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Delly Sessanga : « Il faut guérir de notre maladie de partage du pouvoir »

March 18, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4Y5MMuRii6-VYnRNdm3pPNoR24U-COtJypyKN4p3JiQ-HOJ3usbnERM2_5yzekcr94teB9OzjTN0VSu5T5sk0Ft9nSuO66RjJQMYxZyA6oPiOVuwGPrc5-AoFYtep2f5X8_ElUzeBNy59/s640/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%252853%2529.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4Y5MMuRii6-VYnRNdm3pPNoR24U-COtJypyKN4p3JiQ-HOJ3usbnERM2_5yzekcr94teB9OzjTN0VSu5T5sk0Ft9nSuO66RjJQMYxZyA6oPiOVuwGPrc5-AoFYtep2f5X8_ElUzeBNy59/s320/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%252853%2529.jpg" width="320" /></a></div> "Notre maladie de partage du pouvoir nous rattrape à chaque fois et nous empêche de voir la réalité", estime Delly Sessanga, invité du Magazine face à face sur top congo fm. Le député national et président du parti politique Envol affirme que "beaucoup d'entre nous doivent guérir de cette maladie. Je suis écœuré de voir aujourd'hui que la quête de la fonction ministérielle prend les pas sur tout. Et ça, c'est dommage". Il rassure, en ce qui le concerne que "je suis dans mon rôle de gendarme de la réforme. Je ne suis pas de ceux qui considèrent qu'être député ne sert à rien.

Je vais m'investir dans les initiatives que nous prises à l'Assemblée nationale où je serai". De toute façon, "quel que soit le dosage que vous pouvez faire, vous n'arriverez pas à satisfaire les appétits des uns et des autres. Il y a 500 députés, nous avons souhaité un gouvernement de 35, il y en aura 40 ou 50 personnes. Il ne faut pas prendre le pays en otage par rapport à ce problème". Delly Sessanga rappelle que "l'Union sacrée a été mise en place pour résoudre une crise qui existait au sein de la majorité et un pays qui était bloqué". Pour y arriver, "nous avons recherché une majorité capable d'enclencher la mécanique des réformes, en mettant en place l'Union sacrée. On n'a pas voulu mettre en place une union juste assurer le partage des responsabilités. Malgré, tout ce partage il faut se dire qu'il y a un pays à réformer. Il y a des sujets des préoccupations majeures qui devraient habiter les politiques. L'idée de l'Union sacrée était d'aller au-delà de ces clivages et ces intérêts". Membre du G13, groupe des personnalités tant politiques que de la société civile qui militent pour les réformes, il révèle que "le partage du pouvoir n'a pas objet de notre feuille de route"

Gendarme des réformes "Ne pas faire des réformes avant la désignation des membres de la CENI, c'est emprunter le même chemin ayant conduit à la défenestration du bureau Mabunda", alerte-t-il. Au président de l'Assemblée nationale qui a appelé à la mise en place rapide de nouveaux animateurs de la CENI, il prévient : "mettre en place les membres de la CENI, ce n'est pas accélérer le processus qui peut même empirer, comme c'était le cas avec la désignation de Ronsard Malonda". Il rappelle qu'il y a "trois propositions de lois qui existent et qu'il faut mettre sur la table : il y a la proposition Lutundula qui est là depuis deux ans, il y a le rapport de la CENI qu'il faut examiner et il y a aussi la loi électorale que nous avons conçue dans le cadre du G13". Parmi les réformes envisagées, "nous souhaitons changer, dans la nouvelle loi électorale, le mode de scrutin, l'abandon du seuil, l'organisation légale du vote électronique, la traçabilité des résultats, révision à la baisse de la caution et changement du mode des élections des gouverneurs". Il ne faux pas "personnaliser ces réformes. Dans un régime, on doit avoir des inéligibilités temporaires et les inéligibilités définitives. On ne fait pas cette loi pour Jean-Pierre Bemba".
 
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 Auteur d'une pétition portée par son parti Envol pour la révision de la Constitution, il souhaite l'irrévocabilité de la nationalité Congolaise et la restauration de deux tours à l'élection présidentielle pour renforcer la fonction présidentielle, rationaliser le mode d'entrée au gouvernement. Top Congo Fm

Politique Delly Sessanga : « Il faut guérir de notre maladie de partage du pouvoir »

"Notre maladie de partage du pouvoir nous rattrape à chaque fois et nous empêche de voir la réalité", estime Delly Sessanga, invi...

PASTEUR GUILY 18 - 03 -2021 : LA SORTIE DU GOUVERNEMENT SAMA LUKONDE , QU ' EST CE QUI BLOQUE ? ( VIDEO )

March 18, 2021

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Levée du couvre-feu: fausse alerte!

March 18, 2021

Au regard des libertés que les Kinois prennent avec les gestes barrières à longueur de journée, il y a lieu de s'interroger sur la nécessité de maintenir cette restriction. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgaOGPZ-u1tB6ZGgUj9mEzIb8WE6wgZ-K1TqyRbZSLuZBm_BJUNzOexQyITarjtDrtvQW3GDQJeYdS0fOisJ50ozI8-Tz-KrHmjPd4jH0V5Bz4VlP58NKA14Xw8FdlRvuwTpCi0698RPQ/s1070/Kinshasa.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="699" data-original-width="1070" height="418" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgaOGPZ-u1tB6ZGgUj9mEzIb8WE6wgZ-K1TqyRbZSLuZBm_BJUNzOexQyITarjtDrtvQW3GDQJeYdS0fOisJ50ozI8-Tz-KrHmjPd4jH0V5Bz4VlP58NKA14Xw8FdlRvuwTpCi0698RPQ/w640-h418/Kinshasa.jpg" width="640" /></a></div> Fausse alerte ! La nouvelle sur la levée du couvre-feu, répandue comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, n'est, à vrai dire, qu'une fake-news. En témoignent les proches du Gouverneur de la Ville de Kinshasa qui ont publié, ce mercredi 17 mars, deux communiqués officiels rejetant l'authenticité de la correspondance en circulation. Depuis hier en effet, un document annonçant la fin du couvre-feu fait le buzz sur le net. Emis sous le nom du Gouverneur de la ville de Kinshasa, ce document attribue à Gentiny Ngobila cette décision consistant à la levée du couvre-feu, décrété par le Président de la République, Félix Tshisekedi. Bien entendu, ce message, qui rejoint les attentes " du peuple d'abord ", suscite soulagement et euphorie dans le chef des Kinois, contraints de regagner leurs domiciles tous les jours, au plus tard 21 heures. Juchés sur des motos ou engouffrés dans des taxis à l'approche de l'heure " H ", nombre de citadins se pressant de regagner leurs domiciles, jubilaient déjà, en lisant ce message dans leurs portables. De même, pour ceux qui se contentaient des rumeurs relayées de bouche à oreille. La mise au point de l'Hôtel de ville de Kinshasa a suffi pour étouffer cette rumeur. En plus, les nombreuses barrières implantées par les forces de l'ordre à travers la capitale, voire le pays … à partir de 21 heures. " C'est à partir de cette heure que le coronavirus commence à circuler ! Pas avant ", commentait, avec une dose d'humour, un sexagénaire croisé, en plein midi, dans les embouteillages au marché de Matete. En dépit du couvre-feu, les Kinois ont fini, au fil du temps, par prendre des libertés face aux mesures barrières, exigées par les autorités pour freiner la contamination. Rares encore sont ceux qui portent correctement leurs masques en public, surtout dans les lieux à forte affluence. Aux marchés, dans les églises, les écoles, les universités, et pire … dans les transports en commun, masques, distanciation, lavement de mains, ... semblent progressivement tomber en désuétude, en pleine journée. L'on se demande, dès lors, s'il y a encore lieu de maintenir ces restrictions, bafouées davantage dans la sphère politique où se multiplient, au quotidien, des rassemblements de plus de dix personnes dans les carrefours publics, dans des salles ou encore lors des inaugurations et poses de premières pierres. Finalement, clame le Kinois lambda, le couvre-feu, quoique voulu bénéfique, pose plus de problèmes qu'il n'en résout. Il restreint, argumente-t-il, les activités des couche-tard, de ces jeunes dames qui doivent leur survie à la débrouillardise. Aux heures de pointe, à l'approche de 21 heures, les attroupements redoutés reviennent au galop dans les parkings et contribuent aux bousculades dans les véhicules de transport en commun. Au détriment de la distanciation sociale. COMMUNIQUEContrairement aux rumeurs qui circulent dans les réseaux sociaux faisant état de la levée du couvre-feu par le Gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, à travers un communiqué qui porterait sa signature, la coordination de la cellule de communication du Gouverneur de la ville tient à informer l'opinion publique qu'il s'agit d'un faux document dépourvu de toute authenticité.La coordination de la cellule de presse et communication du Gouverneur rappelle que la mesure de couvre-feu dans l'ensemble du pays suite à la situation épidémiologique due à la Covid-19, a été une décision du Président de la république, Chef de l'État, Félix Antoine Tshisekedi, seul ayant les prérogatives de la levée dudit couvre-feu.L'hôtel de ville demande à toute la population de Kinshasa de continuer à observer scrupuleusement la décision prise par le Président de la république.Pour la Coordination de la cellule de communication et presse du GouverneurBelise OKONDACoordonnatrice

Société Levée du couvre-feu: fausse alerte!

Au regard des libertés que les Kinois prennent avec les gestes barrières à longueur de journée, il y a lieu de s'interroger sur la néces...

Formation du gouvernement Union Sacrée "Félix Tshisekedi est bloqué par lui-même" Lisanga Bonganga

March 18, 2021

Jean-Pierre Lisanga Bonganga constate "avec amertume" que "contrairement aux allégations apocryphes qui accusaient le FCC de bloquer les actions du pouvoir en place, Félix Tshisekedi est bloqué par lui-même et de lui-même". Dans une déclaration parvenue au quotidien Forum des As, ce cadre estime que c'est cette situation qui explique le blocage actuel du Président de la république à mettre en place le Gouvernement de l'Union sacrée. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3X8Fnktf99zSKaWQnytnEsFvbTTmIomxKJybkqr1IR0-4md_sWrVFOpgBEHYSLT4IOm2ICvnADhZQMMA0Zd0BhV4gCPXUlccYLaFo5dpORgpqEMAmO9VPimca1aojLZ6RcMF17vYfRQ/s640/lisanga_bonganga_jean_pierre_20_02_jpg_640_350_1+%25283%2529.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3X8Fnktf99zSKaWQnytnEsFvbTTmIomxKJybkqr1IR0-4md_sWrVFOpgBEHYSLT4IOm2ICvnADhZQMMA0Zd0BhV4gCPXUlccYLaFo5dpORgpqEMAmO9VPimca1aojLZ6RcMF17vYfRQ/w640-h350/lisanga_bonganga_jean_pierre_20_02_jpg_640_350_1+%25283%2529.jpeg" width="640" /></a></div> Dans sa déclaration, Lisanga Bonganga souligne que la léthargie observée dans le chef du Président de la République s'est fait sentir depuis la dissolution de la coalition FCC-CACH "qui l'a porté au pouvoir". Le Coordonnateur de la Dysoc ne cesse de soutenir que la solution à cette crise ne peut que trouver des réponses par un dialogue entre Félix Tshisekedi (Union sacrée), Joseph Kabila (FCC) et Martin Fayulu (Lamuka) sous la médiation des confessions religieuses. RÉFORMES ÉLECTORALES
 
 
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 Lisanga Bonganga estime que " les propositions de réformes en rapport avec le prochain processus électoral doivent impérativement faire l'objet d'une adoption consensuelle, en dehors des institutions illégitimes actuelles". Ce membre de l'opposition propose que ces discussions se fassent entre les trois parties prenantes à la crise, à savoir : l'Union sacrée de la nation, le Front commun pour le Congo (FCC) et la coalition Lamuka. Ancien ministre d'État en charge des Relations avec le Parlement, Lisanga Bonganga est d'avis que le processus prôné demeure "la seule voie viable pour mettre fin à la crise et reconstruire la cohésion nationale nécessaire à la paix, à la stabilité et au développement de notre pays". La DYSOC souligne qu'"une fois adoptées par consensus, les propositions des réformes sus évoquées seront entérinées comme telles par le Parlement, le plus rapidement possible. "Cette démarche, précise Lisanga Bonganga, "vise à décourager les épigones putatifs qui peaufinent des stratégies malencontreuses aux fins de repousser irrégulièrement le délai de tenue des élections au-delà de 2023 et maintenir ainsi, un régime totalitaire, pourtant agonisant, dans lequel la parole du Président de la République a force de loi". Faute de s'inscrire dans cette démarche, la DYSOC promet "de mobiliser toutes les forces démocratiques et l'ensemble du peuple congolais autour des actions de grande envergure sur terrain, pour exiger la démission des autorités du pouvoir en place et l'organisation des élections anticipées conformément à la Constitution". Dans cette perspective, la DYSOC félicite Martin Fayulu, coordonnateur en exercice de la coalition Lamuka, pour avoir initié des réformes institutionnelles nécessaires, avant les prochaines échéances électorales. L'une de ces réformes vise notamment la loi organique portant organisation et fonctionnement de la Commission nationale électorale Indépendante (CENI) publiée le vendredi 12 mars dernier et "accueillie favorablement par le peuple congolais".
 
 
 
 
 
 
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 Tout en soutenant indéfectiblement la vision de Martin Fayulu à travers ces réformes institutionnelles documentées, la DYSOC invite vivement la classe politique, toute tendance confondue et les forces vives de la nation regroupées au sein de la société civile plurale, de s'en approprier pour permettre la dépolitisation et l'efficacité de la Centrale électorale en vue de l'organisation des élections crédibles. Sur un autre registre, le coordonnateur de la DYSOC déplore et condamne avec véhémence les propos diffamatoires et injurieux ainsi que des menaces proférées par des combattants et d'autres cadres "incontrôlés" du parti au pouvoir à l'endroit des princes de l'Eglise catholique. Il en de même des actes de blasphème et de sacrilège ainsi que la destruction "méchante" des symboles sacrés de cette Eglise universelle "qui a droit au respect et qui a toujours défendu les intérêts vitaux du peuple congolais".

Politique Formation du gouvernement Union Sacrée "Félix Tshisekedi est bloqué par lui-même" Lisanga Bonganga

Jean-Pierre Lisanga Bonganga constate "avec amertume" que "contrairement aux allégations apocryphes qui accusaient le FCC de ...

Après les sauts-de-mouton: Tshisekedi lance des travaux de la réhabilitation et modernisation des routes

March 18, 2021

Bientôt des routes relookées à Kinshasa. Bien en illustre, le lancement par le Président Félix Tshisekedi, hier mercredi 17 mars, des travaux de réhabilitation et de modernisation de 13 kms de la voirie urbaine, voulus pour une durée de 28 mois. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkEp0iQMHwrsaqbX2mTpZeO0ZMwG654NHm0McgCrKzhZlNK-GXZHOglM7DQ7SA9dU5Mop-Nc7Bcga5GvdLuBeCCt5tCcVUlx0iid5-ss1_QO3Y7rnxobD_zABJbom3l1utOyitGlc9OQ/s1735/arton30165.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1157" data-original-width="1735" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkEp0iQMHwrsaqbX2mTpZeO0ZMwG654NHm0McgCrKzhZlNK-GXZHOglM7DQ7SA9dU5Mop-Nc7Bcga5GvdLuBeCCt5tCcVUlx0iid5-ss1_QO3Y7rnxobD_zABJbom3l1utOyitGlc9OQ/w640-h426/arton30165.jpg" width="640" /></a></div> Cette double cérémonie de lancement des travaux de modernisation et de réhabilitation des routes de Kinshasa, a eu lieu dans deux sites différents. Le premier sur l'avenue Ngapani, connue sous l'appellation "Terre jaune", dans la commune de la N'Sele, dans la partie orientale de la capitale. Ce projet, dénommé "Tshilejelu" (entendu projet pilote ), consiste en la réhabilitation de 140 Km de route, en raison de 100 Km pour l'espace grand Kasaï et 40 Km pour la ville de Kinshasa. Le deuxième lancement s'est déroulé à la 7ème rue Limete, dans le cadre du projet "Moderne construction ", visant 13 Km de la voirie urbaine à réhabiliter sur Kinshasa, pour un coût de 18 millions de dollars américains.
 
 
 
 
 
 
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 DOTER LE PAYS DES ROUTES ASPHALTEES ET ECLAIREES Les communes bénéficiaires de ces travaux sont : Limete (7ème, 12ème, 13ème et 15ème rue), Lemba, Kimbanseke (boucle de Moboma) et Ngaliema avec la réhabilitation de l'avenue Escorte. Les travaux consistent en l'assainissement, la réhabilitation des chaussées et l'éclairage public. L'Office des voiries et drainage (OVD) a réalisé les études de faisabilité et va assurer la surveillance des travaux. Présent à cette double cérémonie, le Directeur général de l'OVD, Victor Ntumba, s'est réjoui de la matérialisation de la vision du chef de l'Etat dans le volet infrastructures, avec le développement des infrastructures routières aussi bien dans la capitale du pays, qu'en provinces. " La vision du Chef de l'Etat '"le peuple d'abord" comporte 14 axes, parmi lesquels nous avons le développement des infrastructures, touchant directement à l'OVD. C'est ainsi, qu'avec le Vice-premier ministre des Infrastructures et Travaux publics, nous avons travaillé pour mettre en place des programmes devant permettre à ce qu'il y ait développement des infrastructures. A l'initiative du Chef de l'Etat, nous avons monté le projet "Tshilejelu".Le Président de la république vient, à cet effet, de lancer les travaux à "Terre jaune". Comme son nom l'indique, c'est un projet pilote qui prend en compte la ville de Kinshasa et l'espace Kasaï", explique le numéro 1 de l'Office des voiries et drainage. Le projet "Tshilejelu", souligne Victor Ntumba, comprend 140 Km de routes à moderniser et à réhabiliter. Dans la répartition, fait-il savoir, hormis les 40 Km réservés à la ville de Kinshasa, la ville de Mbuji-Mayi aura 25 Km, Kananga 35 Km, Kabinda 10 Km, Muene-Ditu 5 Km, Tshikapa 15 Km et Sankuru 10 Km. Par ailleurs, le projet "Tshilejelu", fait remarquer Victor Ntumba, a commencé, pour sa première phase, dans les villes précitées, mais il va s'étendre dans d'autres provinces du pays. Des études sont en train d'être menées pour les provinces de l'ex-Equateur et de l'ex-Bandundu. AU TOTAL 66 KM DE ROUTES A REHABILITER DANS LA CAPITALE "Mais, en dehors de "Tshilejelu", poursuit-il, nous avons aussi d'autres projets que nous avons montés grâce au partenariat public-privé. Il s'agit, notamment, du projet que le chef de l'Etat vient de lancer à la 7ème rue Limete, avec l'entreprise "Moderne construction". Nous avons aussi un autre projet avec l'Association des bâtisseurs du Congo (ABC) pour 13 autres Km de routes. Ce qui fait que dans la ville de Kinshasa, en dehors des 40 Km du projet Tshilejelu, nous aurons un total de 66 Km de route qui seront réhabilitées, avec éclairage public et assainissement".
 
 
 
 
 
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 En ce qui concerne la durée des travaux dans le cadre du projet "Tshilejelu", Kinshasa aura 28 mois et l'espace Kasaï 36 mois, a-t-il poursuivi. A en croire Victor Ntumba, toutes les dispositions ont été prises pour que ces travaux ne souffrent de rien. "Tous les projets ont bénéficié d'un montage financier avec Equity Bank soutenu par les assurances de remboursement du gouvernement", a-t-il indiqué. Le coût des travaux de modernisation et de réhabilitation de la ville de Kinshasa est de 18 millions de dollars américains. Le gouverneur de la ville, Gentiny Ngobila, qui a également participé à cette double cérémonie, a, pour sa part, salué la participation du chef de l'Etat au lancement de ces travaux, qui pour lui, démontre sa volonté particulière d'accompagner le gouvernement de Kinshasa, dans sa lourde tache à assurer le bien-être de la population kinoise. "Cette marque de soutien, m'encourage à placer au centre du programme de mon gouvernement, l'intérêt supérieur de la population, en m'efforçant à œuvrer sans relâche en faveur de l'amélioration des conditions de vie des Kinois", a lâché Gentiny Ngobila.

Société Après les sauts-de-mouton: Tshisekedi lance des travaux de la réhabilitation et modernisation des routes

Bientôt des routes relookées à Kinshasa. Bien en illustre, le lancement par le Président Félix Tshisekedi, hier mercredi 17 mars, des travau...

Les avocats de Kalev Mutomb exigent le retrait du mandat d'amener et de l'avis de recherche

March 18, 2021

Exacerbés, le conseil de l'ancien patron de l'ANR sollicite l'implication du Président du Conseil supérieur de la Magistrature et du PG près la Cour de cassation. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVAE4lpLYewiv2C5fyLAwinmVX2AbLPz7Mq5l-WAxfd7EB8wMINpQTMdTjqY70EuHGOXamhblbEgroI3mU0cmOGLvk1pKoIj1VN6xza8-vk4r7LGXiue2jsyY-sn3arLbV7ql0Kbi8Eg/s592/jad20210218-ass-rdc-kalev-mutond-592x296-1613740658.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="296" data-original-width="592" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVAE4lpLYewiv2C5fyLAwinmVX2AbLPz7Mq5l-WAxfd7EB8wMINpQTMdTjqY70EuHGOXamhblbEgroI3mU0cmOGLvk1pKoIj1VN6xza8-vk4r7LGXiue2jsyY-sn3arLbV7ql0Kbi8Eg/w640-h320/jad20210218-ass-rdc-kalev-mutond-592x296-1613740658.jpg" width="640" /></a></div> Le collectif d'avocats de Kalev Mutondo dénonce ce qu'il qualifie de violation intentionnelle de la Constitution et des lois du pays dans le dossier de leur client. Dans une correspondance signée le 16 mars par le bâtonnier Cyprien Mbere Moba et adressée au Procureur général près la Cour constitutionnelle et Président du Conseil supérieur de la Magistrature (CSM), les avocats de l'ancien patron de l'ANR sollicite l'intervention de ce dernier dans le cadre de différentes plaintes contre leur client aux Parquets généraux de Kinshasa/Gombe et Kinshasa/Matete. Ce, soulignent-ils, pour la sauvegarde de la Justice. "Notre client est victime d'une procédure irrégulière et illégale de la part du Parquet général de Kinshasa/Gombe", juge le Conseil de Kalev pour qui les actes posés jusqu'ici par cette juridiction, sont en violation manifeste de la Constitution, des lois et des Règlements de la RD Congo.
 
 
 
 
 
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 Par ailleurs, dans un autre courrier, adressé hier mercredi 17 mars au Procureur général près la Cour de cassation, le Conseil de l'ex-numéro 1 de l'ANR dénonce le fait que le magistrat instructeur du dossier, l'avocat général Robert Kumbu Phanzu, ait lancé un mandat de comparution contre Kalev pour comparaitre le 9 mars, alors que l'actuel Administrateur de l'ANR avait déjà émis un avis défavorable quant à ce. Dans sa correspondance, le Conseil met en exergue l'article 25, alinéa 1er du décret-loi n°003/2003 du 11 janvier 2003 portant création et organisation de l'ANR. Pour les avocats de Kalev Mutondo, il s'agit-là, d'une disposition fondamentale en rapport avec la forme et la procédure auxquelles sont soumis les officiers de Police judiciaires ou du Ministère public, lorsqu'il est question d'interpeller ou de poursuivre les agents et fonctionnaires de l'ANR pour des actes posés dans le cadre de l'exercice de leurs attributions. Selon cette disposition, les Officiers de Police judiciaires ou du Ministère public doivent impérativement demander l'avis préalable de l'Administrateur général de l'ANR. Et, c'est ce qui avait été fait. Cependant, le Conseil dit ne pas du tout comprendre ce qu'il considère comme un acharnement du Magistrat instructeur du dossier de leur client qui, malgré l'avis défavorable de l'actuel ADG de l'ANR, tient mordicus à la comparution de Kalev. Le collectif rappelle que depuis la soirée du jeudi 11 mars, leur client fait l'objet d'un avis de recherche signé par le Procureur général près la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe. Une fois encore, le conseil de Kalev juge cette démarche comme étant en violation de la Constitution et des lois du pays.
 
 
 
 
 
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 Au nom de ces différents instruments légaux, le Conseil de Kalev ne demande pas mieux au Procureur général près la Cour de Cassation, que d'ordonner le retrait pur et simple du mandat d'amener et de l'avis de recherche contre leur client. Ce, dans le but de permettre à l'ancien patron de l'ANR de retrouver sa liberté de mouvement et se remettre à la disposition de la Justice, dans les formes prescrites par Constitution et la loi. Lire ci-dessous en fac-similé, les deux correspondances du Conseil de Kalev Mutondo.

Justice Les avocats de Kalev Mutomb exigent le retrait du mandat d'amener et de l'avis de recherche

Exacerbés, le conseil de l'ancien patron de l'ANR sollicite l'implication du Président du Conseil supérieur de la Magistrature ...

Décès de Magufuli : » Il a défendu fièrement l’indépendance du continent africain »( Tshisekedi)

March 18, 2021

Félix Tshisekedi rend hommage à John Magufuli , grand nom de la lutte de l’indépendance du continent africain et président de la République de la Tanzanie. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1zQVhNnqpXU6-BL6KundYDhHli71Zj6rrQZyG4Ujr92HqdpxhbHH0Lyip74eHytvFVjZbQssnNHfXH2p8Nv72D66xu8xIofbGS6Y7vHED3B13J1JjCmNZ5f8AfZyR_Cvwf8-K8NkqNA/s700/50803950_303.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="394" data-original-width="700" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1zQVhNnqpXU6-BL6KundYDhHli71Zj6rrQZyG4Ujr92HqdpxhbHH0Lyip74eHytvFVjZbQssnNHfXH2p8Nv72D66xu8xIofbGS6Y7vHED3B13J1JjCmNZ5f8AfZyR_Cvwf8-K8NkqNA/w640-h360/50803950_303.jpg" width="640" /></a></div> Le Chef de l’État congolais a été très touché d’apprendre la disparition de son partenaire John Magufuli , décédé à l’âge de 61 ans qui  » a défendu fièrement l’indépendance du continent africain ».
 
 
 
 
 
 
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 Ainsi ,en qualité du président de l’UA en exercice , Félix Tshisekedi présente ses condoléances au peuple frère de la Tanzanie et à la famille biologique de l’illustre disparu. Sa vie a été marquée par son engagement courageux et empli de compassion en faveur de la paix en Afrique orientale. John Magufuli est mort de complications cardiaques et qu’l avait été hospitalisé le 6 mars au Jakaya Kikwete Cardiac Institute.
 
 
 
 
 
 
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 Cette annonce intervient après des semaines de spéculation sur son sort, avec le soupçon qu’il avait été hospitalisé pour Covid-19. Il s’en est allé à l’âge de 61 ans.

Politique Décès de Magufuli : » Il a défendu fièrement l’indépendance du continent africain »( Tshisekedi)

Félix Tshisekedi rend hommage à John Magufuli , grand nom de la lutte de l’indépendance du continent africain et président de la République ...

Quête de la fonction ministérielle: Delly Sessanga se dit « écœuré »

March 18, 2021

Le député national et président du parti politique Envol dégoute la quête de la ministérielle qui selon lui prend le pas dans les quartiers généraux des partis et regroupements politiques pour le futur gouvernement d’union sacrée de la nation. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiM3pY3YUipr7YWGWtbIvB_IAtqyW-P35HZ_CCwgQ_W2oJUBv9Mdp5TSyNSCUDmSjK6gFGq7WKVR3x39sau2xBeBkFhXZ3GFozYPax0O-6Xtyq7L_ZYm-V3S7tslnMpZwlIDxvkxi7PXA/s592/sesanga-592x296-1549304413+%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="296" data-original-width="592" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiM3pY3YUipr7YWGWtbIvB_IAtqyW-P35HZ_CCwgQ_W2oJUBv9Mdp5TSyNSCUDmSjK6gFGq7WKVR3x39sau2xBeBkFhXZ3GFozYPax0O-6Xtyq7L_ZYm-V3S7tslnMpZwlIDxvkxi7PXA/w640-h320/sesanga-592x296-1549304413+%25281%2529.jpg" width="640" /></a></div> « Notre maladie de partage du pouvoir nous rattrape à chaque fois et nous empêche de voir la réalité. Je suis écœuré de voir aujourd’hui que la quête de la fonction ministérielle prend les pas sur tout. Et ça, c’est dommage », a t-il fustigé.
 
 
 
 
 
 
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 Ce membre du G13, groupe des personnalités tant politiques que de la société civile qui militent pour les réformes rassure, en ce qui le concerne affirme que « je suis dans mon rôle de gendarme de la réforme. Je ne suis pas de ceux qui considèrent qu’être député ne sert à rien. Je vais m’investir dans les initiatives que nous prises à l’Assemblée nationale où je serai ». De toute façon, « quel que soit le dosage que vous pouvez faire, vous n’arriverez pas à satisfaire les appétits des uns et des autres. Il y a 500 députés, nous avons souhaité un gouvernement de 35, il y en aura 40 ou 50 personnes. Il ne faut pas prendre le pays en otage par rapport à ce problème ». Cela fait plus d’un mois depuis que Jean-Michel Sama Lukonde a été nommé premier ministre par le président de la république Felix Tshisekedi.
 
 
 
 
 
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 Cependant, après les consultations, la publication du gouvernement d’union sacrée se fait toujours attendre. Il s’observe au sein de certains regroupements politiques quelques tensions autour de quota ministériel réservé aux uns et aux autres.

Politique Quête de la fonction ministérielle: Delly Sessanga se dit « écœuré »

Le député national et président du parti politique Envol dégoute la quête de la ministérielle qui selon lui prend le pas dans les quartiers ...

Quota UDPS au Gouvernement : le rapport reçu indique 99,9% des candidats à avoir un cursus de niveau élevé

March 18, 2021

Aussi surprenant que cela puisse paraître, les candidats ministrables de l’UDPS ont un cursus de niveau élevé.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHdv9YYqZ7ggXBTN2oa__VUyx94gQvKOYMGnbhInjZEO9aZAUD9Xk1-sjDEHJ895nqNHCtIhgPWVoDWNM5BrKu_8hSTTvnAIi_9foOPrtYqoq6G7FKHTyb4ezZwAFwNP1jIH43i3yOPA/s800/IMG-20210315-WA0054.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="533" data-original-width="800" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHdv9YYqZ7ggXBTN2oa__VUyx94gQvKOYMGnbhInjZEO9aZAUD9Xk1-sjDEHJ895nqNHCtIhgPWVoDWNM5BrKu_8hSTTvnAIi_9foOPrtYqoq6G7FKHTyb4ezZwAFwNP1jIH43i3yOPA/w640-h426/IMG-20210315-WA0054.jpg" width="640" /></a></div> L’affluence des candidats aux postes ministériels a révélé que le parti présidentiel dispose d’une crème intellectuelle suffisante pour gérer le pays. Après avoir demandé à tous les groupes d’harmoniser, en toute démocratie, afin de trouver un compromis favorable à tous, dans les meilleurs délais, sans un quelconque mot d’ordre d’une autorité morale, « les rapports reçus de toutes les structures formelles et informelles, y compris le Groupe Parlementaire UDPS font état de 99,9% des candidats ayant un cursus de niveau élevé », a révélé Augustin Kabuya. On retrouve parmi ces candidats des licenciés, des Docteurs, des Ingénieurs Civils, des porteurs de Master, DEA et autres Doctorats dans des filières variées avec expérience averée et un casier judiciaire vierge. En queue de peloton , un seul candidat détenteur d’un diplôme de graduat en comptabilité.  » Comme le dit un adage:  » à quelque chose, le malheur est bon « , cet échantillon des cadres de l’UDPS met un frein aux discours de dénigrement contre le Parti Cher à Étienne Tshisekedi qu’à l’UDPS il n’y a pas une crème intellectuelle suffisante pour gérer le pays »,a lancé le 2 du parti présidentiel.
 
 
 
 
 
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 Augustin Kabuya lance le défi. « La preuve, c’est pour bientôt », a-t-il conclu. 82 prétendants ( ministrables) sont à l’affût et se bousculent tous pour leur entrée au gouvernement. Ceci risque de devenir la première source de conflit d’intérêts au sein de l’Union Sacrée et l’une des causes du blocage. Le Secrétaire Général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social ( UDPS) a tenté de balayer le week-end dernier le début de polémique d’un revers de la main.
 
 
 
 
 
 
 
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 « Dans toute démocratie, c’est normal que les gens expriment leurs ambitions. Au finish, la hiérarchie du parti va décider », a justifié Augustin Kabuya les 82 candidats ministres de l’UDPS. Difficile d’approuver que la justification est bien trouvée. Les hommes du Président de la République n’ont aucune envie qu’on vienne leur gâcher la fête avec des questions de conflits d’intérêts.

Politique Quota UDPS au Gouvernement : le rapport reçu indique 99,9% des candidats à avoir un cursus de niveau élevé

Aussi surprenant que cela puisse paraître, les candidats ministrables de l’UDPS ont un cursus de niveau élevé. L’affluence des candidats aux...

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