BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Haut-Katanga : la tête de Jean-Claude Kazembe recherchée !

March 13, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxVBKyRb82wD3Ggt8kG1vZ4VVqDLeOMrvuPmmrwuxUcZCPnUqq3GbJFyd11t_S9vB1CBT_97JwCtCadz1eXUHEps-Wby7I3gmOwDd-LrtvedboQTastLakHlj1oyXQJdIPk2fJ2oBedeo/s1600/Snapshot_272.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxVBKyRb82wD3Ggt8kG1vZ4VVqDLeOMrvuPmmrwuxUcZCPnUqq3GbJFyd11t_S9vB1CBT_97JwCtCadz1eXUHEps-Wby7I3gmOwDd-LrtvedboQTastLakHlj1oyXQJdIPk2fJ2oBedeo/s400/Snapshot_272.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br /><br />La Majorité Présidentielle est-elle sur le point de bouffer ses propres  enfants ? C’est la question que certains observateurs se posent depuis le rappel en consultation, à Kinshasa, du Gouverneur du Haut-Katanga, la province  qui comprend la ville de Lubumbashi comme chef-lieu. </span><div>
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<span style="font-size: large;">Le rappel de Jean-Claude Kazembe, en temps normal, n’aurait posé aucun problème particulier dans la mesure où il n’évolue pas en électron libre. En ce moment de l’histoire politique agitée, la venue du Gouverneur Jean-Claude Kazembe à Kinshasa ressemble plus ou moins à une interpellation. On peut, en même temps, s’interroger sur les objectifs poursuivis par ceux qui tiennent, absolument, à en découdre avec le Gouverneur du Haut-Katanga, quitte à avoir sa peau ou  à la vendre.<br /><br />Dans l’entourage de Jean-Claude Kazembe, on ne s’interdit plus de parler d’une main noire qui agirait pour déstabiliser le Gouverneur. La MP a-t-elle vraiment besoin de se lancer dans une longue procédure qui pourrait aboutir à une éventuelle éviction de Jean-Claude Kazembe ? La question n’est pas de savoir si cela est possible. Mais, de penser aux conséquences qu’une telle démarche pourrait avoir sur la cohésion au sein de la famille politique du Chef de l’Etat. Les dégâts en termes d’image seront importants.</span></div>
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<span style="font-size: large;"> Le hasard du calendrier a voulu que la guéguerre survienne pendant que le pouvoir est engagé dans des discussions directes devant déboucher sur une gestion consensuelle de l’Etat pendant la transition. D’autres analystes parleraient d’un effet contagion en pensant à ce qui se passe au Rassemblement où les Romains s’empoignent uniquement pour le pouvoir ou la succession d’Etienne Tshisekedi.  Comme qui dirait que ça ne brûle pas que chez le voisin. Pour le cas du Haut-Katanga, un changement de Gouverneur, actuellement, n’est pas la solution. </span></div>
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<span style="font-size: large;">Il ne faudrait pas, par ailleurs, perdre de vue qu’il n’a pas été facile de remplacer Moïse Katumbi, passé à l’opposition, à la tête de cette  province. Le départ, apparemment, recherché  de Jean-Claude Kazembe signerait la fin des travaux d’infrastructures en cours à Lubumbashi et dans les autres villes du Haut- Katanga. A l’actif du Gouverneur, on met la construction, sur fonds propres, d’un immeuble du Gouvernement provincial. Le Chef de l’Etat y dispose d’un bureau. Les visiteurs comparent cet édifice à l’immeuble Intelligent, place Royal à Kinshasa. Au fait, de quoi accuse-t-on Jean-Claude Kazembe ? D’après l’un des  ses proches, sa tête est mise à prix au motif non avoué qu’il gère seul la province et que d’autres ne se retrouvent pas. Pourtant, la gestion dans une province phare comme le Haut-Katanga doit être axée sur le résultat. Dans pareilles conditions, il faut passer en second plan,  les intérêts, les privilèges et autres avantages indus.</span></div>
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<span style="font-size: large;"> Si Jean-Claude Kazembe devrait se soumettre à ces pratiques, cela reviendrait à dire qu’il serait  amené à abandonner la lutte acharnée qu’il mène contre les réseaux maffieux qui opèrent dans la province.  D’ailleurs, une  telle propension à servir les intérêts particuliers en lieu et place de la Province,  alimenterait, d’une manière ou d’une autre, ces mêmes réseaux, pour favoriser le coulage des recettes. Au-delà de tout, de nouvelles  dissensions au sein de la Majorité, s’il faut vraiment aller jusqu’au bout,  feraient le choux gras de l’Opposition. </span></div>

Politique Province Haut-Katanga : la tête de Jean-Claude Kazembe recherchée !

La Majorité Présidentielle est-elle sur le point de bouffer ses propres enfants ? C’est la question que certains observateurs se posent d...

Tribune d’expression populaire. RDC : la CENI pour le respect des droits de la femme

March 13, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhW26PxjbIgz2GkbxiaP_9mscdKatErRY1vvFYlyIlng4fb2SD-I-9Ck42hZUAUCZKemaocu_DCGpyx9ImnIZRXxzp9CtI7ZCYS_WCezebh2rNL8i_3I-eT9NZ4GzzEY8hHKpZorUHHAW4/s1600/Snapshot_271.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="285" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhW26PxjbIgz2GkbxiaP_9mscdKatErRY1vvFYlyIlng4fb2SD-I-9Ck42hZUAUCZKemaocu_DCGpyx9ImnIZRXxzp9CtI7ZCYS_WCezebh2rNL8i_3I-eT9NZ4GzzEY8hHKpZorUHHAW4/s400/Snapshot_271.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br /><br />Célébration de la Journée internationale de la Femme, la CENI a participé à la Tribune d’Expression Populaire organisée par le Bureau de Liaison avec le Parlement,  en partenariat avec Counterpart International et National Democratic Institute (NDI) sur le thème: « Respecter les droits de la femme congolaise pour la construction d’une démocratie inclusive».</span><br />
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<span style="font-size: large;"><br />C’était au Centre Interdiocésain à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de la Femme. Le Bureau de Liaison avec le Parlement, BLP en sigle, est une structure de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO). Cette activité, financièrement soutenue par USAID, UKAID et MISEREOR, avait pour objectif de susciter une réflexion critique sur les droits des femmes, leurs sous-représentativité aux postes politiques et le rôle qu’elles peuvent elles-mêmes jouer en vue d’améliorer leur condition dans l’espace politique en RD Congo. NDI travaille avec les femmes politiques congolaises et Counterpart avec les organisations de la société civile congolaises. Les deux catégories de femmes, les politiques et celles œuvrant dans les organisations de la société civiles, étaient représentées à cette Tribune d’expression populaire.<br /><br />L’Abbé Jean-Pierre MUHINGISA, Directeur du BLP a pour cela enraciné son initiative dans ces mots d’Emmeline Pankhurst : « Nous devons libérer la moitié de la race humaine, les femmes, afin qu’elles puissent nous aider à libérer l’autre moitié. » La convocation de Pankhurst, militante du droit de vote des femmes, partait du constat amer d’un grand écart entre la reconnaissance légale de droits fondamentaux aux femmes et le respect de la parité entre homme et femme dans les assemblées élues de la RD Congo.<br /><br /><br /><br />Pour démêler ce grand écart, le BLP a recouru aux femmes d’expérience. Mme Marie Désanges KETA, membre de l’Assemblée Plénière de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), a, au nom du Président Corneille NANGAA YOBELUO, fait l’état des lieux de l’enrôlement et de la participation des femmes dans l’opération de révision du fichier électoral en cours dans les provinces des Aires opérationnelles 1 et 2. Elle a rappelé les mesures incitatives que la CENI a prises pour encourager l’enrôlement des femmes, faisant référence à la Note circulaire N° 005/SEN/2017 qui décrète le dimanche comme une journée dédiée en priorité à l’enrôlement des femmes.<br /><br /> <br /><br />Maître Fifi Solange BAMOWONGO a retracé le cadre légal de la participation politique de la femme en RD Congo ; Madame le Ministre honoraire Geneviève INAGOSI a échangé sur les stratégies pour l’émergence politique de la femme en RD Congo. Celle qui avait eu en charge le ministère du Genre, Famille et Enfant a, à la fin de son exposé, suggéré les recommandations suivantes : Encourager l’instruction et l’éducation des filles dès les bas âges et dans toutes les filières ; Impliquer les garçons et les hommes dans la lutte contre les inégalités de sexe ; Renforcer la solidarité entre les femmes en surmontant la peur.<br /><br /> <br />’Honorable Eve BAZAIBA MASUDI a partagé les joies et les peines de la femme en politique et entretenu les participantes sur la pratique des droits de la femme en RD Congo. Appuyant Maitre Fifi Bamowongo, elle a mis à nu l’écart entre l’évolution de l’arsenal juridique et le très peu d’effort consenti pour permettre aux femmes de briser le plafond de verre. Elle épingle la Cour constitutionnelle composée de 9 magistrats tous hommes. Cette institution censée statuer sur la constitutionalité des lois, violerait elle-même de par sa composition les dispositions de la Constitution, a-t-elle indiqué.<br /><br />A l’ère de la parité, des hommes ont également été sollicités. Ainsi,  M.  Ferdinand KAPANGA a présenté une étude contrastive des systèmes électoraux dans le monde pour permettre à l’assistance de se faire sa propre idée sur le système électoral qui favorise le mieux la représentation politique de la femme. La modération de la Tribune d’expression populaire a été assurée par Madame la journaliste Rachel  KITSITA de Numérica  Télévision.<br /><br />Edifiés par les différentes interventions, les participants ont, pendant les échanges, reconnu la nécessité de procéder à une réforme courageuses de certains textes de loi pour que les femmes jouissent effectivement de leurs droits. Ils estiment que le législateur et les pouvoirs publics doivent prendre des dispositions pour la promotion de l’égalité et la parité homme-femme.<br /><br />L’Abbé Donatien NSHOLE, Secrétaire général de la CENCO a prononcé le discours de clôture en qualifiant de louable cette initiative qui témoigne de l’intérêt que les Congolaises et Congolais portent à la construction de la démocratie inclusive dans notre pays.<br /><br />Déploiement des kits pour l’enrôlement des électeurs dans le territoire de Kutu dans la province du Mai Ndombe<br /><br />En prévision du lancement des opérations de révision du fichier électoral dans le reste des provinces de la République Démocratique du Congo, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) poursuit, sans désemparer, le déploiement des Kits d’enrôlement des électeurs et autres matériels indispensables dans les différents territoires du pays.<br /><br />C’est dans ce cadre qu’à la date du 08 et 09 mars des rotations des hélicoptères de la MONUSCO ont été effectuées à Kutu, Chef lieu du territoire de même nom, situé au confluent du Lac Mai Ndombe et de la rivière Lukenie pour y déposer les différents kits de matériel comprenant des Kits d’enrôlement des électeurs, des kits formulaires, des films de plastification des cartes d’électeur, des volets vierges des cartes d’électeur, des trépieds, des arrières plan et autres matériels. Toutes les forces vives de Kutu étaient mobilisées pour assister à ce déploiement des matériels qui annonce l’imminence de l’enrôlement des électeurs dans cette partie de la République Démocratique du Congo.<br /><br />Signalons que d’autres déploiements de matériels sont en cours dans les autres provinces.</span>

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Célébration de la Journée internationale de la Femme, la CENI a participé à la Tribune d’Expression Populaire organisée par le Bureau de L...

Déterminé à construire des nouveaux auditoires. ESU : Steve Mbikayi passe à l’acte et donne des instructions au comité de gestion de l’UNIKIN

March 13, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFSIgje4M9ymYuZkLHIlGt30jJJd4z13UhJVDJy5okAhKUBKxuADWdTn33iYoEpW3HBvRsocXUYny39hlMk9som8TY3aPhLvyT_KRMxfDJF74apEaBZDFcaOdrtW3ffkIvtAAr9FjxpNQ/s1600/Snapshot_270.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="282" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFSIgje4M9ymYuZkLHIlGt30jJJd4z13UhJVDJy5okAhKUBKxuADWdTn33iYoEpW3HBvRsocXUYny39hlMk9som8TY3aPhLvyT_KRMxfDJF74apEaBZDFcaOdrtW3ffkIvtAAr9FjxpNQ/s400/Snapshot_270.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br /><br />Poursuivant sa logique du dialogue permanent, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et Supérieur, Steve Mbikayi veut passer à l’acte. Le patron de l’ESU a reçu le vendredi 10 mars 2017, dans son cabinet de travail, le comité de gestion de l’Université de Kinshasa pour échanger sur les modalités pratiques pouvant permettre de construire rapidement les nouveaux auditoires dans les Universités et Instituts Supérieurs. L’objectif principal reste le désengorgement des auditoires afin de permettre aux étudiants de suivre les cours dans des bonnes conditions. Conduite par le Professeur Daniel Ngoma ya Nzuzi, Recteur de l’Université de Kinshasa, cette délégation de l’Université de Kinshasa a également fait le rapport au Ministre sur quelques problèmes, déjà résolus, qui dérangeaient le fonctionnement de la faculté de polytechnique à l’Université de Kinshasa. </span><div>
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<span style="font-size: large;">Pendant près de deux heures, le Ministre a donné des instructions fermes pour que la paix puisse régner et aussi pour peaufiner des stratégies afin de construire rapidement de nouveaux auditoires. La réalité est que le Ministre Steve Mbikayi ne veut pas passer beaucoup de temps à parler, voilà pourquoi il est passé à l’acte.      <br /><br /><br />Certainement pas de repos pour le Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire. Après avoir terminé sa tournée dans les établissements de l’Enseignement Supérieur et Universitaire et après avoir palper du doigt les réalités de terrain, Steve Mbikayi est passé à l’étape supérieure, celle de la prise de décision pour résoudre des problèmes. Il faut dire que le Ministre reste scotché à la promotion du dialogue permanent tel que promis lors de sa prise officielle des fonctions. Le comité de gestion de l’Université de Kinshasa a été le premier à être invité par le Ministre en vue de réfléchir sur la procédure à emprunter, pour construire de nouveaux auditoires. Les échanges entre le Patron de l’ESU et la délégation conduite par le Professeur Daniel Ngoma Ya Nzuzi  ont duré pendant plus de deux heures. Au sortir de l’audience, le Recteur de l’Université de Kinshasa n’a pas gardé sa langue en poche. « Il était question de dialoguer. </span><div>
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<span style="font-size: large;">Le Ministre introduit un style vraiment innovant, le dialogue. Son Excellence voudrait dialoguer avec les différents comités de gestion après qu’il ait fait le tour dans tous les établissements d’enseignements supérieurs et universitaires.  Et aujourd’hui, après avoir visité les établissements, son Excellence a estimé recevoir, en commençant par la grande Université, l’Université de Kinshasa, les comités de gestion pour dialoguer et essayer un peu de réfléchir autour de certains dossiers. Le Ministre a conclu en disant que ce dialogue sera continu, c’est la clé même de notre rencontre », a-t-il apprécié la technique du Ministre. Pour le Professeur Ngoma, le Ministre est déterminé à construire l’Université. C’est ça même le point important de ces échanges.  « Son Excellence tient beaucoup à ce que l’Université de Kinshasa qui, par le passé, a été construite sur base de 6 facultés et aujourd’hui, cette Université compte le double, c’est-à-dire 12 facultés et que par conséquent l’Université connaît des problèmes des auditoires. Et son Excellence voudrait mettre l’accent sur la possibilité de pouvoir permettre à nos étudiants de suivre les cours avec quiétude. </span></div>
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<span style="font-size: large;">Et donc, il faut absolument construire des auditoires, d’autres auditoires. Nous avons dialogué, nous avons discuté ensemble pour voir ce qu’on peut faire, nous avons essayé de réfléchir, nous n’allons pas entrer dans les détails pour savoir comment nous allons faire pour construire, l’important est que son Excellence  tient que nous puissions, nous Université, construire et bien sûr l’Université avec le Ministère de tutelle », a-t-il poursuivi.<br /><br />La paix règne à la faculté polytechnique<br /><br />Lors de sa prise des fonctions, le Ministre de l’ESU, Steve Mbikayi avait mis en garde les comités de gestion quant aux différents problèmes dans leurs établissements. Aussi, il avait insisté sur la prévention. C’est dans cet ordre d’idée que Steve Mbikayi a déployé toute son énergie afin de trouver des solutions aux problèmes qui se posaient à la Faculté  Polytechnique de l’Université de Kinshasa. Aujourd’hui, les résultats sont satisfaisants. « En dehors de cet élément de construction, son Excellence a essayé de voir clair sur le problème de la faculté de polytechnique. Il y a eu des problèmes, les Professeurs ont séché des auditoires et les étudiants ont réclamé la reprise des cours. Sur ce problème, le comité de gestion a calmé les esprits, les professeurs ont repris les cours, le doyen élu a été nommé par décision rectorale et notifié par le Secrétaire Général Académique. </span></div>
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<span style="font-size: large;">Et comme le comité de gestion a constitué une commission des sages, la semaine prochaine, le comité va rencontrer cette commission des sages pour enterrer ce problème enfin que la paix qui règne maintenant à la faculté polytechnique puisse demeurer », a dit le Recteur de l’Université de Kinshasa. A seulement deux mois de sa prise de fonctions, Steve Mbikayi continue d’impressionner bon nombre des congolais. Sa méthodologie participative joue désormais en sa faveur.</span></div>
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Déterminé à construire des nouveaux auditoires. ESU : Steve Mbikayi passe à l’acte et donne des instructions au comité de gestion de l’UNIKIN

Education Déterminé à construire des nouveaux auditoires. ESU : Steve Mbikayi passe à l’acte et donne des instructions au comité de gestion de l’UNIKIN

Poursuivant sa logique du dialogue permanent, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et Supérieur, Steve Mbikayi veut passer à l’acte. Le...

«Mausolée d’Etienne Tshisekedi à Limete. L’UDPS lance les travaux cette semaine»

March 13, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtVAY1nP_RpZ3i4efC1GLBYmZYW2GTeqofxz2cEk3MxYddHUL2kVBFZtDF8HMTwc1KSTy5y4ZL0cD4zrjJ_RRBiEZnEOtc7mj961x8-9E1fD5ezpVe21PBQn5JmFbKtglsDKEqgyfew0I/s1600/Snapshot_269.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="281" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtVAY1nP_RpZ3i4efC1GLBYmZYW2GTeqofxz2cEk3MxYddHUL2kVBFZtDF8HMTwc1KSTy5y4ZL0cD4zrjJ_RRBiEZnEOtc7mj961x8-9E1fD5ezpVe21PBQn5JmFbKtglsDKEqgyfew0I/s400/Snapshot_269.jpg" width="400" /></a></div>
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<br /><br />Plusieurs sujets intéressent les journaux parus lundi 13 mars à Kinshasa. Il s’agit de l’annonce du lancement des travaux du mausolée d’Etienne Tshisekedi au siège de l’UDPS, la tentative de pacification du Kasaï, les menaces des sanctions de l’Union européenne sur la RDC et l’unification du Rassemblement.<br /><br /><br />Le Phare annonce: «Mausolée d’Etienne Tshisekedi à Limete. L’UDPS lance les travaux cette semaine».<br /><br /><br />Citant Augustin Kabuya, chargé de communication et porte-parole de l’UDPS, Le Phare annonce que les travaux d’aménagement du mausolée d’Etienne Tshisekedi, pourraient être lancés dans le courant de cette semaine. Le site choisi à cet effet n’est autre que le siège de son parti, l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social), au niveau de la 11e Rue, petit boulevard, dans la commune de Limete.<br /><br /><br />La décision a été prise de concert avec la famille de l’illustre disparu, à la suite de l’annonce, par le gouvernement congolais, au terme du Conseil extraordinaire des ministres du jeudi 9 mars présidé par le Chef de l’Etat, de son refus d’inhumer Tshisekedi « dans un site urbanisé habité ».<br /><br /><br />Le site <a href="http://7sur7.cd/new/2017/03/pacification-du-kasai-le-vpm-shadari-tend-la-main-a-la-famille-du-chef-coutumier-kamwina-nsapu/">7sur7.cd</a> aborde la question de la pacification du Kasaï et titre : « Le VPM Shadari tend la main à la famille du chef coutumier Kamwina Nsapu ».<br /><br />D’après ce site d’informations, le gouvernement opte pour la carotte et non le bâton en entamant des discussions avec la famille de feu le chef coutumier tué par les forces de l’ordre en août 2016.<br /><br /><br />Déjà l’on signale la présence à Kananga de la famille du chef coutumier Kamuina Nsapu visiblement disposée à trouver une solution négociée à cette situation d’insécurité et ainsi permettre le bon déroulement des opérations d’identification des électeurs qui seront bientôt lancées dans cette partie de la RDC.<br /><br /><br />«Fortes pressions de l’UE. RDC : la souveraineté en danger», titre de son côté <a href="http://www.laprosperiteonline.net/index.php">La Prospérité.</a><br /><br /><br />Le journal accorde la parole à un analyste de la Majorité, Kajepa Molobi, qui s’exprime dans une tribune.</span><div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Après les menaces des sanctions brandies dernièrement afin de pousser les Congolais à l’application rapide de l’accord de la St Sylvestre, l’analyste estime que l’Union européenne s’immisce un peu trop dans les affaires internes de la RDC.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Pour lui, la Majorité et l’Opposition, quelles que soient leurs positions au niveau de discussions directes sur les arrangements particuliers, devraient s’organiser pour résister contre ces intrusions répétitives qui, à son avis, risquent d’ébranler les bases de la souveraineté du pays.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
<strong style="box-sizing: border-box;"><a href="http://groupelavenir.org/rdc-menaces-de-sanctions-ciblees-de-lue-les-dessous-dun-rapport-dangereux/" style="background: transparent; box-sizing: border-box; color: #428bca; text-decoration: none;">L’Avenir</a> </strong>corrobore cette pensée et note qu’en cherchant à faire dire à l’accord de la Saint-Sylvestre ce qu’il n’est pas ou en essayant d’extraire de la Constitution les incises qui gênent, l’UE fait décidemment fausse route.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Le journal s’étonne que d’un côté, l’UE déclare soutenir le respect de la Constitution de la RDC et de l’autre, refuse de voir la même loi fondamentale s’interpréter en faveur de l’Institution «Président de la République».</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
«Il y a lieu de rappeler qu’il n’y a aucune légitimité à tirer à partir d’un acte privé tel que l’accord du 31 décembre qui prend appui sur la Constitution et non sur des intentions personnelles. La légitimité relève donc de la Constitution dans un Etat de droit. On ne peut pas dire en même temps qu’on veut défendre la Constitution et prétendre que la légitimité relève d’une autre source», argumente le canard.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Ceci reviendrait à violer le droit du peuple congolais à choisir son régime politique, à en croire le journal qui qualifie d’ « irresponsable» l’attitude de l’Union européenne.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
<a href="https://actualite.cd/2017/03/12/rassemblement-apres-fronde-retour-a-dossier/" style="background: transparent; box-sizing: border-box; color: #428bca; text-decoration: none;"><strong style="box-sizing: border-box;">Actualité.cd </strong></a>propose une analyse sur la situation qui prévaut au Rassemblement sous le titre: <em style="box-sizing: border-box;">«Après la fronde, le retour un à un».</em></div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Les choses semblent revenir à la normale, laisse entendre le site d’infos qui cite les personnalités qui reconnaissent un à un le leadership de Felix Tshisekedi et Pierre Lumbi dans cette plate-forme de l’opposition après sa restructuration consécutive à la mort d’Etienne Tshisekedi.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Le premier à entrer en scène est Lisanga Bonganga, coordonnateur des Alliés d’Etienne Tshisekedi qui sera très vite rejoint par le G14, Gilbert Kiakwama, Fiyou Ndondoboni, etc. Reste plus que l’indéboulonnable et téméraire Olenghankoy, galvanisé par le soutien de Bruno Tshibala, « auto-exclu » de l’UDPS. Mais ces ralliements au nouveau leadership surviennent lentement, constate Actualite.cd.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">
«Plus ça traîne, plus la mise en œuvre de l’accord traîne. Plus ça traîne, plus les mois passent, plus l’organisation des élections semble incertaine. Plus ça traîne, plus la situation politique reste assez floue. Plus ça traîne, plus Joseph Kabila ne perd vraiment rien (…)», conclut le site.</div>
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;"></span>

Politique «Mausolée d’Etienne Tshisekedi à Limete. L’UDPS lance les travaux cette semaine»

Plusieurs sujets intéressent les journaux parus lundi 13 mars à Kinshasa. Il s’agit de l’annonce du lancement des travaux du mausolée ...

RDC : les miliciens veulent atteindre Mbuji-Mayi, selon le maire de Mwene-Ditu

March 13, 2017

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<span style="font-size: large;"><br /><br /><br /><br />Le maire intérimaire de Mwene-Ditu, Anatole Tuengu Kabongo, affirme que les personnes qui ont attaqué la ville samedi 11 mars dans la matinée veulent en prendre le contrôle pour atteindre Mbuji-Mayi, capitale provinciale du Kasaï-Oriental. Il dit tenir cette information des miliciens qui ont été capturés au cours de l’incursion par les forces de l’ordre.<br /><br /><br />« Beaucoup de ces assaillants que nous avons arrêtés nous disent au moment de leur interrogatoire qu’ils sont nombreux et qu’ils sont là avec l’objectif de contrôler la ville de Mwene Ditu jusqu’à ce qu’ils vont atteindre Mbuji-Mayi », fait savoir le maire.<br /><br /><br />Anatole Tuengu reconnaît que l’attaque contre sa ville a créé la débandade. Selon des sources locales, l’incursion a été perpétrée par des présumés miliciens Kamuina Nsapu.<br /><br /><br />« Les enfants qui étaient en classe sont sortis dans la panique. Il y a de postes police qui ont été incendiés. Il n’y a pas eu de marché ce samedi », détaille le maire qui appelle les habitants de sa ville à dénoncer tout milicien.<br /><br /><br />Les affrontements entre les miliciens et les forces de l’ordre ont fait plusieurs morts, selon des sources locales.<br /><br /><br />Mais le maire intérimaire ne donne pas encore de bilan. D’après lui, il faudra attendre que les affrontements cessent sur toute la ville pour connaître le nombre de personnes tuées au cours des combats qui ont opposé les forces de l’ordre aux miliciens.<br /><br /><br />Des miliciens qui se réclament du chef traditionnel Kamuina Nsapu tué en août 2016 font face aux forces de l’ordre depuis plusieurs mois dans les provinces du Kasaï, au centre de la RDC. Ces affrontements ont fait plusieurs victimes.</span><span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;"></span>

Insécurité Province RDC : les miliciens veulent atteindre Mbuji-Mayi, selon le maire de Mwene-Ditu

Le maire intérimaire de Mwene-Ditu, Anatole Tuengu Kabongo, affirme que les personnes qui ont attaqué la ville samedi 11 mars dans la mati...

Incendie « criminel » au domicile du député Fabrice Puela à Matadi

March 13, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8lUHEZlscxhxS_rtZGL7ddkxwcehd8Zfg_Hka4909Gf7U-TCnshoIIbEKltaJeEyCmpQMhTZ-ly4EOF-RuiTy49G6uxKg5F91QrhkQZ7nD1zVL1_uvcwYPAIlfluyiX-Gd0YK-17vjxRP/s1600/Snapshot_1215.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="296" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8lUHEZlscxhxS_rtZGL7ddkxwcehd8Zfg_Hka4909Gf7U-TCnshoIIbEKltaJeEyCmpQMhTZ-ly4EOF-RuiTy49G6uxKg5F91QrhkQZ7nD1zVL1_uvcwYPAIlfluyiX-Gd0YK-17vjxRP/s400/Snapshot_1215.jpeg" width="400" /></a></div>
Le Député national Fabrice Puela accuse le gouverneur Jacques Mbandu d'être le commanditeur de l'incendie de sa maison.La maison du Député national, Fabrice Puela de Matadi, dans la province du Kongo Central a pris feu dans la nuit du vendredi 10 au samedi 11 mars. Selon lui, le Gouverneur Jacques Mbandu Situ a commandité cet incendie, en réponse à la réussite de la « Journée sans voiture » organisée par le Député national, le mardi 07 du mois en cours.<br /><br /><br /><br /><br />« Il y a une telle succession des faits qui puisse amener aisément à identifier le commanditeur de cet incendie. Le mardi, je venais d’organiser une journée sans voiture qui était une réussite à 100%. Cela a énervé l’autorité provinciale qui a envoyé des +zulu+ pour jeter des cocktails molotov sur moi. Le jeudi, des tracts ont circulé dans la ville, répandant la rumeur selon laquelle, l’ancien gouverneur Mbatshi Mbatsha m’aurait financé pour remettre 100 mille francs à tous les chauffeurs pour réussir cette journée. Et à 2 heures du matin de ce samedi (11mars) on a envoyé des gens mettre le feu sur ma maison« , retrace l’élu de Matadi, Fabrice Puela.<br /><br />Ce Député de d’opposition soutient que l’actuel Gouverneur du Congo central multiplie des stratagèmes pour l’éliminer de la scène politique. « Depuis qu’il y a eu des événements de Bundu Dia Kongo, j’ai pris le devant pour le bien être de la population du Kongo central, au plus grand détriment du Gouverneur Jacques Mbadu qui la fait souffrir. Il a financé des (infos sur les) bandes défilantes de la RTNC et de télé 50 pour que je sois arrêté au même titre que Ne Muanda N’semi. A ce jour, il a déjà porté plainte contre moi à 5 reprises, sans succès. L’inspecteur provinciale de la police nous a empêché de tenir notre meeting de sensibilisation de la population à l’enrôlement, en plein vacance parlementaire, sur ordre du Gouverneur semble-t-il« , raconte le député national.<br /><br /><br />Fabrice Puela se prépare à saisir la justice dans cette affaire, pour trouver réparation de cet acte. Dans l’entre-temps, il a déjà saisi le bureau de l’Assemblée nationale, dixit.<br /><br />« Le Gouverneur Jacques Mbadu selon lui, est en train d’exceller dans la prédation et même dans le terrorisme d’États. Ce qui est arrivé, rappelle-t-il, c’est ce qui était aussi le cas avec l’honorable Adrien Poba à Boma. Il a été attaqué, il a même perdu l’usage de son œil, sa maison aussi a failli être incendié, c’est le même schéma. On connaît l’homme et ses méthodes« , affirme Fabrice Puela<br /><br />Ecoutez le député Fabrice Puela au micro de POLITICO.CD<br />

Politique Incendie « criminel » au domicile du député Fabrice Puela à Matadi

Le Député national Fabrice Puela accuse le gouverneur Jacques Mbandu d'être le commanditeur de l'incendie de sa maison.La maison d...

Héritier Wata est formel : « Sankara ne connaît pas mieux Werrason que moi »

March 13, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitScyYs1ySOnNc4wH_ArwFzmztHUHaIjGaMQUgJ9xmrR0n_knhMXyJd5ENm9_wE9vcSJf8B2lT-eqelNgUbBb36gVr5nbyE5BBk5OIoG_SpPwXjJcKKuHjvM-nhPdXV-5_vAcXntetyYBB/s1600/Snapshot_1214.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="265" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitScyYs1ySOnNc4wH_ArwFzmztHUHaIjGaMQUgJ9xmrR0n_knhMXyJd5ENm9_wE9vcSJf8B2lT-eqelNgUbBb36gVr5nbyE5BBk5OIoG_SpPwXjJcKKuHjvM-nhPdXV-5_vAcXntetyYBB/s400/Snapshot_1214.jpeg" width="400" /></a></div>
Il y a deux semaines, une rumeur tout à fait fantaisiste a circulé à Kinshasa, principalement sur les réseaux sociaux faisant état d’une brouille entre le chanteur Héritier Watanabe et son formateur et ancien patron Werrason. Au menu, on a fait savoir que ce chanteur aurait ridiculisé le roi de la forêt qu’il aurait croisé fortuitement au dancing « Fiesta » dans la commune de la Gombe.<br />
<br />
« C’est une fausse nouvelle et je sais qui est à la base de cette cabale. C’est Sankara de Kunta », a déclaré Héritier Watanabe qui a ajouté que : « de nous tous qui avions gravité autour de Werrason depuis de nombreuses années, personne, en tout cas pas Sankara, ne connaît mieux Werrason que moi ». Et de poursuivre : « Quelle image ce garçon va-t-il faire valoir pour la province du Bandundu en général lorsqu’il dit que c’est en allant là-bas que Werrason a anéanti le succès de Marie Paul et les autres ? Ne voit-il pas qu’en disant cela, il sous-entend que Bandundu est une région de grands féticheurs qui ne sont là que pour « corriger » tous ceux qui osent « jouer » avec la personne Werrason. Ce que Sankara oublie c’est le fait que la femme de Werrason est un Prophétesse sur que Dieu agit et qui ne peut nullement cautionner de partager son toit avec un fétichiste ». Il termine en demandant à Sankara qui n’a passé le plus clair de son temps en Europe sur les trousses de certains bienfaiteurs de se raviver et de revenir sur des bons sentiments car en racontant ces balivernes, il oublie que Werrason est un ambassadeur qui roule pour la paix au monde.<br />
<br />
De la suite de son programme<br />
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Après son concert de présentation officielle de l’album « Retirada », le premier de sa carrière musicale qui a eu lieu le 10 février dernier et sa production d’hier dimanche 5 mars à Maïsha Park dans la commune de la Gombe, Héritier Kabeya Watanabe, à la tête de son groupe, traversera le pool Malebo ce mardi 7 mars pour Brazzaville. Là, ils sont attendus pour un concert à l’Olympique Palace. Puis, ils reviendront sur Kinshasa avant d’entreprendre une longue tournée à l’extérieur du pays.<br />
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(Kingunza Kikim Afri)

Politique Héritier Wata est formel : « Sankara ne connaît pas mieux Werrason que moi »

Il y a deux semaines, une rumeur tout à fait fantaisiste a circulé à Kinshasa, principalement sur les réseaux sociaux faisant état d’une b...

Enjeux politiques. RDC : après Zuma, Félix Tshisekedi chez Alpha Condé !

March 13, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiql2RZ2woFIiOzspbqpozwIHGfBBUUn-awjsLFJsZ60RF9ofZCit-IS5kaXOWQhCnC8g_gEWVD0scvzpImIdsTqqQp2c0_C3JtFgvO6GrF0ym3sNtbNmikzVup5zHHZJ7kkw4oM24TLZN8/s1600/Snapshot_1364.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiql2RZ2woFIiOzspbqpozwIHGfBBUUn-awjsLFJsZ60RF9ofZCit-IS5kaXOWQhCnC8g_gEWVD0scvzpImIdsTqqQp2c0_C3JtFgvO6GrF0ym3sNtbNmikzVup5zHHZJ7kkw4oM24TLZN8/s400/Snapshot_1364.jpeg" width="400" /></a></div>
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Non, il n’est pas parti à Addis-Abeba à un quelconque sommet de l’Union Africaine. Félix Tshilombo Tshisekedi, actuel leader du Rassemblement contesté par une frange de cette plateforme, a été, plutôt, invité en Guinée Conakry par le président en exercice de l’UA : Alpha Condé. C’est le dimanche dernier que l’homme a pu conférer en tête-à-tête au palais présidentiel de Sékhoutouréya avec son hôte. Aucuns dits de cette rencontre n’ont filtré. Mais, des sources dignes de foi renseignent  que les échanges ont tourné sur les contours de l’application de l’Accord de la Saint Sylvestre et ainsi, de la sortie de crise en République Démocratique du Congo. Le problème de la Primature, qui est convoitée par Félix Tshisekedi, aurait été au menu. Visiblement, le tout nouveau président du Rassemblement ratisse large. Il y a de cela quelques semaines, il était en Afrique du Sud. Où, a-t-il eu un face-à-face avec, entre autres, Jacob Zuma, le président d’Afrique du Sud toujours dans la quête d’une solution à l’impasse politique congolaise.<br />
<br />
L’application de l’Accord politique signé le 31 décembre 2016 par l’Opposition, la Société Civile et la Majorité Présidentielle vient de perdre quasiment deux mois. Ce, malgré le chronogramme fixé par les dialogueurs annonçant l’organisation des élections fin décembre 2017, au plus tard. Plus le temps passe, plus les perspectives d’une solution par la tenue des élections s’assombrissent.<br />
<br />
L’UA toujours au front<br />
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Résolument, l’Union Africaine a à cœur d’aider le Congo-Kinshasa à en découdre avec sa crise politico-électorale. Même si, à tout dire, sa dernière implication à travers la médiation de l’ex-premier ministre Togolais, Edem Kodjo, a laissé quelque peu un arrière goût d’inachevé. Alpha Condé, le Chef de l’Etat guinéen qui a succédé depuis le lundi 30 janvier à son homologue tchadien, Idriss Deby, voudrait une implication préventive de l’UA, dont il est aux commandes, dans les impasses politiques des Etats membres dont la RDC.<br />
<br />
Légitimation<br />
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C’est depuis le jeudi 2 mars que Félix Tshisekedi a été désigné aux côtés de Pierre Lumbi Okongo pour mener la barque du Rassemblement. Malgré la création de deux autres ailes de ce regroupement politique respectivement, dirigés par Joseph Olenghankoy et Patrick Mayombe, le bloc Tshisekedi et Lumbi n’a de cesse de recevoir la légitimé de grandes structures nationales, régionales et internationales. Surtout que depuis le week-end passé, ledit bloc a renforcé ses rangs avec la présence effective de toutes les 9 composantes signataires de l’Acte de Genval. Dans cette perspective, l’invitation personnelle du président de l’UA sonne comme une reconnaissance de fait de Félix comme la figure devant engagé l’Opposition,  précisément le Rassemblement. ‘’Il est parti à Conakry sur demande du président Alpha condé pour évaluer l’évolution des discussions autour de l’Accord du 31 décembre. Le président Condé nous a rassurés du soutien de l’Union Africaine pour l’application de cet Accord ‘’, a confié un proche de l’UDPS au site d’information en ligne Politico.CD.   Qui, dans ses colonnes, révèle que le déplacement de Tshisekedi fils  est à inscrire dans le cadre des discussions informelles maintenues ‘’en coulisse pour son arrivée à la Primature, une thèse que plusieurs Chefs d’Etat africains soutiennent ‘’, jusque-là.

Politique Enjeux politiques. RDC : après Zuma, Félix Tshisekedi chez Alpha Condé !

Non, il n’est pas parti à Addis-Abeba à un quelconque sommet de l’Union Africaine. Félix Tshilombo Tshisekedi, actuel leader du Rassemble...

« Guerre » entre Koffi Central et Wanted Music: La pomme de discorde s’appelle Tatiana Kruz

March 13, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiaHYwd2vrOXyFD_hUvJaHEEaQ7C3Qg81vmYvCHP2kzkDVOHOLdodTqa6mgb2kVRrCc9HJ0BniEXLbwJ-vWRepuFnH_GiajVLTcKQ5ePmxp2s7zm6Fh9TNeGwXax5e2cBssTy16oB730FVX/s1600/Snapshot_1213.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiaHYwd2vrOXyFD_hUvJaHEEaQ7C3Qg81vmYvCHP2kzkDVOHOLdodTqa6mgb2kVRrCc9HJ0BniEXLbwJ-vWRepuFnH_GiajVLTcKQ5ePmxp2s7zm6Fh9TNeGwXax5e2cBssTy16oB730FVX/s400/Snapshot_1213.jpeg" width="400" /></a>Les cordons sont loin de s’accorder entre le Quadrakoraman Koffi Olomide et son protégé d’hier, le chanteur Fabregas Mbuyulu dit Le Métis Noir. Au menu, c’est le fait que la chanteuse Tatiana Kruz qui fait aujourd’hui partie intégrante de l’orchestre « Villa Nova » de Fabregas et a refusé de travailler sous le label « Koffi Central » préférant œuvrer sous la protection de la maison « Wanted Music » de Fabregas qui se propose, du reste, du lancer sur le marché du disque son œuvre baptisée « Targette ». Ce disque tant attendu par le public, sort sur le marché, ce mercredi 8 mars 2017. Ce sera à l’occasion de la journée internationale de la femme. Ce geste, prompte, n’a pas plu à Koffi Olomide qui aurait juré d’en faire voir de toutes les couleurs à Fabregas en commençant par déstabiliser son groupe.<br />
<br />
Et, comme si cela ne suffisait pas, une source proche d’un musicien de l’orchestre « Villa Nova », nous signale que pour tenter d’affaiblir le groupe de Fabregas, le patron du Quartier Latin International, aurait remis une forte somme d’argent au claviériste du Métis Noir afin qu’il puisse acheter un nouveau synthétiseur. Pour quoi  en faire? Le musicien en question aurait refusé d’accepter l’offre de Koffi Olomide disant haut et fort qu’il connaît l’homme dans ses manœuvres déstabilisateur.<br />
<br />
De l’autre côté, Koffi aurait donné de l’argent aux musiciens qui s’appellent désormais les « Contremaîtres » et qui travaillent aujourd’hui sous la conduite du chanteur Ibrator afin qu’ils puissent passer à l’émission « Karibu Variétés » et vanter leurs mérites.<br />
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C’est donc là, la situation qui prévaut présentement entre « Wanted Music » de Fabregas et Koffi Central qui, pourtant, avait produit la première œuvre du premier cité intitulée : « Anapipo/Ya Mado » de Maestro Fabre.<br />
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Allez-y comprendre quelque chose.<br />
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Kingunza Kikim Afri

Musique « Guerre » entre Koffi Central et Wanted Music: La pomme de discorde s’appelle Tatiana Kruz

Les cordons sont loin de s’accorder entre le Quadrakoraman Koffi Olomide et son protégé d’hier, le chanteur Fabregas Mbuyulu dit Le Métis No...

Arrangements Particuliers : silence autour des discussions directes !

March 13, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjiQ7iJQq0PflsIGDplgjMrNmzhi4bggByMgSnDYWYuujLSiNbYCLv5EDIZgwu7Arkm_AmXoYiOfKd52B3XO7HQ5dqCx1cusWXoz71sFEvY7A7PA3LZ7oNz-n2cGZ9dz0cXeNx9rAobgYlx/s1600/Snapshot_1368.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjiQ7iJQq0PflsIGDplgjMrNmzhi4bggByMgSnDYWYuujLSiNbYCLv5EDIZgwu7Arkm_AmXoYiOfKd52B3XO7HQ5dqCx1cusWXoz71sFEvY7A7PA3LZ7oNz-n2cGZ9dz0cXeNx9rAobgYlx/s400/Snapshot_1368.jpeg" width="400" /></a></div>
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*Des jours passent sans que la CENCO ne communique sur la reprise des discussions directes entre le pouvoir et l’opposition pour finaliser les Arrangements  Particuliers  consécutifs  à l’Accord politique du 31 décembre 2016, censé sortir la RDC de la crise née de la non-organisation des élections dans les délais constitutionnels. On se demande, finalement, si cet Accord sera mis en œuvre. La semaine dernière, en effet, au plus fort des émotions suscitées par la restructuration du Rassemblement, plusieurs ténors de la Majorité Présidentielle ont fait des déclarations montrant qu’ils n’étaient plus très pressés de boucler les discussions directes au Centre Interdiocésain.<br />
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Il y en a qui misaient sur l’atomisation du Rassemblement afin de jeter à la poubelle l’Accord de la Saint-Sylvestre. Plutôt que d’assister à la dislocation de leur méga-plateforme, la tendance est à l’unité. Toutes les plateformes du Rassemblement ont fini, d’après un communiqué remis à la presse, jeudi 9 mars 2017, par reconnaître le nouveau leadership incarné par Félix Tshisekedi et Pierre Lumbi, respectivement,  Président Exécutif et Autorité Morale  du Rassemblement et Président du Comité de Sages. C’est en cette qualité que Félix Tshisekedi a été reçu, à Conakry, par Le président Alpha Kondé, Président en exercice de l’Union Africaine.  Félix Tshisekedi avait, précédemment, été reçu, en Afrique du Sud, par le Président sud-africain, Jacob Zuma. Puis,   par l’Angolais José Edouardo Dos Santos à Luanda. Doté d’une double légitimité, interne et internationale, le duo Félix Tshisekedi et Pierre Lumbi peut bien engager le Rassemblement aux discussions directes. Vu sous cet angle, la balle est dans le camp de la CENCO qui devrait inviter toutes les parties concernées.<br />
<br />
Des pressions<br />
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Le nouveau Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déploré l’inapplication de l’Accord de la Saint-Sylvestre. Aussi, a-t-il  demandé le renforcement de la Monusco en hommes et en matériels. Antonio Guterres sollicite du Conseil de Sécurité,  l’envoi de 320 casques bleus supplémentaires par crainte  des possibles poussées de violences, avant les élections en 2017. L’année 2017, a-t-il dit, va être cruciale pour la RDC. « La présence de la Monusco reste essentielle pour maintenir le processus politique sur les rails, préserver les avancées et renforcer les perspectives de stabilité dans le pays». L’Union Africaine, l’Union Européenne, la SADC et l’OIF ont appelé à la mise en œuvre de l’Accord du 31 décembre dernier.<br />
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Politique Arrangements Particuliers : silence autour des discussions directes !

*Des jours passent sans que la CENCO ne communique sur la reprise des discussions directes entre le pouvoir et l’opposition pour finalise...

Face au blocage. Etienne Tshisekedi : vers l’inhumation à Bruxelles !

March 13, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh06pm-YZpyQTVF3iQRh7X4TGndv4K2rm6nsR_bP1dhM0Xv4tR0VQ-uyiln7BbCg737FKRhmdw1TTCxOlJtfSYd348Hmm-19cCNGH9uRb4drdpxes9_lD0h1WgJywT65EEuDO3SdPU_kuGL/s1600/Snapshot_225.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh06pm-YZpyQTVF3iQRh7X4TGndv4K2rm6nsR_bP1dhM0Xv4tR0VQ-uyiln7BbCg737FKRhmdw1TTCxOlJtfSYd348Hmm-19cCNGH9uRb4drdpxes9_lD0h1WgJywT65EEuDO3SdPU_kuGL/s400/Snapshot_225.jpeg" width="400" /></a></div>
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*L’option d’enterrer provisoirement Etienne Tshisekedi à Bruxelles fait du chemin. C’est l’UDPS/Benelux qui a donné le ton. Aussitôt, le jeune frère d’Etienne Tshisekedi, Mgr Gérard Mulumba, a déclaré que si cela devrait arriver, ce serait de la faute des autorités de la RDC qui ont refusé d’accéder à la demande de la famille biologique  et politique de l’illustre disparu sur le lieu de l’inhumation.  Quand la ville de Kinshasa et le Gouvernement octroient un carré spécial  au Cimetière de la Gombe, les Tshisekedistes exigent d’ériger le mausolée à Limete, au siège de l’UDPS.<br />
<br />
Depuis, il n’y a pas eu d’avancée. Face au blocage, l’inhumation d’Etienne Tshisekedi à Bruxelles paraît comme la seule hypothèse plausible.  Mais, à Kinshasa, les ‘‘combattants’’ de l’UDPS ne l’entendent pas de cette oreille. Ils ont, d’ailleurs, débuté des travaux de construction du mausolée  à leur siège de Limete. Pour prétendre trouver un compromis entre les deux parties, il faudrait que le Gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta, qui rentre en  ce début de semaine après un séjour à l’étranger, fasse un pas dans le sens voulu par l’UDPS et la famille biologique de Tshisekedi. Une hypothèse difficile à envisager dans la mesure où, le pouvoir a, à plusieurs reprises, rejeté tous les lieux choisis par la famille. Des raisons, pour justifier le refus du Gouvernement, n’ont pas manqué. Le Gouvernement a évoqué une loi datant  de l’époque léopoldienne qui interdit l’enterrement d’un mort dans des lieux d’habitation. Des risques de profanation ont été aussi soulevés.  Par ailleurs, il y a des signes qui ne trompent pas sur la fermeté du Gouvernement en cette matière. Le communiqué du Gouvernement a été sans équivoque en suspendant, à la demande de la famille, les travaux de construction du pavé  à l’entrée du Cimetière de la Gombe. Comme pour dire que c’est à la famille de faire des concessions. En d’autres termes, le Gouvernement a déjà effectué beaucoup de dépenses,  quant à ce. Si, dans les heures qui suivent, le corps de Tshisekedi était enterré à Bruxelles, il allongerait ainsi la liste de  dirigeants congolais inhumés à l’étranger. Le corps de Mobutu continue à être gardé au Maroc. La dépouille de Moïse Tshombe traîne depuis des décennies en Algérie. Lumumba, lui, n’a pas de tombe. Le corps de Tshisekedi aurait connu un autre sort si et  seulement si,  le Gouvernement et sa famille biologique ne s’étaient pas heurtés  contre le  refus des combattants de l’UDPS d’enterrer leur idole dans un cimetière comme tout le monde. En RD. Congo, la déception sera tellement grande qu’on saurait  l’imaginer d’avance.

la Nation Politique Face au blocage. Etienne Tshisekedi : vers l’inhumation à Bruxelles !

*L’option d’enterrer provisoirement Etienne Tshisekedi à Bruxelles fait du chemin. C’est l’UDPS/Benelux qui a donné le ton. Aussitôt, le ...

Fortes pressions de l’UE. RDC : la souveraineté en danger !

March 13, 2017

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*En raison de la menace  de sanctions brandies  dernièrement, les relations entre l’Union Européenne et Kinshasa, sont   tendues.   Kajepa Molobi,  l’analyste pro-Majorité qui, depuis un certain, s’exprime sous forme de Tribune libre,  estime que l’Union Européenne  s’immisce un peu trop  dans les affaires relevant de la cuisine purement  interne  de la  RD. Congo. Pour lui, la Majorité et l’Opposition, quelles que soient leurs positions au niveau de discussions directes sur les arrangements particuliers, devraient s’organiser pour résister contre ces intrusions répétitives de l’Union Africaine qui, à son avis, risquent d’ébranler les bases de la souveraineté du pays.  Ci-dessous, découvrez cette nouvelle  réflexion libre au terme de laquelle, il  lance un appel à la résistance populaire.<br />
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Face à  l’Union Européenne : la RDC  doit résister !<br />
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En date du 6 mars 2017, l’Union Européenne a publié un communiqué absolument surréaliste sur notre pays. Dans un texte de trois pages, l’organisation européenne enjoint les autorités congolaises à mettre en œuvre l’Accord du 31 décembre 2016.<br />
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Une réaction inacceptable<br />
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Sans autre forme de procès, tout congolais patriote, tenant  au respect de la souveraineté de son pays et respectueux de la lutte des pères de l’indépendance, se doit, avec la plus grande fermeté, rejeter cette intrusion. La RDC n’est pas membre de cette organisation qui n’a rien à faire dans les affaires de notre pays.<br />
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Sans aucun respect quant à notre souveraineté. Dans l’ignorance totale du droit à l’autodétermination des peuples, pourtant,  bien spécifié dans l’article 1er point 2 de la Charte des Nations-Unies, l’Union européenne a cru bon de s’immiscer imprudemment dans une affaire purement congolaise. L’intervention de l’Union Européenne est venue mettre de l’huile sur un feu que les Congolais s’évertuaient à éteindre. <br />
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L’Union européenne s’érige en arbitre pour juger de la situation de notre pays et définir ce que nous devrons faire. Que l’on soit de la Majorité ou de l’Opposition, cette prise de position doit nous révolter.  Nous sommes appelés à nous y opposer fermement.<br />
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Une réaction injuste et arbitraire<br />
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Tout en étant inacceptable parce que l’Union européenne ne peut exercer aucune autorité sur les dirigeants de notre pays, la réaction du Conseil des Ministres des Affaires Etrangères de l’Union Européenne est non seulement mal documentée mais parfaitement injuste.<br />
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Comment peut-on exiger, avec un ton aussi comminatoire, à un Chef d’Etat élu et reconnu de mettre en œuvre un Accord  dont les conditions d’application prévues au sein même du texte ne sont pas encore connues ? Je rappelle que l’arrangement particulier qui doit fixer les règles d’application de l’Accord du 31 décembre 2016, n’existe pas encore.<br />
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Comment peut-on exiger d’un Chef d’Etat de négocier sérieusement avec une organisation de l’opposition qui se trouve en complète dislocation ? Au moment où j’écris, trois équipes différentes revendiquent la direction du « Rassemblement».<br />
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Comment peut-on exiger d’un Chef d’Etat reconnu de nommer un Premier Ministre dont des pans entiers de son organisation politique d’origine,  contestent la légitimité ?<br />
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Comment ose-t-on exiger d’un Chef d’Etat légitimement élu de nommer un Premier Ministre dont le « pédigrée » et les compétences ne correspondent pas aux exigences acceptées de commun accord entre la Majorité et l’Opposition en toute liberté.<br />
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Comment une organisation régionale, éloignée de l’Afrique, peut-elle enjoindre à notre « Assemblée Nationale d’adopter dans le plus bref délai des mesures législatives » ?<br />
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Un piège à éviter<br />
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L’opinion publique congolaise a été choquée de voir une frange de l’opposition se réjouir des menaces proférées par cette organisation étrangère au Gouvernement congolais.<br />
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Cette opposition pense naïvement que les européens viennent  à leur secours pour des raisons philanthropiques ou démocratiques. L’explication est tout autre et bien simple. Les européens veulent montrer à l’Afrique toute entière leur volonté de soumettre notre continent à leurs intérêts. Accepter ce dictat c’est trahir Patrice-Emery LUMUMBA, Kwame Nkrumah et tous ceux qui, à travers notre histoire, ont donné leur vie pour que l’africain retrouve sa dignité.<br />
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Comme d’habitude le texte de l’Union Européenne contient des promesses que les Européens ne réaliseront pas. Au point 6 du texte on peut lire «… la priorité sera de doter la mission des moyens nécessaires lui permettant de faire face aux nouveaux défis politiques et sécuritaires en veillant à renforcer le dispositif de protection des civils, et en fournissant un appui pertinent au processus électoral ». Les Européens savent pertinemment bien qu’ils ne le feront pas.<br />
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Devons-nous rappeler que la résolution 2277 du Conseil de Sécurité avait donné deux rôles spécifiques à la MONUSCO à savoir :<br />
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Un appui logistique dans le processus d’enrôlement et l’organisation matérielle des élections, point 35, ii, lettre c ;<br />
Une assistance technique à la CENI.<br />
Jusqu’à ce jour, et ce malgré les démarches du chef de la MONUSCO à Kinshasa, New-York n’a envoyé aucun financement.<br />
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De plus, sur les 125.000.000 USD prévus pour les fonds fiduciaires d’appui électoral, le PNUD n’a versé que 6%.<br />
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Où devons-nous aller chercher la vérité sur ce que pensent réellement les Occidentaux de notre processus électoral ? Est-ce dans leurs déclarations intempestives ou dans leurs agissements ?<br />
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La nécessité de poursuivre le combat<br />
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Aujourd’hui l’Union européenne prépare les esprits à accepter ce qu’ils se proposent de faire : intervenir en RDC pour y imposer un régime politique à sa solde. L’Union Européenne veut rééditer l’exploit mis en œuvre en Côte d’Ivoire en imposant Ouattara alors même que la vérité demeure que Laurent Gbagbo n’avait pas perdu les élections.<br />
<br />
Ceux qui ont tué KADHAFI, tout en disloquant l’Etat et la Nation Libyenne sont décidés à démanteler l’Etat congolais pour en offrir une partie à ses voisins et laisser disperser les autres morceaux dans une configuration dont personne ne saurait mesurer les conséquences.<br />
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Face à cette situation, les Congolais doivent se souvenir du combat de l’unité qui a été celui de Patrice LUMUMBA. Ceux qui ont aidé à son élimination politique et physique, nous ont offert une dictature qui a duré 32 ans et démoli le pays.<br />
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Un homme averti en vaut deux ! Une Nation consciente de son histoire en vaut bien plus.

Politique Fortes pressions de l’UE. RDC : la souveraineté en danger !

*En raison de la menace de sanctions brandies dernièrement, les relations entre l’Union Européenne et Kinshasa, sont tendues. Kajep...

Haut-Katanga : la tête de Jean-Claude Kazembe recherchée !

March 13, 2017

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*La Majorité Présidentielle est-elle sur le point de bouffer ses propres  enfants ? C’est la question que certains observateurs se posent depuis le rappel en consultation, à Kinshasa, du Gouverneur du Haut-Katanga, la province  qui comprend la ville de Lubumbashi comme chef-lieu. Le rappel de Jean-Claude Kazembe, en temps normal, n’aurait posé aucun problème particulier dans la mesure où il n’évolue pas en électron libre. En ce moment de l’histoire politique agitée, la venue du Gouverneur Jean-Claude Kazembe à Kinshasa ressemble plus ou moins à une interpellation. On peut, en même temps, s’interroger sur les objectifs poursuivis par ceux qui tiennent, absolument, à en découdre avec le Gouverneur du Haut-Katanga, quitte à avoir sa peau ou  à la vendre.<br />
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Dans l’entourage de Jean-Claude Kazembe, on ne s’interdit plus de parler d’une main noire qui agirait pour déstabiliser le Gouverneur. La MP a-t-elle vraiment besoin de se lancer dans une longue procédure qui pourrait aboutir à une éventuelle éviction de Jean-Claude Kazembe ? La question n’est pas de savoir si cela est possible. Mais, de penser aux conséquences qu’une telle démarche pourrait avoir sur la cohésion au sein de la famille politique du Chef de l’Etat. Les dégâts en termes d’image seront importants. Le hasard du calendrier a voulu que la guéguerre survienne pendant que le pouvoir est engagé dans des discussions directes devant déboucher sur une gestion consensuelle de l’Etat pendant la transition. D’autres analystes parleraient d’un effet contagion en pensant à ce qui se passe au Rassemblement où les Romains s’empoignent uniquement pour le pouvoir ou la succession d’Etienne Tshisekedi.  Comme qui dirait que ça ne brûle pas que chez le voisin. Pour le cas du Haut-Katanga, un changement de Gouverneur, actuellement, n’est pas la solution. Il ne faudrait pas, par ailleurs, perdre de vue qu’il n’a pas été facile de remplacer Moïse Katumbi, passé à l’opposition, à la tête de cette  province. Le départ, apparemment, recherché  de Jean-Claude Kazembe signerait la fin des travaux d’infrastructures en cours à Lubumbashi et dans les autres villes du Haut- Katanga. A l’actif du Gouverneur, on met la construction, sur fonds propres, d’un immeuble du Gouvernement provincial. Le Chef de l’Etat y dispose d’un bureau. Les visiteurs comparent cet édifice à l’immeuble Intelligent, place Royal à Kinshasa. Au fait, de quoi accuse-t-on Jean-Claude Kazembe ? D’après l’un des  ses proches, sa tête est mise à prix au motif non avoué qu’il gère seul la province et que d’autres ne se retrouvent pas. Pourtant, la gestion dans une province phare comme le Haut-Katanga doit être axée sur le résultat. Dans pareilles conditions, il faut passer en second plan,  les intérêts, les privilèges et autres avantages indus. Si Jean-Claude Kazembe devrait se soumettre à ces pratiques, cela reviendrait à dire qu’il serait  amené à abandonner la lutte acharnée qu’il mène contre les réseaux maffieux qui opèrent dans la province.  D’ailleurs, une  telle propension à servir les intérêts particuliers en lieu et place de la Province,  alimenterait, d’une manière ou d’une autre, ces mêmes réseaux, pour favoriser le coulage des recettes. Au-delà de tout, de nouvelles  dissensions au sein de la Majorité, s’il faut vraiment aller jusqu’au bout,  feraient le choux gras de l’Opposition.

Politique Haut-Katanga : la tête de Jean-Claude Kazembe recherchée !

*La Majorité Présidentielle est-elle sur le point de bouffer ses propres enfants ? C’est la question que certains observateurs se posent...

En perspective des activités du 23 au 25 mars prochain. Kinshasa: Isabel Tshombe harmonise avec Bouramah Ali Harouna

March 13, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGMztx4zvCXn4mE9o-dXOhDy8TGROXDhyphenhyphen4UeR8aJvNYiOhIG4q1OTffGXq5SrDqI2a5ZPwFGvhyEJksgmAtgWm4nMYXtxp0rYpfrqNCK0mHuIJEQcw82f3Yq3SCzlvpuh4JfDqjz7IotUh/s1600/Snapshot_1365.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGMztx4zvCXn4mE9o-dXOhDy8TGROXDhyphenhyphen4UeR8aJvNYiOhIG4q1OTffGXq5SrDqI2a5ZPwFGvhyEJksgmAtgWm4nMYXtxp0rYpfrqNCK0mHuIJEQcw82f3Yq3SCzlvpuh4JfDqjz7IotUh/s400/Snapshot_1365.jpeg" width="400" /></a></div>
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Le Secrétaire général de la Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie (CONFEJES), Bouramah Ali HAROUNA a terminé, le jeudi 9 mars 2017, sa mission de travail en République Démocratique du Congo. Lors de cette mission de 2 jours, le nigérien Bouramah Ali HAROUNA a eu des échanges avec certaines autorités. C’est dans ce cadre, qu’il a rencontré le mercredi 8 mars la Représentante Personnelle du Chef de l’Etat à la Francophonie, madame Isabel TSHOMBE.<br />
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Il sied de signaler que le Secrétaire général de la CONFEJES  était accompagné par  la correspondante nationale de la CONFEJES, Thérèse MBUJIBUNGI.<br />
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Mr HAROUNA a informé madame Isabel TSHOMBE de la tenue du 23 au 25 mars prochain à Kinshasa d’une rencontre de directeurs nationaux de la jeunesse et ceux de sports  des Etats membres de la CONFEJES de l’Afrique centrale. Cette session régionale sera axée sur la Gouvernance sectorielle.<br />
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Il a, par ailleurs, salué l’accompagnement  qu’apporte  la Représentante Personnelle du Chef de l’Etat à la Francophonie  à la ministre de la jeunesse et de l’initiation à la nouvelle citoyenneté dans le cadre de la présidence RDC de la CONFEJES.<br />
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En effet, depuis la tenue en 2015 de la 35ème Conférence ministérielle de la CONFEJES à Kinshasa, la RDC assume la présidence de cette Conférence permanente de l’Organisation Internationale de la Francophonie.<br />
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La Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie, Créée en 1969, est une institution intergouvernementale qui œuvre pour la promotion de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs au sein de l’espace francophone.<br />
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Sa mission est de mobiliser les pays, les ressources et les énergies dans une perspective de concertation afin de promouvoir la participation et l’insertion des jeunes au sein de la société.<br />
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La CONFEJES compte 43 Etats et gouvernements membres. En tant que membre, la RDC bénéficie des projets de la CONFEJES notamment le Programme de Promotion de l’Entrepreneuriat des Jeunes (PPEJ) qui appui le financement des jeunes entrepreneurs.

Sport En perspective des activités du 23 au 25 mars prochain. Kinshasa: Isabel Tshombe harmonise avec Bouramah Ali Harouna

Le Secrétaire général de la Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie (CONFEJES), Bouramah Ali HAROUNA a...

« Je ne quitterai jamais l’UNC, je suis à l’aise aux cotés de Vital Kamerhe » (Mayo)

March 13, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-FYJ_Lj81w2t609-O08zJ-1LfWg3H2m7tWN9yKksiV5e1KieYkPQYEDdHkrwGsddhvI9GWAzRwDj-FdovMHhmjvp9XwL0vVKKOkll5SAEDj5f_0ly5FEdyHOA1zZS76qwmJBEtUgaIXTG/s1600/Snapshot_1212.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-FYJ_Lj81w2t609-O08zJ-1LfWg3H2m7tWN9yKksiV5e1KieYkPQYEDdHkrwGsddhvI9GWAzRwDj-FdovMHhmjvp9XwL0vVKKOkll5SAEDj5f_0ly5FEdyHOA1zZS76qwmJBEtUgaIXTG/s400/Snapshot_1212.jpeg" width="400" /></a></div>
<br />Informé des rumeurs faisant état de son départ de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), Jean Baudouin Mayo Mambeke dément catégoriquement et réaffirme son attachement au président de son parti Vital Kamerhe.<br /><br />« Ceux qui m’aiment m’appellent pour me dire qu’il circulerait des rumeurs sur mon éventuel départ de l’UNC parce qu’ayant fondé mon propre parti. Il n’y a rien de plus faux que cette rumeur, si jamais elle existe. Je ne quitterai jamais alors jamais mon parti, que nous avons bâti autour du président national Vital Kamerhe. Ceux qui caressent un tel projet risquent d’attendre longtemps et de vite déchanter. Est-ce que quitter l’UNC est vraiment nécessaire ? Non, je pense que ça, c’est donner l’impression d’être à l’action de ceux qui veulent isoler le président national Vital Kamerhe de ses collaborateurs de départ. Cette stratégie ne réussira pas. Et en ce qui me concerne, j’ai des relations privilégiées, sincères et responsables avec le chef du parti. C’est ce qui m’importe le plus. Halte au colportage. Ridicule. Tokotikela mutu UNC te. Mbamba na UNC (Ndlr « Nous ne laisseront l’UNC à personne. Nous nous y accrochons). » a déclaré à ACTUALITE.CD Jean Baudoin Mayo Mambeke, interfédéral de l’UNC pour la ville de Kinshasa, ce samedi 11 mars 2017.<br /><br />À ACTUALITE.CD , jeudi 9 mars dernier, Vital Kamerhe avait apprécié le travail abattu par Jean Baudoin Mayo Mambeke, jugé très actif. Pourtant, Jean Baudouin Mayo Mambeke qui avait, 24 heures après la mise en place du gouvernement BADIBANGA, sévèrement critiqué Vital Kamerhe.<br /><br />« Malgré nos efforts et notre attachement, nous venons de donner raison à Ewanga, notre ancien secrétaire général qui avait affirmé que seuls l’Est et les amitiés intimes comptaient pour notre président national, l’Ouest n’étant qu’un faire-valoir. Nous refusons d’assumer ce rôle et sommes prêts à envisager l’avenir autrement. Ça suffit avec le jeu solitaire » avait-il alors lâché.<br /><br />Il faut donc croire qu’entre les deux hommes, les relations se sont harmonisées. Nombreux sont ceux qui voyaient cet élu de la ville de Kinshasa sur le départ, mais le voici confirmer le contraire.<br /><br />Stanys Bujakera<br />

Politique « Je ne quitterai jamais l’UNC, je suis à l’aise aux cotés de Vital Kamerhe » (Mayo)

Informé des rumeurs faisant état de son départ de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), Jean Baudouin Mayo Mambeke dément catégoriqueme...

Bokolombe démissionne du secrétariat de l’UNC mais demeure membre pour préserver son siège de député

March 13, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg32ZAL4aQ310CV6FuZx1lwUk-gCEhgJ-mGvr4u5sdgoCM524AzDkEJ_bFrOCgq_rGvaoKvqZFobyNg6tJs3g4i96a0NWDeCP4BP5qvqWxnovRHbqdZQUUKHAINfAzMCaAL4i09tw5MHPdq/s1600/Snapshot_1210.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg32ZAL4aQ310CV6FuZx1lwUk-gCEhgJ-mGvr4u5sdgoCM524AzDkEJ_bFrOCgq_rGvaoKvqZFobyNg6tJs3g4i96a0NWDeCP4BP5qvqWxnovRHbqdZQUUKHAINfAzMCaAL4i09tw5MHPdq/s400/Snapshot_1210.jpeg" width="400" /></a>Le député national Sam Bokolombe a démissionné de son poste de secrétaire national de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), en charge de la Justice et de la Bonne gouvernance, ce samedi 11 mars 2017 .<br />
« Les raisons sont personnelles », dit-il dans sa lettre déposée au bureau du président du parti, Vital Kamerhe.<br />
Pas surprenant, d’autant plus qu’il ne ménage pas Vital Kamerhe via les réseaux sociaux dont il doute désormais de la qualité d’opposant.<br />
« Se méfier des apparences. Vous êtes de quel camp ? Il y a un problème d’identité politique. Pas de lisibilité. On ne devient pas un opposant parce que la kabilie, votre ancienne famille politique, refuse de vous y réintégrer. Manœuvres politiciennes, ruse politique ! Les endroits les plus incandescents de l’enfer sont réservés aux gens qui n’ont pas de position », avait-il écrit. Des propos qu’il a confirmés au téléphone d’ACTUALITE.CD.<br />
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Sam Bokolombe pousse à sa propre exclusion<br />
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« Il fait des provocations en insultant le chef sur la place publique pour que Kamerhe le chasse du parti, et qu’ainsi, il garde son siège de député à l’assemblée nationale. Ce n’est pas normal qu’il puisse avoir du courage et démissionner », lâche un haut cadre de l’UNC qui a requis l’anonymat.<br />
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Le gouvernement Badibanga, source de problèmes<br />
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Plusieurs cadres de l’UNC ont été frustrés 24 heures après la mise en place du gouvernement Badibanga, reprochant à Vital Kamerhe de ne favoriser que ses frères ressortissants de l’Est qui ont obtenu deux sièges au gouvernement et ses amis dont Pierre Kangudia du Kasaï qui est aussi au gouvernement. Plusieurs membres de la partie ouest du pays, membres de l’UNC, se sentent laissés pour compte.<br />
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Stanys Bujakera

Politique Bokolombe démissionne du secrétariat de l’UNC mais demeure membre pour préserver son siège de député

Le député national Sam Bokolombe a démissionné de son poste de secrétaire national de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), en charge de ...

Samuel, 6 ans, le Aylan congolais retrouvé mort sur une plage espagnole

March 13, 2017

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Samuel et sa mère, comme plusieurs autres migrants, ont été victimes du naufrage d’un canot pneumatique parti du Maroc le 11 juin.<br />
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Véronique Nzazi, la mère du petit garçon, a été enterrée en Algérie où l’océan avait trainé son corps. Samuel, lui, a été trouvé le 27 janvier sur une des plages de Barbate (Cadix), sur la côte Atlantique.<br />
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Aimé Kabamba, père de Samuel, aidé par l’ambassade de Kinshasa, a pu se rendre à Andalousie pour assister aux funérailles de son fils.<br />
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Selon le témoignage du père, la mère de Samuel pensait se rendre en Espagne pour soigner une tumeur cancéreuse derrière l’oreille. Elle se sentait mal à l’idée de voyager sans le petit jeune de ses enfants qui souffraient également des problèmes pulmonaires.<br />
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Comme Véronique et Samuel, de milliers des congolais tentent de rejoindre l’Europe en passant par le Maghreb, mais très peu réussissent cette aventure pour le moins périlleuse. Le cas de Véronique et Samuel est particulier parce que la maladie de Véronique était avérée comme le témoigne les documents présentés par Aimé Kabamba. Des démarches menées à la Maison Schengen à Kinshasa et au Maroc avaient toutes échouées. Pour la famille, c’était donc une question de vie ou de mort.<br />
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actualite.cd

Politique Samuel, 6 ans, le Aylan congolais retrouvé mort sur une plage espagnole

La semaine de l’actualité congolaise a été marquée par l’histoire de ce petit garçon de six ans dont le corps s’était échoué sur une plage d...

Kabila, Tshisekedi lui manque déjà…

March 13, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfHP0lTxtR-SSqJCI301yhg-3_JX7kkxdBST_v3oezDlAzV-Qm9d9Sohazb3Pg43lXlaoHgtPfHcIM3AzqQGGBxTXOx6Yimv5aofAUF31M4NbNhySDgcK2J4ECotNTCtmRCaoKsRDdOfjP/s1600/Snapshot_1182.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfHP0lTxtR-SSqJCI301yhg-3_JX7kkxdBST_v3oezDlAzV-Qm9d9Sohazb3Pg43lXlaoHgtPfHcIM3AzqQGGBxTXOx6Yimv5aofAUF31M4NbNhySDgcK2J4ECotNTCtmRCaoKsRDdOfjP/s400/Snapshot_1182.jpeg" width="400" /></a>Le président Joseph Kabila est peut-être plus touché qu'on ne pouvait l'imaginer à la disparition, le 1er février dernier, de son opposant attiré, Etienne Tshisekedi wa Mulumba.« C’est le président Kabila qui sort gagnant », affirmait la journaliste Colette Braeckman du journal LE SOIR en Belgique,  dans la foulée de l’annonce fracassante de la mort du leader de l’opposition congolais à l’âge de 84 ans à Bruxelles . La dame, Spécialiste attitrée du Congo, qui a couvert pendant plus de trois décennies la scène politique de la RDC, y affirmait en outre que la disparition d’Étienne Tshisekedi fragilisait l’opposition congolaise regroupée au sein du Rassemblement, et que de ce fait, Joseph Kabila devrait en profiter.<br />
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« L’opposition radicale. Sa disparition risque de fragmenter l’opposition en RDC, et de laisser à nouveau les intérêts individuels ou politiciens l’emporter sur l’intérêt général. Une fois de plus c’est le président Kabila qui sort gagnant : il a gagné du temps, ce qui est à lui est à lui et ce n’est pas négociable, il peut rester en fonction jusqu’aux prochaines élections. Ce qui appartient à l’opposition est négociable« , disait-elle dans une interview à la télévision belge RTBF, le 2 février dernier.<br />
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Hélas, si la première partie de l’analyse de la journaliste belge s’est avérée exacte, à savoir la « fragmentation » de l’opposition congolaise, caractérisée par des dissensions et guerres au sein du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement, l’autre partie ne semble pour autant pas se concrétiser.<br />
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<br />
<br />
En effet, alors que l’accord signé le 31 décembre dernier à Kinshasa semblait être garanti par deux principaux protagonistes de la crise politique en RDC, à savoir le président Joseph Kabila et sa famille politique d’un côté, et Etienne Tshisekedi et son Rassemblement de l’autre, la disparition du Sphinx de Limete pourrait priver les Kabilistes d’un interlocuteur valable.  Même si la division au sein de la  première coalition de l’opposition semble pour l’instant arranger les plans de la Majorité au pouvoir, nul n’est sûr que cela soit le cas dans le long terme. Un Rassemblement fort déstabilisé, voir amoindri menacerait directement ce fameux accord trouvé à l’arrache-pied et qui a permis à Joseph Kabila de respirer un peu sur la scène internationale.<br />
<br />
Tout le monde se souviendra que le président congolais y a couru après depuis novembre 2015, date à laquelle il a décrété le Dialogue politique, croyant mordicus avoir la participation d’Etienne Tshisekedi, pour ainsi crédibiliser cette manoeuvre. Les réunions entre des représentants du pouvoir et ceux des proches de Tshisekedi à travers l’Europe et dans des officines à Kinshasa n’ont fait que renforcer la thèse selon laquelle: seule le leader de l’UDPS restait un interlocuteur crédible tant aux yeux du pouvoir qu’à ceux de la Communauté internationale; qui, entre-temps, n’a pas dévissé sa pression sur un Kabila suffocant.<br />
<br />
Et lorsque le Lider-Maximo a réussi, comme par magie, à fédérer les Katumbi et les Olenghankoy autour du grand Rassemblement, le pouvoir n’a pas hésité à sauter sur l’occasion pour institutionnaliser son glissement au pouvoir, allant jusqu’à remettre en cause un allié comme Vital Kamerhe et à s’offrir même un deuxième Dialogue.<br />
<br />
En panne d’interlocuteurs<br />
<br />
Aujourd’hui, comme le Porte-parole de la Majorité présidentielle, André-Alain Atundu Liongo l’a dit dans une interview dimanche sur POLITICO.CD, le blocage actuel dans l’application de l’accord est plus que jamais lié à la situation au sein du Rassemblement.<br />
<br />
« C’est l’UDPS et le Rassemblement qui n’ont pas un Président du Conseil des Sages qui bloquent l’accord. La Majorité est prête mais nous n’avons pas de partenaire de discussion. Le Rassemblement se décline actuellement en 3 courants et est incapable de se présenter dans les discussions en un front face à la MP« , explique l’Ambassadeur André Atundu. Même si le Porte-parole de la coalition des partis au pouvoir  est plus que jamais partial et Kabiliste, une petite vérité ressort néanmoins de ces propos: Jospeh Kabila manque d’interlocuteur de la trempe de Tshisekedi.<br />
<br />
Désignés à la tête du Rassemblement, puis contestés par une frange certes disparate, Félix Tshisekedi et Pierre Lumbi seront sincères d’admettre qu’ils ne peuvent pas autant peser sur la Kabilie, encore moins sur l’opposition que pouvait le faire Etienne Tshisekedi. Alors que déjà le Mouvement de Libération du Congo (MLC) aboie comme un chien enragé, avec sa coalition du Front pour le Respect de la Constitution dont personne ne sait réellement ce qu’il vaut vraiment, contre Pierre Lumbi, de la même manière que certains au sein même du Rassemblement, Joseph Kabila qui a la rancune tenace ne pourrait de ce fait se faire à l’idée d’adouber un homme qui l’a copieusement trahit; certes à démonter.<br />
<br />
De plus, derrière les ficelles mimant les mouvements de Lumbi, nous avons un Katumbi qui n’est rien d’autre que l’homme à abattre de la Kabilie. Juste à côté, un Vital Kamerhe égaré et de nouveau amoureux, à qui on a clairement montré qu’on ne lui faisait pas confiance. Des pions utilisables comme Olenghankoy ou Katebe Katoto ont un travail de popularité à faire… dans cette navigation en eaux troubles, Joseph Kabila devrait se sentir perdu, au point de vouloir plus que jamais ressuscité « le vieux ». Sauf s’il n’a jamais été question d’appliquer cet accord…<br />
<br />
SOPOLITICO,<br />
Par Litsani Choukran,<br />
Le Fondé.

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Le président Joseph Kabila est peut-être plus touché qu'on ne pouvait l'imaginer à la disparition, le 1er février dernier, de son op...

Des associations portent plainte contre le président Kabila à la CPI

March 13, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidfQjufZOq4sc1O9UvpBYBh4LDEJIQ7SojcOZJLQ934Dlj7Gty4FCVZZP0w2gCxdcTj5PW_4cGn4c-Mtf7T4kKKWHaF3U8-cTJBuO88AcIujbL-qYYy-dw_TZJjveI7d1k3jzLWmdVGUrN/s1600/Snapshot_1189.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidfQjufZOq4sc1O9UvpBYBh4LDEJIQ7SojcOZJLQ934Dlj7Gty4FCVZZP0w2gCxdcTj5PW_4cGn4c-Mtf7T4kKKWHaF3U8-cTJBuO88AcIujbL-qYYy-dw_TZJjveI7d1k3jzLWmdVGUrN/s400/Snapshot_1189.jpeg" width="400" /></a></div>
Un collectif d’associations congolaises a déposé une plainte devant la Cour pénale internationale (CPI) à l’encontre du président Joseph Kabila pour les exactions commises par ses services de sécurité. Une plainte jugée recevable par la CPI, même si aucune enquête ne vise pour l’instant le chef de l’Etat congolais.<br />
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Depuis 2012, de nombreuses plaintes sont régulièrement déposées devant la Cour pénale internationale (CPI) contre l’Etat congolais pour des violations répétées des Droits de l’homme. Vendredi 10 mars 2017, un collectif d’associations accompagné de plus de 200 Congolais de la diaspora ont déposé de nouvelles plaintes à la suite de la récente flambée de violence au Kasaï et de la découverte de fosses communes. Des plaintes jugées recevables par la Cour et qui seront désormais regroupées dans un même dossier avec les plaintes antérieures. Ce qui ne veut toutefois pas dire que la CPI engagera des poursuites. A la tête de cette action, l’association APRODEC, l’Association pour la promotion de la Démocratie et de Développement, ou la LICOF, la Ligue contre la Corruption et la Fraude que préside Oscar Rashidi qui répond aux questions d’Afrikarabia.<br />
<br />
Afrikarabia : Sur quels éléments vous basez-vous pour déposer cette plainte à l’encontre du président congolais ?  <br />
<br />
Oscar Rashidi : C’est une plainte contre Joseph Kabila pour crime contre l’humanité, crimes de guerre et génocide. Des fosses communes ont été découvertes à Maluku en avril 2015, ou récemment au Kasaï après les massacres commis par l’armée contre les adeptes de Kamuina Nsapu. Ces tueries ont pour responsable le chef de l’Etat qui est censé protéger les civils alors que toutes ces exactions sont perpétrées par les forces de sécurité congolaises. C’est donc le chef de l’Etat qui doit répondre de ces actes. Nous avons également remarqué que des groupes de miliciens sont financés par le gouvernement congolais. Trop c’est trop. Et c’est pour cela que ces Congolais ont déposé des plaintes pour que Joseph Kabila puisse enfin répondre de ces actes.<br />
<br />
Afrikarabia : Toutes ces accusations sont-elles documentées ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Nous avons une documentation solide, avec des photos à l’appui. Et toutes ces plaintes déposées depuis plusieurs années seront désormais rassemblées, en accord avec la CPI, sous un même numéro de dossier.<br />
<br />
Afrikarabia : Avez-vous reçu une réponse de la CPI ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Ces plaintes ont été jugées recevables et seront désormais regroupées par ce collectif d’associations ce qui permettra d’assurer le suivi des affaires auprès de la CPI. Auparavant, il y avait trop de plaintes multiples… nous avons maintenant un numéro de dossier unique à la Cour pénale internationale.<br />
<br />
Afrikarabia : Avez-vous espoir qui ces plaintes aboutissent ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Je crois qu’il y a maintenant une forte mobilisation des Congolais contre le silence de la communauté internationale. Surtout auprès de la Cour pénale internationale qui a pour mission de poursuivre tous ces dictateurs qui sont aujourd’hui impunis. L’espoir est permis tout simplement parce que désormais la CPI a jugé recevable ces plaintes. Pour nous, nos documents sont convaincants et solides.<br />
<br />
Afrikarabia : La RDC traverse une grave crise politique. Ces plaintes sont-elles en mesure de faire évoluer Joseph Kabila ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Le dépôt de cette plainte est un signal fort contre le gouvernement de Kinshasa. Il faut que les autorités comprennent l’exaspération de la population congolaise. Les Congolais en ont assez de ces massacres de civils à l’infini. Les autorités doivent comprendre qu’il faut maintenant faire cesser ces massacres.<br />
<br />
Afrikarabia : Certains présidents africains ont déjà été ciblés par la CPI sans résultat, comme le président soudanais Omar El Béchir. Le président Joseph Kabila peut-il vraiment être inquiété par la CPI ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Nous dénonçons justement cette politique des deux poids deux mesures. Laurent Gbagbo avait commis ce genre d’exactions lors des élections en Côte d’Ivoire. La communauté internationale avait alors réagi rapidement et aujourd’hui Laurent Gbagbo est devant la CPI. C’est donc possible. Joseph Kabila a tué des millions de personnes, des enfants ont été massacrés… Il faut maintenant que la CPI sorte de son sommeil vis à vis de la situation en RDC.<br />
<img src="https://i1.wp.com/www.politico.cd/wp-content/uploads/2017/03/IMG_20170313_073155.jpg?resize=702%2C964" /><br />
Afrikarabia : Cette plainte peut-elle également sonner comme un avertissement pour les responsables des services de sécurité congolais, militaires ou policiers ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Il y a un commanditaire qui est connu aujourd’hui, c’est Joseph Kabila, mais il utilise bien sûr ses forces de sécurité pour commettre les massacres. Les auteurs des tueries doivent bien évidemment être identifiés et sanctionnés. Avec le dépôt de ces plaintes, nous sommes persuadés que tous les responsables des services de renseignements et de sécurité peuvent maintenant être poursuivis. La pression est de plus en plus forte.<br />
<br />
Afrikarabia : Les menaces de sanctions ciblées de l’Union européenne à l’encontre de hauts dignitaires congolais vont dans le bon sens selon vous ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Il faut clairement aller au-delà de ces simples déclarations d’intention. Ces mesures ont insuffisantes jusqu’à ce jour. Une délégation de la FIDH est actuellement aux Etats-unis pour sensibiliser les américains à la situation congolaise et que des sanctions soient prises au plus haut niveau. Et nous profitons du dépôt de cette plainte à la CPI pour renouveler notre appel à tous les Congolais et toutes les organisations des droits de l’homme qui détiennent des preuves des exactions des autorités de Kinshasa ou de nouveaux éléments, à nous transmettre les documents pour les porter au dossier.<br />
<br />
Propos recueillis par Christophe RIGAUD – Afrikarabia

Politique Des associations portent plainte contre le président Kabila à la CPI

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Bertrand Ewanga : « L’AR a exclu Raphaël Katebe Katoto pour assurer l’élection de Moïse Katumbi à la prochaine présidentielle «

March 13, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBSfKJI1KcQAXXRHDrEJmYJh-4Y_supqXI7aRTqbFQ9JKA7Fc8SR9CG5iNxsOXAx2yGV4yLvt0Qsyeq10oFGqg5CaxbFewW0bHjoPEnd6cPDDmlWKuh7pm9_Hqs3EGa_8vg2KJDRwTMkR9/s1600/Snapshot_113.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="286" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBSfKJI1KcQAXXRHDrEJmYJh-4Y_supqXI7aRTqbFQ9JKA7Fc8SR9CG5iNxsOXAx2yGV4yLvt0Qsyeq10oFGqg5CaxbFewW0bHjoPEnd6cPDDmlWKuh7pm9_Hqs3EGa_8vg2KJDRwTMkR9/s400/Snapshot_113.jpeg" width="400" /></a>Le Secrétaire général de l'Alliance pour la République explique la décision de cette coalition de radier l'opposant Raphaël Katebe.<br />
<br />
Interrogé par Politico.cd sur l’exclusion de Raphaël Katebe Katoto de l’AR, le Secrétaire général de l’Alternance pour la République, Bertrand Ewanga a justifié cette exclusion par le fait que Raphaël Katebe Katoto prenait de plus en plus des positions qui mettaient des bâtons dans les roues de la machine à faire élire son jeune frère Moïse Katumbi, à la future présidentielle en RDC.<br />
<br />
« Katebe Katoto était notre sage. Mais il prenait des décisions sans impliquer sa base l’AR. Nous l’avons suspendu à titre provisoire et il est venu jusqu’à Kinshasa pour répondre à la commission de discipline instituée à cet effet. Mais après avoir répondu, il a continué également à faire des déclarations et à prendre des initiatives qui vont à l’encontre des intérêts de la plateforme et dans le sens de déstabiliser le Rassemblement. La meilleure de chose était alors de lui demander de partir« , a-t-il expliqué.<br />
<br />
Bertrand Ewanga a rappelé qu’avant l’ULD de Raphaël Katebe Katoto, l’AR avait déjà exclu trois  autres partis politiques, pour des raisons de discipline. Raphaël Katebe Katoto est un grand acteur politique qui pourra s’organiser autrement et l’AR poursuivra son bonhomme de chemin sans lui, selon lui.<br />
<br />
<br />
<br />
» Nous avons un candidat à nous, Monsieur Moïse Katumbi, et nous nous préparons pour son élection future. Il faut éviter qu’il y ait des obstacles dans le parcours en rapport avec les amis du Rassemblement. C’est pourquoi nous avons décidé de nous séparer de lui « , a-t-il confié.<br />
<br />
Si le gouvernement continue à bloquer l’application des mesures de décrispation, pour empêcher à Moïse Katumbi de venir postuler, Bertrand Ewanga avertit que sa famille politique entreprendra très prochainement des mesures civiles pour débloquer ce blocage.<br />
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Ecoutez Jean-Bertrand Ewanga au micro d’Aline Engbe<iframe frameborder="no" height="150" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=https%3A//api.soundcloud.com/tracks/311677020&auto_play=false&hide_related=false&show_comments=true&show_user=true&show_reposts=false&visual=true" width="100%"></iframe>

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Jean Marc Kabund sest adressé aux combattants de l'UDPS ce samedi 11 mars 2017 (VIDEO)

March 13, 2017

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La Résistance Patriotique ( APARECO) Réagit et Déballe Léon Nemalemba alias « Papa Molière » Corruption (vidéo)

March 12, 2017

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Tranche MUZIKANA : La team watanabe ba beti sankra K.O débout na BM . Mishka ayembi makasi (vidéo)

March 12, 2017

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L ' Analyse socio-politique par Kerwin Mayizo : CMC elingi ko ya na guerre na Est pona ko bengana Joseph Kabila (vidéo)

March 12, 2017

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ARTISTE COMÉDIEN GIANNI FAYI TRÈS FÂCHE CONTRE LE ZORO MABIALA (vidéo)

March 12, 2017

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INFOS7 : John Lungila reçoit Moise Monidela . " Moise Katumbi reste l 'homme le plus fort du Rassemblement après la mort de Tshisekedi " (vidéo)

March 12, 2017

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Musique : Génération d ' Hèlène Kalema avec Tatiana Cruz a présenté ClIP NA YE ya sika . Patience Ibembo abini grave (vidéo)

March 12, 2017

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Débat RDC Club 50 : Pourquoi Pierre Lumbi ne rassemble pas les opposants ? (vidéo)

March 12, 2017

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La RDC et le Rwanda signent un accord pour des recherches sur le Gaz méthane dans le lac Kivu

March 12, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhm-08TEgfjIibdwTErr4MIdsw8e5pswrceIE6EwXri8qwEHHnX6DHdBCROi9TeuMPhNj5MA2lrYwD1fRL3i2TlOzVKOYvkolH_3wUdUh3cikIFDe5vyOEkhK5RqCmXHc8l1e-pmH9fvMHg/s1600/Snapshot_2273.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="267" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhm-08TEgfjIibdwTErr4MIdsw8e5pswrceIE6EwXri8qwEHHnX6DHdBCROi9TeuMPhNj5MA2lrYwD1fRL3i2TlOzVKOYvkolH_3wUdUh3cikIFDe5vyOEkhK5RqCmXHc8l1e-pmH9fvMHg/s400/Snapshot_2273.jpg" width="400" /></a></div> La RDC et le Rwanda ont signé vendredi 10 mars à Gisenyi un projet de deux ans  pour mener des recherches communes sur l’exploitation sécurisée du gaz méthane du lac Kivu, grâce à un   financement   du  gouvernement hollandais  de l’ordre  de 8 million d’euros,  a annoncé le  Pr Katcho Karume, directeur général de l’Observatoire volcanologique de Goma dans la province du Nord Kivu.<br />
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« Pendant qu’il y a exploitation du gaz, les études se poursuivent. L’état du lac continue à être suivi. Nous faisons le monitoring et nous voyons s’il n’y a pas changement des paramètres. C’est un projet de deux ans. Les études vont se faire pendant les deux années. L’argent est géré par le Rwanda », a expliqué le professeur Katcho Karume, directeur général de l’Observatoire volcanologique de Goma.<br />
<br />
Le directeur général de l’Observatoire volcanologique de Goma  qui  a reconnu que la RDC est en retard par rapport au Rwanda sur l’exploitation du gaz du lac Kivu, a souligné que  « le gouvernement congolais doit lancer un appel d’offre pour voir s’il y a des entreprises qui viendront pour monter les plateformes pour l’exploitation du gaz méthane ».<br />
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<iframe width="554" height="340" src="https://www.youtube.com/embed/YqmtluDmcdA" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br />
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Le Rwanda  produit déjà de l’électricité en transformant le gaz méthane, pompé à partir d’une plateforme que le pays a installé sur le lac Kivu, à 13 km de sa rive.

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Musique : Bercy Mwana afingi Bill Clinton na Générique ya sika ya qu ' est ce que j 'avais dit (vidéo)

March 12, 2017

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Jean Jacques Mamba parle économie de la RDC : " Le Rwanda nous vend de l ' électricité à Goma via le Gaz méthane " (vidéo)

March 12, 2017

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March 12, 2017

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March 12, 2017

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March 12, 2017

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