BA SANGO YA CONGO KINSHASA

APRES L’APPEL DE FATSHI AU SOUTIEN DES PARTENAIRES POUR PROTEGER LA FORET DU CONGO CLIMAT : VIVEMENT UNE UNION SACRÉE POUR DÉFENDRE LES INTÉRÊTS DE LA RDC

September 25, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1MfzNFWInDiV3rOCxqs20xLMIRr6VvZbQ4fZWHtPkqp_N3tfelPUvISlVSYd55vAOFZedlI1M1OXxhqzV_YTCqWOhtM3chaudul-2c0FBmsT_3Y9kNFCy37ZPwUCXxwxXgrYNEBxhsIIu/s1600/arton21917.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="654" data-original-width="870" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1MfzNFWInDiV3rOCxqs20xLMIRr6VvZbQ4fZWHtPkqp_N3tfelPUvISlVSYd55vAOFZedlI1M1OXxhqzV_YTCqWOhtM3chaudul-2c0FBmsT_3Y9kNFCy37ZPwUCXxwxXgrYNEBxhsIIu/s400/arton21917.jpg" width="400" /></a>" Nous exhortons nos partenaires à soutenir effectivement mon Gouvernement dans nos efforts pour la préservation de l'écosystème de la forêt du Congo. Ce soutien devrait se réaliser par des compensations financières sérieuses, des partenariats efficaces et le transfert des technologies afin de permettre à la RD Congo d'œuvrer de manière durable et par une action renforcée pour l'atténuation, l'adaptation et la diminution de gaz à effets de serre à la base du réchauffement climatique de la planète ". Tel est donc l'économie du discours sans équivoque, du président de la RD Congo, Félix Tshisekedi, lundi 23 septembre à la tribune du sommet sur l'Action pour le climat, organisé à New York. 
Devant plusieurs chefs d'Etat et de Gouvernement présents à ces assises, Félix Tshisekedi a par ailleurs, rappelé que la forêt de la RD Congo qui fait partie du Bassin du Congo, s'étend sur une superficie de 154 millions d'hectares et couvre plus de 60% des forêts du Bassin du Congo. Pas seulement. S'appuyant sur les résultats d'une étude récente dans le Bassin du Congo, le chef de l'Etat rd congolais a encore apostrophé que les tourbières dans la forêt de la RD Congo s'étendent sur 145.000Km². Qui plus est, elles stockent environ 30 milliards de tonnes de carbone. Enorme. 
Dans son plaidoyer, le successeur de Joseph Kabila a expliqué que les 30 milliards de tonne de carbone stockés par les forêts congolaises, sont l'équivalent de 3 ans des tropicales les plus étendues d'émissions des combustibles fossiles dans le monde. Ce qui fait des tourbières du Congo le complexe de tourbières de la planète terre. " Si les forêts de la RD Congo partaient en fumée, c'est plus de 52% d'eaux douces d'Afrique qui partiraient avec elles", a encore déclaré Félix Tshisekedi. 
Dans son speech, le premier des Congolais prévient que "la disparition de cet écosystème provoquerait une grave crise écologique et ébranlerait la stabilité du climat dans le monde". Point donc besoin d'être expert en analyse de contenu, pour comprendre que le message de Félix Tshisekedi met en évidence, la place privilégiée qu'occupe la forêt de la RD Congo, dans la riposte au changement climatique. 
Le Président congolais qui s'est ainsi exprimé au nom de tous ses pairs de la sous-région d'Afrique centrale, a démontré que cette partie du Continent couve l'un des plus beaux et plus importants espaces patrimoine universel. A savoir les forêts du très prestigieux Bassin du Congo qui, en termes de proportions, constituent une part non négligeable à la réplique aux grands défis qui représentent à ce jour, une menace réelle à la planète. 
LES PAROLES SEULES NE SUFFISANT PAS… 
L'histoire rappelle que le plus grand défaut des Congolais est celui d'être souvent absents, dans les assemblées où se décide parfois la destinée de leur pays. On se souvient par exemple qu'en 1945, la seconde guerre mondiale a été réglée par le bombardement des villes japonaises de Hiroshima et Nagasaki, grâce à la bombe fabriquée sur base de l'uranium de Chinkolobwe dans l'ex-province du Katanga. Mais tout s'était passé sans la RD Congo, le pays étant à l'époque sous la colonisation belge. Belle excuse. 
Aujourd'hui, il n'y a pas de raison que l'on organise des assemblées internationales sur le réchauffement climatique, sans la RD Congo qui représente justement près de 25% des forêts. Ainsi, que Félix Tshisekedi ait effectué le déplacement pour New York pour plaider la cause de la forêt du Bassin du Congo, personne ne saurait s'en plaindre. Bien au contraire. Les Congolais ont justement de quoi se réjouir et même féliciter leur Président de la République. Ce, dans la mesure où le sommet a planché sur une problématique qui touche directement à l'existence, sinon à la survie même de l'humanité. D'ores et déjà, le sommet sur l'"Action pour le climat" vu sous son angle de mutualisation des efforts dans la réplique au réchauffement de la terre, présente un enjeu vital. 
Lorsqu'on parle du Bassin du Congo, on voit ces importantes réserves forestières qui s'étendent sur le Cameroun, la Centrafrique, le Congo-Brazzaville, le Congo-Kinshasa et la Guinée Equatoriale. Cependant, il s'avère qu'au regard des chiffres en termes de pourcentage, c'est la RD Congo qui a la plus grosse part d'étendue d'espaces verts. Voilà qui explique sa place de deuxième poumon vert de la planète après les forêts amazoniennes. 
Problème. Les paroles seules de Félix Tshisekedi à New York ne suffisent pas. C'est vrai que le discours incisif du Président congolais a le mérité d'être une interpellation faite à la Communauté internationale face à l'enjeu du réchauffement climatique. Au jour d'aujourd'hui, tous les experts s'accordent sur le fait que l'antidote à ce danger commun consiste en la protection, la préservation des forêts du Bassin du Congo. En l'occurrence, celle de la RD Congo, victime d'une déforestation constante depuis plusieurs années. 
Ainsi, après la prestation du Président congolais lundi dernier au siège de la plus grande Organisation planétaire, d'aucuns pensent qu'il faille désormais en assurer le service après-vente. Ici, la responsabilité incombe aux dirigeants du pays cités. Mais aussi à tout ce que la RDC compte de technostructures (société civile, sociétés savantes, confessions religieuses ...) A partir du moment qu'elle a pris conscience- on l'espère-de l'enjeu que représente la forêt de leur pays dans la réponse au réchauffement climatique, l'intelligentsia congolaise se doit d'entreprendre des actions de grand lobbying afin de pousser la Communauté internationale à mobiliser les moyens nécessaires pour sauver le patrimoine commun qu'est la forêt du Bassin du Congo. Grevisse KABREL 
ALLOCUTION DE SON EXCELLENCE MONSIEUR FÉLIX-ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO A LA REUNION SUR L'ALLIANCE POUR LES FORETS TROPICALES New York, 23 septembre 2019 
Messieurs les Présidents de la République Française, de la République de Chili et de la République de Colombie, 
Au seuil de mon propos, Je voudrais vous féliciter pour l'initiative d'organiser cette réunion qui porte sur l'Alliance pour les forêts tropicales, lesquelles jouent un rôle déterminant dans la régulation du climat mondial. Leur importance pour l'écosystème et la vie des hommes est primordiale. 
Mon pays appartient au massif forestier du Bassin du Congo. La forêt de la République Démocratique du Congo s'étend sur une superficie de 154 millions d'hectares et couvre plus de 60% des forêts du Bassin du Congo. Des récentes études ont montré que les tourbières dans la forêt de mon pays s'étendent sur 145.500 km2, et stockent quelque 30 milliards de tonnes de carbone. Cette étendue de carbone est l'équivalent de 3 ans d'émissions de combustibles fossiles dans le monde. 
Ce qui fait des tourbières du Congo le complexe des tourbières tropicales le plus étendu de la planète. Si les forêts de la République Démocratique du Congo partaient en fumée, c'est plus de 52% d'eaux douces d'Afrique qui partiraient avec elles. La disparition de cet écosystème provoquerait une grave crise écologique et déstabiliserait la stabilité du climat dans le monde. 
Messieurs les Présidents, 
Il se fait malheureusement que, pour des besoins essentiels de la vie, la forêt de mon pays est menacée, à l'instar de celles d'Amazonie, ou encore de Bornéo- Mékong. Puis-je vous rappeler qu'environ 1,6 milliards des personnes dans le monde, soit plus de 20% de la population mondiale dépendent des forêts et des services ecosystemiques qu'elles fournissent, notamment, des aliments, des plantes médicinales, du fourrage pour le bétail et du bois pour la construction et l'énergie. A ce sujet, il est important de relever qu'environ 2,8 milliards de personnes utilisent le bois de chauffage pour la cuisson et le chauffage. 
Dans mon pays, pour ne citer que ce cas, environ 90% des ménages dépendent du bois-énergie pour leurs besoins domestiques. 
La menace est donc sérieuse et nous devons absolument réaliser la transition énergétique en accélérant le développement et la promotion des énergies propres et renouvelables. C'est notamment dans ce cadre qu'il faudrait circonscrire les nombreuses initiatives au niveau de mon Gouvernement et au niveau international, parmi lesquelles je citerai, sans être exhaustif : 
Au niveau national : 
- Celles de planter un milliard d'arbres d'ici 2023 à travers le programme dénommé " Jardins scolaires pour 1 milliard d'arbres ", de sensibiliser la jeunesse au respect de l'environnement, et de former des Cadres universitaires pour la gestion responsable de l'environnement. 
- Celles de mettre en place une Charte nationale de l'Environnement et du Développement durable, d'établir une Cartographie forestière, d'évaluer les potentialités en biodiversité du Congo et de protéger les tourbières et les communautés locales, tout en veillant à la bonne gestion des concessions forestières ainsi qu'aux cadastres y relatifs. 
Au niveau international : 
- L'opérationnalisation et la promotion de l'économie verte et l'économie bleue en Afrique Centrale et la mobilisation des efforts de la communauté internationale en vue de contribuer à la capitalisation du Fonds de l'Economie Verte et du Fonds Bleu ; 
- La dynamisation de la mise en oeuvre de l'Initiative " Sommet des Trois Bassins Forestiers ", plateforme politique Sud-Sud de gestion des forêts de l'Amazonie, du bassin du Congo et de Bornéo-Mékong, " ; 
- La mise en oeuvre de la feuille de route pour la promotion des énergies renouvelables de l'Afrique Centrale, ainsi que 26 Projets Intégrateurs Prioritaires, dont Inga 3 pour la République Démocratique du Congo, et 16 projets du Programme d'Electrification Transfrontalière sous la coordination du Pool Energétique de l'Afrique Centrale. 
Dans ce contexte, et considérant les besoins et les préoccupations spécifiques de nos populations qui dépendent en grande partie de ces forêts et des services écosystémiques qu'elles fournissent. 
Nous exhortons nos partenaires à soutenir effectivement mon Gouvernement dans nos efforts pour la préservation de l'écosystème de la forêt du Congo. Ce soutien devrait se réaliser par des compensations financières sérieuses, des partenariats efficaces et le transfert des technologies afin de permettre d'oeuvrer de manière durable et par une action renforcée pour l'atténuation, l'adaptation et la diminution de gaz à effet de serre à la base du réchauffement climatique de la planète. Messieurs les Présidents, Je vous remercie de votre attention.

APRES L’APPEL DE FATSHI AU SOUTIEN DES PARTENAIRES POUR PROTEGER LA FORET DU CONGO CLIMAT : VIVEMENT UNE UNION SACRÉE POUR DÉFENDRE LES INTÉRÊTS DE LA RDC

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PARLEMENT DEBOUT UDPS BOKASA : " FAYULU MOYIBI SANS IDENTITE , FATSHI AZO MEMA CONGO LIKOLO " ( VIDEO )

September 24, 2019

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BASE UDPS ZANDO AVEC MIYAKE : SANCTION EZA CAS PAR CAS, KABUND PESA BA COMBATTANTS MISALA ( VIDEO )

September 24, 2019

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David Ditunga : KABILA NE SERA PLUS JAMAIS PRESIDENT EN RDC . Où est la famille biologique de Martin Fayulu ? ( VIDÉO )

September 24, 2019

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Le cerveau moteur dans l’affaire 15 millions USD, Georges Kettel Yamba séjourne depuis quatre semaines à Dubai

September 24, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjT3Foajws81rKTX-5Yw6yHX1n0voJ-kXcrsrOFiBc8EkzIKVG6eECkW3Nrkz5Jcls0dULutNyf4P0AaW6boKow7hYZ96DUOhWyXriKZyuQg0LkFB3gtQ_czvimV55JEhAGr6ND9D1GgDXZ/s1600/70805487_1716203261847380_5877076069223235584_n.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="720" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjT3Foajws81rKTX-5Yw6yHX1n0voJ-kXcrsrOFiBc8EkzIKVG6eECkW3Nrkz5Jcls0dULutNyf4P0AaW6boKow7hYZ96DUOhWyXriKZyuQg0LkFB3gtQ_czvimV55JEhAGr6ND9D1GgDXZ/s400/70805487_1716203261847380_5877076069223235584_n.jpg" width="400" /></a> 
 
 
 
Selon des sources aéroportuaires de C-NEWS à l’aero Ndjili, le Tout-Puissant conseiller au ministère de l’Economie Georges Kettel Yamba, séjourne depuis quatre semaines à Dubai, aussitôt que le PGR lui avait accordé la liberté provisoire. 
 
Toujours selon nos sources: Georges Kettel Yamba, avait pris un un avion à destination de Dubai. 
 
 
À cet effet: Des organisations des droits humains exigent au PGR la mise en place d’une commission rogatoire devrant lancer un mandat d’arrêt international contre Georges Kettel Yamba, le fait que celui-ci est cité par la presse comme le cerveau monteur dans l’affaire 15 millions USD disparus à la Présidence. 
 
Pour rappel: Georges Kettel Yamba a été porté à la tête de conseiller chargé des produits stratégiques et finances au ministère de l’Economie par l’ancien AG de l’ANR Darwezi. Darwezi qui a exercé sous Kabila comme ministre de l’Economie. 
 
C’est plus d’une décennie que Georges Kettel Yamba chapeaute ce poste très juteux du ministère de l’Economie. 
C’est toujours lui qui a toujours géré depuis de lustres ce deal avec les Pétroliers, d’après de fin limier de C-NEWS au ministère de l’Economie. 
 
Ce poste a permis à Georges Kettel Yamba de se constituer une santé financière. 
 
MTN

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Selon des sources aéroportuaires de C-NEWS à l’aero Ndjili, le Tout-Puissant conseiller au ministère de l’Economie Georges Kettel Yamba,...

YOKA SON : FATSHI AKO DINER NA TRUMP NA MAISON BLANCHE, G Mokia mutu a dévoila état de santé ya MUKEBAYI ( VIDÉO )

September 24, 2019

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Katumbi : "Le sommet de New-York sur le climat est l'occasion d'un sursaut...La RDC est au cœur de cet enjeu, notre avenir à tous le vaut bien!"

September 24, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJaNzDYdFVnPDrX6GPnWz-hceHSz9E_ijQZp4XYwrRElMudVHE4-v1UlA85OU8BD8H1u5bH4-v41XxdMQK-9q2wkWqD_b2Fb3LJZKGNdfzhm-YbdCIZ7aEiAD3miah-uQhyphenhyphenLMNGVb_9Grh/s1600/katumbi_cam_div.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="576" data-original-width="1024" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJaNzDYdFVnPDrX6GPnWz-hceHSz9E_ijQZp4XYwrRElMudVHE4-v1UlA85OU8BD8H1u5bH4-v41XxdMQK-9q2wkWqD_b2Fb3LJZKGNdfzhm-YbdCIZ7aEiAD3miah-uQhyphenhyphenLMNGVb_9Grh/s400/katumbi_cam_div.jpg" width="400" /></a>Le président de la plateforme Ensemble pour le Changement considère que le sommet sur l'environnement qui se tient à New-York aux États-Unis d'Amérique est une opportunité de penser à l'avenir de la planète. 
 
Moïse Katumbi appelle les uns et les autres à changer le mode de vie. 
 
"Le sommet de New-York sur le climat est l'occasion d'un sursaut. Ressaisisons-nous! La menace pour l’avenir de nos enfants est réelle ! Pensons à notre planète, dépassons nos peurs, changeons nos modes de vie", a indiqué Moïse Katumbi ce lundi 23 septembre via Twitter. 
 
L'ancien coordonnateur de la coalition politique LAMUKA estime que la République Démocratique du Congo est au centre de cette problématique. 
 
"La RDC est au cœur de cet enjeu. Notre avenir à tous le vaut bien!", conclut l'ancien gouverneur de l'ex province du Katanga. 
 
3 jours après les manifestations mondiales de la jeunesse pour le climat, environ 60 dirigeants du monde se retrouvent ce lundi à l'ONU, pour le sommet sur "l'urgence climatique" qui doit en principe revigorer l'accord de Paris. 
 
Pour Antonio Guterres, secrétaire général des Nations-Unies, ce sommet est une opportunité pour les dirigeants d'annoncer une révision à la hausse de leurs plans de réduction des émissions de gaz à effet de serre. 
 
Il sied de rappeler que le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui séjourne déjà à New-York, est de la partie et devait également prendre la parole. 
 
Jephté Kitsita

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De petits malins prétendant avoir gagné l’élection présidentielle ont attisé le tribalisme en s’attaquant aux kasaiens.

September 24, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjCN3ciCJKVlufPlLq9PzKRK5U8fMIJckk99cG-XxHsCrDJRCz96IPYNvWm7RcP7ShyphenhyphenDMEBWbs4jtrcDrrHkMLz_G66_FBBaG0sOvZKqTOn_2LN4M84bNiYgfOVqc_7S4AVhu_f2kTs2nfu/s1600/arton21869.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="879" data-original-width="1560" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjCN3ciCJKVlufPlLq9PzKRK5U8fMIJckk99cG-XxHsCrDJRCz96IPYNvWm7RcP7ShyphenhyphenDMEBWbs4jtrcDrrHkMLz_G66_FBBaG0sOvZKqTOn_2LN4M84bNiYgfOVqc_7S4AVhu_f2kTs2nfu/s400/arton21869.jpg" width="400" /></a>Le président de la république a condamné les attitudes tribalistes ayant émaillé le climat post électoral “il faut un changement des mentalités. Il ya le tribalisme. 
 
Il y a certains malins qui ont prétendu avoir gagné l’élection présidentielle et qui ont poussé sur la corde tribale. Et des gens ont été tués parce qu’ils sont des kasaiens comme moi. Je veux un congo uni qui dépasse ces clivages” (Felix Antoine Tshilombo )

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Le président de la république a condamné les attitudes tribalistes ayant émaillé le climat post électoral “il faut un changement des mentali...

Le président du collectif des étudiants congolais du Burundi porté disparu

September 24, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJTiSG3KdAXAs_CPsB3ESS3OV_UUlSojcZYxT76Qj_duioiROCWlweujxt_NlqfrpsBfMCiUYimgC4KqjmOYazoOjk49m0wwecRwdkXkFTi5SZzIzd8eZzzstWVQVQvV5dI6EZRh47uG9h/s1600/ebcccd61-5a24-4150-828b-ad786715382e.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJTiSG3KdAXAs_CPsB3ESS3OV_UUlSojcZYxT76Qj_duioiROCWlweujxt_NlqfrpsBfMCiUYimgC4KqjmOYazoOjk49m0wwecRwdkXkFTi5SZzIzd8eZzzstWVQVQvV5dI6EZRh47uG9h/s400/ebcccd61-5a24-4150-828b-ad786715382e.jpg" width="400" /></a>Quelques jours après les arrestations et expulsions des étudiants congolais vivants à Bujumbura, le collectif des Étudiants Congolais du Burundi CECOB, dénonce la disparition de son président Vital Cirhuzi depuis ce matin du 24 Septembre et alerte sur le cas de psychose que subit son adjoint. 
 
Une conséquence de la grève d'un jour que son comité a décrété le lundi 23 Septembre dans toutes les universités du Burundi, l'avis que partage plus d'une personne. 
 
Ses collègues signalent que contrairement à d'autres qui n'ont que les autorisations spéciales CEPGL, Vital est en ordre avec son passeport et son visa, lui permettant de vivre au Burundi. 
 
"Cette humiliation est insupportable et nous demandons à ce que notre président soit libéré de là où il est le plus tôt que possible" réclament-ils. 
 
Isaac Musharhamina depuis Bukavu

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Quelques jours après les arrestations et expulsions des étudiants congolais vivants à Bujumbura, le collectif des Étudiants Congolais du Bur...

RDC : Félix Tshisekedi favorable au "Fonds mondial" de réparation pour les victimes des violences sexuelles dans les conflits (Mukwege)

September 24, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6p2omH7pIGk6ITdjusyrYDpf7WsFp9XszhwK2km5NFL0pl8_zz5YVZj8ohXklF6DmPB3WhosaFG2v7qj5i-xRcYUE-sVxwsUURvqT4H4jMUN5rExojMaEL-FimUlnfwGeNQoCz4_8-wnn/s1600/1aa00b03-865d-42a6-830c-bbd05d11cd1d.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6p2omH7pIGk6ITdjusyrYDpf7WsFp9XszhwK2km5NFL0pl8_zz5YVZj8ohXklF6DmPB3WhosaFG2v7qj5i-xRcYUE-sVxwsUURvqT4H4jMUN5rExojMaEL-FimUlnfwGeNQoCz4_8-wnn/s400/1aa00b03-865d-42a6-830c-bbd05d11cd1d.jpg" width="400" /></a>Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui séjourne aux États-Unis, a échangé lundi 23 septembre dernier avec le gynécologue Congolais, Denis Mukwege. 
 
Le "Fonds mondial" de réparation pour les victimes des violences sexuelles dans les conflits était le principal sujet au menu de cette rencontre. 
 
Au terme de cet entretien, Denis Mukwege a signifié à la presse que son souhait était de voir la République Démocratique du Congo figurer parmi les premières Nations à soutenir ce Fonds. 
 
"J'en ai parlé au président de la République, pour que la République Démocratique du Congo soit parmi les États qui vont soutenir ce Fonds, qui est déjà soutenu par certains États. Mais pour moi, il est très très important que la République Démocratique du Congo soit parmi les premiers pays à soutenir ce Fonds global qui ne sera pas un Fonds Congolais mais qui va soutenir toutes les victimes à travers le monde", a dit le docteur Mukwege. 
 
Le prix Nobel de la Paix 2018 a affirmé que le chef de l'État s'est montré favorable à l'idée d'apporter son soutien à ce Fonds. 
 
"Il est très favorable par rapport à cette idée et donc nous sommes satisfaits. Je suis citoyen Congolais et à chaque fois que je peux discuter avec le président de la République s'il me donne l'occasion pourquoi pas?", conclut Denis Mukwege. 
 
À travers ce Fonds, Denis Mukwege dit espérer pouvoir étendre le programme d'indemnisation des victimes d'agressions sexuelles à d'autres pays touchés par les conflits notamment la Centrafrique, le Burundi et l'Irak. 
 
Jephté Kitsita

Politique RDC : Félix Tshisekedi favorable au "Fonds mondial" de réparation pour les victimes des violences sexuelles dans les conflits (Mukwege)

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui séjourne aux États-Unis, a échangé lundi 23 septembre dernier avec le gynécolog...

74EME ASSEMBLEE GENERALE DE L’ONU A NEW YORK LE PREMIER DISCOURS DE FATSHI ATTENDU CE JEUDI

September 24, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj7FGyGcv_wRmx4QtxNZ-PWNm_Y3Yzjz7dn5UUerjzGPLGvQB_8r1Tnn7S3ntbvA66zxYbYCegmEsQbmTTvXPe-wPpxFh_25MHo0myzjtB3fzSVNWxC9jsY0kb7nfGnyXKK15k38Ign3kmG/s1600/arton21895.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="642" data-original-width="855" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj7FGyGcv_wRmx4QtxNZ-PWNm_Y3Yzjz7dn5UUerjzGPLGvQB_8r1Tnn7S3ntbvA66zxYbYCegmEsQbmTTvXPe-wPpxFh_25MHo0myzjtB3fzSVNWxC9jsY0kb7nfGnyXKK15k38Ign3kmG/s400/arton21895.jpg" width="400" /></a>* Le réchauffement climatique, la paix, la sécurité, l'intolérance…autant de questions urgentes sur lesquelles le nouveau chef de l'Etat congolais devra se prononcer. 
Le Président Félix Antoine Tshisekedi parlera ce jeudi 26 septembre à la tribune de la 74ème Assemblée générale des Nations Unies, ouverte depuis hier lundi 23 septembre à New York. Le grand oral du chef de l'Etat interviendra à 17 heures, heure de Kinshasa. Le réchauffement climatique, la sécurité, la paix, l'intolérance, les inégalités…sont autant de questions urgentes, parmi tant d'autres, sur lesquels se focalise le débat général de cette réunion. 
Si pour certains Chefs d'Etat, les débats ouverts lundi procèdent d'un classique diplomatique au parfum d'une routine, ce n'est sans doute pas le cas pour Félix Tshisekedi qui, depuis son investiture le 24 janvier dernier, participe pour la toute première fois à une réunion de l'Assemblée générale des Nations Unies. Baptême de feu ? Ça y ressemble. Mais que va dire le Président rd congolais devant ses pairs? Là est donc toute la question. 
Sans anticiper, des analystes estiment d'ores et déjà que Félix Tshisekedi a dévoilé les principaux axes de son discours de jeudi, dans l'interview qu'il accordée le dimanche dernier à TV5 Monde. A savoir la lutte contre la corruption, l'insécurité causée par l'activisme des groupes armés dans certains coins du pays, la dixième épidémie de la Maladie à virus Ebola (MVE). S'ajoutent à cela, des questions de politique interne, la coopération entre la RD Congo et ses partenaires extérieurs, la sempiternelle problématique du départ des troupes de la Mission des Nations Unies pour la stabilité au Congo (MONUSCO). 
Des observateurs pensent qu'après qu'il a abordé toutes ces questions, Félix Tshisekedi ne pourra pas clore son grand oral sans pour autant donner le point de vue de son pays sur le principal thème de 74ème Assemblée générale de la plus grande organisation planétaire. A savoir le réchauffement climatique. Normal, quand on sait que la RD Congo est le deuxième poumon vert, après l'Amazonie. Alors, inutile donc de rappeler l'enjeu qu'elle représente dans la biodiversité ainsi que dans la sauvegarde d'un patrimoine universel. 
BASSIN DU CONGO : UN PATRIMOINE MONDIAL MENACE 
Selon des statistiques disponibles, la forêt constitue 60% du territoire de la RDC. Soit 10% de la surface forestière du monde et représente 90% des besoins énergétiques du pays (10% du PNB, 20% du PIB). Bien plus. Le Bassin du Congo compte 480 espèces de mammifères, 1.090 espèces d'oiseaux, 350 reptiles et 11.000 espèces de plantes. 
Malheureusement. La forêt du Bassin du Congo en RD Congo hissé -non sans raison -au rang de patrimoine mondial, est victime d'une déforestation constante qui présage sa disparition. Ce, à l'indifférence presque manifeste de la même Communauté internationale. Inexplicable ! On rappelle qu'en son temps, l'Ong Greenpeace avait expliqué cette déforestation comme ancrée dans l'histoire coloniale et serait à l'origine de 25% des émissions de gaz à effets de serre au niveau mondial. 
A plus d'une occasion, des associations n'ont de cesse de se mobiliser dans la lutte pour un plus grand respect de l'environnement, espace vital aussi bien pour les populations et que pour un bon nombre d'espèces. Hélas. Sur le terrain, les résultats de ce combat semblent être bien maigres. Sinon, loin des attentes Communes. 
Par ailleurs, des sources renseignent à ce propos que depuis plusieurs années, un lent dépeçage via des permis artisanaux détournés, une exploitation intensive illégale ainsi que des trafics se sont mis en place. Résultat : le Wenge (bois noir et veiné) par exemple, concentre ainsi toutes les envies et se vend très bien dans les pays du Nord. Le pillage prend alors la forme d'une latte de parquet, une table ou tout autre objet permettant à l'industrie de se faire de l'argent sur les ressources d'un pays qui en a pourtant fort besoin. 
"Un mètre cube de Wengé vaut 5 dollars américains dans la forêt lors de l'achat légal auprès des communautés locales", avait confié sous couvert de l'anonymat, un expert interrogé par Greenpeace. Ce denier ajoute qu' " au port où le même mètre cube de Wenge sera acheminé, la taxe s'élèvera à 450 dollars et le prix de vente en Europe se positionnera entre 4 et 8.000 dollars ". Dès lors, on imagine bien le manque à gagner pour l'Etat Congolais et les populations qui en vivent. 
Rappelons que le Bassin du Congo s'étend sur le Cameroun, la Centrafrique, le Congo-Brazzaville, le Congo-Kinshasa et la Guinée Equatoriale. Il a fait l'objet à de nombreuses reprises de sommet sur l'Environnement. En 1999 à Yaoundé, ces pays s'étaient réunis afin d'établir des normes sur la régénération de la forêt victime de déforestation qui causait énormément de dommage à la biodiversité. 
En 2002, un sommet de la Terre avait été organisé à Johannesburg en partenariat avec les Etats-Unis et le France ainsi que des pays membres de la COMIFAC (Commission des Forêt d'Afrique Centrale) afin d'établir une aide financière et une zone de protection (10 à 15% de la forêt) en créant, notamment, des parcs nationaux (11,25% du territoire). En 2005 encore, à Brazzaville, un traité avait mis à jour les mesures entreprises par la COMIFAC. Une taxe sur la faune et les produits forestiers exportés avait même été créé. Mais pour quelle issue? 
DES ENJEUX DIPLOMATIQUES 
Sur le plan politique, la 74ème Assemblée générale des Nations Unies se tient dans un contexte d'alternance au sommet de l'Etat congolais. Un changement de régime concrétisé par la passation civilisée de pouvoir entre un Président élu sortant, Joseph Kabila et un autre Chef de l'Etat Félix Tshisekedi, élu au terme de l'élection présidentielle organisée le 30 décembre 2018. 
Partant, des analystes avertis estiment que la grand'messe de New York représente de grands enjeux diplomatiques pour Félix Tshisekedi qui devra bien jouer sa carte. Car, la puissance d'un Etat est aussi fonction de sa politique étrangère. Pour la première fois au sommet de l'Etat, le Président congolais a donc le devoir légitime de nouer des relations diplomatiques avec les grandes puissances de la terre, sur fond du principe sacrosaint de respect mutuel de la souveraineté. 
En ce qui concerne la sécurité interne, la 74ème Assemblée nationale de l'Onu sera sans doute, l'occasion pour Félix Tshisekedi, de solliciter l'appui de la communauté internationale, dans la traque et l'anéantissement des groupes armés qui, depuis plusieurs années, sèment terreur et désolation dans certains coins du pays. En l'occurrence le mouvement terroriste ougandais ADF-NALU et la nébuleuse FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda), présents sur le sol congolais depuis plusieurs décennies. 
En ce qui concerne la problématique du départ des troupes onusiennes de la RD Congo, par exemple, l'opinion tant nationale qu'internationale comprend depuis le dimanche dernier, la position de Félix Tshisekedi. Pour le président congolais, les casques bleus de la Monusco doivent encore rester pour quelques temps dans le pays, compte tenu du déficit que ce dernier accuse sur le plan logistique. 
A plus d'un égard, le sommet de New York constitue une étape déterminante dans la coopération politique internationale et incite, sans doute, de vastes mouvements de soutien au cœur de l'économie réelle. Selon des sources, il s'est tenu au premier jour du débat hier lundi, une réunion de haut niveau sur la couverture sanitaire universelle. Un accent particulier a été mis sur le Sommet Action Climat, organisé par le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres. 
60 CHEFS D'ETAT SEULEMENT SUR LES 136 
A en croire des sources sur place à New York, sur les 136 chefs d'État présents à New York, seulement 60 ont répondu favorablement à la nouvelle réunion d'hiersur le climat. Parmi les grands absents, le Président américain Donal Trump. " C'est pour ça qu'il a convoqué cette réunion notamment sous pression citoyenne. Le secrétaire général de l'ONU attend un vrai geste. Après l'Accord de Paris en 2015, on était tous les gagnants du loto ",propos que des médias attribuent au Premier Yankee américain. 
Problème : l'Accord de Paris n'est pas contraignant. Les émissions mondiales de gaz à effet de serre sont reparties à la hausse ces dernières années, augmentant de 1,6 % en 2017 et 2,7% en 2018. En France, elle est4,5% plus élevée que nos objectifs fixés. António Gutteres veut des actes concrets, notamment une neutralité carbone en 2050. Il pense ensuite que cela pourra faire boule de neige. 
De l'avis de certains analystes, on sentait déjà la difficulté de mobiliser. Beaucoup de diplomates n'ont pas voulu se rendre à cette réunion tout simplement parce qu'ils n'ont pas envie de se faire souffler dans les bronches. Car, pour l'instant, la lutte contre le réchauffement climatique n'est pas un grand succès. Toutefois, le secrétaire général de l'ONU veut de nouveaux engagements alors que les précédents n'ont pas été respectés. Grevisse KABREL

Politique 74EME ASSEMBLEE GENERALE DE L’ONU A NEW YORK LE PREMIER DISCOURS DE FATSHI ATTENDU CE JEUDI

* Le réchauffement climatique, la paix, la sécurité, l'intolérance…autant de questions urgentes sur lesquelles le nouveau chef de l'...

GENTINY NGOBILA : "NOUS NE POUVONS PAS CONTINUER À VIVRE DANS LA CRASSE"

September 24, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEisG121FBzsr08vlHLNanAcPBkN-BUFiiYHkqxhAXMPWyWi1PP2kVctgSebppV5hyphenhyphenyBYYPdODPEdrQbaqF3jsYw2ILDyEBLWr-xw9EHrcDdEZCOlaK73G8Lnk334LOxEfK6Gsaadj_KweqT/s1600/arton21897.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="439" data-original-width="661" height="265" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEisG121FBzsr08vlHLNanAcPBkN-BUFiiYHkqxhAXMPWyWi1PP2kVctgSebppV5hyphenhyphenyBYYPdODPEdrQbaqF3jsYw2ILDyEBLWr-xw9EHrcDdEZCOlaK73G8Lnk334LOxEfK6Gsaadj_KweqT/s400/arton21897.jpg" width="400" /></a>* Dans une demarche hollistique, le Gouverneur de la ville de Kinshasa bat le rappel des troupes pour la réussite de l'opération "Kinshasa Bopeto" dont le coup d'envoi sera donné ce samedi 28 septembre. 
Le samedi 28 septembre 2019 sera une grande date dans les annales de la ville de Kinshasa. C'est, en effet, ce jour que le Gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka procédera au lancement officiel de son programme dénommé opération " Kinshasa Bopeto " sur toute l'étendue de la ville province de Kinshasa. Tout est fin prêt, apprend-on, pour que ce grand événement soit à la hauteur de ce qu'il représente aux yeux des Kinoises et Kinois. La commune de Bandalungwa accueillera le go de ce grand événement. 
Il n'est un secret pour personne que Kinshasa est aujourd'hui sale, très sale. Si bien que tout le monde le constate et en parle constamment. 
Depuis son avènement à la tête de l'Hôtel de ville de Kinshasa le 10 avril dernier, le défi majeur du Gouverneur Gentiny Ngobila est, n'en point douter, de rendre à nouveau Kinshasa propre, très propre. C'est-à-dire lui faire porter à nouveau sa robe d'antan qui lui avait valu, à l'époque, le sobriquet, ô combien flatteur, de ''Kin - la- belle'' ! 
Et pour relever ce défi, le Gouverneur Ngobila tient à prendre le taureau par les cornes en mobilisant tout ce que Kinshasa compte comme ressources humaines, hommes et femmes, travailleurs et chômeurs, à même de l'aider à traduire en actes ce qu'il dispose comme programme.. 
IMPLICATION DE TOUT LE MONDE 
La dégradation de la voirie urbaine affecte tous ceux qui ont choisi Kinshasa comme leur lieu de résidence, sans distinction de race, de religion, de parti politique, de province,... 
Le travail appelle par conséquent l'implication de tout le monde pour relever ce gros défi. Plus qu'un challenge pour le gouverneur Ngobila seul, l'assainissement de la capitale de la République démocratique du Congo se pose à nous comme une espèce de cause nationale, donc comme une affaire commune. 
La mobilisation attendue devra donc être à la hauteur de cet enjeu de salubrité publique tant souhaitée, de longue date, par des millions de Kinoises et Kinois qui ne jurent que par l'envie de vivre dans un environnement sain, propre. 
Depuis que Gentiny Ngobila a lancé cette idée, il ne cesse de multiplier des rencontres avec des leaders d'opinion. C'est le cas de la presse dont il a rencontré, hier, lundi 23 septembre à l'Hôtel de ville un certain nombre de responsables d'organes. 
Au cours de leurs échanges, Gentiny Ngobila Mbaka a d'abord partagé avec les patrons de presse sa vision pour Kinshasa, avant de peindre un tableau sombre de la ville sur le plan de la salubrité. 
SITUATION D'INSALUBRITE DRAMATIQUE 
" Je vous reçois pour un point très important. Il s'agit du lancement officiel de l'opération " Kinshasa Bopeto " qui aura lieu le samedi prochain. Je vous rappelle que notre ville a été conçue pour accueillir une population ne dépassant pas 1 million d'habitants. Aujourd'hui, nous sommes plus de 15 millions d'habitants. A l'horizon 2030, nous aurons 30 millions d'habitants. Cependant, les infrastructures construites n'ont pas été améliorées ou modernisées ", a-t-il indiqué. 
Pour Gentiny Ngobila, la situation d'insalubrité de la capitale de la RDC est dramatique et qu'il est temps que les choses changent, estimant qu'on ne peut pas continuer à vivre dans la crasse comme des animaux. "Nous assistons à une situation dramatique. La ville est trop sale ", a-t-il expliqué. D'où le concept ''Kinshasa Bopeto'' qui, selon lui, demeure une philosophie devant conduire les Kinoises et Kinois au changement des mentalités. "Nous ne pouvons pas continuer à vivre dans la crasse alors que nos voisins excellent dans la salubrité", a-t-il décrié. 
Il a ainsi invité ses interlocuteurs à s'impliquer dans la sensibilisation, via leurs supports médiatiques respectifs, de la population kinoise en prélude au lancement officiel de ''Kinshasa Bopeto'' qui intervient samedi 28 septembre dans la commune de Bandalungwa. 
LE DERNIER SAMEDI DE CHAQUE MOIS 
Le gouverneur de la ville a annoncé le lancement d'un concours le même jour pour primer le quartier le plus propre de cette commune. 
En réponse aux préoccupations des patrons de presse, le Gouverneur Ngobila a expliqué que les déchets ramassés au cours de cette opération seraient déversés au centre d'enfouissement, en attendant l'arrivée des partenaires qui devront implanter l'usine de recyclage des déchets. 
Gentiny Ngobila a estimé que les dettes contractées dans des banques par la ville de Kinshasa ne pouvaient pas l'empêcher d'user de moyens du bord pour lancer ce vaste programme qui, selon lui, a conquis le cœur de plusieurs autres hommes d'affaires qui ont manifesté la volonté de l'accompagner. Selon l'initiateur de ''Kinshasa Bopeto'', il est prévu que ''le dernier samedi de chaque mois, la population prenne à bras-le-corps les travaux d'intérêt public''. ''Ensemble, nous devons vaincre le défis de l'insalubrité", a-t-il décrété. Kléber Kungu/CP.

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Composition du gouvernement: « je suis très conscient du malaise au sein de l’Udps », déclare Peter Kazadi

September 24, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_nB5FVL46Igv2QT7jYxrKXj6xsxeUGkMUfDQH53KYtf4iARUjYijTTVziOtEqu21sHXoRl4TeEnsypkDj1YPZEgzFbJ1NAei3w1gdr-Du9iaWHDcl8wxVqoSuG0akSL7Zkeyf3OcbUNOG/s1600/Peter-Kazadi.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="985" data-original-width="1318" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_nB5FVL46Igv2QT7jYxrKXj6xsxeUGkMUfDQH53KYtf4iARUjYijTTVziOtEqu21sHXoRl4TeEnsypkDj1YPZEgzFbJ1NAei3w1gdr-Du9iaWHDcl8wxVqoSuG0akSL7Zkeyf3OcbUNOG/s400/Peter-Kazadi.jpg" width="400" /></a> 
Le député de Peter Kazadi, un des proches du Président Félix Tshisekedi, se dit bien conscient du mal qui règne au sein de leur parti, Udps. Près d’un mois depuis la composition du gouvernement, quelques voix de mécontentement au sein de cet ancien parti de l’opposition est bien perceptible. 
 
« Notre combat n’a pas été de nous servir d’abord. Il y a beaucoup de postes. Ce qu’il faut ici c’est d’accompagner le Chef de l’Etat. C’est de cette manière que chacun de nous peut se retrouver », a-t-il dit au cours d’une interview animée par JM Kasamba diffusé sur Télé 50. 
 
Peter Kazadi donne parfaitement raison aux propos tenus par Félix Tshisekedi sur Tv5 Monde concernant le code minier. « Le code minier a été voté pendant que nous étions à l’opposition. Félix Tshisekedi a applaudi de deux mains l’adoption de code minier. Il y a des points que nous étions totalement d’accord. Je vois très mal qu’un congolais puisse venir remettre en cause ». 
4pouvoir

Politique Composition du gouvernement: « je suis très conscient du malaise au sein de l’Udps », déclare Peter Kazadi

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Depuis New-York, Félix Tshisekedi promet d’honorer et de décorer Denis Mukwege à Kinshasa

September 24, 2019

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4E_GgT0TyuuOztJZb8wiUQGSb3Dg-HqllZWdWtaiZeb_MLfzNi1mbGkoT_t_mr0T3Q1_3x-blpZNAoyeD1jC7ue-nESI3FeGDPMjriEUBkH3huSTq4D2M6suVt_pPNTnWMUK7HYYEJDj4/s1600/mukkk.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="450" data-original-width="690" height="260" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4E_GgT0TyuuOztJZb8wiUQGSb3Dg-HqllZWdWtaiZeb_MLfzNi1mbGkoT_t_mr0T3Q1_3x-blpZNAoyeD1jC7ue-nESI3FeGDPMjriEUBkH3huSTq4D2M6suVt_pPNTnWMUK7HYYEJDj4/s400/mukkk.jpeg" width="400" /></a>Le Chef de l’Etat a eu un entretien ce lundi avec le prix Nobel de la Paix, Denis Mukwege à New-YorK. Les deux personnalités se sont penchées sur plusieurs questions notamment sur le Fonds Mondial des survivantes de violences sexuelles en temps de guerre originaires du monde. Ce fonds sera lancé dès ce 30 octobre. 
 
Le gynécologue congolais s’est profondément réjoui de ce moment passé avec le Chef de l’Etat. « Il y a plusieurs semaines, le Président a émis le souhait de me rencontrer et nous venons d’avoir une bonne discussion sur le sujet. J’ai été accueilli avec beaucoup de chaleur», a-t-il dit. 
 
En sus, Docteur Mukwege rassure sa présence à New-York que c’est avant tout pour sensibiliser les pays sur la question des réparations. 
 
Pour sa part, le chef de l’Etat par le biais de Luc Gérard Nyafe, son ambassadeur itinérant, a déclaré ce qui suit : « nous allons honorer et décorer le Docteur Mukwege à Kinshasa pour son travail et son Prix Nobel. Nous sommes fiers de ce qu’il accompli ». 
 
Le Chef de l’Etat séjourne depuis dimanche à New-York pour participer à la 74 sessions de l’ONU. Ce vendredi, Félix Tshisekedi participera également une Conférence Internationale sur la Paix et les Investissements en République Démocratique du Congo et dans la région des Grands. 
 
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