BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Consultations : déjà, J+21 !

November 23, 2020

<p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg46mJTysFgYtSJn6cmiFPc8BGuss6E_luCWECPNSg_uZS5Z6r3cfFlNC94E4o5Rf6Hu5G0oCRReCa2HgwR813z-ZlcyjUOZk2OWfGUNi05XZZLUX7xqa423H6Q1OP8TXwUXA9sq9f8yziO/s1044/El-6vzsXEAEYnKt.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="696" data-original-width="1044" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg46mJTysFgYtSJn6cmiFPc8BGuss6E_luCWECPNSg_uZS5Z6r3cfFlNC94E4o5Rf6Hu5G0oCRReCa2HgwR813z-ZlcyjUOZk2OWfGUNi05XZZLUX7xqa423H6Q1OP8TXwUXA9sq9f8yziO/w400-h266/El-6vzsXEAEYnKt.jpg" width="400" /></a></div><p></p>* Entretemps, le Chef de l'Etat très en colère, maintient la mise en sourdine des réunions du Conseil des ministres !
A quand la fin des consultations amorcées depuis le 2 novembre en RD Congo? Mystère ! Dès lors que le Président Félix Tshisekedi continue à recevoir ses invités au Palais de la Nation, les Congolais continuent à prendre leur mal en patience. Autrement dit, au stade actuel de ces contacts directs entre Fatshi et ses hôtes, aucune prédiction n'est permise. Personne ne connait ni l'heure ni le jour ni le mois de clôture de ce "référendum" qui tire très en longueur.
Arithmétiquement, ces consultations sont à leur vingt et unième jour ce lundi 23 novembre. Seul leur initiateur en détient le secret. Entretemps, Félix Tshisekedi semble ne pas encore se libérer de sa crise de "colère", piquée le mercredi 21 octobre dernier. <div><br /></div><div>Ce, à la suite du boycott de la cérémonie de prestation de serment des trois juges de la Cour constitutionnelle, par la quasi totalité des cadres du Front commun pour le Congo (FCC), partenaire du Cap pour le changement (CACH), dans la coalition au pouvoir.
En attendant aussi, le Chef de l'Etat maintient sa décision de mettre en sourdine les réunions du Conseil des ministres. Rien donc de révélatrice, dans la mesure où les Congolais, même le moins averti, constate que le Gouvernement a cessé de se réunir, après ce qui s'était passé le 21 octobre au Palais du peuple. La dernière réunion du Conseil des ministres - soit la 53ème de l'ère Fatshi - a eu lieu le 16 du mois dernier. Depuis, plus rien.<div><br /></div><div><br /></div><div> Car, la 54ème rencontre des membres de l'Exécutif national, initialement prévue le 23 octobre, avait été renvoyée sine die, suite à une décision du Chef de l'Etat qui annonçait le même vendredi, son adresse à la nation.
ABSENCE DE COLLABORATION…
Au stade actuel de la situation politique, tout laisse à penser qu'aussi longtemps que la grand'messe du Palais de la nation n'aura pas fini, aucune réunion du Conseil des ministres ne sera convoquée ! D'ores et déjà, cette hypothèse pousse nombre d'analystes à poser la question de savoir si ces consultations consacraient quelque peu une sorte de mise à mort du Gouvernement Ilunkamba. <div><br /></div><div>Dès lors qu'il existe un Exécutif qui gère le pays au quotidien, des observateurs disent ne plus comprendre que les ministres ne puissent se réunir pour échanger sur la situation qui prévaut dans leurs secteurs respectifs. Au jour d'aujourd'hui, il est constaté une sorte d'"engourdissement", de "mise en veilleuse" de l'action gouvernementale. </div><div><br /></div><div><br /></div><div>Cette léthargie se caractérise, entre autres, par l'atomisation de la "cohésion" des membres du Gouvernement, l'absence de collaboration entre ces derniers, écartelés entre la dynamique du groupe et la posture politicienne ou politique - c'est selon - de leurs chapelles respectives.
Qui pis est, le Président de la république n'entend plus sentir son Premier ministre. Mais, malgré ce climat de méfiance, l'actuel locataire du "Matignon" congolais semble imperturbable. Comme pour dire, Sylvestre Ilunga Ilunkamba travaille imperturbablement. <div><br /></div><div>On le voit présider la traditionnelle réunion du Comité de conjoncture économique instituée chaque mardi de la semaine. On le voit également qui reçoit en audience plusieurs hôtes aussi bien nationaux qu'expatriés.
Tout bien considéré, nombre d'observateurs estiment qu'en attendant le "Nouvel ordre politique" devant sortir de ces Consultations qui deviennent longues, le pays doit vivre. <div><br /></div><div><br /></div><div>L'appareil de l'Etat doit continuer à fonctionner. Et donc, la poursuite des contacts du Palais de la Nation ne saurait justifier une "paralysie" de la nation, fût-elle partielle ou totale. </div><div><br /></div><div><br /></div><div>Grevisse KABREL</div></div></div></div></div>

Politique Consultations : déjà, J+21 !

* Entretemps, le Chef de l'Etat très en colère, maintient la mise en sourdine des réunions du Conseil des ministres ! A quand la fin des...

Diplomatie : De nouveaux signes de familiarité entre Kagame et Tshisekedi !

November 23, 2020

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIEONNV4YptB_TsArEeXvLBkbOIpluvMN1wJDo6KDAeGXusJEz9tD0gtfIO9TlXv3vbwVpWZllHtAZuDGnVFFbXWhS9NRk0ANH-Ntp2IsN20AulLPmERxaUMa2aRb9m5u6zJUkc9DO_66R/s900/kagame_tshisekedi_jpg.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="506" data-original-width="900" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIEONNV4YptB_TsArEeXvLBkbOIpluvMN1wJDo6KDAeGXusJEz9tD0gtfIO9TlXv3vbwVpWZllHtAZuDGnVFFbXWhS9NRk0ANH-Ntp2IsN20AulLPmERxaUMa2aRb9m5u6zJUkc9DO_66R/w400-h225/kagame_tshisekedi_jpg.jpg" width="400" /></a></div>  Avec un langage aisé , Patrick Mbeko , ce fin analyste de la politique Congolaise démontre noir sur blanc les faits qui rapprochent Félix Tshisekedi du Président Rwandais Paul Kagame.

Plusieurs rencontres ont été engagées et multipliées entre ces deux personnalités qui ont par dessus le marché témoigné de nouveax sines de familiarité. <p></p><div><br /></div><div> ” Denise Nyakeru Tshisekedi s’était rendue au Rwanda peu de temps après l’arrivée au pouvoir de son époux et qu’est-ce qui a été dit à son sujet à son départ du pays des mille collines; pourquoi le Rwanda a envoyé deux bataillons de ses forces spéciales à l’est du Congo, au moment même où Paul Kagame était reçu à Kinshasa par Felix Tshisekedi dans le cadre des obsèques de son père”, a-t-il révélé.

Récemment,</div><div><br /></div><div> ” Félix Tshisekedi a envoyé des émissaires auprès de Paul Kagame pour lui faire un compte-rendu de la situation politique en RDC. Pour ce fin analyste de la politique Congolaise , cela devrait faire réfléchir ceux des Congolais qui ne comprennent pas encore pour qui roule le successeur de Joseph Kabila.

Dans l’art illusoire du changement !

” Comment peut-on attendre de Tshisekedi des changements en profondeur quand il roule pour le Rwanda et prouve, via l’affaire Minembwe, que son cœur bat pour la même cause que les Azarias Ruberwa de ce monde ? , s’est-il interrogé. </div><div><br /></div><div> Patrick Mbeko reste très pessimiste quant au changement espéré sous Tshisekedi.” il faut que les Congolais comprennent que sous Félix Tshisekedi, il n’y aura pas de véritable justice pour les victimes congolaises du Rwanda, et ceux qui pensent que la question de Minembwe sera définitivement réglée sous ce régime peuvent toujours rêver”. </div><div><br /></div><div> ” Bref. Avec ou sans le FCC, Félix Tshisekedi reste un problème, pour ne pas dire une menace, pour la stabilité et l’intégrité territoriale de la RDC à moyen et à long terme…”, a-t-il dit conclusion dans sa Tribune dont 24H.CD a exploité une séquence.

Pour l’heure , le pays semble être suspendu à un point depuis l’avènement du nouveau régime, donneur de leçons hier.

La crise artificiellement créée et qui secoue la coalition FCC-CACH détériore davantage le tissu économique , sécuritaire voire politique.

</div><div><br /></div><div>Par ATIBU Gédéon</div>

Politique Diplomatie : De nouveaux signes de familiarité entre Kagame et Tshisekedi !

Avec un langage aisé , Patrick Mbeko , ce fin analyste de la politique Congolaise démontre noir sur blanc les faits qui rapprochent Félix ...

Politique : ” Avec ou sans le FCC, Tshisekedi reste un problème pour le Congo”( Patrick Mbeko)

November 23, 2020

<br /><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhuYMbIxIZWeFTNTyjjuzIsCPZiGydQZLt_LDySJRlZ0NIyINvI25zTghjv8IpZq6yprkoHbsu2uM014wdODIGGQm7fMCxyvb8ddkyMp7bP35JcKF33g9xm6HGm2QboUPBBDIqSHz_0v6Me/s800/TRENNNNTEEE.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="530" data-original-width="800" height="265" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhuYMbIxIZWeFTNTyjjuzIsCPZiGydQZLt_LDySJRlZ0NIyINvI25zTghjv8IpZq6yprkoHbsu2uM014wdODIGGQm7fMCxyvb8ddkyMp7bP35JcKF33g9xm6HGm2QboUPBBDIqSHz_0v6Me/w400-h265/TRENNNNTEEE.jpg" width="400" /></a></div></div><div>Avec un langage aisé , Patrick Mbeko , ce fin analyste de la politique Congolaise démontre noir sur blanc les faits qui rapprochent Félix Tshisekedi du Président Rwandais Paul Kagame.

Plusieurs rencontres ont été engagées et multipliées entre ces deux personnalités. <div><br /></div><div>On ne saurait tout dire.

” Denise Nyakeru Tshisekedi s’était rendue au Rwanda peu de temps après l’arrivée au pouvoir de son époux et qu’est-ce qui a été dit à son sujet à son départ du pays des mille collines; pourquoi le Rwanda a envoyé deux bataillons de ses forces spéciales à l’est du Congo, au moment même où Paul Kagame était reçu à Kinshasa par Felix Tshisekedi dans le cadre des obsèques de son père; pourquoi les services burundais et ougandais se gardent de partager certaines informations sensibles avec leurs homologues congolais… et surtout pourquoi la Monusco se tait face à ce qui s’apparente à une complicité manifeste de certains éléments «congolais» dans certaines opérations conduites par les Rwandais (en tenue des FARDC) à l’est du Congo”. a-t-il révélé.

Récemment, ” Félix Tshisekedi a envoyé des émissaires auprès de Paul Kagame pour lui faire un compte-rendu de la situation politique en RDC. </div><div><br /></div><div>Pour ce fin analyste de la politique Congolaise , cela devrait faire réfléchir ceux des Congolais qui ne comprennent pas encore pour qui roule le successeur de Joseph Kabila.

” Bref. Avec ou sans le FCC, Félix Tshisekedi reste un problème, pour ne pas dire une menace, pour la stabilité et l’intégrité territoriale de la RDC à moyen et à long terme…”, a-t-il dit conclusion dans sa Tribune dont 24H.CD a exploité une séquence. </div><div><br /></div><div> Pour l’heure , le pays semble être suspendu à un point depuis l’avènement du nouveau régime, donneur de leçons hier.

La crise artificiellement créée et qui secoue la coalition FCC-CACH détériore davantage le tissu économique , sécuritaire voire politique.</div><div><div><br /></div><div><br /></div><div>Par ATIBU Gédéon</div></div></div>

Politique Politique : ” Avec ou sans le FCC, Tshisekedi reste un problème pour le Congo”( Patrick Mbeko)

Avec un langage aisé , Patrick Mbeko , ce fin analyste de la politique Congolaise démontre noir sur blanc les faits qui rapprochent Félix ...

Herman Cohen se confesse: “Je dois m’excuser (…), Je pense que j’ai sous-estimé Kabila»

November 23, 2020

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhi7oNmK68Q4U_i2ONxP7Fev_RRzpjIRdrXfha0weCTRaRmTUU7W7eMhmQJTUwhcySm3clq3HEHWFeCpBSifjN4qHVFdJuD2A6NDFICN_x_61ho9NkQL-u-PktfaxhSasWhAWBzxXCTkfTA/s259/download+%252822%2529.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="194" data-original-width="259" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhi7oNmK68Q4U_i2ONxP7Fev_RRzpjIRdrXfha0weCTRaRmTUU7W7eMhmQJTUwhcySm3clq3HEHWFeCpBSifjN4qHVFdJuD2A6NDFICN_x_61ho9NkQL-u-PktfaxhSasWhAWBzxXCTkfTA/w400-h300/download+%252822%2529.jpg" width="400" /></a></div><p></p> Depuis qu’il a été sous secrétaire d’État aux affaires africaines de 1989 à 1993, Herman Cohen, 88 ans, est devenu une sorte de point focal de la politique africaine et congolaise pour certains lobbyistes aux USA.

Il passe l’essentiel de sa retraite dorée à se faire consulter par des think tanks républicains sur la place de Washington DC qui cherchent la meilleure formule pour maintenir l’ancien État Indépendant du Congo (EIC) sous influence américaine.

En effet, depuis 1885 grâce notamment à l’implication diplomatique et financière des États-Unis d’Amérique, l’EIC a été de tous les rendez-vous de la révolution industrielle. Le Congo Belge fut ainsi tour à tour le principal pourvoyeur de l’ivoire, du caoutchouc, des métaux précieux et de l’uranium qui ont conféré aux occidentaux l’hégémonie. On peut également citer le bois, les cultures rentières comme le coton, l’huile, l’hévéa, le café, le cacao, le riz, le maïs, le thé et d’autres métaux précieux nécessaires à la transition énergétique et aux nouvelles technologies de l’information et de la communication tels que le cobalt et la colombo tantalite, sans oublier l’or et le diamant. Au-delà de ces ressources naturelles tarissables, il faut ajouter que le Congo-Kinshasa est le deuxième poumon de la planète avec sa deuxième forêt tropicale après l’Amazonie et la deuxième réserve mondiale d’eaux douces talonant l’Amérique équatoriale latine. <div><br /></div><div><br /></div><div> Autant d’atouts qui font du pays de Kimbangu et Lumumba une référence géostratégique pour la première puissance mondiale qui tient bon an mal an à garder un œil sur sa gouvernance.

Kabila, un missile difficile à téléguider

Après l’alternance démocratique au sommet de l’État en janvier 2019, Herman Cohen comme la plupart de néolibéraux américains n’a pas caché son soulagement de pouvoir enfin contrôler le pouvoir suprême en RDC, une ambition malmenée pendant tout le mandat de l’indocile fils de Mzee Laurent Désiré Kabila qui avait du mal à faire confiance aux américains suspectés de s’être placés du mauvais côté de l’histoire en immolant sur l’autel de leur empire les meilleurs d’entre ses précurseurs que sont les Kimbangu, Lumumba, Mulele et son propre géniteur Laurent Désiré Kabila.

Félix Tshisekedi, le nouveau président apparaissait à cet égard comme un possible allié objectif pour les intérêts américains dans ce coffre-fort naturel qu’est la RDC. <div><br /></div><div><br /></div><div>Même si l’isolationnisme du truculent Donald Trump a rechigné à lui dérouler le tapis rouge à la maison blanche, Fatshi n’en est pas moins devenu la coqueluche aux yeux de certains milieux conservateurs au pays de l’oncle Sam.

Aussitôt après son élection, Herman Cohen a, dans un entretien avec le chroniqueur congolais Marius Muhunga, émigré aux USA tenu des propos péremptoires annonçant notamment que «dans une année, l’influence de Félix Tshisekedi sera tellement grandissante que Joseph Kabila n’existera presque plus politiquement». Une année après, Muhunga est revennu aux nouvelles pour savoir ce qu’il en était de cette prédiction. Sincère, Cohen n’a pas trouvé mieux que de se morfondre en excuses. «Je pense que je dois m’excuser auprès de l’opinion congolaise pour les propos que j’avais tenus une année plus tôt dans l’euphorie du changement de régime en RDC. Je pense que j’ai sous-estimé Kabila», avait-il concédé non sans amertume. <div><br /></div><div> Si Herman Cohen s’est plutôt montré cohérent dans sa lecture des faits, il s’est par contre totalement planté sur les raisons de l’enracinement politique de Kabila même après avoir quitté la magistrature suprême. Plutôt que de fonder l’ancrage politique du président honoraire de la RDC sur les valeurs nationalistes, souverainistes et lumumbistes qu’il partage avec un grand nombre de ses compatriotes convaincus que leur pays profitera au mieux de ses ressources s’il est en mesure de s’auto-déterminer dans le concert des nations, Cohen estime, à tort, que Joseph Kabila tiendrait son leadership de la corruption de ses ouailles.<div><br /></div><div><br /></div><div> «Je pense que si Joseph Kabila est toujours fort, c’est parce qu’il garde encore le contrôle de la Gécamines dont Albert Yuma est toujours président du conseil d’administration et de la Banque Centrale», se justifie-t-il. «Faux», lui rétorque Jean Charles Mubilulu, coordonnateur national de la jeunesse du PALU. «Comme notre leader Godefroid Mayobo a eu à le dire à la délégation de la Monusco mercredi 18 novembre 2020 au siège du parti au pont Matete, les Américains doivent comprendre une bonne fois pour toutes que les Congolais sont dans leur grande majorité des nationalistes lumumbistes, souverainistes par essence. <div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div> Aussi longtemps qu’il y aura des élections transparentes dans ce pays, il sera difficile de dégager une majorité autre que nationaliste et lumumbiste. Et Joseph Kabila a été consacré de son vivant par Gizenga, héritier testamentaire de Lumumba, comme le porte-étendard du nationalisme congolais qui plonge ses racines dans la lutte de tous les autres martyrs souverainistes. En droit positif congolais, la majorité parlementaire qui se dessine en début de mandat ne saurait être chamboulée en cours de mandat sans créer une crise plus grave que celle que l’on prétend résoudre dans la mesure où tout le monde sera fondé à chercher à défendre les dispositions intangibles de la Constitution, de la loi sur l’opposition politique et du règlement intérieur de l’Assemblée nationale cyniquement foulées aux pieds». <div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div> Plus vieux parti du landerneau politique actuel de la RDC, le PALU semble avoir vu juste en conseillant tous ceux qui veulent doter Félix Tshisekedi d’un pouvoir impérial de prendre leur mal en patience jusqu’aux élections générales de 2023.</div></div></div></div></div></div><div><br /></div><div> Le Maximum</div>

Politique Herman Cohen se confesse: “Je dois m’excuser (…), Je pense que j’ai sous-estimé Kabila»

Depuis qu’il a été sous secrétaire d’État aux affaires africaines de 1989 à 1993, Herman Cohen, 88 ans, est devenu une sorte de point foc...

Dans une mise au point :Le PPRD dément les folles rumeurs sur Ramazani Shadary

November 23, 2020

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSo20wSJgRd4aNE6stemM0qBjwtw_Mt2faWi_FAkzkPQIcexKCg0uPvRXpnJJsnuy4hmNdBlXlwpg9aHHqff9cNqjlHGCUairQdxSxNFZ_6F6d0GDShbAuY0CLE733ok6cmjPGyzmikXj1/s640/sha.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="640" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSo20wSJgRd4aNE6stemM0qBjwtw_Mt2faWi_FAkzkPQIcexKCg0uPvRXpnJJsnuy4hmNdBlXlwpg9aHHqff9cNqjlHGCUairQdxSxNFZ_6F6d0GDShbAuY0CLE733ok6cmjPGyzmikXj1/w400-h200/sha.jpg" width="400" /></a></div><br />Le parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie ( PPRD), principale formation politique du Front Commun pour le Congo (FCC) vient de démentir énergiquement les folles rumeurs ayant circulé sur les réseaux sociaux le week-end dernier, et faisant état d’un déplacement que son Secrétaire permanent, Emmanuel Ramazani Shadary, aurait effectué dans une province du pays et qui aurait donné lieu à des troubles.<br /><br />Prompte dans sa réaction, la cellule de communication de l’ex-dauphin de Joseph Kabila Kabange à la dernière présidentielle a, dans une mise au point publiée le samedi 21 novembre 2020, qualifié ces allégations de  » grossier montage des paresseux amateurs de la communication numérique qui se sont trompés de cible « .<br /><br />Pour la cellule de communication du Secrétaire Permanent du PPRD,  » Ramazani Shadary n’a jamais effectué un déplacement à l’intérieur du pays pour quoi que ce soit « . Dans son indignation face à ce grossier montage, la cellule de communication du numéro 2 du parti de Joseph Kabila  » met en garde les auteurs de ces folles rumeurs et promet de répondre coup sur coup à toute provocation jusqu’au cerveau moteur de cette entreprise satanique  » (sic) !<p></p><div><br /></div><div>Par DMK</div>

Politique Dans une mise au point :Le PPRD dément les folles rumeurs sur Ramazani Shadary

Le parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie ( PPRD), principale formation politique du Front Commun pour le Congo (FCC) vient...

AFDC/Goma: une centaine de militants regagnent la « maison mère »

November 23, 2020

<div style="text-align: left;"><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; caret-color: rgb(68, 68, 68); color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></div><span style="color: #444444; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgn_J6y2eFbp0ShGDbtbkcN3N4ASOMRVuc92IRf1BC5HyiOF8muVFbRT8nVzIaKQ1JRDjcudHSi3fZ2-rZViOXnCkQI-okoBAlRWNjeBzUKJLV4O4usL9iQbX0da5OTR3idMq8f38-EuQ/s605/C5EE8FC2-CB9D-48E2-9C65-7ABE806B6D9D.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="597" data-original-width="605" height="395" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgn_J6y2eFbp0ShGDbtbkcN3N4ASOMRVuc92IRf1BC5HyiOF8muVFbRT8nVzIaKQ1JRDjcudHSi3fZ2-rZViOXnCkQI-okoBAlRWNjeBzUKJLV4O4usL9iQbX0da5OTR3idMq8f38-EuQ/w400-h395/C5EE8FC2-CB9D-48E2-9C65-7ABE806B6D9D.jpeg" width="400" /></a></div><br /><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;">Une centaine de militants de l'Alliance des forces démocratiques du Congo (AFDC) qui avait choisi d'évoluer avec Néné Nkulu après la mise en place du gouvernement, ont décidé de retourner dans le camp de Bahati Lukwebo. Une cérémonie de leur accueil a eu lieu vendredi 20 novembre 2020 à Goma en présence de plusieurs personnalités membres de l'AFDC.
  
  
  
  
  
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  </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">" Réitérons notre fidélité, loyauté et détermination à servir notre parti politique AFDC et nous nous engageons d'être fidèles et loyaux à l'endroit de son autorité morale unique, le camarade sénateur Modeste Bahati Lukwebo. À cet effet, nous demandons à ceux qui traînent à sombrer dans la tromperie d'une quelconque autre personne animée par un esprit d'escroquerie politique de pouvoir rejoindre le plus tôt possible leur parti politique AFDC officiellement reconnu ", a affirmé à ACTUALITE.CD Kambale Lumbulumbu, un des membres co-fondateurs de l'AFDC qui veut poursuivre le combat aux côtés de Bahati Lukwebo après un moment de dissidence passé sous les ailes de Néné Nkulu, actuellement ministre d'Etat, ministre du travail, Emploi et Prévoyance sociale.</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Le président fédéral de l'AFDC au Nord-Kivu, qui les a accueillis à bras ouverts, affirme que les portes de ce parti sont encore grandement ouvertes pour recevoir d'autres militants qui préféreront suivre la voie de la légalité.
  
  
  
  
  
  
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  </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">" C'est avec joie que nous accueillons ces enfants qui étaient égarés mais qui ont finalement décidé de rentrer dans la maison de notre père, le sénateur Bahati Lukwebo. Que ceux qui ne veulent pas rentrer, aillent créer leur parti politique pour ne pas continuellement porter nos visibilités. Ceux qui veulent, qu'ils rentrent. Les portes sont grandement ouvertes ", a dit le Professeur Sylvestre Kinyata, président fédéral de l'AFDC au Nord-Kivu.</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Après la suspension de Bahati Lukwebo au FCC, une frange de membres de l'AFDC, parti " pilote " du regroupement AFDC-A, avait décidé de demeurer fidèle à Joseph Kabila, créant une dissidence de la formation politique de Lukwebo fondée à la veille des élections de 2011.
  
  
  
  
  
  
  
  
  
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  </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">En août dernier, le Vice-premier ministre et ministre de l'intérieur, Gilbert Kankonde avait demandé aux deux ailes de l'AFDC de se conformer à la loi interdisant le dédoublement des partis politiques. Dans sa lettre du 12 août 2020, le VPM avait d'ailleurs donné raison à Bahati Lukwebo au sujet de l'appartenance de l'AFDC. Décision qui avait été contestée par le camp Néné Nkulu. Même chose pour le regroupement AFDC-A dédoublé. L'Assemblée nationale, à travers sa commission PAJ avait donné raison au camp Néné Nkulu qui a attiré plusieurs députés membres dudit regroupement. Une décision contraire à celle du ministère de l'intérieur.</span></div></span></div>

Politique AFDC/Goma: une centaine de militants regagnent la « maison mère »

Une centaine de militants de l'Alliance des forces démocratiques du Congo (AFDC) qui avait choisi d'évoluer avec Néné Nkulu après la...

Consultation: voulue au départ pour une courte durée déjà j+21!

November 23, 2020

<div style="text-align: left;"><div style="text-align: justify;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVgW5XfBx1Rlxk7OEQEByzUYtOEdEZgQ414h4yVF7TpJWnfsPIJ-Nwijgtt-P9cm1uaieQmjqxfvO66oZdVlqOcnTuWwpT9_QCoTmCWBOZNKF43Rjow5QNkmwF2Z4bRin_xs9a6Qm2Mg/s605/FB73B1C7-627E-4321-AE8D-62C7E70C0E49.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="328" data-original-width="605" height="346" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVgW5XfBx1Rlxk7OEQEByzUYtOEdEZgQ414h4yVF7TpJWnfsPIJ-Nwijgtt-P9cm1uaieQmjqxfvO66oZdVlqOcnTuWwpT9_QCoTmCWBOZNKF43Rjow5QNkmwF2Z4bRin_xs9a6Qm2Mg/w640-h346/FB73B1C7-627E-4321-AE8D-62C7E70C0E49.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: 20px;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: 20px;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: 20px;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: 20px;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: 20px;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: 20px;">Entretemps, le Chef de l'Etat très en colère, maintient la mise en sourdine des réunions du Conseil des ministres !</span></div><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><span style="color: #444444; font-family: arial;"><p></p><div style="text-align: justify;">A quand la fin des consultations amorcées depuis le 2 novembre en RD Congo? Mystère ! Dès lors que le Président Félix Tshisekedi continue à recevoir ses invités au Palais de la Nation, les Congolais continuent à prendre leur mal en patience. Autrement dit, au stade actuel de ces contacts directs entre Fatshi et ses hôtes, aucune prédiction n'est permise. Personne ne connait ni l'heure ni le jour ni le mois de clôture de ce "référendum" qui tire très en longueur.
  
  
  
  
  
 
  
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   </div></span></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Arithmétiquement, ces consultations sont à leur vingt et unième jour ce lundi 23 novembre. Seul leur initiateur en détient le secret. Entretemps, Félix Tshisekedi semble ne pas encore se libérer de sa crise de "colère", piquée le mercredi 21 octobre dernier. Ce, à la suite du boycott de la cérémonie de prestation de serment des trois juges de la Cour constitutionnelle, par la quasi totalité des cadres du Front commun pour le Congo (FCC), partenaire du Cap pour le changement (CACH), dans la coalition au pouvoir.</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">En attendant aussi, le Chef de l'Etat maintient sa décision de mettre en sourdine les réunions du Conseil des ministres. Rien donc de révélatrice, dans la mesure où les Congolais, même le moins averti, constate que le Gouvernement a cessé de se réunir, après ce qui s'était passé le 21 octobre au Palais du peuple. La dernière réunion du Conseil des ministres - soit la 53ème de l'ère Fatshi - a eu lieu le 16 du mois dernier. Depuis, plus rien. Car, la 54ème rencontre des membres de l'Exécutif national, initialement prévue le 23 octobre, avait été renvoyée sine die, suite à une décision du Chef de l'Etat qui annonçait le même vendredi, son adresse à la nation.
  
  
  
  
  
  
  
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  </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="color: #444444; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;">ABSENCE DE COLLABORATION…</span><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"> </span></div><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"></span></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Au stade actuel de la situation politique, tout laisse à penser qu'aussi longtemps que la grand'messe du Palais de la nation n'aura pas fini, aucune réunion du Conseil des ministres ne sera convoquée ! D'ores et déjà, cette hypothèse pousse nombre d'analystes à poser la question de savoir si ces consultations consacraient quelque peu une sorte de mise à mort du Gouvernement Ilunkamba.</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Dès lors qu'il existe un Exécutif qui gère le pays au quotidien, des observateurs disent ne plus comprendre que les ministres ne puissent se réunir pour échanger sur la situation qui prévaut dans leurs secteurs respectifs. Au jour d'aujourd'hui, il est constaté une sorte d'"engourdissement", de "mise en veilleuse" de l'action gouvernementale. Cette léthargie se caractérise, entre autres, par l'atomisation de la "cohésion" des membres du Gouvernement, l'absence de collaboration entre ces derniers, écartelés entre la dynamique du groupe et la posture politicienne ou politique - c'est selon - de leurs chapelles respectives.</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Qui pis est, le Président de la république n'entend plus sentir son Premier ministre. Mais, malgré ce climat de méfiance, l'actuel locataire du "Matignon" congolais semble imperturbable. Comme pour dire, Sylvestre Ilunga Ilunkamba travaille imperturbablement. On le voit présider la traditionnelle réunion du Comité de conjoncture économique instituée chaque mardi de la semaine. On le voit également qui reçoit en audience plusieurs hôtes aussi bien nationaux qu'expatriés.</span><span style="color: #444444; font-family: arial;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; round-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; font-size: 20px;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Tout bien considéré, nombre d'observateurs estiment qu'en attendant le "Nouvel ordre politique" devant sortir de ces Consultations qui deviennent longues, le pays doit vivre. L'appareil de l'Etat doit continuer à fonctionner. Et donc, la poursuite des contacts du Palais de la Nation ne saurait justifier une "paralysie" de la nation, fût-elle partielle ou totale.</span></div></span></div>

Politique Consultation: voulue au départ pour une courte durée déjà j+21!

Entretemps, le Chef de l'Etat très en colère, maintient la mise en sourdine des réunions du Conseil des ministres ! A quand la fin des c...

« Boshab prêche le faux pour savoir le vrai » Moïse Moni Della

November 23, 2020

<div style="text-align: left;"><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyoo1PSXLTJQRA8uvBTnFyxCHujdjNwzpMD_4Q44GoDC6P0Iae6sKOEu3EJE40hArC9K4ANoAWXWUn4VaZDFn6pp5i373HuYgqE7Q7aiVbdmfY6UqZdhKBKnyR2lJgYr9Ky4P-ejcjyg/s605/64A18D57-CCC7-4962-BB8B-930F5C590C6E.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="330" data-original-width="605" height="219" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyoo1PSXLTJQRA8uvBTnFyxCHujdjNwzpMD_4Q44GoDC6P0Iae6sKOEu3EJE40hArC9K4ANoAWXWUn4VaZDFn6pp5i373HuYgqE7Q7aiVbdmfY6UqZdhKBKnyR2lJgYr9Ky4P-ejcjyg/w400-h219/64A18D57-CCC7-4962-BB8B-930F5C590C6E.jpeg" width="400" /></a></div><br /><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">A travers sa théorie d'un régime primo-ministériel, il déclare ourbi et orbi que le Président de la république a moins de pouvoir que le Premier ministre. Il met quiconque au défi de lui citer un seul article de notre Constitution qui prouve le contraire. </span></div><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">J'ai l'impression que l'homme fait semblant d'ignorer ce qu'il connaît, en sa qualité de professeur, ancien vice-premier ministre, président de l'Assemblée nationale. Bref, un homme d'Etat. Il nie même les évidences pour des raisons de convenance et de connivence. Je refuse de croire à une méconnaissance de quelqu'un qui doit en principe bénéficier de présomption des connaissances pratique, politique et théorique.
  
  
  
  
  
  
  
  
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  </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">La Constitution actuelle de notre pays a accouché d'un régime hybride qui réunit les caractéristiques d'un régime présidentiel et parlementaire. Mais elle a les caractéristiques d'un régime semi- présidentiel inspiré de la Constitution française de 1958. Dans la praxis de la gestion des affaires de l'État, cette Constitution donne beaucoup de pouvoirs au président de la République. Ce qui explique plusieurs dénonciations et protestations des partis politiques et mouvements de la gauche française. C'est aussi ce qui a inspiré François Mitterrand, leader de la Gauche, à écrire un best-seller intitulé : "Un coup d'Etat permanent". Il a dénoncé dans ce livre une "monarchisation du pouvoir" par le général De Gaulle. Notre Constitution qui est presque une copie conforme de celle de la France accorde au président de la République un énorme pouvoir qu'on peut même qualifier d'exorbitant et de débordant. L'on ne se permettra pas de comparer l'oeuvre de De Gaule à celle de Kabila, car c'est la nuit et le jour. Mais comme pour le Général de Gaulle, après la guerre, le constitutionnaliste a, en 2006, taillé les attributions du président de la République de la RDC sur mesure pour lui permettre de diriger le pays avec une main de fer dans un gant de velours.</span><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Affirmer aujourd'hui que dans cette Constitution, il n'y a aucun article qui donne le pouvoir au président plus qu' au Premier ministre, c'est une aberration. Si nous étions dans le monde des saints, je pouvais évoquer une désacralisation.
  
  
  
  
  
  
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  </span><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Une petite balade historique nous apprend que cette Constitution a été initiée à Liège en Belgique par un lobby belge bien identifié qui tenait à tout prix à consolider le pouvoir du jeune président Kabila.</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Dans ces circonstances historiques, on ne pouvait pas élaborer une Constitution qui pouvait dépouiller Kabila de tout le pouvoir pour donner au Premier ministre. C'est ce qui explique l'organisation d'un hold-up électoral au profit de Kabila malgré qu'il ait été battu à plate couture par Jean-Pierre Pierre Bemba Gombo en 2006. La présence des militaires de l'Eufor (une opération militaire du Premier ministre) avait justifié cette volonté d'imposer Kabila ou rien. L'UDPS, dirigée par le patriarche Étienne Tshisekedi d'heureuse mémoire, parti d'opposition à cette époque, avait dénoncé une Constitution taillée sur mesure et avait même boycotté les élections.</span><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">La sortie du professeur Boshab pousse plusieurs congolais comme moi, à s'interroger : faisait-il allusion à la même Constitution que nous avons et nous lisons ? Avant d'évoquer les articles qui donnent au président de la République le pouvoir exorbitant plus que le Premier ministre, il me paraît important de rappeler le caractère bicéphale du pouvoir exécutif, prévu dans notre Constitution. Avant, il sied de rappeler que le président de la République est à lui seul une institution (art. 68), ce qui n'est pas le cas du Premier ministre qui fait partie de l'institution "gouvernement" et qui est nommé par le président de la République.</span><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Le président est le chef de l'État. Il représente la nation et il est le symbole de l'unité (Art. 69). Le président est élu aux suffrages universels directs pour un mandat de 5 ans renouvelable.... Rien qu'avec ces deux articles, l'on peut déceler et confirmer que le président de la République a plus de pouvoir que le Premier ministre qui ne représente pas la nation, qui n'est pas l'arbitre conformément à l'article 69. Il y a une floraison d'articles dans notre Constitution qui confèrent au président de la République beaucoup plus de pouvoir que le Premier ministre (Voir les articles 78, 79, 80, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87, 88). Tous ces articles concentrent entre les mains du président les attributs de la puissance et de la souveraineté. Vouloir alors réduire le président de la République à un inaugurateur des chrysanthèmes au détriment d'un Premier ministre qui a beaucoup plus de le pouvoir relève de la schizophrénie. Pourquoi cette théorie de primo-ministère surgit-elle maintenant ? Pourquoi, cette théorie n'a pas été déroulée quand Kabila avait retiré la signature du Premier ministre Muzito à l'époque comme quoi il était un "petit Premier ministre" qui n'était pas du PPRD et qui ne gérait pas bien les affaires de l'Etat? Pourquoi les cadres du PPRD qui constituaient ce qu'on appelait de "gouvernement parallèle" qui siégeait à Procokin traitaient-ils régulièrement Muzito de minable et de non convenable à leurs intérêts ? A cette époque, ils ne savaient pas qu'il avait plus de pouvoir que le président Kabila? Pourquoi seulement aujourd'hui quand il y a une crise entre le président Tshisekedi et Kabila, par ricochet avec Ilunkamba? A l'époque de Kabila, le professeur Boshab pouvait-il se permettre de déclarer que le Premier ministre a plus de pouvoir que le chef de l'État ? Comme quoi la science, selon ce professeur, est à géométrie variable. Elle varie par rapport à la météo et à la saison, selon qu'on est au servir de l'homme ou d'un pouvoir. Selon qu'on est contre un homme ou un pouvoir. C'est la science au plus offrant. La science au service des intérêts partisans. Rabelais ne disait-il pas que "science sans conscience n'est que ruine de l'âme"? Au régime du primo-ministère évoqué par le professeur Boshab, je lui oppose le "régime mixte" ou la "constitution mixte".</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Dans la philosophie politique antique et médiévale (Platon, Aristote, Polybe, Thomas d'Aquin), théorie selon laquelle le "bon gouvernement" doit s'appuyer sur des institutions politiques faisant une synthèse des trois types de régimes: la monarchie, l'aristocratie et la démocratie. La principale vertu d'une "constitution mixte" est de trouver ainsi un juste équilibre entre les différents régimes, de façon à éviter les excès de chacun d'entre eux, notamment la tendance au despotisme. Il ne s'agit pas de séparer les trois formes de pouvoir, mais bien de les combiner harmonieusement dans un même gouvernement.
  
  
  
  
  
  
  
  
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  </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Cette dernière théorie correspond bien à celle que le professeur Boshab a présentée maladroitement. Il s'est embrouillé comme c'était le cas quand il avait parlé de "entre la révision de la Constitution et l'inanition de la Nation".</span><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Le seul mérite du pavé dans la marre jeté par le professeur émérite Boshab, c'est de lancer un débat sur le pouvoir du président de la République et du Premier ministre. L'impression qui s'y dégage est qu'il prêche les faux pour savoir les vrais. Le président Félix Tshisekedi ne fait que bénéficier ce que, eux, ont concocté pour la gouvernance de leur chef Kabila qu'ils croyaient éternel au pouvoir. Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. Au regard de la Constitution, Félix Tshisekedi est un président avec le plein pouvoir. Il ne peut y voir deux chauffeurs dans une même voiture, disait Moise Katumbi. Les Bakusu du Maniema, du territoire de Kibombo disent:"Mamba mbili haikalake ku kivuko moya. Kila Mamba na kivuko yake". Comme pour dire, il ne peut pas coexister deux Caïmans dans la même rivière. Chaque Caïman doit avoir sa côte.</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">*Moïse Moni Della</span></div></span></div>

Politique « Boshab prêche le faux pour savoir le vrai » Moïse Moni Della

A travers sa théorie d'un régime primo-ministériel, il déclare ourbi et orbi que le Président de la république a moins de pouvoir que le...

Prise en charge des enseignants: Fridolin Ambongo dit oui!

November 23, 2020

<div style="text-align: left;"><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKPlwqE-6EWbZlyRuRm42dDe8X1dvTl4FhrC7Y5q_Bq-OICT98pvTK_3XeJzoqGxOKbG7pQeGoeTGl5y7Bgw3MZjr0LOYzbQ9Ct18vGN-x6TtNchRSA1zVM_bGnT2u2OkLQ0O0EUY2Gw/s605/BA60B5A9-D585-40B7-B3B6-275447A2FBD8.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="481" data-original-width="605" height="508" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKPlwqE-6EWbZlyRuRm42dDe8X1dvTl4FhrC7Y5q_Bq-OICT98pvTK_3XeJzoqGxOKbG7pQeGoeTGl5y7Bgw3MZjr0LOYzbQ9Ct18vGN-x6TtNchRSA1zVM_bGnT2u2OkLQ0O0EUY2Gw/w640-h508/BA60B5A9-D585-40B7-B3B6-275447A2FBD8.jpeg" width="640" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Ajouter une légende<br /></td></tr></tbody></table><br /><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef; color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">A la base de cette position de l'Archèvêque de Kinshasa, l'incapacité du Gouvernement à honorer ses engagements dans le cadre de la gratuité.</span></div><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><p></p><div style="text-align: justify;">Enfin, l'Eglise catholique de Kinshasa se prononce le plus officiellement sur la problématique de la contribution des parents au salaire des enseignants de leurs enfants. "L'Eglise ne peut pas interdire aux parents de financer les études de leurs enfants. Ce n'est pas l'Eglise qui a demandé aux enseignants d'aller en grève", a déclaré hier dimanche 22 novembre, le cardinal Fridolin Ambongo, évêque de Kinshasa.
  
  
  
  
  
  
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  </div></span></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Cette prise de position de l'Eglise catholique officialise ainsi la reprise de la prise en charge des enseignants par les parents. Au moins dans la capitale. Une pratique qui, depuis le début de l'année scolaire en cours, se faisait de manière quelque peu discrète dans la plupart de grandes écoles conventionnées catholiques. Pour cette année, le montant exigé aux parents oscille entre 200 et 250 $us. Soit, l'équivalent de 400.000 et 500.000fc, selon les écoles, a-t-on appris des sources qualifiées.</span><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Selon les informations parvenues à la rédaction de Forum des As, aucun de ces montants n'a été imposé aux parents. Bien au contraire. Ils ont été fixés de commun accord avec les gestionnaires des écoles concernées. La motivation, a-t-on appris, est celle de sauver l'année scolaire 2020-2021 de perturbations qui résulteraient d'une grève sèche du personnel du secteur de l'Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST).
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
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  </span><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">D'aucuns pourraient donc se demander sur cette volte-face de l'Eglise catholique qui, il y a quelques semaines, s'était farouchement opposée à cette pratique avilissante de la prise en charge des enseignants par les parents, considérée par tous comme facteur aggravant de la baisse de la qualité de l'enseignement en RD Congo.</span><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Dans son argumentaire, le cardinal Fridolin Ambongo justifie ce changement de position de l'Eglise par le fait que l'Etat congolais ne respecte plus ses engagements pris pour soutenir la gratuité de l'enseignement de base dans tous les établissements publics. Par engagements, l'archevêque de Kinshasa parle de frais de fonctionnement qui, selon lui, sont soit libérés avec un grand retard, soit ne sont pas du tout payés.</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">VIVEMENT UNE VRAIE GRATUITE</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Les propos d'hier du cardinal Ambongo font suite à sa déclaration de la semaine dernière, dans laquelle il dénonçait avec virulence, le non-paiement des enseignants. Malgré toutes les critiques parfois acerbes, allant jusqu'à l'accuser de vouloir torpiller la décision du Président Félix Tshisekedi sur la gratuité de l'enseignement de base, le cardinal Fridolin Ambongo a promis de continuer à s'exprimer à temps et à contretemps sur les sujets d'actualité de la RDC. Notamment, la question de l'éducation qui semble le tenir à cœur.</span><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">A propos justement de l'éducation, l'évêque métropolitain a souligné, dans sa déclaration sus-évoquée, que l'Eglise catholique soutenait la suppression de la prise en charge des frais scolaires par les parents. " Nous voulons une vraie gratuité qui ne va pas fragiliser le système éducatif et qui va payer correctement tous les enseignants. On ne veut plus entendre parler de nouvelles unités, des effacés, des mécanisés ou non mécanisés mais sans salaire. Il faut en terminer avec cela ", avait-insisté.
  
  
  
  
  
  
  
  
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  </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">PRES DE 100. 000 ENSEIGNANTS ATTENDENT D'ETRE PAYES</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Selon des sources proches de la Coordination nationale des écoles conventionnées catholiques en RD Congo, l'absence de la prise en charge, par les parents, n'est pas compensée par l'État pour toute une partie des enseignants. "Bien pire, en milieu rural, les enseignants ont vu le maigre salaire prévu par la loi majoré de 25 dollars, contre 120 pour ceux des grandes villes", renseignent sous couvert de l'anonymat, les mêmes sources contactées par Forum des As.</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">"Les salaires versés aux enseignants, et nous insistons là-dessus, ne doivent pas être le petit 120. 000 francs congolais qu'on leur donne maintenant, mais ça doit être ce qu'ils reçoivent maintenant plus ce qu'ils recevaient de la contribution des parents pour pouvoir tenir le coup. Et à ce prix nous soutenons la gratuité", avait déclaré le cardinal Fridolin Ambongo, cité la semaine dernière par notre consœur RFI.</span><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">On rappelle que depuis le 12 octobre dernier, date de l'ouverture de l'année scolaire 2020-2021 en RD Congo, de plus en plus d'enseignants des écoles publiques sont en grève pour, notamment, exiger d'être pris en charge sur les listings de paie.</span><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"> </span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Plus de 100 000 d'entre eux attendent d'être payés par l'État, selon les chiffres avancés par le Syndicat des enseignants du Congo (SYECO) et n'ont reçu aucun salaire depuis la rentrée. Une situation qui indigne donc le cardinal Ambongo qui demande à l'État congolais de prendre ses responsabilités.</span></div></span><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"></p><span style="-webkit-text-size-adjust: auto; background-color: #efefef;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Créé cardinal le 5 octobre 2019 par le pape François, l'archevêque de Kinshasa s'affranchit ainsi du devoir de réserve et affirme avoir son mot à dire sur les affaires du pays. "Ma nomination comme cardinal ne change pas la nature de ma mission. Je reste prêtre, je reste évêque et la dimension prophétique liée à ma mission est intacte. Un cardinal doit être la voix de ceux qui souffrent. Il doit parler quand il le faut. Le devoir de réserve ne s'applique pas à un prêtre ou à un évêque. Le devoir de réserve concerne les diplomates", avait-il conclu.</span></div></span></div>

Politique Prise en charge des enseignants: Fridolin Ambongo dit oui!

Ajouter une légende A la base de cette position de l'Archèvêque de Kinshasa, l'incapacité du Gouvernement à honorer ses engagements ...

L’accident de Jeanine Mabunda : un fait divers inutilement politisé par le FCC !

November 23, 2020

<div style="text-align: left;"><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; letter-spacing: 0px; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; letter-spacing: 0px; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; letter-spacing: 0px; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7daM4zAkbHea2uuZkJ15tmzlQi3vwso0nn7br2BDZDn3xnEp3WInoqw_FSJuMtO66cuth8-cPxbj1Df5XPD39lS8hZoD1ZzRZoa6g-oAPbPMsphwap3sn5HRYb0_VrMsgTPCNP2AVzg/s1080/A14028EC-ABFA-4B08-B9E0-7FC2CBB1D280.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="697" data-original-width="1080" height="414" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7daM4zAkbHea2uuZkJ15tmzlQi3vwso0nn7br2BDZDn3xnEp3WInoqw_FSJuMtO66cuth8-cPxbj1Df5XPD39lS8hZoD1ZzRZoa6g-oAPbPMsphwap3sn5HRYb0_VrMsgTPCNP2AVzg/w640-h414/A14028EC-ABFA-4B08-B9E0-7FC2CBB1D280.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span><p></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; letter-spacing: 0px; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; letter-spacing: 0px; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; letter-spacing: 0px; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; letter-spacing: 0px; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">S’il est vrai que la jeep qui transportait madame Jeanine Mabunda a connu un accident, ce vendredi 20 novembre dans la soirée, au croisement avenue Batetela et Boulevard Tshatshi, il est aussi vrai que l’impact visible sur sa jeep laisse transparaître un choc moins important, contrairement aux diseurs de bonne aventure qui insinuent une certaine tentative d’assassinat ou quelque chose de la sorte.
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
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  </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; letter-spacing: 0px; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><br /></p><div class="scoop-contenu_14" id="scoop-1417358962" style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin-left: auto; margin-right: auto;"><div class="adsbyvli" data-ad-slot="vi_1071440256" data-id="vi_1071440256_823" data-observe="true" style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto; position: relative; z-index: 0;"></div></div><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En effet, c’est autour de 16h30′ alors que la présidente de l’Assemblée nationale rentrait chez elle, son cortège comme c’est devenu courant en RDC, n’a pas respecté le code de la route et le véhicule à bord duquel elle se trouvait a été percuté par une pick-up Toyota Land Cruiser blanche. Sans trop de dégât matériel ni victime à déplorer, la présidente de l’Assemblée nationale a été conduite au centre hospitalier Diamant sur colonel Mondjiba.
  
  
  
  
  
  
  
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  </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Inutile de dire qu’aussitôt, certaines personnes mal intentionnées ont cherché à lier cet événement au climat politique tendu entre le FCC et CACH. Seulement, ce que les uns et les autres doivent savoir est que le code de la route a été fait pour être respecté. Ne pas le faire, soumet le contrevenant au risque qui a failli causer de soucis à l’élue de Bumba.</span></p></div><div style="text-align: left;"><br /></div>

Politique L’accident de Jeanine Mabunda : un fait divers inutilement politisé par le FCC !

S’il est vrai que la jeep qui transportait madame Jeanine Mabunda a connu un accident, ce vendredi 20 novembre dans la soirée, au croisement...

Baudouin Mayo : « Nous demeurons fidèles aux accords de Nairobi qui ont créés le CACH »

November 23, 2020

<div style="text-align: left;"><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdpqpKKHie9mUVQ1ParTkhoQHPGkzOrgB_AlhiC0LK_q1cAnGZO-j0HQyaKrLCcZB1Hv-m4V4iBTzG8fQWTV0NkPQAlfvZzgQy9rOS6I09b53C4pUP4PvUCrbtzoecp87-e7KRc9Mqfg/s828/A4A2A617-D1B0-4BC6-81CF-EE4AD0007E19.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="828" height="386" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdpqpKKHie9mUVQ1ParTkhoQHPGkzOrgB_AlhiC0LK_q1cAnGZO-j0HQyaKrLCcZB1Hv-m4V4iBTzG8fQWTV0NkPQAlfvZzgQy9rOS6I09b53C4pUP4PvUCrbtzoecp87-e7KRc9Mqfg/w640-h386/A4A2A617-D1B0-4BC6-81CF-EE4AD0007E19.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span><p></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;">L’ Union pour la nationale congolaise ( UNC) a tenu un meeting ce samedi 21 novembre dans le district de Mont-Amba à Kinshasa.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;">Au cours de cette rencontre , le parti cher à Vital Kamerhe a réitéré sa position en demeurant fidèle aux accords de Nairobi c’est ce qui ressort de la bouche de Baudouin Mayo mambeke , cadre au sein de l’UNC et ministre du budget.
  
  
  
  
  
  
  
  
  
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  </span></p><div class="td-a-ad id_inline_ad0 id_ad_content-horiz-center" style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; float: none; margin: 0px auto 26px; text-align: justify;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br class="Apple-interchange-newline" /></span></div><div class="td-a-ad id_inline_ad0 id_ad_content-horiz-center" style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; float: none; margin: 0px auto 26px; text-align: justify;"><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;">» Honorable, secrétaire général nous voulons que vous puissiez dire au chef de l’État, que les membres de l’UNC de Mont-Amba et d’ailleurs nous demeurons fidèles aux accords de Nairobi qui ont créés le CACH  » .</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;">En Republique démocratique du Congo, après l’arrestation de Vital Kamerhe , les relations entre Félix Tshisekedi et son allié du CACH qui est l’UNC mais aussi avec son partenaire de la coalition , qui est le FCC plate forme dirigé par l’ancien président congolais Joseph Kabila ne sont plus en bon terme.
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
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  </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;">Pour rappel, l’accord de Nairobi qui a conduit à la création du cap pour le changement ( CACH) et qui avait fait de Félix Tshisekedi le candidat comme de cette plateforme politique prévoit un mandat présidentiel de cinq ans à chacun entre Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe .</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;">Les deux hommes s’étaient partagés la carte électorale, le but était une convergence de voix entre l’UNC, bien implantée dans l’est, et l’UDPS plutôt au centre et à l’ouest.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;">N’eût été l’arrestation de Vital Kamerhe et le présumé accord de Kingakati signé entre Félix Tshisekedi et Joseph Kabila , le président national de l’UNC devrait être le candidat du cap pour le changement pour le scrutin présidentiel de 2023.
  
  
  
  
  
  
  
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  </span></p><p class="aBigClassNameToAvoidCollisionInText" style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; margin: 0px auto 26px; text-align: left; word-wrap: break-word;"></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;">L’ accord de Nairobi avait prévu également</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial; font-size: medium;">le partage des postes. L’UDPS va prendre le ministère des Affaires étrangères, l’Intérieur, la Sécurité et l’Assemblée. En plus de la magistrature, l’UNC obtiendra la présidence du Sénat, la gouvernance de la Banque centrale, les ministères des Finances, des Infrastructures de la Défense et de la Justice.</span></div><p></p></div></div>

Politique Baudouin Mayo : « Nous demeurons fidèles aux accords de Nairobi qui ont créés le CACH »

L’ Union pour la nationale congolaise ( UNC) a tenu un meeting ce samedi 21 novembre dans le district de Mont-Amba à Kinshasa. Au cours de c...

Kabuya révèle que Kabila touche un salaire plus supérieur que celui de Tshisekedi

November 23, 2020

<div style="text-align: left;"><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJjZ2pdujXs7z0StKQn4ZzuqyBtqOauDx9mwwphZY8Wub9r7PVK6jEj0GnwPSlQS4hBKTzZ1BjDSeQshRWvLduhgkMlESXracqc5qF6cIbBi19FfGadjYNaqcMqQ9TsSYnakJ0_3eJ6Q/s1280/C2A8BEA9-FA45-4213-9530-FA0502ED1E68.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="852" data-original-width="1280" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJjZ2pdujXs7z0StKQn4ZzuqyBtqOauDx9mwwphZY8Wub9r7PVK6jEj0GnwPSlQS4hBKTzZ1BjDSeQshRWvLduhgkMlESXracqc5qF6cIbBi19FfGadjYNaqcMqQ9TsSYnakJ0_3eJ6Q/w640-h426/C2A8BEA9-FA45-4213-9530-FA0502ED1E68.png" width="640" /></a></div><br /><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">l’heure des comptes a sonné. La guerre des chiffres se déclenche au sommet de l’État.</span></div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white;">La révélation est de Augustin Kabuya, secrétaire général ai de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS).
  
  
  
  
  
  
  
  
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  </span></div></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: left;"><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">“De quel droit Joseph Kabila qui est reconnu en tant que sénateur à vie par la constitution, peut toucher un salaire de 680.000 dollars à la fin de chaque mois, supérieur aux salaires du président qui est en fonction?” s’interroge l’extrémiste Kabuya.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le numéro 2 du parti au pouvoir, propose de ce fait la révision à la baisse du salaire du sénateur a vie.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">“ce n’est pas une violation de la constitution? On doit revoir cette affaire”, estime le secrétaire général de l’UDPS.
    
    
    
    
    
    
    
    
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    </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le secrétaire général du parti présidentiel Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), Augustin Kabuya accuse depuis quelques jours le ministre en charge des Finances José Sele Yalaghuli d’être à la manœuvre de blocages dans les paiements des charges publiques en privilégiant ceux de sa famille politique le Front commun pour le Congo (FCC) indexant la pension payée à l’ex-président Joseph Kabila.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Accusation rejetée en bloc par la famille politique de Joseph Kabila, qui affirme travailler pour le bien être de tous.</span></p></div>

Politique Kabuya révèle que Kabila touche un salaire plus supérieur que celui de Tshisekedi

l’heure des comptes a sonné. La guerre des chiffres se déclenche au sommet de l’État. La révélation est de Augustin Kabuya, secrétaire génér...

“Boshab est moins pire que Mbata qui donne l’impression d’être un professeur Wewa » (Patrick Mbeko)

November 23, 2020

<p style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhueSm4h4I3ip3LUPOnPKygEn1wG5oDfWAyv5_J5YeRFXdGhP9sNlR4vbV2im2DD2gdT-kEJY55I_Ojhh0prxnefk14qr9_gF6P1eDYEJBumJGDwrXv3qOVoQzhc4OjpaRWAXbIULznDA/s400/F1D04FE2-6DD2-49AE-80E0-8A3794B5517C.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="400" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhueSm4h4I3ip3LUPOnPKygEn1wG5oDfWAyv5_J5YeRFXdGhP9sNlR4vbV2im2DD2gdT-kEJY55I_Ojhh0prxnefk14qr9_gF6P1eDYEJBumJGDwrXv3qOVoQzhc4OjpaRWAXbIULznDA/w640-h640/F1D04FE2-6DD2-49AE-80E0-8A3794B5517C.jpeg" width="640" /></a></span></div><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white;"><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Quand les Congolais débattent d’une question politique, il font généralement parler non pas la raison, mais leurs émotions. Souvent c’est la partisanerie qui prend le pas sur la rationalité. On ne discute pas pour exposer ou faire triompher la vérité des faits, mais le point de vue du parti ou du clan. C’est ce que j’ai appelé la « wengetisation des cœurs et des esprits ». Ce qui compte, c’est d’avoir raison, même lorsqu’on est conscient de débiter des contre-vérité.
  
  
  
  
  
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  </span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Ce comportement bizarroïde est perceptible à tous les niveaux de la société congolaise. Les pasteurs vont faire dire à la Bible ce qu’elle ne dit pas juste pour obtenir quelque chose de leurs fidèles (ou moutons, c’est selon), les journalistes clochardisés vont dire des choses pour plaire à ceux qui leur jettent de temps en temps des billets verts; les politiques et les juristes auront tendance à faire dire à la Constitution ce qu’elle ne dit nécessairement pas pour faire triompher leur cause. Au niveau de la population, les gens vont prendre position en fonction non pas de la raison et des faits, mais de la position de l’église et/ou de la famille politique à laquelle ils appartiennent. À partir de ce moment-là, la vérité qui vient d’un autre camp est un mensonge. Bref, la République à démocratiser du Congo est un pays tellement phagocyté par le faux, la fourberie et le mal qu’il est difficile de faire entendre raison aux gens, même quand il s’agit des faits d’une simplicité biblique n’exigeant aucun débat…
    
    
    
    
    
    
    
    
    
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    </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Depuis hier, on s’agite autour des propos du Professeur Évariste Boshab. Le monsieur, on le sait, a tendance à s’asseoir sur son cerveau pour des raisons qu’il n’est pas difficile à comprendre. Bien entendu, c’est moins pire que le cas André Mbata qui donne l’impression d’être un « professeur Wewa ». Sans être un spécialiste du droit constitutionnel, on peut comprendre, après avoir écouté ATTENTIVEMENT le professeur Boshab, qu’il n’a pas totalement tort lorsqu’il affirme que « le Premier ministre a des pouvoirs énormes que le Président de la République n’a pas ».</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Personnellement, je pense que tout dépend du contexte dans lequel s’exerce le pouvoir. Les propos du prof Boshab prennent tout leur sens quand on est dans un régime de cohabitation. Prenons l’exemple de la France. Jacques Chirac a été le Premier ministre de Valéry Giscard d’Estaing et de François Mitterrand. Lorsqu’on lui a demandé avec lequel de ces deux Présidents il a pu le mieux exercer ses fonctions, Chirac a répondu : « Pour des raisons tenant des circonstances, naturellement avec François Mitterrand », qui n’était pas de la même famille politique et idéologique que lui. Pourquoi ? Parce qu’avec Giscard, sa marge de manœuvre était beaucoup plus réduite qu’avec Mitterrand. Comme on le sait, cette impossible harmonie entre Valéry Giscard d’Estaing et Jacques Chirac avait conduit à la démission de ce dernier en août 1976.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><br /></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Si l’on décontextualise les propos de M. Boshab, l’on ne pourra comprendre sa pensée. En effet, hors cohabitation le centre du pouvoir se trouve à la présidence et non à la primature( partant bien entendu du principe que le président et le premier ministre issu de la majorité parlementaire émettent sur une même fréquence), mais en période de cohabitation, c’est le Premier ministre qui mène la barque. N’est-ce pas professeur Sam Bokolombe ?
      
      
      
      
      
      
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      </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Au lieu d’exprimer une certaine mauvaise foi et je ne sais quoi encore pour des raisons souvent débiles liées à la wengetisation des coeurs et des esprits, les Congolais devraient apprendre à faire parler la raison et à demeurer intellectuellement intègres dans leurs prises de position.</span></p><div class="code-block code-block-3" style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; clear: both; margin: 8px 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br class="Apple-interchange-newline" /></span></div><p style="text-align: left;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; font-family: Roboto; font-size: 15px;"><br /></span></p>

Politique “Boshab est moins pire que Mbata qui donne l’impression d’être un professeur Wewa » (Patrick Mbeko)

Quand les Congolais débattent d’une question politique, il font généralement parler non pas la raison, mais leurs émotions. Souvent c’est la...

Présidence: “Félix Tshisekedi accuse 2 mois d’arriérés de salaires”( Kabuya)

November 23, 2020

<h1><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-weight: normal; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjH3F7W9BqtaIGbhPqZitvVl4k_FxndVXE_WxwjFwfN2yZH7HbAO5okXHAHvN9vDWD_K_5toB0hQvhfXLVBKv4FlkJl0SY0j3Av3dCDdoMZqV7WfKlaRbThyphenhyphenNcgrgDnw-B19dlti4cb4w/w640-h428/D6BE0319-1988-4700-B948-1E2741607B6E.jpeg" /><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-weight: normal; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-weight: normal; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-weight: normal; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le secrétaire général ai de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Augustin Kabuya, a révélé que le Chef de l’État Félix Tshisekedi accuse 2 mois d’arriérés de salaires, alors que son prédécesseur Joseph Kabila n’a aucun retard dans ses paiements.
  
  
  
  
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  </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-weight: normal; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><div class="code-block code-block-2" style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; clear: both; font-weight: normal; margin: 8px 0px; text-align: start;"><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">“L’ancien chef d’Etat n’a aucun retard dans ses paiements pendant que l’actuel chef de l’État Félix Tshisekedi accuse 2 mois d’arriérés de salaires”, a fait savoir le numéro 2 du parti au pouvoir.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour cause, poursuit-il: “parce qu”il y a un ministre des finances FCC qui veut à tout prix humilier le président de la République”.
  
  
  
  
  
  
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  </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour résoudre ce problème, Augustin Kabuya propose la révision de la disposition légale du président honoraire Joseph Kabila, et l’actuel Félix Tshisekedi.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Les révélations de Kabuya interviennent au moment où on parle du dépassement budgétaire de 1146% du fonctionnement du cabinet présidentiel de la RDC.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">C’etait le député Fofo Konzi qui l’avait dénoncé le mercredi 11 novembre 2020 après une plénière consacrée au projet de reddition des comptes de l’an 2019, présenté aux élus nationaux par le ministre des finances, Sele Yalaguli.
  
  
  
  
  
  
  
  
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 </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Selon cette communication du ministre Yalaguli, les dépenses de la Présidence en 2019 prévues pour 57 milliards de dollars, ont dépassé 300 milliards par des ordonnancements.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Cela serait dû au fait que plusieurs projets non budgétisés ont été exécutés et d’autres qui l’ont été, ont été exécutés à un niveau très élevé.</span></p></div></h1>

Politique Présidence: “Félix Tshisekedi accuse 2 mois d’arriérés de salaires”( Kabuya)

Le secrétaire général ai de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Augustin Kabuya, a révélé que le Chef de l’État Félix Ts...

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