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Suite à la pluie de mercredi dernier à Kinshasa , Gentiny Ngobila au chevet des victimes à Lemba et Debohomme

March 26, 2021

La pluie diluvienne, qui s’est abattue sur la ville de Kinshasa, dans la soirée du mercredi 24 mars a, une fois de plus, causé des dégâts. A Lemba, sur l’avenue Lunguvu, une femme d’une trentaine d’années, mère de trois enfants, est décédée, à la suite de l’affaissement d’une partie de sa maison. Au camp Kabila, ex Camp Mobutu, une dizaine de familles ont vu leurs maisons inondées. Sur l’avenue de la Paix, du côté du quartier Debonhomme, un trou béant a coupé la route en deux. Informé de ces drames, le gouverneur de la ville, Gentiny Ngobila, a fait la ronde de ces différents sites hier jeudi 25 mars, afin d’évaluer les dommages causés. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjIG-kKjat2E3JXiiDGVAjjgVOOQuQIMkAcqU8huYoymcD25QeXNHUEX430xAnXtozMNXBT4-j_BZhfgyOM1byttRu-pLnKck2_Fw2n1Kpw39E2Wb6MB8ctNF0CxAaC46-OIBf0p8avNw/s1408/arton30281.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1056" data-original-width="1408" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjIG-kKjat2E3JXiiDGVAjjgVOOQuQIMkAcqU8huYoymcD25QeXNHUEX430xAnXtozMNXBT4-j_BZhfgyOM1byttRu-pLnKck2_Fw2n1Kpw39E2Wb6MB8ctNF0CxAaC46-OIBf0p8avNw/w640-h480/arton30281.jpg" width="640" /></a></div> L’autorité urbaine s’est rendue de prime abord à Lemba. Il est allé rencontrer la famille de Lydie Kimoni, la jeune femme décédée suite à l’effondrement d’une partie de sa salle de séjour. Gentiny Ngobila s’est dit consterné face à cette mort tragique qui aurait pu être évitée si les plans d’urbanisation étaient respectés.«Les gens ont construit de façon anarchique. Ils ont même bâti sur le lit majeur de la rivière Kalamu. Il y a des habitations dont la fondation repose sur des collecteurs d’eau, des caniveaux et avaloirs. Ce qui empêche les eaux de pluie d’évacuer vers la rivière. C’est le cas de cette maison où le drame s’est produit», a déploré le gouverneur.
 
 
 
 
 
 
 
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 "Cette maison est construite sur un collecteur d’eau. Usé par le temps, ce collecteur est devenu défectueux. Il a ainsi a cédé sous le poids de l’habitation. D'où,l’affaissement d’une partie de cette résidence", a-t-il expliqué."Parfois, les Kinois rencontrent des incidents suite à leur manque de civisme. Avec des constructions sur le lit des rivières de la capitale, il devient difficile de faire des travaux de curage, car les cours d’eau ont rétréci. Il n’y a pas d’engins adapté pour effectuer les travaux nécessaires".VITE, DES DECISIONS IMPOPULAIRES"Comme piste de solution pour mettre fin à ces drames, le gouverneur estime qu’il est essentiel de prendre des décisions impopulaires. Il a, par ailleurs, indiqué qu’une commission sera bientôt mise sur pied pour travailler sur le problème. Certes, en collaboration avec la présidence de la République", fait remarquer un proche du Gouverneur.Selon les témoignages recueillis sur place, l’accident s’est produit aux environs de 21 heures. Deux enfants ont pu être sauvés in extremis.PLUS DE SACHETS PLASTIQUES DES LA SEMAINE PROCHAINEDe là, le gouverneur est allé au camp Kabila, où la pluie a causé des dégâts matériels. Sur ce site, du côté appelé Bel air, plusieurs familles ont perdu leurs biens suite à des inondations.Difficile de se frayer un chemin entre ces maisons construites avec des tôles entourées de boue. Quelques-uns ont sorti leurs habits et autres biens pour les sécher, tandis que d’autres, selon un habitant, ont précipitamment quitté les lieux vers une autre destination.Toujours dans ce camp, du côté PIR, ces habitations de fortune ont cédé sous l’averse, laissant des familles sans abri.
 
 
 
 
 
 
 
 
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 Sur l’avenue de la Paix, le constat est également amer. La chaussée s’est effondrée au niveau de son croissement avec la 16ème rue, au quartier Debonhomme, créant un grand trou.Face à ces situations, le chef de l’Exécutif provincial a rappelé que l’arrêté sur la vente et la production des sachets plastiques sera à nouveau de stricte application, et ce dès la semaine prochaine. «Les sachets polluent notre écosystème, ce qui rend parfois difficiles les travaux des infrastructures. Et jeter les immondices sur les routes n’arrangent pas les choses», a martelé Gentiny Ngobila.

Société Suite à la pluie de mercredi dernier à Kinshasa , Gentiny Ngobila au chevet des victimes à Lemba et Debohomme

La pluie diluvienne, qui s’est abattue sur la ville de Kinshasa, dans la soirée du mercredi 24 mars a, une fois de plus, causé des dégâts. A...

Les confessions religieuses tournent définitivement le dos aux reformes électorales!

March 26, 2021

C’est difficilement compréhensible, ce qui se passe à ce jour dans les huit confessions religieuses, entres autres les catholiques (CENCO), les protestants (ECC), les musulmans (COMICO), l’Eglise orthodoxe, les kimbanguistes, le comité des Eglises du réveil etc. qui ont ouvert la boite de Pandore en ouvrant les candidatures pour le poste du Président de la CENI. Avant les réformes électorales, comme elles l’avaient toutes promis, la main sur le cœur aux Congolais. C’était après leur division consécutive à la désignation de Ronsard Malonda où elles se regardaient en chiens de faïence. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgwm8HNEnTezDhsaiTFhh3-qZK486DwcFNKrG9GYmw7DJbn05gHV9HJNQQKLd9oVg2c6R8Tvytxmb55tjo9aM9mS0QOi5FoU_0JUfQyyVgEouYs4Ww2zh0okoLxicbO9qq_h_Y_q-0ykw/s1080/IMG-20200420-WA0138.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="715" data-original-width="1080" height="424" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgwm8HNEnTezDhsaiTFhh3-qZK486DwcFNKrG9GYmw7DJbn05gHV9HJNQQKLd9oVg2c6R8Tvytxmb55tjo9aM9mS0QOi5FoU_0JUfQyyVgEouYs4Ww2zh0okoLxicbO9qq_h_Y_q-0ykw/w640-h424/IMG-20200420-WA0138.jpg" width="640" /></a></div> Après plusieurs morts suite à des marches de colère de la population de la capitale et de l’arrière-pays contre la désignation qualifiée de cavalière de Ronsard Malonda comme Président de la CENI par le Bureau-Mabunda de l’Assemblée nationale, puis recalée par le chef de l’Etat lui-même qui n’a pas signé l’Ordonnance d’investiture, c’est sous profil bas que les quatre confessions religieuses au-devant desquelles les catholiques, donc la CENCO, l’ECC, la COMICO, les orthodoxes ont juré sur le sang des Congolais qu’ils veilleraient au grain pour que jamais la mise en place du Bureau de la CENI ne vienne avant les réformes électorales qui sont, disaient-ils, impérieuses.
 
 
 
 
 
 
 
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 Aujourd’hui les huit confessions religieuses parmi lesquels les Pères-Evêques de la CENCO font exactement le contraire. Ils sont en train de faire le recrutement des candidats-Président de la CENI. Avec quelle loi ? Celle-là même qui ne garantit pas l’indépendance de cette centrale électorale face aux forces politiques et qui, en plus, a conduit aux élections chaotiques des cycles électoraux de 2006, 2011 et 2018. Le denier cas en date est celui de Martin Fayulu Madidi de LAMUKA qui continue jusqu’à ce jour à se considérer comme le seul Président de la République élu et légitime.Est-ce à ce scénario apocalyptique déjà expérimenté en 2011 avec Etienne Tshisekedi Wa Mulumba de l’UDPS qui s’était autoproclamé Président de la République "élu, légal et légitime" jusqu’à sa mort, que les huit confessions religieuses veulent conduire le pays en plaçant la charrue avant les bœufs. Ils disent que la constitution du Bureau de la CENI aujourd’hui est dictée par leur détermination à éviter tout glissement de la mandature et qu’elle peut se faire simultanément avec la révision de la loi sur la CENI.Mais cet argument, comme on va le démontrer est très peu convaincant. Il y a une dichotomie mais que les huit confessions religieuses ne notent pas. C’est celle qui établit que la désignation du seul Président de la Centrale électorale en cours se fait sur base de l’actuelle loi sur la CENI alors que pour les autres membres se seraient par rapport à une autre loi issue de la réforme.Comment peut-on avoir dans un Bureau d’une Institution de l’Etat des membres désignés conformément à deux lois? Non les huit confessions religieuses doivent courageusement changer le fusil d’épaule. Arrêter immédiatement ce que d’aucuns considèrent comme l’anarchie à laquelle elles sont en train de se livrer avec leur appel à candidature uniquement pour le poste de Président de la CENI et, en conséquence attendre la nouvelle loi sur la CENI que le Parlement peut adopter en mode d’urgence.On peut rappeler qu’il y a trois propositions de loi sur la CENI, la première qui est celle du député Christophe Lutundula Apala Pene Apala, la deuxième de Martin Fayulu Madidi de LAMUKA et la troisième du G13. Les huit confessions religieuses qui sont impliquées dans la désignation des membres du Bureau de la CENI devraient se donner la peine de lire ces deux propositions de loi. Si elles les avaient lues, elles se rendraient compte que celle de Martin Fayulu Madidi de LAMUKA est des plus intéressantes de toutes. En ce qu’elle dépolitise totalement la CENI qui sera contrôlée par la seule Société civile.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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 En ce qui concerne le Président, il est désigné par les huit confessions religieuses dont chacune exerce le leadership pour trois mois seulement. Les autres fonctions sont attribuées à la Société civile selon leur domaine d’activité. Ici, pas de place aux acteurs politiques qui viennent remettre en cause la neutralite de la CENI tandis que la proposition de loi de Lutundula Apala Pene Apala laisse au Bureau de la CENI les représentants des partis politiques.Comme on le voit, il y a lieu de mettre les deux propositions de loi sur la table pour ne privilégier que les dispositions qui assurent l’indépendance de la centrale électorale.

Politique Société Les confessions religieuses tournent définitivement le dos aux reformes électorales!

C’est difficilement compréhensible, ce qui se passe à ce jour dans les huit confessions religieuses, entres autres les catholiques (CENCO), ...

Affaire Kalev Mutond: Si l'Etat éclairait l'opinion?

March 26, 2021

La kyrielle de plaintes se rapportent à la période où l’accusé était au service du pays et n’agissait donc pas en son nom personnel, précisent les avocats de l’ancien patron de l’ANR.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhaU9wIqfHDTHcWs9_Lc4AgepkGMjRLaUXgn2iskP7nBIJmBolbGjm43Nyeoa9piAqoV1FCvWCYtWPJmPuw0vSKNmQ9MHvNrhG3D24MlzEwM8pj7sVbjVE3hnNfYAovyymeI-U7NLTpEg/s700/Kalev-Mutond-1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="375" data-original-width="700" height="342" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhaU9wIqfHDTHcWs9_Lc4AgepkGMjRLaUXgn2iskP7nBIJmBolbGjm43Nyeoa9piAqoV1FCvWCYtWPJmPuw0vSKNmQ9MHvNrhG3D24MlzEwM8pj7sVbjVE3hnNfYAovyymeI-U7NLTpEg/w640-h342/Kalev-Mutond-1.jpg" width="640" /></a></div> Quid du dossier Kalev ? Quelle suite réservée à la démarche de ses avocats en rapport avec l’annulation du mandat d’amener et de l’avis de recherche ? Comment qualifier les actes posés par l’accusé durant l’exercice de ses fonctions ? Quelle appréciation la justice donne-t-elle de la dénonciation par le collectif d’avocats de la « violation de la Constitution et des lois de la République » ? Autant de questions qui amènent certains observateurs à se demander si l’Etat au service duquel était Kalev Mutond ne devrait pas fixer l’opinion.
 
 
 
 
 
 
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 Pendant ce temps, les avocats de Kalev Mutond ne chôment pas. Confiants en la Justice de leur pays et en l’idéal de l’Etat de droit, ils continuent à plaider pour l’annulation du mandat d’amener et l’avis de recherche contre leur client. Le collectif d’avocats ne se prive pas non plus de relever systématiquement ce qu’il considère comme «violations de la Constitution et lois de la République». Ils ont saisi à ce sujet notamment le Procureur général près la Cour constitutionnelle et Président du Conseil supérieur de la magistrature. Pour sa part, l’ancien patron des Services n’a de cesse de clamer, via ses différentes correspondances, qu’il entend se présenter à l’office du procureur général en homme libre. L’administrateur général honoraire de l’ANR se fait un point d’honneur de défendre l’image et l’honneur du service public qu’il a dirigé de 2011 à 2019. C’est ce qui ressort de ses lettres adressées au Procureur général près la cour de cassation. En filigrane de ce qu’il est convenu d’appeler «Affaire Kalev», une question taraude cependant les observateurs. A savoir, la qualité de l’accusé au moment des faits. Porte-t-on plainte à l’administrateur général de l’ANR d’alors ou à, l’individu Kalev Mutond? Interrogation que certains observateurs et professionnels des renseignements estiment centrale. Etant donné qu’à leurs yeux, Kalev n’a jamais agi autrement que comme agent de l’Etat. Les tenants de cette dialectique en viennent à se demander si l’Etat devrait éclairer l’opinion sur la kyrielle de plaintes contre l’un de des anciens serviteurs.
 
 
 
 
 
 
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 Ci-dessous, les principales correspondances du Cabinet Bâtonnier Mbere Moba & Associés qui résument la démarche de l'ancien n°1 de l'ANR. <h1 style="text-align: left;"> </h1>

Justice Politique Affaire Kalev Mutond: Si l'Etat éclairait l'opinion?

La kyrielle de plaintes se rapportent à la période où l’accusé était au service du pays et n’agissait donc pas en son nom personnel, précise...

Gouvernement Sama Lukonde : le FCC non partant!

March 26, 2021

Le Front commun pour le Congo (FCC) ne participera pas au gouvernement du Premier ministre Sama Lukonde, à qui il souhaite cependant bonne chance dans l’intérêt du peuple congolais. La famille politique de l’ancien président Joseph Kabila a fait cette déclaration dans un communiqué publié hier jeudi 25 mars et signé par Raymond Tshibanda N’Tungamulongo, président de la cellule de crise de la plateforme kabiliste. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhg9ft-W2e17UjPsdetZ3exF0WdcHr0KG_3anWwh0YRBRl_vkjNguUQVy_j_E9j9U3K6XdgNPdYantMcScin1zfv6OEDEGOgVE2DebQqnnTDS1YOWAPjMARxIHwRQ_889bQ397AfurDpw/s640/tshibanda-640x320-1460129777+%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="640" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhg9ft-W2e17UjPsdetZ3exF0WdcHr0KG_3anWwh0YRBRl_vkjNguUQVy_j_E9j9U3K6XdgNPdYantMcScin1zfv6OEDEGOgVE2DebQqnnTDS1YOWAPjMARxIHwRQ_889bQ397AfurDpw/w640-h320/tshibanda-640x320-1460129777+%25281%2529.jpg" width="640" /></a></div> «Ceux d’entre les membres du FCC qui, tentés par la course au partage des postes illégitimes, se retrouveront dans ce gouvernement, le seront donc en contradiction avec les valeurs et options de la famille FCC», souligne Raymond Tshibanda.
 
 
 
 
 
 
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 Pour le Front commun pour le Congo, on est face à un «déni systématique de la constitution, des lois et des règlements qui régissent la gouvernance politique du pays». La plateforme kabiliste parle d’un ancrage dans l’illégalité et d’un mépris «manifeste» à l’égard de la constitution Rd congolaise.Il faut rappeler que début février dernier, dans des termes presque identiques, les sénateurs du FCC, par la voix de leur porte-parole, le Sénateur Chikez Diemu, avaient condamné «le recul démocratique constaté dans les institutions du pays». Ils en voulaient pour preuve la convocation illégale, selon eux, d’une plénière au Sénat par le secrétaire général le 4 février dernier.
 
 
 
 
 
 
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 Tout en n’excluant pas des prérogatives constitutionnelles que l’article 64 confère au peuple congolais, ces sénateurs avaient interpelé le chef de l’État à ce sujet.Se considérant comme gardien des acquis démocratiques et d’une transition pacifique légués aux Congolais de toutes tendances, le FCC, - en tout cas ce qu’il en reste après la transhumance -, fort de ses convictions idéologiques, continue le combat pour la démocratie et la liberté. A l’instar de ce village d’irréductibles Gaulois.

Politique Gouvernement Sama Lukonde : le FCC non partant!

Le Front commun pour le Congo (FCC) ne participera pas au gouvernement du Premier ministre Sama Lukonde, à qui il souhaite cependant bonne c...

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