patriotisme les a obligé de regarder en même temps la Nation et l’intérêt supérieur de l’enseignant. Tout en constatant la volonté manifeste du gouvernement en rapport avec les revendications des enseignants, un autre syndicaliste annonce pour bientôt l’attente des objectifs pour toutes les parties.

Education Politique EPST :: Les délégués syndicaux entrevoient à leur tour l’atteinte des «objectifs attendus »

Entamées depuis le 26 octobre dernier à Mbuela lodge à Kinsantu dans le Kongo Central, les négociations entre le gouvernement Congolais et l...

RDC: Les dessous des études de Joseph Kabila en Afrique du sud

October 24, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhjjxKRxLMcM2WpYJhaT2z3Lr2By4yqSs7c_zxTScjovbkcZBxHV17wkFvfmLZlZ0P0_-SM9rIUExbfos0BqoG-B1pw5DhNR2tSz6v2-mTtWI6Khv7CYnCKAEZ4nEEa9WSY7CXj7hbE0e2HkpHfwry05sU5AFd5ygfb0IYK3YXvJEYzJihmdiDwLpdHlw=s1490" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="870" data-original-width="1490" height="163" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhjjxKRxLMcM2WpYJhaT2z3Lr2By4yqSs7c_zxTScjovbkcZBxHV17wkFvfmLZlZ0P0_-SM9rIUExbfos0BqoG-B1pw5DhNR2tSz6v2-mTtWI6Khv7CYnCKAEZ4nEEa9WSY7CXj7hbE0e2HkpHfwry05sU5AFd5ygfb0IYK3YXvJEYzJihmdiDwLpdHlw=s320" width="280" /></a></div>L’ancien président de la République démocratique du Congo, le sénateur à vie Joseph Kabila a défendu son travail de fin d'études à l’Université de Johannesburg le vendredi 22 octobre 2021. Il obtient dans la foulée le diplôme de Master en sciences politiques et relations internationales à l’issue des études qui ont duré cinq ans.Comme un symbole, c’est une université située au cœur du quartier historique de Soweto en Afrique du sud, qui a été choisie par Joseph Kabila. Cette banlieue pauvre de Johannesburg fût à la base des émeutes ayant conduit au mouvement de lutte anti-Apartheid menée par l’icône mondiale Nelson Mandela. L’Université de Johannesburg a été fondée en 2005 à la suite de la fusion entre la Rand Afrikaans University (RAU, fondée en 1966) et l’ancienne Technikon Witwatersrand (TWR, fondée en 1903), après l’incorporation précédente des anciens campus East Rand et Soweto de l’ancienne Vista University dans la RAU en 2004.

Au milieu de la journée, le vendredi 22 octobre, Joseph Kabila est tiré à quatre épingles lorsqu’il descend d’une berline noire et s’engouffre dans les bâtiments de la l’African Diplomacy and Foreign Policy « NRF SARChI », un centre de recherche de la Faculté des sciences humaines de l’Université de Johannesburg, situés à Auckland Park. Débute aussitôt la cérémonie qui finit par couronner l’ancien président congolais. Il décroche y un diplôme de Master en sciences politiques et relations internationales. « Ce diplôme couronne cinq ans d’études à distance au cours d’une cérémonie tenue au campus de cette université sous la direction du Professeur Chris Landsberg du Centre Africain pour la Diplomatie et le Leadership », révèle Adam Chalwe, Secrétaire national du PPRD, parti de Joseph Kabila. POLITICO.CD s’est procuré une copie du travail de fin d’études de Joseph Kabila intitulé : « Du Désespoir à la Stabilité vers la Renaissance de la République Démocratique du Congo. Un narratif Auto-biographique et une Analyse Auto-ethnographique ». Il est structuré en six chapitres, y compris l’introduction et les remarques finales.

La première partie traite de l’Indépendance au coup d’État militaire de 1965, la seconde allant de 1965 à 1997, lorsque les forces de libération ont renversé le régime Mobutu. La période de transition est suivie par la Troisième République avec la promulgation de la nouvelle constitution en février 2006, adoptée plus tard par référendum populaire. Le chapitre suivant aborde la question du fonctionnement des institutions au cours de la première et de la deuxième législatures (2006-2011et 2011-2018) avec une note particulière sur les institutions d’appui à la démocratie.<div> </div>Selon Joseph Kabila, il a fallu un “leadership fort” pour impliquer tout le monde dans ce qu’on appelle désormais la formule “1+4” convenue lors du dialogue de Sun City avec un président et 4 vice-présidents des anciens groupes rebelles, de l’opposition politique non armée et de la société civile. « Durant cette période, ce leadership a dû initier le programme de désarmement, démobilisation et réinsertion des ex-combattants dans la société (programme DDRR) pour assurer une paix durable dans le pays », explique-t-il dans son œuvre.

Sur le plan des relations internationales, le travail s’est appesanti sur les relations avec les Nations-Unies qui ont déployé une mission de maintien de la paix de près de 20 000 hommes, les relations avec les organisations multilatérales, les pays membres du Conseil de sécurité, le continent africain en particulier la SADC et les sous-régions d’Afrique centrale ainsi que les organisations influentes comme l’Union européenne et les pays de l’ASEAN. En guise de conclusion, l’ancien président fait remarquer tout d’abord que des efforts collectifs sous son leadership ont réussi à réunir le pays qui était au bord de la désintégration totale en 2001, avec six armées étrangères, quatre rébellions majeures et plus d’une centaine de groupes rebelles. « Deuxièmement, avec la mise en place d’une Constitution et d’un arsenal des structures étatiques tant aux niveaux national que provincial, il a pu être lancé des programmes de développement économique qui ont mis la RDC sur la voie d’une amélioration sensible des conditions de vie (PIB per capita en 2001 à 158 USD et 487 USD en 2018) notamment en remboursant et effaçant la dette de 14 milliards de USD laissée par le régime de la deuxième République, le pays est passé d’un taux de croissance négatif en 2001 à un taux de croissance à deux chiffres notamment avec l’appui des institutions de Bretton Woods et d’autres organisations financières internationales notamment africaines et en identifiant les 5 grands domaines prioritaires (Les 5 Chantiers de la République) : éducation, infrastructures, création d’emplois, santé, eau et électricité », commente-t-il ensuite

. Selon Joseph Kabila, les élections générales de 2018 ont permis de “boucler la boucle” d’un leadership innovant avec l’organisation sur fonds propres d’une élection avec pour la première fois dans l’histoire du pays depuis 1960, un transfert pacifique des pouvoirs présidentiels honorant la Constitution établie en 2006. Le Professeur Costa Georghiou, qui a dirigé ce travail, a plaidé auprès du récipiendaire d’accepter de prolonger son approche scientifique par un doctorat (PHD) dont le diplôme reçu ce jour lui ouvre scientifiquement les portes car équivalent à un Diplôme d’Études Approfondies (DEA) en système congolais.<div> </div><div>politico.cd</div>

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L’ancien président de la République démocratique du Congo, le sénateur à vie Joseph Kabila a défendu son travail de fin d'études à l’Uni...

Tony Mwaba : "Les élèves ont été transportés dans les bus jusqu’au palais du peuple" On leur a remis 5000 FC à chacun

October 22, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEipCfQwbayg1ClUXo1QsAKqwytcqzVCCQudCm5bLoLLamItmSEUCqaXaWeBvlC4Y0E6MB-NEgJexCYd2P9vR_byMS4kgM7WksB5_1Q2qSf1hIgkmshNaK3kSR_rkgIk8bAmvWGGTHLegpGbHPdcCagXxBzgQGVX2nV9R35fl2pPGQPq3sYcgkqtBPFgsQ=s950" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="630" data-original-width="950" height="185" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEipCfQwbayg1ClUXo1QsAKqwytcqzVCCQudCm5bLoLLamItmSEUCqaXaWeBvlC4Y0E6MB-NEgJexCYd2P9vR_byMS4kgM7WksB5_1Q2qSf1hIgkmshNaK3kSR_rkgIk8bAmvWGGTHLegpGbHPdcCagXxBzgQGVX2nV9R35fl2pPGQPq3sYcgkqtBPFgsQ=s320" width="280" /></a></div>Des centaines d’élèves en uniforme scolaire ont pris d’assaut jeudi le siège du parlement à Kinshasa pour réclamer la reprise effective des cours. En direct de la RTNC, le Ministre de l’EPST, Tony Mwaba a déploré la manipulation des élèves par « un mouvement » qu’il qualifie d’« anti-gratuité ». D’après lui, « les élèves ont été transportés dans les bus jusqu’au palais du peuple. On leur a remis 5000 FC à chacun », a-t-il dénoncé. Il s’agit de « la manipulation », a décrié, Tony Mwaba.

Education Tony Mwaba : "Les élèves ont été transportés dans les bus jusqu’au palais du peuple" On leur a remis 5000 FC à chacun

Des centaines d’élèves en uniforme scolaire ont pris d’assaut jeudi le siège du parlement à Kinshasa pour réclamer la reprise effective des ...

LES IMAGES EXCLUSIVES DE KABUND ET LES ELEVES INSTRUMENTALISES PAR CEUX QUI REPARTISSAIENT LES FRAIS (VIDEO)

October 22, 2021

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EPST: Moïse Katumbi invite Félix Tshisekedi et Sama Lukonde à fléchir pour sauver cette année scolaire

October 05, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRODuwb8dutuYG_UWwZ4eGILPGw7UAIIp9BxFLduFSgFCMs0rJqkm8a3Lg-rqv2-yukhsE1X00dTuf4qGvTwUexesVvSWZFGyTw7p_fmN-7vfbEPjGOpRkcj5ABkWegFg8woW4ONyGtGQc/s987/Snapshot_11hyygyftf.png" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="987" height="155" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRODuwb8dutuYG_UWwZ4eGILPGw7UAIIp9BxFLduFSgFCMs0rJqkm8a3Lg-rqv2-yukhsE1X00dTuf4qGvTwUexesVvSWZFGyTw7p_fmN-7vfbEPjGOpRkcj5ABkWegFg8woW4ONyGtGQc/s280/Snapshot_11hyygyftf.png" width="280" /></a></div>Le président national de l’Ensemble pour la République, Moïse Katumbi a invité le gouvernement congolais à fléchir les genoux devant les préoccupations des enseignants afin de sauver cette année scolaire qui s’annonce chaotique. L’homme de Kashobwe a indiqué que les réclamations des enseignants sont légitimes.

Pour le président de l’Ensemble pour la République, la rentrée timide des activités scolaires n’a pour cause que la réglementation du barème salarial des enseignants sur l’étendue du territoire national.
Le non paiement de salaire a paralysé le retour des activités scolaires, prédit une année scolaire très difficile et même chaotique. Le gouvernement congolais se doit de s’investir dans la question en apportant des réponses satisfaisantes aux préoccupations des enseignants s’il veut que cette année scolaire soit réellement effective.

L’année scolaire a officiellement été lancé ce lundi 04 octobre sur toute l’étendue du territoire national par le ministre Tony Mwamba à partir de la ville de Mbuji-Maji où il se journait. Dans la ville de Lubumbashi, la grève décrétée par les écoles catholiques pour revendiquer de paiement de salaire a été respecté. Aucun n’enseignant n’a abdiqué à l’ordre. Gaël Hombo/acturdc.com

Education EPST: Moïse Katumbi invite Félix Tshisekedi et Sama Lukonde à fléchir pour sauver cette année scolaire

Le président national de l’Ensemble pour la République, Moïse Katumbi a invité le gouvernement congolais à fléchir les genoux devant les pré...

Le gouvernement s’engage pour une rentrée scolaire 2021-2022 apaisée

September 27, 2021

Le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a présidé, vendredi, par visioconférence, la 21ème session de la réunion du Conseil des ministres, au cours de laquelle il a épinglé dans sa communication le chapitre relatif à la rentrée scolaire 2021-2022.A cet effet, dans la perspective d’une rentrée scolaire fixée le lundi 4 octobre prochain, le Premier ministre Sama Lukonde a engagé le gouvernement en faveur d’une reprise des cours « apaisée » à travers le pays y compris dans des zones sinistrées où il faudra éviter les dysfonctionnements.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3Af_UK__usgjVWCzJQQ_Zyd7puV6VyIt1hFMNGSZuVnv5xP_g6rxvFC0sBShdnywnkyojGVqou1kjl2ryoUs7iuayOVZOUaRAV52EsgywN0vlRrBfgMQw_GOiywhF_q3kw6S0NvxZbg/s700/56581152_303+%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="394" data-original-width="700" height="157" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3Af_UK__usgjVWCzJQQ_Zyd7puV6VyIt1hFMNGSZuVnv5xP_g6rxvFC0sBShdnywnkyojGVqou1kjl2ryoUs7iuayOVZOUaRAV52EsgywN0vlRrBfgMQw_GOiywhF_q3kw6S0NvxZbg/w640-h360/56581152_303+%25281%2529.jpg" width="280" /></a></div> Aussi, les ministres sectoriels concernés ont été encouragés à tout mettre en œuvre pour l’atteinte de cet objectif.
 
 
 
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 En outre, le chef du gouvernement a rappelé aux membres du gouvernement les grandes lignes du message du Président de la République Félix Tshisekedi qui s’est principalement articulé autour de quatre (4) points, à savoir : la situation sanitaire internationale marquée par la pandémie de la COVID-19 ainsi que ses effets sur le plan humanitaire et l’économie mondiale, la situation politique en Afrique et en République Démocratique du Congo en particulier, les perspectives économiques dans le monde, en Afrique et en RDC, ainsi que la situation sécuritaire en Afrique et en République Démocratique du Congo. Il a souligné que le Président de la République a salué les efforts entrepris par les Etats africains pour lutter contre la pandémie à COVID-19 qui, en plus d’avoir emporté des nombreuses vies humaines, a perturbé le fonctionnement de l’économie mondiale. Ci-dessous, le texte intégral du compte rendu du Conseil des ministres fait par le ministre des PTNTIC, Augustin Kibassa Maliba, porte-parole a.i du gouvernement .

Education la Nation Le gouvernement s’engage pour une rentrée scolaire 2021-2022 apaisée

Le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a présidé, vendredi, par visioconférence, la 21ème session de la réunion du Conseil des minis...

EPST : le minerval fixé à 1000 FC par élève pour toutes les écoles de la RDC

September 13, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjk4FIBbTV4OE1bCGuPXr4UP5rosa-1SB_pPXTtPqOon0Vj7BJTHYEj-4BgSkOCWnTA8895fa9aYKn2fXSeub9FE1ZRn_4J9LI2om7fy4-Fi3ggGjKtFKuYxp6CK6N6HYU8wLoaxRT5Py92/s1093/mloooo.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="544" data-original-width="1093" height="139" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjk4FIBbTV4OE1bCGuPXr4UP5rosa-1SB_pPXTtPqOon0Vj7BJTHYEj-4BgSkOCWnTA8895fa9aYKn2fXSeub9FE1ZRn_4J9LI2om7fy4-Fi3ggGjKtFKuYxp6CK6N6HYU8wLoaxRT5Py92/s280/mloooo.jpg" width="280" /></a></div>Le ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique( EPST) a fixé les frais de scolarité pour l’année scolaire 2021-2022. Dans une circulaire de sur ces dits frais rendue publique ce 7 septembre, ce ministère réitère la décision du Chef de l’Etat portant sur la gratuité de l’enseignement sur tous les établissements publics pour le cycle primaire. Par contre, plusieurs frais ont été fixés pour les établissements scolaires publics, notamment le minerval qui s’élève à 1000 FC par élève pour toutes écoles publiques, privées et agréées de la République.

Des frais d’enseignement à distance, frais de bulletin scolaire et frais de la carte nationale d’identification de l’élève, sont fixés respectivement à 5000, 1000 et 1000 Fc par élève pour tous les établissements scolaires. Quant à d’autres frais supplémentaires non repris dans la circulaire, le ministère chapeauté par le Professeur Tony Mwaba laisse la charge aux gouverneurs des provinces, comme arrêté par la loi-cadre numéro 14/004 du 11 février 2014 de l’Enseignement national sur proposition de la Commission provinciale de l’EPST.

Il s’agit entre autres des frais de carnet de santé ; frais de participation à l’ENAFEP, examen d’état, TENASOSP et au Jury national du Cycle court, frais d’internat et frais de fonctionnement, sur tous les établissements scolaires publics privés et agréés. *C’est quoi le minerval ?* D’aucuns le confondent aux frais scolaires, le minerval est un frais perçu comme droit d’inscription à un établissement scolaire. Ce frais varie selon les années, ou carrément dependamment des établissements. l’élève qui s’acquitte de son minerval paye donc son tribut à la sagesse, aux sciences et aux arts.

A la différence des frais scolaires, ceux-ci englobent tous les droits d’un établissement scolaire pour l’apprentissage d’un élève. Dans le présent contexte de gratuité de l’enseignement primaire, les frais du minerval sont détachés des frais scolaires. Faisons remarquer que l’année scolaire 2021-2022 débutera le 04 octobre prochain sur toute l’étendue du territoire national. Sain Jean-Eude’s Miense/CONGOPROFOND.NET

Education EPST : le minerval fixé à 1000 FC par élève pour toutes les écoles de la RDC

Le ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique( EPST) a fixé les frais de scolarité pour l’année scolaire 2021-2022. Dans ...

EPST : le calendrier réaménagé, la rentrée scolaire 2021-2022 fixée au lundi 04 octobre LAST UPDATED SEP 11, 2021

September 11, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6iQ8bsk9hy5LhrFpuPDheIXAkTUeehWIKbLcYrsLwv3qi-u4EH6iOWbKBguMG80eF9mBYafPejnxe4ZuHm5_egHdlWoaRK8huQzqjcr3oNLagx0zgIaSiWhfI7ReF_vMjXzVNuiGser09/s1093/mloooo.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="544" data-original-width="1093" height="139" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6iQ8bsk9hy5LhrFpuPDheIXAkTUeehWIKbLcYrsLwv3qi-u4EH6iOWbKBguMG80eF9mBYafPejnxe4ZuHm5_egHdlWoaRK8huQzqjcr3oNLagx0zgIaSiWhfI7ReF_vMjXzVNuiGser09/s280/mloooo.jpg" width="280" /></a></div>Le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique( EPST) a, lors de la dix-neuvième réunion de conseil des ministres, fait état des différents besoins identifiés dans ce sous-secteur, afin de préparer la rentrée scolaire 2021-2022 dans les meilleures conditions. La pandémie à Coronavirus qui affecte la planète depuis bientôt deux ans a conduit au réaménagement du calendrier scolaire 2021-2022. Tenant compte de 220 jours d’enseignement, Tony Mwaba fixe la rentrée scolaire au lundi 04 octobre 2021 et la clôture au mardi 19 juillet 2022. Le patron de l’enseignement a annoncé que l’année scolaire 2021-2022 sera placée sous le signe de la rigueur et de l’excellence.

A cet effet, certaines actions sont projetées, à savoir :<div> <ul style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #222222; font-family: Roboto; font-size: 19px; margin-bottom: 17px; margin-top: 0px;"><li style="box-sizing: border-box;">La consolidation et la pérennisation de la gratuité de l’enseignement primaire dans les écoles publiques ;</li><li style="box-sizing: border-box;">Le redressement du sous-secteur de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique à travers les mécanismes de lutte contre les antivaleurs qui minent le système éducatif ;</li><li style="box-sizing: border-box;">La formation permanente et améliorée des inspecteurs, enseignants et gestionnaires pour le meilleur exercice de leurs fonctions ;</li><li style="box-sizing: border-box;">L’assainissement de l’environnement scolaire en vue de promouvoir la qualité des enseignants.
 
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 </li></ul>Notez que le Gouvernement reste attentif sur ce qui a été convenu avec le Banc syndical et continue d’y travailler.24h.cd

Education EPST : le calendrier réaménagé, la rentrée scolaire 2021-2022 fixée au lundi 04 octobre LAST UPDATED SEP 11, 2021

Le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique( EPST) a, lors de la dix-neuvième réunion de conseil des ministres, fait éta...

Des élèves filmés en pleins ébats sexuels exclus définitivement du collège St Georges et interdits d’être réinscrits dans une école basée en RDC

September 07, 2021

Des élèves de l’école Saint-Georges, dans la commune de Kintambo à Kinshasa,  filmés en pleins ébats sexuels, qui plus est en uniformes ont été identifiés. Il s’agit des écoliers de la 5e année littéraire. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHMevW9tX-zoqSLC4xaz-eUoxF-JS8ufsa19DAtDjch1YcQxLSN-g9cYA2lSuhKnHdd_Mn28BoVbyaMWo2Bh6z5i5tu8egc-WXB3-L4hAbVmUiKCzlEpM72oa0G7m04zFL6oychSaGFQ/s1200/finaliste-Exetat-.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="675" data-original-width="1200" height="157" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHMevW9tX-zoqSLC4xaz-eUoxF-JS8ufsa19DAtDjch1YcQxLSN-g9cYA2lSuhKnHdd_Mn28BoVbyaMWo2Bh6z5i5tu8egc-WXB3-L4hAbVmUiKCzlEpM72oa0G7m04zFL6oychSaGFQ/w640-h360/finaliste-Exetat-.jpg" width="280" /></a></div> Ils ont été exclus définitivement de l’établissement scolaire. La décision a été annoncée ce mardi par les autorités scolaires en présence de Tony Mwaba, ministre de l’EPST.
 
 
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   Sur instruction de Tony Mwaba, ces élèves ne peuvent plus jamais être inscrits dans une école basée sur le territoire congolais. Une action en justice n’est pas exclue, a dit le ministre. Une autre enquête est en cours pour identifier les élèves visibles dans une autre vidéo qui se trémoussaient d’une manière obscène devant les locaux de l’école.

Des élèves filmés en pleins ébats sexuels exclus définitivement du collège St Georges et interdits d’être réinscrits dans une école basée en RDC

Education Des élèves filmés en pleins ébats sexuels exclus définitivement du collège St Georges et interdits d’être réinscrits dans une école basée en RDC

Des élèves de l’école Saint-Georges, dans la commune de Kintambo à Kinshasa, filmés en pleins ébats sexuels, qui plus est en uniformes ont ...

Affaire rétrocommission à l’ESU : qui dit vrai ?

September 06, 2021

Le samedi 4 septembre 2021, POLITICO.CD a publié un article sur une affaire de “rétrocommission” à l’enseignement supérieur et universitaire. Se sentant lésé par les affirmations du cabinet de Muhindo Nzangi ” portant atteinte à leur réputation”, la rédaction d’OKAPINEWS tient son droit de réponse.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSynWdCL_AiiPZDHjFWG22q3qnr0RaW5rTPgMhwUAT_Qnl1jQfgHPL32SlvQegyydG3CGeLMFaY6KmePhtg35ILByM9OQuGuRr6qnrE5bQGYvQROn0FuFAPgV9QFOnwWRO7DXf778s7w/s400/hleT_uQU_400x400.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="400" height="280" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSynWdCL_AiiPZDHjFWG22q3qnr0RaW5rTPgMhwUAT_Qnl1jQfgHPL32SlvQegyydG3CGeLMFaY6KmePhtg35ILByM9OQuGuRr6qnrE5bQGYvQROn0FuFAPgV9QFOnwWRO7DXf778s7w/w640-h640/hleT_uQU_400x400.jpg" width="280" /></a></div> Droit de réponseRDC-Dossier 10% de rétrocommission à l’ESU : face à l’évidence, le cabinet de Muhindo Nzangi divague, tergiverse et s’enfonce davantage !Dans une sorte de droit de réponse publié par certains médias en ligne, le cabinet du Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire essaye de se défendre sans convaincre sur le dossier relatif au paiement de la rétrocommission de 10 % exigé à tous les missionnaires de la scolarité de ce ministère.Au lieu d’aborder le fond de l’article publié par Okapinews.net à ce sujet, le cabinet du Ministre verse non seulement dans les insultes mais aussi aux mensonges, accusant notamment le gestionnaire de ce média d’avoir tenté de faire du chantage au Ministre Muhindo Nzangi. Pire encore, ce texte approximatif et propagandiste des proches du ministre Muhindo accuse le cabinet du député national Steve Mbikayi d’être à la base de cette publication.
 
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 OKapinews.net est un média privé qui assume seul ses publications. Le député national Steve Mbikayi, ancien Ministre de l’ESU, n’a rien à voir avec l’article qui démontre, noir sur blanc, que les agents sont obligés de payer les 10% de leur frais de mission au cabinet du Ministre. La grande question est celle de savoir si Steve Mbikayi est-il signataire de ce document ? Pourquoi le député national Steve Mbikayi n’a pas combattu son successeur à l’ESU, le ministre Thomas Luhaka et ne viendra combattre que Muhindo Nzangi ? Une déduction qui n’est logique que dans les esprits de ceux qui l’ont fécondée. En réagissant avec une bassesse rare, le cabinet du ministre veut chercher des faux-fuyants pour justifier cette forme de retrocommission qui s’apparenterait à une escroquerie. OKapinews.net qui détient toutes les informations relatives à ce sujet persiste et signe que les agents et cadres missionnaires de la scolarité payent les 10 % aux membres du cabinet du Ministre de l’ESU depuis le début de la mission. ‘’Ce sont les collaborateurs du Ministre eux-mêmes qui perçoivent cette somme avant le partage de l’argent par tous les missionnaires’’, déclare un des missionnaires. Aussi, le document du secrétaire général authentifié par le cabinet du Ministre lui-même est très clair. C’est bien écrit ‘’sur instruction du Ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire…’’. Destination de ces 10% de frais de missionLe contrôle de scolarité est une mission qui concerne exclusivement deux directions de l’Enseignement Supérieur et Universitaire à savoir la DSA (Direction des services académiques) et la DESP (Direction des enseignements supérieurs privés). Mais pour permettre à tous les agents de trouver un peu de moyen, cette mission est à ce jour diversifiée. Ce sont donc ces deux directions qui ont la charge de traiter les rapports et non une coordination créée par le cabinet du Ministre.
 
 
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 Depuis toujours, aucun ministre n’a exigé le paiement de ces frais de mission à son cabinet. ‘’Depuis quand le cabinet du Ministre exploite les rapports des missions de scolarité ? C’est une forme d’escroquerie. Si le Ministre avait l’intention de créer cette commission, il devait lui-même payer et non ponctionner dans ce que nous gagnons difficilement d’ailleurs. Que le Premier ministre réagisse, c’est une escroquerie‘’, dénonce un Directeur de ce ministère. Les faits sont tellement têtus. Et face à une vérité, on s’incline simplement, au lieu de trouver des boucs émissaires.

A LA UNE Education Affaire rétrocommission à l’ESU : qui dit vrai ?

Le samedi 4 septembre 2021, POLITICO.CD a publié un article sur une affaire de “rétrocommission” à l’enseignement supérieur et universitaire...

Examen d’Etat : des infiltrés aux bandeaux rouges arrêtés à N’Djili

September 03, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhoRc9cjMcTuc-HICHFSHoSIIv39gpKdwJoFSTSXmhP6ykdMF8vcZqMFxouXPiLQCLB-RvbrH9YRW6E2XCq4-DZKuuNZqGJ8QQgmN94Z6S9oFhjmmKrNQjn3meXGK85tMm3bUBNlJWYEa2L/s1362/Snapshot_10WS.png" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="714" data-original-width="1362" height="147" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhoRc9cjMcTuc-HICHFSHoSIIv39gpKdwJoFSTSXmhP6ykdMF8vcZqMFxouXPiLQCLB-RvbrH9YRW6E2XCq4-DZKuuNZqGJ8QQgmN94Z6S9oFhjmmKrNQjn3meXGK85tMm3bUBNlJWYEa2L/s280/Snapshot_10WS.png" width="280" /></a></div>La fin de la matinée d’hier jeudi 02 septembre 2021, qui marquait également la fin des épreuves de l’Examen d’Etat, a connu une chaude ambiance au quartier 4, dans la commune, et plus précisément dans le périmètre d’une des écoles pilotes de Kinshasa, à savoir l’Institut Bonsomi. Une escouade de policiers, avec à leur tête un galonné de la police surnommé « Mal à l’aise », était positionnée, de bonne heure, près de la porte principale de l’école secondaire sus évoquée, afin de prévenir tout dérapage de la part des finalistes affectés à ce centre. Comme si les éléments de la police étaient préalablement informés de la présence de faux élèves finalistes dans le secteur, on les a vus subitement prendre en étau un groupe d’infiltrés, porteurs d’uniformes bleu-blanc, mais, à la différence d’élèves réguliers, leurs têtes étaient ceintes de bandeaux rouges. Par ailleurs, une fouille rapide de leur accoutrement a permis aux policiers de découvrir, sous leurs uniformes, des jackets rouges.

Compte tenu de ce signalement suspect, ces faux finalistes ont été immédiatement mis aux arrêts et jetés sans ménagement dans la jeep de la police, pour une destination qui pourrait être le siège du district de Tshangu. On laisse entendre que d’autres porteurs de jackets et bandeaux rouges ont été interpellés dans les environs de plusieurs centres d’examens d’Etat des quartiers de N’Djili. A en croire des informations en circulation non seulement dans cette municipalité mais aussi à travers Kinshasa, des inciviques auraient prévu de perturber la fin de l’Examen d’Etat dans la capitale, en s’attaquant aux finalistes.

Et, au-delà des agressions de ces derniers se cachait un agenda de provocation des troubles à travers la ville. Pour quelle finalité ? La question reste posée. Ces infiltrés étaient-ils instrumentalisés par un parti politique ou appartiendraient-ils aux gangs de délinquants communément appelés « Kuluna » ? Ici aussi, le mystère reste entier. En tous les cas, leur neutralisation, avant qu’ils ne passent à leurs actions diaboliques, a épargné à la commune de N’Djili et peut-être, Kinshasa, d’une situation dramatique. Jean-Pierre Nkutu

Education Examen d’Etat : des infiltrés aux bandeaux rouges arrêtés à N’Djili

La fin de la matinée d’hier jeudi 02 septembre 2021, qui marquait également la fin des épreuves de l’Examen d’Etat, a connu une chaude ambia...

Université de Kinshasa : Les étudiants veulent retourner dans les homes !

September 03, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKRXTDblG4pGNcK7v9JYagtoFUoTEwGNblozG82MoimsURMplv2Cmr2XdA9V_VHT7mcUJJmtY4n-y1Kr7ytG9yV_5HHnMRc_H4EzbUpQaWV5nOcNPxw2IYFxdxdzDnYnhv0c9ix1VZd3mm/s859/Snapshot_10qaaq.png" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="570" data-original-width="859" height="185" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKRXTDblG4pGNcK7v9JYagtoFUoTEwGNblozG82MoimsURMplv2Cmr2XdA9V_VHT7mcUJJmtY4n-y1Kr7ytG9yV_5HHnMRc_H4EzbUpQaWV5nOcNPxw2IYFxdxdzDnYnhv0c9ix1VZd3mm/s280/Snapshot_10qaaq.png" width="280" /></a></div>Dans un communiqué rendu public ce mercredi 1er septembre, l’ONG « Défendons Kinshasa » alerte sur les travaux de réhabilitation des homes de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) qui, aujourd’hui, connaissent un arrêt momentané à certaines étapes. En effet, c’est depuis une année, c’est-a-dire du mois de février 2020 à ce jour, que les travaux d’aménagement des bâtiments de l’UNIKIN avaient été lancés par le chef de l’État Félix Tshisekedi, suite à une revendication des étudiants qui avaient basculé dans la violence ayant débouché à la fermeture de celle-ci, sur ordre du garant de la nation.

Pour l’ONG « Défendons Kinshasa », cette initiative du Chef de l’Etat a été saluée, car elle permettait à l’université de Kinshasa de revêtir une nouvelle robe depuis plus de 50 ans de son existence sans que rien de pareil ne soit fait. Ces travaux d’aménagement devraient permettre aux étudiants de vivre dans des bonnes conditions. Mais voici une année passée, les étudiants son toujours dehors, alors que les cours ont repris depuis belle lurette. Ce plaidoyer n’est pas sans raison, car d’après l’ONG kinoise, c’est la plainte de locataires de cette institution qui est à la base de son communiqué.

« …des étudiants nous contactent presque tous les jours pour témoigner leur mécontentement, mais aussi pour interpeller les autorités à trouver une solution urgente. Nous demandons aux autorités compétentes de permettre aux étudiants d’accéder aux homes et y vivre, car certains d’entre eux vivent dans des conditions inhumaines dans les quartiers. Des étudiants ayant quitté les provinces pour venir étudier à Kinshasa sont les plus malheureux dans cette affaire, car en effet, ils ne savent plus de quoi survivre avec la paie des loyers dans les différentes communes de la ville. Les travaux restants, pourront continuer mais en entendant que les étudiants regagnent les homes pour leur faciliter la tâche mais aussi d’y vivre », peut-on lire dans le communiqué.

Avec ce communiqué, l’on espère que le ministre de l’enseignement supérieur et universitaire, Mohindo Nzangi, fera de son mieux pour qu’une solution salutaire soit trouvée en faveur de ces étudiants qui ne demandent que de retourner au Campus pour y travailler dans de bonnes conditions, affirme t-on dans ce même communiqué. Du moins le message de l’ONG « Défendons Kinshasa » est passé, car la situation des étudiants en provenance des provinces, fait pitié et frise une catastrophe humanitaire en pleine capitale.

Education Université de Kinshasa : Les étudiants veulent retourner dans les homes !

Dans un communiqué rendu public ce mercredi 1er septembre, l’ONG « Défendons Kinshasa » alerte sur les travaux de réhabilitation des homes d...

RDC : Le gouvernement va bientôt doter les professeurs de l'UNIKIN des jeeps Hilux pour leur mobilité

September 03, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjq0FhDlJiphBYQLYHo6vepfX5Tj0pNLAWSQXbjgxRTVgbaKTnM0mxQ9_rAGIFtYWfF-KxMRp8epKXVMcSi2Ui5axKEv7GhqIcskukNHdDSBhqzUpRxFfXY8_BWWXyHGE8YQGX7YmF0HYOz/s991/Snapshot_10OKIJUHYGTFRDES.png" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="493" data-original-width="991" height="139" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjq0FhDlJiphBYQLYHo6vepfX5Tj0pNLAWSQXbjgxRTVgbaKTnM0mxQ9_rAGIFtYWfF-KxMRp8epKXVMcSi2Ui5axKEv7GhqIcskukNHdDSBhqzUpRxFfXY8_BWWXyHGE8YQGX7YmF0HYOz/s280/Snapshot_10OKIJUHYGTFRDES.png" width="280" /></a></div>Le gouvernement va bientôt doter les professeurs de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) de nouvelles jeeps Toyota Hilux double cabine 4×4 pour leur mobilité. C’est ce que renseigne un communiqué de l’Association des Professeurs de l’Université de Kinshasa (APUKIN) parvenu à la rédaction de 7SUR7.CD, ce mercredi 2 septembre. « Le comité exécutif de l’Association des Professeurs de l’UNIKIN informe tous ses membres qu’il doit fournir au concessionnaire CFAO la liste des professeurs bénéficiaires des véhicules de marque Toyota Hilux double cabine 4X4« , indique le communiqué.

Il rapporte que le directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire a déjà demandé la liste certifiée de tous les professeurs de cette université au secrétariat général de son ministère. L’APUKIN annonce donc qu’elle invitera chaque professeur incessamment à son siège pour vérifier si le nom figure bel et bien sur ladite liste qui lui sera transmise par le ministère. « Mais vous le savez bien que la mobilité des professeurs exige un moyen de déplacement ! Les jeeps dites cheval blanc dont disposent actuellement les professeurs de l’UNIKIN, sont déjà amorties depuis. Ce n’est pas un don. C’est un crédit. Donc le gouvernement, à travers le ministère de l’ESU, s’engage avec la CFA pour nous donner ce crédit« , a réagi le professeur Michel Makaba Ngoma, secrétaire rapporteur de l’APUKIN, joint au téléphone par la rédaction de 7SUR7.CD. Rappelons que la dernière fois que le gouvernement a doté les professeurs de l’UNIKIN des véhicules pour leur mobilité, à titre de crédit, remonte à près d’une décennie.

Ce crédit a même donné naissance à une sorte de conflit car les professeurs se sont aperçus plus tard qu’il y avait un trop perçu du côté gouvernement sur ce dossier. 7sur7.cd

Education RDC : Le gouvernement va bientôt doter les professeurs de l'UNIKIN des jeeps Hilux pour leur mobilité

Le gouvernement va bientôt doter les professeurs de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) de nouvelles jeeps Toyota Hilux double cabine 4×4 pour...