BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Coupe du Monde 2014: les Brésiliens regrettent l'hymne de Shakira ( Article + vidéo)

June 12, 2014

<span style="background-color: white; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;">A l'approche de la Coupe du Monde 2014, l'hymne officiel est loin de faire l'unanimité au Brésil. Un hashtag demande même le retour de la chanson </span><em style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;">Waka Waka</em><span style="background-color: white; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;"> de Shakira. </span><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;"><br /></span><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiImYeT3SL2N-LHsHYcNAvZf1xPZld_Oe4NceaNtADc8DFDCiF8S7o5tgtXA6hS39He4REtaIlQCxhe-rvwPdHitEoJRdMkIljaenRCZf_zAzGwmR8oI1jGr9fwY8LC1B-_ebxwPqI0Yy4/s1600/shakira-waka-waka_4907749.jpg" imageanchor="1"><img border="0" height="283" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiImYeT3SL2N-LHsHYcNAvZf1xPZld_Oe4NceaNtADc8DFDCiF8S7o5tgtXA6hS39He4REtaIlQCxhe-rvwPdHitEoJRdMkIljaenRCZf_zAzGwmR8oI1jGr9fwY8LC1B-_ebxwPqI0Yy4/s320/shakira-waka-waka_4907749.jpg" width="640" /></a>

L'hymne de la Coupe du Monde 2014 divise au Brésil, contrairement à "Waka, Waka" de Shakira en 2010.
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<span style="background-color: white; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;">L'hymne officiel pour la </span>Coupe du Monde 2014<span style="background-color: white; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;"> déplaît aux Brésiliens. Le clip de "</span><a href="https://www.youtube.com/watch?v=9W3sWiZ-iO8&feature=kp" style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; text-decoration: none;" target="_blank">We are one (Ole ola)</a><span style="background-color: white; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;">", choisi par la </span><a href="http://fr.fifa.com/" style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; text-decoration: none;" target="_blank">FIFA</a><span style="background-color: white; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;">, divise.  </span><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;"><br /></span><br />
<span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;"><br /></span>

Sport Coupe du Monde 2014: les Brésiliens regrettent l'hymne de Shakira ( Article + vidéo)

A l'approche de la Coupe du Monde 2014, l'hymne officiel est loin de faire l'unanimité au Brésil. Un hashtag demande même le ret...

A propos de l’article « Papa Makengo fait défection et rejoint Pascal Mukuna dans CS Imana Matiti Mabe ». Deux droits de réponse de Jonas Mukamba et de Papa Makengo

June 12, 2014

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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiQwT8lG5xmsBm96TYFnY6GsAYPoAa8DKd1t4HCJjT0pQsFSTByTojrjXzuh-IJkM7MoMJ8_WvGX8kvIRWGDVRj-9G0rw7Jo0HbrJ6fcnkojfNrbQ52kjjgE0qqT3lpntoMCBF-wFTte3I/s1600/Snapshot_1~1.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
<span style="font-size: large;">Hier, nous avons réceptionné à notre rédaction deux droits de réponse pour un même article intitulé « Papa Makengo fait défection et rejoint Pascal Mukuna dans CS Matiti Mabe » publié dans notre édition de vendredi 6 juin dernier.</span></h3>
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Le premier droit de réponse est du patriarche Jonas Mukamba Kadiata Nzemba et le deuxième est de Papa Makengo, l’incriminé dudit article.</div>
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Voici le contenu du droit de réponse de Jonas Mukamba : « Sous le titre « Cofondateur du Dcmp/K Papa Makengo fait défection et rejoint Pascal MUKUNA dans CS Imana Matiti Mabe de votre Journal N° 5900 du Vendredi 06 Juin 2014 », il est écrit entre autre « Pour l’heure, il nous revient que dans leur majorité, les administrateurs du DCMP/K qui veulent rester fidèles à leur idéal autour du doyen Me Taureau sont les suivants : le tuteur Jonas Munkamba, etc. ».<br />
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Je vous fait remarquer deux choses : d’abord je suis contre toute dissidence au sein du DCMP, je ne peux être d’un camp contre un autre, je persiste et signe pour UN DARING UNI comme peut le témoigner votre Journaliste Sportif présent à mon point de presse du Vendredi 06 Juin dernier (en plus, il en a eu copie). Ensuite, mon nom est MUKAMBA et non MUNKAMBA.<br />
Enfin, je vous saurais gré de bien vouloir porter cette clarification à la connaissance de vos nombreux lecteurs.<br />
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Sé : Jonas MUKAMBA Kadiata Nzemba<br />
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Ndlr : Nous prenons acte du droit de réponse du Patriarche Mukamba. Quant à l’orthographe de son nom qui a été massacrée dans l’édition de vendredi 6 juin, qu’il veuille bien nous en excuser. Il aura constaté que son nom a été bien orthographié dans celle de lundi 9 juin dans l’article qui rapportait son point de presse.<br />
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Droit de réponse de Papa Makengo<br />
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« Papa Makengo rejette en bloc toutes les déclarations parues le vendredi 08/06/2014 en rapport avec son appartenance au camp du Pasteur Mukuna », écrit-il en titre.<br />
Dans le corps de son droit de réponse, on peut lire ce qui suit : « En ma double qualité de cofondateur et Administrateur élu par l’Assemblée de Bibwa Nouvelle Formule, il est de non devoir de sauvegarder l’intégrité de la famille DCMP C’est ainsi que j’ai vu le Patriarche MUKAMBA KADIATA NZEMBA qui accepta ma proposition de chercher des voies et moyens pour empêcher la dislocation de notre cher Club.<br />
<br />
Le mardi 03/06/2014, nous nous sommes rendus chez le pasteur MUKUNA afin de commencer à planifier les préparatifs de réconciliation de tous les Daring Man.<br />
<br />
Le Pasteur étant seul le jour de la rencontre, nous avons reporté la réunion au samedi 7/6/2014. Malheureusement suite à l’incident survenu au stade TATA RAPHAEL le même jour en mon chemin de retour accompagné du Pasteur ; les négociations sont en veilleuse jusqu’à ce jour.<br />
Je n’appartiens ni au groupe DCMP/K ni au groupe C.S. IMANA. Je suis l’Eglise au milieu du village.<br />
<br />
Moi et le patriarche MUKAMBA nous militons pour l’unification de tous les imaniens autour de DCMP/K notre salut !<br />
Ba tata, ba maman, bana ya DCMP/K, nalimbisi bino nionso pona oyo elekaki naq stade Tata Raphaël mokolo moko te nakoki ko trahir Daring.(traduisez : Hommes, femmes, enfants supporters de DCMP/K, je vous pardonne pour tout ce qui s’était passé au stade Tata Raphaël. Jamais, je pourrais trahir un jour Daring).<br />
<br />
Sé : MAKENGO MAYASI, Administrateur Cofondateur, Tél 0815135493.<br />
Ndlr : Nous prenons également acte du droit de réponse de Papa Makengo. Nous croyons avoir satisfait son besoin de parler au peuple imanien à travers ce droit de réponse.<br />
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groupelavenir

Le direct

A propos de l’article « Papa Makengo fait défection et rejoint Pascal Mukuna dans CS Imana Matiti Mabe ». Deux droits de réponse de Jonas Mukamba et de Papa Makengo

Sport A propos de l’article « Papa Makengo fait défection et rejoint Pascal Mukuna dans CS Imana Matiti Mabe ». Deux droits de réponse de Jonas Mukamba et de Papa Makengo

Hier, nous avons réceptionné à notre rédaction deux droits de réponse pour un même article intitulé « Papa Makengo fait défection et rejoi...

Kigali joue à la provocation, Kinshasa hausse le ton

June 12, 2014

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<span style="font-size: large;">IL y a de la nervosité du coté de Kigali depuis la concrétisation de la promesse des FDLR de déposer les armes. A la frontière rwandaise, la tension est perceptible. Cette tension est montée d’un cran à la suite de l’incursion de l’armée rwandaise sur le territoire congolais. La réaction vigoureuse des FARDC a fait échec à cette énième tentative de « promenade de santé » des agresseurs. Cependant, un caporal des FARDC kidnappé par les militaires rwandais a été sommairement exécuté. A Kinshasa, les autorités parlent d’une provocation. Kinshasa prévient cependant qu’il ne laissera pas Kigali « agir comme en terre conquise ».</span></h3>
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En effet, dès 3h30’ du matin, des soldats rwandais ont décidé de traverser la frontière pour des raisons connues d’eux-mêmes. L’alerte aussitôt donnée, d’autant plus que les forces armées de la République démocratique du Congo ont mis en place des stratégies de réaction quasi instantanée, une réplique foudroyante a repoussé ces « touristes » dont la prédation est connue de tous. Jusque-là, un caporal FARDC était pris en otage par les agresseurs et ramené à l’intérieur des frontières rwandaises.<br />
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Dès que les agresseurs avaient quitté le sol congolais, les FARDC ont arrêté leur progression. Le piège tendu par l’armée rwandaise en entrainant dans leur retraite ce caporal des FARDC consistait à démontrer à la face du monde que les FARDC avaient franchi la frontière rwandaise pour y commettre des massacres, avec le concours des FDLR.<br />
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Heureusement que les dirigeants congolais savent lire les intentions cachées de ces voisins dont le mode opératoire n’a jamais connu un début de changement dans leur mental. L’étanchéité de la frontière étant assurée, les FARDC sont restées vigilantes afin de prévenir d’autres incursions du genre. Se confiant au Potentiel par téléphone, Lambert Mende Omalanga a confirmé ces échanges de tirs. « Des éléments de l'armée rwandaise ont traversé la frontière non loin de Kibumba autour de 03h30 ce matin et se sont emparé d’un militaire des FARDC. Ce qui a provoqué une réaction de nos soldats en poste à Kibumba ont aussitôt ouvert le feu », a déclaré le ministre des Médias, en charge avec le Parlement et de la Nouvelle citoyenneté. Le commandant en chef des casques bleus a également confirmé l’information. Le général Carlos Alberto dos Santos Cruz a également annoncé la mise en place d’une commission d’enquête afin de déterminer les causes de ce regain de tension entre les deux pays.<br />
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Le caporal Bayisilo sommairement exécuté<br />
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A 14h00’ heure locale, l’otage de l’expédition rwandaise de ce matin, le caporal Bayisilo a été exécuté. L’ayant sorti de son lieu de détention, les militaires rwandais l’ont sommairement exécuté. Ses compagnons d’arme, impuissants de l’autre coté de la frontière ont assisté à ce crime de guerre. Ce qui a justifié la reprise des échanges des tirs pendant près d’une heure avant que le calme ne revienne. « C'est de la pure provocation. Chaque fois que nous tendons vers une paix réelle dans la sous-région, le Rwanda cherche toujours à nous détourner de cet objectif », a dit Lambert Mende.<br />
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Pour le porte-parole du gouvernement, Kinshasa ne va pas tomber dans ce nouveau piège de Kigali. « Nous nous attendons à une entourloupette chaque fois que le désarmement des FDLR prend de l’ampleur », a indiqué Lambert Mende, joint dans la soirée par notre rédaction. Ce n’est pour autant que Kinshasa devrait revoir sa stratégie de neutralisations des FDLR. Convaincu de l’acte délibéré posé par Kigali, notamment l’exécution à bout portant du soldat congolais, Mende note que « nous sommes en face d’une agression tout à fait injustifiée ».<br />
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Il se réfère dès lors au  mécanisme de vérification de la Conférence internationale sur les Grands Lacs (CIRGL) pour vérifier de l’authenticité de l’acte d’agression. Il est cependant convaincu d’une chose : « C’est de la pure provocation pour maintenir le Kivu dans un état perpétuel d’insécurité ». Il prévient néanmoins que « nous ne le laisserons pas agir comme en terre conquise ».<br />
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A Kigali, ces événements sont interprétés autrement. Selon une dépêche de l’AFP, le Rwanda a accusé hier mercredi des soldats de République démocratique du Congo d'avoir franchi leur frontière commune et d'avoir tiré sur une patrouille rwandaise, provoquant des affrontements ayant fait cinq morts dans les rangs congolais.<br />
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La ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mishikiwabo, porte-parole du gouvernement rwandais, citée dans un communiqué dont une copie est parvenue à l’AFP, a « exhorté les autorités de LA RDC (...) à cesser toute attaque contre le territoire rwandais », précisant que « le Rwanda se tenait prêt à agir pour protéger ses citoyens ».<br />
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La réaction de Kigali soulève bien des interrogations. Est-ce que dans les conditions actuelles où une forte pression est exercée sur les FDLR, la RDC avait-elle intérêt à s’attaquer au Rwanda ? Quel bénéfice tirerait-on d’une pareille attaque ? Répondre à ces questions, c’est déjà apporté des réponses à l’énigme sur la situation qui prévaut depuis hier mercredi à la frontière commune avec le Rwanda.<br />
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A tout point de vue, on est d’avis que la RDC n’a aucun intérêt à s’attaquer au Rwanda. La déroute de l’ex-rébellion du M23 et l’appel à la reddition des FDLR lui suffisent ardemment. Si bien que, pour trouver une explication à ces nouveaux accrochages entre les FARDC et l’armée rwandaise, il faut se tourner vers Kigali.<br />
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La réalité est que Kigali se sent seul et isolé du monde qui n’adhère plus à ses mensonges, notamment le danger permanent que représentent des « génocidaires » hutus regroupés au sein des FDLR dans le territoire de la RDC. La recette ayant perdu toute sa saveur, Kigali s’est donc saisi de la stratégie qui lui profite depuis des années, c’est-à-dire créer une fois de plus l’insécurité dans l’Est de la RDC.<br />
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A Kigali, la panique est générale. La seule issue de secours est la stratégie de la terre brulée. Une façon d’amener la communauté internationale à s’apitoyer sur son sort. Ce qui lui permettra de reprendre du poil de la bête pour poursuivre son plan de déstabilisation permanente de la région des Grands Lacs.<br />
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source:www.lepotentielonline.com

Le direct

la Nation Politique Kigali joue à la provocation, Kinshasa hausse le ton

IL y a de la nervosité du coté de Kigali depuis la concrétisation de la promesse des FDLR de déposer les armes. A la frontière rwandaise,...

Pétrole du parc des Virunga: bras de fer entre Soco et Unesco !

June 12, 2014

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<span style="font-size: large;">Soumise à une pression tentaculaire d’Ongs internationales environnementalistes notamment, WWF (Fonds Mondial pour la Nature) et l’Unesco, la Société britannique SOCO renonce à son projet d’exploration pétrolière dans le parc national de Virunga dans le Nord-Kivu.</span></h3>
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<div>
A cet effet, l’entreprise pétrolière britannique s’est engagée auprès du Fonds mondial pour la nature (WWF) à cesser toute opération pétrolière au sein du parc national des Virunga dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC).</div>
<div>
<br />
Selon cet accord cité par l’AFP, toute affaire cessante, Soco s’engage à stopper ses programmes opérationnels au parc national des Virunga et à ne pas y forer. Et ce, jusqu’à ce l’Unesco et le gouvernement de la RDC se mettent d’accord. Et pourtant, ce même gouvernement, par l’entremise de son Porte parole, avait déjà donné le quitus à ce que les études exploratoires puissent démarrer dans ce site. Sinon, à défaut pour la RDC de ne pas  jouir de ses ressources naturelles classées patrimoine mondial,  que l’Unesco dote au même gouvernement, des moyens de substitution pour pallier à plusieurs éventualités, notamment, le renouvellement des infrastructures routières, sanitaires et scolaires. <br />
<br />
Dans ce même chapitre, indique le communiqué, Soco se retirera des Virunga après avoir conclu ses différentes activités opérationnelles en cours, ce qui comprend notamment, la prospection sismique dans le lac Edouard.<br />
<br />
En outre, Soco promet de ne pas mener d’opérations dans tous les autres sites classés au patrimoine mondial de l’Unesco.<br />
<br />
En échange, le WWF s’engage à retirer sa plainte déposée en octobre 2013 auprès de l’agence britannique de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) concernant des violations présumées des droits de l’Homme et des protections environnementales.<br />
<br />
Le directeur général du WWF, Marco Lambertini, a, par ailleurs, appelé le gouvernement de la RDC à «réaffirmer sa conviction que les Virunga ont une valeur universelle exceptionnelle pour l’humanité entière en annulant toutes les concessions pétrolières chevauchant les limites du parc.»<br />
<br />
Pour sa part, le Vice-Premier ministre et ministre belge des Affaires étrangères,  Didier Reynders, se réjouit de l’accord entre WWF et Soco, précise notre source.<br />
<br />
Depuis plusieurs mois, il attirait l’attention des autorités britanniques sur les activités de l’entreprise pétrolière dans le parc des Virunga et le risque que ces activités présentaient pour la sauvegarde de ce parc dont l’écosystème est unique au monde.<br />
<br />
Dans un communiqué publié sur son site internet, Didier Reynders, a remercié son collègue britannique William Hague, d’avoir répondu positivement à ces préoccupations.<br />
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Eugène Khonde<br />
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A cet effet, l’entreprise pétrolière britannique s’est engagée auprès du Fonds mondial pour la nature (WWF) à cesser toute opération pétrolière au sein du parc national des Virunga dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC).<br />
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Selon cet accord cité par l’AFP, toute affaire cessante, Soco s’engage à stopper ses programmes opérationnels au parc national des Virunga et à ne pas y forer. Et ce, jusqu’à ce l’Unesco et le gouvernement de la RDC se mettent d’accord. Et pourtant, ce même gouvernement, par l’entremise de son Porte parole, avait déjà donné le quitus à ce que les études exploratoires puissent démarrer dans ce site. Sinon, à défaut pour la RDC de ne pas jouir de ses ressources naturelles classées patrimoine mondial, que l’Unesco dote au même gouvernement, des moyens de substitution pour pallier à plusieurs éventualités, notamment, le renouvellement des infrastructures routières, sanitaires et scolaires. <br />
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Dans ce même chapitre, indique le communiqué, Soco se retirera des Virunga après avoir conclu ses différentes activités opérationnelles en cours, ce qui comprend notamment, la prospection sismique dans le lac Edouard.<br />
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En outre, Soco promet de ne pas mener d’opérations dans tous les autres sites classés au patrimoine mondial de l’Unesco.<br />
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En échange, le WWF s’engage à retirer sa plainte déposée en octobre 2013 auprès de l’agence britannique de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) concernant des violations présumées des droits de l’Homme et des protections environnementales.<br />
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Le directeur général du WWF, Marco Lambertini, a, par ailleurs, appelé le gouvernement de la RDC à «réaffirmer sa conviction que les Virunga ont une valeur universelle exceptionnelle pour l’humanité entière en annulant toutes les concessions pétrolières chevauchant les limites du parc.»<br />
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Pour sa part, le Vice-Premier ministre et ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, se réjouit de l’accord entre WWF et Soco, précise notre source.<br />
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Depuis plusieurs mois, il attirait l’attention des autorités britanniques sur les activités de l’entreprise pétrolière dans le parc des Virunga et le risque que ces activités présentaient pour la sauvegarde de ce parc dont l’écosystème est unique au monde.<br />
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Dans un communiqué publié sur son site internet, Didier Reynders, a remercié son collègue britannique William Hague, d’avoir répondu positivement à ces préoccupations.<br />
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Eugène Khonde<br />
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En effet, dans un communiqué signé ce mercredi 11 juin 2014, Soco et WWF qui étaient en procès depuis octobre 2013, indiquent avoir trouvé un accord à ce sujet.<br />
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A cet effet, l’entreprise pétrolière britannique s’est engagée auprès du Fonds mondial pour la nature (WWF) à cesser toute opération pétrolière au sein du parc national des Virunga dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC).<br />
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Selon cet accord cité par l’AFP, toute affaire cessante, Soco s’engage à stopper ses programmes opérationnels au parc national des Virunga et à ne pas y forer. Et ce, jusqu’à ce l’Unesco et le gouvernement de la RDC se mettent d’accord. Et pourtant, ce même gouvernement, par l’entremise de son Porte parole, avait déjà donné le quitus à ce que les études exploratoires puissent démarrer dans ce site. Sinon, à défaut pour la RDC de ne pas jouir de ses ressources naturelles classées patrimoine mondial, que l’Unesco dote au même gouvernement, des moyens de substitution pour pallier à plusieurs éventualités, notamment, le renouvellement des infrastructures routières, sanitaires et scolaires. <br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Dans ce même chapitre, indique le communiqué, Soco se retirera des Virunga après avoir conclu ses différentes activités opérationnelles en cours, ce qui comprend notamment, la prospection sismique dans le lac Edouard.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
En outre, <a href="http://www.socointernational.com/">Soco</a> promet de ne pas mener d’opérations dans tous les autres sites classés au patrimoine mondial de l’Unesco.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
En échange, le WWF s’engage à retirer sa plainte déposée en octobre 2013 auprès de l’agence britannique de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) concernant des violations présumées des droits de l’Homme et des protections environnementales.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Le directeur général du WWF, Marco Lambertini, a, par ailleurs, appelé le gouvernement de la RDC à «réaffirmer sa conviction que les Virunga ont une valeur universelle exceptionnelle pour l’humanité entière en annulant toutes les concessions pétrolières chevauchant les limites du parc.»<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Pour sa part, le Vice-Premier ministre et ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, se réjouit de l’accord entre WWF et Soco, précise notre source.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Depuis plusieurs mois, il attirait l’attention des autorités britanniques sur les activités de l’entreprise pétrolière dans le parc des Virunga et le risque que ces activités présentaient pour la sauvegarde de ce parc dont l’écosystème est unique au monde.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Dans un communiqué publié sur <a href="http://www.didierreynders.be/2014/06/11/je-me-rejouis-de-l%E2%80%99accord-entre-soco-et-le-wwf-pour-la-preservation-du-parc-des-virunga/">son site internet</a>, Didier Reynders, a remercié son collègue britannique William Hague, d’avoir répondu positivement à ces préoccupations.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Eugène Khonde</div>
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbrG7KjMzxgmrQ8u3RtsnMbLz985ZK1C7lDjsFk2EQKP5f4yKLzJtUt3oYg1O-fT05MK8sUCG8hJiQj7J4D2o4bMVqTq8bvsxuLpktKLbxKd2c3WZOslQmJGXo9VOrBOU8YtZkqlJ20DI/s1600/Snapshot_13.jpg" rel="image_src" width="400"></link>

la Nation Pétrole du parc des Virunga: bras de fer entre Soco et Unesco !

Soumise à une pression tentaculaire d’Ongs internationales environnementalistes notamment, WWF (Fonds Mondial pour la Nature) et l’Unes...

Zamba Zamba du 12 juin 2014 : Adjani adjedje akufi ou pas ? Werrason ayembi danze na nicodem (vidéo)

June 11, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEian6Afc4aP7vGe9BjhrIMA3iiUhZD3zlq40L9IMrRbb7axz0FdjoWw_Ja1BbVh8ro5MYQSCGmwsXYg6R_WYaCVOsn6OPTRaJE-B3LDEdghe6RuXDgF9vHSYY5ZAH3OFc4CyFqfnlrxxQc/s1600/intt.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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Zamba Zamba du 12 juin 2014 : Adjani adjedje akufi ou pas ? Werrason ayembi danze na nicodem  (vidéo)

Musique Zamba Zamba du 12 juin 2014 : Adjani adjedje akufi ou pas ? Werrason ayembi danze na nicodem (vidéo)

Zamba Zamba du 12 juin 2014 : Adjani adjedje akufi ou pas ? Werrason ayembi danze na nicodem (vidéo)

Voici la Grande édition du Journal télévisé et revue de presse de la Radio Télévision du Groupe l'Avenir (RTGA) du 11 juin 2014 suivez

June 11, 2014

journal la Nation Politique Voici la Grande édition du Journal télévisé et revue de presse de la Radio Télévision du Groupe l'Avenir (RTGA) du 11 juin 2014 suivez

Voici la Grande édition du Journal télévisé et revue de presse de la Radio Télévision du Groupe l'Avenir (RTGA) du 11 juin 2014 ...

Mondial Brésil 2014 : la Monusco va placer des écrans géants à Kinshasa

June 11, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<h3>
<span style="font-size: large;">La Mission des Nations unies en RDC (Monusco) en collaboration avec l’entreprise de téléphonie cellulaire Vodacom va projeter tous les matches de la Coupe du monde de football qui se déroulera au Brésil du 12 juin au 13 juillet. Elle va placer deux écrans géants dans la ville à la place du 30 juin (ex-Gare centrale) et la place de l’Echangeur à Limete, a affirmé mercredi le chargé d’information publique de cette organisation à Kinshasa, Crispin Nlanda.</span></h3>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9gooKUU9UglCs9vFgNKJ3b3w4NLsFuSvMraC2O_Pxj6gJJ3OthUCJoL35LlLttPJz_ZMRxXKtH989tupDRoeVM6uyasNYrBjwo-KYkdx1Mmjc97t5BcQ5xoTKZXDATbamdX_EF-bgcag/s1600/Snapshot_9.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="230" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9gooKUU9UglCs9vFgNKJ3b3w4NLsFuSvMraC2O_Pxj6gJJ3OthUCJoL35LlLttPJz_ZMRxXKtH989tupDRoeVM6uyasNYrBjwo-KYkdx1Mmjc97t5BcQ5xoTKZXDATbamdX_EF-bgcag/s1600/Snapshot_9.jpg" width="400" /></a></div>
<div>
Selon lui, la Monusco a saisi cette occasion pour rassembler la population de Kinshasa afin de faire passer le message de l’unité et de la paix.</div>
<br />
A travers ces projections, la Monusco donnera aussi la possibilité aux jeunes de Kinshasa de se divertir sainement au lieu de se livrer à certains actes peu nobles, a ajouté Crispin Nlanda.<br />
<br />
Chaque jour à 17h locales, les matches seront retransmis en direct dans les deux endroits prévus. La Monusco retransmettra prioritairement les matches des pays africains, et d’autres qui pourraient être intéressants, a-t-il précisé.<br />
<br />
Quant à la question du fuseau horaire entre la RDC et le Brésil, Crispin Nlanda assure que des matches qui se joueront tard la nuit seront filmés et retransmis le lendemain.<br />
<br />
Aucun frais ne sera perçu pour regarder ces matches.<br />
<br />
sur radiookapi.net

internationale Sport Mondial Brésil 2014 : la Monusco va placer des écrans géants à Kinshasa

La Mission des Nations unies en RDC (Monusco) en collaboration avec l’entreprise de téléphonie cellulaire Vodacom va projeter tous les ma...

L’économie sociale de marché est-elle possible en RD Congo ?

June 11, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">*La  Konrad-Adenauer-Stiftung e.V.AS fidèle à sa tradition, a  tenu ce mercredi 11 juin 2014, une table ronde sur  « l‘ Etat des principes de l’économie sociale de  Marché  en RDC ». Le Représentant  Résident de la Konrad-Adenauer-Stiftung e.V.AS, M. Seffen Krueger, a dit aux participants que le but poursuivi est de renforcer les capacités et favoriser des échanges entre experts, des universités, des décideurs et responsables des ONG en vue de scruter  les avantages à tirer du système de l’économie sociale de marché.</span></h3>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLE5Z0RBE-BJaiif0HMpq6IOjPVIFgRRztZO8PC4GjGyseQjeQSLEV89_ONFOL4Mvscpym1ZGXFoZfzvdh1UoZ60GCIFkZM7EOMZbkyqh5RiCXpK7xmm9_LkCnQSH_pHTAAlyGP5wcKxw/s1600/Snapshot_8.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLE5Z0RBE-BJaiif0HMpq6IOjPVIFgRRztZO8PC4GjGyseQjeQSLEV89_ONFOL4Mvscpym1ZGXFoZfzvdh1UoZ60GCIFkZM7EOMZbkyqh5RiCXpK7xmm9_LkCnQSH_pHTAAlyGP5wcKxw/s1600/Snapshot_8.jpg" width="400" /></a></div>
<div>
Il s’agit de faire un état de lieux conformément à la constitution du 18 février 2006 ; évaluer la connaissance de ce système d’économie par la population ; trouver des idées pour nos activités futures ; quels sont les problèmes actuels dans ce domaine et que faire pour l’application de ce système en RD Congo.</div>
<br />
La Konrad Adenauer Stiftung a organisé et  financé la présente activité.<br />
<br />
19 participants, deux femmes ont pris part à cette activité. Des universitaires, chercheurs, des membres de la société civile, un député national, un représentant de l’Union européenne et  de médias ont été présents à cette table ronde.<br />
<br />
Le Représentant Résident de la Konrad Adenauer Stiftung, M. Steffen Krueger a rendu hommage à  l’homme d’Etat allemandLudwig Erhard qui a  forgé cette expression d’économie sociale de marché. Il  définit ce système économique mis en place en Allemagne fortement inspiré par l’ordo libéralisme qui vise à obtenir un équilibre social et maintenir à la fois une croissance élevée, une faible inflation, un faible chômage, de bonnes conditions de travail et une protection de travail.<br />
<br />
Il a vu le jour au lendemain de la deuxième guerre mondiale en Allemagne. Ce système économique est caractérisé par des valeurs et la conception de l’homme démocratique, éclairée et libérale, efficace et écologique, sociale et fondée sur l’éthique. Ici, l’homme est au centre et l’Etat régule et veille à ce qu’il ne soit écrasé par le profit. La concurrence est encadrée par des règles.<br />
<br />
Fidèle à sa mission, la Konrad-Adenauer-Stiftung e.V.AS assure la formation sur l’économie sociale de marché dans les universités (UNIKIN, UCC, UNILU) et le renforcement des capacités au niveau des Organisations Non Gouvernementales et du Gouvernement. Des publications  et formations des formateurs et des médias sont mis en contribution en vue de favoriser des échanges entre institutions sur le sujet.<br />
<br />
Trois conférences ont figuré au programme de cette journée.<br />
<br />
1. « Eléments et principes de base de l’économie sociale de marché » par  le professeur  NTUNGILA NKAMA  MBENDU Floribert<br />
<br />
En fait, il existe des principes à retenir, dit-il et cite : le principe de subsidiarité comme étant le principe moteur qui sous-tend l’économie sociale de marché. L’Etat veille à ce que la population ne soit écrasée par le profit avec le capitalisme libéral ou sauvage. La satisfaction des besoins repose sur une éthique pour assurer un partage égalitaire du revenu national. Et le Prof. NTUNGILA a indiqué quelques éléments et principes de base de cette économie sociale de marché, à savoir :<br />
La stabilité monétaire<br />
La propriété privée<br />
La sécurité sociale<br />
La justice sociale<br />
<br />
La garantie d’une justice distributive est assurée par des règles fixées par l’Etat qui joue à l’arbitre.  Les conditions idéales ne sont pas encore réunies pour une économie sociale de marché selon le conférencier, mais dit-il, le pays se trouve sur une bonne dynamique.<br />
<br />
En RD Congo, les conditions idéales font défaut, mais soutient le Prof. Ntungila, « nous avons de bonnes perspectives à confirmer dans les jours qui viennent ».<br />
<br />
M.MULENDA  Daniel, Directeur de Cabinet du ministre de l’Economie et Commerce Extérieur invité à cette rencontre commenté la situation actuelle. Il a fait observer que la croissance de la RD Congo estimée à 8,3%  quoique bonne, ne transparaît pas dans le fait, le résultat n’est pas palpable par rapport à l’ensemble du pays ; pour la simple raison qu’elle est basée sur un secteur, celui des mines.il faudrait relancer l’agriculture, il, pour la satisfaction des besoins sociaux des populations locales.<br />
<br />
Rôle de l’Etat  dans  une économie sociale de marché par le Prof. KUMBU ki NGIMBI Jean-Michel<br />
<br />
Le Prof. KUMBU a indiqué que l’origine principale de la philosophie qui a conduit à l’établissement de l’économie sociale de marché qui fut  certainement, en ce qui concerne son aspect économique, et avec tous les honneurs dus aux ancêtres de ce système, depuis Adam Smith jusqu’à la Fabian Society d’Angletere, l’Ecole de Fribourg (Freiburger Schule).<br />
<br />
Et le prof. KUMBU de souligner principes régulateurs sont essentiels :<br />
<br />
Quelques principes :<br />
La concurrence déloyale : en RD Congo, une loi interdit la concurrence déloyale et réprime tout comportement déviant dans ce ce sens.<br />
La concurrence effective : est un processus de concentration et crée un monopole ou de position dominante. Ici, l’Etat doit règlementer le système et stopper un monopole nuisible.<br />
La stabilité monétaire : un faible taux d’inflation avec une stabilité monétaire qui suppose qu’il y a une production, du travail, un salariat, et donc plus favorable à des populations économiquement plus faibles<br />
La propriété privée : la possibilité d’acquérir une propriété privée et, comme en corollaire, le droit de succession, poussent des gens à contribuer au produit national.<br />
La sécurité sociale : tout citoyen doit pouvoir bénéficier des moyens pour mener une vie digne. Il est indispensable que l’Etat garantisse à tout citoyen se retrouve au terme des cotisations effectuées durant des années.<br />
La justice sociale est aussi importance pour assurer un partage égalitaire du revenu national en veillant à ce que les chômeurs ne soient incités à rechercher l’emploi.<br />
<br />
Enfin, Professeur KUMBU ki NGIMBI Jean-Michel a indiqué que dans une économie sociale de marché : un Etat « régulateur » et « gendarme » est essentiel à sa bonne marche.<br />
<br />
Intervenant à cette discussion, le directeur de cabinet du ministre de l’Economie et Commerce Extérieur a précisé aux participants que la régulation de l’Etat peut être efficiente si l’offre est importante. Selon M.MULENDA, il est plus intéressant que la production locale soit significativement forte en vue de permettre à l’Etat de réguler et de contrôler l’économie nationale. C’est dire qu’un « Etat gagne quand le producteur local est plus compétitif que la consommation extérieure ». Dans une économie extravertie comme celle de la RD Congo, soutient-il, il est difficile de réaliser l’économie sociale de marché en raison de la faiblesse des structures d’économie qui devrait viser la satisfaction locale.<br />
<br />
<br />
Justice distributive et économie sociale de marché par le Manuelo Paulin<br />
<br />
Le conférencier a situé le contexte et l’origine de la justice distributive aux origines de la philosophie grecque. Il a référé à Aristote dans l’éthique à Nicomaque. C’est la somme des vertus, la vertu qui se rapporte à autrui. « C’est la vertu qui contient toutes les autres vertus ». On distingue : la justice contributive ou légale (concerne les devoirs des individus vis-à-vis de l’Etat), distributive (concerne l’Etat vis-à-vis de ses citoyens, des services à assurer) et commutative (concerne les transactions de gré à gré entre citoyens).<br />
<br />
Les trois formes de justice se tiennent comme en cercle. Ce cercle forme ce qu’il faut nommer : la justice sociale.<br />
<br />
La constitution du 18 février 2006 affirme que le revenu doit être distribué équitablement.  Que cela veut dire ? Comment  l’Etat doit-il assurer la distribution de ses services et les biens (richesses) à ses membres ? S’appuyant sur Aristote, il faut une justice «  proportionnelle » ou « géométrique », selon des mérites et des qualifications.<br />
<br />
Cependant,  la conception de la justice distributive, moderne, veut que l’Etat régule. Une intervention de l’Etat dans la distribution des richesses est considérée par les libéraux traditionnels comme une intrusion ; mais une conception plus modérée est développée par John Rawls dans A theory of justice en 1971. Elle est plus acceptée.<br />
<br />
Deux principes sont proposés :<br />
Les libertés de base égales ou fondamentales, d’égalités de chances<br />
Le principe de différence : l’Etat se doit d’intervenir au profit de ceux qui sont défavorisés ; en cas d’inégalités économiques et sociales, il convient de donner plus de priorité là le besoin se fait sentir.<br />
<br />
Regard sur la Constitution du 18 février 2006 dans la mise en œuvre de l’économie sociale de marché.<br />
<br />
Les articles 50, 53, 58, 59, 65, et 67 sont des indications possibles de mise en œuvre de la justice distributive en RD Congo. Mais en réalité, une distance sépare les textes de la mise en œuvre effective. Un dysfonctionnement persiste dans la pratique ou la mise en œuvre ; ce qui  sème le doute pour l’effectuation de cette justice sociale ou distributive. En Afrique comme en RD Congo, le malaise, c’est  sans doute le paradoxe entre les richesses existantes et les textes de la mise en œuvre, dans toutes les relations de justice entre l’Etat vis-à-vis des citoyens et les citoyens vis-à-vis de l’Etat. Le conférencier conclut en s’appuyant sur le philosophe allemand Jürgen Habermas pense qu’ « à une crise économique, la réponse n’est pas qu’économique », il faut aller au-delà pour trouver des solutions ; la mentalité africaine ou congolaise serait-elle réfractaire à la justice distributive ?<br />
<br />
En réponse à toutes les interrogations comme pistes permettant de rendre possible cette économie sociale de marché, le professeur  Paulin MANUELO, sj. propose la remise en question développée dans la décolonisation mentale de Mabika Kalanda de 1960.<br />
<br />
Quelques recommandations ont été formulées :<br />
Plaidoyer pour la mise en œuvre d’une caisse de solidarité nationale et du conseil économique et social<br />
Une campagne de civisme économique<br />
Communication avec la société civile<br />
<br />
DIONZO NSELE Aimé-Cyprien

Le direct

Economie L’économie sociale de marché est-elle possible en RD Congo ?

*La Konrad-Adenauer-Stiftung e.V.AS fidèle à sa tradition, a tenu ce mercredi 11 juin 2014, une table ronde sur « l‘ Etat des principes ...

Les accréditations ont commencé : Elections locales, les observateurs attendus à Shaumba !

June 11, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">*Ni les critiques de la communauté internationale, ni les pleurs et grincements des dents de l’Opposition politique et de la société civile, ne sauraient ralentir l’élan pris par la Commission Electorale Nationale Indépendante, dans sa détermination à matérialiser le calendrier des élections urbaines, municipales et locales, en 2015. </span></h3>
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<div>
Tel qu’il l’avait promis, le 26 mai dernier, jour de la publication de ce calendrier, Muholongu Malumalu Apollinaire et l’ensemble de membres de  son équipe  se montrent  désormais plus que jamais déterminés. Depuis hier, en effet, la Centrale électorale procède à la réception et au traitement des dossiers de demande d’accréditation, à Shaumba, un complexe  scolaire mieux situé le long de l’avenue Prince de Liège, vers sa jointure avec l’ex-avenue de Haut Commandement,  dans la commune de la Gombe. Lundi 16 juin 2014, dans la matinée, il lancera, officiellement, l’opération d’accréditation, proprement-dite. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
<br /></div>
<div>
 Dans un communiqué signé Jean-Pierre Kalamba Mulumba N’galula, Rapporteur, la CENI précise, par ailleurs, les conditions d’accréditation de ces observateurs électoraux à long terme. Succinctement, les conditions sont si simples. Pour un  observateur électoral congolais, il doit présenter sa carte d’électeur, le mandat dûment délivré par l’organisme ou l’association qui le propose et, enfin, deux photos passeports récentes. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
<br /></div>
<div>
Tandis que pour tout observateur électoral étranger, il présentera,  entre autres,  un passeport avec visa en cours de validité. Pour les organisations ou structures situées en Province ou en dehors du pays, leurs dossiers peuvent être envoyés par e-mail, à l’adresse, ci-après :accreditationceni@gmail.com. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
 Dans cette édition, La Prospérité publie, in extenso, le communiqué qui indique, pour  les candidats  intéressés à se   faire lister en vue de veiller au déroulement scrupuleux des prochaines élections urbaines, municipales et locales,  tous  les détails. Rien ne sert de courir mais, il faut partir à temps, dit-on. Les préposés aux accréditations   attendent les dossiers à bras ouverts, a-t-on appris, dans les parvis de la CENI.  Pas de confusion !  Tout se passe à l’adresse unique : Lycée Dr Shaumba, à quelques encablures  du camp Kokolo.  Ainsi, le calendrier électoral est-il entré dans sa phase  exécutoire. L’affaire du consensus est certainement  renvoyée  aux   cadres  des concertations institués, il y a plusieurs mois, entre la CENI, les partis politiques et la Société civile, faut-il, peut-être,  l’imaginer. </div>
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Le direct

la Nation Les accréditations ont commencé : Elections locales, les observateurs attendus à Shaumba !

*Ni les critiques de la communauté internationale, ni les pleurs et grincements des dents de l’Opposition politique et de la société civile...

Calendrier, Constitution et Mandat : Opposition-Majorité, un dangereux fossé ! (Article et vidéo)

June 11, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">*Si dure aura été l’épreuve, mieux l’unité redevient nécessaire. Telle est, apparemment, la trame qui sous-tend les échanges, en casting, entre Russ Feingold, l’Envoyé Spécial des USA dans la Région des Grands Lacs, et quelques leaders de l’Opposition, à Kinshasa. </span></h3>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_SuywklTRcpHhB7T7zML8MqbrvZUEMJSA3mADhF018JzaEWG6EcSSL9pftAANZk4oWD-boFDkNt8pA72j2eWmkLpu_PF6Sa6rQkYp_qH6XV78xD6wiQk3_j9An0A9wIGkFV45CEKsnWk/s1600/Snapshot_6.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="395" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_SuywklTRcpHhB7T7zML8MqbrvZUEMJSA3mADhF018JzaEWG6EcSSL9pftAANZk4oWD-boFDkNt8pA72j2eWmkLpu_PF6Sa6rQkYp_qH6XV78xD6wiQk3_j9An0A9wIGkFV45CEKsnWk/s1600/Snapshot_6.jpg" width="400" /></a></div>
<div>
<br /></div>
<div>
Il s’est dégagé, en effet, un fil conducteur calqué sur l’essentiel de ce qui pourrait être considéré comme la contre-proposition face à la démarche de l’actuelle Majorité dont Joseph Kabila incarne,  jusqu’à preuve du contraire,  l’autorité morale.   Deux visions parallèles, deux mondes rivaux. </div>
<div>
<br /></div>
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C’est le soleil et la lune, en  perspective. Autant dire que  deux camps irréductibles  se dessinent désormais,  en  rapport avec  l’épineuse question du calendrier de Malumalu, plus particulièrement, l’affaire de   l’ordre du déroulement des élections urbaines, municipales et locales avant les provinciales, législatives nationales   et la présidentielle,  la révision  constitutionnelle adoptée et coulée sous forme de proposition de loi  et, enfin,   la fin du mandat présidentiel, à  la saison fatidique, en 2016.  Dos-à- dos, Majorité –Opposition creuseraient lentement mais sûrement,  un dangereux fossé.  De leurs empoignades impitoyables, elles sacrifieraient, forcément,   l’herbe sous les pieds, quelle  que soit la nature du sol.  Que faire ? A  l’ombre des Envoyés Spéciaux, se cache une kyrielle  d’agendas. </div>
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<br /></div>
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 Toutes proportions gardées, il faut avouer que les craintes et scepticismes se  mêlent  et s’enchevêtrent face aux défis de réalisation d’un difficile  processus électoral qui, pourtant, aurait dû être  un petit exercice  citoyen,  patriotique et national pour le bien de tous les congolais.   <br />
<br />
Mercredi 4 juin 2014, des opposants invités,  en casting,  ont pris langue avec Russ Feingold, l’Envoyé Spécial des USA dans la Région des Grands Lacs, de passage à Kinshasa, capitale de la RD. Congo. Autour d’une même  table, Kamerhe toujours Vital, Président de l’UNC,   Azarias Ruberwa Manywa, le leader du RCD et ex-Vice-Président de la République, sous l’empire 1+ 4, Samy Badibanga, le Président du Groupe Parlementaire Udps & Alliés et, enfin, Thomas Luhaka Losendjola, le Secrétaire Général du Mlc, le parti du Chairman Jean-Pierre Bemba, placé, depuis quelques années,  sous l’œil d’un geôlier, à la CPI, aux Pays-Bas. Qu’ont-ils dit à Russ Feingold ? </div>
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Quel a été, au fait, le menu de ce casting axé notamment, sur le processus électoral ? Il nous revient de bribes d’informations glanées et croisées que ces opposants qui sont parmi ceux qui comptent, en termes de têtes grises, ont, unanimement, marqué leur disponibilité à dialoguer, pour dégager un   calendrier électoral consensuel et acceptable par tous. D’une manière générale, ils ont réitéré leur volonté à ne participer à ce processus que si et seulement si, le consensus permettait de donner de  la chance à l’organisation des élections apaisées.  ‘’Non aux élections locales avant les provinciales. Ou, à la limite, oui aux élections locales et provinciales combinées. Pas toucher à la Constitution et, surtout, au 220. </div>
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Rejet catégorique du recensement, comme préalable à l’organisation de la présidentielle et des législatives 2016. Ils ont, enfin, compté le temps. A ce jour, 28 mois restent d’ici le 20 décembre 2016. Avec l’actuel calendrier  de Malumalu, 16 mois sont réservés aux élections  locales alors que les 12 mois restants sont,  probablement, pour les élections  provinciales,  sénatoriales, des gouverneurs et vice-gouverneurs, y compris les législatives et la présidentielle 2016. D’où, l’idée évoquée, lors de ces échanges, de prévenir le risque d’un glissement, au-delà des échéances constitutionnelles. L’exigence d’un calendrier global serait-elle la conséquence d’une telle lecture des faits ? Tout  porte à croire, en tout cas, qu’elle n’en est pas moins la résultante de tous ces calculs nocturnes et diurnes, dans des salons ouatés ou, même, à ciel ouvert.   <br />
<br />
Mais, le train ?<br />
<br />
Peu importe, la CENI avance. Elle va s’exécuter, selon le calendrier publié, le 26 mai, a rappelé, dernièrement, Malumalu.  Le Gouvernement, lui, a adopté une série de propositions des lois dont une porte sur la révision de quelques articles de la Constitution. Entre-temps, l’accréditation des observateurs à long terme à Shaumba, un site choisi par la CENI, a commencé en vue des élections locales, municipales et urbaines. Mende et Luzanga intervenant, chacun, sur des antennes des télévisions,  se complètent merveilleusement  sur ces champs de discussions déchaînées, pour brandir les vues de la Majorité au pouvoir.  Le Porte-parole du gouvernement a dit, par exemple, que le consensus recherché sur le calendrier électoral  est, aujourd’hui,  une pure illusion. Consensus dans quel cadre ? S’interrogeait-il, dans une production de Nouvelle Donne, une des émissions  de la Rtnc.</div>
<div>
<br /></div>
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 ‘’Allez au Parlement, peut-être. Mais, pas en dehors des institutions républicaines ! Ceux-là qui réclament aujourd’hui un nouveau dialogue, avaient refusé les concertations nationales, autrefois. Le train est parti. Ceux qui n’y ont  pas pris part, vont se marginaliser’’, réaffirmait-il, sur une note d’espoir que, tôt ou tard,  ces opposants  entendraient son appel au respect de la souveraineté et des  institutions établies.    <br />
<br />
Bout du tunnel ?<br />
<br />
Il y a là, les bases du   fossé sans cesse dangereux entre les deux faces de la réalité politique congolaise.  Entre l’agir du gouvernement  et l’offre du dialogue de l’opposition, les  perspectives de paix  sont vraisemblablement teintées d’escarmouches  en RDC.  Il ne serait pas exagéré de parler d’un hiatus abyssal où seuls les rapports de forces  présideront  à la raison, avec toutes les distensions dues  aux incompréhensions. Mais, comment voir, dans ces conditions-là,  le bout du tunnel ? L’espoir est-il encore permis ?  Rien n’est impossible en politique.  Dans tous les cas, le ciel ne tombera pas…sur les têtes des congolais, eux qui, en définitive,  seront appelés à trancher.<strong>La Pros. </strong><br />
<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br /></div>
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la Nation Politique Calendrier, Constitution et Mandat : Opposition-Majorité, un dangereux fossé ! (Article et vidéo)

*Si dure aura été l’épreuve, mieux l’unité redevient nécessaire. Telle est, apparemment, la trame qui sous-tend les échanges, en casting, e...

Premier voyage du BPK à Kinshasa Mai 2014 ( vidéo)

June 11, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdLCDbvb7qnUvqWPoomTAS5e_PgLCMg3kjq0GVPwVHBICcQgCPw5H5ha3vPaDAO9EhQyuQLJmXavPswygBLvsSZk_bvYNQPKhqTVr4vtrkGROyghjoabxke0fQ0i3d3WRsGSeBDofEt-o/s1600/Snapshot_1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="196" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdLCDbvb7qnUvqWPoomTAS5e_PgLCMg3kjq0GVPwVHBICcQgCPw5H5ha3vPaDAO9EhQyuQLJmXavPswygBLvsSZk_bvYNQPKhqTVr4vtrkGROyghjoabxke0fQ0i3d3WRsGSeBDofEt-o/s1600/Snapshot_1.jpg" width="400" /></a></div>
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<span style="font-size: large;">Premier voyage du BPK à Kinshasa Mai 2014 ( vidéo)

</span></h3>
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la Nation Premier voyage du BPK à Kinshasa Mai 2014 ( vidéo)

Premier voyage du BPK à Kinshasa Mai 2014 ( vidéo)

Bandal : un enfant sorcier à betami ti na liwa.

June 11, 2014

<h3>
Depuis jeudi 29 mai 2014, une scène difficile à supporter a eu pour le cadre le croisement des avenues Mbavu et 8 Décembre, au quartier Synkin, dans la commune de Bandalungwa. Un enfant de dix ans, accusé de sorcellerie par le pasteur d’une église de réveil, était battu à mort par ses parents, frères et sœurs. Selon le serviteur de Dieu, le gosse aurait conclu un accord avec des membres de sa société secrète pour un certain nombre de sacrifices humains.<script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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Comme il refusait de dénoncer ses « complices », on n’a trouvé d’autre solution, pour l’empêcher de nuire, que de mettre fin à ses jours. Il a fallu l’intervention efficace des personnes de bonne volonté pour mettre fin à son calvaire. Abandonné dans la rue après avoir été rejeté par les siens, il est parti vers une destination inconnue.<br />
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<br />
Tendo Kabeya Horma (stg/ Ifasic)</div>
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Le direct

Au tour de Kinshasa Bandal : un enfant sorcier à betami ti na liwa.

Depuis jeudi 29 mai 2014, une scène difficile à supporter a eu pour le cadre le croisement des avenues Mbavu et 8 Décembre, au quartier Syn...

Afrique : en finir avec la violence envers les femmes

June 11, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvGzir-OAtnOvNOs1UsDV7I-AMn9_dPwfK6M1-6R_PezAkHaTucVjO2FJXyFPag0aQtA-nb-miiduryDDYQ23fWbnQwCSL0WX7aIFKLIYTtgshnmkYrNNy7OggzNrbuCkGdG7x5URlg9Y/s1600/Snapshot_26.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="231" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvGzir-OAtnOvNOs1UsDV7I-AMn9_dPwfK6M1-6R_PezAkHaTucVjO2FJXyFPag0aQtA-nb-miiduryDDYQ23fWbnQwCSL0WX7aIFKLIYTtgshnmkYrNNy7OggzNrbuCkGdG7x5URlg9Y/s1600/Snapshot_26.jpg" width="400" /></a></div>
"L'homme qui répare les femmes" : c'est ainsi qu'on a pu définir le Dr Denis Mukwege, gynécologue à Bukavu, proposé au Nobel de la Paix 2013 pour son combat contre la violence envers les femmes, un fléau qui fait encore chaque jour plus de 40 victimes en République Démocratique du Congo.<br />
<br />
Avec lui sur le plateau d'Africa Europa pour répondre aux questions de Mona Mpembele (Afrikavision) : les eurodéputés Louis Michel (Libéraux), Isabelle Durant (Verts) et Mariya Gabriel (Populaires) ainsi qu'Elena Matundu, responsable associative de la diaspora congolaise en Belgique. Débat enregistré pour TELESUD le 6 novembre 2013 au Parlement européen à Bruxelles.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both;">
</div>
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvGzir-OAtnOvNOs1UsDV7I-AMn9_dPwfK6M1-6R_PezAkHaTucVjO2FJXyFPag0aQtA-nb-miiduryDDYQ23fWbnQwCSL0WX7aIFKLIYTtgshnmkYrNNy7OggzNrbuCkGdG7x5URlg9Y/s1600/Snapshot_26.jpg" rel="image_src" width="400"></link>

Santé Afrique : en finir avec la violence envers les femmes

"L'homme qui répare les femmes" : c'est ainsi qu'on a pu définir le Dr Denis Mukwege, gynécologue à Bukavu, proposé ...

Une veillée de prières met KO le voisin d’une église

June 11, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">Un homme qui souffre de l’hypertension a piqué une forte crise dans la nuit de lundi à mardi 27 mai 2014 au quartier Bahumbu, dans la commune de Matete, suite aux tapages faits par des fidèles d’une église de réveil, qui avaient programmé à cette occasion une veillée de prières. L’épouse de l’intéressé et ses enfants ont dû se couper en quatre pour aider leur mari et père à sortir de la mauvaise passe.</span></h3>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjUpHsS5r2wrs64r1By8xYYkRTLS5ENhQASrcCV_-5Xlw2_D3KYvpiihX6l98s0CmEb7LdhPHhJXLDDQ2QDyZ4lqJWjY3cPQsZWEFBha2-ZmUOWDn2KYnLK5zLS9IOC78Ns6_Cu0l2Vg-I/s1600/Snapshot_22.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="270" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjUpHsS5r2wrs64r1By8xYYkRTLS5ENhQASrcCV_-5Xlw2_D3KYvpiihX6l98s0CmEb7LdhPHhJXLDDQ2QDyZ4lqJWjY3cPQsZWEFBha2-ZmUOWDn2KYnLK5zLS9IOC78Ns6_Cu0l2Vg-I/s1600/Snapshot_22.jpg" width="400" /></a></div>
<div>
Au matin, très en colère contre les auteurs des tapages nocturnes qui ont failli emporter leur chef de famille, la dame et ses enfants ont interpellé le pasteur de l’église en question et ses fidèles pour leur faire savoir le tort qu’ils allaient leur causer. Alors qu’ils s’attendaient à recevoir des excuses, on les a plutôt accueillis avec désinvolture, ce qui a eu pour conséquence de les mettre davantage en colère.</div>
<div>
<br />
La tension est tellement montée entre les deux parties que la dispute a dégénéré en bataille rangée. Au terme de celle-ci, on a dénombré deux blessés graves, dont un dans chaque camp.<br />
<br />
Alertée par des témoins de la scène, la police est venue chercher quelques belligérants en vue de tirer l’affaire au clair.<br />
<br />
Mudiangu Mbungu<br />
<br />
(stg/ Ifasic)</div>
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Le direct

Au tour de Kinshasa Une veillée de prières met KO le voisin d’une église

Un homme qui souffre de l’hypertension a piqué une forte crise dans la nuit de lundi à mardi 27 mai 2014 au quartier Bahumbu, dans la commu...

Congo-Brazzaville : un objet volant non identifié au dessus de Brazzaville

June 11, 2014

<span style="font-size: large;">Dimanche 9 juin 2014 , 20H44 Brazzaville , Un objet volant non identifié (OVNI) apparaît au dessus du quartier Plateau des 15 ans , </span><br />
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjf9FVJorEz6U2pwKUCZN0PafXMZVzyQvclS2IFdEpWWXrq63YM6UnQWTa89FOkdkl-4PY6G_w4uJ7ZN2wyhBbPpdc6xRmw2a41nBeyG_TMffoCJFlCy-R6WqqGnGogKKuEl6hhgU5XgwU/s1600/Snapshot_11~2.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjf9FVJorEz6U2pwKUCZN0PafXMZVzyQvclS2IFdEpWWXrq63YM6UnQWTa89FOkdkl-4PY6G_w4uJ7ZN2wyhBbPpdc6xRmw2a41nBeyG_TMffoCJFlCy-R6WqqGnGogKKuEl6hhgU5XgwU/s1600/Snapshot_11~2.jpg" width="366" /></a><span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<span style="font-size: large;">il reste en lévitation 1 minute à 30 mètres au dessus du sol puis disparait avec un accélération impressionnant . L’objet ne faisait aucun bruit.</span><br />
<span style="font-size: large;"><b>brazza-news</b></span></div>
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Le direct

Divers internationale Congo-Brazzaville : un objet volant non identifié au dessus de Brazzaville

Dimanche 9 juin 2014 , 20H44 Brazzaville , Un objet volant non identifié (OVNI) apparaît au dessus du quartier Plateau des 15 ans , ...

Le MLC contre la révision constitutionnelle

June 11, 2014

<h3>
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEPpagSGDmwUJwXRD-uwsAixHPDD6Vprq4DOoqfW42UwkAq1hsMW-S5Ncf7HXhfigv4MB88rn4H3qNKj8CvXi7v2YdJng_LQTJjIaJ9fyrBpbhSfgux3LMJ-Ne-MGapwy0FnAGQJh-_Us/s1600/Snapshot_9~1.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
<span style="font-size: large;">Le Mouvement de Libération du Congo, MLC en sigle, a appris, à travers le compte rendu du Conseil des Ministres tenu à Kinshasa ce 9 juin 2014, la volonté du Gouvernement congolais, de procéder à la révision de certains articles de la Constitution.</span></h3>
<br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEPpagSGDmwUJwXRD-uwsAixHPDD6Vprq4DOoqfW42UwkAq1hsMW-S5Ncf7HXhfigv4MB88rn4H3qNKj8CvXi7v2YdJng_LQTJjIaJ9fyrBpbhSfgux3LMJ-Ne-MGapwy0FnAGQJh-_Us/s1600/Snapshot_9~1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="276" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEPpagSGDmwUJwXRD-uwsAixHPDD6Vprq4DOoqfW42UwkAq1hsMW-S5Ncf7HXhfigv4MB88rn4H3qNKj8CvXi7v2YdJng_LQTJjIaJ9fyrBpbhSfgux3LMJ-Ne-MGapwy0FnAGQJh-_Us/s1600/Snapshot_9~1.jpg" width="400" /></a></div>
<div>
A ce sujet, le Comité Exécutif National du Mouvement de Libération du Congo constate:</div>
<div>
<br />
1. Le communiqué ne précise aucunement les articles visés par ce projet, comme si le gouvernement voulait entretenir un flou artistique, en vue de surprendre l’opinion publique;<br />
<br />
2. Contrairement aux affirmations de certains leaders de la Majorité, rassurant l’opinion publique que la Constitution ne sera pas modifiée, il est manifeste aujourd’hui que les soupçons de l’Opposition Politique sur l’intention des tenants du pouvoir actuel de modifier la Constitution en leur faveur sont fondés ;<br />
<br />
3.         Il apparait aussi, de manière claire, que le gouvernement actuel veut persévérer dans sa politique de gouvernance par défi, en profitant de sa majorité parlementaire actuelle, sans tenir compte de l’opinion générale.<br />
<br />
Par conséquent, le MLC, conformément à son engagement républicain et soucieux de préserver les acquis de la démocratie, unique voie pouvant conduire notre pays vers la paix, la stabilité et le développement, déclare:<br />
<br />
Vouloir modifier de manière unilatérale les dispositions constitutionnelles et changer les règles du jeu lié au processus électoral contre la volonté d’une frange importante des forces vives de la nation et de l’opinion publique, c’est:<br />
<br />
1.         Violer l’esprit démocratique qui anime notre Constitution ainsi que le consensus républicain;<br />
<br />
2.         Violer l’esprit de cohésion nationale tant recherchée lors des concertations et inhiber les engagements de la classe politique et des différents partenaires impliqués dans le processus.<br />
<br />
En conclusion, le MLC réitère sa volonté de s’opposer à tout projet de modification des articles de notre Constitution, dans le contexte pré-électoral actuel, et condamne toute initiative allant dans ce sens et préconise un dialogue permanent des toutes les forces politiques autour du processus électoral en cours, dans l’esprit du consensus qui a régné lors des Concertations Nationales.<br />
<br />
« Avec Dieu, nous vaincrons»<br />
<br />
<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 10/06/2014<br />
<br />
Thomas LUHAKA LOSENDJOLA<br />
<br />
Secrétaire Général</div>
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<br />
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Politique Le MLC contre la révision constitutionnelle

Le Mouvement de Libération du Congo, MLC en sigle, a appris, à travers le compte rendu du Conseil des Ministres tenu à Kinshasa ce 9 juin ...

PARLEMENT : LES RAISONS D’UNE SESSION EXTRAORDINAIRE

June 11, 2014

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<span style="font-size: large;">* A quatre jours de la clôture de la session ordinaire de mars en cours, il ne sera plus possible pour les deux Chambres d’examiner rigoureusement le projet de loi portant modification de la loi électorale, et, éventuellement investir le Gouvernement dit de cohésion nationale.</span></h3>
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Lentement mais sûrement, la session parlementaire ordinaire en cours, tire à sa fin. Constitutionnellement, les deux chambres doivent fermer leurs portes dès ce 15 juin. Et, comme cette date tombe un dimanche, la cérémonie de clôture des ces assemblées aura lieu le lundi 16, conformément aux dispositions de l’article 115 de la Constitution.</div>
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Cependant, sur le plan de la production législative, Sénateurs et Députés vont quitter l’hémicycle, sans avoir examiné et éventuellement, adopter une matière très importante, pourtant prévue dans le calendrier de la session finissante de mars . Il s’agit du projet de loi portant modification de la loi électorale. Selon des sources parlementaires, le texte dudit projet n’est toujours pas encore parvenu à l’Assemblée nationale qui devra l’examiner en premier ressort, avant de l’envoyer à la Chambre haute. " C’est possible que le Gouvernement envoie cette matière au courant de la semaine. Nous attendons ", a déclaré un député rencontré hier dans le parloir du Palais du peuple. <br />
Compte tenu de la délicatesse et même de l’intérêt de la matière à traiter, le Gouvernement a désormais l’obligation des moyens. C’est-à-dire concéder une session extraordinaire au Parlement. Rien à faire, tant la problématique de l’organisation des élections en RD Congo continue à défrayer la chronique. Même bien loin, au-delà des frontières nationales. La récente " croisade " des Envoyés spéciaux des pays incarnat de l’opinion de la terre entière, en est une illustration parfaite.<br />
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INVESTIR LE GOUVERNEMENT, UNE AUTRE RAISON<br />
En plus de l’examen du projet de loi modifiant la Loi électorale, le Parlement a en face de lui une autre obligation constitutionnelle : l’investiture du Gouvernement. Pour le coup, le très attendu Exécutif national, timbré " Gouvernement de cohésion nationale ". Annoncée depuis octobre 2013, lors de la clôture des travaux des Concertations nationales, devant les deux chambres du Parlement réunies en Congrès, cette équipe s’est fait longuement attendre. Au point même que les débats à ce sujet semblent ne plus intéresser personne. Si ce ne sont les acteurs politiques qui en parlent à mi-mots autour d’un verre, lorsqu’ils n’ont plus rien à se dire. Joseph Kabila a ainsi déjoué les pronostics de tous les vendeurs d’illusions qui avançaient des dates de sortie effective de ce gouvernement. Depuis, on n’a rien vu venir. Et les attentes se multiplient. Le suspense aura donc été épais. <br />
Tout en donnant l’info avec toutes les réserves du conditionnel, certaines indiscrétions du couloir du Palais du peuple, siège du Parlement rd congolais, indiquent avec persistance que la nouvelle équipe gouvernementale serait déjà fin prêtes et qu’elle pourrait même incessamment être publiée. Sont-ce encore là, une fois le mieux, les hallucinations des politiciens dotés du don de clairvoyance ? Cette fois-ci serait-elle la bonne ? Rien n’est sûr. Rien n’est non plus totalement faux. <br />
Mais, à l’hypothèse que le Chef de l’Etat prenne sa " fatidique " Ordonnance dans la seconde moitié du mois de juin en cours, il aura ainsi donné une nouvelle matière au Parlement. Particulièrement l’Assemblée nationale, jouissant des prérogatives constitutionnelles d’investir le Gouvernement. Voilà, qui parait une deuxième raison motivant la pertinence d’une session parlementaire extraordinaire. Et, une fois encore, le Premier ministre ne devra pas lésiner sur les moyens quant à ce.<br />
Sur le plan purement interne, l’ordonnance du Président de la République aura l’avantage de servir de thérapie à tous les acteurs politiques victimes d’un sommeil paradoxal. Car, depuis l’annonce de la mise sur pied d’un nouvel Exécutif, on parie que nombreux sont des acteurs politiques qui ne savent plus dormir sur les deux oreilles. Si certains membres du Gouvernement actuel se nourrissent de la peur de perdre leurs postes, les attentistes multiplient des salamalecs pour prétendre goûter les délices du pouvoir. Quel que soit le cas de figure, la situation ressemble à celle des étudiants en attente des résultats, à l’issue d’une délibération du jury.<br />
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REVISER CERTAINES DISPOSITIONS DE LA CONSTITUTION<br />
Certaines dispositions de la constitution en vigueur en RD Congo seront révisées. L’option a été levée lors d’une réunion du conseil des ministres extraordinaire du lundi dernier. Le compte-rendu de cette assemblée faisant foi. Même si les articles ciblés n’ont pas été clairement mentionnés, du moins, le ton est donné et la démarche pour, parait irréversible. Désormais donc, l’opinion a l’œil juché sur le Parlement.<br />
Dans l’hypothèse que les députés nationaux donnent leur quitus, il est bien évident que cette matière ne soit pas traitée pendant la session ordinaire en cours. Non pas à cause de la délicatesse de la question, plutôt parce que nos élus n’ont pas le temps matériel nécessaire pour mener des débats rigoureux et " objectifs " sur les matières révisables. De ce point de vue, la révision de certains articles de la loi des lois, ne pourrait intervenir qu’au cours de la session parlementaire extraordinaire en vue dont l’ouverture est prévue soit le lundi 16 juin, immédiatement après la cérémonie de clôture de la session ordinaire en cours, soit le jour suivant. C’est-a-dire le mardi 17 juin. Question pour les bureaux des deux chambres de lever l’option, quant à la forme. Laurel KANKOLE</div>
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