BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Styliste et créatrice de la marque V-Collection. Véronique Itoko se dévoile !

June 20, 2016

<br />
<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGR5QTXR4wjKa5N02MIy6-oORfaw9vCCw1RahgfyJ6M7GFN1OCYCQ7SHK9RZq-k75vz9nXeH5bzf31YAmOhvvArkkoArQ0OB0qcb-XKikPB6e03ikGK4ldfsfTE9f-pGfKqDthVhuqsXo/s1600/Snapshot_325.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGR5QTXR4wjKa5N02MIy6-oORfaw9vCCw1RahgfyJ6M7GFN1OCYCQ7SHK9RZq-k75vz9nXeH5bzf31YAmOhvvArkkoArQ0OB0qcb-XKikPB6e03ikGK4ldfsfTE9f-pGfKqDthVhuqsXo/s400/Snapshot_325.jpeg" width="400" /></a>La styliste congolaise Véronique ITOKO LATINE est à Kinshasa pour présenter sa nouvelle collection de vêtements à travers la  marque « V-Collection ». Mariée à un sujet belge, cette jolie dame a bien accordé une interview à votre journal, au cours de laquelle elle décrit les valeurs de ses créations et modèles qui font l’objet d’une grande soirée de gala, le 25 juin prochain, à l’hôtel Venus.<br />
<br />
Pouvez-vous vous présenter au public ?<br />
<br />
Véronique LATINE ITOKO : Je suis une styliste congolaise, résidant à l’étranger. J’évolue à cheval, entre le Cameroun et la Belgique. Je suis conceptrice et créatrice de la marque « V-Collection » que je suis venue présenter aux amoureux de la mode à Kinshasa.<br />
<br />
Quelle est votre histoire avec le modélisme ?<br />
<br />
VL : Mon ambition était de devenir journaliste, faire la presse écrite, surtout. C’est pourquoi, je me suis inscrit  à l’Institut Facultaire des sciences de l’Information et de la Communication, «IFASIC», en 2006. Hélas, j’avais arrêté les études, pour le mariage avec mon mari.  Et depuis,  j’ai commencé à faire des enfants. Souvent, lorsque je vais chez les couturiers, il m’arrivait de fois de dessiner et proposer moi-même des croquis de modèles, pour mes vêtements.  Ainsi, mon mari m’a donné un jour l’idée de faire quelque chose, au lieu de rester à la maison pour ne s’occuper que des enfants. Parce que la femme doit aussi travailler. Alors je me suis dit : pourquoi ne pas faire le stylisme que j’aimais aussi beaucoup, à l’instar de la presse écrire, qui est ma passion. C’est ainsi que je me suis lancé dans la création de modèles, qu’on appelle « V-Collection », qui totalise déjà une année.       <br />
<br />
Quelle différence faites-vous entre V-Collection et d’autres marques ?<br />
<br />
VL : Il revient au public, consommateur, de juger. Ce qui est vrai, je ne fais pas la haute couture. Contrairement aux autres, V-Collection est une marque de vêtements simples qu’on peut porter à n’importe quel moment. Je confectionne des tenues qu’on peut porter pendant le soleil, la nuit… Mais, avec une touche d’élégance un peu particulier vu le design qui est toujours inspiré.   <br />
<br />
A quant l’ouverture d’une boutique V Collection à  Kinshasa ?<br />
<br />
VL : Si, je suis dans le projet de monter un atelier de couture à Kinshasa où je veux engager les couturières ou couturiers. Vraiment, on est en train de chercher un local.  Pour la vente, je pense bientôt ouvrir un grand magasin «V-Collection», en Ville. Donc, la marque ne sera plus confectionnée  plus au Cameroun mais ici dans mon pays. Parce que c’est son siège est ici chez moi, au Congo-RDC.   <br />
<br />
L’année dernière vous aviez organisé la première soirée de la présentation de « V-Collection », à l’hôtel Memling, à Kinshasa. Est-ce que vous avez aujourd’hui le feedback de cette activité ?<br />
<br />
VL : La soirée était magnifique. Il y a eu la participation de plusieurs personnes, congolaises et étrangères. Après, beaucoup m’ont appelé et ont passé de commande de vêtements. Donc, c’est un grand coup pour la promotion de la marque. Toutes les collections que j’avais présentées lors de la première présentation de V-Collection à Memling ont été toutes vendues. Aujourd’hui, la marque évolue bien. Raison pour laquelle, je suis revenue encore au pays pour faire la deuxième présentation de la marque V collection, le 25 juin 2016, à  l’hôtel Venus, à Kinshasa, à partir de 19h00. Cette soirée s’inscrit également dans le cadre de la célébration du premier anniversaire de ma marque qui a été crée en juin 2015.<br />
<br />
Quelle est la particularité de la soirée du 25 juin à l’hôtel Venus ?<br />
<br />
VL : Il n’y a pas vraiment trop des différences de particularité par rapport à la première soirée qui s’est déroulée à Memling où il y a eu un buffet. Seulement, cette soirée du 25 juin est une soirée de gala au cours de laquelle je veux présenter une nouvelle collection. Il y aura à boire, avec Champagnes pour ceux qui vont payer le billet VIP et avec boissons locales pour ceux qui vont acheter le billet simple.     <br />
<br />
On retrouve une autre marque à votre côté « LUXURY LIFE » : LL de Trésor Lualua. Comment peut-on justifier cette collaboration entre deux marques ?<br />
<br />
VL : LUALUA est mon neveu. Donc, je suis sa tante. On est dans la même famille. C’est moi qui suis allée lui proposer ce projet d’une soirée de gala avec défilé de mode pour présenter, à la fois, nos marques de vêtements, à Kinshasa. Il a accepté. C’est d’abord dans le cadre familiale. Comme vous le savez, il a sa marque de vêtement sportif qu’il n’a jamais présenté officiellement au pays. Voilà une bonne occasion pour découvrir les merveilles créations de l’international congolais, Lualua. Et moi, V-Collection, rappelez-vous, a été créée pour aider les pauvres, les orphelins ainsi que les personnes vivants avec handicap. Or, l’international congolais Trésor LUALUA mène aussi des actions humanitaires, à travers son ONG-Fondation, pour aider les personnes vulnérables. Ensemble, nous avons décidé de faire quelque chose pour aider nos frères et sœurs congolais qui sont en situation difficile.    <br />
<br />
Qu’est-ce que vous allez, concrètement,  présenter de spécial aux Congolais ?<br />
<br />
Concernant la marque V-Collection, j’invite le public à venir découvrir les nouvelles collections avec des nouveaux habits, (Robes, jupes…). Il y aura aussi des bikinis que je n’avais pas présentés l’année dernière. Cette fois-ci, il y aura du nouveau avec V-Collection. Tandis que « LL » de Trésor est une marque spécialisée dans les vêtements sportifs de luxe, à la fois, relax, pour homme et femme. En tout cas, on vous réserve beaucoup de surprises pour cette soirée à découvrir. Une soirée inédite de défilé de mode avec les beaux mannequins expérimentés de l’Agence Dechris Business Agency.    <br />
<br />
En 2015, avant la soirée à l’hôtel Memling, vous avez partagé un repas de cœur avec les handicapés de Kintambo. Pensez-vous  refaire le même geste encore?<br />
<br />
VL : Bien sûr ! Je crois que cette semaine,  nous allons effectuer une  visite dans un orphelinat dans la commune de Bandalungwa, où nous allons faire un don de vêtements aux enfants. J’ai acheté des vêtements en Europe et nous allons apporter aux orphelins et aussi partager la joie.<br />
<br />
Qu’est-ce que le public peut encore découvrir au-delà du défilé de mode ? <br />
<br />
VL : Ça sera une soirée spectaculaire, show avec la participation des autres artistes tels que les chanteurs Innocent BALUME dit Innos-B, Poison MOBUTU, Deplick et le célèbre comédien Kady d’Angleterre. Vraiment, des spectacles de musique et de comédie seront bel et bien au rendez-vous. Venez découvrir une nouvelle touche, créativité de la marque V-Collection et LL de Trésor Lualua sur le podium.

culture Styliste et créatrice de la marque V-Collection. Véronique Itoko se dévoile !

La styliste congolaise Véronique ITOKO LATINE est à Kinshasa pour présenter sa nouvelle collection de vêtements à travers la marque « V-C...

A travers un grand séminaire : UNIGE-UPN-UNIKIN se coalisent pour la sensibilisation sur la pollution de l’environnement

June 20, 2016

<br />
<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoyJbmnoyRb10q3rmGHCe-4X8oy7bwFDJUKAeho6CQBiGUSKcpZNgicEuMf2u6xrhX99YvRheC3n3U6OXO5Sv69HUjq3ujIALUrSjbVv0COFkR3eyP40Q1atkpMVnwQSdUytFgUhwUNEA/s1600/Snapshot_324.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoyJbmnoyRb10q3rmGHCe-4X8oy7bwFDJUKAeho6CQBiGUSKcpZNgicEuMf2u6xrhX99YvRheC3n3U6OXO5Sv69HUjq3ujIALUrSjbVv0COFkR3eyP40Q1atkpMVnwQSdUytFgUhwUNEA/s400/Snapshot_324.jpeg" width="400" /></a>Le 18 juin dernier, dans la salle B1 de la faculté des sciences de l’université de Kinshasa -UNIKIN-, un séminaire de renforcement des capacités a été organisé. Il a été le fruit de la collaboration de trois universités. Il s’agit précisément de l’Université de Genève-UNIGE-, l’Université Pédagogique Nationale -UPN- et, enfin, de l’UNIKIN. Ce séminaire de renforcement des Capacités en Enseignement et Recherche en Sciences de l’Environnement (PRCERSE) a eu pour thème «Exploring Research in Aquatic Environment». Plusieurs orateurs se sont succédé à la tribune. Ils y avaient notamment, des professeurs, des chefs des travaux, des assistants etc. Ils ont exposé sur des sujets ayant trait à l’environnement, à la gestion et traitement des eaux ainsi que d’autres problématiques.<br />
<br />
C’est depuis 2011 que la coopération suisse, à travers l’Université de GENEVE, collabore avec les deux institutions universitaires, qui bénéficient désormais de deux laboratoires d’analyse bactériologique et de contrôle d’aliments. Elles bénéficient, également, de l’appui de l’ambassade de suisse en RD Congo. Ce programme est financé par le fonds suisse. Cette collaboration est basée sur le domaine de l’enseignement et de la recherche en science de l’environnement et permet la sensibilisation de la population sur l’importance de l’environnement.<br />
<br />
En effet, le séminaire sur le renforcement des capacités a été reparti en trois sections avec tenus par différents intervenants.<br />
<br />
La première a porté sur la résistance antimicrobienne et la contamination des aliments. La deuxième session a été centrée sur les polluants métalliques et les organismes pathogènes, dans les cours d’eau urbaine. Enfin, la troisième session a été focalisée sur la gestion des déchets urbains et miniers ‘‘de la bio-remédiassions‘’.<br />
<br />
Ensuite, pendant le séminaire, trois principaux orateurs ont exposé devant l’assistance. Le premier, le chef des travaux, Bienvenu Mavakala, de l’UNIKIN, a exposé sur la détection et la caractérisation de décharge en utilisant l’approche IG et physico-chimique sur base d’une étude menée dans la Ville-Province de Kinshasa. Emmanuel Atibu, chef des travaux à l’UNIKIN, deuxième intervenant, a parlé de l’évaluation des impacts sanitaires et environnementaux des eaux contaminées par les métaux et les éléments rares provenant des eaux issus des zones miniers.<br />
<br />
Son étude a été effectuée sur base d’élément d’une inspection de la Région du Katanga. Le troisième, le chef des travaux Alexis Nienie de l’UPN, a, lui, parlé de la gestion de déchet et des eaux urbaines dans le contexte du développement durable. En prenant comme cas d’étude la ville de Kikwit.<br />
<br />
A en croire le professeur John Poté de l’Université de Genève : ‘’ il faut trouver des solutions, on ne peut pas faire la science sans la politique, dans le cadre de la régulation, le problème d’assainissement est très délicat, nous formons des doctorants et master à l’adaptation, il faut se former et se prendre en charge.<br />
<br />
Le projet va jusqu’en 2018, nous sommes ouvert pour le renforcement des capacités ‘’. Pour le doyen de la faculté des sciences de l’UPN, le professeur Mubedi, ‘’ cette collaboration se passe dans le cadre du programme de renforcement des capacités de l’Université de Genève ‘’. Et, il assure que les universités ont bénéficiés d’une formation théorique et pratique. Ensuite, le doyen de la faculté des sciences de l’UNIKIN, le professeur Vele Mwamba assure que ‘’ les trois institutions se mettent ensemble pour attaquer les problèmes de pollution, pour le combattre…’’.<br />
<br />
Cette journée, fortement scientifique, a été marquée par la remise des attestations de participation aux étudiants qui ont suivi la formation. En sus, la collaboration des trois institutions UNIGE-UPN-UNIKIN a permis l’encadrement de doctorants et le déplacement des professeurs des universités congolaises en suisse pour des stages à l’Université de Genève.

la Nation A travers un grand séminaire : UNIGE-UPN-UNIKIN se coalisent pour la sensibilisation sur la pollution de l’environnement

Le 18 juin dernier, dans la salle B1 de la faculté des sciences de l’université de Kinshasa -UNIKIN-, un séminaire de renforcement des cap...

Lodja : l’Administrateur du Territoire interpellé !

June 20, 2016

<br />
<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwgWBSfj7WsjDqQDnuE5whd1Kz-rp8ROxggx15rTGGoQMgeOU3GBPuB01VGplzoc3_C0aqNtGsaJkPR9rWY4uqNzuOeR2t7B4zEacL6pZ_f3rT657WG65fg87wWkS-CLsHp_ryL_BzC_s/s1600/Snapshot_17.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwgWBSfj7WsjDqQDnuE5whd1Kz-rp8ROxggx15rTGGoQMgeOU3GBPuB01VGplzoc3_C0aqNtGsaJkPR9rWY4uqNzuOeR2t7B4zEacL6pZ_f3rT657WG65fg87wWkS-CLsHp_ryL_BzC_s/s400/Snapshot_17.jpeg" width="400" /></a>Des notables de Lodja, dans la province du Sankuru, dénoncent l’insécurité grandissante qui caractérise la gestion amateuriste de l’Administrateur du Territoire. Il s’illustre, selon ces notables, par des suspensions illégales des Chefs de Groupement et, surtout, par des tracasseries administratives injustifiées. L’Administrateur du Territoire de Lodja  a, par exemple, suspendu de leurs fonctions, deux Chefs de Groupement sans motif valable. On cite Welo Walodi et Kunga wa Kunga. L’un d’eux est accusé de sorcellerie depuis près de trois ans. Une accusation, évidemment, sans preuve écrite qui cause, pourtant, d’énormes dégâts parmi la population du Territoire de Lodja. Un notable de Lodja du nom de Gilbert Lokenye, exaspéré, a décidé d’adresser une lettre ouverte à l’Administrateur, lettre dans laquelle il dénonce tous ses égarements. Gilbert Lokenye ne conçoit pas un avenir politico-administratif certain pour l’AT de Lodja. Ce dernier, d’ailleurs, n’a pas tiré de leçons de la gestion catastrophique de ses nombreux prédécesseurs. Parmi lesquels, Lukakao, Albert Nzele, Sylvain Djonga Otshudiema, Mvila Sylvain, etc. Tous ces anciens Administrateurs du Territoire ont quitté leurs postes à cause de leur immixtion dans les affaires coutumières de la Chefferie de Lutshimba. L’auteur de la lettre ouverte adressée à l’Administrateur du Territoire de Lodja ne se fait aucune illusion. Le destinataire de sa lettre partira un jour ou l’autre. « La nuit a toujours été longue, mais elle finit par disparaître. Si hier, c’était x ou y, aujourd’hui c’est z et demain le tour d’un autre ». Une sorte de déterminisme qui voudrait que dans les mêmes conditions, les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. Le notable Gilbert Lokenye espère que les autorités compétentes du pays, ayant les affaires coutumières dans leurs attributions, vont s’intéresser à l’instabilité du pouvoir coutumier dans la Chefferie de Lutshimba. Vaux mieux prévoir que guérir. Une intervention de la hiérarchie permettrait aux habitants de la Chefferie de Lutshimba de continuer à vaquer librement à leurs occupations quotidiennes. Personne n’a intérêt à entretenir un climat malsain aux conséquences incalculables.

Insécurité Lodja : l’Administrateur du Territoire interpellé !

Des notables de Lodja, dans la province du Sankuru, dénoncent l’insécurité grandissante qui caractérise la gestion amateuriste de l’Admini...

Avant de rencontrer Etienne Tshisekedi à Bruxelles : Edem Kodjo a consulté les groupes parlementaires

June 20, 2016

<br />
<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjrELSV9xKgFo81rna9wbxt1SiNf5o4_Ji552L8b0c6Z6yNLMi_hWzq_OSQdnz-YfM60STLQp5pzJMwZ8oylANkDtHNo8ppRr4IjGvEvQiWZjNxoagPrYyqSSui0zbNDM1H_7RFnIDke6M/s1600/Snapshot_277.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjrELSV9xKgFo81rna9wbxt1SiNf5o4_Ji552L8b0c6Z6yNLMi_hWzq_OSQdnz-YfM60STLQp5pzJMwZ8oylANkDtHNo8ppRr4IjGvEvQiWZjNxoagPrYyqSSui0zbNDM1H_7RFnIDke6M/s400/Snapshot_277.jpeg" width="400" /></a>*Edem Kodjo négocie le dernier virage du dialogue politique en gestation en RDC. Peu avant qu’il ne s’envole le vendredi, 17 juin dernier, pour Bruxelles, où il devrait rencontrer, dans la soirée, Etienne Tshisekedi, Président de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) et le Comité des sages du Rassemblement mis en place par le Conclave de Genval, Edem Kodjo, le Facilitateur du dialogue politique en RDC, a pris langue avec les groupes parlementaires de l’Opposition, comme de la Majorité présidentielle. Le contexte s’y est prêté : avoir une vue commune sur la tenue des assises du dialogue politique en vue en RD-Congo. Le Premier Ministre honoraire du Togo a choisi, pour cette fois-ci, de consulter dans le cadre purement institutionnel.       <br />
<br />
On pouvait apercevoir, dans le jardin de l’immeuble abritant le bureau de l’Union africaine, quelques députés nationaux de la MP et de l’Opposition. Il s’agit précisément du PPRD Emmanuel Ramazani Shadary, du MLC Fidèle Babala, de l’UNC Baudouin Mayo, ainsi que l’UDPS Samy Badibanga. Il y avait, également, Basile Olongo et Toussaint Alonga. De même, le groupe parlementaire du Mouvement social pour le Renouveau (MSR), aile MP, était du nombre, sous la conduite du SG du MSR, François Rubota, qu’accompagnait l’ancien ministre de l’Agriculture et Pêche, Jean Chrysostome Vahamwiti.<br />
<br />
De quoi était-il question ? Il s’est agi de prendre langue avec le facilitateur pour un dernier réglage concernant le Dialogue en gestation en République démocratique du Congo. C’est après cette consultation que le Facilitateur devrait poursuivre avec le Comité des sages mis en place par le Conclave de Genval et avec le Sphinx de Limete.<br />
<br />
A à en croire Samy Badibanga, le facilitateur a souhaité recevoir, pour la première fois, les élus du peuple de différents groupes parlementaires, dans le cadre institutionnel, dans le but de recueillir leurs avis sur la tenue du dialogue politique inclusif. Il a rappelé que son groupe parlementaire est favorable au Dialogue, surtout que l’initiative de ce forum avait été lancée depuis longtemps par l’Union pour la démocratie et le progrès social. «J’insiste sur les conditions et les préalables posées par les différentes parties», a-t-il ajouté.<br />
<br />
C’est pour cette raison qu’il a fait appelle à la sagesse du facilitateur pour rapprocher les points de vue des uns et des autres. «Le principe du dialogue est acquis, mais nous suivons de près le travail du facilitateur qui voyage ce soir pour rencontrer le président de l’UDPS, en Belgique », a-t-il conclu.<br />
<br />
Du coté de la MP, Emmanuel Shadary, président du Groupe parlementaire PPRD et Alliés, a précisé que le dialogue ne doit pas être convoqué par une autre personnalité étrangère. «C’est le point rouge et l’on ne peut y revenir», a-t-il dit. A l’occasion, il a rejeté la position d’Etienne Tshisekedi qui pense diriger la transition. Pour lui, pendant cette éventuelle transition, c’est toujours Joseph Kabila qui sera le Président de la République, parce qu’il est protégé par les lois de la République, comme le sont les sénateurs et les députés provinciaux.<br />
<br />
C’est l’avis du SG du MSR/MP, François Rubota, qui a manifesté son attachement au principe du Dialogue inclusif convoqué par Joseph Kabila.  <br />
<br />
Après un peu plus d’une heure d’entretien avec le facilitateur, Basile Olongo Pongo, qu’accompagnait Toussaint Alonga, a soutenu que si nous avons pris beaucoup de temps, c’est parce que nous voulions que Kodjo puisse nous dire comment il entend organiser le Dialogue : «Comment il perçoit les résolutions du Conclave de Bruxelles organisé récemment par l’Opposition. Basile Olongo a également exigé au Togolais de conformer ce forum à la Résolution 2277 du Conseil de sécurité des Nations Unies pour le respect du délai constitutionnel quant à l’organisation de la présidentielle».

Politique Avant de rencontrer Etienne Tshisekedi à Bruxelles : Edem Kodjo a consulté les groupes parlementaires

*Edem Kodjo négocie le dernier virage du dialogue politique en gestation en RDC. Peu avant qu’il ne s’envole le vendredi, 17 juin dernier,...

Contrôle de la paie des fonctionnaires de l’Etat : Michel Bongongo met le cap sur l’axe Maniema-Katanga-Province Orientale

June 20, 2016

<br />
<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDnvFPJPb-vkhZeYmTfWoD5nUVTa0cb9hJgZzROuE4LzQZrSlrT_zpftkafinL7qp01GkBTsTlAbQWZA_Fwka93wZm1SVkiktxRqYicDvENavHF_GIoFyiWo5L1Km495CExQBT6HIWMAs/s1600/Snapshot_323.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDnvFPJPb-vkhZeYmTfWoD5nUVTa0cb9hJgZzROuE4LzQZrSlrT_zpftkafinL7qp01GkBTsTlAbQWZA_Fwka93wZm1SVkiktxRqYicDvENavHF_GIoFyiWo5L1Km495CExQBT6HIWMAs/s400/Snapshot_323.jpeg" width="400" /></a>Le Ministre d’Etat en charge du Budget a donné le go, le vendredi 17 juin dernier, à la deuxième phase de contrôle de la paie des agents et fonctionnaires de l’Etat dans les Provinces du Katanga, du Maniema et de la Province Orientale, du moins, pour ce qui concerne leurs anciennes configurations. Et ce, dans les secteurs de la Santé Publique, Enseignement Primaire Secondaire et Professionnel (EPSP) ainsi que l’Enseignement Supérieur Universitaire et Recherches Scientifiques (ESURS). En envoyant les syndicalistes, il a indiqué, de vive voix, que le Chef de l’Etat compte énormément sur leur apport, entendu qu’ils ont déjà fait preuve d’un sens élevé de responsabilité dans d’autres provinces de la RD. Congo, depuis que cette opération a commencé.<br />
<br />
Après avoir récupéré plus de 10 millions de Dollars américains, la semaine dernière, dans les provinces de Bandundu, Equateur, les  deux Kasaï et le Kongo Central, Michel Bongongo ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Car, il s’agit là d’une mission lui confiée par le Président de la République, sur instruction du Premier Ministre. Ce qui explique que son regard soit désormais tourné vers ces trois provinces. Laquelle mission consiste à assainir le paiement des fonctionnaires de l’Administration Publique.<br />
<br />
‘’Ce qui est important maintenant, c’est le départ au Maniema, Katanga et la Province Orientale, puisque ces trois provinces présentent une grande valeur’’, dit-il devant un parterre des syndicalistes venus répondre à son appel dans la salle de conférence du Ministère des Affaires Etrangères. A l’en croire, l’élan pris par cet assainissement est un signe de confiance placé à l’égard des syndicalistes. Cela, entendu que cette pratique n’est possible qu’avec leur implication. Raison pour laquelle, il souligne que là, beaucoup n’ont pas cru en eux lors du lancement de ces opérations en 2015, alors que lui, particulièrement, compte sur leur compétence. D’autant plus qu’ils ont fait preuve d’un sens élevé de responsabilité. Une façon pour lui d’expliquer qu’ils ont prouvé aux Autorités et à la face du monde qu’ils ont le souci de la République.<br />
<br />
A cet effet, il rassure que cette administration publique leur appartient. ‘’Continuez de la sorte avec la mission qui vous est  confiée dans les provinces où vous vous rendez, et soyez des fonctionnaires modèles qui veulent que le pays se relève’’,  souhaité-t-il. Car, lui et la Vice-ministre, qui suivent de près cette situation, sont d’avis qu’ils ne seront pas déçus. Il est pour autant  convaincu que l’équipe qui descendra sur terrain rendra des résultats qui vont sauver la situation salariale des Non Payés (NP), attendu que c’est une grande responsabilité. En bon père de famille, il a félicité ces syndicalistes pour la confiance renouvelée.<br />
<br />
Cependant, pour les résultats qui venaient d’être présentés, la Commission va, au cours de la rencontre de cette semaine, les commenter pour la certification en vue de les acter.

Société Contrôle de la paie des fonctionnaires de l’Etat : Michel Bongongo met le cap sur l’axe Maniema-Katanga-Province Orientale

Le Ministre d’Etat en charge du Budget a donné le go, le vendredi 17 juin dernier, à la deuxième phase de contrôle de la paie des agents e...

Bruxelles : Tshisekedi pose 4 exigences à Kodjo !

June 20, 2016

<br />
<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNUwM8U8XeHuSXu9oHVlA-iK8z6pcCkEJoZ4G10meuGEyVjN3bDj2P8__BDV1PTGBM8eyvCtVESsnqOjYnpKBvseA_SJDdxDdkkt1sVU2rkqrB4NghPHh8j0RQZa0ufOTTlHh2vBm9k4o/s1600/Snapshot_322.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNUwM8U8XeHuSXu9oHVlA-iK8z6pcCkEJoZ4G10meuGEyVjN3bDj2P8__BDV1PTGBM8eyvCtVESsnqOjYnpKBvseA_SJDdxDdkkt1sVU2rkqrB4NghPHh8j0RQZa0ufOTTlHh2vBm9k4o/s400/Snapshot_322.jpeg" width="400" /></a>*Le Facilitateur du Dialogue politique en RDC s’est entretenu, le vendredi 17 juin, dans la capitale belge, avec Etienne Tshisekedi qu’entouraient les membres du Comité des Sages du Rassemblement des Forces Acquises au Changement. Edem Kodjo va, donc, regagner Kinshasa avec quatre exigences majeures de l’Opposition. On apprend, par exemple, que si Kodjo veut avoir les conclavistes de Genval autour de la table de discussions, le Dialogue politique annoncé ne devrait pas être celui convoqué sur base de l’Ordonnance du 28 novembre du Président Kabila, mais dans l’esprit et la lettre de la Résolution 2277 du Conseil de Sécurité de l’ONU. Tshisekedi et ses alliés ont, aussi, exigé la libération de tous les prisonniers politiques sans condition, ainsi que la mise en place d’un Panel d’Envoyés spéciaux de la Communauté internationale pour des raisons de transparence. Ce qui veut dire que le Facilitateur désigné par l’UA n’a pas obtenu la liste de  délégués de l’Opposition tant au Comité préparatoire qu’au Dialogue proprement dit. Les chances de réussite du Dialogue sont-elles compromises ? Pas nécessairement. L’espoir demeure, du moment que ces 4 exigences ne sont pas insolubles.          <br />
<br />
Une fois de plus, la balle est dans le camp de la Facilitation et du pouvoir en place à Kinshasa. Edem Kodjo, avant de prendre l’avion à destination de  Bruxelles, en milieu de semaine dernière, avait convoqué la presse dans son cabinet de travail. A cette occasion, il avait déclaré que le Dialogue qu’il facilite n’était  pas différent de celui évoqué dans  la Résolution 2277. Son voyage pour Bruxelles avait pour objectif de se rendre compte si le nouveau Rassemblement autour de Tshisekedi avait la même lecture du Dialogue. Kodjo avait, par ailleurs, prévu de rencontrer, en Europe, les membres du Groupe de soutien à la Facilitation du Dialogue, décidé dernièrement par l’Union Africaine, l’ONU, l’UE et l’OIF. Autrement dit, il répond déjà à deux des  quatre exigences de l’Opposition. La question relative à la libération des prisonniers politiques dépend du Gouvernement de la RDC. Kodjo, dans ce cas d’espèce, ne peut  que jouer aux bons offices. Toutefois, les gestes d’apaisement ont été réclamés par les organisations internationales qui soutiennent le Dialogue. Il reste à savoir si la Majorité au pouvoir à Kinshasa accèdera aux exigences de l’Opposition sur cette question liée notamment, à cette affaire des prisonniers dont  l’Opposition n’avance, du reste,  aucun nom.   Le Conclave de l’Opposition à  Genval, en début du mois de juin, n’a pas été bien apprécié par les ténors de la Majorité Présidentielle qui y ont vu le spectre d’un ‘‘coup d’Etat’’ institutionnel. Certains ont dénoncé la mainmise de l’extérieur. Quoi qu’il en soit, il sera difficile, pour Edem Kodjo, de se contenter éperdument de cette situation de blocage. Le processus électoral, en effet, n’avance toujours pas en RDC. Pourtant, les échéances électorales sont confrontées à la problématique des délais incompressibles. Il faudra un sursaut d’orgueil nationaliste pour remettre le processus électoral en  marche. Pendant ce temps, les parlementaires ont pris leurs vacances et ne reviendront qu’en septembre prochain. La session parlementaire de septembre 2016 sera, si les délais constitutionnels étaient tenus, la dernière de cette  législature. En l’absence d’un consensus politique, le pays donne l’impression de naviguer à vue.

Politique Bruxelles : Tshisekedi pose 4 exigences à Kodjo !

*Le Facilitateur du Dialogue politique en RDC s’est entretenu, le vendredi 17 juin, dans la capitale belge, avec Etienne Tshisekedi qu’ent...

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]