▎Guerre d'agression : Les ingérences rwandaises en RDC dénoncées par l'UE

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjj8YlHDk55lnPEw_6realW9R4P1KqyohlMrb-2X_JRhoEfwByuBGyyq17chNiqJu0F_JEq5JMJGvdoOnCA2ZRQyTc4WKaySH58CXiMK2Q65jeQYiwDl9ARm9dVsMhAa-CbIhNEImQwxvw2dOz9GhUKRqDBDVIsvcZLHznnLDijd25IEeiWmapleGZD1sjg/s711/johan_borgstam_2510_png_711_473_1.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjj8YlHDk55lnPEw_6realW9R4P1KqyohlMrb-2X_JRhoEfwByuBGyyq17chNiqJu0F_JEq5JMJGvdoOnCA2ZRQyTc4WKaySH58CXiMK2Q65jeQYiwDl9ARm9dVsMhAa-CbIhNEImQwxvw2dOz9GhUKRqDBDVIsvcZLHznnLDijd25IEeiWmapleGZD1sjg/s320/johan_borgstam_2510_png_711_473_1.png" width="320" /></a></div><p></p><h3><span style="font-family: arial;">Lors d'un point de presse tenu le 5 mars 2025 à Kinshasa, Johan Borgstam, Représentant spécial de l'Union européenne (UE) pour la région des Grands Lacs, a fermement condamné les interventions du Rwanda en République démocratique du Congo (RDC), les qualifiant de violation flagrante de la souveraineté congolaise. Borgstam a souligné que la présence des forces rwandaises sur le sol congolais constitue une agression inacceptable et a appelé à un retrait immédiat de ces troupes.</span></h3><h3><span style="font-family: arial;">▎Position de l'Union européenne</span></h3><h3><span style="font-family: arial;">Dans ses déclarations, Johan Borgstam a insisté sur le fait que l'UE ne tolérerait pas les ingérences militaires du Rwanda en RDC. Il a affirmé : « Les forces rwandaises qui se trouvent sur le sol congolais doivent rentrer chez elles. Le Rwanda doit également cesser d'apporter son assistance militaire et logistique au M23 », un groupe armé actif dans l'est de la RDC. Cette position marque une volonté claire de l'UE de soutenir la souveraineté de la RDC et de promouvoir la paix dans la région.</span></h3><h3><span style="font-family: arial;">▎Appel au dialogue</span></h3><h3><span style="font-family: arial;">Borgstam a également souligné l'importance d'une solution politique pour mettre fin aux hostilités dans l'est du pays. Il a appelé les gouvernements rwandais et congolais à se réunir pour désamorcer la crise actuelle. « J'ai insisté à Kigali et ici à Kinshasa qu'il n'y a pas de solution militaire au conflit en RDC. Il faut une solution politique », a-t-il déclaré, soulignant que les deux pays doivent travailler ensemble pour établir un protocole d'entente entre leurs peuples.</span></h3><h3><span style="font-family: arial;">▎Soutien aux initiatives régionales</span></h3><h3><span style="font-family: arial;">Cette déclaration s'inscrit dans le cadre de la mission officielle de Borgstam dans la région, qui s'est déroulée du 2 au 5 mars 2025. Sa visite visait à renforcer le soutien européen aux initiatives régionales de paix, notamment celles issues des processus de Luanda et de Nairobi. L'ambassadeur a exprimé son souhait que les organisations régionales jouent un rôle clé dans l'encadrement des négociations entre le Rwanda et la RDC.</span></h3><h3><span style="font-family: arial;">▎Conclusion</span></h3><h3><span style="font-family: arial;">Les déclarations de Johan Borgstam mettent en lumière les tensions persistantes entre le Rwanda et la RDC, exacerbées par des ingérences militaires. L'appel à un dialogue constructif et à des solutions politiques souligne la nécessité d'une approche collaborative pour résoudre les conflits dans la région des Grands Lacs. L'engagement de l'UE à soutenir ces efforts pourrait jouer un rôle crucial dans la recherche d'une paix durable et dans le respect de la souveraineté congolaise.</span></h3><p></p>

sécurité ▎Guerre d'agression : Les ingérences rwandaises en RDC dénoncées par l'UE

Lors d'un point de presse tenu le 5 mars 2025 à Kinshasa, Johan Borgstam, Représentant spécial de l'Union européenne (UE) pour la ré...

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Jean-Marc Kabund : “Le gouvernement d'union nationale ne résoudra rien du tout”

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYvRdRZdtj2m1bt4LwvTJWVDKaLRMATnEQ8ActBpsj0e7brtLcTTV8FoOQeeakXYOjpuZYlsoqC7u-L_FgU0dF2IF326Nipkt3rd4JqrZhi5tvLBR4R6SdpbWnKRs5AlXXR3NkeNxajtlS4Uoki1_0ar7K3739G2mBys-7V5aG_u7_CCFrkZDKoBT9oEPQ/s360/FB_IMG_1741253856883-360x180.webp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="180" data-original-width="360" height="235" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYvRdRZdtj2m1bt4LwvTJWVDKaLRMATnEQ8ActBpsj0e7brtLcTTV8FoOQeeakXYOjpuZYlsoqC7u-L_FgU0dF2IF326Nipkt3rd4JqrZhi5tvLBR4R6SdpbWnKRs5AlXXR3NkeNxajtlS4Uoki1_0ar7K3739G2mBys-7V5aG_u7_CCFrkZDKoBT9oEPQ/w470-h235/FB_IMG_1741253856883-360x180.webp" width="470" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">L'opposant Jean-Marc Kabund exprime son scepticisme quant à l'efficacité du gouvernement d'union nationale envisagé par le président de la République, Félix Tshisekedi, pour faire face à la crise sécuritaire qui secoue la République démocratique du Congo (RDC).</span><p></p><p><span style="font-family: arial;">Lors d'une interview, Jean-Marc Kabund a tenu à préciser que sa récente libération après 30 mois de détention n'était pas le fruit d'un accord politique avec le pouvoir en place.</span></p><p><span style="font-family: arial;">“Je ne crois pas que ma libération soit l'objet d'un marchandage politique. J'ai été victime de persécutions politiques. Condamné à une peine de sept ans, j'ai passé 30 mois en prison. Cette injustice ne peut pas être réparée ainsi. Ma libération est plutôt le résultat d'une forte pression de la communauté internationale et de l'opinion nationale. Les Congolais étaient mécontents de mon arrestation. Face à cette pression, Tshisekedi a dû céder”, a-t-il affirmé.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Quant à la formation d'un gouvernement d'union nationale, Kabund reste convaincu qu'elle ne résoudra pas les problèmes du pays.</span></p><p><span style="font-family: arial;">“Tshisekedi est allé aux élections, il dit qu'il a gagné avec 73 % et s'est assuré une majorité de plus de 450 députés au Parlement. Pourquoi alors chercher à intégrer l'opposition dans son gouvernement ? Cela montre qu'il fait face à une crise de gouvernance. Pour moi, un tel gouvernement ne résoudra rien du tout”, a-t-il conclu.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ces déclarations interviennent dans un contexte de tensions politiques et de crise sécuritaire persistante dans l'Est du pays, où les conflits armés continuent d'affecter les populations locales. L'opposition reste divisée quant à la pertinence d'une participation à un gouvernement d'union nationale, tandis que le pouvoir en place tente de rassembler un consensus pour faire face aux défis du pays.</span></p><p></p>

Politique Jean-Marc Kabund : “Le gouvernement d'union nationale ne résoudra rien du tout”

L'opposant Jean-Marc Kabund exprime son scepticisme quant à l'efficacité du gouvernement d'union nationale envisagé par le prési...

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Conflit à l'Est : l'industrie de la tech face à ses responsabilités !

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0FT9UR2pf00NHRYwJSVoARHYXPG3GIk4IIJINPJrn1mT388ttGToZeh0dExvOxwULUxW5Dl7iYy0qnkbh8-NzXdAf2kGmHuKjPEtvNI9bdVwnj7jnYiQmihQrPWS3RAOY54I0PZXk2FlW5mzltjqJ_Tq-73bjObyP-v2XzUjvWChYyPwgfkAxf5ARRD0W/s1280/mine_dor_rdc.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1280" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0FT9UR2pf00NHRYwJSVoARHYXPG3GIk4IIJINPJrn1mT388ttGToZeh0dExvOxwULUxW5Dl7iYy0qnkbh8-NzXdAf2kGmHuKjPEtvNI9bdVwnj7jnYiQmihQrPWS3RAOY54I0PZXk2FlW5mzltjqJ_Tq-73bjObyP-v2XzUjvWChYyPwgfkAxf5ARRD0W/w473-h266/mine_dor_rdc.jpg" width="473" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Alors que la France classe sans suite la plainte de la RDC contre Apple, la question des minerais et de leur rôle dans le conflit congolais reste entière.</span><p></p><h2><span style="font-family: arial;">Une exploitation minérale au cœur du conflit</span></h2><p><span style="font-family: arial;">Les relations diplomatiques entre la RDC et le Rwanda sont rompues, tandis que le M23 continue de semer la panique dans le Kivu après avoir pris le contrôle de Goma et Bukavu. Ce groupe armé progresse rapidement grâce à des conditions favorables : il a mis la main sur des mines extrêmement lucratives et extrait des minerais dits « de sang » – tungstène, cobalt, coltan ou or – des ressources incontournables pour l'industrie technologique mondiale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Dans la mine de Rubaya, en RDC, enfants et adultes s'activent, pioches et pelles à la main, pieds immergés dans la boue. Des Congolais, mais aussi des Chinois, suivent une cadence effrénée. Sous la surveillance d'hommes armés, ces travailleurs exploitent sans relâche le coltan, un minerai essentiel à l'industrie électronique.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Selon un rapport de l'ONU, le M23 exporte environ 120 tonnes de coltan par mois vers le Rwanda, générant des revenus estimés à 800 000 dollars mensuels. Ces profits financent l'achat d'armes et l'expansion des effectifs du groupe rebelle.</span></p><h2><span style="font-family: arial;">Une guerre alimentée par les minerais</span></h2><p><span style="font-family: arial;">Le 5 février 2025, le M23 a poursuivi son avancée en s'emparant de Nyabibwe, une cité minère riche en étain et tungstène. Le coltan, composant essentiel des smartphones, y est extrait en grande quantité. La RDC détient à elle seule deux tiers des réserves mondiales de coltan et 70 % des ressources mondiales de cobalt, indispensable à la fabrication des batteries électriques.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L'or constitue également un enjeu majeur pour le M23. Selon le Trésor américain, plus de 90 % de l'or congolais est exporté clandestinement via le Rwanda et l'Ouganda. Ces ressources financent directement les activités militaires du groupe rebelle et pèsent sur la stabilité régionale.</span></p><h2><span style="font-family: arial;">L'industrie de la tech face à ses responsabilités</span></h2><p><span style="font-family: arial;">Face à cette situation, plusieurs ONG, dont Amnesty International, ont dénoncé les pratiques de grandes marques comme Apple, Sony et Samsung. Ces entreprises sont accusées de s'approvisionner en minerais via des circuits illégaux, souvent au prix du travail des enfants.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En 2023, un accord entre Bruxelles et Kigali a promis un approvisionnement « durable » en minerais vers l'Europe. Une initiative controversée, sachant que la majorité des minerais exportés par le Rwanda proviennent en réalité de RDC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Bestine Kazadi, ministre déléguée en charge de la Coopération internationale congolaise, a récemment demandé la suspension de cet accord. « Il est inacceptable que des minerais extraits illégalement, au prix du sang des Congolais, soient commercialisés sous couvert de durabilité », a-t-elle déclaré.</span></p><h2><span style="font-family: arial;">Un coût humain alarmant</span></h2><p><span style="font-family: arial;">Depuis les années 1990, le conflit en RDC a causé plusieurs millions de morts et déplacé près de 7 millions de personnes. Récemment, la prise de Goma a entraîné la fuite de 500 000 habitants et la mort de 2 700 personnes en seulement une semaine.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En plus des combats, une crise humanitaire dévastatrice se profile avec la propagation rapide du choléra et la recrudescence des violences sexuelles. L'ONU a signalé une hausse alarmante des cas de viols dans l'est de la RDC, où les civils restent les premières victimes du conflit.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Alors que la guerre se poursuit, une question demeure : jusqu'où ira le M23 dans sa quête de pouvoir et de contrôle sur les richesses du Congo ? Et surtout, combien de temps encore l'industrie technologique continuera-t-elle d'alimenter, directement ou indirectement, cette tragédie humaine ?</span></p><p></p>

sécurité Conflit à l'Est : l'industrie de la tech face à ses responsabilités !

Alors que la France classe sans suite la plainte de la RDC contre Apple, la question des minerais et de leur rôle dans le conflit congolais ...

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Trafic illicite des bois par les exploitants artisanaux : Eve Bazaïba sonne la fin de l’anarchie !

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhl7L1hBXvGIIyvrm4RosMA2PAJYVLdrLyerYpHyDsK-Pme-0K3JQB3ye8TDZ_3N24hDynZFTj50g-6hbw3qeDIOx8c0d9-yRrrHTQLrZwN_TCLUkuTi_OrOzZN1rlO9XgT05JpzbVgB4QUIL0je4yt7S-Agb9yKJpALbHgqhyO9zYBwi8I4zqPDWbo0lUB/s711/trafic_illicite_des_bois_par_les_exploitants_artisanaux_eve_bazaiba_sonne_la_fin_de_l_anarchie_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="292" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhl7L1hBXvGIIyvrm4RosMA2PAJYVLdrLyerYpHyDsK-Pme-0K3JQB3ye8TDZ_3N24hDynZFTj50g-6hbw3qeDIOx8c0d9-yRrrHTQLrZwN_TCLUkuTi_OrOzZN1rlO9XgT05JpzbVgB4QUIL0je4yt7S-Agb9yKJpALbHgqhyO9zYBwi8I4zqPDWbo0lUB/w438-h292/trafic_illicite_des_bois_par_les_exploitants_artisanaux_eve_bazaiba_sonne_la_fin_de_l_anarchie_jpg_711_473_1.jpeg" width="438" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La Ministre d’État, Ministre de l’Environnement et du Développement durable, Eve Bazaïba Masudi, a effectué ce samedi 1ᵉʳ mars 2025, une visite d’inspection au port de Ngamanzo, situé dans la commune urbano-rurale de Maluku. Ce site de près de 11 hectares a été choisi pour réceptionner les bois saisis auprès des exploitants artisanaux dépourvus de documents et opérant illégalement dans la filière des grumes.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une lutte ferme contre l’exploitation forestière illégale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans le cadre de la lutte contre l’exploitation forestière illégale, le Gouvernement Congolais, par l’entremise du Ministère de l’Environnement, prend la ferme décision de saisir les bois exploités illicitement afin de favoriser leur transformation locale. Désormais, seuls les industriels détenteurs des documents requis seront autorisés à opérer légalement.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Un partenariat public-privé sera signé entre le Gouvernement et ses partenaires pour dissuader les exploitants illégaux. Accompagnée des services de contrôle et de vérification, la Ministre d’État Eve Bazaïba entend, à travers ce projet, mettre un terme au trafic illicite de bois et contribuer à la mobilisation des recettes publiques. Elle a souligné que les grumes saisies seront acheminées vers des ports transitaires pour y être transformées.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un engagement en faveur d’une exploitation durable</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Eve Bazaïba a rappelé que la République Démocratique du Congo, en tant que <strong>« pays-solution »</strong> face au changement climatique, doit mettre en place des mécanismes rigoureux pour préserver ses ressources forestières tout en garantissant leur exploitation durable. Cette action s’inscrit dans le cadre du programme de gestion durable des forêts mis en place par le gouvernement.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une étape décisive pour la protection des forêts congolaises</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette initiative marque une étape clé dans la lutte contre l’exploitation illégale des ressources forestières en RDC. En renforçant le contrôle et en favorisant la transformation locale du bois, le Gouvernement entend non seulement protéger son patrimoine forestier, mais aussi créer de la valeur ajoutée pour l’économie nationale.</span></p><p></p>

sécurité Trafic illicite des bois par les exploitants artisanaux : Eve Bazaïba sonne la fin de l’anarchie !

La Ministre d’État, Ministre de l’Environnement et du Développement durable, Eve Bazaïba Masudi, a effectué ce samedi 1ᵉʳ mars 2025, une vis...

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Sud-Kivu : les combattants Wazalendo stoppent l’avancée du M23 vers Mwenga

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEio6oXNfhK1UWrEBlvUDygP4EkUKzHW_RISGKm7I5vWRs1pyu-WntQIMKxYh2J2HrhafCJ_WmiR7lqf1VfMNBt3wCW80Ww9VE9iVu8Y0uNT7hu6zNvDDdfGAgwfWw0ygB_8lUWS5634f2W_CZrZAd5ggYRVLu80kTeIYr_ohA9KAfC01srsF6UM2ksyqdRn/s585/wazalendos_vue-585x329.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="329" data-original-width="585" height="272" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEio6oXNfhK1UWrEBlvUDygP4EkUKzHW_RISGKm7I5vWRs1pyu-WntQIMKxYh2J2HrhafCJ_WmiR7lqf1VfMNBt3wCW80Ww9VE9iVu8Y0uNT7hu6zNvDDdfGAgwfWw0ygB_8lUWS5634f2W_CZrZAd5ggYRVLu80kTeIYr_ohA9KAfC01srsF6UM2ksyqdRn/w484-h272/wazalendos_vue-585x329.jpeg" width="484" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La résistance s'organise dans l'Est de la République démocratique du Congo (RDC). Le mercredi 5 mars 2025, les combattants Wazalendo, alliés aux Forces armées de la RDC (FARDC), ont réussi à stopper l'avancée des rebelles du M23 vers la cité de Mwenga, dans la province du Sud-Kivu. Selon des sources locales, des combats violents opposent les deux camps depuis plusieurs jours, alors que les rebelles, soutenus par l'armée rwandaise, tentent d'étendre leur contrôle dans la région.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une résistance farouche face à l'expansion du M23</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le territoire de Mwenga constitue un enjeu stratégique majeur dans la province du Sud-Kivu. Face à la progression du M23, les Wazalendo et les FARDC ont intensifié leurs efforts pour préserver la souveraineté nationale. D'après des habitants et des sources militaires, les combats se concentrent principalement sur plusieurs axes menant vers Mwenga, où les rebelles cherchent à renforcer leur présence.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Dans la partie sud du Sud-Kivu, les rebelles ambitionnent de prendre le contrôle total de la plaine de la Ruzizi, en direction de la ville d'Uvira. Cette stratégie vise à établir une continuité territoriale entre les positions qu'ils occupent déjà dans le Nord-Kivu et celles qu'ils convoitent dans le Sud-Kivu.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Bukavu sous une administration rebelle</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La situation reste tendue dans la province, en particulier à Bukavu, chef-lieu du Sud-Kivu. Depuis quelques semaines, cette ville stratégique est tombée sous le contrôle des rebelles du M23 et de l'Alliance Fleuve Congo (AFC), dirigée par Corneille Nangaa. Ces groupes armés y ont installé une administration parallèle, perturbant l'ordre établi et semant l'inquiétude parmi les populations locales.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les habitants de Bukavu font face à des restrictions imposées par ces forces rebelles, qui réorganisent les structures administratives et renforcent leur contrôle sur la ville. Cette occupation suscite des réactions vives de la part du gouvernement congolais, qui dénonce une violation flagrante de la souveraineté nationale.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une situation en constante évolution</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Alors que la situation reste volatile, les FARDC et les combattants Wazalendo poursuivent leur lutte pour contenir l'expansion du M23 et de ses alliés. Des renforts militaires auraient été déployés dans la région pour consolider les positions des forces loyalistes et empêcher toute avancée rebelle vers Mwenga et Uvira.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais appelle la communauté internationale à une réaction rapide face à la détérioration de la situation sécuritaire dans l'Est du pays. Pendant ce temps, les populations locales continuent de subir les conséquences des affrontements, entre déplacements forcés, violences et instabilité chronique.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L'issue de cette confrontation demeure incertaine, mais la résistance des Wazalendo aux côtés des FARDC témoigne d'une détermination à empêcher une nouvelle progression du M23 dans la région du Sud-Kivu.</span></p>

sécurité Sud-Kivu : les combattants Wazalendo stoppent l’avancée du M23 vers Mwenga

La résistance s'organise dans l'Est de la République démocratique du Congo (RDC). Le mercredi 5 mars 2025, les combattants Wazalendo...

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Gabriel Kamba : "La crise dans l'Est ne date pas de 30 ans. Elle dure depuis l'indépendance du pays"

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKxWjL13DKeWfX2NlJy5bWftR3tO9oH2G4v1qvV2vKeaJ5LVUbigeDRhTNCAqpvUlUsv5pbmHrht0FcGUNoXm34NjblYdZFIWxNAkH05AMzpWdPlUwt1j4TMj_NEVOaI6agCBEhUFpRVwFzT8CvQhCblGO6XdPL_9NEChMlAomVElg_ETcjaYPT1chfd8D/s278/images%20-%202025-03-06T201630.265.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="181" data-original-width="278" height="248" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKxWjL13DKeWfX2NlJy5bWftR3tO9oH2G4v1qvV2vKeaJ5LVUbigeDRhTNCAqpvUlUsv5pbmHrht0FcGUNoXm34NjblYdZFIWxNAkH05AMzpWdPlUwt1j4TMj_NEVOaI6agCBEhUFpRVwFzT8CvQhCblGO6XdPL_9NEChMlAomVElg_ETcjaYPT1chfd8D/w381-h248/images%20-%202025-03-06T201630.265.jpeg" width="381" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La situation en République démocratique du Congo (RDC) demeure tendue en raison des conflits persistants dans l'Est du pays, alimentés en grande partie par l'exploitation illégale des ressources naturelles. Face à cette crise, la ministre des Affaires étrangères de la RDC, Thérèse Kayikwamba Wagner, a appelé la communauté internationale à imposer un embargo contre le Rwanda. Cette mesure vise à réprimer l'exploitation et l'exportation illégales des ressources naturelles congolaises par le voisin rwandais.</span><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la responsabilité internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Lors d'un entretien avec les corps diplomatiques accédités en RDC le mercredi 5 mars 2025, la ministre déclare avoir en sa possession des preuves accablantes, notamment celles contenues dans le rapport du groupe d'experts des Nations unies. Ces documents attestent d'un lien direct entre l'exploitation des ressources naturelles en RDC et leur exportation vers le Rwanda.</span></p><p><span style="font-family: arial;">« Nous avons, à travers le rapport du groupe d'experts, au-delà de nos propres rapports, établi un lien direct entre l'exploitation des ressources naturelles en République démocratique du Congo et les exportations au Rwanda. Raison pour laquelle nous appelons à un embargo pour certaines ressources naturelles du Rwanda, puisque nous savons qu'elles viennent de la RDC et que nous sommes conscients des circonstances dans lesquelles ces ressources sont exploitées », a-t-elle affirmé.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le Rwanda pointé du doigt pour ses actions en RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Depuis plusieurs années, Kigali est accusé de soutenir les groupes armés actifs dans l'Est de la RDC, notamment le mouvement rebelle du M23. Cette milice, responsable de nombreuses exactions, serait financée en partie par la vente illicite des ressources naturelles congolaises, extraites des zones sous son contrôle. L'exploitation illégale du coltan, de l'or et d'autres minerais stratégiques alimente ainsi le conflit et fragilise davantage la stabilité régionale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les Nations unies et plusieurs ONG internationales ont maintes fois alerté sur cette situation, dénonçant le rôle de Kigali dans la pérennisation de l'insécurité dans la région des Grands Lacs. La ministre congolaise a insisté sur la nécessité de mettre un terme à ces pratiques en sanctionnant directement les acteurs impliqués.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Des réactions internationales en faveur de la RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L'appel à un embargo a déjà trouvé un écho favorable au sein de la communauté internationale. En guise de première mesure de rétorsion, l'Allemagne a annoncé la suspension de ses nouveaux engagements financiers envers le Rwanda. D'autres pays pourraient suivre cette initiative afin de faire pression sur Kigali et d'encourager une résolution pacifique du conflit.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais espère que cette mobilisation internationale contraindra le Rwanda à cesser son ingérence en RDC et à respecter le droit international. En attendant, la RDC continue de plaider pour des sanctions plus fermes et une surveillance accrue du commerce des minerais dans la région.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Vers un avenir plus stable pour l'Est de la RDC ?</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L'initiative de la ministre Thérèse Kayikwamba Wagner s'inscrit dans une volonté de restaurer la souveraineté de la RDC et d'assurer un développement économique plus juste pour ses populations. Si l'embargo venait à être adopté, il pourrait non seulement affaiblir les circuits illégaux d'exploitation des ressources naturelles, mais aussi réduire le financement des groupes armés et ouvrir la voie à une paix durable.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Toutefois, la mise en place d'une telle mesure dépendra de la volonté des grandes puissances et des instances internationales à traduire les engagements diplomatiques en actions concrètes. La RDC reste donc en attente d'une réponse ferme et efficace de la communauté internationale face à cette crise qui dure depuis trop longtemps.</span></p><p></p><p></p>

sécurité Gabriel Kamba : "La crise dans l'Est ne date pas de 30 ans. Elle dure depuis l'indépendance du pays"

La situation en République démocratique du Congo (RDC) demeure tendue en raison des conflits persistants dans l'Est du pays, alimentés e...

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L’UE réitère son engagement à intensifier ses efforts pour soulager les populations affectées

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjfU0r6DmTkEGlQ7_tBD3cinbXF8bl4sbPREuToamqFeSsdsKW6aftgvXavCg_GF_q1EYbDIjaZYXQLndamXZ-FdnP-YryousM8SjFMOsdZvX_6mk385pPnP32YeswW3v2en6utWFEsCYD9mHp7xKkRl58hqaDIh4bJv2bmDd4sA9Y-MXIn0e5jdxejIDg/s711/tshisekedi_et_ambassadeur_johan_borgstam_representant_special_de_l_union_europeenne_rsue_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="285" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjfU0r6DmTkEGlQ7_tBD3cinbXF8bl4sbPREuToamqFeSsdsKW6aftgvXavCg_GF_q1EYbDIjaZYXQLndamXZ-FdnP-YryousM8SjFMOsdZvX_6mk385pPnP32YeswW3v2en6utWFEsCYD9mHp7xKkRl58hqaDIh4bJv2bmDd4sA9Y-MXIn0e5jdxejIDg/w428-h285/tshisekedi_et_ambassadeur_johan_borgstam_representant_special_de_l_union_europeenne_rsue_jpg_711_473_1.jpeg" width="428" /></a></div><br /><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">Du 2 au 5 mars 2025, Johan Borgstam, représentant spécial de l’Union européenne (UE) pour la région des Grands Lacs, a effectué une mission en République démocratique du Congo (RDC) dans le cadre d’une tournée régionale incluant également le Rwanda, l’Éthiopie, la Tanzanie et le Burundi. Cette visite visait à renforcer le soutien européen aux initiatives de paix dans la région et à réaffirmer l’engagement de l’UE en faveur d’une résolution durable du conflit dans l’est de la RDC.</span></span><p></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Rencontres à Kinshasa : un appel à la paix et à la cessation des hostilités</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">À Kinshasa, l’ambassadeur Borgstam a rencontré le président Félix Tshisekedi pour discuter des dernières décisions politiques de l’UE, notamment les perspectives de sanctions contre le Rwanda et les mesures envisagées en réponse à la violation flagrante de l’intégrité territoriale de la RDC. Il a souligné l’urgence pour toutes les parties au conflit de cesser les hostilités et de créer les conditions nécessaires pour un retour à la table des négociations.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">« Je suis très préoccupé par l'escalade du conflit à l'Est du pays, ses conséquences humanitaires désastreuses et les risques d'un embrasement régional. Je tiens à souligner que l'UE soutient les efforts régionaux en faveur d'une solution pacifique du conflit et exhorte toutes les parties au conflit à respecter le cessez-le-feu. J'appelle aussi le Rwanda à retirer ses forces de la RDC », a déclaré Johan Borgstam.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Un engagement renforcé en faveur des populations affectées</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">L’ambassadeur a réitéré l’engagement de l’UE à intensifier ses efforts pour soulager la souffrance des populations affectées par le conflit. Cette déclaration intervient dans un contexte où des milliers de civils sont déplacés, des infrastructures détruites et des besoins humanitaires croissants dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">L’UE soutient déjà plusieurs initiatives humanitaires dans la région, mais Borgstam a insisté sur la nécessité de renforcer ces efforts pour répondre à l’urgence grandissante. Il a également appelé à une meilleure coordination entre les acteurs humanitaires et les autorités locales pour garantir une aide efficace et ciblée.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Dialogue politique et soutien aux processus de paix</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">En plus de sa rencontre avec le président Tshisekedi, Johan Borgstam a eu des échanges avec plusieurs figures politiques clés, dont la Première ministre Judith Suminwa, la ministre des Affaires étrangères Thérèse Kayikwamba, et le Haut représentant du président pour le processus de Luanda, Sumbu Sita. Il a également rencontré Martin Fayulu, ancien candidat à la présidentielle, ainsi que des représentants des caucus des députés du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Ces discussions ont porté sur les efforts diplomatiques en cours, notamment les processus de Luanda et de Nairobi, qui visent à instaurer un dialogue inclusif entre les parties au conflit. L’UE a réaffirmé son soutien à ces initiatives régionales tout en appelant à une mise en œuvre effective des engagements pris.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Un appel au retrait des forces rwandaises</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">L’un des points centraux des discussions a été la demande insistante de l’UE pour un retrait immédiat des forces rwandaises du territoire congolais. L’UE, comme d’autres acteurs internationaux, accuse le Rwanda de soutenir le groupe rebelle M23, ce qui aggrave la crise sécuritaire et humanitaire dans l’est de la RDC.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Borgstam a rappelé que la présence de troupes rwandaises en RDC constitue une violation flagrante de la souveraineté congolaise et un obstacle majeur à la paix. Il a exhorté Kigali à respecter les résolutions internationales et à cesser son ingérence dans les affaires congolaises.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : une crise qui exige une réponse régionale et internationale</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La visite de Johan Borgstam en RDC souligne l’engagement continu de l’UE en faveur de la paix et de la stabilité dans la région des Grands Lacs. Alors que le conflit dans l’est de la RDC continue de s’aggraver, l’UE réitère son soutien aux initiatives diplomatiques régionales et appelle à une cessation immédiate des hostilités.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">L’UE reste déterminée à intensifier ses efforts humanitaires pour soulager les souffrances des populations affectées, tout en exigeant que toutes les parties respectent les principes de souveraineté et d’intégrité territoriale. La crise dans l’est de la RDC reste une priorité pour la communauté internationale, et l’UE joue un rôle clé dans la recherche d’une solution durable.</span></p>

sécurité L’UE réitère son engagement à intensifier ses efforts pour soulager les populations affectées

Du 2 au 5 mars 2025, Johan Borgstam, représentant spécial de l’Union européenne (UE) pour la région des Grands Lacs, a effectué une mission ...

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Ottawa, Londres , Canada… : les sanctions s’abattent sur le Rwanda

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtqzhV5WpuJrl75tFsD88c0CbKqNqY0oloBprFuxfs9iUBDK4Llv-WzKKNmFGsFeCkdlDYHzjUfKHP2rfPuo4qlTeS8uFiTeR_yhQTTecXVD4aapec67b2YA4bBitIAK3VWbKS0bLe1S3e4sZ3AXCf4OWdxYyWQlnU9m_M9xYyWHnGXNnZE4ATvCTccBrh/s800/imageresize%20(1).jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="533" data-original-width="800" height="278" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtqzhV5WpuJrl75tFsD88c0CbKqNqY0oloBprFuxfs9iUBDK4Llv-WzKKNmFGsFeCkdlDYHzjUfKHP2rfPuo4qlTeS8uFiTeR_yhQTTecXVD4aapec67b2YA4bBitIAK3VWbKS0bLe1S3e4sZ3AXCf4OWdxYyWQlnU9m_M9xYyWHnGXNnZE4ATvCTccBrh/w417-h278/imageresize%20(1).jpeg" width="417" /></a></div><br /><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">Le Rwanda, dirigé par le président Paul Kagame, est sous le feu des critiques et des sanctions internationales pour son implication présumée dans le conflit qui ravage l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Après la Belgique, la Grande-Bretagne, le Canada et l’Allemagne ont récemment imposé des mesures sévères contre Kigali, accusé de soutenir le groupe rebelle M23 et de violer la souveraineté congolaise. Ces sanctions marquent un tournant dans la pression internationale exercée sur le Rwanda, alors que la crise dans l’est de la RDC continue de s’aggraver.</span></span><p></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Le Canada sanctionne Kigali</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le Canada a été l’un des premiers à réagir fermement. Lundi, Ottawa a annoncé une série de mesures punitives contre le Rwanda, dénonçant « une violation flagrante » de la souveraineté de la RDC. Dans un communiqué conjoint, la ministre des Affaires étrangères Mélanie Joly, le ministre du Développement international Ahmed Hussen et la ministre de la Promotion des exportations Mary Ng ont condamné « dans les termes les plus fermes » l’avancée du M23, qualifié de groupe terroriste, et son contrôle récent de plusieurs zones dans l’est de la RDC.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Les sanctions canadiennes incluent :</span></p><ul style="color: #404040; font-size: 16.002px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0; padding-left: calc(var(--ds-md-zoom)*24px);"><li><p style="font-size: var(--ds-md-font-size); line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px;"><span style="font-family: arial;">La suspension des permis d’exportation de biens et technologies contrôlés vers le Rwanda.</span></p></li><li style="margin-top: 4px;"><p style="font-size: var(--ds-md-font-size); line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px;"><span style="font-family: arial;">L’arrêt des nouvelles initiatives commerciales entre les deux gouvernements.</span></p></li><li style="margin-top: 4px;"><p style="font-size: var(--ds-md-font-size); line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px;"><span style="font-family: arial;">La restriction du soutien aux entreprises privées engagées dans des activités économiques avec Kigali.</span></p></li><li style="margin-top: 4px;"><p style="font-size: var(--ds-md-font-size); line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px;"><span style="font-family: arial;">La réévaluation de la participation du Canada aux événements internationaux organisés par le Rwanda.</span></p></li></ul><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">En outre, le Haut-commissaire rwandais au Canada a été convoqué pour être informé des mesures prises par Ottawa. Le gouvernement canadien a également exprimé son inquiétude face aux atrocités commises dans l’est de la RDC, notamment les attaques contre les civils, les déplacés, les humanitaires et les soldats de la paix. « Nous sommes particulièrement alarmés par les rapports faisant état de violences sexuelles en lien avec le conflit visant les femmes et les filles », ont souligné les ministres.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Pour soutenir les populations affectées, le Canada a annoncé une enveloppe de 15 millions de dollars canadiens pour l’aide humanitaire en RDC.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">L’Allemagne suspend son aide au développement</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">L’Allemagne a emboîté le pas mardi en annonçant la suspension de ses nouvelles aides au développement au Rwanda. Berlin a justifié cette décision par l’offensive du M23 dans l’est de la RDC, soutenue selon les experts de l’ONU par des soldats rwandais. Le ministère allemand de la Coopération a déclaré : « Nous allons suspendre de nouveaux engagements financiers, revoir la coopération existante avec le gouvernement rwandais dans le domaine de la coopération au développement, suspendre la participation de haut niveau aux événements de politique de développement du gouvernement rwandais. »</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Berlin a également condamné fermement la prise des villes de Goma et Bukavu par le M23, qualifiant ces actions de « violation de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de la RDC ». Le gouvernement allemand a réitéré ses demandes pour un « retrait des forces armées rwandaises et l’arrêt du soutien au M23 ».</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">La pression internationale s’intensifie</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Ces sanctions s’ajoutent à celles déjà imposées par d’autres pays, dont la Belgique et la Grande-Bretagne. Le Royaume-Uni a notamment suspendu son aide au Rwanda, à l’exception des fonds destinés aux groupes les plus vulnérables, tant que Kigali ne retire pas ses troupes et ne s’engage pas sérieusement dans un processus de paix.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La communauté internationale, sous l’égide de l’Union africaine, de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) et de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC), continue de soutenir les efforts diplomatiques pour une résolution pacifique du conflit. Les processus de Luanda et de Nairobi, visant à instaurer un dialogue entre les parties, restent au cœur des initiatives régionales.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Un appel incessant de Kinshasa</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais, dirigé par le président Félix Tshisekedi, n’a cessé d’appeler la communauté internationale à imposer des sanctions contre le Rwanda. Kinshasa accuse Kigali de soutenir militairement et financièrement le M23, un groupe rebelle responsable de violences massives et de déplacements de population dans l’est de la RDC.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Les récentes sanctions internationales semblent répondre à ces appels, renforçant la position de la RDC dans sa lutte pour préserver sa souveraineté et mettre fin à l’ingérence rwandaise.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : un Rwanda sous pression</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le Rwanda, autrefois considéré comme un partenaire clé de l’Occident en Afrique, est désormais confronté à un isolement croissant sur la scène internationale. Les sanctions imposées par le Canada, l’Allemagne, la Belgique et la Grande-Bretagne marquent un tournant dans la crise congolaise, tout en soulignant l’urgence d’une solution durable pour mettre fin aux souffrances des populations de l’est de la RDC.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Alors que la pression internationale s’intensifie, la balle est désormais dans le camp de Kigali, qui doit choisir entre poursuivre son soutien au M23 ou s’engager dans une voie de paix et de coopération régionale.</span></p>

sécurité Ottawa, Londres , Canada… : les sanctions s’abattent sur le Rwanda

Le Rwanda, dirigé par le président Paul Kagame, est sous le feu des critiques et des sanctions internationales pour son implication présumée...

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L’ambassadeur des États-Unis en (RDC) a condamné avec fermeté les récents enlèvements de patients perpétrés par le groupe rebelle M23 dans un hôpital de Goma

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhziN1Gtke1FxsZB6tY-EiK29QfNZjRWv6w-M3ywKKciDJno4NVevu34nwOzK3-IUdxaVeb2Ag0cFAYdxKsw0LD5W42o22dEZ_1bmUDRts-wLYLAN5C_hTdfHAngDMXvPCqLkr6L8dpPLvl3P3ZzqQqLq3YYHCIn7AmeQwZ6cmjQQfJU1nSOxtR_kroKBYs/s800/WhatsApp%20Image%202023-10-19%20at%2020.01.03.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="321" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhziN1Gtke1FxsZB6tY-EiK29QfNZjRWv6w-M3ywKKciDJno4NVevu34nwOzK3-IUdxaVeb2Ag0cFAYdxKsw0LD5W42o22dEZ_1bmUDRts-wLYLAN5C_hTdfHAngDMXvPCqLkr6L8dpPLvl3P3ZzqQqLq3YYHCIn7AmeQwZ6cmjQQfJU1nSOxtR_kroKBYs/w428-h321/WhatsApp%20Image%202023-10-19%20at%2020.01.03.jpeg" width="428" /></a></div><br /><p></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Dans une déclaration faite ce mercredi 5 mars 2025, le diplomate américain a dénoncé ces actes comme une preuve supplémentaire du « mépris » du M23 pour la paix et les droits humains dans l’est de la RDC.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Une violation flagrante des droits humains</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">L’ambassadeur a qualifié les enlèvements de « odieux » et a rejeté les dénégations du M23, affirmant que le groupe armé doit être tenu responsable de toutes ses violations des droits humains. « Les récents enlèvements de patients dans les hôpitaux par le M23 montrent une fois de plus son mépris pour la paix dans l’est de la RDC et son mépris pour la population de cette région », a-t-il déclaré. Il a ajouté : « Il n’y a aucune excuse pour ces actes odieux. Les dénégations du M23 n’ont aucune crédibilité. »</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Ces déclarations font suite à une opération menée par le M23 dans la nuit du dimanche 2 mars, au cours de laquelle au moins 112 personnes, dont des patients et des garde-malades, ont été enlevées de l’Hôpital CBCA/Ndosho à Goma. Les rebelles ont pénétré dans l’établissement vers 3 heures du matin, semant la panique parmi les patients et le personnel médical. Selon des sources locales, les personnes enlevées ont été accusées par le M23 d’être des militaires ou des membres des Wazalendo (forces d’autodéfense locales) se cachant dans l’hôpital.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Une psychose grandissante à Goma</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Cet incident a plongé la population de Goma dans un état de psychose accru. Bien qu’une dizaine de civils aient été relâchés après vérification, le sort des autres personnes enlevées reste inconnu. Les autorités locales et les organisations humanitaires n’ont pas encore pu déterminer où les rebelles ont emmené les victimes.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Les enlèvements dans les hôpitaux, considérés comme des sanctuaires protégés par le droit international humanitaire, constituent une violation grave des normes humanitaires. Ces actes ont suscité une vague d’indignation tant au niveau national qu’international, renforçant les appels à une action urgente pour protéger les civils et mettre fin à l’impunité des groupes armés.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Un appel au cessez-le-feu et au respect de la souveraineté congolaise</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Dans sa déclaration, l’ambassadeur des États-Unis a également appelé toutes les parties impliquées dans la crise dans l’est de la RDC à accepter un cessez-le-feu immédiat et à respecter la souveraineté du pays. « Les États-Unis exhortent toutes les parties à cesser les hostilités et à engager un dialogue constructif pour mettre fin à cette crise », a-t-il déclaré.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Cet appel intervient dans un contexte où la RDC fait face à une escalade des violences dans l’est du pays, avec des groupes armés comme le M23, soutenu selon Kinshasa par le Rwanda, qui continuent de menacer la stabilité régionale. Les États-Unis, aux côtés d’autres partenaires internationaux, ont déjà imposé des sanctions au Rwanda pour son implication présumée dans le conflit.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Une condamnation internationale unanime</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Les enlèvements de patients à Goma ont été condamnés par plusieurs acteurs internationaux, y compris des organisations de défense des droits humains et des diplomates. Ces actes ont été décrits comme une attaque contre les civils et une violation flagrante des principes humanitaires.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La communauté internationale continue de surveiller de près la situation dans l’est de la RDC, tout en appelant à une réponse coordonnée pour protéger les populations civiles et mettre fin à l’impunité des groupes armés. Les États-Unis, en particulier, ont réaffirmé leur engagement à soutenir la RDC dans ses efforts pour rétablir la paix et la stabilité.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : une crise humanitaire et sécuritaire qui exige une action urgente</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;"><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;">Les enlèvements de patients à Goma illustrent une fois de plus la gravité de la crise humanitaire et sécuritaire dans l’est de la RDC. Alors que le M23 continue de semer la terreur, les appels à la responsabilisation des auteurs de ces violations des droits humains se multiplient. La communauté internationale, sous l’impulsion des États-Unis, doit intensifier ses efforts pour soutenir la RDC dans sa lutte pour la paix et la justice, tout en protégeant les civils pris au piège de ce conflit.</span> </span></p>

sécurité L’ambassadeur des États-Unis en (RDC) a condamné avec fermeté les récents enlèvements de patients perpétrés par le groupe rebelle M23 dans un hôpital de Goma

Dans une déclaration faite ce mercredi 5 mars 2025, le diplomate américain a dénoncé ces actes comme une preuve supplémentaire du « mépris »...

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Judith Suminwa, a réaffirmé la détermination de son gouvernement à mettre un terme à l’agression rwandaise dans l’est du pays

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjUhVKM07_eMjk9KlV9yCLTXretgkW_nQUKjxhw4FzZVzj068s4r2Xe5YpdPphikTzXQ0dtejmzLK8iQLX1mTx2nvODXFpeFGbVyPhApY5Q-MSVBXLFGsHcJhFVHL7H9ZAHZK01url5GMM69McZHt8p27ZW_5FNHJkhOvZjzhFbkNteQYdtPx5Bm6j6uwI/s711/kongo_central_matadi_judith_suminwa_05_mars_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="287" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjUhVKM07_eMjk9KlV9yCLTXretgkW_nQUKjxhw4FzZVzj068s4r2Xe5YpdPphikTzXQ0dtejmzLK8iQLX1mTx2nvODXFpeFGbVyPhApY5Q-MSVBXLFGsHcJhFVHL7H9ZAHZK01url5GMM69McZHt8p27ZW_5FNHJkhOvZjzhFbkNteQYdtPx5Bm6j6uwI/w431-h287/kongo_central_matadi_judith_suminwa_05_mars_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="431" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;"><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;">Ce mercredi 5 mars 2025, la Première ministre</span><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"> </span><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;">lors d’un meeting organisé à Matadi, chef-lieu de la province du Kongo Central. Cette étape marque le début d’une tournée nationale visant à mobiliser la population contre l’offensive rwandaise, orchestrée à travers le groupe rebelle AFC-M23, soutenu par Kigali selon les autorités congolaises.</span></span><p></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Un engagement ferme pour la paix et la souveraineté</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Judith Suminwa a rappelé l’importance de l’unité nationale face à cette crise sécuritaire. « Après mon investiture, je me suis rendue à Goma et Bukavu pour montrer mon engagement envers leur situation. En 1998, le Rwanda avait même envahi la province du Kongo Central. Nous ne voulons plus cela. Trente ans, ça suffit. Nous avons décidé de mettre fin à cette guerre injuste imposée par le Rwanda », a-t-elle déclaré devant une foule déterminée.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La Première ministre a souligné que cette guerre, qui dure depuis trois décennies, a causé d’immenses souffrances aux populations congolaises. Elle a appelé à une mobilisation générale pour défendre la souveraineté et l’intégrité territoriale de la RDC, tout en réitérant la volonté du gouvernement de mettre fin à l’ingérence rwandaise.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">La campagne "Congolais Telema" : un appel à l’unité et à la résistance</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Judith Suminwa a expliqué le sens de la campagne « Congolais Telema » (Debout Congolais), lancée pour galvaniser la population et renforcer la cohésion nationale. « Congolais Telema signifie que tous les Congolais doivent s’unir pour gagner cette guerre. Alignons-nous tous derrière le chef de l’État pour vaincre cette guerre. Nous allons chasser les Rwandais qui ont envahi notre pays. Ne leur donnons pas la chance d’avancer », a-t-elle insisté.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Cette campagne vise à sensibiliser les citoyens à l’importance de la solidarité nationale et à les encourager à soutenir les forces de sécurité dans leur lutte contre les groupes armés soutenus par le Rwanda. La Première ministre a également exhorté la population à collaborer avec les forces de l’ordre pour dénoncer les ennemis de la République et contribuer à la sécurisation du pays.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Une tournée nationale pour mobiliser les provinces</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Après le Kongo Central, Judith Suminwa poursuivra sa tournée dans les provinces du Kwilu, du Kwango et du Maï-Ndombe. Cette initiative vise à renforcer la mobilisation nationale contre l’agression rwandaise et à rassembler toutes les forces vives du pays autour d’un objectif commun : la paix et la stabilité.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La Première ministre a rappelé que la guerre dans l’est de la RDC ne concerne pas seulement les provinces directement touchées, mais l’ensemble du pays. « Cette guerre est une menace pour toute la nation. Nous devons tous nous lever pour défendre notre patrie », a-t-elle déclaré.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Un message d’espoir et de détermination</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Judith Suminwa a conclu son discours en lançant un message d’espoir et de détermination. Elle a assuré que le gouvernement, sous la direction du président Félix Tshisekedi, mettrait tout en œuvre pour protéger les populations et rétablir la paix dans les régions affectées. « Nous ne reculerons pas. Nous sommes déterminés à mettre fin à cette guerre et à construire un avenir meilleur pour tous les Congolais », a-t-elle affirmé.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : une nation unie face à l’adversité</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La tournée de Judith Suminwa et son appel à l’unité nationale témoignent de la volonté du gouvernement congolais de faire face à l’agression rwandaise avec détermination et solidarité. Alors que la RDC traverse une période critique de son histoire, la mobilisation de toutes les forces vives du pays apparaît comme un élément clé pour mettre fin à cette crise et construire un avenir de paix et de prospérité.</span></p>

Societé Judith Suminwa, a réaffirmé la détermination de son gouvernement à mettre un terme à l’agression rwandaise dans l’est du pays

Ce mercredi 5 mars 2025, la Première ministre   lors d’un meeting organisé à Matadi, chef-lieu de la province du Kongo Central. Cette étape ...

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Thérèse Kayikwamba exprime sa gratitude au corps diplomatique pour les sanctions contre le Rwanda

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVZuvN_QHbYPf-_1Wq6YCLJx_eFkxkQXzBAjzOM_08zsVx2J-tBHMGoT0EvqPYBNjJZLYn_AHxc7lc-nww6PMlrZVg69yMTWLhsl9E82tIX0Po4pwpnkxaX6HE6gLQoHzXCcUOZ1NEUXnYKlh-WPzLKqt0aJKLCk2oO743po1mGr0p-4-igmIG3HBuWRgf/s730/67c8690f52f7a144419971.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="525" data-original-width="730" height="293" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVZuvN_QHbYPf-_1Wq6YCLJx_eFkxkQXzBAjzOM_08zsVx2J-tBHMGoT0EvqPYBNjJZLYn_AHxc7lc-nww6PMlrZVg69yMTWLhsl9E82tIX0Po4pwpnkxaX6HE6gLQoHzXCcUOZ1NEUXnYKlh-WPzLKqt0aJKLCk2oO743po1mGr0p-4-igmIG3HBuWRgf/w407-h293/67c8690f52f7a144419971.jpg" width="407" /></a></div><br /> <span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">La ministre d’État, ministre des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo (RDC), Thérèse Kayikwamba Wagner, a rencontré ce mercredi 5 mars 2025 les membres du Corps diplomatique accrédités à Kinshasa. Lors de cet échange, elle a exprimé sa reconnaissance pour le soutien international apporté à la RDC dans un contexte de crise sécuritaire persistante dans l’est du pays.</span></span><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Un briefing sur la situation sécuritaire</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Thérèse Kayikwamba a tenu un briefing approfondi sur l’évolution de la situation sécuritaire dans l’est de la RDC, une région en proie à des violences continues impliquant des groupes armés, dont le M23, soutenu selon Kinshasa par le Rwanda. Elle a souligné l’importance de la coopération internationale pour parvenir à une résolution durable des conflits et a remercié les partenaires diplomatiques pour leur engagement en faveur de la paix et de la stabilité en RDC.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Gratitude pour les sanctions contre le Rwanda</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La ministre a salué les sanctions imposées par plusieurs pays et organisations internationales contre le Rwanda, en réponse à son implication présumée dans le conflit en RDC. Parmi les acteurs ayant pris des mesures figurent les États-Unis, le Canada, la Belgique, le Royaume-Uni et l’Union européenne. Ces sanctions visent à exiger le « retrait immédiat » des troupes rwandaises du territoire congolais et à condamner le soutien apporté par Kigali au groupe rebelle M23.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Thérèse Kayikwamba a souligné que ces actions internationales renforcent la position de la RDC dans sa lutte pour préserver son intégrité territoriale et sa souveraineté. Elle a également rappelé que la communauté internationale joue un rôle crucial dans la pression exercée sur le Rwanda pour mettre fin à son ingérence dans les affaires congolaises.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à une coopération renforcée</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La ministre a réitéré l’engagement de la RDC à travailler avec ses partenaires internationaux pour rétablir la paix dans l’est du pays. Elle a appelé à une coopération renforcée pour soutenir les efforts de stabilisation, notamment à travers des initiatives humanitaires, des programmes de développement et des mécanismes de justice transitionnelle.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : un pas vers la résolution du conflit</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Les sanctions internationales contre le Rwanda marquent un tournant important dans la crise qui secoue l’est de la RDC. Le soutien du Corps diplomatique et des partenaires internationaux témoigne de la solidarité envers la RDC dans sa quête de paix et de stabilité. Thérèse Kayikwamba a conclu en réaffirmant la détermination du gouvernement congolais à protéger sa population et à œuvrer pour une résolution durable du conflit, tout en appelant à une mobilisation continue de la communauté internationale.</span></p><p></p>

Diplomatie Thérèse Kayikwamba exprime sa gratitude au corps diplomatique pour les sanctions contre le Rwanda

  La ministre d’État, ministre des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo (RDC), Thérèse Kayikwamba Wagner, a rencontré ...

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Six ans après avoir quitté le pouvoir, Joseph Kabila, ancien président de la (RDC), fait un retour surprenant et calculé sur la scène politique congolaise

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2_NAIviPTmCoZaadoDYYZ9lvCG_Dd8d-pCr_FTR83T9kaZzE6f98h9hyrHQP-uJKTB9AVsntQBTRniEVcjYo3933_ZbQWzThaLL8dArjg5mY9GFNeOx6O_55EJEG4mdFoi8vkk9RqtGbf7axDSl7GNk39-KByp0UvA8V3Z-HQI7HgOivBVWyhw8t5-gvZ/s275/images%20-%202025-03-05T214644.057.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="183" data-original-width="275" height="247" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2_NAIviPTmCoZaadoDYYZ9lvCG_Dd8d-pCr_FTR83T9kaZzE6f98h9hyrHQP-uJKTB9AVsntQBTRniEVcjYo3933_ZbQWzThaLL8dArjg5mY9GFNeOx6O_55EJEG4mdFoi8vkk9RqtGbf7axDSl7GNk39-KByp0UvA8V3Z-HQI7HgOivBVWyhw8t5-gvZ/w371-h247/images%20-%202025-03-05T214644.057.jpeg" width="371" /></a></div><br /><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">Ce come-back, marqué par des apparitions publiques mystérieuses et des tournées dans plusieurs régions du pays, intervient dans un contexte politique et sécuritaire tendu, ravivant les tensions et les spéculations sur ses intentions réelles. Alors que le président Félix Tshisekedi tente de constituer un gouvernement d’union nationale pour faire face à la crise sécuritaire dans l’est du pays, le retour de Kabila brouille les cartes et relance les débats sur l’avenir politique de la RDC.</span></span><p></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Un retour stratégique dans un contexte tendu</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Joseph Kabila, qui a dirigé la RDC de 2001 à 2019, était resté largement en retrait de la scène politique depuis la passation de pouvoir à Félix Tshisekedi. Cependant, ses récentes apparitions publiques et ses déplacements dans plusieurs provinces ont relancé les discussions sur son rôle dans la politique congolaise. Considéré par Kinshasa comme « l’autorité morale » du groupe rebelle AFC/M23, Kabila est perçu comme une figure clé dans les équilibres politiques du pays.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Son retour intervient à un moment critique : le président Tshisekedi cherche à former un gouvernement inclusif pour faire face à la crise sécuritaire dans l’est de la RDC, où le groupe rebelle M23, soutenu par le Rwanda selon les autorités congolaises, continue de menacer la stabilité du pays. Cependant, le come-back de Kabila complique les efforts de Tshisekedi pour rassembler les forces politiques autour d’un projet commun.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Les blessures du passé : l’échec de la coalition FCC-CACH</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le retour de Kabila ravive les souvenirs de l’échec cuisant de la coalition FCC-CACH (Front commun pour le Congo - Cap pour le changement), formée en 2019 entre les partisans de Kabila et ceux de Tshisekedi. Cette alliance, censée incarner une transition harmonieuse après les élections de 2018, s’est rapidement effritée en raison de dissensions sur la répartition des postes et des accusations de mauvaise foi. Le limogeage progressif des proches de Kabila des institutions a creusé un fossé entre les deux camps, laissant des rancœurs durables.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Aujourd’hui, malgré les appels à l’union nationale lancés par Tshisekedi, les partisans de Kabila restent méfiants. Un cadre du FCC, sous couvert d’anonymat, a déclaré : « Nous ne sommes pas prêts à renouveler l’expérience d’une alliance avec Tshisekedi. Les promesses non tenues et les trahisons ont érodé toute confiance. » Cette méfiance mutuelle complique les efforts pour former un gouvernement inclusif capable de faire face aux défis sécuritaires et politiques du pays.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Kabila, un stratège en quête de légitimité ?</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le retour de Kabila est perçu par beaucoup comme une manœuvre stratégique. Proche de l’ancien chef de l’État, un cadre du FCC a confié : « Kabila écoute, observe, mais ne s’engage pas. Il sait que sa seule présence déstabilise le pouvoir en place. » Cette prudence contraste avec l’urgence affichée par Kinshasa, qui cherche à élargir sa base politique pour contrer l’offensive du M23.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Kabila conserve un réseau influent, notamment au sein de l’armée, de l’appareil sécuritaire et dans certaines provinces clés. Ses récentes tournées sont interprétées comme des tentatives de réaffirmer son influence et de tester sa capacité à mobiliser ses partisans. Pour certains observateurs, il s’agit d’une stratégie de long terme visant à repositionner Kabila comme une figure incontournable de la politique congolaise.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Les défis de Tshisekedi : naviguer entre ouverture et autorité</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le président Tshisekedi se trouve dans une position délicate. D’un côté, il doit faire face à la crise sécuritaire dans l’est du pays, où le M23 continue de menacer la stabilité régionale. De l’autre, il doit gérer le retour de Kabila, qui complique ses efforts pour former un gouvernement d’union nationale. Les appels à l’apaisement et à l’inclusion lancés par Tshisekedi se heurtent à la méfiance des partisans de Kabila, qui exigent des « garanties incontestables » avant de s’engager dans une nouvelle alliance.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Pour ses détracteurs, Kabila incarne un « obstacle à l’unité » nationale. Pour ses partisans, il reste un « recours » dans un pays en quête de stabilité. Cette polarisation rend difficile toute tentative de réconciliation politique, alors que la RDC traverse une période critique de son histoire.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Quel avenir pour le dialogue politique ?</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le retour de Joseph Kabila pose la question de l’avenir du dialogue politique en RDC. Alors que Kinshasa tente de rallier toutes les forces vives pour faire face à la crise dans l’est du pays, le silence de Kabila devient un sujet d’irritation. Est-ce une manœuvre de pression, un prélude à une nouvelle alliance, ou simplement l’ultime chant du cygne d’un ancien chef d’État en quête de légitimité ?</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important;"><span style="font-family: arial;">La réponse à cette question dépendra en grande partie de l’évolution de la situation sécuritaire et politique dans les mois à venir. Une chose est sûre : le retour de Kabila ajoute une nouvelle dimension à la complexité de la crise congolaise, où le passé et le présent ne cessent de s’entrechoquer. Dans cette partie d’échecs politique, chaque mouvement est scruté, et l’avenir de la RDC reste incertain.</span></p>

Politique Six ans après avoir quitté le pouvoir, Joseph Kabila, ancien président de la (RDC), fait un retour surprenant et calculé sur la scène politique congolaise

Ce come-back, marqué par des apparitions publiques mystérieuses et des tournées dans plusieurs régions du pays, intervient dans un contexte ...

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Agression rwandaise : le gouvernement congolais exclut tout dialogue direct avec le M23

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2vCTbktRZBxW8ZAcrYgIGQXjRh4jQ_KfX3eAlhU3I9wzT2Hc7Vz0_U-7GVfgMOdneWy29OBXcZltOXyoquPR_aSIcVndkllpFNvpnk4SBa_BOHp96T46ntQsmYi4VS49DcHCjvwXsaWF_ZiUqv11-LiAMd8MHHtEPxKOm8NIKAKHZn6B91GqnaE3XqjQL/s1200/bitmap_1200_nocrop_1_1_20240724073546824145_16fa4297-1721-4ba2-a52f-bcf6dde10322%20(1).jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="799" data-original-width="1200" height="296" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2vCTbktRZBxW8ZAcrYgIGQXjRh4jQ_KfX3eAlhU3I9wzT2Hc7Vz0_U-7GVfgMOdneWy29OBXcZltOXyoquPR_aSIcVndkllpFNvpnk4SBa_BOHp96T46ntQsmYi4VS49DcHCjvwXsaWF_ZiUqv11-LiAMd8MHHtEPxKOm8NIKAKHZn6B91GqnaE3XqjQL/w444-h296/bitmap_1200_nocrop_1_1_20240724073546824145_16fa4297-1721-4ba2-a52f-bcf6dde10322%20(1).jpg" width="444" /></a></div><p></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Malgré les pressions internationales croissantes, la République démocratique du Congo (RDC) maintient sa position ferme de ne pas engager de négociations directes avec le groupe rebelle M23, accusé d’être soutenu par le Rwanda. Cette décision intervient dans un contexte où le conflit dans l’est du pays s’est intensifié, provoquant des milliers de morts et des déplacements massifs de populations.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Une position ferme face au M23 et au Rwanda</span></strong></h3><div><strong><span style="font-family: arial;"><br /></span></strong></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La Première ministre congolaise, Judith Suminwa Tuluka, a réaffirmé la position du gouvernement lors d’une interview accordée à la BBC. Elle a insisté sur le fait que la RDC ne négocierait pas directement avec le M23, mais plutôt avec le Rwanda, qu’elle considère comme l’agresseur principal. « Le fait est que l'agresseur de l'intégrité territoriale et de la souverainte de la République démocratique du Congo est le Rwanda », a-t-elle déclaré, citant un rapport d’experts de l’ONU qui accuse Kigali d’avoir déployé entre 3 000 et 4 000 soldats sur le territoire congolais pour soutenir le M23.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais accuse le Rwanda de soutenir militairement et financièrement le M23, un groupe rebelle qui a réalisé d’importantes avancées dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu au cours des derniers mois. Ces accusations sont corroborées par des rapports internationaux, dont ceux des Nations unies, qui pointent du doigt l’implication directe du Rwanda dans le conflit.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Des pourparlers de paix dans l’impasse</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Les tentatives de médiation, notamment celles menées par l’Angola, ont échoué en décembre dernier. Le Rwanda avait alors exigé que la RDC engage des discussions directes avec le M23, une demande rejetée par Kinshasa. Depuis, le M23 a renforcé son emprise sur plusieurs villes clés, dont Goma et Bukavu, exacerbant la crise humanitaire dans la région.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">En février 2024, lors d’une médiation régionale impliquant l’Afrique de l’Est et l’Afrique australe, les dirigeants ont appelé à un cessez-le-feu, au retrait des « forces armées étrangères non invitées » et à des négociations directes entre « les parties étatiques et non étatiques, y compris le M23 ». Cependant, la RDC reste inflexible sur sa position de ne pas dialoguer avec le groupe rebelle.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Pression internationale sur le Rwanda</span></strong></h3><div><strong><span style="font-family: arial;"><br /></span></strong></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La communauté internationale intensifie sa pression sur le Rwanda pour qu’il retire ses troupes du territoire congolais et cesse son soutien au M23. Les États-Unis ont imposé des sanctions au ministre rwandais de la Défense, James Kabarebe, tandis que la Commission européenne a suspendu ses consultations en matière de défense avec Kigali et réexamine un protocole d’accord sur les matières premières signé en 2023.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le Royaume-Uni a également annoncé la suspension de son aide au Rwanda, à l’exception des fonds destinés aux groupes les plus vulnérables, tant que le pays ne retire pas ses troupes et ne s’engage pas sérieusement dans un processus de paix. Le Rwanda a qualifié ces mesures de « punitives » et a réaffirmé son droit à défendre sa sécurité nationale.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Exploitation illégale des ressources : une source de tension</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La RDC accuse le Rwanda d’exploiter illégalement ses ressources minières dans l’est du pays, une accusation que Kigali rejette. Judith Suminwa Tuluka a salué les décisions de la Commission européenne, affirmant que « l'exploitation illégale des ressources est l'une des causes du conflit ». Cette question reste un point de friction majeur entre les deux pays, alimentant les tensions régionales.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">La question des FDLR</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le Rwanda, de son côté, accuse la RDC de collaborer avec les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), un groupe rebelle composé en partie de combattants impliqués dans le génocide rwandais de 1994. La Première ministre congolaise a nié ces allégations, tout en affirmant que son gouvernement s’engageait à « neutraliser » les militants des FDLR présents sur son territoire.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Quelle issue pour le conflit ?</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Interrogée sur les solutions possibles au conflit, Judith Suminwa Tuluka a répondu que la clé résidait dans le retrait des troupes rwandaises du territoire congolais et la cessation des violences du M23 contre les populations civiles. « Faire en sorte que les troupes rwandaises se retirent du territoire congolais et que le M23 cesse de tuer les populations congolaises », a-t-elle déclaré.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : une crise aux multiples dimensions</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important;"><span style="font-family: arial;">Le conflit dans l’est de la RDC est une crise complexe, mêlant enjeux sécuritaires, politiques et économiques. Alors que la pression internationale sur le Rwanda s’intensifie, la RDC reste déterminée à ne pas négocier directement avec le M23, insistant sur le rôle central du Rwanda dans l’aggravation de la crise. La résolution du conflit passera par un retrait des forces rwandaises, une neutralisation des groupes armés et une coopération régionale renforcée pour rétablir la paix et la stabilité dans la région des Grands Lacs.</span></p><p><span style="font-family: arial;"> </span></p>

sécurité Agression rwandaise : le gouvernement congolais exclut tout dialogue direct avec le M23

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Mambasa : Des affrontements meurtriers entre les FARDC et des présumés Wazalendo à Makumo

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8i-yUNSDVxOfVDV_Z2PZB7GhpeDc11rBQFa0NesmctV6kMcC_W6ZN6z1JpV2I7Z5Sr5MVCENR1HryEARea8_XkQZjSuju4HVDvUA_2Ts7w7jhrE6ojN-mdj3n8e_OU60jxyI-wONoT4QM01u0y1xMBrlFLHeJDWwP5BGmcyQjdFu1qW5kheRrA_fyozj_/s711/fardc_pm_25_png_711_473_1.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="293" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8i-yUNSDVxOfVDV_Z2PZB7GhpeDc11rBQFa0NesmctV6kMcC_W6ZN6z1JpV2I7Z5Sr5MVCENR1HryEARea8_XkQZjSuju4HVDvUA_2Ts7w7jhrE6ojN-mdj3n8e_OU60jxyI-wONoT4QM01u0y1xMBrlFLHeJDWwP5BGmcyQjdFu1qW5kheRrA_fyozj_/w440-h293/fardc_pm_25_png_711_473_1.png" width="440" /></a></div><br /><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">Dans la matinée du lundi 3 mars 2025, des accrochages violents ont opposé les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) à des miliciens Mai-Mai se réclamant des Wazalendo dans la localité de Makumo, située dans le territoire de Mambasa, au sud-ouest de la province de l’Ituri. Selon la Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC), trois miliciens ont été tués lors de ces échanges de tirs, bien que les causes exactes des affrontements restent encore floues.</span></span><p></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Une présence controversée des présumés Wazalendo</span></strong></h3><div><strong><span style="font-family: arial;"><br /></span></strong></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La présence des miliciens Wazalendo dans la région de Makumo est au cœur des tensions. Selon Jospin Mbowa Paluku, porte-parole de la NSCC, ces groupes armés, qui prétendent lutter contre les rebelles ougandais des ADF (Forces Démocratiques Alliées), se sont installés dans la zone depuis octobre 2024. Cependant, leur véritable rôle est remis en question, car ils sont accusés de harceler les agriculteurs locaux et de commettre des violations des droits humains.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">« Ces miliciens se sont introduits dans la région sous prétexte de traquer les ADF, mais en réalité, ils sèment la terreur parmi les populations civiles », a déclaré Jospin Mbowa Paluku. Les Wazalendo sont notamment accusés de meurtres, de tracasseries envers les civils et de recrutement forcé d’enfants, des pratiques qui ont exacerbé les tensions dans la région.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;"><br /></span></strong></h3><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Des affrontements aux conséquences meurtrières</span></strong></h3><div><strong><span style="font-family: arial;"><br /></span></strong></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Les échanges de tirs entre les FARDC et les présumés Wazalendo ont fait trois morts parmi les rangs des miliciens. Bien que les FARDC n’aient pas encore communiqué officiellement sur les circonstances précises de ces affrontements, il semble que ces accrochages soient liés à la volonté des forces gouvernementales de rétablir l’ordre et de protéger les populations civiles contre les exactions des milices.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La région de Mambasa, déjà fragilisée par des années de conflits et d’instabilité, est confrontée à une situation sécuritaire complexe. La présence de multiples groupes armés, dont les ADF et les Wazalendo, rend la tâche des FARDC particulièrement difficile. Ces affrontements illustrent les défis auxquels font face les forces de sécurité congolaises dans leur lutte pour stabiliser la région.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;"><br /></span></strong></h3><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Une population civile prise en étau</span></strong></h3><div><strong><span style="font-family: arial;"><br /></span></strong></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Les populations civiles de Makumo et des environs sont les premières victimes de ces violences. Les agriculteurs, déjà confrontés à des difficultés économiques, voient leurs activités perturbées par les exactions des miliciens. Les déplacements de population, bien que non encore chiffrés, pourraient s’intensifier si les affrontements se poursuivent.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La NSCC appelle à une intervention urgente pour protéger les civils et rétablir la paix dans la région. « Il est impératif que les autorités prennent des mesures pour mettre fin à l’impunité des groupes armés et garantir la sécurité des populations », a insisté Jospin Mbowa Paluku.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;"><br /></span></strong></h3><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Un contexte sécuritaire alarmant</span></strong></h3><div><strong><span style="font-family: arial;"><br /></span></strong></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La province de l’Ituri, et plus particulièrement le territoire de Mambasa, est en proie à une instabilité chronique. La présence des ADF, des Wazalendo et d’autres groupes armés complique les efforts de pacification. Les FARDC, malgré leur détermination, peinent à contenir la multiplicité des menaces dans cette région reculée et difficile d’accès.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Par ailleurs, la question des Wazalendo, souvent présentés comme des « patriotes » luttant pour la défense du territoire, reste controversée. Si certains groupes agissent effectivement dans l’intérêt des communautés locales, d’autres profitent de cette appellation pour justifier des activités criminelles.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;"><br /></span></strong></h3><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : un appel à la stabilisation et à la justice</span></strong></h3><div><strong><span style="font-family: arial;"><br /></span></strong></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Les affrontements de Makumo soulignent l’urgence de renforcer la sécurité dans la région de Mambasa et de mettre fin à l’impunité des groupes armés. Les FARDC, avec le soutien des autorités locales et de la communauté internationale, doivent redoubler d’efforts pour protéger les populations civiles et rétablir l’ordre.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important;"><span style="font-family: arial;">En parallèle, il est essentiel de promouvoir des initiatives de désarmement, de démobilisation et de réinsertion (DDR) pour les miliciens prêts à déposer les armes. La stabilisation de l’Ituri passe par une approche globale, incluant la justice, la réconciliation et le développement économique, afin d’offrir aux populations locales une alternative durable à la violence.</span></p>

sécurité Mambasa : Des affrontements meurtriers entre les FARDC et des présumés Wazalendo à Makumo

Dans la matinée du lundi 3 mars 2025, des accrochages violents ont opposé les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) à...

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