BA SANGO YA CONGO KINSHASA: culture

Exposition et ventes de collections. ISETAM : les futurs modélistes explosent au restaurant Lapina !

July 16, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjUsRhYD59YS0U-ysZwuYqY76FsfFR932Tels2p0vquuYJrArXK98vzZj09UXN8QABonNBBTvAf6UfJsXY1DoX_VcdbcYGAiFbV2PUry0WbjpJpUtMmg6odphTpLRooWIj61FAM93jG-Kh/s1600/Snapshot_441.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjUsRhYD59YS0U-ysZwuYqY76FsfFR932Tels2p0vquuYJrArXK98vzZj09UXN8QABonNBBTvAf6UfJsXY1DoX_VcdbcYGAiFbV2PUry0WbjpJpUtMmg6odphTpLRooWIj61FAM93jG-Kh/s280/Snapshot_441.jpeg" width="280" /></a> 
C’était une meilleure occasion offerte aux futures stylistes et modélistes de la République démocratique du Congo de faire connaître leurs talents et créations au public, amoureux de la mode. 
 
Samedi 25 juin, au restaurant La Pina, les étudiantes de l’ISETAM sont montées au créneau pour exposer leurs œuvres grâce à l’initiative de Mme Lydie OKOSA, qui est également assistante et responsable de la relation publique dans cet établissement d’enseignements supérieur. Cette initiative consiste à initier et encourager les étudiantes à l’entreprenariat et aussi de présenter aux visiteurs les créations réalisées par les étudiantes. L’idéal est de faire la promotion de talents des étudiantes qui sont considérées comme des produits de l’ISETAM. Les œuvres exposées sont le reflet ou encore le résultat de la formation et de la connaissance apprises à l’ISETAM. 
 
Au total, 150 étudiantes accompagnées de leurs amis et connaissances ont participé à cette journée consacrée à l’exposition et ventes des accessoires de mode confectionnés spécialement par les finalistes en modélisme et pre-finalistes en stylisme de cette école de la Capitale. Egalement, elles ont profité de l’opportunité pour présenter quelques collections de vêtements prêt-à-porter aux visiteurs. Une ambiance bon enfant a caractérisé l’activité soutenue par la présence de quelques membres du comité de gestion et du corps académique de cet institut. 
 
Cette journée est la première mais pas la dernière, a déclaré Mme Lydia OKOSA qui s’est résolument engagée d’organiser, chaque année, ces genres d’événements dans le but de redorer l’image de l’Institut. ‘‘Nous allons reproduire ce type de rencontres dans les jours à venir. Il faut que le public sache et découvre le niveau et la qualité des étudiantes que l’ISETAM lance chaque année sur le marché d’emploi ou dans le domaine d’entreprenariat en RDC. Surtout que l’essentiel pour elles, c’est de faire promouvoir nos produits qui sont des étudiantes’’, a renchéri la Chargée des Relations Publiques de l’ISETAM. 
 
Toutefois, elle a, au nom de tous les responsables de l’ISETAM, manifesté sa gratitude envers Mme Lapina, responsable de beau cadre qui a disponibilisé, sans condition, son espace en guise de son soutien à la promotion et à la valorisation de talents de jeunes. 
 
Rappelons que Mme Lydia OKOSA est aussi styliste-modéliste et créatrice de la marque vêtement «LOK Style» à Kinshasa. A travers cette marque, elle contribue dans l’encadrement de la jeunesse congolaise et s’investit dans sa formation.

culture Exposition et ventes de collections. ISETAM : les futurs modélistes explosent au restaurant Lapina !

C’était une meilleure occasion offerte aux futures stylistes et modélistes de la République démocratique du Congo de faire connaître leurs...

[Emission Saga d'Afrique] Nzayi Kongo: Art et Mysticisme africain . (vidéo de pretre shrek Ndundu )

July 12, 2016

Art culture les Combattants et l'Echos de la Diaspora Théâtres Congolais [Emission Saga d'Afrique] Nzayi Kongo: Art et Mysticisme africain . (vidéo de pretre shrek Ndundu )

[Emission Saga d'Afrique] Nzayi Kongo: Art et Mysticisme africain . (vidéo de pretre shrek Ndundu )

La FiKIN ouvre ses portes samedi prochain à Kinshasa

July 11, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNe5qfWObihUrC8dsfsF4wVdnm9iINvVZULC-zQWRzJQ84HB-Yih_3hobp9ti9h8K0pa_I9n-L_88_56g_4H0qp5haMC5fY6zdtx5C1o3stoyNs6cFcycwuF8ec55tvM6y7ZDVsrvyh4cf/s1600/Snapshot_3021.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="237" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNe5qfWObihUrC8dsfsF4wVdnm9iINvVZULC-zQWRzJQ84HB-Yih_3hobp9ti9h8K0pa_I9n-L_88_56g_4H0qp5haMC5fY6zdtx5C1o3stoyNs6cFcycwuF8ec55tvM6y7ZDVsrvyh4cf/s280/Snapshot_3021.jpeg" width="280" /></a></div>
Les activités Foraines de Kinshasa pour l’exercice 2016 vont démarrer samedi 16 juillet pour se clôturer le 15 Août prochain, a annoncé le directeur général de la Foire internationale de Kinshasa, Eugène Bokopolo, lundi au cours d’une conférence de presse dans son bureau de travail à Kinshasa. Placée sous le thème «Soutenons la modernisation de la FIKIN», la présente édition foraine a un caractère national et international, a indiqué M. Bokopolo précisant qu’elle connaitre la participation du Cameroun, du Ghana, du Bénin et du Kenya. 
 
 
 
 
 
Il a invité les entreprises publiques et privées à venir exposer à la FIKIN qui, selon lui, constitue un lieu d’échanges, de vente et de commerce, avant d’appeler les autorités congolaises à prendre des dispositions pour fermer à travers la cité les kermesses qui font obstacle au bon déroulement des activités foraine et expose les enfants. 
 
 
 
 
Abordant l’aspect lié à la réhabilitation de cet espace, le directeur général de la FIKIN a fait savoir que les travaux interviendront l’année prochaine, sous l’impulsion du chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange dans sa vision de la révolution de la modernité. Ils consisteront à moderniser l’espace par la construction des parcs d’attraction et d’expositions en vue d’attirer les opérateurs économiques de divers horizons du monde. 
 
 
 
 
 
 
Il a précise que ces travaux seront exécutés par le gouvernement sous l’encadrement du Premier ministre. Le ministère du Commerce va aussi encadrer ce projet de réhabilitation, a affirmé M. Bokopolo qui a également annoncé la tenue à la fin de cette année d’un salon agricole. 
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Au tour de Kinshasa culture Economie La FiKIN ouvre ses portes samedi prochain à Kinshasa

Les activités Foraines de Kinshasa pour l’exercice 2016 vont démarrer samedi 16 juillet pour se clôturer le 15 Août prochain, a annoncé le...

Réussite du spectacle ‘’The one man slam‘’ : Yekima remercie son public et ses partenaires !

July 11, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYrlP233pRcWzWf6idGV9GxO8k5DwsCXsW7hi8DhyXL8Tkn60gN_3_W6sNnqO3gBp3Ul1OLhIv3UlsYJC-zKx9yo9kwQaM1iMtYw-88-dz8MD3uGlyaHfZbtShmv_l336rhj2pjUg6Nhji/s1600/Snapshot_414.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYrlP233pRcWzWf6idGV9GxO8k5DwsCXsW7hi8DhyXL8Tkn60gN_3_W6sNnqO3gBp3Ul1OLhIv3UlsYJC-zKx9yo9kwQaM1iMtYw-88-dz8MD3uGlyaHfZbtShmv_l336rhj2pjUg6Nhji/s280/Snapshot_414.jpeg" width="280" /></a>Aux prises avec des fins limiers, le slameur congolais a fait le bilan de son dernier spectacle. Tenu dans deux sites, précisément, à la Halle de la Gombe puis au centre Culturel Boboto, l’artiste assure avoir réussi son pari. Une troisième présentation devait avoir lieu au Kempinski Fleuve Congo Hôtel. Mais, hélas, elle a été reportée. Toutefois, jugeant largement positif son bilan, l’artiste a vivement remercié ceux qui ont permis que ce spectacle deviennent une réalité. A savoir, Dieu, le public, le parterre d’artistes venus l’accompagner, toute son équipe mais aussi, les partenaires qui ont cru en son génie, Eale Group, Pictogrammes, Cmct et Black box, l'équipe de Beyshoo, l’Institut Français de Kinshasa, etc. 
 
‘’ L’inédit spectacle The one man slam mis en branle avec le partenariat de l’Institut Français de Kinshasa et Négro's l'âme Entertainment est même parti bien au-delà de nos attentes ‘’, scande-t-il. 
 
Présentation à la Halle 
 
‘’Une foule immense, des personnalités dans la mêlée, public très enthousiaste et interactif surtout, la soirée du 6 mai 2016, à la Halle de la Gombe, était une grande soirée de partage de bonheur. C'est la plus belle prestation de ma vie aux côtés de 5 merveilleux artistes qui m'ont accompagné en musique ‘’, poursuit celui qui se fait appelé le soldat du slam. Cette soirée là sous une pluie immense, confie Yekima, la Halle n'était pas que noir du ciel mais de monde, je ne remercierai jamais assez ce public qui nous a énormément marqués du premier au dernier texte slamé. 
 
Le public pour Yekima de Bel Art a été séduit par des pièces inédites à l’instar de ‘’Célibataire ‘’, ‘’j'en ai marre ‘’, ‘’ ICI ce chant d'espoir ‘’, ‘’Humains I tech ‘’, ‘’Ma banlieue ‘’, ‘’Quand j'étais petit‘’, ‘’Enfants de la cinémathèque‘’, ou encore ‘’ le Sapeur ‘’ effectué en hommage à Papa Wemba, une rencontre insolite entre le slam et la sape. 
 
The one man show à Boboto 
 
Lors de la prestation au Centre Culturel Boboto, l’artiste révèle que tout était porté par le public immense qui avait répondu présent quoique là, l’accès au spectacle se devait d’être payé. C’était, pour Yekima, beau à en avoir des larmes aux yeux. Les scènes ont été retouchées avec une touche singulière. Derrière ce grand projet il y a des têtes pensantes telles l'équipe de Beyshoo et bien d'autres encore, il y a des génies qui veulent repousser des limites en dépit des contraintes soit techniques, logistiques ou financières, renseigne-t-il. Le bilan général est très positif, juge le soldat du slam. ‘’ Mais moi comme un éternel insatisfait, je pense qu'on peut faire mieux aux prochaines rencontres avec ceux qui aiment ce que je fais. J'ai hâte. Nous avons réussi ce pari avec les partenaires mais le meilleur reste à venir‘’, conclut-il. 
 
Le slam 
 
Le slam est une poésie déclamée sur fond musical, ou non. Art d'expression orale populaire, il se pratique généralement dans des lieux publics, sous forme de scènes ouvertes et de tournois. Les slameurs – ou poètes – déclament, lisent, scandent, chantent, jouent des textes de leur cru sur des thèmes libres ou imposés.

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Aux prises avec des fins limiers, le slameur congolais a fait le bilan de son dernier spectacle. Tenu dans deux sites, précisément, à la H...

Masumu Debrindet honore Simon Kimbangu

July 11, 2016

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Il y a peu, le chef de l’Etat a réhabilité la mémoire de Simon Kimbangu. Et, pour soutenir cette initiative du Président de la République, l’artiste Masumu a honoré la mémoire de ce prophète congolais, réalisant un film qui démontre la vie religieuse de ce grand messager de l’évangile de Jésus-Christ. 
 
Qui est Simon Kimbangu ? 
 
Né à Nkamba, au Kongo central, il est le précurseur de l’église kimbanguiste qui est une grande communauté à ce jour. Il a prôné l’africanisme, en défendant l’homme noir, alors sous le joug du colonialiste. Ce dernier a dit : « l’homme noir sera l’homme blanc ». Son arrestation intervient en 1921. Il fut assassiné en 1951. Simon Kimbangu est mort pour la cause commune de l’homme noir.

culture Masumu Debrindet honore Simon Kimbangu

Artiste comédien, qui charrie une expérience de plus de 30 ans, Masumu Debrindet qui a longtemps presté dans le très célèbre Groupe Salon...

Le Panier Micro Baladeur : comment appelle-t-on L' Insecte qui Produit Une Lumière Verdâtre La Nuit ? Ba Kinois Ba Beti Munoko (VIDÉO)

July 05, 2016

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Au tour de Kinshasa culture infos en vidéos Société Le Panier Micro Baladeur : comment appelle-t-on L' Insecte qui Produit Une Lumière Verdâtre La Nuit ? Ba Kinois Ba Beti Munoko (VIDÉO)

Le Panier Micro Baladeur : comment appelle-t-on L' Insecte qui Produit Une Lumière Verdâtre La Nuit ? Ba Kinois Ba Beti Munoko (VIDÉO...

LA PREMIÈRE ÉDITION DU FESTIVAL DU MONT-AMBA

July 02, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirIR1_oJ2dd1K8xAN0o0qJfPgVHJMBj5rp0uWnzy8YbUjDg33TUbDN7oSNx0bGPwseemX-v1FW9Mu_fNC3K1H4i3nOz3Ljsvsj9CH8i5_LS-3xkD3boWDdGtwr67gvKe1fOK8WhN-7EpI/s1600/Snapshot_374.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirIR1_oJ2dd1K8xAN0o0qJfPgVHJMBj5rp0uWnzy8YbUjDg33TUbDN7oSNx0bGPwseemX-v1FW9Mu_fNC3K1H4i3nOz3Ljsvsj9CH8i5_LS-3xkD3boWDdGtwr67gvKe1fOK8WhN-7EpI/s280/Snapshot_374.jpeg" width="280" /></a>La première édition du festival du Mont-Amba (FEMA) débute ce dimanche 3 juillet à l’Alliance franco-congolaise dans la commune de Lemba. Un évènement culturel qui met sur scène des artistes musiciens, des expositions, ainsi que des conférences. 
 
Pendant huit jours, la municipalité de Lemba vibrera au rythme d’artistes originaires des communes de Limete, Ngaba, Kisenso, et Matete, du district de Mont-Amba. Des musiciens d’inspiration religieuse et ceux de l’art d’Orphée, tel que Franck Mulaja, Jean Goubal, Félix Wazekwa et tant d’autres seront de la partie. Des concours, des expositions figurent également au menu de ce rendez-vous culturel.Une série de conférences connaitra l’animation des intervenants de différents secteurs tels que des notables de chaque commune et les bourgmestres. Les pasteurs pourront intervenir sur le thème principal " Comment développer sa commune ? ". 
Le FEMA se focalise sur trois parties. La première, dite événementielle, sera consacrée à la prestation des vedettes du district du Mont-Amba. Ces spectacles seront accompagnés de démonstrations sportives. La deuxième partie axée sur le concours, débouchera au couronnement des meilleurs artistes, dans différentes branches. 
Pendant cette période des festivités, les portes de l’Alliance franco-congolaise seront ouvertes au public de 8 à 21 heures. Pour les organisateurs, une journée sera consacrée à chaque commune pour sortir le meilleur danseur, meilleur orchestre, la Miss de cette commune, le meilleur DJ (Disc Jockey) et la meilleure troupe théâtrale. 
Le comité organisateur de ce festival est composé des représentants de chaque municipalité du district du Mont Amba, indique le président du FEMA, Christa Gaga. A l’instar des autres festivals organisés dans d’autres districts, les organisateurs veulent promouvoir les jeunes talents que regorgent les cinq communes du district.

culture LA PREMIÈRE ÉDITION DU FESTIVAL DU MONT-AMBA

La première édition du festival du Mont-Amba (FEMA) débute ce dimanche 3 juillet à l’Alliance franco-congolaise dans la commune de Lemba. ...

UNE TRENTAINE DE FILMS EN COMPÉTITION POUR LE PRIX DU CINEF

June 22, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAAILybLyQxUq7Wd4dGjlPAdHtxmAHJltBHEzuHmyVJiBTXhLwiu5ya5iBkQLU091_5JgG7EC8WIp7rQmESJvEAq6BMJPEhGpBQOoW6g0wW9x7TGjt2zFa5MG_QMFqeNKVvHgdRwQlK88/s1600/Snapshot_336.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAAILybLyQxUq7Wd4dGjlPAdHtxmAHJltBHEzuHmyVJiBTXhLwiu5ya5iBkQLU091_5JgG7EC8WIp7rQmESJvEAq6BMJPEhGpBQOoW6g0wW9x7TGjt2zFa5MG_QMFqeNKVvHgdRwQlK88/s280/Snapshot_336.jpeg" width="280" /></a>Kinshasa abrite, depuis le samedi dernier, la troisième édition du festival du Cinéma féminin (CINEF). Prévu du 18 au 25 juin, ce rendez-vous culturel propose aux cinéphiles présents une trentaine de films des auteurs provenant de quatre coins du globe. A l’affiche, les organisateurs de cette édition s’attendent à primer les meilleures réalisations au terme de ce festival. 
 
Lors du lancement de cette troisième édition le 18 juin à la Place commerciale, au niveau de la 7ème rue, à Limete, le public a eu la primeur de suivre la projection du film "A peine j’ouvre les yeux" de Leyla Bouzid, et de deux courts métrages : "Les oubliés de Brazza" de Joseph Moura et "Love" de Sophie Chamoux. 
"Je tiens à féliciter les organisateurs de ce festival qui met en lumière le cinéma congolais, et également le cinéma africain. C’est pour nous une occasion de mettre en valeur les talents de nos cinéastes, et surtout des femmes qui excellent dans la gente féminine, bien que les moyens de distribution et de promotion s’avèrent encore insuffisants", a déclaré à cet effet la chanteuse Barbara Kanam, la marraine de la présente édition du Cinef. 
"En tant qu’amatrice d’art, je ne pouvais que répondre positivement à cette sollicitation, a renchéri la diva de la musique congolaise. Durant cette semaine du festival, nul doute que les amateurs du 7ème art de la ville de Kinshasa apprécieront les œuvres et la présence des cinéastes". 
 
POUR L’ECLOSION DU CINEMA FEMININ 
Pour sa part, la coordinatrice du festival, Mme Clarisse Muvuba, a eu les mots justes pour donner le ton à cette nouvelle édition. Elle en a profité pour remercier les différents partenaires qui ont contribué à la concrétisation de ce projet longtemps concocté. La coordinatrice du festival a saisi l’occasion pour inviter le public à visiter les tentes déployées sur la Place commerciale, où les œuvres de différents cinéastes sont en vente. 
Le représentant du bourgmestre de la commune de Limete a, quant à lui, encouragé les organisateurs. Il a souhaité un franc succès au festival. Dans le même registre, Antoine Yvernault, l’attaché audiovisuel régional à l’ambassade de France, a exhalté cette initiative qui promeut le développement du cinéma féminin. 
 
TROIS STARS DU CINEMA AU RENDEZ-VOUS 
Pour cette édition placée sous le thème "Les séries télévisées et la famille", le Cinef a invité 16 cinéastes en provenance de France, de Belgique, du Burkina-Faso, du Rwanda, du Congo Brazzaville, du Nord et du Sud-Kivu. Trois invités d’honneur ont également été conviés à prendre part à cette édition. Il s’agit nommémént d’Aminata Diallo Glez dit ’’Kadi Joli’’, d’Hervé Ngouene dit ’’Ismaël’’ et de Wendy Bashi. 
Hormis les projections, des ateliers d’initiation à la critique de cinéma avec les enfants sont également à l’affiche. Il en est de même des rencontres sur la thématique des séries télévisées. Au coeur du festival, 30 films seront diffusés et mis en compétition, aussi bien à la 7ème rue de Limete qu’à la Halle de la Gombe et au Centre Wallonie-Bruxelles de Kinshasa. 
 
DES PRIX POUR LES CINEASTES TALENTUEUSES 
Les organisateurs s’attendent à la remise des prix aux différents participants à l’issue de ce rendez-vous culturel. Parmi les prix qui seront décernés lors de la cérémonie de clôture prévue à l’Institut français de Kinshasa, il y a celui du meilleur film, du meilleur scénario et de la meilleure actrice. 
Initiatrice du Cinef, l’Association des femmes cinéastes congolaises (AFCC) a créé cet espace pour permettre à de talentueuses femmes cinéastes (actrices, réalisatrices, productrices…) de se faire connaître du public. En 2015, la star nigériane Omotola Jalade fut l’invitée d’honneur de ce festival qui offre une nouvelle vague d’un cinéma en pleine expansion, porté par des femmes engagées pour le développement du 7ème art en RDC.

culture UNE TRENTAINE DE FILMS EN COMPÉTITION POUR LE PRIX DU CINEF

Kinshasa abrite, depuis le samedi dernier, la troisième édition du festival du Cinéma féminin (CINEF). Prévu du 18 au 25 juin, ce rendez-v...

Etudes sur les matériaux de construction de la Maison de la Culture

June 20, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJ_6cDnYZNHn0lyGvHgAYIOjoJPQ6zPJAzH4EutxsAJW1gtnrINTQmniBI4cGJBwufYUKM0j-NDP9SM6bhbJxu0-qXweFNdmTw0AVkqIDaVRv6cyr4vY17yhr3L4buqZB7DVCIObzSaTw/s1600/Snapshot_1392.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJ_6cDnYZNHn0lyGvHgAYIOjoJPQ6zPJAzH4EutxsAJW1gtnrINTQmniBI4cGJBwufYUKM0j-NDP9SM6bhbJxu0-qXweFNdmTw0AVkqIDaVRv6cyr4vY17yhr3L4buqZB7DVCIObzSaTw/s280/Snapshot_1392.jpeg" width="280" /></a></div>M. Marcelin Leme et Mme. Amélie Essesse, experts de l’Association internationale des maires francophones (AIMF), ont mené dernièrement des études sur les matériaux destinés à la construction de la Maison de la Culture de Kananga, lors de leur récente mission dans cette ville 
 
 
Ils ont examiné, à cette occasion, la qualité des briques fabriquées à base de la chaux choisies pour valoriser le patrimoine local. 
 
 
 
 
Les deux experts de l’AIMF ont animé, en outre, une séance de travail à l’intention du personnel de l’entreprise de construction « ECODE » qui a gagné le marché au terme de l’appel d’offres lancé à ce sujet. 
 
 
Ils ont, par ailleurs, mis à profit leur séjour dans cette ville pour tenir une conférence à l’intention des étudiants, du personnel scientifique de l’Université Notre Dame du Kasayi (UKA) et autres délégués des forces vives de la place sur l’assainissement du milieu et l’architecture, a-t-on signalé. 
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJ_6cDnYZNHn0lyGvHgAYIOjoJPQ6zPJAzH4EutxsAJW1gtnrINTQmniBI4cGJBwufYUKM0j-NDP9SM6bhbJxu0-qXweFNdmTw0AVkqIDaVRv6cyr4vY17yhr3L4buqZB7DVCIObzSaTw/s400/Snapshot_1392.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

culture Politique Province Etudes sur les matériaux de construction de la Maison de la Culture

M. Marcelin Leme et Mme. Amélie Essesse, experts de l’Association internationale des maires francophones (AIMF), ont mené dernièrement des é...

Styliste et créatrice de la marque V-Collection. Véronique Itoko se dévoile !

June 20, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGR5QTXR4wjKa5N02MIy6-oORfaw9vCCw1RahgfyJ6M7GFN1OCYCQ7SHK9RZq-k75vz9nXeH5bzf31YAmOhvvArkkoArQ0OB0qcb-XKikPB6e03ikGK4ldfsfTE9f-pGfKqDthVhuqsXo/s1600/Snapshot_325.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGR5QTXR4wjKa5N02MIy6-oORfaw9vCCw1RahgfyJ6M7GFN1OCYCQ7SHK9RZq-k75vz9nXeH5bzf31YAmOhvvArkkoArQ0OB0qcb-XKikPB6e03ikGK4ldfsfTE9f-pGfKqDthVhuqsXo/s280/Snapshot_325.jpeg" width="280" /></a>La styliste congolaise Véronique ITOKO LATINE est à Kinshasa pour présenter sa nouvelle collection de vêtements à travers la marque « V-Collection ». Mariée à un sujet belge, cette jolie dame a bien accordé une interview à votre journal, au cours de laquelle elle décrit les valeurs de ses créations et modèles qui font l’objet d’une grande soirée de gala, le 25 juin prochain, à l’hôtel Venus. 
 
Pouvez-vous vous présenter au public ? 
 
Véronique LATINE ITOKO : Je suis une styliste congolaise, résidant à l’étranger. J’évolue à cheval, entre le Cameroun et la Belgique. Je suis conceptrice et créatrice de la marque « V-Collection » que je suis venue présenter aux amoureux de la mode à Kinshasa. 
 
Quelle est votre histoire avec le modélisme ? 
 
VL : Mon ambition était de devenir journaliste, faire la presse écrite, surtout. C’est pourquoi, je me suis inscrit à l’Institut Facultaire des sciences de l’Information et de la Communication, «IFASIC», en 2006. Hélas, j’avais arrêté les études, pour le mariage avec mon mari. Et depuis, j’ai commencé à faire des enfants. Souvent, lorsque je vais chez les couturiers, il m’arrivait de fois de dessiner et proposer moi-même des croquis de modèles, pour mes vêtements. Ainsi, mon mari m’a donné un jour l’idée de faire quelque chose, au lieu de rester à la maison pour ne s’occuper que des enfants. Parce que la femme doit aussi travailler. Alors je me suis dit : pourquoi ne pas faire le stylisme que j’aimais aussi beaucoup, à l’instar de la presse écrire, qui est ma passion. C’est ainsi que je me suis lancé dans la création de modèles, qu’on appelle « V-Collection », qui totalise déjà une année. 
 
Quelle différence faites-vous entre V-Collection et d’autres marques ? 
 
VL : Il revient au public, consommateur, de juger. Ce qui est vrai, je ne fais pas la haute couture. Contrairement aux autres, V-Collection est une marque de vêtements simples qu’on peut porter à n’importe quel moment. Je confectionne des tenues qu’on peut porter pendant le soleil, la nuit… Mais, avec une touche d’élégance un peu particulier vu le design qui est toujours inspiré. 
 
A quant l’ouverture d’une boutique V Collection à Kinshasa ? 
 
VL : Si, je suis dans le projet de monter un atelier de couture à Kinshasa où je veux engager les couturières ou couturiers. Vraiment, on est en train de chercher un local. Pour la vente, je pense bientôt ouvrir un grand magasin «V-Collection», en Ville. Donc, la marque ne sera plus confectionnée plus au Cameroun mais ici dans mon pays. Parce que c’est son siège est ici chez moi, au Congo-RDC. 
 
L’année dernière vous aviez organisé la première soirée de la présentation de « V-Collection », à l’hôtel Memling, à Kinshasa. Est-ce que vous avez aujourd’hui le feedback de cette activité ? 
 
VL : La soirée était magnifique. Il y a eu la participation de plusieurs personnes, congolaises et étrangères. Après, beaucoup m’ont appelé et ont passé de commande de vêtements. Donc, c’est un grand coup pour la promotion de la marque. Toutes les collections que j’avais présentées lors de la première présentation de V-Collection à Memling ont été toutes vendues. Aujourd’hui, la marque évolue bien. Raison pour laquelle, je suis revenue encore au pays pour faire la deuxième présentation de la marque V collection, le 25 juin 2016, à l’hôtel Venus, à Kinshasa, à partir de 19h00. Cette soirée s’inscrit également dans le cadre de la célébration du premier anniversaire de ma marque qui a été crée en juin 2015. 
 
Quelle est la particularité de la soirée du 25 juin à l’hôtel Venus ? 
 
VL : Il n’y a pas vraiment trop des différences de particularité par rapport à la première soirée qui s’est déroulée à Memling où il y a eu un buffet. Seulement, cette soirée du 25 juin est une soirée de gala au cours de laquelle je veux présenter une nouvelle collection. Il y aura à boire, avec Champagnes pour ceux qui vont payer le billet VIP et avec boissons locales pour ceux qui vont acheter le billet simple. 
 
On retrouve une autre marque à votre côté « LUXURY LIFE » : LL de Trésor Lualua. Comment peut-on justifier cette collaboration entre deux marques ? 
 
VL : LUALUA est mon neveu. Donc, je suis sa tante. On est dans la même famille. C’est moi qui suis allée lui proposer ce projet d’une soirée de gala avec défilé de mode pour présenter, à la fois, nos marques de vêtements, à Kinshasa. Il a accepté. C’est d’abord dans le cadre familiale. Comme vous le savez, il a sa marque de vêtement sportif qu’il n’a jamais présenté officiellement au pays. Voilà une bonne occasion pour découvrir les merveilles créations de l’international congolais, Lualua. Et moi, V-Collection, rappelez-vous, a été créée pour aider les pauvres, les orphelins ainsi que les personnes vivants avec handicap. Or, l’international congolais Trésor LUALUA mène aussi des actions humanitaires, à travers son ONG-Fondation, pour aider les personnes vulnérables. Ensemble, nous avons décidé de faire quelque chose pour aider nos frères et sœurs congolais qui sont en situation difficile. 
 
Qu’est-ce que vous allez, concrètement, présenter de spécial aux Congolais ? 
 
Concernant la marque V-Collection, j’invite le public à venir découvrir les nouvelles collections avec des nouveaux habits, (Robes, jupes…). Il y aura aussi des bikinis que je n’avais pas présentés l’année dernière. Cette fois-ci, il y aura du nouveau avec V-Collection. Tandis que « LL » de Trésor est une marque spécialisée dans les vêtements sportifs de luxe, à la fois, relax, pour homme et femme. En tout cas, on vous réserve beaucoup de surprises pour cette soirée à découvrir. Une soirée inédite de défilé de mode avec les beaux mannequins expérimentés de l’Agence Dechris Business Agency. 
 
En 2015, avant la soirée à l’hôtel Memling, vous avez partagé un repas de cœur avec les handicapés de Kintambo. Pensez-vous refaire le même geste encore? 
 
VL : Bien sûr ! Je crois que cette semaine, nous allons effectuer une visite dans un orphelinat dans la commune de Bandalungwa, où nous allons faire un don de vêtements aux enfants. J’ai acheté des vêtements en Europe et nous allons apporter aux orphelins et aussi partager la joie. 
 
Qu’est-ce que le public peut encore découvrir au-delà du défilé de mode ? 
 
VL : Ça sera une soirée spectaculaire, show avec la participation des autres artistes tels que les chanteurs Innocent BALUME dit Innos-B, Poison MOBUTU, Deplick et le célèbre comédien Kady d’Angleterre. Vraiment, des spectacles de musique et de comédie seront bel et bien au rendez-vous. Venez découvrir une nouvelle touche, créativité de la marque V-Collection et LL de Trésor Lualua sur le podium.

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La styliste congolaise Véronique ITOKO LATINE est à Kinshasa pour présenter sa nouvelle collection de vêtements à travers la marque « V-C...

Star de la série télévisée « l’As du Lycée » : Ismaël annoncé à la 3ème édition du CINEF à Kinshasa !

June 09, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEia6XgmpQfUUcsMnHxC4aq2CEPfpqoSp7ot4i-J3eBsRxhym9k2BxGDdPrCpTualiIMya8RkEU-oDsxE1X07lrVG7yuJqH9jwWrSLX3IY8ibZmRYrP30QLjjSpBmdVyAUo1sK2QSHkmL_0/s1600/Snapshot_282.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEia6XgmpQfUUcsMnHxC4aq2CEPfpqoSp7ot4i-J3eBsRxhym9k2BxGDdPrCpTualiIMya8RkEU-oDsxE1X07lrVG7yuJqH9jwWrSLX3IY8ibZmRYrP30QLjjSpBmdVyAUo1sK2QSHkmL_0/s280/Snapshot_282.jpeg" width="280" /></a>Mieux connu au nom d’Ismaël, rôle interprété dans la série télévisée africaine « l’As du Lycée, Hervé GOUENE, est en route pour Kinshasa. Le célèbre jeune acteur du cinéma Burkinabé est attendu pour participer à la 3ème édition du festival CINEF 2016 qui s’annonce du 18 au 25 juin, à la Halle de Gombe, au Centre Wallonie Bruxelles et à la Place commerciale sur 7ème Rue Limete. 
 
D’après nos fins limiers, l’acteur principal de la série « l’As du Lycée» avec sa compagne Fanny, est l’invité d’honneur de cette rencontre consacrée à la promotion du cinéma par la femme. 
 
Notons que le CINEF existe en République Démocratique du Congo depuis 2013. Le projet est initié par l’Association des Femmes Cinéastes Congolaises, AFCC. Ce festival est un cadre idéal pour permettre à des talentueuses femmes cinéastes (réalisatrices, actrices, productrices …) de rencontrer et se faire découvrir au public admiratif. 
 
Au-delà de la promotion des femmes cinéastes, CINEF permet également au public d’entrer en contact avec leur star préférée. 
 
Pour sa 3ème édition, le comité organisateur a tenu une fois de plus à inviter une star panafricaine du 7ème art. Les démarches sur l’arrivée d’Hervé GOUENE dit Ismaël vont bon train, renseigne-t-on. 
 
Le CINEF envisage également d’inviter plusieurs autres stars internationales du cinéma. Raison pour laquelle, a expliqué la présidente de l’organisation, le thème retenu cette année est «les séries télévisées et la famille ». « Cette année, nous allons faire des festivités autour des séries télévisées qui occupent une place importante dans nos ménages, alors que nous-mêmes en République Démocratique du Congo, nous n’en produisons pas», a déclaré Clarisse Muvuba. 
 
Ce sera une édition fracassante avec plusieurs activités au programme qui cadre avec la mission de l’AFCC. A en croire la présidente de l’AFCC, cette édition aura trois activités notamment, des projections de films, atelier d’initiation aux critiques du cinéma avec les enfants et des rencontres sur les séries télévisées. Car, le CINEF vise également l’initiation des enfants aux critiques des films et faire des partenariats avec les chaînes de télévision d’ici et d’ailleurs dans la diffusion des séries télévisées d’Afrique centrale. 
 
‘‘On aura des rencontres et des ateliers qui seront au rendez-vous pour amener et encourager l’Afrique Centrale à être productive’’, a-t-elle renchéri. 
 
L’idéal du CINEF consiste à faire revivre des performances des cinéastes RD-Congolais et d’ailleurs, amener le public RD-congolais à aimer et pratiquer les œuvres cinématographiques et faire un focus sur les séries télévisées afin de comprendre son mode d’exploitation.

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Mieux connu au nom d’Ismaël, rôle interprété dans la série télévisée africaine « l’As du Lycée, Hervé GOUENE, est en route pour Kinshasa. ...

Semaine Française de Kinshasa : Matata Ponyo lance la 3ème édition

June 02, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4j4BGS-Oa__M7OAETkcXVLRVLEvYYwmL0-MeT6KfYwBvdFUWgfzXv9-Q9APimNeRoCvZIgkjgSv5gQBoMotODinC-lJacHBn-fchzRToLfutNV5erhEjNs-W0L8HAa4ZCekB95Nj1yfU/s1600/Snapshot_188.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4j4BGS-Oa__M7OAETkcXVLRVLEvYYwmL0-MeT6KfYwBvdFUWgfzXv9-Q9APimNeRoCvZIgkjgSv5gQBoMotODinC-lJacHBn-fchzRToLfutNV5erhEjNs-W0L8HAa4ZCekB95Nj1yfU/s280/Snapshot_188.jpeg" width="280" /></a>La semaine française de Kinshasa a ouvert ses portes hier, mercredi 1er juin 2016, avec comme thème principal : «l’émergence de la RDC, opportunités d’affaires». Hôte de marque de cette 3ème édition, le Chef du Gouvernement, Matata Ponyo, a déclaré, dans son discours d’ouverture, que «la RDC est un pays d’avenir, avec une économie prometteuse’’. 
 
L’occasion était indiquée pour lui d’inviter les investisseurs à venir en RDC en ce moment particulier où le Gouvernement de la République s’emploie à améliorer le climat des affaires. 
 
Parlant des perspectives du pays dans le domaine économique, le Premier Ministre congolais a demandé aux acteurs économiques de croire en la capacité de la République Démocratique du Congo avec les avancées significatives qui ne sont plus à démontrer. Il a épinglé l’adhésion au système comptable OHADA, qui garantit la sécurisation des investissements nationaux et internationaux. 
 
Il a profité de l’occasion pour exhorter les participants à préserver ces acquis, car il est désormais possible d’investir dans un pays plein de potentialités comme la RDC. 
 
«Nous sommes heureux de constater que trois ans après son lancement, cette activité dure. Nous avons atteint la vitesse de viabilité d’un projet, et nous ne pouvons que souhaiter la durée», s’est-il exprimé. 
 
Matata Ponyo a rappelé que cette semaine ne vise autre chose que la consolidation et projection dans le business. C’est une opportunité, a-t-il reconnu, pour le Gouvernement de la République de convaincre, et de dire aux investisseurs qu’il travaille pour l’amélioration du climat des affaires. 
 
M. Alain Rémy, Ambassadeur de la France en RDC a, pour sa part, remercié le Gouvernement congolais pour l’importance accordée à cette semaine française. Il a salué la présence permanente des autorités congolaises aux activités françaises. Une présence qui a été, une fois de plus, manifeste tout dernièrement lors de l’inauguration de nouveaux locaux du Lycée René Descartes. 
 
Quant à M. Ambroise Tshiyoyo, Président de la Chambre de Commerce Française, il a rappelé la genèse de cette semaine. Il a, lui également, salué l’intérêt qu’accorde la RDC aux activités françaises. 
 
Agenda de l’édition 
 
Du 1er au 4 juin à la Halle de la Gombe, les intervenants aborderont les sujets liés au transport, à l’énergie, l’eau, l’assainissement, l’entrepreneuriat féminin, le climat des affaires, Banque et assurances, l’emploi et la formation. 
 
Pendant ces quatre jours, plusieurs activités seront organisées, hormis l’exposition dans des stands. Notamment, des forums, points de presse, tables rondes, défilés de mode et les concerts Festival «Jazz Kif». 
 
Comme lors des précédentes éditions, cette troisième rencontre purement française connait une participation massive des investisseurs, opérateurs économiques et des entreprises tant publiques que privées. Il y a la présence remarquable des banques, agences de voyage ainsi que les structures intervenant dans différents domaines de la vie dont la SNEL, la REGIDESO, la Banque Centrale du Congo, l’INPP, SESOMO, STECC, SEGUCE, DISPLOMALT, Canal+, Total, Léon Hôtel et autres.

culture Semaine Française de Kinshasa : Matata Ponyo lance la 3ème édition

La semaine française de Kinshasa a ouvert ses portes hier, mercredi 1er juin 2016, avec comme thème principal : «l’émergence de la RDC, op...

Musique : après Koffi, Félix Wazekwa perd son père !

June 01, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_UZ23Ig8w-5I1LhePOTKDYRP9Am9QIxAm1fR5e9DG1J0UerUyOj1gRuMjI1hAu-4hxrkqjTKKgrVg0o7mnPUTm0dCyDDoD2IH9LZuAg6GQBzDC_haOBUm_6Y4ZirivrOGR7zCyqkIDVU/s1600/Snapshot_327.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_UZ23Ig8w-5I1LhePOTKDYRP9Am9QIxAm1fR5e9DG1J0UerUyOj1gRuMjI1hAu-4hxrkqjTKKgrVg0o7mnPUTm0dCyDDoD2IH9LZuAg6GQBzDC_haOBUm_6Y4ZirivrOGR7zCyqkIDVU/s280/Snapshot_327.jpeg" width="280" /></a>Il avait été affligé par la disparition brutale de Jules Shungu Wembadio alias Papa Wemba. Sur les ondes de la radio onusienne, il a affirmé qu’il perdait là, son père-artistique-, un aîné etc. Eh bien, Félicien N’Landu Wazekwa dit Félix Wazekwa vient de perdre son père biologique. La nouvelle est tombée le dimanche 29 mai 2016. L’opinion est toujours sous le choc. Lui, encore plus. En l’espace de presque un mois, il aura ainsi perdu deux êtres d’une haute importance pour sa vie. L’un pour son existence sur terre et l’autre pour son existence artistique. N’Landu Wazekwa, c’est là, le nom du géniteur du patron de Cultur’A pays Vie. Il est décédé de suite d’une maladie, à la clinique Bondeko alors qu’il y a été en soin de santé, a-t-il été rapporté. Le deuil serait pour l’instant tenu au domicile du défunt situé à Matete, au quartier Viaza. Paix à son âme ! 
 
Danny Ngubaa 
 
 
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_UZ23Ig8w-5I1LhePOTKDYRP9Am9QIxAm1fR5e9DG1J0UerUyOj1gRuMjI1hAu-4hxrkqjTKKgrVg0o7mnPUTm0dCyDDoD2IH9LZuAg6GQBzDC_haOBUm_6Y4ZirivrOGR7zCyqkIDVU/s400/Snapshot_327.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Il avait été affligé par la disparition brutale de Jules Shungu Wembadio alias Papa Wemba. Sur les ondes de la radio onusienne, il a affirmé...

Exclusif. Centre Culturel Boboto : l’artiste Yekima invite tous les Kinois à un spectacle inédit !

May 21, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhBh8UpyUS-MxJR7QBW1CF6qHwK0uRV4iz52OhuMRtoK24f2mLPqP5XM_1SQFiNMRV03JKm4IY_-K3b7cGd2c4nXSucAduBM5hFnUGFDq6N3vCIPlKLOZidSXB3WlSD4k4PW2Cahy8iHA/s1600/Snapshot_199.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhBh8UpyUS-MxJR7QBW1CF6qHwK0uRV4iz52OhuMRtoK24f2mLPqP5XM_1SQFiNMRV03JKm4IY_-K3b7cGd2c4nXSucAduBM5hFnUGFDq6N3vCIPlKLOZidSXB3WlSD4k4PW2Cahy8iHA/s280/Snapshot_199.jpeg" width="280" /></a>*Magicien des mots et dealer du rire ! Voilà, une juste et brève présentation du Slameur-humoriste congolais Melo Costa Yekima alias Yekima de Bel Art. Après le succès de son spectacle dénommé ‘’‪‎The One Man Slam‘’ à la Halle de la Gombe, celui qui se fait nommer le ‘’Soldat du Slam‘’ au Congo-Kinshasa est annoncé, le 27 mai au Centre Culturel Boboto. Puis, le lendemain, au prestigieux Kempinski Fleuve Congo Hôtel. Jeudi 19 mai, il a été aux prises avec les fins limiers du Quotidien de Mont-Fleuri, le journal La Prospérité. Ainsi, au-delà des apparences, il s’est véritablement livré. Ce faisant, l’artiste qui lie poésie et comédie, dans un mélange exquis, a invité tous les Kinois au spectacle de Boboto dont le droit d’accès est fixé à 2000 FC. Par ailleurs, la main sur le cœur, il assure que poèmes et blagues à couper le souffle seront au rendez-vous ! Dans les lignes qui suivent, lire in extenso, ladite interview. 
 
La Prospérité : Bonjour Costa Yekima alias Yekima de Bel Art ! 
 
Costa Yekima: Bonjour à vous. 
 
La Pros : Comment avez-vous eu votre nom de scène ? 
 
C.Y : Yekima, c'est réellement mon prénom. Et, ‘’ De Bel Art ‘’ c'est le résumé de tout ce qui compose mon personnage d'artiste. Notamment, musique, lettres, oralité, prestance, écriture, ... mais aussi et surtout, ça traduit de façon laconique toute l'admiration que j'ai envers l'art que je fais. A tout dire, c’est une déclaration d'amour nominative permanente et singulière. Je ne me cache pas, j'aime le dire, moi, je jouis d'orgasme poétique quand mes rimes font faire l'amour aux mots. 
 
La Pros : Vous êtes une figure incontestable du ‘’Slam ‘’ made in DRC, quelle est votre définition de cette discipline artistique ? 
 
C.Y : Moi, je ne suis qu'un Artiste, mon art, c'est le Slam musique. Tel, un perfectionniste, ce n’est pas par hasard si je m'y implique. Au-delà de ma seule passion, j'en ai fait une profession. Je me suis frayé une carrière à laquelle j'espère tant recruter par le goût possédant de cet art. La chanson a eu raison de moi depuis que je suis enfant et j'ai un peu grandi dedans. Jamais, je n'aurais cru lui consacrer, autant, une place de choix. Soit, ma voix comme un talent, un présent à qui l'entend. L'art oratoire m'a allaité de son sein. Je suis une des ses ouailles car mon âme-là, a été gagnée. En définitive, le Slam par définition, c'est l'art d'Oraliser les textes écrits avec poésie, de façon vivante et attirante, sur une scène donnée face à un public trouvé ou créé. 
 
La Pros : Après la présentation du spectacle ‘’The One Man Slam‘’ à la Halle vous êtes annoncés ce vendredi 27 mai au Centre Culturel Boboto. Que promettez-vous au public comme…, surprise? 
 
C.Y : A la Halle, ils ont aimé, je l'espère de découvrir des pièces inédites comme Soldat Du Slam, Ici, Célibataire j'en ai marre ou le Sapeur. J’en profite pour remercier cette foule immense, ce public très enthousiaste qui a répondu présent en masse à cette invitation du 6 mai passé, pour leur accueil de cette première façade de ce spectacle dont ils ont fait aventure et qu'ils ont rendue possible. Je remercie toute l'équipe qui structure tout ça d'arrache-pied et qui est déjà à pied d'œuvre pour l'acte 2. J'invite, par ailleurs, ce 27 mai à 19 heures au Centre Culturel Boboto pour 2000 FC, un public beaucoup plus nombreux à venir revivre une version renchérie d'ailleurs par eux-mêmes de The One Man Slam. Je suis très fan de mon public car le plus grand poète oral a le public pour magie. La tournée continuera, le 28 au Pullman Grand Hôtel et ainsi de suite. Merci aux partenaires, la plate-forme contemporaine nous a rejoints pour nous pousser, merci. Mais, en tout merci à Dieu. Celui ou celle qui fera le déplacement de Boboto ce 27 rentrera plus que satisfait. 
 
La Pros : pouvez-vous faire un petit morceau en slam pour les lecteurs ? 
 
C.Y : Si tu sais lire entre mes lignes, tu y découvriras beaucoup de Slams, lol. On se retrouve le 27, beaucoup de bonheur vous est réservé Inch'Allah. J'ai hâte moi-même de rencontrer mon public, les amateurs, amoureux, dilettantes, maîtres, aspirants du Slam et des mots. Merci !

culture Exclusif. Centre Culturel Boboto : l’artiste Yekima invite tous les Kinois à un spectacle inédit !

*Magicien des mots et dealer du rire ! Voilà, une juste et brève présentation du Slameur-humoriste congolais Melo Costa Yekima alias Yekim...

L’Après-Papa Wemba s’annonce bien. RDC: la rumba bientôt un élément immatériel du patrimoine de l’Unesco !

May 06, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDlSyUxeNwikHsnBU942HaclLBMd_1dnZh5V04dBK_4TAyb8XjdZmDFp4mVu9THnbVy__XjmAGtRzvxxwhycHzTDdlgFYA2uWNNpCwqB8u9T_bYXA6DaiB9bm7cmpkBaF5RDUztY_vaaw/s1600/Snapshot_149.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDlSyUxeNwikHsnBU942HaclLBMd_1dnZh5V04dBK_4TAyb8XjdZmDFp4mVu9THnbVy__XjmAGtRzvxxwhycHzTDdlgFYA2uWNNpCwqB8u9T_bYXA6DaiB9bm7cmpkBaF5RDUztY_vaaw/s280/Snapshot_149.jpeg" width="280" /></a> 
 
*«Deuxième point, ce n’est pas une interpellation. L’invitation du ministre de la Culture et des Arts par rapport à l’inscription éventuelle des œuvres artistiques du regretté Papa Wemba. En fait, il y a deux éléments. Le ministre a évoqué la question de l’inscription de la rumba comme élément immatériel du patrimoine de l’UNESCO. En fait, il souhaite que cet exercice soit renforcé. Parce que le processus est déjà en cours, pour que la rumba soit, en fait, inscrite comme élément immatériel au niveau de la région. La RDC, le Congo-Brazzaville et même l’Angola, vont introduire et soumettre la candidature de la rumba comme élément immatériel du patrimoine de l’humanité. Mais, c’est en bonne voie. Il y a juste un exercice technique qui doit être fait ici par le ministère de la Culture. Il s’agit de commencer par un exercice d’inventaire après le processus suivra. Ce dossier est soutenu par plusieurs pays, voire d’autres pays d’Amérique Latine qui appuient aussi l’inscription de la rumba comme patrimoine de l’humanité», soutient le Chef de Bureau et Représentant de l’UNESCO en RDC, M. Abdourahamane Diallo. Il l’a dit hier, à Kinshasa, en marge de la Conférence de presse conjointe des Nations Unies était animée par Charles Antoine Bambara, Directeur de la Division de l’information publique et porte-parole de la MONUSCO par intérim ; le Lieutenant-colonel Amouzoun Codjo Martin, porte parole militaire, à partir de Goma ; et Florence Marchal, Chargée de Communication et Coordonnatrice du Groupe de Communication des Nations Unies (UNCG). 
Question 1 
Isaac Ngwenza/ Congo opportunities media : Je pose ma question à monsieur 
Abdourahamane Diallo. J’ai deux petites questions à lui poser. Premièrement, c’est en rapport avec l’accès à l’information pour tous les journalistes. Je pense qu’il y a des textes aussi qui reconnaissent cela. Mais, dans la pratique, à Kinshasa c’est très difficile d’accéder à l’information. Même parfois quand il y a des manifestations organisées par le 
Gouvernement. Alors comment l’UNESCO pourra influencer à ce que les choses changent ? Ça c’est la première question. 
La deuxième, lors du mot de circonstance à l’occasion des funérailles de Papa Wemba, le ministre de la Culture et des Arts du Gouvernement congolais, monsieur Baudouin Banza Mukalay, a émis le vœu d’ouvrir un dossier à envoyer à l’UNESCO pour que les œuvres artistiques de Papa Wemba puissent être considérées comme un patrimoine mondial. Quel est votre point de vue là-dessus ? 
Chef de Bureau et Représentant de l’UNESCO en RDC [Abdourahamane Diallo] : Merci cher ami. Deux questions donc. L’accès à l’information par tous les journalistes et à tous les journalistes, nous le défendons tous ensemble, l’UNESCO et l’ensemble des agences du système des Nations Unies et des partenaires. 
Nous saluons à cet égard la Loi, vous savez que la Loi est passée au mois de novembre dernier pour l’accès à la liberté de l’information, et nous essayons de nous assurer dans les actions que nous menons avec les différentes entités que j’ai citées tantôt : l’UNPC, l’Observatoire des médias et les différentes associations et entités qui travaillent dans le domaine des médias, à ce que cet accès soit effectif, et qu’il n’y ait pas de discrimination et de différence entre un journaliste qui vient d’une autre capitale, d’un autre continent, lorsqu’il essaie d’accéder à l’autorité ou à une institution internationale, Ici, pour disposer de l’information. 
Ces différentes activités que nous menons au quotidien, l’UNESCO, directement avec le ministère des Médias ou avec les associations, les ONG, tant au niveau des Lois, où on essaie aussi d’accompagner qu’on soit sûr qu’au niveau législatif qu’il y ait donc un environnement qui protège et qui garantisse cet accès, mais au niveau du quotidien aussi, dans le renforcement des capacités des acteurs pour pouvoir accéder, accéder aux nouvelles surfaces aussi qui vous offrent l’information, pour les aider aussi à se doter en équipements pour pouvoir disposer et traiter l’information. 
Et ça, ce n’est pas que l’UNESCO. L’UNESCO est l’agence qui a ce mandat pour la liberté de l’information, mais c’est l’ensemble du système des Nations Unies qui agit au quotidien dans ce domaine, et nous sommes ici avec la MONUSCO, vous le savez, qui est là au quotidien avec vous pour ses activités. 
Deuxième point, ce n’est pas une interpellation, l’invitation du ministre de la Culture et des Arts par rapport à l’inscription éventuelle des œuvres artistiques du regretté Papa Wemba. En fait, il y a deux éléments. Le ministre a évoqué la question de l’inscription de la rumba comme élément immatériel du patrimoine de l’UNESCO. 
En fait, il souhaite que cet exercice soit renforcé. Parce que le processus est déjà en cours, pour que la rumba soit, en fait, inscrite comme élément immatériel au niveau de la région. La RDC, le Congo-Brazzaville et même l’Angola, vont introduire et soumettre la candidature de la rumba comme élément immatériel du patrimoine de l’humanité. 
Mais, c’est en bonne voie. Il y a juste un exercice technique qui doit être fait ici par le ministère de la Culture. Il s’agit de commencer par un exercice d’inventaire après le processus suivra. 
Ce dossier est soutenu par plusieurs pays, voire d’autres pays d’Amérique Latine qui appuient aussi l’inscription de la rumba comme patrimoine de l’humanité. 
Question 2 
Théodore Ngandu/ Télé 7 : Monsieur Charles vous avez parlé dans votre compte rendu, sur la composante, de la Mission de l’assistance électorale des Nations Unies qui est présente au pays. Cette mission est présente aux pays depuis plus d’une semaine. Peut-on savoir aujourd’hui le bilan qu’elle a du faire du processus électoral, et comment compte-t-elle débloquer ce processus qui semble être bloqué, parce que rien ne marche jusque-là ? 
Directeur de la Division de l’Information publique et porte-parole par intérim de la 
MONUSCO [Charles Antoine Bambara] : La mission n’est pas terminée, la mission est en cours, elle s’achève le 10 mai prochain. Il faut savoir que c’est une mission d’assistance électorale à la CENI. 
Donc, il faut attendre au terme de son séjour. La mission va sans doute organiser une rencontre avec la presse, ou en tout cas passer son bilan, le bilan de son séjour au Représentant spécial, monsieur Sidikou, qui pourra l’apporter donc à votre connaissance. 
Mais pour l’instant c’est vraiment comme je l’ai dit dans le cadre de cette Résolution, la 2277, qui demande à la MONUSCO d’apporter un soutien technique, logistique ; non seulement, à l’adaptation ou à la relecture du fichier électoral, mais aussi à tout le processus électoral qui est engagé par la CENI. 
Je crois que d’un moment à l’autre, en tout cas le 10 mai c’est pour bientôt, donc on aura 
effectivement le bilan de leur séjour. Comme j’ai dit, pensez plutôt à l’assistance technique que les Nations Unies ont promis d’apporter dans le cadre de cette résolution, et c’est sous cet angle qu’il faut voir un peu leur présence ici.

culture L’Après-Papa Wemba s’annonce bien. RDC: la rumba bientôt un élément immatériel du patrimoine de l’Unesco !

*«Deuxième point, ce n’est pas une interpellation. L’invitation du ministre de la Culture et des Arts par rapport à l’inscription éventu...

LES TROIS ANNONCES PHARES DE BANZA MUKALAY

May 03, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAwmcNcVOMFOjltZ9fPV7qPc90qsPce-TLxcC-vNu68iR3Tbxl7rqJXer6RZiRFQO-EG_ep467IDEamlQaoEVAu3MqVSUnimRCKar9HqknsAGUcNtoQxI7N3z1sWhvv6aYeZwSvU6Ay3w/s1600/Snapshot_128.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAwmcNcVOMFOjltZ9fPV7qPc90qsPce-TLxcC-vNu68iR3Tbxl7rqJXer6RZiRFQO-EG_ep467IDEamlQaoEVAu3MqVSUnimRCKar9HqknsAGUcNtoQxI7N3z1sWhvv6aYeZwSvU6Ay3w/s280/Snapshot_128.jpeg" width="280" /></a> 
* Le projet de construction d’une salle de spectacle assortie d’un musée Wemba. 
* Des démarches auprès de l’Unesco en vue de la reconnaissance de la rumba 
au titre de patrimoine immatériel de l’humanité. 
* Le 24 avril proposé comme journée nationale de la musique. 
Discours de son Excellence Monsieur Baudouin Banza Mukulay Nsungu, ministre de la Culture et des Arts 
Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat 
Honorable Président de l’Assemblée Nationale, 
Honorable Président du Sénat, 
Excellence Monsieur le Premier Ministre, 
Excellences Messieurs les Ministres, Chers Collègues 
Excellence Monsieur le Ministre de la Culture et des Francophonie de la Cote d’Ivoire 
Excellences Messieurs les Ministres et Chefs de Délégations Etrangères 
Excellences Messieurs les Ambassadeurs et Chefs de Missions Diplomatiques, 
Mesdames et Messieurs en vos titres et qualités respectifs, 
Quel triste devoir que celui de prendre la parole devant ce gotha politique, intellectuel et artistique rassemblés en ce lieu pour rendre hommage à Papa Wemba. 
Je voudrais, en liminaire, remercier très sincèrement Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Joseph Kabila Kabange qui, alors qu’il était encore à New York, dès l’annonce de la mort de l’artiste Jules Shungu Wembadio dit « Papa Wemba », a exprimé sa vive émotion et instruit le Gouvernement de la République d’organiser des obsèques à la mesure de ce qu’a été cette icône de la musique, mieux de l’art qui vient de nous quitter, sans vraiment nous quitter. Car, comme l’avait si remarquablement rappelé le poète sénégalais Birago Diop dans « Souffle » les morts ne sont pas morts. 
A plus forte raison lorsqu’il s’agit d’un artiste. 
Je remercie également Son Excellence Monsieur le Premier Ministre, Chef du Gouvernement qui, n’a eu de cesser de nous talonner dans le cadre de l’organisation de ces obsèques. 
Comment ne pas remercier le Président de la République de la Cote d’Ivoire, son Gouvernement et le peuple ivoirien pour les hommages solennels rendus à notre frère Papa Wemba ? 
Nous remercions, d’une manière particulière le Ministre de la Culture et de la Francophonie, arrivé encore hier soir, à la tête d’une importante délégation pour ces funérailles. 
Je remercie les différentes délégations venues de provinces et de l’étranger pour assister à ces funérailles. 
 
Je m’en voudrais si je ne remerciais pas le Comité Organisateur pour son esprit de sacrifice, d’abnégation, et pour son sens élevé de responsabilité. Comité dirigé par Monsieur André Kimbuta, Gouverneur de la Ville Province de Kinshasa et secondé par Madame Marie-José KAZADI YAMBA, Directrice de Cabinet du Ministre de la Culture et des Arts. 
De Papa Wemba, la postérité retiendra d’abord qu’il a été un « self made man ». Un homme qui, à force de travail, d’imagination et de créativité, a pu se frayer un chemin et se faire un nom, au-delà des mers et océans. 
De la star que toute l’Afrique, voire la Planète, pleure en ce moment, je garde la mémoire d’un homme aux talents inestimables. Artiste multidimensionnel, Papa Wemba faisait de l’art pour l’art. Dans un monde de plus en plus dominé par le culte de l’argent, lui faisait le culte de l’art, du bien, du vrai et du beau. Fort de son idéal artistique élevé, il a su échapper à l’emprise de l’avoir, pour le savoir et le savoir-faire. 
Artiste multidimensionnel ? Assurément, puisque même l’art vestimentaire n’avait plus de secret pour celui qui a été reconnu comme le ‘’Pape’’ ou le ‘’Roi’’ de la sape, cet art de ‘’mieux paraître’’ et de célébrer l’habillement assorti de ses canons éthiques et esthétiques d’originalité, de beauté et d’attractivité. Il était le disciple du poète Latin, Horace, qui avait prôné ‘’le carpe diem’’ c’est-à-dire profite du jour présent. 
« Papa Wemba a fait don de sa personne au Pays. » Il était foncièrement patriote. Que de fois, n’a-t-il pas chanté pour sa patrie, l’unité et l’intégrité de son pays ? 
Bien plus, le patriotisme de Papa Wemba ne se concevait pas sans le panafricanisme. L’artiste que la RDC, l’Afrique et le monde pleurent, aimait tout aussi passionnément son continent. Il en épousait toutes les causes justes. Il a été, par exemple, de ceux qui ont œuvré, par la chanson, pour l’éradication de l’Apartheid et la libération de Nelson Mandela. 
Pour nous qui croyons au destin, ce n’est pas par hasard que la mort l’ait arraché à notre affection en terre africaine en Côte d’Ivoire. 
Papa Wemba avait le souci de la relève. D’où, sa disponibilité constante à former et à encadrer les jeunes. Pour tous ces hauts faits sur le front de la culture et des arts, le Président de la République, Chef de l’Etat, l’avait dans le cadre de PNMCA (Prix National de Mérite de la Culture et des Arts), déjà admis, dans l’ordre Kabila-Lumumba. Aujourd’hui, à titre posthume, il vient de l’élever à un des grades supérieur dans cet ordre. Qu’il en soit vivement remercié ! En vue de perpétuer sa mémoire, conformément à la volonté du Président de la République, Chef de l’Etat, mon Ministère va soumettre au Gouvernement un projet de construction d’une salle moderne de spectacle à laquelle va être annexé un musée rassemblant les effets de Papa Wemba. 
Par ailleurs, je voudrais informer l’opinion que le Ministère de la Culture et des Arts est en pourparler avec l’UNESCO pour la reconnaissance et l’insertion de la Rumba, sur la liste du patrimoine immatériel mondial de l’humanité ; Rumba dont Papa Wemba a été l’un des fervents promoteurs. 
Nous soumettrons à la Hiérarchie la demande des mélomanes de proclamer le 24 avril, journée de la musique congolaise. 
Enfin, je ne saurais terminer sans réitérer les condoléances du Gouvernement de la République et du Chef de l’Etat à la veuve, Marie-Rose Luzolo, à toute la famille biologique de l’illustre disparu. 
A toi Papa Wemba, je me permets opportunément de paraphraser un auteur Belge bien connu, Georges Simenon pleurant Marie-Jo Simenon, une de ses filles morte brusquement, en disant : « Marie-Jo tu es morte, mais tu sais que les morts ne sont pas morts pour ceux qui les aiment ». 
M’adressant à mon tour à toi Papa Wemba, laisse-moi te dire : ‘’Papa Wemba, tu es certes mort physiquement, mais sais-tu que tu n’es pas mort dans les cœurs de ceux qui t’aiment tant, et ils sont nombreux à travers la planète’’ 
Tu as été humble, affable, et par-dessus tout homme de dialogue, Moi qui t’ai pratiqué, je peux témoigner de ce que même tes accès de colère retombaient aussi vite qu’ils survenaient pour laisser place à l’homme de la conciliation, à celui qui n’avait de cesse de jeter des ponts, des passerelles entre les hommes. Toute la vertu de la culture est là. Que ta mort nous incite donc à dialoguer sans cesse ! 
A Dieu Roi de la Sape, 
A Dieu Kuru yaka, 
A Dieu Papa Wemba. 
Merci.

culture La mort de Papa Wemba LES TROIS ANNONCES PHARES DE BANZA MUKALAY

* Le projet de construction d’une salle de spectacle assortie d’un musée Wemba. * Des démarches auprès de l’Unesco en vue de la reconnais...

Le député Alexis Mutanda pour la protection de la richesse culturelle léguée par Papa Wemba

April 30, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjeFGDZRlRbliSctor_OqOxK5qCflPPxsU81NP9VoUPC2bqlHhfEVAX4zzp4Hcm50hzJql0JLl5b0F2QDTFuyXoGBCZS9ivbSVwUiHq6x1tGi8jhxCgAl6FnTBgoudGKsOMtew0fGKVw8/s1600/Snapshot_110.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjeFGDZRlRbliSctor_OqOxK5qCflPPxsU81NP9VoUPC2bqlHhfEVAX4zzp4Hcm50hzJql0JLl5b0F2QDTFuyXoGBCZS9ivbSVwUiHq6x1tGi8jhxCgAl6FnTBgoudGKsOMtew0fGKVw8/s280/Snapshot_110.jpeg" width="280" /></a>Pour permettre à sa famille et au pays de jouir des œuvres de l’artiste 
 
Il a incarné la « Rumba congolaise », après Grand Kallé et Tabu Ley Rochereau. 
 
Papa Wemba, décédé inopinément le 24 avril dernier à Abidjan, en Côte d’Ivoire, alors qu’il se produisait, avec son groupe Viva la Musica, pour le compte de FEMUA, lègue dernière lui, une « immense richesse culturelle ». 
 
Certains de ses proches et chroniqueurs de musique parlent de plus 200 chansons à succès réalisées pendant plus de 46 ans de carrière musicale. 
 
Ces œuvres musicales, de haute facture, doivent être bien conservées et protégées conformément aux normes requises de protection de droits d’auteur afin de permettre notamment à sa famille de bénéficier du travail de l’artiste. 
 
C’est dans ce cadre qu’un plaidoyer a été lancé sur les droits d’auteur de ce « rois de la Rumba congolaise ». 
 
Le député national Alexis Mutanda, président directeur-général des entreprises de presse La Tempête des Tropiques, CNTV et Trinitas-FM, paraissant et émettant à partir de Kinshasa, a été le premier à lancer ce plaidoyer, surtout quand on sait que cette question de droits d’auteur a toujours posé problème en RD Congo. 
 
Il faut relever que, Papa Wemba a longtemps été associé à la défunte Société nationale des éditeurs, compositeurs et auteurs (Soneca) avant de s’affilier à la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (Sacem) , une société française, alors qu’il avait choisi la France comme son deuxième pays de résidence. 
 
Dans le cadre de ce plaidoyer, le ministère congolais de la Culture et des Arts est invité à prendre des dispositions avec toutes ces sociétés de droits d’auteur afin que les œuvres de Papa Wemba soient bien protégées et que les dividendes reviennent chaque fois à la famille de l’illustre disparu. 
 
Outre ce répertoire fourni de plus de 200 chansons, « M’Zee Fula Ngenge » a eu encadré plusieurs musiciens devenus aussi des grands noms de la musique congolaise comme le feu King Kester Emeneya, Koffi Olomide, Reddy Amisi, et autres. Il a donc beaucoup contribué dans l’évolution de la musique congolaise. 
 
C’est ainsi, pour de nombreux férus de la bonne musique, les œuvres de Papa Wemba doivent bénéficier aussi au pays. 
 
Par ailleurs, Papa Wemba a été le seul musicien congolais à disposer de trois groupes, « Viva la Musica » de Kinshasa, qui en une certaine période est appelé Nouvelle Ecrita, « Viva la Musica » de Paris et un dernier groupe qui permettait à Papa Wemba de produire « la world music », dans le cadre de sa carrière internationale. 
 
Aussi, Papa Wemba a été le meilleur interprète, selon les déclarations de nombreux spécialistes de la musique. Il est toujours intervenu avec brio dans les albums de plusieurs autres artistes musiciens de la RD Congo et des autres pays. 
 
Sur le plan international, son featuring avec Peter Gabriel a été reconnu comme le plus grand dans sa carrière. 
 
Tout comme, il a fait plusieurs albums avec Koffi Olomide, dont le tout dernier a été l’album « Wake up ». 
 
Des spécialistes citent son featuring avec JB Mpiana dans la chanson « Cavalier solitaire », produit dans l’album « feux de l’amour » comme le meilleur réalisé avec un artiste-musicien congolais.

culture La mort de Papa Wemba polique Le député Alexis Mutanda pour la protection de la richesse culturelle léguée par Papa Wemba

Pour permettre à sa famille et au pays de jouir des œuvres de l’artiste Il a incarné la « Rumba congolaise », après Grand Kallé et Tabu ...

WILLIAM SHAKESPEARE : LES 400 ANS DE SA MORT CÉLÉBRÉS À KINSHASA

April 25, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYvyL37kxw6Ofqn3ImtNQZ7Ni6Zf2VKdczaxCEiAnN335AwXaEOUdaJqfO2hoQVrQe4gN2M-f0yY-Gfz5lSpL0PZPyga7RZ4iuaFcnnM0Ai9toNTLwUE-0gMKoPFMdyMyyNkkouapmcAM/s1600/Snapshot_77.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYvyL37kxw6Ofqn3ImtNQZ7Ni6Zf2VKdczaxCEiAnN335AwXaEOUdaJqfO2hoQVrQe4gN2M-f0yY-Gfz5lSpL0PZPyga7RZ4iuaFcnnM0Ai9toNTLwUE-0gMKoPFMdyMyyNkkouapmcAM/s280/Snapshot_77.jpeg" width="280" /></a>L’ambassadeur de Grande Bretagne en RDC, Graham Zebedee, a procédé vendredi 22 avril, en sa résidence, au lancement de Shakespeare Lives, un programme d’activités commémorant le 400ème anniversaire de la mort de William Shakespeare. En fait d’anniversaire de sa mort, il est davantage question de la vie et l’héritage du célèbre poète et dramaturge anglais. 
 
Selon le diplomate britannique, ce programme d’envergure internationale, mené par le British Council et la campagne Great Britain, ne célèbre pas seulement l’œuvre de Shakespeare. Graham Zebedee a rappelé l’influence du poète sur la culture, l’éducation et la société. " C’est vraiment impressionnant qu’une moitié des enfants dans le monde étudie les œuvres de Shakespeare dans leurs écoles. Il n’y a pas un autre dramaturge ou écrivain dont les œuvres sont si largement étudiées partout dans le monde. Je crois que cela tient au fait que ses pièces traitent des thèmes universels, les émotions humaines, notamment l’amour et la jalousie. Mais aussi des thèmes qui sont de l’heure comme la corruption, les États de droit et la dictature, tous des thèmes actuels. C’est donc facile de comprendre pourquoi ses pièces et ses poésies intéressent toujours ", a indiqué l’ambassadeur Zebedee. 
"Les Congolais devraient comprendre l’apport de Shakespeare dans cette langue ". Le diplomate a noté que William Shakespeare " y a introduit plus de 3 000 mots, citations et phrases, parmi lesquels certains sont d’usage courant de nos jours". Graham Zebedee a confié que " le site internet Shakespeare Lives.org, twitter et beaucoup d’autres réseaux sont impliqués pour fêter l’héritage de Shakespeare. Ils ont chacun pour objectif de permettre à tout le monde de comprendre les travaux de Shakespeare et mieux l’apprécier ". Le diplomate british invite les gens à aller sur le site pour avoir les précisions sur la contribution de Shakespeare à la langue anglaise. 
 
ROMEO ET JULIETTE 
L’Institut national des arts (INA) a proposé deux extraits de Roméo et Juliette qui a enchanté le public présent à la résidence de l’ambassadeur du Royaume-Uni. Le premier tiré de l’acte 2, scène 4 portait sur le dialogue de Juliette, rôle incarné par Pryncesse Watuwila et sa nourrice, personnage qu’incarnait Agnès Mujinga. Quant au second, tiré de l’acte 5, scène 1, il avait pour personnages Roméo, Baltazar et l’apothicaire rôles joués respectivement par Jimmy Mbiya, Junior Kubununu et Dieu Merci Mayanda. 
La mise en scène des extraits présentés a été l’œuvre du Pr Ndundu, assisté d’Atacha Kimbembi. Cette courte présentation a comblé l’assistance, composée en grande partie d’étudiants venus notamment de l’Université de Kinshasa, de l’Université catholique du Congo, l’Université pédagogique nationale et de l’INA. Beaucoup sont restés sur leur soif et aimeraient voir l’intégralité de la pièce. Le Pr Ndundu a assuré que l’œuvre en cours de réalisation sera prête pour une grande première à la mi-juin… Didier KEBONGO

culture WILLIAM SHAKESPEARE : LES 400 ANS DE SA MORT CÉLÉBRÉS À KINSHASA

L’ambassadeur de Grande Bretagne en RDC, Graham Zebedee, a procédé vendredi 22 avril, en sa résidence, au lancement de Shakespeare Lives, ...

L’ouvrage « Ngaliema commune des paradoxes » porté sur les fonts baptismaux

March 05, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCBNyXFLHY5HEJFpfu8ntQtf_J5B00hVLth0UJ4w0lMZIIz3wch8LTfvtYumb-QqaYYa6rvJFsxifAxu7_6Ug4TRpLy4ZVd7pU1EkbmBo5VxBQakzoNBz7GPN1W3m76lPK9anuuvujqHI/s1600/Snapshot_414.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="207" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCBNyXFLHY5HEJFpfu8ntQtf_J5B00hVLth0UJ4w0lMZIIz3wch8LTfvtYumb-QqaYYa6rvJFsxifAxu7_6Ug4TRpLy4ZVd7pU1EkbmBo5VxBQakzoNBz7GPN1W3m76lPK9anuuvujqHI/s280/Snapshot_414.jpeg" width="280" /></a></div>
L’ouvrage « Ngaliema commune des paradoxes » de Jean Baptiste Kiaku Mayamba Niangi a été porté, vendredi au centre Wallonie Bruxelles de Kinshasa, sur les fonts baptismaux par le gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta Yangu. Le numéro un de la ville a souhaité que cet ouvrage puisse être présent dans toutes les bibliothèques, précisant qu’il est un outil de travail pour l’administration urbaine. 
 
Préfacé par le Pr Christophe Gudijiga, ce livre montre, à travers ses douze chapitres, que l’Etat, les parents, les enfants et tout responsable, chacun à son niveau, a la responsabilité de s’instruire et de développer sa conscience et ses compétences. 
 
Il est un cri d’alarme, une interpellation à chacun de se préoccuper de l’humanisation, du développement de l’homme et de son environnement par l’éveil de la conscience et de la responsabilité collective du bien commun. 
 
L’auteur présente, dans son texte de près de 400 pages, la commune de Ngaliema comme étant une commune des paradoxes, ceux-ci étant perceptibles sur les plans physique, social et culturel, a-t-il relevé. 
 
Aussi, il présente la géographie physique de cette commune, selon ses limites, son relief, son hydrographie, sa population, son habitat, ses infrastructures dans toutes leurs variétés historiques et naturelles, autant que ses oppositions, contradictions ou paradoxes. 
 
La commune de Ngaliema, fait-t-il savoir, présente d’une part, une face d’une commune urbanisée structurée et équipée avec une population d’un standing de vie meilleur pour des quartiers nantis et, d’autre part, un bidonville où l’occupation est spontanée caractérisée par une absence totale d’ équipements sociaux ou sous-équipés, l’inexistence des avenues et l’érection d’un habitat de fortune dans lequel vit une population pauvre. 
 
Au niveau social, l’auteur démontre que cette commune se singularise par la complexité et les contradictions politiques, économiques, sanitaires et sécuritaires Il rappelle que cette entité était le siège des institutions pendant la deuxième République, un lieu qui a logé et qui loge différentes personnalités politiques, économiques et militaires mais qui présente le visage d’un enfant orphelin pour certains quartiers. Pour l’auteur, Ngaliema ne mérite pas le traitement actuel de la part des pouvoirs publics. 
 
Sur le plan culturel, l’auteur souligne que la commune de Ngaliema est une des communes historiques figurant parmi les premières municipalités créées dans la ville de Kinshasa en 1957. Elle possède des monuments et des sites historiques telles que : Mont-Ngaliema, la cité de l’OUA (cité de l’Union africaine), le site Kilimani, la première paroisse catholique abritant l’église Saint Léopold (Jean XXIII) et le premier bateau de Henry Morton Stanley. 
 
Il épingle également la problématique de l’aménagement de l’espace de la commune, de la sous administration et de la perte des valeurs éthiques. Selon les réactions de certaines personnalités présentes à la cérémonie, le livre de Kiaku Mayamba est une interpellation individuelle et collective de ce que les dirigeants et les dirigés ont fait de leur commune. 
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCBNyXFLHY5HEJFpfu8ntQtf_J5B00hVLth0UJ4w0lMZIIz3wch8LTfvtYumb-QqaYYa6rvJFsxifAxu7_6Ug4TRpLy4ZVd7pU1EkbmBo5VxBQakzoNBz7GPN1W3m76lPK9anuuvujqHI/s400/Snapshot_414.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Art Au tour de Kinshasa culture Education L’ouvrage « Ngaliema commune des paradoxes » porté sur les fonts baptismaux

L’ouvrage « Ngaliema commune des paradoxes » de Jean Baptiste Kiaku Mayamba Niangi a été porté, vendredi au centre Wallonie Bruxelles de K...

Actualité Musicale : Le grand poète Simaro Masiya rend Hommage à la Sr Marie Misamu (Article+Vidéo)

February 23, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNgllSZJWitqDf48IhgadR6XttL26pQZyL052qfCyBO80TKGIKq-ScZAtyl9GD6i-fd4f2LtXucYVDWeP8CJBXFF17zc0IrKMYBCeTv0tLAKsIThvNEaQwKpW9tdBLKK2MK4zo-wK0OSnZ/s400/SIMARO.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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Qui plus que le grand poète Lutumba Ndomanueno alias Simaro Masiya pouvait rendre artistiquement hommage à la regrettée soeur Marie Misamu !! Le vieux Simaro est enfin sorti du silence pour plébisciter la chanson "Reconnaissance" de la Soeur Marie Misamu qui avait eu besoin de son soutien pour mettre en place la mélodie de cette merveilleuse chanson. En effet, lorsque on écoute attentivement cette chanson, directement on l'identifie au style du Grand monument de la musique Congolaise, Lutumba Simaro. Nous vous invitons à suivre le témoignage émouvant du grand poète concernant la soeur Marie Misamu à travers la vidéo ci jointe.

Actualité Musicale : Le grand poète Simaro Masiya rend Hommage à la Sr Marie Misamu (Article+Vidéo)

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Qui plus que le grand poète Lutumba Ndomanueno alias Simaro Masiya pouvait rendre artistiquement hommage à la regrettée soeur Marie Misam...