EN PRESENTANT HIER LES ORGANIGRAMMES DE LEURS CABINETS A L’EXECUTIF DU PARTI UDPS : LE MINISTRE DE L’AGRICULTURE ET LE VICE-MINISTRE DE LA JUSTICE POUR LES 70 % DES PLACES À ACCORDER AUX COMBATTANTS

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEig-zt6Dn7EmnVzzOee3qds_MvyuRwYB8oCdmilqGwyomwsYDEezfkzQ5MzGtsMejLbV2BCw0kO85OP1yYj4cQLpNrcbWjxZarFIsem2M5k_FTIIIirSkT6yuSuKh15Lndj8KW99DoYChSc/s1600/arton21806.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="847" data-original-width="1214" height="278" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEig-zt6Dn7EmnVzzOee3qds_MvyuRwYB8oCdmilqGwyomwsYDEezfkzQ5MzGtsMejLbV2BCw0kO85OP1yYj4cQLpNrcbWjxZarFIsem2M5k_FTIIIirSkT6yuSuKh15Lndj8KW99DoYChSc/s400/arton21806.jpg" width="400" /></a>Le credo, " Le Peuple d'abord ", n'est pas une vue de l'esprit au parti présidentiel. Jean-Joseph Kasonga et Bernard Takaishe, respectivement ministre UDPS de l'Agriculture et vice-ministre de la Justice, ont présenté hier mardi 17 septembre, au président a.i et au Secrétaire général de la formation chère à FATSHI, les organigrammes de leurs cabinets respectifs.En clair, ces membres du Gouvernement Ilunga Ilunkamba étaient allés discuter avec l'exécutif du parti des 70 % des places à accorder au parti par chaque ministre UDPS pour caser les combattants, selon les profils requis.Respect des consignes oblige.<br /> Le développement de l'actualité au sein de l'UDPS atteste que les ministres du gouvernement Ilunkamba issus de l'UDPS sont résolument engagés à maintenir le cordon ombilical qui les lie à leur parti.<br /> Dans les cabinets des ministres UDPS, les consignes sont claires, " Les combattants d'abord ". Les 70% des postes leur reviennent de droit. Cela a été communiqué aux membres du gouvernement au cours d'une matinée politique animée par le président a.i de l'UDPS, Jean-Marc Kabundu. En présentant hier mardi, 17 Septembre, leurs organigrammes à ce dernier, mais aussi au SG Augustin Kabuya, le ministre de l'Agriculture, Jean-Joseph Kasonga et le Vice-ministre de la Justice, Me Bernard Takaishe, respectifs. Ce faisant, ils rendent l'ascenseur au parti qui les a hissés à ces rangs.<br /> Le ministre du Tourisme et le vice-ministre des Finances étaient les premiers à descendre à la permanence du parti pour présenter leurs organigrammes au Secrétaire général Augustin Kabuya. Celui-ci n'avait pas mâché ses mots quant à la sanction à prendre à l'endroit de ceux des ministres UDPS qui se soumettront pas au principe de 70%. L'Exécutif du parti a carrément brandi la menace de voir le Premier ministre et le Chef de l'Etat pour obtenir leur départ du Gouvernement. Et pour peu qu'on connaisse le bouillant SG du parti présidentiel, ce ne sont pas des paroles en l'air. Augustin Kabuya est capable de mettre à exécution ses menaces.<br /> Et pour ne pas en arriver là, Me Bernard Takaishe, dans une interview à LIBERTÉ PLUS,le journal Web de l'UDPS, appelle les autres ministres UDPS à privilégier la voie du compromis avec l'exécutif du parti.<br /> '' On ne chie pas sur les mains qui vous a nourri ", a-t-il fait savoir, s'adressant sans doute aux ministres tentés de couper le cordon ombilical qui les lient au parti. .<br /> '' Je demande à mes collègues de venir discuter avec la hiérarchie du Parti et de trouver un compromis. Et, cela est tout à fait naturel. Donc, ça ne demande pas beaucoup de gymnastiques, ils sont obligés d'éviter de couper cette relation. Sinon, ils seront sans base. Car, nous, on ne peut qu'avoir notre soutien à la base. Et, notre base c'est le parti qui nous a porté. Aujourd'hui, nous sommes ministres ", a indiqué le vice-ministre de la Justice. Didier KEBONGO

Politique EN PRESENTANT HIER LES ORGANIGRAMMES DE LEURS CABINETS A L’EXECUTIF DU PARTI UDPS : LE MINISTRE DE L’AGRICULTURE ET LE VICE-MINISTRE DE LA JUSTICE POUR LES 70 % DES PLACES À ACCORDER AUX COMBATTANTS

Le credo, " Le Peuple d'abord ", n'est pas une vue de l'esprit au parti présidentiel. Jean-Joseph Kasonga et Bernard T...

Read more »

Lambert Mende opposé à toute « relation de cavalier à cheval » entre Belgique et RDC

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5Pqx04xqrFW0ImDiTba1GnR03pXI550sVG9JfpsogL1ftj4zjD89vbkBBORnWWRFVs8QQVZ-avnkjNs1hDJXCW5S28lVowCA-YzMamqtaDvLKzT1CNa4NgLTV5IC7gl1qncVytxExqlPL/s1600/IMG_9530.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5Pqx04xqrFW0ImDiTba1GnR03pXI550sVG9JfpsogL1ftj4zjD89vbkBBORnWWRFVs8QQVZ-avnkjNs1hDJXCW5S28lVowCA-YzMamqtaDvLKzT1CNa4NgLTV5IC7gl1qncVytxExqlPL/s400/IMG_9530.JPG" width="400" /></a>Sur Top Congo FM, Lambert Mende affirme son opposition à toute « relation de cavalier à cheval » entre la Belgique et la RDC.Réaffirmant son nationalisme, l’ancien porte-parole du gouvernement sous Joseph Kabila indique que si la Belgique « accepte que nous sommes indépendants et que nous pouvons, tout en coopérant avec eux, coopérer avec d’autres, tant mieux ».<br /> <br /> Et de préciser que « si le Président a des éléments que telle est la nouvelle situation, je ne peux que l’encourager à rétablir les relations normales avec ces partenaires.<br /> <br /> Seul bémol: « nous n’avons jamais dit qu’il fallait rompre avec nos partenaires traditionnels. Mais, c’est eux qui ne supportaient pas que nous puissions nous ouvrir à de nouveaux partenariats ».<br /> <br /> Une déclaration qui intervient au moment où, en visite officielle en Belgique, le chef de l’État a signé, ce mardi, avec le Premier ministre belge, 3 lettres d’intention, et non pas d’accords entre les deux pays qui portent sur la coopération entre les ministères des affaires étrangères, la coopération au développement entre les deux pays et la coopération entre les ministères des finances belges et des affaires étrangères congolais, pour les régies financières de RDC.<br /> <br /> Assouplir les sanctions contre les proches de Kabila <br /> <br /> Par contre, Lambert Mende réagit « positivement » à la demande du Président Félix Tshisekedi d’assouplir les sanctions contre les proches de Joseph Kabila, son prédécesseur.<br /> <br /> « Nous n’attendions pas moins de la part du chef de l’État. Ces sanctions, nous les avons toujours considérées comme une agression contre la souveraineté de notre pays. Elles sont illégitimes et illégales au regard du droit international ».<br /> <br /> Lambert Mende reste convaincu qu’« aucun État n’est au dessus d’un autre État. Tous les États sont égaux. Il y a l’égalité souveraine des États. Seul le Conseil de sécurité des Nations-Unies a le pouvoir de sanctionner des États ou leurs représentants ».<br /> <br /> Pour lui, « le Président de la République, en plaidant pour l’assouplissement de ces sanctions, n’a fait que son devoir. Personnellement, je l’en félicite ».<br /> <br /> Lambert Mende fait partie d’une dizaine de proches de Joseph Kabila sur qui pèse l’interdiction de voyager dans l’espace Schengen, en plus du gel de leurs avoirs.<br /> <br /> Ces sanctions ont été prises « en réponse aux entraves au processus électoral et aux violations des droits de l’homme qui y étaient liées ».<br /> <br /> <br /> Top Congo

Politique Lambert Mende opposé à toute « relation de cavalier à cheval » entre Belgique et RDC

Sur Top Congo FM, Lambert Mende affirme son opposition à toute « relation de cavalier à cheval » entre la Belgique et la RDC.Réaffirmant son...

Read more »

Félix Tshisekedi Au «Soir» : «Nous Sommes En Train D’écrire L’histoire De Notre Pays Et Les Générations Futures Nous Jugeront »

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhic-nccByxakiKO80j_KhlL6t8_S93IUaUXs1T15Q-XGiYpaOeE6T5GCa7JAHOKsadDo7viuRWA5dAiG4R3L4sYc-ISdj5UfhUE36gc2tFy3uTliiR7QjnDxhrzl7EzqJgOBiZ0ZSY127T/s1600/fatshi-roi-belge-170919-800px.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="800" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhic-nccByxakiKO80j_KhlL6t8_S93IUaUXs1T15Q-XGiYpaOeE6T5GCa7JAHOKsadDo7viuRWA5dAiG4R3L4sYc-ISdj5UfhUE36gc2tFy3uTliiR7QjnDxhrzl7EzqJgOBiZ0ZSY127T/s400/fatshi-roi-belge-170919-800px.jpg" width="400" /></a>Le chef de l’Etat de la RDC Félix Tshisekedi est arrivé lundi en Belgique pour quatre jours de visite officielle et de travail aux multiples facettes, sur fond de normalisation des relations, souvent en dents de scie, entre la République démocratique du Congo et son ancienne puissance coloniale. Quelques heures avant son départ, Colette Braeckman du journal Le Soir s’est entretenu avec Félix Tshisekedi.<br /> <br /> Félix Tshisekedi arrive en terrain connu : le chef de l’Etat congolais, ancien opposant et fils d’opposant, a lui-même longtemps vécu en Belgique. Il a été proclamé vainqueur de l’élection présidentielle contestée du 30 décembre 2018 et a succédé le 24 janvier dernier au président Joseph Kabila qui était au pouvoir depuis dix-huit ans.<br /> <br /> Accompagnant votre père, opposant au président Mobutu, vous avez vécu longtemps en Belgique. Quel fut son rôle dans votre apprentissage politique ?<br /> <br /> Ce n’est pas en Belgique que j’ai connu les débuts de son combat : avec lui nous avons été déportés au village, on appelait cela relégation. C’était en 1983-84, un milieu où il n’y avait ni école ni soin de santé. La naissance du parti UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social), je l’ai vécue dans ma chair, dans ma vie même… En même temps que ma famille, ma mère, ma sœur, j’ai été témoin des souffrances du peuple congolais et, âgé de 19 ans à l’époque, j’en ai été victime moi-même. Même si je n’ai jamais revendiqué cela ; je suis l’un des pionniers de ce combat… A cette époque, nos parents ont décidé d’évacuer les enfants vers la Belgique, contraints et forcés afin que notre père puisse continuer sa lutte… Nous n’étions pas préparés à l’exil, nous n’avions même pas un pied à terre, nous vivions comme tous les réfugiés…<br /> <br /> Que signifie pour vous le slogan de votre père « le peuple d’abord » ?<br /> <br /> Pour moi, cela signifie d’abord prendre en considération la volonté de ce peuple, en comprenant ses souffrances et en essayant de les résoudre. Il n’est pas normal que le Congo, avec ses immenses potentialités, soit l’un des pays les plus pauvres du monde ! Lorsqu’on a mené un combat comme celui d’Etienne Tshisekedi qui a résisté grâce au soutien de la population, on ne peut que penser que les désirs de ce peuple passent avant les nôtres.<br /> <br /> Vous avez voyagé à l’intérieur du pays. Qu’est ce qui vous a le plus frappé?<br /> <br /> Avant tout, c’est la misère. L’écart complet entre les Congolais de la province et ceux de Kinshasa. Or la plus grande partie des richesses, de la force du Congo vient de l’intérieur ou les populations sont restées dans un autre siècle alors que le Congo avançait. Ce qui m’a le plus bouleversé, c’est l’insécurité à l’Est et je me suis juré de tout faire pour ramener la stabilité, la sécurité et la paix. C’est invivable : les gens sont pris en otages, ils ne peuvent se rendre aux champs alors qu’ils vivent des produits de ces champs. On ne peut accepter que des pans entiers de la population vive dans de telles conditions. Je dois tout faire pour changer cela. J’ai aussi vu la souffrance des femmes, elle est inadmissible…<br /> <br /> Est-ce en tenant compte de tout cela que vous avez lancé un train de mesures sociales ?<br /> <br /> En fait, mon programme, ma vision, c’est de mettre l’Homme congolais au centre de mes préoccupations. C’est de son épanouissement, de son mieux-être que viendra le développement de la RDC. Le bien être commence par la liberté ; les individus doivent être libres, de s’exprimer, d’entreprendre. Il faut leur garantir un accès à l’éducation. Le droit à l’éducation est inscrit dans la Constitution et j’ai voulu marquer le coup : décréter la gratuité de l’enseignement fondamental, ce qui représente un budget de 37 millions de dollars par mois. Il est possible de dégager ces fonds, et des partenaires internationaux, comme la BAD (Banque africaine de développement), ont déjà accepté de nous suivre. Je les en remercie… Notre ambition est d’étendre cet effort à l’enseignement secondaire, puis supérieur… Nous travaillons aussi sur l’accès aux soins de santé afin que les Congolais, épanouis, puissent affronter les défis du développement… Mais nous devons rester modestes, les pieds sur terre et ne pouvons attaquer sur tous les fronts à la fois. D’ici 2023, le social sera prioritaire… Les mesures concernant l’enseignement ont déjà suscité des manifestations de joie, de soulagement et nous allons continuer. Il fallait relever ce défi et pour le moment ça tient, il fallait oser.<br /> <br /> Avec un budget de 5 milliards de dollars, allez-vous trouver les moyens de cette politique ?<br /> <br /> En numérisant l’économie, nous pensons pouvoir rationaliser les dépenses et ramener plus de recettes dans le trésor public. Actuellement, 80 % de nos recettes échappent au Trésor ! Donc en luttant davantage contre la corruption, nous allons combattre ce coulage et réussir à mieux redistribuer la richesse sur l’ensemble du territoire…<br /> <br /> Pouvez-vous parler de l’affaire, dite des 15 millions de dollars disparus, ce qui a été détecté par l’Inspection générale des Finances ?<br /> <br /> Cette « histoire » est symptomatique du changement intervenu : elle a été détectée par l’ANR, l’Agence nationale de renseignement. J’ai réussi à humaniser l’ANR, transformée en un service qui doit humaniser la société. J’ai tenu à recevoir moi-même l’inspecteur général des Finances M. Batubenga, car mon souci était de l’entendre à propos des menaces qu’il aurait rencontrées. Il m’a dit qu’il n’en avait pas connu et qu’il avait transmis le dossier au Procureur, sans citer de nom. Je l’ai assuré de tout mon soutien et de ma confiance. Le dossier est désormais entre les mains de la Justice et n’a plus rien à voir avec moi. Je ne peux donc plus me prononcer sur ce sujet. Je me bats pour un Etat de droit, pour l’indépendance de la justice et donc je ne mettrai pas mon nez dans ces histoires. Je ne veux pas être un dictateur et je laisse les institutions judiciaires faire leur travail en toute indépendance. Garant des institutions, je me suis assuré du fait que l’inspecteur pouvait faire son travail dans de bonnes conditions. De la même façon, le dossier du Docteur Ilunga (l’ex-ministre de la Santé) se trouve entre les mains de la Justice… Je n’ai rien à voir là-dedans. L’Etat de droit est en train de se mettre en place et je ne veux pas me mêler de ce qui n’est pas de mon ressort…<br /> <br /> Quel est le climat des relations avec votre prédécesseur, l’ex-président Kabila ?<br /> <br /> Elles sont plutôt bonnes. Respect, considération mutuelle… Il n’a pas de plainte à avoir à ce sujet… Mais nous sortons d’un système qui est resté longtemps au pouvoir et certains collaborateurs ont encore quelques réflexes du passé, ont tendance à croire qu’ils sont encore au pouvoir. Il y a eu des actes maladroits mais, essayant de m’élever au-dessus de tout cela, je crois qu’il faut privilégier la paix, la stabilité… Eviter toute crise intempestive qui aurait un impact sur l’économie et l’évolution du pays. Nous avons le devoir de tenir compte de l’intérêt supérieur de la nation et de privilégier la bonne marche de l’Etat en oubliant nos petits soucis personnels… Je reste optimiste sur la suite…<br /> <br /> Une telle transition pacifique, c’est du jamais vu dans l’histoire du Congo…<br /> <br /> Une grande première, c’est exact… Nous n’avons aucune expérience passée sur laquelle nous appuyer. C’est un défi énorme. Nous tentons de faire du neuf avec du vieux, nous sommes en train d’écrire l’histoire de notre pays et les générations futures nous jugeront… Il nous faudra beaucoup de patience, de diplomatie, mais moi j’y crois…<br /> <br /> On vous présente comme une force tranquille…<br /> <br /> Je dirais plutôt une force patiente et humble, qui sait écouter. Mais une force quand même. Ferme sur les principes. J’ai été à l’école d’Etienne Tshisekedi et le respect des principes, je connais. Mon père m’a aussi, à ses côtés, obligé, au sein du parti, à être plus diplomate… La population, à ce stade, nous soutient : partout où nous allons, elle manifeste sa sympathie. J’y tiens, les gens sont libres de s’exprimer et si cela ne va pas, ils le diront.<br /> <br /> La diaspora congolaise semble amorcer son retour…<br /> <br /> Je les encourage à rentrer au pays quand ils seront prêts, mais ici, il n’y a plus d’inquiétude à avoir au niveau des droits et des libertés. Les inquiétudes peuvent exister au niveau professionnel et organiser le retour peut prendre du temps. Le Congo est le pays de tous les Congolais, je leur garantis la sécurité et je travaille sur les forces de l’ordre pour les conscientiser afin qu’ils aient un comportement différent. Aujourd’hui, les représentants de l’autorité qui s’adonnent à des comportements dégradants sont passibles de poursuites et je sens qu’il y a un changement… Si j’ai dit qu’il ne fallait pas considérer les investisseurs comme du gibier, c’est parce que, d’ordinaire, dès que ces derniers rencontrent une autorité cette dernière veut leur soutirer quelque chose. Avant même le premier investissement, on ne demande pas de porte et de dessous de table ! Dès que commencent les activités, on essaie de percevoir des taxes… Pour arriver à la croissance et au plein-emploi, il faut cesser de telles pratiques… Je n’ai pas les yeux partout, mais je fais de mon mieux pour sensibiliser… J’ai aussi créé une agence pour le changement de mentalité afin qu’elle fasse ce travail de sensibilisation de la population et surtout des fonctionnaires de l’Etat…<br /> <br /> Après avoir visité les pays voisins du Congo, qu’attendez-vous de votre voyage en Belgique ?<br /> <br /> J’ai toujours dit à mes amis belges que le pays qui pouvait aider le Congo à se relever, c’est la Belgique. Nous aider à renforcer notre administration, remonter le niveau de notre éducation, déployer une politique de santé qui puisse prendre en charge notre population. Avec nos « nokos (oncles) » belges, nous pouvons faire beaucoup et mettre en place une coopération modernisée, adaptée aux circonstances actuelles, qui doit continuer. Cependant, compte tenu d’un passé récent, la Belgique demeure assez frileuse par rapport à nos relations et j’aimerais amener les Belges à avoir confiance à nouveau ; les gens hésitent encore, mais nous allons essayer de donner le plus de garanties possible afin de les rassurer. J’ai déjà eu contact avec certaines PME et j’espère que mon passage en Belgique va booster ces relations. Il y a entre nos deux pays un énorme capital de confiance, de sympathie, mais ma crainte, c’est qu’il disparaisse : les problèmes communautaires ont cessé de faire voir la Belgique comme un pays uni et je crains que l’idée que nous avons de l’ancienne métropole s’estompe, au profit d’autres pays qui offrent aussi des possibilités, comme la Chine, l’Afrique du Sud, le Maroc, qui offrent bourses et possibilités aux Congolais. Auprès des jeunes, la Belgique perd du terrain et c’est bien dommage, pour les deux parties… J’ai déjà plaidé en faveur du renforcement de la coopération militaire, j’en avais déjà parlé au Ministre Reynders lorsque je l’avais rencontré à Washington en avril. Nous aurions besoin de l’expertise belge pour réhabiliter le camp de Kota Koli dans l’Equateur, qui forme des para-commandos et à Kindu, la coopération va reprendre…<br /> <br /> Plusieurs personnalités de l’ancien régime sont encore sous le coup de sanctions internationales. Allez-vous intervenir en leur faveur ?<br /> <br /> Ces personnalités font aujourd’hui partie de la coalition que nous avons formée. Si nous voulons que les choses se passent bien, nous ne pouvons que plaider en faveur d’une sorte d’assouplissement. Sauf évidemment si les raisons des sanctions sont autres que la crise politique que nous avons traversée, des violations des droits de l’homme par exemple. Ces sanctions étaient liées à la situation politique et celle-ci a évolué.<br /> <br /> Quelle est votre vision, votre rêve à propos du Congo ?<br /> <br /> Je rêve d’un Congo libre et pacifié, prospère évidemment, où les enfants du Congo vont à l’école dans de bonnes conditions, comme tous les enfants du monde où les parents ont un travail décent et un salaire qui leur permet de nouer les deux bouts. Je sais que les Congolais sont ingénieux et qu’ils vont eux-mêmes améliorer leur environnement… Ils doivent compter plus sur le sol et ses ressources que sur notre sous-sol, ce dernier est aussi est la cause de beaucoup de nos malheurs, car il a attiré beaucoup de convoitises y compris les plus cyniques. Si nous diversifions notre économie grâce à l’agriculture, nous allons créer de l’emploi, atteindre l‘autosuffisance alimentaire et même pouvoir exporter… Côté emploi, les mines n’offrent pas beaucoup de possibilités… Nous devons aller vers la diversification de notre économie et sur le plan agricole, nous envisageons de créer des zones agro-industrielles, de regrouper les paysans en coopératives, de leur donner les moyens nécessaires et d’améliorer les routes de desserte agricole, de créer de micro-barrages afin de permettre l’industrialisation de notre agriculture.<br /> <br /> Allez-vous réclamer le retour des œuvres congolaises qui se trouvent en Belgique ?<br /> <br /> Certainement pas dans l’immédiat : notre nouveau musée n’est pas assez grand pour accueillir toutes les œuvres qui sont déjà chez nous ! L’ancien musée construit du temps du président Mobutu contient encore 30.000 pièces qui devraient être exposées… Ce n’est donc pas le moment de faire revenir des pièces qui se trouvent en Belgique, mais nous pourrions peut-être envisager des expositions, des échanges… Pour le moment, n’étant pas capable de gérer cette situation, je ne ferais pas une telle demande… Les revendications sont fondées, mais pas réalistes : notre patrimoine pourrait revenir certes, mais dans l’immédiat, nous n’avons pas la capacité de l’accueillir, nous avons d’autres urgences…<br /> <br /> LP avec Le Soir

Politique Félix Tshisekedi Au «Soir» : «Nous Sommes En Train D’écrire L’histoire De Notre Pays Et Les Générations Futures Nous Jugeront »

Le chef de l’Etat de la RDC Félix Tshisekedi est arrivé lundi en Belgique pour quatre jours de visite officielle et de travail aux multiples...

Read more »

LISANGA BONGANGA DONNE RAISON A MARTIN FAYULU : "Il y a 3 présidents en RDC. Un président nommé qui n'a aucun pouvoir, un président élu et un ancien président qui tient l'imperium du pouvoir" ( VIDEO )

<br /> <iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/e6IG4zavAzE" width="640"></iframe>

infos en vidéos Nos vidéos Politique LISANGA BONGANGA DONNE RAISON A MARTIN FAYULU : "Il y a 3 présidents en RDC. Un président nommé qui n'a aucun pouvoir, un président élu et un ancien président qui tient l'imperium du pouvoir" ( VIDEO )

Read more »

PASTEUR GUILY : POURQUOI GRATUITE DE L 'ENSEIGNEMENT EKOMI PROBLEME ( VIDEO )

<br /> <iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/1VuwJJxBj18" width="640"></iframe>

infos en vidéos Nos vidéos Politique PASTEUR GUILY : POURQUOI GRATUITE DE L 'ENSEIGNEMENT EKOMI PROBLEME ( VIDEO )

Read more »

Porte parole de l ' UDPS : Le Royaume de la Belgique est tombé entre les mains de FELIX TSHISEKEDI ( VIDEO )

<br /> <iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/q9pNav7MCrI" width="640"></iframe>

infos en vidéos Nos vidéos Politique Porte parole de l ' UDPS : Le Royaume de la Belgique est tombé entre les mains de FELIX TSHISEKEDI ( VIDEO )

Read more »

PASTEUR GUILY DE L ' UDPS AKEBISI LISUSU ELIEZER ET BOKETSHU AZA BOURRIQUE ET ODON MBO AZA INAPTE ! ( VIDEO )

<br /> <iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/orkDgEERl04" width="640"></iframe>

infos en vidéos Nos vidéos Politique PASTEUR GUILY DE L ' UDPS AKEBISI LISUSU ELIEZER ET BOKETSHU AZA BOURRIQUE ET ODON MBO AZA INAPTE ! ( VIDEO )

Read more »

NANI ATINDI MIKE MUKEBAYI EN PRISON ? MARTIN FAYULU EVENTRE LE BOA ET ACCUSE FELIX TSHISEKEDI ET VITAL KAMERHE (VIDÉO)

<br /> <iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/217Pw-D93tk" width="640"></iframe>

infos en vidéos Justice Nos vidéos Politique NANI ATINDI MIKE MUKEBAYI EN PRISON ? MARTIN FAYULU EVENTRE LE BOA ET ACCUSE FELIX TSHISEKEDI ET VITAL KAMERHE (VIDÉO)

Read more »

FELIX TSHISEKEDI A BRUXELLES : YOKA SON AFINGI BOKESTHU MABEEE ET PARLE DE SON ECHEC . ( VIDEO )

<br /> <iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/bbFj7ua-big" width="640"></iframe>

infos en vidéos Nos vidéos Politique FELIX TSHISEKEDI A BRUXELLES : YOKA SON AFINGI BOKESTHU MABEEE ET PARLE DE SON ECHEC . ( VIDEO )

Read more »

YOKA SON - UDPS : MIKE MUKEBAYI IL FAUT ASALA 20 ANS DE PRISON A MAKALA POUR OUTRAGE AU CHEF DE L ' ETAT ( VIDÉO )

<br /> <iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/kkwi91VhErs" width="640"></iframe>

infos en vidéos Nos vidéos Politique YOKA SON - UDPS : MIKE MUKEBAYI IL FAUT ASALA 20 ANS DE PRISON A MAKALA POUR OUTRAGE AU CHEF DE L ' ETAT ( VIDÉO )

Read more »

Tshisekedi obtient la réouverture du consulat congolais d’Anvers

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRE0kDU3BIBy8ef0oi9EgEma7kxTkcTFP4SeBMYPPewK3JglqC63VnEW6-DLhzsRHcKujZuOn4LRUaUqX9c1217StCZSjCc1JOvEklX5BnMfrWnIK_v6BV_vUNm95IQgxV0OslYnp01Muu/s1600/fatshi-reynders-170919-800px+%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="800" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRE0kDU3BIBy8ef0oi9EgEma7kxTkcTFP4SeBMYPPewK3JglqC63VnEW6-DLhzsRHcKujZuOn4LRUaUqX9c1217StCZSjCc1JOvEklX5BnMfrWnIK_v6BV_vUNm95IQgxV0OslYnp01Muu/s400/fatshi-reynders-170919-800px+%25281%2529.jpg" width="400" /></a>Le président congolais a été reçu, ce matin, par le Premier ministre belge, Charles Michel. Après cette rencontre, une réunion du gouvernement fédéral a notamment débouché sur 3 mémorandums d’entente qui portent notamment sur la réouverture des consulats congolais et belge d’Anvers et de Lubumbashi.<br /> Après son arrivée à Bruxelles, hier lundi 16 septembre dans la soirée, le président de République démocratique du Congo a entamé mardi sa visite officielle qui concrétise le réchauffement des relations entre les deux pays. Le chef de l’Etat congolais a débuté sa journée par la rencontre avec le Premier ministre belge, Charles Michel. Celui-ci a accueilli Félix-Antoine Tshisekedi dans la cours d'honneur du Palais d'Egmont.<br /> <br /> Il s’en est suivi d’une réunion gouvernementale qui a réuni les principaux membres du gouvernement fédéral, dont Charles Michel et Didier Reynders, ainsi que le vice-Premier ministre et ministre de la Coopération au développement Alexander De Croo. Cette réunion s’est soldée par la signature de trois Mémorandums d'entente. Ils portent sur la réouverture du consulat belge à Lubumbashi et du consulat congolais à Anvers, fermés par Kinshasa au plus fort de la crise diplomatique entre les deux pays, rapporte le média belge RTBF.<br /> <br /> Il y a également la reprise progressive de la coopération au développement par la définition d'un "programme transitoire", après la suspension des activités de l'agence belge Enabel en République démocratique du Congo. Et enfin, l'établissement d'un "dialogue politique à haut niveau" entre Bruxelles et Kinshasa.<br /> <br /> D’après-midi, note RTBF, Félix Tshisekedi est attendu au siège bruxellois de la Fédération des entreprises de Belgique (FEB) - avec en filigrane la signature d'accords avec le secteur privé - avant un dîner offert par la Chambre de commerce, d'industrie et d'agriculture Belgique-Luxembourg-Afrique-Caraïbes-Pacifique (CBL-ACP) en soirée au Cercle gaulois, face au parlement.<br /> <br /> Pour rappel, Félix Tshisekedi est en visite de trois jours en Belgique pour la première fois depuis son investiture, le 24 janvier 2019. Après cette étape européenne, Tshisekedi traversera l’Atlantique pour se rendre à New York où il prendra part à l’Assemblée générale des Nations Unies.<br /> <br /> Dido Nsapu<br /> <br /> <br /> <br />

Politique Tshisekedi obtient la réouverture du consulat congolais d’Anvers

Le président congolais a été reçu, ce matin, par le Premier ministre belge, Charles Michel. Après cette rencontre, une réunion du gouverneme...

Read more »

Félix Tshisekedi : « une force tranquille, une force quand même » (Interview de Colette Braekman)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4GK05w6-9q2Ohhyphenhyphenb5JgN4kuqNu1XPr2br4WeaXse_r-le79Saqa7-wpFoekyFw_l_NL9Yk6w8I2OKnlFhlciOTxfDRNP221EFlCuzwlvoS72lSDY6owwdMgPM7tUf1qwP9QdaiSzgC1Ol/s1600/felix-fatshi.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="403" data-original-width="640" height="251" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4GK05w6-9q2Ohhyphenhyphenb5JgN4kuqNu1XPr2br4WeaXse_r-le79Saqa7-wpFoekyFw_l_NL9Yk6w8I2OKnlFhlciOTxfDRNP221EFlCuzwlvoS72lSDY6owwdMgPM7tUf1qwP9QdaiSzgC1Ol/s400/felix-fatshi.jpg" width="400" /></a>Accompagnant votre père, opposant au président Mobutu, vous avez vécu longtemps en Belgique. Quel fut son rôle dans votre apprentissage politique ?<br /> <br /> Ce n’est pas en Belgique que j’ai connu les débuts de son combat : avec lui nous avons été déportés au village, on appelait cela relégation. C’était en 1983-84, un milieu où il n’y avait ni école ni soin de santé. La naissance du parti UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social) je l’ai vécue dans ma chair, dans ma vie même…En même temps que ma famille, ma mère, ma sœur, j’ai été témoin des souffrances du peuple congolais et, âgé de 19 ans à l’époque, j’en ai été victime moi-même. Même si je n’ai jamais revendiqué cela ; je suis l’un des pionniers de ce combat……<br /> A cette époque nos parents ont décidé d’évacuer les enfants vers la Belgique, contraints et forcés afin que notre père puisse continuer sa lutte…Nous n’ étions pas préparés à l’exil, nous n’avions même pas un pied à terre, nous vivions comme tous les réfugiés…<br /> <br /> Que signifie pour vous le slogan de votre père « le peuple d’abord » ?<br /> <br /> Pour moi, cela signifie d’abord prendre en considération la volonté de ce peuple, en comprenant ses souffrances et en essayant de les résoudre. Il n’est pas normal que le Congo, avec ses immenses potentialités, soit l’un des peuples les plus pauvres du monde ! Lorsqu’on a mené un combat comme celui d’Etienne Tshisekedi qui a résisté grâce au soutien de la population on ne peut que penser que les désirs de ce peuple passent avant les nôtres.<br /> <br /> Vous avez voyagé à l’intérieur du pays. Qu’est-ce qui vous a le plus frappé ?<br /> <br /> Avant tout, c’est la misère. L’écart complet entre les Congolais de la province et ceux de Kinshasa.. Or la plus grande partie des richesses, de la force du Congo vient de l’intérieur ou les populations sont restées dans un autre siècle alors que le Congo avançait. Ce qui m’a le plus bouleversé, c’est l’insécurité à l’Est et je me suis juré de tout faire pour ramener la stabilité, la sécurité et la paix. C’est invivable : les gens sont pris en otages, ils ne peuvent se rendre aux champs alors qu’ils vivent des produits de ces champs. On ne peut accepter que des pans entiers de la population vive dans de telles conditions. Je dois tout faire pour changer cela. J’ai aussi vu la souffrance des femmes, elle est inadmissible…<br /> <br /> Est-ce en tenant compte de tout cela que vous avez lancé un train de mesures sociales ?<br /> <br /> En fait, mon programme, ma vision, c’est de mettre l’Homme congolais au centre de mes préoccupations. C’est de son épanouissement, de son mieux être que viendra le développement de la RDC. Le bien être commence par la liberté ;les individus doivent être libres, de s’exprimer, d’entreprendre. Il faut leur garantir un accès à l’éducation.<br /> <br /> Le droit à l’éducation est inscrit dans la Constitution et j’ai voulu marquer le coup : décréter la gratuité de l’enseignement fondamental, ce qui représente un budget de 37 millions de dollars par mois. Il est possible de dégager ces fonds, et des partenaires internationaux comme la BAD (Banque africaine de développement) ont déjà accepté de nous suivre, je les en remercie…Notre ambition est d’étendre cet effort à l’enseignement secondaire, puis supérieur…Nous travaillons aussi sur l’accès aux soins de santé, afin que les Congolais, épanouis, puissent affronter les défis du développement…Mais nous devons rester modestes, les pieds sur terre et ne pouvons attaquer sur tous les fronts à la fois. D’ici 2023 le social sera prioritaire…Les mesures concernant l’enseignement ont déjà suscité des manifestations de joie, de soulagement et nous allons continuer. Il fallait relever ce défi et pour le moment ça tient, il fallait oser…<br /> <br /> <br /> <br /> Avec un budget de 5 milliards de dollars, allez vous trouver les moyens de cette politique ?<br /> <br /> En numérisant l’économie, nous pensons pouvoir rationaliser les dépenses et ramener plus de recettes dans le trésor public. Actuellement 80% de nos recettes échappent au Trésor ! Donc en luttant davantage contre la corruption nous allons combattre ce coulage et réussir à mieux redistribuer la richesse sur l’ensemble du territoire…<br /> <br /> Pouvez-vous parler de l’affaire dite des 15 millions de dollars disparus, ce qui a été détecté par l’Inspection générale des finances ?<br /> <br /> Cette « histoire » est symptomatique du changement intervenu : elle a été détectée par l’ANR, l’Agence nationale de renseignement. J’ai réussi à humaniser l’ANR, transformée en un service qui doit humaniser la société. J’ai tenu à recevoir moi-même l’ inspecteur général des Finances M. Batubenga car mon souci était de l’entendre à propos des menaces qu’il aurait rencontré. Il m’a dit qu’il n en avait pas connu et qu’il avait transmis le dossier au Procureur, sans citer de nom .Je l’ai assuré de tout mon soutien et de ma confiance. Le dossier est désormais entre les mains de la Justice et n’a plus rien à voir avec moi. Je ne peux donc plus me prononcer sur ce sujet…<br /> <br /> Je me bats pour un Etat de droit, pour l’indépendance de la justice et donc je ne mettrai pas mon nez dans ces histoires. Je ne veux pas être un dictateur et je laisse les institutions judiciaires faire leur travail en toute indépendance…<br /> <br /> Garant des institutions je me suis assuré du fait que l’inspecteur pouvait faire son travail dans de bonnes conditions. De la même façon, le dossier du Docteur Ilunga (l’ex ministre de la Santé) se trouve entre les mains de la Justice… Je n’ai rien à voir là dedans. L’Etat de droit est en train de se mettre en place et je ne veux pas me mêler de ce qui n’est pas de mon ressort…<br /> <br /> <br /> <br /> Quel est le climat des relations avec votre prédécesseur, l’ex-président Kabila ?<br /> <br /> Elles sont plutôt bonnes. Respect, considération mutuelle…,Il n’ a pas de plainte à avoir à ce sujet… Mais nous sortons d’un système qui est resté longtemps au pouvoir et certains collaborateurs ont encore quelques réflexes du passé, ont tendance à croire qu’ils sont encore au pouvoir, il y a eu des actes maladroits mais, essayant de m’élever au dessus de tout cela je crois qu’il faut privilégier la paix, la stabilité…Eviter toute crise intempestive qui aurait un impact sur l’économie et l’évolution du pays. Nous avons le devoir de tenir compte de l’intérêt supérieur de la nation et de privilégier la bonne marche de l’Etat en oubliant nos petits soucis personnels…Je reste optimiste sur la suite…<br /> <br /> Une telle transition pacifique, c’est du jamais vu dans l’histoire du Congo…<br /> <br /> Une grande première, c’est exact… Nous n’avons aucune expérience passée sur laquelle nous appuyer. C’est un défi énorme nous tentons de faire du neuf avec du vieux, nous sommes en train d’écrire l’histoire de notre pays et les générations futures nous jugeront…. Il nous faudra beaucoup de patience, de diplomatie, mais moi j’y crois…<br /> <br /> On vous présente comme une force tranquille…<br /> <br /> Je dirais plutôt une force patiente, et humble, qui sait écouter.<br /> <br /> Mais une force quand même. Ferme sur les principes. J’ai été à l’école d’Etienne Tshisekedi et le respect des principes, je connais…<br /> <br /> Mon père m’a aussi, à ses côtés , obligé, au sein du parti, à être plus diplomate…La population, à ce stade, nous soutient : partout où nous allons elle manifeste sa sympathie. J’y tiens, les gens sont libres de s’exprimer et si cela ne va pas, ils le diront.<br /> <br /> La diaspora congolaise semble amorcer son retour<br /> <br /> Je les encourage à rentrer au pays quand ils seront prêts, mais ici, il n’y a plus d’inquiétude à avoir au niveau des droits et des libertés. Les inquiétudes peuvent exister au niveau professionnel, et organiser le retour peut prendre du temps. Le Congo est le pays de tous les Congolais, je leur garantis la sécurité et je travaille sur les forces de l’ordre pour les conscientiser afin qu’ils aient un comportement différent. Aujourd’hui les représentants de l’autorité qui s’adonnent à des comportements dégradants sont passibles de poursuites, et je sens qu’il y a un changement… SI j’ai dit qu’il ne fallait pas considérer les investisseurs comme du gibier, c’est parce que, d’ordinaire, dès que ces derniers rencontrent une autorité cette dernière veut leur soutirer quelque chose. Avant même le premier investissement on demande pas de porte et dessous de table ! Dès que commencent les activités, on essaie de percevoir des taxes…Pour arriver à la croissance et au plein emploi, il faut cesser de telles pratiques…Je n’ai pas les yeux partout, mais je fais de mon mieux pour sensibiliser…J’ai aussi créé une agence pour le changement de mentalité, afin qu’elle fasse ce travail de sensibilisation de la population et surtout des fonctionnaires de l’Etat…<br /> <br /> Après avoir visité les pays voisins du Congo, qu’attendez-vous de votre voyage en Belgique ?<br /> <br /> <br /> <br /> J’ai toujours dit à mes amis belges que le pays qui pouvait aider le Congo à se relever, c’est la Belgique. Nous aider à renforcer notre administration, remonter le niveau de notre éducation, déployer une politique de santé qui puisse prendre en charge notre population . Avec nos « nokos » (oncles) belges nous pouvons faire beaucoup et mettre en place une coopération modernisée, adaptée aux circonstances actuelles, qui doit continuer…<br /> <br /> Cependant, compte tenu d’un passé récent, la Belgique demeure assez frileuse par rapport à nos relations et j’aimerais amener les Belges à avoir confiance à nouveau ; les gens hésitent encore mais nous allons essayer de donner le plus de garanties possibles afin de les rassurer. J’ai déjà eu contact avec certaines PME et j’espère que mon passage en Belgique va booster ces relations. Il y a entre nos deux pays un énorme capital de confiance, de sympathie, mais ma crainte, c’est qu’il disparaisse : les problèmes communautaires ont cessé de faire voir la Belgique comme un pays uni et je crains que l’idée que nous avons de l’ancienne métropole s’estompe, au profit d’autres pays qui offrent aussi des possibilités, comme la Chine, l’Afrique du Sud, le Maroc, qui offrent bourses et possibilités aux Congolais. Auprès des jeunes, la Belgique perd du terrain et c’est bien dommage, pour les deux parties…<br /> <br /> J’ai déjà plaidé en faveur du renforcement de la coopération militaire, j’en avais déjà parlé au Ministre Reynders lorsque je l’avais rencontré à Washington en avril.<br /> <br /> Nous aurions besoin de l’expertise belge pour réhabiliter le camp de Kota Koli dans l’Equateur, qui forme des para commandos et à Kindu, la coopération va reprendre…<br /> <br /> Plusieurs personnalités de l’ancien régime sont encore sous le coup de sanctions internationales. Allez-vous intervenir en leur faveur ?<br /> <br /> Ces personnalités font aujourd’hui partie de la coalition que nous avons formé. Si nous voulons que les choses se passent bien, nous ne pouvons que plaider en faveur d’une sorte d’assouplissement. Sauf évidemment si les raisons des sanctions sont autres que la crise politique que nous avons traversé, des violations des droits de l’homme par exemple. Ces sanctions étaient liées à la situation politique et celle-ci a évolué…<br /> <br /> Quelle est votre vision, votre rêve à propos du Congo ?<br /> <br /> Je rêve d’un Congo libre et pacifié, prospère évidemment, où les enfants du Congo vont à l’école dans de bonnes conditions, comme tous les enfants du monde où les parents ont un travail décent et un salaire qui leur permet de nouer les deux bouts. Je sais que les Congolais sont ingénieux, et qu’ils vont eux-mêmes améliorer leur environnement…Ils doivent compter plus sur le sol et ses ressources que sur notre sous sol, ce dernier est aussi est la cause de beaucoup de nos malheurs, car il a attiré beaucoup de convoitises y compris les plus cyniques. Si nous diversifions notre économie grâce à l’agriculture nous allons créer de l’emploi, atteindre l‘autosuffisance alimentaire et même pouvoir exporter…Côté emploi, les mines n’offrent pas beaucoup de possibilités…Nous devons aller vers la diversification de notre économie et sur le plan agricole, nous envisageons de créer des zones agro industrielles, de regrouper les paysans en coopératives, de leur donner les moyens nécessaires et d’améliorer les routes de desserte agricole, de créer de micro barrages afin de permettre l’industrialisation de notre agriculture.<br /> <br /> <br /> <br /> Allez-vous réclamer le retour des œuvres congolaises qui se trouvent en Belgique ?<br /> <br /> Certainement pas dans l’immédiat : notre nouveau musée n’est pas assez grand pour accueillir toutes les œuvres qui sont déjà chez nous ! L’ancien musée construit du temps du président Mobutu contient encore 30.000 pièces qui devraient être exposées…Ce n’est donc pas le moment de faire revenir des pièces qui se trouvent en Belgique, mais nous pourrions peut être envisager des expositions, des échanges…Pour le moment, n’étant pas capable de gérer cette situation, je ne ferais pas une telle demande…Les revendications sont fondées, mais pas réalistes : notre patrimoine pourrait revenir certes, mais dans l’immédiat, nous n’avons pas la capacité de l’accueillir, nous avons d’autres urgences…<br /> <br /> <br /> Le soir

Politique Félix Tshisekedi : « une force tranquille, une force quand même » (Interview de Colette Braekman)

Accompagnant votre père, opposant au président Mobutu, vous avez vécu longtemps en Belgique. Quel fut son rôle dans votre apprentissage poli...

Read more »

« La coopération ne s’est jamais arrêtée entre la RDC et la Belgique » (Alexander De Croo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_9N8TaCEToazwYahxdgu7kfRzW77jNoS6cvAobjC77ZgwPdA-uJze4u2tIn1p1ya1A4voG3PinLoS3F7XyqDI9lrDhPXVSQkvso_r0i0bO-_-hK9qyzzykKSkL8GnkGVDdBxiqHwV_j09/s1600/belgiacro_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_9N8TaCEToazwYahxdgu7kfRzW77jNoS6cvAobjC77ZgwPdA-uJze4u2tIn1p1ya1A4voG3PinLoS3F7XyqDI9lrDhPXVSQkvso_r0i0bO-_-hK9qyzzykKSkL8GnkGVDdBxiqHwV_j09/s400/belgiacro_jpg_640_350_1.jpeg" width="400" /></a></div> « La coopération ne s’est jamais arrêtée [entre la RDC et la Belgique] », affirme en exclusivité sur TOP CONGO FM, le Vice-Premier ministre belge et Ministre des finances, chargé de la lutte contre la fraude fiscale et ministre de la coopération au développement. Il reconnait qu’il « y a eu beaucoup de tensions entre les deux pays, à tort », pense-t-il.<br /> <br /> « La Belgique n’a jamais quitté la RDC. On a toujours continué à travailler », souligne Alexander De Croo qui indique que « ce qu’on va décider ici c’est un programme de transition, qui continue ce qu’on fait pour l’instant dans trois domaines, la formation professionnelle, l’agriculture et les soins de santé ».<br /> <br /> C’est au « pouvoir congolais de montrer qu’il y a une amélioration réelle pour la population congolaise, qu’on combat la corruption, que la situation sécuritaire s’améliore, que la vie des congolais s’améliore », poursuit le vice-Premier ministre et Ministre des finances belge.<br /> <br /> C’est au nouveau gouvernement belge de réévaluer…<br /> <br /> « En Belgique, on ne sait jamais quand un nouveau gouvernement sera là. Nous sommes aujourd’hui dans une situation d’affaires courantes mais j’espère que ça ne va pas durer trop longtemps », ironise Alexander Decroo qui précise aussi que « ça sera au prochain gouvernement belge d’établir un nouveau programme de coopération [avec la RDC] ».<br /> <br /> Le Vice-Premier ministre belge considère qu’à l’étape actuelle, « nous donnons davantage de doute au nouveau Président qui doit ou qui peut montrer, chaque jour, chaque mois, que la vie des congolais s’améliore. Si on arrive à réaliser cela, je pense que la Belgique sera certainement partenaire ».<br /> <br /> Les premiers pas des nouveaux rapports<br /> <br /> Peu après l’annonce par le Vice-Premier ministre Alexander De Croo, le Président Félix Tshisekedi et le Premier ministre belge Charles Michel ont signé, ce même mardi, des mémorandums d’entente marquant le début du raffermissement des liens entre les deux pays.<br /> <br /> Il s’agit de 3 lettres d’intention, et non pas d’accords entre les deux pays, qui portent sur la coopération entre les ministères des affaires étrangères, la coopération au développement et la coopération entre les ministères des finances belges et des affaires étrangères congolais, pour les régies financières de RDC.<br /> <br /> La première lettre traite de « la reprise des contacts réguliers au plus haut niveau à travers des consultations annulés ou selon que de besoin des deux pays » tandisque l’objet de la deuxième est « la reprise de la cooperation au développement », sous conditions, a précisé le Vice-Premier ministre belge de la coopération au développement.<br /> <br /> « La DGDA et la DGI devront bénéficier de la formation de leurs agents », précise la troisième lettre d’intention.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Top Congo

Politique « La coopération ne s’est jamais arrêtée entre la RDC et la Belgique » (Alexander De Croo)

« La coopération ne s’est jamais arrêtée [entre la RDC et la Belgique] », affirme en exclusivité sur TOP CONGO FM, le Vice-Premier ministr...

Read more »

Tapis rouge déroulé, fanfare royale, honneurs militaires... Félix Tshisekedi reçu par le Roi Philippe de Belgique

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkXgVKg_SM-TEMAKKLS6caIhjRm9L0sJk6gABrBKO-aUYaIQSreJVfPfKzxN0F1JaX1hrUhI2b7JguEOpgzw5xBym2Ppi1npYl5JCV_vDYHQLzfezrO1G-OiVsIwR91jijZTgx8jMYqeOS/s1600/tshisekedi_felix_roi_philippe_epouses_19_000.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="923" data-original-width="1440" height="256" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkXgVKg_SM-TEMAKKLS6caIhjRm9L0sJk6gABrBKO-aUYaIQSreJVfPfKzxN0F1JaX1hrUhI2b7JguEOpgzw5xBym2Ppi1npYl5JCV_vDYHQLzfezrO1G-OiVsIwR91jijZTgx8jMYqeOS/s400/tshisekedi_felix_roi_philippe_epouses_19_000.jpg" width="400" /></a>Comme prévu dans son programme, le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a été reçu en audience par le Roi Philippe.<br /> <br /> Un huis clos historique assorti de la cérémonie de signature du Livre d'or officiel, où on a vu le couple présidentiel encadré par le couple royal. Après, s'en est suivie une photo de famille.<br /> <br /> Tapis rouge déroulé, fanfare royale, honneurs militaires, c'est dans cette ambiance que le président de la RDC a été accueilli au Palais royal par le premier ministre Charles Michel qui l'a conduit auprès du Roi.<br /> <br /> <br /> MEDIA CONGO PRESS

Politique Tapis rouge déroulé, fanfare royale, honneurs militaires... Félix Tshisekedi reçu par le Roi Philippe de Belgique

Comme prévu dans son programme, le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a été reçu en audience par le Roi Phi...

Read more »

Visite de Felix Tshisekedi en Belgique : Trois accords signés en matière de diplomatie, de coopération et de finances

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbzUd_TpPWDK1tW3YKw-23yMfoF4dCdgsk6w9XfvRui-uFTrmTwZ7l1W408q80XDoA8T87SRcbL3BFKSu2EUzlyh4yYuyYs_Fdj-CGuO90EwjR13G8rZ9kSvJBi4DYKjuiOEEQZXSIoaEv/s1600/tshisekedi_felix_belgique_delegation_19_000_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbzUd_TpPWDK1tW3YKw-23yMfoF4dCdgsk6w9XfvRui-uFTrmTwZ7l1W408q80XDoA8T87SRcbL3BFKSu2EUzlyh4yYuyYs_Fdj-CGuO90EwjR13G8rZ9kSvJBi4DYKjuiOEEQZXSIoaEv/s400/tshisekedi_felix_belgique_delegation_19_000_jpg_640_350_1.jpeg" width="400" /></a></div> La Belgique et la République démocratique du Congo (RDC) ont conclu ce mardi 17 septembre 2019 à Bruxelles trois – et non quatre, comme attendu – accords qui concrétisent la fin de la profonde crise diplomatique qui a entâché les relations durant deux ans les relations entre la RDC et son ancienne puissance coloniale.<br /> <br /> La ministre congolaise des Affaires étrangères, Marie Tumba Nzeza, a signé trois Memorandums d’entente (MoU) avec d’une part son homologue belge, Didier Reynders, et d’autre part avec le ministre des Finances et de la Coopération au développement, Alexander De Croo.<br /> <br /> La signature s’est déroulée dans la prestigieuse galerie des glaces du Palais d’Egmont à Bruxelles, sous l’oeil du président congolais Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, en visite officielle en Belgique, et du Premier ministre démissionnaire, Charles Michel.<br /> <br /> Le MoU porte sur le rétablissement de la coopération entre les deux ministères des Affaires étrangères et la réouverture des postes diplomatiques des deux pays fermés au plus fort de la crise entre Bruxelles et Kinshasa (notamment le consulat de RDC à Anvers et celui de Belgique à Lubumbashi, dans le Sud-Est du pays).<br /> <br /> Les autres documents concernent la relance de la coopération au développement belge en RDC – elle aussi suspendue en 2017 par le régime de l’ancien président Joseph Kabila en réaction à des critiques venues de Bruxelles sur les reports successifs des élections – et sur un renforcement de la coopération entre les deux ministères des Finances.<br /> <br /> Aucun accord n’a toutefois été signé en matière de coopération militaire, alors que M. Tshisekedi s’était, dans une interview publiée lundi par le journal ‘Le Soir', montré demandeur pour une réhabilitation du camp d’entraînement commando de Kota-Koli (province de l’Equateur, dans le Nord-Ouest) et de la reprise de la coopération à Kindu (Maniema, Est), où l’armée belge a formé une brigade des Forces armées de la RDC (FARDC).<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> La libre

Politique Visite de Felix Tshisekedi en Belgique : Trois accords signés en matière de diplomatie, de coopération et de finances

La Belgique et la République démocratique du Congo (RDC) ont conclu ce mardi 17 septembre 2019 à Bruxelles trois – et non quatre, comme at...

Read more »

Affaire 15 Millions Usd : Fatshi S’efface, La Justice Prend Le Relais

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiTw-KbmBGn0oaXGgU1veLVfKnHQPD94Cj4ZpYbiZa2qVpplN_rH5VdJzE1v67FBIpYvHK5MvqkPmfoJ9_sZNft0S5QSTm_QS42HF2LHBdzsdpjLL4NVYEvAd1wLtax3jsnNxATaRK_3FaI/s1600/fatshi_1024x650.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiTw-KbmBGn0oaXGgU1veLVfKnHQPD94Cj4ZpYbiZa2qVpplN_rH5VdJzE1v67FBIpYvHK5MvqkPmfoJ9_sZNft0S5QSTm_QS42HF2LHBdzsdpjLL4NVYEvAd1wLtax3jsnNxATaRK_3FaI/s400/fatshi_1024x650.jpg" width="400" /></a></div> Un nouvel épisode vient de s’ouvrir dans le feuilleton « 15 millions USD » dont le personnage principal se trouverait être le directeur de cabinet du chef de l’Etat. Samedi dernier, Félix Tshisekedi a reçu dans ses bureaux l’inspecteur général – chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF) à qui il a signifié qu’il se mettait à l’écart de cette affaire, laissant ainsi à la justice les mains libres pour établir les responsabilités.<br /> <br /> Le Potentiel<br /> <br /> Au pouvoir depuis le 24 janvier 2019, le chef de l’Etat Félix Tshisekedi subit le premier tsunami de sa mandature. La suite en dépendra énormément, se dit-on déjà dans les milieux politiques spécialisés. Il s’agit bien évidemment de l’affaire, dite de « 15 millions Usd », qui pourrit la vie politique en République démocratique du Congo.<br /> <br /> Tout remonte au mois de juillet 2019, lorsqu’une mission de contrôle menée par l’Inspection générale des finances (IGF) fait état de la disparition d’une somme d’environ 15 millions USD prélevés dans le secteur des pétroliers distributeurs. Dans son enquête, la mission établit les responsabilités, en citant des personnalités ayant de près ou de loin trempé dans cette affaire. Elle épingle à cet effet le directeur de cabinet du chef de l’Etat, Vital Kamerhe, le conseiller principal du chef de l’Etat au collège économique et financier, le ministre a.i. de l’Economie ainsi que le secrétaire général à l’Economie. Selon les enquêteurs, tous, à tel ou tel autre niveau, ont exercé une influence pour que les 15 millions USD se volatilisent dans la nature.<br /> <br /> Dans la ville haute, ces révélations font grand bruit, dans la mesure où elles mettent en cause l’un des pions majeurs du régime Tshisekedi, à savoir Vital Kamerhe, son directeur de cabinet et grand artisan de sa victoire à la présidentielle du 30 décembre 2018.<br /> <br /> L’affaire met en mal Félix Tshisekedi qui se trouve devant un dilemme. Doit-il se séparer de son compagnon de lutte ou interférer pour étouffer dans l’œuf les conclusions de cette enquête ? <br /> <br /> Alors que le chef de l’Etat cherchait à gérer cette affaire, une convocation du patron de l’IGF aux bureaux du conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de sécurité va jeter de l’huile au feu. Devant la presse, le patron de l’IGF avouera recevoir depuis un temps des menaces de tous genres pour se taire. Qui veut donc étouffer cette affaire ? Suspense !<br /> <br /> Désemparé, le patron de l’IGF va finalement saisir les services du procureur général de la République (PGR), exigeant à ce que la justice se saisisse de cette affaire pour en faire toute la lumière.<br /> <br /> A la présidence de la République, la panique a gagné les rangs. Dans une interview à Jeune Afrique, Vital Kamerhe, présenté comme le cerveau de cette affaire, est sorti de ses gonds en présentant sa version des faits. Ce qui n’a apparemment convaincu personne. Loin de le disculper, ses déclarations vont l’enfoncer davantage.<br /> <br /> Dès cet instant, tous craignaient que le chef de l’Etat s’interpose pour sauver « son directeur de cabinet ».<br /> <br /> Le chef de l’Etat se met à l’écart<br /> <br /> C’est ici que le nouvel épisode va s’ouvrir dans ce feuilleton dont les réseaux sociaux et autres médias font des choux gras. Samedi dernier, lorsqu’il reçoit le patron de l’IGF, Félix Tshisekedi crée la surprise. Il décide de se mettre à l’écart, promettant de laisser le champ libre à la justice pour faire éclore la vérité. C’est par une série de tweets de son porte-parole, Kasongo Mwema Yamba Yamba, que le chef de l’Etat dévoile enfin sa partition. Dans l’opinion publique, les commentaires vont dans tous les sens.<br /> <br /> Le porte-parole Kasongo s’est voulu plutôt précis, soulignant la nette détermination du chef de l’Etat de protéger un haut fonctionnaire de l’Etat, en l’occurrence le patron de l’IGF, Victor Batubenga. « Soucieux de la sécurité d’un haut fonctionnaire de l’Etat, le chef de l’Etat l’a entendu, rassuré et encouragé », a écrit le porte-parole du président de la République.<br /> <br /> Quant au silence de Félix Tshisekedi depuis la révélation de cette affaire de 15 millions, Kasongo Mwema justifie par le « souci » du président de la République de garantir « le respect du principe démocratique » étant donné que l’Inspection générale des finances a déjà transmis le dossier à la justice.<br /> <br /> Dans l’interview à Jeune Afrique, Vital Kamerhe a tenté en vain de se dédouaner, renvoyant la balle au ministre de l’Economie, qui, selon lui, a ouvert cette ligne de crédit d’où se seraient volatilisés les 15 millions USD.<br /> <br /> « …Mon nom n’apparait pas dans le rapport de l’IGF. Ensuite, il n’y a pas eu détournement. Ces 15 millions proviennent d’une ligne de crédit de 100 millions qui avait été ouverte par le ministère de l’Economie. Il s’agit d’une décote et c’est une opération régulière. D’ailleurs, lorsque l’IGF a porté plainte auprès de l’inspecteur général de la brigade contre les crimes économiques, celui-ci a classé le dossier (…). Cet argent n’a pas disparu et le ministre de l’Economie, qui a autorité sur le comité de suivi des prix pétroliers, pourra vous l’expliquer », arguait le directeur de cabinet de Félix Tshisekedi.<br /> <br /> Ce n’est pas l’avis de Georges Kapiamba, président de l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ). « Nous confirmons que les 15 millions de dollars américains ont été bel et bien détournés. Ils ont été prélevés sur le compte du comité de suivi des produits pétroliers en six prélèvements. Cet argent n’existe plus, contrairement à ce que nous avons lu dans Jeune Afrique », a dit à Actualite.cd le président de l’ACAJ. « Eu égard aux pièces bancaires, cet argent a été bel et bien détourné et dilapidé par des individus. Nous disposons des preuves probantes provenant de la Rawbank obtenues sur réquisition du procureur général près la Cour de cassation (…). Nous insistons pour que le Procureur général avance sur ce dossier et arrête les auteurs de ce fait », avait-il ajouté.<br /> <br /> En se mettant de côté, le chef de l’Etat laisse à la justice le champ libre pour mener jusqu’au bout son enquête. Le plus évident est que 15 millions USD ont été frauduleusement soustraits du Trésor sur des fonds prélevés dans le secteur pétrolier. A la justice de faire son travail.<br /> <br /> A tout prendre, cette affaire est un test grandeur nature de la détermination de Fatshi à lutter contre l’impunité. Sa crédibilité est en jeu.<br /> <br />

Justice Politique Affaire 15 Millions Usd : Fatshi S’efface, La Justice Prend Le Relais

Un nouvel épisode vient de s’ouvrir dans le feuilleton « 15 millions USD » dont le personnage principal se trouverait être le directeur de...

Read more »

Ouverture de la session parlementaire au sénat : Thambwe Mwamba invite les sénateurs à travailler afin de répondre aux attentes de la population

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgRAtj40J0kG2XTP1-7tCxzo4z0JLbQOxKyjMLS3m_zXZVtwnvTds0mq1iP12TbHpOIlrXfVzCuOLMTA4Evh0ENJ3-iZfuyf79Zdpk9UiJ0G6wWT0nEuIDHJk8WoVerN01ewx1YcHsKKvo/s1600/S%25C3%25A9nat-Ouverture-de-la-session-parlementaire-690x450.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="450" data-original-width="690" height="260" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgRAtj40J0kG2XTP1-7tCxzo4z0JLbQOxKyjMLS3m_zXZVtwnvTds0mq1iP12TbHpOIlrXfVzCuOLMTA4Evh0ENJ3-iZfuyf79Zdpk9UiJ0G6wWT0nEuIDHJk8WoVerN01ewx1YcHsKKvo/s400/S%25C3%25A9nat-Ouverture-de-la-session-parlementaire-690x450.jpg" width="400" /></a>Ce lundi s’est ouvert la session parlementaire à la chambre haute du parlement. Dans son speech, Alexis Thambwe, président du sénat, a convié ses pairs à proposer des solutions pour les intérêts de la population.<br /> <br /> <br /> « J’attire votre attention sur le fait que l’adoption et même l’exécution du budget de l’État ne doivent plus être une simple formalité, un rituel annuel sans contenu et sans conséquences sur la vie des populations, mais plutôt une expression de leurs attentes », a-t-il dit.<br /> <br /> Cette session est essentiellement budgétaire. Parmi les points à traiter, les élus vont tabler notamment sur la question relative au fonds que le gouvernement devra allouer pour accompagner l’effectivité de la gratuité de l’enseignement.<br /> <br /> 4pouvoir

Politique Ouverture de la session parlementaire au sénat : Thambwe Mwamba invite les sénateurs à travailler afin de répondre aux attentes de la population

Ce lundi s’est ouvert la session parlementaire à la chambre haute du parlement. Dans son speech, Alexis Thambwe, président du sénat, a convi...

Read more »

RDC : Félix Tshisekedi prendra part ce dimanche à la 74ème assemblée générale de l’ONU à New-York

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYWOz5K6Eb6dQbpzkrvyVlf_xhwMYCiN2E-KAyQ8CHvjaM3I5n5rOBRzhQo9Ipwofo3A9HuMNzTgRaGbYRCYi_TH9fuhJPFWwQYOIN06PDrBYSQRNXeDCeLQtxwe1PicIg32Kc2hjQscD2/s1600/Pdt-Fatshi-en-route-pour-Afrique-du-Sud-690x450.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="450" data-original-width="690" height="260" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYWOz5K6Eb6dQbpzkrvyVlf_xhwMYCiN2E-KAyQ8CHvjaM3I5n5rOBRzhQo9Ipwofo3A9HuMNzTgRaGbYRCYi_TH9fuhJPFWwQYOIN06PDrBYSQRNXeDCeLQtxwe1PicIg32Kc2hjQscD2/s400/Pdt-Fatshi-en-route-pour-Afrique-du-Sud-690x450.jpg" width="400" /></a></div> Le chef de l’Etat congolais Félix Tshisekedi est attendu ce dimanche 20 septembre 19 à New-York aux Etats-Unies où il prendra part à la 74ème session de l’assemblée générale des Nations-Unies. Selon les sources présidentielles, Félix Tshisekedi s’y rendra pour une durée de dix jours soit du samedi 21 à lundi 30 septembre.<br /> <br /> Félix Tshisekedi devra regagner les USA après sa visite officielle de quatre jours en Bruxelles en Belgique où il devra rencontrer le roi belge et le premier ministre. Cette visite du chef de l’État congolais a pour objectif la normalisation des relations bilatérales entre la Belgique et son pays essentiellement sur le plan de la sécurité, diplomatie et éducation.<br /> <br /> C’est sa première visite officielle en dehors du continent africain depuis sa prise de fonction en janvier 2019 après des multiples tournées régionales.<br /> <br /> 4pouvoir<br /> <br /> <br />

Politique RDC : Félix Tshisekedi prendra part ce dimanche à la 74ème assemblée générale de l’ONU à New-York

Le chef de l’Etat congolais Félix Tshisekedi est attendu ce dimanche 20 septembre 19 à New-York aux Etats-Unies où il prendra part à la 74...

Read more »

Gratuité de l’enseignement de base: sous pression des syndicats, Willy Bakonga fait marche arrière

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQThZUeoYHK6S4a3nEtLp19MlWEkM6xP_nmqmwEA_qRjMQJNHgmRFyqmwg5GjYqhq5s6AagGIsr7enJF1kKE-ZEeTD73Z3HORQ_QKfiw1Q4mtD4uIlQCd5D6TGchVDRYrxADJ5vILwPjbd/s1600/willy_bakonga.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQThZUeoYHK6S4a3nEtLp19MlWEkM6xP_nmqmwEA_qRjMQJNHgmRFyqmwg5GjYqhq5s6AagGIsr7enJF1kKE-ZEeTD73Z3HORQ_QKfiw1Q4mtD4uIlQCd5D6TGchVDRYrxADJ5vILwPjbd/s400/willy_bakonga.jpg" width="400" /></a>Sa déclaration avait suscité colère et indignation dans les milieux syndicaux. Intervenant sur la radio Top Congo FM, le ministre de l’enseignement primaire, secondaire et technique avait annoncé que la gratuité de l’enseignement de base ne concernait pas les classes de 7e et 8e.<br /> <br /> Willy Bakonga avait rappelé que les écoles ne devraient pas rembourser les frais déjà perçus par les parents et demandé à ces derniers de continuer à assurer la prise en charge des enseignants. Une sortie médiatique qui a bouleversé les calculs des parents, certains ont même accusé le ministre Bakonga de vouloir torpiller la vision de Félix Tshisekedi.<br /> <br /> Ce mardi, le patron de l’EPST revient sur ses propos en apportant quelques précisions.<br /> <br /> « Les frais de motivation ont été supprimés de la maternelle au secondaire, les parents qui ont déjà payé ces frais dans des écoles, ils doivent récupérer leur argent », a dit Willy Bakonga.<br /> <br /> Selon lui, les parents d’élèves ne payeront que les frais de scolarité qui seront fixés par les gouverneurs de province.<br /> <br /> Par ailleurs, le ministre Bakonga a insisté sur le fait que la gratuité de l’enseignement de base ne concerne dans un premier temps que l’école primaire c-à-d, de la 1e à la 6e année où tout est désormais pris en charge par le trésor public dont les frais de fonctionnement et de motivation.<br /> <br /> <span style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; font-weight: 700; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;">CAS-INFO</span>

Education Gratuité de l’enseignement de base: sous pression des syndicats, Willy Bakonga fait marche arrière

Sa déclaration avait suscité colère et indignation dans les milieux syndicaux. Intervenant sur la radio Top Congo FM, le ministre de l’ensei...

Read more »

RENAISSANCE : 4 MOIS IMPAYÉS, VÉHICULE CAILLAISSÉ, PAPY KIMOTO JETTE L’ÉPONGE

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFnLu-aPB76fOOt-dLWgwIJ5sk2epHzRmwmB0dNihCCq_WLe8xm42BZXcrtb1qOVmE23HqPi50eb2BB05uf8xDRt0T3QdKBWuWcj2oSP74n5ekZ0KPeZaRwf_IbdMhDuY2mWNoMM82ZxTM/s1600/arton21785.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="645" data-original-width="1145" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFnLu-aPB76fOOt-dLWgwIJ5sk2epHzRmwmB0dNihCCq_WLe8xm42BZXcrtb1qOVmE23HqPi50eb2BB05uf8xDRt0T3QdKBWuWcj2oSP74n5ekZ0KPeZaRwf_IbdMhDuY2mWNoMM82ZxTM/s400/arton21785.jpg" width="400" /></a>Les vieux démons ne font que renaître de leurs cendres au sein du Football Club Renaissance du Congo. Après l'exclusion de deux ans émanant de la Commission de la Ligue nationale de football (Linafoot), le coach principal du team vert, blanc et orange a jeté l'éponge officiellement le dimanche 15 septembre. Impayé pendant 4 mois selon des sources proches du technicien, son véhicule aurait été caillassé par une frange de supporters du club qui n'a pas digéré ses propos tenus d'une manière officieuse ça et là.<br /> Le coach Papy Kimoto était dans un tête-à-tête avec le président-fondateur du FC Renaissance, Pascal Mukuna.<br /> C'est après cet échange qui a accouché d'une souris que la situation a tourné au vinaigre.<br /> L'ancien joueur de V.Club et de la sélection nationale, "Simba" à l'époque et le staff dirigeant des Oranges ne s'accordaient plus en ce qui concernant les espèces sonnantes et trébuchantes.<br /> Ainsi Papy Kimoto a jugé bon de quitter le navire renais en plein ouragan à l'image de Dorian qui a frappé de plein fouet les Bahamas en ce mois de septembre.<br /> Le malheur ne venant jamais seul, l'autre joueur de Renaissance, le milieu offensif Yannick Tusilu Bazola dit "Kaka" est déjà annoncé dans l'autre rive du fleuve Congo. Il évoluera sauf revirement à l' AC Otoyo de Oyo, une formation qui a déjà goutté aux délices de la Coupe de la Confédération.<br /> Il vous souviendra que le club qui a pour devise "jamais sans vous" a été exclu pour deux ans par l'instance dirigeante de la Linafoot, le mercredi 4 septembre courant. Une sanction assortie d'une amende correctionnelle de 25.000 dollars américains et une relégation en Division II.<br /> C'était le lundi 02 septembre après le nul de 1-1 concédé face à Sa Majesté Sanga Balende de Mbuji-Mayi, au stade des Martyrs, lors de la 2ème journée. Menés au score, les Sang et Or étaient revenus au score à la 89ème minute.<br /> Une pluie de projectiles s'en était suivie, la sortie au stade était un tout petit peu catastrophique et les prolongations se sont jouées dans la rue avec un mort dans le camp renais.<br /> Le FC Renaissance avait introduit une lettre en contestation de cette décision et demandant sa réintégration le plus vite possible en Division I.<br /> Le président du club, Pascal Mukuna avait rencontré les dirigeants de la Linafoot pour solliciter la levée de la suspension ou son allègement.<br /> En revanche, l'organisateur du Championnat national d'élite lui avait invité à sensibiliser ses supporters afin de ne plus verser par des actes de violence tant dans les installations sportives qu'en dehors de celles-ci. Gloire BATOMENE

Sport RENAISSANCE : 4 MOIS IMPAYÉS, VÉHICULE CAILLAISSÉ, PAPY KIMOTO JETTE L’ÉPONGE

Les vieux démons ne font que renaître de leurs cendres au sein du Football Club Renaissance du Congo. Après l'exclusion de deux ans éman...

Read more »

DANS LE CADRE DE SA PREPARATION AUX ÉLIMINATOIRES DU CHAN 2020 LA RDC ACCUEILLE LE RWANDA EN AMICAL CE MERCREDI DANS LA SOIRÉE

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVn1xYm0bUXClZ3sJsrElaYT7ibuxE6qNWqnbRp6kr61Laj1iJhKmytzBRP-5MMymAANI6dJ5XkjP3fyguPCrAH0v77cSJzL0NHqMz3SOUWrv7Fr-ZkIGfKJDA_pVMpi4iWRYgF3rzDxWY/s1600/RDC-710x379.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="379" data-original-width="710" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVn1xYm0bUXClZ3sJsrElaYT7ibuxE6qNWqnbRp6kr61Laj1iJhKmytzBRP-5MMymAANI6dJ5XkjP3fyguPCrAH0v77cSJzL0NHqMz3SOUWrv7Fr-ZkIGfKJDA_pVMpi4iWRYgF3rzDxWY/s400/RDC-710x379.jpg" width="400" /></a>Les Léopards A' de la RDC accueilleront les Amavubis A' du Rwanda en amical international demain mercredi 18 septembre, au stade des Martyrs de la Pentecôte, sous le coup de 18h30. Cette rencontre comptera pour la préparation de la double confrontation des éliminatoires du Championnat d'Afrique des nations (Chan) Cameroun 2020 qui va mettre aux prises les fauves congolais aux fauves de Bas-Oubangui de la RCA.<br /> Le rassemblement pour le 2ème stage des Tricolores congolais a débuté hier lundi 16 septembre. C'est sous le coup de 9h 30 que les poulains du sélectionneur national, Christian Nsengi Biembe, reprennent les entraînements dans l'ex-Kamanyola.<br /> La délégation rwandaise devait arriver ce mardi à 01h40. Les Abeilles du pays des mille collines feront la traditionnelle reconnaissance de la pelouse à l'heure du match soit à 18h30.<br /> Cette rencontre sera officiée par l'arbitre congolais Jean-Jacques Ndala. Comme Assistant 1, Oliver Safari Kabene et Mampasi Babaka comme Assistant 2.<br /> Ce match tombe à pic pour préparer la double confrontation RDC-RCA qui s'inscrira dans le cadre des éliminatoires Chan au pays des Lions indomptables.<br /> Le match aller aura lieu le week-end du 20, 21 et 22 septembre à Bangui.<br /> Le pays de Constant Omari a déjà remporté cette compétition réservée aux joueurs qui évoluent dans leurs championnats nationaux respectifs à deux reprises.<br /> Le premier succès a eu lieu en 2009, lors du très mémorable dimanche 08 mars en Côte d' Ivoire. Le deuxième, en 2016 au Rwanda. Gloire BATOMENE<br /> <br /> <img src="https://www.forumdesas.org/IMG/arton21786.jpg?1568699415" />

Sport DANS LE CADRE DE SA PREPARATION AUX ÉLIMINATOIRES DU CHAN 2020 LA RDC ACCUEILLE LE RWANDA EN AMICAL CE MERCREDI DANS LA SOIRÉE

Les Léopards A' de la RDC accueilleront les Amavubis A' du Rwanda en amical international demain mercredi 18 septembre, au stade des...

Read more »

GESTION ET REPARTITION DE LA RETROCESSION AUX PTNTIC LE CABINET KIBASSA ACCORDE 60% À L’ÉQUIPE SORTANTE

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxE-YkqxEGpn89RZVOl5OeJSZdbU8hIwKXj_2DuLnSSZyGEGej1J8FAAxkZoxOrME7utH8YpF3othmYS_q-L4ODM9iGNCK36Xs0128d66xtDbKvx0OucnreJ4GTrV_pgv_zcZdt5NYJ3ON/s1600/arton21789.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxE-YkqxEGpn89RZVOl5OeJSZdbU8hIwKXj_2DuLnSSZyGEGej1J8FAAxkZoxOrME7utH8YpF3othmYS_q-L4ODM9iGNCK36Xs0128d66xtDbKvx0OucnreJ4GTrV_pgv_zcZdt5NYJ3ON/s400/arton21789.jpg" width="400" /></a>Fini la polémique. Dans un communiqué daté du 16 septembre, et signé par son chargé de Communication, Mukendi Tshimanga Jimmy, le cabinet du ministre des PTNTIC, Augustin Kibassa Maliba, fixe l'opinion sur la controverse autour de la gestion et la répartition de la rétrocession aux PT-NTIC.<br /> Selon ce document, les 60% réservés à la motivation du personnel vont revenir aux membres du cabinet sortant ayant presté le mois de juillet. Les 40 % destinés au fonctionnement et à l'investissement du Cabinet y resteront pour cette fin.<br /> Le cabinet Kibassa est formel, il n'y a pas matière à négociation. " C'est la circulaire qui sera de stricte application ".Cependant, par souci de transparence et traçabilité,le Cabinet du ministre exigera une quittance pour tout retrait de fonds.<br /> Cette mise au point met fin à la polémique ambiante entretenue dans les médias voire sur les réseaux sociaux concernant la gestion et la répartition de la rétrocession au ministère des PT-NTIC. Lire, ci-contre, l'intégralité du communiqué de presse du Cabinet des PT-NTIC. Didier KEBONGO

Politique GESTION ET REPARTITION DE LA RETROCESSION AUX PTNTIC LE CABINET KIBASSA ACCORDE 60% À L’ÉQUIPE SORTANTE

Fini la polémique. Dans un communiqué daté du 16 septembre, et signé par son chargé de Communication, Mukendi Tshimanga Jimmy, le cabinet du...

Read more »

GRATUITE DE L’ENSEIGNEMENT DE BASE VOLTE-FACE DU GOUVERNEMENT !

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiylGsRrN9jr3uw8hoCmJSiX01pt_UMHwz1IPJ_g0_bCm7FNEXeSa2fs2RAtnB1I83wWq2aHZzroB11uvCwnwbIROs8xRl9Jy96dAng5JygLkF4QlAW9TJcuWO2eXYHm_qIZU006xlef8M6/s1600/arton21767.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="398" data-original-width="767" height="207" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiylGsRrN9jr3uw8hoCmJSiX01pt_UMHwz1IPJ_g0_bCm7FNEXeSa2fs2RAtnB1I83wWq2aHZzroB11uvCwnwbIROs8xRl9Jy96dAng5JygLkF4QlAW9TJcuWO2eXYHm_qIZU006xlef8M6/s400/arton21767.jpg" width="400" /></a>*Comme dans un rétropédalage, le ministre de l'EPST exclut les classes de 7ème et 8ème années en arguant qu'il s'était agi d'une confusion.<br /> Si ce n'est pas un rétropédalage,ça y ressemble fortement. Le Gouvernement par le biais du ministre de l'EPST vient d'exclure les classes de 7ème et 8ème années du champ de la mesure de la gratuité de l'enseignement de base. Pas sûr que cette "mesure dans la mesure " soit du goût de nombreux parents qui se croyaient déjà dispensés de cette dépense onéreuse. A l'analyse, ce que le ministre considère comme un malentendu ou une confusion n'a pas l'air de l'être, car dans toutes les communications antérieures, les pouvoirs publics faisaient état de la gratuité de l'enseignement de la 1ère à la 8èmeannée. La preuve, dans beaucoup d'écoles, les parents d'élèves se sont vus rembourser les frais scolaires en raison précisément de la gratuité de l'enseignement. Voilà qu'hier, coup de théâtre. Le ministre d'Etat en charge de l'EPST, Willy Bakonga annonce mettre fin à ce qu'il considère comme une espèce de confusion entretenue dans l'opinion comme une espèce de gratuité.<br /> Le ministre national de l'Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) a tenu à mettre fin à la confusion entretenue dans l'opinion au sujet de la gratuité de l'enseignement de base. Il a, au cours d'une interview accordée à radio Top Congo hier lundi 16 septembre, précisé que cette gratuité ne concerne pas les classes de 7ème et 8ème années.<br /> Le numéro un de l'EPST a indiqué que la gratuité de l'Enseignement de base concerne exclusivement le niveau primaire. Or, a-t-il expliqué, les classes de 7ème et 8ème se retrouvent dans le cycle secondaire de l'enseignement.<br /> " La 7ème et la 8ème sont des classes du secondaire. Elles ne sont donc pas concernées par la gratuité de l'enseignement. Je tiens à le préciser. C'est dire qu'il n'y aura donc pas de gratuité à ce niveau là", a-t-il mentionné.<br /> Willy Bakonga a saisi cette occasion pour appeler les parents, à travers toute l'étendue de la RDC, à ne pas faire pression sur les écoles, en leur demandant de restituer l'argent perçu pour les classes de 7ème et 8ème.<br /> "Les écoles ne vont donc pas restituer l'argent perçu pour ces classes. Les parents doivent bien le comprendre. Ils sont obligés de payer les frais de scolarité de leurs enfants normalement pour les classes de 7ème et 8ème", a-t-il indiqué.<br /> Il a salué la volonté exprimée par le président de la république Felix Tshisekedi de permettre à tous les enfants congolais d'accéder gratuitement à l'éducation de base et a affirmé la détermination de son ministère à veiller à l'application effective de cette gratuité garantie par la Constitution.<br /> "La grande ambition du Président de la République est que les enfants congolais puissent aller à l'école, étudier et préparer la relève. Une ambition que vous allons accompagner fidèlement et avec détermination", a promis Willy Bakonga.<br /> Dans une interview accordée le 2 septembre courant, date de la rentée scolaire, le chef de l'Etat Félix Tshisekedi a affirmé que la gratuité de l'enseignement de base n'est pas un slogan, c'est une réalité. Il a cependant reconnu quelques difficultés que sa mise en œuvre pourra rencontrer dans la pratique. Orly-Darel NGIAMBUKULU

Education GRATUITE DE L’ENSEIGNEMENT DE BASE VOLTE-FACE DU GOUVERNEMENT !

*Comme dans un rétropédalage, le ministre de l'EPST exclut les classes de 7ème et 8ème années en arguant qu'il s'était agi d...

Read more »

YOKA SON : FELIX TSHISEKEDI A BRUXELLES,BA CONCERTS EZONGI ET BA KANGI COMBATTANTS PROCHE DE BOKETSHU A KINSHASA ( VIDÉO )

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjAsmE5bRuJEJeDtmMiULIhk9-vRz6f6dTPNsQckQToze2qiSOqCm9d2OPKvd-lgaF4j76np7SLAd0K2Z7CESTMQqh7FOqGCXl3-4AIyUdIG4EkxBRxTLJzpaD9Vqjh4rg7EG34DgrKOJAL/s1600/9d52552a-d768-43f1-b1ff-cb6053368e34.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjAsmE5bRuJEJeDtmMiULIhk9-vRz6f6dTPNsQckQToze2qiSOqCm9d2OPKvd-lgaF4j76np7SLAd0K2Z7CESTMQqh7FOqGCXl3-4AIyUdIG4EkxBRxTLJzpaD9Vqjh4rg7EG34DgrKOJAL/s400/9d52552a-d768-43f1-b1ff-cb6053368e34.jpg" width="400" /></a></div> <br /> YOKA SON : FELIX TSHISEKEDI A BRUXELLES,BA CONCERTS EZONGI ET BA KANGI COMBATTANTS PROCHE DE BOKETSHU A KINSHASA <br /> <iframe allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="400" src="https://www.youtube.com/embed/whCltbOaF30" width="640"></iframe>

infos en vidéos Nos vidéos Politique YOKA SON : FELIX TSHISEKEDI A BRUXELLES,BA CONCERTS EZONGI ET BA KANGI COMBATTANTS PROCHE DE BOKETSHU A KINSHASA ( VIDÉO )

YOKA SON : FELIX TSHISEKEDI A BRUXELLES,BA CONCERTS EZONGI ET BA KANGI COMBATTANTS PROCHE DE BOKETSHU A KINSHASA

Read more »

Felix Tshisekedi à Bruxelles : Environ 500 personnes de la diaspora congolaise, venues notamment de Bruxelles, d'Anvers, de France et d'Allemagne, étaient là !

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnnk-whYQ0Nz74U5pFG7m9dQFwIDr7z43BcQGL2zeMOCYrFqOx9HUoKJYuTudEKO2sntEjyRHnFP5_uqaYdw7y4qJWIHS3mY5nTDsrudkWqKPSOV2OPy4P_3Ui9acUBSKrZLWMLt51BeNv/s1600/70189998_2681092381921559_2040225025990066176_n.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="640" data-original-width="960" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnnk-whYQ0Nz74U5pFG7m9dQFwIDr7z43BcQGL2zeMOCYrFqOx9HUoKJYuTudEKO2sntEjyRHnFP5_uqaYdw7y4qJWIHS3mY5nTDsrudkWqKPSOV2OPy4P_3Ui9acUBSKrZLWMLt51BeNv/s400/70189998_2681092381921559_2040225025990066176_n.jpg" width="400" /></a></div> <br /><br />Le nouveau président congolais Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo est arrivé lundi soir à Bruxelles pour une visite officielle et de travail de cinq jours aux multiples facettes, sur fond de normalisation des relations, souvent en dents de scie, entre la République démocratique du Congo (RDC) et la Belgique, l'ancienne puissance coloniale.<br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />L'avion transportant Felix Tshisekedi, la "première dame" Denise Nyakeru et leur suite s'est posé vers 19h à l'aéroport militaire de Melsbroek, où Felix Tshisekedi a été accueilli par le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères et de la Défense, Didier Reynders.<br /><br /><br /><br /><br />Environ 500 personnes de la diaspora congolaise, venues notamment de Bruxelles, d'Anvers, de France et d'Allemagne, étaient là pour accueillir le président et son entourage.

Politique Felix Tshisekedi à Bruxelles : Environ 500 personnes de la diaspora congolaise, venues notamment de Bruxelles, d'Anvers, de France et d'Allemagne, étaient là !

Le nouveau président congolais Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo est arrivé lundi soir à Bruxelles pour une visite officielle et de trava...

Read more »