LES 4 VÉRITÉS DE RAMAZANI SHADARY

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjv8oWSmpw117ZhLZN7Kbl6GUxVNaeoYLsq9l3xBGix2fkoZBoIobT8w59r_2sqGRHhHKq5ODEnPTXQE5p6vLir41SjPcmuOAmqfShttHoIAr3f59ftZ5-5Z6j-ANVEnm4LDMnBnAwY7TQ/s1600/Snapshot_237.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjv8oWSmpw117ZhLZN7Kbl6GUxVNaeoYLsq9l3xBGix2fkoZBoIobT8w59r_2sqGRHhHKq5ODEnPTXQE5p6vLir41SjPcmuOAmqfShttHoIAr3f59ftZ5-5Z6j-ANVEnm4LDMnBnAwY7TQ/s400/Snapshot_237.jpg" width="397" /></a></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />"La solution à ces problèmes étant politique, le gouvernement préconise des rencontres avec les notabilités de chacun des quatre coins du pays", a annoncé hier, le vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité.<br /><br />Aux problèmes politiques, des solutions politiques. Pas un secret de confessionnal. Le vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Emmanuel Ramazani Shadary, l’a déclaré hier dimanche 19 février, au cours d’une rencontre avec la presse, au 9ème étage de la 2ème Tour du Pullman Kinshasa Grand Hôtel. Pour un dimanche, d’aucun croiraient à un dîner de prière pour les chevaliers de la plume et du micro. Rien de semblable. Au contraire. Une demi-heure a suffit pour Emmanuel Ramazani Shadary, de présenter aux hommes des médias, le tableau synoptique de la situation sécuritaire qui prévaut dans certains coins du territoire national. A savoir, la ville de Kinshasa, les provinces du Kongo Central, du Tanganyika et du Kasaï. <br />Les quatre aires géographiques reprises ci-dessus étant sous les feux de l’actualité nationale, le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité n’a pas cherché de mots pour dresser un état des lieux. Preuve qu’il a la parfaite connaissance de la situation dans différents "fronts". De l’affaire Bundu Dia Mayala, à la "nébuleuse" Kamuina Nsapu dans l’espace Kasaïen, en passant par la situation dans le Tanganyika, Emmanuel Ramazani Shadary n’a fait mystère d’aucun sujet.<br /><br />BDM : UENAFFAIRE SENTIMENTALE<br />En ce qui concerne l’Affaire Bundu Dia Mayala du député national Zacharie Ne Muanda Nsemi, le conférencier a précisé qu’elle n’avait aucun soubassement politique. "Il s’agit d’une affaire sentimentale qui s’est transformée en un problème d’Etat", a déclaré Emmanuel Ramazani Shadary. L’affaire, selon lui, remonte depuis décembre dernier. Le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité a fustigé le fait qu’une aventure amoureuse sans succès, en arrive à troubler l’ordre public, avant d’engendrer des échauffourées entre les forces de l’ordre et les adeptes de BDM.</span><div> <span style="font-size: large;"><br />En présence du ministre de la Communication et des médias, ainsi que tous les responsables des services de sécurité, l’orateur a rappelé que du 22 au 24 janvier puis le 3 février en cours, "des jeunes drogués et endoctrinés à souhait ont ravi des armes aux forces de l’ordre, bloqué le trafic sur la Nationale n°1, blessé des agents de l’ordre à l’arme blanche et à l’arme à feu, organisé des expéditions punitives contre les biens du BDM Papy Matenzolo, vice-ministre aux ITPR, des postes de police et des véhicules des privés ont aussi été vandalisés". </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Tout en rappelant la séquence du 13 février à Ngiri-Ngiri et au quartier Joli parc dans la commune de Ngaliema, le vice-Premier ministre rassure : "Jusqu’à ce jour, la police encercle la résidence, de manière à ne laisser sortir que des personnes qui se rendent et à éviter que des opérations de vengeance ne soient menées à l’encontre de paisibles citoyens. Voilà une affaire à suivre, surtout sur le plan judiciaire".<br /><br />PLUSIEURS ARMES DE GUERRE ENTRE LES MAINS DE LA MILICE KAMUINA NSAPU<br />"La récupération politicienne du phénomène Kamuina Nsapu dans le Kasaï-Central est telle que toute la province, dans tous les cinq territoires et la ville de Kananga, connait presque chaque jour des provocations de ces jeunes drogués et instrumentalisés", a renchéri le VPM et ministre de l’Intérieur et de la sécurité. Selon lui, ce phénomène s’est développé de manière tentaculaire et a pris plusieurs visages. </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />A en croire Emmanuel Ramazani Shadary, il s’agit de "Kamuina Nsapu original", constitué des adeptes initiés de feu Kamuina Nsapu. Le deuxième Kamuina Nsapu est un groupe de bandits, de criminels ainsi que d’autres repris de Justice recourant à des pratiques magiques appelées " Tshizaba", pour se rendre invulnérables. Le troisième "Kamuina Nsapu" se veut un mouvement culturel. Selon le ministre, Il regroupe des prétendants malheureux à la succession à divers postes du pouvoir coutumier des groupements voisins. Puis, finalement, le "Kamunia Nsapu" politique formé des acteurs politiques récupérant ce phénomène comme fonds de commerce, en remettant argent et autres pièces de violence à ces jeunes gens. </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Selon ce membre du Gouvernement, la situation à l’heure actuelle reste sous le contrôle des forces loyalistes. Néanmoins, Emmanuel Ramazani Shadary soulève une exception. Celle du Kasaï-Central où la récupération politicienne du phénomène "Kamuina Nsapu" est telle tous les cinq territoires de la province, y compris la ville de Kananga, connaissent presqu’au quotidien, des provocations de ces jeunes gens drogués et instrumentalisés. <br />"A ce stade, plusieurs armes de guerre sont détenues par cette milice "Kamuina Nsapu à plusieurs facettes. Après les contacts pris avec différents acteurs ici à Kinshasa, nous envisageons des solutions politiques, coutumières et humanitaires sur terrain et militaires si les armes ne sont pas rendues de manière pacifique en vue de d’une pais durable dans cette partie du territoire national", prévient le VPM et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité. </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;">Evoquant des images sur de prétendues atrocités des FARDC sur les miliciens Kamuina, et qui circulent depuis peu sur les réseaux sociaux, Emmanuel Shadary parle d’un montage grossier dont le seul but est de jeter un discrédit aussi bien sur les forces loyalistes que sur le Gouvernement.<br />Quant à l’insécurité dans la province du Tanganyika, le conférencier renseigne qu’il s’agit d’un processus d’émancipation mal négocié des peuples autochtones Pygmées, instrumentalisées par certaines Ong. Depuis, le voisinage Bantu et Pygmées devient de plus en plus dangereux, les deux communautés ayant développé une haine viscérale sans pareil. Selon le ministre, les affrontements entre les deux communautés ont surgi dans un contexte marqué par la réduction des opportunités économiques, du fait de la surexploitation de la pêche et de la chasse, pendant les guerres qui ont endeuillé la région. Les causes de cette déflagration la réclamation des terres propres aux pygmées, la nomination de leurs propres chefs de Groupements et des secteurs ainsi que des Administrateurs des territoires. A cela s’ajoutent la construction des infrastructures de base pour les pygmées et la réclamation, sans délai, de mariages mixtes par les pygmées d’épouser les filles Bantu comme ceux-ci épousent les leurs.<br /><br /><br />L’IMPLICATION DES ORIGINAIRES POUR UNE ISSUE <br />Dans chacun des quatre cas, le ministre a reconnu que derrière les acteurs clairement affichés, se cachent des "nègres". Des tireurs de ficelles qui se recrutent parmi les acteurs politiques et qui exploitent ces différents conflits à leurs dépens. Une vérité que le Gouvernement n’ignore pas. Par la bouche de son vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, l’Exécutif national n’entend pas se laisser distraire par ce qu’il qualifie de fausse compassion des héros dans l’ombre. </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />"Nous sommes conscients de la gravité de la situation et nous connaissons bel et bien tous les opérateurs politiques et autres qui s’activent à instrumentaliser les conflits communautaires. Ils auront à répondre de leurs forfaits le moment venu. Car, comme dit la sagesse populaire, l’oiseau a oublié le piège, mais le piège se souvient de l’oiseau" a déclaré Emmanuel Ramazani Shadary. L’ancien président du Groupe parlementaire PPRD et alliés sait donc de quoi il parle.<br /><br />Loin, et même très loin de s’avouer vaincu, le Gouvernement privilégie la voie de la conciliation. En ce qui concerne particulièrement la situation dans le Kasaï-Central, l’Exécutif a la conviction que pour le moment, les espoirs pour une solution pacifique reposent sur l’implication des originaires et sur la conscientisation des tireurs de ficelles. "Au cas où ces derniers refuseraient de renoncer à leur entreprise, ils rencontreraient la justice sur leur chemin", promet le VPM. <br /><br />"Quant au cas Ne Munda N’semi à ce jour retranché dans sa résidence de ma Campagne, les Forces de l’ordre lui donnent encore la chance de se rendre pour éviter les dégâts et se mettre à la disposition de la justice pour répondre de ses actes", a conclu Emmanuel Ramazani Shadary. Face à la situation générale du pays, somme toute caractérisée par des foyers de tension et d’insécurité, un appel a été lancé au quatrième pouvoir, la Presse, afin de réfléchir sur les voies d’issue. <br />Laurel KANKOLE <br /><br /><br />Communication de Son Excellence Monsieur le Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et Sécurité sur la situation sécuritaire à Kinshasa, au Kongo central, dans les Kasaï, dans le Tanganyika<br />Mesdames et Messieurs de la Presse,<br /><br />Avant toute chose, je des à vous remercier vivement d’avoir accepté notre invitation de ce jour. Vous avez été contactés par mes services pour vous enquérir de la situation sécuritaire qui prévaut dans coins de la République, à savoir Kinshasa et le Kongo Central, l’espace Kasaïen et le Tanganyika, notamment. Ces provinces étant aujourd’hui sous les feux de l’actualité, il me semble légitime à la presse que vous êtes, de chercher à obtenir la bonne information, auprès des autorités habilitées à la fournir. Et c’est pourquoi il est était de mon devoir de vous inviter pour qu’à travers vous l’opinion soit parfaitement bien éclairée.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />1. de la situation dans le Kongo Central et dans la ville de Kinshasa<br />Les partisans du parti politique dénommé BUNDU DIA MAYALA, issu de la transformation du mouvement politico-religieux BUNDU DIA KONGO, ont provoqué des troubles sanglants dans la province du Kongo Central, du 22 au 24 janvier et le 3 février 2017, particulièrement dans les agglomérations de Kimpese, Luozi, Kisantu, Lukala et Mbanza-Ngungu.<br />Ces jeunes gens droguées et endoctrinés à souhait ont ravi des armes aux forces de l’ordre, bloqué le trafic sur la Nationale N° 1, blessé des agents de l’ordre à l’arme blanche et à l’arme à feu, organisé des expéditions punitives contre les biens du Vice-Ministre Mantezolo, dont la résidence, la boulangerie et la radio ont été pillées et saccagées. Des postes de police et des véhicules de privés ont aussi été vandalisés.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Les dégâts humains se sont élevés à 7 morts (dont un policier et 6 militants BDM), 25 blessés (dont 19 policiers et 6 partisans BDM). L’autorité publique a rapidement pris toutes les dispositions requises pour rétablir l’ordre public, normaliser la circulation sur la Nationale N° 1, procéder à l’arrestation de fauteurs de troubles, récupérer les armes arrachées des mains des agents de l’ordre, assurer la prise en charge des blessés et organiser l’inhumation des victimes, après identification et concertation avec leurs familles.<br />Mesdames et Messieurs,<br />Comment expliquer l’irruption de cette folie meurtrière, après quelques années d’hibernation du mouvement BUNDU DIA KONGO, son semblant de mutation en parti politique et la participation de ses membres à des débats politiques en cours ? La vérité des faits déclencheurs est d’une banalité qui tranche pourtant avec la gravité de leur violence et le niveau de leur barbarie. Une affaire de famille, mieux une affaire sentimentale, est devenue un problème d’Etat.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />En effet, c’est depuis décembre dernier que monsieur Ne Muanda Nsemi, député national décide et annonce d’épouser une amie à sa femme et prophétesse inspiratrice de sa propre spiritualité. Cette acte de haute trahison de leur " spiritualité " a choqué plus d’un au sein de Bundu dia mayala qui considéraient leur gourroux comme un demi-dieu qui malheureusement se laissa entrainé dans les sentiments charnels contraires à ses propres enseignements et doctrines.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;">Le premier à constater la trahison, c’est bien Monsieur Mantezolo Papy, premier personnage proche de Ne Muanda Nsemi, Vice- président du parti, et beau- frère à Ne Muanda Nsemi et Vice-président des ITPR.<br />Piqué au vif, le député Ne Muanda Nsemi a décidé de sévir en demandant au Chef du parti de démissionner du poste qu’il occupe au Gouvernement. Prenant sa liberté, le beau-frère a choisi de démissionner du parti, de dénoncer, sur la place publique, les frasques du chef spirituel et de préserver la moralité.<br />C’est suite à cette dénonciation que des partisans ont été envoyés en expédition punitive contre les biens de leur ancien chef, désormais tombé en disgrâce, et que le conflit familial s’est mué en trouble à l’ordre public, puis en échauffourées avec les forces de l’ordre, et en menées subversives. Pour habiller ses actes, le député national Ne Muanda Nsemi a renoué avec ses vieux discours xénophobes, des appels à la désobéissance, dont le comble de l’ignominie aura été une déclaration proférant des attaques à l’encontre de la personne du Chef de l’Etat, et invitant différentes communautés de notre pays à s’engager dans une rébellion contre les institutions légalement établies.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Face à cette évolution préoccupante, j’ai organisé, en date du 7 février 2017, une rencontre avec la notabilité de la province du Kongo Central, toutes tendances confondues. La notabilité a rejeté les déclarations du député Ne Muanda Nsemi et condamné ses propos irrévérencieux et xénophobes. Elle a aussi exprimé ses regrets pour les outrages visant le Chef de l’Etat. Elle a enfin adressé au peuple Ne Kongo des appels à la tolérance et à la cohabitation pacifique avec toutes les autres communautés congolaises.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Mesdames et Messieurs,<br />Les propos d’accalmie ont sorti le député Ne Muanda Nsemi de ses gonds. Il a alors réuni ses partisans et ses lieutenants, puis convoqué ses adeptes de différents coins du Kongo Central, à venir à Kinshasa, sous le couvert d’une campagne de prières et de spiritualité. C’est au cours de cette campagne de plus ou moins 30 personnes qu’il a annoncé qu’il allait organiser une attaque et frapper la ville si le Kongo central n’était pas proclamé pays indépendant appartenant aux seuls Ne kongo, sans Muluba, Muswahili, Mungala et Mutu ya Bandundu.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Le 13 février 2017, vers 15H, dans sa résidence secondaire, sise n° 22, av. Bosenge, Commune de Ngiri Ngiri dans la ville de Kinshasa, des partisans du député Ne Muanda Nsemi agressent les dissidents proches de Mantezolo considéré comme traître. Des voisins alertent alors la police du quartier, qui se rend sur les lieux et subit des attaques de la part de ces adeptes totalement drogués et exaltés, qui brandissent des armes blanches et des armes de guerre. La police leur arrachera 4 AK47 et 1 Uzi.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Dans la foulée des incidents survenus à Ngiri-Ngiri, la résidence principale du député Ne Muanda Nsemi au n° ... av Haute Tension, dans la Commune de Ngaliema, va connaître une agitation similaire. Un voisin, dont le seul péché était de parler swahili, a vu son véhicule vandalisé. Des passants parlants tshiluba ont aussi été agressés. La police est arrivée et a fait face à des altercations. Deux jeeps de la police ont été incendiées sur le champ. C’est alors que la police a établi un siège autour de cette résidence. Il a été procédé à l’arrestation de 22 personnes dont 8 blessés graves. La CICR a eu accès à la résidence dès le lendemain 14 février pour assurer les premiers soins aux blessés, tous surpris de découvrir qu’ils n’étaient guère invulnérables.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Jusqu’à ce jour, la police encercle la résidence, de manière à ne laisser sortir que des personnes qui se rendent et à éviter que des opérations de vengeance ne soient menées à rencontre de paisibles citoyens. Voilà une affaire à suivre, surtout sur le plan judiciaire.<br />Mais, d’ores et déjà, nous pouvons noter la forte mobilisation de la notabilité ne Kongo, qui désapprouve les actes de barbarie et de folie qui détruisent leur Province et portent atteinte à leur culture de paix et de convivialité. Il n’a cependant pas manqué l’une ou l’autre voix discordante, dans cet aréopage de consensus.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;"> Ainsi, tel autre élu a cru bon de récupérer les actes de violence et les paroles d’intolérance, au motif, qu’il se serait agi de canaux d’expression des frustrations communautaires, sans se rendre à l’évidence non seulement que le conflit avait une origine familiale et que jamais une communauté ne devrait se reconnaître dans les paroles de quelqu’un pour qui elle demande un traitement médical. Nous ne revenons pas ici aux tracts appelant la xénophobie et l’autonomie du Kongo central. Tracts jetés à Borna et dans certaines communes de Kinshasa, Ngaba, Makala, notamment.<br /><br />2. Le Phénomène Kamuina Nsapu dans l’espace kasaïen<br />Mesdames et Messieurs,<br />Qu’en est-il de la situation dans l’espace kasaïen, dans les provinces du Kasaï, du Kasaï Central, du Kasaï Oriental, voire de Lomami ? Il vous souviendra, en effet, qu’en date du 12 janvier 2017, j’ai eu à répondre à une question d’actualité que m’avait adressée le Député National Martin Kabuya, élu de Dibaya, sur ce phénomène. Laissez-moi juste vous rafraîchir brièvement la mémoire sur ce que j’avais déjà dit et vous apporter quelques éléments nouveaux en rapport avec la gestion qui s’en est suivie. </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;">Suite à des incompréhensions entre les services de l’Etat Mr JP Nsapu Mpandi et depuis avril 2016, ce dernier ressortissant du village Kamuina Nsapu, Groupement Bajila Kasanga, Secteur Dibatayi, Territoire de Dibaya, Province du Kasaï Central, a levé une milice, qui s’est illustrée par des actes d’hostilité au pouvoir par la mise à sac des symboles de l’Etat, le recrutement d’enfants mineurs d’âge, l’érection de barrières, les fouilles systématiques des passants, l’insurrection armée contre les forces de l’ordre, etc.<br />Après avoir sévi dans le secteur de Dibatayi et dans le Territoire de Dibaya, ce mouvement s’est étendu aux Territoires voisins de Tshikapa en Province du Kasaï et à Kabeya Kamwanga et Miabi au Kasaï Oriental, en semantinutilement mort et désolation, jusqu’à atteindre MueneDitu au Lomami.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Dans le cadre de la recherche des solutions, il a été fait recours à :<br />o Des missions de bons offices ;<br />o Le rétablissement de l’ordre public par la police et l’Armée, suite à des attaques à mains armées, avec des armes de guerre et des armes de chasse ;<br />o Des arrestations de miliciens et autres chefs de bandes ou seigneurs de guerre ;<br />o J’ai aussi organisé récemment des rencontres avec la notabilité du Kasaï (a. Députés nationaux et Sénateurs b. Députés provinciaux et Gouverneurs de province c. membres du Gouvernement central, Notables et Chefs coutumiers). Il a été noté le développement tentaculaire du phénomène, qui depuis lors a pris plusieurs visages comprenant :<br />a. Kamuina Nsapu original constitué des adeptes initiés de Kamuina Nsapu lui-même ;<br />b. Kamuina Nsapu des bandits et des criminels ainsi que d’autres repris de justice recourant à des pratiques magiques (Tshizaba) pour se rendre invulnérables ;<br />c. Kamuina Nsapu culturel des prétendants malheureux à la succession à divers postes du pouvoir coutumier des Groupements voisins ;<br />d. Kamuina Nsapu politique constitué des opérateurs politiques récupérant ce phénomène comme fonds de commerce en remettant argent et autres pièces de violence à ces jeunes gens.<br /><br />A ce jour, la situation dans le Kasaï-Oriental et le Kasaï est maîtrisée et est donc sous contrôle, pour en coir le Chef de l’Exécutif Provincial. Par contre, au Kasaï-Central, la récupération politicienne du phénomène " KamuinaNsapu " est telle que toute la Province dans tous les 05 Territoires et la Ville de Kananga connaît presque chaque jour des provocations de ces jeunes drogués et instrumentalisés.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />A ce stade, plusieurs armes de guerre sont détenues par cette milice de " Kamuina " à plusieurs facettes. Après les contacts pris avec différents acteurs ici à Kinshasa, nous envisageons des solutions politiques, coutumières et humanitaires sur terrain, et militaires si les armes ne sont pas rendues de manière pacifique en vue d’une paix durable dans cette partie du Territoire National.<br /><br />C’est ici l’occasion d’évoquer les images qui circulent sur les réseaux sociaux et qui présentent des atrocités attribuées aux FARDC engagées contre les miliciens opérant sous le label de Kamuina Nsapu. Le Ministre de Communication et Médias a déjà publié un communiqué faisant le point sur ce film manifestement monté pour discréditer nos Forces armées et discréditer le Gouvernement de la République. Depuis les opérations engagées dans le secteur le 21 décembre 2017, il aura fallu près d’un mois pour concocter ce lynchage médiatique, dont certains opérateurs politiques font aujourd’hui leurs choux gras, à travers des communiqués tonitruants, dans lesquels ils livrent aux gémonies le Gouvernement. Sans céder à l’hystérie, le Gouvernement continuera sa politique de gestion responsable de tous les incidents sécuritaires, à travers des mécanismes appropriés, notamment ceux qui font appel à des enquêtes administratives et judiciaires.<br /><br />3. Le conflit entre les communautés Bantu Balubakat et les Pygmées dans la Province du Tanganyika<br />Dans la Province du Tanganyika, tout comme ailleurs à travers le territoire national, les communautés Pygmées et celles Bantu ont toujours vécu en harmonie et de manière complémentaire. Mais, depuis ces dernières années, à Mambasa comme à Nyunzu, des Ong, qui prétendent militer pour la cohabitation pacifique entre les peuples de la RDC, sont passées distiller la haine entre les Bantu et les Pygmées, en prônant, un processus d’émancipation violente et empreinte d’intolérance. </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;">C’est ce qui s’est passé dans le Tanganyika et qui se solde aujourd’hui à travers le développement d’une haine sans pareille entre Bantu et Pygmées<br />Les affrontements entre ces deux communautés ont surgi dans un contexte marqué par la réduction des opportunités économiques, du fait de la surexploitation de la pêche et de la chasse, pendant les guerres qui ont endeuillé la région. Des pygmées, appelés depuis PERCI (personnel civil), avaient appuyé nos Forces armées contre les envahisseurs, puis contre les seigneurs de guerre. Après le retour de la paix, certains Bantu voulaient les maintenir en état d’infériorité n’ont pas compris que les temps avaient changé et qu’il fallait accéder à certaines demandes d’émancipation formulées par ces compatriotes.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Quelles sont les causes de cette déflagration communautaire ?<br />1° Réclamation des terres propres aux " pygmées " ;<br />2° Nomination de leurs propres Chefs de Groupements et des Secteurs ainsi que des Administrateurs des Territoires. Bref, un élan d’émancipation ; 3° Construction des infrastructures de base (écoles et hôpitaux propres à eux) ; 4° Réclamation sans délai de mariages mixtes par les " Pygmées " d’épouser les filles " bantu " comme ceux-ci épousent les leurs.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />4. Conséquences de ces dispositions urgentes troubles <br />Au moment où notre pays est résolument engagé sur la voie de l’organisation des élections, par la CENI, les provinces touchées par des troubles graves subissent aussi des perturbations majeures qui compromettent les opérations d’enrôlement des électeurs. Des masses de déplacées ne peuvent pas s’enrôler ou vont s’enrôler dans des circonscriptions autres que celles de leurs lieux de résidence habituelle. La situation se normalise de plus en plus à Nyunzu, Manono et Kabalo pendant que des efforts sont en cours par le rétablissement total de l’ordre public à Moba, alors que la Province organise un grand forum d’ici le mardi prochain (le 22 février 2017) pour régler ces conflits intercommunautaires.<br /><br />Mesdames et Messieurs de la Presse,<br />Le gouvernement de la République est pleinement conscient d’une chose, à savoir que les premières solutions durables à ces problèmes sont d’abord de type politique et communautaire. C’est pourquoi nous privilégions à Kinshasa, au Tanganyika, dans l’espace kasaïen et dans le Kongo Central, les rencontres avec la notabilité, les forums intercommunautaires.<br />Les solutions de type militaire ou policier constituent seulement des appuis pour la sauvegarde d’un climat propice à la concertation et au dialogue. De même, les solutions judiciaires sont appelées au secours pour garantir la justice et la paix.<br /><br />Mesdames et Messieurs de la Presse,<br />Mais pour le moment, les espoirs pour une solution pacifique dans l’espace Kasaïen reposent sur l’implication des originaires et à la conscientisation des tireurs des ficelles bien identifiés qui rencontreront la justice sur leur chemin s’ils ne renoncent pas à leur entreprise macabre.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Quant au cas de Ne Muanda N’semi à ce jour, retranché dans sa résidence de Ma Campagne dans la Commune de Ngaliema, les forces de l’ordre lui donnent encore la chance de se rendre pour éviter les dégâts et se mettre à la disposition de la Justice pour répondre de ses actes.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Pour le Tanganyika, le Gouvernement entend organiser dans les jours qui viennent, une rencontre de deux communautés pour analyser les revendications des uns et des autres et envisager les pistes de solution susceptibles de réinstaurer la paix durable entre les deux communautés. C’est la raison de la convocation du forum qui s’ouvre la semaine prochaine à Kalemie.<br /><br /><br /><br />Mesdames et Messieurs de la Presse,<br />Si j’avais déjà évoqué la circulation sur les réseaux du film accusant les Farces de crimes atroces, je ne saurais clore cette communication sans évoquer les actes de vandalisme perpétrés ce matin dans la paroisse saint Dominique dans la Commune Limete/Ville de Kinshasa. Une horde d’une vingtaine de personnes, prétendument militants de l’UDPS, ont fait irruption dans cette paroisse vers 5h du matin et ont profané le tabernacle et tout saccagé : l’hôtel, la statue de la Vierge Marieet les bancs. Ils ont ainsi mis en exécution les menaces proférées depuis la veille contre les installations et édifices de l’Eglise catholique, en citant nommément les églises et les écoles.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Des incidents similaires venaient d’avoir lieu, hier samedi 18 février 2017, au Grand Séminaire Malole de Kananga dans le Kasaï Central. Les miliciens Kamuina, qui avaient occupé cet établissement d’enseignement supérieur, ont saccagé les installations, brûlés les biens des formateurs. Il a fallu une action forte de l’armée pour les en déloger. Nous condamnons avec la dernière énergie tous ces actes barbares contraires aux principes démocratiques.<br />Nous sommes pleinement conscients de la gravité de la situation et nous n’entendons pas se faire distraire par la fausse compassion des tireurs de ficelles, nous connaissons bel et bien tous les opérateurs politiques et autres qui s’activent à instrumentaliser les conflits communautaires. Ils auront à répondre de leurs forfaits le moment venu ; car, comme dit la sagesse ancestrale, l’oiseau a oublié le piège, mais le piège se souvient de l’oiseau.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br />Je ne saurais non plus terminer mes propos sans exhorter au 4e pouvoir qui est la presse, surtout la presse nationale qui maîtrise mieux nos problèmes, de jouer son rôle, d’apporter sa contribution dans toutes ses questions nationales qui nous intéressent tous. J’exhorte dans ma vision d’aborder les questions publiques, j’exhorte la presse congolaise qui est organisée, avec la collaboration du Ministre des Médias de réfléchir sur un thème simple : " comment communiquer pour amener la paix dans cette partie du Territoire National ". Votre réflexion aiderait le pouvoir public et nous aiderait tous à éviter d’autres victimes.<br />Merci de votre aimable attention. Encore une fois merci.</span></div>

Politique LES 4 VÉRITÉS DE RAMAZANI SHADARY

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Chercher Kinshasa: des élèves manifestent contre « la spoliation » de leurs écoles

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZoSSSoCtC2Bqc7oVQEuDDKtX51TkVX30skHjiSkr3rQv349pXOOTYOQUl2sJ7_HsIplwBM6MusOyUjcqSTzuKIz3aDmDO13qizwh1M-5SCdF_S8iNdxuBMpNgO4MGDVlss4i2So9pyoQ/s1600/Snapshot_236.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="282" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZoSSSoCtC2Bqc7oVQEuDDKtX51TkVX30skHjiSkr3rQv349pXOOTYOQUl2sJ7_HsIplwBM6MusOyUjcqSTzuKIz3aDmDO13qizwh1M-5SCdF_S8iNdxuBMpNgO4MGDVlss4i2So9pyoQ/s400/Snapshot_236.jpg" width="400" /></a></div><div><span style="font-size: large;"><br /> </span></div><span style="font-size: large;"><div><span style="font-size: large;"><br /> </span></div><div><span style="font-size: large;"><br /> </span></div>Les élèves des collèges Alingba et Zuza ont manifesté lundi 20 février pour dénoncer ce qu'ils qualifient de «spoliation » du site où sont construits leurs établissements scolaires, situés sur l’avenue Kasa-Vubu, dans la commune de Kintambo à Kinshasa.</span><div><span style="font-size: large;"><br /> </span></div><div><span style="font-size: large;"><br /> </span></div><div><span style="font-size: large;"><br /> </span></div><div><span style="font-size: large;"> Ils accusent un officier de la police et un magistrat qui seraient devenus les propriétaires du site où sont érigées leurs écoles. «Nous, élèves des frères chrétiens de Kintambo, venons dénoncer la spoliation du site qui abrite nos écoles, à savoir : Collèges Alingba et Zuza ainsi que notre imprimerie scolaire», a déclaré le représentant de ces élèves. </span></div><iframe width="480" height="270" src="https://www.youtube.com/embed/tL747PivCa8" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /> <div><span style="font-size: large;"><br /> </span></div><div><span style="font-size: large;"><br /> </span></div><div><span style="font-size: large;">Selon lui, le site où sont construites les deux écoles appartient à la Congrégation des Frères des écoles chrétiennes depuis 1939. L’élève dit regretter que ce site reçoive depuis trois ans des visites des hommes en uniforme qui, selon lui, perturbent le fonctionnement de leurs écoles.</span></div>

Education Province Chercher Kinshasa: des élèves manifestent contre « la spoliation » de leurs écoles

Les élèves des collèges Alingba et Zuza ont manifesté lundi 20 février pour dénoncer ce qu'ils qualifient de «spoliation » du site où...

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RDC: le cardinal Monsengwo condamne les attaques contre des édifices de l’église catholique

<div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <span style="font-size: large;"><div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg77aU30MELBgoSCaDigUirmYXTgE-m31QkWe1dGw0Bwqk_b8uajn9rEysoUkjcf2xpqFDvGFaFldyT3qAkJLxS8YY02ChbWwvrZq-Tuc1NZ2JgPizlHWowVUoMG7nF4dVd6tm4tUXY7X4/s1600/Snapshot_235.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg77aU30MELBgoSCaDigUirmYXTgE-m31QkWe1dGw0Bwqk_b8uajn9rEysoUkjcf2xpqFDvGFaFldyT3qAkJLxS8YY02ChbWwvrZq-Tuc1NZ2JgPizlHWowVUoMG7nF4dVd6tm4tUXY7X4/s400/Snapshot_235.jpg" width="400" /></a></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> Le cardinal Laurent Monsengwo a condamné dimanche 19 février les attaques perpétrées le week-end contre des édifices de l’église catholique. Il a notamment cité le Grand séminaire de Malole à Kananga et la paroisse Saint-Dominique à Kinshasa. «Nous avons appris avec indignation, le samedi 18 février 2017, l’incendie d’une partie du grand séminaire de Malole par des inciviques. De plus, le dimanche 19 février 2017, la paroisse Saint Dominique de Limete a été visitée par une vingtaine de jeunes gens mal intentionnés», a fait savoir le cardinal Monsengwo dans un communiqué. </span><div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;">L’archevêque de Kinshasa a également regretté les propos « discourtois » qu’un groupe de jeunes ont tenu il y a deux semaines contre les responsables de l’église lors de leur passage à l’Archevêché de Kinshasa. Pour le prélat, «ces événements laissent croire que l’Eglise catholique est visée, de manière intentionnelle, pour torpiller sa mission de paix et de réconciliation, au moment où la CENCO poursuit sa mission de bons offices au centre interdiocésain». Il a, en outre, réaffirmé son soutien à la CENCO qui assure la médiation dans les discussions entre le pouvoir et l’opposition.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;"> «En communion avec la CENCO, nous soutenons sa démarche et tous ses efforts pour l’avènement d’un Etat de droit afin que les institutions destinées à gérer le pays soient mises en place, pour améliorer les conditions de vie du peuple congolais, dont la misère ne fait que s’accentuer, et garantir les libertés fondamentales et la dignité humaine», a-t-il souligné. Le cardinal Laurent Monsengwo a indiqué que l’épiscopat congolais ne joue qu'un rôle de médiateur. Il appelle les acteurs politiques à reconnaître, devant la nation et la communauté internationale, « leur velléité politique et la turpitude de leurs choix qui conduisent au blocage des institutions». </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;">«Nous invitons les uns et les autres à faire preuve de sagesse, de retenue, d’esprit démocratique pour résoudre la question relative à la désignation du Premier ministre et aux autres questions connexes, en vue de décanter la crise qui ne fait que durer et risque de mettre en péril la tenue des élections prévues à la fin de cette année selon les accords de la Saint Sylvestre», a ajouté le cardinal. Un accord politique a été signé par le pouvoir et l’opposition le 31 décembre dernier sous l’égide des évêques catholiques. </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;">Les deux parties discutent encore des modalités de mise en œuvre de ce compromis politique qui prévoit notamment la tenue d’élections présidentielle et législatives avant la fin de cette année.</span></div>

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Le cardinal Laurent Monsengwo a condamné dimanche 19 février les attaques perpétrées le week-end contre des édifices de l’église cat...

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Ken Mpiana félicite Carine Mokonzi azo sala boulot kitoko pona Héritier Watanabe et répond ADT Yanki Mpuy (VIDEO)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKpCVCb_IvVSOrkfjZsPhs1SAZE74FHNmEg7yFukI5vjTXRWM7laVpj5e4_9Visx_1DKEMm7HiouTNKNY8f7CW2m-uC-O_QA3FRGZIVyoA7HNokn4ANErlcVeP0zQejlh5SrRW0DAuFLch/s1600/Snapshot_557.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="198" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKpCVCb_IvVSOrkfjZsPhs1SAZE74FHNmEg7yFukI5vjTXRWM7laVpj5e4_9Visx_1DKEMm7HiouTNKNY8f7CW2m-uC-O_QA3FRGZIVyoA7HNokn4ANErlcVeP0zQejlh5SrRW0DAuFLch/s400/Snapshot_557.jpeg" width="400" /></a><br /> Ken Mpiana félicite Carine Mokonzi azo sala boulot kitoko pona Héritier Watanabe et répond ADT Yanki Mpuy (VIDEO)<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="320" src="https://www.youtube.com/embed/HY2Z8BnthAs" width="620"></iframe>

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Ken Mpiana félicite Carine Mokonzi azo sala boulot kitoko pona Héritier Watanabe et répond ADT Yanki Mpuy (VIDEO)

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Le Point : La ministre de droits humains ,Marie Ange mushobekwa , condamne Né Mwanda Nsemi et les adeptes de Kamwina Nsapu (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8XYFu_lYpzDersflzG-WFkwzzn72CjklsCcvjIPxrDkyS2g46F-ZQeobdJfQ7MqAXGL9bQE5lxyNrdclIx-zN-TEoVpK8EjuZKV5jG8ZF3VbepIzfoeu0z-s2ECWdzQ6S_hyphenhyphenSA3kdQ9VF/s1600/Mare+ange+hjhgf.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8XYFu_lYpzDersflzG-WFkwzzn72CjklsCcvjIPxrDkyS2g46F-ZQeobdJfQ7MqAXGL9bQE5lxyNrdclIx-zN-TEoVpK8EjuZKV5jG8ZF3VbepIzfoeu0z-s2ECWdzQ6S_hyphenhyphenSA3kdQ9VF/s400/Mare+ange+hjhgf.jpg" width="400" /></a></div>Le Point : La ministre de droits humains ,Marie Ange mushobekwa , condamne Né Mwanda Nsemi et les adeptes de Kamwina Nsapu (vidéo)<br /> <iframe width="640" height="340" src="https://www.youtube.com/embed/A4UDDyBb8kA" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>

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Le Point : La ministre de droits humains ,Marie Ange mushobekwa , condamne Né Mwanda Nsemi et les adeptes de Kamwina Nsapu (vidéo)

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Kabund: « Le Rassemblement ne proposera pas des noms à Kabila, même pas deux »

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilPOU-hJ0ZAcIsxmsJYsCy6fnOAGjS5_OQ0K7IIQfY-BhMOscAuATcGlkpx46RDSLrYfZbzYIHTjCyKSp2fZKVVi-ZhgtUn9rP4sbG9QtGt1uNqErfHwH90N5IkWETOnGkDmX2GYy9u6k0/s1600/Snapshot_849.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilPOU-hJ0ZAcIsxmsJYsCy6fnOAGjS5_OQ0K7IIQfY-BhMOscAuATcGlkpx46RDSLrYfZbzYIHTjCyKSp2fZKVVi-ZhgtUn9rP4sbG9QtGt1uNqErfHwH90N5IkWETOnGkDmX2GYy9u6k0/s400/Snapshot_849.jpg" width="400" /></a></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> Jean-Marc Kabund, secrétaire général de l’UDPS, accuse Joseph Kabila et sa famille politique de retarder l’application de l’accord politique du 31 décembre.</div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> Réagissant aux propos de Joseph Kabila relayés par l’Abbé Donatien N’shole (SG de la CENCO) dans le compte rendu de la rencontre entre les évêques catholiques et le président Joseph Kabila cette matinée,  selon lesquels Joseph Kabila attend une liste de 3 noms pour le poste de premier ministre ;  Kabund est resté catégorique : « le Rassemblement ne proposera pas à Monsieur Kabila deux ou trois noms ».</div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> Au cas où le blocage persiste sur cette question, Kabund a avoué que le Rassemblement va en tirer toutes les conséquences.</div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> <strong style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;">Joseph Kabila confirme qu’il attend du prochain  président du conseil des sages du Rassemblement,  la liste des candidats premier ministre. Quelle est la réaction de l’UDPS ?</strong></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> <em style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;">« Je n’ai pas entendu Monsieur Kabila dire ça de mes propres oreilles. C’est vous qui le dites. Nous avons tous intérêt à protéger les acquis de l’accord pour que le pays avance normalement. La volonté affichée aujourd’hui par Monsieur Kabila et sa famille politique nous pousse à croire qu’il ne veut pas réellement mettre en œuvre l’accord. Personnellement je lui demande de retirer ce qu’il a dit parce que le président Tshisekedi, avant sa mort, avait proposé un premier ministre et s’il estime qu’il ne peut nommer un premier ministre lui présenté par Etienne Tshisekedi, Monsieur Kabila est à coté. Le Rassemblement ne lui proposera pas des noms ou même deux noms. Le Rassemblement lui a proposé un premier ministre qu’il doit nommer. Sur cette question nous n’allons pas tergiverser et nous n’y reviendrons pas. Nous n’avons jamais été naïfs en acceptant qu’il continue à diriger ce pays bien qu’il n’avait pas organisé les élections. Après Tshisekedi est égal à avant Tshisekedi. Nous tirerons toutes les conséquences s’il s’avère que Kabila et sa famille politique ne veulent pas mettre l’accord en œuvre ».</em></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> <strong style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;"><br /></strong></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> <strong style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;"><br /></strong></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> <strong style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;">Qui a été proposé par Tshisekedi ?</strong></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> <em style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;">« Monsieur Kabila le sait, les évêques le savent ».</em></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> <strong style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;">Mais les évêques ne l’ont jamais dit…</strong></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> « <em style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;">Je vous le confirme aujourd’hui. Mais ce n’est pas à moi de dévoiler ce nom parce que la lettre ne m’était pas adressée ».</em></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> <em style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;"><br /></em></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> <em style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;"><br /></em></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> <strong style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;">En insistant sur un seul nom, n’êtes-vous  pas entrain de tirer en longueur ?</strong></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> <em style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;">« Nous n’avons nullement l’intention de tirer les choses en longueur. Nous ne faisons que respecter les prescrits de l’accord.  Le point 3 est clair. Le Rassemblement devrait présenter un premier ministre à Monsieur Kabila. D’où vient cette histoire de liste ? ou ils veulent appliquer l’accord ou ils veulent pas l’appliquer. C’est simple. L’histoire du nouveau président du conseil des sages du Rassemblement ne concerne pas Monsieur Kabila ».</em></div> <div style="box-sizing: border-box; font-family: Roboto; font-size: 16px; line-height: 24px; margin-bottom: 35px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility;"> Interview réalisée par Stanys Bujakera (<span style="color: #f82000;"><span style="background-attachment: initial; background-clip: initial; background-image: initial; background-origin: initial; background-position: initial; background-repeat: initial; background-size: initial; box-sizing: border-box; line-height: inherit; outline-color: initial; outline-width: initial; transition: opacity 0.2s ease-in-out, color 0.1s ease-in-out;">@</span></span><span class="u-linkComplex-target" style="background-attachment: initial; background-clip: initial; background-image: initial; background-origin: initial; background-position: initial; background-repeat: initial; background-size: initial; box-sizing: border-box; color: #f82000; line-height: inherit; outline: none; text-decoration: none; transition: opacity 0.2s ease-in-out, color 0.1s ease-in-out;">bujakeratshiams)</span></div>

Politique Kabund: « Le Rassemblement ne proposera pas des noms à Kabila, même pas deux »

Jean-Marc Kabund, secrétaire général de l’UDPS, accuse Joseph Kabila et sa famille politique de retarder l’application de l’accord politi...

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Désignation du 1er ministre, Monsengwo met la pression

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMUl6oHsaKJitVR6-gB__0OnayZm7rpfxG-nZ_lJlV6ckL0IIG1vGCObNeNLVXB60xFIu6Mo_SM2q4F9O9lCEo3C7qHqntadEawJhXLEh43rZXTrfiAWgfjl-2FsAs_Fm_Kh59jjqkZPpo/s1600/Snapshot_551.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMUl6oHsaKJitVR6-gB__0OnayZm7rpfxG-nZ_lJlV6ckL0IIG1vGCObNeNLVXB60xFIu6Mo_SM2q4F9O9lCEo3C7qHqntadEawJhXLEh43rZXTrfiAWgfjl-2FsAs_Fm_Kh59jjqkZPpo/s400/Snapshot_551.jpeg" width="400" /></a>Le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, a souhaité que le nouveau Premier ministre soit rapidement désigné afin de faire baisser la tension remarquée notamment ce weekend avec l’attaque de la Paroisse Saint Dominique de Limete.<br /> <br /> « Nous invitons instamment les uns et les autres à faire preuve de sagesse, de retenue, d’esprit démocratique pour résoudre la question relative à la désignation du Premier ministre et aux autres questions connexes, en vue de décanter la crise qui ne fait que durer et risque de mettre en péril la tenue des élections prévues à la fin de cette année selon les accords de la Saint Sylvestre dont le peuple congolais attend urgemment l’application, » a dit l’Archevêque de Kinshasa dans un message ce dimanche 19 février 2017.<br /> Le Cardinal regrette que l’Eglise catholique soit visée, « de manière intentionnelle, pour torpiller sa mission de paix et de réconciliation. » Monseigneur Monsengwo a réitéré son soutien à la CENCO « et tous ses efforts pour l’avènement d’un Etat de droit afin que les institutions destinées à gérer le pays soient mises en place. »<br /> <br /> Il a également souligné la responsabilité historique des politiciens dans cette crise.<br /> <br /> « Pour rappel, la Cenco ne joue qu’un rôle de médiateur. Il appartient aux hommes politiques de reconnaître avec humilité, devant la nation et la communauté internationale, leur velléité politique et la turpitude de leurs choix nombrilistes qui conduisent à l’impasse ou au blocage des institutions. Ils en assumeront la responsabilité devant l’histoire. »<br /> Pour rappel, dans le Kasai central, une partie du Grand Séminaire de Malole a été incendiée par des inciviques samedi 18 février 2017. Le dimanche 19 février 2017, la paroisse saint Dominique de Limete à Kinshasa a été saccagée par une vingtaine de jeunes.<br /> <br /> Le même jour, la communauté des Pères Oblats à la 10ème rue résidentielle, dans la même commune, n’a pas été épargnée.

Politique Désignation du 1er ministre, Monsengwo met la pression

Le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, a souhaité que le nouveau Premier ministre soit rapidement désigné afin de faire baisser la tension r...

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Les Écoliers du College Alingba à Kintambo se sont révoltés après que leur école ait été vendue...(VIDEO)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhknlntshexWKP62u07AeivGXv09LLBwAUZrONpL3TLjwyT3JcjQo7YhDQC8R2Y_LwUjkQkK_v_ayjIwN5G9VxduHWMTiKTBB4ntq-myOTx0TE5wiqKzd0M0rCIruC5m80-qT11lQV-GY4r/s1600/Snapshot_550.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhknlntshexWKP62u07AeivGXv09LLBwAUZrONpL3TLjwyT3JcjQo7YhDQC8R2Y_LwUjkQkK_v_ayjIwN5G9VxduHWMTiKTBB4ntq-myOTx0TE5wiqKzd0M0rCIruC5m80-qT11lQV-GY4r/s400/Snapshot_550.jpeg" width="400" /></a>Les Écoliers du College Alingba à Kintambo se sont révoltés après que leur école ait été vendue...(VIDEO)<br /> Les écoliers determines empruntent le tronçon vers le Boulevard du 30 Juin en vue de se rendre a l'Hotel de Ville pour déposer leur memorandum auprès du Gouverneur Andre Kimbuta.<br /> <br /> <iframe allowfullscreen="true" allowtransparency="true" frameborder="0" height="315" scrolling="no" src="https://www.facebook.com/plugins/video.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fcode243news%2Fvideos%2F1364539310276868%2F&show_text=0&width=560" style="border: none; overflow: hidden;" width="560"></iframe>

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Les Écoliers du College Alingba à Kintambo se sont révoltés après que leur école ait été vendue...(VIDEO) Les écoliers determines emprunten...

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Amida sort du silence sur sa relation avec Kamerhe : « Je suis heureuse… »

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjklnfPLzOEx7eDa1TRrn66UmPpaM-etNSjKXz1vvpdTLvn8pPABx3yxGul_7S6hR4M5mNiJuil2EGKhqkdHED13IMe68R3qPQtcvH-L4u90wp3KKoY0hBKoleh5dOP8IkCcTYOv3U4JzK1/s1600/Snapshot_541.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="372" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjklnfPLzOEx7eDa1TRrn66UmPpaM-etNSjKXz1vvpdTLvn8pPABx3yxGul_7S6hR4M5mNiJuil2EGKhqkdHED13IMe68R3qPQtcvH-L4u90wp3KKoY0hBKoleh5dOP8IkCcTYOv3U4JzK1/s400/Snapshot_541.jpeg" width="400" /></a>Pour la premiere fois que Madame Amıda Shatur sort de son silence et parle de sa relation avec le pacificateur Vital Kamerhe.<br /> <br /> MADAME AMIDA SHATUR SORT DE SON SİLENCE ET PARLE DE SA RELATİON D’AVEC LE PACİFİCATEUR VITAL KAMERHE.<br /> <br /> « Quand j’ai rencontré le père de ma fille aîné JB MPIANA , je suis allée vers quelque chose de plus constructif, fraternel, familial. »<br /> <br /> Avec VITAL KAMERHE , c’est encore plus fort : « Avec mon mari, j’ai découvert quelque chose que je ne pensais jamais vivre, un coup de foudre comme dans les romans d’amour. Et je suis devenue la femme d’un couple classique, comme je pensais que je ne le deviendrais jamais. »<br /> <br /> Ce mariage très traditionnel, AMIDA en suit toutes les règles avec bonheur, dont la première : « La fidélité, c’est une condition sine qua none du mariage, il me semble, puisque, lorsqu’on se marie, on signe un contrat dans lequel on s’engage à la fidélité. C’est pour cela que j’étais heureuse de me marier à 40 ans plutôt qu’à 34, j’ai ainsi pu mesurer la portée de l’engagement qu’est le mariage ! << Je suis très heureuse d’être dans cette nouvelle relation importante pour moi.>><br /> <br /> Avec VITAL KAMERHE , AMIDA a également fondé une famille recomposée. Une fois encore, elle dit avoir été chanceuse : « Les fils et filles de mon mari, ils(elles) sont grands, intelligents et adorables, je suis bien tombée, je n’ai pas eu à conquérir une place, ils(elles) me l’ont accordée avec la gentillesse qui les caractérise. Ils(elles) étaient contents pour leur père, et, moi, je les ai aimés tout de suite.<br /> <br /> »Je suis heureuse dans ma nouvelle vie conjugale. »<br /> <br /> Par Abeli Lolengola Hussein

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Pour la premiere fois que Madame Amıda Shatur sort de son silence et parle de sa relation avec le pacificateur Vital Kamerhe. MADAME AMIDA...

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Jean-Marc Kabund: « nous demandons au pouvoir d’écouter pour une fois la voix de la raison »

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkfWATiudQy1DLSTigOSR6zFnWYmO85qU5kquvRBb5qUBiuPJveb_k03XxPz6SFXFT8-bJVu3KphnySWUCVSWr0plJlDztmuHiJng3x9xUhYHsfFGsta75xCmDCJTrVLfp6oOqsQpd_k-7/s1600/Snapshot_535.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="295" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkfWATiudQy1DLSTigOSR6zFnWYmO85qU5kquvRBb5qUBiuPJveb_k03XxPz6SFXFT8-bJVu3KphnySWUCVSWr0plJlDztmuHiJng3x9xUhYHsfFGsta75xCmDCJTrVLfp6oOqsQpd_k-7/s400/Snapshot_535.jpeg" width="400" /></a></div>Le Secrétaire général de l'UDPS demande au pouvoir d'accéder à la "demande du peuple" qui exige, selon lui, que soit nommé un gouvernement avant les funérailles de Tshisekedi.Près de trois semaines après le décès du leader historique de l’opposition en République démocratique du Congo, ses obsèques sont toujours au coeur d’un bras de fer entre le Pouvoir et les Opposants.<br /> <br /> « Il est vrai que nous à l’UDPS [Union pour la Démocratie et le Progrès Social] nous sommes d’avis que la personne de Tshisekedi n’est à comparer à quoi que ce soit, ni à aucun poste, Premier ministre ou Présidentielle de la République soit-il. Mais, il y a une exigence populaire, qui nous met aussi en difficulté, exigeant l’application de manière intégrale de l’accord global et inclusif de la Saint Sylvestre. Donc ici, nous avons demandé au pouvoir en place d’écouter la voix de la raison. De donner au peuple ce qu’il veut », a déclaré Jean-Marc Kabund, secrétaire général de ce parti de l’opposition lors d’une conférence de presse ce samedi à Kinshasa , à l’occasion de la célébration de la 11eme anniversaire de la constitution de la RDC, au micro de POLITICO.CD.<br /> <br /> « Nous pensons que le gouvernement accordera une suite favorable à ce que nous avons présenté comme préalables avant d’envisager le retour de la dépouille d’Étienne Tshisekedi« , conclu-t-il.<br /> <br /> <br /> Par ailleurs, l’UDPS a présenté vendredi, dans une lettre adressée au gouverneur de Kinshasa, quatre sites à travers la capitale de la République démocratique du Congo pour l’inhumation de son leader.<br /> politico.cd

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Le Secrétaire général de l'UDPS demande au pouvoir d'accéder à la "demande du peuple" qui exige, selon lui, que soit nommé...

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Ce que se sont dit Félix Tshisekedi et Maman Sidiku

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuVJNlJpTbQHBZi04UXC2FEE_VH3l9vDI-Q0AYjkwS7DBWjR8J7OPor3aktRFDhFxD875TWZfGcaxK501r7dIbZ6jB8dbGRnLOOKO7tWdx53wKvjfvO1tFJYdHK2NAhjmk_8nrLtuXwqHK/s1600/Snapshot_534.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="207" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuVJNlJpTbQHBZi04UXC2FEE_VH3l9vDI-Q0AYjkwS7DBWjR8J7OPor3aktRFDhFxD875TWZfGcaxK501r7dIbZ6jB8dbGRnLOOKO7tWdx53wKvjfvO1tFJYdHK2NAhjmk_8nrLtuXwqHK/s400/Snapshot_534.jpeg" width="400" /></a>Le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies en RDC a échangé samedi 18 février dernier avec le Secrétaire Général Adjoint de l’Udps.<br /> <br /> Selon nos sources, les échanges entre Maman Sidiku et Félix Tshisekedi ont été axés sur l’organisation des obsèques d’Étienne Tshisekedi, la situation sécuritaire de la RDC précisément au Kasaï ainsi que sur la mise en œuvre de l’accord de la Saint sylvestre.<br /> <br /> Vendredi 17 février, Félix Tshisekedi avait également échangé avec les évêques de la Cenco.<br /> <br /> Jeff Kaleb Hobiang<br /> <br />

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Le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies en RDC a échangé samedi 18 février dernier avec le Secrétaire Général Adjoin...

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Rencontre CENCO-Kabila: le chef de l’État attend 3 pour désigner le premier ministre de manière consensuelle

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDBe6KM6daagKFSZmkaGdLsSkQAtqkHAq_T0KaLCsGtxAdX-SyawSAZ_J1KEutgEO-EbXiu2LTjY6Fl9uLerVI0UsY813-BXHb-MnWyfd9Jvhh9qVPLPT2kaCmIqhF4yh-uPVY__PFdDys/s1600/Snapshot_532.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDBe6KM6daagKFSZmkaGdLsSkQAtqkHAq_T0KaLCsGtxAdX-SyawSAZ_J1KEutgEO-EbXiu2LTjY6Fl9uLerVI0UsY813-BXHb-MnWyfd9Jvhh9qVPLPT2kaCmIqhF4yh-uPVY__PFdDys/s400/Snapshot_532.jpeg" width="400" /></a>Le président Kabila attend toujours les 3 noms qui doivent être proposés par le président du Conseil des Sages. Il veut aussi que la désignation de ce dernier se fasse d’une manière consensuelle. Le Président Kabila a insisté sur l’urgence et son engagement à organiser élections. Ses propos sont de l’ Abbe Nshole au sortir de l’audience de ce lundi 20 février qu’a accordée le chef de l’État à la CENCO ( Conférence épiscopale nationale du Congo).<br /> Le président Kabila, une fois n’est pas coutume, s’aligne sur la position de sa famille politique exprimée par Adolphe Lumanu la semaine passée.<br /> Le blocage est donc à craindre si chacun campe sur sa position.<br /> <br /> Alphonse Muderhwa

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Le président Kabila attend toujours les 3 noms qui doivent être proposés par le président du Conseil des Sages. Il veut aussi que la désigna...

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Kabila refuse le nom de Félix Tshisekedi et attend une liste des candidats premiers ministres (Officiel)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUyBku9UbVodwA0qCKAKsKNcfAmUZ4GsVZQDXLWW4f0g-mViPHdp7mSqjG1ad796ECb-zyvOki3uyS_kL2RuyWstAMeZVFbw75nUBU2us149Krqr8AiidY2ZUC3Q41yOj5gCTHi1aW1jzB/s1600/Snapshot_847.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUyBku9UbVodwA0qCKAKsKNcfAmUZ4GsVZQDXLWW4f0g-mViPHdp7mSqjG1ad796ECb-zyvOki3uyS_kL2RuyWstAMeZVFbw75nUBU2us149Krqr8AiidY2ZUC3Q41yOj5gCTHi1aW1jzB/s400/Snapshot_847.jpg" width="400" /></a></div> Le président de la République a échangé ce lundi 20 février avec les évêques de la Cenco au palais de la Nation.<br /> <br /> D’après l’abbé Donatien N’shole, secrétaire général de la CENCO , Joseph Kabila attend la liste des candidats premiers ministres qui doit lui être présentée par le nouveau président du conseil des sages du rassemblement.<br /> <br /> « Nous lui avons remis l’accord signé, le draft de l’arrangement particulier. Il a considéré que 95 pourcent est fait ,  il ne reste que 5 % , il veut qu’on aille vite de l’avant pour ne pas donner de prétexte à la non tenue des élections. Pour le reste,  il pense que si le  Rassemblement trouve un président du conseil des sages, celui la lui présentera une liste des premiers ministre voilà » a declaré  l’abbé Donatien N’shole qui n’a pas confirmé qu’Etienne avait laissé un nom du candidat premier ministre.<br /> <br /> Joseph Kabila a mis fin à une polémique  car dit N’shole , le nouveau président du Conseil des sages du Rassemblement sera bel et bien président du Conseil national de suivi de l’accord.<br /> <br /> « Le principe est maintenant claire que le prochain président du Conseil des sages du Rassemblement sera le président du conseil national de suivi de l’accord, et celui qui doit présenter la liste des candidats premiers ministres » a conclu L’Abbé.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> La semaine dernière, le Rassemblement plateforme de l’opposition à laquelle revient de droit la primature selon le prescrit de l’accord politique du 31 décembre dernier,  a pourtant confirmé qu’avant son voyage pour Bruxelles, Etienne Tshisekedi avait laissé à la CENCO le nom de Felix Tshisekedi comme candidat premier ministre.<br /> <br /> Stanys Bujakera ( ACTUALITE.CD titré par sangoyacongo)<br /> <br />

Politique Kabila refuse le nom de Félix Tshisekedi et attend une liste des candidats premiers ministres (Officiel)

Le président de la République a échangé ce lundi 20 février avec les évêques de la Cenco au palais de la Nation. D’après l’abbé Donatien...

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24h pour désigner le prochain président du Rassemblement: Lumbi et Olengankoy dans la course si Katumbi se désiste

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6Fej24aoyxltt6nno6pL8T6_Pf7Cbi9wpzLQPG9a6WcgHdz3QYqnGfH1VUA7yKj4I6ZZ9bPNstdAhXzsVPuIDm-DecHvoNJWCE3pdZpIh2WkISigaEWi19mAqWL0ow4Hkv8MXsg8y_q90/s1600/Snapshot_531.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6Fej24aoyxltt6nno6pL8T6_Pf7Cbi9wpzLQPG9a6WcgHdz3QYqnGfH1VUA7yKj4I6ZZ9bPNstdAhXzsVPuIDm-DecHvoNJWCE3pdZpIh2WkISigaEWi19mAqWL0ow4Hkv8MXsg8y_q90/s400/Snapshot_531.jpeg" width="400" /></a>Sauf imprévu, l’on pourra connaître le prochain président du Rassemblement ce mardi 21 février. A en croire une source proche de cette plate-forme, une commission a été mise en place pour désigner le successeur d’Étienne Tshisekedi décédé à Bruxelles le 1 février 2017. Ladite Commission est <br /> composée de 6 membres du Conseil des sages de Rassemblement. C’est à cette commission que revient la charge de désigner le remplaçant du président de l’UDPS à ce poste même si tous s’accordent à dire qu’on ne remplace pas quelqu’un comme Tshisekedi, on lui succède. Ainsi Les membres de cette commission ont en principe 24h pour donner leur conclusion. Le mode de désignation demeure celui du consensus a tenu à préciser cette même source. Reste à savoir si le reste du groupe adhère à cette démarche pourtant indispensable au Rassemblement d’autant plus que ces derniers jours la méga plateforme cher à feu Tshisekedi s’est plus distinguée par des divergences et luttes de positionnement.<br /> (CNSA).<br /> Il n’est pas exclu que Moïse Katumbi soit désigné Président du Conseil des sages du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement.<br /> Cela sera un moyen politique supplémentaire pour briser son exil politique et tester la bonne foi du pouvoir pour décrisper le climat politique.<br /> Redoutant ce scénario, le pouvoir demande que ce poste soit attribué par consensus à une personnalité du Rassemblement.<br /> Si Katumbi se désiste, Joseph Olengankoy de la Dynamique de l’Opposition et le G7 Pierre Lumbi Okongo vont s’affronter pour occuper le prestigieux fauteuil.<br /> Pour rappel, ce poste est un très important car celui qui l’occupera sera automatiquement le président du Conseil National de Suivi de l’Accord (CNSA).<br /> Le Secrétaire général adjoint de l’UDPS Félix Tshisekedi avait avancé l’idée d’un directoire à la tête du Rassemblement.<br /> Cette idée semble avoir été écartée.<br /> Élysée Odia

Politique 24h pour désigner le prochain président du Rassemblement: Lumbi et Olengankoy dans la course si Katumbi se désiste

Sauf imprévu, l’on pourra connaître le prochain président du Rassemblement ce mardi 21 février. A en croire une source proche de cette plat...

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Le coup de gueule du cardinal Mosengwo

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvi5yY_3ql2MWD2AfAbaz5lhfZP5YUA8P6ZS7TWcuFvmj7gcVT81VSN9OcGsF2wca_HmNtYANpfhNJU_8YzSb-zHbbJvVwYFj8ou0IzBYz6OBXFtmelhpnkXl7YGV_oMGGnL3fkih8YhyA/s1600/Snapshot_529.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="275" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvi5yY_3ql2MWD2AfAbaz5lhfZP5YUA8P6ZS7TWcuFvmj7gcVT81VSN9OcGsF2wca_HmNtYANpfhNJU_8YzSb-zHbbJvVwYFj8ou0IzBYz6OBXFtmelhpnkXl7YGV_oMGGnL3fkih8YhyA/s400/Snapshot_529.jpeg" width="400" /></a></div> Le cardinal Laurent Mosengwo Pasinya a pris parole. Après les attaques répétées contre l’église catholique ces derniers jours au Kasaï et à Kinshasa , le chef de l’église catholique du Congo Kinshasa a exprimé sa désolation. Le prélat fait savoir que depuis un temps, il y a un regain de peur, de colère, voire d’incertitude. « Nous avons appris avec indignation, le samedi 18 février 2017 l’incendie d’une partie du Grand Séminaire de Malole par des inciviques, qui ont semé la terreur chez les sœurs carmélites voisines dudit séminaire à Kananga, dans la province de Kasaï Central », affirme Laurent Mosengwo. De plus, le dimanche 19 février 2017, la paroisse Saint- Dominique de Limete a été visitée par une vingtaine de jeunes gens mal intentionnés. « Ils ont profané l’église : ils ont renversé le tabernacle, l’autel a été sérieusement saccagé, des bancs ont été cassés, jusqu’à vouloir incendier l’église. Le dégât matériel est important », déplore-t-il. Dans une lettre pastorale datée du dimanche 19 février, le cardinal pense que l’attaque dirigée contre l’église catholique a été intentionnelle et vise à torpiller sa mission de paix. »Nous stigmatisons et condamnons avec force ces actes qui frisent la barbarie », hurle l’archevêque de Kinshasa qui ne voit pas la CENCO arrêter ses bons offices. Par contre, il demande aux autorités du pays d’arrêter cette tension et d’assurer la protection des biens et des personnes, surtout le patrimoine de l’Eglise catholique. Malgré cette douloureuse situation, le cardinal a rappelé que l’église catholique soutient la démarche de la CENCO et tous ses efforts pour l’avènement d’un état de droit afin que les institutions destinées à gérer le pays soient mises en place, pour améliorer les conditions de vie du peuple congolais, dont la misère ne fait que s’accentuer, et garantir les libertés fondamentales et la dignité humaine.<br /><br />Ainsi, l’église invite instamment les uns et les autres à faire preuve de sagesse, de retenue, d’esprit démocratique pour résoudre la question relative à la désignation du Premier ministre et aux autres questions connexes, en vue de décanter la crise qui ne fait que durer et risque de mettre en péril la tenue des élections prévues à la fin de cette année selon les accords de la Saint-Sylvestre dont le peuple congolais attend urgemment l’application. Avec tous les évêques, dit Mosengwo, l’église dénonce ces actes de violence susceptibles de replonger notre pays dans un chaos indescriptible.<br /><br />Alphonse Muderhwa

Politique Religion Le coup de gueule du cardinal Mosengwo

Le cardinal Laurent Mosengwo Pasinya a pris parole. Après les attaques répétées contre l’église catholique ces derniers jours au Kasaï et...

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Promouvoir les relations bilatérales : Clément Kanku évalue avec l’Ambassadeur du Liban

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivi1aAyLItgjqIFg35J9TEEjZ-pdSEhPzyIYIp0kVvtNl1EpgptOst_UbHyH6guRNLuio4UBp06fuHj4AR5DymofbGumquSHet51VJwRwPkMfwbMT1A81xRxt5a0Fw4ims5eZ-H99evJXU/s1600/Snapshot_1305.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivi1aAyLItgjqIFg35J9TEEjZ-pdSEhPzyIYIp0kVvtNl1EpgptOst_UbHyH6guRNLuio4UBp06fuHj4AR5DymofbGumquSHet51VJwRwPkMfwbMT1A81xRxt5a0Fw4ims5eZ-H99evJXU/s400/Snapshot_1305.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> Dans l’objectif de promouvoir les relations bilatérales entre le Liban et la RD. Congo, Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua, Ministre de la Coopération au Développement, a échangé avec M. Henri Kastoun, Ambassadeur du Liban en RDC.<br /> <br /> Cet entretien de près d’une heure, s’est déroulé samedi 18 février dernier, dans son Cabinet de travail à la Gombe, en présence de plusieurs membres dudit Cabinet. Au sortir de cette audience, l’Ambassadeur du Liban, a indiqué que plusieurs sujets ont été évoqués au cours de cet entretien. Reconnaissant la présence de plusieurs Libanais en RDC, le diplomate libanais a souligné qu’il était aussi question de promouvoir les relations bilatérales entre les deux pays à un niveau très avancé. D’où, Il a rappelé qu’à l’occasion de la visite officielle du Ministre des Affaires Etrangères Libanais à Kinshasa, ils se sont mis d’accord avec les autorités compétentes afin de commencer un processus de renforcement de ces relations bilatérales.<br /> <br /> «Nous sommes en train d’initier, de poser des bases sur ce processus en vue de se mettre d’accord sur les moyens nécessaires de collaboration durant la période suivante», a-t-il déclaré.<br /> <br /> Par ailleurs, il ajouté que cette coopération portera sur plusieurs domaines notamment, culturel parce que bientôt c’est le mois de la francophonie ; commercial, économique, l’aspect académique, et même la politique.<br /> <br /> « C’est un processus qui peut s’étaler sur tous les domaines», conclut-il.<br /> <br /> Christine Ngalula

Politique Promouvoir les relations bilatérales : Clément Kanku évalue avec l’Ambassadeur du Liban

Dans l’objectif de promouvoir les relations bilatérales entre le Liban et la RD. Congo, Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua, Ministre de l...

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Ne Muanda Nsemi, Kamuina Nsapu, conflits Batwa – Bantu. Emmanuel Ramazani Shadary : ‘’la situation sécuritaire est sous contrôle!

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhiytklTFhyH22qTmo4__MRqeR4EegdeTq6cFi8H11ZPstK76_9i6fPcNo1inl-3Wknb_EExVsA5fqHYxGjQA-Z-FUP1oWHug7pYihv91ay9Fsk6x7xjfQyg0oOnIUdzd81roOk-AgwTPvy/s1600/Snapshot_1304.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhiytklTFhyH22qTmo4__MRqeR4EegdeTq6cFi8H11ZPstK76_9i6fPcNo1inl-3Wknb_EExVsA5fqHYxGjQA-Z-FUP1oWHug7pYihv91ay9Fsk6x7xjfQyg0oOnIUdzd81roOk-AgwTPvy/s400/Snapshot_1304.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> «Le Gouvernement de la République Démocratique est pleinement conscient que les premières solutions durables aux problèmes sécuritaires sont d’abord, de type politique et communautaire. C’est pourquoi, nous privilégions à Kinshasa, au Tanganyika, dans l’espace Kasaïen et dans le Kongo Central, des rencontres avec la notabilité et les forums intercommunautaires », a déclaré en substance, hier, dimanche 19 février 2017, au 9ème niveau du Pullman Grand Hôtel Kinshasa, M. Emmanuel Ramazani Shadary, Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur et Sécurité, en présence de Lambert Mende Omalanga, Ministre de la Communication et des Médias et du Vice-Ministre de l’Intérieur, M. Basile Olongo. D’autres responsables des services attitrés en matière de sécurité ont été, eux aussi, associés à cette sortie médiatique musclée qui avait, apparemment, pour but, de fixer, une fois pour toutes, l’opinion sur l’état de la sécurité sur l’ensemble du territoire et, surtout, sur les affaires de Ne Muanda Nsemi à Kinshasa et au Kongo Central, des milices de Kamuina Nsapu dans le Grand Kasaï et des conflits communautaires engagés entre les Batwa et les Bantu, dans l’espace de Tanganyika, une des quatre nouvelles provinces nées du démembrement, dans l’ex-Katanga.<br /> <br /> Kongo Central et de Kinshasa<br /> <br /> Emmanuel Shadary n’a pas hésité, un seul instant, à entrer dans le vif du sujet. D’où, il a abordé le thème de la situation sécuritaire dans les provinces du Kongo Central et de Kinshasa. Selon lui, en effet, ce sont les partisans de parti politique dénommé BUNDU DIA MAYALA, issu de la transformation du mouvement politico-religieux BUNDU DIA KONGO, qui ont provoqué des troubles sanglants dans la province du Kongo Central, du 22 au 24 janvier et le 3 février 2017, plus précisément à Kimpese, Luozi, Kisantu, Lukala et Mbanza-Ngungu. <br /> <br /> En exégète, Emmanuel Ramazani Shadary est revenu à l’origine de ce conflit persistant.<br /> <br /> Il a souligné que dans cette affaire de Bundu dia Mayala, il s’agit d’un problème de famille, d’une affaire sentimentale qui inclut le Député national, élu de Kinshasa, Ne Muanda Nsemi et le Vice-Ministre des ITPR, qui se présente à ce jour, comme un problème d’Etat.<br /> <br /> Il a même confirmé que la vérité de ces faits déclencheurs, est d’une banalité qui tranche, pourtant, avec la gravité de leur violence et le niveau de leur barbarie.<br /> <br /> S’agissant de Ne Muanda Nsemi, Emmanuel Shadary a indiqué que les forces de l’ordre qui encerclent jusqu’à maintenant, sa résidence de Haute Tension, vers le Rond-point Sakombi, sur Benseke, dans la commune de Ngaliema, lui donnent encore une chance et l’invitent à se mettre à la disposition de la Justice, pour répondre de ses actes, sans dégâts inutiles.<br /> <br /> Situation du Grand Kasaï<br /> <br /> Il a expliqué que ce mouvement Kamuina Nsapu a mûri dans le secteur de Ditabayi et dans le territoire de Dibaya. Puis, il s’est étendu aux territoires voisins de Tshikapa, dans la province du Kasaï et, à Kabeya Kamwanga et Miabi au Kasaï Oriental, en causant des morts et désolation, jusqu’au point d’atteindre Mwene-Ditu, au Lomami. <br /> <br /> Par ailleurs, il a aussi dit que le développement tentaculaire de ce phénomène, a pris de nombreuses formes comprenant : le Kamuina Nsapu dit original constitué des adeptes initiés de Kamuina Nsapu, lui-même, le Kamuina Naspu des bandits et des criminels ainsi que d’autres repris de justice recourant à des pratiques magiques (Tshiziba) pour se rendre invulnérables, le Kamuina Nsapu culturel des prétendants malheureux à la succession à divers postes du pouvoir coutumier et des Groupements voisins et le Kamuina Naspu politique constitué des opérateurs politiques récupérant ce phénomène comme fonds de commerce, en remettant de l’argent et d’autres pièces de violence, à ces jeunes gens, apparemment, instrumentalisés et drogués.<br /> <br /> Certains acteurs politiques, tapis dans l’ombre, seraient, à son avis, à la base de tels actes. Mais, en revanche, le Gouvernement congolais n’abandonnera sa politique de gestion responsable de tous les incidents sécuritaires, en faisant appel notamment, à des enquêtes administratives et judiciaires, pour le maintien de l’ordre public, la sécurité des personnes et de leurs biens.<br /> <br /> Tanganyika<br /> <br /> Les bantu (Balubakat) et les Pygmées, dans la Province du Tanganyika, sont à couteaux tirés. Plusieurs causes de cette combustion communautaire surgissent. Il s’agit de la réclamation des terres propres aux pygmées, la nomination de leurs propres Chefs des Groupements et Secteurs ainsi que des Administrateurs des Territoires, la Construction des infrastructures de base (écoles et hôpitaux propres à eux) et, enfin, la Réclamation sans délai, des mariages mixtes par les «pygmées» consistant, pour eux, d’épouser les filles «bantu» comme ceux-ci épousent les leurs. Il a, toutefois, rassuré qu’une convocation du forum s’ouvrira cette semaine à Kalemie, pour analyser les revendications des uns et des autres et d’envisager les pistes de solutions susceptibles de réinstaurer la paix durable entre les deux communautés.<br /> <br /> St Dominique, Grand séminaire de Malole …saccagés<br /> <br /> Visiblement affecté, le VPM Emmanuel Ramazani Shadary ne pouvait clore son propos, sans évoquer, devant les médias, deux sujets d’actualité dont primo, la circulation sur les réseaux sociaux d’un film attribuant aux Fardc des crimes atroces et secundo, les actes de vandalisme perpétrés aux premières heures de ce dimanche, 19 février, à l’église Saint Dominique, dans la Commune de Limete, à Kinshasa.<br /> <br /> Dans sa version des faits, il rapporte qu’une bande d’une vingtaine de personnes, militants prétendument de l’Udps, ont provoqué ces incidents dans cette paroisse aux alentours de 5 heures du matin, jusqu’au niveau de profaner le tabernacle en saccageant l’autel, la statue de la Sainte Vierge Marie.<br /> <br /> Il a profité de cette occasion, pour parler d’incidents similaires qui ont eu lieu, ce samedi 18 février 2017, au Grand séminaire de Malole de Kananga dans le Kasaï Central où des miliciens de Kamuina Nsapu ont envahi cet établissement d’enseignement supérieur et l’ont, littéralement, saccagé jusqu’au point de brûler tous les biens des formateurs.<br /> <br /> Toutefois, la forte contre-offensive militaire, a permis, dit-il, de pourchasser ces malfaiteurs. Sous forme imagée, il a lancé un message fort. Ramazani a recouru à un adage ancestral disant : «l’oiseau a oublié le piège, mais le piège se souvient de l’oiseau».<br /> <br /> Réflexion<br /> <br /> Il a, enfin, exhorté le 4ème pouvoir qui est la presse et, surtout, la presse dite nationale qui maîtrise parfaitement les problèmes de la RD. Congo, à pouvoir jouer son rôle, en vue d’apporter sa contribution au sujet de toutes les questions nationales qui intéressent le pays. Il a aussi invité la presse Congolaise qui est organisée de se mettre autour du Ministre de la Communication et des Médias, pour réfléchir sur un thème simple : «Comment communiquer pour amener la paix dans cette partie du Territoire National ?». Car, selon lui, cette réflexion aiderait à éviter, à l’avenir, d’autres victimes.<br /> <br /> La Pros.<br /> <br /> <br /> <br /> REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO<br /> <br /> MINISTERE DE L’INTERIEUR ET SECURITE<br /> <br /> CABINET DU VICE-PREMIER MINISTRE<br /> <br /> <br /> <br /> COMMUNICATION DE SON EXCELLENCE MONSIEUR LE VICE-PREMIER MINISTRE, MI<br /> <br /> NISTRE DE L’INTERIEUR ET SECURITE SUR LA SITUATION SECURITAIRE A KINSHASA, AU KONGO CENTRAL, DANS LES KASAÏ, DANS LE TANGANYIKA<br /> <br /> Kinshasa, le 19 février 2017<br /> <br /> <br /> <br /> Mesdames et Messieurs de la Presse,<br /> <br /> Avant toute chose, je tiers à vous remercier vivement d’avoir accepté notre invitation de ce jour. Vous avez été contactés par mes services pour vous enquérir de la situation sécuritaire qui prévaut dans coins de la République, à savoir Kinshasa et le Kongo Central, l’espace Kasaïen et le Tanganyika, notamment. Ces provinces étant aujourd’hui sous les feux de l’actualité, il me semble légitime à la presse que vous êtes, de chercher à obtenir la bonne information, auprès des autorités habilitées à la fournir. Et c’est pourquoi il est était de mon devoir de vous inviter pour qu’à travers vous l’opinion soit parfaitement bien éclairée.<br /> <br /> de la situation dans le Kongo Central et dans la ville de Kinshasa<br /> Les partisans du parti politique dénommé BUNDU DIA MAYALA, issu de la transformation du mouvement politico-religieux BUNDU DIA KONGO, ont provoqué des troubles sanglants dans la province du Kongo Central, du 22 au 24 janvier et le 3 février 2017, particulièrement dans les agglomérations de Kimpese, Luozi, Kisantu, Lukala et Mbanza-Ngungu.<br /> <br /> Ces jeunes gens droguées et endoctrinés à souhait ont ravi des armes aux forces de l’ordre, bloqué le trafic sur la Nationale N° 1, blessé des agents de l’ordre à l’arme blanche et à l’arme à feu, organisé des expéditions punitives contre les biens du Vice-Ministre Mantezolo, dont la résidence, la boulangerie et la radio ont été pillées et saccagées. Des postes de police et des véhicules de privés ont aussi été vandalisés.<br /> <br /> Les dégâts humains se sont élevés à 7 morts (dont un policier et 6 militants BDM), 25 blessés (dont 19 policiers et 6 partisans BDM).<br /> <br /> L’autorité publique a rapidement pris toutes les dispositions requises pour rétablir l’ordre public, normaliser la circulation sur la Nationale N° 1, procéder à l’arrestation de fauteurs de troubles, récupérer les armes arrachées des mains des agents de l’ordre, assurer la prise en charge des blessés et organiser l’inhumation des victimes, après identification et concertation avec leurs familles.<br /> <br /> Mesdames et Messieurs,<br /> <br /> Comment expliquer l’irruption de cette folie meurtrière, après quelques années d’hibernation du mouvement BUNDU DIA KONGO, son semblant de mutation en parti politique et la participation de ses membres à des débats politiques en cours ?<br /> <br /> La vérité des faits déclencheurs est d’une banalité qui tranche pourtant avec la gravité de leur violence et le niveau de leur barbarie. Une affaire de famille, mieux une affaire sentimentale, est devenue un problème d’Etat.<br /> <br /> En effet, c’est depuis décembre dernier que monsieur Ne Muanda Nsemi, député national décide et annonce d’épouser une amie à sa femme et prophétesse inspiratrice de sa propre spiritualité. Cette acte de haute trahison de leur « spiritualité » a choqué plus d’un au sein de Bundu dia mayala qui considéraient leur gourroux comme un demi-dieu qui malheureusement se laissa entrainé dans les sentiments charnels contraires à ses propres enseignements et doctrines.<br /> <br /> Le premier à constater la trahison, c’est bien Monsieur Mantezolo Papy, premier personnage proche de Ne Muanda Nsemi, Vice- président du parti, et beau- frère à Ne Muanda Nsemi et Vice- président des ITPR.<br /> <br /> Piqué au vif, le député Ne MuandaNsemi a décidé de sévir en demandant au Chef du parti de démissionner du poste qu’il occupe au Gouvernement. Prenant sa liberté, le beau-frère a choisi de démissionner du parti, de dénoncer, sur la place publique, les frasques du chef spirituel et de préserver la moralité.<br /> <br /> C’est suite à cette dénonciation que des partisans ont été envoyés en expédition punitive contre les biens de leur ancien chef, désormais tombé en disgrâce, et que le conflit familial s’est mué en trouble à l’ordre public, puis en échauffourées avec les forces de l’ordre, et en menées subversives.<br /> <br /> Pour habiller ses actes, le député national Ne Muanda Nsemi a renoué avec ses vieux discours xénophobes, des appels à la désobéissance, dont le comble de l’ignominie aura été une déclaration proférant des attaques à l’encontre de la personne du Chef de l’Etat, et invitant différentes communautés de notre pays à s’engager dans une rébellion contre les institutions légalement établies.<br /> <br /> Face à cette évolution préoccupante, j’ai organisé, en date du 7 février 2017, une rencontre avec la notabilité de la province du Kongo Central, toutes tendances confondues. La notabilité a rejeté les déclarations du député Ne Muanda Nsemi et condamné ses propos irrévérencieux et xénophobes. Elle a aussi exprimé ses regrets pour les outrages visant le Chef de l’Etat. Elle a enfin adressé au peuple Ne Kongo des appels à la tolérance et à la cohabitation pacifique avec toutes les autres communautés congolaises.<br /> <br /> Mesdames et Messieurs,<br /> <br /> Les propos d’accalmie ont sorti le député Ne Muanda Nsemi de ses gonds. Il a alors réuni ses partisans et ses lieutenants, puis convoqué ses adeptes de différents coins du Kongo Central, à venir à Kinshasa, sous le couvert d’une campagne de prières et de spiritualité. C’est au cours de cette campagne de plus ou moins 30 personnes qu’il a annoncé qu’il allait organiser une attaque et frapper la ville si le Kongo central n’était pas proclamé pays indépendant appartenant aux seuls Ne kongo, sans Muluba, Muswahili, Mungala et Mutu ya Bandundu.<br /> <br /> Le 13 février 2017, vers 15H, dans sa résidence secondaire, sise n° 22, av. Bosenge, Commune de Ngiri-Ngiri dans la ville de Kinshasa, des partisans du député Ne Muanda Nsemi agressent les dissidents proches de Mantezolo considéré comme traitre. Des voisins alertent alors la police du quartier, qui se rend sur les lieux et subit des attaques de la part de ces adeptes totalement drogués et exaltés, qui brandissent des armes blanches et des armes de guerre. La police leur arrachera 4 AK47 et 1 Uzi.<br /> <br /> Dans la foulée des incidents survenus à Ngiri-Ngiri, la résidence principale du député Ne Muanda Nsemi au n° … av Haute Tension, dans la Commune de Ngaliema, va connaître une agitation similaire.<br /> <br /> Un voisin, dont le seul péché était de parler swahili, a vu son véhicule vandalisé. Des passants parlants tshiluba ont aussi été agressés. La police est arrivée et a fait face à des altercations. Deux jeeps de la police ont été incendiées sur le champ.<br /> <br /> C’est alors que la police a établi un siège autour de cette résidence. Il a été procédé à l’arrestation de 22 personnes dont 8 blessés graves. La CICR a eu accès à la résidence dès le lendemain 14 février pour assurer les premiers soins aux blessés, tous surpris de découvrir qu’ils n’étaient guère invulnérables.<br /> <br /> Jusqu’à ce jour, la police encercle la résidence, de manière à ne laisser sortir que des personnes qui se rendent et à éviter que des opérations de vengeance ne soient menées à l’encontre de paisibles citoyens.<br /> <br /> Voilà une affaire à suivre, surtout sur le plan judiciaire.<br /> <br /> Mais, d’ores et déjà, nous pouvons noter la forte mobilisation de la notabilité ne Kongo, qui désapprouve les actes de barbarie et de folie qui détruisent leur Province et portent atteinte à leur culture de paix et de convivialité.<br /> <br /> Il n’a cependant pas manqué l’une ou l’autre voix discordante, dans cet aréopage de consensus. Ainsi, tel autre élu a cru bon de récupérer les actes de violence et les paroles d’intolérance, au motif, qu’il se serait agi de canaux d’expression des frustrations communautaires, sans se rendre à l’évidence non seulement que le conflit avait une origine familiale et que jamais une communauté ne devrait se reconnaître dans les paroles de quelqu’un pour qui elle demande un traitement médical. Nous ne revenons pas ici aux tracts appelant la xénophobie et l’autonomie du Kongo central. Tracts jetés à Boma et dans certaines communes de Kinshasa, Ngaba, Makala, notamment.<br /> <br /> Le Phénomène KamuinaNsapu dans l’espace kasaïen<br /> Mesdames et Messieurs,<br /> <br /> Qu’en est-il de la situation dans l’espace kasaïen, dans les provinces du Kasaï, du Kasaï Central, du Kasaï Oriental, voire de Lomami ?<br /> <br /> Il vous souviendra, en effet, qu’en date du 12 janvier 2017, j’ai eu à répondre à une question d’actualité que m’avait adressée le Député National Martin Kabuya, élu de Dibaya, sur ce phénomène.<br /> <br /> Laissez-moi juste vous rafraîchir brièvement la mémoire sur ce que j’avais déjà dit et vous apporter quelques éléments nouveaux en rapport avec la gestion qui s’en est suivie.<br /> <br /> Suite à des incompréhensions entre les services de l’Etat Mr JP Nsapu Mpandi et depuis avril 2016, ce dernier ressortissant du village Kamuina Nsapu, Groupement Bajila Kasanga, Secteur de Dibatayi, Territoire de Dibaya, Province du Kasaï Central, a levé une milice, qui s’est illustrée par des actes d’hostilité au pouvoir par la mise à sac des symboles de l’Etat, le recrutement d’enfants mineurs d’âge, l’érection de barrières, les fouilles systématiques des passants, l’insurrection armée contre les forces de l’ordre, etc.<br /> <br /> Après avoir sévi dans le secteur de Dibatayi et dans le Territoire de Dibaya, ce mouvement s’est étendu aux Territoires voisins de Tshikapa en Province du Kasaï et à Kabeya Kamwanga et Miabi au Kasaï Oriental, en semant inutilement mort et désolation, jusqu’à atteindre Muene-Ditu au Lomami.<br /> <br /> Dans le cadre de la recherche des solutions, il a été fait recours à :<br /> <br /> Des missions de bons offices ;<br /> Le rétablissement de l’ordre public par la police et l’Armée, suite à des attaques à mains armées, avec des armes de guerre et des armes de chasse ;<br /> Des arrestations de miliciens et autres chefs de bandes ou seigneurs de guerre ;<br /> J’ai aussi organisé récemment des rencontres avec la notabilité du Kasaï (a. Députés nationaux et Sénateurs b. Députés provinciaux et Gouverneurs de province c. membres du Gouvernement central, Notables et Chefs coutumiers).<br /> Il a été noté le développement tentaculaire du phénomène, qui depuis lors a pris plusieurs visages comprenant :<br /> <br /> Kamuina Nsapu original constitué des adeptes initiés de Kamuina Nsapu lui-même ;<br /> Kamuina Nsapu des bandits et des criminels ainsi que d’autres repris de justice recourant à des pratiques magiques (Tshizaba) pour se rendre invulnérables ;<br /> Kamuina Nsapu culturel des prétendants malheureux à la succession à divers postes du pouvoir coutumier des Groupements voisins ;<br /> Kamuina Nsapu politique constitué des opérateurs politiques récupérant ce phénomène comme fonds de commerce en remettant argent et autres pièces de violence à ces jeunes gens.<br /> A ce jour, la situation dans le Kasaï-Oriental et le Kasaï est maîtrisée et est donc sous contrôle, peut- on croire le Chef de l’Exécutif Provincial pour.<br /> <br /> Par contre, au Kasaï-Central, la récupération politicienne du phénomène « Kamuina Nsapu » est telle que toute la Province dans tous les 05 Territoires et la Ville de Kananga connait presque chaque jour des provocations de ces jeunes drogués et instrumentalisés.<br /> <br /> A ce stade, plusieurs armes de guerre sont détenues par cette milice de « Kamuina » à plusieurs facettes.<br /> <br /> Après les contacts pris avec différents acteurs ici à Kinshasa, nous envisageons des solutions politiques, coutumières et humanitaires sur terrain, et militaires si les armes ne sont pas rendues de manière pacifique en vue d’une paix durable dans cette partie du Territoire National.<br /> <br /> C’est ici l’occasion d’évoquer les images qui circulent sur les réseaux sociaux et qui présentent des atrocités attribuées aux FARDC engagées contre les miliciens opérant sous le label de Kamuina Nsapu. Le Ministre de Communication et Médias a déjà publié un communiqué faisant le point sur ce film manifestement monté pour discréditer nos Forces armées et discréditer le Gouvernement de la République.<br /> <br /> Depuis les opérations engagées dans le secteur le 21 décembre 2017, il aura fallu près d’un mois pour concocter ce lynchage médiatique, dont certains opérateurs politiques font aujourd’hui leurs choux gras, à travers des communiqués tonitruants, dans lesquels ils livrent aux gémonies le Gouvernement.<br /> <br /> Sans céder à l’hystérie, le Gouvernement continuera sa politique de gestion responsable de tous les incidents sécuritaires, à travers des mécanismes appropriés, notamment ceux qui font appel à des enquêtes administratives et judiciaires.<br /> <br /> Le conflit entre les communautés Bantu Balubakat et les Pygmées dans la Province du Tanganyika<br /> Dans la Province du Tanganyika, tout comme ailleurs à travers le territoire national, les communautés Pygmées et celles Bantu ont toujours vécu en harmonie et de manière complémentaire. Mais, depuis ces dernières années, à Mambasa comme à Nyunzu, des Ong, qui prétendent militer pour la cohabitation pacifique entre les peuples de la RDC, sont passées distiller la haine entre les Bantu et les Pygmées, en prônant, un processus d’émancipation violente et empreinte d’intolérance.<br /> <br /> C’est ce qui s’est passé dans le Tanganyika et qui se solde aujourd’hui à travers le développement d’une haine sans pareille entre Bantu et Pygmées<br /> <br /> Les affrontements entre ces deux communautés ont surgi dans un contexte marqué par la réduction des opportunités économiques, du fait de la surexploitation de la pêche et de la chasse, pendant les guerres qui ont endeuillé la région. Des pygmées, appelés depuis PERCI (personnel civil), avaient appuyé nos Forces armées contre les envahisseurs, puis contre les seigneurs de guerre. Après le retour de la paix, certains Bantu voulaient les maintenir en état d’infériorité n’ont pas compris que les temps avaient changé et qu’il fallait accéder à certaines demandes d’émancipation formulées par ces compatriotes.<br /> <br /> Quelles sont les causes de cette déflagration communautaire ?<br /> <br /> 1° Réclamation des terres propres aux « pygmées » ;<br /> <br /> 2° Nomination de leurs propres Chefs de Groupements et des Secteurs ainsi que des Administrateurs des Territoires. Bref, un élan d’émancipation ;<br /> <br /> 3° Construction des infrastructures de base (écoles et hôpitaux propres à eux) ;<br /> <br /> 4° Réclamation sans délai de mariages mixtes par les « Pygmées » d’épouser les filles « bantu » comme ceux-ci épousent les leurs.<br /> <br /> Conséquences de ces troubles et dispositions urgentes<br /> Au moment où notre pays est résolument engagé sur la voie de l’organisation des élections, par la CENI, les provinces touchées par des troubles graves subissent aussi des perturbations majeures qui compromettent les opérations d’enrôlement des électeurs. Des masses de déplacées ne peuvent pas s’enrôler ou vont s’enrôler dans des circonscriptions autres que celles de leurs lieux de résidence habituelle. La situation se normalise de plus en plus à Nyunzu, Manono et Kabalo pendant que des efforts sont en cours par le rétablissement total de l’ordre public à Moba, alors que la Province organise un grand forum d’ici le mardi prochain (le 22 février 2017) pour régler ces conflits intercommunautaires.<br /> <br /> Mesdames et Messieurs de la Presse,<br /> <br /> Le gouvernement de la République est pleinement conscient d’une chose, à savoir que les premières solutions durables à ces problèmes sont d’abord de type politique et communautaire. C’est pourquoi nous privilégions à Kinshasa, au Tanganyika, dans l’espace kasaïen et dans le Kongo Central, les rencontres avec la notabilité, les forums intercommunautaires.<br /> <br /> Les solutions de type militaire ou policier constituent seulement des appuis pour la sauvegarde d’un climat propice à la concertation et au dialogue. De même, les solutions judiciaires sont appelées au secours pour garantir la justice et la paix.<br /> <br /> Mesdames et Messieurs de la Presse,<br /> <br /> Mais pour le moment, les espoirs pour une solution pacifique dans l’espace Kasaïen reposent sur l’implication des originaires et à la conscientisation des tireurs des ficelles bien identifiés qui rencontreront la justice sur leur chemin s’ils ne renoncent pas à leur entreprise macabre.<br /> <br /> Quant au cas de Ne Muanda N’semi à ce jour, retranché dans sa résidence de Ma Campagne dans la Commune de Ngaliema, les forces de l’ordre lui donnent encore la chance de se rendre pour éviter les dégâts et se mettre à la disposition de la Justice pour répondre de ses actes.<br /> <br /> Pour le Tanganyika, le Gouvernement entend organiser dans les jours qui viennent, une rencontre de deux communautés pour analyser les revendications des uns et des autres et envisager les pistes de solution susceptibles de réinstaurer la paix durable entre les deux communautés. C’est la raison de la convocation du forum qui s’ouvre la semaine prochaine à Kalemie.<br /> <br /> Mesdames et Messieurs de la Presse,<br /> <br /> Si j’avais déjà évoqué la circulation sur les réseaux du film accusant les Farces de crimes atroces, je ne saurais clore cette communication sans évoquer les actes de vandalisme perpétrés ce matin dans la paroisse saint Dominique dans la Commune Limete/Ville de Kinshasa. Une horde d’une vingtaine de personnes, prétendument militants de l’UDPS, ont fait irruption dans cette paroisse vers 5h du matin et ont profané le tabernacle et tout saccagé : l’hôtel, la statue de la Vierge Marie et les bancs. Ils ont ainsi mis en exécution les menaces proférées depuis la veille contre les installations et édifices de l’Eglise catholique, en citant nommément les églises et les écoles.<br /> <br /> Des incidents similaires venaient d’avoir lieu, hier samedi 18 février 2017, au Grand Séminaire Malole de Kananga dans le Kasaï Central. Les miliciens Kamuina, qui avaient occupé cet établissement d’enseignement supérieur, ont saccagé les installations, brûlés les biens des formateurs. Il a fallu une action forte de l’armée pour les en déloger. Nous condamnons avec la dernière énergie tous ces actes barbares contraires aux principes démocratiques.<br /> <br /> Nous sommes pleinement conscients de la gravité de la situation et nous n’entendons pas se faire distraire par la fausse compassion des tireurs de ficelles, nous connaissons bel et bien tous les opérateurs politiques et autres qui s’activent à instrumentaliser les conflits communautaires. Ils auront à répondre de leurs forfaits le moment venu ; car, comme dit la sagesse ancestrale, l’oiseau a oublié le piège, mais le piège se souvient de l’oiseau.<br /> <br /> Je ne saurais non plus terminer mes propos sans exhorter au 4e pouvoir qui est la presse, surtout la presse nationale qui maîtrise mieux nos problèmes, de jouer son rôle, d’apporter sa contribution dans toutes ses questions nationales qui nous intéressent tous. J’exhorte dans ma vision d’aborder les questions publiques, j’exhorte la presse congolaise qui est organisée, avec la collaboration du Ministre des Médias de réfléchir sur un thème simple : « comment communiquer pour amener la paix dans cette partie du Territoire National ». Votre réflexion aiderait le pouvoir public et nous aiderait tous à éviter d’autres victimes.<br /> <br /> Merci de votre aimable attention.<br /> <br /> Encore une fois merci.

Politique Ne Muanda Nsemi, Kamuina Nsapu, conflits Batwa – Bantu. Emmanuel Ramazani Shadary : ‘’la situation sécuritaire est sous contrôle!

«Le Gouvernement de la République Démocratique est pleinement conscient que les premières solutions durables aux problèmes sécuritaires ...

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Blocage des arrangements Particuliers : la Majorité accuse le Rassemblement !

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimAuj-9RCP6TmRKUqVZSZgn8BahnopgzaKDNB11ssWd8PTASvb29GwToH6bgG1rgnH6uMRJIFEpbH135kMdtPQFW1vkMPdga4W86FcbiKx3Nufb5TcLTRWylYqXxH2cfXhlD08Xs6_nX4q/s1600/Snapshot_1303.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimAuj-9RCP6TmRKUqVZSZgn8BahnopgzaKDNB11ssWd8PTASvb29GwToH6bgG1rgnH6uMRJIFEpbH135kMdtPQFW1vkMPdga4W86FcbiKx3Nufb5TcLTRWylYqXxH2cfXhlD08Xs6_nX4q/s400/Snapshot_1303.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> *La Majorité compte sur le Rassemblement pour débloquer le processus. Elle l’a dit, vendredi dernier, lors d’un point de presse, en marge dans une déclaration politique. Adolphe Lumanu Mulenda Bwana N’sefu qui en a fait la lecture, était entouré de plusieurs têtes couronnées de la Majorité dont Atundu Liongo et consorts. Ici, il ne s’agit plus de discuter mais d’agir, pense la Majorité qui attend du Rassemblement, la liste de plus ou moins trois noms de candidats au poste de Premier Ministre ainsi qu’un nom du candidat à la Présidence du Conseil National de Suivi en remplacement du leader des leaders, le Patriarche Etienne Tshisekedi wa Mulumba, décédé, depuis le 1er février, à la Clinique Sainte Elisabeth à Bruxelles et dont la date du rapatriement de sa dépouille mortelle à Kinshasa et le lieu d’inhumation, ne sont pas encore connus. Bien plus, la famille de Tshisekedi, depuis Bruxelles, exigeaient, lundi 13 février, l’autopsie, l’érection d’un mausolée à une place importante et les garanties de sécurité, avant tout rapatriement.<br /> <br /> Pas question de gêner le fonctionnement harmonieux de l’ordre institutionnel établi, ni de tordre le coup au pouvoir discrétionnaire du Chef de l’Etat. La Majorité Présidentielle, tout en réitérant son soutien à la mission de bons offices des Evêques, parle de concessions majeures en ce qui concerne le profil, le mode désignation et la nomination du futur Premier Ministre.<br /> <br /> Pour elle, en effet, de dix noms de candidats exigés au départ, elle en est arrivée jusqu’à trois à proposer au Président de la République pour nomination. Si le Rassemblement y répond rapidement, cela pourrait permettre de faire avancer le processus de mise en application de l’Accord de la CENCO.<br /> <br /> Agir autrement, soutient la Majorité, dans sa déclaration politique, ce serait la meilleure façon de violer l’article 78 de la Constitution. <br /> <br /> Succession de Tshisekedi<br /> <br /> Elle a évoqué aussi la problématique du remplacement de M. Etienne Tshisekedi wa Mulumba, à la tête du Conseil National de Suivi de l’Accord du 31 décembre 2016. Très tranchante, dans sa démarche explicative, la Majorité rappelle que la Présidence du CNSA avait été attribuée à Etienne Tshisekedi wa Mulumba de façon intuitu personnae, en vertu de sa carrure politique et de son âge et non, comme certains le croient, au Rassemblement.<br /> <br /> D’où, pour la Majorité, un consensus devrait être dégagé sur le candidat à proposer au remplacement du Patriarche Etienne Tshisekedi à la tête du CNSA. Agir autrement, prévient-elle, consacrerait la violation du principe de la gestion consensuelle des Institutions pendant la période préélectorale et électorale, tel qu’il avait été convenu, lors des discussions directes au Centre Interdiocésain, à la Gombe, sous la barbe des Evêques.<br /> <br /> Appel au Rassemblement<br /> A ce stade de l’évolution des pourparlers, la Majorité Présidentielle estime qu’elle n’a aucun autre acte à poser, si ce n’est d’attendre que le Rassemblement présente la liste de candidats Premier Ministre, trois au maximum et un candidat Président du CNSA à accepter consensuellement.<br /> <br /> Consensus<br /> <br /> Pour ce qui est du gouvernement au niveau national, elle précise que les questions sur la nomenclature des ministères et les quotas réservés aux parties prenantes, ont déjà fait l’objet d’un large consensus.<br /> <br /> Ainsi, le prochain gouvernement comprendra, au total, 53 membres dont 45 Ministres et 8 Vice-Ministres. La répartition retenue, en définitive, prévoie 17 Ministres et 3 Vice-Ministres à la Majorité Présidentielle ; 12 Ministres et 3 Vice-Ministres au Rassemblement ; 8 Ministres et 2 Vice-Ministres pour l’Opposition, 2 Ministres pour l’Opposition Républicaine et, enfin, 2 Ministres à la Société civile.

Politique Blocage des arrangements Particuliers : la Majorité accuse le Rassemblement !

*La Majorité compte sur le Rassemblement pour débloquer le processus. Elle l’a dit, vendredi dernier, lors d’un point de presse, en marge...

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Fils politique de Tshisekedi. Rassemblement : Lisanga Bonganga plébiscité pour le CNSA

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghPUf7k2EXMP2EJIDZbpyF3r5Oa0GK5r_85wRlTr9TiDEC1h1RE_780gdbwlM94JZg_ekR27oT27auQpYKyx9eBgbEXWkYss_nKHSch3zAN3NT3UVmE1RaoYyCAaqSvkFovUhwusZnxcUT/s1600/Snapshot_1302.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghPUf7k2EXMP2EJIDZbpyF3r5Oa0GK5r_85wRlTr9TiDEC1h1RE_780gdbwlM94JZg_ekR27oT27auQpYKyx9eBgbEXWkYss_nKHSch3zAN3NT3UVmE1RaoYyCAaqSvkFovUhwusZnxcUT/s400/Snapshot_1302.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> <br /> <br /> <br /> Qui remplacera le lider maximo à la tête du Conseil National de Suivi de l’Accord ? L’interrogation taraude les esprits tant au sein du Rassemblement, plateforme censée donner l’heureux élu, que dans l’opinion. Au nombre de personnalités pouvant prendre les commandes, figure Lisanga Bonganga, renseignent des sources qui, au passage, disent qu’il serait en bonne position. Un des rejetons politiques du Sphinx de Limete, l’homme serait de plus motivé à assurer cette lourde tâche pour veiller au respect strict de l’Accord politique de la Saint Sylvestre durant la transition. Coordonnateur de la structure les Alliés d’Etienne Tshisekedi, Lisanga Bonganga a été au front toutes ces dernières années pour un dialogue vrai entre, d’une part, le pouvoir avec Kabila au devant et, d’autre part, l’Opposition menée par Feu Etienne Tshisekedi. Loin d’être le candidat idéal absolu, ses proches confient qu’il a les épaules et le package des qualités requises. Comme l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social -UDPS- ne peut présenter quelqu’un au CNSA parce que ce parti a déjà la Primature, nommer un fervent défenseur de Tshisekedi au CNSA serait vu comme un radieux hommage, est-il assuré.<br /> <br /> Le départ du Sphinx de Limete laisse un trou immense dans une classe politique congolaise empêtrée dans des discussions directes sous les hospices de la CENCO pour décanter l’impasse en RDC. Le problème de la succession de l’opposant historique se pose vu la place centrale qu’il occupait. Qui le succède à l’UDPS, qui au Rassemblement et, enfin, qui devrait prendre sa place au Conseil National de Suivi de l’Accord ? L’oiseau rare pour la dernière serait en voie d’être trouvé. Et, ce ne serait personne d’autres qu’un enfant des entrailles politiques de Tshisekedi. Il s’agit de Jean-Pierre Lisanga Bonganga, Coordonnateur du Front Populaire et figure de proue des Alliés de Tshisekedi.<br /> <br /> Un homme toujours au front<br /> <br /> Un des politiques ayant pressentis la non organisation des élections en 2016 et étant convaincu que les élections de 2011 ont été entachées d’irrégularités, Lisanga Bonganga est de ceux qui ont prôné la tenue d’un dialogue fondateur en RDC. C’est dans cet esprit qu’il a milité dès la venue de l’Accord cadre d’Addis-Abeba pour que les congolais se parlent franchement autour d’une table pour aplanir les vues. Convaincu que Tshisekedi Wa Mulumba Etienne était le leader naturel de l’Opposition, c’est derrière lui qu’il s’aligne afin que ce dernier soit, véritablement, l’interface pour le pouvoir. C’est pour cette raison qu’il a eu, avec joie, à intégrer le Rassemblement des forces politiques et social acquises au changement dont il est un des membres du Conseil des Sages. Des bruits des couloirs rapportent que Lisanga est apte à s’asseoir à la présidence du Conseil National de Suivi de l’Accord. Toutefois il faut dire que les tractations au sujet du remplacement de l’opposant historique au Conseil National de Suivi de l’Accord est une question qui fait encore débat au dialogue du Centre Interdiocésain. La Majorité Présidentielle estime que le poste a été attribué à Tshisekedi personnellement. Mais, l’Opposition politique dans sa globalité estime que la MP est de mauvaise foi parce que il est noir sur blanc écris dans l’Accord que la Présidence du CNSA est assuré par le Président du Conseil des Sages du Rassemblement. Et, à ce jour, la décision de désigner un successeur au lider maximo revient à cet organe suprême du Rassemblement. Lisanga Bonganga Va-t-il être désigné ? Qui vivra, verra.<br /> <br />

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Muanda Nsemi ARRÊTÉ par KABILA?, ODON MBO TRES FÂCHÉ , LES ERREURS DE FELIX TSHISEKEDI ET LA CENCO. (vidéo)

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Muanda Nsemi ARRETÉ Par KABILA?, ODON MBO TRES FÂCHÉ , L' ERREURS DE FELIX TSHISEKEDI ET LA CENCO. (vidéo)

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