BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Vive tension hier à Kananga

December 19, 2014

<h3>
Kasaï Occidental<br />Une motion de censure initiée par Omer Mijimbu contre le Gouverneur Alex Kande serait la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.</h3>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEcS5ySPUoYUE5V8GEnL0wPwgrkKEsK5BfkftWjVwgBYR_a83qi6Vh2OP9qN7vMb8U-ZX1SpIg10GSHH88bbE2fj7cyWZH-AZRkgvGqmqkcEfcsTLwB9dfQELh1CDPa2d-CMdrp-H5OEM/s1600/Snapshot_693.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="242" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEcS5ySPUoYUE5V8GEnL0wPwgrkKEsK5BfkftWjVwgBYR_a83qi6Vh2OP9qN7vMb8U-ZX1SpIg10GSHH88bbE2fj7cyWZH-AZRkgvGqmqkcEfcsTLwB9dfQELh1CDPa2d-CMdrp-H5OEM/s1600/Snapshot_693.jpeg" width="320" /></a></div>
Une très vive tension a régné hier jeudi 18 décembre 2014 à Kananga, chef-lieu de la province du Kasaï Occidental, où des milliers de femmes ont improvisé une marche, pour protester contre la motion de censure qui menacerait le gouverneur Alex Kande.<br />
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Cette tension était très perceptible dans la ville de Kananga où un groupe de journalistes et un membre de la société civile ont été convoqués à l’Anr, à en croire une source digne de foi.<br />
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La motion de censure contre le gouverneur Alex Kande aurait été initiée par Omer Mijimbu, président de l’Assemblée provinciale. Ce qui a fait déborder le vase, indique une source basée à Kananga.<br />
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Le président de l’Assemblée provinciale du Kasaï occidental, Omer Mijimbu, a tenu une réunion hier jeudi avec des députés provinciaux mecontents du fait qu’ils ne soient pas entrés au gouvernement provincial.<br />
<br />
La copie de cette motion aurait déjà recueilli 35 signatures, indiquent nos sources. En réaction, la population était prête à lancer un assaut sur le siège de l’assemblée provinciale.<br />
<br />
Cette tension intervient au moment où le gouverneur Alex Kande séjourne à Kinshasa où il était venu assister au discours du Chef de l’Etat devant le Congrès.<br />
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Le président du parlement provincial, Omer Mijimbu, aurait réuni 29 députés provinciaux en sa résidence pour signer la motion contre Kande.<br />
<br />
Face à cette situation de crise, des jeunes de Nganza se sont rassemblés devant la résidence de Mijimbu, pour protester contre ses manœuvres qui, selon eux, visent à retarder les chantiers de développement de la province du Kasaï Occidental entrepris par le gouverneur Kande Mupompa depuis son arrivée à la tête de cette province.<br />
<br />
Par Godé Kalonji Mukendi<br />
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Le direct<br />
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la Nation Vive tension hier à Kananga

Kasaï Occidental Une motion de censure initiée par Omer Mijimbu contre le Gouverneur Alex Kande serait la goutte d’eau qui a fait déborder ...

Kinshasa tente un glissement au delà de 2016!

December 19, 2014

<h3>
Se targuant d’une souveraineté chatouilleuse<br />
Quelles pourraient être les conséquences d’une épreuve de force engagée entre Kinshasa et la nébuleuse communauté internationale, dont les tireurs de ficelles sont les Occidentaux maîtres du monde? Au pis aller, laquelle des deux parties pourrait en faire les frais? Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse.</h3>
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<div>
Il serait très périlleux d’oser se mesurer à ces puissances du monde. Ce ne serait pas en tout cas un combat à armes égales, mais la lutte du pot de terre contre le pot de fer. Qui s’y frotte s’y pique. Toutes ces questions liminaires ne sont pas posées fortuitement.</div>
<br />
Elles procèdent de la teneur et du ton du discours solennel du Président Joseph Kabila sur l’état de la Nation, prononcé le lundi 15 décembre devant le congrès, et coïncidant avec la clôture de la session parlementaire. Ce discours a fait grand bruit dans l’opinion nationale autant qu’à l’extérieur.<br />
<br />
Sans mâcher ses mots, avec une assurance et un flegme stupéfiants pour les auditeurs présents dans la salle ou les téléspectateurs scotchés devait la télé au salon et au bureau, le chef de l’Etat congolais s’est avisé de dire ses quatre vérités à la communauté internationale, dont des plénipotentiaires s’auto-invitent dans les affaire la politique interne de la RDC.<br />
<br />
Tout au moins en les laissant libres d’émettre leurs avis, conseils et suggestions, il a souligné qu’il n’avait pas d’injonctions à recevoir de leur part, son pays étant indépendant et souverain.<br />
<br />
Il est sous-entendu qu’il s’agit de la pression incessamment exercée sur lui par Washington, Paris, New York et Bruxelles (Union Européenne) pour l’empêcher de réviser la Constitution, pour ne pas se représenter à l’expiration de son mandat en cours, pour respecter l’échéance électorale de 2016.<br />
<br />
Se targuant d’une souveraineté chatouilleuse, l’establishment de Kinshasa tente astucieusement un glissement au delà de 2016, à en croire le chef de l’Etat qui fait fond sur Malu-Malu de la CENI contesté et sur l’ONIP (office national de l’identification de la population) de fraiche création, tout aussi décrié et jugé superfétatoire.<br />
<br />
Tardant encore à être opérationnel et ses animateurs se montrant peu pressés, l’ONIP est perçu par les observateurs politiques et diplomatiques comme une astuce devant servir à la production automatique d’un glissement au delà de 2016. Les opérations de dénombrement de la population par l’ONIP peuvent durer trois à quatre ans (3 à 4) pour un pays aussi_vaste_et_dépourvu de moyens de communication appropriés.<br />
<br />
Flou artistique<br />
<br />
L’établissement du calendrier électoral global exigé par la communauté internationale et la classe politique ainsi que la société civile, dépendra naturellement des résultats des opérations de l’ONIP.<br />
<br />
Le gouvernement, le chef de l’Etat, l’Assemblée nationale, la CENI et l’ONIP sont tous de mèche et s’entendent comme larrons en foire autour de cette cabale de glissement de l’échéance au delà de 2016.<br />
<br />
Et la communauté internationale s’est entendue dire: bas les pattes! Le discours du lundi 15 décembre a été délibérément teinté d’un flou artistique bien dosé. On n’a pas entendu Joseph Kabila dévoiler clairement sa positon sur la révision ou non de la Constitution, sur sa représentation ou non à l’issue du mandat en cours, sur la fortune exacte de l’échéance de 2016.<br />
<br />
Il s’est soigneusement cantonné dans la langue de bois. Au lieu d’être apaisés et rassurés, les esprits sont restés tenaillés encore! Néanmoins, il faut déduire de ce flou artistique pour percer ce qu’il doit y avoir réellement dans les hautes sphères officielles.<br />
<br />
L’embrouillamini est sciemment conçu et systématiquement organisé pour déboucher sur le cas de force majeure en décembre 2016, d’où la remise du compteur à zéro serait mise à profit pour le maintien de Joseph Kabila tant qu’un nouveau Président de la République ne serait pas élu.<br />
<br />
Les dirigeants à Kinshasa sont eux-mêmes parfaitement conscients que la tenue des élections présidentielle et législatives en 2016 est une gageure. Ils ont inexcusablement failli à leur devoir pour préparer convenablement l’organisation des élections. Ils se réveillent en sursaut trop tard et se voient dépassés par les événements.<br />
<br />
Les princes de la terre à qui nos dirigeants congolais refusent de leur donner des injonctions ne sont pas des intrus. Ils se considèrent comme de vrais propriétaires des arcanes alchimiques du score électoral de 2006 et de celui de 2011 en RDC. Ils savent qu’ils tiennent dans leur main les fils de la situation en RDC.<br />
<br />
Rien ne leur échappe. Tous les autocrates africains  » présidents à vie  » sont des filleuls de leurs officines qu’ils ont catapultés au pouvoir à titre d’intendants soumis et serviles des intérêts impérialistes dans leurs propres pays.<br />
<br />
C’est pour cela qu’ils ne sont pas du tout gênés de les sermonner, de les rappeler à l’ordre, de leur donner des injonctions s’ils les voient commencer à devenir têtus, insubordonnés, incontrôlés, soucieux de s’éterniser au pouvoir et hostiles à l’alternance démocratique, violer les droits de l’homme; persécuter les opposants, réprimer la population etc.<br />
<br />
La réplique dé Kobler<br />
<br />
Ces  » présidents à vie  » en Afrique n’ignorent pas qu’ils sont arrivés au pouvoir avec le concours discret des Occidentaux comme leurs parrains, moyennant des élections de la vérité des urnes. Nul ne peut leur tenir tête -S’ils scellent son sort.<br />
<br />
En RDC, nous avons encore souvenance des conditions de suspicion et sous un climat lourd de tension et de morosité quand Malu Malu avait publié le score de la présidentielle de 2006,  » et Ngoy Mulunda celui de la présidentielle de 2011.<br />
<br />
Nous n’ignorons pas le rôle joué par le Belge Louis Michel et l’Italien Aldo Adjello, en 2006. Il nous souvient toujours de la besogne abattue par des experts de l’Union européenne et de l’ONU discrètement en 2011.<br />
<br />
Se prévalant d’une souveraineté ombrageuse, le Président Joseph Kabila a demandé d’envisager la réduction des Casques bleus de la Monusco et leur départ progressif de la RDC. A peine le message balancé par Kinshasa, la réaction de l’ONU n’a pas été lente à venir par le truchement de Martin Kobler.<br />
<br />
Le représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU en RDC et patron de la Monusco a déclaré mercredi dernier au cours du point de presse hebdomadaire habituel que la question des Casques bleus de la Monusco relevait de la compétence du Conseil de sécurité et on ne devrait pas les réduire ou les évacuer et laisser un pays aussi fragile que la RDC.<br />
<br />
Il a tenu ces propos visiblement sur un ton très sec, sans complaisance, sans prendre des gants, loin de s’embarrasser le moins du monde d’une sacro-sainte souveraineté mise en avant par le Président Joseph Kabila. La réplique prompte et dure de Martin Kobler montre que les dirigeants africains et leurs pays, anciennes possessions coloniales, sont toujours à la merci des puissances occidentales qui ont le droit de regard sur eux.<br />
<br />
Les Casques bleus de la Monusco sont en RDC et y demeureront aussi longtemps que le Conseil de sécurité n’en aura pas décidé autrement. Le moment est très mal choisi, pour Kinshasa, de s’estimer capable de croiser le fer avec la Communauté internationale.<br />
<br />
On est en panne de la cohésion nationale; l’autorité de l’Etat est mise à mal au Kivu et au Katanga par des groupes rebelles ; le climat politique et social de plus en plus néfaste; des remous de grogne par-ci par par-là, même au sein de la plateforme au pouvoir; refroidissement des rapports entre la RDC et ses partenaires occidentaux et certains de ses voisins africains; l’équation de l’échéance de 2016 que le discours du lundi 15 décembre devant le congrès a compliquée davantage etc.. L’establishment est pratiquement sur le fil du rasoir.<br />
<br />
<h3>
Par Jean N’Saka wa N’Saka/Journaliste indépendant)</h3>
<br />
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Le direct<br />
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Politique Kinshasa tente un glissement au delà de 2016!

Se targuant d’une souveraineté chatouilleuse Quelles pourraient être les conséquences d’une épreuve de force engagée entre Kinshasa et la ...

Le message de Kobler est à prendre au sérieux !

December 19, 2014

<h3>Conditionnalité à l’appui financier de la communauté internationale aux élections en RDC Ce n’est pas pour rien que le Représentant spécial du SG de l’ONU exige des garanties sérieuses pour la tenue des élections conformes au standard international à lumière d’un calendrier électoral global réaliste et ne dépassant pas l’échéance 2016.</h3><div><br />
</div><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiq7k7ou6XWP9esLczpG-Fd-YtI9Z7u5GMz_sjGChZH08U4INW0N8jj37gAmhGD4fJTI-Yg0hJZ3JT_2hp6SL1UBLZFlNeHRu3GpyNYt_mQNNrWlQu7Rxt-4ibYDGV5cd8ErWjPOPRoJ-o/s1600/Snapshot_691.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="268" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiq7k7ou6XWP9esLczpG-Fd-YtI9Z7u5GMz_sjGChZH08U4INW0N8jj37gAmhGD4fJTI-Yg0hJZ3JT_2hp6SL1UBLZFlNeHRu3GpyNYt_mQNNrWlQu7Rxt-4ibYDGV5cd8ErWjPOPRoJ-o/s1600/Snapshot_691.jpeg" width="400" /></a></div><div>La tempête suscitée inutilement par le discours prononcé lundi dernier au Palais du peuple par Joseph Kabila lorsqu’il a parlé de l’imperméabilité de son régime aux prétendues injonctions de l’étranger s’est apaisée pour donner l’occasion à une  » bouche autorisée  » de répliquer autrement au nom de la communauté internationale !</div><br />
En fait de  » bouche autorisée « , il s’agit plus exactement de M. Martin Kobler, le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en RDC et Chef de la Monusco (Mission d’observation de l’Onu au Congo/Démocratique).<br />
<br />
Evitant de verser dans une polémique indigne du rôle vital que la communauté internationale continue de jouer en RDC en privilégiant l’essentiel, Martin Köbler a profité de l’occasion pour rappeler aux autorités du pays que le processus électoral déjà enclenché mérite de retenir l’attention de tous indistinctement !<br />
<br />
Soulignant l’importance capitale de ce processus électoral dans la recherche de solutions durables à la crise multiforme qui sévit depuis de longues années dans ce pays, le Représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu a indiqué que la mission qu’il conduit a le mandat de financer, d’organiser la logistique pour les élections avec la participation financière du gouvernement, d’obtenir des garanties sérieuses pour la tenue des élections conformes au standard international à la lumière d’un calendrier global et réaliste qui ne dépassera pas l’échéance de 2016.<br />
<br />
Un devoir de patriotisme à Kabila !<br />
<br />
En insistant sur le caractère impératif des dispositions ci-dessus, Martin Köbler a déclaré que si Joseph Kabila persistait dans son refus de se plier aux dites dispositions, l’appui financier promis et garanti pour organiser les élections en RDC sera retiré et toute la communauté internationale se mettra en devoir de lui tourner définitivement le dos !<br />
<br />
Dans les allées du pouvoir à Kinshasa où des messages sans détours sont toujours biaisés pour plaire, la conditionnalité à l’appui financier de la communauté internationale aux élections en RDC a toutes les chances d’être interprétée comme une  » injonction  » qui porte atteinte à l’indépendance et à la souveraineté de ce pays !<br />
<br />
Or, il ne s’agit là en réalité que d’un simple avertissement à prendre au sérieux car l’enjeu de prochaines élections consiste à mettre définitivement un terme à la crise actuelle de légitimité du pouvoir qui empêche l’éclosion de la cohésion nationale, à assurer une alternance en douceur dans toutes les institutions de la République et, enfin, à relancer le pays dans tous les domaines !<br />
<br />
Un devoir de modestie et de patriotisme s’impose donc à Joseph Kabila et à sa famille politique qui doivent reconnaitre d’emblée que les moyens en leur possession ne peuvent permettre la tenue en RDC d’élections honnêtes dont les résultats seraient opposables à tous sans l’accompagnement soutenu de la communauté internationale.<br />
Qu’en pensent les allergiques aux  » injonctions  » de l’étranger ?<br />
<br />
Par Kambale Mutogherwa<br />
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Le direct<br />
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Politique Le message de Kobler est à prendre au sérieux !

Conditionnalité à l’appui financier de la communauté internationale aux élections en RDC Ce n’est pas pour rien que le Représentant spécial ...

Werrason ZAMBA ZAMBA de Ce Jeudi 18 Décembre 2014 ( vidéo)

December 19, 2014

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Werrason ZAMBA ZAMBA de Ce Jeudi 18 Décembre 2014 ( vidéo)</h3>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZ1bwNMjddXofOld0KmAIWuM1quPEKsdRyq2gk1WDX0cDWHgkroFi4mF-Z4JGJQRJmtBVsDorw5SXR0iZgh6w28bFF_ABYm3V1slasckTH5vgSiyc4oVms5kwvXEpVJBP_ZrRdryb7oPA/s1600/Snapshot_36.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="83" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZ1bwNMjddXofOld0KmAIWuM1quPEKsdRyq2gk1WDX0cDWHgkroFi4mF-Z4JGJQRJmtBVsDorw5SXR0iZgh6w28bFF_ABYm3V1slasckTH5vgSiyc4oVms5kwvXEpVJBP_ZrRdryb7oPA/s1600/Snapshot_36.jpeg" width="200" /></a></div>
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L’ONU réclame une nouvelle fois le calendrier global pour les élections en RDC

December 19, 2014

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En République démocratique du Congo, alors que le président Joseph Kabila, en début de semaine, n’a pas voulu clarifier quand se tiendraient les différentes échéances électorales qui attendent la RDC, et notamment la présidentielle de 2016, la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (Monusco) a appelé une nouvelle fois le pays à publier ce calendrier pour recevoir l’appui de la communauté internationale.</h3>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEi6pmlge7PIYw3dQR4_pp9nx3wMD2Dq3jatG7cIXShQElCAMUW97qwVIlC7fQYetjS_Ic_5WZHFF1kxqBsAWR3Ky_JqBBSeMJY0EfLINZau_kGFdIieVdaIPYd2Cct9QctDorHqZP8ss/s1600/Snapshot_4.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="303" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEi6pmlge7PIYw3dQR4_pp9nx3wMD2Dq3jatG7cIXShQElCAMUW97qwVIlC7fQYetjS_Ic_5WZHFF1kxqBsAWR3Ky_JqBBSeMJY0EfLINZau_kGFdIieVdaIPYd2Cct9QctDorHqZP8ss/s1600/Snapshot_4.jpeg" width="400" /></a><br />
Joseph Kabila « veut avoir de bonnes élections. Et c’est ce qu’il dit toujours. Nous sommes tout à fait d’accord d’avoir de bonnes élections. Qu’est-ce qu’il faut pour cela ? La communauté internationale voudrait bien voir très bientôt le calendrier global pour les élections », a expliqué Martin Kobler, le chef de la Monusco lors d’une conférence de presse mercredi 17 décembre à Kinshasa.<br />
<br />
Encore une fois, donc, la communauté internationale insiste pour une publication rapide de ce calendrier. Pourtant, en début de semaine, le président Joseph Kabila avait accusé cette même communauté internationale de s'être invitée dans le débat sur les élections en RD Congo et avait clairement déclaré qu’il refusait « les injonctions de ses partenaires étrangers ».<br />
<br />
Des propos qui ne changent rien aux demandes de l’ONU pour Martin Kobler : « Ce n’est pas à la communauté internationale de décider quoi faire, mais pour être en position de financer avec le PNUD [le Programme des Nations Unies pour le développement, ndlr], pour organiser la logistique, il faut avoir le calendrier global. Ce sont les municipales, locales et urbaines, ce sont les élections provinciales et ce sont les élections nationales, présidentielles. Il faut l’avoir sur la table pour notre participation, pas seulement celle de la Monusco, mais de toute la communauté internationale pour assister la Céni [la Commission électorale nationale indépendante]. Il faut avoir le calendrier électoral et, deuxièmement, un plan de financement. »<br />
<br />
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Kinshasa, 18/12/2014 (RFI / MCN, via mediacongo.net)<br />
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Le direct<br />
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Politique L’ONU réclame une nouvelle fois le calendrier global pour les élections en RDC

En République démocratique du Congo, alors que le président Joseph Kabila, en début de semaine, n’a pas voulu clarifier quand se tiendraien...

Lundi 22 décembre : Théophile Mbemba face à des fonctionnaires en colère

December 19, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhS5w1b7dQM6GRoRrq3t6Hrq2IeWM-yIJDzaBodHL7gb6YSw8boCArhDRiPnKgZwb-jk222xt6ARdWDa1mr7xyc4Xr1J5zQkpyRjx7MS6qeypOrXfwd6MZZjR8KixiQg72Og_yps3uDF2o/s1600/Snapshot_7.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhS5w1b7dQM6GRoRrq3t6Hrq2IeWM-yIJDzaBodHL7gb6YSw8boCArhDRiPnKgZwb-jk222xt6ARdWDa1mr7xyc4Xr1J5zQkpyRjx7MS6qeypOrXfwd6MZZjR8KixiQg72Og_yps3uDF2o/s1600/Snapshot_7.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="229" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhS5w1b7dQM6GRoRrq3t6Hrq2IeWM-yIJDzaBodHL7gb6YSw8boCArhDRiPnKgZwb-jk222xt6ARdWDa1mr7xyc4Xr1J5zQkpyRjx7MS6qeypOrXfwd6MZZjR8KixiQg72Og_yps3uDF2o/s1600/Snapshot_7.jpeg" width="320" /></a><br />
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="line-height: 1.6em;">A l’Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU), que dirige le professeur Théophile Mbemba Fundu di Luyindu, la colère monte.  Au bas mot, le Collectif des cadres scientifiques, administratifs, techniques et ouvriers qui a pris rendez-vous ce lundi 22 décembre 2014 à 10 heures devant ministère de l’ESU pour exprimer leur ras-le-bol. A cette occasion, les fonctionnaires veulent aévoir des réponses à leurs revendications salariales longtemps exprimées. Drôle de coïncidence,  c’est à l’approche des fêtes de fin d’année qu’ils vont manifester. A peine revenu aux affaires, le ministre Théophile Mbemba doit surmonter épreuve.  </strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Après avoir fêté avec les siens, à Kinshasa et à Kenge dans la province de Bandundu, Théophile Mbemba va devoir se mettre au travail. Les agents et cadres relevant de son ministère l’attendent de pieds fermes. Ils ont des révendications salariales qui rémontent au mois d’août 2013.  Selon un communiqué rendu public, rien ne pourra plus les empêcher de débrayer le lundi 22 décembre 2014. Sauf si le ministre  engage une discussion franche avec les agents en colère. Ceux-ci exigent que la lumière soit faite sur la cagnotte de cinq cent millions des Francs congolais, gage de bonne foi, allouée par le Premier Ministre Matata, depuis le mois d’août 2013.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le Collectif exige, dans un mémo remis au Premier Ministre, la correction de l’injustice salariale introduite par l’Etat-employeur entre le personnel académique et le personnel scientifique.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Pourtant, tous font partie du même corps.  Il y a lieu de souligner que ledit communiqué porte les signatures des Chefs de travaux Serge Kabeya, Secrétaire national du collectif, Angel Losuwa, Vice-président national et du Directeur Okesse Osango. </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Jean-René Ekofo</strong></div>
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Economie la Nation Politique Lundi 22 décembre : Théophile Mbemba face à des fonctionnaires en colère

A l’Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU), que dirige le professeur Théophile Mbemba Fundu di Luyindu, la colère monte. Au bas ...

ASSISTANCE COREENNE AU DEVELOPPEMENT " LA RDC FAIT PARTIE DES PAYS PRIORITAIRES ", RÉVÈLE LE CHARGÉ D’AFFAIRES DE SÉOUL À KINSHASA

December 19, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvaw7A_Df5dgPLzBrTsb0FdXZkyNbkxarU4juTyZ8XYk6kYj8v0brsyl1eNWK6TSg1WaDzmrF0lY6go3aC9jf1fE2ZgJSiEWUyUH1P5Anw96r7r-NIiKffij4N_nsbQvvot-w1M2Ktfc4/s1600/Snapshot_34.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvaw7A_Df5dgPLzBrTsb0FdXZkyNbkxarU4juTyZ8XYk6kYj8v0brsyl1eNWK6TSg1WaDzmrF0lY6go3aC9jf1fE2ZgJSiEWUyUH1P5Anw96r7r-NIiKffij4N_nsbQvvot-w1M2Ktfc4/s1600/Snapshot_34.jpeg" width="258" /></a></div><h3>" Bien faire et le faire savoir". Ce b.a.ba de la communication semble inspirer enfin l’ambassade de Corée en RDC. Ce pays d’Asie qui ne cesse de se développer à la vitesse V est bien présent en Afrique et plus particulièrement au Congo/Kinshasa. Révélations du chargé d’Affaires de la République de Corée en RDC à une brochette de journalistes congolais à l’occasion d’un dîner de presse.</h3><div>Sur le front de l’aide publique coréenne au développement, la RDC fait partie des pays prioritaires, révèle Yongjin Baek, numéro 2 de l’ambassade de la République de Corée à Kinshasa. Sept projets sont en cours. Ils vont du développement rural à l’assainissement de l’eau en passant notamment par la santé.<br />
L’Agence coréenne de coopération internationale (KOICA) a déjà mobilisé 8,5 millions de dollars pour des projets en RDC, notamment au secteur agricole et au développement rural. L’enveloppe allouée à l’assistance au développement sera revue à la hausse l’année prochaine.<br />
Si l’aide publique au développement de Séoul à Kinshasa va crescendo , il en est de même pour le volume d’échanges entre les deux pays. Certes, reconnait le chargé d’Affaires, le volume d’échanges n’est pas aussi considérable qu’on l’aurait souhaité. En 2013, ce volume était de 260 millions US. La Corée ayant importé -essentiellement du cuivre- de la RDC pour 40 millions de dollars et ayant exporté vers notre pays à hauteur de 220 millions de dollars. <br />
Bien que ces échanges soient encore faibles, ils augmentent progressivement en volume. Yongjin Baek voit même des avancées significatives dans un futur proche. Ce, en raison du nombre de plus en plus élevé d’investisseurs coréens qui explorent le marché rd congolais. A l’image du géant Taju qui est en contact avec Sodimico à Musoshi, dans le Katanga. C’est un premier pas, prélude aux investissements dans le secteur minier. <br />
En somme, 50 ans après l’établissement des relations diplomatiques entre Séoul et Kinshasa, les relations sont beaucoup plus fortes qu’avant, soutient le chargé d’Affaires Baek. En témoignent les deux visites au plus haut sommet, respectivement celle du Raïs congolais au " pays du matin calme " en 2010 et celle du Président coréen d’alors LeeMyung-Bak en RDC en 2011.<br />
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SEOUL TRAVAILLE POUR LA STABILITE ET LA REUNIFICATION DE LA PENINSULE COREENNE<br />
Dans sa marche inexorable vers le progrès, Séoul a tout de même des raisons d’être inquiet. La situation sur la Péninsule coréenne est loin d’être reluisante. " La vraie menace vient de la Corée du Nord avec l’armement nucléaire de Pyongyang ", affirme le diplomate coréen. Cette menace n’est pas que régionale, elle est dirigée vers le monde entier.<br />
D’abord parce que Pyongyang bafoue la résolution onusienne relative à la non- prolifération nucléaire. Et puis, poursuit le chargé d’affaires, " imaginons que cet arsenal nucléaire tombe entre les mains des terroristes d’autres pays ". Pour sa part, Séoul n’a de cesse d’inviter son voisin du Nord à cesser de croire que les armes nucléaires sont une garantie pour sa survie. Elles accroissent plutôt les menaces. " Notre espoir est de voir la Corée du nord abandonner l’arme nucléaire afin de se consacrer au développement du pays. <br />
Pour ramener Pyongyang à la table des négociations, Séoul utilise à la fois les sanctions et l’aide humanitaire. En somme, la politique du bâton et de la carotte. <br />
Côté humanitaire, Séoul aide son voisin via le PAM et l’Unicef. Mais, la République de Corée n’entend pas politiser l’aide, confie Yongjin Baek. Séoul fait aussi de son mieux pour organiser des rencontres tant à l’échelle locale qu’au niveau élevé. Mais, jusqu’ici, le Nord ne rend toujours pas l’ascenseur, constate le numéro 2 de l’ambassade de Corée en RDC. <br />
En un mot comme en mille, Séoul continue à travailler pour la stabilité et la réunification de la Péninsule, vrai gage de paix et de développement non seulement pour la région mais aussi pour le reste du monde. José NAWEJ</div><br />
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvaw7A_Df5dgPLzBrTsb0FdXZkyNbkxarU4juTyZ8XYk6kYj8v0brsyl1eNWK6TSg1WaDzmrF0lY6go3aC9jf1fE2ZgJSiEWUyUH1P5Anw96r7r-NIiKffij4N_nsbQvvot-w1M2Ktfc4/s1600/Snapshot_34.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br />
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Politique ASSISTANCE COREENNE AU DEVELOPPEMENT " LA RDC FAIT PARTIE DES PAYS PRIORITAIRES ", RÉVÈLE LE CHARGÉ D’AFFAIRES DE SÉOUL À KINSHASA

" Bien faire et le faire savoir". Ce b.a.ba de la communication semble inspirer enfin l’ambassade de Corée en RDC. Ce pays d’Asie ...

DE RETOUR D’OUGANDA, LE PATRON DU MNS FIXE L’OPINION SUR LES RAPATRIEMENTS DES EX-REBELLES M23 LES VÉRITÉS DE FRANÇOIS MUAMBA

December 18, 2014

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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-JsMpNNrSFz-LT6E3mDniMLbloV9By2CNcV0fVDhyphenhyphenLTAuv-whNPlaYDOz4BbJIHJu6kMTrL6uHyuuNY3QNrMWVTG7oNqy2B8MioWAV_B7dujuUL0BYqjmZd5EjrilQsFbduAXUsh-_EE/s1600/Snapshot_33.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br />
Remettre les pendules de la Déclaration de Nairobi à l’heure. C’est l’exercice auquel s’est adonné hier le coordonnateur du Mécanisme national de suivi (MNS). Devant la presse, François Muamba Tshishimbi a tordu le cou à toutes les contre-vérités aussi désincarnées qu’ubuesques qui se racontent au sujet des ex-éléments du défunt M23 se trouvant notamment en Ouganda. </h3>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-JsMpNNrSFz-LT6E3mDniMLbloV9By2CNcV0fVDhyphenhyphenLTAuv-whNPlaYDOz4BbJIHJu6kMTrL6uHyuuNY3QNrMWVTG7oNqy2B8MioWAV_B7dujuUL0BYqjmZd5EjrilQsFbduAXUsh-_EE/s1600/Snapshot_33.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-JsMpNNrSFz-LT6E3mDniMLbloV9By2CNcV0fVDhyphenhyphenLTAuv-whNPlaYDOz4BbJIHJu6kMTrL6uHyuuNY3QNrMWVTG7oNqy2B8MioWAV_B7dujuUL0BYqjmZd5EjrilQsFbduAXUsh-_EE/s1600/Snapshot_33.jpeg" width="400" /></a></div>
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Au terme de la démonstration ex cathedra, des faits têtus par nature. Non, la RDC ne traîne pas les pieds sur le front de rapatriement des ex-rebelles. Le nécessaire processus de désarmement, démobilisation et réinsertion des ex-M23 avait pour élément déclencheur l’amnistie. Or, celle-ci devait revêtir la forme d’une loi. En plus, au contraire des pardons antérieurs, l’amnistie actuelle est individuelle. Histoire de ne pas retomber dans les travers d’autre fois où les bénéficiaires d’amnistie sans frais récidivaient par la suite. Question aussi de ne pas absoudre des criminels qui doivent répondre de leurs actes devant la justice. Il a donc fallu identifier les personnes éligibles à la loi d’amnistie. Pas une sinécure. Au final, 559 amnistiés dont 330 en Ouganda et 229 au Rwanda. Toute statistique qui ferait état des milliers est abusive, martèle François Muamba. Une autre fable balayée par le numéro du MNS, c’est l’échéance du 12 décembre présentée comme une espèce d’ultimatum de Kampala en fonction duquel Kinshasa travaillerait. Le 17 septembre, le chef de l’Etat nous avait déjà instruit de rapatrier ceux qui sont éligibles à la loi d’amnistie et qui le souhaitent. Bonjour le sacro-saint principe du retour volontaire. Mille fois dans son adresse, François Muamba est revenu sur la base volontaire du rapatriement. Exit donc, les allégations sur le retour forcé. Seulement, pour danser le Tango, il faut bien être deux. Voilà que le point focal du défunt M23, Réné Abandi se fait désirer. Le 18 septembre, lorsque Kinshasa lui écrit, il ne répond pas. Le 22 septembre à la rencontre de New-York, il ne réagit toujours pas. A la réunion des envoyés spéciaux tenue le 7 novembre à Kinshasa, il brille par son absence prétextant le problème de sécurité. Un prétexte tiré par les cheveux, note le coordon Muamba , lui qui avait rencontré Abandi en terre congolaise de Goma le 20 mai de cette année ! Pas donc besoin d’être expert ès « grands lacs » pour comprendre que si les pendules de la Déclaration de Nairobi ne sont pas toujours à l’heure, ce n’est pas du côté du Gouvernement congolais qu’il faut regarder.</div>
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Face à la désinformation orchestrée autour du rapatriement en RDC des 120 ex-rebelles du M23, François Muamba a dissipé tout malentendu à ce sujet, notamment en ce qui concerne les prétendus anciens éléments de l’ex-mouvement rebelle qui auraient échappé d’un camp en Ouganda. « Tout s’est passé normalement », rétorque le coordonateur du Mécanisme national de suivi (MNS) de l’Accord-cadre contredisant ainsi une certaine opinion prétendant qu’ « un millier d’ex-rebelles congolais du M23 se sont échappés mardi de leur camp en Ouganda lors de ces opérations de rapatriement.<br />
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De quoi s’agit-il ? François Muamba n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour expliquer la situation de ces éléments de l’ex-mouvement rebelle. « Entre 600 et 900 ex soldats du M23 se dirigeaient à pied vers le camp Bihanga où vivent près de 53.000 réfugiés congolais ayant fui la guerre dans leur pays », précise le coordonateur du MNS. Chemin faisant, ces anciens militaires se sont illustrés dans les pillages de sorte quand ils arrivent au camp des déplacés tout le monde a été pris de panique, raconte François Muamba.<br />
« Et pour cause, poursuit-t-il, à leur arrivée, les réfugiés congolais ont été informés de forfaits commis par leurs anciens bourreaux ». Par conséquent, les réfugiés du camp Bihanga « ont tous refusé d’accueillir ceux-là même qui ont massacré les leurs. Même le Haut commissaire pour les réfugiés (HCR) leur a dénié le droit de pénétrer dans le camp et les autorités ougandaises ont décidé de les ramener à Bianda où elles vont devoir identifier les combattants Congolais », explique Muamba. Celui-ci promet qu’avec ce nouvel tri, « il faut s’attendre à d’autres rotations entre l’Ouganda et la RDC ». « Environ 80% -soit 400 et 500- ex-combattants M23 qu’on doit récupérer ».<br />
<br />
DEMENTI SUR LE RAPATRIEMENT FORCE<br />
Au cours de ce tête-à-tête avec la presse, le coordonateur du MNS balaye d’un revers de la main les accusations selon lesquelles le Gouvernement congolais rapatrie de force certains ex-M23. « Qu’on cesse de mélanger le tout. En tant que Gouvernement, on ne peut pas récupérer ceux qui refusent ». Le coordonnateur du Mécanisme national de suivi de l’accord d’Addis-Abeba, dément les accusations du leader du M23, Bertrand Bisimwa selon lesquelles la RDC veut rapatrier de force ces ex-combattants cantonnés au camp militaire de Bihamba, en Ouganda.<br />
François Muamba explique que « pour être rapatrié, il faut le vouloir, il faut le souhaiter. Il n’y a personne qui va être mis dans un avion par la force. Donc, je démens formellement toute allégation du type rapatriement forcé. Personne ne sera rapatrié par la force. Revient au Congo celui qui est congolais et qui souhaite revenir au Congo ». Le coordonnateur du Mécanisme national de suivi de l’accord d’Addis-Abeba réagit ainsi à une lettre ouverte de l’ex-mouvement M23, signée par Bertrand Bisimwa et adressée au chef du Bureau du Haut Commissariat des droits de l’homme de l’Onu à Kampala.<br />
<br />
RAISONS D’UN RETARD<br />
Le rapatriement dans la base militaire de Kamina de 123 éléments de l’ex-M23 intervient un an après les déclarations de Nairobi qui ont mis fin aux pourparlers entre Kinshasa et le M23 et entérine la fin officielle de cette rébellion. Pourquoi une si longue période pour avoir ce résultat ? A cette question, François Muamba, qui faisait la restitution de son séjour à Kampala, explique que beaucoup de choses devaient être pris en compte. Mais l’élément déclencheur, fait-t-il savoir, « c’est cette question d’amnistie. Ça n’a pas été facile ». François Muamba affirme que l’amnistie est une loi et en tant que telle et est une émanation du Parlement. « Il fallait attendre le mois de février 2014 pour voir cette loi être promulguée ». L’autre raison de ce retard, poursuit le coordonnateur du MNS, « l’amnistie ne s’est pas faite en bloc, mais individuellement et par écrit. Il fallait expliquer aux concernés et les dossiers devaient être traités au cas par cas ». Rachidi MABANDU</div>
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Politique DE RETOUR D’OUGANDA, LE PATRON DU MNS FIXE L’OPINION SUR LES RAPATRIEMENTS DES EX-REBELLES M23 LES VÉRITÉS DE FRANÇOIS MUAMBA

Remettre les pendules de la Déclaration de Nairobi à l’heure. C’est l’exercice auquel s’est adonné hier le coordonnateur du Mécanisme nati...

Concours DJ Swag avec Primus : Finale explosive ce vendredi avec 8 jeunes talents !

December 18, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHe5GP6_UlxTOH7Lcou0eUAbskhZBtsZoPAqVzOCPyvSweptn5h0RQoBR4uelbdeMddusdm2ngjwq4LGx8R5xyBi26PaG-jkpS2xq8NgkWLBRJwHJCYbqCskNbLaNCuLC7oa3ZuN0h3jY/s1600/Snapshot_6.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHe5GP6_UlxTOH7Lcou0eUAbskhZBtsZoPAqVzOCPyvSweptn5h0RQoBR4uelbdeMddusdm2ngjwq4LGx8R5xyBi26PaG-jkpS2xq8NgkWLBRJwHJCYbqCskNbLaNCuLC7oa3ZuN0h3jY/s1600/Snapshot_6.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHe5GP6_UlxTOH7Lcou0eUAbskhZBtsZoPAqVzOCPyvSweptn5h0RQoBR4uelbdeMddusdm2ngjwq4LGx8R5xyBi26PaG-jkpS2xq8NgkWLBRJwHJCYbqCskNbLaNCuLC7oa3ZuN0h3jY/s1600/Snapshot_6.jpeg" width="320" /></a><br />
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="line-height: 1.6em;"><em>L’enjeu est de taille. Un package de 20.000 $ (dont 5.000$ en cash, 5.000 $ frais de studio et duplication cd, 5.000 $ pour réalisation clip et 5.000 $ pour la promotion de l’artiste) + 50 casiers Primus. Un contrat de partenariat d’un an avec la BRALIMA+ 10 casiers de bière par mois. Telle est l’ultime récompense du meilleur DJ Swag de Kinshasa, au terme de la finale, ce vendredi 19 décembre 2014, en la salle Algarve, dans la commune de Lingwala.</em></strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Il y a certes beaucoup d’appelés, mais peu d’élus. Ils étaient au départ 147 jeunes talents venus de 24 communes de la Capitale, pour participer  à la première édition du concours DJ SWAG organisé par la bière du moment, Primus ‘‘Petite ya Quartier’’. Après un parcours de combattants marqué par des suspenses et des émotions, 8 candidats  sont en lice pour se mesurer lors de cette soirée de la finale  dudit chalenge musical dont l’équipe du jury va choisir un seul gagnant au titre du Meilleur DJ de Kinshasa.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Signalons que le jury est composé de 4 membres dont le chanteur Ferré Gola qui est également parrain du concours.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Conformément au règlement, les finalistes vont faire preuve de leur savoir-faire sur scène. Ils sont appelés à présenter un  spectacle de 5 étapes, avec de créations personnelles  (arrangement, animation, originalité, thème et mélodie) pour emballer le public et convaincre le jury.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Signalons que la note du jury compte 50% et celle du public consommateur également 50%, ce qui fait un total de 100 %.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
En cas d’égalité de points entre les candidats, seules les voix de soutiens supplémentaires du public les départageront.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Leader de la génération montante, Ferré Gola confirme, également, sa présence à cette soirée de grande envergure avec la bière préférée de Congolais.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
La marque a pris toutes les dispositions nécessaires pour assurer la bonne ambiance avec les consommateurs et publics.  Pour l’organisateur, l’accès à l’évènement est conditionné à l’achat de 2 bouteilles de Primus, ‘‘Petite ya Quartier’’. Cette condition donnait  directement l’occasion aux consommateurs de participer au concours sur place pour gagner des nombreux articles publicitaires de la marque : Lunettes,  écharpes et casques à sons (gros écouteur).</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
La BRALIMA, à travers sa marque «Primus», organise ce  concours des Jeunes Talents de la musique dite «DJ» pour objectif de promouvoir les adeptes de ce style de musique un peu atypique.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Que le meilleur gagne !</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Jordache Diala</strong></div>
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Le direct<br />
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Au tour de Kinshasa Musique Concours DJ Swag avec Primus : Finale explosive ce vendredi avec 8 jeunes talents !

L’enjeu est de taille. Un package de 20.000 $ (dont 5.000$ en cash, 5.000 $ frais de studio et duplication cd, 5.000 $ pour réalisation ...

Désormais dans le carré des membres d’honneur : FC Renaissance, Wivine Moleka rejoint l’Evêque Mukuna

December 18, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhurYCQAy1O72hbbyGTIZ3hKIJZSagwb0bIj6YZpHauWXBiCBsz3ti-giNZTMlzpMYjI5Rkxfs7HYh9N3xBT3_XPXJ4LCUqfNz8Nh0nD5EOyUOOw4lN0mcLmc0d-5CUTCvCaSr1gDoiTMs/s1600/Snapshot_4.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhurYCQAy1O72hbbyGTIZ3hKIJZSagwb0bIj6YZpHauWXBiCBsz3ti-giNZTMlzpMYjI5Rkxfs7HYh9N3xBT3_XPXJ4LCUqfNz8Nh0nD5EOyUOOw4lN0mcLmc0d-5CUTCvCaSr1gDoiTMs/s1600/Snapshot_4.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="209" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhurYCQAy1O72hbbyGTIZ3hKIJZSagwb0bIj6YZpHauWXBiCBsz3ti-giNZTMlzpMYjI5Rkxfs7HYh9N3xBT3_XPXJ4LCUqfNz8Nh0nD5EOyUOOw4lN0mcLmc0d-5CUTCvCaSr1gDoiTMs/s1600/Snapshot_4.jpeg" width="320" /></a><br />
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="line-height: 1.6em;"><em>L’Evêque Pascal Mukuna, président du Football Club Renaissance a reçu, le jeudi 18 décembre 2014, en son cabinet de travail, un hôte de marque, en la personne de l’Honorable Wivine Moleka, élue de de circonscription électorale de Lukunga. Il faisait exactement 14h20’, heure locale, lorsque Mme Moleka Wivine a franchi le perron du Bureau de l’homme de Dieu, situé sur l’avenue Mavungu n°2 dans la Commune de Bandalungwa. Ce dernier l’a accueilli chaleureusement, sous l’accompagnement des images prises par diverses chaines de télévisions pour immortaliser l’événement.</em></strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le but de cette visite est pour l’honorable député de faire son adhésion, comme membre d’honneur, au FC Renaissance à la tête duquel trône l’Evêque Mukuna, le Représentation légal de la grande Assemblée chrétienne de Kinshasa (ACK).  </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Pour l’honorable Moleka, l’adhésion au Club Renaissance n’a nullement l’air d’une ambition quelconque, mais, précise-telle, si cela peut être possible, elle n’y trouve aucun inconvénient.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
A première vue, elle répondait à un appel d’un Papa comme un enfant répond à l’appel de son père. Ensuite, parce que Renaissance veut dire renaitre. «Et Jésus-Christ nous demande de renaitre à nouveau», a-t-elle fait remarquer. Enfin, elle a pris le courage de s’offrir à Renaissance parce l’équipe constitue un cadre de réflexion et d’excellence qui regroupe des hommes et femmes de valeur. Mais aussi, elle véhicule des valeurs dans l’arène sportive.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>L’élu de Lukunga adhère avec âme et esprit</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
C’est pourquoi, dans les jours qui viennent, elle va offrir à l’équipe, un don important constitué d’équipements sportifs à cette formation sportive afin qu’elle soit toujours en pôle position des grandes équipes qui font autrement, le football. «Je veux, moi aussi, appartenir à la classe des hommes et femmes de valeur», a-t-elle insisté.    </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
A la question de savoir pourquoi a-t-elle choisi Renaissance à la place d’une autre équipe?</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le député national n’est pas allé par le dos de la cuillère. Pour ce faire, elle a répondu sans ambages que cette adhésion constitue un appel spirituel pour elle. Car, soutient-elle, avant qu’elle ne s’engage, elle a senti quelque chose au fond de soi-même qu’il faille absolument rester aux côtés de l’Évêque qu’elle considère comme un papa en vue de soutenir l’équipe Renaissance.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Et de renchérir que lorsqu’il y a un appel, on n’endurcit pas le cœur et l’on ne se demande pas non plus, pourquoi maintenant ou pourquoi pas un peu plus tôt?  </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
La très généreuse Moleka sait pertinemment bien qu’avec Dieu, le temps ne compte pas. Sa volonté n’est pas celle des hommes. Il agit en son temps.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Quant à son apport, elle affirme que c’est celui d’un être humain en Christ de plus, qui s’ajoute dans la famille Renaissance qu’elle compte intégrer beaucoup de ses proches et collègues députés. Car, dit-elle, il n’y a pas d’autres richesses plus onéreuses que celles d’avoir des hommes et femmes intègres.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Pour sa part, l’Evêque Mukuna a manifesté visiblement sa joie avec l’adhésion de Wivine Moleka qu’il a, du reste, souhaité la bienvenue, avant de l’exhorter à se sentir vraiment chez elle.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Son ambition, dit-il, est celle d’évangéliser le monde  sportif afin qu’il se débarrasse de l’incurie ou des pratiques rétrogrades qui ne font que tirer vers le bas le monde sportif congolais.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Pour lui, en effet, Renaissance est une grande équipe sportive, une équipe d’excellence et d’avenir.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
C’est pourquoi, il a invité chacun, dans l’environnement qu’il vit, y compris les journalistes, d’amener un ou plusieurs nouveaux membres à Renaissance.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Eugène Khonde</strong></div>
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Le direct<br />
<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Au tour de Kinshasa Politique Sport Désormais dans le carré des membres d’honneur : FC Renaissance, Wivine Moleka rejoint l’Evêque Mukuna

L’Evêque Pascal Mukuna, président du Football Club Renaissance a reçu, le jeudi 18 décembre 2014, en son cabinet de travail, un hôte de ...

Mobilisation des recettes en Provinces : Budget, Michel Bongongo veut voir clair !

December 18, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="line-height: 1.6em;"><em>Le professeur Michel Bongongo, Ministre d’Etat et Ministre du Budget, promet de répondre à toutes les notes techniques rédigées par les Provinces sur des questions financières et d’investissements. C’est ce qui ressort de la réunion de prise de contact tenue, hier jeudi 18 décembre, au cabinet du Ministre d’Etat. Au moins sept Gouverneurs de Province sont venus lui présenter les civilités.  Les Gouverneurs veulent démarrer l’année 2015 sur de nouvelles bases. </em></strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Pour sa première rencontre avec les Gouverneurs de Province, le professeur Michel Bongongo, le tout nouveau Ministre d’Etat et Ministre du Budget, a imprimé sa marque de fabrique. Les sept Gouverneurs de Province, qui l’ont rencontré, sont partis avec l’image d’un fin connaisseur du secteur. Le Ministre des Finances, Henry Yav Mulang, a pris part aux discussions. Il existe, en effet, un cadre de concertations entre le Gouvernement central et les Provinces. Un cadre permanent au sein duquel des grandes questions concernant la gestion du pays sont débattues. Il s’agit, spécialement des questions des finances et d’investissements. Les Gouverneurs ont rappelé au Ministre ayant le Budget dans ses attributions que des notes techniques ont déjà été adressées à l’ancien Vice-premier ministre en charge du Budget, Daniel Mukoko. Notamment, les protocoles d’accords entre l’Etat et les Provinces ainsi que le niveau d’exécution des politiques gouvernementales. Les Gouverneurs de Province veulent démarrer l’année 2015 sur de nouvelles bases. Dans la foulée, il a été donné aux journalistes d’apprendre que la première Conférence des Gouverneurs pourrait avoir lieu dès le mois de janvier 2015. Une occasion que les exécutifs provinciaux tiennent à mettre à profit pour émettre des avis et formuler des suggestions sur la politique à mener et la législation à édicter par la République. La Conférence des Gouverneurs de Province réunira autour d’une table le Président Joseph Kabila, le Premier Ministre Matata, le Vice-premier Ministre  et Ministre en charge de l’Intérieur, Evariste Boshab ainsi que tous les Gouverneurs. Parmi les matières à traiter, figure encore et toujours la question de l’application effective de la disposition constitutionnelle relative à la rétrocession de 40% des recettes aux Provinces. Au sortir de l’audience d’hier jeudi, les 40% que l’Etat doit aux Provinces était au centre des discussions. Un Gouverneur, qui s’est confié à La Prospérité, a déclaré que Michel Bongongo s’est montré très attentif à leurs préoccupations. Bongongo, en effet, vient du Sénat qui est l’émanation des Provinces. Pendant plusieurs années, il a représenté sa Province de l’Equateur. C’est pour autant dire que toutes les difficultés qui bloquent le développement des Provinces, Bongongo les connait par cœur. Sa nomination au ministère du Budget a été saluée par les provinciaux qui espèrent, cette fois-ci, que la loi sur la libre administration des Provinces et des Entités territoriales décentralisées, de leurs compétences et de leurs ressources sera d’application. A ceux qui les accusent d’engager une confrontation  contre le pouvoir central, les chefs des exécutifs provinciaux répondent qu’ils travaillent pour le bien de la population, en responsables. Tout ce qu’ils réclament, c’est un peu plus de moyens pour le développement des Provinces qu’ils dirigent. Un jour plus tôt, les Gouverneurs de Province avaient été reçus par le Vice-premier Ministre de l’Intérieur, Evariste Boshab. Ensemble, ils avaient passé en revue la situation sécuritaire du pays.</div>
Le direct<br />
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<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Economie Politique Mobilisation des recettes en Provinces : Budget, Michel Bongongo veut voir clair !

Le professeur Michel Bongongo, Ministre d’Etat et Ministre du Budget, promet de répondre à toutes les notes techniques rédigées par les ...

Honorable JC MVUEMBA répond sèchement à Monsieur KABILA ( vidéo)

December 18, 2014

<h3>
Honorable  JC MVUEMBA répond sèchement  à Monsieur  KABILA  ( vidéo)</h3>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="390" src="//www.youtube.com/embed/499y-ZcrZlk?feature=player_embedded" width="690"></iframe><br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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infos en vidéos Politique Honorable JC MVUEMBA répond sèchement à Monsieur KABILA ( vidéo)

Honorable JC MVUEMBA répond sèchement à Monsieur KABILA ( vidéo)

kin live 16 Dec 2014: les têtes d’érosions dans le quartier Punda à Binza Delvaux ( vidéo)

December 18, 2014

<h3>
kin live 16 Dec 2014: les têtes d’érosions dans le quartier Punda à Binza Delvaux ( vidéo)</h3>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="380" src="//www.youtube.com/embed/H53NILlFtPU?feature=player_detailpage" width="680"></iframe><br />
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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiQe6-dBunCpzs3aVlVaGNnSVhF2pfTxpD64tV66Qz1sTwidJ3Ksc7NLeUte-GKQXX0iaKoQmjGx0aCyh0ZR_5doa8DKmo35acFDjnsaJqFpmcL67HVVC00NdJ0umayELjfMAOwGdtzy3E/s1600/Snapshot_29.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Au tour de Kinshasa infos en vidéos kin live 16 Dec 2014: les têtes d’érosions dans le quartier Punda à Binza Delvaux ( vidéo)

kin live 16 Dec 2014: les têtes d’érosions dans le quartier Punda à Binza Delvaux ( vidéo)

RDC : Constitution & Cenco, paroles d’Évangile en RDC

December 18, 2014

<h3>
Opposante historique au pouvoir, l’Église catholique reprend du service en RDC. Par deux fois cette année, elle s’est dite fermement opposée à une révision constitutionnelle en faveur de Josepg Kabila, qui menacerait l’alternance politique.</h3>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #555555; font-family: 'Titillium Web', Arial, sans-serif; font-size: 15px; line-height: 21px; list-style-type: none; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiT2Qz9_Tb36SZa1WU-9Rt0wLw1c5VsmnVzrLb3WwSNNjK_KmBWpVoQVVjihyphenhyphenRgQXUc3hUMpTG372AHcb7bn-Ca5IJr4PK1fhu4Zby-p63Qg4ytrJ-58RQRuWqhyF7_LxGGIw7_kQMFN78/s1600/Snapshot_27.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="278" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiT2Qz9_Tb36SZa1WU-9Rt0wLw1c5VsmnVzrLb3WwSNNjK_KmBWpVoQVVjihyphenhyphenRgQXUc3hUMpTG372AHcb7bn-Ca5IJr4PK1fhu4Zby-p63Qg4ytrJ-58RQRuWqhyF7_LxGGIw7_kQMFN78/s1600/Snapshot_27.jpeg" width="400" /></a></div>
Entre l’État congolais et l’Église catholique, les relations n’ont jamais été vraiment bonnes. Mais depuis la contestation des résultats des élections de 2011 par la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco), elles sont particulièrement tendues.<br />
<br />
Cette année, les évêques ont à deux reprises dit leur opposition à toute tentative de « tripatouillage » de la Constitution du 18 février 2006. Une première fois, en juin, dans une déclaration solennelle publiée à l’issue de l’assemblée plénière de la Cenco, ils ont contesté l’éventualité d’une modification de l’article 220, qui permettrait au chef de l’État de briguer un troisième mandat en 2016, critiquant par ailleurs le projet de révision du mode d’élection des députés provinciaux - qui pourraient être désignés au scrutin universel indirect, et non plus direct.<br />
<br />
Une seconde fois, le 14 septembre, dans une lettre pastorale publiée à Rome, où ils étaient en visite, ils ont rappelé que « l’article 220 a été verrouillé par le constituant lui-même, justement pour échapper à cette modification ». Ajoutant : « Cet article pose les bases de la stabilité du pays et de l’équilibre des pouvoirs dans les institutions. Le modifier serait faire marche arrière sur le chemin de la construction de notre démocratie et compromettre gravement l’avenir harmonieux de la nation. »<br />
<br />
Puis ils ont demandé aux curés et catéchistes de lire leur message à tous les fidèles, et annoncé qu’ils suspendaient leur participation au Comité d’intégrité et de médiation électorale (Cime).<br />
<br />
La Cenco, pas dans son rôle ?<br />
<br />
Pour Théodore Mugalu, le chef de la Maison civile du président, les déclarations de la Cenco sont nulles et non avenues. « Il n’y a pas d’article verrouillé dans la Constitution, affirme-t-il. Si c’est le cas, qu’on montre les clés avec lesquelles on les a verrouillés ! Seul Dieu a ce pouvoir. »<br />
<br />
Lambert Mende, le porte-parole du gouvernement, suggère quant à lui à la Cenco de se transformer en parti politique, estimant qu’elle n’est pas dans son rôle. Pis, alors que le pays veut « se libérer mentalement de l’emprise étrangère » sur les questions de souveraineté nationale, il remarque que, « à en juger par le lieu qu’ont choisi les évêques congolais pour signer et diffuser leur lettre épiscopale, il est évident qu’encore une fois des acteurs majeurs de l’histoire [du] pays ont voulu faire plaisir à des agents d’influence étrangers ».<br />
<br />
Cette bataille rangée n’est cependant pas comparable à celle qui opposa, au début des années 1970, le pouvoir au clergé, lorsque ce dernier tenta de résister à la politique du « recours à l’authenticité » de Mobutu Sese Seko (qui imposait aux Zaïrois l’abandon des prénoms et noms étrangers).<br />
<br />
En 1972, le cardinal Malula dut s’exiler à Rome face à l’ire du Léopard, qui prit une série de mesures radicales : confiscation du patrimoine de l’église, nationalisation des écoles catholiques et de l’université Lovanium (actuelle Université de Kinshasa), interdiction d’enseigner la religion, installation de comités du parti unique dans les grands et petits séminaires… La tension finit par retomber, notamment grâce à la visite du pape Jean-Paul II au Zaïre, en mai 1980.<br />
<br />
Quant à la participation active des membres du clergé en politique, on se souvient de celle de Mgr Laurent Monsengwo Pasinya, archevêque de Kisangani (aujourd’hui cardinal-archevêque de Kinshasa), dans les années 1990. Il dirigea la Conférence nationale souveraine avant d’être élu à la tête du Haut Conseil de la République, le Parlement de transition, jusqu’à l’arrivée au pouvoir de Kabila père, en 1997.<br />
<br />
À l’époque, dans un texte cosigné par l’un de ses homologues congolais, Mgr Emery Kabongo Kanundowi (secrétaire particulier de Jean-Paul II de 1982 à 1987, désormais chanoine de la basilique Saint-Pierre), Mgr Monsengwo avait écrit : « Ce régime est arrivé par la guerre. C’est un pis-aller. »<br />
<br />
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Le direct<br />
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<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br />

Politique Religion RDC : Constitution & Cenco, paroles d’Évangile en RDC

Opposante historique au pouvoir, l’Église catholique reprend du service en RDC. Par deux fois cette année, elle s’est dite fermement opposé...

Le FMI déplore la fragilité de l’économie en RDC : Un rappel important Ce sombre bilan établi 15 jours avant le discours présidentiel a pour principal cause la corruption institutionnelle

December 18, 2014

Le FMI déplore la fragilité de l’économie en RDC : Un rappel important Ce sombre bilan établi 15 jours avant le discours présidentiel a pour principal cause la corruption institutionnelle

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Au début du mois en cours, soit environ 15 jours avant le discours prononcé lundi dernier par Joseph Kabila devant le parlement réuni en C...

Jean-Pierre Mbelu, analyste politique congolais commente l'actualité de la semaine: Discours de Joseph Kabila, un baratin de mauvais goût. ( Audio)

December 18, 2014

Jean-Pierre Mbelu, analyste politique congolais commente l'actualité de la semaine: Discours de Joseph Kabila, un baratin de mauvais goût.<br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="390" src="//www.youtube.com/embed/d2Ms0LW77uI" width="640"></iframe><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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infos en vidéos la Nation Politique Jean-Pierre Mbelu, analyste politique congolais commente l'actualité de la semaine: Discours de Joseph Kabila, un baratin de mauvais goût. ( Audio)

Jean-Pierre Mbelu, analyste politique congolais commente l'actualité de la semaine: Discours de Joseph Kabila, un baratin de mauvais goû...

TOKOMI WAPI na discours ya Joseph Kabila : Muyombe Gauche : To bakisela Kabila mikolo pona Mboka ezala malamu ( vidéo)

December 18, 2014

TOKOMI WAPI na discours ya Joseph Kabila : Muyombe Gauche : To bakisela Kabila mikolo pona Mboka ezala malamu ( vidéo)<br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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Au tour de Kinshasa infos en vidéos Politique TOKOMI WAPI na discours ya Joseph Kabila : Muyombe Gauche : To bakisela Kabila mikolo pona Mboka ezala malamu ( vidéo)

TOKOMI WAPI na discours ya Joseph Kabila : Muyombe Gauche : To bakisela Kabila mikolo pona Mboka ezala malamu ( vidéo)

V. Club à 1 point de Motema Pembe après sa victoire 1-0 face à Shark XI

December 18, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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20ème championnat de la Linafoot<br />
Mazembe-Capaco, un énième forfait qui condamne l’organisateur<br />
<br />
L’AS V. Club s’est encore rapprochée du DC Motema Pembe, son sempiternel rival kinois, au terme de sa victoire 1-0 face à Shark XI FC, un autre club kinois, en match remis de la 4ème journée du 20ème championnat de la Ligue nationale de football, en groupe B.<br />
<br />
C’est au retour des vestiaires que les ouailles de l’entraîneur Jean Florent Ibenge ont trouvé la faille dans la défense adverse. Sur une incursion dans la défense de Shark XI, Kazadi Kasengu (50ème, 1-0 a donné l’avantage aux Dauphins Noirs diminués avec l’absence de Lukong qui a laissé sa place à Lomboto, Lema Mabidi et Luvumbu Nzinga.<br />
<br />
En dépit de quelques soubresauts de Shark XI qui a eu difficile à traverser le rideau défensif vert et noir, le score est resté là jusqu’à l’issue du temps règlementaire.<br />
<br />
Cette victoire permet aux coéquipiers de Mabele Bawaka de maintenir la pression sur le club aux couleurs vert-blanc-rouge qui totalise 19 points en 8 matches.<br />
<br />
Alors que les vainqueurs du jour en comptent 18 en 7 sorties dans un groupe où le FC MK de Kinshasa est allé s’imposer sur la pelouse du TC Elima, au terrain du camp militaire Redjaf à Matadi, par 1-0.<br />
<br />
MK dépossède de ce fait la JS Groupe Bazano de Lubumbashi de la 3ème position avec 14 points devant le club lushois ci-haut cité. Elima quant à lui se pointe à l’avant dernière position avec 6 points, à quatre longueurs de l’AS Nika, la lanterne rouge.<br />
<br />
Mazembe-Capaco, un énième forfait qui condamne l’organisateur<br />
<br />
Le décor était planté au stade TP Mazembe à Lubumbashi où l’équipe de l’AC Capaco de Beni a encore brillé par son absence, le mercredi 17 décembre 2014, alors qu’il devait rencontrer le TP Mazembe en match remis de la 2ème journée. Les officiels ont constaté l’absence de l’équipe du Nord-Kivu qui enregistré là son 8ème forfait.<br />
A qui profite ce violation de la réglementation qui veut que l’équipe qui enregistre trois forfaits de suite soit disqualifiée.<br />
<br />
Ce forfait profite à Mazembe (20 points) qui ravit la place de leader au représentant du Kasaï Oriental avec ses 19 points.<br />
Les classements à l’issue des rencontres jouées hier mercredi 17 décembre 2014 s’établissent comme suit:<br />
<br />
Groupe A : 1. Mazembe (Lubumbashi) 20 points (+14), 2. Sanga Balende (Mbuji-Mayi) 19 pts (+6), 3. Lubumbashi Sport (Lubumbashi) 14 pts (+9), 4. Don Bosco (Lubumbashi) 13 pts (+9), 5. Saint Eloi Lupopo (Lubumbashi) 12 pts (+7), 6. Muungano (Bukavu) 11 pts (+1), 7. Bantous (Mbuji-Mayi) 11 pts (-8), 8. Tshinkunku (Kananga) 8 pts (-5), 9. Dauphin Noir (Goma) 8 pts (-8) et 10. Capaco (Beni) 0 point (-25).<br />
<br />
Groupe B : 1. Motema Pembe (Kinshasa) 19 points (+6), 2. V. Club (Kinshasa) 18 pts (+13), 3. MK (Kinshasa) 14 pts (+3), 4. Groupe Bazano (Lubumbashi) 12 pts (+2), 5. RCK (Kinshasa) 9 pts (-2), 6. Makiso (Kisangani) 8 pts (0), 7. Rojolu (Kinshasa) 8 pts (-8), 8. Shark XI (Kinshasa) 6 pts (-2), 9. Elima (Matadi) 6 pts (-2) et 10. Nika (Kisangani) 2 points (-10).<br />
<br />
Par Jenko<br />
Le direct<br />
<br />
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Sport V. Club à 1 point de Motema Pembe après sa victoire 1-0 face à Shark XI

20ème championnat de la Linafoot Mazembe-Capaco, un énième forfait qui condamne l’organisateur L’AS V. Club s’est encore rapprochée du...

L’ONU réplique à Joseph Kabila

December 18, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYHaEaBekOwu6NyEthe8pc4nj1sH5se21NgsG8AlvRRFKxYvnm7nQQG10PlwakKp_N7YzKk96Lf4DMsAT9CYOJV_5oyu8ZXGQSALMJa5QxWBDQmSPAKW0wsYFulY-qt4yHpA2DtIEUeSs/s1600/Snapshot_53.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="198" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYHaEaBekOwu6NyEthe8pc4nj1sH5se21NgsG8AlvRRFKxYvnm7nQQG10PlwakKp_N7YzKk96Lf4DMsAT9CYOJV_5oyu8ZXGQSALMJa5QxWBDQmSPAKW0wsYFulY-qt4yHpA2DtIEUeSs/s1600/Snapshot_53.jpeg" width="320" /></a><br />
Par Hervé Ladsous et Martin Kobler<br />
Le départ de la MONUSCO dépend du Conseil de Sécurité des Nations Unies. Le secrétaire général adjoint des Nations unies chargé du maintien de la paix pense qu’à ce stade il ne faut surtout pas agir avec précipitation<br />
<br />
Dans son discours à la Nation, ce lundi, le président Kabila a déclaré que la présence de 20 000 casques bleus dans son pays ne se justifiait plus.<br />
<br />
Il faut envisager le retrait progressif. Ainsi, le Chef du Département des opérations de maintien de la paix (DOMP), Hervé Ladsous a, au cours d’un entretien avec BBC/Afrique hier mercredi 18 décembre, pour faire le point sur les missions de paix en Afrique. Sur la RDC, le diplomate Onusien était clair.<br />
<br />
« J’ai entendu ce message. Oui il va falloir réduire, il va falloir discuter avec le gouvernement congolais d’une stratégie de sortie à l’horizon de trois ans, quatre ans, cinq ans.<br />
<br />
Est-ce que je sais à ce stade ? Il ne faut surtout pas agir avec précipitation, ce qu’il ne faudrait pas en réduisant trop vite le volume des troupes de casques bleus qui sont sur le terrain, nous ne fragilisions tous ces acquis qui ont été coûteux à tout point de vue. C’est un processus que l’on va gérer dans le dialogue avec les autorités congolaises « , dit il.<br />
<br />
Les vérités de Martin Kobler<br />
<br />
Les Nations Unies se préparent toujours pour retirer ses troupes en RDC, mais le départ précipité risque de compliquer la situation sur terrain, dit Hervé Ladsous.<br />
<br />
Le chef des opérations de maintien de la paix des Nations unies n’a estimé que le retrait progressif des casques bleus de la Mission de l’Organisation des Nations unies en République démocratique du Congo tel que suggérer par Joseph Kabila dans son discours dépendra de discussions qui seront engagées entre le gouvernement congolais et le Conseil de Sécurité de l’ONU.<br />
<br />
A Kinshasa, le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en RDC, Martin Kobler était du même avis qu’Hervé Ladsous. Pour lui, si la restauration de l’autorité de l’Etat est effective sur terrain, la MONUSCO pliera ses bagages. On ne veut pas laisser le pays dans un état fragile « , dit-il.<br />
<br />
A en croire le chef de la Mission onusienne, la proposition de retrait de la MONUSCO revient au Conseil de sécurité en concertation avec le gouvernement de la RDC.<br />
<br />
En effet, à travers la Résolution 2147 paragraphe 48, il y a une revue stratégique pour envisager le retrait progressif de la MONUSCO en RDC.<br />
<br />
Aujourd’hui, la Mission onusienne soutient tout le programme du développement de la RDC, il est inadmissible que la force onusienne quitte le pays dans la précipitation compte de la situation sécuritaire incertaine qui prévaut dans l’Est du pays plus précisément à Beni, où plusieurs groupes armés et gangs de racketteurs sont actifs.<br />
<br />
La MONUSCO déterminée à « éradiquer » les rebelles ougandais d’ADF<br />
<br />
Au cours d’une conférence de presse d’hier depuis Goma, chef lieu de la province du Nord-Kivu, le général Jean Baillaud, commandant adjoint de la Force militaire de la Mission de l’Onu au Congo a indiqué que l’offensive conjointe Umoja lancée samedi contre ces Forces démocratiques alliées (ADF) va se poursuivre.<br />
<br />
« Nous ne sommes pas encore arrivés au résultat attendu mais nous sommes vraiment déterminés et nous sommes sur la bonne voie », a-t-il assuré. Cette opération avait été interrompue pendant près de trois mois et demi en dépit des massacres attribués aux rebelles de l’ADF qui ont coûté la vie à plus de 260 personnes dans le territoire de Beni. Le général Baillaud a reconnu qu' »il y a une difficulté d’adversaire qui change en permanence de tactique, et un besoin encore affirmé d’être mieux renseigné ».<br />
<br />
Un message très clair<br />
<br />
Selon Thierry Vircoulon, directeur d’International Crisis Group (ICG) pour l’Afrique centrale,  » l’ADF a toujours été très brutal et peu communicatif.<br />
<br />
Avant, ils avaient l’habitude d’instaurer un périmètre de sécurité autour de leur zone en semant la terreur, en tuant les villageois qui ne respectaient pas ce périmètre et en exposant leur corps sur les routes.<br />
<br />
Les attaques de Beni sont un message très clair adressé au gouvernement congolais qui a lancé une opération contre eux en début d’année : « Vous ne nous avez pas vaincus et nous pouvons semer la terreur où et quand nous le voulons. », dit il.<br />
<br />
Par Godé Kalonji Mukendi<br />
Le direct<br />
<br />
<br />
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la Nation Politique L’ONU réplique à Joseph Kabila

Par Hervé Ladsous et Martin Kobler Le départ de la MONUSCO dépend du Conseil de Sécurité des Nations Unies. Le secrétaire général adjoin...

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