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Tension monte à LAMUKA : Bemba et Katumbi dans la peur d’un aller à l’Union Sacrée sans retour

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF9YIiipY5A43x2A-NP6_tY0r62q9oma69C7cnKLUxu0TSXKK4B2pH2FZFzKuV5mujQRfcfaQSSb3G_99Izyq8XUKbNq_cLHmueQquEj2-O-iA9_vIEw5sLXLy2AsvCuvudebwD_7G-2-F/s640/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%252838%2529.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF9YIiipY5A43x2A-NP6_tY0r62q9oma69C7cnKLUxu0TSXKK4B2pH2FZFzKuV5mujQRfcfaQSSb3G_99Izyq8XUKbNq_cLHmueQquEj2-O-iA9_vIEw5sLXLy2AsvCuvudebwD_7G-2-F/s320/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%252838%2529.jpg" width="320" /></a></div><br />Depuis décembre Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi cherchent à passer de la galère à la lumière en récupérant ce que le régime déboulonné leur a fait priver.<br /><br />Après avoir été affiché clairement la volonté de soutenir la vision de Félix Tshisekedi dont ils ont combattu l’élection en décembre 2021, Bemba et Katumbi justifient leur allégeance au pouvoir de Kinshasa par le fait que la mission pour LAMUKA était celle de combattre la dictature installée par l’ancien président de la République, Joseph Kabila et scellée par la fin de la coalition FCC-CACH et la mise hors gestion des fidèles du clan Kabila dans les Institutions du pays. Visiblement Bemba et Katumbi semblent ignorer et jeter en pâture la charte de LAMUKA qui appelait à résister à la dictature , revendiquer la vérité des urnes et obtenir des réformes institutionnelles, etc. Nul ne pouvait aller à l’encontre de cette feuille route au risque de se faire exclure.<br /><br />Et alors qu’ils étaient sept à la création de Lamuka à Genève en octobre 2018. Réduits rapidement à cinq après le retrait des signatures de Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe, les cinq survivants sont partis à l’assaut des postes mis en jeu à l’occasion des élections générales du 30 décembre 2018. On en connaît les résultats.<br /><br />Les partis proches de Moïse Katumbi ont fait bonne figure, ceux proches de Jean-Pierre Bemba ont fait de même.

Bénéficiant de larges moyens de pression (radios, télévisions et journaux occidentaux) financés par les soutiens de la rencontre de Genève, ce dernier a mis sur pied une stratégie de confiscation du label Lamuka, sous couvert du combat pour la vérité des urnes, dont la finalité était d’assurer sa seule visibilité au détriment des vrais poids lourds de la coalition.<br /><br />Après l’avoir suivi aveuglément pendant de nombreux mois, les autres fondateurs de Lamuka ont fini par comprendre le jeu et l’enjeu. Le jeu, c’est de continuer à capter seul l’attention des supporters des différents partis ayant soutenu le candidat Lamuka à la présidentielle de 2018. Et l’enjeu, c’est de s’imposer déjà comme le candidat de la même plateforme pour la présidentielle de 2023.<br /><br />Bemba et Katumbi ont finalement ouvert les yeux et décidé, chacun de son côté, de se concentrer sur les activités de leurs propres formations politiques.

<br /><br />Ce réveil a contrarié les calculs du duo Fayulu-Muzito qui a décidé, le 26 février 2021, de faire le ménage. Il a annoncé qu’il va désormais piloter seul ce qui reste de la coalition Lamuka, « après avoir constaté une auto exclusion de Katumbi et Bemba du fait de leur appartenance à l’Union Sacrée ».<br /><br />A ce stade , la peur du gendarme dérange les leaders de la coalition LAMUKA Bemba et Katumbi qui ne veulent pas prendre le risque de se distancer définitivement la coalition genevoise bien que l’acte qu’ils ont posé consacre le décès de LAMUKA.<br /><br />Cette incertitude du lendemain politique est dûe au manque de sincérité de Félix Tshisekedi qui pourrait tout temps casser la baraque et retourner sa casaque de Genève. En cas d’un grain de sable dans la machine , Bemba et Katumbi mèneraient leur combat politique à LAMUKA raison pour laquelle ils ne sont prêts à laisser leurs places au sein de la coalition genevoise vides étant donné qu’ils aspirent eux aussi à être candidats en 2023.<br /><br />Voilà la théorie du complot monté par ces deux rats politiques plus ambitieux qu’ils ne l’ont été en 2018 quand ils n’étaient éligibles à être candidats à la présidentielle de 2018 en raison de leur casier judiciaire.<br /><br />La cellule politique de LAMUKA a annoncé que Moïse Katumbi prendrait la tête du présidium d’ici avril en vue de prendre une décision consensuelle telle que le veut la charte qui régit la coalition.

<br /><br />Comment Moïse et Bemba peuvent-ils vouloir soutenir Félix Tshisekedi et appartenir à LAMUKA ? Comment voudront-ils combattre les dérives dictatoriales , revendiquer la vérité des urnes alors qu’ils ont part au gâteau de la République ?<br /><br />Martin Fayulu resté fidèle à sa ligne du combat serait le seul à incarner la coalition LAMUKA et avoir un discours pouvant être accepté au cas Bemba et Katumbi arrivent à être tournés en bourrique. Ils sont conscients que n’importe quand tout peut arriver voilà la raison de vouloir entretenir le flou artistique sur le plan national en réclamant la paternité de LAMUKA en lieu et place de s’assumer politiquement.<p> Par Gédéon ATIBU</p>

Politique Tension monte à LAMUKA : Bemba et Katumbi dans la peur d’un aller à l’Union Sacrée sans retour

Depuis décembre Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi cherchent à passer de la galère à la lumière en récupérant ce que le régime déboulonné le...

Modeste Bahati Lukwebo élu président du Sénat

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOtH30L1Q8YwuZB5Erjp5QE9H-IEG5rF4GHLR9EYVm45h4-_uQlHCp95FBNSgniezJ_NxGAkbMFvtOFGnvHHmWX0QJHbQv_qnQsbmWb1GBnV9wFAR_UkfWnyBa-h1U9Dixjkcb4XoXTB-p/s640/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%252826%2529.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOtH30L1Q8YwuZB5Erjp5QE9H-IEG5rF4GHLR9EYVm45h4-_uQlHCp95FBNSgniezJ_NxGAkbMFvtOFGnvHHmWX0QJHbQv_qnQsbmWb1GBnV9wFAR_UkfWnyBa-h1U9Dixjkcb4XoXTB-p/s320/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%252826%2529.jpg" width="320" /></a></div>Candidat unique au poste du président du Sénat, Bahati Lukwebo vient d’être élu ce mardi 02 mars 2021 avec une majorité écrasante de 89 voix sur 98 votants.<br /><br />Plusieurs fois Ministre, le Président et initiateur de l’AFDC, Bahati Lukwebo a promis lors de la campagne électorale du bureau définitif du Sénat, d’apporter toute son expertise pour redorer l’image de la chambre haute du Parlement Congolais.<br /><br />Francis OTSHUDI <p> </p>

Politique Modeste Bahati Lukwebo élu président du Sénat

Candidat unique au poste du président du Sénat, Bahati Lukwebo vient d’être élu ce mardi 02 mars 2021 avec une majorité écrasante de 89 voix...

Sénat : Kanyimbu Michel élu rapporteur avec 91 voix

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmk29nBFD0-eFirxDPEIfg-oll6g5INxNvpN8doCi79cA-xvE_I-2uRLpxotUM85EWIv1bhSmBeTL1DVIksNF0nmBRDBQebjTW9c1V2gYM6ZPi_gcCBk_n52QbLDFeJ5GpVeXeUl3mnq3-/s640/IMG-20210302-WA0106.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmk29nBFD0-eFirxDPEIfg-oll6g5INxNvpN8doCi79cA-xvE_I-2uRLpxotUM85EWIv1bhSmBeTL1DVIksNF0nmBRDBQebjTW9c1V2gYM6ZPi_gcCBk_n52QbLDFeJ5GpVeXeUl3mnq3-/s320/IMG-20210302-WA0106.jpg" width="320" /></a></div><br />Le candidat Michel Kanyimbu Shindani a été élu rapporteur du bureau définitif du sénat avec 91 voix sur 97 votants.<br /><br />Il remplace à ce poste Kaumba Lufunda, qui avait démissionné le vendredi 5 février 2021 après le dépôt d’une pétition pour sa destitution.<br /><br />Pendant ce temps, le dépouillement se poursuit pour le poste de rapporteur adjoint où 4 candidats sont dans la course.<br /><br />Rédaction<br /><br />

Politique Sénat : Kanyimbu Michel élu rapporteur avec 91 voix

Le candidat Michel Kanyimbu Shindani a été élu rapporteur du bureau définitif du sénat avec 91 voix sur 97 votants. Il remplace à ce poste K...

Questeur Sénat : Carole Agito et Dieudonné Fikiri au deuxième tour

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhwZn3DFV3W7MHBoHRvqZLc3aJZEXMUsqQx1jftlYG7zkGfx8AoS_yZDsDuELXijSwdFJ50qYwIir6R5YwrFBSwLWnUycqzg74Q7Mv0L66ZDkd8mEMOtyJ3MosjEIBtU6WQAeEOzFtfGKL-/s640/IMG-20210302-WA0079.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhwZn3DFV3W7MHBoHRvqZLc3aJZEXMUsqQx1jftlYG7zkGfx8AoS_yZDsDuELXijSwdFJ50qYwIir6R5YwrFBSwLWnUycqzg74Q7Mv0L66ZDkd8mEMOtyJ3MosjEIBtU6WQAeEOzFtfGKL-/s320/IMG-20210302-WA0079.jpg" width="320" /></a></div>La sénatrice Carole Agito Amela et le sénateur Dieudonné Fikiri Alimasi sont qualifiés au deuxième tour de l’élection du Questeur du sénat.<br /><br />Les deux sénateurs ont obtenu 38 pour l’ancienne Directrice générale de la société nationale d’assurance et 26 voix pour Dieudonné Fikiri Alimasi.<br /><br />Conformément à l’article 23 du règlement d’ordre intérieur, le président du bureau d’âge ordonne le second tour pour départager les deux candidats.<br /><br />D’jessy M’boma B<p> </p>

Politique Questeur Sénat : Carole Agito et Dieudonné Fikiri au deuxième tour

La sénatrice Carole Agito Amela et le sénateur Dieudonné Fikiri Alimasi sont qualifiés au deuxième tour de l’élection du Questeur du sénat. ...

RDC : Likulia Bakumi Lucien-René nommé auditeur général des FARDC près la Haute Cour militaire

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4VwlpyYn-qFvn-RPqn436igoYHlvr2i6j5vhs_ccXxZQkAK8fOk1EXZb927IhE_T-vi81D1Svn1s10HrSK4KcUI60pBrFMfFLWO5jrYuYKN9uKbqmvo3A4gKIR_OMtqLB5eaQ_S9loSCV/s640/ad71ff9504af19d3c6493d127c7fe103.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4VwlpyYn-qFvn-RPqn436igoYHlvr2i6j5vhs_ccXxZQkAK8fOk1EXZb927IhE_T-vi81D1Svn1s10HrSK4KcUI60pBrFMfFLWO5jrYuYKN9uKbqmvo3A4gKIR_OMtqLB5eaQ_S9loSCV/s320/ad71ff9504af19d3c6493d127c7fe103.jpg" width="320" /></a></div><p></p><br />Lucien Likulia a été nommé au grade de lieutenant général des Forces Armées de la République démocratique du Congo (FARDC) par le président Félix Tshisekedi ce mardi 2 mars 2021.<br /><br />Il a également été nommé auditeur général des Forces Armées de la République près la haute cour militaire.<br /><br />L'ordonnance présidentielle a été lue sur les antennes de la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC), par le porte-parole du chef de l'État, Kasongo Mwema Yamba Y'amba.<br /><br />À noter que jusque-là, Likulia Bakumi Lucien-Réné, était premier avocat général des Forces Armées et Officier près la Haute Cour Militaire.<br /><br />Jephté Kitsita<p> </p>

sécurité RDC : Likulia Bakumi Lucien-René nommé auditeur général des FARDC près la Haute Cour militaire

Lucien Likulia a été nommé au grade de lieutenant général des Forces Armées de la République démocratique du Congo (FARDC) par le président ...

Félix Tshisekedi demande à la Cenco de s'occuper plutôt de l'Eglise que des élections

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgggG8tJCe7-hli0a5G-0tSTdDBtRy1EXEYI4AhPrY46v16dCTlp50BxroA6nJL0NT5FxSgkpD-vR7N9zYGP06LcxgDdSpsn3O9WaIc1YJ-Fm6x1uug6DYs6OXEv0R0iUE02ro1sq2n_x5j/s640/d46e5271f53a74e1db10a874881628ab.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgggG8tJCe7-hli0a5G-0tSTdDBtRy1EXEYI4AhPrY46v16dCTlp50BxroA6nJL0NT5FxSgkpD-vR7N9zYGP06LcxgDdSpsn3O9WaIc1YJ-Fm6x1uug6DYs6OXEv0R0iUE02ro1sq2n_x5j/w320-h180/d46e5271f53a74e1db10a874881628ab.jpg" width="320" /></a></div> Dans un document intitulé "Élections 2023: ne confondons pas les rôles", la présidence de la République démocratique du Congo (RDC) demande à la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) de s’occuper des affaires de l’église et non des élections qui sont l’apanage de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).<br /><br />Voici l'intégralité de ce document : <br /><br />Après un mutisme longtemps observé sur la scène politique, les évêques catholiques de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) font à nouveau parler d’eux. Pour peu, on croirait à un désir de buzz ou à une polémique tendancieuse. Ils ont, comme qui dirait, rajouté une couche aux hallucinations d’un journaliste en mal de sensation, Gauthier Rybisnki, d’une chaîne française tout aussi critique à l’endroit du régime actuel, étalant ainsi à la face du monde des accointances mal dissimulées. Alors que la République déplore encore l’assassinat récente de l’ambassadeur italien et ses compagnons d’infortune, victimes du terrorisme, ils ont voulu attirer l’attention du monde en tenant un discours de la peur, rejoignant ainsi, dans leurs déclarations, certains acteurs politiques qui avaient, en leur temps, juré de décourager tout investisseur étranger à venir s’installer en RDC.

<br /><br />En relançant le débat sur la tenue des prochaines élections constitutionnellement fixées en 2023, il y a lieu de s’interroger sur la raison de leur scepticisme dans la mesure où le moindre soupçon de « glissement du mandat » n’a jamais effleuré l’esprit de celui à qui les Congolais ont confié leur destinée par la voie des urnes en décembre 2018.<br /><br />D’où vient alors la peur des princes de l‘église ? Une peur dont ils ont du mal à se départir au point d’imputer gratuitement à Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo les relents autrefois accrocheurs décelés dans le chef de son prédécesseur, jouant la montre sur fond de reports incessants du scrutin présidentiel. Nous disons: ayez vos apaisements et ne confondez pas les rôles ni non plus vitesse et précipitation!<br /><br />Par ailleurs, cet intérêt toujours soutenu des prélats catholiques, bien que compréhensible dans un environnement où les langues se sont définitivement déliées grâce au nouveau leadership incarné par le Président de la République, traduit néanmoins un engagement excessif qui les place paradoxalement loin de leur sacerdoce et des lieux de culte. Des discours aux senteurs politiques, des accointances avec des officines obscures; tout ça est digne d’un activisme insurrectionnel et, cerise sur le gâteau, atteste des attitudes partisanes, contraires à leur statut social.

<br /><br />La question de l’organisation des élections est du domaine exclusif de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). L’immixtion de la Cenco dans ce qui ne relève pas de sa compétence est simplement ahurissante, voire provocante pour des pères spirituels mués, pour le besoin de la cause, en politiques engagés au détriment de leurs brebis livrés à eux-mêmes. On se souvient tous de ces pics lancés au lendemain de la proclamation des résultats de la présidentielle de décembre 2018 qui donnaient Félix-Antoine Tshisekedi vainqueur, lesquels traduisaient manifestement leur sentiment de dépit face à la tournure des évènements.<br /><br />Des résultats entérinés par la Cour constitutionnelle mais pour lesquels la Cenco avait trouvé à redire, prétextant qu’ils ne correspondaient pas à ceux collectés par sa propre mission d’observation. Entretemps, les preuves attendues pour confirmer la victoire de son protégé, le héros de Genève, n’ont jamais été présentées à la Haute Cour.<br /><br />Rappelons à ce sujet que la Cenco avait poussé l’outrecuidance jusqu’à devancer la Ceni – pourtant le seul organe habilité – dans la diffusion des résultats par ses propres canaux, violant ainsi gravement autant la Constitution, la loi électorale que la Charte de bonne conduite en la matière. Avait-elle les moyens de projeter des résultats alors qu’elle ne maîtrisait que près de 25.000 bureaux de vote? Difficile dans ces cas de figure de s’ériger en donneur de leçons.

<br /><br />Qu’à cela ne tienne! Après une facilitation laborieuse ayant accouché d’un accord de Saint Sylvestre dont l’application a toujours été sujette à caution, la Cenco a cru bon d’embarquer le nouveau pouvoir dans une nouvelle aventure sans issue au nom d’un énième compromis politique.<br /><br />Avec un engagement politique extrême, on l’a de nouveau retrouvée dans le processus de désignation du successeur de Corneille Naanga à la tête de la Céni. Là encore, elle s’est faite grillée par des structures religieuses concurrentes qui ne supportaient pas son diktat. À y regarder de près, il en est résulté un brin de confiance et un discrédit patent dans la mesure où la population s’en était offusquée!<br /><br />Plutôt que de céder à cette distraction, le peuple congolais a d’autres préoccupations liées à l’amélioration de ses conditions de vie. La Cenco veut certes porter la croix des sans voix en parlant insécurité, santé, autosuffisance alimentaire, bonne gouvernance, éducation, lutte contre la corruption etc.<br /><br />Mais il s’agit-là d’autant des chantiers prioritaires pour lesquels le Chef de l’État s’investit corps et âme et ne ménage aucun effort. La gratuité scolaire qui ne semble pas plaire aux écoles conventionnées catholiques vient en première ligne puisqu’elle concerne nos enfants, l’avenir de la RDC.

<br /><br />À cela s’ajoutent des réformes au niveau institutionnel qui touchent notamment le système électoral, la Céni, la loi électorale, la fiscalité… dont les projets de loi y relatifs sont en attente d’être examinées au Parlement, cette institution dont la majorité a basculé, laquelle donnera les coudées franches au Président de la République dans la matérialisation de sa vision au profit de ses concitoyens. Nous sommes en présence d’un processus qui avance et qui aboutira avec le concours de tous les patriotes. Il n’y aura pas de place à la magie!<br /><br />A présent qu’un brin d’éclairci commence à poindre à l’horizon, la sortie de la Cenco apparait comme un coup de pied gratuit dans une fourmilière, sans savoir exactement ce qui en résulterait.<br />LM<br />congo-press.com (MCP) <p></p>

Politique Félix Tshisekedi demande à la Cenco de s'occuper plutôt de l'Eglise que des élections

Dans un document intitulé "Élections 2023: ne confondons pas les rôles", la présidence de la République démocratique du Congo (RD...

Révision constitutionnelle : la bombe d’Antoine Félix Tshisekedi!

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiAbT1WicEz66N_Ibpa6oFFjLhySyWHqPd1Wu9JU7bEvAwgIlBc9jdAs4c4wMuIUUbVvdGGPJ0QNeXW2KU3t3lrLLpV-sQ-jeQcYYBV4kpglVX42yjjavMtLIxuHmjwOjQEWm7GRVens57I/s500/20201017134431009963-Conseil1.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="332" data-original-width="500" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiAbT1WicEz66N_Ibpa6oFFjLhySyWHqPd1Wu9JU7bEvAwgIlBc9jdAs4c4wMuIUUbVvdGGPJ0QNeXW2KU3t3lrLLpV-sQ-jeQcYYBV4kpglVX42yjjavMtLIxuHmjwOjQEWm7GRVens57I/s320/20201017134431009963-Conseil1.jpg" width="320" /></a></div> Dans les couloirs de la présidence, il se murmure que le Chef de l’État et ses hommes préparent minutieusement une révision constitutionnelle. Fort de la majorité écrasante de plus de 3/5 détenue par l’Union Sacrée dans les deux chambres, cette modification de la Constitution pourrait être votée à la faveur d’un Congrès à organiser au cours du second semestre de l’année en cours. Dans le laboratoire du Président Tshisekedi, Yezu Kitenge, Jean-Marc Kabund et Christophe Mboso préparent une véritable bombe. Pour comprendre les tenants et aboutissants de ce projet, un petit retour en arrière sur l’évolution récente du paysage politique congolais est nécessaire.<br /><br />Au fil des semaines, des révélations troublantes sont mises à jour sur la plus vaste opération de basculement politique jamais opérée dans une démocratie moderne sans recourir à des élections, mais par la seule volonté du Prince. Ce changement spectaculaire va probablement enrichir les livres de sciences politiques et donner matière à réflexion aux politologues du monde entier.<br /><br />À la suite de ce basculement historique, le remplacement de Jeanine Mabunda a fait l’objet d’une bataille dont les secrets viennent d’être dévoilés. Au départ, le casting proposé au Président de la République par ses proches collaborateurs prévoyait le remplacement de l’élue de Bumba par Jean-Pierre Lihau, un jeune turc issu de la même province. Issu de la lignée du Professeur Lihau, célèbre fondateur de l’UDPS, cet ancien directeur de cabinet d’Aubin MInaku faisait parfaitement l’affaire.<br /><br />Malheureusement pour le jeune élu, c’était sans compter sur les ambitions des vieux loups qui rôdaient autour de la dépouille de Mabunda et des vestiges des FCC.

C’est ainsi que le président a.i. de l’UDPS, l’honorable Jean-Marc Kabund, grand ordonnateur du bouleversement du paysage politique, a été approché par Christophe Mboso Nkodia, le doyen d’âge et président du Bureau provisoire de l’Assemblée Nationale afin de lui proposer un autre schéma que celui de Jean-Pierre Lihau.<br /><br />L’appât présenté au Président a.i. fut la demande de fonds de 12 millions de dollars adressée par le bureau provisoire de l’Assemblée Nationale afin d’organiser la session extraordinaire chargée ratifier la zone de libre-échange et de procéder à l’élection du Bureau définitif de l’Assemblée Nationale. Immédiatement saisi par cette demande de fonds, le ministre des Finances avait initialement exigé une ventilation des rubriques des dépenses alignées par Christophe Mboso. Ce dernier s’opposa vigoureusement à la demande d’explication du gouvernement. En recourant au soutien de Jean-Marc Kabund, le doyen de l’Assemblée obtint gain de cause auprès du ministre des Finances. C’était le début d’une véritable romance entre le président a.i. de l’UDPS et Christophe Mboso déterminés à prouver sa docilité à son jeune mentor.<br /><br /> <br /><br />Ayant fait totale allégeance au régime, l’ex-FCC Mboso, allait bouleverser les cartes. Selon un des témoins de l’échange entre l’honorable JM Kabund et le président du Bureau Provisoire, ce dernier n’y est pas allé par quatre chemins pour crucifier les ambitions du jeune Lihau. « Pourquoi voulez-vous donner la présidence du Bureau définitif de l’Assemblée à un jeune dont vous ne connaissez pas les ambitions ? Moi, je peux vous garantir que je peux vous être plus utile. À mon âge, je n’ai pas d’autres ambitions que de terminer dignement ma carrière. Vous pouvez tout me demander ! » a déclaré Christophe Mboso la main sur le cœur. Convaincu du degré d’engagement du président du bureau d’âge de l’Assemblée, le Président Félix Tshisekedi décidait de changer la distribution des rôles et de renvoyer Lihau sur le banc. En guise de lot de consolation, le Chef de l’État promettait à son jeune allié de lui confier un poste ministériel important dans le nouveau gouvernement. Il ne restait plus à Christophe Mboso et à son bureau provisoire qu’à écarter tous les candidats opposés au ticket de l’Union Sacrée.

<br /><br />Fort de son nouveau statut de Président de l’Assemblée Nationale, c’est sans aucune difficulté que Christophe Mboso était intégré dans le cercle fermé des stratèges du Président Tshisekedi. Font partie de ce cercle, Jean-Marc Kabund et Yezu Kitenge, celui-là même qui, au début des années 90, associé à Tshimbombo Mukuna, Honoré Ngdanda et Vunduawe te Pemako, élaboraient les stratégies les plus machiavéliques visant à faire obstacle à la Conférence Nationale pour maintenir le maréchal Mobutu au pouvoir le plus longtemps possible. Aujourd’hui, le bureau de stratégies a pour seul objectif que celui d’élaborer les plans et les actions visant le maintien de Félix Tshisekedi au pouvoir.<br /><br />Pour peu, avec Yezu Kitenge, on serait tenté de reprendre le titre du fameux roman d’Alexandre Dumas, « Vingt ans après » pour stigmatiser le retour en force des membres de la dernière garde du président Mobutu autour du Président Tshisekedi. En première ligne, Yezu Kitenge, Tshimbombo Mukuna et Christophe Mboso encadrent Jean-Marc Kabund pour écarter tous les adversaires politiques qui se dressent sur la route d’une réélection de Félix Tshisekedi à la tête de la RDCongo.<br /><br />Aux dires d’un conseiller à la Présidence, Christophe Mboso a vendu au Président de l’UDPS a.i. un plan de bataille détaillé visant à neutraliser voire éliminer tous les adversaires du Président de la République. « À l’Est, le Président Tshisekedi ne peut plus compter sur Vital Kamerhe. Dans le grand Kivu, le seul qui peut nous faire de l’ombre c’est Matata ! Il a beaucoup d’argent et les Occidentaux l’apprécient. On doit l’empêcher de rêver ! » affirme le nouveau président de l’Assemblée. « Son analyse vient renforcer à point nommé les appréhensions du Président Tshisekedi qui avait déjà le rapport explosif de l’IGF sur le complexe agro-industriel de Bukanga Lonzo. De quoi mettre l’ancien Premier Ministre sur le gril et demander à la Justice d’accélérer son cours afin de mettre Augustin Matata hors course. Au terme de la même analyse, Jean-Pierre Bemba devra demeurer sous la coupe de l’arrêt de la Cour Constitutionnelle qui assimile la subornation de témoins pour laquelle il a été condamné par la Cour Pénale Internationale à la Corruption.

L’homme fort de Gemena demeurera inéligible.<br /><br />Reste donc un gros morceau à avaler pour ouvrir la route de 2023 à Félix Tshisekedi ! Il s’agit de Moïse Katumbi. L’ancien gouverneur du Katanga ne s’étant pas laissé attirer par le poste de Premier Ministre qu’on lui avait fait miroiter, il demeure le tout dernier obstacle dans la course à la Présidentielle. Pour arriver à bout du patron de TP Mazembe qui dispose aujourd’hui de la première force politique structurée au sein de l’Union Sacrée, deux camps s’opposent au sein de la Présidence. Il y a ceux qui continuent à confectionner des dossiers afin de traduire à nouveau Moïse Katumbi devant les cours et tribunaux et obtenir une condamnation définitive dans les deux prochaines années et ceux qui pensent que recourir, comme l’avait fait à l’époque Joseph Kabila, à de faux procès en instrumentalisant la justice, ne servira qu’à jeter le discrédit sur le régime.<br /><br />Dans le laboratoire dirigé par Yezu Kitenge, il est désormais acquis que face à Moïse Katumbi, il faudra faire preuve d’ingéniosité et d’adresse si on ne veut pas s’attirer les foudres de la Communauté Internationale. “Les Congolais veulent qu’on lève l’option de mettre fin à l’exclusivité de la nationalité congolaise”, affirme le nouveau Président de l’Assemblée qui ajoute “Puisqu’il faut réouvrir la Constitution sur cette question de nationalité, on doit en profiter pour imposer la règle que pour être candidat à la présidentielle il faut être de père et de mère congolais”. Et l’homme de Kenge de conclure “Les députés et les Sénateurs qui ont rallié l’Union Sacrée ne vont pas s’opposer à cette modification qui va dans le sens d’offrir la double nationalité à des millions de Congolais vivant à l’étranger”. En réalité, ce changement dans la Constitution ramène le débat de la Congolité.

À l’image de l’Ivoirité de triste mémoire qui a mis la Côte d’Ivoire à feu et à sang pendant plus de dix années, sur les conseils de Yezu Kitenge et de Christophe Mboso, le président Tshisekedi est tenté de réouvrir ce dossier afin de priver Moïse Katumbi de toutes ambitions présidentielles. Et d’une pierre deux coups, au sein de la Présidence, il se dit que Martin Fayulu, l’opposant radical incontrôlable, serait lui aussi sous le coup de cette révision constitutionnelle puisque d’aucuns lui attribuent un lien direct avec le Cameroun.<br /><br />“En restreignant la nationalité d’origine et la candidature à l’élection présidentielle à une conditionnalité d’être de père et de mère congolais, le Président Félix Tshisekedi va se tirer une balle dans le pied. Lui aussi va devoir se retirer de la course puisque Maman Marthe est angolaise”, tonne un responsable de la société civile qui pressent que la révision concoctée dans le laboratoire de Yezu Kitenge et de Jean-Marc Kabund va conduire le pays dans un nouveau cycle de violence généralisée. L’homme poursuit en déclarant que “Si rien n’est fait pour obliger les pyromanes qui entourent Félix Tshisekedi à ranger leurs allumettes, tout le pays va s’embraser”.

<br /><br />Si la nomination du Premier Ministre Sama Lukonde a calmé les frustrations des populations katangaises qui ont vu plusieurs leaders être démis de leur fonction ou arrêtés, les plans élaborés dans les officines du pouvoir et les menaces qui pèsent à nouveau sur l’avenir de Moïse Katumbi vont inévitablement conduire à de nouvelles tensions bien difficiles à gérer pour le jeune Chef du Gouvernement. À peine va-t-il embrasser les nombreux défis qui l’attendent que Sama Lukonde va devoir démontrer son indépendance d’esprit et sa marge de manœuvre face à ceux qui lui ont remis les clés de la Primature…<br /><br />A très bientôt<br /><br />Congovox.com<p></p>

Politique Révision constitutionnelle : la bombe d’Antoine Félix Tshisekedi!

Dans les couloirs de la présidence, il se murmure que le Chef de l’État et ses hommes préparent minutieusement une révision constitutionnel...

Affaire auto-exclusion de Lamuka : voici la réponse de Katumbi et Bemba à Fayulu et Muzito

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg717q_mm0BEG67oZyp2AYQ3ctKRAbppeosP9_-eTcaOUXm3E1V5J7WDH9tjWJKmhVrJg8HmLUfRy1uBp6rBkP0befNoKV-TZKxSnD6Bs3WW-vVm_JxnsX1rmUenfjMCA6IYIXa6ljg67zA/s640/screenshot_2018-11-29-jean-pierre-bemba-sur-twitter-tous-derrire-martinfayulu-592x296-1543512337.png" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg717q_mm0BEG67oZyp2AYQ3ctKRAbppeosP9_-eTcaOUXm3E1V5J7WDH9tjWJKmhVrJg8HmLUfRy1uBp6rBkP0befNoKV-TZKxSnD6Bs3WW-vVm_JxnsX1rmUenfjMCA6IYIXa6ljg67zA/s320/screenshot_2018-11-29-jean-pierre-bemba-sur-twitter-tous-derrire-martinfayulu-592x296-1543512337.png" width="320" /></a></div> De gauche à droite Moise Katumbi et J.P Bemba, deux hommes politiques congolaise ©photo de tiers<br /><br />Le feuilleton auto-exclusion de Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi au sein de Lamuka n’a pas encore dit son dernier mot. Dans un communiqué signé par les représentants de ces leaders, il a été indiqué, en effet, que, l’action menée par Moise KATUMBI et Jean-Pierre BEMBA, ayant pour objectif de mettre fin à la dictature Kabiliste est conforme aux objectifs de LAMUKA.<br /><br />Les députés nationaux Ève Bazaiba, Christian Mwando, Lungwana et Boris Mbuku, tous de Lamuka aile Katumbi- Bemba, estiment, à cet effet, que “tout communiqué du Présidium de LAMUKA doit être signé par quatre leaders qui composent le Présidium”.<br /><br /><br /><br /><br />Et d’ajouter :<br /><br />“Toute décision ou communiqué n’ayant pas obtenu la signature des quatre leaders n’engage pas le Présidium de LAMUKA.”

<br /><br />Ci-dessous l’intégralité du communiqué de Lamuka aile Katumbi- Bemba, parvenu à election-net.com:<br /><div style="-webkit-tap-highlight-color: transparent; background-color: white; border-width: 0px; color: rgba(0, 0, 0, 0.87); font-size: 16px; line-height: 0.24rem; margin: 0px 0px 0.12rem; overflow-wrap: break-word; padding: 0px;"><figure style="-webkit-tap-highlight-color: transparent; border-width: 0px; font-size: 0.16rem; line-height: 0.24rem; margin: 0px 0px 0.12rem; overflow-wrap: break-word; padding: 0px;"><span class="view-HD-pictures-wrap" style="display: block; font-size: 0.16rem; line-height: 0.24rem; margin-bottom: 0px; min-height: 200px; overflow-wrap: break-word; overflow: hidden; position: relative;"><img alt="" class="view-HD-pictures" data-image-height="1017" data-image-width="720" data-src="https://res.6chcdn.feednews.com/assets/v2/ed006386fdf4bdd9ca9d4b404f3357ed-1?source=nlp&quality=uhq&format=jpeg&resize=720" lazy="loaded" src="https://res.6chcdn.feednews.com/assets/v2/ed006386fdf4bdd9ca9d4b404f3357ed-1?source=nlp&quality=uhq&format=jpeg&resize=720" style="background-color: #f2f2f2; border-radius: 0.03rem; display: block; font-size: 0.16rem; line-height: 0.24rem; margin-bottom: 0.16rem; margin-top: 0.04rem; overflow-wrap: break-word; width: 800px;" /><span class="view-HD-pictures" style="background-image: linear-gradient(transparent, rgb(0, 0, 0)); border-radius: 0px 0px 4px 4px; bottom: 0.16rem; color: white; font-size: 0.12rem; height: 0.35rem; line-height: 0.35rem; margin: 0px; opacity: 0.6; overflow-wrap: break-word; position: absolute; text-align: center; width: 800px;">Voir les images dans l'appli et economisez jusqu'à 80% de data</span></span></figure><p style="-webkit-tap-highlight-color: transparent; border-width: 0px; color: #222222; font-family: MicrosoftYaHei; letter-spacing: 0px; line-height: 24px; margin: 0px 0px 0.12rem; overflow-wrap: break-word; padding: 0px;">Il sied de noter qu’à l’issue de la réunion convoquée la semaine dernière par l’actuel coordinateur, Martin Fayulu, le communiqué final avait indiqué que le Présidium avait observé que Jean-Pierre BEMBA et Moïse KATUMBI ont librement adhéré à l’USN. Étant donné que les lois du pays ne reconnaissent pas le droit d’appartenir à la fois à deux organisations politiques différentes et opposées, le Présidium prend acte de leur retrait volontaire.</p><p style="-webkit-tap-highlight-color: transparent; border-width: 0px; color: #222222; font-family: MicrosoftYaHei; letter-spacing: 0px; line-height: 24px; margin: 0px 0px 0.12rem; overflow-wrap: break-word; padding: 0px;"><br /></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: transparent; border-width: 0px; color: #222222; font-family: MicrosoftYaHei; letter-spacing: 0px; line-height: 24px; margin: 0px 0px 0.12rem; overflow-wrap: break-word; padding: 0px;">Liévin LUZOLO</p></div>

Politique Affaire auto-exclusion de Lamuka : voici la réponse de Katumbi et Bemba à Fayulu et Muzito

De gauche à droite Moise Katumbi et J.P Bemba, deux hommes politiques congolaise ©photo de tiers Le feuilleton auto-exclusion de Jean-Pierr...

RDC : Sama Lukonde boucle les consultations, 56 délégations reçues en sept jours

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKCKPqFhurLH2sU7eoLv1bbQrpAqVB0UTbQYcqat0EjzD7WdWGkkYR8V4ONres7_vkw2pRD5WwK293tT1OBh7RsDEk1XBd-QboREOj273d7gcDrkvVNM6bdpIRSQir6_OTnwql3fWu4nMs/s640/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%25285%2529.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKCKPqFhurLH2sU7eoLv1bbQrpAqVB0UTbQYcqat0EjzD7WdWGkkYR8V4ONres7_vkw2pRD5WwK293tT1OBh7RsDEk1XBd-QboREOj273d7gcDrkvVNM6bdpIRSQir6_OTnwql3fWu4nMs/s320/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%25285%2529.jpg" width="320" /></a></div>Sept jours ouvrés ont suffit au premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, pour consulter 56 délégations issues des forces politiques, des organisations socio-professionnelles et de la Société civile. S’il a officiellement clôturé, ce 1er Mars 2021, la série de rencontres entamées le 22 février dernier, il met le cap vers la formation du Gouvernement.<br /><br /><br />Des journées bien pleines avec des audiences qui s’enchaînent au moment que la compilation progressive des propositions… tel a été le rythme auquel était soumis le formateur du Gouvernement de l’Union sacrée de la Nation au cours de cette longue semaine.

<br /><br /><br /><br />Autant Sama Lukonde a expliqué à tous interlocuteurs l’enjeu de missions lui assignées par le chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, en rapport avec le programme du Gouvernement, autant il leur a donné les orientations précises quant aux critères édictés pour les candidats aux différents postes ministériels.<br /><br />Bien plus, le Premier ministre s’est mis à l’écoute, avec un sens d’ouverture apprécié par tous, des attentes et des suggestions des uns et des autres par rapport non seulement à l’équipe gouvernementale en formation mais aussi au programme du Gouvernement à élaborer.<br /><br />Avec la clôture de ces consultations, Jean-Michel Sama Lukonde va devoir accélérer, dès ce mardi 2 mars, le travail de compilation et de toilage de listes de candidats ministres soumis par les regroupements politiques de l’Union sacrée de la Nation en vue de présenter, à l’attention du chef de l’Etat, le rapport de ses consultations avec en annexe la mouture de la composition de son équipe gouvernementale.<br /><br />Des observateurs estiment que cela pourrait être possible dans les prochaines 72 heures. Et éventuellement, si tout se passait bien, l’ordonnance présidentielle pourrait être signée par le président de la République dans les 10 prochains jours.<br /><br />Ce qui permettrait, soutiennent des analystes, au Premier ministre d’avoir le temps nécessaire de peaufiner son Programme gouvernemental à présenter devant l’Assemblée nationale aussitôt après l’ouverture de la session parlementaire ordinaire de Mars. L’objectif étant d’obtenir l’approbation dudit Programme et l’investiture de son Gouvernement.

<br /><br /><br />Une équipe gouvernementale souhaitée être de « combat » d’autant plus qu’elle sera astreinte à délivrer des résultats au regard des missions lui assignées, lesquelles sont en phase avec les attentes du peuple.<br /><br />Pour y parvenir, le premier ministre a la lourde mission de proposer ses hommes et des femmes épris de compétence, de probité morale, d’abnégation et de patriotisme.<br /><br />A tous ses interlocuteurs, Jean-Michel Sama Lukonde n’a cessé d’insister sur l’impératif pour tout candidat de disposer d’un casier judiciaire vierge et d’etre obligé de signer le Code d’éthique et de déontologie de l’agent public de l’Etat.<br /><br />Une dernière évidence : le Gouvernement de l’Union Sacrée de la Nation sera réduite de taille par rapport à l’actuel et tiendra compte de la représentativité de jeunes, particulièrement des femmes. 
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Il n’est pas exclu que le 3/4 de ses membres soient de nouvelles figures.<br /><br />En rappel, le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge a mené ces consultations, du 22 Février au 1er Mars 2021, au 10ème niveau de l’Hotel du Gouvernement à Kinshasa.<br /><br />zoom-eco.net<p> </p>

Politique RDC : Sama Lukonde boucle les consultations, 56 délégations reçues en sept jours

Sept jours ouvrés ont suffit au premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, pour consulter 56 délégations issues des forces politique...

Primature: JB Mpiana, Bozi Boziana et Nyoka Longo parmi les artistes reçus par Sama Lukonde

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgTDKAbwNw1Fqpl2_YapmT_Rk1JEpEhr-_EMaenSgd4dHgvu4YP8L98dV2zfyXR6qP-t_pfY66C6i3IV7eoZSm9OoFSAWR2OLqCZJg5k9Jjs2u6YcQi-spHwMaQT0nckv4yBSdtOLTYbxf/s640/PhotoCollage_20210301_163108590-scaled.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgTDKAbwNw1Fqpl2_YapmT_Rk1JEpEhr-_EMaenSgd4dHgvu4YP8L98dV2zfyXR6qP-t_pfY66C6i3IV7eoZSm9OoFSAWR2OLqCZJg5k9Jjs2u6YcQi-spHwMaQT0nckv4yBSdtOLTYbxf/s320/PhotoCollage_20210301_163108590-scaled.jpg" width="320" /></a></div><br /> En pleine consultations des classes sociales les plus représentatives, le premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge s’est entretenu ce lundi 1er Mars avec quelques artistes musiciens congolais sur invitation.<br /><br />Parmi les musiciens qui ont échangé avec le premier ministre, il y a notammant JB Mpiana, leader de l’orchestre Wenge Musica BCBG et Nyoka Longo, président de la Société Congolaise de Droits d’Auteurs et de Droits Voisins (SOCODA).<br /><br />Cet entretien intervient donc quelques jours après avoir reçu le président du Mouvement de Libération du Congo, Jean-Pierre Bemba Gombo. Faisant aussi parti de l’union sacrée initiée et mis en place par le président Tshisekedi.

<br /><br /><br />Ces consultations du successeur de Sylvestre Ilunga Ilunkamba vont aboutir à la formation du prochain gouvernement, le tout premier de l’union sacrée, le deuxième du président Tshisekedi.<br /><br />Signalons aussi que les cinéastes, les peintres et bien d’autres artistes ont notamment pris part à cette réunion à la primature de la RDC, a l’instar de Masumu Debrindet, président de l’Association de Théâtre Populaire et Cinema.<br /><br /><br /><br />Jegou – Miguel<p></p>

Musique Primature: JB Mpiana, Bozi Boziana et Nyoka Longo parmi les artistes reçus par Sama Lukonde

En pleine consultations des classes sociales les plus représentatives, le premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge s’est entretenu ...

Middlesbrough : le retour de Yannick Bolasie se précise

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiietJ_pPKK-UW042VOU_I6YGtcx0je5IlxHpw9R0pK69YDpkNR3wCrk-gzhmq2K8exf8T8j1OCYIaafOJ0nXa-FYgpeHfFSaF4UpyviJy-4iJEz5Y5SxzcJtyvBEaGB4Lbk5pNqVqbdfKz/s640/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%252837%2529.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiietJ_pPKK-UW042VOU_I6YGtcx0je5IlxHpw9R0pK69YDpkNR3wCrk-gzhmq2K8exf8T8j1OCYIaafOJ0nXa-FYgpeHfFSaF4UpyviJy-4iJEz5Y5SxzcJtyvBEaGB4Lbk5pNqVqbdfKz/s320/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%252837%2529.jpg" width="320" /></a></div>Éloigné de terrain depuis mi-février en raison d’une blessure aux ischio-jambiers, Yannick Bolasie s’est bien remis et a même repris l’entraînement collectif avec Middlesbrough. Le congolais pourra déjà partie du groupe qui affronte Convetry ce soir, mais c’est surtout le week-end prochain qu’il sera bien plus sûr de le revoir sur le terrain.<br /><br /><br />Middlesbrough et ses 4 congolais sont à la recherche d’une place dans les Playoffs de la montée en Premier League. Les Boros ont perdu des points importants au cours de ces dernières rencontres. Comme conséquence, ils sont 9èmes au classement de la Championship avec 47 points, soit 5 de moins que Bournemouth (6ème). Les prochaines sorties seront décisives pour les coéquipiers de Neeskens Kebano et de Britt Assombalonga.<br /><br />Acturdc.com<br /><br />

Sport Middlesbrough : le retour de Yannick Bolasie se précise

Éloigné de terrain depuis mi-février en raison d’une blessure aux ischio-jambiers, Yannick Bolasie s’est bien remis et a même repris l’entra...

Objectif 2023 : UDPS annonce l’investiture des comités dans ses fédérations

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSAFH7BZusTGdLlXXZwNbfL6oAW0qQc9G1Xg_NFVRWN3KlMdgvM8PF5Gtw4iT23EtvtO4q-D5qyfNuOqgHSdV8LSMRyt9JmnzRD9_f5naRflwyxMzne9y9HNItyzvvUbhX7dsia6wAhKX5/s640/IMG-20191213-WA0008-1024x681-1.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSAFH7BZusTGdLlXXZwNbfL6oAW0qQc9G1Xg_NFVRWN3KlMdgvM8PF5Gtw4iT23EtvtO4q-D5qyfNuOqgHSdV8LSMRyt9JmnzRD9_f5naRflwyxMzne9y9HNItyzvvUbhX7dsia6wAhKX5/s320/IMG-20191213-WA0008-1024x681-1.jpg" width="320" /></a></div>C’est en prévision de la conservation du pouvoir que le parti présidentiel, l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) après la grande matinée organisée il y a une semaine, passe à une autre étape. Cette étape concerne une série de cérémonies d’investiture de nouveaux comités fédéraux et cette série commence dès ce dimanche 07 mars 2021.<br /><br /><br />Cette annonce a été faite lors d’un échange qui a lieu le dimanche 28 février, au siège du parti.

Les présidents sectionnaires de la fédération de la Tshangu, conduite par le Président fédéral, Mika Mingha ont été informés de cette mesure par le Secrétaire Général de l’UDPS, Augustin Kabuya en précisant que tous les fédéraux récemment nommés par le Président intérimaire, Jean-Marc Kabund sont concernés par ces événements très importants pour la bonne évolution du parti.<br /><br />Voilà comment se passeront ces événements, à Kinshasa d’abord, tout va commencer avec la fédération de la Funa, le dimanche 07 mars, ensuite viendra le tour de la fédération de Lukunga le 14 mars, la fédération de Mont-Amba, le 21 mars et enfin, la fédération de la Tshangu pour clôturer ce bal d’investiture dans la capitale RD congolaise par une mobilisation tous azimuts au terrain Sainte-Thérése de N’djili, le dimanche 28 mars, précisions faites par le numéro 2 du parti présidentiel, Augustin Kabuya.

<br /><br /><br />«2023 n’est pas loin, mettez-vous au travail », a-t-il instruit ses interlocuteurs avant d’indiquer que ce processus d’investiture des comités fédéraux sera fait concomitamment avec le contrôle physique de tous les membres nommés et va s’étendre dans d’autres fédérations à l’intérieur du pays après l’étape de Kinshasa.<br /><br />Laprosperiteonline.net<p> </p>

Politique Objectif 2023 : UDPS annonce l’investiture des comités dans ses fédérations

C’est en prévision de la conservation du pouvoir que le parti présidentiel, l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) après la ...

Témoignage de Alain Longwa Kayeye, policier membre du bataillon Simba impliqué dans les assassinats de Chebeya et Bazana – Intégralité

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpS9uLNPk8ngRD5KDSeKat8tl-LIukatwt6n_uQXLU9hKNEySCLAvB5R5qmeFNLROtMqZG9ZEz0Eh3YHBX-EeelsYFxOb5rWVrlMlB_NbugqMfcY2iZPhJ1f5YZ-5B4c1Y_dPa_thzQhj3/s640/chebeya1.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpS9uLNPk8ngRD5KDSeKat8tl-LIukatwt6n_uQXLU9hKNEySCLAvB5R5qmeFNLROtMqZG9ZEz0Eh3YHBX-EeelsYFxOb5rWVrlMlB_NbugqMfcY2iZPhJ1f5YZ-5B4c1Y_dPa_thzQhj3/s320/chebeya1.jpg" width="320" /></a></div> Thierry Michel, le cinéaste auteur du film « L’affaire Chebeya, un crime d’Etat » a réalisé deux longues interviews détaillée de deux policiers fugitifs qui reconnaissent avoir participé au crime et en donnent les détails. Ils expliquent aussi comment la général Numbi a exfiltré de Kinshasa, et pour certains de RDC, les principaux acteurs de ces crimes afin de les soustraire à la justice.<br /><br />Je m’appelle Alain Logwa Kayeye, brigadier en chef et chauffeur de Christian Ngoy Kenga Kenga.<br /><br />Le 1er juin 2010, nous étions à la maison.  Nous étions chez Christian Ngy Kenga  Kenga. Vers 7h, Kenga kenga nous a appelés Jacques Mugabo et moi parce que moi, Alain Longwa, Jacques Mugabo,Christian Ngoy kenga Kenga et Paul Milambwe, nous habitions dans une même maison.

<br /><br /><br /><br /><br /><br />Comme j’étais chauffeur, il me demande de préparer un véhicule, car il est appelé en urgence à l’inspection générale de la police puisque John Numbi l’attend<br /><br />Arrivés à l’Inspection générale de la police, Christian descend du véhicule et se dirige vers le bureau de l’inspecteur général de la police,John Numbi.<br /><br />Ce que Christian et l’inspecteur général John Numbi se sont dit, nous n’en savions rien. Après leur entretien, il sort et ordonne d’appeler l’équipe de Mukalay.<br /><br />Équipe composée de Hergil Ilunga et  Saddam. La troisième personne appelée est le lieutenant Bruno Soti, commandant compagnie de 3ème compagnie,le bataillon Simba.<br /><br />Quand nous sommes tous arrivésà l’inspection générale, toute l’équipe était en place. On nous dit de rester là pour une mission à l’inspection générale sur ordre de la hiérarchie. Ordre donné, ordre accepté. Aucun d’entre nous ne savait de quelle mission il s’agissait.<br /><br />Vers 16h30, nous avons vu arriver une voiture de marque Mazda grise.<br /><br />Elle est entrée dans l’inspection générale de la police. Nous avons vu alors la voiture se garer dans le parking réservé aux visiteurs et une personne est sortie de cette voiture qui est passée devant la réception et est montée vers le bureau où Paul Mwilambwe est en poste. Le chauffeur, lui, est resté dans la voiture pendant que nous attendions les ordres.<br /><br />Kenga Kenga sur place a donné l’ordre de menotter le chauffeur et de l’amener dans un autre vehicule où se trouvait Hergil. L’exécution a commencé. On lui a enroulé la tête dans un sachet et scotcher le tout.<br /><br />LE COMMANDO SE DÉBARRASSE DES CORPS DE CHEBEYA ET BAZANA<br /><br />On a pris au chauffeur les clés de la voiture de Chebeya. Et on me les a données. J’ai démarré la voiture et ils m’ont  donné 20 dollars et m’ont dit de prendre la route du cimetière de Mitendi et qu’ils me rejoindraient à l’endroit où se trouve le cimetière  des musulmans. Ils m’ont dit de me garer juste à côté. Ils se sont dirigés vers une concession appartenant au général Djajija.<br /><br />Quand nous sommes arrivés là-bas, ils ont sorti le corps de Bazana  et à cet endroit se trouvait un militaire des Forces Armées. Ils ont pris le corps de Bazana pour l’enterrer.<br /><br />Pendant que nous attendions,  nous avons vu Christian Ngoy enlever le sachet autour de la tête de Chebeya. Ensuite on a mis le corps dans la Mazda.Ils m’ont dit de repartir, de laisser la voiture près du cimetière de MitendI sans rien emporter.<br /><br />

Arrivé à l’endroit qu’ils m’avaient indiqué. Je n’ai rien pris dans la voiture et j’ai continué à pied. Plus tard, un véhicule de la police est venu me récupérer.<br /><br />Une fois qu’ils m’ont récupéré, je me suis retrouvé avec les autres au premier lieu de rendez-vous à la maison de Mukalay. Arrivés à la maison de Mukalay, on a garé le 4X4 Defender du colonel Mukalay. véhicule qui avait servi à l’opération et dont Hergil était le chauffeur.<br /><br />Après nous sommes entrés dans un véhicule appartenant à Kenga Kenga. Avant que les chefs n’aillent se concerter, le colonel Daniel nous donne deux casiers de bière 33 et commence à nous féliciter pour la mission bien accomplie suivant les ordres de la hiérarchie.<br /><br />Le colonel nous dit de partir et qu’il nous contacterait le lendemain après avoir rencontré le général pour nous donner du « savon », une récompense.<br /><br />Ce n’est pas notre décision, moi, simple brigadier, comment aurais-je<br /><br />pu me permettre de tuer quelqu’un à l’inspection générale de la police ? C’est impossible !<br /><br />L’EXFILTRATION DES ACTEURS CLES DU DOUBLE MEUTRE<br /><br /><br />Le 3 juin, lorsque l’affaire a commencé à s’ébruiter, on nous a demandé de partir chez le général. Arrivés chez le général à 18h, on nous a demandé de rester là-bas. Vers 2h du matin, toute l’équipe d’acteurs directs de l’opération sont évacués en premiers Jacques Mugabo, Saddam et Hergil. Donc  4 personnes sont montées dans  l’avion.<br /><br />Nous trois, moi, Bruno et Ilunga. nous sommes restés dans la résidence du général John Numbi, dans sa résidence en ville où il a toujours habité. Nous sommes restés là-bas. Je dépendais de John Numbi chez qui je suis resté à Gombe pendant une semaine.<br /><br />Et une semaine après, une occasion de vol par Hera Bora s’est présentée,  on est venu nous chercher à 15h pour aller à l’aéroport.<br /><br />A 17h30 on a embarqué dans un vol à destination de Lubumbashi.<br /><br />Donc nous sommes arrivés là-bas à 21h. Donc nous sommes arrivés là-bas à 21h. Au pied de l’avion, nous attendaient les gens de John Numbi pour nous amener directement à la ferme.<br /><br />Arrivés à la ferme,  nous sommes accueillis par les majors Kabila et Kongolo. Ce sont les hommes de John Numbi qui opèrent à la ferme et qui la gèrent en l’absence de John Numbi.

<br /><br />Est-ce que c’était une fuite volontaire ou une évacuation forcée ?<br /><br />Dépendant comme je l’étais, Comment pourrait-on imaginer que cette évacuation soit volontaire.  L’affaire Chebeya c’était l’ordre de la  hiérarchie et c’est  Kenga Kenga qui nous avait fait part de cet ordre. Selon lui, Chebeya avait un problème  avec Kabila et John Numbi.<br /><br />C’est pourquoi ces deux-là avaient ordonné de le tuer et comme c’était l’ordre de la hiérarchie comment on pouvait ne pas obéir ?<br /><br />Cet ordre venait de Kabila et John  Numbi, les deux poids lourds du Congo. Tu refuses, on te tue. Tu exécutes l’ordre, on te tue. C’est ce qui nous a amené a fuir. Puisqu’il y avait des tentatives évidentes de nous éliminer pour effacer les traces.  Et c’est ce qui nous a fait fuir.<br /><br />Je sais que le général John Numbi avait retiré beaucoup d’argent de la Raw Bank. Est ce que cet argent, ils l’ont reçu ?<br /><br />Si on nous avait donné de l’argent, on se serait enfui plus vite. C’est justement parce que nous n’avions pas d’argent que nous sommes restés à la ferme. On n’a rien reçu, même pas dix francs,  même pas un centime, même pas un dollar.<p></p><p><br />Quand nous sommes arrivés à la ferme, nous sommes restés six mois, sept mois et nous avons eu nos affectations. Moi, j’ai été affecté à la police des  mines de Tenke Fugurume. C’était ma première affectation jusque 2019 donc pendant dix ans. C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans la police des mines.<br />Qui a donné l’ordre de vous affecter ?<br /><br />Kenga Kenga et John Numbi qui nous ont  affecté là-bas.<br /><br />Qu’est devenu Christina Ngoy Kenga Kenga qui était recherché à l’époque, parce que condamné par contumace, il devait être arrêté ?<br /><br />Christian Kenga Kenga, a voyagé par ci  par là à Lubumbashi et à Goma avant de se fuir au Rwanda, ensuite il est revenu à Lubumbashi pour ses affaires.<br /><br />Christian Ngoy est à moitié congolais et moitié rwandais. Son père est mulubakat et sa mère est rwandaise. Christian Ngoy a grandi au Rwanda. Il a fait son service au Rwanda. Christian Ngoy fait ses études là-bas. Christian a sa famille au Rwanda. C’est au Rwanda qu’il a pu bénéficier d’une protection.
  
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  <br /><br />LES DEUX POLICIERS PRENNENT LA FUITE.<br /><br />Quand Kabila a perdu le pouvoir, on a commencé à nous appeler plus souvent pour aller à la ferme, et là, on a commencé déjà à prendre nos dispositions.  Mais on a commencé à vraiment avoir peur quand on a arrêté Kenga Kenga et quand Africarabia a publié des photos de Chebeya.<br /><br />On nous a appelés à la ferme, mais je n’y suis pas allé. Ceux qui y sont allés  ont commencé à tous se disputer. Moi je n’y suis pas allé.<br /><br />Mon beau- frère qui travaillait à la  ferme, m’ informé de ces disputes et m’a dit « fais attention, la situation est en train de dégénérer entre les membres de l’opération. » Si tu ne fais pas attention, tu risques  d’être tué par balles ou livré aux Simba qui sont là-bas ou être empoisonnés ».</p><p><br />C’est à partir de ce moment-là que j’ai pris la décision de fuir vers la Zambie  et j’ai décidé d’y rester.<br /><br />Une semaine après,  Hergil et moi nous nous sommes retrouvés et avons commencé à chercher une solution pour trouver une terre d’asile et quitter la Zambie.<br /><br />A ce moment-ci, avez-vous été le seul à fuir ?<br /><br />Chacun de nos compagnons avaient pris sa direction, sa destination et en Zambie, on s’est retrouvés à trois et puis finalement à deux. Le troisième compagnon n’avait pas de passeport, voilà la raison pour laquelle il est resté là-bas.<br /><br />Où avez-vous trouvé des moyens pour financer vos voyages ?<br /><br />En Zambie. C’est grâce à nos économies que nous avons pu vivre en Zambie. Avant d’arriver en Zambie, j’avais vendu ma maison, ce qui m’a permis de me déplacer, vers la Tanzanie, payer le visa, et prendre le vol à destination du lieu où je me trouve.  Le peu de moyens qui me restait, je l’ai laissé à ma famille. Personne ne m’avait donné ces moyens.

Ce sont mes petits moyens personnels qui m’ont permis de quitter l’Afrique.<br /><br />Comment avez-vous fui, seul ou avec votre famille ?<br /><br />Je suis parti sans ma famille. J’ai passé deux mois en Zambie et quatre mois en Tanzanie. En Zambie, les menaces  étaient devenues plus fortes. Grâce à Dieu nous avons pu nous  échapper par avion pour la destination où nous nous  trouvons actuellement.<br /><br />Mais notre famille reste en insécurité à Lubumbashi,  menacée par ceux avec qui nous avons réalisé l’exécution. Comme vous savez, Lubumbashi, c’est la  capitale de John Numbi.  C’est le lieu où Kabila se trouve actuellement.  Nos familles sont vraiment en danger et c’est pourquoi nous demandons  à la communauté internationale  d’assurer la protection de nos familles  et de nous_mêmes. Nos familles ont été menacées  il y a de cela deux jours.  Elles sont menacées par Bruno Soti, par kabila et par Kongolo, voire même par Thierry, le secrétaire particulier de John Numbi qui ont envoyé des gens pour fouiller nos maisons et mettre nos familles en insécurité totale. Nous ne savons ce qu’il faut faire.<br /><br />Comment assurer la sécurité de nos familles?<br /><br />Qu’est-ce qu’ils espèrent aujourd’hui parce qu’ils sont dans une situation pas facile,  parce qu’on va leur demander sans doute de revenir au congo pour donner leurs témoignages ?<br /><br />Vous savez, le chauffeur de Mamadou Ndala a été tué lors du procès. Delphin Kayimbi a été tué pour avoir voulu dire la vérité. Le général Mokonto a été tué lors du procès de Vital Kamerhe.<br /><br />Le magistrat de ce procès est mort lui aussi. Rien n’a changé en justice. Qu’est-ce qui empêcherait alors ces gens de nous faire du mal  ?<br /><br />Je ne peux pas dans ces conditions retourner au Congo. Je demande à la communauté  internationale  ma protection et celle de ma famille.<br /><br />Une fois la protection acquise, j’accepterais alors de témoigner<br /><br />devant les magistrats que le Congo pourrait envoyer là où je me trouve. Et là, je dirai à la communauté internationale et aux juges qui seront venus  du Congo, toute la vérité.<br /><br />Mais en ce moment, retourner au Congo où Kabila et John Numbi ont le pouvoir. Retourner au Congo ce serait  comme un chien qui se livrerait aux lions  pour être dévoré.

</p><p><br />A propos du témoin de Paul Mwilambwe Policier fugitif depuis 2011<br /><br />Paul Mwlambwe témoin. Paul Milambwe n’a pas  participé. Lui avait reçu l’ordre de rester à son poste pour accueillir Chebeya. Il ne savait rien de lui, ni son identité ni sa qualité. On lui avait juste dit d’être présent pour accueillir quelqu’un dans son  bureau dans son bureau.<br /><br />La caméra de surveillance fonctionnait bien. Des policiers sont venus chercher  Chebeya dans le bureau de Paul Mwilambwe pour l’amener là. C’est alors que Paul Mwilambwe a suivi les policiers au pas de sa porte, et leur a demandé ce qu’ils voulaient faire de lui.<br /><br /><br />

Actualite.cd</p>

Justice Témoignage de Alain Longwa Kayeye, policier membre du bataillon Simba impliqué dans les assassinats de Chebeya et Bazana – Intégralité

Thierry Michel, le cinéaste auteur du film « L’affaire Chebeya, un crime d’Etat » a réalisé deux longues interviews détaillée de deux polic...

RDC/La direction de communication de Félix Tshisekedi répond à la CENCO : « (…) des discours aux senteurs politiques, des accointances avec des officines obscures »

March 02, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgL9EiUABY2jWrYBWt_ealZNz-sZXeBab3V3w6oLXhlzKHCwu11L2zWUV1dfuXGFwN7g4JK7WgzJaJAKujUD85RswlIE4XFjYjHg0js8zyEW9S3kcGo9-k-QL3je8hzuqiukTdYv104Gc_l/s640/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%25286%2529.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgL9EiUABY2jWrYBWt_ealZNz-sZXeBab3V3w6oLXhlzKHCwu11L2zWUV1dfuXGFwN7g4JK7WgzJaJAKujUD85RswlIE4XFjYjHg0js8zyEW9S3kcGo9-k-QL3je8hzuqiukTdYv104Gc_l/s320/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%25286%2529.jpg" width="320" /></a></div> Cardinal, Archevêques et Évêques, membres de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) étaient réunis en comité permanence du 22 au 25 février à Kinshasa.  Ils disent avoir assisté à la fin de la coalition dont ils avaient dénoncé à maintes reprises l’inefficacité.<br /><br /><br /><br />« Cependant, ces changements ont été opérés dans une atmosphère de tensions et de manière à se poser des questions sur la moralité de ces actes », constate-t-ils.<br /><br />La direction de communication de la présidence de la République n’a pas apprécié.<br /><br />Elle a publique sa réaction sur la page Facebook officielle.<br /><br />Intégralité.

<br /><br /><br /><br /><br />Après un mutisme longtemps observé sur la scène politique, les évêques catholiques de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) font à nouveau parler d’eux. Pour peu, on croirait à un désir de buzz ou à une polémique tendancieuse. Ils ont, comme qui dirait, rajouté une couche aux hallucinations d’un journaliste en mal de sensation, Gauthier Rybisnki, d’une chaine française tout aussi critique à l’endroit du régime actuel, étalant ainsi à la face du monde des accointances mal dissimulées. Alors que la République déplore encore l’assassinat récente de l’ambassadeur italien et ses compagnons d’infortune, victimes du terrorisme, ils ont voulu attirer l’attention du monde en tenant un discours de la peur, rejoignant ainsi, dans leurs déclarations, certains acteurs politiques qui avaient, en leur temps, juré de décourager tout investisseur étranger à venir s’installer en RDC.<br /><br />En relançant le débat sur la tenue des prochaines élections constitutionnellement fixées en 2023, il y a lieu de s’interroger sur la raison de leur scepticisme dans la mesure où le moindre soupçon de « glissement du mandat » n’a jamais effleuré l’esprit de celui à qui les Congolais ont confié leur destinée par la voie des urnes en décembre 2018.<br /><br />D’où vient alors la peur des princes de l‘église ? Une peur dont ils ont du mal à se départir au point d’imputer gratuitement à Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo les relents autrefois accrocheurs décelés dans le chef de son prédécesseur, jouant la montre sur fond de reports incessants du scrutin présidentiel. Nous disons: ayez vos apaisements et ne confondez pas les rôles ni non plus vitesse et précipitation!

<br /><br />Par ailleurs, cet intérêt toujours soutenu des prélats catholiques, bien que compréhensible dans un environnement où les langues se sont définitivement déliées grâce au nouveau leadership incarné par le Président de la République, traduit néanmoins un engagement excessif qui les places paradoxalement loin de leur sacerdoce et des lieux de culte. Des discours aux senteurs politiques, des accointances avec des officines obscures; tout ça est digne d’un activisme insurrectionnel et, cerise sur le gâteau, atteste des attitudes partisanes, contraires à leur statut social.<br /><br />La question de l’organisation des élections est du domaine exclusif de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). L’immixtion de la Cenco dans ce qui ne relève pas de sa compétence est simplement ahurissante, voire provocante pour des pères spirituels mués, pour le besoin de la cause, en politiques engagés au détriment de leurs brebis livrés à eux-mêmes. On se souvient tous de ces pics lancés au lendemain de la proclamation des résultats de la présidentielle de décembre 2018 qui donnaient Félix-Antoine Tshisekedi vainqueur, lesquels traduisaient manifestement leur sentiment de dépit face à la tournure des évènements.<br /><br /><br />Des résultats entérinés par la Cour constitutionnelle mais pour lesquels la Cénco avait trouvé à redire, prétextant qu’ils ne correspondaient pas à ceux collectés par sa propre mission d’observation. Entretemps, les preuves attendues pour confirmer la victoire de son protégé, le héros de Genève, n’ont jamais été présentées à la Haute Cour.<br /><br />Rappelons à ce sujet que la Cenco avait poussé l’outrecuidance jusqu’à devancer la Ceni – pourtant le seul organe habilité – dans la diffusion des résultats par ses propres canaux, violant ainsi gravement autant la Constitution, la loi électorale que la Charte de bonne conduite en la matière. Avait-elle les moyens de projeter des résultats alors qu’elle ne maitrisait que près de 25.000 bureaux de vote? Difficile dans ces cas de figure de s’ériger en donneur de leçons.

<br /><br />Qu’à cela ne tienne! Après une facilitation laborieuse ayant accouché d’un accord de Saint Sylvestre dont l’application a toujours été sujette à caution, la Cenco a cru bon d’embarquer le nouveau pouvoir dans une nouvelle aventure sans issue au nom d’un énième compromis politique.<br /><br />Avec un engagement politique extrême, on l’a de nouveau retrouvée dans le processus de désignation du successeur de Corneille Naanga à la tête de la Céni. Là encore, elle s’est faite grillée par des structures religieuses concurrentes qui ne supportaient pas son diktat. À y regarder de près, il en est résulté un bris de confiance et un discrédit patent dans la mesure où la population s’en était offusquée!<br /><br />Plutôt que de céder à cette distraction, le peuple congolais a d’autres préoccupations liées à l’amélioration de ses conditions de vie. La Cenco veut certes porter la croix des sans voix en parlant insécurité, santé, autosuffisance alimentaire, bonne gouvernance, éducation, lutte contre la corruption etc.<br /><br />Mais il s’agit-là d’autant des chantiers prioritaires pour lesquels le Chef de l’État s’investit corps et âme et ne ménage aucun effort. La gratuité scolaire qui ne semble pas plaire aux écoles conventionnées catholiques vient en première ligne puisqu’elle concerne nos enfants, l’avenir de la RDC.<br /><br />À cela s’ajoutent des réformes au niveau institutionnel qui touchent notamment le système électoral, la Céni, la loi électorale, la fiscalité… dont les projets de loi y relatifs sont en attente d’être examinées au Parlement, cette institution dont la majorité a basculé, laquelle donnera les coudées franches au Président de la République dans la matérialisation de sa vision au profit de ses concitoyens. Nous sommes en présence d’un processus qui avance et qui aboutira avec le concours de tous les patriotes. Il n’y aura pas de place à la magie!<br /><br />

A présent qu’un brin d’éclaircie commence à poindre à l’horizon, la sortie de la Cenco apparait comme un coup de pied gratuit dans une fourmilière, sans savoir exactement ce qui en résulterait.<br /><br />Actualite.CD<p></p>

RDC/La direction de communication de Félix Tshisekedi répond à la CENCO : « (…) des discours aux senteurs politiques, des accointances avec des officines obscures »

Politique RDC/La direction de communication de Félix Tshisekedi répond à la CENCO : « (…) des discours aux senteurs politiques, des accointances avec des officines obscures »

Cardinal, Archevêques et Évêques, membres de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) étaient réunis en comité permanence du 22 ...

Sénat : Modeste Bahati promet d'être à l'écoute de la base

March 02, 2021

<div style="text-align: justify;"><div><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></div><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-yPCSoEQI0Shw4zb7kbSmwH6NofXCVgcy_laeI2Cvd-XbZiRNKtg4ZBoaX-zFEebYXmZBJOk57V-fFVuN-Qf2sZFQ2Jc4NoGNSwEvrnclgHpYKsb4TgGWIul3c1hU5vPbvmUcC8zcPQ/s674/PSX_20210301_171435.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="353" data-original-width="674" height="336" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-yPCSoEQI0Shw4zb7kbSmwH6NofXCVgcy_laeI2Cvd-XbZiRNKtg4ZBoaX-zFEebYXmZBJOk57V-fFVuN-Qf2sZFQ2Jc4NoGNSwEvrnclgHpYKsb4TgGWIul3c1hU5vPbvmUcC8zcPQ/w640-h336/PSX_20210301_171435.jpg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;">Bahati Lukwebo a rappelé à ses électeurs (sénateurs) dans son message de campagne, que le Sénat est le garant du respect du principe de l’unité nationale. Ainsi, a-t-il assuré, il sera toujours à l’écoute des provinces.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;">Le candidat unique à la présidence de la Chambre des sages semble sensible à l’opinion publique. Défenseur des sans voix, Lukwebo veut que la population soit informée dans les petits détails, de toutes les actions impérieuses du Sénat.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;">L’élu du Sud-Kivu croit dur comme fer que seul le contact permanent avec la base pourra susciter une adhésion, un élan politique et social d’appui aux réformes nécessaires envisagées et initiées par le chef de l’État, Félix Tshisekedi.
  
  
  
  
  
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   </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;"> « Le Sénat est le trait d’union entre les provinces, les entités territoriales décentralisées et le gouvernement central. Il est donc appelé à établir et maintenir les relations permanentes avec la base pour contribuer au développement des collectivités locales. La Chambre haute joue le rôle de creuset et de garant de la décentralisation » , a-t-il rappelé.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;">Pas de doute. L’ancien informateur met un accent particulier pour assurer le développement des provinces.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></div><div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;">En ce qui concerne le contrôle parlementaire, l’ancien ministre du Plan a promis de prendre en compte toutes les initiatives de ses collègues dans le respect des dispositions légales de leur Chambre. En clair, le contrôle des affaires de l’État sera le combat de Modeste Bahati, devoir de redevabilité oblige.
  
  
  
  
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  </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial;">Sur le plan diplomatique, Modeste Bahati s’est engagé à faire jouer au Sénat, le rôle important au niveau sous-régional, régional et international. Donc, la RDC va participer aux assises interparlementaires pour préserver et défendre les intérêts de sa population.</span></div></div></div>

Politique Sénat : Modeste Bahati promet d'être à l'écoute de la base

Bahati Lukwebo a rappelé à ses électeurs (sénateurs) dans son message de campagne, que le Sénat est le garant du respect du principe de l’un...

Le G13 à Sama Lukonde : '' l'Union sacrée, ce sont les réformes et non l'euphorie du partage du pouvoir''

March 02, 2021

<div style="text-align: justify;"><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtOt2kCyqPTkbMJjylEzlMqvtQH_QtfKKZcoeNbr3FGAOd9rm8movHDEnX1eYkJHOxwH2je2QgI39voksrZfIJjDoulRw67CucnOjqpYQ2WQe-0iaFOah3RTGVHRBofUg7I53TY6QNdA/s1024/IMG-20210301-WA0144.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="536" data-original-width="1024" height="336" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtOt2kCyqPTkbMJjylEzlMqvtQH_QtfKKZcoeNbr3FGAOd9rm8movHDEnX1eYkJHOxwH2je2QgI39voksrZfIJjDoulRw67CucnOjqpYQ2WQe-0iaFOah3RTGVHRBofUg7I53TY6QNdA/w640-h336/IMG-20210301-WA0144.jpg" width="640" /></a></span></div><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;"><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span><p></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le groupe de treize députés, personnalités politiques et de la société civile (G13) reste catégorique. L’Union sacrée de la nation doit reposer sur les réformes et non une euphorie sur le partage du pouvoir.</span></span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour Delly Sesanga, le gouvernement Sama Lukonde doit privilégier les réformes pour bénéficier de la confiance de la population.</span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"Le G13 est une Union sacrée avant la lettre.Nous avons rappelé au Premier ministre que la réussite de l’Union sacrée est conditionnée par la conduite rapide des réformes économiques, fiscales, institutionnelles, électorales et sécuritaires. Le contraire serait l’euphorie de partage du pouvoir ", a martelé Delly Sesanga.</span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le G13 rappelle que les réformes économiques et fiscales permettront
  
  
  
  
  
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  </span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">de dépasser le cap de 4 milliards de dollars qu’on arrive pas à atteindre dans l’exécution du budget, tandis que les réformes institutionnelles et électorales, vont permettre de redorer le tissu de la politique déchiré suite aux crises qui ont toujours émaillé les périodes post- électorales. Ces réformes donneront alors lieu aux réformes liées à la sécurité et la paix.</span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"> »Nous disons que le gouvernement doit reposer sur la confiance de la population, la crédibilité, la capacité de conduire les réformes et le consensus. Au-delà de la volonté, il faut du courage pour mener les réformes dans le temps imparti », a insisté le G13.
  
  
  
  
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  </span></p></div>

Politique Le G13 à Sama Lukonde : '' l'Union sacrée, ce sont les réformes et non l'euphorie du partage du pouvoir''

Le groupe de treize députés, personnalités politiques et de la société civile (G13) reste catégorique. L’Union sacrée de la nation doit repo...

Gouvernement Sama Lukonde : le « guerrier » Muanda Nsemi veut être aussi sélectionné

March 02, 2021

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9SJ8wvFk_tZaqMxlzuzDXUimUTvl6myx6RSPCKwr56xgWvyS6bQ44xuherZHjmQqc4uW_Fl-xVCFy7f8I7kSdIa8BEzoHyYAh-uigRDfEdfOviheG0ra6ZUy4x4Ms8JpAJwTYxWC5PQ/s1024/IMG-20210301-WA0147.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="537" data-original-width="1024" height="336" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9SJ8wvFk_tZaqMxlzuzDXUimUTvl6myx6RSPCKwr56xgWvyS6bQ44xuherZHjmQqc4uW_Fl-xVCFy7f8I7kSdIa8BEzoHyYAh-uigRDfEdfOviheG0ra6ZUy4x4Ms8JpAJwTYxWC5PQ/w640-h336/IMG-20210301-WA0147.jpg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Il n’a point caché son intention à entrer au gouvernement Sama Lukonde en pleine formation.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Reçu en audience par le premier Ministre , Ne Muanda Nsemi a nettement et clairement avoué qu’il serait intéressé par un poste ministériel autant que d’autres groupes politiques consultés.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">« J’ai parlé avec le Premier Ministre de la formation du gouvernement. Maintenant qu’on tend vers la formation d’un nouveau gouvernement, il était tout à fait normal que nous venions voir le Premier Ministre pour lui en parler de vive voix, notre intention de faire partie de son gouvernement », a-t-il dit devant la presse après échange avec Sama Lukonde Kyenge.
  
  
  
  
  
  
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  </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le Chef du mouvement politico-spirituel Bundi Dia Kongo motive cette ambition à faire son entrée  au prochain gouvernement par le fait que son parti politique et lui ont combattu la dictature qui a gangrené ce pays, et la liberté de pensée et d’opinion pendant 19 ans.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Les consultations du Premier Ministre disent déjà beaucoup sur l’identité des  membres de la prochaine équipe gouvernementale.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Sama Lukonde veut composer son gouvernement « le plus vite possible » avec les forces politiques en présence.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Quelques semaines après la destitution de Sylvestre Ilunga Ilunkamba, Félix Tshisekedi avait chargé Sama Lukonde, de former un nouveau gouvernement.
  
  
  
  
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  </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le nouveau locataire de la primature a un profil qu’il a en esprit pour être le prochain sélectionné à l’équipe du gouvernement central. Seuls les guerriers peuvent réussir leurs galons en sélection afin de faire gagner l’équipe qui est attendue à un challenge beaucoup plus supérieur.</span></div></div>

Politique Gouvernement Sama Lukonde : le « guerrier » Muanda Nsemi veut être aussi sélectionné

Il n’a point caché son intention à entrer au gouvernement Sama Lukonde en pleine formation. Reçu en audience par le premier Ministre , Ne Mu...

« Kabila n’est pas un populiste » : la réplique des proches de l’ancien président

March 02, 2021

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSyg5m8AII9a_C4Uphm_1HIksCvxg5ZLnNCHHLVoVmUZdypm7oS_a4h9uOpMfcOwsNbO95F4v928lRzYyyNKAI8yYLAuvAq8vHVk81FWwpo7jtRCEowH5b1Um1GiPY7VV1oIN9XlplZQ/s671/156306876_2835557776692854_6299634343401764934_n.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="671" data-original-width="576" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSyg5m8AII9a_C4Uphm_1HIksCvxg5ZLnNCHHLVoVmUZdypm7oS_a4h9uOpMfcOwsNbO95F4v928lRzYyyNKAI8yYLAuvAq8vHVk81FWwpo7jtRCEowH5b1Um1GiPY7VV1oIN9XlplZQ/w421-h640/156306876_2835557776692854_6299634343401764934_n.jpg" width="421" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En République démocratique du Congo la rumeur sur le périple de l’ancien président Joseph Kabila aux Emirats arabes unis (EAU), dans le Moyen-Orient, reste vive. Ses détracteurs ont envahi la toile, qui dans le pays devient de plus en plus un véritablement terrain ouvert aux infox, pour remettre en cause sa participation à des assises dédiées aux questions de sécurité et de défense. Ce lundi, plusieurs de ses proches ont donné voix à votre rédaction pour réajuster le pendule.
  
  
  
  
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  </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">« Kabila n’est pas un show man, il n’est pas quelqu’un à tout moment attirer par les caméras. Il n’est pas un populiste. L’invitation de Dubaï [un des Emirats de EAU, ndlr] date de longtemps. Ces gens là connaissent la valeur de Kabila. En RDC son pays, certains le sous-estiment un peu, ne se rendant pas compte de l’immensité du travail qu’il a abattu. Trois cycles électoraux successifs, enracinement de la démocratie, fonctionnement régulier des institutions nationales, kilomètres des routes construites, groupes armés dont le M23 défaits… », relate Jean-Pierre Kayembe, journaliste et expert des questions politiques.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Lorsqu’un autre proche, au bout du fil, rebondit sur la même question : « la renommée de Joseph Kabila a traversé les frontières. Les gens savent de quoi il est capable de faire, on reconnait ses mérites, son expérience sur la sécurité et la défense. En ce sens, les organisateurs des assises auxquelles il a pris part ont tenu à sa présence. Après moult hésitations, il a cédé à l’insistance de ses hôtes. Et il a répondu à cette invitation entant qu’expert. Il n’est pas allé représenter le gouvernement ou l’État congolais. »
  
  
  
  
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  </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Qui conclut, « et les questions de défense et de sécurité sont généralement non médiatisées, pour ceux qui ne le savent pas. Ce que beaucoup ne savent pas, Nicolas Sarkozy, François Hollande, Barack Obama et tant d’autres anciens présidents animent de conférences pour lesquelles ils sont payés. Kabila n’est pas populiste pour tout faire devant la caméra. La conférence à laquelle il a participé a duré deux jours et a déjà pris fin. »</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Mi-février, « le Raïs » s’est envolé vers la péninsule arabique accompagné de quelques uns de ses proches dont Barnabé Kikaya Bin Karubi, pour honorer son invitation, ayant obtenu les autorisations officielles de sortie. Derrière lui, une campagne de « déformation » des faits faisant état entre autres d’une quelconque « fuite » ont envahi les réseaux. Ses proches ont vite répondu pour dissiper le doute.</span></div></div>

Politique « Kabila n’est pas un populiste » : la réplique des proches de l’ancien président

En République démocratique du Congo la rumeur sur le périple de l’ancien président Joseph Kabila aux Emirats arabes unis (EAU), dans le Moye...

Vaccin contre la Covid-19 : la RDC sur la liste des premiers pays

March 02, 2021

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZLBZI7W3i6A9ijiPyzQHMC0xBjpGDfOYlAxsM3gkY4H4Z-Hn2hy-cq2OVQbMwWUpo7cjP_PXnCIp2xGuVTcWg5lplXMVr1CL9ll_TGzkA8zZ4LiD6QQ4aMSDMhhlp7FOqPpIqb2yI_A/s976/_114241106_vaccineillus976_rtrs.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="976" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZLBZI7W3i6A9ijiPyzQHMC0xBjpGDfOYlAxsM3gkY4H4Z-Hn2hy-cq2OVQbMwWUpo7cjP_PXnCIp2xGuVTcWg5lplXMVr1CL9ll_TGzkA8zZ4LiD6QQ4aMSDMhhlp7FOqPpIqb2yI_A/w640-h360/_114241106_vaccineillus976_rtrs.jpg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Au total , 6,948,800 doses du vaccin développé par Astra Zeneca / Oxford University sont programmés pour la RDC.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Ce premier vaccin dont les résultats d’efficacité ont été validés par homologué par l’OMS et validé ,le 8 décembre 2020 par une revue scientifique.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le vaccin AstraZeneca/Oxford a l’avantage d’être peu cher (environ 2,50 euros la dose). Les tests étaient préférentiellement lancés dans des pays où le virus circulait plus activement.
  
  
  
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  </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En RDC , cela sera possible par l’intermédiaire de COVAX, l’initiative mondiale visant à garantir un accès rapide et équitable aux vaccins contre la COVID-19 à tous les pays, quel que soit leur niveau de revenu. COVAX devrait fournir 2 milliards de doses d’ici la fin de l’année, dont 1,3 milliard à 92 économies à faible revenu participant à COVAX.
  
  
  
  
  
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  </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Ce vaccin est attendu avant la fin de cette semaine probablement ce mercredi 3 mars 2020.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Apprend-on des sources proches du dossier que les effets secondaires du vaccin Astra Zeneca sont extrêmement rares.</span></div></div>

A LA UNE Santé Vaccin contre la Covid-19 : la RDC sur la liste des premiers pays

Au total , 6,948,800 doses du vaccin développé par Astra Zeneca / Oxford University sont programmés pour la RDC. Ce premier vaccin dont les ...

Exclusion de Bemba et Katumbi de Lamuka : la cellule politique brandit le « carton jaune » à Muzitu et Fayulu

March 02, 2021

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpx07ZKECCtVOLTfXGscW0YRNdHV6Gni1udOs5YbUhB8ySGX3rc-cSkJ50mLdLNFjx1rKx61YBF_ANQ5aX0bJyQ4IrwLZv8NplMix6pnMHXcctWH9lxy-cUNvnUxK69f7QbeD9EmEDRA/s640/leaderlamuka_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpx07ZKECCtVOLTfXGscW0YRNdHV6Gni1udOs5YbUhB8ySGX3rc-cSkJ50mLdLNFjx1rKx61YBF_ANQ5aX0bJyQ4IrwLZv8NplMix6pnMHXcctWH9lxy-cUNvnUxK69f7QbeD9EmEDRA/w640-h350/leaderlamuka_jpg_640_350_1.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Les fissures se créent au sein de la plateforme politique « Lamuka » après l’exclusion de Jean Pierre Bemba et Moïse katumbi par le prisidium de cette coalition de l’opposition.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans un communiqué publié ce lundi par le bureau politique de « Lamuka », Eve BAZAIBA, Jacques LUNGUANA, Christian MWANDO et Boris MBUKU LAKA « brandissent le spectre » à Martin Fayulu et Adolphe Muzitu.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">« toute décision ou communiqué n’ayant pas obtenu la signature des quatre leaders n’engage pas le Présidium de LAMUKA », peut-on lire dans ce document signé par Eve BAZAIBA, Jacques LUNGUANA, Christian MWANDO et Boris MBUKU LAKA.
  
  
  
  
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  </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Ils rappellent que » Conformément à son communiqué du 10 Octobre 2020 et de la convention de LAMUKA, seuls les articles 3,5,6,7,8,11et 13 ont été révisés, portant essentiellement sur la durée du mandat du coordonnateur, la prise automatique de la fonction, l’adhésion des Partis et regroupements des membres fondateurs comme membres adhérents de LAMUKA ».</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">D’après cette cellule, »L’autonomie des membres fondateurs ainsi que leurs Partis et regroupements n’a pas été respectée par les signataires dudit communiqué. En effet, l’action menée par Moise KATUMBI et Jean -Pierre BEMBA ayant pour objectif de mettre fin à la dictature Kabiliste est conforme aux objectifs de LAMUKA ».
  
  
  
  
  
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  </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans un communiqué daté du 26 février, Martin Fayulu et Moïse katumbi, ont viré Jean Pierre Bemba et Moïse katumbi, après leurs adhésions à l’Union sacrée de la nation prônée par Félix Tshisekedi, pour rester désormais les seuls à engager cette plateforme politique.</span></div></div>

Politique Exclusion de Bemba et Katumbi de Lamuka : la cellule politique brandit le « carton jaune » à Muzitu et Fayulu

Les fissures se créent au sein de la plateforme politique « Lamuka » après l’exclusion de Jean Pierre Bemba et Moïse katumbi par le prisidiu...

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