BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Radek Suprême en colère contre l'immoralité qui règne parmi les musiciens congolais, regardez ! ( vidéo)

September 28, 2014

Radek Suprême en colère contre l'immoralité qui règne parmi les musiciens congolais, regardez ! ( vidéo)
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Radek Suprême en colère contre l'immoralité qui règne parmi les musiciens congolais, regardez ! ( vidéo) ...

Les choses vont très vite : CSAC, Jean-Bosco Bahala châtié, Tito Ndombi élu !

September 28, 2014

*Jean-Christophe Tito Ndombi a été élu, par consensus, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC).  Il remplace à ce poste l’Abbé Jean-Bosco Bahala, démis de ses fonctions,  pour avoir délivré des avis de conformité à l’insu de l’assemblée plénière de cet organe de régulation des médias. </h3>
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A en croire Chantal Kanyimbo, cette élection du nouveau président du Conseil s’est déroulée après audition et adoption du rapport de la commission ad hoc mise en place,  le 12 septembre pour mener des investigations sur des avis de conformité délivrés par Jean-Bosco Bahala. Selon ce  rapport, ce dernier se serait arrogé, abusivement d’ailleurs, les prérogatives de l’organe suprême et de décision, en délivrant à des impétrants dans le secteur de l’audiovisuel, plus de sept avis de conformité, à l’insu de l’organe compétent et ce, en violation des textes régissant le CSAC. L’Abbé Jean-Bosco Bahala  qui reste, néanmoins,  membre de cette institution d’appui à la démocratie, récuse l’élection du nouveau président du Conseil. Il estime que ses collègues ne sont pas qualifiés pour convoquer une plénière. Il dit «s’abstenir à tout commentaire et attend la décision de la Cour Suprême de justice» auprès de qui il aurait adressé deux requêtes dont une, en interprétation du règlement intérieur et, l’autre, en annulation de la décision le suspendant.  «Je ne voudrais pas gêner la décision de la Cour. J’attends comme tout le monde la sentence. S’il s’avère que leur démarche s’inscrit dans la loi, je m’inclinerai. Mais,  si elle ne s’inscrit pas dans la loi, nous allons recommencer le travail en faisant de cet épisode, un épisode malheureux dans le cheminement de cette institution », a ajouté l’Abbé Jean Bosco Bahala.</div>
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Dans son rapport, la commission ad hoc mise en place constate, après analyse de tous les éléments d’informations obtenus après vérifications des documents et échanges avec les impétrants ou leurs représentants, tire les conclusions que les avis délivrés par le CSAC depuis février 2013 revêtent tous un caractère frauduleux. C’est aussi le cas  similaire  avec les mêmes fausses étapes, entre autres, demande d’avis non enregistrée officiellement ; dossier non orienté vers une Commission concernée ; refus systématique d’inscrire de tels dossiers aux réunions de l’Assemblée plénière ; signature par le président tout seul des avis de conformité ; délivrance de tels documents sans lettre de transmission ; paiement clandestins des frais administratifs ; implication sans compétence de deux collaborateurs directs du président dans la délivrance des avis, à savoir : le directeur de cabinet et le conseiller financier.<br />
<br />
La commission note, en outre, qu’elle n’a examiné qu’une seule page du registre des avis. L’examen, souligne-t-elle, des autres pages de ce document administratif dissimulé par le secrétaire de cabinet laisse supposer l’existence de plusieurs autres avis que seule une enquête plus minutieuse et contraignante pourra permettre de découvrir.<br />
<br />
Enfin, la commission rappelle qu’elle n’a pu auditionner le Président démis du CSAC, ce dernier ayant opposé un refus catégorique  de se soumettre à elle.<br />
<br />
Aussi, la commission recommande-t-elle à l’Assemblée plénière de constater et d’adopter comme établis,  les actes de fraude notamment, la perception illicite des frais administratifs auprès des impétrants dans le secteur de l’audiovisuel, l’exercice illégal des prérogatives dévolues à l’assemblée plénière, à charge du président Bahala, ayant agi systématiquement et intentionnellement contre les textes régissant le CSAC, en délivrant des avis de conformité et d’autres documents à des impétrants sur la base d’une fausse procédure.<br />
<br />
La commission recommande, aussi, à la plénière de constater que les actes de fraude régulière et systématique établis à charge de M. Bahala, et impliquant précisément des opérateurs évoluant sous tutelle et dans le secteur d’activité dévolue  au CSAC, constituent un discrédit grave et de nature à empêcher ce Haut Conseiller  d’exercer en qualité de Président de l’Institution de régulation des médias.              <br />
<br />
Il est reproché à l’Abbé Jean Bosco Bahala de délivrer des avis de conformité à Startimes et à d’autres  entreprises des médias sans se référer à l’Assemblée plénière.<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span></div>
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*Jean-Christophe Tito Ndombi a été élu, par consensus, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC). Il...

Ancien choriste de Reddy Amisi : Doudou Amiral casse le micro !

September 26, 2014

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La mort vient une fois de plus de frapper au portillon de la famille musicale congolaise. Le jeune chanteur Doudou Amiral, leader du groupe La Nova Musica International, s'est éteint, dans la nuit du 24 septembre 2014 à 2 heures du matin, aux cliniques CEBCO/ Bandalungwa, de suite d'une courte maladie.

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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<span style="line-height: 1.6em;"> C’est un talent de moins qui quitte la scène à fleur d’âge. Un véritable guerrier et combattant de la génération montante de la musique congolaise moderne.</span></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Ambitieux et bourré de talents, ce jeune artiste a évolué durant plus d'une dizaine d'années au sein de La Casa do Canto de Reddy Amisi. Dans la chanson "Aziza", il a brillé dans la chorale en se faisant remarquer grâce à son timbre vocal pétillant. Doudou  Amiral a été à la tête de la bande des musiciens qui se sont rebellés contre Bailo Canto en 2012. C’est juste après leur départ du groupe La Casa do Canto que l’illustre disparu et ses copains ont réalisé un single intitule "Ndoki zoba", dont deux clips vidéo (générique  - chanson)  commençaient déjà à passer sur les petits écrans de Kinshasa. Dans l’entretemps, ils continuent les travaux d’enregistrement d’un premier album collectif en studio. Ainsi, ils ont réussi à monter leur propre orchestre où Doudou a été choisi comme Président par ses compères. Le quotidien La Prospérité par le truchement de son desk musique, rend hommage à l’artiste et présente ses condoléances les plus attristées  à sa famille biologique  ainsi qu’à tous les musiciens de la RD.Congo. Que la terre de nos ancêtres lui soit douce !</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>JD</strong></div>
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La mort vient une fois de plus de frapper au portillon de la famille musicale congolaise. Le jeune chanteur Doudou Amiral, leader du groupe...

DGRK : Jean-Claude Muissa nommé Directeur Général !

September 26, 2014

<h3>
* La Direction Générale des Recettes de Kinshasa, DGRK, a désormais un nouveau Directeur Général. Il s’agit de Jean-Claude MUISSA. Il a été nommé par un arrêté du Gouverneur de la Ville -Province Kinshasa, André KIMBUTA YANGO, signé le 25 septembre 2014.

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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjzMdQkURF7pSKwCv8tt2AdrkFjY3L3LLt0rDj0EKKim9ZuUgs42vHJSVUD3M3q7sizXaMPoo_u5Lym2SmDmU3oSLSbGpxBIvMwffq_hK9qkgRvfA-1J__NI3HYaBKkx-aAWj2cZGhe8gkO/s1600/Snapshot_285.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années, dit-on. Le nouveau Patron de la DGRK s’appelle Jean-Claude Muissa. Il est un économiste, rompu dans la gestion des affaires publiques. Bien connu pour son sens d’abnégation, dynamique et technocrate virtuose, il a exercé comme Ministre Provincial du Plan et Inspecteur Provincial des Services, avant d’occuper cette nouvelle fonction. Durant son mandat, l’ancien Ministre provincial du Plan a créé des initiatives louables sur base desquelles l’Exécutif  a  mené des actions à un impact visible pour l’intérêt des Kinois. Son ingéniosité et ses prouesses n’ont pas laissé indifférent l’autorité urbaine. Evidemment, les observateurs avertis confirment que cette élévation est le fruit d’un travail bien accompli par un homme intègre et infatigable. Des informations recoupées renseignent que sa nomination à la tête de la DGRK est saluée par le personnel de cette régie financière de la Capitale, qui espère que le nouveau patron va amener un nouveau plan managérial pour mobiliser davantage les recettes pour la Ville. Pourquoi ne pas booster les choses pour l’intérêt et le bien-être des agents et cadres de la DGRK. Chrétien, le nouveau Directeur général de la DRGK compte sur la grâce divine pour gérer avec efficience. Car, cette élévation est l’expression de la récompense de Dieu, et ne résulte pas de l'observance de la loi. Mais, plutôt à la manière de vivre et de travailler dans la société. ‘‘<em>Surtout les calculs humains sont loin de la générosité du Christ qui nous offre le paradis gratuitement. Dans sa bonté Dieu se montre toujours miséricordieux. C'est ainsi qu'il dit " N'ai- je pas le droit de faire ce que je veux dans ma maison</em>?". Cette phrase constitue le dernier message posté par Jean-Claude MUISSA sur son compte Facebook, à la veille de sa nomination.  </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Jordache Diala </strong></div>
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Au tour de Kinshasa Economie DGRK : Jean-Claude Muissa nommé Directeur Général !

* La Direction Générale des Recettes de Kinshasa, DGRK, a désormais un nouveau Directeur Général. Il s’agit de Jean-Claude MUISSA. Il a été...

Extrait du JT Ngonga Ebeti de Canal Kin la chaîne de l'Opposition ( vidéo)

September 24, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBpyrv1H3ceJNjhcTm_sE9p-799xfIPrvZq-IuUpgPTfvNY6_sSlJOrIll8HoM9T-xN4VF_liV77aVRvJSCOKsGHAeDAr6roKc2uZcptkDLVFybvtZB7e_8fnwMpHJsMamGwVGKQ1OK4eH/s1600/Snapshot_280.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBpyrv1H3ceJNjhcTm_sE9p-799xfIPrvZq-IuUpgPTfvNY6_sSlJOrIll8HoM9T-xN4VF_liV77aVRvJSCOKsGHAeDAr6roKc2uZcptkDLVFybvtZB7e_8fnwMpHJsMamGwVGKQ1OK4eH/s1600/Snapshot_280.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="250" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBpyrv1H3ceJNjhcTm_sE9p-799xfIPrvZq-IuUpgPTfvNY6_sSlJOrIll8HoM9T-xN4VF_liV77aVRvJSCOKsGHAeDAr6roKc2uZcptkDLVFybvtZB7e_8fnwMpHJsMamGwVGKQ1OK4eH/s1600/Snapshot_280.jpeg" width="400" /></a></div>Extrait du JT Ngonga Ebeti de Canal Kin la chaîne de l'Opposition ( vidéo) : Chaîne ya Opposition oyo elakisaka oyo ba chaîne ya Djalelo ebombelaka bino. Bolanda yango   <br />
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    <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="390" src="//www.youtube.com/embed/mGAOYf75IR8" width="640"></iframe>

Au tour de Kinshasa infos en vidéos le journal Extrait du JT Ngonga Ebeti de Canal Kin la chaîne de l'Opposition ( vidéo)

Extrait du JT Ngonga Ebeti de Canal Kin la chaîne de l'Opposition ( vidéo) : Chaîne ya Opposition oyo elakisaka oyo ba chaîne ya Djalel...

Finale de la Ligue de champion de Caf : Florent Ibenge croit en la qualification de son équipe !

September 24, 2014

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L’As Vclub n’a pas perdu son match des demi-finales aller contre Cs Sfaxien, le dimanche 21 septembre 2014, au stade Tata Raphaël. Elle n’a pas non plus fait un match nul. Elle a plutôt gagné, par un score étriqué de 2 buts à 1. Mais hélas, la ville de Kinshasa n’a pas bougé comme dans ses habitudes.

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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfGsn0MbkKI6VlSN0ty-NMdsS_B0WUg89gLqVY6RqgBmtKLY5sXCHHEvSfms6BweEWIgyk8n_Nn3l0SNBCvIUKYM3vT3wZV2F23JZ_qoHQyDAcMJ19HMKL6ODjTV4R9idgkSTIjuI-8kez/s1600/ibenge.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<em style="line-height: 1.6em;"> Le public est rentré mécontent, un peu désespéré craignant peut-être déjà le pire au match retour dans une semaine, à Tunis.</em></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Qu’est-ce qui montre cela ? Qu’est-ce qui le prouve ? Qu’est-ce qui rassure ? Rien du tout. Ce n’est qu’une première mi-temps d’un grand match, et, il reste une deuxième mi-temps. En tout cas, rien n’est gagné et rien n’est perdu. Il est vrai qu’au stade Tata Raphaël, à Kinshasa, Cs Sfaxien n’a pas ouvert son grand jeu, et Vclub en a profité pour marquer de buts. Au match retour, les Tunisiens feront certainement le match, et les poulains de Florent Ibenge qui voyagent bien depuis un certain temps, joueront les contre pour tenter de marquer ne fut-ce qu’un but. «<em>On va jouer pour se qualifier au bout de deux matches. La meilleure de chose, c’est de marquer ou de perdre tout en marquant des buts à l’extérieur. On est des outsiders, il nous faudra aller chercher la qualification</em>», l’aveu de Florent Ibenge qui croit à la qualification de son équipe.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Les supporteurs n’ont rien à désespérer. Le score de 2 buts à 1 dans un match de demi-finales, c’est un score important et conséquent, d’autant plus que les Tunisiens n’étaient venus en tourisme à Kinshasa. Ils étaient venus pour jouer au football, et ils ont démontré de quoi ils sont capables. De même que Vclub n’ira pas en tourisme à Tunis, il ira jouer son football, avec comme objectif, marquer de buts. Il l’a démontré au tour préliminaire contre Kano Pillars, au Nigeria. Après son écrasante victoire match aller à Kinshasa, Vclub était parti négocié une défaite avec but à l’extérieur (1-2). Etekiama avait ouvert le score pour Vclub dès la 2<sup>ème</sup> minute. Contre Zamalek Vclub s’est imposé 2 buts à 1, à Kinshasa, avant d’aller de nouveau s’imposer en Egypte. Comme quoi, Vclub pourrait bien tenir le coup. Il n’est pas exclu. D’ailleurs, l’entraîneur de Cs Sfaxien, Philippe Troussier est très conscient, mais il croit à son précieux but inscrit à l’extérieur : «<em>On s’attendait à un match compliqué avec une équipe qui avait soif à prendre de l’avantage. On s’attendait à une équipe qui joue avec son enthousiasme, son grand public. On est à la mi-temps de ce processus de qualification. Le but à l’extérieur est important car il nous permet d’envisager notre qualification avec le plus d’espoir possible, mais rien n’est encore acquis</em>».</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Philippe Troussier a tout de même reconnu la qualité collective de l’AS V.Club.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
«<em>L’adversaire est de très grande qualité et on l’a respecté</em>», a dit le technicien français.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>EG</strong></div>
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Sport Finale de la Ligue de champion de Caf : Florent Ibenge croit en la qualification de son équipe !

L’As Vclub n’a pas perdu son match des demi-finales aller contre Cs Sfaxien, le dimanche 21 septembre 2014, au stade Tata Raphaël. Elle n’a...

EN SEJOUR EN BELGIQUE DEPUIS PLUS D’UN MOIS TSHISEKEDI : SILENCE RADIO !

September 24, 2014

* Contrairement au calendrier de son parti, le leader de l’UDPS n’a toujours<br /> pas amorcé ses contacts et sa tournée.</h3>
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Par où est donc passé Etienne Tshisekedi, le leader de l’UDPS ? Où en est-on de son programme d’activités prévu pour ce mois de septembre ? Autant de questions que l’on se pose dans l’opinion au vu de la polémique qui avait entouré son départ pour l’Europe à bord d’un avion médicalisé. Là où des sources proches du pouvoir avaient donné l’information sur l’état de santé du " lider maximo " et son évacuation d’abord en Afrique du Sud ensuite en Belgique, les proches de Tshisekedi avaient mal accueilli la nouvelle en parlant d’une campagne de diabolisation de leur leader. Pour l’UDPS, " Etienne " n’était pas aussi malade et son état ne nécessitait aucune évacuation. Mais, Tshisekedi a fini par être évacué, le 16 août 2014 pour recevoir des soins auprès de ses médecins à Bruxelles, la capitale belge.</div>
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C’est en septembre courant que le président national de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) devrait entamer des contacts avec des officiels et des milieux politiques en Europe, surtout en Belgique, ainsi qu’une série d’activités politiques. C’est ce qu’indiquait un calendrier établi par son parti lorsqu’il était arrivé à Bruxelles pour des soins médicaux. Son retour au pays avait même été envisagé à l’issue de ses activités debut octobre. Mais, jusqu’à ce jour, rien à signaler du côté de celui dont on disait qu’il n’était pas vraiment malade et qu’il s’était rendu dans la capitale belge juste pour des contrôles de routine, car il se portait d’ailleurs comme un charme. On insistait surtout sur le fait qu’il marchait lui-même à Kinshasa jusqu’à monter seul dans l’avion tout comme à la descente en Belgique.<br />
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TSHISEKEDI ET SES PROCHES BLOQUES PAR DES SOINS MEDICAUX A BRUXELLES<br />
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Jusqu’à ce jour, confie-t-on, Etienne Tshisekedi est bloqué par ses soins médicaux à Bruxelles. C’est ce qui expliquerait que le programme établi par son parti pour ses activités politiques ne connaisse encore aucun début d’application. Ce qui reviendrait à dire que son état de santé était vraiment inquiétant au point que ses proches de l’UDPS soient également bloqués à leur tour là où ils pensaient envoyer le " lider maximo " sur le terrain pour plusieurs contacts prévus par leur calendrier. Du coup, le mois de septembre tire vers sa fin sans qu’on entende parler de Tshisekedi alors que le débat sur la révision constitutionnelle va bientôt commencer à l’Assemblée nationale. Pourtant, dans les rangs de l’opposition parlementaire, c’est le branle-bas de combat en attendant le débat au Palais du peuple.<br />
Voilà qui a imposé un silence de cimetière du côté de l’UDPS, à défaut d’expliquer à l’opinion pourquoi toutes les activités politiques retenues pour le leader de l’UDPS en ce mois de septembre ne se tiennent pas.<br />
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LE RETOUR DU "LIDER MAXIMO" A KINSHASA PAS ENCORE A L’ORDRE DU JOUR<br />
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On l’aura finalement compris. Le retour de Tshisekedi à Kinshasa ne serait pas encore à l’ordre du jour. C’est dire que tout serait lié à son état de santé qui doit d’abord s’améliorer avant de le voir renouer avec ses activités politiques. Tous les démocrates souhaitent que le "lider maximo " recouvre sa santé, surtout que le combat politique en prévision des enjeux de 2016 ne fait que commencer. Une fois remis sur pied, Etienne Tshisekedi ne manquera pas de s’inviter au débat pour montrer la voie que les partisans de son parti devront suivre. Il a tant lutté pour l’avènement de la démocratie en RDC et sa présence est nécessaire pour la consolidation de ce qu’il avait si bien commencé depuis des lustres. Car, sa mort rendrait vraiment l’opposition politique orpheline.<br />
La semaine passée, Félix Tshisekedi, arrivé à Mbuji-Mayi, avait déclaré que son père se portait très bien et qu’il pourrait regagner Kinshasa vers la fin du mois de septembre. C’est le vœu de tous, mais lorsqu’on s’y prend à l’intox, cela ne porte jamais bonheur. On l’a vu avec différents cadres du MLC qui indiquaient que le dossier de Jean-Pierre Bemba était vide et que sa sortie de La Haye allait intervenir bientôt. Cette campagne a commencé depuis la détention de JP Bemba en 2007 au point que certains de ceux qui battaient ainsi campagne, se sont même retirés de ce parti. Le " Chairman " demeure toujours à la Cour pénale internationale. Finalement, plus personne ne croit aujourd’hui en ce discours tenu depuis sept ans. Comme quoi, l’intoxication ne marche pas à tous les coups.<br />
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EN ATTENDANT LE RETOUR DE SON CHEF, L’UDPS DOIT SORTIR DE SA LETHARGIE<br />
C’est là que bon nombre d’observateurs conseillent aux cadres de l’UDPS de sortir leur parti de la léthargie. On ne doit pas tout attendre du " lider maximo " au risque de ne plus combattre sur le terrain. Quel que soit le moment pendant lequel il renouera avec ses activités politiques à Kinshasa, le parti doit continuer à fonctionner normalement en participant au débat sur de grandes questions d’actualité. C’est peut-être ce qui aurait poussé Félix Tshisekedi à descendre à Mbuji-Mayi, au Kasaï oriental, pour redynamiser le parti. Cela valait réellement la peine et, comme généralement tout part de Kinshasa, les membres de l’UDPS doivent reprendre du service dans la capitale congolaise. Ce serait d’ailleurs la meilleure façon de commencer à préparer le retour de leur leader à Kinshasa<br />
Mais, quand tout est bloqué en l’absence du président national, c’est comme cela qu’uneformation politique tombe sous le coup de la léthargie. Le secrétaire général Bruno Mavungu est invité à garder allumée la flamme de l’UDPS en animant son parti comme le ferait Etienne Tshisekedi lui-même. C’est de cette manière qu’il méritera de son parti. Car, la meilleure attitude dans le cas de Tshisekedi actuellement, c’est de ne pas avoir peur pour se dire " tout peut arriver, mais la vie doit continuer ". Donc quel que soit le cas de figure, l’UDPS doit continuer parce que son histoire est désormais liée à celle de la RDC. Sans nul doute qu’une fois rétabli, Etienne Tshisekedi fera encore parler de lui en RDC parce qu’il ne manquera pas d’apporter sa touche au débat sur la révision constitutionnelle.

M. M.

Le direct

Politique EN SEJOUR EN BELGIQUE DEPUIS PLUS D’UN MOIS TSHISEKEDI : SILENCE RADIO !

* Contrairement au calendrier de son parti, le leader de l’UDPS n’a toujours pas amorcé ses contacts et sa tournée. Pa...

BCBG News du 23 septembre 2014: Roger Ndandu et Blanchar Mosaka attaquent le vieux EBOLA sans recul (vidéo)

September 23, 2014

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BCBG News du 23  septembre 2014: Roger Ndandu et Blanchar Mosaka attaquent le vieux EBOLA sans recul (vidéo)

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BCBG News du 23 septembre 2014: Roger Ndandu et Blanchar Mosaka attaquent le vieux EBOLA sans recul (vidéo)

Démission de JP Kalamba & Gustave Omba : CENI, la CASE recommande à l’Udps, l’UNC & Alliés de revoir leur position !

September 23, 2014

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Poussés à la démission par les Groupes Parlementaires qui les avaient désignés à la Commission Electorale Nationale Indépendante, Gustave Omba pour le compte de l’UNC et Alliés, Jean-Pierre Kalamba, délégué de l’Udps et Alliés, viennent de recevoir un soutien total de la Commission Africaine pour la Supervision des Elections « CASE ».

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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBviKuU9hzx9BC6D5WbF93kQX0lZOX_Pd-vc-DQe59iWSXiEfirFbhMbDggP-ejmL6NY7MI0uTfybx9ARqKz4LFXEFCqjDRVCgtQYISl8phhC2A5fVWDM3YY0YvIM1fYfS1U46JtU8pI4v/s1600/Snapshot_270.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="line-height: 1.6em;">Pour ce faire, les responsables des structures membres de la plateforme CASE se sont réunis hier, lundi 22 septembre, pour réagir contre  la déclaration des Présidents des Groupes Parlementaires Udps et Alliés, Unc et Alliés. Une déclaration  faite et rendue publique,  le dimanche 21 septembre 2014,  à Fatima, dans laquelle Gustave Omba et Jean-Pierre Kalamba étaient sommés de cesser toute collaboration avec la CENI. La CASE, dans sa réaction, rappelle que dans l’accomplissement de leur mission, les membres de la CENI jouissent de la totale indépendance par rapport aux forces politiques qui les ont désignés. Ils ne sollicitent,  ni ne reçoivent d’instructions d’aucune autorité extérieure.</strong><span style="line-height: 1.6em;"> </span><strong style="line-height: 1.6em;">Allusion directe faite,   ici,  à l’article 22 de la Loi organique portant organisation et fonctionnement de la CENI.</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Ainsi, la CASE recommande aux deux Groupes Parlementaires de revoir leur position et de demander pardon au peuple congolais. Car, la CENI n’a rien à se reprocher, selon la CASE. Tout est positif, souligne  cette Commission.  A commencer par la mise sur pied d’un cadre de concertations impliquant toutes les parties prenantes au processus électoral, l’organisation des journées portes ouvertes sur la transmission rapide et sécurisée des résultats électoraux conçues dans le but d’éviter la manipulation des votes et, par conséquent, épargner la Nation d’un chaos. La CASE félicite, par ailleurs,  la CENI pour le choix opéré en faveur du suffrage universel indirect dans l’élection des gouverneurs, sénateurs et députés provinciaux. Comme quoi, s’il y a des objections à formuler, les Groupes Parlementaires Udps et Alliés, Unc et Alliés devraient s’adresser au Parlement et au Gouvernement. Autre chose, la question de la révision constitutionnelle ne se déroule pas à la CENI, mais ailleurs. C’est pourquoi, ‘’la CASE demande aux deux Chambres du Parlement de rassurer les auteurs de la déclaration du 21 septembre à Fatima sur les articles révisables de la Constitution. Sur toutes les questions électorales, des vues doivent être harmonisées’’, lit-on.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>La Pros.        </strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><u>Commission Africaine pour la Supervision des Elections (CASE)</u></strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Déclaration de la Commission Africaine pour la Surveillance des Elections (CASE) contre la position dangereuse des Groupes Parlementaires UDPS et Alliés et UNC et Alliés sur le Processus Electoral en République Démocratique du Congo</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Nous, Commission Africaine pour la Supervision des Elections « CASE » en sigle, une plate forme des 63 organisations de la Société Civile spécialisée en : Education civique et électorale, observation des élections sur le plan national et international ; réunie aujourd’hui en date du 22 Septembre 2014, après avoir suivi la déclaration des acteurs politiques, UDPS et Alliés, UNC et Alliés.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Nous formulons nos vifs regrets à l’endroit de la classe politique en général et les groupes parlementaires UDPS et Alliés et UNC et Alliés pour leur prise de position incendiaire visant à manipuler l’opinion tant nationale qu’internationale contre le processus électoral en République Démocratique du Congo.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Il est de notoriété publique que le législateur dont les deux groupes parlementaires font partie, avait verrouillé la mission des membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante contre toute manœuvre de déstabilisation en stipulant clairement nous citons,  « dans l’accomplissement de leur mission, les membres de la CENI ne sollicitent,  ni ne reçoivent d’instructions d’aucune autorité extérieure et jouissent de la totale indépendance par rapport aux forces politiques qui les ont désignées »,</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Article 22 de la Loi Organique portant organisation et fonctionnement de la CENI.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Nous attirons l’attention du peuple congolais en général et des acteurs politiques en particulier sur la nécessité de mettre immédiatement fin aux velléités de mensonges, de manipulations de toutes sortes, de conflits d’intérêts et de pouvoir pour privilégier l’intérêt général. A cet effet, les débats sur la révision constitutionnelle étant de la totale responsabilité de l’Assemblée Nationale à laquelle les deux groupes parlementaires appartiennent bel et bien, nous prions les leaders signataires de la déclaration du 20 septembre 2014, de bien vouloir retirer leur menace à l’endroit des animateurs de la Commission Electorale Nationale Indépendante et d’orienter leur stratégie vers des véritables cibles de leur démarche.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Par ailleurs, nous basant sur les rapports des missions d’observation des élections de 2011, il nous revient de féliciter et saluer les efforts fournis jusqu’ici par la Commission Electorale Nationale Indépendante en ce qui concerne notamment :</div>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li>L’ouverture des débats sur la préparation et le déroulement du processus électoral à travers des cadres de concertation jamais organisés auparavant et qui permettent aujourd’hui une plus grande implication des parties prenantes au processus électoral ;</li>
<li>L’organisation des journées portes ouvertes d’information et une soirée électorale édifiante sur l’élection législative partielle de Befale à l’Equateur en date du 24 juillet 2014 qui a permis à notre plate forme de se rassurer davantage de la transmission rapide et sécurisée des résultats électoraux qui pourront désormais éviter à la Nation le chaos et la manipulation des votes dans les Centres de Compilation des résultats ;</li>
<li>L’explication claire faite par la CENI sur la réforme électorale nécessaire devant permettre la révision à la hausse du corps électoral des Gouverneurs, Sénateurs et une élection couplée des députés provinciaux au suffrage universel indirect ;</li>
<li>La révocation publique des agents électoraux véreux et indisciplinés, ce qui permet qu’aujourd’hui, le personnel de la CENI soit prévenu contre toute dérive comportementale ;</li>
<li>L’élaboration d’un rapport annuel détaillé et distribué à toutes les parties prenantes au processus, conformément à l’article 28 de la  loi organique du 19 avril 2013 qui oblige la CENI de présenter un  rapport annuel à la session de mars à l’Assemblée Nationale.</li>
</ul>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
La Commission Africaine pour la Supervision des Elections (CASE) soutient que ces efforts conjugués par l’actuel leadership de la CENI  sont à encourager. Raison pour laquelle, elle invite les acteurs sociopolitiques de la République Démocratique du Congo à stopper toute attaque, toute menace et toute manipulation contre le processus électoral, les animateurs de la CENI et la population congolaise.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>La CASE, recommande :</strong></div>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li><strong>Aux Groupes parlementaires UNC  et UDPS avec leurs alliés de:</strong></li>
</ul>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li>Revoir leur position et demander pardon au peuple congolais pour leur attitude qui n’honore plus leur dignité;</li>
<li>Rédiger en urgence une déclaration démentant cette grave position ;</li>
</ul>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li><strong>Aux deux Chambres du Parlement de ;</strong></li>
</ul>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li>Prendre la mesure de cette situation en convoquant les auteurs de cette grave déclaration pour les rassurer quant aux aspects révisables de la Constitution ;</li>
<li>Harmoniser leurs vues sur toutes les questions électorales pour ne pas prêter le flanc aux fauteurs en eaux troubles ;</li>
</ul>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li><strong>Au Gouvernement de la RDC  de ;</strong></li>
</ul>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li>Mettre les moyens conséquents à la disposition de la CENI et la soutenir contre les menaces qui pèsent sur elle de la part des acteurs politiques ;</li>
</ul>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li><strong>Aux Partenaires nationaux et internationaux de :</strong></li>
</ul>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li>Prendre leurs responsabilités en mains en apportant un soutien ouvert et clair à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) pour éviter que celle-ci ne tombe sous le coup de  déstabilisation de la part des acteurs politiques aussi bien de la Majorité que de l’Opposition ;</li>
<li>Financer sans réserve le programme d’éducation civique électorale afin d’armer le peuple des connaissances indispensables sur le processus électoral.</li>
</ul>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Fait à Kinshasa, le 22 septembre 2014 </strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.3333330154419px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Pour les responsables des structures membres partenaires de la Plateforme CASE</strong></div>
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Le direct

la Nation Politique Démission de JP Kalamba & Gustave Omba : CENI, la CASE recommande à l’Udps, l’UNC & Alliés de revoir leur position !

Poussés à la démission par les Groupes Parlementaires qui les avaient désignés à la Commission Electorale Nationale Indépendante, Gustave O...

L’opposition retire ses représentants de la CENI

September 23, 2014

Vendredi dernier, la plénière a adopté l’ordre de la session d’octobre. Celui-ci prévoit le point relatif à la révision de certaines dispositions de la Constitution et de la loi portant organisation des élections à tous les autres niveaux. Tous ces projets émanant du gouvernement.

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj9yKgVU20zRj7ixteEEv95cPuxPbOEMt5NJ4ab0LsJfQYEUzc21qfL2hY8_fWByU0wldlbhCGfqslfHD7r26Lv7imgpNIrCIP5a6H9WXtO0CYTCxJ0s2Cc7CBTN1eplBg9XRT8-EqpZST1/s1600/Snapshot_35.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="233" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj9yKgVU20zRj7ixteEEv95cPuxPbOEMt5NJ4ab0LsJfQYEUzc21qfL2hY8_fWByU0wldlbhCGfqslfHD7r26Lv7imgpNIrCIP5a6H9WXtO0CYTCxJ0s2Cc7CBTN1eplBg9XRT8-EqpZST1/s1600/Snapshot_35.jpg" width="320" /></a></h3>
Voilà ce qui a provoqué la colère des groupes parlementaires de l’Opposition, UDPS et Alliés et UNC et alliés qui ont ainsi pris la décision de suspendre leur participation aux activités de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) et ce, jusqu’à nouvel ordre. Ils demandent ainsi à leurs représentants respectifs de cesser, toutes Affaires cessantes, toute participation directe ou indirecte aux activités de cette institution d’appui à la démocratie.<br />
Tel est le message fait hier dimanche 21 septembre 2014 à Notre Dame de Fatima par le président du groupe parlementaire UDPS et Alliés Samy Badibanga en présence du président du groupe parlementaire UNC et Alliés, Bamporiki entourés des autres députés de l’opposition, Jean Claude Vuemba, Jean Lucien Busa et Claudel Lubaya.<br />
<br />
Ces dirigeants des groupes parlementaires de l’opposition ont fait savoir que toutes lesinitiatives de la Majorité au pouvoir contribuent à la dégradation des élections avec comme conséquence de vicier dangereusement l’intégrité, la crédibilité et la transparence du processus électoral. Ils  ont également décidé de suspendre leur participation à toute plénière de la chambre basse qui aura pour ordre du jour le débat sur les projets de lois du gouvernement portant organisation des élections ainsi que celui ayant trait à la révision de certaines dispositions de la constitution.<br />
<br />
Ils ont aussi rappelé qu’à l’issue du débat sur ces deux points de divergence entre l’opposition et la Majorité, notamment le point 14 relatif à l’organisation des élections provinciales, des gouverneurs et vice gouverneurs et le point 16 concernant la révision de certaines dispositions de la constitution, la   conférence des présidents avait levé l’option de mettre en suspens ces deux points. Or, ils viennent de constater que le bureau de l’Assemblée nationale a pris la liberté de faire adopter le projet de calendrier en faisant fi non seulement de la loi en la matière mais également des conclusions de la conférence des présidents.<br />
<br />
Concernant la concurrence entre la proposition de loi du député Delly Sessanga, inscrit au point 7 de l’avant-projet du calendrier et les projets des lois portant organisation des élections tel que présenté par le gouvernement et repris au point 13,14,15 du même document dans la rubrique nouvelles matières, les groupes parlementaires UDPS et Alliés et UNC et alliés demandent au bureau de l’Assemblée nationale d’observer et de faire observer les dispositions de l’article 130 de la Constitution qui règlent la problématique de l’initiative de loi. En l’espèce, ont-ils fait remarquer, la proposition de loi de l’honorable Sessanga a l’avantage d’avoir été déposée bien avant au mois de mai.<br />
<br />
L’article 130 de la constitution stipule qu’ « après avoir été officiellement saisi par le bureau de l’Assemblée nationale, le gouvernement dispose de 15 jours pour formuler ses observations ». Passé ce délai, la proposition de loi est réputée mise en délibération à l’Assemblée nationale et non soumise à la délibération du bureau, ont-ils insisté. Comme pour dire que la proposition de Delly SESSANGA bénéficie de la primauté vis-à-vis de celle du gouvernement. Seront-ils entendus. ?<br />
<br />
ERIC WEMBA

Le direct

Politique L’opposition retire ses représentants de la CENI

Vendredi dernier, la plénière a adopté l’ordre de la session d’octobre. Celui-ci prévoit le point relatif à la révision de certaines disp...

Suite de l'accord-Cardre ,Changement Climatique ,Evolution de la situation politique en RDC ...Joseph Kabila rompt le silence ce Jeudi

September 23, 2014

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* Le Raïs se prononce sur des sujets brûlants depuis la tribune des Nations Unies à New York.<br />C’est hier lundi 22 septembre à 4h00’ du matin que le président Joseph Kabila est arrivé au siège des Nations unies à New York, aux Etats-Unis d’Amérique.</h3>
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<div>
Comme tous ses homologues du monde, Joseph Kabila participe à la 69ème Assemblée générale de l’ONU. Et la tradition veut que les chefs d’Etat prennent la parole pour apporter leur contribution à la résolution des problèmes qui se posent dans le monde. L’intervention du président de la RDC, indique-t-on, est prévue pour ce jeudi 25 septembre 2014 à 16h00’ heures locales. Occasion pour le Raïs d’offrir sa lecture au sujet des questions d’actualité dans le monde, mais en commençant, bien entendu, par parler de son propre pays, à savoir la RD Congo, dont la situation intéresse aussi les autres Etats membres de l’Organisation des Nations Unies.</div>
<div>
<br />
De quoi pourrait donc être fait le discours de Joseph Kabila ce jeudi à New York ? La question est sur toutes les lèvres des Congolais parce que c’est en leur nom que s’exprimera le premier d’entre eux devant les nations du monde réunies à la 69ème Assemblée générale de l’ONU autour du thème « La relance des objectifs du millénaire pour le développement ». Généralement, en dehors du thème choisi pour ce grand évènement, chaque chef d’Etat commence par brosser la situation dans son pays avant d’apporter sa contribution à la résolution de différents problèmes qui se posent à l’humanité. C’est donc un grand rendez-vous des dirigeants du monde qui se déroule chaque année et qui appelle une participation au sommet parce que c’est un cadre d’échanges entre les nations.<br />
<br />
DE QUOI POURRAIT ETRE FAIT LE DISCOURS DE KABILA ? S’agissant de la RDC, Joseph Kabila brossera sans nul doute la paix qui y règne depuis la déroute des rebelles du défunt M23 (Mouvement du 23 mars) soutenu principalement par le Rwanda ainsi que la question de la délocalisation des éléments des FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda) qui ont longtemps servi de prétexte à Paul Kagame pour envahir la RD Congo à la recherche des « génocidaires ». Le Raïs ne manquera peut-être pas d’aborder la question politique en RDC où l’Assemblée nationale a prévu dans son ordre du jour la révision de quelques dispositions de la Constitution du 18 février 2005 pour réduire le coût des élections et non de l’articlé verrouillé 220 qui est au centre de la campagne de l’opposition soutenue par certains milieux de la société civile en RDC.<br />
Sur le plan africain, la fièvre hémorragique à virus Ebola qui sévit dans plusieurs pays africains, mais qui n’a pas pu sortir du territoire de Boende, dans la province de l’Equateur en RDC. Pour avoir déjà expérimenté cette maladie à son apparition dans la province de l’Equateur, le Congo dispose d’un peu de connaissances dans ce domaine et a une équipe médicale outillée en la matière. Le Congo pouvait donc offrir son expertise aux pays africains pour cette énigme de taille. Sur le plan international, Joseph Kabila apportera sa contribution à la résolution des plusieurs conflits qui minent le monde et qui nécessitent des solutions urgentes. Le Raïs, qui n’en est pas à sa première participation à l’Assemblée générale de l’ONU sait comment faire passer son message au monde.<br />
<br />
EN RDC, L’EMERGENCE EST ATTENDUE VERS 2030<br />
Qui dit développement dit aussi amélioration des conditions de vie de la population. C’est de la sorte qu’au regard des résultats atteints à ce jour, la RDC envisage son émergence en 2030. Cette réalité n’échappera certainement pas à la vigilance du chef de l’Etat congolais lorsqu’il abordera le sujet du jour, à savoir la relance des objectifs du millénaire pour le développement. Car, sous l’impulsion du président de la République, la RDC a déjà réalisé beaucoup de performances grâce aux réformes initiées. La maîtrise du cadre macroéconomique, du taux d’inflation, du taux d’échange, des effectifs dans l’administration publique … est devenue une réalité. Ce qui a été couronné par la bancarisation de la paie des agents et fonctionnaires de l’Etat. Les paramètres sont porteurs d’espoir pour le pays.<br />
Le Gouvernement a amorcé la construction de 1.000 écoles et pense même à passer à la vitesse de croisière pour construire 2.000 écoles par an. L’assainissement du climat des affaires produit des résultats positifs au point que plusieurs investisseurs semblent désormais décidés à apporter leurs capitaux en RDC, un pays post-conflit devenu très fréquentable. Bref, la RDC a fait un pas de géant et peut ainsi partager son expérience avec les pays du monde et profiter de l’échange pour améliorer sa gestion et la gestion des objectifs du millénaire pour le développement. Le pays de Joseph Kabila a donc un message à apporter aux nations du monde dans le rendez-vous du donner et du recevoir.<br />
<br />
DE LA CONVICTION DANS LE DISCOURS DE KABILA A L’ONU<br />
<br />
Joseph Kabila apportera aux nations du monde des solutions congolaises aux problèmes qui se posent à l’humanité. Sans nul doute qu’il étalera, avec des arguments de massue, sa vision sur la marche du monde avec conviction. Car, chaque discours fait sur la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York constitue également un test pour le chef de l’Etat intervenant. C’est aussi l’occasion de se prononcer sur la vision de son pays et sur la maîtrise des dossiers sensibles du monde entier. Un exercice auquel le président Joseph Kabila s’est déjà habitué et une occasion pour faire passer le message en prenant à témoin l’opinion internationale. Donc, c’est vraiment une tribune internationale qui permet d’échanger avec les autres dirigeants du monde et les convaincre.<br />
C’est l’occasion de vendre l’image de son pays surtout lorsqu’une lecture biaisée de la situation avait été faite par des personnes connaissant mal le pays dont elles parlaient. Il faut apporter la vraie lecture pour que le monde sache ce qui se passe exactement dans un pays. Le Congo se porte mieux aujourd’hui et il faut l’expliquer au monde. Kabila sera face au monde ce jeudi à New York et le monde en saura un peu plus sur la RD Congo. Même le processus électoral en cours au Congo sera expliqué aux Nations du monde, espèrent certains observateurs. Bref, le Congo sera à la « une » lors du discours du président Joseph Kabila à la 69ème Assemblée générale de l’ONU. M. M.</div>
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Entreprises publiques de l’Etat : Matata sauve les mandataires des griffes des « vautours »

September 23, 2014

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Le Premier ministre Matata Ponyo vient de mettre fin à une certaine cacophonie que voulaient installer des « tireurs des ficelles » dans les entreprises publiques du Portefeuille de l’Etat. Ce, en rapport avec le changement du statut desdites entreprises dont la plupart ont été transformées en sociétés commerciales.</h3>
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Par son Décret n°14/023 du 10 septembre 2014 modifiant et complétant le Décret n°13/055 du 13 décembre 2013 portant statut des mandataires publics dans les entreprises du portefeuille de l’Etat, le Premier ministre a remis les pendules à l’heure, en mettant ainsi fin aux manœuvres de tous genres auxquelles se livraient certains faucons dans le but de placer les leurs à la tête des entreprises étatiques. L’argument utilisé était celui d’adaptation à la nouvelle donne dictée par l’adhésion de la République Démocratique du Congo à l’Ohada, avec en prime la mutation des entreprises publiques du portefeuille de l’Etat en sociétés commerciales.</div>
La réaction du chef du gouvernement à travers le décret trouve son fondement en l’article 32, Titre VI du Décret n°13/055 du 13 relatif aux dispositions finales, qui énonce : «Les dispositions des articles 4 et 5 relatives aux fonctions à travers lesquelles s’exercent les mandats publics actifs et non actifs demeurent applicables, nonobstant la transformation des EntreprisesPubliques du Portefeuille de l’Etat, en une autre forme de société prescrite par le Droit OHADA et ce, jusqu’aux dispositions contraires subséquentes au présent Décret.<br />
Les mandataires publics en fonction à l’entrée en vigueur de la nouvelle forme de société desdites Entreprises publiques le demeurent jusqu’à l’intervention de la décision contraire de l’Autorité compétente en matière de nomination des Mandataires publics, sous réserve des dispositions pertinentes relatives au régime disciplinaire et en matière de vacance de mandat, prévues par le présent Décret».<br />
Pour raison d’implication de l’autorité chargée de l’exécution de la décision, le Premier Ministre MatataPonyo a cosigné le Décret avec la ministre du Portefeuille Me Louise MungaMesozi.<br />
Pour les analystes, le Premier ministre aurait eu vent des manœuvres qui se tramaient dans les différents cercles politiques et d’influence en vue de pistonner des personnes qui n’auraient peut-être pas des compétences requises à la tête des entreprises de l’Etat.<br />
Le chef du gouvernement a donc choisi la bonne direction, en court-circuitant des nombreux techniciens de la prédation qui ont fait du trafic d’influence leur principale carrière.<br />
<h3>
<br />Dom </h3>
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Le direct

Politique Entreprises publiques de l’Etat : Matata sauve les mandataires des griffes des « vautours »

Le Premier ministre Matata Ponyo vient de mettre fin à une certaine cacophonie que voulaient installer des « tireurs des ficelles » dans le...

20 ans après…pourquoi pas Abeti Masikini ?

September 23, 2014

<h3>
*28 septembre 1994- 28 septembre 2014 : voilà 20 ans, jour pour jour, que la tigresse de la musique africaine, Finant Elisabeth alias ABETI MASIKINI, quittait la terre des hommes. A cette occasion, la famille et la fondation ABETI MASIKINI vont organiser, à Kinshasa, une messe en mémoire de l’illustre disparue. Bien avant, les membres de la famille, leurs  amis et connaissances vont se rendre au cimetière de la Gombe pour déposer les gerbes de fleurs sur la tombe de la Diva.</h3>
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<div>
Que faut-il faire pour honorer Abeti MASIKINI, grande chanteuse et pionnière de la musique congolaise sur la scène internationale ? Cette  grande question demeure sans réponse  sur les lèvres de mélomanes qui se souviennent d’elle, 20 ans après de sa disparition.</div>
<br />
Par contre,  Yolande Nyota Masikini a tenté de  répondre à la  question. Après plusieurs réflexions, la fille de la chanteuse pense qu’il faut consacrer toute une année en organisant des grands événements en mémoire de la tigresse de la musique congolaise.<br />
<br />
C’est dans ce cadre même que Yolande MASIKINI et la fondation Abeti Masikini ont conçu le projet «Année ABETI MASIKINI», dont le lancement officiel est prévu les 28 et 29 novembre 2014 au GHK. Ce projet consacre une année (28 septembre 2014-28 septembre 2015) à la célèbre chanteuse qui a hissé le drapeau congolais dans les salles mythiques du monde. Vu la grandeur artistique incontournable de la Diva, les organisateurs soulignent que l’évènement va s’étendre à Lubumbashi, Kisangani, en Afrique de l’Ouest, à Paris jusqu’en Allemagne. Trois invités de marque sont attendus, à savoir : Lokwa Kanza, Meiway et Bernard Lavilliers. Il y aura également des expositions de ses œuvres (photos, albums, CD ou DVD…), des colloques ainsi que des concerts et tant d’autres activités avec toutes les personnes qui s’intéressent au projet. Une information confirmée par Henry Noël Mbuta Vokia, qui précise que cet événement consiste à honorer à sa juste valeur la mémoire de la chanteuse. Car, elle a fait la fierté du  Congo-RDC sur la scène internationale.<br />
<br />
S.O.S au projet ‘‘Année ABETI MASIKINI’’ !<br />
<br />
Mais, puisqu’un seul doit ne peut jamais laver le visage,  Yolande MASIKINI invite les autorités du pays à s’investir dans ce projet pour commémorer une des valeurs immortelles de la chanson congolaise.  Elle a sollicite en particulier l’implication du Premier Ministre, MATATA PONYO ou encore du Gouverneur de la Ville de Kinshasa, André KIMBUTA, afin que l’évènement soit à la dimension de cette icône de la musique. Surtout que l’Etat congolais ne manque pas des moyens nécessaires pour que la mémoire d’ABETI MASIKINI soit honorée au même titre que les artistes masculins tels que TABU LEY et FRANCO. Pourquoi ne pas faire des grandes cérémoniales en hommage de cette chanteuse qui a sacrifié toute sa jeunesse pour l’émergence de la culture du pays sur l’échiquier mondial ?  <br />
<br />
Appelée ‘‘Tigresse aux griffes d’or’’, ABETI MASIKINI fut une chanteuse aux talents innombrables. Elle avait un style musical, très éclectique. Avec sa voix tremblante, la chanteuse produisait une musique teintée de diverses tendances : <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Rumba_congolaise">rumba congolaise</a>,<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Blues">blues</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_soul">soul</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_folk">folk</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Soukous">soukouss</a>... Très courageuse, ABETI était aussi l'une des artistes africaines à avoir révolutionné la musique sur le continent en fusionnant différents rythmes du monde au folklore du terroir.  Sa riche discographie et ses nobles prestations scéniques à travers le monde ont fait d’elle une figure marquante de la musique africaine contemporaine. Son plus grand jour de sa carrière date du 24 septembre 1988 lorsqu’elle signe son passage en la salle Zénith de Paris, en qualité de la première femme africaine.<br />
<br />
Sur plan discographique, « I love You », « Baruwa Kwa Mupenzi », « Chéri Badé », « Père Bouché », « Soukous Parfumé », « Bebe Matoko », « Mupenzi », « Malu « Mwana Muke Wa Miss»… sont des tubes  références qui ont porté sur orbite cette grande dame qui a fait la rumba son style de prédilection. <br />
<br />
20 ans après sa disparition, celle que l’on appelait affectueusement Tantine ABETI,  est considérée comme l'une des grandes écoles musicales, car bon nombre d'artistes talentueux sont passés par son groupe <a href="http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Les_Redoutables&action=edit&redlink=1">Les Redoutables</a>, comme <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Mbilia_Bel">Mbilia Bel</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Lokua_Kanza">Lokua Kanza</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Abby_Surya&action=edit&redlink=1">Abby Surya</a>, Malage De Lugendo, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Tshala_Muana">Tshala Muana</a>, <a href="http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Yondo_Sister&action=edit&redlink=1">Yondo Sister</a>, Lambio Lambio…<br />
<br />
Etoile internationale !<br />
<br />
Elle figure également parmi les rares chanteuses congolaises à avoir eu une carrière internationale plein de succès.<br />
<br />
Belle de taille, ABETI a également influencé plusieurs femmes africaines par son style de maquillage, ses coiffures à la mode et son habillement. En <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Afrique_de_l%27Ouest">Afrique de l'Ouest</a>, la jupe droite à fente porte le nom de « jupe Abeti » et un tissu <a href="http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Wak_%28tissu%29&action=edit&redlink=1">wax</a> a été nommé d'après le<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Tube_%28musique%29">tube</a> Scandale De Jalousie.<br />
<br />
Elle représente aussi l’émancipation de la femme congolaise et africaine dans l'univers de la chanson. Elle a été la première femme de son pays à s'imposer professionnellement dans le monde musical congolais, dominé exclusivement par des hommes. Lorsqu' Abeti a débuté sa carrière, la seule chanteuse à avoir connu le succès localement fut <a href="http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Lucie_Eyenga&action=edit&redlink=1">Lucie Eyenga</a>  (1934-1987).<br />
<br />
Pour immortaliser davantage son parcours glorieux, une réalisatrice congolaise prépare de lancer un documentaire intitulé « Abeti Masikini, Le Combat d'une Femme».<br />
<br />
De son vrai nom Élisabeth Finant, Abeti Masikini naît le <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/9_novembre">9</a> <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Novembre_1954">novembre</a> <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1954">1954</a>. Sa carrière professionnelle a commencé en 1971 après avoir raflé une médaille de bronze lors de la chanson organisé par l'artiste <a href="http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=G%C3%A9rard_Madiata&action=edit&redlink=1">Gérard Madiata</a>. C’est à l’âge de 40 ans qu’elle avait rendu l’âme en Villejuif en France, à la suite d’un cancer.<br />
<br />
Jordache Diala<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />
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Musique 20 ans après…pourquoi pas Abeti Masikini ?

*28 septembre 1994- 28 septembre 2014 : voilà 20 ans, jour pour jour, que la tigresse de la musique africaine, Finant Elisabeth alias ABETI...

Assemblée Nationale : Minaku s’entretient avec le Nonce Apostolique

September 23, 2014

<h3>
Le Président de l’Assemblée Nationale, Aubin Minaku, a échangé,  lundi 22 septembre 2014, dans son cabinet de travail, avec le Nonce apostolique, Monseigneur Adolfo Tito Yilama,  Représentant du Saint Père en République Démocratique du Congo. Rien n’a filtré de cet entretien.</h3>
<br />
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Selon les indiscrétions, l’entretien a tourné autour  du  message de la  CENCO lancé aux fidèles catholiques et aux hommes debonne volonté, depuis Rome en Italie. Appel auquel a réagi, avec force, le Porte-parole du Gouvernement.<br />
<br />
Bien avant cet entretien, le Speaker de la Chambre basse du Parlement a reçu en audience le ministre congolais de l’Intérieur, Sécurité,  Décentralisation et Affaires coutumières, Richard Muyej. Celui-ci, au sortir de l’audience, a indiqué à la presse qu’il était venu au Palis du peuple répondre à l’invitation du Président de l’Assemblée Nationale. A ce sujet, Muyej a fait savoir que la communication a tourné autour de la proposition de la loi électorale  que le Gouvernement avait déposée à l4assemblée Nationale. Un projet dont l’inscription au calendrier de la Session parlementaire de septembre a donné lieu à des fortes contestations de la part des opposants. L’idée, a-t-on appris, est de voircomment faire évoluer le projet de loi électorale du Gouvernement avec la proposition de loi déposée par le député Delly Sessanga en 2012.    Appelé à donner son avis sur cette question, le ministre Muyej Mangez  a déclaré qu’il va se soumettre à la  proposition qu’aura retenue la plénière.  <br />
<br />
La proposition de loi électorale initiée par le Gouvernement porte sur l’élection des gouverneurs, vice-gouverneurs et députés provinciaux.<br />
<h3>
<br />Philomène Mwaluke </h3>
<span style="background-color: white;"></span><br />
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Le direct

Politique Assemblée Nationale : Minaku s’entretient avec le Nonce Apostolique 

Le Président de l’Assemblée Nationale, Aubin Minaku, a échangé, lundi 22 septembre 2014, dans son cabinet de travail, avec le Nonce aposto...

Bataille de l’article 220 : les catholiques passent aux actes

September 23, 2014

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Ils l’avaient annoncé depuis Rome dans une lettre datée du 14 septembre 2014 adressée aux fidèles catholiques et à tous les hommes de bonne volonté. A partir du dimanche 21 septembre, la sensibilisation des chrétiens catholiques contre la révision constitutionnelle et particulièrement celle des articles verrouillés devait démarrer sur toute l’étendue du territoire national. </h3>
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Ceux qui avaient pensé que la réaction vigoureuse du gouvernement contre la déclaration des Evêques de la République Démocratique du Congo allait refroidir les ardeurs des princes de l’Eglise catholique romaine  devraient certainement mal les connaître. Ils devraient avoir mal lu leur détermination déjà soulignée par eux-mêmes lorsqu’ils rappellent le témoignage jusqu’au martyre des apôtres Pierre et Paul ainsi que celui de la Bienheureuse Marie Clémentine AnuariteNengapeta assassinée il y a cinquante ans par les Simbas opérant pour le compte de la République Populaire du Congo (Kisangani, ex-Stanleyville).</div>
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<br />
Hier dimanche, dans toutes les églises catholiques du pays, le mot d’ordre des Evêques a été suivi. Le message intitulé « Protégeons la Nation » a été lu à l’intention des millions des fidèles à toutes les messes.  La position de l’Eglise catholique a ainsi été soulignée. Il s’agit de l’opposition claire et nette à toute modification de l’article 220, article verrouillé de la Constitution qui stipule  que : « La forme républicaine de l’Etat, le principe du suffrage universel, la forme représentative du Gouvernement, le nombre et la durée des mandats du Président de la République, l’indépendance du Pouvoir judiciaire, le pluralisme politique et syndical ne peuvent faire l’objet d’aucune révision constitutionnelle ».<br />
<br />
A l’Eglise Saint Jean-Apôtre de la Cité Mama Mobutu, diocèse de Kisantu, dans la commune de Mont-Ngafula, le message des Evêques appelant à protéger la Nation  a été lu par le Curé qui s’est engagé, aussitôt la lecture terminée, à le disponibiliser à l’intention de toutes lescommunautés ecclésiales et évangéliques de base et ce, conformément au mot d’ordre des Evêques  instruisant les curés et catéchistes de sensibiliser les chrétiens dans les CEVB, les Mouvements d’Action catholique, et les groupes à charisme propre. Toutefois, le Curé a demandé que la lettre des Evêques soit lue par les responsables de toutes ces communautés dans son esprit et dans sa lettre, sans trop de commentaires.<br />
<br />
Les positions sur la question de révision ou non de la Constitution n’ont donc pas bougé. La Majorité a confirmé sa détermination d’aller jusqu’au bout de sa logique et les anti-révisionnistes n’en démordent pas.  Comme il s’agit d’un débat démocratique, il faut espérer que toutes les parties auront le droit de s’exprimer et que nul ne sera tenté par des attitudes putschistes qui consistent à museler les opinions qu’on ne partage pas.<br />
<br />
VAN  <br />
<br />
LEAV</div>
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Politique Bataille de l’article 220 : les catholiques passent aux actes

Ils l’avaient annoncé depuis Rome dans une lettre datée du 14 septembre 2014 adressée aux fidèles catholiques et à tous les hommes de bonne...

Démission de JP Kalamba & Gustave Omba : CENI, la CASE recommande à l’Udps, l’UNC & Alliés de revoir leur position !

September 23, 2014

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*Poussés à la démission par les Groupes Parlementaires qui les avaient désignés à la Commission Electorale Nationale Indépendante, Gustave Omba pour le compte de l’UNC et Alliés, Jean-Pierre Kalamba, délégué de l’Udps et Alliés, viennent de recevoir un soutien total de la Commission Africaine pour la Supervision des Elections « CASE ». </h3>
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Pour ce faire, les responsables des structures membres de la plateforme CASE se sont réunis hier, lundi 22 septembre, pour réagir contre  la déclaration des Présidents des Groupes Parlementaires Udps et Alliés, Unc et Alliés. Une déclaration  faite et rendue publique,  le dimanche 21 septembre 2014,  à Fatima, dans laquelle Gustave Omba et Jean-Pierre Kalamba étaient sommés de cesser toute collaboration avec la CENI. La CASE, dans sa réaction, rappelle que dans l’accomplissement de leur mission, les membres de la CENI jouissent de la totale indépendancepar rapport aux forces politiques qui les ont désignés. Ils ne sollicitent,  ni ne reçoivent d’instructions d’aucune autorité extérieure. Allusion directe faite,   ici,  à l’article 22 de la Loi organique portant organisation et fonctionnement de la CENI.</div>
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<br />
Ainsi, la CASE recommande aux deux Groupes Parlementaires de revoir leur position et de demander pardon au peuple congolais. Car, la CENI n’a rien à se reprocher, selon la CASE. Tout est positif, souligne  cette Commission.  A commencer par la mise sur pied d’un cadre de concertations impliquant toutes les parties prenantes au processus électoral, l’organisation des journées portes ouvertes sur la transmission rapide et sécurisée des résultats électoraux conçues dans le but d’éviter la manipulation des votes et, par conséquent, épargner la Nation d’un chaos. La CASE félicite, par ailleurs,  la CENI pour le choix opéré en faveur du suffrage universel indirect dans l’élection des gouverneurs, sénateurs et députés provinciaux. Comme quoi, s’il y a des objections à formuler, les Groupes Parlementaires Udps et Alliés, Unc et Alliés devraient s’adresser au Parlement et au Gouvernement. Autre chose, la question de la révision constitutionnelle ne se déroule pas à la CENI, mais ailleurs. C’est pourquoi, ‘’la CASE demande aux deux Chambres du Parlement de rassurer les auteurs de la déclaration du 21 septembre à Fatima sur les articles révisables de la Constitution. Sur toutes les questions électorales, des vues doivent être harmonisées’’, lit-on.<br />
<br />
La Pros.        <br />
<br />
Commission Africaine pour la Supervision des Elections (CASE)<br />
<br />
Déclaration de la Commission Africaine pour la Surveillance des Elections (CASE) contre la position dangereuse des Groupes Parlementaires UDPS et Alliés et UNC et Alliés sur le Processus Electoral en République Démocratique du Congo<br />
<br />
Nous, Commission Africaine pour la Supervision des Elections « CASE » en sigle, une plate forme des 63 organisations de la Société Civile spécialisée en : Education civique et électorale, observation des élections sur le plan national et international ; réunie aujourd’hui en date du 22 Septembre 2014, après avoir suivi la déclaration des acteurs politiques, UDPS et Alliés, UNC et Alliés.<br />
<br />
Nous formulons nos vifs regrets à l’endroit de la classe politique en général et les groupes parlementaires UDPS et Alliés et UNC et Alliés pour leur prise de position incendiaire visant à manipuler l’opinion tant nationale qu’internationale contre le processus électoral en République Démocratique du Congo.<br />
<br />
Il est de notoriété publique que le législateur dont les deux groupes parlementaires font partie, avait verrouillé la mission des membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante contre toute manœuvre de déstabilisation en stipulant clairement nous citons,  « dans l’accomplissement de leur mission, les membres de la CENI ne sollicitent,  ni ne reçoivent d’instructions d’aucune autorité extérieure et jouissent de la totale indépendance par rapport aux forces politiques qui les ont désignées »,<br />
<br />
Article 22 de la Loi Organique portant organisation et fonctionnement de la CENI.<br />
<br />
Nous attirons l’attention du peuple congolais en général et des acteurs politiques en particulier sur la nécessité de mettre immédiatement fin aux velléités de mensonges, de manipulations de toutes sortes, de conflits d’intérêts et de pouvoir pour privilégier l’intérêt général. A cet effet, les débats sur la révision constitutionnelle étant de la totale responsabilité de l’Assemblée Nationale à laquelle les deux groupes parlementaires appartiennent bel et bien, nous prions les leaders signataires de la déclaration du 20 septembre 2014, de bien vouloir retirer leur menace à l’endroit des animateurs de la Commission Electorale Nationale Indépendante et d’orienter leur stratégie vers des véritables cibles de leur démarche.<br />
<br />
Par ailleurs, nous basant sur les rapports des missions d’observation des élections de 2011, il nous revient de féliciter et saluer les efforts fournis jusqu’ici par la Commission Electorale Nationale Indépendante en ce qui concerne notamment :<br />
L’ouverture des débats sur la préparation et le déroulement du processus électoral à travers des cadres de concertation jamais organisés auparavant et qui permettent aujourd’hui une plus grande implication des parties prenantes au processus électoral ;<br />
L’organisation des journées portes ouvertes d’information et une soirée électorale édifiante sur l’élection législative partielle de Befale à l’Equateur en date du 24 juillet 2014 qui a permis à notre plate forme de se rassurer davantage de la transmission rapide et sécurisée des résultats électoraux qui pourront désormais éviter à la Nation le chaos et la manipulation des votes dans les Centres de Compilation des résultats ;<br />
L’explication claire faite par la CENI sur la réforme électorale nécessaire devant permettre la révision à la hausse du corps électoral des Gouverneurs, Sénateurs et une élection couplée des députés provinciaux au suffrage universel indirect ;<br />
La révocation publique des agents électoraux véreux et indisciplinés, ce qui permet qu’aujourd’hui, le personnel de la CENI soit prévenu contre toute dérive comportementale ;<br />
L’élaboration d’un rapport annuel détaillé et distribué à toutes les parties prenantes au processus, conformément à l’article 28 de la  loi organique du 19 avril 2013 qui oblige la CENI de présenter un  rapport annuel à la session de mars à l’Assemblée Nationale.<br />
<br />
La Commission Africaine pour la Supervision des Elections (CASE) soutient que ces efforts conjugués par l’actuel leadership de la CENI  sont à encourager. Raison pour laquelle, elle invite les acteurs sociopolitiques de la République Démocratique du Congo à stopper toute attaque, toute menace et toute manipulation contre le processus électoral, les animateurs de la CENI et la population congolaise.<br />
<br />
La CASE, recommande :<br />
Aux Groupes parlementaires UNC  et UDPS avec leurs alliés de:<br />
Revoir leur position et demander pardon au peuple congolais pour leur attitude qui n’honore plus leur dignité;<br />
Rédiger en urgence une déclaration démentant cette grave position ;<br />
Aux deux Chambres du Parlement de ;<br />
Prendre la mesure de cette situation en convoquant les auteurs de cette grave déclaration pour les rassurer quant aux aspects révisables de la Constitution ;<br />
Harmoniser leurs vues sur toutes les questions électorales pour ne pas prêter le flanc aux fauteurs en eaux troubles ;<br />
Au Gouvernement de la RDC  de ;<br />
Mettre les moyens conséquents à la disposition de la CENI et la soutenir contre les menaces qui pèsent sur elle de la part des acteurs politiques ;<br />
Aux Partenaires nationaux et internationaux de :<br />
Prendre leurs responsabilités en mains en apportant un soutien ouvert et clair à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) pour éviter que celle-ci ne tombe sous le coup de  déstabilisation de la part des acteurs politiques aussi bien de la Majorité que de l’Opposition ;<br />
Financer sans réserve le programme d’éducation civique électorale afin d’armer le peuple des connaissances indispensables sur le processus électoral.<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 22 septembre 2014 <br />
<br />
Pour les responsables des structures membres partenaires de la Plateforme CASE<br />
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
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