BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Mercenaires : L'ANR et la DGM à couteaux tirés

May 20, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgidPcA2lnu2JmvGRf8G-nUCWsbsaRZ1rXjFR8ABDUCRrM7bwjR2cTchvIVyVc8-56Eo7SzqSUp-UsVhkHxN5xIkeyE2NsnZkFBWiLral9vLk5Zb-Eu6VgaXq79D1mwgqkesxEwtmBaP9c/s1600/Snapshot_198.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgidPcA2lnu2JmvGRf8G-nUCWsbsaRZ1rXjFR8ABDUCRrM7bwjR2cTchvIVyVc8-56Eo7SzqSUp-UsVhkHxN5xIkeyE2NsnZkFBWiLral9vLk5Zb-Eu6VgaXq79D1mwgqkesxEwtmBaP9c/s400/Snapshot_198.jpeg" width="400" /></a>L’ambiance était encore plus explosive lors de la rencontre qui a eu lieu le même jeudi 11 mai dans la journée, entre les experts de la délégation américaine et les responsables des services spéciaux congolais de l’ A.N.R. et la D.G.M. Les «experts» congolais étaient ridicules, nous dit-on, devant leurs collègues américains qui exigeaient d’eux des preuves tangibles et irréfragables du recrutement par Moïse Katumbi de 400 mercenaires américains pour déclencher une guerre civile au Katanga. Les patrons des deux services, Kalev Mutond pour l’A.N.R. et François Beya pour la D.G.M., se sont mis à se rejeter la responsabilité du montage grossier de l’opération comme des petits enfants pris en flagrant délit de maraudage! C’est cette situation-là qui a donné de l’assurance à la délégation américaine qui devait rencontrer «Joseph Kabila» le même soir à Kingakati. Le DG de l’A.N.R., Kalev s’est lavé les mains comme Ponce Pilate, rejetant la responsabilité du dossier sur son collègue : «Ce sont les services de la Direction Générale des Migrations (D.G.M.) qui ont enregistré ces citoyens américains, et les ayant identifiés comme des mercenaires ils ont alerté mes services de l’A.N.R.!». Le patron de l’A.N.R. a particulièrement chargé la Direction des études de la D.G.M. parce que c’est elle qui gère les serveurs tant pour les frontières que pour les expatriés qui demandent les visas d’établissement. François Beya qui reconnait certes ses prérogatives se défend en précisant que ses services ont correctement fait leur travail en enregistrant ces citoyens américains qui avaient leurs visas en règle. Mais il affirme que ses services ne les ont jamais qualifiés de mercenaires et n’ont jamais demandé à qui que ce soit de les traquer. Il affirme ignorer totalement d’où est venu ce «montage» ! Il est désormais clair qu’on se trouve là devant un cas flagrant de montage fait par des amateurs patentés qui font les bouffons autour de «Kabila» pour lui bouffer de l’argent !<br />
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Le charmeur des serpents, dit-on, finit souvent par se faire mordre par l’un de ses propres reptiles. Tel est le cas du M23 Roger Lumbala qui, d’après nos informations des sources sûres, vient de se faire arrêter en Russie avec un titre de «réfugié congolais » délivré par la France, et que les services russes déclarent faux. Ils avancent comme raison de l’arrestation de Roger Lumbala le mandat lancé en son temps contre le M23 par «Joseph Kabila». De son côté, dès qu’il a été informé de l’arrestation de Roger Lumbala, «Kabila»  a chargé son homme de main, le général Olenga de transmettre aux autorités russes sa demande d’extradition de Lumbala à Kinshasa. Aussitôt dit aussitôt fait, le général Olenga informa immédiatement l’ambassade de Russie à Kinshasa de la volonté du «raïs». La réponse du diplomate russe fut plutôt froide. Car il a rappelé à « Kabila » la détermination de toute la communauté internationale de le voir quitter le pouvoir à la fin de cette année. Dans ces circonstances, son pays (la Russie) ne voit pas l’opportunité d’accéder à sa demande d’extradition de Roger Lumbala.<br />
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Mais, malgré ce refus poli, et sur insistance de «Kabila», le général Olenga fut contraint de dépêcher en Russie son Secrétaire particulier, le major «Okito» (c’est son nom de code pour des missions secrètes). Celui-ci est arrivé à Moscou le 11 mai dernier avec mission de négocier auprès des services russes l’extradition du M23 Roger Lumbala à Kinshasa.  Cependant, la vérité est que Roger Lumbala est impliqué dans un dossier ultra secret qui oppose des « puissants » de ce monde et que L’œil du Patriote ne peut dévoiler ici pour des raisons que ses lecteurs peuvent aisément imaginer.      <br />
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Rencontre entre «Kabila» et la délégation américainele jeudi 12 mai à Kingakati : les Etats-Unis rejettent toutes négociations autour des quatre prisonniers américains arrêtés et gardés par «Kabila».<br />
La délégation américaine conduite par le représentant personnel de Obama dans la Région des Grands Lacs africains a fini par rencontrer « Kabila » à Kingakati la nuit du jeudi 12 mai dernier. La rencontre, nous dit-on, a été très glaciale et la tension à couper au couteau ! Contrairement à ses habitudes, Hyppolite Kanambe est passé le premier à l’attaque, croyant ainsi déstabiliser ses visiteurs en les chargeant mais surtout, en essayant de négocier l’échange des «prisonniers» avec des faveurs politiques de la part des Etats-Unis : le relâchement de l’étau pour lui accorder une certaine rallonge de son mandat politique à la tête de la RDC.<br />
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Mais la position des délégués de Washington fut ferme et tranchante : «Vous avez arrêté nos quatre concitoyens chez vous. Faites en ce que vous voulez ! Nous attendons seulement  l’issue de la justice pour tirer nos conclusions. Nous ne sommes pas venus négocier leur libération. Mais nous avons un message pour vous : nous tenons beaucoup à la souveraineté de la RDC à travers le respect absolu de sa constitution. Et ça aussi, nous ne le négocierons pas avec vous!» Devant ces positions diamétralement opposées, on devine que le climat n’était pas respirable, et les entretiens ne devaient pas beaucoup durer.    <br />
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La guerre des services au tour de «Kabila» : L’A.N.R. et la D.G.M. à couteaux tirés au sujet du dossier des «mercenaires américains» recrutés par Katumbi<br />
Mais l’ambiance était encore plus explosive lors de la rencontre qui a eu lieu le même jeudi 11 mai dans la journée, entre les experts de la délégation américaine et les responsables des services spéciaux congolais de l’ A.N.R. et la D.G.M. Les «experts» congolais étaient ridicules, nous dit-on, devant leurs collègues américains qui exigeaient d’eux des preuves tangibles et irréfragables du recrutement par Moïse Katumbi de 400 mercenaires américains pour déclencher une guerre civile au Katanga. Les patrons des deux services, Kalev Mutond pour l’A.N.R. et François Beya pour la D.G.M., se sont mis à se rejeter la responsabilité du montage grossier de l’opération comme des petits enfants pris en flagrant délit de maraudage! C’est cette situation-là qui a donné de l’assurance à la délégation américaine qui devait rencontrer «Joseph Kabila» le même soir à Kingakati.<br />
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Le DG de l’A.N.R., Kalev s’est lavé les mains comme Ponce Pilate, rejetant la responsabilité du dossier sur son collègue : «Ce sont les services de la Direction Générale des Migrations (D.G.M.) qui ont enregistré ces citoyens américains, et les ayant identifiés comme des mercenaires ils ont alerté mes services de l’A.N.R.!». Le patron de l’A.N.R. a particulièrement chargé la Direction des études de la D.G.M. parce que c’est elle qui gère les serveurs tant pour les frontières que pour les expatriés qui demandent les visas d’établissement. François Beya qui reconnait certes ses prérogatives se défend en précisant que ses services ont correctement fait leur travail en enregistrant ces citoyens américains qui avaient leurs visas en règle. Mais il affirme que ses services ne les ont jamais qualifiés de mercenaires et n’ont jamais demandé à qui que ce soit de les traquer. Il affirme ignorer totalement d’où est venu ce «montage» !<br />
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Il est désormais clair qu’on se trouve là devant un cas flagrant de montage fait par des amateurs patentés qui font les bouffons autour de «Kabila» pour lui bouffer de l’argent ! La nuit venue, chacun des deux responsables des services de l’ANR et de la DGM, voulant échapper aux sanctions qui frapperont bientôt les proches de «Kabila»,  se sont précipités pour dévoiler aux américains tous les détails du montage de ce dossier dont les ordres sont venus de la « Haute hiérarchie » !    <br />
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L’ONU est-elle en passe de remettre sur le tapis le dossier du trafic d’uranium congolais par «Kabila» et Katumbi avec les Etats voyous dont la Corée du Nord ?<br />
Les observateurs avertis de la politique congolaise se posent déjà cette question depuis ce qui semble être une fuite organisée du rapport des experts de l’ONU par la célèbre agence Reuters qui révèle qu’ «un rapport confidentiel » du Conseil de Sécurité des Nations Unies accuse le Rwanda de fournir de l’aide financière et logistique en plus de former les rebelles burundais qui cherchent à évincer l’actuel président burundais Pierre Nkurunziza, en ce début d’année 2016.»<br />
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Mais dans la foulée, cette agence de presse  fait certaines révélations importante qui concernent le trafic d’armes entre la RDC et la Corée du Nord malgré l’embargo et les restrictions qui frappent ces deux pays. Voici l’extrait de ce que livre Reuters :<br />
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Les experts des Nations Unies ont également  signalé que plusieurs officiers congolais leur ont dit  que la Corée du Nord a approvisionné les troupes congolaises ainsi que la police en armes (pistolets) et à envoyé 30 instructeurs pour former les forces spéciales et la garde présidentielle. (ndlr : c’est nous qui soulignons)<br />
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Il y a un embargo d’armes des Nations Unies sur la Corée du Nord, qui lui interdit d’importer ou d’exporter des armes ainsi que de former. Un embargo d’armes et de formation sur la RDC nécessite la consultation des états  membres du comité des sanctions du  Conseil de Sécurité.<br />
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Les experts disent avoir remarqué que  plusieurs officiers congolais, ainsi que plusieurs officiers de police, déployés à l’étranger en mission de l’ONU, semblaient posséder des pistolets nord-coréens.<br />
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Les officiers congolais affirment que les armes étaient livrées par la Corée du Nord à Matadi en début de l’année 2014.<br />
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« Le groupe d’expert a aussi remarqué que le même type d’arme était disponible en vente au marché noir à Kinshasa ».<br />
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Les experts auraient demandé Pyongyang et au Congo des éclaircissements, mais n’auraient pas encore reçu de réponses.<br />
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Toujours aussi bête, le perroquet national Lambert Mende, devenu célèbre pour ses inepties, monte au créneau et pour une fois devant la flagrance, reconnait les faits. Mais par une pirouette digne des plus grands traitres du monde, il rend Laurent Désiré Kabila responsable de ce trafic d’armes, en insinuant que la commande de ces armes nord coréennes avait été passée sous son mandat. Pitoyable !<br />
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Les mêmes  experts de l’ONU vont plus loin : ils affirment que deux dissidents de l'ADF/NALU ont reconnu que c'est le Général  MUNDOS, ancien commandant de l'opération "SUKOLA",  premier suspect, mais jamais inculpé, de l'assassinat du feu Colonel MAMADOU, qui a recruté un groupe d'islamistes,auquel  il a remis argent, armes et uniformes des FARDC pour  qu'en échange ceux-ci procèdent à des tueries à BENI et les environs. Accusation que vient confirmer les révélations faites en son temps par l’APARECO concernant l’implication de « Kabila » dans le plan de l’expansion du terrorisme par le Rwanda et l’Ouganda à l’Est de la RDC.<br />
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Mais ce que Reuters, TV5 et RFI qui commencent à répandre cette nouvelle comme une trainée de poudre ne disent pas encore ouvertement, c’est que les services occidentaux et de l’ONU sont tous au courant de ce plan terroriste. Ils savent aussi que la livraison de ces armes nord-coréennes ainsi que la formation de la garde prétorienne de «Kabila» par des experts nord-coréens ont été faites en échange de livraisons d’importante quantité d’uranium du Katanga par le duo «Kabila»-Katumbi!<br />
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En dévoilant ce dossier de trafic d’armes entre la Corée du Nord et la RDC au moment où Pyongyang menace de faire un autre essai plus puissant de la bombe atomique dont l’uranium vient frauduleusement de la RDC, nous pouvons nous douter que Washington, les Anglo-saxons et une bonne partie de la communauté internationale sont sur le point de déterrer le fameux dossier du trafic dangereux de l’uranium. Ce dossier que l’APRECO a mis sur la toile depuis 2004. Comme quoi, la vérité, même si elle est étouffée, finit toujours par remonter à la surface. On ne cache pas l’huile sous l’eau.<br />
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A suivre donc !<br />
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La confusion s’installe au sein du Tutsi-power: Paul Kagame et James Kabarebe divisés sur le sort de «Joseph Kabila»!<br />
Le sort politique de «Joseph Kabila» inquiète et commence à diviser le Tutsi-power. La détermination des Etats-Unis d’Amérique à mettre fin au mandat politique de l’imposteur rwandais qu’ils ont placé à la tête de la RDC depuis janvier 2001 commencent à fissurer l’unité du lobby politique tutsi tant à Kigali qu’à Kinshasa. En effet, les Etats-Unis ont appliqué la stratégie chère à Jules César : divide ut imperes (divisez pour régner). A Kigali, ils font une forte pression sur Paul Kagame et d’autres Tutsis rwandais en RDC comme Kengo, Nyarugabo et Ruberwa, en leur faisant comprendre qu’ils ont intérêt à œuvrer ensemble pour faire partir leur frère et cheval de Troie Hyppolite Kanambe avant la fin de cette année 2016. Autrement, ils risquent tous de couler avec lui et de perdre le contrôle de la RDC avec toutes les conséquences néfastes pour eux. Ces conseils des Américains ont fini par dresser Paul Kagame contre l’attitude jusqu’au-boutiste de «Kabila».<br />
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Mais cette thèse américaine ne convaint pas un homme : le général James Kabarebe, l’oncle d’Hyppolite Kanambe. Il est en effet opposé au changement de position de son chef vis-à-vis de son proconsul à Kinshasa. Et il n’entend pas lâcher son neveu. Nourrissant lui-même des ambitions de prendre le pouvoir à Kagali, James Kabarebe sait qu’il ne pourrait y parvenir sans l’appui financier et militaire de son neveu au pouvoir à Kinshasa. C’est ainsi que depuis quelques jours, l’expert rwandais du dossier Congo a quitté Kigali et a élu domicile en RDC où il est omniprésent sur tous les dossiers brulants. Il fait la navette entre Kinshasa et Lubumbashi pour colmater les brèches entre «Kabila» et Katumbi et jouer au conciliateur auprès de Paul Kagame.<br />
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Cependant, de l’autre côté, le même James Kabarebe pousse son neveu dans la logique du chaos et du sang. Il l’a lancé dans une course à l’armement pour faire face à toute éventualité. Profitant de la situation des massacres qu’ils ont organisés à Beni, et de la colère que cela a suscitée chez les Congolais (surtout de la diaspora), « Kabila » voudrait décréter un Etat d’urgence dont le projet d’ordonnance est sur sa table actuellement, prétendant ainsi répondre à la colère des Congolais. De l’autre côté, à Kinshasa, son frère Zoé a activé le phénomène « kuluna » avec des enlèvements et des assassinats pour justifier cette décision. Pour mater toute réaction hostile de la population, une brigade spéciale est en état d’alerte pour réprimer sauvagement les kinois. Les 3500 militaires de cette brigade ont été surnommées «Les Abeilles». Ils ont reçu leur formation en Egypte et en Chine, et ils sont placés sous le commandement exclusif des généraux Yav et Olenga.<br />
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Dans cette course aux armements, sous les ordres de «Kabila», le général d'armée Olenga François a réussi, grâce à la complicité des services secrets sud-africains et ukrainiens, l'achat d'une quantité d'armes sophistiquées de fabrication ukrainienne. En effet des gros porteurs de marque «Iliouchine» ont acheminé 650 jeeps et 8 hélicoptères de combat directement à Kinshasa. Ce matériel est reparti, selon les directives sécuritaires du commandant rwandais Caleb, entre Lubumbashi et Kinshasa. En outre une centaine des chars d'assaut est réceptionné après avoir transité par l'Afrique du sud. Une quarantaine de ces chars a été acheminée au Katanga et le reste dans la capitale. Enfin des poudrières secrètes souterraines sont construites non seulement à kibomango mais aussi à mura, pweto, likasi et dans les faubourgs de Lubumbashi. La RDC, comme nous l’avons dit précédemment, est devenue une véritable poudrière à ciel ouvert. Mais ne l’oublions pas, le charmeur de serpent est souvent mordu par ses propres reptiles !<br />
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Comme le bulletin de cette semaine écoulée nous le montre, « Joseph Kabila » n’est pas prêt à abandonner le gâteau-Congo de son bon gré. Il se prépare plutôt à se faire exploser avec le peuple congolais plutôt qu’à lui abandonner son pays. Voilà pourquoi le peuple congolais et sa jeunesse n’ont plus de choix. Il ne leur reste plus qu’une voie : celle du soulèvement populaire pour chasser de force les assaillants et récupérer le sol de ses ancêtres.<br />
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Paris , le 16 Mai 2016<br />
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Candide OKEKE<br />
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L’ŒIL DU PATRIOTE

Justice Politique Mercenaires : L'ANR et la DGM à couteaux tirés

L’ambiance était encore plus explosive lors de la rencontre qui a eu lieu le même jeudi 11 mai dans la journée, entre les experts de la dé...

Affaire Moise Katumbi, quelques détails du dossier

May 20, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8TXEQ7MHEYCViD8RBv2eYdlFVp8fCK_y51rxwNlvFr3ksADomwBsa_lF7eYKP_PcEwOkVXPwRf23OHk1Xmk6-EAzmbIRaxC3-sRUkSGXAAjHCncFRPtIAQ01hqc87WFeOGpifDGHWCgs/s1600/Snapshot_197.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8TXEQ7MHEYCViD8RBv2eYdlFVp8fCK_y51rxwNlvFr3ksADomwBsa_lF7eYKP_PcEwOkVXPwRf23OHk1Xmk6-EAzmbIRaxC3-sRUkSGXAAjHCncFRPtIAQ01hqc87WFeOGpifDGHWCgs/s400/Snapshot_197.jpeg" width="400" /></a><br />
Le Journal LE SOFT INTERNATIONAL a publié quelques lignes de ce que la justice congolaise reproche à l'ancien gouverneur du Katanga, inculpé ce jeudi 19 mai 2016 d'atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l'état..., et placé sous mandat d'arrêt provisoire.<br />
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http://lesoft.be/articles/l%E2%80%99affaire-mo%C3%AFse-katumbi-ce-que-la-justice-recherche<br />
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A en croire le journal créé par l'actuel ministre des relations avec le parlement, la police "s’est lancée sur la piste d’une opération dénommée OP Congo dont les objectifs, les moyens humains, la logistique, le financement et le modus operandi, ne paraissent être connus aujourd’hui que par «Cow Boy», le nom de code qui désigne Moïse Katumbi Chapwe".<br />
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Le journal situe le début de l'affaire au 24 avril 2016 lorsque la police parvient à procéder à des arrestations.. <br />
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"Dans le groupe, un homme intrigue la police..., un Noir aux muscles surdimensionnés qui dit être Américain et s’appeler Lewis Darryl L..." (Photo).<br />
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Il s'agit en fait d’un ancien marines (militaire américain, qui "déclare à la police être ouvrier agricole arrivé au Congo à l’invitation de Moïse Katumbi pour développer la culture du maïs..."<br />
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Transféré dès le lendemain à Kinshasa, "à peine a-t-il mis pied au bas de l’avion que l’afro-américain sème ses gardes...<br />
A voir comment il se défend contre la meute de ses poursuivants et comment il distribue des coups, des témoins avouent qu’il s’agit d’un professionnel aguerri en arts martiaux..."<br />
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Rattrapé, en présence de diplomates américains,'est procédé à son interrogatoire à l'issue duquel il "craque et passe aux aveux..."<br />
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A en croire LE SOFT, il reconnaît être un "ancien militaire de l’armée américaine..." ayant travaillé "dans le cadre d’un contrat de la compagnie américaine ITT..., société mondialement connue pour avoir déjà organisé un coup d’Etat au Chili et déstabilisé plusieurs autres pays d’Amérique du Sud".<br />
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Devant les diplomates américains, "Lewis Darryl L. affirme avoir travaillé, en 2005, pour le compte du groupe Blackwater Security, connue pour sa réputation dans le recrutement et l’utilisation des mercenaires dans le monde..."<br />
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https://www.linkedin.com/in/darryl-lewis-1490601b<br />
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Dans le document dont le journal LE SOFT dit avoir pris connaissance, Moïse Katumbi "avait pris contact avec la société Jones Group International, dont le patron est le général de l’armée américaine à la retraite Jones Logan James en vue du recrutement d’anciens soldats américains, après avoir donné le profil recherché".<br />
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Dans la demande de visas à l'ambassade congolaise à Washington, Jones Group International se reporte à l’invitation d’une société lushoise Pomba One Security. Société sur papier de son président Franck Foreman, en réalité une fausse identité de Corneille Franck Mwashila, un homme qui serait agent de la police nationale congolaise.<br />
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Tous ces éléments de renseignement, indique LE SOFT, ont été consignés dans un procès-verbal, "mardi et mercredi 26 et 27 avril en présence des diplomates américains et, devant ses avocats, Mes Azarias Ruberwa Manywa et Françoise Kena wa Tshimanga également avocats de Moïse Katumbi".<br />
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Le journal LE SOFT indique aussi, "à en croire la DGM, entre le 1er octobre 2015 et le 24 avril 2016, 658 Américains sont entrés au Congo par l’ex-province du Katanga et par Lubumbashi, dont 254 femmes et 404 hommes..., dont "nombre dissimulent la vraie raison de leur présence au Congo et, au moins, une dizaine – des ex-Marines – ont été vus, lors d’activités apparentes, dans la ceinture de sécurité de l’ex-gouverneur du Katanga".<br />
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"Les rapports journaliers de ces ex-US Marines sont systématiquement adressés à Lewis Darryl L., leur point focal, dont le savoir-faire éprouvé va, affirme-t-il lui-même, sur son compte Linkedin, à des opérations spéciales, protection rapprochée, formation et entraînements, renseignement, anti-terrorisme, maniement d’armes, surveillance, etc".<br />
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Ces rapports sont destinés à Moïse Katumbi Chapwe et au QG américain de l’ex-général à la retraite, Jones Logan James.<br />
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"La police cherche", depuis, "à établir les objectifs exacts de ces ex-US-Marines soupçonnés de conduire une opération criminelle. Elle veut en connaître les moyens humains, la logistique, le financement, le modus operandi".<br />
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Le journal LE SOFT de conclure que "si le richissime ex-gouverneur a été cité publiquement par le ministre de la Justice Alexis Thambwe Mwamba, C’est signe que c’est sérieux".<br />
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La suite de l'affaire est connue...<br />
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LE journal LE SOFT, dévoile aussi de nombreux autres détails de l'affaire et rappelle la loi congolaise qui interdit formellement "la présence dans une société de gardiennage de personnes de nationalité étrangère, de recourir à une personne ne justifiant pas d’un séjour de cinq ans au pays sans interruption, l'embauche d’anciens soldats, d’anciens policiers, d’anciens agents des services de sécurité, de toute personne ayant appartenu à un groupe armé ou à une rébellion.<br />
Le recrutement d’anciens militaires américains aux Etats-Unis d’Amérique et leur mise au service d’un individu au Congo, foulent aux pieds l’esprit et la lettre de la Convention Internationale des Nations-Unies du 4 décembre 1989 contre le recrutement, l’utilisation, le financement et l’instruction des mercenaires".<br />
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Selon le journal LE SOFT, lors d’une audition sur procès-verbal, le patron de l'agence de sécurité congolaise a déclaré "avoir personnellement travaillé en 2016, pendant 4 mois (janvier-avril), à la résidence de l’avenue Lofoi, la résidence officielle lushoise de l’ex-gouverneur Moïse Katumbi Chapwe.<br />
Le (faux) agent de police déclare avoir travaillé avec «six mercenaires américains» agissant comme gardes du corps de l’ex-gouverneur. <br />
Ces six agents américains sont Lewis Darryl L., Toon Jr III Leonard O)Neal alias LT, Nicholson Maurice Alan, Adames Christopher Andre, Nicholson Mattew Azor Hendrix alias Matt et Coleman Alan Glen".

Justice Politique Affaire Moise Katumbi, quelques détails du dossier

Le Journal LE SOFT INTERNATIONAL a publié quelques lignes de ce que la justice congolaise reproche à l'ancien gouverneur du Katanga, i...

Obsèques au Palais du peuple : Joseph Kabila rend hommage à Banza Mukalay !

May 20, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiy5XQOPaIyyOPMGJ4JFu6cvcd1o2DYt9oAZyiaMTDF7AioBbfXkjTyjNYFzgVQKZ3JBhHvPyaujK4ndRUr-bJB85Unje0WZP9Xt8rRxQkQ5MUTBQ2-cscc4a4Adgp2sTT5lxYLK25V9s8/s1600/Snapshot_182.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiy5XQOPaIyyOPMGJ4JFu6cvcd1o2DYt9oAZyiaMTDF7AioBbfXkjTyjNYFzgVQKZ3JBhHvPyaujK4ndRUr-bJB85Unje0WZP9Xt8rRxQkQ5MUTBQ2-cscc4a4Adgp2sTT5lxYLK25V9s8/s400/Snapshot_182.jpeg" width="400" /></a>*Une cérémonie grandiose en hommage à Banza Mukalay  a eu lieu ce  jeudi, en fin de matinée, au Palais du peuple de Kinshasa. Le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, a, personnellement, rendu un vibrant hommage à l’ancien ministre de la Culture, Feu Banza Mukalay dit Baudouin qui  a succombé,  le samedi 14 mai 2016,  de suite d’une maladie. Par le dépôt d’une   gerbe  revêtue  de tout un sens, le Chef de l’Etat a exprimé la gratitude de la Nation à l’égard d’un homme, d’un nationaliste, d’un élu du peuple, à  plus de quatre fois dans son fief de Lubumbashi, un homme exceptionnel. Banza fut un homme qui savait ce qu’il voulait, un homme qui ne dissimulait rien de ses convictions, mais qui savait travailler avec tous.  C’est pourquoi,  il pouvait être socialiste, homme de culture. Baudouin Banza savait aller au bout de ses choix. Les funérailles vont se poursuivre dans la province du Haut Katanga, ce vendredi 20 mai 2016.<br />
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Juste après le Président de la République, les Présidents de l’Assemblée Nationale et du Sénat ainsi que le Premier Ministre, les membres du Gouvernement et  les Présidents de différentes Institutions se sont recueillis devant la dépouille mortelle, en déposant des gerbes de fleurs. <br />
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Dans son oraison funèbre, Félix Kabange Numbi, Ministre de la Santé, a retracé les péripéties du dernier moment de la vie de Banza Mukalay sur la terre des hommes. Fondu en  larmes, Baudouin Banza, me dit : « Je suis très ému de voir mon Chef, le Premier Ministre Matata à mon chevet et, surtout, des soucis du Président de la République qui s’est préoccupé de ma santé », a rapporté le Ministre de la Santé, M.  Kabange Numbi, qui a vécu le moment où l’illustre avait rendu l’âme.<br />
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Dieu est le maître du destin, dixit Banza, dans un  récit de Bangalord à Kinshasa. Il décrit son destin et le destin d’un homme. Très attendrissant, l’oraison funèbre à retracé la vie estudiantine, professionnelle et politique de  l’illustre disparu.<br />
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De nombreuses personnalités, écrivains et membres des  familles sont venues se recueillir sur sa dépouille pour lui rendre les derniers hommages.<br />
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Témoignages<br />
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C’est dans ce cadre que les enfants, amis et connaissances ont témoigné de la générosité qui caractérisait Baudouin Banza Mukalay. André Mukenge a salué sa grandeur et sa simplicité à côtoyer tout le monde dans la commune de Kamalondo, où ils ont passé des moments inoubliables.<br />
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«C’est une grande souffrance et  chagrin pour moi. C’est un homme plein d’idées qui vient de nous quitter. A aucun problème,  il a manqué une solution ou une proposition qui aboutit à la satisfaction », a déclaré Lukumwena Paul, un ancien cadre de la Jmpr.<br />
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Saluant la mémoire d’un homme politique, un membre de l’UDCO a souligné que « mort, Le président Baudouin Banza Mukalay Sungu restera toujours égal à lui-même, un Homme politique doué de  sagesse et d’intelligence, un leader incontestable… ».

la mort de Banza Mukalay Obsèques au Palais du peuple : Joseph Kabila rend hommage à Banza Mukalay !

*Une cérémonie grandiose en hommage à Banza Mukalay a eu lieu ce jeudi, en fin de matinée, au Palais du peuple de Kinshasa. Le Président...

Dialogue : Edem Kodjo va parler aujourd’hui !

May 20, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivG-u59-DP_nOMGU33XTMJ7CblPRjFeeMKyAFNV9AWJml74Z9fezoVjJg65Ra0W7k6ldyIOAHgikPaJPE81ovHL1ZIhv_2aJQKl0NcaTLHHgmYxOP5Tamkawg7fodgq1lHIckDm1aZE_A/s1600/Snapshot_133.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivG-u59-DP_nOMGU33XTMJ7CblPRjFeeMKyAFNV9AWJml74Z9fezoVjJg65Ra0W7k6ldyIOAHgikPaJPE81ovHL1ZIhv_2aJQKl0NcaTLHHgmYxOP5Tamkawg7fodgq1lHIckDm1aZE_A/s400/Snapshot_133.jpeg" width="400" /></a>*La Facilitation internationale du Dialogue politique en RDC a convoqué la presse pour ce vendredi 20 mai 2016. Il semble qu’Edem Kodjo s’apprête à faire de grandes annonces. Déjà,  hier, jeudi 19 mai, dans l’après-midi, une nouvelle s’est répandue selon laquelle l’UDPS d’Etienne Tshisekedi aurait finalement transmis à Kodjo la liste de 12 délégués de l’Opposition politique au Comité Préparatoire. Plusieurs cadres de l’UDPS se sont montrés très bavards. L’on a appris que les travaux du Dialogue vont avoir lieu incessamment. Ils ont distillé des informations qui laissent à penser que le Panel de  Facilitateurs constitué des Envoyés spéciaux internationaux accompagnerait Edem Kodjo dans l’accomplissement de sa mission.<br />
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S’il est, totalement, vrai que le diplomate togolais a réceptionné les noms de 12 opposants membres du Comité Préparatoire, il a de quoi avancer. Dans son escarcelle, Kodjo avait déjà les 12 délégués de la Majorité ainsi que les 6 de la Société civile. Lors de sa dernière sortie médiatique, Edem Kodjo a soulevé l’idée d’un Groupe de travail qui définirait les termes de référence du Dialogue. Est-ce pour installer ce groupe de travail qu’il invite les journalistes ? C’est possible. Toutefois, il importe de noter que le Facilitateur devient pressé d’agir. Confirmé fin mars 2016, il est temps,  pour Kodjo,  de présenter un bilan. Il est aussi temps qu’il rassure l’ensemble des acteurs nationaux et internationaux impliqués dans la recherche d’une solution pour débloquer le processus électoral rd-congolais dans l’impasse.  Apparemment, il va débuter son dialogue sans une frange importante de l’Opposition dont le G7, la Dynamique, l’Alternance pour la République et les autres qui continuent à manifester leur hostilité à la tenue du Dialogue qu’ils considèrent comme un moyen pour le pouvoir en place de se maintenir au-delà du délai constitutionnel. Il importe, également, de dire que certains pro-dialogue, réputés favorables aux thèses de la Majorité, qualifiés de faux opposants par l’UDPS, ne seront pas représentés au Comité Préparatoire. La pilule, pour eux, sera amère à avaler.

Politique Dialogue : Edem Kodjo va parler aujourd’hui !

*La Facilitation internationale du Dialogue politique en RDC a convoqué la presse pour ce vendredi 20 mai 2016. Il semble qu’Edem Kodjo s’...

RDC : Katumbi ira en procès !

May 20, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhPiODGPKCYfSpMt6Ia4WCFVNeM-bHRY0ICwt7fq4i54hZjCgs0mqwxA0EsUCs_2d9AIrIn9ja492IwUruCn3MVpQlw1g-LuVEE7UUFdj7tfdL3FLQ_pRNOysHHJ8O2jGWWQVmOyyc1rgc/s1600/Snapshot_122.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhPiODGPKCYfSpMt6Ia4WCFVNeM-bHRY0ICwt7fq4i54hZjCgs0mqwxA0EsUCs_2d9AIrIn9ja492IwUruCn3MVpQlw1g-LuVEE7UUFdj7tfdL3FLQ_pRNOysHHJ8O2jGWWQVmOyyc1rgc/s400/Snapshot_122.jpeg" width="400" /></a>*Moïse Katumbi, ancien Gouverneur PPRD de la province du Katanga, candidat commun à la Présidence de la RDC pour le compte de trois regroupements de l’Opposition, vient d’être inculpé par le Parquet de Lubumbashi dans le dossier de recrutement des mercenaires américains et sud-africains pour porter atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l’Etat. Des faits que l’intéressé nie en bloc. Un mandat d’arrêt provisoire a été émis contre lui. Sera-t-il assigné à résidence surveillée? Va-t-on le garder à vue ? Un transfèrement de l’inculpé à Kinshasa est-il possible ? Pendant que les reporters cherchaient à en savoir un peu plus sur le régime de privation de liberté de mouvement auquel il sera soumis, le Parquet de Lubumbashi a reconnu à Katumbi le droit de se faire  soigner, jusqu’à son rétablissement. Va-t-il le faire  en RDC ou à l’étranger ? Moïse,  le patient et le Parquet pourraient y répondre dans les prochains jours. Curieuse coïncidence,  tout de même, l’émission du mandat d’arrêt contre Katumbi tombe le jour même où la CPI a promis de fixer la peine à purger par Jean-Pierre Bemba,  reconnu coupable des crimes de guerre et crimes contre l’humanité en Centrafrique. <br />
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On savait son sort scellé depuis que le Ministre de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba, l’a accusé  d’avoir recruté, par centaines, des mercenaires américains et sud-africains, le 4 mai dernier. Personne, parmi ses anciens collègues de la Majorité Présidentielle, ne lui accorde la moindre chance de s’en sortir. Moïse Katumbi a été auditionné deux fois. La troisième audition, prévue le 13 mai, n’a pas eu lieu. Moïse Katumbi ayant sollicité et obtenu l’autorisation d’aller se faire  soigner à l’hôpital. Dans la nuit de mercredi 18 à jeudi 19 mai, ses proches ont affirmé que sa santé s’était détériorée avec des problèmes respiratoires. L’on a appris que Moïse Katumbi peut encore poursuivre des soins médicaux en RDC ou à l’étranger, s’il le veut. Les auditions pré-juridictionnelles ne sont pas abandonnées pour autant. Les audiences des  co-accusés de l’ex-Gouverneur, présenté jusqu’il y a peu comme l’un des meilleurs du régime, vont également se poursuivre. Comme on le voit, le suspense continue. Mais,  pour combien de temps encore ? Difficile à dire. La seule certitude, c’est qu’il ne peut plus se mouvoir à sa guise. Occupé et accaparé à se défendre dans la procédure judiciaire, il ne disposera pas d’assez de temps et d’énergie pour mener à bien la campagne de ralliement politique  à sa candidature à la prochaine présidentielle. Une présidentielle qui deviendrait, d’ailleurs,  hypothétique, s’il advenait qu’au terme du procès, qu’il soit  condamné.

Justice Politique RDC : Katumbi ira en procès !

*Moïse Katumbi, ancien Gouverneur PPRD de la province du Katanga, candidat commun à la Présidence de la RDC pour le compte de trois regrou...

Derrière les œuvres immortelles de Mzee Kabila. M17 : Joséphine Mpaka Luanghy lance une mobilisation générale !

May 20, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHCCV8OxjNDhPc2gG6XPmGBVOh7DvodXPj9p2JIuER0zagT2EiK2Ecaax11VjRp4476pTqaafvSVmNwbzPgyNm4dBOtsA1ckZchLlHCyl2S4NE21OpIPQB67e1gnztBJz66PjPCM9lvWU/s1600/Snapshot_196.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHCCV8OxjNDhPc2gG6XPmGBVOh7DvodXPj9p2JIuER0zagT2EiK2Ecaax11VjRp4476pTqaafvSVmNwbzPgyNm4dBOtsA1ckZchLlHCyl2S4NE21OpIPQB67e1gnztBJz66PjPCM9lvWU/s400/Snapshot_196.jpeg" width="400" /></a>*Dur comme fer, revoici le M17 au  pinacle de la lutte pour la consolidation des acquis de l’œuvre  Kabiliste, depuis 1997 à ce jour.   Le Mouvement du 17 mai, sous la bannière de  Mme Joséphine Mpaka Luanghy se prend tellement au sérieux qu’en  commémorant  les 19 ans de  libération de la RDC, il a placé cet événement dans la  perspective d’une grande  mobilisation autour des idéaux de Mzee Kabila et de la suite du combat, avec Joseph Kabila, à la tête du pays. Il fallait voir combien la hargne était lisible sur les visages des cadres et militants du M17  hier, Jeudi  19 mai 2016, à l’espace « Planète J », situé au Rond-point Socimat, à la lisière de la Gombe,   pour se faire une idée de toute la valeur de reconnaissance et de symbole que ce parti, un des pionniers dans l’arène de  la libération, voue, de façon immodérée et inconditionnelle,  à Mzee Laurent-Désiré  Kabila ainsi qu’à son successeur.<br />
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L’occasion faisant le larron, ce parti politique cher au Feu Célestin Luanghy, a réitéré son désir  de respecter et de faire respecter les objectifs fixés, de son vivant, par Mzee Laurent-Désiré Kabila. Il s’agit de l’Exercice du pouvoir du peuple par le peuple et l’application de la démocratie directe à l’autoprise en charge.<br />
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En effet, la célébration a permis à ce parti politique,  de faire un bilan de son historique et d’en définir les perspectives d’avenir.<br />
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Eclairant l’opinion au  sujet du dédoublement du  Mouvement du 17, Mme Joséphine Mpaka Luanghy, Présidente Nationale et Présidente du Conseil Suprême de ce parti, a insisté sur l’existence d’un seul et unique parti dénommé M17, reconnu par l’Etat congolais. « Il n’y a pas deux M17. Ce parti est reconnu par les organes qui signent les arrêts portant création d’un parti politique et le nom du Président qui est repris sur toutes les listes, est bel et bien de Joséphine Mpaka Luanghy et non d’autres personnes », a-t-elle fait savoir. <br />
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Rappel des objectifs de Mzee Laurent-Désiré Kabila<br />
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En présence de  membres du Mouvement du 17 mai, un petit témoignage brossant la genèse du parti a été évoqué par M.  Claude Bangala, Secrétaire Général Adjoint du M17.<br />
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Etant un parti né sur demande de  Feu Président Laurent-Désiré Kabila,  il a été jugé bon de rappeler à l’assemblée,  les objectifs et le sens  de son combat. « Renverser le pouvoir dictatorial  dans sa forme politique, Diplomatique  et Militaire », était le premier objectif de Mzee LD Kabila.  Chose qu’il  avait, du reste,  réussie, de haute lutte.<br />
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Restituer le pouvoir entre les mains du souverain primaire à travers son leader, l’Exercice du pouvoir du peuple par le peuple,  entre autres,  l’application de la démocratie directe à l’autoprise en charge, le serment ou le code génétique de « Ne jamais trahir le Congo », sont là les objectifs primordiaux que compte pérenniser, quoi qu’il en coûte,  le M17.<br />
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Participation au dialogue<br />
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Le Mouvement du 17 Mai a fait savoir qu’il se soumet à l’autorité de la haute hiérarchie, en vue de prendre  activement part  aux travaux du dialogue, qui est un forum national. C’est le  seul cadre idéal qui  permettrait  aux filles et fils du pays d’harmoniser leurs divergences.<br />
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Le Mouvement du 17 Mai en profite pour inviter, à cet effet, la classe politique, la société civile et les confessions religieuses de se  ranger derrière la noble vision du Chef de l’Etat pour la tenue effective du dialogue national inclusif. En outre, le Mouvement du 17 Mai exhorte, par la même occasion, la classe politique, la société civile et les confessions religieuses, à comprendre que l’on n’apprend pas à danser,  le jour de la fête.<br />
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Le M17 n’a pas manqué de remercier le Président Joseph Kabila, pour son accord,  lors de la création de ce Mouvement.  « Nos remerciements s’adressent à Son Excellence le camarade Joseph KABILA KABANGE qui, par dévouement à la République et à travers son programme d’action,  a su  remettre la RDC, notre cher et beau pays, dans le concert des nations », a indiqué l’équipe dirigeante du M17. Aussi, a-t-elle  réitéré les remerciements au Secrétaire Général de la Majorité Présidentielle, Aubin Minaku, pour la cohésion et l’unité soutenue au sein de cette famille politique.<br />
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Une pensée pieuse a été observée pour tous ceux qui ont pris part active à la vision de Mzee Laurent-Désiré KABILA, pour éradiquer la dictature sous toutes ses formes.

Politique Derrière les œuvres immortelles de Mzee Kabila. M17 : Joséphine Mpaka Luanghy lance une mobilisation générale !

*Dur comme fer, revoici le M17 au pinacle de la lutte pour la consolidation des acquis de l’œuvre Kabiliste, depuis 1997 à ce jour. L...

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