BA SANGO YA CONGO KINSHASA

LES CADRES DU PPRD RENDENT HOMMAGE AU GOUVERNEUR JACQUES MBADU

August 07, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRok7GAXyE1oiTdaa3yrXOYxBrlBG0uMDNh80xieQTVuAP7H7oRZpLIlXpvW2lpLGBblBA47nIvLTl676YOv2LyrCmJHlbnU6ytZbYv6_cYZpsGKJE3D5z9AUH8bMzE_byG9DGAhQ65ws/s1600/Snapshot_94.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="483" data-original-width="742" height="260" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRok7GAXyE1oiTdaa3yrXOYxBrlBG0uMDNh80xieQTVuAP7H7oRZpLIlXpvW2lpLGBblBA47nIvLTl676YOv2LyrCmJHlbnU6ytZbYv6_cYZpsGKJE3D5z9AUH8bMzE_byG9DGAhQ65ws/s400/Snapshot_94.jpg" width="400" /></a>Hommage émouvant, hier lundi 6 août, au Palais du peuple, en mémoire de l’ancien gouverneur du Kongo Centra, Jaques Mbadu Nsitu. Décédé le 19 juillet dernier, à l’hôpital du Cinquantenaire, l’illustre disparu a été acheminé au hall du Palais du peuple pour d’ultimes hommages. Les autorités tant politiques qu’administratives congolaises et une foule de sympathisants ont fait le déplacement pour des adieux dignes de l’illustre disparu.<br />
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Au funérarium du centre hospitalier où a été exposée la dépouille de Jacques Mbadu, des pleurs, des cris, des sanglots ont secoué les membres de familles, des proches, amis et connaissances lors de la levée du corps de l’ex-gouverneur, de la morgue de l’hôpital du Cinquantenaire. Il s’en est allé. Plus de doute possible. <br />
Sous le son des gyrophares le cortège s’est ébranlé pour le siège du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) à la Gombe. <br />
Après le saint des saints du parti présidentiel, la dépouille mortelle de l’illustre disparu a fait une escale à la résidence familiale du défunt dans la commune de Gombe. <br />
De son vivant, Jacques Mbadu était membre de la grande famille politique du PPRD. Aussi, pour des ultimes adieux, les membres du parti ont voulu lui témoigner de leur affection. <br />
Venus en nombre, les camarades de cette formation politique ont salué le travail abattu par l’un des leurs. Accompagné des chants d’animation, le Secrétaire permanent du PPRD, Emmanuel Shadary, a posé le drapeau du parti sur le cercueil du défunt, signe de son affiliation.<br />
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TEMOIGNAGES EMOUVANTS<br />
Au cours de ces instants de recueillement, sur l’avenue Pumbu, s’en est suivi une série de témoignages. Plusieurs cadres du parti se sont succédé au micro pour témoigner sur la vie du défunt. « Jacques Mbadu était un homme de forte conviction. Il croyait à la philosophie du PPRD. Il a, des lors, cherché à faire bénéficier les habitants de sa province des réalisations qui devaient contribuer au développement du territoire », Le ministre de l’Enseignement primaire, et secondaire, Gaston Musemene.<br />
Le gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta, a quant à lui, retracé la genèse de son amitié avec l’illustre disparu. Pour lui, le défunt était un homme généreux et travailleur, avec la tête remplie de stratégies politiques. Il a invité les autorités présentes en ce lieu à suivre les traces de l’illustre disparu. Lui, qui dans tout ce qu’il entreprenait à toujours prêché la paix et la réconciliation dans sa province. <br />
Dans son oraison funèbre, le Secrétaire permanent du PPRD, Emmanuel Shadary, a loué les qualités de feu Jacques Mbadu. « Homme dévoué, chevronné, rigoureux, prêt à relever tous les défis, le camarade Jacques Mbadu a su donner le meilleur de lui-même dans les fonctions qui lui ont été attribuées. Il nous a appris à parler librement de nos convictions et à faire des concessions pour mettre un terme aux conflits et mésententes »a-t-il affirmé.<br />
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SOIXANTE-SIX ANS DE VIE SUR TERRE <br />
C’est en 2006, que Jacques Mbadu, fort de son expérience professionnelle, fut appelé par le président de la République, Joseph Kabila, aux fonctions de Gouverneur du Kongo Central. Cette nomination à un poste de responsabilité politique d’une aussi grande envergure, met en exergue la grande marque de confiance témoignée à l’endroit d’un homme qui n’avait jusqu’alors pas de cursus politique en tant que tel. <br />
Il se lance ainsi dans la bataille pour la conquête des suffrages du peuple. Jacques Mbadu obtiendra par la suite avec brio trois fonctions par élection : Sénateur élu de la province du Kongo Central en 2007, député national élu dans la ville de Boma en 2011, et enfin gouverneur élu du Kongo Central en 2013.<br />
C’est en cette qualité de Gouverneur élu du Kongo Central qu’il achève de façon inopinée, sa vie sur cette terre des hommes. Née en 1951, il aura vécu 66ans. L’inhumation de l’ex-gouverneur du Kongo Central interviendra cet après-midi vers 13 heures au cimetière de la Nécropole Entre Terre et ciel.<br />
Fyfy Solange TANGAMU<br />
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25 gouverneurs saluent la mémoire de Jacques Mbadu<br />
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La disparition de Jacques Mbadu, Gouverneur du Kongo central, est loin de laisser indifférents ses collègues gouverneurs des 25 autres provinces. Forum des as publie ci-dessous l’intégralité de leur déclaration, couchée dans le livre des condoléances lors de inhumation. <br />
Cher Collègue Jacques Mbadu, réunis autour de toi, tu ne nous écoutes plus hélas. Si tu pouvais encore nous écouter, nous te dirions ceci : Jacques, la lutte héroïque que tu as menée à la tête de la province du Kongo central honore le corps auquel tu as appartenu. Nous sommes très fiers de toi. La République toute entière gardera en lettre de noblesse les marques indélébiles de ton passage sur cette terre. Tu pars comme un soldat sur la ligne de front,la flamme de la victoire haut la main. Puisse le Très Haut t’accueillir dans son royaume céleste où dans la communion de notre chaleur habituelle, nous comptons nous revoir un jour.<br />
Que ton âme repose en paix !<br />
Tes collègues. RK

Politique LES CADRES DU PPRD RENDENT HOMMAGE AU GOUVERNEUR JACQUES MBADU

Hommage émouvant, hier lundi 6 août, au Palais du peuple, en mémoire de l’ancien gouverneur du Kongo Centra, Jaques Mbadu Nsitu. Décédé le 1...

THEATRE DES MANIFESTATIONS PRO ET ANTI KATUMBI LUBUMBASHI PARALYSÉ HIER !

August 07, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifPpMuVG2FRUfOvTjESsOLNtroiCmJq6FuArFDDRdXD8h_KahK7eizZn57F9oESPNo7hcWeS3R9cP0HZsJBG5klYRgiLmSCAG0MsBf_TxPTcF9MxjeCaml2vogh7i_Ay22x-GEi8nbEpA/s1600/Snapshot_93.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="399" data-original-width="719" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifPpMuVG2FRUfOvTjESsOLNtroiCmJq6FuArFDDRdXD8h_KahK7eizZn57F9oESPNo7hcWeS3R9cP0HZsJBG5klYRgiLmSCAG0MsBf_TxPTcF9MxjeCaml2vogh7i_Ay22x-GEi8nbEpA/s400/Snapshot_93.jpg" width="400" /></a>* Un des initiateurs de la marche de protestation, Christian Mwando interpellé et libéré<br />
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La ville de Lubumbashi a été paralysée hier lundi 6 août dans la matinée. Des coups de feu ont retenti dans certains quartiers, notamment à Tabacongo, dans la commune de Kampemba, et dans la commune de la Kenya, aux environs du marché central.<br />
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A la base, les forces de l’ordre s’activaient à disperser les manifestants pro-Katumbi, qui avaient choisi la rue pour manifester leur ras-le-bol. Ces derniers, par ces actions de rue, exigeaient l’autorisation pour leur leader Moïse Katumbi, à fouler le territoire congolais par cette partie du sud-est de la RDC.<br />
Dépitée, la fédération de l’Union nationale des démocrates fédéralistes (Unadef) pour le Haut Katanga s’est insurgée contre la violence dont a été victime l’honorable Mwando Nsimba Kabulo lors de cette marche, à l’initiative de son parti. Cet élu de Lubumbashi a même été touché par les projectiles avant d’être enlevé et conduit vers une destination inconnue<br />
Pour l’Unadef, la Police a usé des moyens disproportionnés de la force contre ses militants. Elle a, par ailleurs promis de poursuivre ses actions jusqu’au retour de son candidat président de la République, Moïse Katumbi.<br />
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DES MILITANTS DETERMINES <br />
Les sympathisants du candidat pour la plateforme « Ensemble pour le changement » étaient déterminés hier à paralyser la ville de Lubumbashi. Ils ne juraient que par le retour de leur leader politique, empêché de rentrer au pays le vendredi et samedi derniers, en provenance d’Afrique du Sud, en passant par Kasumbalesa, en Zambie.<br />
A Tabacongo, un marché a été incendié et certaines boutiques pillées. Dans la commune de Kenya, les manifestants ont brûlé des véhicules, rapportent des sources locales. Des débordements qui ont occasionné des interpellations de quelques manifestants par la Police.<br />
Selon plusieurs témoignages recueillis par une consœur, des mobilisations ont commencé le dimanche 5 mars dernier dans la soirée. « Des jeunes gens circulaient avec des mégaphones appelant la population à descendre dans la rue le lundi matin pour réclamer le retour de Katumbi », ont-ils confié.<br />
« Les jeunes sont descendus dans la rue et ont brûlé des pneus et les étalages dans certains marchés. Ils se sont par la suite attaqués à tout commerçant qui tentait d’étaler sa marchandise", rapporte un témoin.<br />
Vers 9 heures, la psychose a atteint le centre-ville aux abords du marché M’zee Kabila, où les gens couraient dans tous les sens et les magasins ont dû fermer leurs portes », a indiqué un témoin de l’événement. <br />
Au même moment, de l’autre côté de l’avenue lac Kipopo, les femmes des partis politiques membres de la plateforme « Ensemble pour le changement » se sont mobilisées en prenant la direction de la résidence de Kyungu wa Kumwanza. Elles ont ensuite été dispersées à coup des gaz lacrymogènes.<br />
Les autorités sécuritaires de la ville sont vite intervenues pour rétablir la paix sociale. A la tête d’une espèce de contre marche, le gouverneur de la province et le maire de la ville de Lubumbashi ont fait la ronde l’après-midi pour demander à la population de rouvrir leurs magasins. Orly-Darel NGIAMBUKULU

Politique Province THEATRE DES MANIFESTATIONS PRO ET ANTI KATUMBI LUBUMBASHI PARALYSÉ HIER !

* Un des initiateurs de la marche de protestation, Christian Mwando interpellé et libéré La ville de Lubumbashi a été paralysée hier lundi...

PRESIDENTIELLE « ENSEMBLE » DÉPOSE LA CANDIDATURE DE MOÏSE KATUMBI DEMAIN

August 07, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhevywmhGxzAe5taEYFy-5Fcy9DxffnF07pCmFL6pALxDhb6BrZaJk7-56MgW5lhLBBFwceifksMfWLjCo7N1BWdEycl2DlTRds61KOsbtMctWWvZdJaj7ZZkJ1hX5QSC5hDATH0lMl8Ck/s1600/Snapshot_59.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="342" data-original-width="545" height="250" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhevywmhGxzAe5taEYFy-5Fcy9DxffnF07pCmFL6pALxDhb6BrZaJk7-56MgW5lhLBBFwceifksMfWLjCo7N1BWdEycl2DlTRds61KOsbtMctWWvZdJaj7ZZkJ1hX5QSC5hDATH0lMl8Ck/s400/Snapshot_59.jpg" width="400" /></a>L’ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi Chapwe, candidat Président de la République de la plateforme « Ensemble pour le changement » n’a toujours pas pu atteindre la ville de Lubumbashi par la frontière de Kasumbalesa, dans le Haut-Katanga. Il y a eu deux tentatives infructueuses qui ont eu pour effet la colère de ses partisans qui a mis à sac la localité frontalière le week-end dernier.<br />
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Hier, c’était au tour de la ville de Lubumbashi, capitale de la province du Haut-Katanga d’être visée par le même scénario que Kasumbalesa, à 90 Km de là avec l’ise des militants et sympathisants de l’Opposition exigeant le retour immédiat de Moïse Katumbi Chapwe qui est toujours bloqué à la frontière avec la Zambie où il est empêché d’entrer en RDC son pays. Jusqu’hier soir, c’était toujours le statu quo. <br />
Pourtant, la fin de l’opération de dépôt de candidatures à la présidentielle est fixée à demain 8 août et le Président de la CENI, Corneille Nangaa a déjà fait savoir qu’il n’y aurait pas de prolongation, même pas d’une seule minute. A 24 heures de la clôture, le temps joue sévèrement contre le leader d’« Ensemble ». <br />
Mais son Comité politique réuni hier à Lubumbashi a décidé du dépôt, par tous les moyens de Droit de la candidature de leur chef, Moïse Katumbi Chapwe, avant l’échéance de mercredi 8. C’est donc demain que le Mandataire du candidat Katumbi Chapwe Moïse déposera son dossier de candidature, a confirmé Dely Sesanga Hipungu, secrétaire général d’ « Ensemble ».<br />
Il y aura toutes les pièces exigées par la loi électorale, sauf la carte d’électeur, Moïse Katumbi n’ayant pas pu se faire enrôler comme c’était le cas avec Jean-Pierre Bemba Gombo. La loi prévoit que pour ce cas, les candidats se feront enrôler lors du dépôt de leurs dossiers de candidature. Comment alors les juristes d’« Ensemble » comptent-ils combler ce vide dans le dossier ? <br />
La première chose, c’est que « Ensemble » dépose d’abord le dossier incomplet dans les délais, c’est-à-dire demain. Ensuite, ils vont utilement mettre à profit les 4 jours de plus, après la clôture, consacrés par le calendrier électoral aux retrait et ajout des documents dans le dossier déposé au BRTC de la CENI. Pendant ce temps, comme on est en politique un imprévu peut à la dernière minute changer le cours des événements dans le sens des attentes d’« Ensemble » et d’une frange importante de la population.<br />
Si le dossier Katumbi est déclaré irrecevable par la CENI à cause de l’absence de la carte d’électeur, « Ensemble » ira au contentieux à la Cour constitutionnelle. Sur le plan du Droit, les Avocats de Moïse Katumbi Chapwe vont faire valoir le principe du cas de force majeure qui a empêché leur candidat d’atteindre Kinshasa pour se faire enrôler pour le dépôt de sa candidature. KANDOLO M.

Politique PRESIDENTIELLE « ENSEMBLE » DÉPOSE LA CANDIDATURE DE MOÏSE KATUMBI DEMAIN

L’ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi Chapwe, candidat Président de la République de la plateforme « Ensemble pour le changement » n...

A LA SUITE DE L’EPOPEE REUSSIE DE JP BEMBA LA BASE DE L’UDPS DÉTERMINÉE À PORTER EN TRIOMPHE FATSHI CE MARDI À LA CENI

August 07, 2018

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigWURwlg9K1vxLwoDDj5VsKVkb8mCt1XWSDwdFvB_F-WO51E3T9Oyf5a5kwA4zBgW57Q9D4yHQRfjPgQvOtbBK55U3yDoJKF0FHYbtIBJuVlnCSmp4LVnfXLL9PDKs91Q5zDa7TKGr_5A/s1600/Snapshot_92.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="591" data-original-width="733" height="322" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigWURwlg9K1vxLwoDDj5VsKVkb8mCt1XWSDwdFvB_F-WO51E3T9Oyf5a5kwA4zBgW57Q9D4yHQRfjPgQvOtbBK55U3yDoJKF0FHYbtIBJuVlnCSmp4LVnfXLL9PDKs91Q5zDa7TKGr_5A/s400/Snapshot_92.jpg" width="400" /></a></div>
* Le successeur de feu Etienne Tshisekedi dépose ce jour sa candidature à la présidentielle du 23 décembre prochain.<br />
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Toutes les sources contactées hier dans la soirée sont formelles. Sauf changement de dernière minute, le président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Félix-Antoine Tshilombo Tshisekedi, dépose son dossier de candidature à la présidentielle de décembre 2018, ce mardi 7 août, au siège national de la Ceni. <br />
<br />
Ces mêmes sources affirment qu’un appel a été lancé aux cadres, combattants et sympathisants de l’UDPS à se mobiliser pour accompagner le président Félix Tshisekedi pour le dépôt de sa candidature.<br />
Le parti cher à feu Etienne Tshisekedi a à cœur de faire une démonstration de force dans la ville, à l’instar du triomphe populaire de Jean-Pierre Bemba le 1er août lors de son retour à Kinshasa. C’est le combat à distance entre ces deux poids lourds de l’opposition. <br />
L’UDPS va chercher à prouver à l’opinion d’abord qu’il est le parti le plus populaire dans la capitale. Son président, Félix Tshisekedi, après le test grandeur nature réussi lors de son meeting du 24 avril dernier à la Place Ste Thérèse à Ndjili, doit confirmer l’ancrage de son parti dans la l’opinion en se faisant accompagner d’une foule nombreuse ce matin lors du dépôt de sa candidature à la présidentielle. Puisqu’on a sonné la mobilisation générale à l’UDPS, selon différentes sources, la capitale devrait vivre une chaude ambiance ce 7 août. Question de prouver au MLC de Bemba que l’UDPS et son leader Fatshi caracolent en tête de partis de l’Opposition, en termes de popularité. Pour cela les "combattants" promettent de démontrer leur emprise sur Kinshasa, en drainant un monde fou en plein boulevard. <br />
Et ce, en dépit des dispositions légales rapellées par le président de la Centrale électorale à l’intention des candidats aux différents scrutins du 23 décembre. A savoir que "les infrastructures de la CENI sont inviolables. Le dépôt des candidatures n’est pas à confondre avec la campagne électorale qui, elle, est bien réglementée et interviendra au mois de novembre conformément au calendrier électoral. La CENI ne tolérera jamais la présence de vos militants devant les BRTC, limite acceptable 200m". <br />
Au niveau de la police de la ville de Kinshasa, des dispositions sécuritaires ont été renforcées depuis l’ouverture de l’unique bureau ouvert au siège de la Ceni pour la présidentielle. Un espace de 50 mètres carrés aux extrêmes gauche et droite de la Centrale électorale est interdit au passage des piétons. De même, la partie du boulevard du 30 juin qui longe la Ceni n’est accessible que sur deux bandes pour les véhicules. Pour la journée de ce mardi, des observateurs estiment que des dispositions sécuritaires doivent être encore plus renforcées. MOLINA/DK

Politique A LA SUITE DE L’EPOPEE REUSSIE DE JP BEMBA LA BASE DE L’UDPS DÉTERMINÉE À PORTER EN TRIOMPHE FATSHI CE MARDI À LA CENI

* Le successeur de feu Etienne Tshisekedi dépose ce jour sa candidature à la présidentielle du 23 décembre prochain. Toutes les sources ...

AVEC UNE CENTAINE DE CANDIDATS ALIGNES AUX PROVINCIALES ET AUX LEGISLATIVES 2018 LA DDC EST PRÊTE À AFFRONTER LES ÉLECTIONS, ASSURE INGELE IFOTO

August 07, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGyzr49Z88-r_O4HO1hk_phy4W4Ml6ppxePGYDGQW0jmS0c905G11ScJy4V2ixRnoBiHqp5lMKur4Mh4cNvEEnzZ484yg1dlZdK2YNxCn8l3IjTa0Dhn42jxP4OXfvklkW5Fsgk9syiK4/s1600/arton16594.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="411" data-original-width="896" height="182" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGyzr49Z88-r_O4HO1hk_phy4W4Ml6ppxePGYDGQW0jmS0c905G11ScJy4V2ixRnoBiHqp5lMKur4Mh4cNvEEnzZ484yg1dlZdK2YNxCn8l3IjTa0Dhn42jxP4OXfvklkW5Fsgk9syiK4/s400/arton16594.jpg" width="400" /></a>L’autorité morale de la Dynamique pour la démocratie au Congo (DDC), Ingele Ifoto, est très confiant en la bataille électorale à venir. Le parti cher à Ingele qui évolue dans la plateforme APECO, a aligné une centaine de candidats aux provinciales et aux législatives. L’autorité morale de la DDC l’a confié hier à la presse à l’issue d’une séance de restitution du voyage du vice-président du parti, Me Lumeya, dans son fief de Kikwit.<br />
<br />
"L’ambition pour la DDC est de contrôler les assemblées provinciales afin de diriger les provinces, aussi d’avoir une majorité au parlement pour constituer le gouvernement", a dit Ingele Ifoto.<br />
Selon le récit de Me Lumeya, parti tâter la température du parti dans le Kwilu, voir si les cadres adhérents, militants et militantes de la DDC sont prêts pour les élections, ce qu’il a vécu est rassurant. "La population attend les candidats de la DDC et la DDC va triompher", a affirmé Ingele Ifoto, félicitant à l’occasion tous les membres de la DDC Kikwit.<br />
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NOM DU CANDIDAT DU FCC AU SOIR DU 8 AOUT <br />
Ministre de l’Energie et Ressources hydrauliques et également membre du Comité stratégique du Front Commun pour le Congo (FCC), Ingele Ifoto n’a pas éludé la question sur le candidat nominé du FCC, la méga plateforme électorale dont le président Joseph Kabila est l’autorité morale. <br />
Ingele a assuré que l’oiseau rare du gigantesque regroupement politique dirigé par le Raïs sera connu avant la fermeture des Bureaux de réception et traitement des candidatures. A la question de savoir pourquoi le choix a tiré en longueur, Ingele répond :"Il y a eu beaucoup d’adhérents. Il nous fallait d’abord terminer cette phase d’adhésion pour permettre aux nouveaux venus de participer à l’exercice de désignation du candidat du FCC. <br />
La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) avait affirmé qu’il n’y aura pas de prolongation après la date limite de fermeture des bureaux de réception et traitement des candidatures prévue le mercredi 8 août prochain.<br />
À ce jour, la CENI n’a enregistré que quatre candidatures pour la présidentielle. Celles de Seth Kikuni, Jean-Pierre Bemba, Alain Daniel Shekomba et de Vital Kamerhe. Le président de l’UDPS, Félix Tshisekedi, et d’autres candidats dont Freddy Matungulu, Adolphe Muzito ont annoncé que leurs dossiers seront déposés respectivement entre mardi 7 août et mercredi 8 août. Didier KEBONGO

AVEC UNE CENTAINE DE CANDIDATS ALIGNES AUX PROVINCIALES ET AUX LEGISLATIVES 2018 LA DDC EST PRÊTE À AFFRONTER LES ÉLECTIONS, ASSURE INGELE IFOTO

Politique AVEC UNE CENTAINE DE CANDIDATS ALIGNES AUX PROVINCIALES ET AUX LEGISLATIVES 2018 LA DDC EST PRÊTE À AFFRONTER LES ÉLECTIONS, ASSURE INGELE IFOTO

L’autorité morale de la Dynamique pour la démocratie au Congo (DDC), Ingele Ifoto, est très confiant en la bataille électorale à venir. Le p...

LA CLOTURE DE DEPOT DE CANDIDATURES DEVANT INTERVENIR DEMAIN MERCREDI PRÉSIDENTIELLE : 48 HEURES POUR LE CANDIDAT FCC

August 07, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFLPFMe7HqIb-Pj7RA61lFJs5HhT3vE4yZu53h6L7S3WLQLa7brfgUviUy5v9FGiYhaSWSnn4Yfa6alYo276wLoYtwKPU7FIRQ0hX9VxJ05ESPygLGq-dpf0N141hkjPjQQit6yYFuTEI/s1600/Snapshot_85.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="383" data-original-width="685" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFLPFMe7HqIb-Pj7RA61lFJs5HhT3vE4yZu53h6L7S3WLQLa7brfgUviUy5v9FGiYhaSWSnn4Yfa6alYo276wLoYtwKPU7FIRQ0hX9VxJ05ESPygLGq-dpf0N141hkjPjQQit6yYFuTEI/s400/Snapshot_85.jpg" width="400" /></a>* Après l’alerte de corneille Nangaa, la famille présidentielle obligé enfin de mettre fin à l’insoutenable suspense. C’est officiel. La clôture de dépôt de candidatures à la présidentielle et aux législatives nationales intervient demain mercredi 8 août à minuit. Œil sur le calendrier électoral en cours d’exécution, Corneille Nangaa alerte qu’il n’y aura pas de prolongation. Il l’a dit le week-end dernier, arguant que le moindre glissement d’une étape, risquerait d’entrainer celui de l’ensemble du processus électoral actuel. In fine, les élections prévues pour le 23 décembre prochain, n’auraient plus lieu à cette date très attendue. A qui reviendrait la faute ?<br />
Côté Ceni, on refuse d’endosser tout report de scrutin, même d’un jour, attribuable aux atermoiements de la classe politique. L’alerte sans équivoque de Corneille Nangaa explique cela. Etant en train d’exécuter ses tâches à l’aune du calendrier électoral publié début novembre 2017, la Centrale électorale exhorte les acteurs politiques, partie au processus électorale en cours, de remplir leur part de contrat. Pour le coup, il s’agit du dépôt de candidatures dans l’échéance prévue. <br />
Depuis le 25 juillet dernier, date d’ouverture officielle des Bureaux de réception et de traitement de candidatures (BRTC) pour la présidentielle et les législatives, le jeu semble encore bien joué dans le camp de l’Opposition. A preuve, certains opposants ayant déclaré leur candidature à la Magistrature suprême du pays, l’ont effectivement déposée. Figurent dans le lot, Jean-Pierre Bemba (le 2 août) et Vital Kamerhe qui a déposé sa candidature hier lundi. D’autres Opposants ont promis de déposer les leurs aujourd’hui mardi et demain mercredi. Il s’agit d’Antoine Félix Tshilombo Tshisekedi et Freddy Matungulu Ilankir (aujourd’hui). Le Premier ministre honoraire Adolphe Muzito s’étant signalé pour demain.<br />
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FCC : 48H POUR INSCRIRE SON CANDIDAT<br />
Si le ciel de l’Opposition a, ce jour,présenté des éclaircies diversement interprétées par des " météorologues" de la scène politique rd congolaise, le firmament du Front commun pour le Congo (FCC), semble encore couvert en même temps de nuages opaques et de " cumulus ". Qui est le candidat de la famille politique du Chef de l’Etat sortant à la prochaine présidentielle ? Mystère ! En tout cas, jusqu’hier, seul le Raïs lui-même en détenait le secret. Question. Pendant combien de temps devra donc durer cet énigme du FCC ? Sans doute pas jusqu’au-delà de ce mercredi. <br />
Après la sonnette d’larme de Corneille Nangaa qui prévient qu’il n’y aura pas de prolongation, d’aucuns pensent, non sans raison, que la famille politique présidentielle n’a plus que 48 heures. Non seulement pour inscrire son candidat futur Chef de l’Etat, mais aussi et surtout, pour mettre définitivement fin au suspense qui s’est emparé de l’opinion locale depuis plusieurs mois. En tout cas, dans les rues de Kinshasa, on s’impatiente de connaitre le nom du candidat FCC. Que de spéculations ! Et dire qu’au moment où nous mettions sous presse, un inconditionnel lecteur de Forum des As a appelé la rédaction, pour vérifier une info selon laquelle le Premier ministre honoraire Augustin Matata, aurait été tout désigné pour représenter la Kabilie à la bataille présidentielle de décembre prochain. <br />
Compte tenu de tout ce qui se raconte depuis plusieurs mois au sujet du candidat de la Majorité présidentielle au scrutin à venir, personne ne conseillerait donc à ce camp politique de continuer à entretenir le mythe. Evidemment, ni la Constitution du 18 février 2006 ni la loi électorale n’impose à la MP, une quelconque échéance quant à ce. Cependant, le calendrier électoral reste opposable à tous. Son respect est donc plus qu’un impératif. Laurel KANKOLE

Politique LA CLOTURE DE DEPOT DE CANDIDATURES DEVANT INTERVENIR DEMAIN MERCREDI PRÉSIDENTIELLE : 48 HEURES POUR LE CANDIDAT FCC

* Après l’alerte de corneille Nangaa, la famille présidentielle obligé enfin de mettre fin à l’insoutenable suspense. C’est officiel. La clô...

UN ANALYSTE S’INTERROGE : LA CENCO SERAIT-ELLE TOMBÉE DANS LE PIÈGE DE KATUMBI ?

August 07, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgV3FJLBkkmCKnr0iex8eMaBs94J1EncuMX_KeNfNCc0DL74tr4HoOh47sgF_aIzTIkbtWMgl1K-B5z6oHKXPyGiTpB49v8piUyTlLJHLpz497-MJK7jXPI8T8NV2Ez_JrFWGWN8gR9HuM/s1600/Snapshot_91.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="367" data-original-width="741" height="197" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgV3FJLBkkmCKnr0iex8eMaBs94J1EncuMX_KeNfNCc0DL74tr4HoOh47sgF_aIzTIkbtWMgl1K-B5z6oHKXPyGiTpB49v8piUyTlLJHLpz497-MJK7jXPI8T8NV2Ez_JrFWGWN8gR9HuM/s400/Snapshot_91.jpg" width="400" /></a>Depuis vendredi 3 août, Moïse Katumbi Chapwe est au cœur de l’actualité. Après avoir échoué dans sa tentative de rentrer au pays par Kasumbalesa, le leader de " Ensemble pour le changement " et ses principaux lieutenants en ont appelé à la mobilisation de leur base. En particulier celle de Lubumbashi. Hier, la capitale du cuivre a connu une effervescence qui a paralysé la ville. Les partisans de " Ensemble " ont battu le pavé sur fond de crépitement des balles. Sur ces entrefaites, les Evêques de la Cenco ont plaidé pour la facilitation du retour de Moïse Katumbi. Une démarche qui n’est pas du goût d’un analyste qui, dans une tribune, est d’avis que les Prélats catholiques sont tombés dans le piège de l’ancien gouverneur du Katanga.<br />
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Voici de longs mois qu’il est demandé à Monsieur Moïse KATUMBI de revenir en RDC afin de se présenter à la Justice conformément à la promesse qu’il avait faite lors de sa sortie du pays sur autorisation du Procureur Général de la République, pour raison de santé.<br />
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Se croyant malin, l’ancien gouverneur du Katanga s’est arrangé pour résider en Europe pendant de longs mois dans le but de faire le tour des grandes capitales occidentales qui devaient, dans son secret espoir, l’imposer à la Magistrature suprême, au travers de la formule concoctée par ses conseillers et pompeusement intitulée « Transition sans Kabila ». <br />
Face à l’échec de cette stratégie, surpris par le fait que Kinshasa reste déterminée à respecter la Constitution et l’Accord de la Saint Sylvestre et, notamment, à organiser les élections dans le respect du calendrier publié par l’organe habilité, la CENI ;mais surtout constatant que la fin de la période de dépôt des candidatures s’approche inéluctablement, le président du Tout Puissant Mazembe a voulu, dans la précipitation, créer l’évènement. Ceci, toujours pour revenir à son fameux schéma de la « Transition sans Kabila ».<br />
Pour atteindre son but, le stratagème mis en place apparaît assez naïf pour une personnalité qui vise la plus haute fonction de l’Etat. S’approcher le plus possible de Lubumbashi, tenter une entrée forcée afin d’amener ses partisans à organiser une insurrection dans la ville. Il aurait ainsi pris en otage une partie du pays et commencer à y imposer sa loi en contraignant le Gouvernement à accepter de force sa candidature, bien que se sachant inéligible en raison principalement de sa nationalité étrangère et de ses déboires judiciaires.<br />
Le scénario de la demande de survol du territoire congolais et de l’atterrissage à Lubumbashi n’était qu’un bluff mal ficelé. La fameuse lettre de demande n’a d’ailleurs apparu que dans des réseaux sociaux, sans le moindre signe ni trace, démontrant qu’elle ait été reçue par les autorités congolaises compétentes.<br />
Et quand bien même elle l’aurait été, n’est-il pas évident qu’une demande de cet ordre n’a pas à être faite par le passager, mais plutôt par la compagnie aérienne responsable du vol ?<br />
De surcroît, le fait même de se présenter à la sortie du territoire zambien, allant vers la RDC, muni d’aucune pièce d’identité valable de notre pays constitue un indice suffisant de l’insoumission du leader de "Ensemble" aux lois de la République. C’est dire qu’il n’entendait pas, de ce fait, franchir la frontière dans les conditions normales.<br />
En outre, le travail de propagande initié par Gabriel Kyungu wa Kumwanza pour mobiliser les supporters de TP Mazembe et les amener, à pied si nécessaire, à Kasumbalesa, ne visait que ce but de forcer l’entrée de Katumbi à Lubumbashi. Ceci ne vient que confirmer notre thèse, à savoir que l’ancien gouverneur du Katanga ne voulait en réalité entrer dans la capitale cuprifère que pour y déclencher des passions, créer des troubles et ainsi s’imposer par la force.<br />
La stratégie consistant à faire croire au public congolais et étranger qu’il venait faire face à la justice n’est que pur mensonge. Pour répondre à la convocation de la justice, il n’est nul besoin de chercher des voies détournées. Il suffisait seulement de se présenter à l’ambassade et d’y entamer les démarches nécessaires.<br />
La République Démocratique du Congo attend que Monsieur Moïse Katumbi, alias D’Agnano Soriano, respecte l’engagement qu’il a pris avant de sortir du pays. C’est-à-dire qu’il devrait rentrer par des voies normales pour se tenir à la disposition de la Justice congolaise.<br />
Par ailleurs, maintenant qu’il est connu que cet homme avait renoncé à la nationalité congolaise en faveur de celle italienne de son père, il ne peut pas ignorer la procédure que prévoient les lois congolaises pour recouvrer la nationalité du pays. <br />
Tous les bruits et, notamment le buzz constatés dans des réseaux sociaux le week-end dernier, procédaient d’une mise en scène qui a lamentablement échoué. C’est donc avec raison que certains commentateurs ont contesté la sincérité de la démarche de KATUMBI. Rappelons le tweet de Sonia Rolley de la RFI : « Monsieur Moïse KATUMBI n’a aucune envie de rentrer au pays, il veut juste faire du buzz sur les réseaux sociaux. Il faut qu’il arrête de faire son cinéma ».<br />
Permettez-moi donc de m’étonner que la CENCO soit tombée dans le piège du fugitif en suggérant au Gouvernement de la République de faciliter le retour d’un homme qui ne venait que pour compromettre les élections et ainsi, occasionner des troubles.<br />
Une fois de plus, la RDC vient d’échapper à une mise à feu et à sang programmée Ceci nous pousse à davantage de vigilance à l’endroit de ceux qui ne détiennent la nationalité rd congolaise que pour des profits, mais dont les véritables intérêts sont logés à l’étranger.<br />
La compétition électorale du 23 décembre 2018est un acte de souveraineté ; elle mettra en compétition des Congolais respectueux des lois de leur pays.<br />
K.M./Analyste politique

Politique UN ANALYSTE S’INTERROGE : LA CENCO SERAIT-ELLE TOMBÉE DANS LE PIÈGE DE KATUMBI ?

Depuis vendredi 3 août, Moïse Katumbi Chapwe est au cœur de l’actualité. Après avoir échoué dans sa tentative de rentrer au pays par Kasumba...

A UN PEU MOINS DE 48 HEURES DE LA CLOTURE DU DEPOT DES CANDIDATURES A LA PRESIDENTIELLE ET AUX LEGISLATIVES LA CENCO PLAIDE POUR LE "CAS KATUMBI"

August 07, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-4T4HpMVefco03GWmrdP9ua-H0v0J1g65dpyxiVSMRDY4BKktbR9YKTmDAkcZJFe-0ecdGx7zw6wJYswEVWJuLqb5WEpgujYuoXHBasYkD5X15hsIz9m7nhR27vIVQn5J3NVD359ZHV0/s1600/Snapshot_90.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="382" data-original-width="699" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-4T4HpMVefco03GWmrdP9ua-H0v0J1g65dpyxiVSMRDY4BKktbR9YKTmDAkcZJFe-0ecdGx7zw6wJYswEVWJuLqb5WEpgujYuoXHBasYkD5X15hsIz9m7nhR27vIVQn5J3NVD359ZHV0/s400/Snapshot_90.jpg" width="400" /></a>* Les prélats catholiques exhortent le Gouvernement à laisser le leader de "Ensemble" rentrer au pays et deposer sa candidature.<br />
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Les prélats catholiques sont préoccupés par la situation de Moïse Katumbi au moment où le compte à rebours pour la fermeture du bureau de réception et de traitement des candidatures à la présidentielle et aux législatives, a commencé. A un peu moins de 48 heures, interviendra en effet la clôture du dépôt des candidatures pour cette phase des élections.<br />
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Dans un communiqué daté d’hier lundi 06 août : "la Cenco exhorte les autorités congolaises de revenir sur leur décision en laissant notre compatriote rentrer au pays et déposer sa candidature comme les autres candidats "<br />
Les évêques se sont dits à ce propos peinés par "le sort inacceptable réservé au leader de " Ensemble pour le changement ". Ils précisent qu’il est de leur devoir de pasteurs de prévenir à temps les autorités de la République du fait qu’elles ont refusé l’entrée en RDC en RDC de l’ancien gouverneur du Katanga, l’obligeant à rester à l’étranger. <br />
"Un tel refus ressemble à plusieurs égards, a un déni identitaire, qu’aucune société humaine ne peut aujourd’hui tolérer, protestent-ils.<br />
" Dans la perspective de l’application de l’Accord politique global et inclusif du Centre interdiocesain, un tel traitement ségrégationniste ne se justifie point et peut inutilement entraîner des conséquences fâcheuses qu’il faut absolument éviter", martèle l’episcopat congolais.<br />
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VEILLER A L’EGALITE DES CHANCES<br />
Les évêques catholiques ont, par ailleurs, indiqué que la bataille pour l’instant doit être électorale dans le respect de tous et de chaque individu, dans la paix et l’égalité des chances. A leurs dires, "la crédibilité du scrutin est à ce prix. En vraie démocratie, on se choisit pas les adversaires politiques ".<br />
C’est donc à la Ceni qu’il revient de statuer sur la validité ou non d’une candidature. " Maintenir une telle décision est un grand recul pour la démocratie ", a conclu la Cenco.<br />
Emma MUNTU

A UN PEU MOINS DE 48 HEURES DE LA CLOTURE DU DEPOT DES CANDIDATURES A LA PRESIDENTIELLE ET AUX LEGISLATIVES LA CENCO PLAIDE POUR LE "CAS KATUMBI"

Politique A UN PEU MOINS DE 48 HEURES DE LA CLOTURE DU DEPOT DES CANDIDATURES A LA PRESIDENTIELLE ET AUX LEGISLATIVES LA CENCO PLAIDE POUR LE "CAS KATUMBI"

* Les prélats catholiques exhortent le Gouvernement à laisser le leader de "Ensemble" rentrer au pays et deposer sa candidature. ...

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