L’église Catholique et les autorités politiques : Ces inséparables copains aux relations tumultueuses

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUx8Q-VPo3Y5yLJX-hgy985ri0uUdVh0wkQ9OQrhEyLlbLjZ3xSRtsKioUp5tbNbmt1VSUkykJ_z4GamDG2D3A0RE3Z1BWe2E2QN158j3z_L3d0QGywgsrjeAhWkbKtiRG2HSWN0y1fA/s1200/Fe%25CC%2581lix-Tshisekedi-Cenco-232021.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="675" data-original-width="1200" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUx8Q-VPo3Y5yLJX-hgy985ri0uUdVh0wkQ9OQrhEyLlbLjZ3xSRtsKioUp5tbNbmt1VSUkykJ_z4GamDG2D3A0RE3Z1BWe2E2QN158j3z_L3d0QGywgsrjeAhWkbKtiRG2HSWN0y1fA/w640-h360/Fe%25CC%2581lix-Tshisekedi-Cenco-232021.jpg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">L’intérêt toujours soutenu des prélats catholiques à la situation politique est enraciné dans la tradition de l’église catholique romaine. Le bras de fer qui oppose actuellement les évêques de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo(CENCO) et la présidence de la République rappelle les relations presque toujours conflictuelles mais jamais interrompues entre les autorités politiques et l’église.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Décidément, l’église catholique voudrait arborer, suite à l’adhésion de Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi à l’Union sacrée, le statut de véritable seule force capable de freiner le Président de la République, Félix Tshisekedi dans ses spectaculaires victoires sur tous ses adversaires.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">L’époque où l’UDPS et la CENCO partageaient les mêmes points de vue sur la gestion de la RDC n’est plus qu’un lointain souvenir. Même si on ne peut pas encore parler d’un conflit grave, la crise est déjà ouverte entre le camp présidentiel, spécialement la présidence de la République et la CENCO. Il suffit de lire les titres de journaux commandés parus ce matin suite au dernier communiqué de la CENCO qui a demandé la tenue des élections en 2023 pour s’en rendre compte. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Sans surprise, l’église catholique continue à nourrir la logique de la contestation pacifique des logiques politiques et économiques qui ne bénéficient qu’à des groupuscules des personnes au détriment des masses.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Qu’une église, catholique ou non soit-elle, devienne une force opposée au pouvoir établi dans un pays quelconque, cela n’a rien de nouveauté dans l’histoire politique de l’humanité. Des Etats-Unis d’Amérique de Martin Luther King au Brésil et du Chili jusqu’en République Centrafricaine, le rôle des églises dans l’opposition aux régimes en place ou dans la lutte pour la démocratisation n’est plus à démontrer. Plus proche de chez nous, le cas de l’Afrique du Sud de Desmond Tutu mérite d’être évoqué. Petit tour du monde de quelques pays dans lesquels l’église a participé activement à la résolution de crises politiques ou dans la lutte pour le respect des droits des peuples.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Afrique du Sud: Lorsque Desmond Tutu qualifiait les dirigeants de l’ANC de « médiocres »</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Son histoire est inséparable de celle de son pays. Ordonné pasteur en 1961 et nommé archevêque de l’Eglise anglicane du Cap en 1986, Desmond Tutu a été de tous les combats : lutte contre l’Apartheid, lutte abolitionniste et respect des droits de l’homme.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">A peine l’Apartheid enterré, il s’engage avec son ami Nelson Mandela contre la peine de mort d’abord dans leur pays et ensuite dans le monde, allant jusqu’à tutoyer la super puissance américaine. Ils ont ouvert à des millions de Noirs la voie de la liberté et de l’affirmation de soi. Son combat a duré plusieurs décennies.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Monseigneur Desmond Tutu a présidé la commission « Vérité et Réconciliation », laquelle avait confronté les bourreaux et les victimes de l’Apertheid pour qu’enfin arrive le temps du pardon.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Il a été récompensé du prix Nobel de la Paix en 1984 et son aura a dépassé les frontières nationales. Le 25 juin 2000, deux jours après l’exécution à Hunstsville de Gary Graham dont la culpabilité n’a pas été prouvée, il avait demandé fermement aux Etats-Unis d’abolir la peine de mort. « Trop d’innocents ont été envoyés dans les couloirs de la mort.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Et d’autres erreurs risquent d’être encore faites. Un moratoire sur la peine de mort ne suffit pas, il faut l’abolition. Je ne comprends pas pourquoi un pays si enclin à défendre les droits de l’homme ne réalise pas que la peine de mort est une obscénité », avait-il écrit.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En 2013, Desmond Tutu avait dénoncé toute l’étendue de la pauvreté en Afrique du Sud. Prenant à témoin Nelson Mandela, il s’est exclamé : « S’il savait ce qui se passe, il en pleurerait. C’est totalement inacceptable ». Evoquant les dirigeants actuels de l’ANC, il avait déclaré qu’ « il y a des gens bien, il y a des gens médiocres ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En 2014, il avait déclaré qu’il ne voterait plus pour le parti au pouvoir et encourageait les Sud-Africains à faire de même. « Ne votez pas comme des moutons…nous avons une chose précieuse : le droit de vote. Réfléchissez à ce que vous voulez en faire. Utiliser votre droit de vote. Réfléchissez, réfléchissez, réfléchissez ! », avait insisté le patriarche lors d’une conférence de presse à la cathédrale anglicane du Cap, au sud du pays, à deux semaines des dernières élections législatives.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b>La « Black Church » pour les droits civiques des afro-américains</b></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Cette spécificité du protestantisme américain représente environ 6,5% de personnes dans le paysage religieux américain. Elle englobe trois principales grandes familles dénominationnelles que sont les baptistes, les pentecôtistes et les méthodistes. La religion fonctionnant sur le principe du libre marché aux Etats-Unis, ces groupes se décomposent en sous-groupes.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Une église de lutte et d’émancipation, la Black Church est issue de l’esclavage et de la ségrégation et certains maitres ont prix l’habitude de prêcher) leurs esclaves. Certains esclaves ont aussi appris uniquement en observant les réunions religieuses qui se tenaient sur les plantations ou les lieux de cultes où ils pouvaient accompagner leurs maitres, sans pour autant avoir le droit d’y participer.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">C’est dans ce contexte que les noirs s’approprient la religion de leurs maitres, comme moyen de lutte et d’émancipation, spirituelles d’abord puis sociales. Du coup, même s’ils se réjouissent de voir les noirs se convertir, une certaine méfiance s’installe dans le chef des blancs qui craignent des rébellions ou plans d’évasion.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">La black Church est le reflet d’un pays divisé géographiquement, politiquement et socialement sur la question raciale. Au-delà d’une ligne doctrinale, la même église pouvait être plus sensible à la situation des noirs, selon qu’elle était plantée dans le Nord ou dans le Sud.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">La lutte et l’émancipation spirituelle laissent progressivement place à une tradition religieuse où la spiritualité est mise au diapason d’une cause sociale. De ce fait, la Black Church tient lieu d’ascenseur social, un passage obligé des grands leaders. Barack Obama est passé par là.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Les pasteurs de la Black Church ne sont pas seulement des figures religieuses, mais aussi des dirigeants engagés dans leurs communautés et qui ont leurs mots à dire. Les plus connus d’entre eux sont Martin Luther King pour son combat contre une Amérique qui a failli à l’égard des Noirs, Al Sharpton ou récemment, Jeremiah Wright, le pasteur de Barack Obama qui avait maudit l’Amérique en raison du traitement réservé aux Noirs.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b>L’église catholique face à la crise au Brésil</b></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">A peine réélue en 2014, l’ex présidente du Brésil, Dilma Rousseff a fait face à une contestation sans précédent suite au scandale Petrobras dans lequel étaient impliquées de nombreuses personnalités politiques. Pour avoir présidé le conseil d’administration de la société Petrobras entre 2003 et 2010, elle avait été soumise à une procédure de destitution qui aboutira le 31 août 2016.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans la foulée de cette crise, la Conférence nationale des évêques du Brésil (l’équivalent de la Cenco) s’est prononcée publiquement sur cet épisode national traumatisant a une triple dimension, politique, économique et morale.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans un document de 24 pages, la hiérarchie catholique avait longuement exposé sa conception de la démocratie, intégratrice et de facto, opposée à la destitution de la Présidente. Les évêques brésiliens avaient dressé un diagnostic social et moral de leur pays pour ensuite proposer une sortie de crises. Ce, en s’appuyant sur la doctrine de l’église romaine.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Ils avaient entre autres fustigé le mode de production capitaliste qui exerce une influence qui bien au-delà de l’économie, exerce un contrôle autoritaire de la conscience des sujets. Ils ont encouragé une culture fondée sur l’éthique, de nouvelles représentations sociales pour extirper le néo-libéralisme des têtes.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Ils avaient indiqué que « les élus, de façon générale, paraissent loin du pays réel, et plus particulièrement des citoyens les plus pauvres » et avaient déclaré que « la démocratie brésilienne exige une urgente révision ».</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b>Le Chili, l’exemple d’une inspiration chrétienne en politique</b></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans les années 1930, des étudiants catholiques, influencés entre autres par les encycliques sociales fondent le Mouvement national de la jeunesse conservatrice puis le parti démocrate-chrétien. Après quelques malentendus avec la hiérarchie catholique, ce mouvement politique fini par revoir le soutien implicite de l’église. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Depuis 1925, la constitution chilienne consacre la séparation de l’Eglise et de l’Etat et a institué un régime d’ « Eglise libre dans un Etat libre ». Dans ce contexte, la Phalange nationale et le parti démocrate-chrétien(PDC) apparaissent comme les représentants de l’Eglise en politique.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">La présence d’un mouvement démocrate-chrétien au Chili s’explique par la culture européenne de l’Amérique latine. L’église catholique a introduit les idées sociale-chrétiennes pendant la période coloniale.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">La communauté idéologique chilienne est fondée sur la bible, les documents ecclésiastiques et les encycliques sociales ainsi que sur les écrits des penseurs chrétiens comme le père Louis-Joseph Lebret.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">D’ailleurs, l’église constitue l’un des trois piliers de la nation chilienne avec l’Etat et les forces armées. Depuis la colonisation, elle participe à part entière à la vie politique, économique, sociale et culturelle du pays.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">L’église catholique a été l’actrice de la transition des années 1970 et 1980 mais depuis 1990, son influence s’est réduite et elle est restée une force morale, d’opposition et de défense des victimes des violations des droits de l’homme. Le PDC est actuellement la plus grande formation politique du CHILI et elle bénéficie sans doute de son histoire et d’un contexte favorable.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b>Le rôle des églises pour la paix en RCA</b></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En République centrafricaine, les religions se sont engagées avec force dans la résolution de la crise qui a débuté en 2013. Les responsables des églises catholique, islamique et protestante ont joué un rôle important en menant au pays et à l’étranger, le plaidoyer pour le rétablissement de la paix dans leur pays.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Ils ont notamment organisé des activités œcuméniques au cours desquelles ils ont mobilisé les forces vives de la Nation contre les tensions communautaires.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b>Etsou et Monsengwo contre Mobutu et Kabila</b></span></div></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En juin 1989, Joseph-Albert Malula tire sa révérence à 72 ans. Monseigneur Frédéric Etsou Bamungwabi lui succède. Créé cardinal en 1991 par le pape Jean-Paul II, Frédéric Etsou dirige la Conférence épiscopale nationale du Zaïre (actuel Cenco) à partir de l’an 2000.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">S’il n’y a pas de crise ouverte entre le cardinal Etsou et le pouvoir de Joseph Kabila, il fait cependant quelques déclarations commentées en sens divers. En mai 2004, il dit : « des forces obscures utilisent les frustrations ethniques pour s’emparer des richesses du territoire ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En avril 2006, il appelle les Congolais à récupérer le pays des mains des étrangers lors des élections de novembre. «Vous avez laissé ce pays entre les mains des étrangers qui sont en train de le diviser. Nous ne faisons pas la politique… l’Église catholique a le devoir de donner un message d’amour, de dialogue et de tolérance en cette période décisive de l’histoire de notre pays», déclare-t-il.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le 13 novembre 2006, avant la publication des résultats de l’élection présidentielle qui a vu Joseph Kabila être élu pour son premier mandat, le cardinal Etsou lâche sur Radio France Internationale : « Moi, comme pasteur, je n’accepte pas le mensonge. Malu Malu en tant qu’abbé ne peut cautionner le mensonge. Nous voulons par les urnes la paix. Nous voulons la paix ». Cardinal Etsou disparait en janvier 2007, à 77 ans.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Son successeur, Cardinal Laurent Monsengwo s’est, à son tour, attiré les foudres de la Kabilie, en demandant aux « médiocres » de « dégager »</span></div></div><div><br /></div></div>

Politique L’église Catholique et les autorités politiques : Ces inséparables copains aux relations tumultueuses

L’intérêt toujours soutenu des prélats catholiques à la situation politique est enraciné dans la tradition de l’église catholique romaine. L...

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Vaccin anti – covid: Pascal Mukuna s’oppose

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjXyzeLDDc84w-4x2NL6ZJ1pRN_fNw7baRQJbSchuK6-59NM8QqkatnT-KQyx04iAEOrZZc0KkHhb2k-AALFM7tDIPONWfORupvZZdfR3QzZCa-zhf54peCCPy7zHm_KL-qAztFcUpXqg/s1024/Eveque-Pascal-Mukuna-1024x576.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="576" data-original-width="1024" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjXyzeLDDc84w-4x2NL6ZJ1pRN_fNw7baRQJbSchuK6-59NM8QqkatnT-KQyx04iAEOrZZc0KkHhb2k-AALFM7tDIPONWfORupvZZdfR3QzZCa-zhf54peCCPy7zHm_KL-qAztFcUpXqg/w640-h360/Eveque-Pascal-Mukuna-1024x576.jpg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Après que les autorités sanitaires et politiques aient décidées d’administrer les vaccins à la population congolaise, les réactions fusent de partout. La plus farouche en date, est celle de l’évêque Pascal Mukuna.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Ce responsable de l’église Assemblée Chrétienne de Kinshasa ( ACK), s’oppose à la vaccination contre la pandémie du Covid 19. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">« Nous avons 500 députés, 110 sénateurs, une soixantaine de ministres, qu’ils commencent d’abord eux à se faire vacciner. Si nous constatons qu’il n’y’a pas des effets secondaires majeures chez eux, là nous aussi on va se faire vacciner par la suite », a t-il dit dans une vidéo qui circule sur la toile.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le monde entier gémit par la pandémie de Covid 19. La République Démocratique du Congo est en pleine deuxième vague à cause notamment de l’irespct des gestes barrières.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour couper la chaîne de contamination, les autorités sanitaires et politiques trouvent mieux de faire vacciner le peuple congolais.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour ce faire, la première phase d’introduction du vaccin contre le coronavirus ciblera les quatre provinces de la RDC les plus touchées par la pandémie à savoir Kinshasa, le Nord-Kivu, le Kongo-Central et le Haut-Katanga.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Sur la base de l’analyse des données épidémiologiques et des orientations de l’OMS, la vaccination concernera 20% de la population. Il s’agit notamment du personnel de santé qui représente 1% de la population, des personnes âgées de plus de 55 ans (6%) et des personnes souffrant de comorbidités (maladie rénale chronique, hypertension artérielle ou diabète), soit 13%. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Un plan de déploiement du vaccin contre la COVID-19 en RDC a été validé par le pays et approuvé par l’initiative COVAX.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Notez que c’est le vendredi 12 mars que la cérémonie officielle du lancement de la campagne sera lancée.</span></div></div>

Santé Société Vaccin anti – covid: Pascal Mukuna s’oppose

Après que les autorités sanitaires et politiques aient décidées d’administrer les vaccins à la population congolaise, les réactions fusent d...

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Kinshasa: le Général Sylvano Kasongo fait respecter le couvre-feu en faisant la ronde toutes les nuits

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGva8_Wso69_VkgLH980OHkgaKJRWk_4KpT0XEZ2jsfP_QK8bLNnOKwlip98OPKpEyinMzdrWWUfQuoPhEa7_zv4I2-55VRqSBHT4itOz9fdafE5iimufxoN6m2VYC7txpC_KOvljS6Q/s678/images-2020-09-30T185639.005.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="452" data-original-width="678" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGva8_Wso69_VkgLH980OHkgaKJRWk_4KpT0XEZ2jsfP_QK8bLNnOKwlip98OPKpEyinMzdrWWUfQuoPhEa7_zv4I2-55VRqSBHT4itOz9fdafE5iimufxoN6m2VYC7txpC_KOvljS6Q/w640-h426/images-2020-09-30T185639.005.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le Commandant de la police ville de Kinshasa, le général Sylvano Kasongo veille au strict respect du couvre-feu décrété par les autorités du pays. Ainsi, après des patrouilles nocturnes régulières avec les éléments de la Police, le patron de la sécurité de la capitale a détecté dans différents centres d'ambiance de Kinshasa, certaines terrasses et boîtes de nuit qui ne respectent pas cette mesure.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Après avoir fait arrêté des gens dans les bars et night-club de la commune de la Gombe, le Général Sylvano Kasongo met le cap sur les autres municipalités de Kinshasa. La ronde du patron de la sécurité de la ville de Kinshasa lui a permis de se rendre compte qu'il y a des individus qui sabotent complètement le couvre-feu décrété par le Président de la République dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">La commune de Bandalungwa vient en tête des municipalités de Kinshasa qui ne respectent pas les mesures prises contre la Covid-19. Constat malheureux, la plupart des bars, dancing et night-club de cette commune fonctionnement impunément durant les heures interdites.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">C'est là que le commissaire divisionnaire de la Police de la ville de Kinshasa a constaté que la plupart des buvettes fonctionnent comme en temps normal. Des veillées mortuaires sont organisées comme si de rien n'était dans cette municipalité.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Remonté, le numéro un de la sécurité de la capitale congolaise a ordonné l'arrestation des personnes qui vont à l'encontre de cette mesure des autorités du pays. Il a fait arrêter les tenanciers de ces débits de boisson et toutes les personnes trouvées dans les veillées mortuaires organisées illégalement. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dommage que certains de ces inciviques trouvés sur place se sont mis à caillasser les véhicules de la Police. Ils ont même, selon les policiers trouvés sur place à Bandal, cassé le pare-brise d'un des véhicules de la Police.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le général Sylvano Kasongo a, au cours de cette ronde, suspendu le commandant de la Police de Bandalungwa et ordonné la saisie de cours des véhicules qui se sont hasardés à circuler au-delà de 21. Heures. Même les bus Transco ont été saisis. Il a précisé que les Kinois devraient savoir que 21 heure est une ligne rouge à ne pas franchir.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Les personnes circulant avec des motifs valables comme les cas de maladie et autres ont été autorisées à aller sur leur chemin. Il suffisait juste de brandir les documents qui justifient leur nécessité à circuler autour de ces heures.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Surpris en train de se laisser corrompre par les passagers, certains responsables de la police ont été arrêtés manu militari par le général Sylvano Kasongo. Il a rappelé, à cette occasion, que les policiers commis à ce travail reçoivent chaque jour des primes sur instruction du chef de l'État Félix-Antoine Tshisekedi.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le général Sylvano Kasongo a, en outre, au cours de cette patrouille, arrêté nombre de véhicules qui, par trafic d'influence et sans qualité aucune, utilisaient les girophares. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Toutes les personnes arrêtées durant cette ronde du général Sylvano Kasongo ont passé nuit à la garde à vue à l'Inspection provinciale de la Police ville de Kinshasa. Elles ont été relâchées le matin sans rien payer. </span></div></div>

Politique Kinshasa: le Général Sylvano Kasongo fait respecter le couvre-feu en faisant la ronde toutes les nuits

Le Commandant de la police ville de Kinshasa, le général Sylvano Kasongo veille au strict respect du couvre-feu décrété par les autorités du...

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Covid-19: les vaccins sont là, mais...

<p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhxMsqZ3A_bJKdHwcY-sbS6WvHaXolIKEBcv84gJNGS01WT-DxbtKinUNwQ_0iwhpcOJQv-y7fUkOA1rjLrG1s-GGJYctFeIuUhd4AnApiU5BijPxnfgdATZrokoIukbWudG-53WLtYWQ/s1320/arton29943.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="990" data-original-width="1320" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhxMsqZ3A_bJKdHwcY-sbS6WvHaXolIKEBcv84gJNGS01WT-DxbtKinUNwQ_0iwhpcOJQv-y7fUkOA1rjLrG1s-GGJYctFeIuUhd4AnApiU5BijPxnfgdATZrokoIukbWudG-53WLtYWQ/w640-h480/arton29943.jpg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">C'est finalement la semaine prochaine que le gouvernement de la République démocratique du Congo lance la vaccination contre la covid-19. Ministre de la santé publique, Dr Eteni Longondo l'a confirmé hier mercredi 3 mars à Kinshasa. C'était lors de la présentation officielle de 1,7 million de doses de vaccin à l'entrepôt du Programme élargi de Vaccination (PEV) à Kinkole, dans la commune de la Nsele.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Pour cette première phase de vaccination, le gouvernement de Sylvestre Ilunga Ilunkamba a ciblé quatre provinces sur les 26 que compte le pays. Kinshasa, le Nord-Kivu, le Kongo-central et le Haut-Katanga ont été programmés, selon le ministre Eteni Longondo, pour le fait que ces quatre provinces sont les plus touchées par la pandémie, au regard des statistiques fournies par les services spécialisés.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Au parfum de la méfiance que suscite ce vaccin au sein de l'opinion nationale, le ministre congolais de la Santé a jugé utile de rassurer, de prime abord, ses compatriotes, aux lendemains de la débandade enregistrée le jeudi 25 février dernier dans les écoles de Lubumbashi et de Bukavu.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">LE VACCIN, LE MOYEN LE PLUS EFFICACE DANS LA LUTTE</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Aux dires de Dr Eteni Longondo, le gouvernement ne s'attend pas à homologuer un vaccin qui va tuer le peuple congolais. A l'instar du Président Félix Tshisekedi, il soutient que le vaccin est, pour le moment, le moyen le plus efficace pour lutter contre cette pandémie, en l'absence d'un médicament thérapeutique efficace. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Au-delà de ce scepticisme vis-à-vis de la vaccination, les Congolais font davantage confiance aux traitements locaux. C'est donc avec espoir qu'ils s'attendent à des résultats meilleurs en misant sur des chercheurs congolais qui ont récemment présenté leurs découvertes à base de produits traditionnels, censés traiter le coronavirus et dont les résultats ont été salués par le chef de l'Etat congolais.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">"Le vaccin est un passage obligé. Mais, nous privilégions aussi le traitement curatif. Nous avons deux produits qui promettent en tout cas par leurs premiers résultats… et ce sont des produits congolais", avait déclaré le président Félix Tshisekedi.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a toutefois fait part de son "extrême prudence" face à ces produits. "Les essais cliniques sont essentiels pour fournir des preuves scientifiques sur la sécurité, l'efficacité et la qualité de tous les médicaments, que l'approche soit traditionnelle ou moderne", fait remarquer à ce sujet l'OMS.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">CONVAINCRE LES SCEPTIQUES A SE FAIRE VACCINER</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">C'est dans cette optique que le ministre congolais de la Santé tâche de convaincre ses compatriotes à adhérer à la vaccination, tout en soulignant que ce n'est pas obligatoire. "La vaccination est volontaire, il faudrait plutôt penser à votre vie, car la vie n'a pas de prix", a-t-il lancé.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">"La RDC, poursuit-il, est parmi les premiers pays d'Afrique à recevoir ces vaccins. La vaccination nous permettra de protéger et sauver des vies. Nous devons (donc) encourager la population cible à se faire vacciner". A cet effet, Dr Eteni Longondo relève même que les effets secondaires du vaccin sont à négliger.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Avec l'appui de ses partenaires, notamment Gavi, l'OMS et l'UNICEF, le PEV procédera à la formation du personnel de santé sur les aspects logistiques et à la sensibilisation de la population avant les opérations de vaccination proprement dites, indique un communiqué de presse diffusé hier mercredi 3 mars par l'UNICEF. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">LONDRES ET WASHINGTON JUBILENT</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">"Le Royaume-Uni est ravi que la RDC soit parmi les premiers pays au monde à recevoir des vaccins contre la Covid-19, grâce à l'initiative Covax. Avec un engagement de 750 millions de dollars, le Royaume-Uni est l'un des fondateurs et principaux bailleurs de COVAX. En collaboration avec nos partenaires internationaux, nous accompagnons le Gouvernement de la RDC pour mettre en œuvre le programme national de vaccination contre la COVID-19, en particulier l'accès aux vaccins pour le personnel de santé et pour les plus vulnérables", a souligné Juliette John, Directrice de la Coopération britannique.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">"Nous nous réjouissons de l'arrivée de vaccins contre le COVID-19 en RDC. Les États-Unis sont engagés aux côtés des autres partenaires à travers le monde pour mettre fin aux effets dévastateurs de cette pandémie aussi bien sur la santé publique que sur l'économie. Dans le cadre de cet engagement, le Président Biden a annoncé une contribution de 4 milliards de dollars américains pour soutenir l'initiative internationale COVAX et les États-Unis sont fiers de travailler aux côtés du gouvernement de la RDC et des autres partenaires pour apporter ce vaccin d'importance vitale pour le peuple congolais", a rappelé l'ambassadeur des États-Unis en RDC, Mike Hammer. </span></p><div style="text-align: justify;"><br /></div>

Politique Covid-19: les vaccins sont là, mais...

C'est finalement la semaine prochaine que le gouvernement de la République démocratique du Congo lance la vaccination contre la covid-19...

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Kasongo Mwema recadre le direction de communication de la Présidence

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhaVDsk6lW0i75eXH-GkT3xOk8CjZXFT0KK04t1L3lFv5bSXFeQtm22iSsL9ue5QxrigS_six_-1sdlEWpNl5-ZTlem2d3YxYhVQd_3O8OZueEU8X0XwjXM9VnPc-PB4H2QGrX1PZ6exQ/s640/kasongo_mwema_yamba_yamba_tharcisse_21_0_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhaVDsk6lW0i75eXH-GkT3xOk8CjZXFT0KK04t1L3lFv5bSXFeQtm22iSsL9ue5QxrigS_six_-1sdlEWpNl5-ZTlem2d3YxYhVQd_3O8OZueEU8X0XwjXM9VnPc-PB4H2QGrX1PZ6exQ/w640-h350/kasongo_mwema_yamba_yamba_tharcisse_21_0_jpg_640_350_1.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span><p></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Selon le porte-parole de Fatshi, la réaction au message des prélats catholiques n'engage que son auteur !</span></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">La réaction de la direction de communication de la Présidence à la déclaration de la CENCO relève d’une démarche personnelle qui ne concerne pas la personne de Félix Tshisekedi. C'est ce qu'a déclaré hier à la presse, le Porte-parole de la Présidence de la république, Tharcisse Kasongo Mwema Yamba Yamba.</span></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Tel dans un jeu de ping-pong, l’opinion a assisté depuis le début de cette semaine à des échanges parfois acerbes entre la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) et la Présidence de la République au sujet des élections de 2023. Réagissant à l’alerte lancée par les prêtres catholiques sur le retard accusé dans les préparatifs des prochains scrutins, le porte-parole du chef de l’État Kasongo Mwema a affirmé que Félix-Antoine Tshisekedi n’avait aucune intention de franchir la limite des échéances électorales.</span></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour la boucle autorisée du Président de la République, les élections de 2023 auront bel et bien lieu. Il a appelé les évêques catholiques, à qui il reconnaît la liberté d'expression, au calme et les a rassurés de bonnes intentions du chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi.</span></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"Il n'y a dans l’esprit du Chef de l’État aucune intention de franchir la limite des échéances constitutionnelles. Le Président de la République n’a jamais nié la nécessité d’organiser les élections en 2023. La crainte des évêques ne se justifie pas", a-t-il déclaré. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Tharcisse Kasongo Mwema Yamba Yamba a saisi cette occasion pour demander aux prélats catholiques de ne pas prêter au Président de la République les intentions qu’il n’a pas. "Je leur demande de garder le calme et de faire confiance», a-t-il tempéré.</span></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"Nous savons tous que le les évêques sont libres en tant que citoyens congolais d’exprimer leur crainte, leur étonnement. Je leur demanderai tout simplement de garder leur calme et de faire confiance. Qu’ils laissent le Chef de l’État dérouler son calendrier jusqu’à 2023", a-t-il ajouté.</span></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Répondant à une question de la presse, Kasongo Mwema estime qu’il n’y a aucune raison qui peut pousser les gens à douter de l’organisation des élections à tous les niveaux en 2023.</span></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">À ceux qui évoquent le retard dû notamment au manque des moyens, il rappelle que ce n’est pas la première fois que l’organisation des élections en RDC soit confrontée à des difficultés d’ordre financier. Il dit ne pas voir le moindre indice qui laisserait penser à un éventuel glissement.</span></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"Il y a de retard, mais travaillons ensemble pour avoir effectivement les élections en 2023. C’est la raison pour laquelle le Chef de l’État demande à l’ensemble de la classe politique de l’accompagner pour qu’on respecte le délai constitutionnel en 2023. Plutôt que de lui prêter des intentions qu’il n’a pas, accompagnons - le jusqu’à la fin de ce processus", a-t-il exhorté. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour le porte-parole du Président de la République, après la nomination du Premier ministre, la mise en place du nouveau bureau de l’Assemblée nationale et du Sénat, l’heure est à présent au travail. D’où l’importance d’accompagner le chef de l'Etat qui, a-t-il déclaré, n’a jamais manifesté la moindre intention de ne pas organiser les élections dans le délai prévu par la loi.</span></p><p><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"C’est une intervention personnelle. La présidence de la République n’a pas publié un communiqué dans ce sens. Sinon il porterait la signature du directeur de cabinet. Il faut considérer cela comme une précipitation qui n’a pas respecté toutes les procédures pour être mis en ligne", a-t-il indiqué.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans leur message, des évêques catholiques de la CENCO ont mis en garde contre un éventuel glissement en 2023. Dans sa réaction qui ne s’est pas fait attendre, la direction de communication de la Présidence a qualifié cette déclaration de posthume excessive et insurrectionnelle. </span></p><div style="text-align: justify;"><br /></div>

Politique Kasongo Mwema recadre le direction de communication de la Présidence

Selon le porte-parole de Fatshi, la réaction au message des prélats catholiques n'engage que son auteur ! La réaction de la direction de...

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Fissures dans l'Union Sacrée: Katumbi à Kinshasa pour recoller les morceaux

<p style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg45zVfm6yIRyeA_n5T8yGIrp3o3-6BX6tsWUMJh9eXB9CBITDxrgZ_6xdUORcRD-WTxIRWzSW_0BMmqrkeCrDEtUcGsgaljOMu_TgqiSB7gtAm5IajRa1vBw8HDmhsfHNbCd-1S-2NYw/s640/katumbi_kinshasa_21_5555_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg45zVfm6yIRyeA_n5T8yGIrp3o3-6BX6tsWUMJh9eXB9CBITDxrgZ_6xdUORcRD-WTxIRWzSW_0BMmqrkeCrDEtUcGsgaljOMu_TgqiSB7gtAm5IajRa1vBw8HDmhsfHNbCd-1S-2NYw/w640-h350/katumbi_kinshasa_21_5555_jpg_640_350_1.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le président du parti Ensemble pour la République, Moise Katumbi est arrivé hier mercredi 3 mars à Kinshasa à bord de son jet privé. Cependant, rien n'a encore filtré officiellement quant aux vraies raisons de sa présence dans la capitale.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Toutefois, l'un de ses proches se confiant sous le sceau de l'anonymat à Forum des As, a fait savoir que l'ex-gouverneur de l'ancienne province du Katanga est arrivé à Kinshasa pour tenter de calmer les tensions qui montent dans l'Union Sacrée, après l'élection mardi dernier, du bureau définitif du Sénat.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En réaction justement au nouveau perchoir de la Haute assemblée, le député katumbiste Mohindo Nzangi s'exprimant sur les antennes de Top Congo FM, s'est senti offusqué du fait qu'il n' y a aucun membre de sa famille politique parmi les sept qui composent le bureau. " Au Sénat, le FCC ancienne formule s'est ressaisie et nous a joué un coup," a déclaré cet élu de Beni, avant de souligner que le bureau de la Chambre des sages ne reflète pas l'Union Sacrée.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En réaction, le secrétaire général de l'UDPS, Augustin Kabuya, a fait savoir que ce sont les sénateurs eux-mêmes qui ont voté le nouveau bureau de cette Chambre. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">On rappelle toutefois que, contrairement à l'élection du bureau de l'Assemblée nationale, l'Union Sacrée n'a pas réussi à faire triompher son ticket au perchoir du Sénat. Hormis certes, les postes de Président et de Rapporteur où il n'y a eu qu'un seul candidat.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">D'ores et déjà, d'aucuns pensent qu'au regard de la nouvelle donne au Sénat, le Chairman du TP Mazembe tentera de calmer ses députés afin d'éviter que le navire Union Sacrée ne puisse tanguer.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Quant au partage des postes ministériels, des observateurs invitent Moïse Katumbi à faire des arbitrages sur la liste des candidats d'Ensemble.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Il sied donc de rappeler aussi que lors des consultations organisées par le Premier ministre à l'hôtel du Gouvernement, les députés des groupes parlementaires d'Ensemble, conduits par Bolengetenge, ont fait prévaloir leurs poids politiques, soit 70 élus.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans cette course aux portefeuilles ministériels, certains élus d'Ensemble menacent déjà de quitter l'Union Sacrée si leurs noms ne figurent pas sur la liste du gouvernement Sama Lukonde. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Ce qui est sûr, est que, dans la situation actuelle de la RDC, il s'avère impossible de caser tout le monde. Le gouvernement ne devant compter qu'une quarantaine de membres. Les élus d'Ensemble qui se considèrent comme les précurseurs de la révolution parlementaire, demandent à être servis.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans ce climat de tension "implosive", le député Ntambwe Eliezer a déploré le fait que des acteurs clés du combat pour la démocratie comme Diomi et Diongo n'ont pas pris part aux consultations initiées par le Premier ministre. Toutefois, des sources concordantes renseignent que les anciens prisonniers politiques ne feront pas partie du gouvernement Sama.</span></p><div style="text-align: justify;"><br /></div>

Politique Fissures dans l'Union Sacrée: Katumbi à Kinshasa pour recoller les morceaux

Le président du parti Ensemble pour la République, Moise Katumbi est arrivé hier mercredi 3 mars à Kinshasa à bord de son jet privé. Cependa...

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LE FILM SUR L ' ASSASSINAT DE FLORIBERT CHEBEYA DEJA DISPONIBLE , LA CENCO AU SERVICE DES MAFIEUX ! ( VIDEO )

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ELECTIONS 2023 : LA CENCO DERRIERE UN COUP D ' ETAT CONTRE LE PRESIDENT FELIX TSHISEKEDI. ABBE SHOLE ( VIDEO )

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Kinshasa: bientôt l'identification des motocyclistes

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjTmRX-19t1eXoG1YB1FuU9sKpxJ7Fds6UQM60dFCk4PInE0jwVreXcMJUi0DBoKXZQrix9Sl6uH7GyShrItCSr7Sx94Vwc5eQYNy2j0DpZXZyfYZpTwm8Y3KHR9tGkKzzcPKtINWq2AA/s943/arton29931.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="629" data-original-width="943" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjTmRX-19t1eXoG1YB1FuU9sKpxJ7Fds6UQM60dFCk4PInE0jwVreXcMJUi0DBoKXZQrix9Sl6uH7GyShrItCSr7Sx94Vwc5eQYNy2j0DpZXZyfYZpTwm8Y3KHR9tGkKzzcPKtINWq2AA/w640-h426/arton29931.jpg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila, a reçu en audience, hier mardi 2 mars, une délégation de la société HF Holdings,SA. Le staff dirigeant de cette société sud-coréenne est venu discuter avec le premier citoyen de la ville des modalités pour le démarrage de l’identification des motocyclistes à Kinshasa.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">A l’issue de cet entretien, le ministre provincial en charge de transports et voies de communication, Amous Mbokoso, a précisé que la rencontre avec le gouverneur est le couronnement des tractations menées pour déterminer un partenaire fiable pouvant aider à l’opération d’identification des motocyclistes devenus de plus en plus nombreux dans la capitale.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">«N’eut été la pandémie de Covid 19 qui a paralysé les activités partout dans le monde, cette opération aurait dû être déjà lancée. De son côté, le partenaire, est prêt à nous aider dans la mise en œuvre de cette opération salutaire. Laquelle prend en compte l’assurance, l’immatriculation et autres», a-t-il ajouté avant de préciser que l’autorité urbaine a déjà donné son accord pour que ce partenariat soit officiellement scellé mais avec quelques préalables. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Cette audience intervient après la rencontre organisée entre le gouverneur et les représentants des motocyclistes fédérés dans différentes organisations. Au cours de ce meeting, le chef de l’exécutif provincial leur avait demandé de se faire identifier une fois l’opération lancée, en touchant leur fibre patriotique. Ce qui ne les avait pas laissés indifférents.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Ainsi, l’identification des motocyclistes n’est plus qu’une question de temps d’autant plus que les pourparlers se sont poursuivis pour que l’opération soit une réussite totale.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b>MISE EN GARDE CONTRE LES BOURGMESTRES</b></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans la journée de lundi 1 mars, Gentiny Ngobila, s’est entretenu, dans la salle polyvalente de l’Hôtel de ville, avec les bourgmestres des 24 communes de la capitale. Réunion axée sur l’assainissement des différentes entités sous leurs responsabilités.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans son adresse, l’autorité urbaine, a rappelé à l’ordre ses hôtes en ce qui concerne l’assainissement de leurs juridictions. Interpellation justifiée, face au relâchement qui s’observe depuis un temps dans les travaux de salubrité. Par ailleurs, le premier citoyen de la ville n’a pas hésité à brandir des sanctions contre ceux qui ne veulent toujours pas adhérer à sa vision. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Après cette rencontre avec les bourgmestres, le gouverneur de la ville a échangé avec les chefs des divisons urbaines de Kinshasa. Il s’agissait pour lui de vérifier l’authenticité d’un communiqué invitant les fonctionnaires des services publics de la ville à observer un mouvement de grève ce mercredi 3 mars.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Devant cette confrontation, tous les chefs des divisions urbaines ont dit n’avoir pas pris connaissance de ce document. Profitant de cette occasion, le gouverneur a rappelé à ses interlocuteurs que la ville paye systématiquement et régulièrement la prime des fonctionnaires. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Il a aussi signifié que les fonctionnaires de la ville sont payés avant les membres de son cabinet. Pour le Chef de l’exécutif provincial son gouvernement devrait plutôt mériter des éloges non seulement pour avoir régularisé la paie de la prime, mais aussi pour avoir épuré les 36 mois d’arriérés hérités de son prédécesseur. </span></div></div>

Société Kinshasa: bientôt l'identification des motocyclistes

Le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila, a reçu en audience, hier mardi 2 mars, une délégation de la société HF Holdings,SA. ...

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BAHATI et AGITO ELUS , SCANDALE AU SÉNAT: QUAND LES BILLETS DE BANQUE CIRCULENT AUX COULOIRS DU PARLEMENT ( VIDEO )

<iframe width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/kGTLBeC2VYk" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>

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Présidentielle 2023 : un scénario politico-judiciaire pour écarter les «adversaires gênants»

<div style="text-align: justify;"><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEib2263JuazrQEJxpDu3LnV48Ly2K-9O4nrF6kPSTzU8cPaLWeC_vrEcQCGfUrm72heOSyaX9oFE4rjgyBBktCMpEDoCIibwAcU-KpURbfKac84I32V-RrZS_6KoDw6-gn2eoyTidOxVQ/s678/elections_en_rdc.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="381" data-original-width="678" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEib2263JuazrQEJxpDu3LnV48Ly2K-9O4nrF6kPSTzU8cPaLWeC_vrEcQCGfUrm72heOSyaX9oFE4rjgyBBktCMpEDoCIibwAcU-KpURbfKac84I32V-RrZS_6KoDw6-gn2eoyTidOxVQ/w640-h360/elections_en_rdc.jpg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans les couloirs de la présidence, il se murmure que le Chef de l’Etat et ses hommes préparent minutieusement une révision constitutionnelle. Fort de la majorité écrasante de plus de 3/5 détenue par l’Union Sacrée dans les deux chambres, cette modification de la Constitution pourrait être votée à la faveur d’un Congrès à organiser au cours du second semestre de l’année en cours. Dans le laboratoire du Président Tshisekedi, Yezu Kitenge, Jean-Marc Kabund et Christophe Mboso préparent une véritable bombe. Pour comprendre les tenants et aboutissants de ce projet, un petit retour en arrière sur l’évolution récente du paysage politique congolais est nécessaire.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Au fil des semaines, des révélations troublantes sont mises à jour sur la plus vaste opération de basculement politique jamais opérée dans une démocratie moderne sans recourir à des élections, mais par la seule volonté du Prince. Ce changement spectaculaire va probablement enrichir les livres de sciences politiques et donner matière à réflexion aux politologues du monde entier.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">«adversaires gênants»</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">U.A : Félix Tshisekedi dresse la feuille de route de son mandat sur la culture</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">U.A : Félix Tshisekedi dresse la feuille de route de son mandat sur la culture</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Sénat : Modeste Bahati promet de travailler dans l’unité et à l’écoute du peuple <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Sénat : Modeste Bahati promet de travailler dans l’unité et à l’écoute du peuple</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Préservation de la biodiversité et sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations : des objectifs liés</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Préservation de la biodiversité et sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations : des objectifs liés</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">You are here: Home » A la Une » Politique » Top » Présidentielle 2023 : un scénario politico-judiciaire pour écarter les «adversaires gênants»</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Présidentielle 2023 : un scénario politico-judiciaire pour écarter les «adversaires gênants»</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">FacebookTwitterGoogle +LinkedInLa Pros3 MARS 2021</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Présidentielle 2023 : un scénario politico-judiciaire pour écarter les «adversaires gênants»</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">This post has already been read 520 times!</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans les couloirs de la présidence, il se murmure que le Chef de l’Etat et ses hommes préparent minutieusement une révision constitutionnelle. Fort de la majorité écrasante de plus de 3/5 détenue par l’Union Sacrée dans les deux chambres, cette modification de la Constitution pourrait être votée à la faveur d’un Congrès à organiser au cours du second semestre de l’année en cours. Dans le laboratoire du Président Tshisekedi, Yezu Kitenge, Jean-Marc Kabund et Christophe Mboso préparent une véritable bombe. Pour comprendre les tenants et aboutissants de ce projet, un petit retour en arrière sur l’évolution récente du paysage politique congolais est nécessaire.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Au fil des semaines, des révélations troublantes sont mises à jour sur la plus vaste opération de basculement politique jamais opérée dans une démocratie moderne sans recourir à des élections, mais par la seule volonté du Prince. Ce changement spectaculaire va probablement enrichir les livres de sciences politiques et donner matière à réflexion aux politologues du monde entier.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">A la suite de ce basculement historique, le remplacement de Jeanine Mabunda a fait l’objet d’une bataille dont les secrets viennent d’être dévoilés. Au départ, le casting proposé au Président de la République par ses proches collaborateurs prévoyait le remplacement de l’élue de Bumba par Jean-Pierre Lihau, un jeune turc issu de la même province. Issu de la lignée du Professeur Lihau, célèbre fondateur de l’UDPS, cet ancien directeur de cabinet d’Aubin Minaku faisait parfaitement l’affaire.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Malheureusement pour le jeune élu, c’était sans compter sur les ambitions des vieux loups qui rôdaient autour de la dépouille de Mabunda et des vestiges des FCC. C’est ainsi que le président a.i. de l’UDPS, l’honorable Jean-Marc Kabund, grand ordonnateur du bouleversement du paysage politique, a été approché par Christophe Mboso Nkodia, le doyen d’âge et président du Bureau provisoire de l’Assemblée Nationale afin de lui proposer un autre schéma que celui de Jean-Pierre Lihau. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">L’appât présenté au Président a.i. fut la demande de fonds de 12 millions de dollars adressée par le bureau provisoire de l’Assemblée Nationale afin d’organiser la session extraordinaire chargée de ratifier la zone de libre-échange et de procéder à l’élection du Bureau définitif de l’Assemblée Nationale. Immédiatement saisi par cette demande de fonds, le ministre des Finances avait initialement exigé une ventilation des rubriques des dépenses alignées par Christophe Mboso. Ce dernier s’opposa vigoureusement à la demande d’explication du gouvernement. En recourant au soutien de Jean-Marc Kabund, le doyen de l’Assemblée obtint gain de cause auprès du ministre des Finances. C’était le début d’une véritable romance entre le président a.i. de l’UDPS et Christophe Mboso déterminés à prouver sa docilité à son jeune mentor.</span></div></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Ayant fait totale allégeance au régime, l’ex-FCC Mboso, allait bouleverser les cartes. Selon un des témoins de l’échange entre l’honorable JM Kabund et le président du Bureau Provisoire, ce dernier n’y est pas allé par quatre chemins pour crucifier les ambitions du jeune Lihau. «Pourquoi voulez-vous donner la présidence du Bureau définitif de l’Assemblée à un jeune dont vous ne connaissez pas les ambitions? Moi, je peux vous garantir que je peux vous être plus utile. À mon âge, je n’ai pas d’autres ambitions que de terminer dignement ma carrière. Vous pouvez tout me demander!», a déclaré Christophe Mboso la main sur le cœur. Convaincu du degré d’engagement du président du bureau d’âge de l’Assemblée, le Président Félix Tshisekedi décidait de changer la distribution des rôles et de renvoyer Lihau sur le banc. En guise de lot de consolation, le Chef de l’Etat promettait à son jeune allié de lui confier un poste ministériel important dans le nouveau gouvernement. Il ne restait plus à Christophe Mboso et à son bureau provisoire qu’à écarter tous les candidats opposés au ticket de l’Union Sacrée.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Fort de son nouveau statut de Président de l’Assemblée Nationale, c’est sans aucune difficulté que Christophe Mboso était intégré dans le cercle fermé des stratèges du Président Tshisekedi. Font partie de ce cercle, Jean-Marc Kabund et Yezu Kitenge, celui-là même qui, au début des années 90, associé à Tshimbombo Mukuna, Honoré Ngbanda et Vunduawe te Pemako, élaboraient les stratégies les plus machiavéliques visant à faire obstacle à la Conférence Nationale pour maintenir le maréchal Mobutu au pouvoir le plus longtemps possible. Aujourd’hui, le bureau de stratégies a pour seul objectif que celui d’élaborer les plans et les actions visant le maintien de Félix Tshisekedi au pouvoir. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour peu, avec Yezu Kitenge, on serait tenté de reprendre le titre du fameux roman d’Alexandre Dumas, «Vingt ans après» pour stigmatiser le retour en force des membres de la dernière garde du président Mobutu autour du Président Tshisekedi. En première ligne, Yezu Kitenge, Tshimbombo Mukuna et Christophe Mboso encadrent Jean-Marc Kabund pour écarter tous les adversaires politiques qui se dressent sur la route d’une réélection de Félix Tshisekedi à la tête de la RD. Congo.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Aux dires d’un conseiller à la Présidence, Christophe Mboso a vendu au Président de l’UDPS a.i. un plan de bataille détaillé visant à neutraliser, voire éliminer tous les adversaires du Président de la République. «A l’Est, le Président Tshisekedi ne peut plus compter sur Vital Kamerhe. Dans le grand Kivu, le seul qui peut nous faire de l’ombre c’est Matata ! Il a beaucoup d’argent et les Occidentaux l’apprécient. On doit l’empêcher de rêver!», affirme le nouveau président de l’Assemblée. «Son analyse vient renforcer à point nommé les appréhensions du Président Tshisekedi qui avait déjà le rapport explosif de l’IGF sur le complexe agro-industriel de Bukanga Lonzo. De quoi mettre l’ancien Premier Ministre sur le gril et demander à la Justice d’accélérer son cours afin de mettre Augustin Matata hors course. Au terme de la même analyse, Jean-Pierre Bemba devra demeurer sous la coupe de l’arrêt de la Cour Constitutionnelle qui assimile la subornation de témoins pour laquelle il a été condamné par la Cour Pénale Internationale à la Corruption. L’homme fort de Gemena demeurera inéligible. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Reste donc un gros morceau à avaler pour ouvrir la route de 2023 à Félix Tshisekedi ! Il s’agit de Moïse Katumbi. L’ancien gouverneur du Katanga ne s’étant pas laissé attirer par le poste de Premier Ministre qu’on lui avait fait miroiter, il demeure le tout dernier obstacle dans la course à la Présidentielle. Pour arriver à bout du patron de TP Mazembe qui dispose aujourd’hui de la première force politique structurée au sein de l’Union Sacrée, deux camps s’opposent au sein de la Présidence. Il y a ceux qui continuent à confectionner des dossiers afin de traduire à nouveau Moïse Katumbi devant les cours et tribunaux et obtenir une condamnation définitive dans les deux prochaines années et ceux qui pensent que recourir, comme l’avait fait à l’époque Joseph Kabila, à de faux procès en instrumentalisant la justice, ne servira qu’à jeter le discrédit sur le régime.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans le laboratoire dirigé par Yezu Kitenge, il est désormais acquis que face à Moïse Katumbi, il faudra faire preuve d’ingéniosité et d’adresse si on ne veut pas s’attirer les foudres de la Communauté Internationale. “Les Congolais veulent qu’on lève l’option de mettre fin à l’exclusivité de la nationalité congolaise”, affirme le nouveau Président de l’Assemblée qui ajoute “Puisqu’il faut réouvrir la Constitution sur cette question de nationalité, on doit en profiter pour imposer la règle que pour être candidat à la présidentielle il faut être de père et de mère congolais”. Et l’homme de Kenge de conclure “Les députés et les Sénateurs qui ont rallié l’Union Sacrée ne vont pas s’opposer à cette modification qui va dans le sens d’offrir la double nationalité à des millions de Congolais vivant à l’étranger”.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En réalité, ce changement dans la Constitution ramène le débat de la « Congolité ». A l’image de l’Ivoirité de triste mémoire qui a mis la Côte d’Ivoire à feu et à sang pendant plus de dix années, sur les conseils de Yezu Kitenge et de Christophe Mboso, le président Tshisekedi est tenté de rouvrir ce dossier afin de priver Moïse Katumbi de toutes ambitions présidentielles. Et d’une pierre deux coups, au sein de la Présidence, il se dit que Martin Fayulu, l’opposant radical incontrôlable, serait lui aussi sous le coup de cette révision constitutionnelle puisque d’aucuns lui attribuent un lien direct avec le Cameroun. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">“En restreignant la nationalité d’origine et la candidature à l’élection présidentielle à une conditionnalité d’être de père et de mère congolais, le Président Félix Tshisekedi va se tirer une balle dans le pied. Lui aussi va devoir se retirer de la course puisque Maman Marthe est angolaise”, tonne un responsable de la société civile qui pressent que la révision concoctée dans le laboratoire de Yezu Kitenge et de Jean-Marc Kabund va conduire le pays dans un nouveau cycle de violence généralisée. L’homme poursuit en déclarant que “Si rien n’est fait pour obliger les pyromanes qui entourent Félix Tshisekedi à ranger leurs allumettes, tout le pays va s’embraser”.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Si la nomination du Premier Ministre Sama Lukonde a calmé les frustrations des populations katangaises qui ont vu plusieurs leaders être démis de leur fonction ou arrêtés, les plans élaborés dans les officines du pouvoir et les menaces qui pèsent à nouveau sur l’avenir de Moïse Katumbi vont inévitablement conduire à de nouvelles tensions bien difficiles à gérer pour le jeune Chef du Gouvernement. A peine va-t-il embrasser les nombreux défis qui l’attendent que Sama Lukonde va devoir démontrer son indépendance d’esprit et sa marge de manœuvre face à ceux qui lui ont remis les clés de la Primature…</span></div></div></div>

Politique Présidentielle 2023 : un scénario politico-judiciaire pour écarter les «adversaires gênants»

Dans les couloirs de la présidence, il se murmure que le Chef de l’Etat et ses hommes préparent minutieusement une révision constitutionnell...

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Composition du nouveau bureau du Sénat : grogne à l'Union sacrée de la nation

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1ozvonNIYN9IZuMVDvnVTKziUlL7PNyRceEN9Nrj3zNBnVwRF-iIlbV81vkLojS7f_1OyQdwhO9JL9DcXjxZ0DijteJR-PCgldpkUCjMQbqDs4NaFqUJReXrObqANQSuEn38ULLMjLg/s1024/Depute-Nzangi-1024x576.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="576" data-original-width="1024" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1ozvonNIYN9IZuMVDvnVTKziUlL7PNyRceEN9Nrj3zNBnVwRF-iIlbV81vkLojS7f_1OyQdwhO9JL9DcXjxZ0DijteJR-PCgldpkUCjMQbqDs4NaFqUJReXrObqANQSuEn38ULLMjLg/w640-h360/Depute-Nzangi-1024x576.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Plusieurs membres de l'Union sacrée de la nation constatent amèrement qu'après la fin de la coalition FCC-CACH, des ex kabilistes sont aux commandes des institutions de la République démocratique du Congo, notamment au bureau définitif du Sénat dont les élections ont eu lieu mardi 2 mars 2021; le non respect du ticket USN pour l'élection du bureau de cette chambre haute, car plusieurs candidats de la même famille se sont présentés pour un même poste à plusieurs niveaux. Par conséquent, certains ont été élus avec moins de 50% du nombre des votants. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour l'instant, il y a grogne au sein de la famille politique de Félix Tshisekedi au regard de la composition du bureau définitif au Sénat.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"C'est un constat amer", soutient un combattant de l'Udps qui regrette "le retour du FCC sous une autre forme".</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le député national, Muhindo Nzangi parle quant à lui d'un " mécontentement " au sein de l'Union sacrée, "ce qui n'est pas à confondre avec un malaise". Pour lui, cette réaction de mécontentement s'explique par l' "absence de consensus autour du ticket Union sacrée" dans la course au bureau du Sénat.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">D'aucuns fustigent, en outre, la présence, dans le bureau Bahati, de certaines personnalités mal cotées dans l'opinion, au regard de leurs gestions antérieures des entreprises de l'État. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour rappel, le bureau du Sénat affiche désormais complet. Bahati Lukwebo a été élu président, Samy Badibanga garde son fauteuil de 1er vice-président, alors que le poste de deuxième vice-président revient à Sanguma Mosai. Michel Kanimbu Shindany est désormais le rapporteur et Nathalie Bul’ An’ Sung rapporteur adjoint. Le poste de questeur est occupé par Carole Agito Amela, tandis que Ida Kidima Nzumba est élue questeur adjoint.</span></div></div>

Politique Composition du nouveau bureau du Sénat : grogne à l'Union sacrée de la nation

Plusieurs membres de l'Union sacrée de la nation constatent amèrement qu'après la fin de la coalition FCC-CACH, des ex kabilistes so...

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Formation du gouvernement: Sama Lukonde exige trois noms pour chaque poste

<div style="text-align: justify;"><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipXyQiFE4Xh2I3viIg1YNICl3UHCU64PYta0vt156qM1v2r3wKNttDahZTs-PItd16kVaAbVBvI-Oi6KPvxH_cNZ1fSxWn2XhsK6YIWL5KHiUSeQ-BzNKABTa7Ud9ecDr86SvomRSlNg/s592/jad20210218-ass-rdc-sama-lukonde-kyenge-592x296-1613664293.jpg" imageanchor="1" style="font-family: "Times New Roman"; font-size: medium; margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="296" data-original-width="592" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipXyQiFE4Xh2I3viIg1YNICl3UHCU64PYta0vt156qM1v2r3wKNttDahZTs-PItd16kVaAbVBvI-Oi6KPvxH_cNZ1fSxWn2XhsK6YIWL5KHiUSeQ-BzNKABTa7Ud9ecDr86SvomRSlNg/w640-h320/jad20210218-ass-rdc-sama-lukonde-kyenge-592x296-1613664293.jpg" width="640" /></a></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le Premier ministre a bouclé ses consultations le lundi 1er mars à l’hôtel du fleuve. L’heure est aux derniers réglages pour la formation du gouvernement. La taille de ce gouvernement comme l’a annoncé Sama Lukonde aussitôt  après sa nomination,  sera réduite. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">D’après les sources proches de la primature, le nouveau locataire de l’hôtel du gouvernement a demandé aux regroupements politiques de proposer trois noms pour chaque ministère.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour rappel, la répartition des postes se fera en fonction du poids politique. Les partis ou regroupements politiques ayant 8 députés à l’Assemblée nationale, ont droit à 1 ministère. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">La publication du gouvernement pourra intervenir probablement le 10 mars avant l’ouverture de la session de mars à l’Assemblée nationale, pour son investiture, confie un proche de Sama Lukonde.</span></div></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br />

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Katumbi est arrivé ce mercredi à Kinshasa

<div style="text-align: justify;"><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0tZid005kSS7NGw0AkQXPeQpUjx1xuZdheH3dRPAzOjeYH2Oa6DEucGVLTPwbZhNHFJIzOezXDk2-Vjy9Nz752Gyb78QNC7blqxPs4wKFbWnsoo6kCZu4P6h-cOW_b-x9zBm15sLHgQ/s640/katumbi_kinshasa_21_5555_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0tZid005kSS7NGw0AkQXPeQpUjx1xuZdheH3dRPAzOjeYH2Oa6DEucGVLTPwbZhNHFJIzOezXDk2-Vjy9Nz752Gyb78QNC7blqxPs4wKFbWnsoo6kCZu4P6h-cOW_b-x9zBm15sLHgQ/w640-h350/katumbi_kinshasa_21_5555_jpg_640_350_1.jpeg" width="640" /></a></div><br /><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le président de l’Ensemble pour la République,  Moïse Katumbi est arrivé ce mercredi à Kinshasa. Dans son agenda, des discussions sur le partage des postes au sein du gouvernement.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Les députés du regroupement politique de l’ex gouverneur de l’ancienne province du Katanga ont rencontré le Premier ministre durant les consultations. Ils ont demandé à ce dernier de tenir compte du poids politique de leur regroupement, qui compte 70 députés à l’Assemblée nationale. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Moïse Katumbi, devait faire les arbitrages à l’intérieur de son camp politique, avant de proposer des noms en rapport avec le quota réservé à Ensemble pour le république dans le gouvernement Sama Lukonde.</span></div><div><br /></div></div>

Politique Katumbi est arrivé ce mercredi à Kinshasa

Le président de l’Ensemble pour la République,  Moïse Katumbi est arrivé ce mercredi à Kinshasa. Dans son agenda, des discussions sur le par...

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FELIX TSHISEKEDI , PAS QUESTION D ' ALLER A L ' EST DU PAYS .PARLEMENT DEBOUT JULES DE L ' UDPS ( VIDEO )

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Union sacrée, les députés pétitionnaires demeurent inquiets (Eliezer Thambwe)

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmnPm-B6j5Rwu8v3ICnG3bsyxrADCeQ_Gv1OFfJ3bZLwld7v2WHQVUbz6NHVpvaldM2YubRD54ydhvNg7Q7GMi3wjxGSJB41gQ9h8KslTH-1P_TtJn5-HNkSf0fSElRfeywtUjMfszRQ/s639/v7656.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="639" data-original-width="480" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmnPm-B6j5Rwu8v3ICnG3bsyxrADCeQ_Gv1OFfJ3bZLwld7v2WHQVUbz6NHVpvaldM2YubRD54ydhvNg7Q7GMi3wjxGSJB41gQ9h8KslTH-1P_TtJn5-HNkSf0fSElRfeywtUjMfszRQ/w373-h640/v7656.jpg" width="373" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"Je ne peux pas encore dire que mon inquiétude a été entendue dans la mesure où tout est encore flou", déclare, sur Top Congo FM, le député national Eliezer Thambwe, un de 251 signataires des pétitions pour le départ de l'ancien bureau de l'Assemblée nationale. Ce dernier avait, il y a quelques jours, réclamé ouvertement des portefeuilles ministériels en guise de couronnement de leur combat. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"Vous avez constaté (que le Premier ministre) a reçu presque tout le monde sauf les conservateurs du combat et de la vision d'Etienne Tshisekedi. Je peux citer Franck Diongo, Diomi Ndongala (tandis que) le Président de la République, c'est quelqu'un qu'on rencontre quand lui a besoin de vous parce qu'il a un agenda chargé", fait-il observer.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"Ce que je souhaite pour les députés pétitionnaires, c'est la reconnaissance, parce que la révolution est parlementaire", clame le député national qui regrette le "combat de positionnement que les uns et les autres sont en train de mener" chacun de son coté.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Sans doute, par "révolution parlementaire", Eliezer Thambwe fait allusion, pour reprendre ses propos, au "risque pris (par les députés pétitionnaires) pour se débarrasser du régime, faire basculer la majorité, faire partir le bureau Mabunda que personne ne croyait (possible) même quand le Chef de l'Etat l'avait annoncé". <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pendant ce temps, "les Chefs de partis n'y croyaient pas : les uns menaçaient, les autres attaquaient, surveillaient les mouvements des députés, faisaient des déclarations contre les élus qui s'engageaient à faire changer les choses", a encore, rappelé l'élu de Kinshasa sous le label Alliance des mouvements du Kongo" regroupement politique proche de Moïse Katumbi.</span></div></div>

Politique Union sacrée, les députés pétitionnaires demeurent inquiets (Eliezer Thambwe)

"Je ne peux pas encore dire que mon inquiétude a été entendue dans la mesure où tout est encore flou", déclare, sur Top Congo FM, ...

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RDC : La vaccination contre la Covid-19 démarre la semaine prochaine (Min. De la Santé)

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHAAA8o3_mU4vjtZ69DbnOB4_OrAEkY-q_iDratjPQr_ViagS4s816oSwM43NfAZCIenapbx7CGkhvCUhFn7oeI3qBpEZLo96ciB8N5BhsfqIYM3TxOIJkSW3hH1voTC4Qt2aMSPThMg/s480/D36C0519-24EB-44D3-B434-E993D65C8AE9.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="480" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHAAA8o3_mU4vjtZ69DbnOB4_OrAEkY-q_iDratjPQr_ViagS4s816oSwM43NfAZCIenapbx7CGkhvCUhFn7oeI3qBpEZLo96ciB8N5BhsfqIYM3TxOIJkSW3hH1voTC4Qt2aMSPThMg/w640-h480/D36C0519-24EB-44D3-B434-E993D65C8AE9.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">La vaccination contre la pandémie de Covid-19 en République démocratique du Congo va démarrer la semaine prochaine. C'est-ce qu'a fait savoir le ministre de la santé après la réception, mardi 2 mars 2021 à l'aéroport international de N'djili à Kinshasa, de 1,7 million de doses de vaccin contre cette maladie.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le docteur Eteni Longondo a, par ailleurs, précisé que le personnel médical, les personnes âgées et les personnes souffrant des maladies telles que l'hypertension et le diabète seront les premiers à être vaccinés. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"Aujourd'hui, nous recevons donc le vaccin pour que le peuple congolais soit très bien protégé par rapport à cette maladie. Donc, c'est un don de la communauté internationale que nous allons utiliser ici au Congo, d'abord pour vacciner le personnel médical, les personnes d'âge mais aussi les personnes avec des comorbidités comme l'hypertension chronique, le diabète, etc. Donc, nous continuons avec la sensibilisation, et c'est la semaine prochaine que nous allons démarrer avec la vaccination proprement dite", a-t-il fait savoir à la presse présente à l'aéroport de N'djili.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le ministre de la santé a indiqué aussi que la vaccination va d'abord concerner la ville de Kinshasa qui est l'épicentre de la maladie à Coronavirus. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script>  </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"Dans un premier temps, nous avions commandé 6 millions de doses parce que Kinshasa constitue l'épicentre de cette maladie, nous avons beaucoup plus de cas ici à Kinshasa. Nous allons commencer d'abord par les utiliser ici sur place à Kinshasa là où nous savons qu'il y a beaucoup de cas. Pourquoi pas le reste de la RDC ?", s'est interrogé le Dr Eteni Longondo.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour rappel, la RDC a réceptionné ses premières doses de vaccin mardi dernier. Il s'agit de 1,7 million de doses de vaccin. Le pays a porté son choix sur le vaccin AstraZeneca de l’université d’Oxford (Angleterre), selon le Programme Élargi de Vaccination de la RDC (PEV).</span></div></div>

Politique RDC : La vaccination contre la Covid-19 démarre la semaine prochaine (Min. De la Santé)

La vaccination contre la pandémie de Covid-19 en République démocratique du Congo va démarrer la semaine prochaine. C'est-ce qu'a fa...

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Le cardinal Ambongo exhorte le président Tshisekedi à ramener la paix à l'Est

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4gTX0Yx2CLgw-l-vxodiOe4HkOBB48YWMgVaqH3fPO6w94hmElujD9JC7KVsHSgFj4oDOEv6w0KPj691pZ84MWySoOWscGB2Q_DLPnVwFQT_qPUTVugJSpKne4pItrwJe4oMDIL1ZvA/s2048/AED_11%25C3%25A8me_Nuit_des_T%25C3%25A9moins_-_Fridolin_Ambongo_-_2_%2528cropped%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1629" data-original-width="2048" height="510" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4gTX0Yx2CLgw-l-vxodiOe4HkOBB48YWMgVaqH3fPO6w94hmElujD9JC7KVsHSgFj4oDOEv6w0KPj691pZ84MWySoOWscGB2Q_DLPnVwFQT_qPUTVugJSpKne4pItrwJe4oMDIL1ZvA/w640-h510/AED_11%25C3%25A8me_Nuit_des_T%25C3%25A9moins_-_Fridolin_Ambongo_-_2_%2528cropped%2529.jpg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le président de la République, Félix Tshisekedi, a assisté hier mardi 2 février à Kinshasa, à une messe à la mémoire de l'ambassadeur d'Italie, Luca Attanasio, tué dans une embuscade le 22 février dernier près de la capitale du Nord- Kivu, Goma.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">La messe a été célébrée par l'Archevêque métropolitain de Kinshasa, le Cardinal Fridolin Ambongo. Ce dernier a, au nom de l'Eglise catholique, présenté ses condoléances au Président de la République à qui, dit-il, vont ses pensées et ses prières lorsqu'on en vient à évoquer le meurtre de l'ambassadeur italien.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">S'adressant directement au chef de l'Etat en toute fin de messe, le prélat catholique l'exhorte à ramener la paix à l'est, car c'est à lui qu'incombe cette responsabilité en sa qualité de garant de la nation. Et pour cela, il faut toujours prier pour le premier d'entre les Congolais.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour le Cardinal Ambongo, "beaucoup de sang a coulé", la mort de l'ambassadeur Luca Attanasio devrait être la toute dernière, "le plafond" au-delà duquel le pays ne devrait plus aller. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Auparavant, dans une exhortation de plus de dix minutes, le Nonce apostolique auprès de la RDC, Mgr Ettore Balestrero, a exprimé son exaspération face à l'insécurité dans cette partie de la RD-Congo, tout en lançant un vibrant appel aux auteurs de cet odieux crime d'arrêter de faire le mal en faisant du bien. Une exhortation tirée du Livre d'Isaïe.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Mgr Ettore Balestrero a convié l'assistance à se rappeler une évidence avec la mort de l'illustre disparu : "nous devons comprendre que nous sommes poussière et nous retournerons à la poussière". <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">A cette messe, outre le Président de la République, il y avait le président de l'Assemblée nationale, les Premiers Ministres entrant et sortant, le Gouverneur de la ville, le corps diplomatique accrédité à Kinshasa, des officiers de l'Armée et de la Police…</span></div></div>

Politique Le cardinal Ambongo exhorte le président Tshisekedi à ramener la paix à l'Est

Le président de la République, Félix Tshisekedi, a assisté hier mardi 2 février à Kinshasa, à une messe à la mémoire de l'ambassadeur d&...

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Tshisekedi-évêques catholique: début de la guerre froide?

<div style="text-align: justify;"><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoOcvARidvam6rwaIbfM8msZidPloARkVdET63dCkgslXcBAzxUsN3DPCW0oAs4n-KGRbRk3R_6bd8D5Qq3t_Z0fluuFpyHli_emNmWEO_FLlqiSsGZXqYpgumdr4UkahEWWWzDIyCPQ/s1200/Fe%25CC%2581lix-Tshisekedi-Cenco-232021.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="675" data-original-width="1200" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoOcvARidvam6rwaIbfM8msZidPloARkVdET63dCkgslXcBAzxUsN3DPCW0oAs4n-KGRbRk3R_6bd8D5Qq3t_Z0fluuFpyHli_emNmWEO_FLlqiSsGZXqYpgumdr4UkahEWWWzDIyCPQ/w640-h360/Fe%25CC%2581lix-Tshisekedi-Cenco-232021.jpg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Les freins ont-ils déjà lâché entre l’Eglise catholiques et le pouvoir de Félix Tshisekedi.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le rappel des princes de l’Eglise pour l’organisation des élections dans les délais constitutionnels est sans nul doute la goutte d’eau qui vient de faire déborder le vase.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans un document intitulé «Elections 2023, ne confondons pas les rôles», la présidence de la démocratique du Congo demande à la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) de s’occuper des affaires de l’Eglise et non des élections qui sont l’apanage de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Comme il fallait s’y attendre, la réplique de la CENCO n’a pas tardé. Dans un tweet, le même mardi, l’abbé Donatien Nshole a déclaré que "la CENCO n’a fait que prévenir. Les évêques ne vont pas changer ce point de vue. La CENCO a fait la même chose avec Kabila disant non au troisième mandat. La CENCO reste constante". <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">A la faveur de ces joutes oratoires, difficile de dire si c’est déjà le début des hostilités entre Félix Tshisekedi et l’Eglise catholique locale. Toujours est-il que depuis les élections de décembre 2018, l’Eglise catholique est en froid avec le nouveau pouvoir issu de ce scrutin. Les évêques ont proclamé le principal de Félix Tshisekedi, Martin Fayulu, vainqueur de la présidentielle du 30 décembre 2023, en se basant sur le rapport des observateurs de la CENCO déployés sur l’ensemble du territoire national.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pour l’UDPS, les prélats catholiques avaient choisi leur camp en protestant ouvertement contre les résultats publiés par la CENI, seule instance habilitée à organiser les élections. Cette crise s’était aggravée avec les consultations nationales organisées par le Président de la République.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Les Tshisekedistes radicaux n’avaient pas digéré l’initiative des évêques de tenter de réconcilier le président de la République, Félix et son prédécesseur, Joseph Kabila alors que leur coalition au pouvoir se trouvait au bord de l’implosion.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Une frange de l’opinion s’étonne de constater que l’Eglise catholique et l’UDPS, deux alliées d’hier deviennent des ennemis aujourd’hui.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">On se rappelle que lors de la marche du CLC pour exiger la tenue des élections dans le délai constitutionnel sous Kabila, le secrétaire de l’UDPS, actuellement président intérimaire de l’UDPS, Jean-Marc Kabund ne s’était pas empêché d’affirmer que l’Église catholique et l’UDPS mettaient chacun 50 % pour la réussite des manifestations anti Kabila.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">"Sans la pression des évêques pour obtenir la tenue des élections, Tshisekedi ne serait pas président", lâche un prêtre catholique.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pourquoi le point sur l’organisation des élections dans le délai constitutionnel doit-il provoquer la levée dueboucliers ?</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans les coulisses du Palais du peuple, se chuchote un plan de la révision de la Constitution à faire passer dans la session extraordinaire du Parlement qui s’’ouvre le 15 mars courant. Selon certaines indiscrétions, cette révision vise à faire passer le mandat du président de 5 à 7 ans. Une manière de maintenir Tshisekedi en cas de glissement.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Le problème de la nationalité sera également abordée dans ladite révision constitutionnelle, qui vise à éliminer les potentiels candidats aux prochaines élections. Le pouvoir devait faire face à une frange de la communauté internationale avec la Belgique en tête, l’Eglise catholique, le FCC reste fidèle à l'ancien chef de l'Etat Joseph Kabila et l’aile dure de Lamuka, incarnée par le tandem Fayulu-Muzito et une bonne partie de l’opinion pour faire avaler cette pilule amère. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">ELECTIONS 2023: NE CONFONDONS PAS LES RÔLES !</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Après un mutisme longtemps observé sur la scène politique, les évêques catholiques de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) font à nouveau parler d'eux. Pour peu, on croirait à un désir de buzz ou à une polémique tendancieuse. Ils ont, comme qui dirait, rajouté une couche aux hallucinations d'un journaliste en mal de sensation, Gauthier Rybisnki, d'une chaine française tout aussi critique à l'endroit du régime actuel, étalant ainsi à la face du monde des accointances mal dissimulées. Alors que la République déplore encore l'assassinat récente de l'ambassadeur italien et ses compagnons d'infortune, victimes du terrorisme, ils ont voulu attirer l'attention du monde en tenant un discours de la peur, rejoignant ainsi, dans leurs déclarations, certains acteurs politiques qui avaient, en leur temps, juré de décourager tout investisseur étranger à venir s'installer en RDC.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">En relançant le débat sur la tenue des prochaines élections constitutionnellement fixées en 2023, il y a lieu de s'interroger sur la raison de leur scepticisme dans la mesure où le moindre soupçon de " glissement du mandat " n'a jamais effleuré l'esprit de celui à qui les Congolais ont confié leur destinée par la voie des urnes en décembre 2018.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">D'où vient alors la peur des princes de l'église ? Une peur dont ils ont du mal à se départir au point d'imputer gratuitement à Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo les relents autrefois accrocheurs décelés dans le chef de son prédécesseur, jouant la montre sur fond de reports incessants du scrutin présidentiel. Nous disons: ayez vos apaisements et ne confondez pas les rôles ni non plus vitesse et précipitation!</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Par ailleurs, cet intérêt toujours soutenu des prélats catholiques, bien que compréhensible dans un environnement où les langues se sont définitivement déliées grâce au nouveau leadership incarné par le Président de la République, traduit néanmoins un engagement excessif qui les places paradoxalement loin de leur sacerdoce et des lieux de culte. Des discours aux senteurs politiques, des accointances avec des officines obscures; tout ça est digne d'un activisme insurrectionnel et, cerise sur le gâteau, atteste des attitudes partisanes, contraires à leur statut social.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">La question de l'organisation des élections est du domaine exclusif de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). L'immixtion de la Cenco dans ce qui ne relève pas de sa compétence est simplement ahurissante, voire provocante pour des pères spirituels mués, pour le besoin de la cause, en politiques engagés au détriment de leurs brebis livrés à eux-mêmes. On se souvient tous de ces pics lancés au lendemain de la proclamation des résultats de la présidentielle de décembre 2018 qui donnaient Félix-Antoine Tshisekedi vainqueur, lesquels traduisaient manifestement leur sentiment de dépit face à la tournure des évènements.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Des résultats entérinés par la Cour constitutionnelle mais pour lesquels la Cénco avait trouvé à redire, prétextant qu'ils ne correspondaient pas à ceux collectés par sa propre mission d'observation. Entretemps, les preuves attendues pour confirmer la victoire de son protégé, le héros de Genève, n'ont jamais été présentées à la Haute Cour.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Rappelons à ce sujet que la Cenco avait poussé l'outrecuidance jusqu'à devancer la Ceni pourtant le seul organe habilité  dans la diffusion des résultats par ses propres canaux, violant ainsi gravement autant la Constitution, la loi électorale que la Charte de bonne conduite en la matière. Avait-elle les moyens de projeter des résultats alors qu'elle ne maitrisait que près de 25.000 bureaux de vote? Difficile dans ces cas de figure de s'ériger en donneur de leçons.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Qu'à cela ne tienne! Après une facilitation laborieuse ayant accouché d'un accord de Saint Sylvestre dont l'application a toujours été sujette à caution, la Cenco a cru bon d'embarquer le nouveau pouvoir dans une nouvelle aventure sans issue au nom d'un énième compromis politique.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Avec un engagement politique extrême, on l'a de nouveau retrouvée dans le processus de désignation du successeur de Corneille Naanga à la tête de la Céni. Là encore, elle s'est faite grillée par des structures religieuses concurrentes qui ne supportaient pas son diktat. À y regarder de près, il en est résulté un bris de confiance et un discrédit patent dans la mesure où la population s'en était offusquée!</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Plutôt que de céder à cette distraction, le peuple congolais a d'autres préoccupations liées à l'amélioration de ses conditions de vie. La Cenco veut certes porter la croix des sans voix en parlant insécurité, santé, autosuffisance alimentaire, bonne gouvernance, éducation, lutte contre la corruption etc.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Mais il s'agit-là d'autant des chantiers prioritaires pour lesquels le Chef de l'État s'investit corps et âme et ne ménage aucun effort. La gratuité scolaire qui ne semble pas plaire aux écoles conventionnées catholiques vient en première ligne puisqu'elle concerne nos enfants, l'avenir de la RDC. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">À cela s'ajoutent des réformes au niveau institutionnel qui touchent notamment le système électoral, la Céni, la loi électorale, la fiscalité… dont les projets de loi y relatifs sont en attente d'être examinées au Parlement, cette institution dont la majorité a basculé, laquelle donnera les coudées franches au Président de la République dans la matérialisation de sa vision au profit de ses concitoyens. Nous sommes en présence d'un processus qui avance et qui aboutira avec le concours de tous les patriotes. Il n'y aura pas de place à la magie!</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">A présent qu'un brin d'éclaircit commence à poindre à l'horizon, la sortie de la Cenco apparait comme un coup de pied gratuit dans une fourmilière, sans savoir exactement ce qui en résulterait. Direction de la Communication du Chef de l'État</span></div></div>

Politique Tshisekedi-évêques catholique: début de la guerre froide?

Les freins ont-ils déjà lâché entre l’Eglise catholiques et le pouvoir de Félix Tshisekedi. Le rappel des princes de l’Eglise pour l’organis...

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