La RDC revoit son taux de croissance à la baisse

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiPrd2-LskOOv1j9sque5Qh9BIp-tuBtr4dfnhiXF1KbnVj7Blj6zlMDswhZYPPeRKQUIFkXOX9So4qDkd5aP3FfppgvkabtHwYgSN5xZ0BXySkRlWZSR4OUll6hC2llZIzOuXMwRKCwRA/s1600/Snapshot_256.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="302" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiPrd2-LskOOv1j9sque5Qh9BIp-tuBtr4dfnhiXF1KbnVj7Blj6zlMDswhZYPPeRKQUIFkXOX9So4qDkd5aP3FfppgvkabtHwYgSN5xZ0BXySkRlWZSR4OUll6hC2llZIzOuXMwRKCwRA/s400/Snapshot_256.jpeg" width="400" /></a></div> Initialement fixé à 9,2%, il a été ramené à 8,4% par les autorités congolaises du fait du déclin des marchés financiers chinois qui a engendré une réduction de la prévision de croissance du pays pour 2015.<br /> <br /> L’instabilité actuelle des marchés financiers chinois a de répercussions sur l’économie de la République Démocratique du Congo, RDC. Le taux de croissance de la RDC a été ramené à 8,4% au lieu de 9,2% comme préalablement annoncé. Cette décision de le revoir à la baisse les prévisions de croissance de la RDC en 2015 a été prise au cours des assises d’un comité exécutif réuni à l’initiative du Premier ministre congolais.<br /> <br /> <br /> « Le déclin des marchés financiers chinois a engendré une réduction de la prévision de croissance de la RDC pour 2015 », indique le ministre congolais des Finances, Henri Yav Mulang dans un communiqué publié le 27 août à l’issu de cette rencontre.<br /> <br /> <br /> « En raison de son influence majeure sur les marchés internationaux, la prévision de croissance revue à la baisse de la Chine a réduit les prévisions d’importation et provoqué une baisse du prix du cuivre au plus bas depuis six ans », constatent les autorités congolaises.<br /> <br /> Et « depuis le début de l’année, le cours du cuivre, principale exportation de la RDC, a baissé de 23,18 %. Établi à 4 886 dollars la tonne ce jeudi 27 août, il est à son plus bas niveau depuis mi-2009 », note Jeune Afrique.<br /> <br /> <br /> Depuis quelques années, la Chine est devenue le partenaire économique privilégié de la RDC. « Kinshasa avait signé en 2007 un contrat de 9 milliards de dollars avec un groupement d’entreprises chinoises pour la réhabilitation ou construction de près de 10 000 km de routes et de voies ferrées, deux barrages, des hôpitaux, logements et écoles », note l’AFP.<br /> <br /> <br /> Les deux parties ont également paraphé plusieurs accords de coopération économique dans les domaines de l’agriculture, la santé et de l’éducation pour l’accroissement des bourses d’études dans les technologies de pointe pour les jeunes congolais, et la coopération dans le secteur minier.<br /> <br /> <br /> Par Joseph Samuel Zoé<br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiPrd2-LskOOv1j9sque5Qh9BIp-tuBtr4dfnhiXF1KbnVj7Blj6zlMDswhZYPPeRKQUIFkXOX9So4qDkd5aP3FfppgvkabtHwYgSN5xZ0BXySkRlWZSR4OUll6hC2llZIzOuXMwRKCwRA/s400/Snapshot_256.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Economie la Nation La RDC revoit son taux de croissance à la baisse

Initialement fixé à 9,2%, il a été ramené à 8,4% par les autorités congolaises du fait du déclin des marchés financiers chinois qui a enge...

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Intégralité du MEGA MARCHE du 28 Août à Bruxelles et réactions des combattants résistants ( vidéo)

<h3> Intégralité du MEGA MARCHE du 28 Août à Bruxelles et réactions des combattants résistants (vidéo)<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="375" src="https://www.youtube.com/embed/qOxvEvQB8vA" width="640"></iframe></h3> <br /> Youth in Action présente : Tetty Kayembe " Je suis dans la joie" ( CLIP OFFICIEL )<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/1wuEd5gZ41E" width="640"></iframe><br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEieJinbOBUz21gOj_1hsipGQuTYiaG5S2jyYMLLT_w3iEI-S4rWXMjckVB2VqrF4gYQo6g3GX2Xkn_ssj0KabbBavDEx_RDlLEhSeWjKM97e8lXRy_t60YoZKoY6evQQLOkYWDgetMRL-c/s1600/Snapshot_254.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEieJinbOBUz21gOj_1hsipGQuTYiaG5S2jyYMLLT_w3iEI-S4rWXMjckVB2VqrF4gYQo6g3GX2Xkn_ssj0KabbBavDEx_RDlLEhSeWjKM97e8lXRy_t60YoZKoY6evQQLOkYWDgetMRL-c/s400/Snapshot_254.jpeg" width="400" /></a></div> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEieJinbOBUz21gOj_1hsipGQuTYiaG5S2jyYMLLT_w3iEI-S4rWXMjckVB2VqrF4gYQo6g3GX2Xkn_ssj0KabbBavDEx_RDlLEhSeWjKM97e8lXRy_t60YoZKoY6evQQLOkYWDgetMRL-c/s400/Snapshot_254.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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PROCÈS NTAGANDA : LA FIDH SOUTIENT LA CAUSE DES VICTIMES

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFqg7R9wxq40T12XrTh7dER1pYZTVABo6_8Am43b3npsgL1B_5iV-67ocjWzai2dsbFARtpnYjwQ6O_cFzVhJyO0k4MZGD7Rr5EcRGTOWOZ-IAGga9ApO6d99niyvalAks3-r4jv-Z2do/s1600/Snapshot_253.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFqg7R9wxq40T12XrTh7dER1pYZTVABo6_8Am43b3npsgL1B_5iV-67ocjWzai2dsbFARtpnYjwQ6O_cFzVhJyO0k4MZGD7Rr5EcRGTOWOZ-IAGga9ApO6d99niyvalAks3-r4jv-Z2do/s400/Snapshot_253.jpeg" width="400" /></a><br /> « Les juges ont confirmé les charges portées à l’encontre de Ntaganda pour les crimes de viol et d’esclavage sexuel dont ont souffert la population civile ainsi que les enfants-soldats enrôlés au sein de ses troupes », soulignent dans un communiqué la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) et ses trois associations partenaires congolaises. Ce procès est « particulièrement important pour les victimes de crimes sexuels liés au conflit » et représente pour elles une « opportunité de voir leur préjudice reconnu, et d’obtenir justice et réparation », ajoute le document.<br /> <br /> Le procès du chef militaire Bosco Ntaganda, qui s’ouvre mercredi 2 septembre devant la Cour pénale internationale (CPI) pour des crimes de guerre commis dans le nord-est de la République démocratique du Congo, est « particulièrement important » pour les victimes de viols, a jugé la FIDH. Le chef rebelle doit répondre de 18 chefs de crimes contre l’Humanité et crimes de guerre commis par les Forces patriotiques pour la libération du Congo (FPLC), dont il était le chef militaire. M. Ntaganda est notamment accusé d’avoir lui-même violé et réduit en esclavage sexuel des filles de moins de 15 ans, mais l’ex-chef rebelle était longtemps recherché par la CPI.<br /> <br /> Des juges de la CPI avaient recommandé en mars que le procès s’ouvre en juin à Bunia, capitale de l’Ituri, afin de « rapprocher le travail de la Cour des communautés affectées ». Mais la présidence a finalement refusé, craignant un nouveau traumatisme des victimes et jugeant les coûts – estimés à plus de 600.000 euros – trop élevés. « Les gens attendent de voir comment le procès va se dérouler mais ils sont un peu déçus que la CPI ne va plus juger Bosco Ntaganda en Ituri », a expliqué à l’AFP Junior Safari, directeur exécutif de l’Association congolaise pour le respect des droits de l’homme (ACRDH), basée à Kisangani, capitale de l’ex- Province-Orientale.<br /> <br /> Âgé de 41 ans, M. Ntaganda est né au Rwanda, pays voisin de la RDC. Surnommé « Terminator », car réputé sans pitié, il est accusé d’avoir joué un rôle central dans les crimes « ethniques » commis en 2002 et 2003 dans le district de l’Ituri dans la Province Orientale Rachidi MABANDU<br /> <br /> <br /> Le direct<br /> <br /> <br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFqg7R9wxq40T12XrTh7dER1pYZTVABo6_8Am43b3npsgL1B_5iV-67ocjWzai2dsbFARtpnYjwQ6O_cFzVhJyO0k4MZGD7Rr5EcRGTOWOZ-IAGga9ApO6d99niyvalAks3-r4jv-Z2do/s400/Snapshot_253.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Justice Société PROCÈS NTAGANDA : LA FIDH SOUTIENT LA CAUSE DES VICTIMES

« Les juges ont confirmé les charges portées à l’encontre de Ntaganda pour les crimes de viol et d’esclavage sexuel dont ont souffert la po...

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La stratégie du chaos

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjGQCrNlpcPsyl_n7RewboVRvaK46JXQ1aT7QiGd80xUkL-fbHQy7vt3H1d5ZvTab4zfb5T689W9ipMdL8bZrJfzp6MrGfRneV1UD_aYcTFyfCB0cwvIInaFI9b976Wz7UAXkQXMX3uwcw/s1600/Snapshot_252.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjGQCrNlpcPsyl_n7RewboVRvaK46JXQ1aT7QiGd80xUkL-fbHQy7vt3H1d5ZvTab4zfb5T689W9ipMdL8bZrJfzp6MrGfRneV1UD_aYcTFyfCB0cwvIInaFI9b976Wz7UAXkQXMX3uwcw/s400/Snapshot_252.jpeg" width="400" /></a></div>Jamais chef du gouvernement n’aura connu autant de péripéties que Matata Ponyo. Le Premier ministre de la RDC essuie chaque jour qui passe des tirs dans la presse et dans certains salons privés de Kinshasa. L’homme qui pourtant s’applique, dans ses lourdes responsabilités publiques, à être Crésus en transformant tout ce qu’il touche en or, a à ses trousses une équipe de « nettoyeurs » qui voudraient effacer jusqu’à son souvenir.<br /> Cet article se fonde sur une série d’événements, les uns aussi intrigants que les autres. Une simple analyse faite avec beaucoup de recul a permis de ressortir un certain nombre de faits, pour le moins troublants. A chaque action correspond une réaction. C’est connu de tous. Voici ici un échantillon non exhaustif de type de réactions qui attire le plus notre attention.<br /> <br /> Tenez. A la création de Transco (2013), il avait été dit par certaines langues que cette compagnie ne dépassera une année d’existence avant de commencer à tomber en ruine. Au départ de l’expatrié qui faisait office de Directeur général, des rumeurs sont venues affirmer que Matata l’aurait viré pour mieux voler l’argent avec son cousin, Kirumba. Et cette version connaîtra d’ailleurs une variante, toute aussi ubuesque, quelques mois plus tard quand certains journaux vont annoncer que le premier ministre a détourné 1 million de dollars USD à Transco, société de transport nouvellement créée qui n’avait alors produit aucune recette et qui du reste, n’a pas vocation à le faire. Après Transco, ce fut le tour de Bukanga-Lonzo.<br /> <br /> Que n’a-t-on pas entendu sur Bukanga-Lonzo, le parc agro-industriel de la province du Bandundu. Apres une campagne de sape bien montée qui est allée jusqu’à surestimer le coût du projet à trois fois sa valeur réelle, on est passé à la qualité des produits. Des rumeurs ont circulé que c’était du mais pour bétail. Est venu ensuite l’heure de la production dont on a dit que les récoltes prenaient toutes le chemin de l’Afrique du Sud. Enfin, le projet lui-même aurait été détourné de ses propriétaires sud-africains qui se plaindraient de cette « escroquerie de Matata». Cette question a été réglée, en attendant la prochaine trouvaille du cabinet des « nettoyeurs ». Après Bukanga-Lonzo, ce fut le tour de l’immeuble du gouvernement.<br /> <br /> Sur l’immeuble du gouvernement, tout y est passé aussi, ici. On a dit de sa main d’œuvre qu’elle était essentiellement chinoise alors que le bureau d’études qui réalisait les travaux était rd-congolais et supervisait 500 travailleurs congolais. Le coût du bâtiment dans son ensemble, jugé élevé inutilement alors que personne n’a cherché à faire la sommation des loyers payés par le gouvernement aux ministères locataires ainsi que l’état des bureaux des ministres logeant dans ces immeubles. Le mobilier aussi en a pris pour son grade. Certains demandaient que ce soient des menuisiers locaux qui le fournissent pendant que d’autres accusaient l’épouse du premier ministre de l’avoir livré ; etc. Tout ceci était faux ! Après cet épisode de ragot, ce fut le tour de Congo Airways.<br /> <br /> A la simple annonce de la création de cette compagnie aérienne qui est censée ramener le drapeau congolais sur les autoroutes du ciel, une autre campagne est née. Celle de la plaidoirie pour la résurrection des Lignes Aériennes Congolaises (LAC). Mais le bateau déjà lancé voulait repartir sur des bases nouvelles. La compagnie est créée finalement et le staff mis en place. Vient l’étape de l’acquisition des avions. Deux avions sont acquis, relançant une polémique deux fois plus importante, alors que déjà, on annonçait Congo Airways comme un mort -né. Mais les avions ne calment pas la polémique, justement. ils arrivent à Kinshasa et démarre la question de leur état. Le premier ministre, dit-on, aurait menti sur l’état des avions, annonçant que les appareils étaient neufs. Il est démontré que cette affirmation est fausse. S’en suit une discussion sur l’âge de l’avion. Le monde de l’aviation civile ne tarde pas à apporter les détails nécessaires. Mais la pause ne sera que de courte durée. La question du prix intervient sur le marché de la polémique kinoise. Vingt cinq millions de dollars américain (25 millions USD) seraient trop cher pour des Airbus d’occasion dont on sait que le prix d’un neuf est de 97 millions de dollars USD !!! Enfin, si c’est bien la fin de la série, on annonce dans un montage d’image que l’avion aurait raté un de ses vols et les passagers débarqués à cause d’un réacteur qui ne démarrait pas. Tout ça alors que les vols n’ont même pas encore été lancés. Aujourd’hui, faisant suite à cette version, un site internet a annoncé que cet avion est une épave, que le train d’atterrissage et les réacteurs ne fonctionnaient pas.<br /> <br /> De toute évidence, ce serait un boulot à temps plein que de répondre à tous les mensonges répandus, au-delà du fait que l’information doit effectivement circuler. La population en a besoin, et le son de cloche officiel est toujours le bienvenu. Mais à un moment, à force de répandre systématiquement des accusations grossières en séries, on finit par s’en lasser. Nous, oui. Mais eux, non. Car le graal demeure dans le fait de détruire la considération et la confiance engrangées par ce gouvernement, faute de le démettre par des moyens légaux. Il est ici question de bilan partiel ? Et fort peu en possèdent un. Il faut se mettre au travail !<br /> C.P. by 7SUR7.CD<!-- .entry-content --> <br /> <br /> <footer class="entry-footer"><span class="entry-share-icons"><span class="entry-share-icons"><a class="tooltip" href="https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=http%3A%2F%2F7sur7.cd%2Fnew%2Fla-strategie-du-chaos%2F" title="Facebook"><i class="fa fa-facebook"></i></a> <a class="tooltip" href="https://twitter.com/intent/tweet?text=La%20strat%C3%A9gie%20du%20chaos&url=http%3A%2F%2F7sur7.cd%2Fnew%2Fla-strategie-du-chaos%2F" title="Twitter"><i class="fa fa-twitter"></i></a> <a class="tooltip" href="https://plus.google.com/share?url=http%3A%2F%2F7sur7.cd%2Fnew%2Fla-strategie-du-chaos%2F" title="GooglePlus"><i class="fa fa-google-plus"></i></a> <a class="tooltip" href="https://pinterest.com/pin/create/button/?url=http%3A%2F%2F7sur7.cd%2Fnew%2Fla-strategie-du-chaos%2F&media=http://7sur7.cd/new/wp-content/uploads/2015/08/gouvernementMat.jpg&description=Jamais%20chef%20du%20gouvernement%20n%E2%80%99aura%20connu%20autant%20de%20p%C3%A9rip%C3%A9ties%20que%20Matata%20Ponyo.%20Le%20Premier%20ministre%20de%20la%20RDC%20essuie%20chaque%E2%80%A6" title="Pinterest"><i class="fa fa-pinterest"></i></a> <a class="tooltip" href="https://www.linkedin.com/shareArticle?mini=true&url=http%3A%2F%2F7sur7.cd%2Fnew%2Fla-strategie-du-chaos%2F&title=La%20strat%C3%A9gie%20du%20chaos&summary=Jamais%20chef%20du%20gouvernement%20n%E2%80%99aura%20connu%20autant%20de%20p%C3%A9rip%C3%A9ties%20que%20Matata%20Ponyo.%20Le%20Premier%20ministre%20de%20la%20RDC%20essuie%20chaque%E2%80%A6&source=Le%20Plus%20grand%20site%20d%27info%20en%20RDCongo" title="LinkedIn"><i class="fa fa-linkedin"></i></a> </span> </span> <div class="entry-tags" itemprop="keywords"><br /> </div></footer><br /> <br /> Le direct<br /> <br /> <br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjGQCrNlpcPsyl_n7RewboVRvaK46JXQ1aT7QiGd80xUkL-fbHQy7vt3H1d5ZvTab4zfb5T689W9ipMdL8bZrJfzp6MrGfRneV1UD_aYcTFyfCB0cwvIInaFI9b976Wz7UAXkQXMX3uwcw/s400/Snapshot_252.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique La stratégie du chaos

Jamais chef du gouvernement n’aura connu autant de péripéties que Matata Ponyo. Le Premier ministre de la RDC essuie chaque jour qui passe d...

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FAUTE D’EMPLOI, LES DIPLÔMÉS SE LANCENT DANS LA DÉBROUILLARDISE

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEVak-0cC7axh-5hOjNU81LkAkuuOSwmmkfxH5panEw9n9DTndveQW9mnIWzUzr3k5pUaGU4iJxJrnFdLMp21IMGVzwRUhKHBN-zw83TOxf9tBuExWxrXEie_GdjL3HFqIoLXIYCP7pyM/s1600/Snapshot_251.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEVak-0cC7axh-5hOjNU81LkAkuuOSwmmkfxH5panEw9n9DTndveQW9mnIWzUzr3k5pUaGU4iJxJrnFdLMp21IMGVzwRUhKHBN-zw83TOxf9tBuExWxrXEie_GdjL3HFqIoLXIYCP7pyM/s400/Snapshot_251.jpeg" width="400" /></a></div> Chaque année, les universités et instituts supérieurs de Kinshasa larguent des milliers de diplômés sur le marché de l’emploi. Pourtant, trop peu sont ceux qui trouvent un travail rémunérateur dès leur sortie du monde académique. Bien souvent, faute de débouchés, les diplômés préfèrent se lancer carrément dans la débrouillardise pour arriver à nouer les bouts du mois. Reportage.<br /> <br /> Dans la commune de Kintambo, de nombreux jeunes s’adonnent à la débrouillardise à longueur de journée. On les voit davantage actifs dans les activités informelles qui leur permettent de gagner leurs pains quotidiens. Nombreux sont ceux qui, faute d’emploi viable, sont devenus cambistes, vendeurs ambulants, chauffeurs de taxi, conducteurs de moto, chargeurs, photographes, cordonniers… Bref, des métiers qui ne requièrent pas toujours l’aval de l’Etat pour être exercés.<br /> Refusant de sombrer dans le chômage, ces débrouillards ne sont pas forcément des illettrés. Bon nombre d’entre eux sont détenteurs de diplômes des humanités, de graduat, de licence… Ils s’attendaient à trouver un job dès leur sortie de l’université, mais leur espoir s’est avéré vain. Munis de leurs dossiers, ils ont amorcé de nombreuses démarches pour trouver une embauche. Mais, leurs efforts sont longtemps restés stériles.<br /> <br /> UN ’’BRANCHEMENT’’ POUR ETRE ENGAGE<br /> Benoît Masamuna, 24 ans, est détenteur d’un diplôme de licence en relations internationales depuis l’année passée. Après ses cinq années d’études universitaires au campus de Kinshasa, il a beau toqué aux portes des bureaux, mais sa candidature n’a été retenue nulle part. Aujourd’hui, après une année de démarches, il a préféré croiser les bras en restant statique à la maison.<br /> Vendeur des journaux à Kinshasa, son père s’est déployé, de son côté, pour lui trouver un job. En vain. « J’ai contacté toutes les personnes influentes que je connais et qui seraient en mesure de trouver un emploi pour mon fils, mais j’ai été déçu, regrette-t-il. Et quand mon enfant a fait le tour des bureaux, il a fini par constater qu’il lui faut nécessairement ’’un branchement’’, une recommandation, pour être embauché. Sinon, on resterait éternellement chômeur ».<br /> <br /> NE PAS CROISER LES BRAS<br /> Comme Benoît Masamuna, Florida, 22 ans, est aussi détentrice d’un diplômé en relations internationales. Gradué d’un institut supérieur de la place, elle a eu de la peine à trouver un emploi commode au terme de ses études supérieures. Elle n’a trouvé mieux que de monter son propre restaurant de fortune, communément appelé ’’malewa’’.<br /> « Orpheline de père, je suis aînée de ma famille, raconte-t-elle. Comme ma mère souffre de rhumatisme, je n’ai pas voulu croiser les bras, de peur d’être une charge pour les autres. Bien au contraire, je tiens à subvenir aux besoins de mes frères et sœurs, avant de trouver un bon travail. Nous n’avons pas d’autres boulots que celui de vendre. C’est notre métier habituel qui nous permet de survivre, et d’échapper ainsi au chômage ». <br /> <br /> S’ADONNER A UNE ACTIVITE LUCRATIVE<br /> Agé de 30 ans, Chico Veda est, lui, licencié en économie. Diplômé de l’université Cardinal Malula, un établissement confessionnel privé de Kinshasa, il a lui aussi cherché depuis longtemps un emploi aussi bien dans les entreprises publiques que privées sans succès. Débrouillard, refusant de se résigner, cet orphelin de père et de mère a jugé mieux de devenir cambiste. Comme d’ailleurs, plusieurs jeunes diplômés de son entourage.<br /> Tous les matins, on le voit s’installer au bord du Stade Vélodrome de Kintambo, où il place sa chaise en plastique et un tabouret sur lequel il dépose des échantillons de cartons, sous forme des liasses de billets de banque.<br /> « Nous nous démenons ainsi pour éviter le chômage, puisque nous estimons qu’il vaut mieux nous adonner à une activité lucrative afin de subvenir aux besoins de nos familles, confie-t-il à ’’Forum des As’’. Sans cela, je ne serais en mesure de prendre en charge mes petits frères et sœurs à la maison ».<br /> Et pour arrondir ses revenus, Chico Veda s’est allié à ses collègues cambistes de Kintambo. « Chaque jour, nous versons, chacun, la somme de 3.000 Fc dans notre caisse, relate-t-il. A la fin de la semaine, nous remettons à l’un de nous le montant du ’’likelemba’’, notre ristourne. Chaque cambiste de l’association perçoit ainsi, à tour de rôle, la somme de la collecte. Ce qui nous soulage ».<br /> <br /> DANS L’ATTENTE DES LENDEMAINS MEILLEURS<br /> Pour sa part, Chimène B., 25 ans, a plutôt opté pour le commerce des épices dans un petit étalage au coin de l’avenue Mungamba, à Kintambo Vélodrome. Graduée en comptabilité, elle a refusé de continuer à dépendre de poches de ses parents, une fois après l’obtention de son diplôme à l’Institut supérieur de commerce (ISC/Gombe).<br /> « Comme je ne trouvais pas du boulot, malgré les nombreuses démarches entreprises, j’ai décidé carrément de commencer à vendre de petits articles dans mon quartier, confesse-t-elle. Je ne regrette pas du tout d’avoir agi ainsi, car mon activité me génère aujourd’hui des dividendes non négligeables. Mais, j’estime qu’un jour, grâce à Dieu, le chômage prendra fin et nous pourrons avoir du travail à loisir ».<br /> L’un des volets de la campagne électorale du président Joseph Kabila en 2006, l’emploi est inscrit parmi les cinq chantiers de la République. Arrivé au pouvoir en janvier 2001, quasiment une décennie après la première vague des pillages qui ont réduit au chômage un grand nombre d’employeurs dans l’ex-Zaïre, le chef de l’Etat avait pris l’option de créer des débouchés pour ses compatriotes en quête d’embauche. Bien que de jeunes entreprises soient en train de voir le jour, elles ont encore de la peine à résorber la masse importante de demandeurs d’emploi.<br /> (Par Christelle LUSASA, sous la coordination d’Yves KALIKAT)<br /> <br /> Le direct<br /> <br /> <br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEVak-0cC7axh-5hOjNU81LkAkuuOSwmmkfxH5panEw9n9DTndveQW9mnIWzUzr3k5pUaGU4iJxJrnFdLMp21IMGVzwRUhKHBN-zw83TOxf9tBuExWxrXEie_GdjL3HFqIoLXIYCP7pyM/s400/Snapshot_251.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br />

Insolite FAUTE D’EMPLOI, LES DIPLÔMÉS SE LANCENT DANS LA DÉBROUILLARDISE

Chaque année, les universités et instituts supérieurs de Kinshasa larguent des milliers de diplômés sur le marché de l’emploi. Pourtant, t...

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En battant Lupopo 3-0 : V club remporte la Super-coupe de la RDC édition 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgpzZhEBLgrwUmqlwPN8p2ChZhtoBdWYBU0jo06XQulFN18UGUqk8peKEJAGxRWyubWbphHyx_iPOwJH19EHqLRiHylqvBmMmMA6zLAFexX0J1AMCLyIYH55bYrMkhcORrqOH0oodXfGn0/s1600/Snapshot_250.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgpzZhEBLgrwUmqlwPN8p2ChZhtoBdWYBU0jo06XQulFN18UGUqk8peKEJAGxRWyubWbphHyx_iPOwJH19EHqLRiHylqvBmMmMA6zLAFexX0J1AMCLyIYH55bYrMkhcORrqOH0oodXfGn0/s400/Snapshot_250.jpeg" width="400" /></a></div>*L’As Vclub démarre la nouvelle saison sportive avec un titre en poche. L’équipe de Bana Mbongo a remporté hier, dimanche 30 août 2015, la Super-Coupe de la RDC, en battant Saint Eloi Lupopo par un score sans appel de 3 buts à 0, au stade Tata Raphaël, à Kinshasa. Vclub succède au Tout-Puissant Mazembe Englebert, qui a remporté l’édition dernière devant MK FC sur la même marque (3-0).<br /> <br /> Les trois buts des «moscovites» ont été tous inscrits en première période, respectivement par Jean-Marc Makusu à la 3ème minute, et Bayindula Nkongo à la 20ème et 45ème minute, signant ainsi un doublé. A la reprise, Vclub, toujours dominateur, n’as pas réussi à alourdir le score, malgré les incursions de Luvumbu Héritier, bien alimenté par Yves Magola au milieu de terrain. Landu Makiese, Hervé Lomboto, Muchapa, Dido Bafola, Lomanisa, Bopunga, Makwekwe, Thierry Kasereka, Neslon Munganga, Wango, Guy Lusadisu, Yves Magola, Ngonda, Jean-Marc Makusu, Nkule, Hériter Luvumbu, Jérémie Basilua et Bayindula, sont-là, les joueurs que Florent Ibenge a inscrit sur la feuille de jeu pour faire ce match. Avec cette victoire sur Lupopo, Vclub se met davantage en confiance avant de jouer son premier match du championnat le 18 septembre prochain contre Nord Sport, une équipe de Matadi qui vient de monter à la cour des grands. Par ailleurs, faut-il noter, Vclub s’annonce cette année avec une défense incontournable. Depuis sa reprise des entraînements il y a un mois, Vclub a joué jusque-là quatre matches qu’il a tous gagnés avec des scores lourds sans encaisser le moindre but. Au total, 13 buts marqués contre 0 but encaissé.<br /> <br /> Quid de la Super-Coupe ?<br /> <br /> La Super-Coupe du Congo, faut-il rappeler, est une compétition de prestige qui oppose le champion de la Linafoot au vainqueur de la Coupe du Congo. Le match en manche unique se joue au terrain de l’équipe championne de la Linafoot. La Fecofa ne l’a instauré qu’en 2002. Pour cette première édition, Lupopo qui venait de gagner sa dernière Linafoot jusqu’à ce jour, avait croisé Us Kenya, vainqueur de la Coupe du Congo devant Sa Majesté Sanga Balende (2-1). Alors que la compétition était bien partie avec l’organisation de la deuxième, troisième et quatrième édition, la Super-Coupe du Congo sera interrompue pour une longue période allant de 2005 à 2012, soit pendant 7 ans. La Fecofa ne l’a ressuscitée qu’en 2013 avec un match à sens unique entre Mazembe – MK (7-0). Curieusement en 2014, ce sont les mêmes équipes, Mazembe champion de la Linafoot et MK de nouveau vainqueur de la Coupe du Congo qui vont jouer cette fois-là, pour un score de 3 buts à 0. Une année après, voici Vclub battre Lupopo par le même score de 3 buts à 0. <br /> <br /> Voici le palmarès de la Super-Coupe du Congo<br /> <br /> -2002: Fc Saint Eloi Lupopo – Us Kenya<br /> <br /> -2003: Dc Motema Pembe – As Vclub FF<br /> <br /> -2004: CS Cilu – DC Motema Pembe (1-1) (6-5)<br /> <br /> -2005 :Dc Motema – As Kabasha de Goma 2-1<br /> <br /> -2013:TP Mazembe - MK Etanchéité 7-0<br /> <br /> -2014 :TP Mazembe – MK Etanchéité 3-0<br /> <br /> -2015 : As Vita Club – Saint Eloi Lupopo 3-0.<br /> <br /> Voici le palmarès de Vclub<br /> <br /> Ligue de champions de la Caf<br /> -1973 : Vainqueur<br /> <br /> -1981 : Finaliste<br /> <br /> -2014 : Finaliste<br /> <br /> Coupe de la confédération<br /> -2009 : Quart de finales<br /> <br /> Linafoot<br /> -Champion : 2003, 2010 et 2015.<br /> <br /> Coupe du Congo<br /> -Vainqueur : 1971, 1972, 1973, 1975, 1977, 1981, 1982, 1983, 2001<br /> <br /> -Finaliste : 1961, 1984, 1997<br /> <br /> Epfkin<br /> - Vainqueur : 1957, 2001, 2002, 2004, 2005 et 2009<br /> <br /> Super-Coupe de la RDC<br /> -2015 : Champion.<br /> <br /> EG<br /> <br /> Le direct<br /> <br /> <br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgpzZhEBLgrwUmqlwPN8p2ChZhtoBdWYBU0jo06XQulFN18UGUqk8peKEJAGxRWyubWbphHyx_iPOwJH19EHqLRiHylqvBmMmMA6zLAFexX0J1AMCLyIYH55bYrMkhcORrqOH0oodXfGn0/s400/Snapshot_250.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br />

Sport En battant Lupopo 3-0 : V club remporte la Super-coupe de la RDC édition 2015

*L’As Vclub démarre la nouvelle saison sportive avec un titre en poche. L’équipe de Bana Mbongo a remporté hier, dimanche 30 août 2015, la S...

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UDPS : BAGARRE RANGÉE À BRUXELLES ENTRE PRO ET ANTI DIALOGUE

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqQ-4Pt7ZfJBQ7A_jPvs35zWmXsnz_ZTEIfr4JaH-QRsb1p0ldwINlUNoAImwtdJuiCoXaEpDOZ3lq-tsH4D0ARc8O1TC4hsLe9qnkh8dKEPiai0m2hiOBe4jTL_DAOEVO1yL3277afNc/s1600/Snapshot_58.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqQ-4Pt7ZfJBQ7A_jPvs35zWmXsnz_ZTEIfr4JaH-QRsb1p0ldwINlUNoAImwtdJuiCoXaEpDOZ3lq-tsH4D0ARc8O1TC4hsLe9qnkh8dKEPiai0m2hiOBe4jTL_DAOEVO1yL3277afNc/s400/Snapshot_58.jpeg" width="400" /></a></div>Au cours de ces échauffourées, Etienne Tshisekedi traité de » collabo » par les combattants opposés au Forum national en vue.<br /> <br /> Des sources à Bruxelles ont fait état d’un pugilat, vendredi 28 août, entre des militants de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS). Les uns toujours fidèles à Etienne Tshisekedi, les autres opposés au lider Maximo pour avoir souscrit au Dialogue qui pourrait réunir des représentants du pouvoir, des délégués de l’opposition et de la Société civile.<br /> <br /> Selon des sources concordantes, dans la capitale de l’Europe, les militants de l’UDPS ne regardent plus dans la même direction. L’unité s’est dramatiquement lézardée depuis que le parti et son mythique chef, Etienne Tshisekedi, ont levé l’option de prendre langue avec le président Joseph Kabila et de participer au Dialogue pour lequel le Raïs a entamé des consultations depuis le 1er juin dernier. Ceux des militants de l’UDPS opposés à ce forum traitent carrément Tshisekedi de » collabo » et donc de trahir leur combat. C’est ce qu’ils ont scandé lors de la manifestation qui a dégénéré en bagarre rangée. <br /> <br /> A Kinshasa, des sources affirment que des contacts informels ont effectivement eu lieu en Italie, entre émissaires du Chef de l’Etat, Joseph Kabila, et ceux du président national de l’UDPS, Etienne Tshisekedi. Des compatriotes se réclamant des camps des deux personnalités politiques sont partis de la capitale rd congolaise pour échanger autour des modalités d’organisation du Dialogue national. Félix Tshisekedi, Secrétaire National aux Relations Extérieures, et partant membre de la haute direction de l’UDPS était bien du voyage. <br /> <br /> Dans sa » feuille de route » du 14 février 2015, l’UDPS se déclarait partisane d’un Dialogue entre Congolais, sous la médiation de la communauté internationale. Le parti cher à Etienne Tshisekedi suggérait que ce forum puisse se dérouler sous un format réduit, avec d’un côté les délégués du président Joseph Kabila (Majorité) et de l’autre ceux du lider maximo (Opposition). Selon cette feuille de route, la durée de ce Dialogue devrait être la plus courte possible. Kinshasa serait la ville d’accueil. L’examen du contentieux électoral de 2011, l’audit externe du fichier électoral, l’élaboration d’un calendrier électoral consensuel, la neutralité de la CENI, l’enrôlement de nouveaux majeurs, le respect des délais constitutionnels pour l’organisation des élections présidentielle et législatives, la libération des prisonniers politiques et d’opinion et la réouverture des médias de l’opposition fermés, etc. sont là quelques points qu’elle propose à l’ordre du jour.<br /> <br /> Mais cette position de l’UDPS a fissuré le navire. Depuis quelques temps, les anti Tshitshi se signalent par des critiques virulentes à l’endroit du charismatique président de l’UDPS et même de sa famille biologique.<br /> Pour exprimer leur ras-le-bol, indiquent des sources, les Pro Tshisekedi et partisans du Dialogue ont alors décidé d’y mettre fin par les biceps en s’invitant à la manifestation anti Dialogue ou anti Tshisekedi – c’est selon – de vendredi dernier 28 août à Bruxelles. <br /> <br /> Ceci montre à quel point l’UDPS est divisée sur la question du dialogue. Et connaissant la sociologie de l’opposition en Occident, il n’est pas exclu que d’autres groupes se soient joints à la manifestation. Des jours auparavant sur la Toile, les organisateurs de cette marche avaient lancé des appels à tous ceux qui sont opposés au Dialogue de se joindre à eux. Cette manif raisonne comme en écho aux divergences observées en RDC où deux blocs ont vu jour au sein de l’opposition. D’une part, l’UDPS et ses alliés qui sont favorables au Dialogue et de l’autre, l’UNC de Vital Kamerhe, le MLC de Jean-Pierre Bemba et leurs satellites qui sont contre un forum de ce genre. Pour ces derniers, un éventuel dialogue favoriserait le » glissement « . <br /> <br /> CRIME DE LESE- MAJESTE ?<br /> Pour nombre d’observateurs, derrière ces affrontements fratricides, apparait aussi comme la face visible d’un iceberg qui s’appelle guerre larvée de succession. On explique que cette rébellion interne parait motivée par l’après-Tshitshi. <br /> <br /> Ça fait, en effet, une année qu’Etienne Tshisekedi séjourne en Europe pour des raisons de santé. Même s’il revenait, ce qui est le souhait des Congolais, on doute fort que cette guerre de succession s’estompe. Les anti Tshisekedi ne demandent ni plus ni moins que le départ à la retraite ou la mise à l’écart du » Vieux « . Il n’y a pas longtemps des délégués de l’UDPS à l’extérieur s’étaient prononcés clairement pour le renouvellement de la direction du parti.<br /> Reste que les anti Dialogue, qu’ils soient de l’UDPS ou des autres partis de l’opposition, n’indiquent pas toujours comment, sans consultation préalable, résoudre des questions essentielles à l’organisation des élections apaisées. <br /> <br /> Didier KEBONGO<br /> <br /> <br /> Le direct<br /> <br /> <br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqQ-4Pt7ZfJBQ7A_jPvs35zWmXsnz_ZTEIfr4JaH-QRsb1p0ldwINlUNoAImwtdJuiCoXaEpDOZ3lq-tsH4D0ARc8O1TC4hsLe9qnkh8dKEPiai0m2hiOBe4jTL_DAOEVO1yL3277afNc/s400/Snapshot_58.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique UDPS : BAGARRE RANGÉE À BRUXELLES ENTRE PRO ET ANTI DIALOGUE

Au cours de ces échauffourées, Etienne Tshisekedi traité de » collabo » par les combattants opposés au Forum national en vue. Des source...

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RD Congo-2016 : C’est la guerre qui nous attend

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8HFuNTO4ZxcRIfM-E20bE6h2MFAPooKYwbuM1GFd_mt3C8Rv5CZm2vkWaEd8C77670iYgoKJrZm2xCgtaknFERXcjfAsOwhd5Q92b4Yl8QkOVgUpx-jUXSe9DUu3HwUJarZ24NarAJmA/s1600/Snapshot_167.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8HFuNTO4ZxcRIfM-E20bE6h2MFAPooKYwbuM1GFd_mt3C8Rv5CZm2vkWaEd8C77670iYgoKJrZm2xCgtaknFERXcjfAsOwhd5Q92b4Yl8QkOVgUpx-jUXSe9DUu3HwUJarZ24NarAJmA/s400/Snapshot_167.jpeg" width="400" /></a></div> Décembre 2016 est annoncé pour être le bout du tunnel pour le peuple congolais. Il va avoir un président démocratiquement élu et tourner la page du régime actuel.<br /> <br /> La pauvreté, la corruption, la mauvaise gouvernance, les humiliations et bien d’autres maux qui plombent l’essor du pays vont devenir du passé. Le bonheur et la prospérité auxquels la Providence destina le Congo, au vu de ses immenses richesses, est à portée de main.<br /> <br /> La prophétie de Lumumba va enfin se réaliser : « L’avenir du Congo est beau»… Ce rêve est, hélas, trop merveilleux pour être réalisable. Il serait même temps que s’estompe l’euphorie autour des enjeux électoraux et que les Congolais se remettent à regarder la réalité en face.<br /> <br /> Je lis la procession vers 2016 comme la marche vers un goulot d’étranglement. Avec ou sans Kabila, il s’agit d’un passage qui, même réussi sur le plan des élections (ce qui est hautement improbable), ouvre sur le Congo la porte vers l’inconnu, la relance des conflits armés étant, à mon avis, la perspective la plus probable.<br /> <br /> En effet, un rapide coup d’œil sur l’ampleur des dégâts accumulés par le régime actuel et les enjeux géopolitiques nous renseigne que le rendez-vous le plus sûr est celui d’une nouvelle vague des conflits armés, et le prochain président, quelles que soient les conditions de son accession au pouvoir, n’y pourra rien.<br /> <br /> En cause, les deux difficiles voisins de l’Est : le Rwanda et l’Ouganda, et l’accumulation des dossiers litigieux dont nombreux ne peuvent se régler qu’à coups de canon.<br /> <br /> La guerre pourrait d’ailleurs éclater bien avant le départ de Joseph Kabila, notamment si les présidents Paul Kagame et Yoweri Museveni se persuadent que le prochain Président à Kinshasa contrariera les ambitions hégémoniques et économiques qu’ils revendiquent sur l’Est du Congo.<br /> <br /> Les deux hommes ont ainsi déjà entrepris de disposer d’une confortable avance, non seulement sur le plan militaire, mais surtout sur le plan politique et diplomatique, comme nous le verrons dans la suite de cette analyse.<br /> <br /> Les Congolais seraient ainsi bien inspirés de garder un œil sur ces deux « voisins » habitués, depuis deux décennies, à ruiner leurs aspiration à la paix et à la démocratie, chaque fois qu’ils croient enfin être sortis du bourbier.<br /> <br /> RD Congo-Rwanda-Ouganda : le cycle guerre-élection-guerre-élection<br /> <br /> En revisitant les deux dernières décennies de l’histoire du Congo, on découvre que chaque fois que les Congolais croyaient se doter de nouvelles institutions, soit à l’issue d’une élection, soit à l’issue d’un accord politique, le pays subissait une attaque militaire rwando-ougandaise qui se traduisait par le sabotage des acquis engrangés. La guerre du M23 en est la plus récente illustration.<br /> <br /> 2011 : Election présidentielle au Congo, 2012 : guerre du M23<br /> <br /> Le 16 décembre 2011 à Kinshasa, Joseph Kabila est proclamé président de la République à l’issue d’un processus électoral où il avait pour adversaire Etienne Tshisekedi.<br /> <br /> Nous ne revenons pas sur les conditions dans lesquelles se sont déroulées ces élections, mais les Congolais se dotaient d’un nouveau gouvernement au terme de ce processus électoral. Mais cinq mois seulement après le scrutin éclatait la guerre du M23.<br /> <br /> Une agression rwando-ougandaise comme en attestent plusieurs rapports d’ONG et des experts de l’ONU[1]. Le conflit durera jusqu’en décembre 2013. Parmi les revendications brandies par le mouvement [2], on lit aisément les ambitions territoriales sur l’Est du Congo des présidents Museveni [3] et Kagame[4].<br /> <br /> Et les deux hommes n’en étaient pas à leur coup d’essai. Cinq ans auparavant, le Congo subissait une attaque de même nature.<br /> <br /> 2006 : Election présidentielle ; 2007 : guerre du CNDP (l’ancêtre du M23)<br /> <br /> Le 15 novembre 2006, la Commission électorale annonce à Kinshasa les résultats du deuxième tour de l’élection présidentielle donnant Joseph Kabila vainqueur face à Jean-Pierre Bemba.<br /> <br /> Comme pour 2011, nous ne revenons pas sur les évènements ayant entouré ce scrutin. L’élection est présentée par la presse internationale comme « la première élection démocratique de l’histoire du Congo ».<br /> <br /> Des semaines durant, des diplomates américains et européens défilent dans les médias pour apporter l’assurance que le Congo est enfin sorti des années sombres de son histoire et que le pays amorce son essor économique. Les Congolais ont toutes les raisons de voir l’avenir en rose. Une naïveté qui va coûter cher, tout le monde ayant oublié le Rwanda et l’Ouganda.<br /> <br /> Quelques semaines seulement après la mise en place du nouveau gouvernement, on assiste à une intense activité militaire dans le Kivu. Des soldats rwandais, menés par le général Laurent Nkunda, vident les écoles et enrôlent les élèves de force.<br /> <br /> Dès novembre 2007, soit un an seulement après l’élection présidentielle à Kinshasa, les assaillants s’emparent de Nyanzale et se positionnent à 100 km au nord de Goma.<br /> <br /> C’est le début d’une série de batailles qui se soldent, le 10 décembre 2007 par le terrible carnage de Mushake[5] où périssent plusieurs milliers de soldats FARDC (armée gouvernementale) [6]. Une débâcle qui ruina le moral des troupes.<br /> <br /> De défaite en défaite, l’armée congolaise finit par s’effondrer complètement. Dos au mur, le gouvernement capitula platement comme en attestent les accords du 23 mars 2009, qui, pire, ouvraient la voie à la guerre du M23, trois ans plus tard.<br /> <br /> Mais, 2006-2007 et 2011-2012 ne sont pas les seuls rendez-vous gâchés par le Rwanda et l’Ouganda au Congo. Trois ans avant le traumatisme de Mushake, les Congolais subissaient une autre déconvenue.<br /> <br /> 2003 : Accord de Sun City ; 2004 : chute de Bukavu<br /> <br /> Un processus de paix destiné à mettre fin à la Deuxième Guerre du Congo avait été amorcé avec la signature des accords de Lusaka le 10 juillet 1999.<br /> <br /> Il sera bouclé en Afrique du Sud par un document, l’Accord global et inclusif, signé à Pretoria le 17 décembre 2002, par les protagonistes du conflit, puis adopté à Sun City le 1er avril 2003.<br /> <br /> Il sera concrétisé par la mise en place, le 30 juin 2003, du gouvernement de transition avec un président et quatre vice-présidents, tous ayant un passé dans l’un ou l’autre des mouvements armés créés ou parrainés par Museveni et Kagame [7].<br /> <br /> Les deux présidents ne pouvaient pas avoir meilleurs privilèges à l’intérieur de l’Etat congolais. Et pourtant, ils vont relancer la guerre contre le Congo un an seulement après la mise en place du fameux régime 1+4. Le 02 juin 2004, des milliers de soldats rwandais, menés par le général Laurent Nkunda et le colonel Jules Mutebutsi s’emparent de la ville de Bukavu.<br /> <br /> Une semaine durant, la ville est mise à sac tandis que des centaines de femmes sont violées par les occupants. Le nouveau gouvernement de Kinshasa, qui avait pourtant suscité tant d’espoir, est rapidement discrédité face à son incapacité à chasser les malfrats de la ville.<br /> <br /> Ceux qui avaient naïvement cru que les accords de Pretoria et de Sun City suffisaient à conjurer la folie meurtrière des dirigeants rwandais et ougandais en avaient eu pour leur compte.<br /> <br /> En résumé, 2003-2004 : accord de paix en Afrique du Sud puis guerre ; 2006-2007 : élection présidentielle puis guerre ; 2011-2012 : deuxième élection présidentielle puis guerre.<br /> <br /> On ne saurait naïvement envisager l’après 2016 en faisant fi d’une nouvelle guerre, encore moins dans ce contexte où résonnent à nouveau les bruits des bottes aux frontières du Congo et que le pays se trouve dans un état de fébrilité sur le plan politique, de vulnérabilité sur le plan militaire et de tâtonnement sur le plan diplomatique.<br /> <br /> Kigali et Kampala en position de force ; le Congo battu d’avance<br /> <br /> Plusieurs sources renseignent que le Rwanda et l’Ouganda trépignent d’impatience à l’idée de renvoyer, à nouveau, leurs forces sur le sol congolais.<br /> <br /> Les présidents Kagame et Museveni ont créé une force commune dénommée Eastern Africa Standby Force (EASF) dont ils comptent se servir pour envahir le Congo, officiellement afin de combattre les FDLR et les ADF, face à ce qu’ils considèrent comme l’inefficacité de la Monusco [8].<br /> <br /> Parallèlement, ils parrainent la création d’une nouvelle « rébellion des Tutsis » sur les ruines du M23 dont les membres se sont installés dans les deux pays après leur défaite au Congo en décembre 2013.<br /> <br /> Selon les premières informations, le mouvement, dénoncé par le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, s’appellerait Mouvement chrétien pour la reconstruction du Congo qui serait, sur le plan militaire, à un niveau de préparation assez avancé[9].<br /> <br /> Selon le journaliste et correspondant de guerre américain Keith Harmon Snow, ce mouvement est l’auteur de l’attaque du 02 juin 2015 contre l’aéroport de Goma[10], attaque faussement attribuée à un mystérieux groupe de mai-mai qui serait venu de Butembo (290 km au nord de Goma) sous le commandement d’un certain Kambale Malonga.<br /> <br /> Une version mensongère par laquelle les autorités de Kinshasa, complices de Kagame, essayaient de ne pas exposer le dictateur rwandais à la colère de la population de Goma.<br /> <br /> Mais pour combien de temps ?… Car on peut déjà considérer que les forces rwando-ougandaises sont maintenant en assez grand nombre sur le sol congolais compte tenu du flot des infiltrations signalées depuis au moins décembre 2013[11]. Une nouvelle guerre ouverte n’est donc plus qu’une question de temps.<br /> <br /> Les Congolais gagneraient ainsi à moins se préoccuper du nom du prochain président qu’à la façon dont le pays devrait se préparer à faire face, en essayant de rattraper les retards accumulés aussi bien sur le plan militaire que sur le plan diplomatique et politique.<br /> <br /> Une guerre inévitable<br /> <br /> Les guerres menées contre le Congo ont pour principal enjeux le contrôle des ressources minières du pays, soit directement par des armées étrangères, soit derrière des groupes armés ou des rébellions factices.<br /> <br /> Depuis la Première Guerre du Congo, le Rwanda et l’Ouganda sont devenus d’importants exportateurs de plusieurs minerais extraits du sous-sol congolais. En décembre 2014, le Rwanda a été déclaré premier exportateur mondial de coltan avec 28 % du total des 8.807.232 kg de tantale produit dans le monde.<br /> <br /> De 2010 à 2013, les revenus tirés des exportations minières sont ainsi passés de 68 millions à 134,5 millions de dollars [12]. L’Ouganda connaît également une prospérité économique bonifiée par l’exportation des minerais pillés au Congo. Il n’est pas envisageable que les deux pays renoncent à un « statut » aussi prestigieux dont dépendent largement leurs économies respectives.<br /> <br /> On imagine assez aisément que le prochain président congolais ne sera pas aussi complaisant que Joseph Kabila et qu’il essayera de reprendre le contrôle sur les richesses nationales.<br /> <br /> Non seulement parce que le pillage a assez duré, mais surtout parce que le Congo, ruiné par des années de guerres, aura besoin de toutes ses ressources pour commencer à se reconstruire.<br /> <br /> Par ailleurs, les conditions dans lesquelles s’opère ce pillage sont que n’importe quel dirigeant congolais, doué de conscience patriotique, ne pourra que s’employer à y mettre un terme, entraînant des pertes sèches aux économies de rente dont se repaissent les élites au pouvoir à Kigali et à Kampala. Le conflit sera inévitable. Reste que le Congo se trouve dans un rapport de force nettement défavorable.<br /> <br /> Un rapport de force militaire défavorable au Congo<br /> <br /> Le premier élément à prendre en compte en cas de conflit consiste aux moyens dont chaque partie dote ses forces armées.<br /> <br /> En 2014, le gouvernement congolais a alloué à l’armée un budget de 400 millions de dollars, une broutille pour un pays grand comme l’Europe occidentale avec un poids démographique de 77 millions d’habitants et un effectif de 140 mille soldats.<br /> <br /> En ce qui concerne le Rwanda, les experts de l’Onu ont estimé, dès 2002, les dépenses militaires du pays à 400 millions [13] de dollars [14], soit, à l’époque, un budget équivalent au budget de l’armée de la RD Congo en 2014, un pays 90 fois plus grand et 10 fois plus peuplé.<br /> <br /> Pour ce qui est du personnel, les spécialistes, en considérant le nombre de généraux (une centaine), estiment que les effectifs de l’armée rwandaise dépasseraient ceux des pays voisins pourtant plus étendus et plus peuplés [15].<br /> <br /> L’armée rwandaise est une gigantesque « armée sans frontières » dont les éléments sont déployés dans plusieurs régions du monde (Centrafrique, Darfour, Haïti) et, fréquemment, sur le sol congolais sous forme de « rébellions » ou de groupes armés en tous genres.<br /> <br /> Autrement dit, rien que sur le plan des moyens consacrés à leurs armées respectives, le Rwanda et l’Ouganda [16] partent avec une supériorité indéniable sur le Congo. Il faut dire que les autorités congolaises ont scandaleusement négligé leur armée.<br /> <br /> Dans la région, un autre voisin immédiat du Congo, l’Angola, a alloué, en 2014, jusqu’à 6,8 milliards de dollars à son armée, soit 17 fois plus que le Congo.<br /> <br /> Pour revenir au Rwanda et à l’Ouganda, il faut relever que les deux pays disposent surtout d’un avantage stratégique, qui devrait faire la différence, longtemps avant le premier coup de feu, si jamais confrontation il y a : les infiltrés.<br /> <br /> Le fléau des infiltrations massives<br /> <br /> A la suite des guerres à répétition imposées au Congo depuis 1996, des accords secrets entre Kinshasa, Kigali et Kampala ; et surtout des mécanismes de brassage et de mixage, le Congo s’est retrouvé avec plusieurs milliers de soldats rwandais et ougandais dans les rangs de son armée, et à tous les niveaux.<br /> <br /> L’ampleur des dégâts est telle qu’à chaque fois qu’on lève un coin de voile sur l’affaire, le pays tout entier se retrouve dans l’embarras devant l’opinion internationale, comme en témoigne le cas Bosco Ntaganda [17].<br /> <br /> Parfois, ce sont des personnalités de premier plan qui sont amenées à mettre le scandale sur la place publique.<br /> <br /> Ainsi, en septembre 2013, lorsque l’Administrateur général de l’ANR (Agence nationale de renseignements), M. Kalev Mutond, communique au représentant du Secrétaire général de l’ONU une liste des membres du M23, on découvre à côté de plusieurs noms les mentions « sujet rwandais » [18], le comble étant que ces « soldats ennemis », dans le même document, disposaient de numéros de matricule FARDC.<br /> <br /> Deux mois plus tard, le général François Olenga, alors chef d’état-major des forces terrestres, affirmait que, confronté au manque de fiabilité des troupes au cours de la guerre du M23, il avait menacé de faire fusiller tous les infiltrés. Du jour au lendemain, « on a vu filer des colonels, des majors », dit-il dans l’interview accordée à Colette Braeckman [19].<br /> <br /> En gros, le Congo a vraiment un problème quasiment insurmontable avec son armée massivement infiltrée par des « soldats ennemis » qui n’attendent que le «bon moment » pour « frapper ».<br /> <br /> Nul ne sait exactement combien ils sont (entre 12 et 35 mille [20]). Ils sabotent les opérations de l’armée dans le Kivu, tendent des embuscades, assassinent les officiers congolais [21], organisent des massacres,…<br /> <br /> Ils constituent un risque physique permanent pour n’importe quelle personnalité congolaise (militaire, politique, ou membre influent de la société civile) ouvertement opposée à la mainmise du Rwanda et de l’Ouganda sur le Congo.<br /> <br /> Une réalité qui oblige quasiment toutes les personnalités de Kinshasa à visiter le Kivu « sur la pointe des pieds »… terrain miné… Le Congo part ainsi avec ce handicap qui devrait le paralyser en cas de conflit. Et ce n’est pas le contexte politique dans le pays, d’ici à 2016, qui devrait contribuer à remédier à la situation, bien au contraire.<br /> <br /> Sur le plan politique : stabilité à Kigali et Kampala, incertitude à Kinshasa<br /> <br /> Autant, sur le plan militaire, le Rwanda et l’Ouganda se trouvent largement en position de force, autant sur le plan politique Kigali et Kampala peuvent envisager l’avenir en toute sérénité.<br /> <br /> En effet, après le vote du 14 juillet par le parlement rwandais d’un texte en faveur de la non-limitation du nombre des mandats, Kagame a le feu vert pour un troisième mandat dès la présidentielle d’août 2017. En Ouganda, Museveni, qui a déjà neutralisé tous ses opposants, est, lui aussi, assuré de se maintenir au pouvoir à l’issue de la présidentielle de février 2016.<br /> <br /> Seul le Congo se trouve dans l’incertitude. Les manœuvres de Joseph Kabila visant à se maintenir au pouvoir au-delà de la limite constitutionnelle de 2016 annoncent une crise politique qui devrait plonger le pays dans une instabilité qui en fera une proie facile pour les agresseurs déjà militairement en position de force.<br /> <br /> En outre, l’image du Congo qui se dégrade depuis la répression dans le sang des manifestants à Kinshasa, en janvier dernier, devrait continuer de se dégrader entraînant un affaiblissement du pays sur le plan diplomatique.<br /> <br /> Sur le plan diplomatique : Kigali et Kampala à l’offensive ; Kinshasa dos au mur<br /> <br /> En effet, le Rwanda, l’Ouganda et leurs parrains internationaux continuent de mettre le Congo le dos au mur en le présentant, entre autres, comme le principal responsable de la difficulté de mise en œuvre d’une série d’accords (accords de Nairobi entre le gouvernement et le M23, et surtout accords d’Addis-Abeba).<br /> <br /> Kagame en est même arrivé à menacer de franchir à nouveau la frontière accusant le Congo et la Monusco de passivité face aux FDLR. On sait pourtant que les FDLR ne représentent plus aucune menace crédible pour la sécurité du Rwanda et que c’est plutôt le Rwanda et l’Ouganda qui ont tout à se reprocher par rapport aux accords d’Addis-Abeba [22].<br /> <br /> Paradoxalement, c’est sur le Congo que s’exercent des pressions internationales, à tel point que le président Kabila a été amené à rencontrer en secret les membres du M23[23], une démarche inenvisageable plus ses homologues du Rwanda et de l’Ouganda avec leurs groupes armés [24].<br /> <br /> En gros, le Congo est en difficulté quasiment sur tous les plans (diplomatique, politique et militaire). Seul un grand sursaut national devrait lui éviter de revivre les sombres années que ses deux difficiles voisins lui préparent pour une énième fois. Il est peu probable que Kinshasa redresse sa diplomatie plutôt aphone et mole.<br /> <br /> Quant à la situation politique, elle devrait continuer de se dégrader. Le maintien de Joseph Kabila à la présidence de la République est une perspective de crise politique majeure, et rien ne peut y remédier sauf si l’intéressé annonce solennellement qu’il quittera ses fonctions le 19 décembre 2016, la fin de son second et dernier mandat. Par conséquent, le seul dossier dont les Congolais devraient se saisir avec ferveur est celui de l’armée.<br /> <br /> « Qui veut la paix prépare la guerre »<br /> <br /> L’expérience des deux dernières décennies nous apprend que l’essor économique du Congo est quasiment inenvisageable tant que le pays ne sera pas doté de moyens de défense à la fois efficaces et dissuasifs.<br /> <br /> En effet, le poids des convoitises étrangères suscitées par les richesses naturelles du pays ont placé le Congo dans la position d’un gibier attaqué par toutes sortes de prédateurs.<br /> <br /> Le Congo ne peut survivre à toutes ces meutes qu’en développant des capacités autonomes de défense, une démarche qui passe par une profonde prise de conscience nationale, soit dans le cadre des états généraux de l’armée soit dans le cadre d’une prise en main du « dossier armée » par les principales formations politiques ayant vocation à gouverner le pays. <br /> <br /> Les états généraux de l’armée<br /> <br /> Dans son dernier ouvrage, qui décrit l’état assez catastrophique de l’armée congolaise, et les pistes des réformes à envisager, l’analyste des questions militaires et géostratégiques Jean-Jacques Wondo insiste sur la nécessité d’organiser des états généraux de l’armée.<br /> <br /> Ces états généraux, s’ils sont effectivement tenus, devraient avoir un impact psychologique immédiat, aussi bien sur l’opinion nationale que sur les agresseurs. Ils devraient être, non seulement l’occasion de poser clairement la question des défaites en répétition que subit le Congo depuis 1996, mais surtout de savoir qui est qui dans l’armée, d’où vient-il et qu’est-ce qu’il y fait.<br /> <br /> L’initiative de la convocation des états généraux de l’armée devrait venir du chef de l’Etat. Mais il est peu probable que Joseph Kabila se risque dans une démarche comme celle-là qui pourrait aboutir à des déballages sur une gouvernance calamiteuse dont le résultat, en 14 ans de règne, sont que l’armée congolaise est cette armée incapable de s’imposer face à un banal groupe armé.<br /> <br /> Quid du Premier ministre ? Aux termes de la Constitution du 18 février 2006, «la défense et la sécurité, autrefois domaines réservés du Chef de l’Etat, sont devenus des domaines de collaboration ».<br /> <br /> Mais là aussi, on imagine difficilement un Premier ministre congolais initier, de son propre chef, les travaux des états généraux de l’armée. Le scenario le plus envisageable est plutôt celui de l’initiative des différentes formations politiques de l’opposition qui, devant la situation alarmante de l’armée et face à la menace qui se profile à l’horizon, se saisiraient de la question de la défense dans le cadre d’un programme politique à mettre en œuvre de la fin du régime actuel.<br /> <br /> Un programme politique de défense<br /> <br /> Après avoir fait le constat que la majorité actuelle au pouvoir n’a ni la volonté ni les compétences nécessaire pour bâtir une armée digne de ce nom au Congo, des formations politiques – de l’opposition évidemment – pourraient élaborer un programme politique de défense en nouant des contacts soutenus avec des Etats et des organisations qui possèdent une solide expérience dans le domaine de la formation des armées.<br /> <br /> Le Congo a peut-être raté l’occasion de proposer un programme plus ambitieux à l’EUSEC [25] et pourrait regretter de n’avoir pas su profiter de la présence de la Monusco pour doter le pays d’une armée digne de ce nom.<br /> <br /> L’avantage d’un programme politique de la défense est qu’il devrait être assorti d’un partenariat stratégique permettant à la puissance alliée d’intervenir militairement sur le sol congolais en cas de défaillance de l’armée nationale.<br /> <br /> Les Congolais peuvent commencer par réexaminer les différents partenariats en matière de défense. Plusieurs puissances stratégiques occupent des sites militaires sur le sol congolais : l’Angola (Kitona – Kongo central), l’Afrique du Sud (Mura – Haut-Katanga), la Chine (Kamina – Haut-Lomami), les Etats-Unis (Kisangani – Tshopo), la Belgique (Kindu – Maniema), la France (Mbanza-Ngungu – Kongo central).<br /> <br /> Jusqu’à présent, ces puissances semblent essentiellement poursuivre au Congo leurs propres objectifs stratégiques. Un programme de gouvernance en matière de défense devrait consister à coordonner ces partenariats autour de quelques objectifs stratégiques, privilégier certains partenariats à d’autres ou carrément nouer de nouveaux partenariats plus ambitions avec des puissances émergentes comme la Russie.<br /> <br /> Mais, ce qui est certain est que le Congo ne peut plus se passer du débat sur son armée, et aucun candidat à l’élection présidentielle ne sera crédible s’il ne met pas la plus grande faillite du pays (l’armée) au cœur de son programme. Le rêve d’un avenir meilleur dès l’après-Kabila n’est envisageable que si le Congo prend son armée à bras-le-corps.<br /> <br /> Plus qu’aucun autre nation au monde, la devise du Congo dans les mois et les années à venir ne devrait s’inspirer que de cette sagesse héritée des Romains : « Qui veut la paix, prépare la guerre ».<br /> <br /> Références Bibliographiques<br /> <br /> [1] Le M23 était un mouvement politico-militaire formé de combattants rwandais et ougandais et dirigé, selon un organigramme publié par les experts de l’ONU, par le général James Kabarebe, l’actuel ministre rwandais de la Défense. Cf. Rapport S/2012/843 du Groupe d’experts sur la République démocratique du Congo, 15 novembre 2012, p. 109. L’implication du Rwanda et de l’Ouganda sera confirmée par plusieurs autres rapports d’ONG et des enquêteurs de l’ONU.<br /> <br /> [2] Le M23 exigeait que les « soldats rwandophones » ne soient affectés que dans les provinces de l’Est frontalières avec le Rwanda et l’Ouganda. Il exigeait en plus le retour de 400 mille « familles rwandophones » au Congo.<br /> <br /> En réalité, les « soldats rwandophones » dont parlait le M23 sont des soldats rwandais. Et les 400 milles « familles rwandophones » sont une vague des populations rwandaises et ougandaises que les présidents Kagame et Museveni s’emploient à déverser dans le Kivu pour submerger les populations congolaises autochtones.<br /> <br /> L’enjeu derrière ce forcing migratoire est, pour les deux présidents, d’obtenir un avantage numérique qui leur permettrait d’arracher progressivement le Kivu du contrôle de Kinshasa, dans le cadre de l’exécution du plan de balkanisation du Congo.<br /> <br /> [3] Dans son discours devant l’Assemblée générale de la Société de droit de l’Afrique de l’Est (The East Africa Law Society general assembly) du 04 avril 1997, le président ougandais déclare : « Ma mission est d’assurer que l’Erythrée, l’Ethiopie, la Somalie, le Soudan, l’Ouganda, le Kenya, la Tanzanie, le Rwanda, le Burundi et le Zaïre deviennent des Etats fédérés sous une même nation. Cela n’est pas maintenant un choix, mais une obligation (…).<br /> <br /> De même qu’Hitler fit pour unifier l’Allemagne, de même nous devrions le faire ici. Hitler était un chic type mais je pense qu’il est allé un peu trop loin en voulant conquérir le monde entier. Cf. « Report to UN Security Council : Génocide rwandais : Le peuple crie justice !, Feb 2008 », général Emmanuel Habyarimana, Déogratias Mushayidi, Gérard Karangwa Semushi & Noël Ndanyuzwe, 03 mars 2009.<br /> <br /> [4] Le 28 octobre 1996, le président Bizimungu (une marionnette de Kagame) tenait une conférence au cours de laquelle il déclara, carte du « Grand Rwanda » à l’appui, que la région qu’habitent les Banyamulenge était autrefois rwandaise.<br /> <br /> Deux jours plus tard, au cours d’une conférence de presse tenue par Paul Kagame, alors vice-Président, mais véritable homme fort du pays, un document prônant l’organisation d’une « Conférence de Berlin II » (en vue d’un nouveau tracé des frontières), faisant échos aux propos de Pasteur Bizimungu.<br /> <br /> Dans la même semaine, les dirigeants de l’AFDL, l’ancêtre du M23, venaient de signer les fameux accords de Lemera qui prévoyaient de « céder 300 km du territoire congolais » au Rwanda, à l’Ouganda et au Burundi. Treize ans plus tard seront signés les fameux accords du 23 mars 2009 qui assuraient au Rwanda une mainmise sur l’Est du Congo par groupes armés interposés.<br /> <br /> [5] Le carnage est décrit par la journaliste belge Colette Braeckman : « Sur les 6.000 éléments des FARDC engagés dans la bataille de Mushake, la moitié ont été mis hors combat : 2.500 militaires ont été tués dont 2000 policiers en tenue militaire et 600 éléments de la garde républicaine. S’y ajoutent 600 blessés pour lesquels une compagnie médicale a été dépêchée d’urgence à Goma.<br /> <br /> En plus des pertes en vies humaines, un important matériel militaire a été saisi par les hommes de Nkunda (…) : 6 tonnes de munitions, y compris des munitions d’hélicoptères, 45 blindés, 20 lance-roquettes, 15.000 caisses de grenades, 6000 caisses d’armes type Fall.<br /> <br /> Le bilan fait même état de 15 missiles sol air, mais on se demande pourquoi de telles armes auraient été envoyées au Kivu contre un adversaire qui pratique la guérilla et ne dispose ni d’armement lourd ni de moyens aériens… ». Cf. « L’armée congolaise est rongée par le soupçon de trahison », Le carnet de Colette Braeckman, 27 décembre 2007.<br /> <br /> [6] Laurent Nkunda revendiqua un bilan plus terrifiant : 4.800 cadavres des FARDC. Cf. « Le Chairman du CNDP le général Laurent Nkundabatware Mihigo brise le silence après sa victoire militaire face aux FARDC », laconscience.com, 05 janvier 2008.<br /> <br /> [7] Joseph Kabila, un ancien de l’AFDL et du FPR (Front patriotique rwandais), des mouvements créés et parrainés par Kigali et Kampala sera confirmé au poste de président de la République. A ses côtés, les vice-Présidents : Jean-Pierre Bemba (MLC, parrainé par l’Ouganda) et Azarias Ruberwa (RCD-Goma, parrainé par le Rwanda). Puis, Abdoulaye Yerodia (un ancien de l’AFDL et membre de la majorité présidentielle de Kinshasa – PPRD). Enfin, Arthur Z’ahidi Ngoma (représentant de l’opposition non-armée et ancien du RCD-Goma).<br /> <br /> [8] Emmanuel Neretse, « Vers une invasion « ouverte et autorisée » de la RDC par les armées du Rwanda et de l’Ouganda ? », musabyimana.net, 23 février 2015.<br /> <br /> [9] La visite aux Etats-Unis du général Laurent Nkunda, en juillet 2014 (en violation des sanctions de l’ONU et du gouvernement américain) s’inscrirait dans les préparatifs en vue du lancement d’une nouvelle campagne militaire rwando-ougandaise contre le Congo.<br /> <br /> [10] Keith Harmon Snow, “Western-Backed Terrorism in The Congo : Where Is General Laurent Nkunda ?”, globalresearch.ca, June 21, 2015.<br /> <br /> [11] Le 27 juillet 2015, des sources locales à Beni signalaient que plus de 300 hommes lourdement armés et vêtus en tenue militaire Updf (armée ougandaise) avaient traversé la frontière deux jours auparavant à partir du district ougandais de Bundibudjo.<br /> <br /> Partis du camp de Kanyamwirima qui abritait des combattants de l’ex M23, ces hommes armés avaient traversé la rivière Semliki, en passant par Kyavoya, en direction de Kainama dans le parc des Virunga. Cf. radiomotooicha.com, 27 juillet 2015. Cette incursion armée n’est qu’une d’une longue série des incursions qui ont commencé en décembre 2013. Cf. B. Musavuli : « RD Congo : Le M23 version Kampala ? », agoravox.fr, 28 décembre 2013.<br /> <br /> [12] Cf. “Rwanda Has Become World’s Largest Coltan Exporter, Reports KT Press”, PRNewswire-US Newswire, December 16, 2014.<br /> <br /> [13] Rapport S/2002/1146 du 16 octobre 2002, §71, p. 16.<br /> <br /> [14] Bien au-delà des 80 millions de dollars qui étaient mentionnés dans le budget officiel. Cf.<br /> <br /> [15] Cf. JJ. Wondo, « Le vrai visage du FPR, l’« Armée Sans Frontières » de Kagame, desc-wondo.org, 27 août 2014 ; Gaspard Musabyimana et Emmanuel Neretse, Rwanda Vingt ans de pouvoir du FPR Quel Bilan ?, Editions Scribe (Bruxelles), mars 2014.<br /> <br /> [16] En 2013, l’Ouganda a alloué, officiellement, un budget de 212 millions de dollars à son armée dont les effectifs sont estimés à 45 mille soldats.<br /> <br /> [17] A l’occasion de l’audience de confirmation des charges de la Cour pénale internationale, le 10 février 2014, le général présenté comme « congolais » Bosco Ntaganda, poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, s’est fait identifier en tant que « citoyen rwandais », jetant un froid dans la salle. Cf. JJ. Wondo, « CNDP-M23 : embêtante révélation de Bosco Ntaganda à la CPI », desc-wondo.org, 14 février 2014.<br /> <br /> [18] http://ikazeiwacu.k.i.f.unblog.fr/files/2014/01/sidep-list-m23-non-eligible-integration-fardc.pdf<br /> <br /> [19] « Le général Olenga commente la victoire de l’armée congolaise », Le carnet de Colette Braeckman, Le Soir, 8 novembre 2013.<br /> <br /> [20] Patrick Mbeko estime à 35.000, au moins, le nombre des soldats rwandais opérant dans la partie Est du Congo. Cf. P. Mbeko, H. Ngbanda, Stratégie du chaos et du mensonge – poker menteur en Afrique des Grands Lacs, Ed. de l’Erablière, 2014, p. 375.<br /> <br /> [21] Ibidem, pp. 486, svt.<br /> <br /> [22] Pour rappel, aux termes de ces accords, les pays signataires s’engageaient, entre autres, à « ne pas héberger ni fournir une protection de quelque nature que ce soit aux personnes accusées de crimes de guerre, de crimes contre l’humanité, d’actes de génocide ou de crimes d’agression, ou aux personnes sous le régime de sanctions des Nations Unies » (article 5).<br /> <br /> Tous les chefs du M23 sont, depuis leur fuite, protégés par Kigali et Kampala. Paradoxalement, c’est sur le Congo que s’exercent des pressions internationales par rapport à l’application de ces accords.<br /> <br /> [23] Selon Congo Indépendant, lors de son passage à Goma le 03 août dernier, le président Kabila a rencontré discrètement une délégation des membres du M23 composée de Bertrand Bisimwa, Sultani Makenga et Vianney Kazarama. Cf. « Goma : entrevue secrète entre « Joseph Kabila » et des cadres du M23… », congoindependant.com, 09 août 2015.<br /> <br /> [24] En mai 2013, en marge du sommet de l’Union africaine à Addis-Abeba, le chef de l’Etat tanzanien avait proposé au Rwanda et à l’Ouganda de discuter avec leurs opposants opérant dans les maquis de l’Est du Congo, dont les rebelles hutus des FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda). La proposition provoqua de violentes réactions à Kigali et un début de crise diplomatique entre les deux pays.<br /> <br /> [25] L’EUSEC RD Congo est La mission de l’Union européenne en matière de réforme du secteur de la sécurité au Congo. Son mandat est de soutenir les autorités pour reconstruire une armée qui garantira la sécurité sur toute l’étendue du territoire et créer les conditions favorables pour un retour au développement économique et social.<br /> <br /> (*)Analyste politique et militant des droits humains<br /> <h3> Le Potentiel</h3> Le direct<br /> <br /> <br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8HFuNTO4ZxcRIfM-E20bE6h2MFAPooKYwbuM1GFd_mt3C8Rv5CZm2vkWaEd8C77670iYgoKJrZm2xCgtaknFERXcjfAsOwhd5Q92b4Yl8QkOVgUpx-jUXSe9DUu3HwUJarZ24NarAJmA/s400/Snapshot_167.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique RD Congo-2016 : C’est la guerre qui nous attend

Décembre 2016 est annoncé pour être le bout du tunnel pour le peuple congolais. Il va avoir un président démocratiquement élu et tourner l...

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La CENI bloquée, la Cour Constitutionnelle mise à contribution !

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBsOOUGFTH8L6OB_iJaW7M6f_pSoAyj9gJGl2yQ_gTBRAsa_xBnLj6grTVpvS2JOl-Bihnn4RVWmW0Bxsaf7Xst5UOdJwT_XaUUHC2EK2s0RSgHIJNlIVQ1DkRlYaIJgoO0_kwR0mqdtw/s1600/Snapshot_92.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBsOOUGFTH8L6OB_iJaW7M6f_pSoAyj9gJGl2yQ_gTBRAsa_xBnLj6grTVpvS2JOl-Bihnn4RVWmW0Bxsaf7Xst5UOdJwT_XaUUHC2EK2s0RSgHIJNlIVQ1DkRlYaIJgoO0_kwR0mqdtw/s400/Snapshot_92.jpeg" width="400" /></a></div>A Kinshasa, la semaine débute avec des commentaires salés autour d’une éventuelle requête qu’aurait déposée, il y a quelques jours, la CENI à la Cour Constitutionnelle. Une requête, dont les termes de référence non encore connus du grand public, qui met en exergue d’énormes difficultés qu’éprouve la CENI à mettre en œuvre son propre calendrier électoral qualifié de global. Des analystes pointus laissent entendre que la CENI serait à la recherche d’une issue au blocage rencontré dans l’installation des animateurs politiques à la tête de nouvelles provinces nées du découpage territorial. Dans un communiqué, le 23 août dernier, la CENI portait à la connaissance de l’opinion nationale qu’elle étudiait encore les voies et moyens d’harmoniser son calendrier pour le rendre compatible avec le processus de mise en place des nouvelles provinces, principalement l’installation des Bureaux définitifs des Assemblées provinciales. La principale difficulté, selon le Bureau de la CENI, résultait du retard enregistré dans la constitution des Bureaux définitifs de certaines nouvelles Assemblées provinciales. Contre toute attente et à la déception de leurs administrés, certaines Assemblées provinciales ont clôturé leurs sessions extraordinaires sans avoir épuisé l’ordre du jour tel que défini par l’article 9 de la loi de programmation déterminant les modalités d’installation de nouvelles provinces. La question qui se pose est celle de savoir comment le Gouvernement et la CENI vont s’y prendre pour résoudre ou contourner ce problème. Les Députés provinciaux sortants, ont-ils le pouvoir d’élire les Exécutifs provinciaux ? Qui du Président de la République ou du Premier Ministre peut procéder à la nomination des Gouverneurs et Vice-Gouverneurs ? Il semble que c’est pour avoir un bon éclairage sur toutes ces questions que la CENI a saisi la Cour Constitutionnelle. En attendant l’avis sollicité, il y a lieu de relever que s’il n’y avait pas eu une loi de programmation déterminant les modalités d’installation de nouvelles provinces, le Gouvernement de la République n’aurait pas pu procéder au démembrement des anciennes provinces. Or, cette loi de programmation avait été déclarée conforme à la Constitution par la même Cour Constitutionnelle. Va-t-on se dédire ou comment ? Tout est possible. Outre la question de l’élection des Gouverneurs, la CENI doit faire face aux ratés du calendrier électoral global. Un calendrier complètement atomisé dont on exige de plus en plus un réaménagement. Le 25 octobre prochain, deux scrutins combinés avaient été prévus, à savoir : les élections provinciales et les locales. A moins de deux mois de la date précise, il devient mathématiquement impossible pour la CENI d’organiser ces élections. Plusieurs raisons permettent de le dire à l’affirmatif. L’on continue à attendre les listes définitives des candidats aux élections provinciales. Le processus est bloqué à cause, justement, du découpage territorial pas très bien pensé. Les nouvelles provinces n’ont pas de Cour d’Appel. De ce fait, il faudrait recourir aux Cours d’Appel installées dans les chefs-lieux des anciennes provinces. Dans ce cafouillage organisé, les préparatifs des élections municipales et locales ont, également, pris énormément du retard. La loi de répartition des sièges par circonscription électorale vient, à peine, d’être promulguée. En principe, c’est en avril dernier qu’elle était attendue. Le Gouvernement ayant levé l’option politique de démarrer le cycle électoral par les locales, tout ce retard accumulé ne sera pas sans conséquence sur la suite du processus. L’on craint, en effet, des répercussions sur les délais constitutionnels. Est-ce pour cela que la CENI a saisi la Cour Constitutionnelle ? L’hypothèse n’est pas totalement à exclure. On peut se demander si la Cour Constitutionnelle a le pouvoir de proroger à l’infini les mandats des actuels animateurs politiques. L’on entend souvent dire que les animateurs des Institutions resteront en place jusqu’à l’élection de nouveaux. Mais, pour ce faire, il faudrait motiver la décision.<br /> <br /> La Pros.<br /> <br /> Le direct<br /> <br /> <br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBsOOUGFTH8L6OB_iJaW7M6f_pSoAyj9gJGl2yQ_gTBRAsa_xBnLj6grTVpvS2JOl-Bihnn4RVWmW0Bxsaf7Xst5UOdJwT_XaUUHC2EK2s0RSgHIJNlIVQ1DkRlYaIJgoO0_kwR0mqdtw/s400/Snapshot_92.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique La CENI bloquée, la Cour Constitutionnelle mise à contribution !

A Kinshasa, la semaine débute avec des commentaires salés autour d’une éventuelle requête qu’aurait déposée, il y a quelques jours, la CENI ...

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Loi sur la Répartition des sièges aux locales : Clément Kanku interpelle la Cour Constitutionnelle !

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqn1IvgS0yy1CClmT-RcuOzLJ0k8WzcdzlXV6SgyPkKAr2t-kkAXYXmnyEW22RavT7Sqyfd9DV8UYxLKN4Z7G0a_Z0iiwy4DAveS14IRYo2xwPmXDZx9ZhwLqGhud6Zcu12wVEmRkbr-s/s1600/Snapshot_249.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqn1IvgS0yy1CClmT-RcuOzLJ0k8WzcdzlXV6SgyPkKAr2t-kkAXYXmnyEW22RavT7Sqyfd9DV8UYxLKN4Z7G0a_Z0iiwy4DAveS14IRYo2xwPmXDZx9ZhwLqGhud6Zcu12wVEmRkbr-s/s400/Snapshot_249.jpeg" width="400" /></a></div><span class="texte" style="margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;">*La position de ce Député d’Opposition, réaffirmée à l’occasion d’un point de presse, le samedi 29 août, est très claire comme l’eau de roche. La deuxième session extraordinaire du Sénat étant non conforme à la Constitution et au Règlement Intérieur de cette Chambre, le vote de la loi portant répartition des sièges est entaché d’inconstitutionnalité et d’illégalité. Conséquence, ladite loi ne peut ni être promulguée, ni être appliquée. A la Cour Constitutionnelle de s’assumer pour garantir son indépendance et sa crédibilité. <br /> <br /> Plus le temps avance, mieux la Cour Constitutionnelle est de plus en plus sollicitée. Elle le sera davantage à l’approche de la fin de la législature en cours, vers les échéances 2016. Mais, le Député Clément Kanku Bukasa, Président national du Mouvement pour le Renouveau du Congo (MR), se dit déjà très déçu par la Cour Constitutionnelle qui a gardé silence sur sa requête en inconstitutionnalité du vote par le Sénat de la loi portant répartition des sièges et de ses annexes. Le procès, s’il avait été programmé par la Cour Constitutionnelle, devrait mettre aux prises Clément Kanku et la République Démocratique du Congo en présence du Sénat. Toutes les formalités d’usage étaient remplies. Le MR avait payé les 20 dollars de consignation, le 14 août 2015. Lorsqu’une loi est attaquée, cette signification est suspensive de la procédure de promulgation par le Chef de l’Etat. Le Député Clément Kanku qui a convoqué la presse, le samedi 29 août dernier, refuse de comprendre que la loi de répartition des sièges aux municipales et locales soit promulguée à la date du 25 août, sans attendre que la Cour Constitutionnelle se prononce d’abord là-dessus. Il y voit une attitude de non-respect du principe de séparation des pouvoirs. Une attitude qu’il juge inacceptable. Ce n’est pas rassurant, dit-il, pour la crédibilité de la Cour Constitutionnelle. En effet, ce Député d’Opposition est convaincu que la promulgation de la loi contestée, influence la Cour dans le sens de vider la requête. Réputé bagarreur, Clément Kanku demande à la Cour Constitutionnelle de prendre ses responsabilités pour prouver son indépendance et son impartialité. Jamais, il n’acceptera que la seconde session extraordinaire du Sénat, le 10 août 2015, se soit tenue en toute légalité. Il trouve curieux que ladite session extraordinaire, à l’issue de laquelle les Sénateurs ont voté la loi de répartition des sièges aux locales et ses annexes, n’ait duré que 27 minutes. La question de la constitutionnalité et de la légalité de cette deuxième session se pose encore et toujours, soutient-il. Comme quoi, l’article 116 de la Constitution et l’article 75 du Règlement intérieur du Sénat ont été, à son avis, violés. Parce que, argumente le Président du MR, il ressort de ces deux dispositions que le Sénat peut être convoqué en session extraordinaire sur un ordre du jour déterminé soit à l’initiative de son Bureau, soit de la moitié de ses membres, soit du Président de la République, soit du Gouvernement. Les deux dispositions, apprend-on, ne prévoient nullement la convocation d’une deuxième session extraordinaire par qui que ce soit. Autrement dit, la deuxième session extraordinaire du Sénat étant non conforme à la Constitution et à son Règlement intérieur, le vote intervenu est, selon lui, entaché d’inconstitutionnalité et d’illégalité.<br /> <br /> La Pros.<br /> <br /> POINT DE PRESSE DU 29 AOUT 2015<br /> <br /> PORTANT SUR LA PROMULGATION PAR LE CHEF DE L’ETAT DE LA LOI PORTANT REPARTITION DES SIEGES POUR LES ELECTIONS, URBAINES, LOCALES ET MUNICIPALES<br /> <br /> Messieurs et mesdames de la presse ;<br /> <br /> Bonjour !<br /> <br /> Il vous souviendra que le Sénat venait de voter le 11 août 2015, lors d’une seconde session extraordinaire, la loi portant répartition des sièges pour les élections urbaines, locales et municipales. Cette loi a été attaquée par le parti politique Mouvement pour le Renouveau du Congo, agissant par son Président national Honorable KANKU BUKASA wa TSHIBUABUA clément, devant la Cour Constitutionnelle.<br /> <br /> La requête en inconstitutionnalité de la loi susmentionnée a été déjà enrôlée, consignée en date du 14 août 2015 sous R.CONST 100 et signifiée à la République Démocratique du Congo, le Procureur près la dite Cour et le Sénat.<br /> <br /> Cette signification est suspensive de la procédure de promulgation par le Chef de l’Etat.<br /> <br /> Curieusement, lui qui est garant politique du respect de la Constitution, a promulgué la loi en question en date du 25 août 2015 au lieu d’attendre que la Cour Constitutionnelle se prononce quant à ce.<br /> <br /> Le Mouvement pour le Renouveau au Congo déplore cette attitude de non-respect du principe de séparation de pouvoir tendant à influencer la Cour Constitutionnelle ou à vider la requête devant celle-ci.<br /> <br /> C’est inacceptable et ce n’est pas rassurant pour la crédibilité de la Cour Constitutionnelle garante judiciaire du respect de la Constitution qui va bientôt juger les contentieux électoraux notamment présidentiels et législatifs.<br /> <br /> C’est pourquoi, nous demandons à la Cour Constitutionnelle de prendre ses responsabilités pour prouver son indépendance et son impartialité.<br /> <br /> Je vous remercie.<br /> <br /> S/é Honorable KANKU BUKASA Clément<br /> <br /> Président national <strong style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; font-weight: normal; line-height: 22px;">  </strong></span><br /> <span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br /> <br /> Le direct<br /> <br /> <br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqn1IvgS0yy1CClmT-RcuOzLJ0k8WzcdzlXV6SgyPkKAr2t-kkAXYXmnyEW22RavT7Sqyfd9DV8UYxLKN4Z7G0a_Z0iiwy4DAveS14IRYo2xwPmXDZx9ZhwLqGhud6Zcu12wVEmRkbr-s/s400/Snapshot_249.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique Loi sur la Répartition des sièges aux locales : Clément Kanku interpelle la Cour Constitutionnelle !

*La position de ce Député d’Opposition, réaffirmée à l’occasion d’un point de presse, le samedi 29 août, est très claire comme l’eau de roch...

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FÉLIX TSHILOMBO OU LA BASSESSE FAITE HOMME ! Réagissant aux propos de Félix Tshisekedi sur les combattants, Youyou Muntu-mosi stupéfaite .

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJ37UN0uLHoRM9PwbXA6PGcvY4Y0rhu5Nloh31paqXMxWatM4WgMjCb2XP-a7SgrXacLRMQCwmGeQ44fTYZN4GI4Sr_6M45F-9xIltRNa4BeioUfsW4-QnzLSIWBqzrlZ4XOq1qqIjvLM/s400/sjskjd+djkd.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /></div> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJ37UN0uLHoRM9PwbXA6PGcvY4Y0rhu5Nloh31paqXMxWatM4WgMjCb2XP-a7SgrXacLRMQCwmGeQ44fTYZN4GI4Sr_6M45F-9xIltRNa4BeioUfsW4-QnzLSIWBqzrlZ4XOq1qqIjvLM/s1600/sjskjd+djkd.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJ37UN0uLHoRM9PwbXA6PGcvY4Y0rhu5Nloh31paqXMxWatM4WgMjCb2XP-a7SgrXacLRMQCwmGeQ44fTYZN4GI4Sr_6M45F-9xIltRNa4BeioUfsW4-QnzLSIWBqzrlZ4XOq1qqIjvLM/s400/sjskjd+djkd.jpeg" width="400" /></a><br /> Je viens avec effarement de suivre les élucubrations de Mr Félix Tshilombo et je suis tout simplement stupéfaite ! Voici l'homme qu'on dit " brillant" qui aux questions directes d'une journaliste qui ne s'en laisse pas compter, biaise, utilise des redondances ridicules et nauséabondes pour qualifier un mouvement qui il y a peu soutenait encore la politique de leur parti tribalo-mercantilo-familial.<br /> <br /> Pour faire court Mr Tshilombo avec mépris vient en gros de qualifier l'ensemble des patriotes résistants contre le dialogue de personnes limitées, médiocres, ayant reçues une pauvre éducation, faibles d'esprit et manipulables à souhait, haineuses et TRIBALISTES qui exécutent sans réfléchir les ordres de MR HONORÉ NGBANDA, qui il le répète a du sang sur les mains etc...<br /> <br /> Qu'on nous dise que MR NGBANDA a du sang sur les mains ok, qu'on nous traite d'une " poignée de personnes", quelques individus pas très futés qui vocifèrent et ne crachent que des injures contre les kasaiens ok...mais que Mr Tshilombo qui parle de mains sanguinolentes nous explique comment il peut envisager d'aller dialoguer " les yeux dans les yeux" comme il le dit avec un sanguinaire de la pire espèce qui n'a pas que les mains mais le corps entier enduit du sang des millions de congolais massacrés par ses soins, dont ceux qui sont morts au nom de leur satané impérium et de la vérité des urnes?<br /> <br /> Qu'on accuse MR HONORÉ NGBANDA d'avoir du sang sur les mains encore une fois je veux bien, mais dans ce cas il faut aussi rappeler que celui avec qui on veut aller faire la causette a le sang de millions d'individus sur sa tête non? <br /> L'UDPS axe notre lutte aujourd'hui sur un plan bassement tribal et fanatique, quand nous soutenions Tshisekedi nous n'étions pas une poignée d'individus mal éduqués et mal dégrossis vociférant à longueur du temps des insultes, nous le sommes devenus quand nous avons refusé le dialogue?<br /> <br /> À l'entendre la haine tribale ne provient que des bangala et les kasaiens en seraient les victimes? On zappe du coup toutes les incitations à la haine et à la violence faites par les kasaiens ces derniers jours...et en passant on se désolidarise de ceux qui pourtant on menacé les gens à cause de son père, revendiquant le fait d'être les petits-fils ou les fils de Tshisekedi...on les relègue du coup au rang de " simples sympathisants", tout en rejetant le célèbre radicalisme paternel, heeee oui car on ne veut plus d'une UDPS " radicale" mais désormais réaliste et adaptée à la " conjoncture du moment"!<br /> <br /> La messe est dite, le vin est tiré et il faut le boire...Mr Tshilombo vient de faire son lit sur les millions de cadavres du peuple congolais, et il s'apprête à y coucher avec le génocidaire de notre peuple, mais attention au réveil...ça risque d'être douloureux , oui c'est souvent ce qui arrive quand on se fait posséder par derrière et sans vaseline!<br /> <br /> Irrévérencieusement vôtre.<br /> <div style="background-color: white; color: #141823; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 13.63636302948px; line-height: 17.5636348724365px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px; widows: auto;"> <b>YMM</b></div> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/2w2TfSBZtxk" width="640"></iframe>

les Combattants et l'Echos de la Diaspora Politique FÉLIX TSHILOMBO OU LA BASSESSE FAITE HOMME ! Réagissant aux propos de Félix Tshisekedi sur les combattants, Youyou Muntu-mosi stupéfaite .

Je viens avec effarement de suivre les élucubrations de Mr Félix Tshilombo et je suis tout simplement stupéfaite ! Voici l'homme qu&#...

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Echo de Kikwit : Palu, Mumbal’Ikie invite Gizenga à lever la suspension de Muzito !*

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiILWrI9fWlbdiiu0nSZ5Szyv8OZJaEOBGrbDqKRccfgb5d6uQ8J8J0ipcvZAW783S9oPxCkbJLN2JXYXaslTsumpN3jhMZ5cNUdWmbsi5Zq8_siDSW-wEPqQaoXUthgsFGUQCTMQ1pdOI/s1600/Gizenga+palu.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="262" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiILWrI9fWlbdiiu0nSZ5Szyv8OZJaEOBGrbDqKRccfgb5d6uQ8J8J0ipcvZAW783S9oPxCkbJLN2JXYXaslTsumpN3jhMZ5cNUdWmbsi5Zq8_siDSW-wEPqQaoXUthgsFGUQCTMQ1pdOI/s400/Gizenga+palu.jpeg" width="400" /></a></div> La mesure portant suspension d’Adolphe Muzito du Parti lumumbiste unifié, PALU, continue à faire couler beaucoup d’encre dans plusieurs coins de la RD. Congo et, plus particulièrement, à Kikwit, dans la nouvelle province du Kwilu. Parmi des<br /> <br /> réactions enregistrées dans cette ville figure, aussi, celle du professeur associé Abdon Mumbal’Ikie Namupot’Mas, un des cadres de ce parti. <br /> <br /> «Antoine Gizenga doit lever la mesure de suspension qui frappe Adolphe Muzito concernant le PALU. Cette mesure est tombée pendant une mauvaise période, c’est-à-dire, pendant la période où des partis politique se préparent pour affronter des élections qui doivent se dérouler dans notre pays dans les jours qui viennent», a déclaré le professeur associé Mumbal’Ikie sur les antennes de la Radio Tomisa, station communautaire et associative du Diocèse de Kikwit, le week-end dernier.<br /> <br /> Selon lui, Adolphe Muzito est élément précieux pour le PALU, il a été ministre de Budget, Premier ministre, et actuellement Député national. «Le suspendre veut dire anéantir, d’une façon ou d’une autre, le parti qui a besoin d’aller toujours de l’avant. Vous continuez à enregistrer des réactions qui viennent de plusieurs coins du pays à cause de cette suspension inattendue. Le camarade Gizenga se doit de bien réfléchir<br /> <br /> en levant cette mesure», ajoute-t-il.<br /> <br /> La réaction du prof Mumbal’Ikie arrive quelques semaines après celle de la population du territoire de Gungu, à plus de 150 kilomètres, qui avait marché pour manifester sa colère et son indignation face à cette suspension. Au terme de la marche, la population, en colère, avait déposé un mémorandum adressé au Patriarche Antoine Gizenga. Dans ce mémo, la population de Gungu avait demandé à Gizenga de revoir sa décision.<br /> <br /> Une autre réaction est celle qui vient des militants du PALU du secteur Nkara, à 90 km de Kikwit. Dans une lettre écrite toujours au Patriarche Gizenga, les militants du PALU – Nkara se lamentent en ces termes en Kikongo : «Beto ba militants ya PALU – Nkara, na nsangu ya beto bakaka nde son Excellence Muzito Adophe ikele suspendu ba mvula tatu, beto mene kudila ye kubokuta mingi na diambu yayi. Sambu na yo, beto mene kwisa na ntwala na nge na kulolula monsieur MUZITO na mambi ya yandi salaka (Nous, militants du PALU – Nkara, lorsque nous avons appris que son Excellence Muzito Adolphe est suspendu pour trois ans, nous avons pleuré et nous nous sommes sérieusement lamentés. C’est pourquoi, nous venons auprès de vous demander que vous puissiez lui pardonner pour tout péché qu’il a commis)».<br /> <br /> Quelle sera la réaction du Patriarche suite à cette série de demandes ? La question demeure posée.<br /> <br /> Badylon Kawanda<br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiILWrI9fWlbdiiu0nSZ5Szyv8OZJaEOBGrbDqKRccfgb5d6uQ8J8J0ipcvZAW783S9oPxCkbJLN2JXYXaslTsumpN3jhMZ5cNUdWmbsi5Zq8_siDSW-wEPqQaoXUthgsFGUQCTMQ1pdOI/s400/Gizenga+palu.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Politique Province Echo de Kikwit : Palu, Mumbal’Ikie invite Gizenga à lever la suspension de Muzito !*

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Un nouveau maire à la tête de la ville de Goma

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivzAmduwNNSSmUBSN76_aVXhZNQSDwN49h77VYdFzb7UKfnsPO-BtT8e5QfI14CwDU7m8PiUXyAXq_vHHTnlJ79QnjBfHKGyoORRUCiVl5LkpkS5nt6ZqVHRPe765CqxhaBENF9GDU1EY/s1600/Snapshot_2287.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivzAmduwNNSSmUBSN76_aVXhZNQSDwN49h77VYdFzb7UKfnsPO-BtT8e5QfI14CwDU7m8PiUXyAXq_vHHTnlJ79QnjBfHKGyoORRUCiVl5LkpkS5nt6ZqVHRPe765CqxhaBENF9GDU1EY/s400/Snapshot_2287.jpeg" width="400" /></a></div> Le vice Premier ministre et ministre de l’Intérieur, Evariste Boshab vient de désigner, dans un message officiel rendu public samedi 29 août, M. Dieudonné Malhere Ma-Micho à la tête de la mairie de la ville de Goma en remplacement de M. Naasson Kubuya Ndoole.<br /> <br /> Dans son message, le vice Premier ministre et ministre de l’Intérieur, Evariste Boshab demande au gouverneur de la province du Nord-Kivu «de procéder à l’exécution immédiate» de cette mesure. Le maire de la ville sortant est arrivé aux affaires en juillet 2012, en remplacement de feu Jean Malihaseme Busanga.<br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivzAmduwNNSSmUBSN76_aVXhZNQSDwN49h77VYdFzb7UKfnsPO-BtT8e5QfI14CwDU7m8PiUXyAXq_vHHTnlJ79QnjBfHKGyoORRUCiVl5LkpkS5nt6ZqVHRPe765CqxhaBENF9GDU1EY/s400/Snapshot_2287.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

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Le vice Premier ministre et ministre de l’Intérieur, Evariste Boshab vient de désigner, dans un message officiel rendu public samedi 29 ao...

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Kinshasa et Brasilia discutent du renforcement de leurs relations bilatérales

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg77UCm0GA29AclylsjO8avlALoDPv3eYHgdkOcpeJpY5EJsE2jD0BrysvQ6-C-Ds-9RlHKNwqcU03eLQAWLTY2pHtfGuHaXu1i76eIYpYsX6NjuTvbMuDApBVRET4fD7F10sXribaND34/s1600/Snapshot_2286.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg77UCm0GA29AclylsjO8avlALoDPv3eYHgdkOcpeJpY5EJsE2jD0BrysvQ6-C-Ds-9RlHKNwqcU03eLQAWLTY2pHtfGuHaXu1i76eIYpYsX6NjuTvbMuDApBVRET4fD7F10sXribaND34/s400/Snapshot_2286.jpeg" width="400" /></a></div> Le renforcement de relations bilatérales entre la RDC et la République fédérale du Brésil a été au centre d’une séance de travail samedi entre le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Raymond Tshibanda et Mauro Luiz Iecker Viera, ministre brésilien des Relations extérieures.<br /> <br /> Le chef de la diplomatie congolaise a indiqué que les deux parties ont échangé sur les questions d’intérêt commun et régional précisant qu’ils ont identifié les domaines pour lesquels les deux pays s’engagent à développer ces relations rapidement notamment celui du commerce et des investissements brésiliens en RDC dans le secteur de l’électricité.<br /> <br /> La conférence sur l’environnement qui se tiendra en décembre prochain à Paris et la reforme du Conseil de sécurité des Nations Unies ont été également évoquées au cours de la rencontre. « Nous avons fait un tour d’horizon général et nous sommes satisfaits de notre entretien. Nous avons discuté de plusieurs domaines de l’économie. Le Brésil est la locomotive de l’économie de l’Amérique latine, il est un partenaire important avec qui nous devons coopérer pour un partenariat gagnant-gagnant», a souligné en substance le chef de la diplomatie congolaise.<br /> <br /> Pour sa part, le ministre brésilien a indiqué que son pays et la RDC qui ont des similitudes concernant leur situation géographique, leurs ressources humaines et naturelles, ont intérêt à redynamiser les relations de coopération pour l’intérêt de leurs peuples respectifs. Il a mis en exergue la politique sociale de son gouvernement soulignant que dans le cadre du développement de son économie, son gouvernement a mis en place un plan de restriction budgétaire.<br /> Septième économie mondiale, première de l’Amérique latine, le Brésil dispose d’importantes industries dans le secteur de l’aéronautique, de la transformation, du pétrole, de l’armement, du textile, de l’électronique et de l’agroalimentaire. <br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg77UCm0GA29AclylsjO8avlALoDPv3eYHgdkOcpeJpY5EJsE2jD0BrysvQ6-C-Ds-9RlHKNwqcU03eLQAWLTY2pHtfGuHaXu1i76eIYpYsX6NjuTvbMuDApBVRET4fD7F10sXribaND34/s400/Snapshot_2286.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br /> <br />

la Nation Politique Kinshasa et Brasilia discutent du renforcement de leurs relations bilatérales

Le renforcement de relations bilatérales entre la RDC et la République fédérale du Brésil a été au centre d’une séance de travail samedi e...

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Un message du Chef de l’Etat transmis au corps diplomatique accrédité en RDC

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjCxUgxO76v_AxuKdj0PrLC4jKxosHXXeIp3if8Dm7uuWCXKwZi9BKd2fuzIGnocTk-78jj6jn0KjWVnOZu7EGLwRRSekMk2gJJkqQhr-vz9bUZ513OwsR8YAWtiPGdxshWDykM6W-e3QM/s1600/Snapshot_2285.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="267" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjCxUgxO76v_AxuKdj0PrLC4jKxosHXXeIp3if8Dm7uuWCXKwZi9BKd2fuzIGnocTk-78jj6jn0KjWVnOZu7EGLwRRSekMk2gJJkqQhr-vz9bUZ513OwsR8YAWtiPGdxshWDykM6W-e3QM/s400/Snapshot_2285.jpeg" width="400" /></a></div> Un message du Président Joseph Kabila en rapport avec les questions d’actualité en RDC, notamment le processus électoral a été au centre des échanges vendredi à Kinshasa entre le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Raymond Tshibanda et le corps diplomatique accrédité en RDC.<br /> <br /> A cette occasion, le chef de la diplomatie congolaise a transmis à ses hôtes ce message en vue d’éclairer leur compréhension sur l’évolution de l’actualité politique en RDC en rapport avec les consultations nationales et le prochain dialogue politique congolais.<br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjCxUgxO76v_AxuKdj0PrLC4jKxosHXXeIp3if8Dm7uuWCXKwZi9BKd2fuzIGnocTk-78jj6jn0KjWVnOZu7EGLwRRSekMk2gJJkqQhr-vz9bUZ513OwsR8YAWtiPGdxshWDykM6W-e3QM/s400/Snapshot_2285.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Politique Un message du Chef de l’Etat transmis au corps diplomatique accrédité en RDC

Un message du Président Joseph Kabila en rapport avec les questions d’actualité en RDC, notamment le processus électoral a été au centre d...

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Déplick Mpomba et son orchestre ba pololi Rumba acoustique chez Naty Lokole ( vidéo)

Déplick Mpomba et son orchestre  ba pololi Rumba acoustique chez Naty Lokole ( vidéo)<br /> <br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/LQDUHtkl0sg" width="640"></iframe><br /> <br /> Makela Mu Kongo - Aza Na Moto [Street - Clip (Official)]<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/7qPCto7HQG8" width="640"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjN4nmsYnOPXpYuq-1_Lh0867druTtWyemHykRAzU7MKfS6erhZBvbR-0wvpuGUbe7JtVpQb5b4WsO9VtsaxgOSGhJxeLjj_zmq4oIqqS2o2vHbE9uce2KPC-1NXsp2AtEaUArYznDmOmw/s400/eelmd+ffg.jpg" rel="image_src" width="400"></link><br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjN4nmsYnOPXpYuq-1_Lh0867druTtWyemHykRAzU7MKfS6erhZBvbR-0wvpuGUbe7JtVpQb5b4WsO9VtsaxgOSGhJxeLjj_zmq4oIqqS2o2vHbE9uce2KPC-1NXsp2AtEaUArYznDmOmw/s1600/eelmd+ffg.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjN4nmsYnOPXpYuq-1_Lh0867druTtWyemHykRAzU7MKfS6erhZBvbR-0wvpuGUbe7JtVpQb5b4WsO9VtsaxgOSGhJxeLjj_zmq4oIqqS2o2vHbE9uce2KPC-1NXsp2AtEaUArYznDmOmw/s400/eelmd+ffg.jpg" width="400" /></a></div>

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Brigade Sarbarty parle de ses moments difficiles chez Koffi Olomide et promet de frapper fort avec son nouvel album ( vidéo)

Brigade Sarbarty parle de ses moments difficiles chez Koffi Olomide et promet de frapper fort avec son nouvel album ( vidéo)<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/a_kKjC81k5A?feature=player_embedded" width="640"></iframe><br /> <br /> Makela Mu Kongo - Aza Na Moto [Street - Clip (Official)]<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/7qPCto7HQG8" width="640"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh39JAGcRuCDOsT56brHVa5Xpd4_vzcx2S4ksbMgjwEdeQHimPaZOAT9FNXKXCdr4KGarXxbeE-ybXGh01LPniRyfPYj2KIrExHDLyxZ_6QYODKv1Beojm8HFovG-8r6QwlMZ-PIUbW4Xk/s400/Brigade+sarbaty+yewana.jpg" rel="image_src" width="400"></link><br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> </div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh39JAGcRuCDOsT56brHVa5Xpd4_vzcx2S4ksbMgjwEdeQHimPaZOAT9FNXKXCdr4KGarXxbeE-ybXGh01LPniRyfPYj2KIrExHDLyxZ_6QYODKv1Beojm8HFovG-8r6QwlMZ-PIUbW4Xk/s1600/Brigade+sarbaty+yewana.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh39JAGcRuCDOsT56brHVa5Xpd4_vzcx2S4ksbMgjwEdeQHimPaZOAT9FNXKXCdr4KGarXxbeE-ybXGh01LPniRyfPYj2KIrExHDLyxZ_6QYODKv1Beojm8HFovG-8r6QwlMZ-PIUbW4Xk/s400/Brigade+sarbaty+yewana.jpg" width="400" /></a></div>

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Du respect aux principes divins pour prospérer dans le monde des affaires, selon un pasteur nigérian

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjI7zyCjy54Vz_944Cd89RphM8aufzcEuarZuBtv75KW-D6sIQlUtOZmKbSNjCzpKajfmrE8gtKV8XAT7ZbuPZjHBBrSyPt9JcgchJ2KIT7E5a3rEjPAz0_S039ij9GWyroqZ-xhll5PqE/s1600/Snapshot_2284.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjI7zyCjy54Vz_944Cd89RphM8aufzcEuarZuBtv75KW-D6sIQlUtOZmKbSNjCzpKajfmrE8gtKV8XAT7ZbuPZjHBBrSyPt9JcgchJ2KIT7E5a3rEjPAz0_S039ij9GWyroqZ-xhll5PqE/s400/Snapshot_2284.jpeg" width="400" /></a></div> Le pasteur Mavi Izibor, d’une Eglise locale nigériane, en séjour à Kinshasa, a exhorté le peuple de Dieu, œuvrant dans le bisness, au respect des principes divins pour fleurir et prospérer dans le monde des affaires, au cours d’un diner d’affaires organisé à Béatrice Hôtel dans la commune de la Gombe par le Centre évangélique « Silo » en marge de la campagne de évangélisation de cette église.<br /> <br /> Le pasteur nigérian a soutenu que la prospérité dans les affaires est une question de révélation de Dieu, maitre du temps et de circonstance. Il a mis l’accent sur la cause de certaines ratées dans les affaires, indiquant qu’un enfant de Dieu doit avoir des révélations sur le domaine dans lesquelles il peut évoluer.<br /> <br /> Le pasteur Mavi a exhorté le peuple de Dieu à se distinguer par des actions d’intérêt général et non individuel afin de glorifier l’Eternel. Le conférencier a également encouragé les participants à cette rencontre à s’inspirer de l’illustration de l’acte posé par le bon samaritain, ce personnage biblique. « Il n’y a pas d’autre bonheur que d’impliquer Dieu, partenaire incontournable, dans les affaires pour la prospérité » a indiqué le pasteur ».<br /> <br /> D’autres intervenants à ce diner ont bondé dans les mêmes sens de voir les enfants de Dieu à poser des actes qui honorer le nom de Dieu afin de préparer notre entrée dans son Royaume pour la vie éternelle. Cette campagne qui se tient depuis mercredi dernier à l’espace extérieur du Stade des martyrs à Kinshasa est dirigée par les révérends Jean-Baptiste et Lyly Sumbela, responsable du Centre évangélique « Silo« . <br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjI7zyCjy54Vz_944Cd89RphM8aufzcEuarZuBtv75KW-D6sIQlUtOZmKbSNjCzpKajfmrE8gtKV8XAT7ZbuPZjHBBrSyPt9JcgchJ2KIT7E5a3rEjPAz0_S039ij9GWyroqZ-xhll5PqE/s400/Snapshot_2284.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /> <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Economie Réligion Du respect aux principes divins pour prospérer dans le monde des affaires, selon un pasteur nigérian

Le pasteur Mavi Izibor, d’une Eglise locale nigériane, en séjour à Kinshasa, a exhorté le peuple de Dieu, œuvrant dans le bisness, au resp...

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