BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Affaire “Mwant Jet”: L’arrêt de la Cour d’appel déjà dans la rue avant la décision des juges !

May 04, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrHT2zxDRhyYu-6IrXLzqyjiuVtDM36NY3G8NhYL4T2dYUJiZ7oOT3PSjGyVFl0u9xipTnrT5cfVZA2Ainb4DObscgLWiWH4tDapob5jqCQo56nfzfHZd04Dze4-Pv4-nuHzq1SOgsZgmQEdq-1TWkIU6qZX8Nx6thRdZKyKVtIr8DM7dZ6zZDhftfAg/s988/Snapshot_548.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="546" data-original-width="988" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrHT2zxDRhyYu-6IrXLzqyjiuVtDM36NY3G8NhYL4T2dYUJiZ7oOT3PSjGyVFl0u9xipTnrT5cfVZA2Ainb4DObscgLWiWH4tDapob5jqCQo56nfzfHZd04Dze4-Pv4-nuHzq1SOgsZgmQEdq-1TWkIU6qZX8Nx6thRdZKyKVtIr8DM7dZ6zZDhftfAg/s320/Snapshot_548.jpg" width="320" /></a></div>L’intrigue de l’affaire “Mwant Jet” dans les couloirs judiciaires commence à ressembler à une pièce de vaudeville. En effet, plusieurs médias ont rapporté, le lundi 02 mai, que la justice congolaise rejetait la désignation d’un administrateur provisoire à la tête de la société d’aviation au coeur d’une dispute entre associés. L’un d’eux, dans sa “tribune”, précise même que “dans son dernier arrêt, la justice congolaise a confirmé le jugement rendu par le Tribunal de Commerce de Kinshasa/ Matete et condamné Michael Yav, l’actionnaire minoritaire. Bouté par la justice sous l’ère de l’état des droits Fatshi béton, l’homme se lance dans une phase pénale qu’il n’obtiendra gain de cause”. Abordée à ce sujet, la Cour d’appel de Kinshasa/Matete a indiqué que, jusque hier mardi 3 mai 2022, aucun arrêt n’a été rendu dans le deuxième volet de cette affaire. Aussi, la communication ne donne aucun numéro sur la référence sur l’arrêt en question. Encore moins la date à laquelle cet arrêt a été rendu. La “Presse Gueda Yav” dans le secret de la Cour d’Appel ! Pour les observateurs qui suivent de près cette saga judiciaire, cette information dévoilée par la presse depuis lundi sent le soufre. D’où les interrogations : “Comment cette équipe a pu avoir connaissance de l’arrêt? Par qui l’a-t-il obtenu?” La tribune de l’équipe “Presse Gueda Yav” affirme que “Michael Yav a également fait appel et a été déboutée.

Il ne reste plus que l’application de l’arrêt de la Cour qui va permettre de résoudre les problèmes qui se posent entre les deux associés, Gueda Yav (qui détient 60% des parts) et Michael Yav (qui détient 40%)”. Comment peut-on faire une telle affirmation? Cette équipe est-elle dans le secret de la justice pour connaître à l’avance le contenu de l’arrêt qui sera rendu par la Cour d’Appel de Kinshasa? Pourtant, la justice congolaise est cette instance qui se distingue par son indépendance, dans l’état de droit actuel comme le soutien Gueda Yav dans ses tweets. Alors, comment comprendre qu’elle soit déjà au courant du contenu de l’arrêt de la Cour d’Appel? Des questions qui valent la peine d’être posées, surtout que l’état de droit prime et garantit à tous le droit à un jugement équitable. Pendant ce temps, l’arrêt de la Cour d’Appel sur cette question est toujours attendu, officiel. A moins qu’il ne vienne confirmer ce que l’équipe “Presse Gueda Yav” sait déjà et communique dessus.

Et pourtant, après son arrêt RCEA 155 rendu le 28 mars 2022 dans le litige qui oppose Gueda Yav Witch Amani à Michael Yav Tshikung, la Cour d’appel de Kinshasa/Matete a confirmé l’installation de l’administrateur provisoire pour gérer la situation tendue entre les deux actionnaires de la compagnie d’aviation Mwant Jet. Et pourtant, depuis l’annonce de cet arrêt, l’installation de l’administrateur provisoire se fait toujours attendre. Cette procédure est déjà clause et l’arrêt rendu est de ce fait exécutoire, indique l’un des avocats de Michael Yav dans l’affaire Mwant Jet. Dorcas Ntumba/CONGOPROFOND.NET

Justice Société Affaire “Mwant Jet”: L’arrêt de la Cour d’appel déjà dans la rue avant la décision des juges !

L’intrigue de l’affaire “Mwant Jet” dans les couloirs judiciaires commence à ressembler à une pièce de vaudeville. En effet, plusieurs média...

Reprise du procès 100 jours: Vital Kamerhe et consorts devant la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe, ce 11 mai

May 04, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdiHKYtDGZUiZIrRU8ifTAsdvfblMo02D6QJILPEuVFipqMcfsWsFRipA9qphapvrsTkcIPyavl1p28mY3vQoMAMoMxte7gjR71WStlFtZ2m6xY15oWuuNx4tiC4DxIlSTkny4t2AAk_mjDBZT4innCeBbD9F2PMy4b3C83BEPGKmbvlVLk9m7W280lw/s862/Snapshot_278.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="577" data-original-width="862" height="214" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdiHKYtDGZUiZIrRU8ifTAsdvfblMo02D6QJILPEuVFipqMcfsWsFRipA9qphapvrsTkcIPyavl1p28mY3vQoMAMoMxte7gjR71WStlFtZ2m6xY15oWuuNx4tiC4DxIlSTkny4t2AAk_mjDBZT4innCeBbD9F2PMy4b3C83BEPGKmbvlVLk9m7W280lw/s320/Snapshot_278.jpg" width="320" /></a></div>Le procès du président national de l'Union pour la Nation Congolaise (UNC) reprend, le mercredi 11 mai 2022, à la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe. La reprise de ce procès fait suite à la décision de la Cour de cassation qui s'était prononcée en faveur de la requête de Vital Kamerhe. Elle s'oppose par ailleurs à la la décision de la Cour d’appel. Pour la Cour de cassation, la juridiction d’appel a statué sur base d’une notification de date d’audience alors qu’elle aurait dû citer le prévenu, ce qui constitue aussi une violation du droit de la défense prévue par l’article 19 de la Constitution.

Bénéficiare d'une liberté conditionnelle, le leader de l'Union pour la Nation Congolaise (UNC), Vital Kamerhe, en France où il se trouvait, suivait de près l'évolution de son dossier avec la justice Congolaise. Ainsi, il avait résolu de regagner Kinshasa, lundi 18 avril 2022 dernier, pour assister personnellement aux audiences en rapport avec le procès dit 100 jours qui l'oppose avec le Ministère public. L'UNC appelle les cadres du parti ainsi que les militantes et militants à l'union de prière.

Condamné à 20 ans de prison au premier degré, Vital Kamerhe poursuivi pour détournement des fonds destinés à certains travaux publics dans le cadre du programme des 100 jours, a vu sa peine réduite à 13 ans après avoir interjeté appel. Serge Mavungu Opinion Info

Justice Reprise du procès 100 jours: Vital Kamerhe et consorts devant la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe, ce 11 mai

Le procès du président national de l'Union pour la Nation Congolaise (UNC) reprend, le mercredi 11 mai 2022, à la Cour d'appel de Ki...

L’Assemblée nationale prolonge l’état de siège pour la 23è fois

May 04, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsiWoyIkIIFiT7c0JmDi78eVGWRgbejHPwz0fzeq7-YtAcC5GtKYKxb4maU1I8x9C9lWsbUU3AehzlRU2mSw63KsQaAuexh8Z_18BYKWC6Rq_GRYn5JsgHSS7y60wptEoJ619FneMqJGYLMLkRaMunIJfUbhhIwPxnzqzHi2_9mEIHPnn2F8fmL2PPOw/s989/Snapshot_541.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="548" data-original-width="989" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsiWoyIkIIFiT7c0JmDi78eVGWRgbejHPwz0fzeq7-YtAcC5GtKYKxb4maU1I8x9C9lWsbUU3AehzlRU2mSw63KsQaAuexh8Z_18BYKWC6Rq_GRYn5JsgHSS7y60wptEoJ619FneMqJGYLMLkRaMunIJfUbhhIwPxnzqzHi2_9mEIHPnn2F8fmL2PPOw/s320/Snapshot_541.jpg" width="320" /></a></div>L’Assemblée nationale a adopté, ce mardi 03 mai 2022, le projet de loi portant prorogation de l’état de siège au Nord-Kivu et en Ituri pour la 23ème fois. Le vote est intervenu après la présentation du texte par la ministre de la Justice et garde des sceaux, Rose Mutombo, accompagné du ministre de la Recherche scientifique, José Mpanda Kabangu. Lors de cette plénière au Palais du peuple de Kinshasa, 348 députés nationaux ont voté pour la prorogation de l’état de siège dans ces deux provinces. Par contre, 5 se sont prononcés contre et 2 se sont abstenus, selon le résultat donné par le président de la chambre basse du Parlement, Christophe Mboso. Pour rappel, le chef de l’État a décrété l’état de siège dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri, depuis le 06 mai 2021, pour en finir avec les groupes armés qui sévissent dans cette partie du pays. Actu 7

Politique L’Assemblée nationale prolonge l’état de siège pour la 23è fois

L’Assemblée nationale a adopté, ce mardi 03 mai 2022, le projet de loi portant prorogation de l’état de siège au Nord-Kivu et en Ituri pour ...

Loi électorale : Sessanga propose la proclamation des résultats des élections bureau de vote par bureau

May 04, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjU5xZychDxI01mndsD10rwcOHsVzw6RXQM2j8gysirCtS_IzTQOl9eai7k3YjoVJXEgvBKJ-_Af3FxdfwVkAmIenLqWIP6bsDRDENPMbmfABLaxCn3SWORVKLaOzm94TuZ9x_xz2BYuJG7IBKh5ZBVSyJVGcIawv-s8Vd4C7OUdYDzyupx1k-l-q4ceA/s989/Snapshot_547.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="989" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjU5xZychDxI01mndsD10rwcOHsVzw6RXQM2j8gysirCtS_IzTQOl9eai7k3YjoVJXEgvBKJ-_Af3FxdfwVkAmIenLqWIP6bsDRDENPMbmfABLaxCn3SWORVKLaOzm94TuZ9x_xz2BYuJG7IBKh5ZBVSyJVGcIawv-s8Vd4C7OUdYDzyupx1k-l-q4ceA/s320/Snapshot_547.jpg" width="320" /></a></div>La plénière du lundi à l’Assemblée nationale a été consacrée essentiellement aux réponses des co-auteurs de la proposition de loi électorale sous examen à l’Assemblée plénière aux préoccupations soulevées par les élus nationaux lors du débat général. À l’issue de ce débat, Mboso a rappelé aux députés membres de l’opposition que l’heure est venue d’identifier dans cette proposition de loi des dispositions pertinentes qui requièrent un consensus. De ce fait, l’opposition devra informer la plénière, à travers le bureau, que telle disposition de la loi mérite un consensus. Des discussions pourraient donc être organisées entre majorité et opposition. Mais le moment ne se prête plus à débattre de cette loi dans la rue. D’entrée de jeu, le groupe de 13 à travers Delly Sessanga a fait la synthèse de sa réplique aux préoccupations de ses collègues députés. Il a révélé dans cette loi quatre exigences notamment :Avec cette loi, se met en place le système de proclamation des résultats bureau de vote par bureau de vote.

Ce qui, d’après Sessanga, introduit la transparence et fait cesser la pression, les tensions, la fraude électorale à laquelle la nation assiste à chaque cycle électoral, avant pendant et après les élections ; Depuis 2006, selon lui, c’est la première fois qu’il y a une cohésion autour de l’idée que la femme doit être représentée de manière paritaire, parce que c’est un impératif dans la Constitution ; ce n’est pas un cadeau, mais une exigence impérative de la constitution ; La loi va donner lieu, dit-il, à une cartographie électorale qui soit élaborée avant afin de donner aux congolais des milieux urbains ou les milieux ruraux la possibilité de connaître leurs bureaux de vote longtemps avant les scrutins ; Le vote qui va se passer en 2023, dans le délai constitutionnel sera, explique-t-il, mi-électronique, mi-manuel c’est-à-dire on utilise la machine à voter, mais les règles d’utilisation de cette machine vont être fixées dans la loi. Les machines doivent être géo-localisées pour éviter qu’on ait des machines gardées dans des domiciles des particuliers.

«Avoir des résultats bureau par bureau est une révolution, cela sous-entend que le pays va organiser des élections un peu comme celles de la France. Aussitôt le vote clôturé, on peut déjà avoir les résultats partiels pour chaque bureau et chaque circonscription électorale, à travers mettre fin au système opaque en vigueur à ce jour et au monopole de la CENI. Car, à l’issue du vote, le bureau ne procède pas seulement à l’affichage mais aussi à la publication de ces résultats partiels dont tout le monde pourra avoir connaissance. Ce sont ces résultats partiels qui sont envoyés au centre de publication et tout le monde peut suivre comment se construit la victoire d’un candidat ou d’un camp. Quand on proclame vainqueur tel candidat, ce n’est pas sur des bases des résultats du ministère de l’Intérieur, mais ces résultats que tout le monde connaît : partis politiques, témoins, société civile (observateurs)», a expliqué le député Delly Sessanga.

Par ailleurs, le G13 s’est réjoui de l’hommage rendu à l’un des leurs, un des artisans de cette loi électorale, celui qui, au sein du groupe, a beaucoup insisté pour que la RDC ait ce livrable qu’a été la loi électorale, en la personne de Henri-Thomas Lokondo. C’est à juste titre que cette loi est baptisée «Loi Lokondo». Le G13 a promis accomplir des efforts pour que lors de l’adoption définitive que les options avancées soient retenues. Il sied de noter que cette proposition de loi électorale a été envoyée à la commission PAJ pour un examen approfondi et toilettage avant son adoption en première lecture à l’Assemblée nationale. Christian Okende

Politique Loi électorale : Sessanga propose la proclamation des résultats des élections bureau de vote par bureau

La plénière du lundi à l’Assemblée nationale a été consacrée essentiellement aux réponses des co-auteurs de la proposition de loi électorale...

Table-ronde sur la cohabitation pacifique/Lubumbashi : Patrick Muyaya, Jaques Kyabula et Dieudonné Pieme évoquent des avancées de paix, d’unité et de cohésion

May 04, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh06JWl9wzrawcqReYLnqQinE75tmkAqBQftFHqxaxHHR69379kBFInSyZ4nM3c-oG0N0pl6HRPfLAC_xsHY6FIHEprRe-5KkJNJfEtn-lrMoia9R_ZxoeGdG2QU4Ap9Xv7QKWGDRnRDZvVgYhe9tdLC9dhI0ovbsYUHwxNqUdMKtkdAAeSgKPNg6_mJw/s988/Snapshot_546.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="543" data-original-width="988" height="176" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh06JWl9wzrawcqReYLnqQinE75tmkAqBQftFHqxaxHHR69379kBFInSyZ4nM3c-oG0N0pl6HRPfLAC_xsHY6FIHEprRe-5KkJNJfEtn-lrMoia9R_ZxoeGdG2QU4Ap9Xv7QKWGDRnRDZvVgYhe9tdLC9dhI0ovbsYUHwxNqUdMKtkdAAeSgKPNg6_mJw/s320/Snapshot_546.jpg" width="320" /></a></div>En séjour à Lubumbashi, Chef-lieu de la province du Haut-Katanga, dans le cadre de la Table-ronde sur la cohabitation pacifique, le Ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya Katembwe, a organisé, ce lundi 02 mai 2022, un briefing sur place en compagnie de Jacques Kyabula Katwe et Dieudonné Pieme, respectivement Gouverneurs du Haut-Katanga et du Kasaï. Face à la presse locale, ces animateurs ont débattu autour du thème de la cohabitation pacifique, 24 heures seulement après la clôture de cette Table-ronde déroulée sous la férule du Président Félix Tshisekedi. Pour qui, par ailleurs, le souci de l’unité et la cohésion entre les congolais figure parmi ses grandes préoccupations. Ces moments d’échange entre autorités et professionnels des médias ont aussi permis d’aborder le volet des défis majeurs à relever dans les provinces du Haut-Katanga et du Kasaï. Tensions apaisées Introduisant le traditionnel briefing presse qui se tient, indique-t-on, pour la première fois en dehors de la Capitale Congolaise, Patrick Muyaya a rappelé l’importance de cette table ronde et le souci de la cohésion nationale sur toute l’étendue du territoire national. Il a rassuré qu’il n’y a pas des divergences en termes de gouvernance, mais «c’est plutôt un problème social».

Les travaux de ces assises ont jeté les bases de la collaboration entre les 9 provinces qui ont pris part à cette conférence. Elles sont issues du Grand Katanga et Grand Kasaï dans leur ancienne configuration. Pour sa part, le Gouverneur du Kasaï Dieudonné Pieme a affirmé que cette table ronde s’est ‘’très bien passée’’. Les divergences étaient mises de côté pour de résolutions allant dans le sens de la cohésion nationale. Il a salué l’état d’esprit de son collègue qui a rappelé à l’ordre les collègues du Katanga comme ceux du Kasaï qui débordaient. D’après lui, la conférence a pris en compte certaines questions notamment, celles liées à l’aménagement de route, aux marchés transfrontaliers et au programme de 145 territoires. De son côté, le gouverneur du Haut-Katanga, Jacques Kyabula estime que la table ronde a permis d’avoir toutes les parties prenantes autour d’une même table à savoir, les gouverneurs, les assemblées provinciales et autres. Il ne reste plus qu’à mettre en place certains édits pour concrétiser les recommandations issues de ces assises.

Mesures d’accompagnement des recommandations Concernant les mesures d’accompagnement et la garantie de concrétiser toutes ces recommandations, Dieudonné Pieme explique ceci : « La différence est que nous avons désigné la source de financement de tous ces problèmes relevés. Il y a une feuille de route et une référence pour nous auto-évaluer. Au Kasaï par exemple, nous avons déjà commencé à faciliter les échanges frontaliers avec la route en terre battue que nous avons faite ». Et à lui de lancer un message à ses compatriotes à faire preuve d’unité et de recevoir tous ceux qui viennent dans leur province dans le cadre des activités ; et de chuter sur le programme Tshilejelu qui a pour objectif de faire développer de l’espace Grand Kasaï au biais de la réhabilitation des routes. A son tour, Patrick Muyaya, a attesté que « la première garantie, c’est la tenue de ces travaux ». « Si le président a intervenu c’est parce que ce conflit a déjà été vécu il y a 31 ans donc il constitue un cycle qui risque de se repérer si on n’y prend point garde. Ce que nous dénonçons fortement, car aucun Congolais ne peut tirer profit en cas de conflit ; c’est pour cela que nous anticipons. Avec le programme de 145 territoires, nous emmenons le développement dans nos territoires. C’est un projet complexe, mais nous allons y arriver. Toutes les provinces ne peuvent se développer qu’autour d’une activité économique.

Et la vision du chef de l’état, c’est de faire de nos provinces des pôles de développement et nous n’avons pas besoin des conflits, mais de la cohésion pour y arriver », a insisté le Porte-parole du Gouvernement. En conclusion, il a souligné que cette problématique a réveillé tout le monde, car il faut prévenir et il y a des indices de dérapage. Pour lui, la pauvreté étant la principale cause et source de ce conflit, il faut analyser ce problème sous plusieurs prismes : sécuritaire avec des initiatives pour bien gérer les mouvements migratoires ; économique, car il faut veiller sur les échanges commerciaux entre les deux grandes provinces. Ce n’est qu’en étant unis qu’on peut combattre cette pauvreté. Ce briefing a permis aux deux gouverneurs de revenir notamment sur certaines questions spécifiques à leurs provinces. Dans le Haut-Katanga, le problème de gestion de motards qui ne respectent aucune loi ; les mouvements migratoires du Kasaï vers le Katanga qui passent par le train marchandise de la SNCC. La Pros.

Table-ronde sur la cohabitation pacifique/Lubumbashi : Patrick Muyaya, Jaques Kyabula et Dieudonné Pieme évoquent des avancées de paix, d’unité et de cohésion

Politique Table-ronde sur la cohabitation pacifique/Lubumbashi : Patrick Muyaya, Jaques Kyabula et Dieudonné Pieme évoquent des avancées de paix, d’unité et de cohésion

En séjour à Lubumbashi, Chef-lieu de la province du Haut-Katanga, dans le cadre de la Table-ronde sur la cohabitation pacifique, le Ministre...

Tribalisme : après le Grand Katanga, est-ce le tour du Grand Kasaï ? Où va la RDC?

May 04, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjiTIb-T0ELhrS42sbWRx2s-2RwUS1gE7VQpQNKjt1rNTnn3OLkQs9HyUickAbKI0XUacKABiVQpN_PJ_SksSQ369_IXhExzXgixMBnWoTtYSzpd40waeiHQShJCJrs9ObLDwGdFuYJKPxaAJqLle4wNjJPdVEBRQFkSdX60wSW10XcLgwCgtqkNifXg/s992/Snapshot_545.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="548" data-original-width="992" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjiTIb-T0ELhrS42sbWRx2s-2RwUS1gE7VQpQNKjt1rNTnn3OLkQs9HyUickAbKI0XUacKABiVQpN_PJ_SksSQ369_IXhExzXgixMBnWoTtYSzpd40waeiHQShJCJrs9ObLDwGdFuYJKPxaAJqLle4wNjJPdVEBRQFkSdX60wSW10XcLgwCgtqkNifXg/s320/Snapshot_545.jpg" width="320" /></a></div>La RDC est depuis un certain temps, ancré dans le tribalisme, pour des raisons sûrement de triomphalisme, expliquent quelques observateurs avisés. Après le remue-ménage constaté au Grand Katanga entre les ressortissants du Grand Kasaï et ceux du Grand Katanga, c’est le tour du Grand Kasaï d’entrer en guerre contre les ressortissants du Grand Bandundu se trouvant dans cette province cuprifère. Selon un communiqué de presse du parti politique Nouvel Elan parvenu à Media Congo Press (MCP), il circule dans les réseaux sociaux des images des congolais présentés comme des originaires de la province du Bandundu, qui se disent menacés par leurs homologues du Grand Kasaï, au motif qu’ils n’auraient pas le droit de travailler dans une province qui ne leur appartient pas. En plus, poursuivent les responsables du Nouvel Elan, on parle de l’existence des audio qui appellent au meurtre de ceux qui sont venus du Bandundu et travaillant à la place des Kasaiens.

A en croire la même source, des informations font état d’une émission animée dernièrement à travers une radio locale au Kasaï, par des individus se présentant comme journalistes, auditeurs et présidents de la société civile. Certains messages font état de la chasse des Bandundois dans la province du Kasaï. « Nouvel Elan en tant que parti de gauche et descendant de Lumumba, qui est mort pour l’unité du peuple congolais et du Congo, ne peut admettre que, soixante-deux ans après l’indépendance et en plein 21ème siècle, que les congolais puissent se haïr mutuellement.

La pauvreté dans notre pays résulte non seulement de la mauvaise gestion des régimes qui se sont succédés à la tête de notre pays, mais aussi, de la déstabilisation extérieure (…)», explique cette formation politique, qui estime que les Kasaïens, les Bandundois et les Katangais, sont tenus de vivre en harmonie sur toute l’étendue du territoire national. Aussi appelle-t-elle au calme, tout en invitant les autorités locales concernées, de trouver rapidement une solution à cette tension créée dans le Kasaï et demande aux gouverneurs des provinces du Kwilu, Kwango, Mai-Ndombe et du Kasaï, de se concerter pour régler ce conflit dans le respect des lois de la République Où va la RDC ? <img src="https://congoprofond.net/wp-content/uploads/2022/02/IMG-20220224-WA0620.jpg" /> Des observateurs craignent que le tribalisme puisse menacer la paix et la cohabitation pacifiques auxquelles sont habituées les Congolais depuis des lustres. C’est ce qui a fait d’ailleurs que feu Maréchal Mobutu ait appliqué en son temps, la politique des gouverneurs non originaires, laquelle politique a prouvé son efficacité à la face du monde. « Aujourd’hui malheureusement, le tribalisme bat son plein au sein de toutes les structures au sommet, partant de la présidence de la République. La prochaine élection des gouverneurs et vice-gouverneurs risque encore d’envenimer la situation, en particulier dans la ville-province de Kinshasa, où le poste du vice-gouverneur est convoité par un ressortissant du Kasaï ; alors que le titulaire est de la même province. C’est ce manque d’équilibre qui crée des frustrations », explique un professeur d’université contacté à ce sujet.

Il poursuit que, le conflit qui prend corps entre les ressortissants du Kasaï et ceux du Bandundu, est la conséquence de la rivalité entre le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi et son adversaire à l’élection présidentielle de 2018, Martin Fayulu Madidi, qui a choisi de faire une opposition radicale. C’est qui a provoqué une sorte de guerre froide. Même situation dit-il, au Katanga, où est né une sorte de rivalité entre le Chef de l’Etat, et le président de la plate-forme « Ensemble », Moïse Katumbi Chapwe. Cette situation a contraint les autorités du pays au haut niveau, d’initier la Conférence interprovinciale des espaces Grand Kasaï-Grand Katanga, qui visait à consolider la paix entre les communautés concernées, gage de développement, et à freiner les déplacements massifs des populations du Grand-Kasaï vers le Grand Katanga. L’objectif était également de définir avec courage, des solutions durables devant créer les conditions propices pour l’épanouissement des provinces concernées et assurer ainsi le vouloir vivre ensemble en RDC.

Ces assises clôturées samedi 30 avril 2022 par le président de la République Félix Tshisekedi, ont permis de produire plus de 70 recommandations qui seront remises, dans le format d’un rapport général, au Chef de l’Etat, en sa qualité d’initiateur de cette table-ronde. Au regard de tout ce qui précède, des analystes politiques estiment que, si les informations en provenance du Grand Kasaï arrivaient à être confirmées, les autorités du pays feraient mieux de prendre des mesures idoines pour freiner cet esprit de tribalisme qui prend de plus corps en RDC. Car même au niveau de la ville-province de Kinshasa, des tensions sont signalées dans plusieurs parties de la capitale. Heureusement que Kinshasa est une ville cosmopolite. Mais si l’on y prend garde, le syndrome risque de contaminer toutes les provinces. José Wakadila congo-press.com (MCP)

Société Tribalisme : après le Grand Katanga, est-ce le tour du Grand Kasaï ? Où va la RDC?

La RDC est depuis un certain temps, ancré dans le tribalisme, pour des raisons sûrement de triomphalisme, expliquent quelques observateurs a...

« L'Église a trahi le peuple » (Lamuka)

May 04, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg983uV0FFohXtV1hY8T3OMOpPo7BKQ77hgz1uVxU4KGQYRmWFb1HN2nWV9ykVx_LIjtyKaiaRjx1H1tYvXS2TUvZNehowh3yD7BHXNtTAzSfRaxYi_8kFi4JMU5Kcf6fUQlBzFIDPBBP6Zf7rH1LI9iUZXODcTogRN5Wfgs1Bm_qPpGlR6iHqEFiZJfQ/s992/Snapshot_544.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="992" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg983uV0FFohXtV1hY8T3OMOpPo7BKQ77hgz1uVxU4KGQYRmWFb1HN2nWV9ykVx_LIjtyKaiaRjx1H1tYvXS2TUvZNehowh3yD7BHXNtTAzSfRaxYi_8kFi4JMU5Kcf6fUQlBzFIDPBBP6Zf7rH1LI9iUZXODcTogRN5Wfgs1Bm_qPpGlR6iHqEFiZJfQ/s320/Snapshot_544.jpg" width="320" /></a></div>"L'Église a trahi le peuple Congolais. Elle nous a abandonnés à mi-chemin. Je demande aux Congolais de rester vigilants et de faire échec à cette activité (sit-in) du 6 mai devant le Parlement", exhorte, sur Top congo Fm, Claude Ngoma, cadre de Lamuka du tandem Fayulu-Muzito. "L'Église est en train de distraire l'opinion et les Leaders de Lamuka. Nous ne pouvons pas mener des activités conjointes avec l'Église représentée par le CALCC, MILAPRO, le CLC. Ils ne sont n'est pas sincères avec nous", tranche-t-il. "Abbé Donatien Nshole et le pasteur Éric Senga sont allés voir Dénis Kadima au lendemain de son installation. Ils lui ont promis leur soutien et accompagnement. Pourquoi se rétracter aujourd'hui et appeler à un large consensus ?", s'interroge Claude Ngoma.

Qui relève que "l'Église aujourd'hui soutient la démarche menée par Monsieur Mboso de débattre des questions électorales au sein de l'hémicycle. Lamuka ne peut pas accompagner des gens qui n'ont pas de cœur, qui ne sont pas des modèles". Les forces sociales et politiques, réunies au sein du Bloc patriotique, ont, dans une déclaration fin avril, annoncé un sit-in le 6 mai prochain au Palais du peuple, siège du Parlement Congolais.

Elles veulent "obtenir un consensus autour des réformes électorales en vue des élections libres, inclusives, crédibles, impartiales et apaisées dans le délai constitutionnel, protester contre la hausse vertigineuse des prix des denrées alimentaires, exiger le remboursement de l'argent prélevé illégalement à la population à travers le RAM et dénoncer l'incapacité du pouvoir à mettre fin à l'insécurité récurrente dans la partie Est de notre pays". À travers ce sit-in, le Bloc patriotique entend également relancer ses manifestations populaires. Barick Bwematelwa Top Congo Fm

Politique « L'Église a trahi le peuple » (Lamuka)

"L'Église a trahi le peuple Congolais. Elle nous a abandonnés à mi-chemin. Je demande aux Congolais de rester vigilants et de faire...

RDC: Jeanine Mabunda, Jimmy Kitenge, Popol Badjegate, promus au sein du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD)

May 04, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5LaBvEFYCB8ULIYWPFR_9oK9Tlo-AeLD6WvlSG7_lioy-aIIMY5URKmH5oGT4gKHfdVc0DDkzX8Vb7lt0xIYtO4eiWLfBaIY032oyRXc1-O6lNAAHIqEw5nwIt4pD3O3GXwTlC7e2epgOntzhAI2sb_BweErVIvgUrEpKS58SNdabn018gRj2h5Htgw/s816/Snapshot_543.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="816" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5LaBvEFYCB8ULIYWPFR_9oK9Tlo-AeLD6WvlSG7_lioy-aIIMY5URKmH5oGT4gKHfdVc0DDkzX8Vb7lt0xIYtO4eiWLfBaIY032oyRXc1-O6lNAAHIqEw5nwIt4pD3O3GXwTlC7e2epgOntzhAI2sb_BweErVIvgUrEpKS58SNdabn018gRj2h5Htgw/s320/Snapshot_543.jpg" width="320" /></a></div>Le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) a procédé à des nouvelles mises en place au sein de ses structures. Plusieurs cadres se sont vus gratifiés de nouveaux galons. Parmi eux, Jeanine Mabunda est nommée Présidente de la Ligue des Femmes. Jimmy Kitenge est le nouveau Président national de la Ligue des jeunes. Popol Badjegate est, quant à lui, promu au poste de Secrétaire national des droits humains. Kambere Muhindo Léonard est nommé Secrétaire national en charge du chronogramme des activités.

Parmi les autres promus, citons Damasse Muba Kitwa, Liliane Mpande Mwaba, Benjamin Mukulungu, Régine Ayowa Akatshi, Masaka Mfulu, Eugène Morisho, Filibert Etibako, Bijoux Mushit, Evariste Vetshi, Emmanuel Ayutakila, Lucie Kuhatela, Benoît Mbayo et Marie Louise Mwange, tous nommés Secrétaires nationaux dans différents domaines. Le but de ces nouvelles mises en place est de booster ce parti autrefois présidentiel, après les élections de 2018 et pour s’armer en vue du processus électoral en cours. Bishop Mfundu

Politique RDC: Jeanine Mabunda, Jimmy Kitenge, Popol Badjegate, promus au sein du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD)

Le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) a procédé à des nouvelles mises en place au sein de ses structures. Plusie...

Patrick Muyaya dénonce « des attaques systématiques et des propos frisant l’injure à l’endroit du chef de l’État »

May 04, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEikGfSpyZk8PY9EmmlvINfGgdNkB-ysLtL0BKm7CJhHHEa3lHzrJ-WjOTkPe2dXT_wUvCzWZpKeervzU3D1T85rYzb0ucrqS6gBYyp7QASho9cO9Dlg_EW-pDNsSwvJ0HWLKBZ8e3ZNAF2g65yJTWPW909Hvm4u971xy5XjAvxSmQBYp5N3peATi1b3JA/s904/Snapshot_512.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="516" data-original-width="904" height="183" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEikGfSpyZk8PY9EmmlvINfGgdNkB-ysLtL0BKm7CJhHHEa3lHzrJ-WjOTkPe2dXT_wUvCzWZpKeervzU3D1T85rYzb0ucrqS6gBYyp7QASho9cO9Dlg_EW-pDNsSwvJ0HWLKBZ8e3ZNAF2g65yJTWPW909Hvm4u971xy5XjAvxSmQBYp5N3peATi1b3JA/s320/Snapshot_512.jpg" width="320" /></a></div>La journée mondiale de la liberté de la presse a été célébrée ce 3 mai en RDC par l’UNPC, JED, le CSAC, Internews et plusieurs autres partenaires de la presse congolaise dont l’ambassade des USA. Présent à Béatrice hôtel où la célébration a eu lieu, le ministre de la communication et médias, Patrick Muyaya, a fustigé certains propos qui selon lui, « frisent l’injure contre le président de la République« « Je dénonce avec la dernière énergie le dérapage constaté il y a quelques jours avec des attaques systématiques et des propos frisant l’injure à l’endroit du président de la République, chef de l’État. Aucune liberté ne peut s’exercer sans respecter la liberté des autres« , a-t-il déclaré. Plus loin dans son discours, Muyaya a invité les défenseurs de la liberté de la presse à se désolidariser de tout acte dépassant les limites de l’éthique et déontologie.

« J’invite, de ce fait, les organisations professionnelles et toutes celles qui défendent la promotion et la liberté de la presse à condamner, avec moi, ce comportement récidiviste et tout autre acte qui dépasse les limites de l’exercice de la profession« , a martelé Muyaya. Une dénonciation qui selon son entourage , fait suite à la dernière sortie médiatique jugée « non professionnelle » du journaliste Péro Luwara, Directeur Général de CPL TV. Dans une vidéo devenue virale, Pero Luwara, critique « sans ambages » la gouvernance de Félix Tshisekedi. Ce dernier a également donné sa position sur la vie intime du chef de l’État.

Il l’a qualifié d’ « adultère » et l’a accusé d’avoir « désacralisé » la fonction du président de la République en « exposant ses envies libidinales sur la place publique« . Déjà, ce sujet divise l’opinion, pour les pro-Tshisekedi, ce journaliste devra être arrêté pour outrage et de leur côté, les anti-Tshisekedi appellent à la tolérance. Par Siméon Isako

Politique Patrick Muyaya dénonce « des attaques systématiques et des propos frisant l’injure à l’endroit du chef de l’État »

La journée mondiale de la liberté de la presse a été célébrée ce 3 mai en RDC par l’UNPC, JED, le CSAC, Internews et plusieurs autres parten...

Imputations dommageables : Pero Luwara serait recherché par la justice

May 04, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjiLepKS6iNMdKCm8dr8XKbw-Mz5O5K4fvwxYlYodbDAwbiugFWVs_9eHoRQChcOOeu_PE2ppi6zH3FxkU7qOTWxxN6sN1U-SR4UEVHD7EmYeDUqjkCS-gOlgJCJElt9WjAz71nir7FYIzr9-rxeTFbasTtwoIlppjVG818KBq9Zai5Mt-RWc4IGFadSw/s997/Snapshot_28tfty.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="622" data-original-width="997" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjiLepKS6iNMdKCm8dr8XKbw-Mz5O5K4fvwxYlYodbDAwbiugFWVs_9eHoRQChcOOeu_PE2ppi6zH3FxkU7qOTWxxN6sN1U-SR4UEVHD7EmYeDUqjkCS-gOlgJCJElt9WjAz71nir7FYIzr9-rxeTFbasTtwoIlppjVG818KBq9Zai5Mt-RWc4IGFadSw/s320/Snapshot_28tfty.jpg" width="320" /></a></div>Le parquet général près la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe, a lancé ce 03 mai un mandat d'amener contre le journaliste Pero Luwara de CPL TV suite à des propos diffamatoires tenus contre le chef de l'État. Il faut souligner que dans une vidéo ,qui a fait là une des réseaux sociaux , le journaliste Pero Luwara a ténu des propos désobligeants à l'égard du président de la République Félix Tshisekedi jusqu'à toucher à sa vie privée. Une sortie médiatique qui a choqué l'opinion publique. D'après plusieurs sources , le journaliste Pero Luwara serait déjà en fuite en dehors de la ville de Kinshasa , même la corporation des journalistes, l' union nationale de la presse du Congo a lancé, sans succès, une invitation au journaliste Pero Luwara pour s'expliquer devant le tribunal des pères.

Pero Luwara risque deux mois ou plus de servitude pénale. Ci dessous le mandat d'amener <img src="https://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2022_actu/05-mai/01-08/luwara_mandat_22_02141.jpg" /> Daniel Aloterembi congo-press.com (MCP)

Politique Imputations dommageables : Pero Luwara serait recherché par la justice

Le parquet général près la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe, a lancé ce 03 mai un mandat d'amener contre le journaliste Pero Luwara de...

Réunification de Wenge Musica 4×4 : « Si notre réconciliation fait mal à un jaloux, qu’il quitte le pays (Werrason)

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsb9U4uXOTi-2OJ3tGfDygC3H8gaRJjENys9AV9hk_NChEe_MH-yBqlw1xQPaGMri-aryJFdTt_Hymv0EuHmX9UKDDqmYXVdi3dlFUFe8buLosXg954N8s_3FXPVVZonP72Txy9es8HbnrwCf9fyeXzCdORpdD9IpN_nxwnPIH_PD2XZ1jvcQPL-Z_7Q/s1131/Snapshot_540.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="633" data-original-width="1131" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsb9U4uXOTi-2OJ3tGfDygC3H8gaRJjENys9AV9hk_NChEe_MH-yBqlw1xQPaGMri-aryJFdTt_Hymv0EuHmX9UKDDqmYXVdi3dlFUFe8buLosXg954N8s_3FXPVVZonP72Txy9es8HbnrwCf9fyeXzCdORpdD9IpN_nxwnPIH_PD2XZ1jvcQPL-Z_7Q/s320/Snapshot_540.jpg" width="320" /></a></div>Kinshasa, 03 Mai 2022 : Les co-fondateurs du groupe musical Wenge Musica 4×4 étaient les invités de l’émission Karibu Variété de la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC), ce dimanche 01 mai 2022.Face à la présentatrice de cette émission, Mme Mamie Ilela, l’artiste Musicien Werrason, a expliqué que leur réconciliation après de 25 ans depuis leur séparation, est pour promouvoir la culture congolaise.« Notre Réconciliation c’est pour promouvoir notre culture. Donc nous sommes réunis pour le bien de notre culture, nous ne somme pas là pour combattre qui que c’est soit . 
 
 
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 Je dis à tous nos jaloux que si notre réconciliation leur fait mal, qu’ils quittent le pays ce jour là », a laissé entendre le surnomé le roi de la forêt. Par la même occasion, le groupe a présenté les musiciens qui font partie de ce grand projet. On pouvait voir sur le plateau Werrason, JB Mpiana, Didier Masela et Adolphe Dominguez. Ces grandes figures de Wenge Musica 4×4 ont, à leur tour, présenté les autres membres, avant de parler des projets à venir.

Il sied de rappeler que l'une des figures les plus connues de ce groupe en la personne de Ferre Gola a été absente lors de cette présentation. En revanche, le padre avait récemment souligné lors de son passage à l'émission "Bosolo n'a Politik", qu'il ne fera pas partie de ce groupe car, il est entrain de réaliser le même que ce que font ces vieux.AIE

Musique Réunification de Wenge Musica 4×4 : « Si notre réconciliation fait mal à un jaloux, qu’il quitte le pays (Werrason)

Kinshasa, 03 Mai 2022 : Les co-fondateurs du groupe musical Wenge Musica 4×4 étaient les invités de l’émission Karibu Variété de la Radio Té...

RDC : «cela fait plus d’une année qu’ils cherchent à me jeter en prison parce que j’ai refusé d’obéir à certaines instructions»(Matata Ponyo)

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj08RS1ZwxgoTA_xAGA08krcNwhpdBYFsPNT47EYuNtJ4NAJv_wsqvb3vc5G93cWF5shRgQhN_gfzO-YSCrw07id8Tr96tjSi4cF5I6knFhvHhFhQC3EsFFbCPJWSjV_o1a3yaJjU6v-k9q-nWQzs1Gwk6awc67SagjxIgm0XXkcis0NNBfG8YsvcQjFg/s991/Snapshot_539.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="991" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj08RS1ZwxgoTA_xAGA08krcNwhpdBYFsPNT47EYuNtJ4NAJv_wsqvb3vc5G93cWF5shRgQhN_gfzO-YSCrw07id8Tr96tjSi4cF5I6knFhvHhFhQC3EsFFbCPJWSjV_o1a3yaJjU6v-k9q-nWQzs1Gwk6awc67SagjxIgm0XXkcis0NNBfG8YsvcQjFg/s320/Snapshot_539.jpg" width="320" /></a></div>L’ancien premier ministre, Augustin Matata Ponyo et son nouveau parti politique dénommé Leadership et gouvernance pour le développement, LGD en sigle étaient en congrès ce mardi 03 Avril à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo. En effet, l’homme à la cravate rouge a profité de ce grand rendez-vous pour parler de ses démêlés judiciaires. Revenant sur les affaires judiciaires qui l’ont opposé à l’état Congolais pendant environ une année, Augustin Matata Ponyo a affirmé que c’est parce qu’il n’a pas obéi à certaines instructions qu’il a failli être jeter en prison. “Cela fait plus d’une année que l’on cherche à tout prix à me jeter en prison sans aucune preuve, tout simplement parce que j’ai refusé d’obéir à certaines instructions. Et la population Congolaise se pose des questions sur base de quels critères veut-on arrêter Monsieur Matata” a-t-il déclaré devant les participants.

L’ancien premier ministre de Joseph Kabila révèle que ces affaires qu’il considère des “tracasseries” sont politiques pour le contraindre d’entrer dans l’union sacrée, coalition autour de Félix Tshisekedi.

“Toutes tracasseries judiciaires dont je suis l’objet pendant plus d’une année ne sons pas fondées, ce sont des poursuites politiques et engagées pour me contraindre d’entrer dans l’union sacrée” a ajouté M. Mapon. Rappelons que la cour constitutionnelle s’était déclarée incompétente pour juger Matata Ponyo en sa qualité d’ancien premier ministre, deux affaires l’opposait à l’état Congolais dont Bukanga-Lonzo et Biens Zaïrianisés. Gaël Hombo/acturdc.com

Politique RDC : «cela fait plus d’une année qu’ils cherchent à me jeter en prison parce que j’ai refusé d’obéir à certaines instructions»(Matata Ponyo)

L’ancien premier ministre, Augustin Matata Ponyo et son nouveau parti politique dénommé Leadership et gouvernance pour le développement, LGD...

EN DIRECT DE LUBUMBASHI RENE , BENJAMIN,MWANA AKOLI , JOEL KITENGE : BA YIBI BA CABLES YA COURANTS OYO FATSHI ASOMBAKI PONA PUPULATION ( VIDEO )

May 03, 2022

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DOCTEUR MUKWEGE DEVANT BAHATI LUKUEBO : JE CONNAIS CERTAINS DEPUTES DE L ' EST COMPLICES DES ATROCITES ( VIDEO )

May 03, 2022

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RELIGION : Dénis Lessie pour un débat contradictoire avec le Révérend Paul Mukendi

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkEbslfwvldBrOxx8IJGuvLD-aJheKMvGofTYs-7U59dfNX9QfZxkZIr8I2m-OyAMc-rkIQgfT2j5ZEW8KyXpzlgG7T1ai89swO39dkXgAik6sH9N3f6V4yvcBXh0Yvxzcm1-xKve_CuHpqnw6pg6TptDBt_MXqRmrpaEoDPOKNfRgpprhjsqNkyuAng/s640/Snapshot_538.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="640" data-original-width="640" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkEbslfwvldBrOxx8IJGuvLD-aJheKMvGofTYs-7U59dfNX9QfZxkZIr8I2m-OyAMc-rkIQgfT2j5ZEW8KyXpzlgG7T1ai89swO39dkXgAik6sH9N3f6V4yvcBXh0Yvxzcm1-xKve_CuHpqnw6pg6TptDBt_MXqRmrpaEoDPOKNfRgpprhjsqNkyuAng/s320/Snapshot_538.jpg" width="320" /></a></div>Kinshasa, 03 Mai 2022 : Le prophète Dénis Lessie a, au cours d'une récente émission tournée à Kinshasa, invité le révérend pasteur Paul Mukendi, à un débat contradictoire sur la parole de Dieu, à condition que celà soit en direct du tribunal Canadien. Cette déclaration de Dénis Lessie émane de la prédication du Pasteur Paul Mukendi, dans le cadre de la deuxième édition d'une conférence qui avait pour thème : "Ne vous conformer au siècle présent", organisée du 22 au 24 avril à Kinshasa. Dans son message, le pasteur Paul Mukendi condamnait avec dernière énergie, le comportement de certains hommes de Dieu qui chantent des chansons païennes et qui participent aux concerts mondains. Se sentant directement touché par ces propos, Dénis Lessie a déclaré : " Mukendi je te parle en face : tu es un fugitif, violeur. Toi, tu es qui pour juger les gens d'impurs ? Je ne peux même pas t'appeler pasteur et je suis très dur avec toi. Tu as violé une congolaise au Canada et on t'a condamné pendant 8 ou 9 ans. Même pour sortir du Canada, tu t'es déguisé en femme ". Et de poursuivre : " tu ne peux pas donner cours aux pasteurs de Kinshasa. Vous allez mentir ceux-là qui ne te connaissent pas, mais pas moi.

Je préfère Félix Wazekwa que toi. Un pasteur ne fuit pas, tu dois plutôt affronter les épreuves. Je te livre maintenant entre les mains du diable et je t'informe déjà que je vais entrer en contact avec le tribunal Canadien pour te dénoncer ". À cette occasion, Denis Lessie a annoncé le contrat d'un film lui proposer par la Radio France Internationale (RFI). Dans ce film qui sera tourné en décembre prochain, le prophète Dénis Lessie jouera le rôle d'acteur principal et il sera question pour lui de dénoncer tous les mauvais serviteurs de Dieu peut importe l'église en raison de 1 millions d'euros par dénonciation.

" J'ai déjà 21 noms des faux pasteurs avec moi parce qu'il faut retenir que la dénonciation d'un seul nom avec preuve, me vaut 1 millions d'euros. J'ai aussi reçu des images obscènes de quelques sœur religieuses de l'église Catholique voire de certains prêtres qui ont des enfants, je vais tous les dénoncer ", a-t-il souligné, avant d'inviter toutes personnes de bonne foi, à lui venir en aide avec des preuves à l'appui dans le but de se faire ensemble de l'argent. AIE

Religion RELIGION : Dénis Lessie pour un débat contradictoire avec le Révérend Paul Mukendi

Kinshasa, 03 Mai 2022 : Le prophète Dénis Lessie a, au cours d'une récente émission tournée à Kinshasa, invité le révérend pasteur Paul ...

« Delly Sesanga : « L’exigence des Congolais de père et de mère est hors de la présente réforme »

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh03lyNjE6hDZIXtbKH0BOdLZ4o2BspqgY0si-0kUjPaB5Gf7EWRBUZl1TDqLWUNtMjKsDQgmkfJgfvkf7iJH2cNOABkaRHzgSEp9uJA98RK1aQBvr7OrT6PCPZWLNCDKGKNEqc2eF9tjMl16bT75wbXxMRsMzjPyV2J3LOJGOgug1YmE0ytW90pku-4w/s845/Snapshot_537.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="557" data-original-width="845" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh03lyNjE6hDZIXtbKH0BOdLZ4o2BspqgY0si-0kUjPaB5Gf7EWRBUZl1TDqLWUNtMjKsDQgmkfJgfvkf7iJH2cNOABkaRHzgSEp9uJA98RK1aQBvr7OrT6PCPZWLNCDKGKNEqc2eF9tjMl16bT75wbXxMRsMzjPyV2J3LOJGOgug1YmE0ytW90pku-4w/s320/Snapshot_537.jpg" width="320" /></a></div> Revue de presse du mardi 3 mai 2022 La clôture des débats sur la réforme de la loi électorale est largement commentée par la presse parue ce mardi. Le débat général sur la loi électorale est clos avec l’éclairage apporté par le G13, initiateur de ce texte majeur d’organisation des élections en République démocratique du Congo, rapporte Le Potentiel. La voie est balisée pour les scrutins de 2023 au niveau de la Chambre basse du Parlement qui vient de remplir sa part du contrat, explique le journal. À en croire les co-auteurs de ce texte de loi désormais envoyée à la commission PAJ pour examen approfondi et toilettage, la « loi électorale Lokondo » pose quatre exigences : la mise en place d’un système deproclamation des résultats bureau de vote par bureau de vote ; la femme doit être représentée de manière paritaire pour sacrifier à un impératif constitutionnelle ; une cartographie électorale élaborée avant les scrutins afin de donner à tout Congolais des milieux urbains ou les milieux ruraux la possibilité de connaître leurs bureaux de vote longtemps avant les scrutins ; le vote qui va se passer en 2023, dans le délai constitutionnel, sera mi-électronique, mi-manuel, dont les règles d’utilisation sont fixées dans la loi, détaille le quotidien. Prenant acte de la recevabilité de cette loi, le bureau de l’Assemblée nationale, par l’entremise de son président, Christophe Mboso N’kodia Pwanga, a décidé d’envoyer ce texte légal à la commission Politique, administrative et judiciaire pour un examen approfondi et insertion des amendements formulés par les députés nationaux, ajoute pour sa part La Tempête des Tropiques.

Puis, la PAJ va faire rapport des conclusions de ses travaux au bureau qui, à son tour, les soumettra à l’examen et adoption des parlementaires lors d’une séance plénière qui sera convoquée à cet effet, poursuit le tabloïd. Dans sa réplique aux préoccupations de ses collègues députés, au cours de la plénière de l’Assemblée nationale lundi 02 mai, rapporte Forum des As, Delly Sesanga, l’un des co-auteurs de la proposition de loi modifiant la loi électorale, en cours d’examen, a rejeté l’amendement formulé par le député N’singi Pululu. « La question de l’exigence des Congolais de père et de mère est hors du périmètre de la présente réforme. La proposition de N’singi Pululu se heurte à notre Constitution », a argumenté Delly Sesanga, dans les propos repris par le journal. En rejetant l’amendement du député Nsingi Pululu exigeant des candidats Président de la République la nationalité congolaise de père et de mère, Delly Sesanga a battu en brèche l’argumentaire de Nsingi Pululu, en contextualisant les contraintes constitutionnelles à la base de l’interdiction de toute révision de la Constitution, conclut le quotidien.

Comme le rappelle Africa News, cet amendement proposé par Nsingi Pululu avait créé des tensions. Dans une déclaration rendue publique le week-end, la jeunesse katangaise a dit s’opposer catégoriquement aux amendements planifiés par le député Nsingi Pululu considéré comme une nouvelle manœuvre pour allier un projet clivant à la loi électorale en vue de barrer la route de la course à l’élection présidentielle à Moïse Katumbi. La proposition de loi «Tshiani» endossée par le député Nsingi Pululu qu’on croyait être enterrée après le tollé qu’elle avait suscité au sein de la classe politique, de la société civile et même sur le plan international, semble ressuscitée sous une autre forme, fait remarquer le tri hebdomadaire.

Dans le même ordre d’idées, Le Journal titre : « De père et de mère », un dangereux risque de balkanisation ». Selon le quotidien, penser s’acharner à cibler Moïse Katumbi uniquement est une grossièreté politique qui fera inévitablement retomber la nation dans des tensions politico-militaires alors que plusieurs territoires du Nord-Kivu, de l’Ituri et du Sud-Kivu vivent en guerre permanente pour les mêmes velléités.

Politique « Delly Sesanga : « L’exigence des Congolais de père et de mère est hors de la présente réforme »

Revue de presse du mardi 3 mai 2022 La clôture des débats sur la réforme de la loi électorale est largement commentée par la presse parue c...

RDC : 750 policiers armés ont quitté le Grand Kasaï sans autorisation pour s'installer dans le Haut-Katanga (Gouverneur)

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh95Qqac7dsqahKfNWt_e1FsHBnFGXN9zZUm7FjjnhR0rGeESI5V-wZd2GszkJ6nqZZ04b9LwVljir-fXoleAC1wDXP829VxqIrfq9ONcCSr2RqfxstFpjaPx-L9no1LOzuzHn7c_zRGjGJQ8aEHxky6pgJ8mbCo7jiLdzBGHZIrUabDwPdN_Y0uZe1Uw/s1271/Snapshot_536.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="845" data-original-width="1271" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh95Qqac7dsqahKfNWt_e1FsHBnFGXN9zZUm7FjjnhR0rGeESI5V-wZd2GszkJ6nqZZ04b9LwVljir-fXoleAC1wDXP829VxqIrfq9ONcCSr2RqfxstFpjaPx-L9no1LOzuzHn7c_zRGjGJQ8aEHxky6pgJ8mbCo7jiLdzBGHZIrUabDwPdN_Y0uZe1Uw/s320/Snapshot_536.jpg" width="320" /></a></div>Au total, 756 policiers armés en provenance du Grand Kasaï se trouvent à Lubumbashi dans le Haut-Katanga depuis quelques semaines. D'après le gouverneur Jacques Kyabula Katwe qui l'a dit ce lundi 02 mai 2022 lors du briefing sur la conférence interprovinciale Katanga-Kasaï avec les journalistes à Lubumbashi, ces éléments de la Police Nationale Congolaise sont aussi à la base de la résurgence de l'insécurité dans le Haut-Katanga. « En ce qui concerne la question sécuritaire, nous nous sommes rendus compte que le mouvement des masses qui viennent de 5 Kasaï vers les provinces du Katanga, c'est aussi des policiers armés qui se déplacent aussi avec la population.

Dans le Haut-Katanga, nous avons plus où moins 750 policiers armés qui se sont déplacés d'eux-mêmes vers le Katanga. Mais quand ces policiers arrivent et n'ont pas où passer nuit, ni à manger, donc ils vont créer l'insécurité naturellement. Raison pour laquelle vous voyez le fait qu'il y ait l'insécurité qu'on ne sait pas maîtriser jusqu'à aujourd'hui parce que, dès lors que c'est maîtrisé, il y a des arrivés », a-t-il fustigé.

Au total, plus de 1.000 policiers armés ont fui le Kasaï avec leurs armes. Selon le rapport de la conférence interprovinciale Katanga-Kasaï parvenu à 7SUR7.CD, 756 sont dans le Haut-Katanga, 300 dans le Lualaba et 220 dans le Tanganyika. Patient Lukusa, à Lubumbashi

sécurité RDC : 750 policiers armés ont quitté le Grand Kasaï sans autorisation pour s'installer dans le Haut-Katanga (Gouverneur)

Au total, 756 policiers armés en provenance du Grand Kasaï se trouvent à Lubumbashi dans le Haut-Katanga depuis quelques semaines. D'apr...

Un canard permet aux policiers de résoudre une affaire de meurtre

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfdVrNEI4vfIeFiu7SFgZWyHPYXCPs-VS2KDnwFzouDIt5rvw4p34ZqQjAkx6VyVijD9ymodtA2vvNQ_3jTtAxg0R41KZW6z5m7gMRj--eLCbYL4MKoCHNWRdn315DIDbuPYGeGfFrnO4WeAwVe5YcIoApjsFx5VwLj1OwHPyUubn90FfezokRxPCEfQ/s999/Snapshot_535.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="539" data-original-width="999" height="173" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfdVrNEI4vfIeFiu7SFgZWyHPYXCPs-VS2KDnwFzouDIt5rvw4p34ZqQjAkx6VyVijD9ymodtA2vvNQ_3jTtAxg0R41KZW6z5m7gMRj--eLCbYL4MKoCHNWRdn315DIDbuPYGeGfFrnO4WeAwVe5YcIoApjsFx5VwLj1OwHPyUubn90FfezokRxPCEfQ/s320/Snapshot_535.jpg" width="320" /></a></div> Des enquêteurs de la Caroline du Nord ont reçu un coup de pouce inattendu dans une affaire de disparition, celui d’un canard. Depuis deux ans, les policiers étaient à la recherche de Nellie Sullivan, une nonagénaire qui était portée disparue. Deux suspects avaient été identifiés par la police: il s’agissait d’Angela Wamsley, la petite-fille de la disparue, ainsi que de son conjoint, Mark Barnes. Les autorités croyaient bien que la dame de plus de 90 ans avait été assassinée par Wamsley et Barnes, mais la dépouille de la victime était introuvable.

Ce n’est que la semaine dernière que les policiers ont retrouvé le corps de Nellie Sullivan, grâce à un canard domestique, a rapporté CNN. Ce dernier s’était enfui sous une remorque. En tentant de le rattraper, les propriétaires de l’animal ont découvert un conteneur à déchets où se trouvait le cadavre de Nellie Sullivan. «Si je pouvais donner une médaille à ce canard, je le ferais», a déclaré le sergent Mark Walker, du Bureau du shérif du comté de Buncombe.

La dépouille de la victime a été envoyée au laboratoire pour permettre aux policiers de comprendre depuis combien de temps Mme Sullivan était décédée. Selon le sergent Mark Walker, les deux suspects avaient caché le corps afin de continuer à recevoir des allocations. Grâce à la découverte de celui-ci, les deux suspects ont pu être formellement accusés de meurtre. Journal de Montréal

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Des enquêteurs de la Caroline du Nord ont reçu un coup de pouce inattendu dans une affaire de disparition, celui d’un canard. Depuis deux a...

Ouganda: A 83 ans, il devient papa pour la première fois!

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhL2VWmlGZ6VtiN2snCYwA95QWdSmfgGl223REqavkhDwUD5qwZOdDw77HLY7qYLlIlrsj8Ki2Oe5rIEJBp0GKzANENbLOU8N0OucVjOjfw2PpPxitiAuAcBXdiUuylVL8_-CsDiX0ibnLbYvParMekdbTIW11v8Jg9vKgwAarHe-ba3OmEutoEZt4jAQ/s856/Snapshot_533.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="537" data-original-width="856" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhL2VWmlGZ6VtiN2snCYwA95QWdSmfgGl223REqavkhDwUD5qwZOdDw77HLY7qYLlIlrsj8Ki2Oe5rIEJBp0GKzANENbLOU8N0OucVjOjfw2PpPxitiAuAcBXdiUuylVL8_-CsDiX0ibnLbYvParMekdbTIW11v8Jg9vKgwAarHe-ba3OmEutoEZt4jAQ/s320/Snapshot_533.jpg" width="320" /></a></div>Yosia Mwesigye, 83 ans, a accueilli son premier enfant, après le décès de sa femme de 79 ans qui n'a pas laissé d'enfant. Dans son précédent mariage, Mwesigye a attendu 57 ans sans enfant. Alors que la société accorde une grande valeur à la maternité, Mzee Mwesigye ne regrette pas que sa défunte épouse ne lui ait pas donné d'enfant. Troisième d'une famille de 10 enfants, Mzee Mwesigye est né le 26 janvier 1939 à Nyamiyaga Cell, paroisse de Kazindiro, sous-comté de Bugangari, district de Rukungiri (Ouganda). À 23 ans, il épouse l'amour de sa vie, Jane Tukamuhabwa (aujourd'hui décédée), le 25 avril 1962. Mais le couple ne pouvait pas avoir d'enfants. "Lorsque nous nous sommes rendus dans les hôpitaux, on nous a dit que nous étions fertiles", raconte Mzee Mwesigye. Il est resté fidèle à sa femme. Malheureusement, en 2005, Tukamuhabwa a été diagnostiquée avec un cancer du col de l'utérus et elle est décédée en 2018. "Nous avons tout fait ensemble mais c'est tellement malheureux qu'elle soit décédée sans avoir donné naissance", dit-il. À 79 ans, Mzee Mwesigye a retrouvé l'amour.

"J'ai vécu avec des travailleurs et quelques enfants adoptés après le décès de ma femme, mais ils pouvaient dormir dans les quartiers des garçons et je dormais seul dans la maison principale. C'est à ce moment-là que la vie s'est retournée contre moi et que j'ai pensé à épouser une seconde femme", raconte-t-il. Quelques jours plus tard, la sœur de Mzee Mwesigye lui a amené une femme pour une visite à la maison, qui est ensuite devenue sa nouvelle épouse. "J'étais excité à tel point que j'ai même pleuré et demandé à l'un de mes employés d'abattre une chèvre et c'est ainsi que j'ai eu ma deuxième femme Sharon Arinaitwe", dit-il. Après deux ans de mariage avec Mme Arinaitwe, aujourd'hui âgée de 29 ans, il a été informé qu'elle était enceinte.

Le 23 mars, des agents de santé du North-Kigezi Health IV Rugarama lui ont donné naissance à un petit garçon plein de vie. "Je suis tellement heureux que Dieu m'ait béni avec un enfant à mon âge. Je n'avais jamais pensé en avoir un, mais j'ai continué à prier et finalement Dieu a répondu à mes prières et maintenant je suis père", déclare Mzee Mwesigye, qui est riche selon les normes du village. Afri-pulse

Insolite Société Ouganda: A 83 ans, il devient papa pour la première fois!

Yosia Mwesigye, 83 ans, a accueilli son premier enfant, après le décès de sa femme de 79 ans qui n'a pas laissé d'enfant. Dans son p...

La nouvelle stratégie du camp Tshisekedi pour réessayer d’éliminer Katumbi de la course à la présidentielle

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigO4x3p_DV2_SX7bkBoVEs5wtZ78WrNXSQ-wT5_ADZWPnKTTCsGamLYpuXAFsgw24cGQjBZT0wdiY8rGjilxV8_f3BrvKvFjVBDG4zykRdIXA2rSkC-_GEyBUFu0eW2Ji7HQUy_xbCYsqxIhLs5Cha9FBG_tIqcGuRngfTe3D5aRrKLdYziXlp_8cmiQ/s987/Snapshot_532.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="987" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigO4x3p_DV2_SX7bkBoVEs5wtZ78WrNXSQ-wT5_ADZWPnKTTCsGamLYpuXAFsgw24cGQjBZT0wdiY8rGjilxV8_f3BrvKvFjVBDG4zykRdIXA2rSkC-_GEyBUFu0eW2Ji7HQUy_xbCYsqxIhLs5Cha9FBG_tIqcGuRngfTe3D5aRrKLdYziXlp_8cmiQ/s320/Snapshot_532.jpg" width="320" /></a></div>Fébrile à un an et demi de l’élection présidentielle, le chef de l’Etat n’a pas renoncé à son projet d’écarter de ce scrutin celui qu’il perçoit comme en étant le grand favori : l’ex-gouverneur du Katanga. Voici comment il compte – cette fois-ci – procéder. Ceux qui pensaient que Félix Tshisekedi avait renoncé à la « funeste » proposition de « loi Tshiani » (un Congolais, titulaire de la nationalité américaine et originaire du Kasaï comme M. Tshisekedi), qui interdit aux Congolais qui ne sont pas nés et de père et de mère congolaise d’être notamment candidats l’élection présidentielle (comme c’est le cas de Moïse Katumbi né d’un père juif grec), en sont pour leur frais. A l’approche de la prochaine présidentielle, prévue fin 2023, M. Tshisekedi, qui sait ne pouvoir ni compter sur sa base électorale (étriquée et érodée) ni sur un bilan catastrophique (marasme économique, forte augmentation du coût de la vie, construction d’infrastructures à l’arrêt, exacerbation de la guerre dans l’est du pays, etc.), cherche par tous les moyens à se maintenir au pouvoir. Sachant qu’il ne pourra y parvenir en cas d’élections régulières, il lui reste deux solutions. La plus mauvaise : tricher le jour du scrutin et les suivants. Outre le fait que ce serait compliqué, le prix à en payer vis-à-vis de la communauté internationale dont il a un impérieux soutien serait prohibitif.

Ne lui reste donc qu’une solution, certes guère originale, mais qu’il espère efficace : écarter en amont de la course son principal adversaire, considéré comme le grand favori du scrutin (s’il a lieu à la régulière) : Moïse Katumbi. Un stratagème déjà utilisé par son prédécesseur, Joseph Kabila, en 2018. Après avoir échoué une première fois, l’année dernière, face à la levée de boucliers des églises, des partis politiques d’opposition et de la communauté internationale (Etats-Unis et Europe en tête) à faire passer la proposition de « loi Tshiani », le président RD congolais et son entourage se sont résolus à remettre l’ouvrage sur le métier. Cette semaine, à l’Assemblée nationale, le groupe G13, qui réunit 13 parlementaires toutes tendances confondues, a présenté la proposition de loi électorale. S’en est suivie une discussion sur le dépôt d’amendements potentiels.

C’est ce moment qu’a choisi le député Nsengui Pululu, un cheval de Troie de l’UDPS bien qu’estampillé PPRD qui l’année dernière déjà avait tenté en vain de faire inscrire à l’ordre du jour la loi Tshiani, pour déposer un amendement qui reprend l’essentiel du contenu de la « loi Tshiani » : interdire aux Congolais qui ne sont pas nés de père et de mère congolais d’accéder aux plus hautes fonctions publiques et aux mandats électifs, dont celui de président de la République. André Mbata en première ligne <img height="480" src="https://www.opinion-info.cd/sites/default/files/styles/2048_1536/public/2021-06/Andr%C3%A9%20Mbata%202.jpg?itok=-D0t4GE9" width="640" /> Problème : cette loi (qui n’existe nulle part ailleurs dans le monde) s’oppose frontalement aux articles 10 et 72 de la Constitution de 2004. Si l’entourage du chef de l’Etat a choisi d’en passer par la loi plutôt que de modifier la Constitution, c’est pour plusieurs raisons. D’abord, la procédure est moins lourde et a donc théoriquement plus de chance d’aboutir. Ensuite, durant l’état de siège – ce qui est actuellement le cas en RDC en raison de la situation à l’est -, il est impossible de changer la Constitution. Ses dispositions sont « gelées ».

Pour contourner ces obstacles, les « stratèges » de l’UDPS, au premier rang desquels le « constitutionnaliste » André Mbata, désigné pour succéder à Jean-Marc Kabund au poste de premier vice-président de l’Assemblée nationale, pensent avoir trouvé la solution. Leur plan doit se dérouler en trois temps. Un, la commission PAJ de l’Assemblée nationale va accepter l’amendement Pululu. Deux, après s’être assuré à coup de milliers de dollars (une pratique courante en RDC) le vote d’une majorité de députés, l’amendement sera présenté en séance plénière pour être adopté. Trois, en cas de contestation, la Cour constitutionnelle, où siègent des magistrats nommés en majorité par Félix Tshisekedi et acquis à sa cause, sera chargée d’interpréter la loi dans le sens de sa compatibilité avec la Constitution. Juridiquement, c’est totalement abscons. Politiquement, c’est bien ainsi que compte procéder l’UDPS. Reste, comme le rappelle un précédent récent (celui de la mise en accusation de l’ancien premier ministre et sénateur Augustin Matata Ponyo), un sursaut de la part de la Haute-Juridiction n’est pas à exclure.

Tensions à l’est et risque de partition du pays Ironie de l’Histoire, ces manœuvres à l’Assemblée nationale interviennent quelques jours après le déplacement de Félix Tshisekedi à Nairobi au Kenya pour discuter de la paix à l’est avec le Rwanda et l’Ouganda et la semaine même où il s’est rendu à Lubumbashi pour clôturer un forum de réconciliation entre les Katangais et les Kasaïens. Or l’amendement Pululu, s’il était adopté, viserait directement les populations frontalières de l’est, dont les Banyamulenges, et les Katangais qui verraient leur « champion », Moïse Katumbi, une nouvelle fois exclu de la course à la présidentielle. « Le président Félix Tshisekedi donne l’impression de jouer avec des allumettes dans une grange plein de foin sec », s’inquiète un haut-diplomate occidental. Il ne croit pas si bien dire. Si l’amendement Pululu, qui n’est qu’une resucée de la loi Tshiani, venait à être adopté, l’est du pays swahilophone risquerait de s’embraser. Déjà, des voix s’élèvent pour réclamer une scission d’avec le centre lubaphone afin de créer un Etat indépendant du Grand est. Congo Libéré

Politique La nouvelle stratégie du camp Tshisekedi pour réessayer d’éliminer Katumbi de la course à la présidentielle

Fébrile à un an et demi de l’élection présidentielle, le chef de l’Etat n’a pas renoncé à son projet d’écarter de ce scrutin celui qu’il per...

Processus électoral : l’insistance sur le consensus se multiplie de plus en plus

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5ZsmtB5CoL6K2d-XTy52sU6cdZjMEikA5kY71vd7GAuUU5wL7kaMk3D15eU9_ON8-FUBf5-gPNupo7Riz8USRz2Z8utnpcFVGFOwMfzVXqfA0JIJM_DKzoH1eV_3s-zQaCmNpkIkB4-5cdDe-k_M_SemtpNpXJ-Qse4ptfdKEvuNDx-MqS6BZDj6Dtg/s954/Snapshot_531.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="533" data-original-width="954" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5ZsmtB5CoL6K2d-XTy52sU6cdZjMEikA5kY71vd7GAuUU5wL7kaMk3D15eU9_ON8-FUBf5-gPNupo7Riz8USRz2Z8utnpcFVGFOwMfzVXqfA0JIJM_DKzoH1eV_3s-zQaCmNpkIkB4-5cdDe-k_M_SemtpNpXJ-Qse4ptfdKEvuNDx-MqS6BZDj6Dtg/s320/Snapshot_531.jpg" width="320" /></a></div>Kinshasa, 02 mai 2022- L’exigence du consensus autour du processus électoral qui pointe à l’horizon devient pendant à quelques mois de la tenue des élections en République Démocratique du Congo. Le Comité Laïc de Coordination est l’une des structures estimant que sans consensus les élections attendues en 2023 n’auront nullement des garantis de crédibilité. “[•••] s’agissant des élections, un effort doit être fait pour aboutir à un minimum de consensus, si indispensable pour garantir leur crédibilité future. La politique du passage en force et celle des positions extrêmes érigées en droits de veto, ont largement atteint leurs limites.

L’une et l’autre positions ne peuvent avoir pour consequences que de fragiliser d’avance la prochaine législature, alors que la RDC a besoin plus que jamais d’un pouvoir vertébré, ayant pour base une légitimité absolue”, déclare le CLC dans un document d’utilité publique dont la copie nous est parvenue. Dans le même document le CLC dit considérer qu’il n’est pas trop tard pour bien faire. Ainsi, il exhorte le Chef de l’Etat et à la classe politique à prendre de l’initiative et de faire preuve d’un sens élevé de responsabilité.

Pour le CLC, au regard de la situation politique qui prévaut au pays, marquée par le règne de la méfiance réciproque, aux procès d’intention et aux multiples tentatives de débauchage, la vie nationale ne peut être dominée exclusivement par des competitions politiques et des calculs électoralistes, particulièrement en cette période critique où l’autorité de l’Etat doit absolument être restaurée et où la dignité nationale doit faire l’objet d’une nouvelle conquête. D’où, son appel afin qu’un consensus soit trouvé autour du processus électoral en cours. Il faut dire que cette appel du CLC intervient pendant qu’à l’Assemblée nationale, les députés discutent sur la réforme de la loi électorale. Manassé DIBWA

Politique Processus électoral : l’insistance sur le consensus se multiplie de plus en plus

Kinshasa, 02 mai 2022- L’exigence du consensus autour du processus électoral qui pointe à l’horizon devient pendant à quelques mois de la te...

RDC-Affaire Ferdinand Kambere: le ministère public a requis une peine d’une année contre Ardant Kambambi

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwk2fVHbXoWesNuJobfFvplG3yMHK5itG71eDvmgIOvf8QV-la7FzZRKGsriKz0QfUNUDyqTh8omBR-d7EEm_E0zmVIN9F1fxXo1Ewt3pxzDNTNohQH9GhAThjsp0qhQZZnpU_yKbT4X8w0R9Tfn3_zsjgRFJdpl3niLlfv0qJ_VgI2FO1MQ5qDzjT1g/s992/Snapshot_79.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="992" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwk2fVHbXoWesNuJobfFvplG3yMHK5itG71eDvmgIOvf8QV-la7FzZRKGsriKz0QfUNUDyqTh8omBR-d7EEm_E0zmVIN9F1fxXo1Ewt3pxzDNTNohQH9GhAThjsp0qhQZZnpU_yKbT4X8w0R9Tfn3_zsjgRFJdpl3niLlfv0qJ_VgI2FO1MQ5qDzjT1g/s320/Snapshot_79.jpg" width="320" /></a></div>Après avoir entendu les plaidoyers des parties, le ministère public a jugé bon de requérir contre Ardant Kambambi, une peine d’une année pour coups et blessures et trois ans pour la destruction méchante. À cet effet, le tribunal a promis de rendre son jugement le 11 mai 2022. Il sied de rappeler que c’est Ardant Kambambi qui a porté plainte contre le Secrétaire Permanent Adjoint du PPRD Ferdinand Kambere, et ce dernier a été condamné au premier degré à 6 mois de prison et 10.000 dollars américains comme dommages et intérêts. Ferdinand Kambere a toujours plaidé non coupable depuis le commencement de l’affaire; Ardant Kambambi n’a pas été convaincu quand à ce jugement, il déclara que la peine de 6 mois de prison et les 10.000 dollars américains lui alloués étaient « dérisoires » arrivant à ce stade l’affaire tourne contre lui. Acturdc.Com

Justice RDC-Affaire Ferdinand Kambere: le ministère public a requis une peine d’une année contre Ardant Kambambi

Après avoir entendu les plaidoyers des parties, le ministère public a jugé bon de requérir contre Ardant Kambambi, une peine d’une année pou...

Élection 2023: Ça sent mauvais pour Moïse Katumbi

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWMynMEl1iDXk2k5kxLLm8yK5TdzLxsEC5ObOoc80iEb577sc3ApCMEHbaKbjL-qoU9M5Zmlaz7DLLkxOfPypvJQa_zaZFpeMTIoI6pMMyq2jVQ9T2YeBY_KS2MiwFUT2bBiruJv4Arcp4dySRiAMfbRSp0eeb8vrNnq0v35lpaamn0dH-01LM5mNRqQ/s1239/Snapshot_518.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="769" data-original-width="1239" height="199" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWMynMEl1iDXk2k5kxLLm8yK5TdzLxsEC5ObOoc80iEb577sc3ApCMEHbaKbjL-qoU9M5Zmlaz7DLLkxOfPypvJQa_zaZFpeMTIoI6pMMyq2jVQ9T2YeBY_KS2MiwFUT2bBiruJv4Arcp4dySRiAMfbRSp0eeb8vrNnq0v35lpaamn0dH-01LM5mNRqQ/s320/Snapshot_518.jpg" width="320" /></a></div>Le président d’Ensemble pour la République, Moïse Katumbi est loin de jouer franc jeu au sein de l’Union Sacrée de la Nation où il est membre bénéficiaire des avantages comme tout le monde et plus que même certains grands partis. C’est le moins que l’on puisse dire du comportement à la chauve-souris de l’ancien gouverneur de l’ex Katanga qui doit sa survie politique à Tshisekedi. Outre ses prises de position laconiques et aussi étonnant que cela puisse être, les délégués de Moïse Katumbi ont été aperçus lors de la récente reunion des Forces politiques et Sociales aux cotés du FCC/Kabila, LAMUKA, CAlCC, MILAPRO et CLC pour peaufiner des stratégies aboutissant à des manifestations contre le pouvoir. Le président d’Ensemble joue à la traitrise. Il n’est ni chaud ni froid, attitude pourtant répréhensible en politique comme en religion. Comment comprendre qu’un acteur politique de son rang se range du coté des « sans positions »? Inadmissible répond vigoureusement un spécialiste de la politique congolaise.

L’opinion se souviendra à son temps, alors président provincial du PPRD et gouverneur de l’ex Katanga sous ce manteau, Moïse Katumbi « par convoitise au poste de président de la République, avait pris l’option de démissionner de son poste de gouverneur appuyé par un groupe d’opportunistes aujourd’hui en débandade » pour se présenter à la présidentielle ». Le traitant de Judas le traître, le régime Kabila va soumettre Katumbi aux sévices d’un exilé que Tshisekeki élu président de la République a pu venir à bout.

« Katumbi mérite le châtiment réservé à la chauve-souris », tonne l’interlocuteur d’ACTU7.CD. « L’homme est à coup sûr porteur des germes nuisibles à la bonne santé de l’USN. Et ça, la haute hiérarchie du pouvoir doit le comprendre et agir sans ménagement », a-t-il conclu.<div id="wpdevar_comment_2" style="box-sizing: border-box; width: 780px;"></div>ACTU7.CD

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Justice : “François Beya vivrait déjà son enfer”(Famille)

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDWqWWqGwfxTQBZrA1IX9HtmE_X5uNW8jV8Ekt1ZYKx1KQr1c-lTAIDeFox88vDnrqKa60-2zbjQ-GXlOgHiA9RH-vzIxcxx-d476Dtbu1_MBxT1ZRFlZt9Jk1WF89Os5YONWXPMPnu1sCtgDUn2zvS1b-JIY8mx704eE99JiI5alK38SD919_2TkyIQ/s853/hbgvcfcf.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="853" height="206" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDWqWWqGwfxTQBZrA1IX9HtmE_X5uNW8jV8Ekt1ZYKx1KQr1c-lTAIDeFox88vDnrqKa60-2zbjQ-GXlOgHiA9RH-vzIxcxx-d476Dtbu1_MBxT1ZRFlZt9Jk1WF89Os5YONWXPMPnu1sCtgDUn2zvS1b-JIY8mx704eE99JiI5alK38SD919_2TkyIQ/s320/hbgvcfcf.png" width="320" /></a></div>La famille de François BEYA dénonce ls « tracasseries et traitements dégradants » auxquels il a été soumis ce dimanche 1er Mai « par des agents cagoulés de la DEMIAP et ANR », qui lui ont privé d’accès à sa cellule après y avoir fait irruption et procédé à une fouille systématique.<div> La famille BEYA exige que la dignité et l’intégrité physique de l’intéressé soient préservées et qu’il ne lui soit pas infligé un traitement différent des autres détenus. Tant que son innocence dont elle ne doute pas demeure, la famille en appelle au strict respect de ses droits. Conseiller spécial de Félix Tshisekedi en matière de sécurité, François Beya a été arrêté et détenu dans les locaux de l’ANR depuis le 5 février. Il a été incarcéré à la prison centrale de Makala dans la soirée du 4 avril. Gaël Hombo/acturdc.com </div>

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Lutte contre la corruption : franc succès de Jules Alingete après sa rencontre avec J.Peter Pham aux USA

April 30, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9YHv-900luqHCMMYeZA32J8pNZgNjVO4C48RdYUW4jfFXAfauy9hz_sQqQGHn55--u9n0DbtnOUGqwQU-lUVCNX0PbLDMe75eHwF4Sj08QYRSnsKhj3TO0bRu0-UatHZSgKCt_-n_P36_53iKTEXWz_feKhVSxki1Z7LLpG3VU78LBBan8gRvYMsyVg/s990/Snapshot_530.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="990" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9YHv-900luqHCMMYeZA32J8pNZgNjVO4C48RdYUW4jfFXAfauy9hz_sQqQGHn55--u9n0DbtnOUGqwQU-lUVCNX0PbLDMe75eHwF4Sj08QYRSnsKhj3TO0bRu0-UatHZSgKCt_-n_P36_53iKTEXWz_feKhVSxki1Z7LLpG3VU78LBBan8gRvYMsyVg/s320/Snapshot_530.jpg" width="320" /></a></div>L’Inspecteur général de l’ Inspection générale des finances ( IGF), Jules Alingete vend une bonne image de la RDC concernant la lutte contre la corruption. John Peter Pham, l’ancien représentant des États-Unis dans la région des grands lacs se dit très ravi du combat mené pour barrer la route à la corruption. C’était lors de sa rencontre avec le numéro de l’IGF au pays de l’Uncle Sam. Une bonne impression et image de la RDC en matière de lutte contre les anti-valeurs notamment le coulage des recettes, la corruption enracinée au sens propre et au figuré dans le chef de gouvernants. « Un plaisir d’échanger avec l’inspecteur général Jules Alingete, chef de service de l’IGF RDC et son collègue Jean Muntuabu sur la lutte contre la corruption et des autres efforts nécessaires pour que la RDC et son peuple profitent véritablement de ses ressources naturelles », a tweeté John Peter Pham.

C’est une réussite pour Alingete qui ne cesse de donner des » insomnies » à tous ceux qui dans la sphère politico-socio-économique en RDC ont du mal à vivre l’ivresse du lait comme auparavant. N’en déplaisent à ses détracteurs qui ont mal interprété ses propos lors de son séjour au pays de Joe Biden: » La RDC n’est pas en guerre », avait-il lâché. Une façon de dire qu’une guerre se décrète en se basant sur les dispositions de la constitution. Loin s’en faut pour le numéro un de l’IGF, de cracher sur la mémoire des Congolaises et Congolais qui sont tués dans la partie orientale du pays.

Dans le contexte actuel et à plusieurs milliers de kilomètres du Congo, la Russie de Vladimir Poutine est en » guerre » contre l’Ukraine de Volodymyr Zelensky depuis le 24 février. Mais pour les Russes, ce n’est pas le cas, c’est » une opération militaire spécialisée ». Les éléments du langage sont maniés d’une manière d’une autre selon que l’on est dans un coin du monde. GBK

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BA SANGO YA CONGO KINSHASA

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