YOKA SON : IL N Y A PLUS D ' OPPOSITION EN RDC , FELIX TSHISEKEDI RESTERA PRESIDENT ( VIDEO )

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SHOLE ASENGI LISUNGU PONA MWANA OYO BATU YA LUMUKA BA TUMBI YE MAKOLO NA KIKXIT PONA AZA MULUBA ( VIDEO )

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IL Y A 3 PRESIDENTS EN RDC : SHOLE TRAITE LISANGA BONGANGA D ' IDIOT ET D ' IMBÉCILE ( VIDEO )

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SEJOUR DE FELIX TSHISEKEDI A BRUXELLES : YOKA SON SE MOQUE DE BOKETSHU ET FAYULU . FATSHI AKOMI ROI ( VIDEO )

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BASE UDPS ZIGIDA CONTRE LE DISCOURS DE JOSEPH KABILA AU ZIMBABWE . TOKO TALA YE SOKI AWA AKO LOBA NINI ! ( VIDEO )

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RDC-Politique : Bruno Tshibala reprend la présidence de son UDPS

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-IC_2LIb5NxmA1G0fc8E8Lxx2_agFRH_Gi0RDi_7E93qoQ5iQSQiiu7LqOYDcdUQ1xjAZin-LiLv493KmQSAdGED15nFCeOa6VArqH8jHNrGhI2_9aJLR8oCzAlhAtuGeeEL809Kag-CM/s1600/tshibala-bruno-premier-ministre-rdc-congo-declaration_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-IC_2LIb5NxmA1G0fc8E8Lxx2_agFRH_Gi0RDi_7E93qoQ5iQSQiiu7LqOYDcdUQ1xjAZin-LiLv493KmQSAdGED15nFCeOa6VArqH8jHNrGhI2_9aJLR8oCzAlhAtuGeeEL809Kag-CM/s400/tshibala-bruno-premier-ministre-rdc-congo-declaration_jpg_640_350_1.jpeg" width="400" /></a>C’est par un communiqué de presse que le secrétaire général adjoint, Willy Iliba, assumant l’intérim du rapporteur du Bureau politique de l’Union pou la Démocratie et<br /> le Progrès Social (UDPS/Tshibala), annonce le come back à la présidence de ce parti par Bruno Tshibala après plus de deux ans de retrait pour raison d’incompatibilité avec ses fonctions de premier ministre.<br /> <br /> « Réuni ce lundi 16 septembre 2019, le Bureau Politique de l’UDPS, prenant acte de la fin de mandat du Premier Ministre qui empêchait monsieur Bruno Tshibala Nzenzhe d’assumer ses responsabilités au sein du parti, pour cause d’incompatibilité constitutionnelle, a décidé de le rétablir dans ses fonctions de président du parti, exercées à ce jour par le président délégué, monsieur André Kalonzo Ilunga », stipule ce communiqué signé par Willy Iliba Lisa.<br /> <br /> Pour rappel, saint Brutshi, comme l’adulent les militants et cadres de son parti, était frappé par l’article 97 de la Constitution qui interdit tout membre du gouvernement d’exercer les fonctions de responsabilité au sein d’un parti politique. C’est ainsi que devenu premier ministre par l’Accord de la Saint Sylvestre, Bruno Tshibala s’était conformé à cette disposition constitutionnelle en léguant ses pouvoirs à la tête de son UDPS à Tharcisse Loseke. Mais ce dernier, pour ses raisons personnelles démissionna malgré le refus de Saint Brutshi d’acter sa démission. C’est ainsi qu’André Kalonzo prit la relève.<br /> <br /> Mais malgré toutes les critiques et les flèches empoisonnées dirigées contre lui, Bruno Tshibala dit être très fier de quitter la Primature tête haute, n’en déplaise à ses détracteurs. « Ceux qui attaquent Bruno Tshibala ont du mal à le juger sur son bilan qui est largement positif. Il avait un seul grand engagement pris au début de son mandat, à savoir, organiser les élections. Ce pari, il l’a gagné. Nous avons eu une alternance et une passation pacifique du pouvoir au sommet du pays. C’est une première. Toutes les institutions sont installées, notamment le Président de la république, le Gouvernement, le Parlement, les Gouvernements provinciaux et les assemblées provinciales », se vantent toujours les proches de l’ex-premier ministre qui du reste, reste fidèle à son engagement envers le Front Commun pour le Commun (FCC) dont l’autorité morale est le président de la république honoraire Joseph Kabila.<br /> <br /> Owandi.

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ACCUSE D’AVOIR DETOURNE DES FONDS DESTINES A LA RIPOSTE CONTRE EBOLA OLY ILUNGA PLACÉ EN RÉSIDENCE SURVEILLÉE

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Justice ACCUSE D’AVOIR DETOURNE DES FONDS DESTINES A LA RIPOSTE CONTRE EBOLA OLY ILUNGA PLACÉ EN RÉSIDENCE SURVEILLÉE

Le dossier Oly Ilunga évolue rapidement. Très rapidement même. L'ancien ministre de la Santé, sous Kabila, vient d'être placé en rés...

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DÉPART DE 110 CASQUES BLEUS CHINOIS POUR LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSAkIv4zWGnfTpGlr57VusZKsehdJkq6p542A077s9rvcy1ZHCmkxQ_0s1vNTMrB4Vbgu3WkxKi2jHzfHoh-ih0aP_AEUHzZu8ofvryK3gElO22G-P78Q0_3SDFqdCUXb5R8Ci4nsfquzW/s1600/Chine-Afrique-2.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="390" data-original-width="693" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSAkIv4zWGnfTpGlr57VusZKsehdJkq6p542A077s9rvcy1ZHCmkxQ_0s1vNTMrB4Vbgu3WkxKi2jHzfHoh-ih0aP_AEUHzZu8ofvryK3gElO22G-P78Q0_3SDFqdCUXb5R8Ci4nsfquzW/s400/Chine-Afrique-2.jpg" width="400" /></a>CHENGDU, 17 septembre (Xinhua) -- Une troupe de 110 Casques bleus chinois a quitté Chengdu, mardi, capitale de la province chinoise du Sichuan (sud-ouest), pour la République démocratique du Congo pour une mission de maintien de la paix d'un an.<br /> Ils constituent le premier groupe du 23ème contingent de Casques bleus que la Chine a envoyé au pays de l'Afrique centrale. Avec 218 membres au total, le bataillon se compose d'une équipe de sapeurs de 175 personnes et d'une unité médicale de 43 personnes.<br /> L'équipe de sapeurs sera chargée du soutien en ingénierie, de la réparation de routes, de la construction d'aéroports et de casernes, ainsi que de la destruction de munitions non explosées dans les zones de mission. L'unité médicale effectuera des tâches telles que le traitement des blessés, l'évacuation médicale et la prévention des épidémies.<br /> En plus d'un entraînement spécial, les Casques bleus ont également étudié les règlements de maintien de la paix de l'ONU, les protocoles diplomatiques et les coutumes locales, afin de mieux remplir la mission.<br /> Parmi les officiers et les soldats, 56 ont déjà mené des missions de maintien de la paix.

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CHENGDU, 17 septembre (Xinhua) -- Une troupe de 110 Casques bleus chinois a quitté Chengdu, mardi, capitale de la province chinoise du Sichu...

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Recensement de la population : Félix Tshisekedi annonce les premiers actes d’ici la fin de l’année

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1OWTc5uAlfjYAfu80IkrFJ0ISyOh4YIEx45NOc5oHHaPKyNqgfbiHNpY7IoTnwzfqIU6_fJ5rolQThVVT1bME1i3xWY5GVm12tAOe3neGAbzrysK5GNNzoo6Nc9YRMNJvysQCXkPHC4en/s1600/img-20190917-wa0403.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1080" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1OWTc5uAlfjYAfu80IkrFJ0ISyOh4YIEx45NOc5oHHaPKyNqgfbiHNpY7IoTnwzfqIU6_fJ5rolQThVVT1bME1i3xWY5GVm12tAOe3neGAbzrysK5GNNzoo6Nc9YRMNJvysQCXkPHC4en/s400/img-20190917-wa0403.jpg" width="400" /></a>S’exprimant mardi devant les entrepreneurs belges, Félix Tshisekedi est revenu sur l’ épineuse question du recensement de la population.<br /> <br /> Pour le chef de l’État, il est important de savoir combien de congolais vivent au pays où le dernier recensement remonte à 1984.<br /> <br /> Félix Tshisekedi a donc promis les premiers actes d’ici fin 2019. Le président estime que cela permettra notamment d’éviter les contestations post électorales. « Que les gens disent, c’est lui qui est élu et pas lui », a-t-il dit.<br /> <br /> Le chef de l’État a annoncé que l’organisation du recensement précédera l’identification de la population.<br /> <br /> Déjà début septembre à Kinshasa lors d’une allocution à l’ouverture de l’atelier sur la validation du plan national du numérique, Félix Tshisekedi avait annoncé l’identification biométrique de tous les citoyens d’ici 2021.<br /> <br /> <br /> <span style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; font-weight: 700; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;">Par CAS-INFO</span>

Politique Recensement de la population : Félix Tshisekedi annonce les premiers actes d’ici la fin de l’année

S’exprimant mardi devant les entrepreneurs belges, Félix Tshisekedi est revenu sur l’ épineuse question du recensement de la population. P...

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Bruxelles : Felix Tshisekedi annonce la création d’une agence anticorruption

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhegdH2osRlaWCjHL4UpjhV-ZwFwB3ADgJFqDVcBu2QQ8S72agVXdkOfnXdzVzVZfFtGzXj060MOuY5QWnQMjq2Z2q0p4tt8Uu1MFA-VArVtkXOJj8edsXCvraA3M65chbTpYuO6IPDkdEV/s1600/EErKzvTXUAEcf0v-690x450.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="450" data-original-width="690" height="260" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhegdH2osRlaWCjHL4UpjhV-ZwFwB3ADgJFqDVcBu2QQ8S72agVXdkOfnXdzVzVZfFtGzXj060MOuY5QWnQMjq2Z2q0p4tt8Uu1MFA-VArVtkXOJj8edsXCvraA3M65chbTpYuO6IPDkdEV/s400/EErKzvTXUAEcf0v-690x450.jpg" width="400" /></a></div> Le président Félix Tshisekedi a annoncé ce mardi 17 septembre la création d’une agence anti-corruption pour lutter contre les anti-valeurs en RDC. Cette déclaration a été faite au cours d’une conférence de presse face à la fédération des entreprises belges.<br /> <br /> « L’autre phénomène qui fait peur aux investisseurs, ce sont les anti-valeurs. Il y a quelques mandataires et mêmes ministres qui ont été sanctionnés. Et ça va continuer. Nous allons ouvrir une agence de lutte contre la corruption », a déclaration Félix Tshisekedi.<br /> <br /> Le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi a ajouté par ailleurs que « l’autre phénomène, c’est la fièvre à virus Ebola, mais cette épidémie est contenue, (…) circonscrite. Nous sommes en passe de ramener là sérénité qu’il faut dans notre population »<br /> <br /> 4pouvoir

Politique Bruxelles : Felix Tshisekedi annonce la création d’une agence anticorruption

Le président Félix Tshisekedi a annoncé ce mardi 17 septembre la création d’une agence anti-corruption pour lutter contre les anti-val...

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EN PRESENTANT HIER LES ORGANIGRAMMES DE LEURS CABINETS A L’EXECUTIF DU PARTI UDPS : LE MINISTRE DE L’AGRICULTURE ET LE VICE-MINISTRE DE LA JUSTICE POUR LES 70 % DES PLACES À ACCORDER AUX COMBATTANTS

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEig-zt6Dn7EmnVzzOee3qds_MvyuRwYB8oCdmilqGwyomwsYDEezfkzQ5MzGtsMejLbV2BCw0kO85OP1yYj4cQLpNrcbWjxZarFIsem2M5k_FTIIIirSkT6yuSuKh15Lndj8KW99DoYChSc/s1600/arton21806.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="847" data-original-width="1214" height="278" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEig-zt6Dn7EmnVzzOee3qds_MvyuRwYB8oCdmilqGwyomwsYDEezfkzQ5MzGtsMejLbV2BCw0kO85OP1yYj4cQLpNrcbWjxZarFIsem2M5k_FTIIIirSkT6yuSuKh15Lndj8KW99DoYChSc/s400/arton21806.jpg" width="400" /></a>Le credo, " Le Peuple d'abord ", n'est pas une vue de l'esprit au parti présidentiel. Jean-Joseph Kasonga et Bernard Takaishe, respectivement ministre UDPS de l'Agriculture et vice-ministre de la Justice, ont présenté hier mardi 17 septembre, au président a.i et au Secrétaire général de la formation chère à FATSHI, les organigrammes de leurs cabinets respectifs.En clair, ces membres du Gouvernement Ilunga Ilunkamba étaient allés discuter avec l'exécutif du parti des 70 % des places à accorder au parti par chaque ministre UDPS pour caser les combattants, selon les profils requis.Respect des consignes oblige.<br /> Le développement de l'actualité au sein de l'UDPS atteste que les ministres du gouvernement Ilunkamba issus de l'UDPS sont résolument engagés à maintenir le cordon ombilical qui les lie à leur parti.<br /> Dans les cabinets des ministres UDPS, les consignes sont claires, " Les combattants d'abord ". Les 70% des postes leur reviennent de droit. Cela a été communiqué aux membres du gouvernement au cours d'une matinée politique animée par le président a.i de l'UDPS, Jean-Marc Kabundu. En présentant hier mardi, 17 Septembre, leurs organigrammes à ce dernier, mais aussi au SG Augustin Kabuya, le ministre de l'Agriculture, Jean-Joseph Kasonga et le Vice-ministre de la Justice, Me Bernard Takaishe, respectifs. Ce faisant, ils rendent l'ascenseur au parti qui les a hissés à ces rangs.<br /> Le ministre du Tourisme et le vice-ministre des Finances étaient les premiers à descendre à la permanence du parti pour présenter leurs organigrammes au Secrétaire général Augustin Kabuya. Celui-ci n'avait pas mâché ses mots quant à la sanction à prendre à l'endroit de ceux des ministres UDPS qui se soumettront pas au principe de 70%. L'Exécutif du parti a carrément brandi la menace de voir le Premier ministre et le Chef de l'Etat pour obtenir leur départ du Gouvernement. Et pour peu qu'on connaisse le bouillant SG du parti présidentiel, ce ne sont pas des paroles en l'air. Augustin Kabuya est capable de mettre à exécution ses menaces.<br /> Et pour ne pas en arriver là, Me Bernard Takaishe, dans une interview à LIBERTÉ PLUS,le journal Web de l'UDPS, appelle les autres ministres UDPS à privilégier la voie du compromis avec l'exécutif du parti.<br /> '' On ne chie pas sur les mains qui vous a nourri ", a-t-il fait savoir, s'adressant sans doute aux ministres tentés de couper le cordon ombilical qui les lient au parti. .<br /> '' Je demande à mes collègues de venir discuter avec la hiérarchie du Parti et de trouver un compromis. Et, cela est tout à fait naturel. Donc, ça ne demande pas beaucoup de gymnastiques, ils sont obligés d'éviter de couper cette relation. Sinon, ils seront sans base. Car, nous, on ne peut qu'avoir notre soutien à la base. Et, notre base c'est le parti qui nous a porté. Aujourd'hui, nous sommes ministres ", a indiqué le vice-ministre de la Justice. Didier KEBONGO

Politique EN PRESENTANT HIER LES ORGANIGRAMMES DE LEURS CABINETS A L’EXECUTIF DU PARTI UDPS : LE MINISTRE DE L’AGRICULTURE ET LE VICE-MINISTRE DE LA JUSTICE POUR LES 70 % DES PLACES À ACCORDER AUX COMBATTANTS

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Lambert Mende opposé à toute « relation de cavalier à cheval » entre Belgique et RDC

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5Pqx04xqrFW0ImDiTba1GnR03pXI550sVG9JfpsogL1ftj4zjD89vbkBBORnWWRFVs8QQVZ-avnkjNs1hDJXCW5S28lVowCA-YzMamqtaDvLKzT1CNa4NgLTV5IC7gl1qncVytxExqlPL/s1600/IMG_9530.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5Pqx04xqrFW0ImDiTba1GnR03pXI550sVG9JfpsogL1ftj4zjD89vbkBBORnWWRFVs8QQVZ-avnkjNs1hDJXCW5S28lVowCA-YzMamqtaDvLKzT1CNa4NgLTV5IC7gl1qncVytxExqlPL/s400/IMG_9530.JPG" width="400" /></a>Sur Top Congo FM, Lambert Mende affirme son opposition à toute « relation de cavalier à cheval » entre la Belgique et la RDC.Réaffirmant son nationalisme, l’ancien porte-parole du gouvernement sous Joseph Kabila indique que si la Belgique « accepte que nous sommes indépendants et que nous pouvons, tout en coopérant avec eux, coopérer avec d’autres, tant mieux ».<br /> <br /> Et de préciser que « si le Président a des éléments que telle est la nouvelle situation, je ne peux que l’encourager à rétablir les relations normales avec ces partenaires.<br /> <br /> Seul bémol: « nous n’avons jamais dit qu’il fallait rompre avec nos partenaires traditionnels. Mais, c’est eux qui ne supportaient pas que nous puissions nous ouvrir à de nouveaux partenariats ».<br /> <br /> Une déclaration qui intervient au moment où, en visite officielle en Belgique, le chef de l’État a signé, ce mardi, avec le Premier ministre belge, 3 lettres d’intention, et non pas d’accords entre les deux pays qui portent sur la coopération entre les ministères des affaires étrangères, la coopération au développement entre les deux pays et la coopération entre les ministères des finances belges et des affaires étrangères congolais, pour les régies financières de RDC.<br /> <br /> Assouplir les sanctions contre les proches de Kabila <br /> <br /> Par contre, Lambert Mende réagit « positivement » à la demande du Président Félix Tshisekedi d’assouplir les sanctions contre les proches de Joseph Kabila, son prédécesseur.<br /> <br /> « Nous n’attendions pas moins de la part du chef de l’État. Ces sanctions, nous les avons toujours considérées comme une agression contre la souveraineté de notre pays. Elles sont illégitimes et illégales au regard du droit international ».<br /> <br /> Lambert Mende reste convaincu qu’« aucun État n’est au dessus d’un autre État. Tous les États sont égaux. Il y a l’égalité souveraine des États. Seul le Conseil de sécurité des Nations-Unies a le pouvoir de sanctionner des États ou leurs représentants ».<br /> <br /> Pour lui, « le Président de la République, en plaidant pour l’assouplissement de ces sanctions, n’a fait que son devoir. Personnellement, je l’en félicite ».<br /> <br /> Lambert Mende fait partie d’une dizaine de proches de Joseph Kabila sur qui pèse l’interdiction de voyager dans l’espace Schengen, en plus du gel de leurs avoirs.<br /> <br /> Ces sanctions ont été prises « en réponse aux entraves au processus électoral et aux violations des droits de l’homme qui y étaient liées ».<br /> <br /> <br /> Top Congo

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Félix Tshisekedi Au «Soir» : «Nous Sommes En Train D’écrire L’histoire De Notre Pays Et Les Générations Futures Nous Jugeront »

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhic-nccByxakiKO80j_KhlL6t8_S93IUaUXs1T15Q-XGiYpaOeE6T5GCa7JAHOKsadDo7viuRWA5dAiG4R3L4sYc-ISdj5UfhUE36gc2tFy3uTliiR7QjnDxhrzl7EzqJgOBiZ0ZSY127T/s1600/fatshi-roi-belge-170919-800px.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="800" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhic-nccByxakiKO80j_KhlL6t8_S93IUaUXs1T15Q-XGiYpaOeE6T5GCa7JAHOKsadDo7viuRWA5dAiG4R3L4sYc-ISdj5UfhUE36gc2tFy3uTliiR7QjnDxhrzl7EzqJgOBiZ0ZSY127T/s400/fatshi-roi-belge-170919-800px.jpg" width="400" /></a>Le chef de l’Etat de la RDC Félix Tshisekedi est arrivé lundi en Belgique pour quatre jours de visite officielle et de travail aux multiples facettes, sur fond de normalisation des relations, souvent en dents de scie, entre la République démocratique du Congo et son ancienne puissance coloniale. Quelques heures avant son départ, Colette Braeckman du journal Le Soir s’est entretenu avec Félix Tshisekedi.<br /> <br /> Félix Tshisekedi arrive en terrain connu : le chef de l’Etat congolais, ancien opposant et fils d’opposant, a lui-même longtemps vécu en Belgique. Il a été proclamé vainqueur de l’élection présidentielle contestée du 30 décembre 2018 et a succédé le 24 janvier dernier au président Joseph Kabila qui était au pouvoir depuis dix-huit ans.<br /> <br /> Accompagnant votre père, opposant au président Mobutu, vous avez vécu longtemps en Belgique. Quel fut son rôle dans votre apprentissage politique ?<br /> <br /> Ce n’est pas en Belgique que j’ai connu les débuts de son combat : avec lui nous avons été déportés au village, on appelait cela relégation. C’était en 1983-84, un milieu où il n’y avait ni école ni soin de santé. La naissance du parti UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social), je l’ai vécue dans ma chair, dans ma vie même… En même temps que ma famille, ma mère, ma sœur, j’ai été témoin des souffrances du peuple congolais et, âgé de 19 ans à l’époque, j’en ai été victime moi-même. Même si je n’ai jamais revendiqué cela ; je suis l’un des pionniers de ce combat… A cette époque, nos parents ont décidé d’évacuer les enfants vers la Belgique, contraints et forcés afin que notre père puisse continuer sa lutte… Nous n’étions pas préparés à l’exil, nous n’avions même pas un pied à terre, nous vivions comme tous les réfugiés…<br /> <br /> Que signifie pour vous le slogan de votre père « le peuple d’abord » ?<br /> <br /> Pour moi, cela signifie d’abord prendre en considération la volonté de ce peuple, en comprenant ses souffrances et en essayant de les résoudre. Il n’est pas normal que le Congo, avec ses immenses potentialités, soit l’un des pays les plus pauvres du monde ! Lorsqu’on a mené un combat comme celui d’Etienne Tshisekedi qui a résisté grâce au soutien de la population, on ne peut que penser que les désirs de ce peuple passent avant les nôtres.<br /> <br /> Vous avez voyagé à l’intérieur du pays. Qu’est ce qui vous a le plus frappé?<br /> <br /> Avant tout, c’est la misère. L’écart complet entre les Congolais de la province et ceux de Kinshasa. Or la plus grande partie des richesses, de la force du Congo vient de l’intérieur ou les populations sont restées dans un autre siècle alors que le Congo avançait. Ce qui m’a le plus bouleversé, c’est l’insécurité à l’Est et je me suis juré de tout faire pour ramener la stabilité, la sécurité et la paix. C’est invivable : les gens sont pris en otages, ils ne peuvent se rendre aux champs alors qu’ils vivent des produits de ces champs. On ne peut accepter que des pans entiers de la population vive dans de telles conditions. Je dois tout faire pour changer cela. J’ai aussi vu la souffrance des femmes, elle est inadmissible…<br /> <br /> Est-ce en tenant compte de tout cela que vous avez lancé un train de mesures sociales ?<br /> <br /> En fait, mon programme, ma vision, c’est de mettre l’Homme congolais au centre de mes préoccupations. C’est de son épanouissement, de son mieux-être que viendra le développement de la RDC. Le bien être commence par la liberté ; les individus doivent être libres, de s’exprimer, d’entreprendre. Il faut leur garantir un accès à l’éducation. Le droit à l’éducation est inscrit dans la Constitution et j’ai voulu marquer le coup : décréter la gratuité de l’enseignement fondamental, ce qui représente un budget de 37 millions de dollars par mois. Il est possible de dégager ces fonds, et des partenaires internationaux, comme la BAD (Banque africaine de développement), ont déjà accepté de nous suivre. Je les en remercie… Notre ambition est d’étendre cet effort à l’enseignement secondaire, puis supérieur… Nous travaillons aussi sur l’accès aux soins de santé afin que les Congolais, épanouis, puissent affronter les défis du développement… Mais nous devons rester modestes, les pieds sur terre et ne pouvons attaquer sur tous les fronts à la fois. D’ici 2023, le social sera prioritaire… Les mesures concernant l’enseignement ont déjà suscité des manifestations de joie, de soulagement et nous allons continuer. Il fallait relever ce défi et pour le moment ça tient, il fallait oser.<br /> <br /> Avec un budget de 5 milliards de dollars, allez-vous trouver les moyens de cette politique ?<br /> <br /> En numérisant l’économie, nous pensons pouvoir rationaliser les dépenses et ramener plus de recettes dans le trésor public. Actuellement, 80 % de nos recettes échappent au Trésor ! Donc en luttant davantage contre la corruption, nous allons combattre ce coulage et réussir à mieux redistribuer la richesse sur l’ensemble du territoire…<br /> <br /> Pouvez-vous parler de l’affaire, dite des 15 millions de dollars disparus, ce qui a été détecté par l’Inspection générale des Finances ?<br /> <br /> Cette « histoire » est symptomatique du changement intervenu : elle a été détectée par l’ANR, l’Agence nationale de renseignement. J’ai réussi à humaniser l’ANR, transformée en un service qui doit humaniser la société. J’ai tenu à recevoir moi-même l’inspecteur général des Finances M. Batubenga, car mon souci était de l’entendre à propos des menaces qu’il aurait rencontrées. Il m’a dit qu’il n’en avait pas connu et qu’il avait transmis le dossier au Procureur, sans citer de nom. Je l’ai assuré de tout mon soutien et de ma confiance. Le dossier est désormais entre les mains de la Justice et n’a plus rien à voir avec moi. Je ne peux donc plus me prononcer sur ce sujet. Je me bats pour un Etat de droit, pour l’indépendance de la justice et donc je ne mettrai pas mon nez dans ces histoires. Je ne veux pas être un dictateur et je laisse les institutions judiciaires faire leur travail en toute indépendance. Garant des institutions, je me suis assuré du fait que l’inspecteur pouvait faire son travail dans de bonnes conditions. De la même façon, le dossier du Docteur Ilunga (l’ex-ministre de la Santé) se trouve entre les mains de la Justice… Je n’ai rien à voir là-dedans. L’Etat de droit est en train de se mettre en place et je ne veux pas me mêler de ce qui n’est pas de mon ressort…<br /> <br /> Quel est le climat des relations avec votre prédécesseur, l’ex-président Kabila ?<br /> <br /> Elles sont plutôt bonnes. Respect, considération mutuelle… Il n’a pas de plainte à avoir à ce sujet… Mais nous sortons d’un système qui est resté longtemps au pouvoir et certains collaborateurs ont encore quelques réflexes du passé, ont tendance à croire qu’ils sont encore au pouvoir. Il y a eu des actes maladroits mais, essayant de m’élever au-dessus de tout cela, je crois qu’il faut privilégier la paix, la stabilité… Eviter toute crise intempestive qui aurait un impact sur l’économie et l’évolution du pays. Nous avons le devoir de tenir compte de l’intérêt supérieur de la nation et de privilégier la bonne marche de l’Etat en oubliant nos petits soucis personnels… Je reste optimiste sur la suite…<br /> <br /> Une telle transition pacifique, c’est du jamais vu dans l’histoire du Congo…<br /> <br /> Une grande première, c’est exact… Nous n’avons aucune expérience passée sur laquelle nous appuyer. C’est un défi énorme. Nous tentons de faire du neuf avec du vieux, nous sommes en train d’écrire l’histoire de notre pays et les générations futures nous jugeront… Il nous faudra beaucoup de patience, de diplomatie, mais moi j’y crois…<br /> <br /> On vous présente comme une force tranquille…<br /> <br /> Je dirais plutôt une force patiente et humble, qui sait écouter. Mais une force quand même. Ferme sur les principes. J’ai été à l’école d’Etienne Tshisekedi et le respect des principes, je connais. Mon père m’a aussi, à ses côtés, obligé, au sein du parti, à être plus diplomate… La population, à ce stade, nous soutient : partout où nous allons, elle manifeste sa sympathie. J’y tiens, les gens sont libres de s’exprimer et si cela ne va pas, ils le diront.<br /> <br /> La diaspora congolaise semble amorcer son retour…<br /> <br /> Je les encourage à rentrer au pays quand ils seront prêts, mais ici, il n’y a plus d’inquiétude à avoir au niveau des droits et des libertés. Les inquiétudes peuvent exister au niveau professionnel et organiser le retour peut prendre du temps. Le Congo est le pays de tous les Congolais, je leur garantis la sécurité et je travaille sur les forces de l’ordre pour les conscientiser afin qu’ils aient un comportement différent. Aujourd’hui, les représentants de l’autorité qui s’adonnent à des comportements dégradants sont passibles de poursuites et je sens qu’il y a un changement… Si j’ai dit qu’il ne fallait pas considérer les investisseurs comme du gibier, c’est parce que, d’ordinaire, dès que ces derniers rencontrent une autorité cette dernière veut leur soutirer quelque chose. Avant même le premier investissement, on ne demande pas de porte et de dessous de table ! Dès que commencent les activités, on essaie de percevoir des taxes… Pour arriver à la croissance et au plein-emploi, il faut cesser de telles pratiques… Je n’ai pas les yeux partout, mais je fais de mon mieux pour sensibiliser… J’ai aussi créé une agence pour le changement de mentalité afin qu’elle fasse ce travail de sensibilisation de la population et surtout des fonctionnaires de l’Etat…<br /> <br /> Après avoir visité les pays voisins du Congo, qu’attendez-vous de votre voyage en Belgique ?<br /> <br /> J’ai toujours dit à mes amis belges que le pays qui pouvait aider le Congo à se relever, c’est la Belgique. Nous aider à renforcer notre administration, remonter le niveau de notre éducation, déployer une politique de santé qui puisse prendre en charge notre population. Avec nos « nokos (oncles) » belges, nous pouvons faire beaucoup et mettre en place une coopération modernisée, adaptée aux circonstances actuelles, qui doit continuer. Cependant, compte tenu d’un passé récent, la Belgique demeure assez frileuse par rapport à nos relations et j’aimerais amener les Belges à avoir confiance à nouveau ; les gens hésitent encore, mais nous allons essayer de donner le plus de garanties possible afin de les rassurer. J’ai déjà eu contact avec certaines PME et j’espère que mon passage en Belgique va booster ces relations. Il y a entre nos deux pays un énorme capital de confiance, de sympathie, mais ma crainte, c’est qu’il disparaisse : les problèmes communautaires ont cessé de faire voir la Belgique comme un pays uni et je crains que l’idée que nous avons de l’ancienne métropole s’estompe, au profit d’autres pays qui offrent aussi des possibilités, comme la Chine, l’Afrique du Sud, le Maroc, qui offrent bourses et possibilités aux Congolais. Auprès des jeunes, la Belgique perd du terrain et c’est bien dommage, pour les deux parties… J’ai déjà plaidé en faveur du renforcement de la coopération militaire, j’en avais déjà parlé au Ministre Reynders lorsque je l’avais rencontré à Washington en avril. Nous aurions besoin de l’expertise belge pour réhabiliter le camp de Kota Koli dans l’Equateur, qui forme des para-commandos et à Kindu, la coopération va reprendre…<br /> <br /> Plusieurs personnalités de l’ancien régime sont encore sous le coup de sanctions internationales. Allez-vous intervenir en leur faveur ?<br /> <br /> Ces personnalités font aujourd’hui partie de la coalition que nous avons formée. Si nous voulons que les choses se passent bien, nous ne pouvons que plaider en faveur d’une sorte d’assouplissement. Sauf évidemment si les raisons des sanctions sont autres que la crise politique que nous avons traversée, des violations des droits de l’homme par exemple. Ces sanctions étaient liées à la situation politique et celle-ci a évolué.<br /> <br /> Quelle est votre vision, votre rêve à propos du Congo ?<br /> <br /> Je rêve d’un Congo libre et pacifié, prospère évidemment, où les enfants du Congo vont à l’école dans de bonnes conditions, comme tous les enfants du monde où les parents ont un travail décent et un salaire qui leur permet de nouer les deux bouts. Je sais que les Congolais sont ingénieux et qu’ils vont eux-mêmes améliorer leur environnement… Ils doivent compter plus sur le sol et ses ressources que sur notre sous-sol, ce dernier est aussi est la cause de beaucoup de nos malheurs, car il a attiré beaucoup de convoitises y compris les plus cyniques. Si nous diversifions notre économie grâce à l’agriculture, nous allons créer de l’emploi, atteindre l‘autosuffisance alimentaire et même pouvoir exporter… Côté emploi, les mines n’offrent pas beaucoup de possibilités… Nous devons aller vers la diversification de notre économie et sur le plan agricole, nous envisageons de créer des zones agro-industrielles, de regrouper les paysans en coopératives, de leur donner les moyens nécessaires et d’améliorer les routes de desserte agricole, de créer de micro-barrages afin de permettre l’industrialisation de notre agriculture.<br /> <br /> Allez-vous réclamer le retour des œuvres congolaises qui se trouvent en Belgique ?<br /> <br /> Certainement pas dans l’immédiat : notre nouveau musée n’est pas assez grand pour accueillir toutes les œuvres qui sont déjà chez nous ! L’ancien musée construit du temps du président Mobutu contient encore 30.000 pièces qui devraient être exposées… Ce n’est donc pas le moment de faire revenir des pièces qui se trouvent en Belgique, mais nous pourrions peut-être envisager des expositions, des échanges… Pour le moment, n’étant pas capable de gérer cette situation, je ne ferais pas une telle demande… Les revendications sont fondées, mais pas réalistes : notre patrimoine pourrait revenir certes, mais dans l’immédiat, nous n’avons pas la capacité de l’accueillir, nous avons d’autres urgences…<br /> <br /> LP avec Le Soir

Politique Félix Tshisekedi Au «Soir» : «Nous Sommes En Train D’écrire L’histoire De Notre Pays Et Les Générations Futures Nous Jugeront »

Le chef de l’Etat de la RDC Félix Tshisekedi est arrivé lundi en Belgique pour quatre jours de visite officielle et de travail aux multiples...

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LISANGA BONGANGA DONNE RAISON A MARTIN FAYULU : "Il y a 3 présidents en RDC. Un président nommé qui n'a aucun pouvoir, un président élu et un ancien président qui tient l'imperium du pouvoir" ( VIDEO )

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PASTEUR GUILY : POURQUOI GRATUITE DE L 'ENSEIGNEMENT EKOMI PROBLEME ( VIDEO )

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Porte parole de l ' UDPS : Le Royaume de la Belgique est tombé entre les mains de FELIX TSHISEKEDI ( VIDEO )

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PASTEUR GUILY DE L ' UDPS AKEBISI LISUSU ELIEZER ET BOKETSHU AZA BOURRIQUE ET ODON MBO AZA INAPTE ! ( VIDEO )

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NANI ATINDI MIKE MUKEBAYI EN PRISON ? MARTIN FAYULU EVENTRE LE BOA ET ACCUSE FELIX TSHISEKEDI ET VITAL KAMERHE (VIDÉO)

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FELIX TSHISEKEDI A BRUXELLES : YOKA SON AFINGI BOKESTHU MABEEE ET PARLE DE SON ECHEC . ( VIDEO )

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YOKA SON - UDPS : MIKE MUKEBAYI IL FAUT ASALA 20 ANS DE PRISON A MAKALA POUR OUTRAGE AU CHEF DE L ' ETAT ( VIDÉO )

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Tshisekedi obtient la réouverture du consulat congolais d’Anvers

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Politique Tshisekedi obtient la réouverture du consulat congolais d’Anvers

Le président congolais a été reçu, ce matin, par le Premier ministre belge, Charles Michel. Après cette rencontre, une réunion du gouverneme...

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Félix Tshisekedi : « une force tranquille, une force quand même » (Interview de Colette Braekman)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4GK05w6-9q2Ohhyphenhyphenb5JgN4kuqNu1XPr2br4WeaXse_r-le79Saqa7-wpFoekyFw_l_NL9Yk6w8I2OKnlFhlciOTxfDRNP221EFlCuzwlvoS72lSDY6owwdMgPM7tUf1qwP9QdaiSzgC1Ol/s1600/felix-fatshi.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="403" data-original-width="640" height="251" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4GK05w6-9q2Ohhyphenhyphenb5JgN4kuqNu1XPr2br4WeaXse_r-le79Saqa7-wpFoekyFw_l_NL9Yk6w8I2OKnlFhlciOTxfDRNP221EFlCuzwlvoS72lSDY6owwdMgPM7tUf1qwP9QdaiSzgC1Ol/s400/felix-fatshi.jpg" width="400" /></a>Accompagnant votre père, opposant au président Mobutu, vous avez vécu longtemps en Belgique. Quel fut son rôle dans votre apprentissage politique ?<br /> <br /> Ce n’est pas en Belgique que j’ai connu les débuts de son combat : avec lui nous avons été déportés au village, on appelait cela relégation. C’était en 1983-84, un milieu où il n’y avait ni école ni soin de santé. La naissance du parti UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social) je l’ai vécue dans ma chair, dans ma vie même…En même temps que ma famille, ma mère, ma sœur, j’ai été témoin des souffrances du peuple congolais et, âgé de 19 ans à l’époque, j’en ai été victime moi-même. Même si je n’ai jamais revendiqué cela ; je suis l’un des pionniers de ce combat……<br /> A cette époque nos parents ont décidé d’évacuer les enfants vers la Belgique, contraints et forcés afin que notre père puisse continuer sa lutte…Nous n’ étions pas préparés à l’exil, nous n’avions même pas un pied à terre, nous vivions comme tous les réfugiés…<br /> <br /> Que signifie pour vous le slogan de votre père « le peuple d’abord » ?<br /> <br /> Pour moi, cela signifie d’abord prendre en considération la volonté de ce peuple, en comprenant ses souffrances et en essayant de les résoudre. Il n’est pas normal que le Congo, avec ses immenses potentialités, soit l’un des peuples les plus pauvres du monde ! Lorsqu’on a mené un combat comme celui d’Etienne Tshisekedi qui a résisté grâce au soutien de la population on ne peut que penser que les désirs de ce peuple passent avant les nôtres.<br /> <br /> Vous avez voyagé à l’intérieur du pays. Qu’est-ce qui vous a le plus frappé ?<br /> <br /> Avant tout, c’est la misère. L’écart complet entre les Congolais de la province et ceux de Kinshasa.. Or la plus grande partie des richesses, de la force du Congo vient de l’intérieur ou les populations sont restées dans un autre siècle alors que le Congo avançait. Ce qui m’a le plus bouleversé, c’est l’insécurité à l’Est et je me suis juré de tout faire pour ramener la stabilité, la sécurité et la paix. C’est invivable : les gens sont pris en otages, ils ne peuvent se rendre aux champs alors qu’ils vivent des produits de ces champs. On ne peut accepter que des pans entiers de la population vive dans de telles conditions. Je dois tout faire pour changer cela. J’ai aussi vu la souffrance des femmes, elle est inadmissible…<br /> <br /> Est-ce en tenant compte de tout cela que vous avez lancé un train de mesures sociales ?<br /> <br /> En fait, mon programme, ma vision, c’est de mettre l’Homme congolais au centre de mes préoccupations. C’est de son épanouissement, de son mieux être que viendra le développement de la RDC. Le bien être commence par la liberté ;les individus doivent être libres, de s’exprimer, d’entreprendre. Il faut leur garantir un accès à l’éducation.<br /> <br /> Le droit à l’éducation est inscrit dans la Constitution et j’ai voulu marquer le coup : décréter la gratuité de l’enseignement fondamental, ce qui représente un budget de 37 millions de dollars par mois. Il est possible de dégager ces fonds, et des partenaires internationaux comme la BAD (Banque africaine de développement) ont déjà accepté de nous suivre, je les en remercie…Notre ambition est d’étendre cet effort à l’enseignement secondaire, puis supérieur…Nous travaillons aussi sur l’accès aux soins de santé, afin que les Congolais, épanouis, puissent affronter les défis du développement…Mais nous devons rester modestes, les pieds sur terre et ne pouvons attaquer sur tous les fronts à la fois. D’ici 2023 le social sera prioritaire…Les mesures concernant l’enseignement ont déjà suscité des manifestations de joie, de soulagement et nous allons continuer. Il fallait relever ce défi et pour le moment ça tient, il fallait oser…<br /> <br /> <br /> <br /> Avec un budget de 5 milliards de dollars, allez vous trouver les moyens de cette politique ?<br /> <br /> En numérisant l’économie, nous pensons pouvoir rationaliser les dépenses et ramener plus de recettes dans le trésor public. Actuellement 80% de nos recettes échappent au Trésor ! Donc en luttant davantage contre la corruption nous allons combattre ce coulage et réussir à mieux redistribuer la richesse sur l’ensemble du territoire…<br /> <br /> Pouvez-vous parler de l’affaire dite des 15 millions de dollars disparus, ce qui a été détecté par l’Inspection générale des finances ?<br /> <br /> Cette « histoire » est symptomatique du changement intervenu : elle a été détectée par l’ANR, l’Agence nationale de renseignement. J’ai réussi à humaniser l’ANR, transformée en un service qui doit humaniser la société. J’ai tenu à recevoir moi-même l’ inspecteur général des Finances M. Batubenga car mon souci était de l’entendre à propos des menaces qu’il aurait rencontré. Il m’a dit qu’il n en avait pas connu et qu’il avait transmis le dossier au Procureur, sans citer de nom .Je l’ai assuré de tout mon soutien et de ma confiance. Le dossier est désormais entre les mains de la Justice et n’a plus rien à voir avec moi. Je ne peux donc plus me prononcer sur ce sujet…<br /> <br /> Je me bats pour un Etat de droit, pour l’indépendance de la justice et donc je ne mettrai pas mon nez dans ces histoires. Je ne veux pas être un dictateur et je laisse les institutions judiciaires faire leur travail en toute indépendance…<br /> <br /> Garant des institutions je me suis assuré du fait que l’inspecteur pouvait faire son travail dans de bonnes conditions. De la même façon, le dossier du Docteur Ilunga (l’ex ministre de la Santé) se trouve entre les mains de la Justice… Je n’ai rien à voir là dedans. L’Etat de droit est en train de se mettre en place et je ne veux pas me mêler de ce qui n’est pas de mon ressort…<br /> <br /> <br /> <br /> Quel est le climat des relations avec votre prédécesseur, l’ex-président Kabila ?<br /> <br /> Elles sont plutôt bonnes. Respect, considération mutuelle…,Il n’ a pas de plainte à avoir à ce sujet… Mais nous sortons d’un système qui est resté longtemps au pouvoir et certains collaborateurs ont encore quelques réflexes du passé, ont tendance à croire qu’ils sont encore au pouvoir, il y a eu des actes maladroits mais, essayant de m’élever au dessus de tout cela je crois qu’il faut privilégier la paix, la stabilité…Eviter toute crise intempestive qui aurait un impact sur l’économie et l’évolution du pays. Nous avons le devoir de tenir compte de l’intérêt supérieur de la nation et de privilégier la bonne marche de l’Etat en oubliant nos petits soucis personnels…Je reste optimiste sur la suite…<br /> <br /> Une telle transition pacifique, c’est du jamais vu dans l’histoire du Congo…<br /> <br /> Une grande première, c’est exact… Nous n’avons aucune expérience passée sur laquelle nous appuyer. C’est un défi énorme nous tentons de faire du neuf avec du vieux, nous sommes en train d’écrire l’histoire de notre pays et les générations futures nous jugeront…. Il nous faudra beaucoup de patience, de diplomatie, mais moi j’y crois…<br /> <br /> On vous présente comme une force tranquille…<br /> <br /> Je dirais plutôt une force patiente, et humble, qui sait écouter.<br /> <br /> Mais une force quand même. Ferme sur les principes. J’ai été à l’école d’Etienne Tshisekedi et le respect des principes, je connais…<br /> <br /> Mon père m’a aussi, à ses côtés , obligé, au sein du parti, à être plus diplomate…La population, à ce stade, nous soutient : partout où nous allons elle manifeste sa sympathie. J’y tiens, les gens sont libres de s’exprimer et si cela ne va pas, ils le diront.<br /> <br /> La diaspora congolaise semble amorcer son retour<br /> <br /> Je les encourage à rentrer au pays quand ils seront prêts, mais ici, il n’y a plus d’inquiétude à avoir au niveau des droits et des libertés. Les inquiétudes peuvent exister au niveau professionnel, et organiser le retour peut prendre du temps. Le Congo est le pays de tous les Congolais, je leur garantis la sécurité et je travaille sur les forces de l’ordre pour les conscientiser afin qu’ils aient un comportement différent. Aujourd’hui les représentants de l’autorité qui s’adonnent à des comportements dégradants sont passibles de poursuites, et je sens qu’il y a un changement… SI j’ai dit qu’il ne fallait pas considérer les investisseurs comme du gibier, c’est parce que, d’ordinaire, dès que ces derniers rencontrent une autorité cette dernière veut leur soutirer quelque chose. Avant même le premier investissement on demande pas de porte et dessous de table ! Dès que commencent les activités, on essaie de percevoir des taxes…Pour arriver à la croissance et au plein emploi, il faut cesser de telles pratiques…Je n’ai pas les yeux partout, mais je fais de mon mieux pour sensibiliser…J’ai aussi créé une agence pour le changement de mentalité, afin qu’elle fasse ce travail de sensibilisation de la population et surtout des fonctionnaires de l’Etat…<br /> <br /> Après avoir visité les pays voisins du Congo, qu’attendez-vous de votre voyage en Belgique ?<br /> <br /> <br /> <br /> J’ai toujours dit à mes amis belges que le pays qui pouvait aider le Congo à se relever, c’est la Belgique. Nous aider à renforcer notre administration, remonter le niveau de notre éducation, déployer une politique de santé qui puisse prendre en charge notre population . Avec nos « nokos » (oncles) belges nous pouvons faire beaucoup et mettre en place une coopération modernisée, adaptée aux circonstances actuelles, qui doit continuer…<br /> <br /> Cependant, compte tenu d’un passé récent, la Belgique demeure assez frileuse par rapport à nos relations et j’aimerais amener les Belges à avoir confiance à nouveau ; les gens hésitent encore mais nous allons essayer de donner le plus de garanties possibles afin de les rassurer. J’ai déjà eu contact avec certaines PME et j’espère que mon passage en Belgique va booster ces relations. Il y a entre nos deux pays un énorme capital de confiance, de sympathie, mais ma crainte, c’est qu’il disparaisse : les problèmes communautaires ont cessé de faire voir la Belgique comme un pays uni et je crains que l’idée que nous avons de l’ancienne métropole s’estompe, au profit d’autres pays qui offrent aussi des possibilités, comme la Chine, l’Afrique du Sud, le Maroc, qui offrent bourses et possibilités aux Congolais. Auprès des jeunes, la Belgique perd du terrain et c’est bien dommage, pour les deux parties…<br /> <br /> J’ai déjà plaidé en faveur du renforcement de la coopération militaire, j’en avais déjà parlé au Ministre Reynders lorsque je l’avais rencontré à Washington en avril.<br /> <br /> Nous aurions besoin de l’expertise belge pour réhabiliter le camp de Kota Koli dans l’Equateur, qui forme des para commandos et à Kindu, la coopération va reprendre…<br /> <br /> Plusieurs personnalités de l’ancien régime sont encore sous le coup de sanctions internationales. Allez-vous intervenir en leur faveur ?<br /> <br /> Ces personnalités font aujourd’hui partie de la coalition que nous avons formé. Si nous voulons que les choses se passent bien, nous ne pouvons que plaider en faveur d’une sorte d’assouplissement. Sauf évidemment si les raisons des sanctions sont autres que la crise politique que nous avons traversé, des violations des droits de l’homme par exemple. Ces sanctions étaient liées à la situation politique et celle-ci a évolué…<br /> <br /> Quelle est votre vision, votre rêve à propos du Congo ?<br /> <br /> Je rêve d’un Congo libre et pacifié, prospère évidemment, où les enfants du Congo vont à l’école dans de bonnes conditions, comme tous les enfants du monde où les parents ont un travail décent et un salaire qui leur permet de nouer les deux bouts. Je sais que les Congolais sont ingénieux, et qu’ils vont eux-mêmes améliorer leur environnement…Ils doivent compter plus sur le sol et ses ressources que sur notre sous sol, ce dernier est aussi est la cause de beaucoup de nos malheurs, car il a attiré beaucoup de convoitises y compris les plus cyniques. Si nous diversifions notre économie grâce à l’agriculture nous allons créer de l’emploi, atteindre l‘autosuffisance alimentaire et même pouvoir exporter…Côté emploi, les mines n’offrent pas beaucoup de possibilités…Nous devons aller vers la diversification de notre économie et sur le plan agricole, nous envisageons de créer des zones agro industrielles, de regrouper les paysans en coopératives, de leur donner les moyens nécessaires et d’améliorer les routes de desserte agricole, de créer de micro barrages afin de permettre l’industrialisation de notre agriculture.<br /> <br /> <br /> <br /> Allez-vous réclamer le retour des œuvres congolaises qui se trouvent en Belgique ?<br /> <br /> Certainement pas dans l’immédiat : notre nouveau musée n’est pas assez grand pour accueillir toutes les œuvres qui sont déjà chez nous ! L’ancien musée construit du temps du président Mobutu contient encore 30.000 pièces qui devraient être exposées…Ce n’est donc pas le moment de faire revenir des pièces qui se trouvent en Belgique, mais nous pourrions peut être envisager des expositions, des échanges…Pour le moment, n’étant pas capable de gérer cette situation, je ne ferais pas une telle demande…Les revendications sont fondées, mais pas réalistes : notre patrimoine pourrait revenir certes, mais dans l’immédiat, nous n’avons pas la capacité de l’accueillir, nous avons d’autres urgences…<br /> <br /> <br /> Le soir

Politique Félix Tshisekedi : « une force tranquille, une force quand même » (Interview de Colette Braekman)

Accompagnant votre père, opposant au président Mobutu, vous avez vécu longtemps en Belgique. Quel fut son rôle dans votre apprentissage poli...

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« La coopération ne s’est jamais arrêtée entre la RDC et la Belgique » (Alexander De Croo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_9N8TaCEToazwYahxdgu7kfRzW77jNoS6cvAobjC77ZgwPdA-uJze4u2tIn1p1ya1A4voG3PinLoS3F7XyqDI9lrDhPXVSQkvso_r0i0bO-_-hK9qyzzykKSkL8GnkGVDdBxiqHwV_j09/s1600/belgiacro_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_9N8TaCEToazwYahxdgu7kfRzW77jNoS6cvAobjC77ZgwPdA-uJze4u2tIn1p1ya1A4voG3PinLoS3F7XyqDI9lrDhPXVSQkvso_r0i0bO-_-hK9qyzzykKSkL8GnkGVDdBxiqHwV_j09/s400/belgiacro_jpg_640_350_1.jpeg" width="400" /></a></div> « La coopération ne s’est jamais arrêtée [entre la RDC et la Belgique] », affirme en exclusivité sur TOP CONGO FM, le Vice-Premier ministre belge et Ministre des finances, chargé de la lutte contre la fraude fiscale et ministre de la coopération au développement. Il reconnait qu’il « y a eu beaucoup de tensions entre les deux pays, à tort », pense-t-il.<br /> <br /> « La Belgique n’a jamais quitté la RDC. On a toujours continué à travailler », souligne Alexander De Croo qui indique que « ce qu’on va décider ici c’est un programme de transition, qui continue ce qu’on fait pour l’instant dans trois domaines, la formation professionnelle, l’agriculture et les soins de santé ».<br /> <br /> C’est au « pouvoir congolais de montrer qu’il y a une amélioration réelle pour la population congolaise, qu’on combat la corruption, que la situation sécuritaire s’améliore, que la vie des congolais s’améliore », poursuit le vice-Premier ministre et Ministre des finances belge.<br /> <br /> C’est au nouveau gouvernement belge de réévaluer…<br /> <br /> « En Belgique, on ne sait jamais quand un nouveau gouvernement sera là. Nous sommes aujourd’hui dans une situation d’affaires courantes mais j’espère que ça ne va pas durer trop longtemps », ironise Alexander Decroo qui précise aussi que « ça sera au prochain gouvernement belge d’établir un nouveau programme de coopération [avec la RDC] ».<br /> <br /> Le Vice-Premier ministre belge considère qu’à l’étape actuelle, « nous donnons davantage de doute au nouveau Président qui doit ou qui peut montrer, chaque jour, chaque mois, que la vie des congolais s’améliore. Si on arrive à réaliser cela, je pense que la Belgique sera certainement partenaire ».<br /> <br /> Les premiers pas des nouveaux rapports<br /> <br /> Peu après l’annonce par le Vice-Premier ministre Alexander De Croo, le Président Félix Tshisekedi et le Premier ministre belge Charles Michel ont signé, ce même mardi, des mémorandums d’entente marquant le début du raffermissement des liens entre les deux pays.<br /> <br /> Il s’agit de 3 lettres d’intention, et non pas d’accords entre les deux pays, qui portent sur la coopération entre les ministères des affaires étrangères, la coopération au développement et la coopération entre les ministères des finances belges et des affaires étrangères congolais, pour les régies financières de RDC.<br /> <br /> La première lettre traite de « la reprise des contacts réguliers au plus haut niveau à travers des consultations annulés ou selon que de besoin des deux pays » tandisque l’objet de la deuxième est « la reprise de la cooperation au développement », sous conditions, a précisé le Vice-Premier ministre belge de la coopération au développement.<br /> <br /> « La DGDA et la DGI devront bénéficier de la formation de leurs agents », précise la troisième lettre d’intention.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Top Congo

Politique « La coopération ne s’est jamais arrêtée entre la RDC et la Belgique » (Alexander De Croo)

« La coopération ne s’est jamais arrêtée [entre la RDC et la Belgique] », affirme en exclusivité sur TOP CONGO FM, le Vice-Premier ministr...

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Tapis rouge déroulé, fanfare royale, honneurs militaires... Félix Tshisekedi reçu par le Roi Philippe de Belgique

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Comme prévu dans son programme, le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a été reçu en audience par le Roi Phi...

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Visite de Felix Tshisekedi en Belgique : Trois accords signés en matière de diplomatie, de coopération et de finances

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbzUd_TpPWDK1tW3YKw-23yMfoF4dCdgsk6w9XfvRui-uFTrmTwZ7l1W408q80XDoA8T87SRcbL3BFKSu2EUzlyh4yYuyYs_Fdj-CGuO90EwjR13G8rZ9kSvJBi4DYKjuiOEEQZXSIoaEv/s1600/tshisekedi_felix_belgique_delegation_19_000_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbzUd_TpPWDK1tW3YKw-23yMfoF4dCdgsk6w9XfvRui-uFTrmTwZ7l1W408q80XDoA8T87SRcbL3BFKSu2EUzlyh4yYuyYs_Fdj-CGuO90EwjR13G8rZ9kSvJBi4DYKjuiOEEQZXSIoaEv/s400/tshisekedi_felix_belgique_delegation_19_000_jpg_640_350_1.jpeg" width="400" /></a></div> La Belgique et la République démocratique du Congo (RDC) ont conclu ce mardi 17 septembre 2019 à Bruxelles trois – et non quatre, comme attendu – accords qui concrétisent la fin de la profonde crise diplomatique qui a entâché les relations durant deux ans les relations entre la RDC et son ancienne puissance coloniale.<br /> <br /> La ministre congolaise des Affaires étrangères, Marie Tumba Nzeza, a signé trois Memorandums d’entente (MoU) avec d’une part son homologue belge, Didier Reynders, et d’autre part avec le ministre des Finances et de la Coopération au développement, Alexander De Croo.<br /> <br /> La signature s’est déroulée dans la prestigieuse galerie des glaces du Palais d’Egmont à Bruxelles, sous l’oeil du président congolais Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, en visite officielle en Belgique, et du Premier ministre démissionnaire, Charles Michel.<br /> <br /> Le MoU porte sur le rétablissement de la coopération entre les deux ministères des Affaires étrangères et la réouverture des postes diplomatiques des deux pays fermés au plus fort de la crise entre Bruxelles et Kinshasa (notamment le consulat de RDC à Anvers et celui de Belgique à Lubumbashi, dans le Sud-Est du pays).<br /> <br /> Les autres documents concernent la relance de la coopération au développement belge en RDC – elle aussi suspendue en 2017 par le régime de l’ancien président Joseph Kabila en réaction à des critiques venues de Bruxelles sur les reports successifs des élections – et sur un renforcement de la coopération entre les deux ministères des Finances.<br /> <br /> Aucun accord n’a toutefois été signé en matière de coopération militaire, alors que M. Tshisekedi s’était, dans une interview publiée lundi par le journal ‘Le Soir', montré demandeur pour une réhabilitation du camp d’entraînement commando de Kota-Koli (province de l’Equateur, dans le Nord-Ouest) et de la reprise de la coopération à Kindu (Maniema, Est), où l’armée belge a formé une brigade des Forces armées de la RDC (FARDC).<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> La libre

Politique Visite de Felix Tshisekedi en Belgique : Trois accords signés en matière de diplomatie, de coopération et de finances

La Belgique et la République démocratique du Congo (RDC) ont conclu ce mardi 17 septembre 2019 à Bruxelles trois – et non quatre, comme at...

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