BA SANGO YA CONGO KINSHASA

L’Eglise catholique s’engage pour la démocratie en RD Congo

February 11, 2015

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Un évêque en moto : à en croire Mgr Fridolin Ambongo, il doit parfois se rabattre sur les deux roues, en l’absence deO), dont il est administrateur. Mais, c’est une autre course d’obstacles qui l’a amené à Paris.<br />
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En tant que président de la Commission « Justice et paix » de la Conférence épiscopale nationale de la République démocratique du Congo (CENCO), il est très impliqué dans la campagne de l’Église catholique visant à défendre la Loi fondamentale du pays, qui interdit – notamment- à un président de la République d’effectuer plus de deux mandats.<br />
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Le sujet est brûlant. Il a suscité en janvier 2015 des manifestations qui ont été brutalement réprimées à Kinshasa, faisant plusieurs dizaines de morts.<br />
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Lors d’une conférence de presse au siège de la conférence épiscopale française, mardi 3 février 2015, organisée avec le Secours catholique, Mgr Fridolin Ambongo, qui est également évêque du diocèse de Bokungu-Ikela (province de l’Équateur), a remis en perspective les événements récents et expliqué pourquoi l’Église catholique défendait ardemment la démocratie dans son pays.<br />
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« Le vent de la démocratie souffle à nouveau »<br />
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« Il se passe quelque chose d’important en Afrique », commence-t-il, devant une assistance en partie composée de Congolais de la diaspora ».<br />
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« Depuis les années 1990, le vent de la démocratie a été étouffé dans la majorité de nos pays. Or il souffle à nouveau, ce dont beaucoup de dirigeants ne se sont pas encore rendu compte. Il vient d’en bas, de la société, et non pas d’en haut, comme lors du discours de La Baule », explique-t-il.<br />
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« N’importe qui pouvait devenir président »<br />
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« Le peuple est en train de basculer », prévient Mgr Fridolin Ambongo. « Il avait la réputation d’être mou, passif, de s’accommoder de tout. N’importe qui pouvait devenir président. Or, il est en train de relever la tête. Il ose s’exprimer. C’est un changement fondamental qui va en entrainer beaucoup d’autres. On l’a vu au Burkina, avec des événements que nous avons tous salués. On l’a vu dans notre pays, en RD Congo : le peuple a basculé. C’est pour nous un changement irréversible ».<br />
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« L’article 220 de la Constitution n’a pas été modifié »<br />
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« Le point de départ a été la volonté du président de se maintenir au-delà de ce qui est requis par la Loi fondamentale » explique Mgr Fridolin Ambongo.<br />
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« Le pouvoir a utilisé deux moyens. Il a d’abord voulu changer la loi fondamentale et supprimer la limite des deux mandats qui figure dans l’article 220 de la Constitution. Le président Joseph Kabila est arrivé en 2001. Il est jeune – 43 ans. Veut-il encore rester 30 ans, 40 ans, 50 ans? Il a essayé d’obtenir cette modification du parlement mais ça n’a pas marché. Il y a eu une levée de boucliers de la société civile et surtout de l’Église catholique », rappelle-t-il.<br />
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« Une autre carte : un recensement général de la population »<br />
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« Il a alors joué une autre carte », raconte le président de la Commission Justice et paix. « Il a voulu conditionner le calendrier électoral – des élections locales en 2015, des élections législatives et présidentielle en 2016 – au déroulement d’un recensement général de la population, le premier depuis trois décennies. Or les statisticiens disent que cela prendrait quatre ou cinq ans, à cause du manque d’infrastructures adéquates dans le pays. Cela équivaudrait donc à un nouveau mandat complet, gratuit, pour le président ».<br />
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« Comme pasteurs, nous étions révoltés »<br />
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« Cela a provoqué des manifestations contre lesquelles le pouvoir a violemment réagi », gronde-t-il. « Rien qu’à Kinshasa, il y a eu au moins 43 morts. Le pouvoir n’a pas cherché à dialoguer. Il a sorti des chars de combat, que l’on préférerait voir à l’est du pays, où il y a encore tant de troubles. Moi, j’étais à Kinshasa à ce moment-là. Comme pasteurs, nous étions révoltés. Comment un régime peut-il sortir les armes contre des manifestants qui réclament plus de démocratie? »<br />
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« Étonné par la résistance de la population »<br />
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« En même temps, nous étions au comble de l’étonnement avec cette résistance de la population », souligne Mgr Fridolin Ambongo. « L’opposition, qui avait été si souvent ridiculisée, méprisée, a su organiser la contestation. Et le peuple a fait preuve de courage en osant se dresser malgré l’interdiction de manifester. Face à cette résistance, le pouvoir a dû faire marche arrière. L’alinéa 3 du paragraphe 8 du projet de loi contesté a été retiré à l’Assemblée ».<br />
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« Quel joker le président Kabila a-t-il encore dans sa poche? »<br />
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« Que va faire le pouvoir maintenant »? s’interroge l’évêque. « Quel joker a-t-il encore dans sa poche? Malgré ces deux échecs, il n’a pas renoncé à se maintenir. Nous avons deux indications de sa détermination. D’une part, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) n’a pas encore publié le calendrier électoral des deux prochaines années ».<br />
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« D’autre part, ajoute-t-il, nous-mêmes de la conférence épiscopale, nous avons rencontré le président Kabila au plus fort de la crise. Nous lui avons posé des questions, suggéré des solutions, et nous lui avons demandé : en 2016, vous retirez-vous ou pas? Il n’a pas clarifié sa position. C’est donc qu’il cherche encore un mécanisme qui lui permettrait de prolonger son mandat ».<br />
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« L’enjeu, c’est le respect de la Loi fondamentale »<br />
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« L’Église catholique ne se détermine pas par rapport au président Kabila en lui-même », a précisé Mgr Fridolin Ambongo lors d’un entretien à La Croix après la conférence de presse.<br />
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« Il ne s’agit pas de dire : on est pour ou contre Kabila; il ne s’agit pas de faire le bilan de la gestion des années Kabila. L’enjeu, c’est le respect de la Loi fondamentale de notre pays qui dit : au Congo, on ne peut pas faire plus de deux mandats présidentiels. Le président Kabila est à la fin de son second mandat. Conformément à la loi fondamentale du pays, il ne peut plus se représenter », a-t-il précisé.<br />
« L’Église participe à l’organisation de la cité »<br />
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« L’Église catholique est dans sa mission quand elle s’engage ainsi », assure Mgr Fridolin Ambongo. « L’Église est mère et éducatrice. Elle a le rôle d’accompagner le peuple vers plus de dignité, de respectabilité, ce qui manque aujourd’hui cruellement ».<br />
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« L’Église ne fait pas de politique si cela signifie de participer à des élections pour devenir ministre, sénateur ou député… Mais elle fait de la politique si cela signifie participer à l’organisation de la cité pour que chacun puisse vivre dignement, conformément à l’image du Créateur, en prenant en compte les trois dimensions pointées par le pape Paul VI : l’économique, le politique et le socioculturel. L’Église ne peut pas ignorer la dimension politique de l’être humain », souligne-t-il.<br />
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L’imbroglio autour de l’abbé Apollinaire Malumalu<br />
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Mgr Fridolin Ambongo est d’ailleurs revenu, en réponse à une question, sur l’imbroglio qui s’est noué autour de l’abbé Apollinaire Malumalu, prêtre catholique et président de la CENI. « En 2003, une commission électorale indépendante a été créée. Le pays était dans une phase de transition démocratique soutenu par l’Église catholique. Elle a alors donné son mandat à l’abbé Apollinaire Malumalu pour qu’il assume la présidence de la CEI. Mais cela s’est mal terminé », rapporte-t-il.<br />
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« L’Église l’a exhorté à quitter sa fonction. Cela a pris du temps. Puis lorsque la CENI a pris la place de la CEI, l’Église catholique a refusé de présenter un religieux comme candidat à un poste dirigeant. Or d’autres confessions religieuses ont proposé l’abbé Malumalu, qui a accepté de présider la CENI contre notre volonté. Nous sommes à présent en train d’instruire un dossier contre lui ».<br />
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« Le mouvement doit être encouragé de l’extérieur »<br />
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Le président de la Commission Justice et paix de RD Congo était aussi à Paris pour participer au lancement d’une campagne, « Tournons la page », une large alliance d’associations, de syndicats, d’intellectuels, de responsables religieux, qui milite en faveur de l’alternance démocratique et contre le maintien au pouvoir illimité des dirigeants en Afrique. « Le peuple commence à se réveiller, à se redresser, mais ce mouvement doit être encouragé, accompagné de l’extérieur », explique-t-il.<br />
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« Chez nous, l’opinion publique n’est pas organisée. Dès lors, s’il n’y a pas une caisse de résonance internationale, le pouvoir ne la prend pas en compte », indique-t-il.<br />
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« Nous avons besoin de paroles fortes des Occidentaux »<br />
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« Nos efforts porteraient davantage s’ils étaient soutenus par des partenaires d’autres pays, d’autres sous-régions africaines, d’autres continents », insiste l’évêque, qui est aussi membre de l‘ordre des Frères mineurs capucins.<br />
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« Alors nous sommes ici à Paris, après avoir été à Berlin et avant d’aller à Bruxelles, pour inciter les puissances occidentales à accompagner le mouvement populaire, à soutenir les efforts du peuple, notamment en prenant des positions claires sur le risque de changement constitutionnel, le risque d’exactions à l’encontre des manifestants qui veulent la démocratie, la liberté ».<br />
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« Il faudrait que ces puissances surveillent de près le pouvoir et lui disent que s’il ne se comporte pas bien, il aura des problèmes. Nous avons besoin de paroles fortes, comme celle de François Hollande en novembre à Dakar. Songez qu’aucun responsable n’a été inquiété après les 43 morts de janvier à Kinshasa».<br />
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« La démocratie est le meilleur régime »<br />
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« Nous pensons que si nous travaillons ainsi main dans la main, la voix du peuple deviendra plus forte », plaide Mgr Fridolin Ambongo, qui s’est rendu à l’automne dernier au Royaume Uni, aux États-Unis et au siège de l’ONU, à New York, où il a porté ce message avec d’autres responsables catholiques mais aussi des représentants d’Églises protestantes ».<br />
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« Nous pensons que la démocratie est le meilleur régime pour défendre et garantir l’intérêt supérieur du peuple. Nous avons déjà essayé toutes les formes de dictature, depuis l’époque du roi Léopold II jusqu’à maintenant. Nous savons que dans une dictature, l’intérêt du peuple n’est jamais pris au sérieux ».<br />
« Donner la voix au peuple »<br />
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« L’avantage de la démocratie, c’est de donner la voix au peuple pour qu’il puisse défendre ses propres intérêts », argumente-t-il.<br />
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« Nous voyons cette réalité en Europe : grâce au processus de démocratisation en Occident, l’être humain a été libéré de beaucoup de contraintes et l’intérêt du peuple est devenu pratiquement l’unique raison d’être des hommes politiques. Ils se battent pour mieux servir leur peuple. Évidemment, avec des hauts et des bas, mais chez nous, c’est encore loin d’être le cas ».<br />
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« Pour la transparence dans la gestion des ressources naturelles »<br />
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Parmi ses nombreuses responsabilités, Mgr Fridolin Ambongo compte aussi celle de président de la Commission épiscopale pour les ressources naturelles de la CENCO. « Le combat pour l’instauration d’un régime politique démocratique n’aboutira pas si on ne met pas de l’ordre dans l’exploitation des ressources naturelles », prévient-il.<br />
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« Il n’y aura pas de démocratie chez nous si on n’instaure pas la transparence dans la gestion de ces ressources. L’Europe doit être à la pointe de ce combat ».<br />
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Le direct<br />
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Religion L’Eglise catholique s’engage pour la démocratie en RD Congo

Un évêque en moto : à en croire Mgr Fridolin Ambongo, il doit parfois se rabattre sur les deux roues, en l’absence deO), dont il est admi...

VIDEO. Kabila azali candidat na 2016 ou pas ? Mende alobi pona nini FEINGOLD AMATISAKA MA PEKA NA YE NA RWANDA TE KAKA NA CONGO?

February 10, 2015

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VIDEO. Kabila azali candidat na 2016 ou pas ? Mende alobi pona nini FEINGOLD AMATISAKA MA PEKA NA YE NA RWANDA TE KAKA NA CONGO?

Elections en RDC : 2016, Russ Feingold insiste sur la présidentielle !

February 10, 2015

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhy7dYXUVFjrJdaErsV2Lup5k3ctDqrnXasM8-7h0r0jiqS0sHqrwZShrRlZ5x2E2UtVyY7Fn4nah8STVSahpFldoKk3nwxK7urOBhfvKtPDGPzIm3nehcbW3mmP_DBZOG24PGm5AwnHMcg/s1600/Snapshot_673.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="368" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhy7dYXUVFjrJdaErsV2Lup5k3ctDqrnXasM8-7h0r0jiqS0sHqrwZShrRlZ5x2E2UtVyY7Fn4nah8STVSahpFldoKk3nwxK7urOBhfvKtPDGPzIm3nehcbW3mmP_DBZOG24PGm5AwnHMcg/s1600/Snapshot_673.jpeg" width="400" /></a></div>
*L’Envoyé spécial de Barack Obama dans la région des Grands Lacs est arrivé hier, lundi 9 février 2015, à Kinshasa. Au cours d’un échange avec la presse, le diplomate américain a déclaré que le manque de financement ne devait pas être une excuse pour ne pas organiser les élections en RDC. Les Etats-Unis, a-t-il informé, font en sorte qu’ils soient parmi les premières puissances à pouvoir soutenir la tenue d’élections au Congo-Kinshasa. A cet effet, a-t-il révélé, son pays a déjà décaissé 20 millions de dollars américains. M. Feingold a saisi cette opportunité pour réitérer la demande de son pays de voir le calendrier global être publié, en incluant, clairement, l’élection présidentielle qui, souligne-t-il, devra se tenir avant fin 2016.  <br />
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Russ Feingold, envoyé spécial de Barack Obama dans la région des Grands Lacs est de nouveau à Kinshasa. Il est arrivé hier, lundi 9 février 2015.<br />
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Connu pour son franc-parler, le diplomate américain ne s’est pas fait prier pour prendre position par rapport au processus démocratique au Congo-Kinshasa.<br />
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Pour lui, en effet,  le transfert de pouvoir au pays de Joseph Kabila doit se faire de manière paisible et démocratique à travers la tenue d’élections crédibles et transparentes. Il a, pour ce faire, réitéré, au cours d’une conférence de presse, la demande des USA appelant à la publication d’un calendrier électoral complet.<br />
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‘‘Nous avons réitéré à maintes reprises la nécessité de publier un calendrier électoral complet’’, a-t-il déclaré. Et, avec l’adoption effective de la loi électorale, pense Feingold, les conditions sont là pour que ce calendrier soit publié. Qui plus, le diplomate américain a, particulièrement, souligné le fait que ce calendrier devrait inclure, d’une manière claire, la tenue de l’élection présidentielle qui aurait  lieu avant fin 2016.<br />
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Peut-on considérer cette demande pressante des USA comme une injonction faite aux autorités rd-congolaises ? A cette question, l’envoyé spécial de Barack Obama a indiqué que la politique des Etats-Unis en cette matière ne s’applique pas uniquement à la RDC. ‘‘Ce n’est pas une politique, a-t-il précisé, que son pays recommande spécifiquement à la RDC, mais c’est une manière de faire qui va s’appliquer à tous les gouvernements de la région et, au-delà, au continent africain’’.<br />
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Cette prise de position de l’envoyé du Président Obama est partagée  par l’Ambassadeur américain en poste à Kinshasa qui, au cours de la journée ‘‘Martin Luther King’’ célébrée  le vendredi dernier, a déclaré que  la  démocratie constitutionnelle implique le respect de la constitution, même par ceux qui pourraient être personnellement désavantagés en la respectant. Cela suppose également le renouvellement régulier des dirigeants, y compris des responsables politiques bien installés dans leurs postes.<br />
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La Pros.        <span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />
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Politique Elections en RDC : 2016, Russ Feingold insiste sur la présidentielle !

*L’Envoyé spécial de Barack Obama dans la région des Grands Lacs est arrivé hier, lundi 9 février 2015, à Kinshasa. Au cours d’un échange ...

La RDC affirme avoir « engagé » une offensive contre les rebelles hutus rwandais

February 10, 2015

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyPTvdQBhVjVPhMZGVFdthsGqYHKKJUvHZ0AbUTLKqAn_9nv5c791WIaFPT2-iKxGqryqavKI2caqdLOv82L3huAzfTfxLqOfoCH6wjGK6la1sua1jBNTULIIq4p2SC5xHaACbBw6xNTOW/s1600/Snapshot_672.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="262" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyPTvdQBhVjVPhMZGVFdthsGqYHKKJUvHZ0AbUTLKqAn_9nv5c791WIaFPT2-iKxGqryqavKI2caqdLOv82L3huAzfTfxLqOfoCH6wjGK6la1sua1jBNTULIIq4p2SC5xHaACbBw6xNTOW/s1600/Snapshot_672.jpeg" width="400" /></a></div>
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L’armée de la République démocratique du Congo (RDC) a « engagé » une offensive contre les rebelles hutu rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), qui sévissent depuis 20 ans dans l’est du pays, a assuré samedi le ministre congolais des Affaires étrangères.</div>
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« L’action est engagée et elle ne va pas s’arrêter tant que nous n’aurons pas neutralisé ces forces négatives », a affirmé à l’AFP Raymond Tshibanda à Addis Abeba, à l’issue d’une réunion sur les Grands Lacs organisée en marge d’un sommet de l’Union africaine (UA).<br />
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« La détermination du gouvernement est telle qu’il n’y aura pas de répit tant que nous n’en aurons pas fini avec ce groupe », a ajouté le ministre. Après des semaines de pressions internationales, la RDC a annoncé jeudi le lancement d’une offensive contre ces miliciens, dont plusieurs chefs sont accusés d’avoir pris une part active au génocide de 1994 contre les Tutsi au Rwanda. Offensive menée sans la force de l’ONU dans le pays (Monusco).<br />
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Le commissaire à la paix et la sécurité de l’UA, Smaïl Chergui, s’est félicité samedi de cette annonce, estimant que les FDLR continuaient de « recruter » des combattants. La RDC a également reçu le soutien du secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon, qui a « salué le recours à la force militaire contre les FDLR » et assuré que la Monusco « se tient prête à participer à ces opérations » pour « éliminer la menace posée par les FDLR une fois pour toutes ».<br />
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Le chef des opérations de maintien de la paix de l’ONU, Hervé Ladsous, a de son côté envisagé une intervention des hélicoptères et des drones de surveillance de la Monusco en appui de l’armée congolaise. Mais il a averti que « la neutralisation des FDLR ne se fera pas en une semaine ».<br />
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« Il s’agit de gens qui sont complètement éparpillés, diffus dans la population », a-t-il expliqué à l’AFP. « Ce n’est pas une force militaire compacte (…) Nous sommes au niveau de la recherche de fourmis dans une meule de foin. Ca va prendre du temps. »<br />
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Plusieurs observateurs et diplomates doutent cependant sérieusement de la volonté de Kinshasa de combattre réellement les rebelles hutu. Le fait que l’opération ait été annoncée à la veille du sommet de l’UA fait même dire à certains qu’elle relève certainement plus du « show » que d’une réelle offensive.<br />
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Et sur le terrain, rien ne semble encore se passer. « Je n’ai pas été informé de la moindre chose », a déclaré samedi un officier européen en poste à Kinshasa. Selon lui, certains camps d’entraînement des FDLR n’existent effectivement plus, mais « c’est parce que beaucoup de combattants les ont évacués » afin de « se fondre dans la population locale » avant ou après la fin de l’ultimatum du 2 janvier qui leur avait été donné pour rendre les armes.<br />
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Les rebelles, qui compteraient aujourd’hui 1.500 à 2.000 combattants disséminés dans les montagnes boisées de l’est congolais, sont toujours considérés par Kigali comme la « menace la plus grave » à la sécurité régionale.<br />
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Mais Kinshasa est soupçonnée de rechigner à désarmer complètement des combattants qui ont pu parfois prêter main forte aux forces armées congolaises pour lutter contre des rébellions soutenues par le Rwanda.<br />
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Politique La RDC affirme avoir « engagé » une offensive contre les rebelles hutus rwandais

L’armée de la République démocratique du Congo (RDC) a « engagé » une offensive contre les rebelles hutu rwandais des Forces démocratique...

Présidentielle 2016 : Matata, Minaku, Boshab …, la guerre des Dauphins !

February 09, 2015

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5LHtS1XRBag7qzYukECNGLadZkBV8n95VdcTlmx_Obib1FeNvcUVvv9XVeABnSYfCv9BXA46ZJufdZ_4Try0FLv2WKGjZq-N4leTDVIPuagc74WBNOaNTCdSbjPn3V0_LRnwlwQwCxxef/s1600/Snapshot_663.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5LHtS1XRBag7qzYukECNGLadZkBV8n95VdcTlmx_Obib1FeNvcUVvv9XVeABnSYfCv9BXA46ZJufdZ_4Try0FLv2WKGjZq-N4leTDVIPuagc74WBNOaNTCdSbjPn3V0_LRnwlwQwCxxef/s1600/Snapshot_663.jpeg" width="400" /></a></div>
Au lendemain des trois journées agitées dans la ville de Kinshasa, les 19, 20 et 21 janvier, Aubin Minaku avait, au cours d’un point de presse, annoncé non seulement le retrait de l’alinéa 3 de l’article 8 du projet de la loi électorale qui était à la base des incidents déplorés, mais aussi et surtout affirmé la volonté du gouvernement de ne pas modifier la Constitution.<br />
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Le président de l’Assemblée nationale. Aubin Minaku, «est pas la seule personnalité politique de la Majorité présidentielle à affirmer la volonté de Kinshasa, mais surtout du chef de l’Etat, Joseph Kabila, de respecter les prescrits de la Constitution qui régit la République démocratique du Congo depuis 2006. Reçu à l’émission «Internationales», co-produite par Radio France Internationale (RFI) et TV5 Monde. Lambert Mende, ministre de l’information et porte-parole du gouvernement, affirmait qu’en 2016, il y aura remise et reprise entre l’ancien et le nouveau président en RDC. Malgré les déclarations faites par les acteurs de la Majorité présidentielle face aux intentions de déverrouiller l’article 220 de la Constitution, pour permettre au chef de l’Etat. Joseph Kabila, à briguer un troisième mandat en 2016, les opérateurs politiques de l’opposition restent sceptiques. En attendant de voir clair sur ce dossier dans les jours à venir, des analystes ont repris du service en ce qui concerne le probable candidat que présentera la MP si jamais Joseph Kabila ne se lançait dans la course présidentielle en 2016. Le chef de l’Etat va-t-il, en sa qualité de l’autorité morale de la Majorité présidentielle, désigner un Dauphin ? La question fait le tour de tous les salons politiques à Kinshasa.<br />
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Bataille des gladiateurs à craindre<br />
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Dans un article intitulé : «2016, ceux qui comptent », AfricaNews révèle que la « guerre» risque d’être rude au sein du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD). Cinq noms sont cités du côté du parti présidentiel pour disputer le poste de Dauphin. AfricaNews conseille même l’organisation des primaires. Mais cette hypothèse ne devrait pas passer, connaissant ‘les habitudes politiques en RDC en cette matière.<br />
Si JKK ne désigne pas un Dauphin, trois des cinq personnalités ciblées, notamment Aubin Minaku (président de l’Assemblée nationale), Augustin Matata Ponyo (Premier ministre) et Evariste Boshab (vice-premier ministre et ministre de I’Intérieur) risquent de se lancer dans une bataille des gladiateurs. Selon des sources proches de la MP, deux de ces trois personnalités disposeraient déjà de leurs états-majors dans le cadre de la présidentielle de 2016. Ceux-ci fonctionneraient dans deux grands hôtels de Kinshasa.<br />
En dépit du semblant d’unité dont font montre les acteurs politiques du PPRD, ceux des compatriotes qui assistent aux activités dudit parti politique constatent que chaque cadre se fait entourer des jeunes qui ne chantent qu’à sa gloire et à celle du chef de l’Etat. «Mingi mingi totangakakomboya Raïs….. Raïs mingimingi otangaka kombo ya…» (Traduisez : Il faut souvent citer le nom du chef de l’Etat… Et au chef de, l’Etat nous lui demandons de citer souvent le nom de…).<br />
Ce .sont ce genre des slogans que l’on entend lors des activités du PPRD. Cela signifie que chaque cadre du PPRD, ceux qui lorgnent la présidentielle de 2016, veut tirer le drap de son côté.<br />
CN<br />
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Politique Présidentielle 2016 : Matata, Minaku, Boshab …, la guerre des Dauphins !

Au lendemain des trois journées agitées dans la ville de Kinshasa, les 19, 20 et 21 janvier, Aubin Minaku avait, au cours d’un point de pr...

Tensions entre le Gouvernement et la Monusco!

February 09, 2015

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiAkoJe5njpXpdzjjqWeF1UCg_p6MrCutI0OrKbga2ki0LuzSoD2cS_B7vNHi2ohSChPt0LNdhHbXftXD1FYB7fbfNyiryRhj3WPf7XvNYz1jYxHdBBMwz3wmxvtz6ll3vGtSzZb9LZuYDw/s1600/Snapshot_662.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="185" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiAkoJe5njpXpdzjjqWeF1UCg_p6MrCutI0OrKbga2ki0LuzSoD2cS_B7vNHi2ohSChPt0LNdhHbXftXD1FYB7fbfNyiryRhj3WPf7XvNYz1jYxHdBBMwz3wmxvtz6ll3vGtSzZb9LZuYDw/s1600/Snapshot_662.jpeg" width="400" /></a></div>
Plus rien ne va entre les Forces armées de la République démocratique et la Monusco sur la question de l’offensive contre les rebelles rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda. Après une vive tension, la Mission des Nations unies en République démocratique du Congo est passée à la vitesse supérieure en imposant, cette fois-ci, un ultimatum aux FARDC.<br />
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De la parole à l’acte, la Monusco accorde deux semaines, pas plus, pas moins, à la République démocratique du Congo de remplacer deux généraux qui seraient accusés de violations de droits de l’homme. Il s’agit des généraux Bruno Mandevu et Sikabwe Fall chargés de mener l’opération Sukola II. Ces officiers généraux des FARDC ont été nommés pour diriger l’opération militaire contre les rebelles rwandais dans le cadre de l’Opération Sukola II.<br />
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Le gouvernement congolais ne l’entend pas de cette oreille. Il a fait savoir hier par le truchement de son porte-parole qu’il ne Comptait pas remplacer les deux généraux. Pour être écarté du commandement, il faudrait avoir fait “l’objet d’une condamnation par notre justice militaire. Or, il n’y a rien de tel”, a déclaré Lambert Mende. En outre, Bruno Mandevu et Sikabwe Fall, les deux généraux qui sont chargés de combattre les Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), “ont toujours travaillé avec les Nations unies”, a-t-il dit.<br />
Tout serait parti de la rencontre, vendredi dernier à Addis-Abeba, où les responsables de l’ONU ont indiqué au ministre congolais des Affaires étrangères Raymond Tshibanda que les deux généraux devaient être remplacés d’ici le 13 février, faute de quoi les Nations unies retireront leur soutien à l’opération. En outre, un responsable de l’ONU a indiqué, mercredi dernier, avoir dit au, ministre:<br />
“Si vous gardez ces hommes, nous n’allons pas être en position de vous aider”. “C’est une décision qu’ils doivent prendre. Sinon, ça va être un obstacle majeur”, aurait-t-il expliqué.<br />
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Nul n’est besoin de rappeler qu’après plusieurs semaines de pressions étrangères les FARDC ont annoncé, le 29 janvier, Ie lancement l’opération contre les rebelles des Forces démocratiques de libération du Rwanda. L’armée congolaise avait décidé, en son temps, de mener les opérations contre les rebelles rwandais seules sans la Monusco. La Mission des Nations unies en RDC détiendrait une liste d’officiers indésirables des FARDC qui se seraient compromis dans leur mission dans de graves violations des droits de l’homme.<br />
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Selon la Monusco, un accord aurait été trouvé avec les autorités congolaises afin que les généraux conduisant les opérations ne présentent pas de mauvais bilan en matière de droits de l’homme. Mais, on en sait un peu plus sur ce qui motive la désapprobation de la Monusco. Il nous revient d’appendre, à ce propos, que la Monusco avait des liens suspects avec les officiers qui ont été remplacés. Ces derniers semblaient désormais plus répondre de cette mission que de la République. Leur remplacement par des officiers difficilement conditionnables a dérouté la Monusco. D’où, la série de caprices et la volonté de compliquer les choses qui se sont manifestées par la suite.<br />
<br />
Néanmoins, les Fardc se disent prêtes à toute collaboration avec la Monusco, mais dans le strict respect des règles et normes d’usage. C’est notamment le fait qu’une collaboration de ce type ne doit pas ouvrir les portes à une main mise sournoise et malicieuse sur notre système de défense. Ce malentendu, tarde l’offensive proprement dite contre les rebelles rwandais.<br />
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Pendant ce temps, l’axe Kinshasa-Kigali semble répartir de plus bel. Une délégation du gouvernement congolais conduite par le vice-ministre de La Défense nationale séjourne dans la capitale rwandaise depuis le 02 février. Au total, 453 ex-M23 qui avaient traversé la frontière rwandaise après leur défaite face aux FARDC en novembre 2013 ont été identifiés.<br />
<br />
« Cela a pris un peu de temps », a reconnu François Muamba en sa qualité de coordonnateur du Mécanisme national de suivi de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, indiquant dans ce communiqué que “les choses sont claires”. “Maintenant, c’est chose faite, la délégation est là-bas. Nous avons signé un communiqué commun-tout comme en son temps, nous avions signé avec l’Ouganda. Dans ce communiqué, les choses sont claires, sont précises. Nous allons récupérer les armes comme nous l’avons fait en Ouganda. Nous allons également récupérer nos compatriotes qui souhaitent rentrer”, a-t-il expliqué.<br />
LP<br />
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Politique Tensions entre le Gouvernement et la Monusco!

Plus rien ne va entre les Forces armées de la République démocratique et la Monusco sur la question de l’offensive contre les rebelles rwa...

CAN-2015 : Didieu Drogba fou de joie après la victoire de la Côte d’Ivoire ( vidéo)

February 09, 2015

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L’ancien buteur star de la Côte d’Ivoire Didier Drogba a posté une vidéo surprenante en réaction à la victoire des Éléphants lors de la CAN-2015. Une belle illustration de l’attachement de l’attaquant de Chelsea, fraîchement retraité en sélection.</h3>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCWsGkPwz3LIynMI0mXPJTgbb-ficEVe97bWJH_6l9w0P9cx07jNjN327GPJYJwDIRbaJSeA4S20xSvTh7y1oFb3JbiBS3kSISjpoN2oSknOltNUpTFcjbWBolxpx_jEcxyS6tuwMp8rYF/s1600/Snapshot_657.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="236" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCWsGkPwz3LIynMI0mXPJTgbb-ficEVe97bWJH_6l9w0P9cx07jNjN327GPJYJwDIRbaJSeA4S20xSvTh7y1oFb3JbiBS3kSISjpoN2oSknOltNUpTFcjbWBolxpx_jEcxyS6tuwMp8rYF/s1600/Snapshot_657.jpeg" width="400" /></a></div>
Au lendemain de la victoire des Éléphants de Côte d’Ivoire en finale de la CAN-2015, les médias n’ont pas tari d’éloges sur la performance de Yaya Touré et de ses coéquipiers face au Ghana (0-0, 9 tab 8). Mais c’est une autre réaction, celle de l’ancienne star du football ivoirien Didier Drogba, qui a particulièrement touché les supporters.<br />
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L’ancien Marseillais, qui a pris sa retraite internationale au lendemain de la Coupe du Monde 2014, s’est visiblement pris au jeu lors de la séance de tirs aux buts victorieuse de ses anciens coéquipiers. Sur le réseau social Instagram, il a posté une vidéo filmée alors que le gardien ivoirien Barry Copa allait frapper le dernier tir au but de la séance. Sa réaction est particulièrement saisissante.<br />
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<div style="border: 0px; color: #191919; font-family: Roboto, Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; font-stretch: inherit; letter-spacing: 0.0799999982118607px; line-height: 22px; margin-bottom: 26px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
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<blockquote class="instagram-media" data-instgrm-captioned="" data-instgrm-version="4" style="background: #FFF; border-radius: 3px; border: 0; box-shadow: 0 0 1px 0 rgba(0,0,0,0.5),0 1px 10px 0 rgba(0,0,0,0.15); margin: 1px; max-width: 658px; padding: 0; width: -webkit-calc(100% - 2px); width: 99.375%; width: calc(100% - 2px);">
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<div style="background: #F8F8F8; line-height: 0; margin-top: 40px; padding: 50% 0; text-align: center; width: 100%;">
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<a href="https://instagram.com/p/y24geBOjBl/" style="color: black; font-family: Arial,sans-serif; font-size: 14px; font-style: normal; font-weight: normal; line-height: 17px; text-decoration: none; word-wrap: break-word;" target="_top">Coooopaaaa faut marquer buuulaaaaa cooooopaaaaa!!!!!!!!! Kikakiakakakaiakiakiakaikaikaikaikaiakiaakiakai 😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂 @jo_drogba @juniordrogbamc @____isdrog11____ @mainyfabulous</a></div>
<div style="color: #c9c8cd; font-family: Arial,sans-serif; font-size: 14px; line-height: 17px; margin-bottom: 0; margin-top: 8px; overflow: hidden; padding: 8px 0 7px; text-align: center; text-overflow: ellipsis; white-space: nowrap;">
Une vidéo publiée par didierdrogba (@didierdrogba) le <time datetime="2015-02-08T22:49:29+00:00" style="font-family: Arial,sans-serif; font-size: 14px; line-height: 17px;">8 Févr. 2015 à 14h49 PST</time></div>
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</blockquote>
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<div style="color: #c9c8cd; font-family: Arial,sans-serif; font-size: 14px; line-height: 17px; margin-bottom: 0; margin-top: 8px; overflow: hidden; padding: 8px 0 7px; text-align: center; text-overflow: ellipsis; white-space: nowrap;">
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<span style="letter-spacing: 0.0799999982118607px;">Didier Drogba, particulièrement actif sur Instagram, a suivi la compétition avec assiduité. Quelques heures avant la finale, il avait posté un autre message à l’attention de ses coéquipiers. "Déçu de ne pas faire partie de cette aventure mais content et soulagé d'avoir arrêté à temps pour que vous puissiez grandir ! Faites de ce jour, Votre jour, Votre victoire et le reste ‘will be history’", avait écrit le buteur de Chelsea à l’endroit de plusieurs de ses coéquipiers.</span></blockquote>
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<div style="border: 0px; color: #191919; font-family: Roboto, Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; font-stretch: inherit; letter-spacing: 0.0799999982118607px; line-height: 22px; margin-bottom: 26px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Au lendemain de la victoire, il a récidivé, s’adressant cette fois au héros de la soirée, le gardien de but Barry Copa.</div>
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<div style="border: 0px; color: #191919; font-family: Roboto, Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; font-stretch: inherit; letter-spacing: 0.0799999982118607px; line-height: 22px; margin-bottom: 26px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<span style="letter-spacing: 0.0799999982118607px;">Un hommage que le portier des Éléphants, longtemps sous le feu des critiques et remplacé par l’excellent Sylvain Gbohouo durant l’essentiel de la compétition, saura vraisemblablement apprécier à sa juste valeur.</span></div>
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SELON FRANCE 24<br />
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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCWsGkPwz3LIynMI0mXPJTgbb-ficEVe97bWJH_6l9w0P9cx07jNjN327GPJYJwDIRbaJSeA4S20xSvTh7y1oFb3JbiBS3kSISjpoN2oSknOltNUpTFcjbWBolxpx_jEcxyS6tuwMp8rYF/s1600/Snapshot_657.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

internationale Sport CAN-2015 : Didieu Drogba fou de joie après la victoire de la Côte d’Ivoire ( vidéo)

L’ancien buteur star de la Côte d’Ivoire Didier Drogba a posté une vidéo surprenante en réaction à la victoire des Éléphants lors de la CAN...

Congo: la famille de Sassou Nguesso dans le viseur des juges français

February 09, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZ1oVgNgb-zfdHEfnwFjFEC5iu6MM1inBL8afXLtgudcjpnF1JrVqwnhlIRqtpsZKh52Etd9RhzOgu-N4G20nF82DospRlN8PerccGv3ouUkGGeKU04D48IF74guxUbzGZHs3rt6QBcunq/s1600/Snapshot_650.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="258" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZ1oVgNgb-zfdHEfnwFjFEC5iu6MM1inBL8afXLtgudcjpnF1JrVqwnhlIRqtpsZKh52Etd9RhzOgu-N4G20nF82DospRlN8PerccGv3ouUkGGeKU04D48IF74guxUbzGZHs3rt6QBcunq/s1600/Snapshot_650.jpeg" width="400" /></a></div>Après le fils du président équato-guinéen Teodoro Obiang qu’ils ont mis en examen, la famille de Sassou Nguesso: les juges financiers parisiens chargés de l’enquête dite des biens mal acquis ciblent l’entourage du président congolais.<br />
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Les juges Roger Le Loire et René Grouman ne semblent guère impressionnés par Denis Sassou Nguesso qui, en avril 2013, lors d’une visite officielle en France, leur avait dénié « le droit » d’enquêter sur le patrimoine de sa famille. Une entorse, selon lui, au principe de non-ingérence.<br />
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Tout comme le Gabonais Omar Bongo, décédé depuis, et les Obiang, le président du Congo et sa famille sont visés depuis 2009 par une enquête sur leur patrimoine français. Elle a été déclenchée par une plainte de l’association Transparency International qui le soupçonnait « d’avoir détourné, à son profit et au profit de sa famille et de son clan, une partie substantielle de la rente pétrolière » du pays d’Afrique centrale.<br />
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La semaine dernière, une quinzaine de véhicules de luxe ont été saisis à Neuilly-sur-Seine, chez des membres de sa famille, ont annoncé à l’AFP des sources proches de l’enquête.<br />
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Dans cette commune cossue de la banlieue parisienne, les enquêteurs ont déjà mené une perquisition, le 3 octobre 2014, dans un triplex de 300 m2 dont ils sont convaincus que « les réels propriétaires », dissimulés derrière des sociétés civiles immobilières (SCI), sont un couple de la famille, a-t-on ajouté.<br />
<br />
Une perquisition spectaculaire, selon un inventaire dressé à l’AFP par une source proche du dossier: bijoux, montres, parfois serties de pierres précieuses, vêtements de marque pour certains encore munis de leur étiquette de prix s’élevant à plusieurs milliers d’euros. Mais aussi des factures d’achats de vêtements pour plus de 1,3 million d’euros entre février 2010 et janvier 2011.<br />
<br />
Quand ils ont demandé à une occupante de l’appartement d’ouvrir une valise cadenassée, les enquêteurs y ont trouvé des liasses de billets en coupures de 100 ou 200, pour plus de 250.000 euros, et près de 150.000 dollars, rapporte la source.<br />
<br />
Entendue début novembre, l’agent immobilier qui a conclu la transaction s’est souvenue d’une vente « longue et compliquée » car le couple « a demandé des modifications » avec des requêtes parfois « démesurées comme une piscine sur la terrasse ou des dressings de 15 m2″.<br />
<br />
‘Le Congo, pays souverain’<br />
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Les travaux dans ce triplex acquis pour environ 2,3 millions d’euros en 2009 ont été évalués par les enquêteurs à environ 1,5 million, somme notamment réglée à un architecte d’intérieur par une société offshore de droit mauricien, Cipci International, dont les enquêteurs pensent que le compte est « essentiellement alimenté » par le Trésor public congolais, poursuit une source proche de l’enquête.<br />
<br />
Ces mouvements financiers intéressent les enquêteurs: dans le triplex de Neuilly, ils ont saisi des ordres de transfert de fonds du Trésor de Brazzaville vers diverses sociétés pour un montant de plus de 20 millions d’euros entre juin 2010 et juillet 2012. L’écheveau de sociétés est complexe, mais les enquêteurs s’appuient notamment sur des signalements de la cellule antiblanchiment de Bercy, Tracfin.<br />
<br />
Ils s’intéressent par exemple à ces virements d’un armateur congolais « au bénéfice de sociétés d’aviation privée », d’un parc de loisir, de restaurants ou de traiteurs chics parisiens, rapporte une source proche du dossier.<br />
<br />
En juillet, Tracfin s’étonnait aussi des 18 millions versés entre 2012 et 2014 à des architectes d’intérieur par des entités publiques congolaises.<br />
<br />
Ce qui pourrait relever du « recel de détournement de fonds publics », selon Tracfin qui a recommandé à la justice de s’intéresser aussi à divers achats immobiliers à Paris réalisés par des ressortissants congolais, tel cet « avocat international proche du président congolais Denis Sassou Nguesso », gérant de deux SCI, rapporte la source.<br />
<br />
« L’institution judiciaire française persiste à se mêler de ce qui ne la regarde pas. Il s’agit des finances du Congo, pays souverain, pas des finances de la France. Toute enquête de ce type est illégale au regard du droit international », juge l’avocat de la République du Congo, Jean-Pierre Versini-Campinchi.<br />
<h3 style="background-color: white; color: #666666; font-family: 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; line-height: 22.5px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">AFP</h3><br />
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZ1oVgNgb-zfdHEfnwFjFEC5iu6MM1inBL8afXLtgudcjpnF1JrVqwnhlIRqtpsZKh52Etd9RhzOgu-N4G20nF82DospRlN8PerccGv3ouUkGGeKU04D48IF74guxUbzGZHs3rt6QBcunq/s1600/Snapshot_650.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br />
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Le direct<br />
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<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

internationale Politique Congo: la famille de Sassou Nguesso dans le viseur des juges français

Après le fils du président équato-guinéen Teodoro Obiang qu’ils ont mis en examen, la famille de Sassou Nguesso: les juges financiers parisi...

Dernières manifs à Kin, l’opposition prépare une plainte contre le pouvoir à la CPI

February 09, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWfEEz2bouo3EGQGp_Yoff6Mfoz4DAODmqw5q9p7z-ZWphM9M1NOB0coMMG-ycTIjnSHlLZEcaVkMAKEaA94wzZgoN47-iMdY2ox-g6_rzRXIDUp1xHpbutQZj_nLjfuZy8Rl7N6nK-Lk2/s1600/Snapshot_249.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWfEEz2bouo3EGQGp_Yoff6Mfoz4DAODmqw5q9p7z-ZWphM9M1NOB0coMMG-ycTIjnSHlLZEcaVkMAKEaA94wzZgoN47-iMdY2ox-g6_rzRXIDUp1xHpbutQZj_nLjfuZy8Rl7N6nK-Lk2/s1600/Snapshot_249.jpeg" width="380" /></a></div>L’opposition prépare une plainte à la CPI contre le pouvoir. La plainte est fondée sur les dernières manifs du 19 au 25 janvier contre le pouvoir à Kinshasa. Une enquête est ouverte à ce sujet par les opposants déterminés d’en découdre avec le régime. Un collectif des avocats est déjà à pied d’œuvre. L’équipe parle des morts en<br />
se référant au communiqué de FIDH, une ONG Française qui travaille pour la défense des droits de l’homme. La<br />
plainte sera déposée dans les jours à venir. Avant son dépôt, l’opposition rendra public ledit rapport qui est<br />
entrain d’être établi. Sur ce, les juges de la CPI, sont saisit selon un opposant. Si la CPI jugeait la plainte re-cevable, la démarche pourra coûter cher, alors très cher au régime, surtout que la Rd-Congo n’a jamais fait le bon élève sur le respect des droits de l’homme. Ils se réfèrent au rapport publié par des ONGs sur le respect des droits de l’homme, le dernier rapport de l’ONG Américaine Humans Rights Watch sur l’opération «Likofi» dont Kanyama est nommément cité sur la violation des droits de l’homme en répétition<br />
en Rd-Congo et la révolte à Kinshasa, à la suite de la loi Boshab, laquelle loi a occasionné plus de cent morts, selon les ONGD. C’est ce qui est à la base de la motivation de la plainte des opposants.<br />
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MTN<br />
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Le direct<br />
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Justice Politique Dernières manifs à Kin, l’opposition prépare une plainte contre le pouvoir à la CPI

L’opposition prépare une plainte à la CPI contre le pouvoir. La plainte est fondée sur les dernières manifs du 19 au 25 janvier contre le po...

2017 ET 2019 DESOMAIS DANS LE VISEUR DE LA RDC LE BRONZE POUR LES LÉOPARDS… EN ATTENDANT L’OR

February 09, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiPe5MsK80sHKOm36iNC_hZaBBC-0peO24n9Gkx_0_UyZ4lOs51G0libyhjyKVwLeHeyKIs4963KI99vaOXf2RQ9UTNjvu7Q29FHhgaKaBt72KBMxLE6Cocq-6UZikiriDz8OqYdY8VeOsN/s1600/Snapshot_611.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="261" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiPe5MsK80sHKOm36iNC_hZaBBC-0peO24n9Gkx_0_UyZ4lOs51G0libyhjyKVwLeHeyKIs4963KI99vaOXf2RQ9UTNjvu7Q29FHhgaKaBt72KBMxLE6Cocq-6UZikiriDz8OqYdY8VeOsN/s1600/Snapshot_611.jpeg" width="400" /></a></div>
Au terme d’une rencontre particulièrement pauvre en occasions, la RD Congo a battu la Guinée équatoriale (0-0, 4 tab 2) lors de la petite finale de la CAN-2015. Les Léopards terminent la compétition sur la troisième marche du podium. L’équipe de la RD Congo, elle, pourra se satisfaire de cette très belle troisième place. Les Léopards, qui s’étaient qualifiés pour la CAN en qualité de meilleurs troisièmes, ont fait honneur à leurs couleurs en rééditant leur exploit de 1998 au Burkina Faso.<br />
<br />
L’équipe de RDC a accordé une grande importance à une médaille de bronze parfois dédaignée en Coupe d’Afrique des nations. Les Congolais se sont fait un point d’honneur de battre la Guinée équatoriale en match pour la 3ème place, le samedi 7 février à Malabo. Un succès qui a confirmé leur bon parcours durant cette CAN 2015 et conforterait leurs ambitions pour l’avenir. Désormais, la RDC a les yeux rivés sur 2017 et 2019. D’ailleurs, bien avant cette CAN, le sélectionneur national congolais Florent Ibenge a bien précisé que l’équipe en montage sera mature pour les joutes internationales de 2017 et 2019. Vu le parcours combien héroïque des Léopards, les spécialistes prédisent peut-être une médaille d’or pour les échéances à venir.<br />
L’autre point positif de cette médaille acquise à Malabo, souligne Youssouf Mulumbu, est celui de donner envie à des binationaux de venir chez les Léopards : " Après cette Coupe d’Afrique, il va falloir que de nouveaux joueurs congolais pensent à opter pour leur pays d’origine plutôt que pour les sélections française ou belge. Comme ça, nous aussi on pourra bâtir des équipes comme celles de la Côte d’Ivoire ou du Ghana ", à savoir les deux finalistes de la CAN 2015. Il ajoute : " Le vivier congolais est encore plus énorme que les gens ne le pensent. Le fait de finir troisièmes nous facilitera les choses. "<br />
Claude Le Roy, le sélectionneur de l’équipe du Congo-Brazzaville et ex-entraîneur de la RDC, connaît bien le sujet. Il a tenté à maintes reprises d’attirer chez les Léopards des jeunes joueurs d’origine congolaise nés et/ou ayant grandi en Europe : " Il n’y a qu’à regarder dans toutes les équipes, en Angleterre, en Allemagne, en Belgique, en France, dans les sélections de jeunes ou chez les A ; il y a énormément de joueurs issus de RDC. Ce qui veut dire qu’en se structurant, en s’organisant. la RDC deviendra un géant du football africain. "<br />
<br />
DERNIER ARRET INTERNATIONAL POUR KIDIABA<br />
Avec Robert Kidiaba, on n’aura plus droit à la danse des fesses lors des compétitions internationales avec la sélection congolaise. Le gardien de but des Léopards a disputé son ultime rencontre avec son équipe nationale. Ce match est le dernier sous le maillot des Léopards pour le mythique gardien de but congolais. Après cette rencontre, le dernier rempart des Léopards mettra fin à sa carrière internationale, comme il avait lui-même annoncé avant la compétition.<br />
Robert Muteba Kidiaba, né le 1er février 1976 à Kipushi, non loin de Lubumbashi, a débuté sa carrière footballistique en 2001 au sein de Saint Luc de Kananga (Kasaï-Occidental). Il intègre ensuite le TP Mazembe en 2002, avec qui il gagne plusieurs titres : vainqueur de la Ligue des champions de la CAF en 2009 et 2010, vainqueur de la Supercoupe de la CAF en 2010 et 2011, finaliste de la Coupe du monde des clubs de la FIFA en 2010, Champion de la RDC en 2006, 2007, 2009, 2011, 2012 et 2013 et vainqueur de la Supercoupe de RDC en 2013 et 2014.<br />
C’est en 2004 qu’il intègre l’équipe nationale de la RDC, qui participait à la Can en Tunisie. Cette année-là, les Léopards avaient terminé dernière de son groupe lors du premier tour de la compétition. R.M<br />
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Le direct<br />
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Sport 2017 ET 2019 DESOMAIS DANS LE VISEUR DE LA RDC LE BRONZE POUR LES LÉOPARDS… EN ATTENDANT L’OR

Au terme d’une rencontre particulièrement pauvre en occasions, la RD Congo a battu la Guinée équatoriale (0-0, 4 tab 2) lors de la petite ...

Le gouvernement cède aux pressions internes et externes et rétablit internet et les Sms

February 09, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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Le droit à l’information rétabli en RDC<br />
Après un ultimatum lancé au gouvernement congolais, l’association de défense de la liberté de la presse FFJ envisageait une marche à Kinshasa<br />
<br />
Le gouvernement de la République démocratique du Congo a enfin rétabli le samedi 7 février dernier la connexion Internet et le système des Sms, à la suite des pressions exercées sur lui par des partenaires occidentaux de la RDC et des associations de la Société civile dont l’association de défense de la liberté de la presse et du droit à l’information  » Freedom for journalist  » (FFJ).<br />
<br />
Dans un communiqué, FFJ dit prendre « acte du rétablissement, samedi 07 février 2015, du service d’envoi et de réception de courts messages par téléphone portable (SMS) sur l’ensemble du territoire de la République démocratique du Congo ».<br />
<br />
Vérifications<br />
« Nous sommes entrain de vérifier, à travers nos correspondants provinciaux, que la mesure levée l’a été réellement sur l’ensemble du territoire.<br />
<br />
Cette décision que nous avions décriée a privé les Congolais de l’information dont ils avaient besoin pendant plus ou mois 20 jours », a déclaré le Directeur de FFJ.<br />
<br />
Ce service était coupé de même que la connexion internet par les services des renseignements sur ordre du gouvernement lundi 19 janvier 2015. Au lendemain de cette décision, FFJ avait donné un ultimatum de soixante douze heures au gouvernement. L’organisation entendait passer au plan B, c’est-à-dire organiser une marche monstre à Kinshasa.<br />
<br />
L’organisation avait qualifié l’acte de « suicide collectif  » en accusant le gouvernement d’avoir délibérément violé le droit sacro-saint du public à l’information consacré aussi bien par les prescrits internes, notamment la loi sur la liberté de la presse, la Constitution du pays ainsi que les instruments régionaux et internationaux comme la charte africaine des droits de l’homme et des peuples et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques.<br />
<br />
FFJ s’apprêtait, dès samedi 07 février, à saisir les autorités de la ville de Kinshasa pour une marche pacifique, qu’elle entendait organiser le jeudi 12 février prochain contre la coupure des réseaux sociaux et de Sms.<br />
<br />
Au cours de leur réunion extraordinaire samedi 24 janvier, les responsables de la principale organisation de défense de la liberté de la presse et du droit à l’information faisaient savoir que « La presse et la population sont une véritable force dont on ne peut délibérément et impunément violer les droits. C’est cette population qui se prendra en charge avec FFJ en tête pour protester au nom de la loi ».<br />
<br />
L’ultimatum qu’ils lançaient avait cours jusque mercredi 28 janvier 2015 à 18 heures. Au cas contraire, déclaraient-ils à l’issue de leur réunion, FFJ se réserverait le droit d’user de son droit constitutionnel visant notamment, à appeler les bénéficiaires, hier privés de leur droit de communiquer, à jeter toutes leurs forces dans la rue dans une marche pacifique qui les conduirait jusqu’à la fenêtre du vice premier ministre en charge des Postes, nouvelles technologies de l’information et de la communication où ils allaient tambouriner jusqu’à obtenir gain de cause.<br />
<br />
Cette décision est intervenue après l’organisation, par l’opposition politique, d’un mouvement de protestation contre la modification de la loi électorale qui, aux yeux des opposants, permettrait au président Kabila, fin mandat en 2016, de prolonger son séjour à la tête de l’Etat.<br />
<br />
Signaux interrompus<br />
<br />
Deux médias avaient vu leur signal interrompu. Le gouvernement leur reprochait d’avoir diffusé la déclaration de l’opposition appelant la population à se diriger vers le siège du parlement en vue d’empêcher le sénat d’adopter, en seconde lecture, loi contestée.<br />
Le signal de Canal Kin Télévision (Cktv), une propriété de Jean-Pierre Bemba, opposant politique au président Kabila et actuellement en détention préventive à la Cour pénale internationale (CPI), a été coupé vendredi 16 janvier 2015 à 21 heures (locale).<br />
<br />
Le signal de Radio télévision catholique Elikya (RTCE), une chaîne confessionnelle émettant à Kinshasa, a été aussi coupé le même jour pour le même motif. Mais le gestionnaire du centre d’émission, l’opérateur technique de droit italien Téléconsult avait déclaré que la décision de couper le signal émanait de la « hiérarchie » sans clairement la nommer.<br />
<br />
Actuellement cinq médias sont fermés. Radio Lisanga Télévision (RLTV), Canal Futur Télévision (CFTV), Radio Télévision Jua Lubumbashi, trois médias appartenant aux opposants au régime du président Kabila ont, respectivement, été fermés en 2011 lors des élections générales tandis le troisième fin 2014 pour des « raisons politiques », dont le promoteur est actuellement en emprisonné à Kinshasa, selon FFJ.<br />
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FFJ saisissait Kimbuta<br />
<br />
L’organisation faisait savoir au gouverneur de la ville, André Kimbuta qu’elle entendait organiser une marche pacifique contre la décision du gouvernement.<br />
<br />
» Cette marche est repoussée mais n’est pas annulée parce qu’au moment où nos services chargés de courrier s’apprêtaient à aller déposer la lettre à l’hôtel de ville, un opérateur œuvrant dans le secteur de téléphonie cellulaire nous faisait savoir que le service Sms est réhabilité et que internet sera rétabli le dimanche 08 février. Nous avons vérifié, c’est fait pour Sms.<br />
<br />
Mais nous maintenons notre pression sur le gouvernement », déclare FFJ dans un communiqué dont copie a été transmise à la presse. « La manifestation prévue dès 9 heures, partira de la Gare centrale, place de l’indépendance, pour le cabinet du Vice-premier ministre et ministre des Postes, Téléphones, nouvelles technologies de l’information et de la Communication, avenue des huileries où un mémo sera remis.<br />
<br />
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Le direct<br />
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Politique Le gouvernement cède aux pressions internes et externes et rétablit internet et les Sms

Le droit à l’information rétabli en RDC Après un ultimatum lancé au gouvernement congolais, l’association de défense de la liberté de la ...

Crise politique en RDC, Antoine Gizenga rejoint l’opposition ?

February 08, 2015

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjGpAjgVv7vYw5dTZE2lSpakq2q0eQ98SD3WQivySfvjGQS5qyx9TGtUj7vP44bbSpRxrp7Dpg4-nuGakJYIn7W1pVwDMhFvePf80HHzFFaneHXqyWDct2Nf01ijbdX0a3c7x1oVAmdCQ/s1600/Antoine-Gizenga+(1).jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="239" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjGpAjgVv7vYw5dTZE2lSpakq2q0eQ98SD3WQivySfvjGQS5qyx9TGtUj7vP44bbSpRxrp7Dpg4-nuGakJYIn7W1pVwDMhFvePf80HHzFFaneHXqyWDct2Nf01ijbdX0a3c7x1oVAmdCQ/s1600/Antoine-Gizenga+(1).jpg" width="320" /></a></div>
Crise politique en RDC, Antoine Gizenga rejoint l’Opposition<br />
A la base de la crise politique aigue que connait la RD-Congo en ce moment : l’incertitude sur les élections générales de 2016 et l’absence d’un calendrier électoral global et consensuel. Aucune force politique ou civile ne peut se taire face à cette crise qui risque de s’enliser durablement. A son tour le palu (parti Lumumbiste unifié) vient de se prononcer là-dessus. Le parti Gizengiste est pour la tenue des élections générales dans le délai constitutionnel. Il rejoint ainsi les partis de l’Opposition dont l’UNC de Vital Kamerhe. Pour cela, le Palu exige aussi un calendrier électoral global et consensuel. Une autre revendication des partis de l’Opposition. En effet, dans un communiqué du 28 janvier, signé Antoine Gizenga, Secrétaire général du Palu, le patriarche « exige le respect des échéances constitutionnalisées des élections et la publication rapide d’un calendrier rapide par la Ceni afin d’apaiser les esprits et de permettre aux forces politiques et sociales, et à l’ensemble de la population de se préparer à ce combat sereinement démocratique». En publiant ce communiqué limpide, le Palu a senti le vent tourné et veut se placer aux côtés du peuple qui aspire à l’alternance comme l’ont encore démontré les manifestations de joie des kinois qui célébraient les exploits des Léopards à la Can (coupe d’Afrique des nations). En marge de ses célébrations, les messages à l’endroit du pouvoir étaient sans équivoque. En sage de la Nation, Antoine Gizenga s’est même permit un petit cours de droit à l’endroit du Parlement qui ne doit pas confondre matière législative et matière réglementaire. Allusion à la loi électorale dont plusieurs pans relevait du domaine du gouvernement. L’ancien premier ministre de Kabila, tout en regrettant les restrictions de libertés (coupure du net notamment), appelle Majorité et Opposition à un sens élevé de responsabilité.<br />
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Le direct<br />
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Politique Crise politique en RDC, Antoine Gizenga rejoint l’opposition ?

Crise politique en RDC, Antoine Gizenga rejoint l’Opposition A la base de la crise politique aigue que connait la RD-Congo en ce moment :...

Le bateau Kokolo de la SCTP renoue avec le trafic fluvial sur le fleuve Congo , Kabila présent ( article+vidéo)

February 08, 2015

<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; font-size: 12px; line-height: 19px; text-align: justify;">Le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, a lancé samedi au port fluvial de Kinshasa, le convoi du bateau ITB Kokolo (intergrited Tow Baot) réhabilité de la Société commerciale des transports et des ports (SCTP) après 20 ans d’immobilisation. Une randonnée fluviale a matérialisé ce lancement à laquelle le Premier ministre Matata Ponyo, le premier vice président du Sénat, Édouard Mokolo wa Pombo et le vice gouverneur de la ville de Kinshasa, Clément Bafiba, ont pris part.</span><br />
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Le retour de l’ITB Kokolo complètement rénové pour effectuer le trafic fluvial, a dit le ministre des Transport et Voies de communication, Justin Kalumba Mwana Ngongo, marque la rupture avec le mode de transport fluvial dégradé observé au pays précisant que le bateau Kokolo offrira des conditions de voyage sécurisant et confortables.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Le secteur de transport fluvial et lacustre de la RDC n’a pas connu de véritable développement depuis plus de 45 ans, a indiqué le ministre ajoutant que ce secteur est demeuré longtemps entre les mains des bailleurs de fond et des opérateurs privés occasionnant ainsi l’accroissement du taux des accidents et de naufrage sur le fleuve. Il a salué l’implication personnelle du Chef de l’Etat dans la réhabilitation du bateau Kokolo, preuve de la vision de la modernité qui veut que les populations congolaises voyagent dans des conditions descentes avant noter que la réhabilitation de cette unité flottante a été financée par le gouvernement.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
L’ITB Kokolo rénové, a-t-il souligné, peut transporter 422 passagers sans compter l’équipage et est capable d’arrimer 4 barges dont deux pour voyageurs et deux autres pour cargos avec une capacité totale de 1.586 tonnes de marchandises. Ce tonnage a précisé le ministre, équivaut à 40 wagons de chemin de fer de 40 tonnes, soit près de 4 rames de train ou encore 53 camions remorques de 30 tonnes.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
La reprise du trafic fluvial avec l’ITB Kokolo va inonder les grands centres de consommation et va résoudre la problématique de l’approvisionnement de la ville de Kinshasa en denrées de première consommation sans oublier de nombreux avantages qu’il va procurer aux populations riveraines notamment de la province de l’Equateur et de la Province-Orientale, a dit M. Kalumba.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
La réhabilitation de cette unité fluviale s’inscrit dans l’objectif de réduire le taux d’accidents observés sur le fleuve dont la majorité est imputé à la mauvaise qualité des unités flottantes estimant que la reprise du trafic sur le fleuve favorisera la cohésion nationale et la croissance économique et va créer des richesses et des emplois en faveur des populations congolaises.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Le vice gouverneur de la ville de Kinshasa Clément Bafiba, a de son côté remercié le gouvernement de la République pour avoir recouru à l’expertise congolaise. Il a indiqué que la reprise du bateau courrier Kokolo permettra de relier la ville de Kinshasa à d’autres villes de l’intérieur.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: center; vertical-align: baseline;">
<strong style="border: 0px; font-family: inherit; font-style: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><em style="border: 0px; font-family: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Description de l’ITB Kokolo rénové</em></strong></div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Le directeur général de la Société commerciale des transports et des ports (SCTP), Tito Umba Di-Malanda, s’est réjoui que le navire soit refait totalement de la fondation à la tôlerie en passant par la tuyauterie. Les travaux de réhabilitation, a-t-il dit, ont consisté au carénage de la coque, en la révision des moteurs, au reconditionnement des arbres d’hélices ainsi qu’en l’installation d’un système de potabilisation de l’eau pour les passagers.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Les moteurs révisé ont une capacité de 695 chevaux chacun. Il est doté de deux suites familiales, et plus de cinquante chambres de luxe avec connexion de chaine de télévisions câblées et deux chambres froides pour la conservation des vivres frais. Le directeur Umba a rappelé que l’ITB Kokolo avait effectué son dernier voyage en 1996 et les travaux de réhabilitation ont démarré en 2013.</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
Joseph Kabila Inaugure le Bateau ITB Kokolo  et Réactions de quelques membres du gouvernement (vidéo)</div>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="350" src="https://www.youtube.com/embed/mK0Gep1Ufxo" width="660"></iframe><br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjfNyAKkRtO7WIkOB3f9R9_PkZMNMHXXPCpR2bu_CsbHDeTgPeIPass0QMqCk3CmnBs9Dh3AX64ICTPwzPb4NLgbqRqVXBTQCdcxQo8ethYG-DMLEzhMwToMpgkhN82jjaI6T53nKWFUx6F/s1600/phoyooooooooooooooooo.bmp" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjfNyAKkRtO7WIkOB3f9R9_PkZMNMHXXPCpR2bu_CsbHDeTgPeIPass0QMqCk3CmnBs9Dh3AX64ICTPwzPb4NLgbqRqVXBTQCdcxQo8ethYG-DMLEzhMwToMpgkhN82jjaI6T53nKWFUx6F/s1600/phoyooooooooooooooooo.bmp" width="320" /></a>

Economie infos en vidéos la Nation Le bateau Kokolo de la SCTP renoue avec le trafic fluvial sur le fleuve Congo , Kabila présent ( article+vidéo)

Le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, a lancé samedi au port fluvial de Kinshasa, le convoi du bateau ITB Kokolo (intergrite...

La France offre 16 millions d’euros à l’INPP

February 08, 2015

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Le ministre des Finances Yav Muland et l’ambassadeur de France en République Démocratique du Congo, Luc Hallade ont procédé vendredi à la signature d’un accord de financement entre les deux pays dans le cadre de la convention d’affectation entre l’Agence française de développement et l’Institut national de préparation professionnelle (l’INPP) pour un montant de 16 millions d’euros soit plus de 18 millions de dollars US.<br />
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Il s’agit d’une première tranche sur les 25 millions d’euros prévus pour financer la modernisation pédagogique et administrative de l’INPP à Mbandaka (Équateur), Goma (Nord-Kivu), Bukavu (Sud-Kivu) et Matadi (Bas-Congo). Le Vice-premier ministre et ministre en charge de l’Emploi , travail et prévoyance sociale Willy Makiashi présent à cette cérémonie a qualifié ce geste de la France à ce qu’il a appelé, de conséquence pratique de l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE du Fonds monétaire international par la RDC en 2013.<br />
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Selon Maurice Tshikuya, administrateur délégué général de l’INPP, ce financement sera affecté à la formation des formateurs de l’INPP, la construction de nouveaux centres et l’acquisition d’équipement appropriés «en tenant compte de l’environnement économique de chaque province avant de remercier le gouvernement français, à travers son ambassadeur en République Démocratique du Congo, pour cet appui important. De son côté, le ministre des finances, Yav Mulang, a plaidé pour le décaissement rapide des 9 millions d’euros restants.<br />
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Nord-Kivu : le gouverneur Julien Paluku s’installe provisoirement à Beni

February 08, 2015

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Le gouverneur du Nord Kivu, Julien Paluku quitte Goma et s’installe provisoirement à Beni, théâtre d’une énième tuerie des civils qui a fait une vingtaine de morts, mercredi 3 février, à Mayangose-Kibidiwe. Julien Paluku estime que sa présence sur place lui permettra d’interagir directement avec les responsables des Forces armées de la RDC, de la Police et les autorités locales pour mettre fin à l’insécurité et les massacres des civils dans la zone.<br />
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«J’ai résolu d’abord de rester à Beni pendant un temps pour qu’avec les militaires, les policiers, la population civile, nous puissions comprendre et attaquer les problèmes de fond tels que les assassinats que nous avons connus il y a quelques jours», a déclaré Julien Paluku à son arrivée à Beni.<br />
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« Ce qui change, c’est la proximité de l’autorité provinciale vis-à-vis des problèmes, la compréhension directe et l’action directe », a-t-il affirmé pour justifier sa présence dans la ville.<br />
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Plus de 20 personnes ont été tuées la nuit de mardi 3 à mercredi 4 février après une nouvelle attaque attribuée à «des hommes armés non identifiés» à Mayangose-Kibidiwe, dans le territoire de Beni.<br />
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Au cours d’une visite sur les lieux du crime, Julien Paluku avait estimé que les autorités devaient désormais anticiper ce genre d’évènements.<br />
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Selon la société civile du Nord-Kivu, plus de 200 civils ont été tués au cours de plusieurs massacres perpétrés à Beni depuis octobre 2014, dont la plupart sont attribués à des rebelles ougandais des ADF.<br />
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Hommage Postume : Viviane Kiaka rend hommage à Doudou Amiral dans Kin Parade ( Article + Vidéo )

February 08, 2015

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Depuis le 24 Septembre 2014 Doudou Amiral a quitté cette terre mais il continue de recevoir des hommages à la hauteur de son talent et de l'amour qu'il transmettait autour de lui. La Chroniqueuse Viviane Kiaka lui rend hommage à travers la rediffusion de l'émission Kin Parade à laquelle il avait participé en janvier 2013.

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Transport Fluvial : Joseph Kabila Inaugure le Bateau ITB Kokolo et Réactions de quelques membres du gouvernement (vidéo)

February 08, 2015

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Joseph Kabila Inaugure le Bateau ITB Kokolo et Réactions de quelques membres du gouvernement (vidéo)

RDC: l'internet mobile rétabli, mais certains réseaux sociaux restent bloqués

February 08, 2015

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L'internet mobile a été rétabli dans la nuit de samedi à dimanche en République démocratique du Congo (RDC), 20 jours après son interruption ordonnée par les autorités suite à des manifestations violentes, mais certains réseaux sociaux restaient bloqués.<br />
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Parmi les réseaux indisponibles figurent Facebook et Twitter qui, selon le gouvernement, ont mis de l'huile sur le feu lors des manifestations.<br />
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Interrogé par l'AFP, le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, a déclaré que "c'est une questions d'heures" avant que ces réseaux soient accessibles. "Les services des PTNTIC (Postes, télécommunications, nouvelles technologies de l'information et de la communication) vont rétablir" l'accès, a-t-il assuré.<br />
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Du 19 au 22 janvier, des troubles meurtriers (entre 27 et 42 morts, selon les sources) avaient éclaté à cause d'un projet de loi électorale qui aurait pu permettre au président Joseph Kabila de rester en poste au-delà de la fin de son mandat en 2016, alors que la Constitution lui interdit de se représenter.<br />
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Le 20 janvier, pour affaiblir la contestation, Kinshasa avait ordonné la coupure des SMS et d'internet. L'internet fixe avait été rétabli après deux jours, mais pas l'internet mobile, bloqué pour empêcher l'accès aux réseaux sociaux, ni les services SMS, moyen le moins cher pour communiquer.<br />
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Jeudi, M. Mende avait affirmé que couper les réseaux sociaux avait permis à l'Etat d'éviter une "guerre civile", ajoutant que le rétablissement de l'internet mobile et des SMS était "une question d'heures ou de jours".<br />
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Dans la nuit de vendredi à samedi, le service de SMS avait été rétabli.<br />
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La coupure des SMS et de l'internet mobile a fragilisé l'économie du pays, frappant particulièrement les petites et moyennes entreprises qui ont vu leur chiffre d'affaire baisser, leur facture de téléphone grimper et leur temps de travail augmenter.<br />
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Le retour à la normale intervient alors que le Parlement a voté, le 25 janvier, une loi électorale vidée de sa disposition la plus controversée mais qui pourrait entraîner un décalage des législatives, prévues en 2016 en même temps que la présidentielle, faisant craindre de nouvelles violences.<br />
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Une vingtaine d'associations a appelé à manifester pacifiquement le 16 février à Kinshasa pour obtenir la libération du défenseur des droits de l'Homme Christopher Ngoy, l'un des fers de lance des manifestations, détenu depuis le 21 janvier par l'agence nationale de renseignements.<br />
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Â© 2015 AFP<br />
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Le direct<br />
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