BA SANGO YA CONGO KINSHASA

2017 : une année moins fructueuse en termes d’événements musicaux en RDC !

January 12, 2018

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigZiQOHFuIM8TZixkIvE-tYsIiecqpuDVcPVVl0Dn3q8Q8iFZIg9UZEdq3IJY-6nwCRxHfJD-FpV5a37bMZQoD8f7dNVc0tIOWjsP0-e8CBdcQhKpS4NZ3UPWVTc9b_GPUNlKdYfkmlLQ/s1600/Snapshot_2827.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="398" data-original-width="761" height="208" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigZiQOHFuIM8TZixkIvE-tYsIiecqpuDVcPVVl0Dn3q8Q8iFZIg9UZEdq3IJY-6nwCRxHfJD-FpV5a37bMZQoD8f7dNVc0tIOWjsP0-e8CBdcQhKpS4NZ3UPWVTc9b_GPUNlKdYfkmlLQ/s400/Snapshot_2827.jpg" width="400" /></a></div>
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2017 n’a pas été une année riche en événements culturels, particulièrement la musique, en République démocratique du  Congo où l’attention du peuple est complètement captivée par la crise politique et sociale grave. D’où, l’art l’Orphée a d’office perdu sa pertinence, contrairement au football, qui attire  davantage la curiosité des congolais. Au-delà des  polémiques entre musicien, jeunes ou vieux, il ne s’est  produit aucun évènement de grande envergure en 2017 dans l’ex-Zaïre. Or, le pays de Franco Luambo était réputé, à une certaine époque, comme terre et plaque tournante de la musique en Afrique.  Par ailleurs, la disparition de la légende de la chanson française, Johnny Halliday, a dominé les lignes de médias et surtout a mis en émoi les fans du rock à travers le monde. <br />
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Quand la politique ne marche pas dans un pays, il est aussi difficile que d’autres secteurs de la vie puissent connaître l’essor. Puisque tout dépend d’elle. Au Congo-Kinshasa, la musique subit impérativement les conséquences de cette crise économico-politique dont les répercussions directes se font sentir dans la société où les professionnels de l’art d’Orphée ne savent même plus à quel saint se vouer.<br />
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Qu’à cela ne tienne, certains artistes ont tenté de se faire entendre grâce à leurs actions spectaculaires et œuvres posées dans le bon ou mauvais pour se défendre et éblouir la scène sur place, tout comme à l’extérieur du pays.<br />
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Ferré-Fally-Fabrigas et Karmapa se distinguent !<br />
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Sur le plan discographique, on a noté la sortie d’une dizaine d’albums sur le marché du disque congolais dont 80% de chansons sont passées inaperçues dans les oreilles des mélomanes. Dans la minorité, on retrouve quelques musiciens qui ont distingué grâce à leurs œuvres et ont aussi marqué le public durant toute l’année. Par exemple : l’album «Qu’est-ce que j’avais dit» de Ferré Gola, « Cursus » de Fabregas et son groupe Villa Nova, « Tokoss » de Fally Ipupa, «7 jours de la semaine» de Werrason avec son titre phare « Zenga Loketo » ainsi que  «Caligula » de Karpama et « 6ème volume de la série de classiques de la rumba de la chanteuse Faya Tess.<br />
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Par ailleurs, certains leaders de la chanson n’ont pas été présents sur le marché mais très performants en terme de productions scéniques dans la capitale. Citons le cas de JB MPIANA qui a revu à la hausse la bourse lors de la soirée marquant la célébration de son cinquantenaire d’âge où le patron de Wenge BCBG a joué jusqu’à 200$ le coût du billet à la porte, à Rottana New Plan où la salle avait même refoulé du monde.<br />
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Il y a Koffi Olomidé qui a également bougé la ville avec son spectacle «Koffi à la carte », en la salle Show Buzz, au cours duquel il avait invité Werrason qui, malheureusement, n’a pas répondu à cette invitation.<br />
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Dans le même cadre, la Diva Barbara Kanam s’est fait aussi remarquer à travers son concept « Je vous dis oui » qui a été formidable au cours d’une soirée exceptionnelle où la chanteuse a été accompagnée par un groupe d’instruments (violoniste, contre-basiste…), sur scène.<br />
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Toujours au chapitre des événements, Kinshasa a abrité la 1ère édition du  Festival International de la Rumba et de l’Elégance, « FIRE », avec la participation d’une grande icône de la musique africaine, Sam Mangwana, qui n’a plus joué au Congo, après plus de 20 ans d’absence.<br />
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Pendant ce temps, les combattants  (opposant au régime de Kinshasa) se radicalisent davantage contre les productions scéniques de Fally IPUPA en la salle La Cigale et d’Héritier Watababe Moto na tembe, à l’Olympia de Paris. Tous les deux rendez-vous seront annulés par le Préfet de Paris, pour des raisons de débordement des manifestants (congolais de la diaspora) qui estiment que l’heure n’est pas encore venue pour qu’ils acceptent la reprise des concerts de musiciens Kinois en Europe, aussi longtemps que la situation sociopolitique restera inchangée au Congo-RDC.<br />
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Affaire « Guegue» !  <br />
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Par contre, le pasteur Moise Mbiye a fait parler de lui dans une polémique démesurée à cause  d’une parole placée dans son nouvel album «Héros» sorti sur le marché du disque chrétien. C’est la chanson « Tango na ye », dans laquelle le public croit écouter le chantre crié avec ardeur: « sort au nom de Guegue » au lieu de sort au nom de Jésus ». Cette phrase à confusion ne laisse pas indifférent les chrétiens et païens jusqu’à tel point que le jeune pasteur va sortir de son silence, au cours d’une conférence de presse pour tenter de convaincre, mais en vain.<br />
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Entretemps, la presse Kinoise va, par ailleurs, révéler une altercation entre l’artiste musicien Koffi Olomidé et la garde rapproché du Général Charles Bisengimana, à l’époque numéro Un de la Police nationale. L’affaire s’est déroulée sur le Boulevard du 30 juin vers le tronçon Socimat jusqu’au croisement Komorico, à quelques mètres de l’école Loupiots, dans la commune de Ngaliema.<br />
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De l’autre côté, on a vécu des tensions dans les relations entre musiciens qui ne manquent jamais depuis des temps immémoriaux. Cette année, le public a été surpris par l’arrestation du chanteur Ferré Gola sur une plainte de Koffi pour  diffamation, injure et  imputation dommageable. Après deux confrontations directes, le Parquet  n’a trouvé aucune pièce à conviction et a jugé bon de lui accorder une liberté  provisoire après avoir passé 24 heures en détention dans un cachot  au casier judiciaire à Kinshasa.<br />
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Cardinal Monsengwo et les musiciens à la Une !<br />
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Comme toujours, il y a eu quelques départs en foison enregistrés dans certains groupes musicaux à Kinshasa où certains chanteurs ont abandonné leurs leaders. Cette année, c’est le Wenge Maison Mère qui a connu plus des départs dans son attaque chant. Les chanteurs Olivier, Anaclet R-Kelly, Eboa Lotin, Gabanna et Tadet ont signé leur divorce avec Werrason. Hormis  Olivier et Anaclet qui rejoignent l’orchestre d’Héritier Wanatabe, il faut dire que les autres ont décidé d’évoluer en cavalier solitaire.<br />
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Autre fait marquant, il faut souligner la rencontre de son Eminence le Cardinal Monsengwo et les artistes congolais, toute discipline confondue, à la cathédrale Notre Dame du Congo. Cet événement a non seulement suscité la polémique dans la sphère politique, mais aussi il a été considéré parmi les grands sujets ayant défrayé la chronique dans les médias en RDC. Au-delà de toute interprétation, l’idéal était de responsabiliser et interpeller les artistes par rapport à leur travail.  Le Prélat catholique leur a surtout exhorté de rester dignes d’honneur dans leurs créations. Car, leur vocation est de faire honneur à la société.<br />
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Contrairement aux années antérieures, le Dieu, créateur  a été clément et miséricordieux vis-à-vis de la  grande famille musicale congolaise qui n’a pas connu beaucoup de cas de décès parmi les musiciens. On compte deux musiciens qui ont quitté la terre des vivants en 2017. Il s’agit de Jonathan Likompa Linda Likia, jeune guitariste accompagnateur du groupe Villa Nova de Fabregas qui est décédé à fleur d’âge. Et la mort du chanteur Mathieu KUKA, un des ancêtres de la rumba, qui avait évolué aux côtés de Joseph Kabasele dit Grand Kalé. Notons aussi le décès du chanteur Bipoli na Fulu. Au plan international, c’est la disparition de la star du rock, Johnny Halliday, qui a fait la Une dans le monde musical, où toute la France lui rendu des hommages dignes de son rang.<br />
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Qui dit mieux !<br />
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Jordache Diala

Musique 2017 : une année moins fructueuse en termes d’événements musicaux en RDC !

2017 n’a pas été une année riche en événements culturels, particulièrement la musique, en République démocratique du Congo où l’attenti...

Après les dernières pluies mortelles à Kinshasa : Le gouvernement apporte son assistance humanitaire aux sinistrés

January 12, 2018

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1FLbTXy9tfYlXUIYfDbuBOeAllqgixEpB4Ut7S2-Z_S90KiVz5pPfPs0UQyK0RBmZcITbLaoGJT6vyiF7J9yyHKAZrxwPZ2bEIsBCDK6lX5GcZy2Su6zWoAV0jM4Egn0YZUHYXiHPdwo/s1600/Snapshot_2826.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="344" data-original-width="521" height="263" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1FLbTXy9tfYlXUIYfDbuBOeAllqgixEpB4Ut7S2-Z_S90KiVz5pPfPs0UQyK0RBmZcITbLaoGJT6vyiF7J9yyHKAZrxwPZ2bEIsBCDK6lX5GcZy2Su6zWoAV0jM4Egn0YZUHYXiHPdwo/s400/Snapshot_2826.jpg" width="400" /></a></div>
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Les sinistrés de la pluie diluvienne qui s’est abattue sur la capitale dans la nuit du 3 au 4 janvier courant peuvent pousser un ouf de soulagement. Ils ont reçu hier jeudi une aide humanitaire du Gouvernement constituée des vivres et non-vivres. <br />
Les kits comprennent plusieurs lots de matelas, des cartons de savons, des sacs de sucre, de riz, des cartons de cahiers, médicaments, des ustensiles de cuisine et tant d’autres biens de premières nécessités. C’est le Vice-Premier en charge de l’Intérieur et sécurité qui a remis cette assistance matérielle en présence des autres membres du gouvernement.<br />
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Emmanuel Shadary Ramazani a insisté que ces biens soient distribués à bon escient aux bénéficiaires avant de rappeler, par ailleurs, qu’il ne s’agit là, que d’un geste symbolique du Gouvernement, et ne pourra pas remplacer les illustres disparus. « Cet acte de charité de l’Exécutif national se veut un secours aux sinistrés, afin d’atténuer leurs chocs », a souligné le VPM Shadary. Et d’ajouter, « il était important pour le Gouvernement d’apporter son assistance aux familles touchées ». <br />
Il a estimé qu’il serait mieux que la distribution de ce don du Gouvernement arrive aux bénéficiaires directement. Pour ce faire, une commission sera mise en place pour assurer le suivi de la distribution. Mamou

Après les dernières pluies mortelles à Kinshasa : Le gouvernement apporte son assistance humanitaire aux sinistrés

Au tour de Kinshasa Société Après les dernières pluies mortelles à Kinshasa : Le gouvernement apporte son assistance humanitaire aux sinistrés

Les sinistrés de la pluie diluvienne qui s’est abattue sur la capitale dans la nuit du 3 au 4 janvier courant peuvent pousser un ouf de s...

A l'occasion du Cinquantenaire de la Can 2018 : Les anciens Léopards à l’honneur ce 23 janvier à Beatrice hôtel

January 12, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhsz6hZtTWyMC5txiCs7odbDP6oBctdJ3h7c10ZeW_RJg-KYMcvtOJ8Tw1gXPzJtQD5jocyQWQLH2l8sO_TmtPLfiE4-dxUyZJVMtADcmVpeDMA2K7wfIw1htM3QEUjTj320DpJPeHfxk/s1600/Snapshot_2825.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="423" data-original-width="638" height="265" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhsz6hZtTWyMC5txiCs7odbDP6oBctdJ3h7c10ZeW_RJg-KYMcvtOJ8Tw1gXPzJtQD5jocyQWQLH2l8sO_TmtPLfiE4-dxUyZJVMtADcmVpeDMA2K7wfIw1htM3QEUjTj320DpJPeHfxk/s400/Snapshot_2825.jpg" width="400" /></a>50 ans ce n’est pas 50 jours, ça se fête ! C’est à cette occasion que la ligue pour la promotion du droit des sportifs (LISPED) et l’association des anciens Léopards football des années 1968 et 1974 prévoient d’organiser une cérémonie pour commémorer le 50ème anniversaire de la première coupe d’Afrique des nations remporté par la Rdc. <br />
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Le coordonateur de cette activité qui se tiendra à Béatrice hôtel, le numéro 1 de la LISPED Maître Alain Makengo dit œuvrer pour l’intérêt des ces héros que le peuple congolais semble oublier. Cette première coupe continentale gagnée en 1968 face au Ghana(1-0) à Addis-a-beba totalisera 50 ans ce 23 janvier. " Nous célébrerons ce 23 janvier 2017 à l’hôtel Béatrice avec les anciens Léopards, le cinquantenaire de la première Coupe d’Afrique des nations de football que notre pays a remporté en 1968. Ce sera une cérémonie qui tentera de réécrire l’histoire de cette période là par des témoignages et anecdotes qui nous seront rendus par ces monuments vivants (les léopards football 1968 et 1974). Cela permettra à ces héros de partager leur riche experience avec la jeune génération. Mais aussi à tous ceux qui voudront les remercier d’une façon ou d’une autre", a-t-il expliqué.<br />
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" Nous espérons qu’avec les appuis du Gouvernement central, provincial, la fédération nationale mais aussi des nos partenaires cette journée marquera les esprits. Elle réunira les deux générations 68 et 74 ", a déclaré Alain Makengo.<br />
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Le premier sacre continental de la Rdc en football s’était passé en Éthiopie lors de la Coupe d’Afrique des nations en janvier 1968. La Rdc s’était imposée par 1-0 face au double tenant du titre de l’époque Ghana. L’euphorie et la liesse qui ont animé la population Zaïroise de l’époque le jour de la rentrée au pays des athlètes (23 janvier) a poussé les autorités locales à décréter le 23 janvier "journée de sport". C’est aussi la date choisie par la LISPED pour célébrer le jubilé d’or de ce premier trophée amené au pays.<br />
Car à défaut de gagner une nouvelle coupe, il fallait bien fêter les deux premières de l’histoire.<br />
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Bahati KASINDI

Sport A l'occasion du Cinquantenaire de la Can 2018 : Les anciens Léopards à l’honneur ce 23 janvier à Beatrice hôtel

50 ans ce n’est pas 50 jours, ça se fête ! C’est à cette occasion que la ligue pour la promotion du droit des sportifs (LISPED) et l’associa...

Coopération RDC/ JAPON : Cantines scolaires : 45.000 élèves bénéficieront de 1.596 tonnes de riz pendant une année

January 12, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUQUzgOKwdnxMAYL7WDUVmb5KXZVbpKffDCwtn2adkPDrru5f18Mhlela1IEWxYW3b7x9auRrYDCpemNgcdEJA4UU_CTmBg3SNOPZCbf28jXbErDe8iU0tdsyPRcwE6TY2m2uYtX1KIr4/s1600/Snapshot_2824.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="386" data-original-width="518" height="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUQUzgOKwdnxMAYL7WDUVmb5KXZVbpKffDCwtn2adkPDrru5f18Mhlela1IEWxYW3b7x9auRrYDCpemNgcdEJA4UU_CTmBg3SNOPZCbf28jXbErDe8iU0tdsyPRcwE6TY2m2uYtX1KIr4/s400/Snapshot_2824.jpg" width="400" /></a>45.000 élèves des provinces du Nord-Kivu et de Tanganyika bénéficieront de 1.596 tonnes de riz pour une année. C’est un don remboursable du Japon d’une valeur de 1,8 million d’USD remis au Programme alimentaire mondial (PAM) qui gère le programme de cantines scolaires dans les provinces précitées.<br />
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C’est l’essentiel de la signature de l’échange de notes de l’assistance alimentaire intervenue hier jeudi en entre le directeur pays du PAM en RDC et l’ambassadeur du Japon. La cérémonie a eu lieu en présence des ministres de l’EPSP, de la Coopération au développement et celui de l’Agriculture.<br />
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Le ministre de l’EPSP a fait savoir que cette aide en nature du gouvernement Japonais permettra de remettre sur le chemin de l’école des enfants durement affectés par les conflits et les déplacements dans les provinces concernées. Aussi, va-t-elle contribuer à leur redonner de la dignité et l’espoir d’un avenir meilleur, a-t-il poursuivi. <br />
Gaston Musemena a, par ailleurs, indiqué que le soutien au Programme d’alimentation scolaire que met en œuvre le PAM dans les zones déchirées par les conflits en RDC est dans une formule de partenariat pour la RDC. Il n’a pas manqué de souligner que ce soutien est un passage pour aider le pays à apprendre et à être capable de mettre en place une politique nationale de l’alimentation scolaire dans le but d’accroitre l’accès, l’équité et la rétention des élèves à l’école, améliorer la qualité et la pertinence de l’enseignement. <br />
Avant de clore son mot, le patron de l’Education nationale a exprimé sa gratitude au Gouvernement du Japon pour cette fructueuse coopération en soutien à l’éducation, une des priorités du Gouvernement de la RDC. <br />
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RENFORCER LA SECURITE NUTRITIONNELLE DES ENFANTS<br />
« L’assistance alimentaire en riz destinée aux cantines scolaires des provinces du Nord-Kivu et du Tanganyika, vise à renforcer la sécurité alimentaire et nutritionnelle des enfants », a précisé le diplômate de l’Empire du soleil levant, au cours de cette cérémonie. Hiroshi Karube est d’avis que la cantine scolaire est un élément indispensable dans la lutte contre toute menace à la santé et à l’intégrité des enfants. <br />
C’est dans ce cadre, a-t-il expliqué, « que le Japon s’engage à soutenir les efforts du PAM et de la RDC, en fournissant la nourriture aux enfants, qui sont d’importantes ressources humaines pour le développement d’un pays. L’ambassadeur nippon est convaincu que le riz octroyé aux élèves des deux provinces, contribuera d’une part, à atténuer l’insécurité alimentaire et la malnutrition, et d’autre part, à améliorer l’accès à l’éducation primaire des enfants et le taux de rétention scolaire. <br />
Toutefois, Hiroshi Karube a fait remarquer que la sécurité alimentaire en RDC demeure encore fragile, du fait, d’une part, de la croissance rapide de sa population, et de l’autre, des difficultés de la construction d’un réseau logistique, à cause de l’immensité de son territoire. <br />
Pour sa part, le représentant et directeur pays du PAM en RDC a déclaré que le Japon est un important allié du PAM dans la lutte contre la faim en RDC et dans le monde. D’après Claude Jibidar, le peuple japonais a su maintenir un appui fort à un peuple congolais affligé par des conflits et aux réfugiés. Ce, en dépit des contraintes financières dues aux crises politiques, économiques et sociales dans plusieurs régions du monde. A l’en croire, ce don va contribuer à l’objectif de développement durable 4, relatif à l’éducation. <br />
Pour rappel, le peuple japonais s’est avéré l’un des partenaires les plus engagés avec le PAM dans la lutte contre la faim et l’insécurité alimentaire et nutritionnelle en RDC. En 2017, il a financé l’opération prolongée de secours et redressement du PAM à hauteur de plus de deux millions de dollars. De plus, le Japon a fourni un financement important au service aérien humanitaire des NU, soit plus de 2,5 millions USD pour 2015-2016. Mathy MUSAU

Education Société Coopération RDC/ JAPON : Cantines scolaires : 45.000 élèves bénéficieront de 1.596 tonnes de riz pendant une année

45.000 élèves des provinces du Nord-Kivu et de Tanganyika bénéficieront de 1.596 tonnes de riz pour une année. C’est un don remboursable du ...

JT RTNC : Félix Wazekwa définie autrement l ' amour dans son livre Les petites bonbons de la sagesse (vidéo)

January 12, 2018

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Sur le départ au FC renaissance : Lamine Diara convoité par V.Club et DCMP

January 12, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwurY_rEScfiP5nl21jjc5U9l1RXzP5uoEGdmPNHLUyboZmYn6RDV1AAT9LtD2bHl1VY8IB6duOanRdBbfDCwY262U-YbnTT8SWlgZqm3szSvIlhj5T9_v_xB4N_9RsVo0Z3veRxiBCEs/s1600/Snapshot_2823.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="483" data-original-width="644" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwurY_rEScfiP5nl21jjc5U9l1RXzP5uoEGdmPNHLUyboZmYn6RDV1AAT9LtD2bHl1VY8IB6duOanRdBbfDCwY262U-YbnTT8SWlgZqm3szSvIlhj5T9_v_xB4N_9RsVo0Z3veRxiBCEs/s400/Snapshot_2823.jpg" width="400" /></a>*Selon les dernières informations, l’avant-centre malien serait annoncé dans V. Club alors que DCMP serait aussi intéressé par le joueur. Pour pallier son absence, le club orange solliciterait le retour de Rodrigue Manga Dianzenza dit " Sissoko ".<br />
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Lamine Diara ne prestera pas cette saison dans les rangs du FC Renaissance du Congo. Les deux parties ne se sont plus accordées sur les différends qui les ont opposés depuis le début du championnat. C’est le mardi 9 janvier que le club cher à Pascal Mukuna a annoncé cette nouvelle qui, une fois de plus, a exacerbé la colère des supporters, après le départ, samedi dernier, de deux Brésiliens, anciens joueurs de l’équipe.<br />
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Comment expliquer qu’un joueur présent dans l’effectif depuis le début du championnat n’arrive pas à monter sur le terrain pendant la phase aller et décroche juste quelques jours avant l’ouverture de la phase retour ? Qu’est-ce qui s’est réellement passé entre le comité du club pour que cet athlète buteur puisse être déclaré libre ?Que des questions qui taraudent les esprits des inconditionnels du FC Renaissance. Une fois de plus, ils ont du mal à digérer cette "énorme perte" de cet avant-centre malien sur qui le staff technique comptait pour la saison sportive en cours.<br />
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5.000 DOLLARS DE PERDU<br />
Qu’est-ce qui s’est passé ? On sait que le cachet de l’international malien coûtait 15.000 dollars américains et qu’il avait jusque-là perçu un acompte de 10.000pour une rémunération mensuelle de 1.000 dollars américains. Selon certaines indiscrétions, pendant tout ce-temps, Lamine Diara exigeait la totalité de la somme avant de monter sur le terrain. Les supporters qui n’attendaient voir que l’alignement de ce feu-follet depuis le début du championnat, n’ont jamais vu l’avant-centre parmi les 18 retenus pour un match. Que des promesses des membres du comité qui, à leur tour, expliquaient l’absence de Lamine Diara d’abord par des problèmes sanitaires pour brandir par la suite, des raisons administratives qui, hélas, n’ont pas convaincue certains supporters qui ne comprenaient pas qu’un joueur ayant prsté la saison dernière au club puisse connaître des problèmes administratifs liés à son affiliation pour le prochain championnat. <br />
Ce groupe de supporters doutait alors de la sincérité des dirigeants du club qui, en réalité ont été buté à des difficultés à solder la rémunération totale de 15.000 dollars américains. D’ailleurs aucune voiture n’a été offerte au joueur contrairement aux rumeurs. Ce qui fait qu’aucun accord n’ait été trouvé entre le comité et le club.<br />
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V. CLUB ET DCMP AUX AGUETS<br />
Lamine Diara désormais libre, cela donne des ambitions aux adversaires potentiels du FC Renaissance. V. Club, qui est en passe de libérer son avant-centre Tady Etekiama pour l’Angola, aurait déjà mis le parquet pour s’offrir les services du Malien. Le retour de Jean-Marc Mundele ne décourage en aucun cas le général Amisi qui, depuis la saison morte, comptait solliciter le transfert de Lamine Diara alors qu’il s’apprêtait à quitter Bamako en vue de rejoindre Kinshasa où il tenait à évoluer au sein de Renaissance après une saison 2016-2017 réussie au sein du club orange.<br />
Les Dauphins noirs ne sont pas les seuls à lorgner sur Lamine Diara. Des sources crédibles parlent aussi du DCMP principal « club rival » de Renaissance. L’autorité morale, Aubin Minaku et le président de coordination de DCMP, Hassan n’hésiteront pas de sauter sur l’occasion. En cette matière, le club vert et blanc a déjà donné ses preuves avec le " transfert forcé " du latéral gauche Ngimbi dit " orange " et dernièrement le débauchage de l’entraineur ivoirien François Moghuei.<br />
Il est vrai que DCMP ne manque pas d’avant-centre dans ses rangs. DagoTshibamba, auteur de 6 buts lors des préliminaires de la Ligue nationale de football (Linafoot) ne saurait pas à lui seul amener le club en Coupe de la Confédération africaine à laquelle le club est engagé. Non seulement les Daringmen chercheraient un remplaçant valable. De par ces actes, les sociétaires de l’ex-Imana tiennent à démontrer, une nouvelle fois, la suprématie de leur équipe sur le jeune club du FC Renaissance.<br />
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LE RETOUR DE MANGA ANNONCE<br />
Au vu de la situation telle qu’elle se présente, FC Renaissance du Congo ne dispose plus d’un avant-centre aguerri après le départ du Brésilien Hamilton. La preuve, lors de ces deux dernières rencontres du championnat respectivement contre RCK et Dragons, FC Renaissance a évolué sans attaquant de pointe. Le coach Dauda a été, par le fait, contraint de forcer les ailiers comme le Nigérian Vincent Tshala ou le Congolais Beni Mutambule de combler ce poste ô combien tactique. Tout compte fait, le comité Mukuna chercherait à obtenir le retour de Rodrigue Manga dit " Sissoko ". Ce dernier venait d’être prêté il y a quelques mois, à un club égyptien. <br />
Rachidi MABANDU

Sport Sur le départ au FC renaissance : Lamine Diara convoité par V.Club et DCMP

*Selon les dernières informations, l’avant-centre malien serait annoncé dans V. Club alors que DCMP serait aussi intéressé par le joueur. Po...

Reddy Amisi pour un nouveau mécanisme de protection des oeuvres des artistes congolais

January 12, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjeesqTowo32em9P6n-DMAHaBr0Kuhu-uybGBPiAVCGQucwpvihgyn3mmsv3NT93k6f16qGrTBzuFOMwDIgECy5ckJcXhkecAyg-KSg_KbITJQxMOpW6pMbGEOG2d3fytDVQBqTY8ToYIg/s1600/Snapshot_2822.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="380" data-original-width="649" height="233" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjeesqTowo32em9P6n-DMAHaBr0Kuhu-uybGBPiAVCGQucwpvihgyn3mmsv3NT93k6f16qGrTBzuFOMwDIgECy5ckJcXhkecAyg-KSg_KbITJQxMOpW6pMbGEOG2d3fytDVQBqTY8ToYIg/s400/Snapshot_2822.jpg" width="400" /></a>La Société congolaise des droits d’auteurs (SOCODA), dans sa version actuelle, présente des signes de fatigue, constate Reddy Amisi. Fort de ce diagnostic, l’ancien disciple de feu Papa Wemba n’y va pas avec le dos de la cuillère. Il suggère la mise sur pied d’un nouveau mécanisme de protection des oeuvres d’espri des artistes congolais.<br />
Dernièrement face à la presse dans le cadre d’un programme télévisé de chronique musicale.<br />
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"En RDC, les artistes sont des enfants abandonnés. Rien ne se fait pour nous honorer. Nos oeuvres ne sont pas bien protégées. Conséquence, nous ne pouvons pas vivre de nos créations. C’est ainsi qu’il est évident de rencontrer des artistes qui ont rendu de loyaux services au pays mais dans une précarité extrême", à déclaré le patron de l’orchestre "La Casa do Canto" au cours d’une récente rencontre, avec une brochette de chroniqueurs de la musique.<br />
"Ce qui est plus inquiétant c’est le fait que nous apprenons tous les jours qu’au Grand marché, il y a un Chinois qui pirate toutes nos œuvres. Nous sommes, cependant, curieux de constater avec regret l’indifférence des services compétents quant à ce. Nous ne pouvons pas le traduire en justice jusque-là, etant donné que l’on ne dispose pas encore de toutes les preuves possibles. En entendant, ce sont nos œuvres qui en pâtissent", s’est-il plaint.<br />
Pour celui que les mélomanes kinois appellent affectueusement "Bayilo canto", il est temps que les politiques congolais créent une structure qui aura pour mission de faire payer à tous les consommateurs des œuvres musicales une redevance. Ce qui, explique-t-il permettra en même temps de faire avancer la musique congolaise.<br />
Au nom des artistes congolais, Reddy demande au président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, mettre en œuvre une Commission devant recenser les boites de nuit, les bars, les terrasses, les restaurants, les kiosques, les Nganda, les kuzu, taxis et longs véhicules qui jouent de la musique congolaise sur toute l’étendue du territoire national. Cela dans le but de connaître le nombre exact d’institutions qui utilisent les œuvres des musiciens locaux afin d’instituer une petite taxe qui sera déversée sur un compte des artistes.<br />
Ce chanteur congolais de la deuxième voix justifie le mendicité qui caractérise les artistes de la RDC par cette situation. "Il est temps que nous arrêtions de quémander de l’argent aux autorités et personnalités du pays. Pour ce faire, nous demandons simplement que nos œuvres soient protégées pour que nous vivions de nos produits. Je pense que c’est simplement un problème de volonté politique de la part de nos dirigeants. Curieusement, nous sommes sollicités de temps en temps pour agrémenter les cérémonies officielles", a encore déploré Reddy Amisi dans une émission téléviseur sur la CEBS.<br />
Répondant à la question d’une consœur s’il comptait lui-même faire de la politique comme Youssou Ndour et bien d’autres artistes, ce peintre de la société congolaise avoue n’avoir pas ce genre d’ambition. " Mon rôle consiste à éduquer et divertir la population à travers des chansons que je compose et interprète. Aux politiciens de remplir pleinement leur tâche en mettent en place des programmes pour le développement de tous les secteurs nationaux ", a-t-il déclaré. <br />
Orly-Darel NGIAMBUKULU<br />
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Musique Reddy Amisi pour un nouveau mécanisme de protection des oeuvres des artistes congolais

La Société congolaise des droits d’auteurs (SOCODA), dans sa version actuelle, présente des signes de fatigue, constate Reddy Amisi. Fort de...

Des femmes chinoises offrent des vivres, des médicaments... aux personnes vivant avec handicap

January 12, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYCnWg8HVgFwV6Ub-JaK43d95TEyr9QLs5bLVADHEY-UELUngfbUiqSstvO09se8EoS2Wz3WtnvQyLhBIzGrDGkifmuWY7cWoLYyoZ6vOgm7a6o4kXnzAxvxlhObe5dg2pXIMCRTYHxFk/s1600/Snapshot_2821.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="291" data-original-width="517" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYCnWg8HVgFwV6Ub-JaK43d95TEyr9QLs5bLVADHEY-UELUngfbUiqSstvO09se8EoS2Wz3WtnvQyLhBIzGrDGkifmuWY7cWoLYyoZ6vOgm7a6o4kXnzAxvxlhObe5dg2pXIMCRTYHxFk/s400/Snapshot_2821.jpg" width="400" /></a>L’Association des femmes chinoises au Congo (AFCC) a remis hier des dons aux personnes vivant avec handicap. La cérémonie s’est déroulée ce mercredi 10 janvier dans l’enceinte de la paroisse Sainte Anne, dans la commune de la Gombe.<br />
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La délégation des femmes chinoises a jugé judicieux de soulager tant soit peu, les maux que rencontrent cette catégorie de la population, avec des denrées alimentaires, des matériels de bureau et des médicaments.<br />
Dans son mot de circonstance, la présidente de l’AFCC, Mme Rosine Zhong,a circonscrit le but de cette visite : "À présent, nos activités sont concentrées sur des dons et des gestes de charité aux nécessiteux ; ainsi que sur des échanges culturels entre la Chine et la RDC. Le Congo est votre pays, mais c’est aussi notre deuxième patrie que nous aimons beaucoup".<br />
"Nous n’en sommes pas à notre première collaboration. On espère que cette collaboration va s’améliorer ! Nous sommes de cœur avec vous !", a lâché la présidente de l’AFCC.<br />
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SATISFECIT DES BENEFICIAIRES<br />
Cette visite entre dans le cadre de la vision de l’Association des femmes chinoises au Congo. Ce regroupùent tâche, en fait, de rapprocher les peuples congolais et chinois, consolidant ainsi les liens traditionnels d’amitié et de fraternité qu’entretiennent la République démocratique du Congo et la République populaire de Chine. <br />
En sa qualité d’aumônier des personnes vivant avec handicap au sein de sa paroisse, le curé de Sainte Anne, l’abbé Hubert Katawa, a réceptionné avec joie ce don des mains de la présidente de l’AFCC. Dans cette euphorie, le prélat n’a pas pu calmer ses émotions. Il a salué le geste posé par l’Association des femmes chinoises au Congo et s’est dit "très heureux de collaborer avec ce regroupement. "C’est vraiment l’expression de la vraie fraternité, la fraternité sans frontière", a lâché l’abbé curé.<br />
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CREATION<br />
Créée depuis 2015, l’AFCC travaille pour atteindre plusieurs objectifs, notamment le patriotisme, l’unité, l’autonomie et le développement.Dans sa vision de rapprocher les peuples congolais et chinois, l’AFCC travaille avec des associations congolaises. <br />
"L’initiative n’est pas du gouvernement chinois. Il s’agit plutôt de l’association qui regroupe les deux peuples qui acceptent de vivre ensemble dans un même territoire qu’est la République démocratique du Congo", a précisé Rosine Zhong. <br />
"Pour preuve, la communauté chinoise de la RDC partage les mêmes conditions de vie que le peuple congolais : les Chinois vivent dans des villages, mangent tout ce que les Congolais mangent. Ils aiment les Congolais et veulent partager avec eux tout ce dont ils disposent", commente in membre de la délégation.<br />
Fyfy Solange TANGAMU

Au tour de Kinshasa Société Des femmes chinoises offrent des vivres, des médicaments... aux personnes vivant avec handicap

L’Association des femmes chinoises au Congo (AFCC) a remis hier des dons aux personnes vivant avec handicap. La cérémonie s’est déroulée ce ...

POURSUIVANT L’INSTRUCTION AU FOND DE L’AFFAIRE PROCÈS KAMWINA NSAPU : LE TRIBUNAL MILITAIRE RENVOIE LA CAUSE AU JEUDI 18 JANVIER PROCHAIN

January 12, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEicsnlNmWF8IMB4Nt__TZPJ1QBrBmlAgKo-H8rWeSs8OyZeBQ-SlWvIoSkBPOmCkQKd191LGLLBoI_SRQY35qA1zcc24TVlhyphenhyphencB8UFdB6CYX1B86BUjM54E6jtYPSMOuK5_5XvDe31p1mE/s1600/Snapshot_2820.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="312" data-original-width="518" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEicsnlNmWF8IMB4Nt__TZPJ1QBrBmlAgKo-H8rWeSs8OyZeBQ-SlWvIoSkBPOmCkQKd191LGLLBoI_SRQY35qA1zcc24TVlhyphenhyphencB8UFdB6CYX1B86BUjM54E6jtYPSMOuK5_5XvDe31p1mE/s400/Snapshot_2820.jpg" width="400" /></a>L’instruction au fond dans l’affaire des présumés miliciens Kamwina Nsapu se poursuit. Deux prévenus sont passés à la barre au cours de l’audience d’hier jeudi 11 janvier à la prison militaire de Ndolo. Ils ont catégoriquement rejeté les déclarations recueillies auprès des OPJ et des auditeurs du ministère public lors des auditions sur procès verbaux. Une démarche qui consiste à étouffer la vérité, estime l’Officier du ministère, tout en brandissant les faits.<br />
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Jour pour jour, on en est à la 7ème audience au procès des présumés miliciens du mouvement terroriste Kamwina Nsapu. Les prévenus convoqués à la barre au cours de l’audience d’hier ont multiplié des stratagèmes pour nier les faits pour lesquels ils sont poursuivis. Ils disent ne rien savoir des attaques perpétrées au courant de l’année passée au poste de la Police sur la 11ème rue Limete, à la maison communale de Kalamu, au PGI de Matete, à la prison centrale de Makala et au Grand marché de Kinshasa.<br />
Le premier à comparaître au cours de l’audience d’hier fut le prévenu Kabamba Kaleyi. Une seule des préventions à sa charge n’a été abordée, à savoir la participation à une entreprise terroriste. Après lui avoir rappelé ses chefs d’accusation, le tribunal n’a pas tardé à attaquer des questions permettant de reconstituer les circonstances dans lesquels les faits évoqués ont eu lieu.<br />
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CONTRADICTIONS<br />
Aux questions relatives à la circonstance ayant concouru aux faits pour lesquels il est poursuivi, le prévenu a donné des réponses contradictoires. Il disait tantôt une chose, tantôt son contraire. Niant le contenu des procès verbaux dressés par l’OPJ et par l’auditeur du Ministère public, le prévenu Kabamba a tout de même reconnu sa signature apposée sur ces documents.<br />
Pour leur part, l’Officier du ministère public et les parties civiles se sont beaucoup attardé sur la question de la carte d’électeur, détenue par ledit prévenu portant l’identité d’une autre personne. L’accusé estime que cette carte est la conséquence de l’inattention dont font montre les agents de la CENI lors de son enrôlement dans un centre l’enrôlement situé dans la commune de Selembao.<br />
La partie civile RDC, conduite par le bâtonnier national Me Matadi Wamba, a demandé au greffier du tribunal militaire de garnison Kinshasa Gombe d’acter la contradiction notée dans les réponses données par le prévenu quant à la date de son arrestation, le jour où il à été délogé à Selembao pour la commune de Kinshasa où il a cohabité avec son frère, ainsi qu’à la date de l’obtention de sa carte d’électeur.<br />
Le prévenu Kabangu Kazadi, deuxième à comparaître a, contrairement à son prédécesseur, reconnu certaines informations contenues dans les procès verbaux, brandits par la juridiction militaire.<br />
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CONFRONTATION<br />
Soucieux d’obtenir plus renseignements à son sujet, le tribunal a décidé de le confronter avec deux autres prévenus dont les renseignements contenus dans les procès verbaux se recoupent. Il s’agit de Kapinga Fatou et de Mazarin, secrétaire général adjoint de l’Udps, accusé de l’avoir recruté dans le mouvement terroriste Kamwina Nsapu/aile Kinshasa.<br />
Le ministère public a, quant à lui, demandé aux prévenus d’ouvrir leur cœur, afin de fournir au tribunal toutes les informations nécessaires aux faits mis à leur charge. Il a, inversement, invité les avocats à respecter les règles déontologiques régissant leur profession, ainsi que celles relatives à la procédure judiciaire militaire.<br />
« Avant d’arriver au tribunal, les prévenus ont été interrogés à la Police et au niveau de l’auditorat. C’est donc une instruction qui suit son cours normal. Nous disposons des procès-verbaux antérieurs. Si les prévenus osent dire des choses contraires à ce qu’ils ont déclarés antérieurement, le ministère public et le Tribunal tireront les conséquences. Je crois qu’ils développent des stratégies visant inutilement à bloquer la procédure. Nous sommes confiants, car ces dossiers contiennent des preuves de nature à ce que des peines sévères soient prononcées », a rassuré le bâtonnier Mbere Moba.<br />
Après avoir écouté les uns et les autres, le président du Tribunal militaire de garnison Kinshasa Gombe a décidé de suspendre l’audience en renvoyant la cause au mercredi 18 janvier prochain. Orly-Darel NGIAMBUKULU<br />
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POURSUIVANT L’INSTRUCTION AU FOND DE L’AFFAIRE PROCÈS KAMWINA NSAPU : LE TRIBUNAL MILITAIRE RENVOIE LA CAUSE AU JEUDI 18 JANVIER PROCHAIN

Justice POURSUIVANT L’INSTRUCTION AU FOND DE L’AFFAIRE PROCÈS KAMWINA NSAPU : LE TRIBUNAL MILITAIRE RENVOIE LA CAUSE AU JEUDI 18 JANVIER PROCHAIN

L’instruction au fond dans l’affaire des présumés miliciens Kamwina Nsapu se poursuit. Deux prévenus sont passés à la barre au cours de l’au...

EXCEDES PAR LES DEGATS DES DERNIERES PLUIES DANS LA CAPITALE LES ÉLUS NATIONAUX DE KINSHASA INTERPELLENT LE GOUVERNEMENT CENTRAL POUR DES ACTIONS URGENTES

January 12, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjPX6S-SK71HiTqPSfXi1FarJRpNj_IKEKXkK1k-xLvf0xxveTJaaPE02zvuRr9BYl0I6ulUdoRMHW9AMJ6JTRLDArUkCOvrreY1IRKX46xtAiLjmIRWykOC1EcU-jhraP7eeYx_PvrbBE/s1600/Snapshot_2819.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="291" data-original-width="521" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjPX6S-SK71HiTqPSfXi1FarJRpNj_IKEKXkK1k-xLvf0xxveTJaaPE02zvuRr9BYl0I6ulUdoRMHW9AMJ6JTRLDArUkCOvrreY1IRKX46xtAiLjmIRWykOC1EcU-jhraP7eeYx_PvrbBE/s400/Snapshot_2819.jpg" width="400" /></a>La capitale congolaise fait face depuis le début de cette année aux pluies diluviennes d’une intensité inhabituelle et qui ont causé mort d’hommes. Cette situation n’a pas laissé indifférents les députés nationaux de Kinshasa. Pour éviter que la Capitale ne soit à nouveau endeuillée, ils estiment que le Gouvernement doit prendre des dispositions nécessaires afin de sécuriser la population. Ce qui explique la réunion du caucus des députés nationaux de Kinshasa hier jeudi avec le bureau de la chambre basse du parlement, présidée par Aubin Minaku.<br />
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Il était question pour les élus nationaux de Kinshasa de procéder d’abord à un état des lieux sans complaisance, avant de formuler une série de recommandations au Gouvernement. L’objectif est d’amener l’Exécutif à prendre des mesures qui s’imposent afin de prévenir ce genre de drames. Aussi, les députés élus de Kinshasa, estiment-ils que le Gouvernement central devrait établir un périmètre de sécurité autour des zones à risque identifiées à travers la ville en cette saison pluvieuse. <br />
Le rapporteur du caucus des députés nationaux de Kinshasa a évoqué d’autres mesures à préconiser. Il s’agit entre autres, de la prise des mesures nécessaires pour sanctionner tous les intervenants de l’Etat, qui de près ou de loin, sont responsables des lotissements et des constructions anarchiques, le curage des caniveaux, le dragage des rivières qui contribuent à l’évacuation des eaux et l’accélération de l’assainissement de la ville de Kinshasa. <br />
Pour Patrick Muyaya, cette action est à entreprendre immédiatement étant donné que d’autres averses sont attendues dans la capitale. Cet élu de la Funa n’a pas manqué d’évoquer la prise des mesures urgentes pour éviter que ces eaux de pluies ne puissent contribuer à la propagation de l’épidémie de choléra qui frappe déjà la ville. <br />
Par ailleurs, Patrick Muyaya a précisé que les actions des élus kinois devront inciter le Gouvernement à allouer un budget spécial à l’Office des voiries et drainage afin qu’à partir de ce vendredi 12 janvier que les travaux commencent. Dans cette même optique, les élus de Kinshasa recommandent la mise en œuvre d’une politique de gestion des déchets et l’interdiction de vente des produits en plastique. <br />
En plus, le caucus des députés nationaux de Kinshasa sollicite la mise en œuvre d’une politique structurelle de gestion des villes pour éviter notamment le phénomène d’exode rural. <br />
Pour sa part, le bureau de l’Assemblée nationale a demandé à la Commission permanente chargée de l’aménagement du territoire et infrastructures de faire le suivi de toutes ces recommandations de manière scrupuleuse pour son exécution effective par le gouvernement central. <br />
Pour la petite histoire, la capitale congolaise a connu des pluies torrentielles les 4 et 7 janvier en cours. Ces adverses étaient à la base des écoulements de terrain et inondations qui ont causés des pertes en vies humaines et des dégâts matériels importants. Le bilan provisoire établit par le gouvernement provincial faisait état, sur le plan humain, de 51 morts, en raison de 24 dans la commune de Ngaliema, 9 à Selembao, 7 à Barumbu, 4 à Limete et Mont-Ngafula, 2 à Matete, 1 à Nsele, 1 à Mkala et 1 à Kimbanseke. <br />
Tandis que sur le plan matériel, les dégâts constatés sont à trois niveaux. Il s’agit de l’écroulement des murs, l’éboulement des terres et des érosions. Pour ce faire, 20 communes étaient concernées. Celle de Mont-Ngafula est la plus touchée. <br />
Mathy MUSAU

EXCEDES PAR LES DEGATS DES DERNIERES PLUIES DANS LA CAPITALE LES ÉLUS NATIONAUX DE KINSHASA INTERPELLENT LE GOUVERNEMENT CENTRAL POUR DES ACTIONS URGENTES

Au tour de Kinshasa Société EXCEDES PAR LES DEGATS DES DERNIERES PLUIES DANS LA CAPITALE LES ÉLUS NATIONAUX DE KINSHASA INTERPELLENT LE GOUVERNEMENT CENTRAL POUR DES ACTIONS URGENTES

La capitale congolaise fait face depuis le début de cette année aux pluies diluviennes d’une intensité inhabituelle et qui ont causé mort d’...

REAGISSANT SUR TOP CONGO LAMBERT MENDE EST FORMEL : « JE N’AI DIABOLISÉ PERSONNE »

January 12, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJmwHe4vxYzMSFhvEU9glH5Eh91y6vLSWaLICCBHAlIKWCJesA34NfBry3WjbJBpetmwJ3JMM2XIx9qkAYl256T_5sDXRSsZlnR9uZ8eZInuIEYnsdhbeOXyiUpWc6usguDbOFHhlyYjw/s1600/Snapshot_2818.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="298" data-original-width="524" height="226" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJmwHe4vxYzMSFhvEU9glH5Eh91y6vLSWaLICCBHAlIKWCJesA34NfBry3WjbJBpetmwJ3JMM2XIx9qkAYl256T_5sDXRSsZlnR9uZ8eZInuIEYnsdhbeOXyiUpWc6usguDbOFHhlyYjw/s400/Snapshot_2818.jpg" width="400" /></a><br /><br />« J’ai fait un point de presse. Je n’ai pas eu l’impression d’avoir diabolisé quelqu’un. J’ai remis les choses dans leur juste proportion », réplique le porte-parole du gouvernement aux affirmations de la CENCO.<br /><br />« J’ai protesté contre cette pratique d’insultes d’une personnalité comme (Monsengwo). Si c’est ça diabolisé, je ne sais pas. Tout le monde l’a entendu qualifier les gens de médiocres. Tout le monde l’a entendu appeler les gens à se soulever contre l’autorité établie ».<br />Lambert Mende reste convaincu qu’il n’a fait que « dénoncer cela. Libre à eux d’appeler ça diabolisation ».<br />Le ministre de la communication et des médias nuance, « si quelqu’un diabolise l’archevêque, c’est lui même qui se diabolise en prenant cette cause pour une partie en conflit qui ne regarde que les politiciens ».<br />Top Congo

Politique REAGISSANT SUR TOP CONGO LAMBERT MENDE EST FORMEL : « JE N’AI DIABOLISÉ PERSONNE »

« J’ai fait un point de presse. Je n’ai pas eu l’impression d’avoir diabolisé quelqu’un. J’ai remis les choses dans leur juste proportion »,...

COUR PENALE INTERNATIONALE BEMBA : LA PROCUREURE FATOU BENSOUDA SE BAT POUR 80 ANS DE PRISON !

January 12, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2pk1CEhwpFrQGDBESAqzpecDO9SZKvffIemUQqBQIH87tlfiVDf7qk1_xi4wvVsFkONrcp_pIQ1R8jnQsnfBp1LgusSus1TLBIHJhGcxm7f_YtWc44QRuMhaGm0FbdJLi2nCBav8L4L4/s1600/Snapshot_2792.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="451" data-original-width="673" height="267" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2pk1CEhwpFrQGDBESAqzpecDO9SZKvffIemUQqBQIH87tlfiVDf7qk1_xi4wvVsFkONrcp_pIQ1R8jnQsnfBp1LgusSus1TLBIHJhGcxm7f_YtWc44QRuMhaGm0FbdJLi2nCBav8L4L4/s400/Snapshot_2792.jpg" width="400" /></a>Le procès en appel dans l’affaire Procureur près la CPI contre Jean-Pierre Bemba Gombo suit son bonhomme de chemin. Un double appel en fait. Celui de la défense et celui du Parquet. La Procureure près la CPI avait aussi introduit son appel contre le jugement condamnant Jean-Pierre Bemba Gombo à 18 ans de prison à la Chambre de première instance.<br />
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Lorsqu’il lui a été demandé de donner les motivations de son appel, elle a fait savoir que pour le Parquet, la dizaine d’infractions retenues contre l’accusé sont fondées. Ces faits sont étayés par les preuves que le Parquet a avait donné à la Cour. Or, celle-ci avait rejeté toutes ces préventions pour les requalifier en une seule sur la base de laquelle Jean-Pierre Bemba Gombo était condamné à 18 ans de prison. <br />
L’appel du Parquet, c’est pour que la Cour revalide et retienne la dizaine de préventions mises à charge de l’accusé Bemba. La Procureure Fatou Bensouda espère ainsi atteindre quelque chose comme 80 ans de prison contre le chairman du MLC par le principe de la sommation des peines qui a cours à la CPI. 80 ans, c’est donc la peine que le Parquet va requérir pour son appel. Ça peut faire broncher. Mais, nul doute que la Cour ne suivra pas le Parquet près la CPI. <br />
Quand on sait que le jugement de la Chambre de première instance avait rejeté toutes les autres préventions qui ne sont pas établies pour manque de preuves. On ne voit pas par quel miracle la Procureure près la CPI va trouver ces preuves qu’elle n’avait pu réunir au premier degré. Ce qui fait que la bataille sera plutôt engagée sur l’infraction de viols dans le chef des combattants du MLC déployés en RCA en 2002-2003. <br />
On connait désormais la ligne d’attaque de la défense de Jean-Pierre Bemba Gombo. Ce sera d’établir le rôle du Président centrafricain Ange-Félix Patasse. La stratégie sera de mettre en lumière la confusion pour en tirer profit la confusion tout comme l’amalgame entretenu à dessein au premier degré sur la notion de chef hiérarchique qui est le donneur d’ordre et le chef de la troupe tout court. L’enjeu du procès en appel est à ce niveau. <br />
Au fait la défense aura comme arguments-massue pour valoir faire valoir la responsabilité du Président centrafricain Ange-Félix Patasse, celui-là même qui avait fait venir dans son pays les troupes du MLC de Jean-Pierre Bemba. Pour cela les preuves abondent. Dans cette optique de coresponsabilité avec le Président centrafricain de l’époque pour la seule infraction de viols comme arme de guerre, même s’il fallait admettre que Jean-Pierre Bemba soit condamné, sa peine ne dépasserait pas 10 ans de prison. <br />
Ce qui consommerait sa mise en liberté pure et simple étant donné qu’en cette année 2018, il aura totalisé 10 ans de détention préventive au niveau du Parquet près la CPI. Et même s’il était condamné à 15 ans de prison, il serait aussi aussitôt libéré, sans autre forme de procès. Car, dans ce cas de figure, il sera appliqué une disposition du Statut de Rome, la loi de la CPI qui prévoit que lorsque le condamné a déjà purgé les 2/3 de la peine, il est d’office libéré. C’est le cas de Jean-Pierre Bemba Gombo si le jugement an appel le condamne entre 10 et 15 ans à défaut d’un acquittement pur et simple que cherche à obtenir à tout prix sa défense. KANDOLO M.

Politique COUR PENALE INTERNATIONALE BEMBA : LA PROCUREURE FATOU BENSOUDA SE BAT POUR 80 ANS DE PRISON !

Le procès en appel dans l’affaire Procureur près la CPI contre Jean-Pierre Bemba Gombo suit son bonhomme de chemin. Un double appel en fait....

DANS UNE DECLARATION SIGNEE PAR MGRS UTEMBI ET AMBONGO LA CENCO PREND LA DÉFENSE DE LAURENT MONSENGWO

January 12, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipUzIOF7fzCpZ6PWgq9z0h-r4nN3QyGhACnxYQYZeoLjOthWNVEDtYIftFwoyKudlSDaajh6VnNj3mlNvVZ3fVyY1oCACk_fBjTpoTSdDUdkQb76MZ6MTZ-dMdVnrDMJ0B0Tx57RDw6ck/s1600/Snapshot_2817.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="290" data-original-width="522" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipUzIOF7fzCpZ6PWgq9z0h-r4nN3QyGhACnxYQYZeoLjOthWNVEDtYIftFwoyKudlSDaajh6VnNj3mlNvVZ3fVyY1oCACk_fBjTpoTSdDUdkQb76MZ6MTZ-dMdVnrDMJ0B0Tx57RDw6ck/s400/Snapshot_2817.jpg" width="400" /></a>* L’Episcopat congolais désapprouve « la diabolisation volontairement distillée à l’endroit de Son Eminence le Cardinal, Archevêque de Kinshasa et Membre du Conseil des neuf Cardinaux choisis par le Pape François ».<br />
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La Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) s’insurge contre des acteurs politiques rd congolais qui dénient à l’Eglise catholique la qualité d’intervenir dans la gestion de la respublica. "L’église a le droit de porter un jugement moral même en des matières qui touchent le domaine politique quand les droits fondamentaux de la personne ou le salut des âmes l’exigent", ont signifié les évêques dans un communiqué à dix points, lu devant la presse hier jeudi 11 janvier à Kinshasa. Pour les signataires dudit document, Messeigneurs Marcel Utembi et Fridolin Ambongo, respectivement président et vice-président de la CENCO, la laïcité de l’État congolais ne peut entraver la mission de l’Eglise qui parmi tant d’autres est de veiller au respect des droits de l’homme.<br />
<br />
Dans le même texte, la Conférence Épiscopale Nationale du Congo dénonce ce qu’elle appelle la tentative de déstabilisation dont l’Église Catholique et ses dirigeants seraient victimes. "La CENCO dénonce également toute tentative de division de l’Épiscopat congolais orchestrée à des fins politiciennes. L’Épiscopat congolais ne peut se diviser ni être dédoublé comme des partis politiques. Partageant les joies et les peines de leur peuple, les Évêques membres de la CENCO restent solidaires les uns des autres dans une communion effective et affective", a déclaré l’Abbé Donatien N’shole, Secrétaire Général de la CENCO. <br />
Ce n’est pas tout. La CENCO accuse des autorités congolaises de mener une campagne de diabolisation contre Laurent Cardinal Monsengwo. Elle exige des preuves à ceux qui estiment que l’autorité diocésaine de Kinshasa nourrirait des ambitions politiques et participerait de ce fait à la déstabilisation des institutions du pays. "Depuis lors, l’on assiste à une campagne d’intoxication, de désinformation voire de diffamation orchestrées même par des responsables des Institutions de la République contre l’Eglise catholique et sa hiérarchie. Le peuple congolais en est témoin. C’est inacceptable ! Cette campagne de mépris vise particulièrement l’autorité de son Eminence Laurent Cardinal Monsengwo, considéré à tort comme instigateur des actions visant à déstabiliser les institutions en place et à vouloir s’emparer du pouvoir. Nous exigeons des preuves à ces graves accusations portées contre sa personne", dit la CENCO. <br />
Revenant sur la marche du 31 décembre, appelée par le comité de laïcs catholiques, les évêques soulignent qu’"il est juste urgent que des sanctions exemplaires soient prises à l’encontre de ceux qui ont torturé, blessé et tué" les manifestants ainsi que de ceux qui ont délibérément profané les églises.<br />
On rappelle que la déclaration de l’Episcopat congolais fait suite aux critiques acerbes de certains acteurs politiques contre la sortie médiatique très offensive du Cardinal Laurent Monsengwoe au lendemain de la marche du 31 décembre appelée par le Comité laïc de coordination de l’Eglise catholique. Monsengwo avait appelé au renouvellement de la classe politique. "On ne peut pas ne pas entendre la voix de la sagesse, la voix prophétique. Nous parlerons à temps et à contretemps advienne que pourra mais nous parlerons... Les médiocres doivent dégager...", avait-il déclaré. Ces propos de Monsengwo avaient provoqué une sorte de tollé généralisé. <br />
"Monseigneur Laurent Monsengwo a tenu des propos injurieux à l’endroit des dirigeants du pays ainsi que des forces de l’ordre. A ce sujet, le gouvernement de la République, qui ne peut accepter que de tels propos viennent d’un ministre de Dieu a, pour sa part, par le biais de son porte-parole, salué la bravoure des forces de l’ordre et la maturité du peuple congolais qui ne s’est pas laissé manipuler", avait alors réagi le gouvernement dans le compte rendu du Conseil des ministres du 5 janvier courant.<br />
Le Bureau politique de la Majorité présidentielle n’avait pas non plus digéré ces propos de l’archevêque de Kinshasa, les qualifiant d’"injustes, injurieux et blessants". <br />
Lire, ci-dessous, l’intégralité de la déclaration de la CENCO. Didier KEBONGO<br />
<br />
LA CENCO DENONCE LES ATTAQUES CONTRE L’EGLISE CATHOLIQUE ET SA HIERARCHIE<br />
1. Le 31 décembre 2017, le Comité Laïc de Coordination (CLC), une association reconnue par l’autorité ecclésiale compétente dans l’Archidiocèse de Kinshasa, interpelé par les messages pastoraux de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO), a organisé une marche pacifique et non violente pour réclamer la mise en œuvre effective, intégrale et de bonne foi de l’Accord politique global et inclusif du 31 décembre 2016.<br />
2 Au lendemain de cette marche pacifique, suivie également dans certaines provinces, le Nonce Apostolique a publié un communiqué rappelant à l’opinion publique " le droit de chaque baptisé catholique de se constituer en association et de promouvoir des initiatives qui soient en harmonie avec la mission de l’Eglise. La promotion de la justice sociale et la défense des droits civils et politiques des citoyens font intégralement partie de la Doctrine sociale de l’Eglise ".<br />
La CENCO a également publié un communiqué pour manifester son indignation et condamner la répression violente et sanglante par les forces de l’ordre contre les manifestants, ainsi que pour exprimer sa compassion et sa proximité spirituelle à l’égard des victimes et de leurs proches (cf. Communiqué du 2 janvier 2018).<br />
A son tour, Son Eminence Laurent Cardinal MONSENGWO, dans l’état d’âme d’un père face au mauvais traitement infligé à ses fils et à ses filles dont certains en sont morts, a, avec raison, élevé le ton pour fustiger les auteurs de ces actes insupportables.<br />
3. Depuis lors, l’on assiste à une campagne d’intoxication, de désinformation voire de diffamation orchestrée même par des responsables des Institutions de la République contre l’Eglise catholique et sa hiérarchie. Le Peuple congolais en est témoin. C’est inacceptable ! Cette campagne de mépris vise particulièrement l’autorité de Son Eminence Laurent Cardinal MONSENGWO, considéré à tort comme instigateur des actions visant à déstabiliser les Institutions en place et à vouloir s’emparer du pouvoir. Nous exigeons des preuves à ces graves accusations portées contre sa personne.<br />
4. La CENCO désapprouve la diabolisation volontairement distillée à l’endroit de Son Eminence le Cardinal, Archevêque de Kinshasa et Membre du Conseil des neuf Cardinaux choisis par le Pape François pour le gouvernement de l’Eglise universelle. Elle lui réaffirme son soutien total et sa proximité.<br />
5. Aux prises de positions de la CENCO, certains opposent le principe de laïcité de l’Etat congolais, d’autres prônent la notion de neutralité de l’Eglise. Il convient de retenir que le caractère laïc de l’Etat congolais ne peut pas empêcher l’Eglise catholique d’accomplir sa mission, celle d’annoncer la Bonne Nouvelle du salut, d’être au service de la population congolaise en vue du respect des droits de l’homme et de la dignité humaine indispensables à son bien-être et à son développement intégral.<br />
6. En effet, "l’Eglise qui, de par sa nature, a le droit d’intervenir dans les questions de foi et des mœurs, peut prendre position en matière politique " en vue " d’exercer sa sollicitude et ses responsabilités à l’égard de l’homme qui lui a été confié par le Christ lui-même. Elle a le droit de " porter un jugement moral même en des matières qui touchent le domaine politique quand les droits fondamentaux de la personne ou le salut des âmes l’exigent".<br />
7. La CENCO en appelle au respect des droits aux manifestations pacifiques et à la liberté de culte garantie par la Constitution de la République (cf. Art. 26). Elle exige le respect et la considération dus aux autorités ecclésiastiques, en l’occurrence le Cardinal Archevêque de Kinshasa, le Nonce Apostolique en RD Congo et l’ensemble des Evêques. Il est juste et urgent que des sanctions exemplaires soient prises à l’encontre de ceux qui ont torturé, blessé et tué nos concitoyens ainsi que de ceux qui ont délibérément profané nos églises, lieux saints consacrés à la prière et à la rencontre avec Dieu<br />
8. La CENCO dénonce également toute tentative de division de l’Episcopat congolais orchestrée à des fins politiciennes. L’Episcopat congolais ne peut se diviser ni être dédoublé comme des partis politiques. Partageant les joies et les peines de leur peuple, les Evêques membres de la CENCO restent solidaires les uns des autres dans une communion effective et affective.<br />
9. Nous demandons au Peuple congolais de ne pas se laisser influencer par cette campagne dont les auteurs ignorent superbement sa souffrance. Nous l’invitons à demeurer debout et vigilant, à prendre son destin en mains et à barrer pacifiquement la route à toute tentative de confiscation ou de prise de pouvoir par des voies non démocratiques et anticonstitutionnelles.<br />
10. Que Dieu bénisse la RD Congo et son peuple.<br />
Fait à Kinshasa, le 11 janvier 2018.

Politique DANS UNE DECLARATION SIGNEE PAR MGRS UTEMBI ET AMBONGO LA CENCO PREND LA DÉFENSE DE LAURENT MONSENGWO

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