Les bailleurs internationaux réticents à investir massivement dans la lutte contre le changement climatique en RDC

<h1 style="text-align: left;"> </h1><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiOKXHyKmNjO6-2P0Ho23gADDnQ18ABa8XgdEoog41_YdaL9gH29JPStV_jEoMQgcKFEILC-hHTXKdyhj4ivQS4Lz1CG_ceMHgDRhSnL7FxmoemK519nOG5aL-JRb19pntwx0CMvjK_jXINnh0ITuWGgoMmCRabN1X6c3azr4_GaeGa21LczdrZ7yK46iE/s800/e3b72826bf_114784_rechauffement-climatique-illustration-800x445.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="445" data-original-width="800" height="306" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiOKXHyKmNjO6-2P0Ho23gADDnQ18ABa8XgdEoog41_YdaL9gH29JPStV_jEoMQgcKFEILC-hHTXKdyhj4ivQS4Lz1CG_ceMHgDRhSnL7FxmoemK519nOG5aL-JRb19pntwx0CMvjK_jXINnh0ITuWGgoMmCRabN1X6c3azr4_GaeGa21LczdrZ7yK46iE/w551-h306/e3b72826bf_114784_rechauffement-climatique-illustration-800x445.jpg" width="551" /></a></div><br /><h1 style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial;">Les bailleurs internationaux réticents à investir massivement dans la lutte contre le changement climatique en RDC</span></strong></h1><p><span style="font-family: arial;">En République Démocratique du Congo (RDC), un pays riche en ressources naturelles mais confronté à de nombreux défis économiques et politiques, la lutte contre le changement climatique reste une priorité globale encore sous-financée. Alors que la RDC joue un rôle crucial dans la régulation climatique, grâce à sa vaste forêt tropicale – la deuxième plus grande au monde après celle de l’Amazonie – les bailleurs internationaux demeurent réticents à injecter des fonds conséquents pour financer des projets d'adaptation et d'atténuation des effets climatiques.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Un potentiel climatique immense mais sous-exploité</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Avec environ 155 millions d’hectares de forêt, la RDC représente un puits de carbone naturel majeur, capable d’absorber des milliards de tonnes de CO₂ chaque année. De plus, les tourbières situées dans le bassin du Congo stockent à elles seules l'équivalent de plusieurs années d'émissions mondiales de CO₂. Préserver et restaurer ces écosystèmes sont des actions indispensables pour la lutte contre le changement climatique à l’échelle mondiale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cependant, malgré ce potentiel, la RDC reçoit bien moins de financement climatique que ce que son rôle stratégique laisserait espérer. L’Agence Française de Développement (AFD), le Fonds Vert pour le Climat, et d’autres acteurs internationaux allouent des fonds aux projets climatiques, mais ces investissements restent timides en comparaison des besoins sur le terrain.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Une réticence des bailleurs à investir : quelles raisons ?</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Les raisons de cette réticence sont multiples. D'abord, la situation politique et économique instable de la RDC constitue un obstacle majeur. Le pays fait face à des défis structurels, dont une gouvernance fragile, une corruption persistante, et des conflits dans certaines régions qui réduisent la sécurité des projets financés. Pour les bailleurs de fonds, ces risques compliquent la mise en œuvre de projets de long terme et rendent difficile le suivi des investissements.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En outre, les structures locales manquent parfois des capacités techniques et administratives pour gérer efficacement des projets de grande ampleur. La faible transparence des processus administratifs et financiers pose aussi des questions sur l’utilisation adéquate des fonds. Par conséquent, certains bailleurs privilégient des financements directs aux ONG ou à des programmes spécifiques, plutôt qu’à des initiatives gouvernementales, par crainte de détournements de fonds ou d'inefficacité.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Un besoin urgent de renforcer la confiance et la transparence</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Pour encourager davantage d’investissements dans la lutte contre le changement climatique en RDC, des mesures de renforcement de la transparence et de la gouvernance sont essentielles. Le gouvernement congolais doit travailler en collaboration avec les bailleurs pour établir des cadres de gestion financière et de suivi plus rigoureux, avec des audits réguliers et une transparence accrue sur l’utilisation des fonds.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les partenaires internationaux peuvent également jouer un rôle clé en renforçant les capacités locales, en formant des experts congolais et en soutenant les initiatives communautaires. En autonomisant les populations locales et en leur offrant des alternatives économiques durables, il est possible de créer un impact positif plus large et de garantir que les fonds alloués sont utilisés efficacement.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Des opportunités de financement pour l'avenir</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré les défis, plusieurs organisations continuent d’investir en RDC. Le Fonds Vert pour le Climat, par exemple, a récemment augmenté ses contributions pour soutenir des projets de protection des tourbières et des forêts dans le bassin du Congo. En parallèle, des initiatives régionales impliquant plusieurs pays du bassin du Congo voient le jour pour mutualiser les efforts de conservation et attirer davantage de fonds internationaux.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les opportunités de financement via des mécanismes comme les crédits carbone pourraient également être explorées davantage pour permettre au pays de monétiser la préservation de ses forêts. De plus, avec les récentes discussions autour des financements climatiques pour les pays du Sud global lors des conférences internationales, il est probable que la RDC pourrait bénéficier de nouvelles sources de financement dans les années à venir.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Un engagement pour l'avenir du climat mondial</span></h3><p><span style="font-family: arial;">La RDC, avec son patrimoine naturel inestimable, a un rôle unique à jouer dans la lutte mondiale contre le changement climatique. Toutefois, pour que le potentiel du pays se réalise pleinement, il est essentiel que les partenaires internationaux réévaluent leurs priorités et renforcent leur soutien en tenant compte des besoins spécifiques de la RDC. En alliant des engagements financiers solides à des efforts accrus en matière de gouvernance, la RDC pourrait devenir un modèle en matière de conservation climatique, un pilier pour le climat africain et une inspiration pour le monde entier.</span></p><br /><p></p><h1 class="t-content__title a-page-title" style="-webkit-box-flex: 0; background-color: white; border: none; box-sizing: border-box; color: #313131; flex: 0 1 auto; font-family: Roboto, Arial, sans-serif; font-size: 4.4rem; hyphens: none; line-height: 1.2; margin: 0px 24px 10px; overflow-wrap: break-word; padding: 0px; word-break: break-word;"><br /></h1><p><br /></p>

Les bailleurs internationaux réticents à investir massivement dans la lutte contre le changement climatique en RDC

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<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhi8vvptpnrjepNcZF0mTqyaHh1pRMPo62mw6G4jPwl8z4DU7p23d86AB1Zg3d050sDHy1-xrveyghnzLm4cJIQvP55Xu-0GuhV3K_99aSVTU39zguZhkvE2yqmquGiCY5PIxjRDlSnrVy5Ed8CWNmqFBlWjqjYsvc2BxkKYLOD4_GawK_mbojOdwVAHI_Y/s1277/fally%20jayli.webp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1277" data-original-width="1170" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhi8vvptpnrjepNcZF0mTqyaHh1pRMPo62mw6G4jPwl8z4DU7p23d86AB1Zg3d050sDHy1-xrveyghnzLm4cJIQvP55Xu-0GuhV3K_99aSVTU39zguZhkvE2yqmquGiCY5PIxjRDlSnrVy5Ed8CWNmqFBlWjqjYsvc2BxkKYLOD4_GawK_mbojOdwVAHI_Y/w313-h320/fally%20jayli.webp" width="313" /></a></div><br /><p></p><p><br /></p><p><strong><span style="font-family: arial;">Fally Ipupa sacré Meilleur Artiste d'Afrique Centrale aux Jayli Awards</span></strong></p><p><span style="font-family: arial;">Fally Ipupa, icône de la musique congolaise et figure de la rumba africaine, a une fois de plus marqué l'histoire de la musique en remportant le prestigieux titre de Meilleur Artiste d'Afrique Centrale aux Jayli Awards. Ce prix prestigieux vient couronner une carrière qui, depuis plus de vingt ans, incarne l'authenticité et la modernité de la musique congolaise sur la scène internationale.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Un parcours impressionnant</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Surnommé "Dicap la Merveille", Fally Ipupa a débuté sa carrière avec le groupe Quartier Latin de Koffi Olomidé avant de lancer sa carrière solo. Depuis lors, il a su séduire un large public, aussi bien en Afrique qu'à travers le monde. Mélangeant la rumba congolaise traditionnelle avec des rythmes modernes comme l'afrobeat, le R&B et la pop, il a su créer un son unique qui lui a valu de nombreuses distinctions. Ses titres phares, comme <em>"Eloko Oyo"</em>, <em>"Canne à sucre"</em>, et <em>"A Flyé"</em>, résonnent sur toutes les plateformes, et ses vidéos atteignent des millions de vues, illustrant l'engouement autour de son œuvre.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">La consécration aux Jayli Awards</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Les Jayli Awards sont devenus une référence dans la reconnaissance des talents africains, célébrant les artistes qui ont un impact notable dans le domaine de la musique et de la culture. En remportant le titre de Meilleur Artiste d’Afrique Centrale, Fally Ipupa se distingue parmi les artistes les plus influents et les plus appréciés de la région. Ce prix honore non seulement son talent, mais aussi sa contribution à la promotion de la culture congolaise et africaine à l'échelle internationale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette récompense est également une reconnaissance de son impact social. En effet, au-delà de la musique, Fally Ipupa est engagé dans des causes humanitaires et mène des actions de sensibilisation à travers sa fondation, en luttant pour des sujets importants tels que la pauvreté, l’éducation, et la santé en République Démocratique du Congo.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">L'impact de Fally Ipupa sur la scène musicale africaine</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Fally Ipupa ne se contente pas de représenter la culture congolaise; il est aussi un pont entre l'Afrique et le reste du monde. En collaborant avec des artistes internationaux tels que R. Kelly, Wizkid, et Daddy Yankee, il a contribué à l’exportation des sonorités africaines et à l'ouverture de nouvelles perspectives pour les jeunes artistes du continent. Son succès inspire toute une génération d’artistes africains qui voient en lui un modèle de persévérance et de réussite.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Une fierté pour la culture congolaise</span></h3><p><span style="font-family: arial;">La consécration de Fally Ipupa aux Jayli Awards est une source de fierté pour la culture congolaise. Elle témoigne de la vitalité et de la modernité de la rumba congolaise, genre musical inscrit au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO. En portant haut les couleurs de cette musique, Fally Ipupa contribue à renforcer l'attrait mondial pour la rumba et pour la culture africaine dans son ensemble.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Des projets ambitieux en perspective</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Toujours avide de nouvelles créations, Fally Ipupa n’entend pas s’arrêter là. Alors qu’il travaille sur de nouveaux projets musicaux et des tournées internationales, il reste déterminé à repousser les frontières de la musique congolaise et africaine. Avec ce prix, Fally Ipupa renforce son rôle de pionnier et d’ambassadeur de la culture africaine, inspirant les générations présentes et futures.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En somme, la victoire de Fally Ipupa aux Jayli Awards est bien plus qu’une récompense personnelle; elle est le symbole d’une culture africaine en pleine ascension et d’un artiste dont la portée dépasse les frontières du continent.</span></p>

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RDC : Le Franc Congolais Sous Pression Malgré une Stabilité Économique Affichée

<b>Une Stabilité Économique grâce aux Politiques de la Banque Centrale</b> <div><br /></div><div> La Banque Centrale du Congo (BCC), représentée par sa gouverneure, Malangu Kabedi Mbuyi, a récemment affirmé que la stabilité macroéconomique de la République Démocratique du Congo est maintenue. Lors de la vingtième réunion du conseil des ministres, elle a souligné que cette situation est due aux efforts coordonnés des politiques budgétaires et monétaires, malgré les fluctuations du franc congolais. La gouverneure a en outre relevé une tendance haussière dans les prix mondiaux des matières premières essentielles, à l'exception notable du cuivre. </div><div><br /></div><div><b><br /></b></div><div><b><br /></b></div><div><b>Un Dispositif de Coordination Recommandé pour Renforcer la Résilience</b> Malangu Kabedi Mbuyi a mis en avant l’importance de poursuivre une stratégie coordonnée entre les politiques budgétaires et monétaires, tout en recommandant l’accélération des réformes structurelles visant à transformer l’économie nationale. La stabilisation du taux de change, qui reste une priorité du président Félix Tshisekedi, fait partie des engagements pour améliorer le pouvoir d’achat des Congolais particulièrement dans un contexte où des risques externes et internes pèsent sur la monnaie nationale  </div><div><b><br /></b></div><div><b><br /></b></div><div><b><br /></b></div><div><b>Débats sur la Réalité de la Stabilité Économique</b> </div><div><br /></div><div> Cependant, certains experts et acteurs politiques remettent en question la solidité de cette stabilité. Lors d’un récent débat général sur le projet de budget pour 2025, le député national Augustin Matata Ponyo a qualifié la stabilité économique de "factice", suggérant que les indicateurs économiques actuels ne reflètent pas entièrement la réalité des défis financiers du pays. </div><div><br /></div><div>  <b>Enjeux à Venir pour la Monnaie Congolaise</b></div><div><div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigxnqp4NIluhyphenhyphenQG9_4IX_EZW61RN81fXwIls6u3MM9GYvwRMrl9A02Rqze3c0bD7xpTXWKxfQh1vJIzV7MbnuXu6ZsQGPyhh8pwp-BRODkSVu6op0JEbE-nmBmTKF7w-UUP3x49g5LpkoVqUc-icjbiaZPVeh9aZUHOi1HREI8M3f8Nf6Qd7q_uMpATtU/s659/image5.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="659" data-original-width="466" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigxnqp4NIluhyphenhyphenQG9_4IX_EZW61RN81fXwIls6u3MM9GYvwRMrl9A02Rqze3c0bD7xpTXWKxfQh1vJIzV7MbnuXu6ZsQGPyhh8pwp-BRODkSVu6op0JEbE-nmBmTKF7w-UUP3x49g5LpkoVqUc-icjbiaZPVeh9aZUHOi1HREI8M3f8Nf6Qd7q_uMpATtU/s320/image5.jpeg" /></a></div> Face à ces critiques, la Banque Centrale et le gouvernement continuent de suivre de près l’évolution du franc congolais, espérant assurer une stabilité durable. Le franc congolais reste soumis à diverses pressions, malgré les efforts déployés pour maintenir une stabilité économique apparente. Le succès des réformes prévues pourrait être déterminant pour le renforcement de la monnaie nationale dans les mois à venir.</div>

Economie RDC : Le Franc Congolais Sous Pression Malgré une Stabilité Économique Affichée

Une Stabilité Économique grâce aux Politiques de la Banque Centrale    La Banque Centrale du Congo (BCC), représentée par sa gouverneure, Ma...

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Jacky NDALA: Comparution Devant le Tribunal de Paix de Kinshasa/Kinkole pour Propos Diffamatoires

<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGIDMGzlXgVmGXfWGLL5UFpIoqng8-1luBTVU3rTbEjt2VohQFS0Y7dT017vZcKXII1zE0KCo0ABJlezGOF_fkKTXG2AKRVnZFqxisTVY_LBOcvOuqJmFOJFR1-bS7Jr8BXkg02APX6fLUSnbseCYHXrWQ_dxtgvYkMLYL-yBzF5ve7rWm3CPNYKAK3lQ/s480/image3%20%281%29.jpeg" style="clear: right; display: block; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="301" data-original-width="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGIDMGzlXgVmGXfWGLL5UFpIoqng8-1luBTVU3rTbEjt2VohQFS0Y7dT017vZcKXII1zE0KCo0ABJlezGOF_fkKTXG2AKRVnZFqxisTVY_LBOcvOuqJmFOJFR1-bS7Jr8BXkg02APX6fLUSnbseCYHXrWQ_dxtgvYkMLYL-yBzF5ve7rWm3CPNYKAK3lQ/s320/image3%20%281%29.jpeg" width="320" /></a></div> <b> Assignation en Justice et Accusations</b> <div><br /></div><div> Jacky NDALA ancien responsable de la jeunesse du parti politique *Ensemble pour la République* est convoqué à comparaître ce mardi 5 novembre devant le tribunal de paix de Kinshasa/Kinkole. Cette assignation, émise par les autorités de la République Démocratique du Congo le 1er novembre 2024, fait suite à des déclarations diffusées par le militant sur les réseaux sociaux. </div><div><br /></div><div>  <b>Propagation de Faux Bruits : Une Infraction aux Conséquences Légales</b> Selon les autorités, les propos tenus sont faux et relèvent d’une infraction de propagation de faux bruits, causant un préjudice important. La République exige que le tribunal applique la peine maximale pour ce type d’infraction, assortie de dommages-intérêts de 1 000 dollars. </div><div><br /></div><div> E<b>xamen des Allégations Devant le Tribunal </b> Cette affaire, qui met en lumière les responsabilités des acteurs publics et politiques dans l’usage des réseaux sociaux, devrait permettre au tribunal de se prononcer sur l’impact et les conséquences des propos tenus en ligne, en application des lois contre la diffamation et les rumeurs infondées.</div>

Jacky NDALA: Comparution Devant le Tribunal de Paix de Kinshasa/Kinkole pour Propos Diffamatoires

Assignation en Justice et Accusations    Jacky NDALA ancien responsable de la jeunesse du parti politique *Ensemble pour la République* e...

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Ituri : Les Journalistes Face aux Menaces de Mort et Arrestations Arbitraires

Ituri : Les Journalistes Face aux Menaces de Mort et Arrestations Arbitraires ---<div><br /></div><div>  <b>Une Année Marquée par les Violences contre la Presse en Ituri<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigXsKZTpKPZ9dppurPG589C2yNykVC57ei5Ix4EfQtpC1pGUYeXVO5Vn5W4mVoAeQwJayAuK6k9SD6PaRtdNMfYv9DpWI34JVG8t4QGBySTZk7p5GAejHyL0wfE50pxD9sizGydhfZCcggrB-N0ODZaLgiw2rA4yziiNK5ZVm4t8zVPbz05RBhpgOQK90/s678/image2%20%281%29.jpeg" style="clear: right; display: block; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="452" data-original-width="678" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigXsKZTpKPZ9dppurPG589C2yNykVC57ei5Ix4EfQtpC1pGUYeXVO5Vn5W4mVoAeQwJayAuK6k9SD6PaRtdNMfYv9DpWI34JVG8t4QGBySTZk7p5GAejHyL0wfE50pxD9sizGydhfZCcggrB-N0ODZaLgiw2rA4yziiNK5ZVm4t8zVPbz05RBhpgOQK90/s320/image2%20%281%29.jpeg" width="320" /></a></div></b><div><br /></div> En 2023, au moins dix journalistes ont été menacés de mort ou soumis à des arrestations arbitraires dans la province de l’Ituri. Ce constat alarmant a été rendu public le samedi 2 novembre par l’ONG *Journaliste en danger* (JED) lors de la Journée internationale pour mettre fin à l’impunité des crimes contre les journalistes, organisée à Bunia.    </div><div><b><br /></b></div><div><b><br /></b></div><div><b>Un Appel à la Protection des Journalistes dans une Province en Crise</b></div><div><br /></div><div> JED, organisme engagé dans la défense des droits des journalistes, dénonce la précarité de la situation pour les professionnels des médias en Ituri, une région déjà durement touchée par des violences sécuritaires. L’organisation exhorte les autorités et la justice à protéger les journalistes, afin qu'ils puissent exercer leur métier en sécurité. </div><div><br /></div><div>  <b>Menaces, Kidnappings et Violences : L'Escalade des Agressions</b></div><div><br /></div><div> Les violences envers les journalistes ne cessent de croître en Ituri. Certains reporters ont été arbitrairement arrêtés et détenus dans les cellules de l’auditorat militaire, tandis que d’autres ont été enlevés par des milices locales ou attaqués par des groupes armés qui les ont dépouillés de leur matériel de travail. </div><div><br /></div><div>  <b>Impunité et Justice : </b><b>Une Lutte pour la Reconnaissance des Droits des Journalistes</b> </div><div><br /></div><div> Malgré les plaintes déposées auprès des instances judiciaires, les actes de violence restent, pour la plupart, impunis. Rachidi Koudra, journaliste pour le média en ligne *Ituri.cd* et lui-même victime d’agression, témoigne de cette impunité persistante et appelle à des actions concrètes pour garantir la sécurité des professionnels des médias en Ituri.</div>

Ituri : Les Journalistes Face aux Menaces de Mort et Arrestations Arbitraires

Ituri : Les Journalistes Face aux Menaces de Mort et Arrestations Arbitraires ---   Une Année Marquée par les Violences contre la Presse ...

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Rupture des Télécommunications à Sandoa : Une Population Isolée et en Détresse

<b>Coupure Totale de Réseau dans la Région de Sandoa</b> <div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6BjHOgdNzMY_DAeaWX0nXEWaEGEBximfTfu0lRaiPm0Uxl2Bmk9Nknp42p1uPo5QdJiHsxyU1xASroGeO7gaekNEdWbZjZQVq3H5T2qLTr4KgJ474Q421fWPAb7_mEFa5UeZfzxreO5EyWrZNJaUH0vqe193dk7lR0xKI4GE_gLcaRMeUTlK3ceAfjKU/s739/image1%20%281%29.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" data-original-height="415" data-original-width="739" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6BjHOgdNzMY_DAeaWX0nXEWaEGEBximfTfu0lRaiPm0Uxl2Bmk9Nknp42p1uPo5QdJiHsxyU1xASroGeO7gaekNEdWbZjZQVq3H5T2qLTr4KgJ474Q421fWPAb7_mEFa5UeZfzxreO5EyWrZNJaUH0vqe193dk7lR0xKI4GE_gLcaRMeUTlK3ceAfjKU/s320/image1%20%281%29.jpeg" width="320"/></a></div> Depuis plus de deux semaines, une partie du territoire de Sandoa, situé dans la province du Lualaba, est privée de réseau de télécommunications. Cette situation critique, signalée par des acteurs de la société civile locale et confirmée par plusieurs témoins à Kolwezi, oblige les habitants à parcourir des dizaines de kilomètres pour pouvoir passer un simple appel. <b>Le Témoignage de Mardochée Mbula : Une Population Coupée du Monde</b> Mardochée Mbula, président du Forum national de la jeunesse à Sandoa, témoigne de l’ampleur de la coupure : "Cela fait deux semaines et demie que nous n'avons plus accès au réseau. Les antennes des opérateurs Orange, Vodacom, et Airtel sont toutes hors service. Les services de transfert d’argent et les paiements mobiles comme Orange Money, M-Pesa, et Pepelé Mobile sont inaccessibles, paralysant ainsi les activités économiques de la région." <b>Appel au Gouvernement et aux Opérateurs de Télécommunication</b> Face à cette situation préoccupante, un appel est lancé au gouvernement, et particulièrement au ministère de la Poste, des Télécommunications, des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (PTNTIC), pour résoudre cette panne et restaurer le réseau. Les sociétés de télécommunication opérant dans la zone sont également invitées à intervenir pour alléger le quotidien des habitants de Sandoa et permettre la reprise des activités économiques et sociales.

Province Société Rupture des Télécommunications à Sandoa : Une Population Isolée et en Détresse

Coupure Totale de Réseau dans la Région de Sandoa Depuis plus de deux semaines, une partie du territoire de Sandoa, situé dans la provinc...

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Procès pour Détournement de Fonds : L'Affaire des Forages et Lampadaires à la Barre à Makala

Ce lundi 4 novembre, la Cour de cassation ouvre un procès à la prison centrale de Makala pour examiner des soupçons de détournement de fonds liés à un projet d'infrastructures de forages et d'installation de lampadaires. Cette procédure, confirmée par un document émis par le greffe pénal de cette instance judiciaire, met en cause deux accusés. Les deux personnes concernées par cette affaire sont l'ancien ministre du Développement rural, François Rubota, ainsi que Mike Kasenga, responsable du consortium Stever Construct Cameroun SARL et Sotrad Water. En revanche, Nicolas Kazadi, ministre des Finances au moment des faits, n'est pas cité dans cette convocation judiciaire. Les prévenus font face à des accusations de détournement de fonds publics, avec des soupçons de surfacturation en lien avec un contrat visant à installer des forages et à construire des stations de traitement d'eau dans plusieurs localités du pays. À l'origine, un accord signé entre le gouvernement congolais et le consortium Stever Construct Cameroun SARL - Sotrad Water prévoyait la mise en place de 1 000 stations solaires pour le pompage et le traitement d'eau potable dans autant de localités, pour un budget global avoisinant les 400 millions de dollars étalés sur une période de cinq ans. Ce dossier a pris de l'ampleur suite à la publication d'un rapport de la société civile La justice a été alertée par un rapport élaboré par l'Observatoire de la dépense publique et la Ligue congolaise contre la corruption, qui dénonçait des irrégularités financières et des montants apparemment gonflés dans ce projet de forages. Selon les informations du procureur général Firmin Mvonde, Nicolas Kazadi aurait approuvé un paiement de 71 millions de dollars pour la réalisation de 241 stations d'eau, ce qui représente un coût moyen de 294 605 dollars par station, malgré des signaux de surfacturation. Le consortium incriminé a toutefois rejeté ces accusations, affirmant que les infrastructures seraient livrées en conformité avec les termes du contrat initial. Par ailleurs, Nicolas Kazadi a souligné que le projet avait débuté sous le gouvernement précédent et a nié toute implication dans la surfacturation. Il a également précisé que les paiements effectués reposaient sur des engagements pris par son prédécesseur, José Sele Yalaghuli. La justice s'efforce désormais de clarifier cette affaire, avec l'objectif de localiser les forages installés pour le compte de l’État et de déterminer le coût réel de ces installations.<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiy0CYNwS1GaZ_8NpRD07eWhdT2m_uClKT9cIrH1CPvJNCOWXcXnGAlbWtrQyF60R1uNr_QTbEtYlq3cfbe3XStFN4SjG7ZqyPAg4IMirjG-MgYFtGiTAC4-82IP35iD-f_UeKZy01vNb8i2GtogwU-iITpZ6MFMGYJdAwKdbbszzKktv_umlH9NNOd38E/s739/image0%20%283%29.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" data-original-height="415" data-original-width="739" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiy0CYNwS1GaZ_8NpRD07eWhdT2m_uClKT9cIrH1CPvJNCOWXcXnGAlbWtrQyF60R1uNr_QTbEtYlq3cfbe3XStFN4SjG7ZqyPAg4IMirjG-MgYFtGiTAC4-82IP35iD-f_UeKZy01vNb8i2GtogwU-iITpZ6MFMGYJdAwKdbbszzKktv_umlH9NNOd38E/s320/image0%20%283%29.jpeg" width="320"/></a></div>

Justice Procès pour Détournement de Fonds : L'Affaire des Forages et Lampadaires à la Barre à Makala

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M23: La localité de Kamandi-Gite tombe aux mains des rebelles du M23, exacerbant la crise humanitaire dans le territoire de Lubero

La localité de Kamandi-Gite tombe aux mains des rebelles du M23, exacerbant la crise humanitaire dans le territoire de Lubero Ce dimanche 3 novembre, la localité stratégique de Kamandi-Gite, située sur la rive ouest du lac Édouard, dans la chefferie des Batangi, territoire de Lubero, est passée sous le contrôle des rebelles du M23. L’offensive, menée depuis les environs de Kirumba, a été déclenchée aux premières heures de la journée, avec des forces rebelles lourdement armées soutenues par l’armée rwandaise, selon plusieurs sources locales. D’après des témoins, l’assaut a débuté vers 3 heures du matin, lorsque les rebelles ont attaqué simultanément les positions tenues par les combattants Wazalendo, qui contrôlaient jusqu’alors cette région. Bien que le bilan de ces affrontements reste inconnu, leur intensité a contraint les Wazalendo à se replier vers les collines environnantes, laissant Kamandi-Gite aux mains du M23. La population locale, déjà marquée par les violences répétées, craint de nouvelles vagues d’affrontements, alors que des milliers de personnes ont dû une fois de plus abandonner leurs foyers pour fuir les hostilités. La prise de Kamandi-Gite revêt une importance stratégique pour les rebelles du M23, leur offrant un accès direct au sud du territoire de Lubero et à la côte sud-ouest du lac Édouard, facilitant ainsi une jonction avec le territoire voisin de Rutshuru. Cette avancée pourrait permettre aux forces rebelles d’étendre leur influence dans la région et de renforcer leurs positions. Ces événements surviennent à peine deux jours après une attaque des Wazalendo près de la cité de Kirumba, signe de la tension persistante entre ces deux factions armées qui s’affrontent régulièrement dans cette zone. Alors que les Wazalendo pourraient envisager une contre-attaque, la situation sécuritaire demeure extrêmement précaire, exposant davantage la population civile aux souffrances et aux déplacements forcés. <div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEihS0FK3LFaV89Lgml1uO55LAR3haSk-Q1oEXx4kyn69I5zWwKxbniQcPzog-6Dqg-qOiIjRBombq1Iw2NQnlJEth7H5mnzAIQ9zeaqArkJus3Snw_tJroNcpAWS2sOHkGXAUYRIWNCsY7EM6x6-4fCWmwP2qhJ4RN2ZVsn1DNjy9v7YBRLbvl_9sDLVY0/s408/IMG_1415.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" data-original-height="210" data-original-width="408" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEihS0FK3LFaV89Lgml1uO55LAR3haSk-Q1oEXx4kyn69I5zWwKxbniQcPzog-6Dqg-qOiIjRBombq1Iw2NQnlJEth7H5mnzAIQ9zeaqArkJus3Snw_tJroNcpAWS2sOHkGXAUYRIWNCsY7EM6x6-4fCWmwP2qhJ4RN2ZVsn1DNjy9v7YBRLbvl_9sDLVY0/s320/IMG_1415.jpeg" width="320"/></a></div>

M23: La localité de Kamandi-Gite tombe aux mains des rebelles du M23, exacerbant la crise humanitaire dans le territoire de Lubero

La localité de Kamandi-Gite tombe aux mains des rebelles du M23, exacerbant la crise humanitaire dans le territoire de Lubero Ce dimanche 3...

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Justice congolaise : Démantèlement d’un réseau de faussaires impliqué dans un conflit foncier

<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9ALIsz9nO7_RmGeJcRi1kR8v0DKYmRQMIzk5u4JUR_NtW75_7lOFRp6ZGYatCbzqBB8fj-D-nKQrqIBLsUGe_1BBT2upaAMxiFEKixjFPllxCwLaK3RzQDunijNoAFyJhbhsyXKa2sfWnNtueOtPV_9wrv0XR71_q9edZN4ShPYZlR-AtHvWUCtU0XsY/s600/IMG_1414.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" data-original-height="400" data-original-width="600" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9ALIsz9nO7_RmGeJcRi1kR8v0DKYmRQMIzk5u4JUR_NtW75_7lOFRp6ZGYatCbzqBB8fj-D-nKQrqIBLsUGe_1BBT2upaAMxiFEKixjFPllxCwLaK3RzQDunijNoAFyJhbhsyXKa2sfWnNtueOtPV_9wrv0XR71_q9edZN4ShPYZlR-AtHvWUCtU0XsY/s320/IMG_1414.jpeg" width="320"/></a></div> Trois individus soupçonnés de faire partie d’un “réseau mafieux de faussaires” ont été arrêtés en République Démocratique du Congo, dans le cadre d’une affaire de conflit foncier. Parmi les suspects figure un homme se présentant comme avocat, accusé d’avoir usurpé l’identité de feu M. Jean-Pierre Kabengele pour servir des intérêts frauduleux. L’arrestation a été ordonnée samedi par le ministre de la Justice et garde des Sceaux de la RDC, dans le cadre d’une enquête visant à mettre au jour les pratiques illicites de ce réseau. Selon un communiqué du cabinet du ministre, cette manœuvre visait à exclure les héritiers de Kabengele Dibwe de leur droit légitime à une indemnisation, après l’exploitation non autorisée de leur concession minière à Fungurume par la société Tenge Fungurume Mining.

Justice congolaise : Démantèlement d’un réseau de faussaires impliqué dans un conflit foncier

Trois individus soupçonnés de faire partie d’un “réseau mafieux de faussaires” ont été arrêtés en République Démocratique du Congo, dans l...

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Projet de Loi de Finances 2025 : Vers une Priorité Renforcée pour les Secteurs Sociaux en RDC

<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-APZ9dgqd9n-Q6zCxdrhH4GOVn-ET7RNV5J2CR91sfKwgN4rIp_yNGRYkbtg6mk9KuC_yhfxiQnVggZvQMWJi2WBktSbdUxdr8yGDwgVibEBuqc7Opyb_pIk0yV5Zt6m1iYQyVxCHBsKEP8Q7GhB9YOk-55VEc_BfNYZTeV7tYmBeQrk8wxq9L8v4iZs/s854/IMG_1408.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; clear: right; float: right;"><img alt="" border="0" data-original-height="550" data-original-width="854" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-APZ9dgqd9n-Q6zCxdrhH4GOVn-ET7RNV5J2CR91sfKwgN4rIp_yNGRYkbtg6mk9KuC_yhfxiQnVggZvQMWJi2WBktSbdUxdr8yGDwgVibEBuqc7Opyb_pIk0yV5Zt6m1iYQyVxCHBsKEP8Q7GhB9YOk-55VEc_BfNYZTeV7tYmBeQrk8wxq9L8v4iZs/s320/IMG_1408.jpeg" width="320"/></a></div> Le projet de loi de finances 2025 de la République Démocratique du Congo (RDC) est estimé à environ 18 milliards de dollars, marquant une ambition renouvelée pour soutenir le développement social et économique du pays. Présenté par la Première Ministre, Judith Suminwa, ce budget prévoit une augmentation significative des allocations destinées aux secteurs sociaux essentiels, visant à répondre aux besoins croissants de la population. <b>Une augmentation des budgets pour les secteurs de base</b> Dans sa présentation, la cheffe du gouvernement a mis en avant des progrès notables pour les budgets alloués aux secteurs sociaux de base. En 2025, le secteur de la santé bénéficiera de 14,5 % du budget, contre 10,8 % en 2021, une augmentation significative qui reflète l’engagement de l’État à améliorer les infrastructures de santé, à renforcer les services hospitaliers et à garantir un meilleur accès aux soins pour tous. Le secteur de l’agriculture, autre pilier fondamental du développement en RDC, est également revalorisé. Il recevra 12,7 % du budget, marquant une progression par rapport aux 8,6 % alloués en 2021. Cette allocation vise à soutenir la production agricole, à renforcer la sécurité alimentaire et à favoriser l’autosuffisance alimentaire, un enjeu crucial dans un pays où l’agriculture représente une importante source de subsistance pour de nombreuses familles. <b>L’éducation, toujours une priorité majeure malgré une légère baisse</b> L’éducation, qui demeure un secteur prioritaire, se voit allouer 18,4 % du budget pour 2025, soit un niveau légèrement inférieur aux 20,5 % de 2021. Bien que cette réduction puisse sembler modeste, le pourcentage reste important, témoignant de l’attention continue accordée à ce secteur stratégique. Le gouvernement entend ainsi continuer à investir dans la formation des enseignants, l’amélioration des infrastructures scolaires, et l’accès à une éducation de qualité pour les jeunes générations. <b> Une vision orientée vers le développement durable</b> Avec ce projet de loi de finances, le gouvernement Suminwa démontre sa volonté de renforcer les investissements dans des secteurs clés pour le bien-être de la population. Ces augmentations traduisent une vision de développement durable, visant à réduire les inégalités, à améliorer la qualité de vie, et à promouvoir une croissance inclusive. Le projet de loi de finances 2025 marque une nouvelle étape pour la RDC, avec un budget orienté vers les priorités sociales de base. La hausse des allocations pour la santé et l’agriculture, combinée au maintien d’un niveau élevé pour l’éducation, reflète l’engagement du gouvernement à répondre aux attentes de la population et à construire un avenir plus stable et prospère. Ce projet, qui doit encore être examiné par le Parlement, incarne l’ambition de la RDC de se doter d’institutions solides et de services publics capables de soutenir un développement durable et équitable.

Projet de Loi de Finances 2025 : Vers une Priorité Renforcée pour les Secteurs Sociaux en RDC

Le projet de loi de finances 2025 de la République Démocratique du Congo (RDC) est estimé à environ 18 milliards de dollars, marquant une ...

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Jonas Mukamba Kadiata Nzemba : à 93 ans, une figure emblématique de la politique congolaise toujours au service de l’unité nationale

À 93 ans, Jonas Mukamba Kadiata Nzemba continue d’incarner une figure incontournable et respectée de la scène politique congolaise. Avec une carrière étendue sur plusieurs décennies, ce vétéran du service public a su marquer de son empreinte les institutions congolaises, contribuant à la stabilité politique et à la défense des intérêts nationaux. Aujourd’hui, il occupe un rôle clé au sein du Sénat de la RDC, où il préside le Comité de Conciliation et d’Arbitrage, une fonction de grande importance visant à renforcer la cohésion et à résoudre les différends au sein de l’institution. <b>Une carrière dédiée à la politique et au service public</b> Jonas Mukamba Kadiata Nzemba n’a cessé de jouer un rôle essentiel dans la vie publique congolaise. Diplômé en sciences politiques de la Belgique, il a consacré son expertise à la gouvernance et au développement de son pays. Dès les premières années de l’indépendance, Mukamba a été appelé à occuper des postes de hautes responsabilités, gagnant la confiance de plusieurs gouvernements successifs grâce à son sens du devoir et à sa capacité à naviguer dans les eaux souvent tumultueuses de la politique congolaise. L’un des points marquants de sa carrière a été son rôle de directeur de la Société Minière de Bakwanga (MIBA), l’une des principales entreprises minières du pays. La MIBA, spécialisée dans l’extraction de diamants, est un pilier économique en RDC. À sa tête, Mukamba a travaillé à maximiser les retombées économiques pour le pays tout en promouvant une gestion efficace des ressources. Son expertise dans ce secteur a permis de consolider la place de la RDC dans l’industrie minière internationale. <b>Un acteur influent dans le sport congolais</b> Outre son implication dans la politique et les affaires, Mukamba est également connu pour son attachement au sport, en particulier au football. En tant qu’ancien président du club de football DC Motema Pembe, l’un des clubs les plus populaires et titrés de la RDC, il a largement contribué à la promotion du sport dans le pays. Sous sa direction, le club a connu des périodes de succès qui ont renforcé son prestige national et régional. Mukamba a vu le sport comme un moyen d’unir les Congolais, de créer des liens entre les communautés et de promouvoir les valeurs d’effort et de discipline, essentielles pour le développement national. <b>Un sage au sein du Sénat pour renforcer la cohésion</b> Aujourd’hui, en tant que président du Comité de Conciliation et d’Arbitrage au Sénat, Mukamba est investi d’une mission d’une grande importance : celle de résoudre les conflits entre les membres de l’institution et de préserver la cohésion dans un contexte politique souvent marqué par des tensions. Ce rôle exige une profonde connaissance des dynamiques politiques internes et un sens aigu de la diplomatie, des qualités que Mukamba a développées tout au long de sa carrière. Son expérience lui permet de jouer le rôle de médiateur, offrant des perspectives et des solutions aux différends qui pourraient nuire à la stabilité du Sénat et aux prises de décisions essentielles pour le pays. Sa fonction est particulièrement précieuse dans une période où l’unité et la réconciliation sont cruciales pour relever les défis politiques et économiques de la RDC. <b>Un modèle de continuité et d’expérience pour la nouvelle génération</b> Jonas Mukamba Kadiata Nzemba incarne une continuité précieuse pour la politique congolaise. À l’heure où la RDC fait face à des enjeux majeurs en matière de gouvernance et de développement, il demeure une source d’inspiration pour les jeunes générations. Son parcours est celui d’un homme dévoué à la cause publique, d’un leader capable de combiner expérience et sagesse pour guider le pays vers la stabilité. Mukamba est également un symbole de résilience et de persévérance, des valeurs qui font de lui un modèle pour tous ceux qui aspirent à œuvrer pour le bien commun. En dépit de son âge, il continue de servir avec dévouement, prouvant que l’engagement envers son pays ne connaît ni limite de temps ni limite d’effort. <div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVQI81fZue6x_H9L1pAGqxe8hmSFF5c4Uzw0v5MAOhlEc4BgtRJazukHCZuXPPQlSHdPcw6ddGGgctZl4ogRfS6iYntTCSR7xX2XMh_W8Y8f6Ai2TiVj1EEABSgi9cfJsg7wjj-w5OpuVCZWR6yqnMwUYaw0KPbOps9urBRfLSe_JWcVaT660qznxBpx8/s800/IMG_1403.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVQI81fZue6x_H9L1pAGqxe8hmSFF5c4Uzw0v5MAOhlEc4BgtRJazukHCZuXPPQlSHdPcw6ddGGgctZl4ogRfS6iYntTCSR7xX2XMh_W8Y8f6Ai2TiVj1EEABSgi9cfJsg7wjj-w5OpuVCZWR6yqnMwUYaw0KPbOps9urBRfLSe_JWcVaT660qznxBpx8/s320/IMG_1403.jpeg" width="320"/></a></div>

Jonas Mukamba Kadiata Nzemba : à 93 ans, une figure emblématique de la politique congolaise toujours au service de l’unité nationale

À 93 ans, Jonas Mukamba Kadiata Nzemba continue d’incarner une figure incontournable et respectée de la scène politique congolaise. Avec u...

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Rutshuru : Le Colonel Ernest Sebagenzi Pointé du Doigt dans le Massacre de 15 Civils par les Rebelles M23-AFC à Kiseguro et Katwiguru

<p> Le territoire de Rutshuru, dans le Nord-Kivu, est de nouveau endeuillé par un acte de barbarie insoutenable. Quinze civils sans défense du groupement de Binza ont été assassinés par les rebelles de la coalition M23-AFC, renforcée par des supplétifs de l’armée rwandaise. Ces événements tragiques, rapportés par le Collectif des Victimes de l’Agression Rwandaise (CVAR), soulèvent l'indignation générale.</p><p><br /></p><p>Ce massacre a eu lieu le 31 octobre 2024, alors que ces rebelles prétendaient mener une « patrouille de traque » des FDLR dans les champs des localités de Kiseguro et Katwiguru, situées à près de 20 km de Kiwanja. Cependant, ces assaillants ont pris pour cible des civils innocents, des agriculteurs sans armes, dont le seul « crime » était de vivre de leurs champs. Selon Aimable Gafurura, communicateur du CVAR, ces attaques barbares ont été orchestrées sous le commandement du Colonel Ernest Sebagenzi, un haut responsable du M23.</p><p><br /></p><p><b>Une Tristesse Incommensurable pour les Familles Congolaises</b></p><p><br /></p><p>La population locale, majoritairement agricultrice et pacifique, se trouvait en pleine activité champêtre dans la localité de Busesa lorsque le M23 a décidé de les assimiler aux FDLR. Le CVAR rapporte avec consternation que ces Congolais non agressifs, des pères et mères de famille travaillant pour leur subsistance, ont été tués sauvagement sous les ordres de Sebagenzi. Ce massacre n’est qu’un acte de plus dans la longue liste des atrocités commises par les rebelles du M23 dans les zones occupées.</p><p><br /></p><p><b>Appel à la Communauté Internationale et Nationale</b></p><p><br /></p><p>Face à cette tragédie, Aimable Gafurura a appelé la communauté nationale et internationale à prendre des mesures décisives pour mettre un terme à ces violences insoutenables. « Nous demandons à la communauté internationale, qui jusqu'à présent reste silencieuse, de s’impliquer et d’agir pour mettre fin à cette barbarie rwandaise qui se déroule sur le sol congolais », a-t-il déclaré avec fermeté.</p><p><br /></p><p>Le CVAR exige également que des sanctions sévères soient appliquées contre les responsables de ces massacres et autres abus des droits humains dans les territoires sous occupation. Le silence de la communauté internationale face aux souffrances du peuple congolais est un affront aux valeurs de justice et d’humanité que nous devons défendre sans compromis.</p><p><br /></p><p><b>Une Révolte Juste pour la Dignité et la Justice de la RDC</b></p><p><br /></p><p>Sangoyacongo.com réitère son soutien indéfectible aux voix patriotiques qui luttent pour la dignité de la RDC. Les Congolais ne resteront pas silencieux face à ces atrocités. La justice et la paix en République Démocratique du Congo ne peuvent être repoussées plus longtemps. Il est grand temps que ceux qui foulent aux pieds nos droits et nos vies répondent de leurs actes devant le tribunal de la justice internationale.</p>

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 Le territoire de Rutshuru, dans le Nord-Kivu, est de nouveau endeuillé par un acte de barbarie insoutenable. Quinze civils sans défense du ...

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Partenariat stratégique : La Task-Force RDC-Chine identifie des secteurs clés pour la croissance économique

<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilg3BaSqqX_Gzon_-boz03I1rggk2FtO9bA802oIxM7UQBcj_yWTAH0N_Jy_IEm2_OcfB2tYPnb4HOZgIoTLFTOs0y4A3pT4Tye31ABcoA37_FyFu4aLz6wwqErH2NH-0OzpQRBc5tgw0ec0FdiqDXfN5kDbl9hZL5Fj8Dxk5wg8RajGqeT8xJtVleQmM/s828/IMG_1354.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; clear: right; float: right;"><img alt="" border="0" data-original-height="471" data-original-width="828" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilg3BaSqqX_Gzon_-boz03I1rggk2FtO9bA802oIxM7UQBcj_yWTAH0N_Jy_IEm2_OcfB2tYPnb4HOZgIoTLFTOs0y4A3pT4Tye31ABcoA37_FyFu4aLz6wwqErH2NH-0OzpQRBc5tgw0ec0FdiqDXfN5kDbl9hZL5Fj8Dxk5wg8RajGqeT8xJtVleQmM/s320/IMG_1354.jpeg" width="320"/></a></div> Kinshasa a accueilli, vendredi dernier, la troisième réunion de la Task-Force mise en place par le président Félix-Antoine Tshisekedi pour renforcer les partenariats stratégiques entre la République Démocratique du Congo (RDC) et la Chine. Cette rencontre a rassemblé les membres du gouvernement dirigés par le ministre d’État SUMINWA et des représentants d’entreprises chinoises. L’objectif principal de cette Task-Force est de définir des axes de collaboration pour stimuler la croissance économique de la RDC. <b>Des secteurs économiques porteurs pour un partenariat renforcé</b> Au cœur des discussions figuraient les secteurs économiques jugés porteurs de croissance et de développement pour la RDC. Les échanges ont notamment porté sur les infrastructures, l’agriculture, l’énergie, les chemins de fer, la recherche scientifique, ainsi que le numérique. Chacun de ces domaines représente un potentiel important pour le développement durable et la modernisation de l’économie congolaise. Les infrastructures, essentielles pour désenclaver les régions et faciliter le transport de biens et de services, ont particulièrement retenu l’attention. Les entreprises chinoises se sont engagées à apporter leur expertise et leurs technologies pour répondre aux besoins grandissants de la RDC en matière de routes, de ponts et de construction. En parallèle, le secteur ferroviaire fait partie des priorités pour renforcer le réseau de transport intérieur et régional. <b>L’énergie et l’agriculture au centre des priorités</b> Les discussions ont également mis en avant l’énergie et l’agriculture, des secteurs cruciaux pour assurer la sécurité énergétique et alimentaire de la RDC. Le développement de projets dans ces domaines pourrait contribuer à réduire la dépendance aux importations et à améliorer les conditions de vie des populations. Les entreprises chinoises sont appelées à investir dans des projets de production d’énergie renouvelable, tels que l’hydroélectricité et le solaire, tout en soutenant l’expansion de l’agriculture pour transformer le potentiel agricole du pays en moteur de croissance. <b>La recherche scientifique et le numérique pour une RDC connectée</b> Dans le cadre de la modernisation et de la diversification de l’économie congolaise, la recherche scientifique et le numérique occupent une place centrale dans cette Task-Force. Le gouvernement cherche à positionner la RDC comme un acteur compétitif dans les domaines des nouvelles technologies et de l’innovation. La Chine, avec son expertise avancée dans ces secteurs, pourrait jouer un rôle majeur dans le développement de projets de recherche et l’intégration du numérique dans les services publics, l’éducation, et le secteur privé. <b>Cette troisième réunion de la Task-Force</b> marque un pas important vers le renforcement du partenariat stratégique entre la RDC et la Chine. En ciblant des secteurs clés pour le développement, cette collaboration vise à créer des opportunités de croissance durable et à poser les bases d’une économie moderne et compétitive en RDC. Le soutien des entreprises chinoises dans ces projets promet des retombées positives pour le pays, tout en consolidant les liens entre Kinshasa et Pékin dans un cadre gagnant-gagnant.

Partenariat stratégique : La Task-Force RDC-Chine identifie des secteurs clés pour la croissance économique

Kinshasa a accueilli, vendredi dernier, la troisième réunion de la Task-Force mise en place par le président Félix-Antoine Tshisekedi pour...

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Révélation : Shaguy Sharufa se confie sur ses 32 années de mysticisme aux côtés du légendaire Papa Wemba

<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEisrOBY3nRlOtfYQCa0UMMMF9F2BPgbXxahzLQgREXpjp6rUojDf4cp-A8Fv5_MGrAjJyuFzkmGVeOySuf1LoxO7zRJ0NVTlx5k0b6MhDcMcv3Bh9AQYE2Ym9kXFnW_J56u-JRmT6XS_6gr6rhSDG-YlFWIOhoICmnjMsRpK9YzivLHQf4TgyN0tdc0XQs/s828/IMG_1393.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="500" data-original-width="828" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEisrOBY3nRlOtfYQCa0UMMMF9F2BPgbXxahzLQgREXpjp6rUojDf4cp-A8Fv5_MGrAjJyuFzkmGVeOySuf1LoxO7zRJ0NVTlx5k0b6MhDcMcv3Bh9AQYE2Ym9kXFnW_J56u-JRmT6XS_6gr6rhSDG-YlFWIOhoICmnjMsRpK9YzivLHQf4TgyN0tdc0XQs/s320/IMG_1393.jpeg" width="320" /></a></div><p><br /></p><p><span style="font-size: medium;">Dans une interview exclusive, Shaguy Sharufa, proche collaboratrice et ancienne compagne du légendaire Papa Wemba, se livre sur les années passées aux côtés de l’icône de la musique congolaise. Plus qu’une simple partenaire de scène, Shaguy dévoile l’intimité d’une relation où mysticisme, passion et art se mêlaient en harmonie.</span></p><p><strong><span style="font-size: medium;">Une connexion spirituelle qui transcende la musique</span></strong></p><p><span style="font-size: medium;">Papa Wemba, figure centrale de la culture congolaise et leader incontesté du mouvement de la « Sape », était reconnu pour son charisme et son aura mystique. Shaguy Sharufa révèle comment cette fascination pour la spiritualité a influencé non seulement sa musique, mais également leurs moments les plus personnels. Selon elle, des rituels symboliques et des partages spirituels ont forgé une dimension unique dans leur relation, conférant à la musique de Papa Wemba une profondeur souvent méconnue du grand public.</span></p><p><strong><span style="font-size: medium;">Un lien indéfectible de plus de trois décennies</span></strong></p><p><span style="font-family: arial;"><span>P</span><span>our Shaguy, ces 32 ans aux côtés de Papa Wemba dépassaient le cadre de la scène. Elle partage avec émotion des anecdotes inédites, racontant comment la quête de mysticisme de l’artiste influençait leurs choix de vie et d’art. Shaguy se décrit comme un témoin privilégié de cette dualité entre l’homme et la légende, dans une complicité où elle et Papa Wemba se retrouvaient autour d’idéaux artistiques et spirituels communs.</span></span></p><div class="adn ads" data-legacy-message-id="192f896b90895e83" data-message-id="#msg-f:1814820269933026947" style="background-color: white; border-left: none; color: #222222; display: flex; padding: 0px;"><div class="gs" style="margin: 0px; min-width: 0px; padding: 0px 0px 20px; width: initial;"><div><div class="ii gt" id=":g9" jslog="20277; u014N:xr6bB; 1:WyIjdGhyZWFkLWY6MTgxNDgyMDI2OTkzMzAyNjk0NyJd; 4:WyIjbXNnLWY6MTgxNDgyMDI2OTkzMzAyNjk0NyIsbnVsbCxudWxsLG51bGwsbnVsbCxudWxsLG51bGwsbnVsbCxudWxsLG51bGwsbnVsbCxudWxsLG51bGwsbnVsbCxudWxsLG51bGwsbnVsbCxudWxsLG51bGwsbnVsbCxudWxsLG51bGwsbnVsbCxudWxsLDBd" style="direction: ltr; margin: 8px 0px 0px; overflow-x: hidden; padding: 0px; position: relative;"><div class="a3s aiL" id=":f2" style="direction: ltr; font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-optical-sizing: auto; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; font-variant-position: normal; font-variation-settings: normal; line-height: 1.5; overflow: auto hidden; position: relative;"><div dir="auto"><p style="font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: arial;">Dans une interview récente, Shaguy Sharufa a fait des déclarations intrigantes et saisissantes sur ses années auprès de Papa Wemba et le légendaire groupe Viva La Musica, soulevant un voile sur le mysticisme supposé qui entourait la réussite de ce collectif musical. </span></p><p style="font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: arial;">Selon ses propos, les membres de Viva La Musica se seraient retrouvés à plusieurs reprises à minuit au cimetière de Ngiri Ngiri pour pratiquer des rituels occultes. À la recherche de tombes de personnes n'étant pas mortes en tant que chrétiens, ils invoquaient des esprits, et c'est dans ce cadre que Shaguy Sharufa affirme avoir intronisé Papa Wemba comme chef du « Village Molokai. »</span></p><p style="font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: arial;">Ces révélations vont plus loin, Shaguy affirmant qu'elle exerçait un pouvoir de domination sur Papa Wemba, au point de prendre des décisions influentes concernant sa vie, même devant sa propre femme. Elle aurait eu le pouvoir de l'emmener en voyage sans aucune opposition de son entourage, renforçant son influence sur l'artiste.</span></p><p style="font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: black; font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: arial;">D’autres aspects de sa vie sont tout aussi frappants. Elle affirme qu’à l’âge de 8 ans, elle a été habitée par une entité « déesse » de la planète Mars et par un serpent de 32 mètres. Parmi les récits étranges, elle évoque également avoir remplacé un enfant dans le ventre de sa mère, un acte qui suscite de nombreuses interrogations sur son parcours mystique et sur l’impact de ses actions.</span></p><p style="color: black; font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; line-height: normal; margin: 0px; min-height: 16.7px;"><span face="".SFUI-Regular"" style="font-family: arial;"></span></p><div class="yj6qo"></div><div class="adL" dir="ltr"></div></div></div></div><div class="WhmR8e" data-hash="0" style="clear: both;"></div></div></div><div class="ajx" style="clear: both;"></div></div><div class="gA gt acV" style="background: rgb(255, 255, 255); border-bottom-left-radius: 0px; border-bottom-right-radius: 0px; border-top: none; color: #222222; font-family: "Google Sans", Roboto, RobotoDraft, Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 0.875rem; margin: 0px; padding: 0px; width: auto;"><div class="gB xu" jslog="184332; u014N:xr6bB;" style="border-top: 0px; padding: 0px;"><div class="ip iq" style="border-top: none; clear: both; margin: 0px; padding: 16px 0px;"><div id=":g8"><table class="cf wS" role="presentation" style="border-collapse: collapse;"><tbody><tr><td class="amq" style="margin: 0px; padding: 0px 16px; vertical-align: top; visibility: hidden; width: 44px;"><img class="ajn bofPge" data-hovercard-id="cendrillondughetto7@gmail.com" id=":1j_20" jid="cendrillondughetto7@gmail.com" name=":1j" src="https://lh3.googleusercontent.com/a/ACg8ocJ4_n_MUs2jaxR5zMHQAhiT_eWdX9INHdbfO5pAihQcJdgVlw=s80-p-mo" style="border-radius: 50%; display: block; height: 40px; width: 40px;" /></td><td class="amr" style="margin: 0px; padding: 0px; width: 810px;"><div class="nr wR" style="border-radius: 1px; border: none; box-sizing: border-box; color: #222222; margin: 0px; padding: 0px; transition: none;"><div class="amn" style="-webkit-box-align: center; align-items: center; display: flex; height: auto; line-height: 20px; padding: 0px;"><span class="ams bkH" id=":ey" jslog="21576; u014N:cOuCgd,Kr2w4b; 1:WyIjdGhyZWFkLWY6MTgxNDgyMDI2OTkzMzAyNjk0NyJd; 4:WyIjbXNnLWY6MTgxNDgyMDI2OTkzMzAyNjk0NyIsbnVsbCxudWxsLG51bGwsMSwwXQ.." role="link" style="-webkit-box-align: center; -webkit-box-pack: center; -webkit-font-smoothing: antialiased; -webkit-user-drag: none; align-items: center; background: none; border-radius: 18px; border: 1px solid rgb(116, 119, 117); box-shadow: none; box-sizing: border-box; color: #444746; cursor: pointer; display: inline-flex; height: 36px; justify-content: center; margin-right: 8px; min-width: 104px; outline: none; padding: 0px 16px 0px 12px; position: relative; user-select: none; z-index: 0;" tabindex="0"><span style="font-family: arial;">Reply</span></span><span class="ams bkG" id=":f0" jslog="21578; u014N:cOuCgd,Kr2w4b; 1:WyIjdGhyZWFkLWY6MTgxNDgyMDI2OTkzMzAyNjk0NyJd; 4:WyIjbXNnLWY6MTgxNDgyMDI2OTkzMzAyNjk0NyIsbnVsbCxudWxsLG51bGwsMSwwXQ.." role="link" style="-webkit-box-align: center; -webkit-box-pack: center; -webkit-font-smoothing: antialiased; -webkit-user-drag: none; align-items: center; background: none; border-radius: 18px; border: 1px solid rgb(116, 119, 117); box-shadow: none; box-sizing: border-box; color: #444746; cursor: pointer; display: inline-flex; height: 36px; justify-content: center; margin-right: 8px; min-width: 104px; outline: none; padding: 0px 16px 0px 12px; position: relative; user-select: none; z-index: 0;" tabindex="0"><span style="font-family: arial;">Forward</span></span><div class="wrsVRe" data-position="dynamic" jsaction="JIbuQc:KjsqPd;" jscontroller="m4ISld"><span data-is-tooltip-wrapper="true"><button aria-label="Add reaction" class="jWOS7-JX-I jWOS7-JX-I-ql-ay5-ays LS5phe" data-idom-class="LS5phe" data-tooltip-classes="JAAUkb" data-tooltip-enabled="true" data-tooltip-id="tt-c227" data-use-native-focus-logic="true" jsaction="click:h5M12e; clickmod:h5M12e;pointerdown:FEiYhc;pointerup:mF5Elf;pointerenter:EX0mI;pointerleave:vpvbp;pointercancel:xyn4sd;contextmenu:xexox;focus:h06R8; 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top: 18px; transform: translateY(-50%); z-index: 1;"></div></span></button><div aria-hidden="true" class="ne2Ple-oshW8e-J9" id="tt-c227" role="tooltip" style="height: 1px; inline-size: 1px; left: -10000px; overflow: hidden; position: absolute; top: auto; user-select: none;">Add reaction</div></span></div></div></div></td></tr></tbody></table></div></div></div></div>

Musique Révélation : Shaguy Sharufa se confie sur ses 32 années de mysticisme aux côtés du légendaire Papa Wemba

Dans une interview exclusive, Shaguy Sharufa, proche collaboratrice et ancienne compagne du légendaire Papa Wemba, se livre sur les années p...

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Transport : La RDC relance le permis de conduire biométrique pour lutter contre la fraude

<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgt6HDsN5FC8oYGF60CLHSpUXbyxi3cYJ0RyqB5zVA1rXkQ9WblVBgLkBQDooStbPTSHsjnRFmXThPC7642vusqofn6Z98MjDLbCklTrY9rCa09VC-eeQ_N5Z0P7Bpv-HY-560vW9Eh0DNOMtAjEs2AfSvJVcPaNOKNjmDnpqTGXCo2WWiOOjR87pFCMSo/s828/51d91633-496c-4f2b-a26f-34723f08c1f8.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" data-original-height="545" data-original-width="828" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgt6HDsN5FC8oYGF60CLHSpUXbyxi3cYJ0RyqB5zVA1rXkQ9WblVBgLkBQDooStbPTSHsjnRFmXThPC7642vusqofn6Z98MjDLbCklTrY9rCa09VC-eeQ_N5Z0P7Bpv-HY-560vW9Eh0DNOMtAjEs2AfSvJVcPaNOKNjmDnpqTGXCo2WWiOOjR87pFCMSo/s320/51d91633-496c-4f2b-a26f-34723f08c1f8.jpeg" width="320"/></a></div> Le vendredi dernier, lors du Conseil des ministres, la République Démocratique du Congo a décidé de relancer le processus d’émission du permis de conduire biométrique, un projet qui vise à moderniser et sécuriser l’obtention de ce document. Cette initiative, portée par le ministre des Transports, des Voies de communication et du Désenclavement, entend renforcer la sécurité du système en introduisant des caractéristiques biométriques, notamment une puce électronique. <b>Un permis de conduire biométrique pour plus de sécurité</b> Le nouveau permis de conduire biométrique comportera des éléments de sécurité avancés, incluant une puce qui contiendra les données personnelles du détenteur, réduisant ainsi les risques de fraude et de falsification. Cette technologie permettra aux autorités de vérifier l’authenticité des informations en temps réel, garantissant une meilleure gestion et un suivi efficace des conducteurs à travers le pays. Selon le ministre des Transports, cette mesure est essentielle pour lutter contre la prolifération de faux permis de conduire et améliorer la sécurité routière. « Ce projet vise à moderniser et sécuriser le processus d’obtention du permis de conduire en introduisant des caractéristiques biométriques qui permettront de lutter plus efficacement contre la fraude et les faux documents », a-t-il affirmé. <b>Des avantages pour les citoyens et l’administration</b> Pour les citoyens, ce permis de conduire biométrique représentera une avancée majeure. En plus de réduire les longues démarches administratives, cette technologie offrira un niveau de sécurité plus élevé pour leurs informations personnelles. Les données contenues dans la puce seront protégées et leur vérification facilitée pour les forces de l’ordre, assurant ainsi une meilleure régulation du secteur du transport. Sur le plan administratif, cette réforme facilitera la gestion des permis de conduire en centralisant les données au niveau national, ce qui permettra aux autorités de mieux contrôler le respect des règles de conduite et d’identifier rapidement les conducteurs en infraction. En outre, elle devrait contribuer à assainir le secteur du transport en éliminant les faux permis de conduire, rendant les routes plus sûres pour tous. <b>Un projet pour moderniser le secteur du transport en RDC</b> La mise en place de ce permis biométrique s’inscrit dans une série de réformes visant à moderniser le secteur du transport en RDC. En plus de renforcer la sécurité des documents officiels, le gouvernement souhaite également désenclaver certaines régions du pays et améliorer la mobilité des citoyens. Ce projet représente donc un pas important vers la modernisation des services administratifs en RDC. En combinant technologie et sécurité, le gouvernement cherche à se rapprocher des standards internationaux et à assurer une gestion plus efficace du transport dans le pays. Avec la relance de l’émission du permis de conduire biométrique, la RDC s’engage dans une dynamique de transformation visant à sécuriser les documents officiels et à assainir le secteur du transport. Cette mesure pourrait marquer un tournant décisif pour la sécurité routière et le développement administratif du pays, tout en offrant aux citoyens un service modernisé et plus fiable.

Transport : La RDC relance le permis de conduire biométrique pour lutter contre la fraude

Le vendredi dernier, lors du Conseil des ministres, la République Démocratique du Congo a décidé de relancer le processus d’émission du pe...

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Les-à-côtés de la plénière : Matata Ponyo face aux accusations de l’IGF sur le projet Bukanga Lonzo

<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyLSbtytxJ4FFM260vBAZA0axRbaUyXIh8yI6wLGbWcP3OCmZHRwcS6tbPBsDQU82UVq7SD_7zmKSZcV92UvCF0bD7KJrqKcFLO6o1Rl-_iXzwOcGhAcz0UkQcRM0v6PzaWrPUBt0uMhC3jWndEIp00sX7f5H29w0jXpvCryNaSfNdAjmADd6zfGEzY3I/s681/IMG_1350.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" data-original-height="450" data-original-width="681" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyLSbtytxJ4FFM260vBAZA0axRbaUyXIh8yI6wLGbWcP3OCmZHRwcS6tbPBsDQU82UVq7SD_7zmKSZcV92UvCF0bD7KJrqKcFLO6o1Rl-_iXzwOcGhAcz0UkQcRM0v6PzaWrPUBt0uMhC3jWndEIp00sX7f5H29w0jXpvCryNaSfNdAjmADd6zfGEzY3I/s320/IMG_1350.jpeg" width="320"/></a></div> Lors de la plénière de l’Assemblée nationale consacrée à l’examen et à l’adoption de la Loi des Finances 2025, un échange tendu a eu lieu entre l’ancien Premier ministre Matata Ponyo et le chef de l’Inspection générale des finances (IGF), Jules Alingete. Prenant la parole par motion, le député national Matata Ponyo a réagi aux accusations de certains de ses collègues qui l’accusaient de mauvaise gestion lors de son mandat, affirmant qu’il n’avait jamais reçu officiellement les conclusions des audits sur sa gestion à la tête du gouvernement. <b>La réplique de l’IGF : des malversations financières présumées</b> Peu de temps après cette intervention, Jules Alingete, inspecteur général de l’IGF, a réagi avec fermeté. « J’ai suivi avec étonnement l’intervention de l’honorable Matata Ponyo, » a-t-il déclaré, avant de rappeler que, selon un rapport de l’IGF, Matata Ponyo serait impliqué dans des malversations financières présumées portant sur 208 millions de dollars de fonds publics destinés au projet Bukanga Lonzo. Ce projet, lancé sous le gouvernement Matata, visait à assurer l’autosuffisance alimentaire de la RDC mais n’a jamais atteint ses objectifs, suscitant de nombreuses interrogations sur la gestion des fonds alloués. <b>Un projet controversé</b> Le projet Bukanga Lonzo, censé être une vitrine pour le développement agricole en RDC, a connu de nombreux dysfonctionnements. L’IGF a mené plusieurs enquêtes pour comprendre l’utilisation des fonds publics et a conclu à une mauvaise gestion des ressources, ce qui a conduit à la disparition de plusieurs millions de dollars. Ces conclusions, relayées publiquement par Jules Alingete, placent Matata Ponyo sous le feu des critiques et posent la question de la transparence dans la gestion des projets nationaux. <b>Les enjeux de la transparence </b> Cette passe d’armes en pleine plénière met en lumière des questions fondamentales de transparence et de responsabilité dans la gestion des finances publiques en RDC. Alors que l’Assemblée nationale examine la Loi des Finances 2025, ces débats autour des précédentes gestions mettent en relief la nécessité d’un contrôle rigoureux pour éviter les détournements et garantir que les fonds publics soient utilisés pour le développement du pays. <b>Le bras de fer entre Matata Ponyo et Jules Alingete </b>souligne les tensions autour de la gestion passée des projets gouvernementaux et la volonté de l’IGF de rendre compte de l’utilisation des fonds publics. Cette confrontation témoigne aussi des attentes de la population congolaise pour une gouvernance plus transparente et responsable.

Les-à-côtés de la plénière : Matata Ponyo face aux accusations de l’IGF sur le projet Bukanga Lonzo

Lors de la plénière de l’Assemblée nationale consacrée à l’examen et à l’adoption de la Loi des Finances 2025, un échange tendu a eu lieu ...

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Démographie : La RDC, bientôt le deuxième pays le plus peuplé d’Afrique selon les projections de l’ONU

Les Nations Unies ont récemment publié des projections démographiques qui placent la République Démocratique du Congo (RDC) parmi les pays les plus peuplés du monde d’ici 2050. Selon ces estimations, la RDC devrait compter environ 215 millions d’habitants, faisant du pays le deuxième pays le plus peuplé d’Afrique, juste derrière le Nigeria, et le huitième au niveau mondial. <b>Un défi de taille pour la RDC</b> Cette forte croissance démographique représente un défi majeur pour la RDC. Déjà aujourd’hui, avec ses quelque 100 millions d’habitants, le pays peine à répondre aux besoins de sa population dans des domaines tels que l’éducation, la santé, l’emploi et les infrastructures de base. La perspective de voir la population doubler d’ici 2050 soulève des questions sur la capacité du pays à accompagner cette croissance avec des services et des opportunités économiques adaptées. <b>Enjeux socio-économiques et environnementaux</b> Avec une population aussi importante, le gouvernement devra faire face à des défis considérables dans le développement de son infrastructure et de ses services publics. Les besoins en matière de logement, de transport, d’alimentation et d’énergie seront colossaux, nécessitant des investissements massifs pour éviter l’aggravation de la pauvreté et des inégalités. Sur le plan environnemental, cette explosion démographique pourrait également exercer une pression accrue sur les ressources naturelles du pays, notamment les forêts, l’eau et la biodiversité. En tant que l’un des poumons verts de la planète, la RDC joue un rôle essentiel dans la lutte contre le changement climatique, mais la croissance de la population pourrait rendre difficile la préservation de cet écosystème vital. <b>Opportunités économiques et potentiel de développement</b> Cependant, cette croissance démographique peut également être vue comme une opportunité. Une population jeune et en expansion représente un potentiel important pour la main-d’œuvre, pouvant dynamiser l’économie congolaise si les conditions adéquates sont réunies. La RDC possède d’immenses ressources naturelles — notamment le cobalt, le cuivre, et d’autres minerais stratégiques — qui, bien gérées, pourraient contribuer à financer le développement de l’éducation, de la santé et des infrastructures. Le gouvernement devra investir dans des politiques éducatives et dans le développement des compétences afin de transformer cette masse démographique en une force productive capable de soutenir une croissance économique durable. Des réformes visant à renforcer la gouvernance, à lutter contre la corruption et à diversifier l’économie seront essentielles pour maximiser les bénéfices de cette transition démographique. <b>La RDC est à l’aube d’une transformation démographique historique<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhGnm-UdSa5pImGRG1ZZ7Ol4JyUtzOJjV9Oop21eSSzrEySEC7jxmJdtJBLDO7oJMLwdl1EtIxWpWlGmxOkG1rxMYUhBL2JgPnybRJ8VxQJuoBMMf2MT43HvKADlVtUjmXxqLoMElzxMUixkaU3pGhn1T_LUoD0IShXOXJksCCU6OIoJ9J1kM1aIS3PRpg/s537/IMG_1348.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" data-original-height="299" data-original-width="537" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhGnm-UdSa5pImGRG1ZZ7Ol4JyUtzOJjV9Oop21eSSzrEySEC7jxmJdtJBLDO7oJMLwdl1EtIxWpWlGmxOkG1rxMYUhBL2JgPnybRJ8VxQJuoBMMf2MT43HvKADlVtUjmXxqLoMElzxMUixkaU3pGhn1T_LUoD0IShXOXJksCCU6OIoJ9J1kM1aIS3PRpg/s320/IMG_1348.jpeg" width="320"/></a></div></b> qui pourrait la placer parmi les nations les plus influentes de la planète en termes de population. Mais cette perspective appelle également à une réflexion profonde sur la manière dont le pays pourra garantir un avenir prospère et durable pour ses citoyens. L’enjeu est de taille : faire de cette croissance une force plutôt qu’une charge, en transformant les défis en opportunités pour le développement du pays.

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Kinshasa : Une des villes les plus sales d’Afrique, selon le député She Okitundu

Ce mardi, lors d’une séance à l’Assemblée nationale, le député She Okitundu a lancé un cri d’alarme concernant l’état d’insalubrité de la capitale congolaise, Kinshasa. Décrivant la ville comme « l’une des villes les plus sales du continent africain », She Okitundu a dénoncé un problème qui touche aussi bien l’image que la santé de ses habitants. <b>Un problème persistant et des conséquences graves</b> Kinshasa, qui abrite plus de 15 millions d’habitants, souffre depuis longtemps d’une gestion inadéquate des déchets. Le manque de structures de collecte et de traitement des ordures, combiné à une urbanisation rapide, a transformé de nombreux quartiers en véritables dépotoirs. Des tas de déchets s’accumulent souvent le long des routes, dans les caniveaux et les marchés, obstruant les voies d’écoulement des eaux, ce qui aggrave encore les risques d’inondations. Les conséquences de cette situation ne sont pas seulement visuelles. L’insalubrité contribue à la propagation de maladies telles que le choléra, le paludisme et les infections respiratoires, affectant particulièrement les populations les plus vulnérables. En outre, l’image de la capitale en souffre, avec un impact négatif sur l’attractivité touristique et économique de la ville. <b>Des solutions proposées, mais peu d’avancées</b> Lors de son intervention, She Okitundu a souligné que plusieurs initiatives avaient été lancées par les autorités, mais que leurs impacts demeurent limités. Les projets de nettoyage urbain et de sensibilisation semblent insuffisants face à l’ampleur du problème, et les moyens alloués sont souvent détournés ou sous-utilisés. Il a également appelé à une plus grande responsabilité des citoyens dans la gestion de leurs propres déchets, tout en insistant sur la nécessité d’un engagement fort du gouvernement pour instaurer un véritable système de gestion des déchets. Cela impliquerait une infrastructure de collecte et de traitement, ainsi que des mesures de contrôle et de sanctions pour ceux qui contribuent à la pollution de la ville. <b>Un appel à l’action pour redonner vie à Kinshasa<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjftv24QVpSYUFiu6wTgDTi5GtB7AN10S6bf9j2yVQHIrY8ssn3L4VJ_N4vm5w8BC43dGq8DIte98gGOG42-_6VeDF5sIRPmrftOxzosJAyUJryWkWpLIqZ7j6rEvEUDwEUuul53HVZt5BBTSz005qJ7JwgjeWiYPAsd94QvJCsoCcwTGHReOZClWnWrVI/s1021/IMG_1346.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" data-original-height="1021" data-original-width="828" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjftv24QVpSYUFiu6wTgDTi5GtB7AN10S6bf9j2yVQHIrY8ssn3L4VJ_N4vm5w8BC43dGq8DIte98gGOG42-_6VeDF5sIRPmrftOxzosJAyUJryWkWpLIqZ7j6rEvEUDwEUuul53HVZt5BBTSz005qJ7JwgjeWiYPAsd94QvJCsoCcwTGHReOZClWnWrVI/s320/IMG_1346.jpeg"/></a></div></b> Le député She Okitundu a conclu son discours en demandant un plan d’action clair et ambitieux pour faire face à cette situation critique. Selon lui, seule une coordination étroite entre les autorités locales, le gouvernement, et la population pourra permettre à Kinshasa de retrouver un environnement propre et sain. <b>Pour beaucoup d’habitants de Kinshasa</b>, la propreté de leur ville est un enjeu majeur pour leur qualité de vie. L’appel du député Okitundu reflète une volonté de transformation et une prise de conscience urgente pour offrir à Kinshasa un avenir plus durable et attrayant.

Kinshasa : Une des villes les plus sales d’Afrique, selon le député She Okitundu

Ce mardi, lors d’une séance à l’Assemblée nationale, le député She Okitundu a lancé un cri d’alarme concernant l’état d’insalubrité de la c...

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Francophonie | La ministre Bestine Kazadi célèbre les lauréats congolais du 19e Sommet de la Francophonie

Ce 1er novembre, Mme Bestine Kazadi, Ministre déléguée aux Affaires étrangères, à la Coopération internationale et à la Francophonie, a organisé une cérémonie pour honorer les lauréats congolais du 19e Sommet de la Francophonie. Cet événement, marqué par la présence de ministres et du Délégué général à la Francophonie, a mis en lumière des jeunes entrepreneurs et innovateurs congolais qui se sont distingués par leur créativité et leur contribution au rayonnement de la République Démocratique du Congo sur la scène internationale. <div><b><br /></b></div><div><b> Des talents congolais récompensés dans la Francotech et l’innovation médiatique</b> Parmi les lauréats, deux jeunes entrepreneurs se sont démarqués dans la catégorie Francotech pour leurs solutions innovantes. Sophonie Foka, créateur de l’entreprise StarUp Kobika, et Fidèle Nsadi ont été salués pour leurs initiatives technologiques qui contribuent à transformer des secteurs clés en Afrique francophone. En parallèle, Ange Kasongo, également à l’honneur, a remporté le prix de l’Innovation dans les médias, en reconnaissance de son travail novateur et de son impact dans le domaine de l’information. Ces distinctions sont une fierté pour le pays, célébrant l’innovation et la résilience des jeunes Congolais sur des plateformes internationales. </div><div><br /></div><div>  <b>La RDC, un pays de solutions pour la Francophonie</b> Dans son discours, Mme Bestine Kazadi a souligné que ces jeunes lauréats incarnent parfaitement la vision de la #RDCPaysSolution, en démontrant le génie et le dynamisme congolais au sein de la Francophonie. « Ces jeunes talentueux incarnent la #RDCPaysSolution, mettant en lumière le génie congolais sur la scène internationale. Félicitations à eux pour avoir fièrement représenté notre pays ! » a-t-elle déclaré avec fierté. Cette cérémonie a également été l’occasion pour Mme Kazadi de remercier ses collègues ministres, le Délégué général de la Francophonie et l’ensemble des participants pour leur soutien indéfectible à l’égard des jeunes talents congolais. Leur engagement a contribué à faire de cet événement un succès mémorable, témoignant de l’importance du soutien aux jeunes innovateurs pour l’avenir du pays. </div><div><br /></div><div><br /></div><div>  <b>La cérémonie organisée par Mme Bestine Kazadi<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvE2DC6OvhyphenhyphenmTrUCN3x0DlTlVT2uTxQLl7WjBJJ2-9AfhS7HhH05LGZoNsk7Sn1oh8tG1KBLNvW2DFXcXj2J7BSjX0RmTVE78G4vrobpoYvpO3fPInhOv_Ehb3rUplKGce3zYgpa2aTAC-ytYUs2vEPHi9zxjXFpAqUIawBW160_GMDlKV81LyQhiv0KA/s828/IMG_1343.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="539" data-original-width="828" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvE2DC6OvhyphenhyphenmTrUCN3x0DlTlVT2uTxQLl7WjBJJ2-9AfhS7HhH05LGZoNsk7Sn1oh8tG1KBLNvW2DFXcXj2J7BSjX0RmTVE78G4vrobpoYvpO3fPInhOv_Ehb3rUplKGce3zYgpa2aTAC-ytYUs2vEPHi9zxjXFpAqUIawBW160_GMDlKV81LyQhiv0KA/s320/IMG_1343.jpeg" width="320" /></a></div></b> pour honorer les lauréats du 19e Sommet de la Francophonie souligne la volonté de la RDC de s’imposer comme un acteur majeur de l’innovation et de l’entrepreneuriat au sein de l’espace francophone. À travers les réussites de Sophonie Foka, Fidèle Nsadi et Ange Kasongo, le pays démontre qu’il regorge de talents capables de porter des solutions impactantes sur la scène internationale. Cette reconnaissance, marquée par la présence d’officiels et d’acteurs clés de la Francophonie, renforce l’image de la RDC comme une nation engagée dans le progrès et la valorisation de ses jeunes talents.</div>

Francophonie | La ministre Bestine Kazadi célèbre les lauréats congolais du 19e Sommet de la Francophonie

Ce 1er novembre, Mme Bestine Kazadi, Ministre déléguée aux Affaires étrangères, à la Coopération internationale et à la Francophonie, a org...

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Fonction publique : Jean-Pierre Lihau annonce des avancées dans la mécanisation des agents et un renforcement du dialogue social

Lors d’un briefing le lundi dernier, le ministre de la Fonction publique, Jean-Pierre Lihau, a présenté les récentes avancées du gouvernement en matière de mécanisation des agents de l’État, tout en soulignant le rôle crucial du dialogue social dans cette transformation. Selon lui, en trois ans, le gouvernement a mécanisé 171 000 agents, un progrès majeur comparé aux 12 800 mécanisations réalisées sur une période de 20 ans précédemment. <div><br /></div><div>  <b>Des résultats impressionnants en mécanisation</b> </div><div><br /></div><div> La mécanisation des agents, un processus qui permet aux fonctionnaires d’être enregistrés officiellement pour garantir leur accès aux droits et aux avantages sociaux, a été l’une des priorités de l’administration. Jean-Pierre Lihau a salué ce résultat comme une étape clé dans la modernisation de la fonction publique. Cette régularisation vise non seulement à stabiliser les emplois dans le secteur public, mais aussi à lutter contre la précarité en assurant aux agents une rémunération régulière et des garanties sociales. Le ministre a souligné que ce rythme inédit de mécanisation montre l’engagement du gouvernement à mettre en place une fonction publique efficace et équitable. Les efforts pour atteindre ce chiffre témoignent d’une volonté d’améliorer les conditions de travail et la stabilité des fonctionnaires dans des secteurs essentiels, notamment la santé, l’éducation et l’enseignement supérieur. </div><div><br /></div><div>  <b>Le dialogue social au cœur de la stratégie</b> </div><div><br /></div><div> Au-delà de la mécanisation, Jean-Pierre Lihau a mis en avant l’importance du dialogue social, une stratégie clé du gouvernement pour entretenir une communication continue avec les syndicats de différents secteurs publics. Le ministre a mentionné les échanges réguliers avec les représentants des secteurs de la Santé, de l’Éducation Nationale et de l’Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU). Il a également annoncé que ce dialogue sera bientôt étendu au régime général, afin d’inclure davantage de secteurs et d’assurer un consensus global sur les questions relatives aux droits des travailleurs. Pour le ministre, le dialogue social représente un mécanisme indispensable pour maintenir un climat de confiance avec les organisations syndicales et pour résoudre les conflits de manière constructive. En échangeant régulièrement avec les syndicats, le gouvernement cherche à anticiper les revendications et à proposer des solutions adaptées aux besoins de chaque secteur, renforçant ainsi la stabilité et l’engagement des agents de l’État. </div><div><br /></div><div>  <b>Vers une fonction publique modernisée et inclusive<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhxQ-SCMuVljS8WzJfsfDkrETYJ9rMrx3Lbn14innBWsgBpGvLAYq7mTle5OQIyHrE1YXzEY09aeMPCw_apmZgneXF1QyslAwEyixvK9rZ0VD2yIBXAybuUnDWFFxmR2NV7y6Tj4bS-jDSjC9B1K5Dlpz6zPe7fDOxaHvCfHM1IfD_FdJayXDprbv-Vj10/s1609/IMG_1342.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="1609" data-original-width="1287" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhxQ-SCMuVljS8WzJfsfDkrETYJ9rMrx3Lbn14innBWsgBpGvLAYq7mTle5OQIyHrE1YXzEY09aeMPCw_apmZgneXF1QyslAwEyixvK9rZ0VD2yIBXAybuUnDWFFxmR2NV7y6Tj4bS-jDSjC9B1K5Dlpz6zPe7fDOxaHvCfHM1IfD_FdJayXDprbv-Vj10/s320/IMG_1342.jpeg" /></a></div></b> La déclaration de Jean-Pierre Lihau montre une ambition forte pour le futur de la fonction publique en RDC. En renforçant la mécanisation et en adoptant une approche axée sur le dialogue social, le gouvernement s’efforce de créer un environnement de travail plus inclusif et plus stable. Cette approche vise également à répondre aux attentes des fonctionnaires, dont les revendications ont souvent été marquées par des grèves et des protestations dans les secteurs clés. Les organisations syndicales, qui jouent un rôle essentiel dans la défense des droits des travailleurs, ont accueilli favorablement cette démarche. Elles espèrent que cette ouverture au dialogue conduira à des améliorations concrètes et durables dans leurs conditions de travail. </div><div><b>Les réformes annoncées par le ministre Jean-Pierre Lihau</b> marquent une avancée significative pour la fonction publique en République Démocratique du Congo. Avec 171 000 agents mécanisés en trois ans et une stratégie de dialogue social renforcée, le gouvernement semble déterminé à moderniser l’administration publique et à répondre aux attentes des travailleurs. Ces progrès sont prometteurs pour les secteurs concernés, et témoignent de la volonté du gouvernement de bâtir une fonction publique plus dynamique et plus adaptée aux défis contemporains.</div>

Fonction publique : Jean-Pierre Lihau annonce des avancées dans la mécanisation des agents et un renforcement du dialogue social

Lors d’un briefing le lundi dernier, le ministre de la Fonction publique, Jean-Pierre Lihau, a présenté les récentes avancées du gouverneme...

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Monde: la course est extrêmement serrée entre Donald Trump et Kamala Harris

<b>UNESCO</b>: Un récent rapport de l’UNESCO met en lumière une situation alarmante pour les journalistes : en 2023, pas moins de 162 journalistes ont été tués, la plupart dans des zones de conflits armés. Ce chiffre souligne la dangerosité croissante de la profession, particulièrement dans les régions instables. Face à cette violence accrue, les défenseurs des droits de l’homme appellent à une protection renforcée pour les travailleurs de la presse. <b>ESPAGNE</b>: Par ailleurs, l’Espagne est actuellement en proie à des inondations dévastatrices, avec la région de Valence particulièrement touchée. Face à cette situation critique, 10 000 soldats et policiers supplémen<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwsfROTrUnGwwhNc5NstyWx5V4Pc6w7sgQX7wbQT_QcS_ZbNGg7zFsYF0-eIcD6ZouG2S-Q5T1mG7ffvbVyGtcg0Wzybe0pS_BZzYDGXd0XS-vcbytX5rKthbbz5Jo29CPR0C0J8BMGA6MBrSDr7rzNdvnNxdYuLGQzi_K1JhP8g0gvm0Sa8yMHJxDFzM/s932/IMG_1338.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; clear: left; float: left;"><img alt="" border="0" data-original-height="582" data-original-width="932" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwsfROTrUnGwwhNc5NstyWx5V4Pc6w7sgQX7wbQT_QcS_ZbNGg7zFsYF0-eIcD6ZouG2S-Q5T1mG7ffvbVyGtcg0Wzybe0pS_BZzYDGXd0XS-vcbytX5rKthbbz5Jo29CPR0C0J8BMGA6MBrSDr7rzNdvnNxdYuLGQzi_K1JhP8g0gvm0Sa8yMHJxDFzM/s320/IMG_1338.jpeg" width="320"/></a></div>taires ont été mobilisés pour renforcer les opérations de secours. Le bilan des victimes a atteint 211 morts, mais de nombreuses personnes restent portées disparues, laissant présager un bilan encore plus lourd. <b>USA</b>: Sur le plan politique, les États-Unis se préparent à leurs élections présidentielles, prévues pour le 5 novembre 2024. Selon les derniers sondages, la course est extrêmement serrée entre Donald Trump et Kamala Harris, notamment dans les États clés. En Pennsylvanie, Trump dispose d’un léger avantage avec 47,9 % contre 47,7 % pour Harris, mais les marges restent infimes dans d’autres swing states, rendant le résultat final imprévisible. Le système des grands électeurs pourrait jouer un rôle décisif dans cette élection à suspense.

Monde: la course est extrêmement serrée entre Donald Trump et Kamala Harris

UNESCO : Un récent rapport de l’UNESCO met en lumière une situation alarmante pour les journalistes : en 2023, pas moins de 162 journaliste...

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Culture | L’humoriste Herman Amisi marque l’histoire en devenant le premier artiste congolais à se produire au Centre Financier de Kinshasa

<div class="separator" style="clear: both; text-align: right;"><iframe allowfullscreen="allowfullscreen" class="b-hbp-video b-uploaded" frameborder="0" height="266" id="BLOGGER-video-fefd3d41651be9ee-9818" mozallowfullscreen="mozallowfullscreen" src="https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dw-He7tegpnXH3pQ0LDio0axS1_vPydSW1LKvFfnWKC8YrS29aLTHMAuKtEXyCv8QjixsulpoEiOhU24NFCo5R5yG32SZq4WlR2530upoAmSvpO4S0rqSRdYjwFr4CACb_OsZs" webkitallowfullscreen="webkitallowfullscreen" width="320"></iframe></div> Ce 1er novembre 2024, l’humoriste congolais Herman Amisi a marqué un tournant dans l’histoire culturelle de Kinshasa en devenant le premier artiste du pays à monter sur la scène prestigieuse du centre de congrès du Centre Financier de Kinshasa, un lieu réputé pour accueillir les plus grands événements et congrès internationaux. Ce spectacle, payant et à guichets fermés, représente une première dans le domaine de l’humour congolais et une étape significative pour la scène artistique locale. <div><br /></div><div>  <b>Un événement inédit dans un cadre prestigieux</b> </div><div><br /></div><div> Habituellement réservé à des conférences d’affaires, des sommets politiques, et des rencontres de haut niveau, le centre de congrès du Centre Financier de Kinshasa s’est transformé, le temps d’une soirée, en salle de spectacle pour accueillir Herman Amisi et son public. Cette performance inédite témoigne de l’évolution du paysage culturel congolais, où l’humour gagne de plus en plus en reconnaissance et en popularité. Le choix du Centre Financier de Kinshasa, avec son infrastructure moderne et son prestige, a permis de souligner l’importance de cette soirée. Pour beaucoup de spectateurs, ce lieu symbolisait une ouverture vers de nouvelles ambitions pour l’art congolais, qui commence à investir des espaces autrefois exclusivement dédiés au monde des affaires et de la politique. </div><div><br /></div><div>  <b>Un humoriste aux multiples talents</b></div><div><br /></div><div> Connu pour son style unique, Herman Amisi est devenu une figure incontournable de l’humour en République Démocratique du Congo. Son humour, à la fois subtil et percutant, aborde avec intelligence des sujets qui touchent au quotidien des Congolais, des réalités sociales et politiques, mais aussi des aspects plus légers et universels de la vie. Son spectacle du 1er novembre a été l’occasion pour lui de présenter un contenu inédit, mêlant nouvelles blagues et sketches emblématiques, qui ont su captiver le public tout au long de la soirée. Sa performance au Centre Financier de Kinshasa est l’aboutissement de plusieurs années de travail acharné et de passion pour le métier. En devenant le premier artiste à se produire dans cet espace, il ouvre la voie à d’autres humoristes et artistes congolais qui aspirent à faire de leur art une véritable profession et à toucher des publics plus larges. </div><div><br /></div><div>  <b>Une reconnaissance pour l’art congolais</b></div><div><br /></div><div> L’événement a également reçu un large soutien de la part des autorités locales et de plusieurs figures du secteur culturel. Beaucoup y voient un signe encourageant pour la reconnaissance et le développement de l’industrie culturelle en RDC. En se produisant dans un lieu aussi prestigieux, Herman Amisi a prouvé que l’art congolais mérite d’être valorisé et de bénéficier de plateformes professionnelles pour s’épanouir. De plus, ce spectacle marque un pas important vers la professionnalisation de la scène artistique congolaise. Avec un système de billetterie payante et une organisation de haut niveau, l’événement a montré que l’humour et les arts de la scène peuvent être des activités viables économiquement et attractives pour des lieux de prestige.</div><div><br /></div><div>  <b>Vers une nouvelle ère pour l’humour congolais<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsdjfBcwN5AcFTcxfms-nn1vvELpTmaKiaUWaQNAk4v0dou3sEe1s11gcUcFnxAaB0i617p3g8b6AbcQZ5M6av-VtMcOyJTNVpZEsnanj6rqYi-e7atB8HBYaSrmvpec00nobm9BrVoPaasqjVABzmm5PgMZC_j0s56T2El0pqlzBXllm-zSMbBIs3-m8/s619/image3.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="495" data-original-width="619" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsdjfBcwN5AcFTcxfms-nn1vvELpTmaKiaUWaQNAk4v0dou3sEe1s11gcUcFnxAaB0i617p3g8b6AbcQZ5M6av-VtMcOyJTNVpZEsnanj6rqYi-e7atB8HBYaSrmvpec00nobm9BrVoPaasqjVABzmm5PgMZC_j0s56T2El0pqlzBXllm-zSMbBIs3-m8/s320/image3.jpeg" width="320" /></a></div></b> La prestation de Herman Amisi au Centre Financier de Kinshasa n’est pas seulement une première historique, mais également le reflet d’un changement dans la perception de l’humour en RDC. Les artistes de ce genre, souvent cantonnés aux bars et petites scènes, voient désormais s’ouvrir à eux des espaces plus grands, permettant d’atteindre de nouveaux publics et d’asseoir davantage leur réputation. Cet événement pourrait marquer le début d’une nouvelle ère pour les humoristes congolais, qui trouvent aujourd’hui des opportunités de se produire dans des lieux prestigieux, habituellement réservés à d’autres types d’événements. Cela pourrait également encourager des investisseurs et des sponsors à soutenir davantage la scène artistique, en reconnaissant le potentiel économique et l’impact social de l’humour et de la culture en général. </div><div>  <b>En devenant le premier artiste congolais</b> à se produire au centre de congrès du Centre Financier de Kinshasa, Herman Amisi a non seulement marqué un jalon dans sa propre carrière, mais aussi ouvert une nouvelle page dans l’histoire de la culture congolaise. Sa performance payante dans ce lieu emblématique symbolise une montée en puissance de l’art et de l’humour en RDC, tout en montrant que la scène artistique locale est prête à rivaliser avec des standards internationaux. Pour Herman Amisi et pour l’ensemble des artistes congolais, c’est le début d’une ère nouvelle, où les talents locaux peuvent briller sous les feux des projecteurs et inspirer des générations à venir. </div>

Culture | L’humoriste Herman Amisi marque l’histoire en devenant le premier artiste congolais à se produire au Centre Financier de Kinshasa

Ce 1er novembre 2024, l’humoriste congolais Herman Amisi a marqué un tournant dans l’histoire culturelle de Kinshasa en devenant le premie...

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Conseil des Ministres : le Président Félix-A Tshisekedi lance l’évaluation de l’action gouvernementale pour novembre

Lors de la dernière réunion du Conseil des ministres, le Chef de l’État Félix-A Tshisekedi a annoncé le début d’un processus d’évaluation rigoureux de l’action gouvernementale, prévu pour ce mois de novembre. Cette initiative vise à vérifier la mise en œuvre des instructions, recommandations et décisions émanant des conseils précédents. Selon le porte-parole du gouvernement, cette évaluation pourrait avoir des conséquences importantes pour les membres de l’exécutif qui n’auraient pas rempli les attentes de la population. <b>Une évaluation axée sur l’efficacité et l’impact</b> Cette première phase d’évaluation permettra de mesurer précisément l’efficacité des membres du gouvernement en fonction de leur engagement dans l’application des décisions et des directives présidentielles. En lançant cette initiative, le Président Tshisekedi souhaite mettre l’accent sur les résultats concrets de chaque ministère et s’assurer que les objectifs fixés sont atteints, notamment en termes de développement, de sécurité, et d’amélioration des conditions de vie des citoyens. Les ministres devront démontrer comment ils ont traduit les recommandations du chef de l’État en actions concrètes. Les points essentiels de cette évaluation porteront sur l’impact des décisions prises dans des domaines prioritaires, tels que l’éducation, la santé, les infrastructures et la lutte contre la corruption. <b>Un avertissement pour les membres du gouvernement</b> Le porte-parole du gouvernement a précisé que les ministres jugés inefficaces pourraient faire face à des « conséquences », sans toutefois préciser la nature de ces sanctions. Cette annonce envoie un message clair aux membres du gouvernement : la performance et les résultats seront les seuls critères déterminants. “Des conséquences seront tirées pour les membres du gouvernement qui n’auront pas été à la hauteur des attentes de la population”, a averti le porte-parole. Ce message traduit une volonté de responsabiliser chaque ministre dans sa mission et de renforcer la transparence au sein de l’équipe gouvernementale. En optant pour une évaluation publique de l’action gouvernementale, le Président Tshisekedi réaffirme son engagement à répondre aux attentes des citoyens, qui attendent des améliorations concrètes dans leur vie quotidienne. <b>Un enjeu majeur pour la crédibilité du gouvernement</b> Cette évaluation revêt un enjeu crucial pour la crédibilité et la confiance du gouvernement auprès de la population congolaise. Alors que plusieurs secteurs souffrent encore de lenteurs administratives et d’un manque d’efficacité, le Chef de l’État entend montrer que des actions correctives peuvent être prises si les résultats ne sont pas au rendez-vous. De plus, cette initiative vise à encourager une culture de l’efficacité et de la performance dans l’administration publique congolaise. La population, qui observe de près les avancées et les défis dans les secteurs clés, souhaite voir des signes de changement. En instaurant cette évaluation, Félix Tshisekedi met en avant son souci d’apporter des solutions concrètes aux préoccupations des Congolais et de garantir que l’action gouvernementale soit alignée sur les priorités nationales. <b>Une approche progressive pour des réformes durables</b> La mise en place de cette évaluation en plusieurs phases montre une volonté de procéder avec minutie, en s’assurant d’abord que chaque ministre se conforme aux directives du Président. Cette méthode progressive permettra de prendre le temps nécessaire pour vérifier que les décisions sont correctement appliquées tout en laissant la possibilité d’ajuster les stratégies en fonction des résultats obtenus. Cette approche pourrait également inspirer une nouvelle dynamique dans la gestion des affaires publiques, en poussant les ministres à adopter une gestion proactive et responsable de leurs portefeuilles respectifs. L’évaluation de l’action gouvernementale pourrait ainsi devenir un outil de suivi et de motivation, favorisant une meilleure gouvernance et une exécution plus rigoureuse des politiques publiques. <b>En initiant cette évaluation gouvernementale, le Président Félix-A Tshiseked<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyzlSfKsAUnXQxf1d1hnVN6DtWwWmbrUkwuA7WiH4rJZgbGJNLq_oTvtDJqGqhMPJeeD67bn4hP-IBNHbXmUMzt_JH2VzEP1UMfS6h4umKDELR0rIfrcXwdhNGdIAZpyRJbJyjgAb6gKor6WJ9YU-OzkS-A1A8KwlnSF0Xhpy4LG-tWeWmzcRwrEzmBj0/s678/image2.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" data-original-height="452" data-original-width="678" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyzlSfKsAUnXQxf1d1hnVN6DtWwWmbrUkwuA7WiH4rJZgbGJNLq_oTvtDJqGqhMPJeeD67bn4hP-IBNHbXmUMzt_JH2VzEP1UMfS6h4umKDELR0rIfrcXwdhNGdIAZpyRJbJyjgAb6gKor6WJ9YU-OzkS-A1A8KwlnSF0Xhpy4LG-tWeWmzcRwrEzmBj0/s320/image2.jpeg" width="320"/></a></div></b>i réaffirme sa volonté de rendre le gouvernement plus performant et plus attentif aux besoins de la population. Le processus d’évaluation de novembre s’inscrit dans un effort plus large pour responsabiliser chaque membre du gouvernement et instaurer une culture de résultats dans l’administration publique. Les résultats de cette première phase seront particulièrement attendus, car ils marqueront un tournant dans la façon dont le gouvernement congolais rend compte de son action à la population. Pour les ministres, il s’agit d’une occasion de prouver leur engagement et leur efficacité, alors que des réformes et des sanctions pourraient être envisagées en fonction des conclusions de cette évaluation.

Conseil des Ministres : le Président Félix-A Tshisekedi lance l’évaluation de l’action gouvernementale pour novembre

Lors de la dernière réunion du Conseil des ministres, le Chef de l’État Félix-A Tshisekedi a annoncé le début d’un processus d’évaluation r...

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Claude Misare critique l’insuffisance de l’enveloppe salariale dans le budget 2025 : “La population ne ressent pas l’impact des augmentations

Le député national Claude Misare a exprimé son mécontentement face à l’enveloppe salariale allouée aux agents et fonctionnaires de l’État dans la loi de finances pour l’exercice 2025. Pour lui, cette enveloppe est “insignifiante” et demeure loin des besoins réels des travailleurs, malgré les révisions à la hausse du budget ces dernières années. Claude Misare, également président du groupe parlementaire AA-UNC, s’interroge sur l’incapacité du gouvernement à améliorer concrètement le quotidien des Congolais, en particulier celui des militaires, des policiers, et des enseignants. <b>Une demande de revalorisation salariale</b> Lors de l’investiture du gouvernement, Misare avait proposé une mesure concrète : accorder un salaire mensuel minimum de 500 dollars aux militaires, policiers et enseignants, qui sont en première ligne pour assurer la sécurité, l’éducation et le développement du pays. Cette proposition, selon lui, serait un premier pas vers la reconnaissance et la valorisation de leur rôle essentiel dans la société. “Qu’est-ce que le pays manque pour payer ces militaires, ces enseignants, ces policiers ?”, s’est-il interrogé. Claude Misare pointe du doigt les ressources naturelles et minérales abondantes dont dispose la République Démocratique du Congo : l’or, le lithium, le cobalt, les forêts, l’eau et le cuivre, entre autres. Il estime que le pays, riche en ressources stratégiques, a tous les moyens pour offrir des conditions de vie décentes à ses fonctionnaires. “Nous avons des ressources, qu’est-ce qui nous manque ? Pourquoi ne pas les utiliser pour répondre aux besoins de la population ?” a-t-il lancé. <b>Une croissance budgétaire sans retombées pour la population</b> Depuis quelques années, les lois de finances en RDC ont effectivement connu des augmentations. Pourtant, Misare déplore que l’impact de ces ajustements ne soit toujours pas ressenti par la population. Selon lui, cette situation montre un décalage entre les prévisions budgétaires et leur exécution concrète, pointant des failles dans la gestion et la répartition des fonds publics. Pour Misare, la cause principale de cette déconnexion réside dans la manière dont les ressources du pays sont gérées. “Aujourd’hui, toutes les institutions de la République sont dirigées par des professeurs d’université”, a-t-il observé, insinuant que le niveau d’expertise dans la gestion du pays devrait théoriquement permettre une meilleure utilisation des ressources au profit de la population. Pourtant, ce savoir-faire académique ne semble pas se traduire par des actions concrètes en faveur des Congolais, une situation qu’il juge inacceptable. <b>Des fonctionnaires en difficulté malgré des efforts gouvernementaux</b> Le constat du député rejoint une critique récurrente dans la société congolaise. Les fonctionnaires et agents de l’État, notamment les enseignants et les forces de l’ordre, peinent souvent à joindre les deux bouts malgré des missions cruciales pour le pays. Cette situation a pour conséquence une démotivation dans les rangs des agents de l’État, qui sont confrontés à des conditions de travail précaires et à des salaires jugés trop faibles pour faire face aux coûts de la vie. La proposition de Claude Misare de rehausser les salaires à 500 USD minimum pour certaines catégories de fonctionnaires reflète une volonté de répondre aux besoins de base des familles de ces travailleurs. Pour lui, cette mesure permettrait non seulement d’améliorer leur qualité de vie, mais aussi de valoriser leur engagement et de renforcer leur motivation. <b>Une prise de position saluée par la population</b> La prise de position du député national est saluée par plusieurs citoyens et observateurs qui estiment que des réformes salariales sont nécessaires pour instaurer une meilleure justice sociale en RDC. Nombreux sont ceux qui pensent que la situation actuelle, où les richesses naturelles du pays ne bénéficient qu’à une minorité, est insoutenable. En appelant à une meilleure redistribution des richesses nationales, Claude Misare se fait l’écho d’un sentiment largement partagé parmi les Congolais. <b>Les critiques de Claude Misare<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbHPEJC1aQE6xEgd-77E-tNjsHsyVxV4EXjUllNCZrLurhKzUMqx0k9rZs5bXseKZ8z06-coEQLci7trOh4OAZ8H17YMws8U5PgUZsTFjkp91HBu-UetDRFaI6Q2yT9SyctjfVWlhKGBttiAvvUq3DfGbIXcJML3yXdrHMm8LO_1hRvGolO0gNrEoRh7s/s640/image1.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbHPEJC1aQE6xEgd-77E-tNjsHsyVxV4EXjUllNCZrLurhKzUMqx0k9rZs5bXseKZ8z06-coEQLci7trOh4OAZ8H17YMws8U5PgUZsTFjkp91HBu-UetDRFaI6Q2yT9SyctjfVWlhKGBttiAvvUq3DfGbIXcJML3yXdrHMm8LO_1hRvGolO0gNrEoRh7s/s320/image1.jpeg" width="320"/></a></div></b> mettent en lumière un défi crucial pour le gouvernement congolais : traduire les ressources naturelles et la croissance budgétaire en retombées concrètes pour la population. L’exigence d’une enveloppe salariale plus significative dans le budget 2025 reflète une volonté de justice sociale et de reconnaissance des travailleurs de l’État, qui jouent un rôle essentiel pour le développement et la sécurité de la RDC. Reste à voir si le gouvernement répondra à cet appel et si les prochains budgets incluront des mesures significatives pour améliorer le quotidien des Congolais.

Claude Misare critique l’insuffisance de l’enveloppe salariale dans le budget 2025 : “La population ne ressent pas l’impact des augmentations

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