BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Journée Mondiale de la Population. RDC : l’efficacité de l’autonomisation des adolescentes s’impose

July 12, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjO-Nk-VtNYSEohfIiWmSzWoQFLupGz2PUZP86jEK98r6j-o_lljPMaw3o1M1cyjA3gUxxMOGyHNgpq7G0r9AwMAvbAQdwEwkqVWYZQ7F-aKhESOFujuKgd-XuSFwnCqMgXte0RkzVMSOc-/s1600/Snapshot_422.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjO-Nk-VtNYSEohfIiWmSzWoQFLupGz2PUZP86jEK98r6j-o_lljPMaw3o1M1cyjA3gUxxMOGyHNgpq7G0r9AwMAvbAQdwEwkqVWYZQ7F-aKhESOFujuKgd-XuSFwnCqMgXte0RkzVMSOc-/s400/Snapshot_422.jpeg" width="400" /></a>La date du 11 juillet est consacrée Journée Mondiale de la Population (JMP). Et, à Kinshasa, le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA), en collaboration avec le Ministère du Plan et Suivi de la Révolution de la Modernité, a organisé une cérémonie à l’Hôtel du Fleuve Congo, en vue de cogiter sur le thème de cette année : ‘’investir dans l’adolescente’’. Car, cette catégorie est confrontée, de par le monde, à plusieurs défis, contrairement à leurs homologues masculins. Et, la RD. Congo, qui n’échappe pas à cette réalité, est appelée notamment, à rendre plus efficace son autonomisation, en travaillant particulièrement sur les us et coutumes. Le but ainsi poursuivi consiste à combattre les inégalités liées au genre.<br />
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L’adolescence est une étape importante de la vie, dans l’acquisition des compétences, des conditions de santé, des réseaux sociaux qui constituent le capital social indispensable à l’épanouissement personnel.<br />
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Selon l’Enquête Démographique Stratégique (EDS), les adolescentes, en RDC, représentent 7% de la population, du moins, celles dont l’âge varie entre 10 et 19 ans. S’il faut aller jusqu’à 24 ans, ce chiffre avoisine 14%. Ce qui explique la nécessité de s’occuper d’elles. Pour le Prof. Bernard Lututala, qui a livré ces informations, l’obligation de faire attention à elles s’explique par le fait qu’elles sont souvent victimes de plusieurs inégalités de genre. Aussi, est-il qu’elles ont des besoins et aspirations qui demeurent moins satisfaits. Car, une étude de la Pépinière, un projet Britannique qui s’occupe de la situation des adolescentes à Kinshasa, indique qu’elles aspirent d’être bien vues et respectées dans la société. <br />
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Se conformant au Programme National stratégique de Développement (PNSD) de 2016, il a relevé que la politique Gouvernementale, par rapport à cette frange de la population, garantie une éducation pour tous, en matière de l’EPS-INC. Dans d’autres domaines, cependant, il y a la lutte contre les inégalités, la mise en place d’un cadre de protection sociale, prise en charge de santé mère et enfant. Mais, il a constaté qu’il existe peu de politique ciblée sur les adolescentes, alors qu’il y a nécessité de la prise en compte des pesanteurs socioculturelles par le fait même d’avoir une société encore masculinisée. Les jeunes, de leur côté, présentent notamment, une faiblesse des mouvements, ainsi qu’une tendance à privilégier les valeurs négatives.<br />
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Pour remédier à tous ces maux, il propose de mieux combattre les inégalités de genre à travers, spécialement, l’éducation, la formation et sensibilisation, l’application des Lois sur la parité, l’efficacité dans l’autonomisation des adolescentes en travaillant surtout sur les us et coutumes.<br />
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Importance d’investir dans l’adolescente<br />
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C’est Diene Keita, Représentante-pays de l’UNFPA, qui a lu le message du Secrétaire Exécutif de cette structure. Celui-ci estime qu’investir dans l’adolescente est susceptible d’obtenir un monde juste, stable et pacifique. Lequel message indique que des investissements s’imposent pour protéger la santé sexuelle  et procréative des adolescentes. La finalité est de leur permettre de recevoir une éducation de qualité et élargir leurs perspectives d’obtenir un emploi décent. D’autant plus qu’une adolescente, dont les droits sont respectés et qui est à même de réaliser pleinement son potentiel, a une meilleure chance de contribuer au progrès social et économique de sa nation.<br />
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Intervention du Gouvernement<br />
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Parlant en termes des chiffres, Franklin Tshamala, Vice-Ministre du Plan, a signalé que la célébration de la JMP présente un intérêt particulier pour la RDC. D’autant plus que les adolescentes font face aux nombreux défis, parmi lesquels, le mariage et grossesses précoces, les abandons scolaires et violences basées sur le genre. Conscient du potentiel dont elles disposent pour participer pleinement au développement économique et social de la nation, le Gouvernement congolais a ratifié plusieurs instruments juridiques internationaux. C’est le cas de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard de la femme et celle relative aux droits des enfants. A cela, s’ajoute la Charte africaine pour les Droits et bien-être de l’enfant. A titre de réponse pour subvenir aux besoins des adolescentes et réduire leur vulnérabilité, il a indiqué que le Gouvernement, en collaboration avec ses partenaires, se focalise, principalement, sur l’élaboration des nouvelles lois dans les domaines de santé de la reproduction et du genre, et la révision du code de la famille. Lequel code fait passer l’âge minimum au mariage à 18 ans, désormais. Du point de vue pratique, c’est à travers le Ministère de la Femme, Famille et Enfant qu’il a été lancé, depuis le 15 mai dernier, une campagne de lutte contre les mariages précoces sur toute l’étendue du pays et ce, pendant deux ans. Aussi, un plan triennal de lutte contre le mariage précoce est-il élaboré.

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La date du 11 juillet est consacrée Journée Mondiale de la Population (JMP). Et, à Kinshasa, le Fonds des Nations Unies pour la Population...

Après 5 ans d’interruption : le Magazine ‘’Echos du Ministère du Budget’’ relancé

July 12, 2016

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L’interruption de parution du Magazine ‘’Echos du Ministère du Budget date de 2011. La relance est désormais effective. En effet, depuis hier, Michel Bongongo, Ministre d’Etat en charge du Budget a annoncé que cette revue désormais disponible chaque trimestre. Il l’a dit officiellement dans l’enceinte de la Direction des Etudes et Programmation Budgétaire (DEPS) où était présenté le nouveau numéro d’avril à juin 2016.<br />
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C’est sous une note de satisfaction que les cadres et agents de l’administration du Budget ont accueilli ce Magazine. Et, selon Mme Mata Ngosenganya, Secrétaire Générale ai du Budget, ce document est important pour la vulgarisation du processus budgétaire. Car, il répond exactement au vœu exprimé par le Ministre d’Etat lors de son passage à cette direction, où il a martelé sur les outils de communication efficace. Cela, depuis 2011, année de parution du dernier numéro, ayant marqué le 25ème anniversaire de ce Ministère. Cet évènement est un nouveau départ, dit-elle. Elle souhaite en outre que plus rien n’entraver cet élan. D’autant plus que dans ce nouveau magazine figure un impact sur son contenu rédactionnel. Elle remercie au finish le Ministère pour s’être investi à la relance de cette revue, en l’invitant de l’enrichir régulièrement des articles.<br />
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Après avoir remis officiellement le Magazine à la SG a.i au Budget, Michel Bongongo a félicité l’équipe rédactionnelle pour la qualité du contenu et la présentation du Magazine. ‘’Nous pouvons faire beaucoup de chose, mais lorsque ce n’est pas connu par la population, nous risquons de ne pas connaître l’assentiment de la population’’, a-t-il indiqué. A l’en croire, la vulgarisation des différentes activités qui partent de la préparation à l’exécution du budget est indispensable. Toutefois, il a complimenté la DEPB qui se concentre dans l’exécution de cette tâche. <br />
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Quelles que soient les difficultés, il rassure que, la publication de ce magazine ne va pas s’arrêter. Car, il sera désormais réalisé par trimestre, avec espoir que ce travail de qualité continue d’honorer le Ministère du Budget. ‘’Vous pouvez compter sur moi par rapport aux efforts à fournir pour que le travail se fasse comme il se doit’’, a-t-il conclu.

Economie Après 5 ans d’interruption : le Magazine ‘’Echos du Ministère du Budget’’ relancé

L’interruption de parution du Magazine ‘’Echos du Ministère du Budget date de 2011. La relance est désormais effective. En effet, depuis h...

Majorité-Opposition. RDC : l’Onu relance un appel au Dialogue !

July 12, 2016

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Pour Jan Eliasson, seul un dialogue inclusif entre le Gouvernement de la RDC et l’opposition pourra ouvrir la voie aux élections en novembre prochain<br />
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Face aux tensions politiques plus fortes que jamais à l’approche des élections prévues en novembre, le Vice-Secrétaire général de l’ONU, M. Jan Eliasson, a présenté, aujourd’hui devant le Conseil de sécurité, des éléments qui pourraient favoriser le dialogue inclusif et crédible entre la majorité et l’opposition, seul susceptible d’apaiser les tensions et d’ouvrir la voie à un processus électoral transparent et équitable; éléments dans lesquels la communauté internationale et la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) jouent un rôle important.  <br />
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Pour sa part, le représentant de la RDC a reconnu que le dialogue « traîne en longueur » en souhaitant cependant qu’il soit avant tout « l’affaire des Congolais ».  Il a par ailleurs contesté les accusations d’un rétrécissement de l’espace de la société civile avant les élections.<br />
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M. Eliasson a expliqué être venu au Conseil pour « transmettre les préoccupations du Secrétaire général » sur la situation en RDC.  À cette fin, il a largement repris en les actualisant les éléments du rapport du Secrétaire général, lequel met l’accent sur la tension politique croissante, doublée d’un rétrécissement de l’espace accordé à la société civile, et constate que le dialogue national proposé par le Président Joseph Kabila pour sortir de l’impasse électorale et désamorcer les tensions politiques « n’a fait aucun progrès » au cours du trimestre écoulé.<br />
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Or, dans sa résolution 2277 (2016) du 30 mars dernier, le Conseil de sécurité avait déjà constaté avec une profonde préoccupation les retards dans les préparatifs de l’élection présidentielle.  Il avait ainsi souligné crucial que le prochain cycle électoral se déroule de façon pacifique et crédible et avait exprimé sa vive préoccupation face au rétrécissement de l’espace politique dans le pays, tout en rappelant la nécessité d’un dialogue politique ouvert, inclusif pacifique.<br />
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Tandis que le second et dernier mandat de M. Kabila -selon la Constitution en vigueur– s’achève à la fin de l’année, fait remarquer le Secrétaire général dans son rapport, « un certain nombre d’autres faits nouveaux ont contribué à tendre le climat politique et à aggraver les divisions entre le Gouvernement congolais et l’opposition ».  À cet égard, il cite un jugement rendu le 11 mai par la Cour constitutionnelle à la demande de nombreux membres de l’Assemblée nationale, selon lequel le Président et les membres du Parlement devraient rester en poste jusqu’à l’entrée en fonctions des nouveaux titulaires.  Pour le Secrétaire général, un « dialogue crédible et sans exclusive entre les parties prenantes concernées reste le seul moyen viable de faire face aux retards escomptés dans les élections présidentielle et législatives et de prévenir l’instabilité politique et la violence, si elles n’ont pas lieu en novembre ».<br />
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Comme l’a expliqué M. Eliasson, le dialogue proposé par le Président Kabila  est toujours dans l’incertitude.  La majorité et l’opposition ont exprimé un soutien de principe à un tel dialogue mais il n’existe toujours pas d’accord sur les conditions de ce dernier, ni sur les participants.<br />
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Le Président Kabila a, en effet, réaffirmé la nécessité d’un tel dialogue lors de son message à la nation, le 30 juin, et a exhorté le Facilitateur nommé par l’Union africaine, début avril, l’ancien Premier Ministre du Togo Edem Kodjo, de prendre des mesures pour rendre ce dialogue possible.  Toutefois, des membres éminents de l’opposition continuent d’exprimer des réserves, au motif que ce dialogue pourrait aboutir à une prorogation de son mandat au-delà de novembre 2016.  <br />
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A  ce stade, les efforts du Facilitateur, appuyé par le Représentant spécial du Secrétaire général, M. Maman Sidikou, et l’Envoyé spécial pour la région des Grands Lacs, M. Saïd Djinnit, n’ont pas réussi à réconcilier les positions, a fait observer M. Eliasson.<br />
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En l’absence d’un dialogue inclusif, qui pourrait déboucher sur un large accord permettant d’organiser des élections présidentielles et législatives crédibles, il existe un risque réel de voir les acteurs politiques recourir à des décisions unilatérales qui risquent d’aggraver davantage les tensions actuelles, a averti le Vice-Secrétaire général.  Cela risque de donner lieu à une crise grave, avec une forte probabilité de violences et d’une instabilité persistante.<br />
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Une telle issue, qui peut encore être évitée, viendrait non seulement saper les gains politiques, de sécurité et de développement enregistrés durant les dernières années, mais exigerait aussi une réponse au-delà des capacités de la MONUSCO, a poursuivi M. Eliasson, qui a attiré l’attention sur trois éléments susceptibles de venir appuyer un dialogue constructif.<br />
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Le Vice-Secrétaire général a d’abord estimé que le Groupe international de soutien à la facilitation récemment créé pourrait jouer un rôle important pour rétablir la confiance dans le processus de dialogue.  M. Eliasson s’est ainsi félicité de la réunion inaugurale du Groupe, qui s’est tenue le 4 juillet à Addis-Abeba.  Le groupe de soutien comprend des représentants de l’Union africaine, de l’Union européenne, de l’ONU –dont la MONUSCO-, de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) et de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs.<br />
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Ensuite, l’existence d’un registre électoral fiable pourrait aider à ouvrir la voie à des élections transparentes et équitables.  La MONUSCO apporte une assistance technique et un soutien logistique à la révision du registre. <br />
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À la demande du Conseil, la MONUSCO a actualisé ses plans pour traiter des risques et suivre les violations et abus contre les droits de l’homme dans le contexte des élections.  La protection des civils restent la priorité de la Mission, a ajouté M. Eliasson, qui a toutefois fait observer qu’en cas de crise politique et de sécurité majeure, il serait irréaliste d’attendre de la Mission qu’elle se substitue à l’État.<br />
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Par ailleurs, le Vice-Secrétaire général a rappelé que la situation en termes de sécurité restait très grave dans la région des Kivus.  Il s’est dit particulièrement inquiet de la situation à Beni, où les Forces démocratiques alliées (ADF) ont attaqué tant les Forces armées de la RDC (FARDC) et la MONUSCO que des civils sans défense, ainsi que des tensions communautaires dans les zones de Lubero et Walikale.  En revanche, il a jugé encourageante la reprise de la coopération entre les FARDC et la MONUSCO, avant d’estimer qu’en fin de compte, la menace que les différents groupes armés représentent ne pourra être traitée que par une combinaison de pression militaire et de mesures politiques.<br />
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Pour sa part, le représentant de la République démocratique du Congo, M. Ignace Gata Mavita, a reconnu que le processus électoral avait pris du retard.  « Mon pays tient à l’organisation d’élections libres et respectueuses de tous les standards internationaux en matière d’inclusivité, de transparence et de crédibilité et cela dans un climat apaisé en vue de sauvegarder la paix chèrement acquise », a-t-il néanmoins déclaré.  Cette détermination a été récemment réaffirmée par le Président Kabila, a rappelé le représentant, avant de préciser que le processus d’enregistrement sur les listes électorales avait été fixé pour ce mois de juillet.  Soulignant l’importance d’un dialogue national politique inclusif pour surmonter les obstacles, M. Gata Mavita a souhaité que ce dialogue, qui « tire en longueur », soit avant tout « l’affaire des Congolais ».<br />
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M. Gata Mavita est ensuite revenu sur le point relatif au rétrécissement de l’espace politique.  Toutes nos informations n’ont porté aucun résultat pour corriger la mauvaise perception véhiculée à ce sujet auprès de la communauté internationale, a-t-il regretté.  Il s’est d’ailleurs demandé si ce manque d’informations objectives n’avait pas pour but de jeter gratuitement le discrédit sur les institutions congolaises.  L’espace politique en RDC est le plus ouvert de toute la région, a-t-il assuré, en précisant que le pays comptait plus de 400 partis politiques et des centaines de chaines privées de radio et de télévision.  Plusieurs de ces chaînes, qui sont libres de fixer leur ligne éditoriale, appartiennent, a-t-il ajouté, à des membres de l’opposition.  « Ces chaînes passent souvent le plus clair de leur temps à critiquer les institutions publiques et même le Chef de l’État », a-t-il relevé.<br />
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Jugeant les critiques injustifiées, M. Gata Mavita a rappelé que les libertés publiques devraient s’exercer conformément à la loi et dans le respect des exigences de l’ordre public.  L’exercice des droits et libertés d’un individu, a-t-il dit, ne peut justifier que ce dernier défie impunément l’arsenal juridique protecteur des droits et de la sécurité de tous.  « L’appartenance à l’opposition ou à la majorité ou à tout autre corps au sein du pays ne disculpe pas de sa responsabilité l’auteur d’une infraction de droit commun. »<br />
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Enfin, le représentant congolais s’est, lui aussi, félicité de la reprise de la coopération entre les FARDC et la MONUSCO dans le cadre de la lutte contre les forces négatives et les groupes armés.  «Nous fondons l’espoir, a-t-il dit, que cette coopération permettra d’en finir rapidement avec les FDLR pour concentrer tous les efforts sur les ADF en vue de sécuriser complètement la région de Béni et les quelques localités qui souffrent encore de la présence des groupes armés».

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*La situation politico-sécuritaire de la RDC est suivie et analysée de très près à l’ONU. Le pays court le risque d’une crise grave si un...

PPRD : Mova soutient ouvertement le report des élections !

July 12, 2016

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*Le Secrétaire général du PPRD ne se fait aucun doute sur le report des élections en RDC. S’il n’y a pas élection avant le 19 décembre prochain, l’interprétation de l’article 70 de la Constitution faite par la Cour Constitutionnelle suffit pour permettre au Président Kabila de conserver son fauteuil. Les élections n’auront certainement pas lieu avant fin 2017. Parce que la CENI aura besoin de 16 mois minimum pour produire un nouveau fichier électoral. Si l’opération d’enrôlement des électeurs débute à la fin du mois de juillet courant, il faudrait attendre, dans le meilleur des cas, août 2017. Devant les difficultés techniques ou météorologiques ou de retard de calendrier, on peut reporter l’élection jusqu’à plusieurs années. Pourquoi ce retard ? C’est à cause de l’Opposition qui a rejeté le calendrier de la CENI, répond-il, simplement. <br />
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Toutes ces déclarations sont sorties de la bouche de  Mova. Il répondait, lundi 11 juillet, aux questions de Radio France Internationale. A sa manière, il est persuadé de clore le débat sur l’éventualité d’une transition à l’expiration du mandat de Joseph Kabila.  Pour traverser, un consensus politique est nécessaire. D’où, l’importance du dialogue politique annoncé. Cependant, en dehors d’un soutien de principe au dialogue, la Majorité et l’Opposition ne se mettent pas d’accord sur tous les points. En effet, des divergences majeures subsistent tant sur le format et la finalité du dialogue que sur la nature des participants. La sortie médiatique du Secrétaire général du PPRD a l’avantage de fixer l’opinion sur ces différents aspects. Entre le PPRD et la CENI, il se dégage une convergence des vues. La position défendue par le PPRD a été, également, répercutée à New York par Gata Mavinga, le Représentant de la RDC  aux Nations Unies. Il a admis le fait que le processus électoral ait pris du retard. Mais, il a souligné que son pays tient à l’organisation d’élections libres et respectueuses de tous les standards internationaux en matière d’inclusivité, de transparence et de crédibilité dans un climat apaisé. Le dialogue national politique devrait aider à surmonter les obstacles.  Il est à craindre que les déclarations du Secrétaire général du PPRD ne contribuent à nourrir le doute des opposants qui perçoivent le dialogue comme un moyen de légitimer le glissement collectif des mandats.

Politique PPRD : Mova soutient ouvertement le report des élections !

*Le Secrétaire général du PPRD ne se fait aucun doute sur le report des élections en RDC. S’il n’y a pas élection avant le 19 décembre pro...

Ouvert hier au centre Caritas : l’atelier de formation des journalistes se clôture demain !

July 12, 2016

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A tout dire, c’est une série d’ateliers qui est prévue par les organisateurs dans le cadre d’un projet nommé ‘’Protéger et former les journalistes pour renforcer la liberté d’expression en République démocratique du Congo‘’ pour faire le suivi des acquis des précédentes sessions.<br />
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Le premier du lot<br />
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L’atelier en cours au centre Caritas, premier du lot concerne près de dix journalistes de Kinshasa. Ils étaient là, hier, 11 juillet au centre Caritas pour l’atelier de suivi de la formation en déontologie et mécanismes d’autoprotection dont ils ont été bénéficiaires. Eux ? Eh bien, c’est des chevaliers de la plume, des chevronnés du son et de l’image. Tirés à quatre épingles, ils ont répondu présent à l’invitation leur lancée par les responsables de RCN J&D. Et, pour les accueillir, toute la somme de mesures étaient prises. Comme orateur : une responsable de l’Union Congolaise des Femmes des médias. Au programme, il y avait, l’examen des acquis de la formation passée avec un zoom sur les notions de base du journalisme et, enfin, la dispensation des notions sur le genre avec comme base l’implication active des médias pour la promotion d’un genre défait de tout vice tant dans la presse congolaise que dans tout le pays.<br />
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Ce mardi<br />
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Les participants à l’atelier de suivi devraient, imprévu omis, être abreuvés par un responsable de la structure Journaliste En Danger. Au menu, il devrait y avoir, un rappel sur les droits et devoirs des journalistes ainsi que le développement des notions relatives à l’aide légale et à la compétence judiciaire.<br />
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La clôture<br />
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Elle devra intervenir sous la modération des ténors de l’organisation non gouvernementale RCN Justice & Démocratie. Après l’arrivée des participants, il y aura, lecture du compte tendu de la 2ème journée, présentation de la fiche de suivi et évaluation de la formation ainsi que constitution des focus group. Ces étapes passées, les participants scindés en groupes de réflexion devront travailler à coté, les uns avec les autres au sein de leur formation. Pui, à la fin, une restitution grandeur nature et une mise en commun seront effectuées avec à la clé, l’élaboration des pertinentes recommandations.  <br />
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La loi et vous<br />
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A la suite de chaque atelier, il est de coutume que les journalistes participent à l’élaboration d’un livret ‘‘la loi et nous’’. Des articles des registres variés allant des faits de sociétés aux phénomènes variés de la l’économie ou soit de la politique sont souvent alignés. Outre Kinshasa, ce projet vise depuis son début, des professionnels des médias de la Ville de Goma, chef- lieu de la province du Nord-Kivu. D’ici quelques semaines, les lecteurs congolais vont, non sans plaisir, se plonger dans la lecture du tome III de cet opus.

Média Ouvert hier au centre Caritas : l’atelier de formation des journalistes se clôture demain !

L’ONG RCN Justice & Démocratie aimerait par ces assises, évaluer la mise en pratique des connaissances dispensés jadis auxdits profess...

Kinshasa: Justin Bitakwira nomme et intronise à l’ARCN !

July 12, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjU1fR1oUFrKA2AS-mVFTQUWXSV40QWdUsFeT21hPYu7nzRKPYZg4Z9GzmszjLuwVjd2klz5CLQKtnE0uGrN-xvodPU2gy4b4zieMWQjtDulvqYumlqhKGtWrAyqP33ac_-6AMRa5LiCZBI/s1600/Snapshot_416.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjU1fR1oUFrKA2AS-mVFTQUWXSV40QWdUsFeT21hPYu7nzRKPYZg4Z9GzmszjLuwVjd2klz5CLQKtnE0uGrN-xvodPU2gy4b4zieMWQjtDulvqYumlqhKGtWrAyqP33ac_-6AMRa5LiCZBI/s400/Snapshot_416.jpeg" width="400" /></a><br />
*Très sûr de lui et de ses calculs, Bitakwira rêve de trôner à la tête d’un grand parti des masses qui, à son avis, fera  bouger les lignes dans le microcosme politique de la RDC. L’homme au verbe facile qui, ces derniers temps, s’illustre en grand poète, ne tarit pas d’imaginations   lorsqu’il s’agit de s’afficher en public.  En Opposant pro-dialogue, il n’a pas  besoin de pêcher dans les eaux troubles des extrémismes de tout bord.  Il se veut un homme de synthèse et le creuset des idées héritées de tous les héros, de tous les grands que la RDC ait connus. De Kasa-Vubu, Lumumba, Mobutu, Mzee Kabila jusqu’à Joseph Kabila, il ne lésinera pas sur les moyens à utiliser  pour récupérer les forces nécessaires à sa lutte. D’ailleurs, ces forces, loin de ne pas s’attarder sur les faiblesses des uns et  autres,  lui serviront de sève  afin que les  camarades qu’il a choisis d’introniser ce dimanche 10 juillet  aux confins de la Ville de Kinshasa, soient trempés dans une vision axée sur la conquête du pouvoir d’Etat, dès les prochaines joutes électorales.<br />
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Récit<br />
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Il était temps de mettre les batteries en marche.  Et,  il l’a fait. Il, c’est Justin Bitakwira Bihona Hayi, Président National de l’Alliance pour la République et la Conscience Nationale qui, sans tarder, a  nommé les animateurs de ce parti politique qui espère laisser des  empreintes indélébiles  dans l’histoire politique de la RD. Congo. Il a été aussi question de nommer les membres de son cabinet privé. La cérémonie officielle de  présentation de ces nouveaux animateurs du parti et des membres du cabinet s’est tenue,  le dimanche 10 juillet 2016,   dans la périphérie de Kinshasa. Après la présentation des cadres du parti par le Directeur du cabinet de ce Député national, Me  Patrice Bakenda, Justin Bitakwira. Il a,  de prime abord,  félicité tous les nominés, tout  en les invitant à  faire preuve d’abnégation et de  volonté politique en vue de  permettre au parti d’atteindre, à brève échéance,  ses objectifs.  <br />
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Dimanche chaud       <br />
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Dimanche 10 juillet 2016 dernier,  Justin Bitakwira a procédé, après nomination trois jours avant,  à la présentation de nouveaux animateurs de l’Alliance pour la République de la Conscience Nationale mais  aussi,  les membres de son cabinet privé. «Ce  que vous pouvez retenir est que c’était la présentation solennelle de mes premières décisions nommant d’abord,  les membres de mon cabinet, Me  Patrice Bakenda comme Directeur de Cabinet et sa suite. Et puis, il s’agissait de la désignation de Secrétaire Exécutif Politique, le Professeur Alfred Kiasuma  et sa suite. Et,  il s’agissait effectivement de présenter la première partie des interfédéraux de 4 districts de Kinshasa. Nous avons subdivisé la ville en 4 mairies politiques qui seront,  ensuite,  divisées  en communes. C'est-à-dire,  chaque district en 40 communes.  Ce qui nous fera un total de 160 communes politiques dans la ville », a-t-il dit devant la presse nationale.<br />
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Trois cycles<br />
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Doué en matière des proverbes, l’élu de l’Est de la République a profité de l’occasion pour annoncer à la foule,  venue pour la cause que l’organisation humaine comprend trois étapes importantes,  à savoir,  la création, l’apogée  et le déclin. A ce  stade, dit-il,  l’ARCN n’en est qu’à  sa  première étape. «Et nous voulons dire à la face du monde que chaque organisation humaine à trois cycles de vie, à savoir,  la création, l’apogée et le déclin. Nous sommes à notre création et nous pensons qu’à un moment,  le monde, l’Afrique ou le Congo entendront  parler de nous. Nous sommes un parti sérieux qui veut apporter un plus pour l’avenir de ce pays. Nous ne voulons pas que le pays sombre encore une fois dans le désordre comme depuis 1960 jusqu’à ce jour », a-t-il déclaré.<br />
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Atouts<br />
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C’est du jamais vu de constater  un acteur politique prendre la décision de maximiser les qualités des forces politiques qu’elles  soient de la majorité ou de l’opposition en sa faveur et de  mettre de côté,  les différentes faiblesses. C’est ce que pense faire l’ARCN de Justin Bitakwira Bihona Hayi. « Nous savons que chaque homme à des faiblesses et des  qualités. Mais,   nous  nous allons essayer d’exploiter les qualités de Kasa-vubu et les maximiser et ses faiblesses nous allons les écarter. Nous allons exploiter les qualités de Mzee Laurent- Désiré Kabila, de Mobutu, Lumumba, Joseph Kabila et nous allons aussi exploiter la force de l’UDPS à l’époque et nous allons maximiser toutes ses qualités-là. Nous allons aussi exploiter  la force de l’UNC et les faiblesses,  nous allons les mettre de côté. Nous sommes la synthèse de tous ceux qui ont dirigé la République Démocratique du Congo », a-t-il martelé.  <br />
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Appel à la conscience  <br />
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Sans ambages, Justin Bitakwira Bihona Hayi a tenu à rappeler personnellement à tous les cadres et militants du parti qu’il n’y a pas de salaires dans un parti politique parce que le parti n’a pas le pouvoir. Il faudra,  pour ce faire,  travailler pour  la conquête et la conservation du pouvoir le plus longtemps possible. Ce n’est   qu’avec cette détermination qu’il faudra espérer au meilleur.     <br />
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«Dans un parti politique, il n’y a pas de Chef.  Nous sommes des  Camarades parce que nous sommes tous des bénévoles. Chaque responsable du parti doit avoir des groupes.  Sinon,  vous n’avez pas votre place à l’ARCN. Aujourd’hui, plusieurs partis politiques de notre pays, après avoir  fait du bon temps, ils sont en plein déclin. Alors que  nous  nous  venons de voir le jour. Le déclin ne peut jamais être stoppé. Moi,  j’ai la foi  que ce parti sera un des grands de ce pays », a-t-il prédit.<br />
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L’ARCN ira très loin<br />
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L’homme croit en l’avenir et espère que son parti ira très loin et fera parler de lui dans le Monde, Afrique ou mieux encore dans le fin fond de la République Démocratique du Congo. « L’ARCN,  c’est une graine que nous venons de jeter dans un sol fertile, je vous affirme que vous entendrez parler de ce parti pendant même un siècle », a conclu, avec fermeté, Justin Bitakwira.

Politique Kinshasa: Justin Bitakwira nomme et intronise à l’ARCN !

*Très sûr de lui et de ses calculs, Bitakwira rêve de trôner à la tête d’un grand parti des masses qui, à son avis, fera bouger les ligne...

Ingérences : le PA et Kabila Désir en alerte maximale !

July 12, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvdRIV5tfZp0t2fAc9y_En-6rKz_aRv_SOTRVsCXnbkdkqKpgcu_MdMRaBGsQKM2bfYl9lPQyzA8TNETmmIYx4BjzMR9X6CG8KQFoWenkG6o_J15ZVeKpv22ckDyEfdcDMITPnID8wXgYj/s1600/Snapshot_47.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvdRIV5tfZp0t2fAc9y_En-6rKz_aRv_SOTRVsCXnbkdkqKpgcu_MdMRaBGsQKM2bfYl9lPQyzA8TNETmmIYx4BjzMR9X6CG8KQFoWenkG6o_J15ZVeKpv22ckDyEfdcDMITPnID8wXgYj/s400/Snapshot_47.jpeg" width="400" /></a>*Plus rien ne se passera comme auparavant. La pilule amère ne sera pas avalée. Cette fois-ci, les congolais sont conscients de leurs responsabilités.  56 ans après, leur  degré de maturité n’est plus à tester à longue distance.  Le dispositif mis en mouvement, du côté de la Majorité, est prêt, semble-t-il, à  barrer  la route à l’infamie ainsi qu’aux actes hideux, d’où qu’ils  viennent. Au  Parti pour l’Action (P.A) et Kabila Désir, deux formations sœurs vantant des actions de l’Autorité Morale  de la Majorité, la   bataille se poursuit, pour la  défense des acquis de la révolution de la modernité.   Dimanche 10 juillet dernier, elles ont signé  une déclaration   consacrée aux questions brûlantes d’actualité  notamment,  l’épineuse problématique d’ingérences extérieures intempestives,  des élections dans les délais   et l’affaire des  sanctions ciblées des  USA  contre les autorités  congolaises.<br />
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Le Parti pour l’Action et Kabila Désir sont deux  formations qui soutiennent la vision du Président de la République, Joseph Kabila.   Dans une séance de travail consacrée essentiellement aux problèmes actuels qui préoccupent la Nation entière,  ils ont ressorti une déclaration commune. Cela, en mettant l’accent particulièrement sur les questions d’ingérences extérieures.  Mais,  les sujets électoraux n’ont pas échappé à leurs cogitations.<br />
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Ils mettent en exergue la maturité du pays  qui, depuis  le 30 juin 1960,  est devenu indépendant.  Bien plus, l’ouverture de la  mondialisation, si grande soit-elle, n’est pas du tout une porte qui doit favoriser d’autres Etats du monde à s’ingérer dans les affaires internes de l’Etat Congolais. Ils ont cité notamment,  le cas du Commissaire provincial  de la Police Nationale Congolaise, le Général Kanyama, qui est le tout premier à tomber dans les griffes édentées des puissances étrangères.<br />
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Pour ce faire, P.A et Kabila Désir récusent une telle mesure prématurée et s’interrogent si réellement un officier aussi valeureux  que celui-là,   ayant su faire disparaître la pègre des  Kuluna, peut être sacrifié sur l’autel des considérations frivoles et des décisions importées ou imposées. Le  PA et Kabila Désir présument  l’innocence de Kanyama aux faits lui reprochés. « Quel juge a connu cette affaire ? Auprès de quel juge le général Kanyama a présenté ses éléments de défense ? Le Général Kanyama a été dénoncé par ses adversaires sans savoir ce qui lui est reproché et le résultat est  recherché », soulignent-ils.<br />
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Dans leur rôle avant-gardiste, ils ont appelé la population à la vigilance car le décor planté par la communauté internationale risquerait même de paralyser certains acteurs politiques  de la majorité. Face au  danger, ils reviennent dans cette dernière déclaration, après celle de Masi-Manimba et Lubumbashi,  pour marteler sur l’identité congolaise et la souveraineté chèrement acquises. « Le Parti pour l’action et  Kabila Désir Asbl appellent à une vigilance tous azimuts  pour maintenir notre souveraineté chèrement acquise, faire échec à ceux qui refusent notre identité et nous afficher comme nous sommes congolais», ont-ils insisté.  Dans tous les cas, ils ont réitéré leur soutien inconditionnel  à Joseph Kabila, au Général Kanyama ainsi qu’à la CENI de poursuivre son travail jusqu’à l’organisation effective des élections.

Politique Ingérences : le PA et Kabila Désir en alerte maximale !

*Plus rien ne se passera comme auparavant. La pilule amère ne sera pas avalée. Cette fois-ci, les congolais sont conscients de leurs respo...

Madagascar : Aubin Minaku lance les travaux de la 42ème session de l’APF

July 12, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgstJvdkdyuN2JrPthnReqQAbM1FX-XMWG0IySCs1GX2u7wU7K93_mlGM8bc2CaX6ywa2Bzlwxx2uh-hwt9Lyy0oHmpiTLqd84kocgy-WSmakrq6RePq6oiMi78BsSktgEA94_3n4rE-C9G/s1600/Snapshot_415.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgstJvdkdyuN2JrPthnReqQAbM1FX-XMWG0IySCs1GX2u7wU7K93_mlGM8bc2CaX6ywa2Bzlwxx2uh-hwt9Lyy0oHmpiTLqd84kocgy-WSmakrq6RePq6oiMi78BsSktgEA94_3n4rE-C9G/s400/Snapshot_415.jpeg" width="400" /></a><br />
La 42ème C’était hier, 11 juillet 2016. Aubin Minaku a assuré, que cette structure agit afin que les valeurs universelles portées par la Francophonie à savoir l’Etat de droit, la démocratie et la liberté  d’expression, soient cristallisées au sein des Etats. Le speaker de la chambre basse du parlement  de la RDC et actuel  président en exercice de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie –APF- place des grands espoirs dans ces travaux.<br />
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La Session de l’Assemblée parlementaire de la francophonie a ouvert ses portes le lundi 11 juillet dernier à Antananarivo, capitale de Madagascar sous le thème ‘’Croissance partagée et développement responsable, les conditions de la stabilité du monde de l’espace francophone ‘’. En marge de ces assises qui seront présidées par l’Honorable Aubin Minaku, président en exercice de l’AFP et président de l’Assemblée nationale de la RD Congo, une réunion du bureau a été organisée vendredi 8 juillet 2016. C’était juste pour préparer cette grande messe à laquelle les différentes délégations des pays de l’espace francophone du monde entier prennent part. Cette réunion a regroupé les membres et les présidents de différentes sections de l’APF.<br />
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A la presse présente à Antananarivo, le président de l’AFP et président de l’Assemblée nationale de la RD Congo, Aubin Minaku, a répondu à quelques questions en vue d’éclairer la lanterne de l’opinion.<br />
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Confessions de Minaku<br />
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« L’APF est une structure consultative auprès de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). Nous nous retrouverons cette fois en session, c'est-à-dire, une sorte d’Assemblée générale, la 42ème session, qui regroupe tous les parlementaires des Etats membres de la francophonie, bien évidement leurs délégations. Nous nous considérerons comme une structure de relais, une structure vigie de la démocratie. De part nos différentes prérogatives au niveau national en tant que législateur, nous sommes des contrôleurs de l’Exécutif. Nous agissons afin que les valeurs universelles portées par la Francophonie, à savoir : l’Etat de droit, la démocratie et la liberté  d’expression, soient cristallisées au sein de nos Etats », a indiqué Aubin Minaku.<br />
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A la question de connaitre le rôle primordial dans les actions concrètes de l’AFP, le président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie et président de l’Assemblée Nationale de la RDC a été très précis : «le rôle primordial dans les actions concrètes de l’AFP est de veiller à ce que toutes les valeurs portées par la francophonie soient de mise au niveau de nos Etats »<br />
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Zoom sur l’APF<br />
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L’APF a été créée en mai 1967 au Grand-Duché de Luxembourg, d’abord comme une Association internationale des parlementaires de langue française, puis comme une Assemblée parlementaire de la Francophonie. Elle réunit actuellement des parlementaires de 81 Assemblées issues des cinq continents.<br />
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Cette association sert donc de relais entre les instances de l’OIF et les populations francophones. Elle participe activement à la vie institutionnelle de la Francophonie, en donnant des avis et recommandations destinés aux Chefs d’État et de gouvernement des pays ayant le français en partage.

la Nation Madagascar : Aubin Minaku lance les travaux de la 42ème session de l’APF

La 42ème C’était hier, 11 juillet 2016. Aubin Minaku a assuré, que cette structure agit afin que les valeurs universelles portées par la F...

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