BA SANGO YA CONGO KINSHASA

CENI : RASSEMBLEMENT DES GESTIONNAIRES DES ÉLECTIONS À LA CENI POUR PLEURER L’ABBÉ MALUMALU

July 07, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgPXx_b8576d3t8AS9alX0JbxtpjZqKbUCO2u7iIcItxCqlZvqfS_h_ZyXwsVOhTVx9Cv5P8la_uKxmjWbpLGurufl2g4uNMQgUtTDr63x5E1yutcWiKVhWhIw2QWqoiPdCZT_8kaWYCBeP/s1600/Snapshot_398.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgPXx_b8576d3t8AS9alX0JbxtpjZqKbUCO2u7iIcItxCqlZvqfS_h_ZyXwsVOhTVx9Cv5P8la_uKxmjWbpLGurufl2g4uNMQgUtTDr63x5E1yutcWiKVhWhIw2QWqoiPdCZT_8kaWYCBeP/s400/Snapshot_398.jpeg" width="400" /></a>Grande réunion de concertation entre les anciens et actuels Membres de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) et CEI (Commission Electorale Indépendante) autour du décès de Monsieur l’Abbé Apollinaire Muholongu Malumalu, premier chef des élections en République Démocratique du Congo, ce Mercredi 06 Juillet 2016 au Siège de la Centrale électorale congolaise.<br />
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Sous la direction de Monsieur Norbert Basengezi, Vice-président de la CENI, une grande rencontre a été animée ce mercredi 6 juillet 2016 au siège de la CENI à l’attention des anciens et actuels membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante, tous réunis dans la salle de presse de la CENI. <br />
On a pu apercevoir dans la salle le Pasteur Daniel Ngoy Mulunda, ancien Président de la CENI pour la période de 2011-2013, Monsieur André Mpungwe, ancien Vice-président de la CENI pour les années 2013 à 2014, Mme Mika et Monsieur Dieudonné Mirimo Mulongo, respectivement ancienne Vice-présidente et ancien Rapporteur dans les années 2004-2008 avec l’ensemble des Membres des bureaux et Assemblées Plénières ayant travaillé pour les trois cycles électoraux. <br />
Une ambiance de douleur a prévalu dans la Salle de Presse de la CENI lorsque le Vice-président Norbert Basengezi a informé ses collègues anciens et actuels du décès du pionnier des élections congolaises en la personne de l’Abbé Apollinaire Malumalu. Après avoir fait un briefing général des préparatifs des obsèques, il a rappelé que c’est en exécution de l’instruction de Mr Corneille Nangaa, Président de la CENI que cette rencontre (la première du genre) a été rendue possible. Dans sa communication, Norbert Basengezi a salué la disponibilité de ses collègues anciens comme nouveaux qui se sont immédiatement mobilisés en mémoire de l’Abbé Apollinaire Malumalu. Occasion pour le Vice-président de la Centrale électorale congolaise de partager quelques informations relatives aux préparatifs des obsèques officielles dédiées à l’Abbé Malumalu. <br />
Propos de Norbert BasengeziI : " La famille Commission électorale a perdu son premier Président en la personne de Mr l’Abbé Apollinaire Malumalu. Comme ancien collaborateur, le président de la CENI, avant de s’envoler hier pour Dallas où il doit rapatrier le corps, il m’a chargé d’inviter tous les anciens collègues de la Ceni et de la CEI qui ont travaillé avec Mr l’Abbé. C’est pour cette raison que nous avons appelé les 21 membres de l’ancienne CEI, les 7 du bureau de la CENI et les 13 actuels membres pour que nous puissions garder une pensée pieuse en mémoire du disparu et prier pour l’âme de notre Président, l’Abbé Malumalu et montrer au monde que cette maison de la démocratie ne fait pas de guéguerre de succession et changement. Nous avons parlé du programme d’accueil à l’aéroport, au Palais du Peuple, du passage ici à la CENI où il a passé 13 ans de sa carrière. Nous avons parlé des obsèques pour accompagner son corps à Butembo. Nous avons insisté sur la solidarité entre nous tous, surtout pendant des périodes non endeuillées. " <br />
Dans son mot de circonstance, le Pasteur Daniel Ngoy Mulunda qui a dirigé la CENI de 2011 à 2012 a quant à lui remercié les autorités et Membres de l’actuelle CENI pour cette idée géniale de les associer aux obsèques de celui qui a été le formateur de tous. Il a invité la population congolaise à donner la chance à l’équipe actuelle afin de lui permettre de réussir sa mission. Déclaration à la presse du pasteur Daniel Ngoy Mulunda : " Je me rappelle un jour quand nous prenions ensemble un même avion en partance de Goma, lui était entré avant moi, on le salue bonjour Pasteur Mulunda et moi quand j’entre, on me salue bonjour Mr l’Abbé. Nous nous sommes dit que c’est la même fonction. L’Abbé Malumalu c’était un ami. Sa perte est une grande perte. Ce qu’il y a à retenir c’est que le Vice-président ait pris l’initiative de nous réunir. Malumalu était le pionnier. C’est lui qui a mis sur pieds le système électoral actuel que nous nous avons hérité et que le bureau actuel a hérité et que les générations futures hériteront. Pour nous c’est un pionnier qui est parti et nous avons le devoir de l’accompagner et de l’honorer". <br />
Pour sa part, l’ancien Vice-président André Mpungwe (2013-2015) s’est dit marqué par les enseignements reçus de l’Abbé Malumalu tout au long de leur mission à la CENI. Mêmes appréciations de la part de Mme Mika, ancienne Vice-présidente de la CEI (2005-2007). La rencontre a été sanctionnée par un déjeuner convivial.<br />
Une importante délégation des Membres du Bureau et de l’Assemblée Plénière de la CENI s’est déployée ce mercredi, 06 juillet 2016 dans les centres de recrutement des agents qui seront chargés de l’Opération de révision du fichier électoral à travers l’identification et enrôlement des électeurs. Les Membres de la CENI ont visité tour à tour le centre de recrutement basé dans l’enceinte de la Maison des Elections à Kin Mazière, le Centre de recrutement installé au sein de la Maison communale de Kalamu à Matongé et le Centre de recrutement opérationnel dans l’enceinte de la Maison communale de Limete. <br />
Cette visite guidée a permis aux Membres de la CENI de se rendre compte de l’engouement observé autour de cette opération. La ville de Kinshasa compte 7 centres de recrutement disséminés dans les 6 antennes plus un centre installé à la Gombe. <br />
Le constat fait sur le terrain a établi que les sept centres de recrutement installés dans la ville province de Kinshasa, 12.560 candidatures ont été réceptionnées. Ce programme de recrutement qui s’organise sur l’ensemble des 26 provinces de la République Démocratique du Congo connaît un engouement exceptionnel dans la capitale Kinshasa. Des panels de recrutement ont été constitués en toute transparence avec la participation des leaders de la société civile, majoritairement ceux émanent des confessions religieuses traditionnelles de la RDC. <br />
De passage dans les trois sites de recrutement sélectionnés, le chef de la délégation qu’était le Vice-président de la CENI s’est entretenu aussi bien avec les différents commis à l’opération de recrutement qu’avec les candidats rangés par centaines dans les files d’attente. Aux premiers, il a exhorté d’observer toutes les disciplines de transparence, de professionnalisme et de bonne application des procédures tandis qu’aux deuxièmes, il a recommandé de se préparer au test professionnel de sélection. <br />
A chaque étape, la délégation de la CENI s’entretenait avec les autorités politico-administratives locales en l’occurrence les Bourgmestres des communes et les chefs des quartiers concernés par l’opération.

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Grande réunion de concertation entre les anciens et actuels Membres de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) et CEI (Comm...

DES LAURÉATS À L’AFFICHE DANS LES TERRASSES DE VICTOIRE, BON - MARCHÉ... ET LEMBA

July 07, 2016

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Aux environs de 13 heures, les résultats étaient déjà lancés par des opérateurs de téléphonie cellulaire de la place. Les élèves les mieux informés accouraient auprès des tenanciers de cabines téléphoniques pour vérifier leurs côtes. <br />
D’autres attendaient dans la perplexité. Parfois, ces derniers étaient poussés par un frère ou une sœur pour aller s’enquérir des résultats. Une fois le résultat positif, c’est l’explosion de joie.<br />
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LES TERRASSES DE KABAMBARE PRISES D’ASSAUT<br />
A Lemba, la Place Super a été noire du monde. Les finalistes, qui venaient à peine d’être fixés sur leurs performances, se sont tous rués sur les terrasses pour célébrer leur réussite.<br />
Dans d’autres communes, ceux qui apprenaient leurs résultats étaient tellement émus de joie qu’ils couraient dans tous les sens. Nombreux sont ceux qui se sont déversés dans les bars et buvettes de l’avenue Kabambare, qui traverse les communes de Lingwala, Kinshasa et Barumbu, pour s’ingurgiter des verres de bière. Pas le moindre répit pour les conducteurs des motos, sollicités à outrance par les lauréats et lauréates qui tenaient à aller se la couler douce.<br />
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DEFILE DES FINALISTES SUR L’EX AVENUE FLAMBEAU<br />
Réputée pour son caractère festif, l’ex. avenue du Flambeau s’est transformée, dans la soirée, en un véritable couloir où défilaient plusieurs lauréats de la présente édition de l’examen d’Etat. Les terrasses étaient bien remplies en début de soirée avec des jeunes couverts de poudre de la tête aux pieds. <br />
Dans les différentes terrasses et autres débits de boissons, la bière coulait à flot, alors que des baffles balançaient des riches répertoires de la musique congolaise... au grand bonheur des lauréats. Dans des boutiques environnantes, les prix de boites de poudre ont aussitôt pris l’ascenseur. Surexcités, les bienheureux finalistes et leurs proches se les procuraient en quantité pour saupoudrer leurs camarades.<br />
Bien que compréhensible pour les lauréats, cette ambiance mérite d’être encadrée pour éviter d’éventuels dérapages. La Police est invitée à veiller au grain en déployant ses éléments dans différents coins chauds de la ville, en vue de créer un effet dissuasif auprès de la population.

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La période des émotions a débuté hier mercredi 6 juillet avec la publication des résultats de l’Examen d’Etat dans la ville de Kinshasa. L...

LE GÉNÉRAL KANYAMA LANCE UNE MISE EN GARDE AUX LAURÉATS EN MAL DE DÉRAPAGE

July 07, 2016

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L’autorité de la Police nationale congolaise (PNC) a sensibilisé les candidats sur la nécessité de maintenir l’ordre public dans la capitale. "On ne veut pas des dérapages à travers la ville. La police sera là pour veiller au grain", a-t-il dit sans détours.<br />
"Nous avons sensibilisé les parents et les élèves finalistes pour les pousser à être responsables. Il faut fêter sa réussite, mais sans faire outrage à l’ordre public", a-t-il recommandé aux élèves.<br />
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HALTE AUX DERAPAGES !<br />
"Vous n’avez aucune raison de créer le désordre, en heurtant notamment les voitures d’autrui, clame le Général Kaniama. Vous devrez vous abstenir de vous déshabiller, en déchirant vos habits sur la voie publique, tout en fredonnant des chansons malsaines". <br />
Le Général Kanyama fait ainsi planer la menace des sanctions aux finalistes qui vont s’adonner aux actes répréhensibles. "Je vous exhorte à assumer ce qui va arriver, puisque la police ne laissera rien passer. S’il y a des actes infractionnels, on ne laissera rien passer du tout", a-t-il martelé.

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Le commissaire provincial de la police de Kinshasa revient à la charge. Le Général Célestin Kanyama est intervenu hier sur les antennes de...

DIALOGUE : LE VRAI DÉFI DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE

July 07, 2016

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* Pour gagner le pari de l’échéance fin juillet, les partenaires extérieurs appelés <br />
à convaincre Etienne Tshisekedi et ses alliés à participer à ce Forum national.<br />
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Après sa récente réunion d’Addis-Abeba en Ethiopie, le Groupe d’appui à la Facilitation du Dialogue politique en RD Congo, a souhaité que ce forum puisse effectivement démarrer d’ici à la fin du mois de juillet en cours. Que cette rencontre se tienne dans cette échéance, après plusieurs mois d’atermoiements, personne n’aurait à redire. Mais toute la problématique tourne autour de la base même de ce Dialogue. Sur quel fondement devra-t-il se faire, dès lors qu’une aile de l’Opposition, estampillée « Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement », conduite par Etienne Tshisekedi, le même, ne partage pas le même entendement que la Majorité présidentielle (MP) et l’Opposition pro-Dialogue ?<br />
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En termes de réponse à cette question centrale, nombreux sont des observateurs qui pensent, non sans raison, que la Communauté internationale qui a adoubé Edem Kodjo, a donc le devoir légitime de pousser les anti dialogue à adhérer finalement à cette rencontre nationale, voie royale de sortie de crise politique actuelle en RD Congo. C’est donc là, tout le pari à gagner. <br />
L’évidence au stade actuel des choses est que le camp des pro-Dialogue n’exige plus aucun préalable. Autant dire que si tout ne dépendait que la plate-forme politique Opposition pro-dialogue, de la Société civile et de la Majorité présidentielle, le Forum national convoqué depuis le mois de novembre 2015, pourrait même commencer cet après-midi. Hélas ! Cette grand-messe qui a pour principale mission d’apporter des solutions à tous les problèmes liés au processus électoral (en panne ?), à la fin du mandat du président Joseph Kabila, au calendrier électoral…voudrait que tous les acteurs politiques du pays y participent. D’où, tout le sens du format inclusif collé à ce Dialogue. <br />
Partant, le bon sens voudrait que les Organisations internationales qui claironnent sur la tenue des élections en RD Congo dans le délai, décrochent la timbale, en demandant à Etienne Tshisekedi et ses alliés d’embarquer, déjà dès la gare de départ, dans le train du Dialogue. Autrement, le Dialogue tant chahuté risque d’être l’apanage de la Coalition politique au pouvoir, des partis réunis au sein de la plate-forme Opposition pro -Dialogue et de la Société civile. Si c’est cela l’option définitive à lever, alors on ne devrait plus parler d’un Dialogue politique dans un format inclusif. <br />
Laurel KANKOLE <br />
Comité de soutien : convaincre les anti-dialogue du « Rassemblement »<br />
A l’issue de sa réunion tenue pendant deux jours à Addis-Abeba, siège de l’UA, le Comité de soutien à la facilitation pour la tenue du Dialogue en RDC composé de représentants de l’ONU (MONUSCO), UA, UE, OIF, SADC et CIRGL a projeté le lancement effectif de ce forum au 31 juillet en cours. Un Dialogue inclusif intégrant toutes les parties prenantes. Plus facile à dire qu’à faire. Car le pari immédiat du Comité est de convaincre les antidialogue.<br />
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Comme on le sait, ces anti ont fait quartier au « Rassemblement des forces politiques et sociales », présidée par le chef charismatique de l’UDPS, Etienne Tshisekedi Wa Mulumba se retrouvent ainsi dans ce camp,l’UDPS, le RCD/KML d’Antipas Mbussa Nyamwissi, le G-7, la « Dynamique pour l’unité de l’Opposition », plateforme politique dont font partie le MLC du chairman Jean-Pierre Bemba Gombo et l’UNC de Vital Kamerhe, absents de Genval, s’ajoutent à ces partis et plateformes politiques, l’Alternance pour la République (AR) et le « Front-citoyen 2016 ». <br />
Leur cahier des charges réaffirmé lundi dernier lors de la séance publique de restitution est bien connu depuis le conclave de Genval. Pour aller au Dialogue, les anti-Dialogue ont égrené plusieurs préalables outre celui du panel de co-facilitateurs internationaux qui est en train d’être rencontré par la Communauté internationale. <br />
Le Comité de soutien est appelé à se pencher sur ces préalables avant de prendre langue avec les plénipotentiaires du « Rassemblement » qui, comme on le voit ne regroupe que des anti-dialogue. Quels sont ces préalables sans lesquels tout Dialogue pourrait d’avance, être voué à l’échec. Sur la forme, il rejette l’Ordonnance présidentielle du Président Kabila convoquant le Dialogue politique et exige plutôt que ce soit le Comité de soutien qui le fasse.<br />
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JOSEPH KABILA JUGE ET PARTIE ?<br />
L’argumentaire des anti-dialogue est le même. « Joseph Kabila fait partie du problème, donc de la crise actuelle. A ce titre, le président de la République serait juge et partie si c’est à lui qu’on devrait remettre les résolutions du Dialogue lui qui est le problème ». Il y a surtout la question de fin de mandature. Pour le « Rassemblement », au 20 décembre 2016 au plus tard, Joseph Kabila qui a épuisé ses deux mandats constitutionnels n’est plus Président de la République. <br />
Le « Rassemblement » exige aussi l’application stricte de la Résolution 2277 et le respect de l’article 73 de la Constitution du 18 février 2006. Celui-ci stipule que la CENI convoque le scrutin pour l’élection du Président de la République 90 jours avant la fin du mandat du Président en fonction. <br />
Cette date tombe le 19 septembre. Soit dans quelque deux mois. D’où le Rassemblement n’a qu’un seul objet à l’ordre du jour Dialogue : « la tenue des élections dans le respect des délais constitutionnels ». D’autres préalables ont trait à la décrispation du climat politique.<br />
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LE CAMP PRESIDENTIEL EN FAIT UNE LECTURE DIAMETRALEMENT OPPOSEE<br />
Il s’agit, entre autres, de la libération des prisonniers politiques recensés par le « Rassemblement » ainsi que la levée des poursuites judicaires arbitraires contre les opposants. Le cas cité autrefois à Genval fut celui de l’ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi Chapwe, candidat Président de la République. Il appert clairement que le Comité de soutien à la facilitation à fort à faire. <br />
D’autant que sur les principales exigences de fond du « Rassemblement », la Majorité présidentielle (MP) au pouvoir donc le camp présidentiel en fait une lecture diamétralement opposée à celle du Rassemblement ». Comme par exemple la question de la fin du mandat où elle s’en tient à l’Arrêt de la Cour constitutionnelle que le « Rassemblement » qualifie d’anticonstitutionnel. Les mois qui viennent, surtout décembre, seront rudes pour les Congolais. Même très rudes. Ce qui explique que dans son rapport adressé au conseil de sécurité de l’ONU sur la crise en RDC, Ban ki-moon parle des risques d’un chaos généralisé.

Politique DIALOGUE : LE VRAI DÉFI DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE

* Pour gagner le pari de l’échéance fin juillet, les partenaires extérieurs appelés à convaincre Etienne Tshisekedi et ses alliés à parti...

Kabila à l’assaut de l’instabilité du taux de change !

July 07, 2016

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Communiqué officiel de la Présidence de la République<br />
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Faisant suite à son message à la Nation du 29 juin 2016, ce mardi 5 juillet 2016, le Président de la République, Chef de l’Etat, a tenu une réunion spéciale restreinte avec les membres du Gouvernement ayant en charge le secteur économique.<br />
<br />
Outre le Premier Ministre, ont pris part à la rencontre :<br />
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Le Ministre d’Etat, Ministre du Budget<br />
Le Ministre des Finances<br />
Le Ministre de l’Economie<br />
La Ministre du Porte feuille<br />
Etaient invités à la réunion<br />
<br />
Le Vice-gouverneur de la Banque Centrale<br />
La Directeur de Cabinet du Président de la République<br />
Un seul point était à l’ordre du jour : L’évaluation des 28 mesures économiques urgentes au regard de la situation économique et monétaire du pays.<br />
<br />
Après un large tour d’horizon sur la question, le Président de la république a donné les instructions ci-après au Gouvernement :<br />
<br />
A. Au plan Economique<br />
<br />
La mise en œuvre rigoureuse et sans faille des 28 mesures déjà préconisées.<br />
<br />
La mise en œuvre rigoureuse et sans faille des 28 mesures déjà préconisées.<br />
L’application des sanctions à l’endroit de tous les responsables, cadres et agents des Services publics agissant en violation des prescrits légaux et réglementaires en favorisant notamment la fraude fiscale et douanière.<br />
La prise des mesures incitatives de nature à assurer l’accroissement et la diversification de la production, en mettant un accent particulier sur l’agriculture.<br />
L’implication des Gouvernements provinciaux dans la mobilisation des recettes à caractère national.<br />
La protection de l’industrie locale à travers des mesures spécifiques.<br />
B. Au plan monétaire<br />
<br />
La poursuite des efforts entrepris par la Banque Centrale du Congo en vue de la stabilisation du marché de change.<br />
La concertation avec le Gouvernement sur les mécanismes d’intervention sur le marché de change, prenant en compte le souci de l’harmonisation de la politique monétaire avec celles fiscale et économique.<br />
Un Conseil des Ministres extraordinaire se tiendra à ce propos dans le courant de la semaine, sous la présidence du Chef de l’Etat.<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 05 juillet 2016<br />
<br />
Le Cabinet du Président de la République<br />
Néhémie Mwilanya Wilondja<br />
Directeur de Cabinet

Economie Kabila à l’assaut de l’instabilité du taux de change !

Communiqué officiel de la Présidence de la République Faisant suite à son message à la Nation du 29 juin 2016, ce mardi 5 juillet 2016, ...

Modèles alternatifs de financement des médias. RDC : la Dynamique du 27 mai restitue les propositions à la presse

July 07, 2016

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Selon Tshivis Tshivuadi, Secrétaire Général de Journaliste en Danger (JED), la Dynamique du 27 mai s’est décidée de ne peut pas seulement donner des exigences au journaliste quant au respect des principes, techniques et éthiques du métier. Mais, il fallait également réfléchir sur comment le placer dans un cadre qui lui permette de travailler en toute liberté, indépendance et sécurité. Ce qui suppose de lui accorder une indépendance matérielle. ‘’Un journaliste pauvre ne peut pas être indépendant. Un média pauvre ne peut non plus être libre’’, a-t-il déclaré. C’est le sens de l’ organisation du séminaire sur le modèle alternatif de financement des médias, qui a réfléchi sur la mise sur pied des outils devant permettre notamment au Gouvernement, d’accorder aux médias des facilités, privilèges ainsi que des allègements fiscaux. Car, tout cela ferait en sorte que les charges sur les entreprises de presse diminuent. Et, automatiquement, les patrons paieront convenablement les journalistes pour éviter qu’ils soient à la merci de manipulation et corruption de la part des forces politiques.<br />
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Réalisations de la Dynamique<br />
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C’est une structure qui a vu le jour le 27 mai 2014. En réalité, c’est un cadre de concertation qui réunit toutes les organisations professionnelles de médias et le CSAC, qui accompagne toutes les actions. Elle est composée des parties qui, chacune dans son secteur, fait le travail soit de régulation ou d’autorégulation de la profession, dans le but de faire face à des défis énormes qu’aucune instance, seule, ne peut relever. ‘‘C’est l’union qui fait la force, comme on dit. Et, je vous assure que c’est en nous mettant ensemble qu’on peut relever ces défis’’, précise le SG de JED.<br />
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Il faut dire qu’en deux ans de vie, la Dynamique du 27 mai  a réalisé beaucoup de choses. C’est d’ailleurs une première, le fait d’avoir toutes les organisations réunies, pour une cause commune. Cette structure estime que, pour redonner à la presse la force de jouer son rôle de quatrième pouvoir, il est important de commencer par une étude approfondie sur la Loi actuelle qui régit la profession, à savoir la loi de 1996, qui comprend un certain nombre des dispositions obsolètes par rapport à la situation actuelle.<br />
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Au-delà, il y a eu une douzaine de réformes visant la refondation de la presse congolaise. C’est dans ce cadre qu’il a été proposé la Loi sur la Liberté de la presse qui est aujourd’hui sur la table du Parlement. Si cette règlementation est promulguée, le pays va assister à une grande avancée sur la question de dépénalisation des délits de presse.<br />
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Une autre action menée concerne la Loi sur l’accès à l’information, aussi importante pour le journaliste. Car, il est impensable de demander au journaliste de chercher l’information si les sources officielles d’informations ne sont pas accessibles. Il faut signaler tout de même que, cette Loi a déjà été adoptée au niveau du Sénat et attend d’être analysée au niveau de l’Assemblée Nationale.<br />
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Aussi, s’est-il organisé un colloque sur la liberté de l’information et la responsabilité du Journaliste en période de crise, qui a permis de mettre sur pied la charte de responsabilité du journaliste pendant cette période. Un règlement qui comprend un certain nombre d’arrangement à respecter.<br />
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Judith Asina<br />
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Voici l’intégralité de la charte de la Dynamique du 27 mai<br />
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CSAC, UNPC, JED, OMEC, ANEAP, UCOFEM, ANECO, FMJC, FRPC<br />
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Charte de responsabilité du journaliste en période de crise<br />
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Préambule<br />
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Nous journaliste, professionnels et responsables de médias de la République Démocratique du Congo,<br />
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Conscient de la fragilité de la démocratie, de l’inconsistance de l’Etat de droit et de crise politique, économique et sociale dans laquelle notre pays est plongé depuis plusieurs années ;<br />
Préoccupés par la persistance de la violence et des actes d’intolérance dans la Société Congolaise ;<br />
Imprégnés des aspirations profondes du «peuple congolais à la cohésion nationale, à l’unité,  à la paix, à la sécurité collective, à la dignité et au mieux vivre général ;<br />
Conscient du rôle des médias et des journalistes dans la construction et la consolidation de la paix, dans l’affermissement de la démocratie et l’enracinement de l’Etat de droit;<br />
Convaincus que le droit à l’information est un droit fondamental de l’Homme et que la liberté de l’information est la pierre angulaire de toutes les libertés ;<br />
Conscients que le respect des principes universels d’éthique et de déontologie des médias et des journalistes est déterminant en période électorale ;<br />
Soucieux de contribuer à la stabilité de la vie politique en RDC ainsi qu’à une pratique intelligente, patriotique, intègre, constructive  et soucieuse de l’intérêt général ;<br />
Reconnaissant qu’une Charte de responsabilité des journalistes en période de crise respectée et observée «peut contribuer à la tenue des élections libres fiables et transparente ;<br />
Convenons d’accepter la présente Charte, d’y souscrire et du mieux que chacun peut, la respecter et de prendre toutes les mesures appropriées pour en garantir une application engagée et citoyenne.<br />
Considérant les recommandations des premières journées déontologiques de la presse congolaise tenues à Kinshasa du 3 au 5 mai 2015 sous «le thème : «Les défis éthique et déontologique des journalistes et médias pour des élections apaisées en RD. Congo».<br />
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Considérant les droits et devoirs contenus dans le Code d’Ethique et de Déontologie du journaliste congolais ;<br />
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Vu tout ce qui précède, nous  prenons l’engagement de respecter, de promouvoir et de mettre en œuvre les règles et principes suivants :<br />
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Faire preuve de solidarité en signalant et en dénonçant tout acte d’atteinte ou de menace à la liberté de l’information<br />
Mettre fin à tout cumul des fonctions de journalistes, attaché de presse,  chargé de communication ou membres des cabinets et ou partis politiques<br />
S’interdire tout acte de corruption, active ou passive, directe ou indirecte en vue de la publication ou non d’une information<br />
Favoriser l’accès à tous les courants d’opinion et de pensée dans les membres, surtout public<br />
Traiter tous les problèmes sans partis pris et présenter honnêtement les sujets soulevant controverse<br />
Diffuser la culture de la non-violence en bannissant le message de haine, de violence, d’injure ou de discrimination<br />
Faire preuve dans ses tâches quotidiennes de responsabilité de la véracité des faits, d’équité, d’exactitude, d’honnêteté, d’objectivité, du sens de responsabilité, d’indépendance et de décence dans les relations des faits liés aux individus et à la société.<br />
Œuvrer «pour que toute action journalistique, individuelle ou collective s’exerçant en dehors de toute considération politique, économique, ethnique ou religieuse, et dans le seul but de défendre l’indépendance des médias et la libre circulation de l’information.<br />
Cultiver la confraternité en s’abstenant de tout acte susceptible de nuire à la dignité de confrère et à leur sécurité.<br />
Informer la dynamique de toute évolution des conditions d’exercice de la liberté de la presse dans leurs milieux ou leurs régions, ainsi que des incidents graves affectant la liberté des médias, l’intégrité physique, la sécurité des journalistes et des Net-citoyens.

Média Modèles alternatifs de financement des médias. RDC : la Dynamique du 27 mai restitue les propositions à la presse

Comme prévu à la clôture de l’atelier de haut niveau sur les modèles alternatifs de financement pour les médias congolais, une conférence ...

RDC : Ban Ki-moon devant le Conseil de Sécurité aujourd’hui !

July 07, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioru1_l4SXQ3JNiwCExX_ycBsZChNV6aV9ndq2KmmYr05UbsthaQUmiIwEXTGXo7MnAQdS_OLjwVm-4YZPQa626Kq08a02J2FYojXHlzZ-4aj4Ro1vquwm223HL41YEclTqcBeXghbOBVc/s1600/Snapshot_25.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioru1_l4SXQ3JNiwCExX_ycBsZChNV6aV9ndq2KmmYr05UbsthaQUmiIwEXTGXo7MnAQdS_OLjwVm-4YZPQa626Kq08a02J2FYojXHlzZ-4aj4Ro1vquwm223HL41YEclTqcBeXghbOBVc/s400/Snapshot_25.jpeg" width="400" /></a>*Après avoir réussi à faire voter deux Résolutions en trois mois sur la RDC au Conseil de Sécurité de l’ONU, Ban Ki-moon s’apprête à présenter, ce jeudi 7 juillet, à New York, le rapport trimestriel sur l’évolution de la situation générale du pays. Une fois de plus, le Secrétaire général de l’ONU se montre très inquiet. Il dénonce l’incertitude politique actuelle qui serait de nature à  entraîner une crise grave en RDC. Il fait état de l’augmentation de violations des droits de l’homme.  Ban Ki-moon ne constate aucun progrès dans les préparatifs du  dialogue national, alors que les Résolutions 2277 et 2293 pressent les acteurs politiques congolais à se parler pour relancer le processus électoral dans le respect de la Constitution.<br />
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Cependant, l’éventualité, plus que probable, d’un report de l’élection présidentielle contribue à alimenter les tensions. La Monusco se prépare à y faire face. La force onusienne déployée en RDC concevrait des plans d’urgence en cas de violence généralisée. Il serait question, d’après certaines indiscrétions glanées dans les milieux proches des onusiens,  d’un redimensionnement de la Monusco. Pourtant, le Gouvernement rd-congolais se bat, depuis bien longtemps, pour une réduction de moitié des effectifs de la Monusco. Une demande qui n’a pas été prise en compte. A défaut de faire passer les effectifs au-dessus du plafond arrêté à quelque 21 mille hommes, le Conseil de Sécurité pourrait requalifier le mandat de la Monusco, de manière à le rendre plus robuste et plus pro-actif. Les négociations entre le Gouvernement de la RDC et l’ONU sur le maintien ou le départ de la Monusco ont toujours été difficiles.<br />
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Ban Ki-moon fait son rapport,  trois jours après la réunion du Groupe de soutien à la facilitation du dialogue. Le 4 juillet, les représentants de l’ONU, l’Union Africaine, l’Union Européenne, l’OIF, de la SADC et de la CIRGL se sont réunis à Addis-Abeba pour déterminer la meilleure façon d’aider le Facilitateur Edem Kodjo à faire son travail. Ils ont pris la décision de mobiliser la communauté internationale afin de trouver les moyens qui permettraient à la CENI de relever le défi d’inscrire les électeurs sur les listes électorales et organiser les élections conformes à la Constitution. Or, la CENI avoue publiquement son incapacité à tenir les délais constitutionnels. Le pays se trouve dans une situation où il y a ni fichier ni calendrier électoral. Qui plus, l’opération de révision du fichier électoral ou d’établissement d’un nouveau n’est pas limitée dans le temps. Il y a, à fortiori, une absence d’orientation claire. L’incertitude qui en découle, donne lieu à des prises de positions tranchées.<br />
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Le Député PPRD Shadary Ramazani multiplie des déclarations dans les médias tant nationaux qu’internationaux pour affirmer que les Congolais n’iront pas aux urnes en 2016. Il est dans une logique de continuité du pouvoir. La position de Shadary présente beaucoup de similitudes avec les déclarations de la CENI au sujet d’un report sine die des élections. Le Président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, qui est en même temps le Secrétaire général de la Majorité Présidentielle, a évoqué, au cours d’un meeting dans le territoire d’Idiofa, sa détermination de voir le Président Kabila briguer un 3ème mandat. Pour y parvenir, il miserait sur un référendum constitutionnel.   <br />
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De son côté, Moïse Katumbi, candidat déclaré à la prochaine présidentielle pour le compte de l’Opposition, a choisi les organes de presse français pour insister sur la fin du régime du Président Kabila au 19 décembre 2016. Les catholiques appellent aussi au respect de la Constitution. Les Résolutions 2277 et 2293 du Conseil de Sécurité de l’ONU sont réputées hostiles à tout projet de révision constitutionnelle. Les USA et l’Union Européenne ne sont pas en reste. C’est ainsi que le Président Kabila, dans son discours à la nation, le jour de la fête de l’indépendance, a mis en garde contre l’immixtion des étrangers dans les affaires de politique intérieure de la RDC.

la Nation RDC : Ban Ki-moon devant le Conseil de Sécurité aujourd’hui !

*Après avoir réussi à faire voter deux Résolutions en trois mois sur la RDC au Conseil de Sécurité de l’ONU, Ban Ki-moon s’apprête à prése...

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