Après Boma, Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe de retour à Kinshasa avant l’Équateur!

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAhFBA_fhGAiWHqz9gabxTK5r0_E4DE4Ik5KupBT7fx86ea9JG-dS1QDRoAI6khCVi6dDuA_D7axYQXIoedePC1LzwN1nQcXtdjO_aaqFmal0DTJOJfZUhrtSfVmBhAJ2CNXnFcKz_n-Pg/s1600/Snapshot_22.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="523" data-original-width="791" height="263" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAhFBA_fhGAiWHqz9gabxTK5r0_E4DE4Ik5KupBT7fx86ea9JG-dS1QDRoAI6khCVi6dDuA_D7axYQXIoedePC1LzwN1nQcXtdjO_aaqFmal0DTJOJfZUhrtSfVmBhAJ2CNXnFcKz_n-Pg/s400/Snapshot_22.jpg" width="400" /></a>Après Kimpese, Matadi, Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe ont animé des meetings populaires ce mardi 18 décembre à Kinzau Mvuete et Boma toujours dans le Kongo Central devant plusieurs personnes.<br /> <br /> Après la ville de Boma (dernière étape de leur séjour) où ils ont promis l’amélioration de conditions de vie de la population, la construction des infrastructures routières, sanitaires, l’amélioration des salaires de fonctionnaires…une fois élu, le duo Fatshivit a regagné Kinshasa ce même mardi dans la soirée afin d’entamer sauf changement, l’étape de la province d’Équateur ce 19 décembre.<br /> <br /> Jeff Kaleb

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RDC : Depuis le début de la campagne 10 personnes ont été tuées dont 7 par balles réelles et 3 par étouffement dû au gaz lacrymogène (ACAJ)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhCexe6yLidSfemo-6mOMHpq9MWPlsSbz8_yei6l9VhPfYax80Qy_vKe36J7DAfpdl_FYPNyRluaSSE4_f0LmlA7iur2kbLy4uBhj30zuWsgWdWcAhv1pROEWx5S3dEjLxgxVcV-u9t3Z-1/s1600/Snapshot_21.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="575" data-original-width="1031" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhCexe6yLidSfemo-6mOMHpq9MWPlsSbz8_yei6l9VhPfYax80Qy_vKe36J7DAfpdl_FYPNyRluaSSE4_f0LmlA7iur2kbLy4uBhj30zuWsgWdWcAhv1pROEWx5S3dEjLxgxVcV-u9t3Z-1/s400/Snapshot_21.jpg" width="400" /></a></div> Dans un communiqué daté du 18 décembre 2018, l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice, « ACAJ », s’est dite profondément préoccupée par les violations des droits de l’homme enregistrées en marge de la campagne électorale et la non publication de la liste définitive des électeurs par la CENI à quatre jours de la tenue des élections du 23 décembre 2018.<br /> <br /> S’agissant des violations de droits de l’homme, 152 cas ont été enregistrés depuis le lancement de la campagne, indique ACAJ.<br /> <br /> « 50 d’atteinte à l’intégrité physique, 35 à la liberté de manifestation et réunion publiques, 30 à la liberté de mouvement, 27 à la propriété privée et 10 à la vie (morts) dont 3 à Kalemie, 3 à Lubumbashi, 3 à Tshikapa et un à Mbuji-Mayi. A Kalemie, Lubumbashi et Mbuji-Mayi, ce sont de morts par balles; tandis qu’à Tshikapa par étouffement dû au gaz lacrymogène lancé par la police contre les partisans de l’UDPS et FCC en affrontement à l’aéroport », précise le communiqué.<br /> <br /> Les auteurs de ces violations poursuit cette association de défense des droits de l’homme, sont les autorités politico-administratives, cadres de l’administration publique et agents de services de sécurité, qui les ont planifiées et exécutées avec la concours de certains jeunes du FCC.<br /> <br /> L’ACAJ dit condamner les violations Droits de l’Homme ainsi que celle de l’article 36 de la loi électorale relative à l’interdiction de l’utilisation à des fins de propagande des biens, des finances et du personnel publics.<br /> <br /> « Elle appelle le Gouvernement à protéger les candidats de l’opposition et leurs partisans contre toute sorte d’entraves illégales durant la campagne électorale, et de faire respecter la loi électorale en ce qui concerne l’interdiction de l’utilisation des moyens et personnel de l’Etat », lit-on dans ce communiqué.<br /> <br /> L’ACAJ demande au procureur général près la Cour de Cassation et à l’auditeur général des FARDC à enquêter sur les violations des Droits de l’Hommes commises en marge de la campagne électorale.<br /> <br /> Jephté Kitsita

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Dans un communiqué daté du 18 décembre 2018, l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice, « ACAJ », s’est dite profondément préoccu...

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Katumbi sur le 23 décembre : « Une date historique qui doit marquer la fin de la dictature et de la mauvaise gouvernance »

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgvnPmxt40gyPzIX3gaeSLo-vZAjnjt_b4EXnLV93N5WJ_HosgGjkMpqDlPLDjENi7X8FGlQ1YsVy-qVuP4cEuZZk8QD3qdhc33Aup1vdotnv_fDhQiiWIiFZd_C_6KGZ57-LUkXmUH9eh/s1600/Snapshot_20.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="304" data-original-width="543" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgvnPmxt40gyPzIX3gaeSLo-vZAjnjt_b4EXnLV93N5WJ_HosgGjkMpqDlPLDjENi7X8FGlQ1YsVy-qVuP4cEuZZk8QD3qdhc33Aup1vdotnv_fDhQiiWIiFZd_C_6KGZ57-LUkXmUH9eh/s400/Snapshot_20.jpg" width="400" /></a>Pour le président de la plateforme électorale Ensemble pour le Changement, les élections prévues à la fin de cette année doivent entrer dans l’hisoitre de la République Démocratique du Congo.<br /> <br /> « Le 23 décembre approche, une date historique pour la RDC qui doit marquer la fin de la dictature et de la mauvaise gouvernance! Votez le numéro 4 Martin Fayulu et vos députés de Ensemble réunis dans G7, AR, AMK, MS! Le peuple gagne toujours! », a indiqué Moïse Katumbi ce mardi 18 décembre via Twitter.<br /> <br /> Dans exactement 3 jours, interviendra la fin de la campagne électorale conformément au calendrier de la Commission Électorale Nationale Indépendante.<br /> <br /> Malgré le doute émis par une certaine opinion sur la tenue effective des élections le 23 décembre 2018, la CENI persite et signe qu’elles auront lieu à la date prévue.<br /> <br /> Jephté Kitsita

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Pour le président de la plateforme électorale Ensemble pour le Changement, les élections prévues à la fin de cette année doivent entrer dans...

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Incendie de l'entrepôt de la CENI - RDC : 4000 machines à voter déjà à Kinshasa

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYNDTjHBqY3r39pkJLCXgCcwTCNH75gfFZfPjywBbADyUBQsjJr21PU2O_OQrwFOMnzYHJ45YcXlPSvvmXwrNzXIZbeh58Df06yfxGv9Ukime0dfH3EOT8Ii5nYhPYmgt5lcah71eZddrd/s1600/Snapshot_18.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="279" data-original-width="540" height="206" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYNDTjHBqY3r39pkJLCXgCcwTCNH75gfFZfPjywBbADyUBQsjJr21PU2O_OQrwFOMnzYHJ45YcXlPSvvmXwrNzXIZbeh58Df06yfxGv9Ukime0dfH3EOT8Ii5nYhPYmgt5lcah71eZddrd/s400/Snapshot_18.jpg" width="400" /></a>La Commission électorale nationale indépendante (Céni) a annoncé l'arrivée de 4000 "machines à voter" dans la capitale Kinshasa pour compenser les 8000 machines calcinées dans l'incendie de son entrepôt, où 80% des machines destinées aux 24 communes kinoises ont été calcinées. <br /> <br /> “Nous avons déjà plus de 4000 machines sur place qui sont en train d'être configurées”, a déclaré Jean-Pierre Kalamba, rapporteur de la Ceni, dans un entretien ce mardi 18 décembre avec ACTUALITE.CD. Kalamba a souligné que ces machines proviennent des provinces les plus proches de la capitale.<br /> <br /> <br /> <br /> Jean - Pierre Kalamba lors de l'entretien / Ph. Christine Tshibuyi<br /> Jean-Pierre Kalamba lors de l'entretien / Ph. Christine Tshibuyi<br /> <br /> <br /> “Nous avons ciblé les lieux d'accès facile pour les récupérer, nous avons récupéré celles de Lubumbashi, Kolwezi, Kipushi, Kananga… C'est de cette façon là que nous allons récupérer plus ou moins 7000 machines plus 2500 qui sont à Kinshasa, ça nous fera plus de 9000 machines alors que Kinshasa n'a que 7000 bureaux de vote” a-t-il ajouté.<br /> <br /> <br /> <br /> Environ huit mille machines à voter ont été incendiées dans un entrepôt de la Ceni, jeudi 13 décembre dernier, à Kinshasa. Corneille Naanga, président de la centrale électorale, a souligné que le feu a consumé le matériel destiné à 19 des 24 communes de la ville de Kinshasa, soit près de 8000 machines à voter. <br /> <br /> <br /> <br /> Le feu avait également consumé 8 887 des 10 368.3774 isoloir prévus, y compris 552 kits bureautiques sur les 8887. Huit cents nouvelles motos et 15 véhicules, avait été consumé au côté d'environ 9500 batteries externes, selon Nangaa. <br /> <br /> <br /> <br /> Après sa visite sur le lieu du drame, Henri Mova Sakanyi, vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, a privilégié la « piste criminelle » tout en promettant la détermination du gouvernement congolais à organiser les élections le 23 décembre de cette année.<br /> <br /> <br /> <br /> Le Front Commun pour le Congo (FCC), plateforme électorale dont Joseph Kabila est l'autorité morale, a accusé le candidat de la coalition "Lamuka", Martin Fayulu, d’être impliqué dans cet incendie. Une accusation rejetée par Fayulu qui, à son tour, a indexé le pouvoir de vouloir reporter les scrutins.<br /> <br /> <br /> <br /> Christine Tshibuyi

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La Commission électorale nationale indépendante (Céni) a annoncé l'arrivée de 4000 "machines à voter" dans la capitale Kinshas...

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RDC: A J-6, matériel électoral en cours d’acheminement », « aucun retard » assure la Céni

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5xUfahSy2TzAw7eeZoziTEZPxaBsRkIXmbi6VNfRr92dDmqznNnt1BRVCjPT5dfLTiLOsW_kT-ZHWDpXKHTNqWtUzpFO6h8CiSoIM89U2ujVkcXpmz7ZzQTGqtUy9VxE2xCAu-Aehp2ud/s1600/1533713589.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="770" height="207" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5xUfahSy2TzAw7eeZoziTEZPxaBsRkIXmbi6VNfRr92dDmqznNnt1BRVCjPT5dfLTiLOsW_kT-ZHWDpXKHTNqWtUzpFO6h8CiSoIM89U2ujVkcXpmz7ZzQTGqtUy9VxE2xCAu-Aehp2ud/s400/1533713589.jpg" width="400" /></a>Du matériel électoral en provenance d’Afrique du Sud est en cours d’acheminement vers la République démocratique du Congo à six jours de la date prévue des élections dans le plus grand pays d’Afrique sub-saharienne, a indiqué lundi la commission électorale. « Il n’y a aucun retard. Il s’agit des matériels sensibles et le calendrier avait prévu cette activité pendant cette période », a déclaré à l’AFP un porte-parole de la commission nationale électorale indépendante (Céni), Jean-Baptiste Itipo. « Il s’agit (…) des fiches pour la rédaction des procès-verbaux et des fiches de dépouillement », a-t-il précisé.<br /> <br /> « Le président (de la Céni) Corneille Nangaa séjourne à Johannesburg pour superviser le convoi des diverses fiches destinées aux bureaux de vote et de dépouillement », avait posté samedi sur son compte twitter la Céni.<br /> <br /> L’opération a lieu à six jours des élections dans un pays de 2,3 millions de km2 qui ne compte que 3.400 km de réseau routier asphalté pour déployer ce matériel électoral dans les 22.000 centres de vote et 80.000 bureaux.<br /> <br /> <br /> afrique.lalibre.be

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Du matériel électoral en provenance d’Afrique du Sud est en cours d’acheminement vers la République démocratique du Congo à six jours de la ...

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Elections: la CENCO confirme le déploiement de plus de 40.000 observateurs le dimanche 23 décembre

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2ZRFXyISANCPcI0OnfNpaagZn9AWC76_cUoqDx6SGHYfdsoroZwVnUaNvsYQF3aq8DRIefR0j5QGR0_YhGMuRg9zSxJDz5-jURTjyJg8Ww13RLTmJvd2nxgd0YuxA1lZohF0D4KrxnDrP/s1600/Snapshot_17.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="410" data-original-width="538" height="303" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2ZRFXyISANCPcI0OnfNpaagZn9AWC76_cUoqDx6SGHYfdsoroZwVnUaNvsYQF3aq8DRIefR0j5QGR0_YhGMuRg9zSxJDz5-jURTjyJg8Ww13RLTmJvd2nxgd0YuxA1lZohF0D4KrxnDrP/s400/Snapshot_17.jpg" width="400" /></a>« La Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) a déjà les accréditations de 38.805 observateurs électoraux et l’on espère que d’ici demain les 2.221 restants seront aussi accrédité », a déclaré l’abbé Donatien Nshole, secrétaire général de la CENCO, le mardi 18 décembre 2018.<br /> <br /> C’était à l’issue d’un entretien au Centre interdiocésain entre la CENCO et les représentants des Etats qui ont financé la Commission épiscopale Justice et paix (CEJP) dans le cadre du processus électoral.<br /> <br /> Le secrétaire général de la CENCO a rappelé que la CENCO a formé 1.026 observateurs de longue durée et 40.000 de courte durée. Ne pouvant pas couvrir toute seule les 75.000 bureaux de vote, la CENCO travaillera en étroite collaboration avec d’autres missions d’observation électorale, a assuré le secrétaire général de la CENCO.<br /> <br /> La CENCO n’est pas autorisée à publier les résultats des élections, mais comme mission d’observation elle peut dire que les résultats publiés par la CENI sont conformes ou pas avec ceux qu’ils ont pu observer sur terrain, a dit l’abbé Donatien Nshole.<br /> <br /> Signalons que du côté de la CENCO, l’on a noté la présence de leurs excellences Mgr Marcel Utembi, Mgr Fridolin Ambongo et Mgr Nsielele, respectivement, président, vice-président de la CENCO, et président de la CEJP. Les abbés Donatien Nshole, André Masinganda, Georges Kalenga et père Clément Makiobo, respectivement secrétaire général, 1er secrétaire général adjoint, 2ème secrétaire général adjoint de la CENCO et secrétaire de la CEJP ont pris part également à cette rencontre.<br /> <br /> En face de la CENCO, il y avait les représentants du Royaume Uni, de la Suisse, des Pays-Bas, de la France, du Canada, de la Belgique, de la Délégation de l’Union européenne, de la Suède et du Centre Carter.<br /> <br /> Cet entretien avait pour but de faire un état des lieux du processus électoral avec la CENCO et nos partenaires ont constaté que nous sommes dans le bon, a déclaré le secrétaire général de la CENCO.

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« La Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) a déjà les accréditations de 38.805 observateurs électoraux et l’on espère que d’ici d...

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Elections ce 23 décembre: une course contre la montre pour la Céni

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKXRPesdfH-9FwNgMfFl_iF6Gk_26_1UpRFDDe9sw8_w61USfADN5EbStOS_QSnv1PdDVEllEGwCmxIebjVhvNke_rXQXVl5f8WEdmQALgexSVaqIz-vTTqYSPaJ-9r5H5U-cZED8sF3cQ/s1600/Snapshot_16.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="433" data-original-width="620" height="278" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKXRPesdfH-9FwNgMfFl_iF6Gk_26_1UpRFDDe9sw8_w61USfADN5EbStOS_QSnv1PdDVEllEGwCmxIebjVhvNke_rXQXVl5f8WEdmQALgexSVaqIz-vTTqYSPaJ-9r5H5U-cZED8sF3cQ/s400/Snapshot_16.jpg" width="400" /></a>Les élections vont-elles pouvoir se tenir le 23 décembre en République démocratique du Congo ? Depuis dimanche, la Commission électorale commence à peine à recevoir les fiches et procès-verbaux de résultats imprimés en Afrique du Sud.<br /> <br /> Près de 166 tonnes de ce matériel sensible sont attendues d'ici à jeudi et doivent être déployés au plus tard samedi dans les plus de 21 000 centres de vote et 179 centres locaux de compilation des résultats. Des retards qui s'accumulent, mais la Céni dit faire son possible pour que le matériel soit déployé à temps.<br /> <br /> Les premiers lots de procès verbaux et de fiches de résultats sont arrivés de Johannesburg dimanche dernier avec le président de la commission électorale, Corneille Nangaa, qui s'était rendu sur place pour accélérer l'acheminement. La Céni reconnait un « petit retard ». Ce sont 166 tonnes qui doivent arriver au Congo d'ici à jeudi dans quatre centres logistiques de la Commission sur la vingtaine que compte le pays. De là, ce matériel indispensable le jour du vote doit rejoindre les 21 699 centres de vote et les 179 centres locaux de compilation répartis dans les 26 provinces.<br /> <br /> Le calendrier électoral prévoyait le 5 décembre comme date limite pour le déploiement de tout le matériel destiné aux bureaux de vote, PV et fiches de résultat compris. Des sources internes à la Céni jugeaient comme « critique » l'arrivée du matériel dans les sites de formation au-delà du 8, voire du 10 décembre et que tout retard risquait de causer des problèmes à la fois pour les formations des agents de la Commission, mais aussi pour l'ouverture des bureaux en eux-mêmes.<br /> <br /> « Ca ne sert à rien d'être inquiet, il faut garder la tête sur les épaules », commente le rapporteur de la Céni. Jean-Pierre Kalamba dit avoir mobilisé des motos à travers le pays pour transporter « ces petits plis » d'ici à samedi.<br /> <br /> La Céni dit aussi être parvenue à rapatrier 2 500 machines à voter à Kinshasa ce lundi. Des machines qui doivent remplacer les 8 000 machines et autres matériels qui devaient permettre de voter dans la capitale et qui auraient brûlé jeudi dernier dans l'incendie d'un de ses entrepôts. ces machines à voter avaient commencé à être déployé en retard par rapport aux premières prévisions de la Céni.<br /> <br /> Le gouvernement congolais avait choisi de financer seul les élections et a refusé toute aide logistique. Alors que sur les précédents scrutins, il fallait au moins 50 aéronefs pour les organiser, il y en a moins d'une vingtaine mis à la disposition à la Céni, donc c'est par route que l'essentiel du transport se fait, ce qui est très compliqué.<br /> <br /> <br /> RFI

Politique Elections ce 23 décembre: une course contre la montre pour la Céni

Les élections vont-elles pouvoir se tenir le 23 décembre en République démocratique du Congo ? Depuis dimanche, la Commission électorale com...

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Présidentielle 2018: Samy Badibanga en campagne à Mbuji-Mayi

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWghdje53_5ZpWYJnaGX8LPQImT2uM_GdWZ-HbS-j1ZOvz9qaGrUNqao5TO43Cm_xnD_CHcwsbXIVfAlIiF0PeprjprrAUMfGVurBl7HcE3w9JmGEugYodUCuOFJGNC9Ti_ATgRT4UKo9Q/s1600/Snapshot_15.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="381" data-original-width="792" height="191" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWghdje53_5ZpWYJnaGX8LPQImT2uM_GdWZ-HbS-j1ZOvz9qaGrUNqao5TO43Cm_xnD_CHcwsbXIVfAlIiF0PeprjprrAUMfGVurBl7HcE3w9JmGEugYodUCuOFJGNC9Ti_ATgRT4UKo9Q/s400/Snapshot_15.jpg" width="400" /></a>Candidat à la présidentielle du 23 décembre, l'ancien Premier ministre Samy Badibanga, est arrivé à Mbuji-Mayi (Kasaï-Oriental) ce mardi 18 décembre à la mi-journée, en provenance de Bukavu (Sud-Kivu).<br /> <br /> Il a entamé une tournée à travers la ville et, selon son état-major, Samy Badibanga va visiter le ravin Mbala wa Tshitolo, sur lequel un pont a été jeté, grâce à un financement qu’il avait facilité, alors qu’il était chef du gouvernement de la RDC.<br /> <br /> Son agenda prévoit également une rencontre avec les étudiants de l’université de Mbuji-Mayi, campus de Tshikama.<br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhz9NjgIlUvGSNVOmIVsU7ka7PK8lT7KyHcRPRW9kgpXI_FbYE3PiL85xyYk0OCyJ0NZnglv1ij-vIoLrb0Sz9r-NFhsQ1N8pGwHVvnBYq7fvNrspS4iYS0xFAFGR2AlXyTa1UdXarHC7ew/s1600/Snapshot_14.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="301" data-original-width="560" height="215" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhz9NjgIlUvGSNVOmIVsU7ka7PK8lT7KyHcRPRW9kgpXI_FbYE3PiL85xyYk0OCyJ0NZnglv1ij-vIoLrb0Sz9r-NFhsQ1N8pGwHVvnBYq7fvNrspS4iYS0xFAFGR2AlXyTa1UdXarHC7ew/s400/Snapshot_14.jpg" width="400" /></a></div> « L'état de droit n'est pas un slogan »<br /> <br /> <br /> <br /> Le candidat numéro 18 sillonne déjà le Congo profond dans l’objectif de vulgariser son programme électoral dénommé : « le changement pour tous » et solliciter les suffrages du peuple congolais en sa faveur le 23 décembre prochain.<br /> <br /> « L’état de droit ne se décrète pas. Son ennemi n°1, c’est la corruption. Nous allons mettre en place la Haute Autorité de la Transparence des Affaires Publiques », a rassuré Samy Badibanga afin de mieux mobiliser les moyens de sa politique une fois élu chef de l’Etat.<br /> <br /> L'état de droit n'est pas un slogan.<br /> <br /> C'est une nécessité qui exige des réformes précises.<br /> <br /> Entre autres, nous mettrons en place des solutions sécurisées inviolables #blockchain:<br /> <br /> ▶️ Cadastre foncier<br /> ▶️ Registre d'état civil<br /> ▶️ Élections vote & fichier<br /> ▶️ Impôts<br /> ▶️ #SungaLibota pic.twitter.com/e9seq5M7T1<br /> <br /> — Samy Badibanga (@SamyBadibanga) 14 décembre 2018<br /> Le programme électoral de Samy Badibanga prévoit également la création de 10 à 15 millions d’emplois sur le quinquennat et l’accélération de la diversification de l’économique nationale.<br /> <br /> Pour mettre fin à l’insécurité dans l’Est du pays, le candidat président de la République investi par les Progressistes propose de déplacer l’Etat-major général des Forces armées de la RDC à Goma, province du Nord-Kivu.<br /> <br /> « C’est pour être proche des réalités et trouver des solutions idoines face à toutes ces milices qui pullulent dans l’Est du pays », a– t– il indiqué, préconisant de lancer une diplomatie tous azimut avec les pays frontaliers pour trouver des solutions idoines afin de régler le problème d’insécurité.<br /> <br /> <br /> Radio Okapi

Politique Présidentielle 2018: Samy Badibanga en campagne à Mbuji-Mayi

Candidat à la présidentielle du 23 décembre, l'ancien Premier ministre Samy Badibanga, est arrivé à Mbuji-Mayi (Kasaï-Oriental) ce mardi...

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Violences électorales à Tshikapa : deux morts, plusieurs blessés et siège du PPRD saccagé

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhE_SBmzjFq0R5vQXCuvpI6nEkQGYPW7xEbo8CmK8-ozzvkRSEhyphenhyphenMpn4-soQ5TeRpK_u6K9SVE50r6r6NblZNQoWXHM6bXxxVvRtgLv-nouHIKILjyUw7kRK7Y5zQpvlO4O5U0AgsrWvXxD/s1600/Snapshot_12.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="381" data-original-width="555" height="273" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhE_SBmzjFq0R5vQXCuvpI6nEkQGYPW7xEbo8CmK8-ozzvkRSEhyphenhyphenMpn4-soQ5TeRpK_u6K9SVE50r6r6NblZNQoWXHM6bXxxVvRtgLv-nouHIKILjyUw7kRK7Y5zQpvlO4O5U0AgsrWvXxD/s400/Snapshot_12.jpg" width="400" /></a>Le siège du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) à Tshikapa (Kasaï) vient d'être saccagé ce mardi 18 décembre à l'occasion des manifestations spontanées des jeunes contre l'arrivée d'Emmanuel Ramazani Shadary, candidat président du Front commun pour le Congo (FCC) dans le cadre de la campagne électoral.<br /> <br /> Depuis l'annonce de l'arrivée du candidat du Front Commun pour le Congo à Tshikapa, Emmanuel Ramazani Shadary, la tension était forte toute l'avant-midi de ce mardi.<br /> <br /> <br /> <br /> Militants du FCC se rendant à l'aéroport pour accueillir leur candidat, Emmanuel Shadary. (© Onde du Progrès)<br /> <br /> Arrivée de Shadary annulée<br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHq2M0FKT-4vY09xG7PemTxJQDsEiwdAgK9npZfDCL0f2cMWhyphenhyphenRNUUuRM1nwzWdnIlcBFFz5G9uxqIndcXqgnf2iJmEQHEbRg_ccZ1PbFgqSo4lMRVXUDdpBS2yQZVp8k_YCfA77V3_T-p/s1600/Snapshot_13.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="430" data-original-width="798" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHq2M0FKT-4vY09xG7PemTxJQDsEiwdAgK9npZfDCL0f2cMWhyphenhyphenRNUUuRM1nwzWdnIlcBFFz5G9uxqIndcXqgnf2iJmEQHEbRg_ccZ1PbFgqSo4lMRVXUDdpBS2yQZVp8k_YCfA77V3_T-p/s1600/Snapshot_13.jpg" /></a></div> <br /> <br /> Plusieurs jeunes se renvendiquant de l'opposition, munis de pierres et bâtons, se sont attaqués à tous celui qui portait l'effigie de Shadary et qui se rendait à l'aéroport. Un dispositif sécuritaire a été placé au pont Tshikapa empêchant toute traversée. Tous les commerces étaient fermés toute la journée.<br /> <br /> Cette situation a occasionnée le changement, en dernieres minutes, de l'arrivée de Shadary qui a été annulé. D'après des sources officielles, Ce dernier a atterrit à Kananga (Kasaï).<br /> <br /> Deux personnes décédées et plusieurs blessés<br /> <br /> Deux personnes sont mortes ce mardi par balle suite aux affrontements entre militants de l'opposition et du FCC. Ces personnes, un jeune homme et une femme sont mortes après avoir reçu une balle, indique un militant des droits de l'homme témoin de l'événement.<br /> <br /> "La femme est une maman marchande au muni marché situé sur l'avenue de la ferme, non loin de l'Institut de Tshikapa dans la commune de Kanzala. Son corps était acheminé par les jeunes devant l'aéroport, avant d'être ramené dans la famille" ajoute notre source.<br /> <br /> En dehors de cette perte en vie humaine, on compte également des blessés et des dégâts matériels notamment deux motos brûlées au niveau du marché de Kamalenga toujours dans la même commune.<br /> <br /> Sylvain Kabongo (Correspondant au Kasaï )<br /> MEDIA CONGO PRESS / Ondes du Progrès

Politique Province Violences électorales à Tshikapa : deux morts, plusieurs blessés et siège du PPRD saccagé

Le siège du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) à Tshikapa (Kasaï) vient d'être saccagé ce mardi 18 décembre ...

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ELECTIONS EN RDC L’ASADHO APPELLE À UN ATTERRISSAGE EN DOUCEUR DE LA CAMPAGNE ÉLECTORALE

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQiFwDeBQUuHaaFrvIJmR4v7a26wxglJlVeES_b09DLGuXONZKmWLrXrqVYilpUrR3KuBsc-QoS4GQA-co1D7urKLDCjFL_rLfJ-uueLWv_vAvAUWxyDNWuLngs8CeQf5pBHhkaD89pwHm/s1600/Snapshot_11.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="297" data-original-width="536" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQiFwDeBQUuHaaFrvIJmR4v7a26wxglJlVeES_b09DLGuXONZKmWLrXrqVYilpUrR3KuBsc-QoS4GQA-co1D7urKLDCjFL_rLfJ-uueLWv_vAvAUWxyDNWuLngs8CeQf5pBHhkaD89pwHm/s400/Snapshot_11.jpg" width="400" /></a>L’Association africaine de défense des droits de l’homme (ASADHO) condamne les appels à la violence, lancés par certains membres des équipes de campagne des candidats à la présidentielle du 23 décembre prochain.<br /> <br /> Dans un communiqué publié hier mardi 18 décembre, l’ASADHO estime que le tweet d’Olivier Kamitatu du 13 décembre dernier, les propos tenus par le Gouverneur de la province du Haut Katanga, Pande Kapopo, le 8 décembre, ainsi que ceux prononcés par le ministre du développement rural, Justin Bitakwira, le 14 du même mois, sont de nature à entretenir des tensions en cette fin de la campagne électorale et le jour du vote.<br /> « En cas de commission de tout acte de violences qui entraînerait la destruction des biens publics ou privés, la mort d’hommes ou atteintes à l’intégrité physique des Congolais, ces personnalités et leurs exécuteurs seraient tenus responsables », prévient le communiqué.<br /> <br /> GARE AUX PYROMANES <br /> Dans son tweet, Olivier Kamitatu avait appelé Corneille Naanga à déployer derrière chaque machine à voter un policier, au risque de les voir cassées, détruites et brûlées. Curieusement, cette communication est faite quelques heures avant l’incendie de l’entrepôt de la CENI. <br /> D’après le monitoring de l’SADHO, le Gouverneur du Haut Katanga avait, au cours d’une réunion tenue le 8 décembre dernier, invité les jeunes du FCC à la violence afin d’imposer la candidature de Shadary au sein de cette province.<br /> Toujours selon le communiqué de cette ONG, le ministre du développement rural, Justin Bitakwira avait, quant à lui, appelé les communautés locales d’Uvira à s’attaquer aux membres des partis politiques de l’opposition. <br /> <br /> ASADHO ALERTE LES AUTORITES JUDICIAIRES<br /> Fort de ces constats, l’ASADHO invite la Cour pénale internationale (CPI) à rester attentive à ces appels à la violence. Elle demande au Procureur général de la près la Cour de cassation d’ouvrir des poursuites judiciaires contre ces leaders politiques. <br /> Cette structure de la société civile invite, en même temps, les responsables des regroupements politiques FCC et LAMUKA à se désolidariser publiquement de ces acteurs politiques qui veulent saboter le processus électoral en cherchant à jeter le pays à feu et à sang. Orly-Darel NGIAMBUKULU

Politique ELECTIONS EN RDC L’ASADHO APPELLE À UN ATTERRISSAGE EN DOUCEUR DE LA CAMPAGNE ÉLECTORALE

L’Association africaine de défense des droits de l’homme (ASADHO) condamne les appels à la violence, lancés par certains membres des équipes...

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HARO SUR LA VICTIMISATION ET HALTE A LA CONTESTATION « EN AMONT » DES RESULTATS D’UN SCRUTIN … A VENIR « ALLONS VOTER EN PAIX CE DIMANCHE »

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_bGn6Jr0kx1UNMqkBCYCHvcynF9_Fwir3ulfzshG95V3Hx2mse_9wuxhqJv5G7agOykEZfzzML_Oviqm1Mj8EyOGzIzWIRw1Vhabeb6P8n_lYsSilMDQkbEtDRyKv6mwTJ1NLY7QxdPFg/s1600/Snapshot_10.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="431" data-original-width="882" height="195" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_bGn6Jr0kx1UNMqkBCYCHvcynF9_Fwir3ulfzshG95V3Hx2mse_9wuxhqJv5G7agOykEZfzzML_Oviqm1Mj8EyOGzIzWIRw1Vhabeb6P8n_lYsSilMDQkbEtDRyKv6mwTJ1NLY7QxdPFg/s400/Snapshot_10.jpg" width="400" /></a>* « Ne permettons pas aux ennemis de la République de nous voler la fête de notre première passation pacifique du pouvoir », exhorte l’analyste souverainiste Jean-Pierre Kambila dans sa troisième tribune.<br /> <br /> Du rêve à la réalité. D’une hypothèse d’école à une certitude. A moins que la terre se dérobe sous nos pieds l’un de ces quatre matins, les élections auront bel et bien lieu ce dimanche 23 décembre 2018. Mais en analyste blanchi sous les harnais des luttes politiques et de l’histoire tragique du Congo/Kinshasa, Jean-Pierre Kambila relève quantité de manœuvres dilatoires dans le chef de ceux qui, à ses yeux, ont d’autres agendas que la participation à des élections démocratiques. D’où son appel à ses compatriotes d’aller voter en paix. Tribune.<br /> Une fois de plus, la réalité a mis tout le monde d’accord sur l’inévitabilité des élections prévues par le calendrier de la CENI pour le 23 décembre 2018.<br /> <br /> La centrale électorale, en charge du processus, a confirmé cet événement historique. Les élections auront bel et bien lieu le dimanche prochain sur l’étendue de la République Démocratique du Congo. Il n’y a plus de doute à cet égard.<br /> Pour arriver à cette échéance, la route a été longue et jonchée de multiples obstacles. L’on se souviendra que les élections devaient avoir lieu en 2016. Diverses contraintes notamment le refus du premier calendrier électoral proposé par la CENI en 2015, des rebellions, une guerre imposée par l’étranger et des difficultés financières, ont été à la base du premier report. Ensuite, il a fallu mettre les politiciens d’accord pour s’assurer un processus électoral consensuel et capable d’aboutir à des élections crédibles et transparentes.J’évoque ici "l’Accord de la Saint Sylvestre".<br /> Tout au long de cette longue marche, le cap défini par le Président Joseph Kabila a été d’amener la République Démocratique du Congo à confirmer son ancrage dans la démocratie. Il fallait donc,pour la première fois, faire vivre aux Congolais, en ce début du XXIème siècle une passation pacifique du pouvoir entre un Président sortant et un Président entrant, démocratiquement élu. <br /> Ainsi, après avoir consacré sa jeunesse au combat pour la concrétisation du rêve de toute une génération, le projet étant réalisé, Joseph Kabila décide de quitter la Présidence de la République en sortant par la grande porte.<br /> L’histoire retiendra que nombreux sont les Congolais, de toutes les catégories et de diverses obédiences, qui ont, pendant des années voire des décennies, investi leurs intelligences et leurs énergies dans le combat pour la démocratie. Mais, force est de constater qu’il a fallu l’avènement de Joseph Kabila pour réellement voir, en RDC, la mise en place et le fonctionnement des institutions étatiques conformes à ce système qui met entre les mains du peuple la maîtrise de son destin. <br /> A quelques jours de la compétition électorale, les risques de remise en cause du processus par la violence ne sont malheureusement pas tous éliminés. Il faut rester vigilant !<br /> A travers le pays, certaines coalitions politiques, notamment "Lamuka" et "Cach" s’évertuent à provoquer des incidents avec les forces de l’ordre, pariant sur le nombre de blessés ou de morts. Jouant aux victimes,ces compatriotes croient ainsi pouvoir ameuter une certaine Communauté Internationale contre le pouvoir de Kinshasa et mettre en péril les élections qu’ils ont toujours redoutées.<br /> <br /> VICTIMISATION MAL FICELEE<br /> Jusqu’au bout, la branche de l’opposition congolaise, la plus soumise aux étrangers, réunie au sein de la coalition "Lamuka", toujours liée au schéma irréaliste de la "transition sans Kabila" s’accroche visiblement à une démarche visant à compromettre les élections. Il y a seulement quelques jours, dans une scène digne du mauvais "théâtre de chez nous", le candidat agissant par procuration pour Moïse Katumbi a, dans une scène tragi-comique mal interprétée, tenté à travers les réseaux sociaux, de faire appel aux puissances et institutions internationales. Tout porte à croire que l’espoir était qu’elles viennent mettre un terme à la campagne électorale en cours dans notre pays. Après avoir joué à la victime des tirs prétendument à balles réelles, la soi-disante victime s’est retrouvée, les lèvres largement ouvertes par le rire, dans la cour de son hôte lushois.<br /> De l’autre côté de l’échiquier de l’opposition, jusqu’à la veille de ces élections, la branche qui semble jouer au patriote, malgré son hypocrisie, ne se montre pas prête à assumer jusqu’au bout le jeu démocratique. Dans une prise de parole au Kongo central, le candidat du "Cach" a incité son auditoire à la violence en leur demandant,en des termes à peine voilés, de refuser de reconnaître les résultats des élections au cas où le candidat du FCC serait proclamé vainqueur. Manifestement, cette brutale déclaration du candidat de l’UDPS ne correspond pas à l’idéologie de la non-violence jusqu’ici tant vantée par ce parti. Au lieu d’inciter ses militants à aller voter, les propos tenus par Félix Tshisekedi visent à pousser ses partisans dans une attitude de contestation brutale. Ceci relève, soit d’une incohérence difficilement compréhensible et éloignée de l’esprit de tolérance qu’exige la démocratie. <br /> Un vrai démocrate s’investit pleinement pour l’emporter mais n’incite pas ses militants à contester, par des destructions, la victoire de ses adversaires. <br /> Chers compatriotes, <br /> Ne détruisons pas ce que nous avons construit ensemble.<br /> Chers compatriotes,<br /> Ne permettons pas aux ennemis de la République de nous voler la fête de notre première passation pacifique du pouvoir. La réussite de ces élections et l’acceptation pacifique des résultats qui en sortiront, ouvriront une ère nouvelle de la démocratie congolaise. Mettons donc nos intelligences à la réussite de cette épreuve. <br /> Allez donc voter en paix ce dimanche 23 décembre 2018. De votre choix dépendra l’avenir de notre pays. Cependant, ne perdez pas le sens de vos intérêts. Choisissez l’homme de l’émergence et de la souveraineté, Emmanuel Ramazani Shadary.<br /> Jean-Pierre KAMBILA KANKWENDE

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* « Ne permettons pas aux ennemis de la République de nous voler la fête de notre première passation pacifique du pouvoir », exhorte l’analy...

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EN DIRECT FABRICE ZOMBI ALOBI BILAN YA KABILA EZA POSITIF FELIX AMATA AKITA FAYULU AMATA AKITA PRESIDENT EZA SHADARY (VIDÉO)

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Politique EN DIRECT FABRICE ZOMBI ALOBI BILAN YA KABILA EZA POSITIF FELIX AMATA AKITA FAYULU AMATA AKITA PRESIDENT EZA SHADARY (VIDÉO)

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SHADARY, FAYULU ET FATSHI ÉVITENT LES FIEFS DE LEURS CONCURRENTS

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifmn_0Ic-kKLcdUf99hkm8aOWFIxTNFaF7ZeXiuLI56y0Z87ZzqsaOmj0eriRTAg_CENv5BDPHaZlkcZAX97xZP7fcaz_dCK8tYiGcm6J-Pp1faO1jbvcUaa4ObFbezd4DuWHRk0HslUYA/s1600/20181217_074427.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="584" data-original-width="960" height="242" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifmn_0Ic-kKLcdUf99hkm8aOWFIxTNFaF7ZeXiuLI56y0Z87ZzqsaOmj0eriRTAg_CENv5BDPHaZlkcZAX97xZP7fcaz_dCK8tYiGcm6J-Pp1faO1jbvcUaa4ObFbezd4DuWHRk0HslUYA/s400/20181217_074427.jpg" width="400" /></a></div> * Autant Fatshi n’a pas été signalé à Kindu, sanctuaire du candidat n°13, autant Fayulu semble avoir fait l’impasse sur le Kasaï, citadelle tshisekediste ; autant Shadary s’est abstenu de monter dans le Grand Nord, bastion de Lamuka, par le biais de Mbusa Nyamwisi.<br /> <br /> Les trois principaux candidats président de la République bouclent vendredi 21 décembre prochain leur campagne électorale. Tous annoncent un meeting dans la capitale. Le Front commun pour le Congo (FCC) est annoncé au Stade des Martyrs tandis que LAMUKA négocierait encore le stade Tata Raphaël. Le Camp de changement (CACH) pour le duo FATSHIVIT, ne s’est pas encore officiellement prononcé. Rien ne garantit que le gouverneur de la ville-province de Kinshasa autorisera ces rendez-vous politiques au risque d’embraser la capitale à quelques 72 heures élections générales.<br /> <br /> Mais avant ce sprint final sur Kinshasa, on note que durant leur campagne dans l’arrière-pays, les candidats président ont évité tout risque de confrontation dans les fiefs sociologiques de différents leaders. <br /> A preuve, le candidat n°13, Emmanuel Ramazani Shadary a, à la dernière minute, annulé le voyage de Beni-Butembo, présenté comme étant le fief de la coalition "LAMUKA" via Antipas Mbusa Nyamwisi, alors que ERS se trouvait déjà à Goma. Une fois de plus, les raisons sécuritaires auraient prévalu. Une telle décision, de la part d’un candidat issu de la majorité au pouvoir, doit être prise au sérieux. Plutôt que de prendre le risque de se rendre à Beni-Butembo, Shadary a préféré un come-back dans l’ancien Bandundu. Le Dauphin du président Joseph Kabila est arrivé hier lundi 17 décembre à Inongo, chef-lieu de la province du Maindombe où il a été accueilli triomphalement.<br /> Pourtant, le candidat du FCC, après Kenge, Shadary, était attendu à Kikwit. Il semble avoir résolu de ne pas se rendre dans cet autre bastion de l’opposition du trio Fayulu-Muzito-Matungulu. A moins de changer d’avis et s’y rendre après l’étape de Maindombe. <br /> Aujourd’hui que le candidat Shadary se retrouve à Inongo après Goma, va-t-il se rendre à Bandundu-ville ou encore au Kwilu, après avoir empêché Fayulu à Kindu ? C’est donc aujourd’hui mardi 18 décembre qu’on pourra être fixé. Le dimanche à Kenge, dans la province du Kwango, Ramazani Shadary avait été triomphalement accueilli par une foule nombreuse.<br /> <br /> FATSHIVIT EVITE BUTEMBO ET BANDUNDU, FAYULU, LE KASAI<br /> Le tandem Félix Tshisekedi-Vital Kamerhe n’a pas pu se rendre à Beni-Butembo après l’étape mi- figue mi-raisin de Beni. Il a officiellement accusé le camp LAMUKA de fomenter un attentat sur le passage de ces deux leaders vers cette grande ville du Nord-Kivu. Une fois de plus les raisons sécuritaires.<br /> "Alors que nous étions déjà en route pour Butembo, la police nous a fortement déconseillé d’emprunter cette route là. Avec ce qui s’est passé pendant le meeting, vous risquez parce que les Mai-Mai se trouvent dans la même mêlée, ils risquent de vous attaquer. Les policiers en armes ont refusé de nous accompagner, ils ont dit qu’ils vont s’arrêter à la barrière (sortie de la ville), ils disent qu’au-delà, ils ne sont pas responsables. Quand des autochtones vous disent ça, il faut en tirer les conséquences", a expliqué Félix Tshisekedi à l’aéroport de Mavivi peu avant de quitter Beni.<br /> Vital Kamerhe a embouché la même trompette, accusant les membres de la coalition de Lamuka d’avoir mobilisé les miliciens Mai-Mai contre Cap pour le changement (CACH).<br /> "D’après les renseignements militaires, nos amis qui sont supposés être de l’opposition ont posté des Mai-Mai le long de la route pour abattre Félix Tshisekedi et moi (Kamerhe) puisqu’ils sont à la recherche d’un incident. Ils ne veulent pas qu’on arrive aux élections. Si Tshisekedi et Kamerhe arrivent à mourir ici (Beni), les gens vont se soulever à Kinshasa, au Kasaï, dans le grand Kivu et ça va être la fin de l’histoire. Les gens sont en train de se tromper de cible", s’était exprimé Vital Kamerhe.<br /> <br /> ANIMOSITE ENTRE LES DEUX CAMPS DE L’OPPOSITION<br /> Ces accusations de CACH contre LAMUKA, sont la preuve que rien ne va entre les deux plateformes électorales de l’Opposition. Ce n’est pas innocent de voir subitement Delly Sessanga, considéré comme l’un des artisans de "Ensemble " de Moïse Katumbi et Claudel Lubaya, également haut cadre de LAMUKA, basculer dans le camp de FASHI. Ils ont même constitué l’équipe d’avance de FATHSIVIT d’abord à Mbuji-Mayi puis à Kananga.<br /> Face à ce revirement de 190° de ces anciens barons, Martin Fayulu a compris que le Grand Kasaï n’était plus rassurant. Mieux vaut éviter de ce point de vue, toute confrontation sur ce terrain déjà hostile. Le candidat de LAMUKA surnommé Le Soldat du Peuple n’a donc pas visité l’espace kasaïen préférant se rabattre sur Kwilu.<br /> Kwilu, fief sociologique du trio Fayulu-Muzito-Matungulu était l’étape de tous les défis... <br /> A son tour, FATSHIVIT a évité de se rendre dans la province de l’ex Bandundu de peur de subir les représailles du camp Fayulu après le conflit qui a opposé le camp de Genève à celui de Nairobi. Qui sait, peut-être qu’après l’étape de Matadi, FATSHIVIT se rendra dans l’ex-Bandundu ! En un mot comme en cent, la bipolarisation de l’opposition depuis l’échec d’une candidature commune acceptée par tous, aura a été à la base de cette rivalité entre les deux tendances. Emma MUNTU

Politique SHADARY, FAYULU ET FATSHI ÉVITENT LES FIEFS DE LEURS CONCURRENTS

* Autant Fatshi n’a pas été signalé à Kindu, sanctuaire du candidat n°13, autant Fayulu semble avoir fait l’impasse sur le Kasaï, citadell...

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NDEKO ELIEZER : NOUS IRRONS AUX ELECTIONS AVEC LA MACHINE A VOTER POUR COINCER JOSEPH KABILA (VIDEO)

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LEXXUS LEGAL, FAYULU ACCEPTE LA MACHINE A VOTER COMME FELIX TSHISEKEDI.KINSHASA EKO BUKANA MERCREDI NA MEETING YA MARTIN FAYULU (VIDEO)

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CAMPAGNE ÉLECTORALE : FAYULU ACCUEILLI EN ROI A KIKWIT (VIDÉO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> </div> <br /> <iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="480" src="https://www.youtube.com/embed/GOapR7-7l4g" width="640"></iframe>

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OLIVE LEMBE KABILA APESI BA WEWAS SUPER WAX NA MBONGO PO BA VOTER EMMANUEL RAMAZANI A BUKAVU , PLUS DE 700 WEWAS (VIDÉO)

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DEBAT : BITAKWIRA ALOBI BAKO BOMA BATU YA LUMUKA NA FELIX TSHISEKEDI NA UVIRA (VIDÉO)

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Campagne électorale : Martin Fayulu accueilli par des milliers de personnes à Kikwit

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Politique Campagne électorale : Martin Fayulu accueilli par des milliers de personnes à Kikwit

Le candidat N°4 à l’élection présidentielle du 23 décembre prochain est arrivé ce lundi 17 décembre 2018 à Kikwit dans la province du Kwilu....

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Campagne électorale : Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe s’offrent un bain de foule à l’entrée de Matadi

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEithom_SX_S5tuD9ViGIjZ8l7REnIg1A32ShBZJkwvL8F0-9M3l9WG8PVZO9obZAHeFN9NEPCz68CFJIWph_lHEjs7JXbQO_Xp9yQ_2pFdCJ9GAF6c0qEzIM__dXcyyoEktqkW1yS1vocOt/s1600/IMG-20181217-WA0020-1024x768.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="768" data-original-width="1024" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEithom_SX_S5tuD9ViGIjZ8l7REnIg1A32ShBZJkwvL8F0-9M3l9WG8PVZO9obZAHeFN9NEPCz68CFJIWph_lHEjs7JXbQO_Xp9yQ_2pFdCJ9GAF6c0qEzIM__dXcyyoEktqkW1yS1vocOt/s400/IMG-20181217-WA0020-1024x768.jpg" width="400" /></a>C’est à 19heures, heure locale, que Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe, respectivement candidat président de la République et directeur de campagne, ont fait leur entrée dans la ville de Matadi dans le Kongo Central.<br /> <br /> <br /> <br /> A leur entrée, ces deux leaders de l’opposition ont été accueillis par une foule nombreuse qui les accompagne vers le lieu du meeting.<br /> <br /> Cris de joie, klaxons, chansons, banderoles en main, sifflet à la bouche…c’est l’ambiance qui règne en ce moment.<br /> <br /> Jeff Kaleb Hobiang

Politique Province Campagne électorale : Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe s’offrent un bain de foule à l’entrée de Matadi

C’est à 19heures, heure locale, que Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe, respectivement candidat président de la République et directeur de ca...

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MIKE MUKEBAYI:BEMBA NA KATUMBI BA BOYAKI FELIX TSHISEKEDI PONA MACHINE A VOTER TE MAIS PONA FAUX DIPLÔME ET ASENGI JEAN GOUBALD PARDON NA NDENGE AFINGAKI YE COLLABO MUTU YA PPRD (VIDEO)

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MBUTU NA POLITIQUE MIKE MUKEBAYI AKANGI BASE NA YE YA LINGWALA PONA FAYULU (VIDEO)

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BA KINOIS BA BALUKELI MARTIN FAYULU PONA ANZIMI MACHINE A VOLER APESI FELIX TSHISEKEDI RAISON (VIDEO)

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MUTU ABOMA MABELE ELISI AMONANI ET ABONGOLI MUTEMA:BOYOKA TEMOIGNAGE NA YE (VIDEO)

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EMISSION KIOSQUE DU 17/12/2018:OLIVE LAURENT APESI OLIVE LEMBE AVERTISSEMENT YA SUKA (VIDEO)

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