BA SANGO YA CONGO KINSHASA

L’ambassadeur de Belgique en RDC : « Un référendum pour un 3ème mandat serait une erreur … »

July 22, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3TDmXZJwDX9muOhnqO1R8Ffm96e1PXwU0jzkkI8TEbI1oklUA2Zncr8tYLRgRnnTk5oLs71N6Nv2U8bItMyI8-jeZeyPG_vfb-9dzYBQ8pbOyBIWEXAMbLkS4jpdgaeqXAFCEWDGJgYtD/s1600/Snapshot_453.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3TDmXZJwDX9muOhnqO1R8Ffm96e1PXwU0jzkkI8TEbI1oklUA2Zncr8tYLRgRnnTk5oLs71N6Nv2U8bItMyI8-jeZeyPG_vfb-9dzYBQ8pbOyBIWEXAMbLkS4jpdgaeqXAFCEWDGJgYtD/s400/Snapshot_453.jpeg" width="400" /></a></div>En marge de la 185ème fête nationale de son pays, l’ambassadeur du Royaume de Belgique en RD Congo, Michel Lastschenko, a échangé avec une brochette de journalistes de la capitale sur de nombreux sujets d’actualité, hier mercredi 20 juillet 2016, en sa résidence à Gombe. Au menu : le Dialogue politique inclusif, la rencontre des opposants à Genval, le processus démocratique, les élections, le référendum pour un 3ème mandat, Moise Katumbi, etc.<br />
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D’entrée de jeu en liminaire, le diplomate a rappelé qu’il est fin mandat, après 4 ans de présence en RD Congo, un pays qu’il a revu pour la seconde fois après avoir occupé le même poste entre 1988 et 1992. « En 2012, je suis arrivé à Kinshasa à un moment de crise dramatique avec la rébellion du M23. Grâce à la Belgique, la France, les USA, etc. la voix de la RDC a pu porter et le Conseil de sécurité des Nations Unies avait doté la Monusco d’une Brigade internationale d’intervention qui a chassé la rébellion. », s’est-il souvenu.<br />
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Depuis lors, la situation sécuritaire et politique s’est-elle améliorée ou dégradée ? A cette question, Michel Lastschenko a indiqué qu’aujourd’hui, la situation est loin d’être stable, mais il n’y a plus de groupe qui menace l’existence de la République à partir du Nord-Kivu. Du point de vue politique, a-t-il ajouté, en 2012, il y a eu réélection du président de la République et on ne se préoccupait pas de 2016. « En début 2015, on a commencé à se demander comment va-ton organiser les élections et aujourd’hui la question politique l’emporte sur la situation sécuritaire… », a souligné l’ambassadeur.<br />
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Face à la floraison de titres des journaux, l’ambassadeur a reconnu qu’il y a une vie démocratique en RD Congo. Cependant, il a déploré la tendance de certains dirigeants à passer du système démocratique au système autoritaire. « Dans une démocratie, il faut libérer au maximum l’espace politique, les insultes doivent être sanctionnées, mais il ne faut pas refuser l’expression. Sinon, c’est la crispation… », a-t-il averti.<br />
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Au sujet du Dialogue politique, le premier des Belges de la RDC a salué le fait que toutes les parties s’accordent sur la facilitation d’Edem Kodjo. « Nous attendons le commencement du Dialogue car c’est le seul cadre où va se poser les questions de l’avenir du Congo. On va y discuter du calendrier, et d’autres questions importantes. Malgré les positions opposées, on doit se parler pour trouver un consensus… », a-t-il exhorté.<br />
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Sanctions : la Belgique encore vigilante<br />
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Interrogé sur les prises positions distinctes des Etats-Unis, notamment sur le respect du délai constitutionnel et les sanctions contre les responsables du blocage du processus démocratique, l’ambassadeur a clairement dit que tout le monde est pour le respect du délai constitutionnel. « … ça, c’est la théorie.  L’élection présidentielle le 27 novembre 2016. Pour diverses raisons, peut-être à cause des événements tragiques de 2012-2013, le gouvernement n’a pas pu réunir les moyens… », a-t-il tenté d’expliquer, avant dé faire noter que la Belgique n’en est pas encore à la politique des sanctions, mais plutôt celle de grande vigilance.<br />
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Sans vouloir faire un procès d’intention sur la bonne foi des autorités congolaises, le diplomate a diagnostiqué ce qui manque à notre univers politique : la confiance. « Les hommes politiques ne se font pas confiance. D’où, chaque décision est perçue comme une volonté de nuire… », a-t-il regretté.<br />
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Concernant la colère des autorités de Kinshasa sur la réunion de l’opposition congolaise à Genval, en Belgique, l’ambassadeur a déclaré qu’il serait davantage heureux si le Conclave avait touché tout le monde et était un pré-dialogue. « Nous sommes un pays libre et les opposants ont souhaité se réunir au château de Genval. N’importe qui peut l’organiser dans le respect des lois belges. Ce n’était pas une rencontre organisée par la Belgique, mais nous nous réjouissons que les opposants congolais se parlent. C’est important dans une démocratie de se mettre d’accord sur les principes … », a-t-il martelé.<br />
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Balayant du revers de la main les accusations d’octroi rapide des visas d’entrée sur le territoire belge aux opposants, soit endéans 48 heures, Michel Lastschenko a expliqué, que ceux qui s’y rendent régulièrement l’ont eu rapidement. « Mais beaucoup d’entre eux avaient déjà leurs visas. Et pourquoi bloquer une demande alors que les conditions sont remplies ? On s’est beaucoup félicité en Belgique que les gens se parlent, car on se souvient des débats houleux de 2012 sur la désignation du porte-parole de l’Opposition… », a-t-il soutenu.<br />
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A propos des actions judiciaires entreprises. contre le candidat déclaré à la présidence, Moïse Katumbi, l’ambassadeur Lastschenko est formel : « Non. Cela ne favorise pas un climat de Dialogue ». Toutefois, il a reconnu que la justice a jugé bon de le condamner et s’est refusé à tout commentaire sur une affaire dont il ne connait pas les détails.<br />
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Financement des élections : les conditions de la Belgique<br />
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Alors qu’une frange de l’opinion nationale estime que les partenaires de la RDC sont prompts aux critiques et lents à plonger les mains dans les porte- monnaies, il a émis deux conditions, concernant son pays : la publication d’un calendrier consensuel et d’un plan de financement.<br />
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Soulignant la nécessité de libérer les prisonniers d’opinion dans une démocratie, le diplomate a retenu que la grâce présidentielle annoncée par le Chef de l’Etat est une mesure de confiance et va contribuer à la décrispation. « Nous avons espéré qu’à l’occasion du 56ème anniversaire, cela allait se concrétiser parce que le principe est acquis … »<br />
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Répondant, enfin, à la question liée à l’idée d’organiser un référendum en vue de modifier la Constitution et ouvrir ainsi un mandat supplémentaire à l’actuel président de la République, le plénipotentiaire belge a dévoilé que ce serait une modification regrettable si on devait le faire maintenant. «Le référendum est une erreur, car on a mis des années pour construire le consensus politique actuel. Depuis Addis-Abeba, Lusaka, Gaborone, Sun City, la Constitution du 19 février 2005, etc. c’était un travail de longue haleine. Ca serait triste qu’un pays qui, pour la première fois, va vivre une transition démocratique, ne puisse vivre ce moment. Après deux mandats, un président doit passer la main, non parce qu’il est mauvais, mais parce que la Constitution dit cela. Pourquoi faire un référendum alors qu’on peut faire une élection ? »  s’est-il interrogé, reconnaissant qu’il existe cette tentation des gouvernements démocratiques d’évoluer vers des formes autoritaires.<br />
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Par Tshieke Bukasa<br />
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Politique L’ambassadeur de Belgique en RDC : « Un référendum pour un 3ème mandat serait une erreur … »

En marge de la 185ème fête nationale de son pays, l’ambassadeur du Royaume de Belgique en RD Congo, Michel Lastschenko, a échangé avec une b...

Le Petit Frère de Cellulaire sort de son Silence Apesi Cause Ya Liwa Ya Grand Frère Na Ye (VIDÉO)

July 22, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6nAj89_Hjq8LXCIqC76LzIFdsI6vPHEiMs-ZL3wzwHSt5SZ6YWU-vQAPJRXBASl7gpzV027VAAhpj88IwK-KFlEJdLDEyZLRH9laQvZMFpXlk41kIEyvk2dQsqAb5BgWtkmsjurFcj2ZA/s1600/Snapshot_452.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6nAj89_Hjq8LXCIqC76LzIFdsI6vPHEiMs-ZL3wzwHSt5SZ6YWU-vQAPJRXBASl7gpzV027VAAhpj88IwK-KFlEJdLDEyZLRH9laQvZMFpXlk41kIEyvk2dQsqAb5BgWtkmsjurFcj2ZA/s400/Snapshot_452.jpeg" width="400" /></a></div><br />
Le Petit Frère de Cellulaire sort de son Silence Apesi Cause Ya Liwa Ya Grand Frère Na Ye (VIDÉO)<br />
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infos en vidéos Musique Le Petit Frère de Cellulaire sort de son Silence Apesi Cause Ya Liwa Ya Grand Frère Na Ye (VIDÉO)

Le Petit Frère de Cellulaire sort de son Silence Apesi Cause Ya Liwa Ya Grand Frère Na Ye (VIDÉO)

Famille Ya Cellulaire Ezongisaki Ba Journalistes na nzela, Ba Secrets Ya Somo ebimi (VIDÉO)

July 22, 2016

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Famille Ya Cellulaire Ezongisaki  Ba Journalistes na nzela, Ba Secrets Ya Somo ebimi (VIDÉO)<br />
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infos en vidéos Musique Famille Ya Cellulaire Ezongisaki Ba Journalistes na nzela, Ba Secrets Ya Somo ebimi (VIDÉO)

Famille Ya Cellulaire Ezongisaki Ba Journalistes na nzela, Ba Secrets Ya Somo ebimi (VIDÉO)

Mort de Cellulaire Ememi Réconciliation B'animateurs Nionso Ba Sangani Eyindi Concours Ya Ba Cris (VIDÉO)

July 22, 2016

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Au tour de Kinshasa infos en vidéos JB Mpiana Musique Mort de Cellulaire Ememi Réconciliation B'animateurs Nionso Ba Sangani Eyindi Concours Ya Ba Cris (VIDÉO)

Mort de Cellulaire Ememi Réconciliation B'animateurs Nionso Ba Sangani Eyindi Concours Ya Ba Cris (VIDÉO)

L’Onu dit non au pré-dialogue de Sassou

July 22, 2016

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Ce n’est pas encore un ca mouflet. Mais, on n’en est pas loin. Dans sa tentative de vouloir imprimer sa marque sur la tenue du dialogue politique national en République démocratique du Congo, le président du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, vient de recevoir une douche froide de la part de la représentation des Nations unies en RDC, à savoir la Monusco (Mission des Nations unies pour la stabilisation du. Congo).<br />
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Hie devant la presse, Charles Bambara, porte-parole de la Monusco, s’est chargé de révéler la position des Nations unies. A première vue, l’Onu n’est pas prête à embarquer dans n’importe quel navire pour garantir la tenue du dialogue politique, censé baliser la voie pour des élections apaisées, démocratiques, libres et transparentes en RDC. Selon le porte- parole de la mission onusienne en RDC, il serait mal venu de s’écarter de l’élan tracé par l’Union africaine dans la perspective de la tenue à Kinshasa d’un dialogue politique national. A Kinshasa, tout comme à New York, il ne pourrait être accepté qu’un autre schéma vienne court-circuiter celui coopté par la communauté internationale et clairement inscrit dans la résolution 2277 du Conseil de sécurité des Nations unies.<br />
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Dans les couloirs de la Monusco, on estime que des initiatives parallèles à la position des Nations unies concernant l’aboutissement harmonieux du processus électoral en cours risquent d’engager la RDC dans une voie incertaine. Charles Bambara ne cache pas son dépit à l’initiative parallèle du président Denis Sassou Nguesso. Sans le dire vraiment, la Monusco craint que l’initiative de Sassou soit juste une distraction pour détourner les acteurs concernés par le dialogue politique de la RDC du vrai problème, c’est-à-dire le sauvetage du processus électoral en ballottage. Dont acte. Son avis est défavorable.<br />
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Interrogé à cet effet, Charles Bambara a rejeté toute implication des Nations unies dans ce qui se déploie de l’autre côté du fleuve Congo. Il a d’ailleurs réitéré la position des Nations unies, clairement reprise par Maman Sidikou, représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en RDC, chef de la Monusco, dans le discours prononcé devant la presse le 14 juillet 2016. A cette occasion, le patron de la Monusco a fait savoir que, «pour les Nations unies, seul un dialogue inclusif et crédible entre les parties prenantes congolaises permettrait de désamorcer les tensions actuelles, surmonter l’impasse électorale et prévenir la violence». Ce qui suppose que les Nations unies ne souscrivent pas à un schéma qui cherche à s’écarter de la voie tracée par la résolution 2277.<br />
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Au moment où les Nations unies perçoivent une lueur d’espoir dans la tenue du dialogue politique en RDC, la Monusco voit très mal l’intrusion du président Denis. Sassou Nguesso. « De plus en plus, les lignes commencent à bouger et un large consensus se dessine progressivement sur l’impératif du dialogue pour surmonter l’impasse actuelle », s’était d’ailleurs félicité Maman Sidikou.<br />
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SASSOU N’EST PAS LE BIENVENU<br />
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Apparemment, le président Denis Sassou Nguesso doit revoir ses calculs. Dans les instances des Nations unies, son geste de bons offices en faveur de la RDC n’est pas le bienvenu. Les Nations unies redoutent que Denis Sassou Nguesso, supposé très proche du président Joseph Kabila, soit plutôt une fusible en sa faveur. Pour la Monusco, il y a bien des raisons de craindre cette intrusion de celui qui a réussi à s’octroyer contre la volonté de son peuple un nouveau mandat présidentiel au Congo-Brazzaville. D’une, certaine manière, la Monusco pense que Sassou est la négation de ce que la communauté internationale attend voir se réaliser en République démocratique du Congo. D’ores et déjà, l’on sait que les Nations unies ne se laisseront pas embarquer dans le pré-dialogue que se propose de convoquer le président Sassou dans son camp retranché d’Oyo. Si le président Sassou a la ferme volonté d’aider la RDC, la Monusco lui rappelle le cadre de collaboration, c’est-à-dire le groupe de soutien à la facilitation, dont la composition a clairement été circonscrite par l’Union africaine. Est-ce à dire que l’initiative du président Sassou est étouffée dans l’œuf? C’est fort probable.<br />
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L’on comprend aisément le peu d’intérêt que le président angolais, osé Eduardo dos Santos, a accordé à une tripartite qui devait se tenir au Congo-Brazzaville, entre lui, le président Sassou et Joseph Kabila, avec comme invité spécial le facilitateur Edem Kodjo. En dernière minute, le président angolais n’avait pas fait le déplacement de Brazzaville. Ceci pourrait expliquer cela.<br />
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Quoi qu’il en soit, le message de Charles Bambara est censé recadrer le président Sassou. Son initiative d’un pré-dialogue dans son fief d’Oyo n’a pas trouvé de preneur aux Nations unies.<br />
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Par LE POTENTIEL<br />
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Politique L’Onu dit non au pré-dialogue de Sassou

Denis Sassou Nguesso, président du Congo-Brazza ville, tient à jouer un rôle chez son voisin, la RD Congo en menant à sa manière des consult...

Arrivée De JB Mpiana Na Matanga Ya Cellulaire, Djino Kaporeji Afukami Devant Son Père JB Mpiana (VIDÉO)

July 22, 2016

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Arrivée De JB Mpiana Na Matanga Ya Cellulaire, Djino Kaporeji  Afukami Devant Son Père JB Mpiana (VIDÉO)<br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="320" src="https://www.youtube.com/embed/BlVf6AkBdFM" width="620"></iframe><br />
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infos en vidéos Musique Arrivée De JB Mpiana Na Matanga Ya Cellulaire, Djino Kaporeji Afukami Devant Son Père JB Mpiana (VIDÉO)

Arrivée De JB Mpiana Na Matanga Ya Cellulaire, Djino Kaporeji Afukami Devant Son Père JB Mpiana (VIDÉO)

Roger Ngandu Et Blachard Mosaka: JB Mpiana Apesa Cellulaire Mbongo Mais Akufi Pauvre Atiki Héritage Ya Voix (VIDÉO)

July 22, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEgTvWGCnM9gbYzQpdaZdeBiekCWN1LWglXdPvE3vcSYtN8McR9F0nW6uAWZX3yymfCbJvS839ZkN8rjiSQaG_gl3Nac0qFnOnZSXnORxTETjKtY2DbYmS8zpspVt-19Jaq4I1OmSSvZ-M/s1600/Snapshot_446.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEgTvWGCnM9gbYzQpdaZdeBiekCWN1LWglXdPvE3vcSYtN8McR9F0nW6uAWZX3yymfCbJvS839ZkN8rjiSQaG_gl3Nac0qFnOnZSXnORxTETjKtY2DbYmS8zpspVt-19Jaq4I1OmSSvZ-M/s400/Snapshot_446.jpeg" width="400" /></a><br />
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Roger Ngandu  Et Blachard Mosaka: JB Mpiana Apesa Cellulaire Mbongo Mais Akufi Pauvre Atiki Héritage Ya Voix (VIDÉO)<br />
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="320" src="https://www.youtube.com/embed/06arn_NyRi8" width="620"></iframe><br />
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RDC: Une Résolution du Parlement Belge fait trembler le Régime Kabila (VIDÉO)

July 22, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjm2D9_boDqx_tXw_2gFbIr_XivHq6FVt1OHGYBg85odW4C7_KH4ymac7ysYipyUlZF0NyEXE7-LYagtwxo0p1uMSKrU6ZdIiCQfhUeX1lq91bvNNMcTEe746OzwjtJG9yq1THj6lM2qTxd/s1600/Snapshot_979.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjm2D9_boDqx_tXw_2gFbIr_XivHq6FVt1OHGYBg85odW4C7_KH4ymac7ysYipyUlZF0NyEXE7-LYagtwxo0p1uMSKrU6ZdIiCQfhUeX1lq91bvNNMcTEe746OzwjtJG9yq1THj6lM2qTxd/s400/Snapshot_979.jpeg" width="400" /></a>RDC: Une Résolution du Parlement Belge fait trembler le Régime Kabila (VIDÉO)<br />
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RDC: Une Résolution du Parlement Belge fait trembler le Régime Kabila (VIDÉO)

LE BOURGMESTRE TOUSSAINT KAPUTU SUPERVISE LES TRAVAUX D’ASSAINISSEMENT

July 22, 2016

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Le bourgmestre de la commune de Lemba, Toussaint Kaputu Mafulu, a supervisé en personne, le mercredi 20 juillet, les travaux d’assainissement au niveau du rond-point Super/Lemba sur l’avenue Aruwimi. Les vendeurs, les tenanciers de terrasses et bars qui occupaient anarchiquement les espaces à ce niveau de la commune, ont reçu l’ordre de libérer les lieux. Ainsi, les tables, les chaises, les fûts destinés à des barbecues ont pris la destination de la maison communale de Lemba. Par la suite, les occupants illégaux de ces espaces ont balayé les lieux et dégagé les immondices qui s’accumulaient.<br />
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Le numéro 1 de la municipalité de Lemba n’y est pas allé de main morte, pour attirer l’attention de ses administrés sur l’assainissement de l’environnement. Accompagné du commandant de sous-ciat et des éléments de la police nationale congolaise, Kaputu Mafulu a intimé l’ordre de rendre accessible la voie publique. Il a également appelé les habitants de sa commune à dénoncer les actes inciviques posés par des tiers.<br />
" Habitants de Lemba, ne soyez pas inactifs. Vous devez dénoncer les actes inciviques que posent vos concitoyens. Vous devez savoir qu’il est interdit à quiconque de s’approprier la voie publique. Les propriétaires de certaines parcelles s’arrogent le droit de dépasser la limite imposée par l’Etat de leurs parcelles, nous devons y mettre fin et cela se fera avec votre contribution ", a déclaré le bourgmestre de la commune de Lemba.<br />
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SATISFACTION DE LA POPULATION<br />
La population regroupée autour de leur bourgmestre a approuvé la démarche de ce dernier pour assainir l’environnement. " Je félicite notre bourgmestre pour cette opération, l’assainissement de l’environnement est très important surtout pour notre santé. Super Lemba doit retrouver sa beauté d’antan. Comme l’a dit M. Kaputu notre commune a perdu de son prestige, avec cette opération nous allons essayer de retrouver notre réputation de commune des intellectuels ", a indiqué un habitant.<br />
" Kaputu wumela ", " Vive Kaputu ", s’est exclamé un jeune garçon. Le bourgmestre, rajoute-t-il, est un homme qui assume réellement son rôle de chef. Mener de telles actions est pour ma part à encourager, notre milieu de vie doit être rendu propre afin que nous vivions longtemps et que certains décès dus au manque d’hygiène puissent être évités.<br />
<br />
UN HOMME AU CŒUR SENSIBLE<br />
Le responsable de la commune de Lemba a eu le temps, au cours de cette opération, d’être à l’écoute des doléances de quelques enfants en rupture familiale, communément appelés "shégués " qui l’ont abordé. Toussaint Kaputu s’est entretenu avec trois garçons dont l’âge varie entre 10 et 13ans. Il a cherché à en savoir davantage, en les questionnant, sur leurs familles respectives.<br />
Agissant en père de famille, sensible aux problèmes des enfants, le bourgmestre a instruit ses services compétents afin que les besoins de ces garçons soient tant soit peu soulagés. L’autorité communale a saisi l’occasion pour prodiguer quelques conseils aux trois garçons qui l’ont approché. Au terme de leurs entretiens, les "shégués" sourire aux lèvres semblaient être satisfaits de leurs échanges avec le bourgmestre.<br />
A la question de savoir quelles mesures seraient mises en œuvre pour perpétuer cet état de chose, Kaputu Toussaint a promis de faire un suivi régulier avec des descentes sur terrain. Il a interpellé la police nationale à bien faire son travail, de même que ses administrés à adopter un comportement plus civique.

Au tour de Kinshasa Société LE BOURGMESTRE TOUSSAINT KAPUTU SUPERVISE LES TRAVAUX D’ASSAINISSEMENT

Le bourgmestre de la commune de Lemba, Toussaint Kaputu Mafulu, a supervisé en personne, le mercredi 20 juillet, les travaux d’assainissem...

Dialogue : Michel Lastschenko appelle à un consensus

July 22, 2016

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*A l’Ambassade de la Belgique, à Kinshasa, l’ambiance est à la célébration du 185ème anniversaire de la fête nationale du Royaume de Belgique. Michel Lastschenko, diplomate belge en poste en RDC, a choisi un jour, peu avant cette célébration, pour échanger avec quelques journalistes congolais, sur un certain nombre de  sujets qui taraudent les méninges de plus d’un au Congo de Lumumba, en Afrique, en Europe et à travers le monde. Il s’agit, entre autres,   du dialogue politique  qui peine à démarrer suite à certaines divergences d’approche entre la Majorité au pouvoir et l’Opposition, du conclave de l’opposition congolaise à Genval, des élections qui font couler encre et salive, du possible référendum, pour ouvrir la voie à un troisième mandat du Président actuel…<br />
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Il est fier de son pays  qui a su montrer à la face du monde, il y a peu, la solidité de son administration, en prenant la direction du pays pendant presqu’une année, en l’absence du Gouvernement ; chose rarissime dans l’histoire des institutions. Michel Lastschenko, Ambassadeur de la Belgique, s’est montré très détendu lors des échanges avec une brochette de journalistes congolais. Alors qu’il est presque fin mandat, après quatre ans de direction de la diplomatie belge en République Démocratique du Congo, il a rappelé à ses invités qu’il connaît bien la RDC, pour y avoir exercé un autre mandat entre 1988 et 1992. Pendant ces années, le Congo avait connu un autre tournant de son histoire, avec la période de démocratisation du pays et la tenue de la Conférence Nationale Souveraine. Est-ce un hasard ou c’est en raison de son expérience qu’il soit encore venu en RDC en 2012, alors que le pays a connu une crise dramatique dans  l’Est du pays avec la rébellion du M23 ? Le diplomate belge s’est empressé de saluer les efforts de son pays, le Belgique, de la France, des Etats-Unis d’Amérique et de tant d’autres pays qui ont  porté  haut la voix de la RDC, pour qu’en définitive, le Conseil de Sécurité des Nations Unies puisse doter la Monusco d’une Brigade d’intervention. Celle-ci a eu le mérite de mettre en déroute le M23, a-t-il fait savoir.<br />
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Des questions politiques<br />
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Alors qu’avec le M23, ce sont des questions sécuritaires, avec la menace de l’unité et l’intégrité du pays,  les choses ont évolué, en dépit de quelques poches de résistance  ça et là, à travers le Nord-Kivu, a fait savoir le diplomate belge qui  a expliqué que depuis 2011, avec l’élection du Chef de l’Etat, Joseph Kabila, pour son second et dernier mandat,  ce sont des questions politiques qui ont une prédominance accrue. Surtout que les perspectives de l’organisation des élections ne rassurent pas  aujourd’hui, a-t-il renchéri.<br />
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Dialogue, seul cadre pour préparer l’avenir<br />
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Pays membre de l’Union européenne, la Belgique ne peut se soustraire du soutien que cette institution apporte au Facilitateur désigné, en l’occurrence,  Edem Kodjo, a indiqué le diplomate belge, qui invite, par ailleurs, la classe politique congolaise, à s’y investir. «Nous attendons le commencement, pour que les questions majeures soient traitées, en dépit de  divergences notées jusque-là. Les parties doivent parvenir à un consensus pour une suite apaisée », a-t-il dit.<br />
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Sanction ou vigilance ?<br />
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Contrairement à la politique développée par l’administration Obama, s’agissant des sanctions déjà prises contre certains hauts responsables de la RDC, le diplomate belge a soutenu que son pays, bien qu’il puisse défendre le respect de la Constitution de ce pays, est encore au niveau de la vigilance. «Nous attendons la bonne foi des autorités congolaises », a-t-il expliqué, en demandant aux acteurs politiques de se faire plutôt mutuellement confiance, pour qu’il n’y ait pas d’interprétation tordue de certaines décisions.<br />
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Genval ?<br />
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Pour Michel Lastschenko, il est illusoire de croire que la Belgique s’opposerait à une rencontre des acteurs politiques en Belgique, pays de la vieille démocratie. Si l’opposition politique s’est réunie au Château de Genval, pour harmoniser des vues sur une question politique du pays, il n’y a rien de mauvais dès lors que les lois belges ne sont pas bafouées, a-t-il soutenu.<br />
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Elections<br />
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Le diplomate belge a évoqué avec ses invités,  la question liée aux élections et à leur financement. Quelle est la position de la Belgique quant à ce ? Michel Lastschenko a rassuré que si  la centrale électorale publie le calendrier électoral consensuel et présente un plan de financement, il ne voit pas comment son pays, partenaire de la RDC,  manquerait d’apporter son appui. Dans cette perspective, il a dénoncé les visées probables de conduire le pays vers le référendum. Cette procédure réduirait en cendres tous les efforts consentis depuis Addis-Abeba, Lusaka, Gaborone et Sun City, ayant conduit la RDC à se doter de la constitution du 18  février 2005, a-t-il insisté. Et, d’ajouter qu’il serait triste pour un pays, qui est déjà arrivé au moment d’une passation pacifique de pouvoir, de ne pas vivre ce moment. «Car, après deux mandats constitutionnels, un président doit savoir passer la main », a-t-il conclu.

Politique Dialogue : Michel Lastschenko appelle à un consensus

*A l’Ambassade de la Belgique, à Kinshasa, l’ambiance est à la célébration du 185ème anniversaire de la fête nationale du Royaume de Belgi...

Pour soutenir la micro-finance : Laurent Batumona finance le petit commerce des mamans de Ngaliema

July 22, 2016

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*Afin d’atténuer tant soit peu la paupérisation ou la misère de certaines familles des quartiers de la commune de Ngaliema, l’Honorable Laurent Batumona a financé le petit commerce de quelques mamans. Regroupées dans le groupe sportif de Zango, pour la plupart, ce  fonds de commerce a permis un démarrage d’une activité commerciale selon la capacité de chacune d’elle.  Il n’y a pas que les joueuses de Zango qui ont bénéficié de ce financement. Mais, aussi,  les vendeuses des quartiers qui ont obtenu un petit fonds de commerce, pour renforcer leurs activités. Le but de cette initiative consiste à  aider ces parents à payer les frais scolaires des enfants, à  subvenir aux soins de santé et à  assurer la survie. D’autres actions qui ont nécessité des moyens financiers se comptent. C’est notamment, sur le plan de la lutte contre l’insalubrité, l’insécurité et le divertissement. Pour ce dernier cas, des équipements sportifs ont été distribués à certaines équipes de cette municipalité. <br />
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Tant vaut la femme, tant vaut la Nation, dit un adage.  Ceci signifie sans ambiguïté que le développement d’un pays est facteur du développement socio-économique de la femme. Et, Laurent Batumona a vite compris cette réalité. Voilà pourquoi,  il a mis la femme au centre de sa vision au Mouvement de Solidarité pour le Changement. Il n’est pas à son premier coup de massue. Dans les communes de Makala, Selembao, Kasa-Vubu, Kalamu et ailleurs, où la population a déjà bénéficié de  bienfaits de Diata Bau.<br />
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Il est parti d’un constat en cette période de la mondialisation, pour arriver à cerner que les droits de la femme congolaise, en général, et kinoise, en particulier, sont de plus en plus controversés. Cet état des choses, soutient-il, est consécutif à la précarité du pouvoir d’achat dans leurs  ménages. <br />
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En effet, il estime que la femme urbaine se retrouve dans une position de vulnérabilité, car ne pouvant pas nouer les deux bouts du mois avec le maigre revenu de salaire de son mari, pour ceux qui travaillent.<br />
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Sur le plan social, il a observé qu’il y a tendance à la considérer comme inférieure à l’homme. Alors que dans la journée, elle s’occupe des enfants, elle va vendre les produits au marché ou au coin de la rue, elle doit faire la cuisine et s’occuper encore du mari.<br />
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Quand elle s’adonne au petit commerce, elle tombe généralement  en  faillite, car n’ayant pas de capacités de gestion des charges sociales de son foyer.<br />
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Sur le plan sanitaire, le leader du Mouvement de Solidarité  pour le Changement, MSC,  son parti politique,  a constaté que la situation est d’autant plus grave du fait que la femme est exposée à plusieurs inconvénients  notamment,  le manque des moyens pour scolariser ses enfants, la prise en charge de maladies et la survie.  Cette situation, a-t-il noté, est plus visible aussi chez la jeune fille.<br />
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En effet, à cause de l’extrême pauvreté, la jeune fille est obligée d’avoir une liaison avec un homme beaucoup plus âgé, pourvu que celui-ci puisse la soutenir financièrement dans sa vie. Et, le danger qu’elle encourt, c’est qu’elle peut attraper facilement le VIH ou qu’elle peut attraper une grossesse non désirée, qui l’empêcherait de poursuivre sa vie normalement.<br />
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Alors, c’est dans le souci de relever, tant  soit peu  le statut de la femme, que l’Honorable Laurent Batumona s’est assigné une mission de la soutenir dans son activité de petit commerce, pour celle qui en ont déjà, et d’en créer, pour celles qui n’ont rien à faire. Il pense que ce petit fonds de commerce peut leur  éviter le risque d’endettement.<br />
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Divertissement<br />
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Depuis des années, pendant les vacances parlementaires, soit au mois d’août, les équipes se constituent dans les quartiers et organisent un tournoi de football. Pour l’organisation de ce tournoi, l’Honorable Batumona intervient en offrant des  vareuses et  ballons au comité d’organisation. Après chaque match, un rafraîchissement est servi. Une enveloppe, en termes de prix, est octroyée aux équipes qui se sont qualifiées et à celle qui est sacrée championne. Une enveloppe d’encouragement est aussi remise aux participants.<br />
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Lutte contre l’Insécurité<br />
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Au regard du banditisme qui a régné dans l’ex-Quartier Baudouin, dont Batumona, lui-même fut victime en 2014, il avait mené des démarches pour l’implantation d’un Sous/Ciat. Cette action a été rendue possible par l’intervention personnelle du Général Oleko et de Célestin Kanyama, alors Colonel. A ses frais, le Sous-Ciat a bénéficié de  matériels de bureau, mousse et une ration pour un trimestre a été assurée. A ce jour, ce coin est pratiquement sécurisé. Les  bandits ont été, dans la plupart des cas,  neutralisés. Les uns sont en prison et, d’autres, en cavale.<br />
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Combattre l’insalubrité<br />
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Pour l’assainissement de leur environnement et aussi pour lutter contre l’insalubrité, il a doté quatre Asbl de quelques  instruments de travail. Il s’agit de : Union Congo fort du président Jadot, Union des jeunes de Kinshasa que dirige David Kabongo, le Samouraï du président Jeef.  Le Don en matériels aratoires est constitué des brouettes, coupe-coupe et bêches. Ce travail se fait chaque samedi et un rafraîchissement est souvent offert à la fin.

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*Afin d’atténuer tant soit peu la paupérisation ou la misère de certaines familles des quartiers de la commune de Ngaliema, l’Honorable La...

Droits humains. ONU : Zaid Ra’ad félicite la RDC pour des réformes

July 22, 2016

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*C’est pour lui un pari gagné après une mission spéciale en RD. Congo sur les questions des droits humains. En effet, c’est hier 21 juillet 2016, que Zaid Ra’ad, Haut-commissaire de l’Onu aux droits de l’homme, a tenu une conférence de presse au Quartier Général de la Monusco, au cours de laquelle il a dévoilé de grandes vérités au sujet du respect ou non de Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo. Il a, dans son discours liminaire, reconnu et encouragé les avancées importantes réalisées dans le domaine de la lutte contre l’impunité des violences sexuelles, les progrès en termes de droits économiques ainsi que la protection des  journalistes. «Nous reconnaissons également quelques mesures clefs dans la réforme de la justice. Tout ceci constitue une avancée importante pour le peuple congolais, après tant d’années de tourments et de destruction, et je tiens à féliciter les congolais pour ces réalisations», a-t-il souligné.<br />
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Il est presqu’à la fin de sa mission en RDC. Bientôt, il s’envolera pour soumettre son rapport à qui de droit. Zaid Ra’ad a atterri en RDC depuis la semaine dernière. Après avoir eu des entrevues avec quelques responsables dans l’Est du pays, il est arrivé  à Kinshasa où il a rencontré le Premier Ministre,  Matata Ponyo, le Président de l’Assemblée Nationale,  Aubin Minaku, les Ministres de la Défense, de la Justice  et des Droits Humains, le Chef de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR), le Commissaire principal de la Police, la Représentante personnelle du Président de la République  en matière de lutte contre les violences sexuelles et le recrutement des enfants, ainsi que les Membres de la Commission Nationale des Droits de l’Homme.<br />
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En 2004, il était en RD. Congo dans le cadre d’autres fonctions. 12 ans plus tard, il est  revenu dans le même pays avec d’autres motivations. Concrètement, son évaluation est aussi encourageante,  en dépit de quelques dérapages redevables au tâtonnement de la  jeune démocratie congolaise. Dans tous les cas, il a vanté le dynamisme et la rapidité avec lesquels  le Gouvernement travaille pour faire face aux éventuelles violences des groupes armés étrangers  et nationaux perdurant sur toute  l’étendue du territoire  national, principalement,  dans Est. Il a fait allusion aux trente-cinq auteurs parmi les forces de sécurité et les officiels publics ayant été condamnés depuis le début de cette année. Il faudrait tout de même signaler le cas de Kavumu et Kalehe où, une fois informées, les autorités congolaises ont rapidement réagi. Pour ce faire, à en croire Zaid Ra’ad, le Gouvernement devra enquêter et condamner les auteurs des  violences  sexuelles  sans distinction des fonctions, ni de  couleur politique.<br />
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Il a,  en outre, jeté un bouquet de fleurs dans le camp du Gouvernement pour avoir pris un certain nombre des mesures importantes sur les allégations des  violences sexuelles à l’égard des soldats congolais engagés dans l’opération de   maintien de la paix en République Centrafricaine.«Le Gouvernement a fait des efforts appréciables pour enquêter et traduire en justice plusieurs des  ses casques bleus à leur retour dans le pays. Ces efforts sont d’autant plus remarquables que beaucoup d’autres pays sont réticents à prendre  de telles mesures dans des  situations similaires», a-t-il indiqué.<br />
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Il a,  par ailleurs, encouragé le processus de  démocratisation et la consolidation de la  paix dans le pays, lors des  élections présidentielles  2006 et 2011. Ces premières élections organisées depuis l’accession du pays à la souveraineté nationale et internationale, ont, selon le Haut-commissaire de l’Onu pour les  droits  de l’homme, entraîné quelques progrès liés aux droits économiques et sociaux. Enfin, s’agissant du secteur de la justice, Zaid Ra’ad a reconnu la pertinence de certaines réformes menées.

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*C’est pour lui un pari gagné après une mission spéciale en RD. Congo sur les questions des droits humains. En effet, c’est hier 21 juille...

Sous l’œil admirateur du DG Anatole Kikwa. Mova Sakanyi installe la Cellule de base spécialisée PPRD/OGEFREM

July 22, 2016

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L’Office de Gestion du Fret Multimodal, OGEFREM,  qui est dirigé de mains de maître par le bâtisseur Anatole Kikwa Mwata Mukambo, son DG a.i., a choisi de servir la nation congolaise doublement. C’est-à-dire, sur le plan de la reconstruction nationale pour accompagner la vision du Raïs, Joseph Kabila Kabange, mais aussi, sur le plan de soutien à l’idéologie sociale démocratie qu’incarne le Parti du Peuple pour la Reconstruction et le Développement (PPRD). C’est ce qui a justifié la cérémonie solennelle d’installation officielle, par Mova Sakany, Secrétaire Général du PPRD, de la Cellule de base spécialisée PPRD/Ogefrem.<br />
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C’était hier, jeudi 21 juillet 2016, en la salle des fêtes TOP Classe de la Gombe, devant les cadres et agents de l’Office, avec à leur tête l’infatigable Anatole Kikwa. Dans un style marxiste bien équilibré que seuls les initiés peuvent bien décrypter la quintessence, le Professeur Henri Mova Sakanyi est allé droit au but pour expliciter sa démarche qui doit nécessairement avoir un ancrage doublé d’effet rétroactif, dans le milieu du travail ou des entreprises qui s’avèrent être la pépinière ou mieux, le réservoir des socio-démocrates qu’ils représentent. Le Professeur Mova est allé au-delà du seuil de compréhension pour recadrer l’histoire par rapport aux inégalités observées en son temps dans le monde du travail. Comme quoi, l’idéologie du PPRD constitue l’expression d’un engagement politique du syndicalisme lorsqu’on se soit rendu compte que les demandes ou désidératas de travailleurs n’étant pas pris en compte là où les politiques prenaient de décisions qui impactent sur les inégalités sociales dans le monde du travail. Ceci étant, la législation sociale n’était pas dite comme il se devait en vue de rencontrer les problèmes de travailleurs qui se sont ligués  d’être présents physiquement et politiquement afin que les décideurs puissent s’en imprégner dans leurs décisions en amont et qu’ils n’en souffrent pas de conséquences néfastes en aval. Autrement dit, précise Mova, les travailleurs qui s’engagent à l’idéologie sociale démocrate s’inscrivent dans une ligne de revendication du peuple. Car, affirme-t-il, le milieu du pouvoir de leur électorat c’est la paysannerie, c’est le milieu des travailleurs. Le PPRD est dans une quête de la légalité sociale, fait savoir Henri Mova. «Votre adhésion en tant que membre est salvatrice parce que vous agissez au nom de la solidarité, de la liberté et de la justice, a-t-il clarifié.<br />
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Plus loin, il insiste à dire qu’agir au sein du PPRD c’est une chose, mais s’inscrire dans la consolidation de l’idéologie c’est le Nec Plus Ultra.   <br />
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D’après lui, il n’existe aucune dichotomie par rapport à la démarche imprimée au PPRD, à moins qu’on soit totalement ignorant de l’origine de la quintessence de l’existence de leur idéologie politique, soutient-il.<br />
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Se baigner à la mamelle de l’idéologie<br />
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Dans un franc parlé, le Secrétaire Général du PPRD voudrait compter avec soi des hommes courageux, dynamiques, prêts à se jeter dans les eaux profondes pour inverser la tendance.<br />
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Pour que son action puisse s’inscrire dans la durée, insiste-t-il, il vaut mieux maintenir la position de premier parti populaire qui défend l’idéologie de son autorité morale, entendez, le président Joseph Kabila. A l’instar d’un corps humain, Mova invite toutes les cellules de base à fonctionner normalement de manière que même si quelques cellules tentent de disparaitre, la cellule vivante, mieux, le corps va demeurer et se vivifier. Et ce corps, n’est autre que le grand visionnaire, Joseph Kabila.    <br />
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Et de renchérir que si les cellules de base restent vivaces, elles vont engendrer d’autres cellules. Dans ce sens que plus elles seront en vie, mieux elles seront actives, plus l’action du PPRD sera vivace et ira de l’avant. <br />
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Contre toute attente, le SG Mova reste formel: si le PPRD existe, il n’existe qu’à travers les cellules de bases. Ces cellules ne valent que si elles sont en connexion avec d’autres pour faire un grand feu. « Le grand doit occuper un peu plus d’espace », a-t-il conclu.<br />
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Peu avant la présentation des membres du Comité de la cellule de base spécialisée PPRD/Ogefrem, qui sont au nombre de douze (12), et la remise des cartes de membres par le SG Mova, le 1er Vice Coordonnateur, M. Kayembe Fabien, agissant en lieu et place du Coordonateur Mangungu Mbuya en mission a, auparavant, prononcé le mot de bienvenue au Secrétaire Général et toute sa suite dont le Professeur Eddy Tambwe mais aussi, aux cadres et agents de l’Ogefrem.<br />
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En subsistance, il a adressé  sa totale sympathie et gratitude au Chef de l’Etat, Joseph Kabila, initiateur du Parti pour le choix qu’il a daigné porté sur la personne de l’actuel SG Henri Mova et à l’endroit de M. Anatole Kikwa, DG de l’Office et grand Cadre du PPRD pour leur avoir autorisé à s’organiser politiquement à l’instar de leurs collègues des autres formations politiques.<br />
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Aussi, prennent-ils l’engagement de contribuer significativement au rayonnement de la cellule en ce moment de grands enjeux politiques au sein de la RDC, leur cher et beau pays, dirigé de mains de maître par le Raïs, Joseph Kabila Kabange.<br />
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Comme d’habitude, M. Florent Ebondo, Chef de service de la communication et marketing à l’Ogefrem a assuré avec doigté la modération de la cérémonie inédite.

Politique Sous l’œil admirateur du DG Anatole Kikwa. Mova Sakanyi installe la Cellule de base spécialisée PPRD/OGEFREM

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CENI : 500 Kits d’enrôlement attendus dans une semaine !

July 22, 2016

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La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) annonce l’arrivée prochaine d’un lot de Kits destinés au lancement de l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs à partir de la province du Nord-Ubangi. Selon le Président de la CENI, Corneille Nangaa, l’opération de refonte du fichier électoral prendra 16 mois et 1 jour. Il justifie sa décision par le souci de prendre en charge les 11 élections prévues par la Constitution. Des élections qu’il ne pourrait organiser que lorsqu’un nouveau fichier comprenant aussi bien les jeunes majeurs que les Congolais de l’étranger. Corneille Nangaa reconnait très bien que son plan va rencontrer des difficultés légales, financières et techniques. Des difficultés qu’il entend contourner avec l’aide des acteurs politiques appelés à lever des options claires. A la date d’aujourd’hui, la CENI ne peut se permettre d’avancer la moindre échéance de convocation de l’électorat, d’ouverture des bureaux de vote, de commande et de déploiement du matériel électoral. Encore, faudrait-il que la loi de répartition des sièges eût été adoptée et promulguée. Une loi dont l’examen est conditionné par la fin de l’opération d’enrôlement des électeurs. Pour être précis, le Président de la CENI se garde de publier un nouveau calendrier électoral qu’il souhaite global et consensuel. Trois calendriers, affirme-t-il, ont été rendus publics sans qu’ils ne soient exécutés à cause des contraintes politiques, financières et logistiques. Autrement dit, aussi longtemps que demeureront ces contraintes, il ne sera pas possible, pour la CENI, de présenter un calendrier des élections en RDC.<br />
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L’arrivée des Kits ne constitue pas une mauvaise chose en soi. On ne voit pas comment on peut s’y opposer. Mais, les opposants au Président Kabila, notamment les dirigeants du G7, accusent le Président de la CENI de chercher à asseoir le lit du glissement en ce sens qu’il ne présente aucun chronogramme clair des opérations électorales. Vers la fin de ce mois de juillet, plusieurs manifestations de rue sont prévues à Kinshasa, soit pour soutenir le Président Kabila, soit pour exiger le respect absolu de la Constitution et, donc, la tenue des élections dans le délai constitutionnel.

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La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) annonce l’arrivée prochaine d’un lot de Kits destinés au lancement de l’opération ...

Après Kalemie et Kindu. Kananga : le Congo profond réclame Kabila !

July 22, 2016

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*Joseph Kabila a entamé, depuis près d’un mois, une tournée interprovinciale qui l’a conduit  successivement au Katanga,  Maniema et  au Kasaï Central. Partout où il est passé, l’appel est resté le même. Les populations, exprimant une  soif inextinguible,   lui demandent de  parachever son œuvre de reconstruction du pays. Il semble que    le sens des promesses tenues serait à la base de cet engouement maintes fois observé autour de Kabila.   En début de semaine, le même cri de cœur a été entendu   à Kananga, Chef-lieu de la province du Kasaï Central, où les populations de l’espace Grand Kasaï, au centre du pays,   ont  également  scandé : ‘’wumela, wumela, wumela !’’. A Kalemie, faut-il le rappeler, c’était encore  ‘’udumu, udumu, udumu’’. Mais, le Président de la République, en démocrate  pratiquant,  invite, plutôt, tout le monde à s’enrôler massivement, lorsque la CENI va lancer  les  opérations  à  la fin de ce mois de juillet 2016.<br />
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Il y était pour procéder au lancement de la centrale solaire construite pour fournir le courant électrique aux  populations  de la ville. Pour Joseph Kabila, c’était une occasion d’honorer une promesse électorale faite en 2011. Dans son adresse aux  populations  de Kananga, le Président Kabila a voulu passer l’image d’un homme de parole. Même si la ville n’avait pas suivi son appel à voter pour le candidat n°3 à la dernière présidentielle. Cette fois-ci, le Président Kabila demande aux habitants de Kananga et de la province toute entière, de se préparer à s’enrôler massivement avant la fin de l’année 2016. Dans ses propos, Il dit n’être intéressé que  par le développement du pays, rien d’autre. C’est ainsi qu’il a chargé Alex Kande, le Gouverneur de province, de mettre en œuvre, sans relâche, la vision de la ‘‘Révolution de la modernité’’. Dans son travail, Alex Kande est déjà  rassuré du soutien sans failles du Président de la République. Une nouvelle promesse a été faite. C’est-à-dire que toutes les initiatives pilotes de la province dans les secteurs de l’électricité, du transport urbain et du désenclavement seront totalement  encouragées par Joseph Kabila.<br />
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Joseph Kabila veut sauvegarder pour toujours,  sa nouvelle alliance avec le Kasaï Central. En retour, les  populations lui  ont  promis de s’amender. De la foule, les reporters ont entendu des voix qui invitaient Joseph Kabila à continuer son œuvre. Ils lui ont, également, exprimé leur reconnaissance pour des promesses tenues. En juin, lorsqu’il poursuivait son périple katangais, à l’étape de Kalemie, le Président, à qui la population de la ville souhaitait une longévité politique à la tête du pays, avait répondu que la RDC est un Etat démocratique régi par des lois. A Kindu, dans le Maniema, Joseph Kabila a aussi eu droit à des ovations soutenues du public, en marge des festivités marquant le 56ème anniversaire de l’indépendance de la RDC. La semaine prochaine, à Kinshasa, ses partisans, regroupés au sein de la Majorité Présidentielle, ont prévu d’organiser un meeting de soutien à ses initiatives et combats politiques. Après le rendez-vous du 29 juillet, une deuxième manifestation publique devrait être organisée, le 7 août, par les partis politiques et associations qui le soutiennent. Au fur  et à mesure que les jours passent, les intentions des uns et des autres se précisent. Apparemment, la bataille politique vient de commencer. On verra bien comment les Opposants qui, curieusement, pensaient détenir le monopole de la rue, vont, cette fois-ci,  s’y prendre face au  Président et à  sa  Majorité déterminés d’aller     à l’assaut du Congo profond,  pour la cause de l’émergence de la RD. Congo.

la Nation Après Kalemie et Kindu. Kananga : le Congo profond réclame Kabila !

*Joseph Kabila a entamé, depuis près d’un mois, une tournée interprovinciale qui l’a conduit successivement au Katanga, Maniema et au K...

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