BA SANGO YA CONGO KINSHASA

SELON LES REVELATIONS DE LA POLICE NATIONALE DES BADAUDS S’INVITENT À LA MARCHE DES ÉTUDIANTS

May 11, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqFi1-ofE5JckFlwhO_L7ik9HWuEbAABcK6F4MMBgie98YseB5d7wexAXe2ETLdv863Ok0VKe_tUSig8rlhlhNSgh1bphIFhCBZM_6f0cF1eaYnN1XG2uClI9xVSwGdSI3I8bvm6j_gfs/s1600/Snapshot_1156.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="571" data-original-width="644" height="353" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqFi1-ofE5JckFlwhO_L7ik9HWuEbAABcK6F4MMBgie98YseB5d7wexAXe2ETLdv863Ok0VKe_tUSig8rlhlhNSgh1bphIFhCBZM_6f0cF1eaYnN1XG2uClI9xVSwGdSI3I8bvm6j_gfs/s400/Snapshot_1156.jpg" width="400" /></a>*Alors que les étudiants de l’ISTA, de l’UNIKIN et de l’INBTP battaient le pavé hier pour protester contre la hausse du tarif du transport en commun, des marginaux se sont infiltrés pour perturber la manifestation<br />
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*D’après le porte-parole de la PNC, 14 manifestants ont été interpellés et sont en train d’être verbalisés <br />
La ville de Kinshasa était en ébullition hier jeudi 10 mai. Dès les premières heures de la matinée, des étudiants en furie ont dévalé les rues de la capitale pour manifester leur colère contre la brusque hausse des prix du transport en commun. Ce mouvement spontané a été observé aussi bien à l’Université de Kinshasa (UNIKIN) qu’à l’Institut supérieur des techniques appliquées (ISTA) et… à l’Institut National des Bâtiments et des Travaux Publics (INBTP). Alertés, les éléments de la Police nationale congolaise ont dû vite intervenir pour éviter le débordement et estomper la marche. Bilan : 14 manifestants interpellés. <br />
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"Tout a commencé par une sensibilisation souterraine dans la matinée. Dès 8 heures du matin, des groupuscules d’étudiants se formaient devant la grille de l’ISTA, comme dans la cour intérieure de cet établissement. Pendant ce temps, d’autres étudiants faisaient du porte à porte pour sensibiliser leurs homologues logés dans la résidence estudiantine", rapporte un témoin qui a requis l’anonymat.<br />
Montés sur leurs grands chevaux, ces étudiants avaient du mal à supporter le calvaire qu’ils vivaient depuis le début de la semaine, avec la brusque hausse des prix du transport en commun. Dans tous les groupuscules, le ras-le-bol était au rendez-vous. Une trentaine de minutes plus tard, et les voilà dans la rue. <br />
Déterminés à revendiquer ce qu’ils considèrent comme leur droit, ces jeunes ont commencé par barricader les principales artères de la capitale. On les a vus tenter de déverser les immondices et d’y brûler des pneus. : "Revoyez à la baisse les prix de transport", pouvait-on lire sur les écriteaux qu’ils brandissaient. Le même message transparaissait dans les chansons qu’ils entonnaient en chœur.<br />
"Il s’agit d’une décision impopulaire qui ne tient pas compte de la souffrance des populations qui croupissent déjà dans la misère. Les autorités du pays devraient s’activer à voir dans quelle mesure maîtriser la hausse du prix de carburant à la pompe, au lieu de revoir à la hausse le prix des transports en commun", a déclaré un étudiant.<br />
"Nous nous demandons où va notre pays. Rien ne s’améliore. Les choses ne font que se dégrader. Nous, les étudiants, nous sommes les premiers à pâtir de cette décision relative à la hausse des prix de transports en commun. Nous condamnons cette mesure des autorités urbaines", a indiqué un manifestant, la vingtaine révolue.<br />
Les éléments de la police sont vite intervenus pour rétablir la situation. Ils ont réussi à disperser, à coup de bombes lacrymogènes, la foule d’étudiants qui longeaient l’avenue Kabinda, à destination de l’Hôtel de ville. Parallèlement, le même mouvement de protestation a été signalé dans les mêmes heures à l’UNIKIN et à l’INBTP. <br />
Fixant l’opinion sur le bilan de la manifestation, le porte-parole de la PNC, a fait état de l’arrestation de 8 présumés étudiants arrêtés au niveau de l’IBTP et de la neutralisation de 6 fauteurs de troubles en provenance de Kindele, dans les alentours de l’Unikin. Aux dires donc du Colonel Mwanamputu, des marginaux se sont infiltrés pour perturber la manifestation.<br />
Ci-contre l’intégralité du communiqué de la PNC. Orly-Darel NGIAMBUKULU<br />
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Rapport de la Police nationale<br />
Depuis ce matin il a été observé quelques agitations au sein de l’Unikin, Inbtp et Ista où les étudiants ont tenté de descendre sur la chaussée pour exprimer leurs désapprobations au sujet de la révision à la hausse du prix de transport en commun.<br />
Les Éléments du Commissariat Provincial PNC ville Province de Kinshasa les ont de manière professionnelle empêché de perturber l’ordre public.<br />
Au titre du bilan des interpellations administratives :<br />
1. 8 présumés étudiants arrêtés au niveau de l’INBTP.<br />
2. 6 fauteurs de troubles en provenance de Kindele maîtrisés.<br />
Tous sont entrain d’être verbalisés.<br />
En ce moment le calme étant revenu dans la ville, au titre d’illustration, le Ministre de l’ESU est en pleine discussion avec les étudiants de l’Ista.<br />
Colonel Mwanamputu, porte-parole PNC

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*Alors que les étudiants de l’ISTA, de l’UNIKIN et de l’INBTP battaient le pavé hier pour protester contre la hausse du tarif du transport e...

Alerte à la guerre civile dans le Sankuru: les armes circulent comme de petits pains

May 11, 2018

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Il a dû écourter son séjour à Kinshasa pour rentrer dans sa province. Suite à un conflit opposant des habitants du secteur des Olemba et ceux de Kondo-Tshumbe, des rumeurs faisant état de l’assassinat d’un ressortissant de ce dernier secteur ont mis en émoi tout le territoire de Lodja. Alors qu’il affirmait il y a quelques jours détenir des informations précises sur le lieu où aurait été inhumée la victime présumée, il se dit avoir été trompé par ses services.<br />
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«Les collaborateurs du Chef de l’Etat m’ont dit qu’il m’a ordonné de rentrer urgemment pour voir ce qui se passe ici…c’est pourquoi je suis venu. Des gens bien informés m’ont rassuré qu’ils connaissaient l’endroit où on avait tué et enterré un ressortissant de Kondo Tshumbe. Mais quand je suis arrivé là-bas, ils ne m’ont pas indiqué ledit endroit. Pis, on ne connait même pas le nom de la personne qui aurait été assassinée», a-t-il déclaré.<br />
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Pour le Gouverneur du Sankuru, la principale menace à la sécurité de sa province et de ses administrés reste les armes que l’on peut se procurer à tout bout de champs. «La deuxième chose sur laquelle j’insiste concerne les armes que nous fabriquons ici: les calibres douze et les revolvers. La loi stipule que pour détenir une arme létale, il faut avoir l’autorisation préalable de l’Etat», a reconnu Berthold Ulungu.<br />
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Ulungu menace de torturer les détenteurs des armes<br />
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A la tête du Sankuru depuis près de trois ans, ce cadre de la Convention des Congolais Unis (CCU) avoue publiquement son échec sur le plan sécuritaire. Par conséquent, ce Professeur de Mathématiques cherche visiblement une formule mathématique pour mettre fin à la circulation massive des armes dans sa juridiction. Ainsi, comme qui cherchait à se racheter, il projette de lancer dans les jours qui viennent une traque contre les détenteurs des armes.<br />
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«Je vais saisir l’Assemblée provinciale pour demander l’autorisation de fouiller dans les maisons d’habitation l’une après l’autre pour récupérer toutes les armes. Si on trouve même une cartouche, on t’arrête et tu dois payer une amende, sinon tu vas subir des tortures ou faire la prison» a-t-il menacé.<br />
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Ces informations font craindre le pire dans ce coin du pays en proie à des conflits tribaux et sectoriels et doivent  être prises  au sérieux par les autorités nationales, surtout qu’elles viennent de la bouche du Chef de l’exécutif provincial. Ce, à huit mois des élections qui dans le passé, ont toujours été émaillées des incidents meurtriers dans le Sankuru en général et à Lodja en particulier.<br />
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Robert Djanya

Insécurité Province Alerte à la guerre civile dans le Sankuru: les armes circulent comme de petits pains

C’est le Gouverneur de cette province, Berthold Ulungu qui l’affirme. En visite dans le territoire de Lodja où deux secteurs s’affrontent de...

Kinshasa: Ayant récupéré son consulat, le Nigéria n’ira pas en justice contre la RDC

May 11, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4-uFJx7kdtm6gjOWU0XbS7dIVOkofDyYOO_LfZaPjfsUmI2-7OeaMgfl67FW3S0fs3gsqeGhRl5ZVEGhiyp0UGYEM3dDuWqX6IZpYO9vrLHQEENaqY0-NKCcI1l_HvFOSVEZ0uxBZZo8/s1600/Snapshot_1154.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="499" data-original-width="894" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4-uFJx7kdtm6gjOWU0XbS7dIVOkofDyYOO_LfZaPjfsUmI2-7OeaMgfl67FW3S0fs3gsqeGhRl5ZVEGhiyp0UGYEM3dDuWqX6IZpYO9vrLHQEENaqY0-NKCcI1l_HvFOSVEZ0uxBZZo8/s400/Snapshot_1154.jpg" width="400" /></a>L’affirmation vient d’Ejikeme Victor Emeka, Président de la communauté nigériane en RDC qui l’a faite au cours d’une cérémonie d’échange de vœux, entre l’Ambassade du Nigéria et sa communauté installée à Kinshasa.  Ce diplomate croit plutôt à un compromis entre les deux pays, en vue de permettre au Nigéria de recouvrer ses droits dans l’affaire de sa parcelle située sur l’avenue de Lemera, à Kinshasa/Gombe.<br />
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Devant la presse et au nom de sa communauté, Ejikeme Victor a remercié l’Autorité congolaise pour son intervention, bien que tardive, qui a fait en sorte que l’Ambassade du Nigéria récupère sa parcelle. Ce remerciement a également été adressé aux autorités du Nigéria qui sont restées vigilantes face à cette situation. Pour lui, il s’agit de la principale raison de cette rencontre, qui a réuni la communauté nigériane. A l’en croire, les relations entre la RDC et le Nigéria vont continuer  jusqu’aux générations futures. « Nous sommes en bon terme avec la RDC », confirme-t-il, disant que ces deux pays font partie du continent africain et ne méritent pas d’être séparés à cause d’un incivique, congolais soit-il, qui veut semer le discorde. <br />
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Au sujet de tous les biens pillés jusqu’à vider le consulat, il indique que c’est une affaire entre Etats. « Ces deux Etats sont en concertation, mais au moment venu nous trouverons un compromis, malgré que piller les affaires est un incident regrettable », précise-t-il. <br />
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Il espère tout de même que la solution sera trouvée le moment venu et insiste sur le fait qu’aucune poursuite judiciaire ne sera entreprise contre la RDC. Il renchérit ses propos avec la convention de l’UA qui veut que partout où l’africain se retrouve dans ce continent, qu’il soit considéré comme chez lui. « Lorsqu’un africain poursuit son frère en justice, ce n’est pas une bonne chose », déplore-t-il. C’est pourquoi, le Nigéria préfère se référer à l’UA qui demande aux africains d’entretenir les relations diplomatiques entre eux. <br />
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Politique Kinshasa: Ayant récupéré son consulat, le Nigéria n’ira pas en justice contre la RDC

L’affirmation vient d’Ejikeme Victor Emeka, Président de la communauté nigériane en RDC qui l’a faite au cours d’une cérémonie d’échange de ...

EPWAA DECISION YA SUKA FÉLIX WAZEKWA AZUI PONA AUDIO YA CARINE MOKONZI MUTU AKOTA TE (VIDEO)

May 11, 2018

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Affaire Tatiana Cruz, La douce très en colère niveau asukoli ye na mawa (VIDEO)

May 11, 2018

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Intégralité : Collation ya Exaucée Ngiama , la fille aînée de Werrason depuis les Etats-unis avec Sankara Dekunta (VIDEO)

May 11, 2018

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L'évangeliste Roger Baka frappe encore apanzi ba pasteurs Polygames na ba oyo ba sengaka ba dîme na makasi (VIDEO)

May 11, 2018

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L’Assemblée nationale et le Sénat en Congrès vendredi pour désigner un membre de la Cour constitutionnelle

May 11, 2018

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Il s’agit de pallier à l’absence de 3 des neufs membres qui composent la plus haute instance judiciaire du pays après la mort de Yvon Kalonda et la démission deux autres hauts magistrats, Jean Luis Esambo et Eugene Banyaku.<br />
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Dans un contexte préélectoral caractérisé de suspicion, cette procédure d’ordinaire normale, est devenu un véritable sujet de polémique entre le pouvoir et l’opposition. La dernière accusant le premier à vouloir se tailler une Cour constitutionnelle acquise à sa cause pour se maintenir en poste.<br />
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Selon la constitution les membres de la cour constitutionnelle sont proposés par le Président de la république, le Conseil supérieur de la magistrature et le Parlement.<br />
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Par CAS-INFO

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Les deux chambres du parlement convoquent les deux institutions en Congrès le vendredi prochain. Objectif, designer un membre de la Cour con...

Présidentielle : l’atout institutionnel de Joseph Kabila face au défi catholique et régional

May 11, 2018

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« Le Président Kabila avance avec trois barres à feu : le Parlement, la CENI et la Justice. L’Opposition compte sur une population sans défense et une Église Catholique persécutée », décrypte le Journaliste et essayiste congolais Modeste Mutinga. Pour le sénateur auteur de la « Republique des inconscients », qui s’interroge sur la solution « magique » pour sauver le pays, le pilier institutionnel reste  vraisemblablement la carte maitresse que joue à fond le chef de l’État face à ses adversaires. Même si la série d’initiatives prises par Joseph Kabila pour rester au pouvoir ou pour gagner du temps restent relativement infructueuses depuis deux ans.<br />
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Pourtant, à deux mois du dépôt des candidatures pour la présidentielle du 23 décembre 2018, la machine Kabila est de nouveau lancée. Après avoir eu recours à la Cour constitutionnelle via la CENI version Malu-Malu pour reporter les élections municipales en 2014, obtenu, grâce à une requête contestée de la haute instance judiciaire du pays, son maintien en poste en mai 2016, le chef de l’État réussit à rassembler à deux reprises la classe politique autour d’une table. Deux dialogues – de la Cité de l’UA et du Centre interdiocésain – sur lesquels l’ombre des institutions (Président de la République et Gouvernement) aura sensiblement plané.<br />
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Rebelote. Dans une phase glissante du processus électoral qu’amorce le pays et face à la région (SADC et Grands lacs) qui commence à exprimer publiquement (Rwanda, Angola) son souhait de voir la transition congolaise se conclure rapidement sans heurts, le Raïs sait retrouver le sens du replis défensif…institutionnel. Et c’est le trio de Mutinga (Parlement, CENI, Justice) qui est mis à contribution.<br />
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Pour le Parlement, le remplacement d’un membre de la Cour constitutionnelle tombe à pique. Ce vendredi, les deux chambres du Palais du Peuple sont appelées à faire le choix de l’un des trois hauts magistrats qui manquent à l’appel pour compléter le chiffre de neuf qui compose l’institution. Une procédure d’ordinaire normale mais qui devient un enjeu politique au moment même où les bruits, certes déjà démentis, d’un possible recours à la Cour constitutionnelle pour faire valider une candidature de Joseph Kabila, se font persistants.<br />
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Ce n’est certainement pas pour rien que cette séance provoque de l’agitation du côté de l’Opposition. « Les modalités de cette élection doivent être déterminées par une décision conjointe de deux Présidents et rendues publiques », a ainsi prévenu l’Association congolaise pour la justice (ACAJ), jeudi, dans un communiqué. Dirigée par Georges Kapiamba, proche de l’Opposant Moïse Katumbi, ACAJ fait pression pour que les élus nationaux n’envoient pas au sein de la plus importante instance judiciaire qui s’apprête à trancher dans quelques mois les contentieux électoraux une personne « travaillant dans les officines politiques ». Avocat dans les nombreux dossiers qui accablent l’ex gouverneur du Katanga et qui menacent sérieusement la participation de celui-ci à la présidentielle, M. Kapiamba sait ce combat perdu d’avance. Comme les sont jusqu’ici d’innombrables appels à la CENI d’abandonner le projet d’utiliser la très contestée machine à voter.<br />
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En se reposant sur les trois « barres à feu » – Parlement, CENI, Justice –  Joseph Kabila a ainsi de quoi mettre l’Opposition, les Catholiques et les pays de la région devant un fait accompli. En privant aux deux premiers toute possibilité de descendre dans la rue au moment où les institutions « compétentes » accompagnent « normalement » le processus électoral et en tenant les seconds à l’écart. Dans leur rôle des voisins, observateurs d’un État souverain qui file droit vers ses élections. À son rythme et avec son gros suspens sur l’avenir politique du chef de l’État.

Politique Présidentielle : l’atout institutionnel de Joseph Kabila face au défi catholique et régional

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ROBERT KIDIABA ANCIEN GARDIEN DE LÉOPARDS PARLE DE SON HISTOIRE ET DE SA CARRIÈRE (VIDEO)

May 11, 2018

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Tadet de Monticule aseki Miel de son , atika hypocrisie + Werrason aza grand formateu(VIDEO)

May 11, 2018

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SANKARA A FÉLICITÉ WERRASON PONA ASBL OYO ASALI,ASENGI BA MUSICIENS NIONSO BALANDA IDÉE WANA (VIDEO)

May 11, 2018

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MBUTU MBUTU: PAPY KAKOL CONTRE HÉRITIER WATA PO A ZUI ALI MBONDA NA ORCHESTRE NA YE...(VIDEO)

May 11, 2018

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Après Wazekwa , JB Mpiana na Héritier Watanabe en Studio pour une Chanson à l'occasion de ? ( VIDEO)

May 11, 2018

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Zamba zamba : Trésor Lumière abwakisi affaire miel de son et JAMAIKE ABETI BILOKO YA FORMIDABLE

May 10, 2018

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Ministre Jean Lucien Busa alobi ya pe Aza SISA BI DIMBU NDETI JOSEPH KABILA (VIDÉO)

May 10, 2018

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KINSHASA DIRECT DU 10 MAI 2018: TSHALA MWANA ,NAZA KABILISTE ET NA KO KUFA KABILISTE (VIDÉO)

May 10, 2018

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JT (RTNC) DU 10 MAI 2018 : LES ETUDIANTS EN COLÈRE CONTRE ANDRE KIMBUTA (VIDÉO)

May 10, 2018

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Débriefing : Jean Paul Kazamba est convaincu que la machine à voter est un dilemme cornélien

May 10, 2018

<span style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: "helvetica" , "arial" , sans-serif; font-size: 14px;">Membre de </span><a class="_58cn" data-ft="{"tn":"*N","type":104}" href="https://www.facebook.com/hashtag/ensemblepourlechangement?source=feed_text" style="background-color: white; color: #365899; cursor: pointer; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; text-decoration-line: none;"><span class="_5afx" style="direction: ltr; font-family: inherit;"><span aria-label="hashtag" class="_58cl _5afz" style="font-family: inherit; unicode-bidi: isolate;">#</span><span class="_58cm" style="font-family: inherit;">EnsemblePourLeChangement</span></span></a><span style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: "helvetica" , "arial" , sans-serif; font-size: 14px;">, Jean Paul Kazamba est convaincu que la machine à voter est un dilemme cornélien cad si l'opposition l'accepte, la Mp gagne les élections, si l'opposition la rejette, y aura glissement.... Son co-débatteur proche de la </span><a class="_58cn" data-ft="{"tn":"*N","type":104}" href="https://www.facebook.com/hashtag/mp?source=feed_text" style="background-color: white; color: #365899; cursor: pointer; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; text-decoration-line: none;"><span class="_5afx" style="direction: ltr; font-family: inherit;"><span aria-label="hashtag" class="_58cl _5afz" style="font-family: inherit; unicode-bidi: isolate;">#</span><span class="_58cm" style="font-family: inherit;">MP</span></span></a><span style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: "helvetica" , "arial" , sans-serif; font-size: 14px;">, Patrick Nawezi est formel, je le cite: "c'est le Peuple congolais qui veut que Joseph Kabila reste au pouvoir et le référendum est constitutionnel", fin de citation. C'est lui qui le dit, c'est pas moi. Autres thématiques : la double nationalité, l'opposition muselée ou molle au Lualaba ?</span><br />
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<iframe allow="autoplay; encrypted-media" allowfullscreen="" frameborder="0" height="420" src="https://www.youtube.com/embed/eTGIyPjZZIU" width="640"></iframe>

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Membre de # EnsemblePourLeChangement , Jean Paul Kazamba est convaincu que la machine à voter est un dilemme cornélien cad si l'opposit...

Nouveau tarif de transport en commun. ESU : des étudiants en colère !

May 10, 2018

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEge3p2PKEGsc6_72GsPIrSuovSe22fVB09H0MSJ5mn2RDiKE8P33vJl_oOkePi_jkzVytrE6_Xaqsgv7KuHjx0i4w7pwyBoAGhsfk-OBuQ5ckTcCNO3c92cOjG_ymz1GOBs-_ETcB4_QKc/s1600/Snapshot_6324.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="639" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEge3p2PKEGsc6_72GsPIrSuovSe22fVB09H0MSJ5mn2RDiKE8P33vJl_oOkePi_jkzVytrE6_Xaqsgv7KuHjx0i4w7pwyBoAGhsfk-OBuQ5ckTcCNO3c92cOjG_ymz1GOBs-_ETcB4_QKc/s400/Snapshot_6324.jpg" width="400" /></a></div>
<br /><br />Il est question d’un nouveau défi, pas le moindre, en tout cas. Celui qui place les décideurs face à leurs responsabilités régaliennes et supra-régaliennes. Des étudiants menacent et veulent rétroagir. Ils sont montés au créneau, dès l’annonce, la semaine dernière, de la décision de l’hôtel de ville de Kinshasa. Celle, sans doute, revoyant à la hausse le tarif du transport en commun, de par tous les tronçons de la capitale/Kinshasa. Un message qui a défilé jusqu’ici sur la toile, et dont la signature relèverait d’un groupe d’étudiants anonymes, sensibilise les étudiants de la capitale à battre le pavé, ce 10 mai 2018. Les décideurs sont avertis.<br /><br />A décortiquer le mobile des auteurs de l’ultimatum en pleine circulation sur la toile, ces derniers éprouvent de la démence quant à l’appropriation, mieux, la génuflexion face au verdict de la hausse de prix du transport en commun. Loin d’acquiescer l’argumentaire de l’hôtel de ville, ces étudiants se sont mis, à dater du jour de l’annonce de cette décision ‘’choc’’ revoyant, à la hausse, le tarif du transport en commun, à mobiliser leurs collègues. Ils haussent décidément le ton et appellent leurs compagnons à secouer les rues de la Capitale pour contester la sentence des décideurs. Cette décision de l’hôtel de ville de Kinshasa rectifiant le coût du transport en commun, par course et trajet, continue, infiniment, à susciter mille réactions dans  l’opinion.  A en croire le Gouverneur de Kinshasa, André Kimbuta Yango, ce verdict qui s’avère, du reste, curatif, est fonction de la hausse de prix du carburant à  la pompe. Des étudiants ayant digéré, à contrario, cette décision, envisageraient battre le pavé, aujourd’hui, pour plaider la révision à la baisse de prix du transport en commun. Les décideurs publics sont là, face à leurs responsabilités.<br /><br />Alarmes <br /><br />Il va sans dire que d’aucuns appréhendent, de bon aloi, cette décision. A travers des taxis-bus, la quasi-totalité des débats tourne autour de cette rectification de prix de transport en commun. Force est de souligner que la  fameuse crise socioéconomique est en train de prendre une ampleur tellement considérable que la dégradation globale du système économique est devenue un casse-tête réelle. En tout cas, encore une fois, la police nationale congolaise et le Gouvernement aussi bien central que provincial sont face à un défi majeur.<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #8f8f8f; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
<strong style="box-sizing: border-box;">JK</strong></div>

Au tour de Kinshasa Economie Education Société Nouveau tarif de transport en commun. ESU : des étudiants en colère !

Il est question d’un nouveau défi, pas le moindre, en tout cas. Celui qui place les décideurs face à leurs responsabilités régaliennes et ...

Audit du fichier électoral : les choses sérieuses ont commencé à la CENI

May 10, 2018

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsiouSKffgZac40sYdBP5oShHK3UJTqYLViHjY_Yfn4LKzongQl8Z1Z5b8GEfUoVaaFn7OI06kiHp2jcqSF2K3L3fgshlhtYIdEzdODZfSqpRKx8-F9A5MlNytwWyReOmhxbH3LXPLatM/s1600/Snapshot_6323.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="370" data-original-width="659" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsiouSKffgZac40sYdBP5oShHK3UJTqYLViHjY_Yfn4LKzongQl8Z1Z5b8GEfUoVaaFn7OI06kiHp2jcqSF2K3L3fgshlhtYIdEzdODZfSqpRKx8-F9A5MlNytwWyReOmhxbH3LXPLatM/s400/Snapshot_6323.jpg" width="400" /></a></div>
<br /><br />Première réunion du Comité d’audit du fichier électoral. Les parties prenantes signent un code de bonne conduite pour un audit inclusif, participatif et transparent.<br /><br />Sur invitation de la Délégation de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), cette première réunion du Comité ad hoc d’audit du fichier électoral de la République Démocratique du Congo a permis au Chef de Délégation de l’OIF, le Général SIAKA SANGARE, de présenter les termes de référence de la mission ;  son approche méthodologique ; l’organisation, le fonctionnement et la composition du Comité ad hoc et, en particulier, de présenter le code de bonne conduite et sa validation par toutes les parties prenantes.<br /><br />Programmé du 06 au 25 mai 2018, cette mission d’audit du fichier électoral intervient dans le cadre de l’accompagnement que l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) déploie en faveur des processus électoraux dans l’espace francophone et en réponse à la demande écrite de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) de la République Démocratique du Congo formulée à la Secrétaire Générale de la Francophonie, Madame Michaëlle Jean.<br /><br />La mission d’audit a pour objectif d’évaluer, dans une démarche inclusive et transparente, le fichier électoral après la réalisation, par la CENI, des opérations d’enrôlement des électeurs, de centralisation et consolidation des données au niveau national.<br /><br /> <br /><br />Les objectifs spécifiques de l’audit sont : d’identifier les forces et faiblesses du fichier électoral ; d’évaluer la conformité du fichier électoral par rapport au respect des normes et standards internationaux ; de faire des propositions permettant de consolider les forces observées dans la conduite du processus et de proposer des solutions d’amélioration à court, moyen et long terme pour surmonter les faiblesses identifiées.<br /><br />Un Comité ad hoc a été mis en place dans le cadre duquel les experts de l’OIF travailleront étroitement avec les représentants de la Majorité présidentielle (5), de l’Opposition politique (5), de la société civile (7) et les autres Partenaires Techniques et Financiers (4) ainsi que 7 experts de l’Assemblée plénière et des directions techniques de la CENI. Ces représentants disposent d’un statut d’observateur actif au sein du Comité ad hoc d’audit du fichier électoral.<br /><br /> <br /><br />Plusieurs réunions sont programmées à partir de ce jeudi 10 mai 2018. Les sessions de travail seront déclinées en thèmes en fonction d’un ordre du jour préétabli par la mission de l’OIF. Les travaux déboucheront à la présentation d’un rapport et des recommandations préliminaires de l’audit du fichier électoral réalisé par la Mission de l’OIF.<br /><br />Le clos de cette première séance de travail a indéniablement été la lecture suivie de la validation (signature) par tous les participants du code de bonne conduite devant guider de façon indépendante, transparente et sans compromission toutes les activités du Comité ad hoc.<br /><br />Faisant écho au Général SIAKA SANGARE qui a prévenu les parties prenantes qu’il n’existe pas de fichier électoral parfait, le Président de la CENI a salué les débats démocratiques autour du fichier électoral tout en rappelant l’enjeu du présent audit qui est d’aboutir à un fichier électoral consensuel répondant aussi bien aux  standards internationaux, au principe de l’unicité de l’électeur et de garantir l’égalité des chances à tous les compétiteurs.<br /><br /><b>(Avec  la CENI)      </b>

Politique Audit du fichier électoral : les choses sérieuses ont commencé à la CENI

Première réunion du Comité d’audit du fichier électoral. Les parties prenantes signent un code de bonne conduite pour un audit inclusif, p...

Désignation d’un nouveau juge pour la Cour Constitutionnelle. RDC : le Parlement convoqué en Congrès !

May 10, 2018

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5PMhluIrurS27WXOwPxEZE0Bj1VWfeXlbLcek3ufqwiQQ_wpd-bWl43rPIwtRL3tN4wAAvx-IJtnbnS0nTJFuKGCvq-_hdKBdIGOSKjOMUlirCoNLGcNDhJmnqmZQ0wnd7v0Tp5JLHDk/s1600/Snapshot_6315.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="472" data-original-width="697" height="270" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5PMhluIrurS27WXOwPxEZE0Bj1VWfeXlbLcek3ufqwiQQ_wpd-bWl43rPIwtRL3tN4wAAvx-IJtnbnS0nTJFuKGCvq-_hdKBdIGOSKjOMUlirCoNLGcNDhJmnqmZQ0wnd7v0Tp5JLHDk/s400/Snapshot_6315.jpg" width="400" /></a></div>
Le Chef de l’Etat n’aura pas à prendre la parole. Ce sont plutôt  les présidents du Sénat et de l’Assemblée  Nationale qui ont convoqué ce rendez-vous. <div>
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Quelques heures avant que la décision ne soit prise, ils ont échangé avec le Président Joseph Kabila dans  son bureau du Palais du Peuple.</div>
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 A en croire l’ordre du jour, les Députés ainsi que les Sénateurs devront, ce vendredi 11 mai 2018, travailler ensemble pour désigner un juge à la Cour Constitutionnelle. La plus Haute Cour du pays, en panne de composition depuis peu, devrait, conformément à la loi, renouveler un tiers de ses membres par un tirage au sort dès le 4 avril dernier. Car, deux juges, en l’occurrence, les Professeurs Jean-Louis Esambo et Banyaku, qui y  siégeaient, ont démissionné depuis quelques semaines. Un autre juge, Yvon Kalonda Kele Oma est, lui, décédé. </div>
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Habilitée à interpréter la Constitution mais aussi à trancher en dernier ressort sur les démêlées autour des résultats des élections, la Cour Constitutionnelle est un organe incontournable. D’où, les regards les plus avertis ne peuvent que se poser sur cette dernière, au point de se demander qui va faire, cette fois-ci, son entrée au cénacle de grands juges ? Le voile sera levé ce vendredi.  Quoi qu’il en soit, il sera autant que ses compères et prédécesseurs dans l’œil du cyclone. </div>
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D’autant plus qu’avec les dessous de l’impasse politico-électorale au pays, les patates chaudes ne manquent et ne manqueront pas. Ci-dessous, le document signé Kengo-Minaku convoquant le Congrès.</div>
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la Nation Politique Désignation d’un nouveau juge pour la Cour Constitutionnelle. RDC : le Parlement convoqué en Congrès !

Le Chef de l’Etat n’aura pas à prendre la parole. Ce sont plutôt les présidents du Sénat et de l’Assemblée Nationale qui ont convoqué ce...

BA SANGO YA CONGO KINSHASA

SELON LES REVELATIONS DE LA POLICE NATIONALE DES BADAUDS S’INVITENT À LA MARCHE DES ÉTUDIANTS

Alerte à la guerre civile dans le Sankuru: les armes circulent comme de petits pains

Kinshasa: Ayant récupéré son consulat, le Nigéria n’ira pas en justice contre la RDC

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Affaire Tatiana Cruz, La douce très en colère niveau asukoli ye na mawa (VIDEO)

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L’Assemblée nationale et le Sénat en Congrès vendredi pour désigner un membre de la Cour constitutionnelle

Présidentielle : l’atout institutionnel de Joseph Kabila face au défi catholique et régional

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KINSHASA DIRECT DU 10 MAI 2018: TSHALA MWANA ,NAZA KABILISTE ET NA KO KUFA KABILISTE (VIDÉO)

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Débriefing : Jean Paul Kazamba est convaincu que la machine à voter est un dilemme cornélien

Nouveau tarif de transport en commun. ESU : des étudiants en colère !

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TANGO EKOKI : ALBERT DIEKA APANZI MPOKE EST CE QUE KABILA AKO BIMISA DAUPHIN NA YE NA JUILLET ? ( VIDÉO )

NICE PRESSE DU 10 MAI 2018 : KATUMBI EN RÉBELLION?KABILA TENTE LE FORCING POUR UN TROISIÈME MANDAT (VIDEO)

BEEKE Suzane combat spirituel CAMEROUN : J ' ai vu Papa Olangi au ciel tout de blanc vêtu (vidéo)

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