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20 ANS DE PRISON POUR JACKY NDALA ? ABBE SHOLE DENONCE KATUMBI SUR CES MENACES ET LA MORT DE KADIOMBO. ABBE SHOLE DU 19 JUILLET 2021 . ( VIDEO )

July 19, 2021

20 ANS DE PRISON POUR JACKY NDALA ? ABBE SHOLE DENONCE KATUMBI SUR CES MENACES ET LA MORT DE KADIOMBO. ABBE SHOLE DU 19 JUILLET 2021 . ( VIDEO )

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Décès brusque du comédien Kadiombo: La famille de l’artiste exige l’autopsie du corps

July 19, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUMMT80QPkAFeeVytq_a86Ucm9nn2cWTr2K8AZbEIynYjRa2R198IMqNus3wu7_cxP8qJFbC9zzDODLzsPpsVDir5fmavBa7dGSki80mpRmK69y0JGzWbUFSMIN2CQ4gLOqaJPME8JIWUt/s987/pouytt.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="987" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUMMT80QPkAFeeVytq_a86Ucm9nn2cWTr2K8AZbEIynYjRa2R198IMqNus3wu7_cxP8qJFbC9zzDODLzsPpsVDir5fmavBa7dGSki80mpRmK69y0JGzWbUFSMIN2CQ4gLOqaJPME8JIWUt/w320-h178/pouytt.png" width="320" /></a></div>Déjà annoncée dans les réseaux sociaux, la mort du comédien Kadiombo a émotion et compassion au regard de meneur d'opinion qu'il était. De son vivant et grâce à ses émissions sur Youtube, il s'était marqué la sympathie, mais aussi la méfiance de beaucoup de gens. Le dernier événement en date, qui l'a propulsé au-devant de la scène, c'est le débat sur la “Congolité” ou la proposition de loi Noël Tshiani, endossée par le député Singi Pululu. Pendant qu'il y avait de doute et questionnement face à ce décès brusque, c'est le communiqué nécrologique de la famille de l'illustre disparu qui est venu préciser les choses. Signé par Papa Raymond Mwamba Tambwa, ce communiqué renseigne que les familles Yamba, Mpata, Mwamba, Milambu et Bilonda ont la profonde douleur de vous annoncer la mort de leur grand-père, père, oncle, frère et époux, Mars Yamba Bilonda, alias Kadiombo, décès survenu ce vendredi 16 juillet 2021 à 2 h 40′ de suite d'une maladie. Le deuil se tient à Kinshasa, à la résidence de l'illustre disparu, au numéro 19/18 de l'Avenue Bel-Air dans la Commune de Mont Ngafula (Référence : En Vrac), à Lubumbashi, au numéro 03 de la Rue 18, sur l'Avenue Upemba dans la Commune Lubumbashi (Référence : Marché Mimbulu), à Kolwezi, au numéro 154 de l'Avenue Lumumba dans la Commune de Manika (Référence : Petit Malou). Comme en Afrique chaque mort a toujours une cause, ses proches ont commencé à rechercher sa mort à travers ses prises de position dans les réseaux sociaux. D'autres par contre ont affirmé que le decujus s'était fait opérer et que la mort était la conséquence de cet acte. D'autres encore vont affirmer que Kadiombo serait mort de Covid-19. Au-delà de tout ceci, Tout ceci a fait monter la tension dans le chef de certains de ses proches. C'est ainsi que l'Editeur du journal Impact News, Joël Cadet Ndanga s'est exprimé en ces termes : “Quelqu'un qui meurt de Covid-19, dans le coma pendant plus de 5 jours, ne peut saigner du nez, ni de la bouche et le visage gonflé comme quelqu'un qui a été frappé et dont la serviette dont l'on se servait pour l'essuyer se déchire d'elle-même. Pourquoi cette agitation dans le camp de celui qui a menacé et dont les menaces viennent d'être concrétisées ? Gecoco n'est pas médecin légiste. Vivement l'autopsie ! », dit-il. L'autopsie ayant été sollicitée, le corps de Kadiombo attendra encore, avant d'être enterré. Le temps pour les uns et les autres à découvrir la vérité sur les causes et les circonstances du décès de cet artiste qui avait encore beaucoup de choses à faire. lequotidien.cd

Théâtres Congolais Décès brusque du comédien Kadiombo: La famille de l’artiste exige l’autopsie du corps

Déjà annoncée dans les réseaux sociaux, la mort du comédien Kadiombo a émotion et compassion au regard de meneur d'opinion qu'il éta...

Sénat : état de siège prorogé pour la 4e fois consécutive

July 19, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5kxYRVD13qJ1-fZG43HTisrBCWGgfogyiFOT9Hd5hN7MOJcm_j1PrKVI4AFSK9YdaY4AUA2l6PP-6mppfyqMIlpc1hYofBkuaRbC8lQribeCvmZsI5dOrK4jz7v9d7m0UKbGljYg812jZ/s863/oiuuuu.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="511" data-original-width="863" height="189" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5kxYRVD13qJ1-fZG43HTisrBCWGgfogyiFOT9Hd5hN7MOJcm_j1PrKVI4AFSK9YdaY4AUA2l6PP-6mppfyqMIlpc1hYofBkuaRbC8lQribeCvmZsI5dOrK4jz7v9d7m0UKbGljYg812jZ/w320-h189/oiuuuu.png" width="320" /></a></div>Au cours d'une plénière tenu par visioconférence en raison de la pandémie de Covid 19 le lundi, les sénateurs ont prorogé pour la 4ème fois consécutivement l'état de siège décrèté dans les provinces du Nord-Kivu et de l'Ituri, pour 15 jours à dater de ce mardi 20 juillet 2021. D'après nos informations, tous les 78 sénateurs qui ont pris part à cette plénière ont voté pour. Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo ont mené des opérations militaires sur l'ensemble des zones opérationnelles depuis l'instauration de l'état de siège dans les 2 provinces de l'Est. D'après le compte rendu du dernier conseil des ministres, ces opérations d'envergure ont donné des résultats probants, permettant le renforcement de l' Pour rappel, le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, avait décrété vendredi 30 avril un état de siège au Nord-Kivu et en Ituri. Cela faisait suite à une vague de protestation sans précédent dans l'Est de la RDC, contre la multiplication des massacres et la perpétuation de l'insécurité. Par Gilbert Ngonga

Politique Sénat : état de siège prorogé pour la 4e fois consécutive

Au cours d'une plénière tenu par visioconférence en raison de la pandémie de Covid 19 le lundi, les sénateurs ont prorogé pour la 4ème f...

Hommages à Monsengwo : tout sur le discours de Ngobila

July 19, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijT3jV3_csjk3npJUW_2r3Oa_hTIaXHB9P5B23JaDu2Y0VAaaWS49u6Hi6ulF7hQ2ei4mApzEXiMR6R1TYM8lqZHOH47VXX88PLBBYTDxKmxwu5GJXpwIVbezZxR8TIj7eboVcQICDPzvl/s864/bvvvvpook.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="428" data-original-width="864" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijT3jV3_csjk3npJUW_2r3Oa_hTIaXHB9P5B23JaDu2Y0VAaaWS49u6Hi6ulF7hQ2ei4mApzEXiMR6R1TYM8lqZHOH47VXX88PLBBYTDxKmxwu5GJXpwIVbezZxR8TIj7eboVcQICDPzvl/s320/bvvvvpook.png" width="320" /></a></div>La dépouille mortelle du Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya est arrivée à Kinshasa le dimanche 18 juillet 2021, en début d'après-midi. Aussitôt atterri à kinshasa, la dépouille mortelle du 3ème Cardinal de la RDC a été escortée avec un impressionnant cortège depuis l'aéroport de N'djili jusqu'à la Cathédrale Notre-Dame de Lingwala. Tous les évêques des différents diocèses de la République Démocratique du Congo ont pris part à cette célébration mémoriale. Le Cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa était en tête du clergé catholique. Les officiels congolais de la RDC et du Congo Brazzaville étaient également présents : Les Présidents des deux Chambres du Parlement, des députés nationaux, le Premier Ministre, des membres du Gouvernement et beaucoup d'autres personnalités politiques et économiques de la RDC. Le Gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, présent à cette célébration, a eu l'occasion de rendre au Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, un vibrant hommage, au nom des kinois et au sien propre. Après l'homélie faite par l'Evêque d'Idiofa, Monseigneur José Moko, le patron de la Ville de Kinshasa a pendant sa prise de parole fait l'oraison funèbre de l'illustre disparu qu'il a qualifié de prince de l' Église et grand acteur de la scène politique de la RDC. Gentiny Ngobila Mbaka a relevé l'importance de rendre hommage aux grands esprits lorsqu'ils passent d'une vie à trépas. Étant donné que ces hommages permettent de conserver les souvenirs des valeurs humaines, intellectuelles et spirituelles au profit des générations futures. Le Premier Citoyen de la Ville de Kinshasa a regretté la disparition d'un baobab, d'un encrassement qu'est le cardinal Laurent Monsengwo Pasinya dont le pays avait encore besoin. Gentiny Ngobila a également fait l'éloge du prélat qui était pour lui une personnalité avec qui il a développé des relations très étroites et qui lui a donné l'occasion de s'abreuver à la source de sa sagesse dont il a bénéficié depuis l' époque où il était à la tête de la province du Mai-Ndombe, province d'origine du Cardinal Laurent MONSENGWO. « Je bénis le Seigneur Dieu Tout-Puissant qui par sa grâce et sa divinité a permis que je sois Gouverneur de Kinshasa en cette période spéciale de l'église catholique avec la création à Rome du Cardinal Fridolin Ambongo. Cette cérémonie à laquelle j'ai participé, a fait de moi l'un des rares dirigeants d'une ville africaine qui compte deux cardinaux « , at-il déclaré. Et d'ajouter : » J'étais très fier d'avoir dans ma ville une personnalité d'un tel charisme, un loyal et fidèle serviteur de Dieu « , dit-il. Pour rappel, l'Archevêque émérite de Kinshasa, le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya est décédé le dimanche 11 juillet 2021 en France, à Versailles où il était évacué pour des soins médicaux.<div> </div><div>Par Olivier Rolland Tshimanga  </div>

Politique Religion Hommages à Monsengwo : tout sur le discours de Ngobila

La dépouille mortelle du Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya est arrivée à Kinshasa le dimanche 18 juillet 2021, en début d'après-midi. A...

Accord de Naïrobi : UNC dans le pétrin

July 19, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhY5mJRiYtaQ0_vvH9szHOwKCb9tmZgw-6_bQf4vEMVV36JtAquFx-By9YsrP4DWYajz556nSsDptDLQzgYfNOVyO8XoluZ-8K4E_05RAUGqAi-m06wMUXs4wCuFCl2-FHvCh5kDGEUfX1/s792/bhhv.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="432" data-original-width="792" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhY5mJRiYtaQ0_vvH9szHOwKCb9tmZgw-6_bQf4vEMVV36JtAquFx-By9YsrP4DWYajz556nSsDptDLQzgYfNOVyO8XoluZ-8K4E_05RAUGqAi-m06wMUXs4wCuFCl2-FHvCh5kDGEUfX1/s320/bhhv.png" width="320" /></a></div>« Je prends tout mon courage pour dire que l'accord de Naïrobi n'est pas enterré, mais dépassé. (Et la Coalition Cap pour le Changement, CACH née de cette entente) est également dépassé. C'est de l'histoire, dont on tient compte dans l'évolution », clame Jean-Baudouin Mayo, député national et ancien secrétaire général de l'Union pour la nation congolaise (UNC) de Vital Kamerhe, invité du Magazine FACE- À-FACE sur TOP CONGO FM. « L'accord de Naïrobi était ambitieux », quand on lui demande si au final, cette Coalition née entre 2 déçus de Lamuka, n'était pas une duperie. « Il n'y a pas eu des dupes. L'UNC est toujours au pouvoir, L'UNC est de tous les gouvernements (FCC-CACH puis Union sacrée) grâce à cet accord », souligne-t-il. De toute façon, « l'accord de Naïrobi prévoyait Vital Kamerhe Premier Ministre, mais au sortir des élections, nous avons gagné avec Félix Tshisekedi, Président de la République mais nous n'avons pas eu la majorité parlementaire, UNC et UDPS, nous avons fait à peine 52 ou 53 députés sur les 500 », note Jean-Baudouin pour combien, cette entente est aujourd'hui hors de propos. « Plus CACH, reste le groupe parlementaire UDPS et UNC. À l'Assemblée nationale, ce groupe s'appelle CACH jusqu'aujourd'hui », note-t-il, faisant allusion à la déclaration de son successeur, Billy Kambale qui avait, suspendu la participation des élus UNC aux activités de CACH et Union sacrée, au lendemain de la confirmation de la condamnation de Vital Kamerhe pour détournement. Par ailleurs, Jean-Baudouin Mayo annonce que son parti va « fortement » soutenir le Président Tshisekedi à la présidentielle de 2023. « Il n'y a pas de doute », souligne-t-il « C'est la politique. Il faut faire avec les conditions du moment. Le Président Tshisekedi est la, l'Unc va le soutenir. Et ça sera le point de vue du Président Kamerhe », lance-t-il. Et pour cause, « Vital Kamerhe est le partenaire de Tshisekedi, qu'il soit là, qu'il soit en prison, il n'a jamais déclaré avoir coupé (les ponts) avec Tshisekedi », justifie Jean-Baudouin Mayo. « Et même s'il n'était pas en prison, c'est un homme réaliste, un homme très altruiste, en même en politique », vante-t-il, avant de lâcher énigmatique : « je sais d'où lui vienne les erreurs, mais je n'ai pas à le dire, <div> </div><div>Par Top Congo Fm</div>

Politique Accord de Naïrobi : UNC dans le pétrin

« Je prends tout mon courage pour dire que l'accord de Naïrobi n'est pas enterré, mais dépassé. (Et la Coalition Cap pour le Changem...

« Il est incompréhensible que Moise Katumbi soit l’objet des médisances et insultes… », Ensemble pour la République

July 19, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDMMxbz7ssfKfFdtaNc9DNruDVJ4YcKAjOQRObhwdvV8uCUi66VbFG3iTIf5FmcT1cwm4XzECVAEWxtx_pHb5FvhKP4_szxA6gpR1CgMUnUpt4NeM3y-XANkyTaCEWruITLIbVwkrKlbuy/s1280/kaaaaaaa.webp" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1280" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDMMxbz7ssfKfFdtaNc9DNruDVJ4YcKAjOQRObhwdvV8uCUi66VbFG3iTIf5FmcT1cwm4XzECVAEWxtx_pHb5FvhKP4_szxA6gpR1CgMUnUpt4NeM3y-XANkyTaCEWruITLIbVwkrKlbuy/s320/kaaaaaaa.webp" width="320" /></a></div>Dans un communiqué paru le dimanche 18 juillet signé son secrétaire général, la plate-forme Ensemble pour la République dénonce les humiliations que subit son leader politique, Moise Katumbi, de la part de certains membres de l'Union Sacrée. Un climat de tensions sévit au sein de l'Union Sacrée initiée par le président de la République, fédérant tout le monde autour de sa vision du changement. Les dernières heures ont été très révélatrices. De la loi Tshiani, à la mort de Kadiombo, en passant par l'arrestation de Jacky Ndala par l'ANR, tout est tendu au sein de l'union sacrée. Que des escalades verbales entre certains membres. Loin de jouer à la victimisation, Ensemble pour la République réprouve toutes les insultes et médisances proférées à l'endroit de son leader politique. « Il est incompréhensible que Moise Katumbi, notre leader, soit l'objet des médisances et insultes par certains membres de l'union sacrée sans que personne ne s'en indigne. La construction d'une coalition est une œuvre collective ; le mépris des partenaires n'honore pas », note la plate-forme de l'ancien gouverneur du Katanga dans son communiqué du dimanche 18 juillet. congoactu

Politique « Il est incompréhensible que Moise Katumbi soit l’objet des médisances et insultes… », Ensemble pour la République

Dans un communiqué paru le dimanche 18 juillet signé son secrétaire général, la plate-forme Ensemble pour la République dénonce les humiliat...

Démission de Moïse Moni Della à l'Ogefrem : premièr signe de la rupture entre Katumbi et Tshisekedi ?

July 19, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg1CrI2XzerURJ13X8iBbithoDmYK2tm2u99-KktNggRul3n2FTd8cyDb8i26XjD_baUplamBXuH-XlXVM-qdQ09P4ooGo3E1biSk27YT-kmFP7TGaFEbgU8gghjsYVWDQwHQGnQq5JVC5x/s614/pokooooooooo.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="443" data-original-width="614" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg1CrI2XzerURJ13X8iBbithoDmYK2tm2u99-KktNggRul3n2FTd8cyDb8i26XjD_baUplamBXuH-XlXVM-qdQ09P4ooGo3E1biSk27YT-kmFP7TGaFEbgU8gghjsYVWDQwHQGnQq5JVC5x/s320/pokooooooooo.png" width="320" /></a></div>Nommé Censeur à l'Ogefrem le 12 juillet dernier par le Ministre des Transports, Voies de Communication et de Désenclavement, Moïse Monindela a décidé de décliner l'offre lui faite par Chérubin Okende. Sa décision a été rendue publique ce dimanche 18 juillet 2021, dans une lettre adressée au Ministre des Transports, Voies de Communication et de Désenclavement dont une copie a été consultée par 24H.cd. La raison de l'offre de sa nomination est motivée par des raisons purement politiques ainsi que ses convictions religieuses. ‹‹ Je suis sensible de la confiance que vous m'accordez et vous en remerciez et glonez le Seigneur Dieu, maître des temps et des circonstances. Toutefois, en raison de la fois de mes convictions personnelles et du climat politique actuel, je vois dans l'obligation de décliner l'offre que vous me faites. En effet, le CONADE, parti politique où je suis le Président, est l'ensemble politique d'ensemble pour la République avec qui il partage les valeurs d'inclusion et du vivre-ensemble. <div> </div><div>C'est pour cela d'aileurs que je définis la politique comme la multiplication, l'addition et non la soustraction ou la division. Les récentes tentatives de déstabilisation du leader d'Ensemble pour la République, Moise Katumbi, à travers l'indécente proposition de loi Tshiani/Pululu, Et d'ajouter : ‹‹ Ceux qui me connaissent et savent mon combat pour l'instauration d'un État de droit, savent très bien que je ne peux en aucun cas sacrifier mes convictions religieuses, politiques et morales sur l'autel de l 'intérêt personnel. Ce qui explique d'ailleurs mon engagement précoce au sein de l'UDPS, auprès des treize parlementaires, quelque mois aprės sa création en 1982. Un engagement qui m'a valu la qualité de cofondateur historique et authentique de ce grand parti politique ›› , un écrit Moïse Monindela.</div><div> Par Olivier Rolland Tshimanga </div>

Politique Démission de Moïse Moni Della à l'Ogefrem : premièr signe de la rupture entre Katumbi et Tshisekedi ?

Nommé Censeur à l'Ogefrem le 12 juillet dernier par le Ministre des Transports, Voies de Communication et de Désenclavement, Moïse Monin...

État de siège : une centaine de "présumés criminels" interpellés dans un bouclage à Goma

July 19, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgogvMzi8NVOQca3pIk8U3Ib1tWAa2jwg0Eni7_0DyO6u-SLZqjWond49DJi2q1DOW0uLzM30K_DOkA2lymUY-AD8kxe3i8Sa34h7z72NXV9wAGww5tMf-jQs3OTU8suC8lyS2m9K2sW35M/s627/IUYYYYY.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="627" data-original-width="584" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgogvMzi8NVOQca3pIk8U3Ib1tWAa2jwg0Eni7_0DyO6u-SLZqjWond49DJi2q1DOW0uLzM30K_DOkA2lymUY-AD8kxe3i8Sa34h7z72NXV9wAGww5tMf-jQs3OTU8suC8lyS2m9K2sW35M/s320/IUYYYYY.png" /></a></div>Au total, 139 personnes ont été interpellées lors d'un bouclage effectué par les éléments des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), avec ceux de la Police Nationale Congolaise (PNC) au quartier Bujovu, en ville de Goma, chef -lieu du Nord-Kivu, la nuit du samedi à ce dimanche 18 juillet 2021. Les services de sécurité rapportent que 12 armes AK-47, des armes blanches et des stupéfiants ont également été retrouvées dans quelques maisons fouillées et saisies. Parmi les 139 personnes, figurent une dizaine de militaires FARDC et 9 sujets étrangers qui seront mis à disposition du service des migrations pour une extradition. Les mêmes sources sécuritaires soulignent qu'après l'audition et le triage, 66 de ces 139 personnes ont été relâchées et 73 autres transférées en prison centrale de Goma (Munzenze). « L'opération d'aujourd'hui s'inscrit dans la logique de la lutte contre la criminalité. C'est-à-dire, ce n'est pas le premier, ni le dernier bouclage. Nous sommes au deuxième, et nous allons continuer. Notre souci c'est d'arracher les armes des mains des bandits, afin de votre permettre à la population de vivre en toute quiétude » , a expliqué le général de Brigade Tshinkobo Mulamba Ghislain, commandant de la 34e région militaire dans une interview accordée à 7SUR7.CD à l'issue de la présentation de ces présumés criminels. Il convient de noter que cette opération entre dans le cadre de l'état de siège en vigueur dans le Nord-Kivu et l'Ituri depuis le 06 mai dernier. Il a été mis en place pour mettre fin à l'insécurité et prévoit l'organisation des patrouilles et policières dans les villes et territoires afin de mettre la main sur les criminels. Glody Murhabazi, à Goma

Insécurité Province État de siège : une centaine de "présumés criminels" interpellés dans un bouclage à Goma

Au total, 139 personnes ont été interpellées lors d'un bouclage effectué par les éléments des Forces Armées de la République Démocratiqu...

Le parti de Katumbi dénonce la détention d’un de ses cadres

July 19, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgZjr0dABkVnooDURzAX41tK5ajJQQ3RWa0nxaTBnNbX8TJGfqkZQkCU_dVtvw3GlfL9_I2ruGfz4-bGstWj-KYZnPCVfaw0msbczpCruSZqSYwHp1uS-MfTc6eH-8Qt1vsg828-ZWiysx/s640/okokooooo.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgZjr0dABkVnooDURzAX41tK5ajJQQ3RWa0nxaTBnNbX8TJGfqkZQkCU_dVtvw3GlfL9_I2ruGfz4-bGstWj-KYZnPCVfaw0msbczpCruSZqSYwHp1uS-MfTc6eH-8Qt1vsg828-ZWiysx/s320/okokooooo.jpg" width="320" /></a></div>Le parti de l'ex-gouverneur du Katanga Moïse Katumbi a dénoncé lundi l'arrestation du leader de la jeunesse de cette formation politique, invitant la communauté internationale à porter son regard sur « la montée des dérives » en République démocratique du Congo. Le président de la jeunesse du parti « Ensemble pour la République » Jacky Ndala a été « enlevé (dimanche) à son domicile et conduit vers une destination inconnue », a déclaré à l'AFP Papy Mbaki, son adjoint. Ensemble pour la République « dénonce les auteurs de ce comportement qui use, de façon éhontée, des services de protection de la République à des fins de brimades, d'intimidation et d'intolérance politique et exige sa relaxation immédiate et inconditionnelle » de M. Ndala, a écrit dans un communiqué son secrétaire général, Il a par ailleurs invité la communauté internationale « à bien observer la montée des dérives et des initiatives à haut risque en cours, qui demande de replonger ce pays dans l'abime ». Parti de M. Katumbi, richissime homme d'affaires, Ensemble pour la République compte six membres au sein du gouvernement de l'Union sacrée de la nation du président Félix Tshisekedi. En juin, ce parti avait menacé de quitter cette coalition au pouvoir, dès l'inscription au calendrier des travaux de l'Assemblée nationale d'une proposition de loi sur la citoyenneté des candidats à la présidence qui prévoit que seuls des Congolais nés de deux parents congolais pourraient se représenter. Si cette loi est votée, M. Katumbi – né d'un père italien et d'une mère congolaise – qui affiche ses ambitions serait exclu de la course à la présidentielle censée avoir lieu en décembre 2023. Cette loi initiée par Noël Tshiani, un proche du président Tshisekedi, a été déposée à l'Assemblée nationale le 8 juillet. Un haut responsable des services des renseignements de la RDC a confirmé à l'AFP la détention de M. Ndala qu'il accuse entre autres d' » incitation à la violence et à la rébellion ». Une vidéo adressée à l'AFP par le responsable sécuritaire, montre M. Ndala haranguer un groupe de personnes et dire : « Lorsque le signal sera donné, là où tu es, près de ta résidence, allume le feu (…) Nous avons pris rendez-vous d'aller visiter le palais du peuple »,<ul class="post_details clearfix" style="background-color: white; border-top: 1px solid rgb(233, 233, 233); box-sizing: border-box; clear: both; float: none; font-family: jaf-bernino-sans, sans-serif; font-size: 14px; list-style: none; margin: 20px 0px 0px; padding: 15px 0px 0px;"><li class="detail author" style="background-color: transparent; background-image: url("images/icons/other/post_author.png"); background-position: 0% 50%; background-repeat: no-repeat; border: none; box-sizing: border-box; color: #7c7c7c; float: left; font-size: 13px; font-weight: 700; margin-bottom: 5px; margin-right: 20px; padding: 0px 0px 0px 20px;"><span style="border: 0px; box-sizing: border-box; color: #ac1137; font-family: inherit; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: none; overflow: hidden; padding: 0px; vertical-align: inherit;">AFP</li><li></li></ul>

Politique Le parti de Katumbi dénonce la détention d’un de ses cadres

Le parti de l'ex-gouverneur du Katanga Moïse Katumbi a dénoncé lundi l'arrestation du leader de la jeunesse de cette formation polit...

Arrestation de Jacki Ndala : Jean-Claude Katende parle du retour d'un vieux démon

July 19, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWMcE7urda5iaU67oQ_8LIsfUBRpX1S3-g9faLjpNn_5QLeMwM9EF678GyyFsvJXWapeJBjUFmhTn6WKlRfMrFOXIWB_3wVvBgtG_S7ev1xPq3uYnFKcLsMBPY_AcWS7WqgzdGrdD_4oYF/s593/Snapshot_3hbbhbhheszzqqzqzaautrdrdrrd.png" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="593" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWMcE7urda5iaU67oQ_8LIsfUBRpX1S3-g9faLjpNn_5QLeMwM9EF678GyyFsvJXWapeJBjUFmhTn6WKlRfMrFOXIWB_3wVvBgtG_S7ev1xPq3uYnFKcLsMBPY_AcWS7WqgzdGrdD_4oYF/s320/Snapshot_3hbbhbhheszzqqzqzaautrdrdrrd.png" width="320" /></a></div> Jacky NDALA, Coordonnateur de la Jeunesse de Ensemble pour la République, parti politique de Moïse Katumbi, a été arrêté ce dimanche 18 juillet par des hommes armés en tenue civile.
Porté disparu selon son parti politique, plusieurs sources concordantes annoncent que Jacki Ndala serait incarcéré aux installations de l'Agence Nationale de Renseignement (ANR).
Réagissant à cette arrestation, Jean-Claude Katende, activiste des droits de l'homme et président de l'Asadho, a rencontré en cause l'engagement du président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, d'humaniser l'ANR.
« Quelles soient que les raisons, les pratiques utilisées pour arrêter Mr Ndala sont indignes et remettent en cause l'engagement du président Tshisekedi d'humaniser l'ANR. Nous condamnons cette arrestation arbitraire. Libérez M. Ndala. Petit à petit, le pays retourne à ses vieux démons », peut-on lire sur son compte tweeter de ce lundi 19 juillet 2021.
Il faut préciser que jusqu'à là, les raisons de cette arrestation ne sont pas encore connues. Son parti politique qui fustige cette arrestation, appelle à sa libération sans condition.
Joël Mesa Nzuzi

Politique Arrestation de Jacki Ndala : Jean-Claude Katende parle du retour d'un vieux démon

Jacky NDALA, Coordonnateur de la Jeunesse de Ensemble pour la République, parti politique de Moïse Katumbi, a été arrêté ce dimanche 18 ju...

MENACE DE MORT CONTRE NOËL TIANI ET SINGI PULULU: ME.FRANCK KALOLO PORTE PLAINTE CONTRE JACKY NDALA (VIDEO)

July 18, 2021

infos en vidéos Politique MENACE DE MORT CONTRE NOËL TIANI ET SINGI PULULU: ME.FRANCK KALOLO PORTE PLAINTE CONTRE JACKY NDALA (VIDEO)

RDC : Jacky Ndala, coordonnateur de la jeunesse du parti de Katumbi, interpellé par les services de sécurité

July 18, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEginGBn0F3fjAQ6qx0VbzRrVd6lmz5LmfvqHr0wp1pJwL6bLIjJFQVtAzlZsOI7hM1bnT3Eh-M-OmRvT0dur3lIX7OPyv7zU0GtN6CFEuXqF7kB3RP3jt9exY74gZWITXlXsc0B4_XtmTWa/s640/okokooooo.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEginGBn0F3fjAQ6qx0VbzRrVd6lmz5LmfvqHr0wp1pJwL6bLIjJFQVtAzlZsOI7hM1bnT3Eh-M-OmRvT0dur3lIX7OPyv7zU0GtN6CFEuXqF7kB3RP3jt9exY74gZWITXlXsc0B4_XtmTWa/s320/okokooooo.jpg" width="320" /></a></div>Jacky Ndala, coordonnateur de la ligue des jeunes du parti de Moïse Katumbi, a été interpellé ce dimanche 18 juillet 2021 par les services de sécurité. L'information est confirmée à 7SUR7.CD par plusieurs cadres du parti Ensemble pour la République, qui noncent par la même occasion une « arrestation arrêtée ». Papy Mbaki, coordonnateur adjoint de la Jeunesse d'Ensemble pour la République, était le premier à lancer l'alerte via un message diffusé sur les réseaux sociaux. « J'informe l'opinion tant nationale qu'internationale que le coordonnateur national de la Jeunesse de Ensemble pour la République (JER) Jacky Ndala vient d'être enlevé il y a quelques minutes », avait-tt-il dénoncé dans l'avant -midi de ce dimanche. Pour rappel, dans une interview accordée à 7SUR7.CD samedi dernier, le député national Nsingi Pululu qui a porté la Loi Tshiani à l'assemblée nationale, a dénoncé des menaces de mort contre sa personne. Cet élu du peuple membre de l'union sacrée de la Nation Nation du président Tshisekedi avait cité le nom de Jacky Ndala parmi ceux qui proféraient des menaces contre sa personne. « D'abord, il y a eu des vidéos sur les réseaux sociaux dans lesquels un certain Jacky Ndala me menace... Ensuite, s'en est suivi des menaces téléphoniques depuis jeudi dernier avec des numéros masqués », avait indiqué Nsingi Pululu. Jephté kitsita

Politique RDC : Jacky Ndala, coordonnateur de la jeunesse du parti de Katumbi, interpellé par les services de sécurité

Jacky Ndala, coordonnateur de la ligue des jeunes du parti de Moïse Katumbi, a été interpellé ce dimanche 18 juillet 2021 par les services d...

L’assemblée générale de l’UA annoncée en novembre à Kinshasa (Conseil des ministres)

July 18, 2021

Au cours de la 12ème réunion du Conseil des ministres, présidée en visio-conférence par le premier ministre Sama Lukonde vendredi 16 juillet, le gouvernement a été informé de la tenue de l’assemblée générale de l’Union Africaine (UA) au mois de novembre prochain à Kinshasa, capital de la République démocratique du Congo, pays qui assure la Présidence de cette organisation africaine. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0Qr23crveWmvVjjS4KZL-bKt0758pAsceCTwKTSSiFjB7_l5PEDFYz8fbyZOpgWM55Wctk3p08E07U5apWZ_cHuZcOS17WaIAvvNtjHp8A5g_5pW1Tx3Xurj-eNLzIdYEvO9XpjePRg/s640/muyaya_patrick_21_4_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0Qr23crveWmvVjjS4KZL-bKt0758pAsceCTwKTSSiFjB7_l5PEDFYz8fbyZOpgWM55Wctk3p08E07U5apWZ_cHuZcOS17WaIAvvNtjHp8A5g_5pW1Tx3Xurj-eNLzIdYEvO9XpjePRg/w640-h350/muyaya_patrick_21_4_jpg_640_350_1.jpeg" width="640" /></a></div> « Le Conseil a été également saisi de la tenue de l’assemblée générale de l’union Africaine au mois de novembre 2021, en présentiel, à Kinshasa », peut-on lire dans le compte-rendu du ministre de la communication et médias, Patrick Muyaya.
 
 
 
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 A en croire la même source, le gouvernement de la République démocratique du Congo, pays qui assume la présidence de l’Union Africaine, est appelée à s’impliquer pour la réussite de ce sommet. Pour rappel, c’est le 06 février 2021 que Félix Tshisekedi avait pris officiellement les commandements de l’Union Africaine pour un mandat d’un an.

la Nation L’assemblée générale de l’UA annoncée en novembre à Kinshasa (Conseil des ministres)

Au cours de la 12ème réunion du Conseil des ministres, présidée en visio-conférence par le premier ministre Sama Lukonde vendredi 16 juillet...

Ceux qui veulent qu’on retire la loi sur la CENI, ne veulent pas l’organisation des élections en 2023 (Ngoyi Kasanji)

July 18, 2021

Dans une interview accordée à la presse vendredi, le député national Alphonse Ngoyi Kasanji s’est exprimé sur les critiques virulentes contre la nouvelle loi organique portant fonctionnement et organisation de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) et la publication du calendrier de désignation des membres de cette institution. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixL7UtnQ5lH49DN7Az3-nokUPgkRHDbk7K9r9PseOmpDeJwuJLM8Qktq3Qw-QB_nEdMiDWe2RZgcSOly8rGmIZNfrjm96Q-VAgEe6JOMPvrNhQbdgr1QsVOMMtttzxTomze5K00YWEyw/s1024/Ngoyi-Kasanji-consultations.webp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="576" data-original-width="1024" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixL7UtnQ5lH49DN7Az3-nokUPgkRHDbk7K9r9PseOmpDeJwuJLM8Qktq3Qw-QB_nEdMiDWe2RZgcSOly8rGmIZNfrjm96Q-VAgEe6JOMPvrNhQbdgr1QsVOMMtttzxTomze5K00YWEyw/w640-h360/Ngoyi-Kasanji-consultations.webp" width="640" /></a></div> D’après cet élu, la publication du calendrier de désignation des membres de la centrale électorale par l’Assemblée nationale est une étape importante pour les élections de 2023. « Il ne faut pas que les démarches des uns et des autres contredisent l’objectif principal qui est l’organisation des élections. J’ose croire que tout le monde veut le respect du délai constitutionnel pour l’organisation des élections. Mais, il ne faudra pas en même temps que ce que nous cherchons ne soit le contraire de l’objectif principal. Je crois qu’en ce moment avec la publication du calendrier pour la mise en place de la CENI, c’est une étape importante qui nous mène directement vers l’organisation des élections d’ici 2023. Ceux qui veulent qu’on retire la loi, ils ne veulent pas aussi l’organisation des élections en 2023. Il ne faut pas chercher une chose et son contraire à la fois », a t-il déclaré.
 
 
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 Par ailleurs, le député Alphonse Ngoyi Kasanji a estimé que la loi sur la CENI adoptée par les deux chambres du Parlement et promulguée par le président de la République, prend en compte tous les désidératas des couches socio-politiques du pays. « Dans cette proposition de loi, tout le monde est pris en compte. Il y a la société civile qui a sa part, l’opposition et la majorité. Il faudra que tout le monde s’organise au niveau de la base, parce qu’on a vu ici avec Ronsard Malonda, il y a eu rejet. Aussi longtemps qu’on rejette, on retarde l’organisation des élections, ce que le peuple ne veut pas », a ajouté l’ancien gouverneur du Kasaï Oriental.
 
 
 
 
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 En outre, Alphonse Ngoyi Kasanji a invité l’église catholique à s’activer pour la mise en place de cette institution d’appui à la démocratie, ainsi qu’à la désignation de ses représentants afin d’organiser les élections dans le délai constitutionnel.

Politique Ceux qui veulent qu’on retire la loi sur la CENI, ne veulent pas l’organisation des élections en 2023 (Ngoyi Kasanji)

Dans une interview accordée à la presse vendredi, le député national Alphonse Ngoyi Kasanji s’est exprimé sur les critiques virulentes contr...

Aéroport de N’djili′ : les jeunes déjà mobilisés pour accueillir la dépouille de Monsengwo

July 18, 2021

Ils ne l’ont pas oublié. Reconnaissant à leur « Tata cardinal », les jeunes sont les premiers à atteindre, par centaine, l’aéroport international de N'djili pour accueillir la dépouille du cardinal Monsengwo. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9iVob6mAJLXiaq1cOWRkzG7cJ5BrcQ2QwxThq1d3hb80zhaHpxanuvkm7YbQlNb0_a7TdsV1Ti9vlagfhc-OCWg3YyFcnXEWerZfyhOhoYK4pbWMYQ7KZ2ga35z28wEsHqZxNwn2RvQ/s1000/PSX_20210718_101007.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="523" data-original-width="1000" height="334" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9iVob6mAJLXiaq1cOWRkzG7cJ5BrcQ2QwxThq1d3hb80zhaHpxanuvkm7YbQlNb0_a7TdsV1Ti9vlagfhc-OCWg3YyFcnXEWerZfyhOhoYK4pbWMYQ7KZ2ga35z28wEsHqZxNwn2RvQ/w640-h334/PSX_20210718_101007.jpg" width="640" /></a></div> Nombreux viennent de paroisses de la partie Ouest de Kinshasa. Ils ont séché la messe les uns et les autres ont participé à la messe de samedi soir. Des procédés différents mais pour atteindre un seul objectif, arriver à temps et ainsi éviter des probables embouteillages. Tous (ou presque) vêtus en t-shirts imprimés avec l’image de l’archevêque émérite et défunt cardinal Laurent Monsengwo. Ils sont regroupés dans les pubs d’à côté, les visages émus. Tout laisse à croire qu’ils seront certainement emportés quand ils verront le cercueil de leur défunt pasteur.
 
 
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 Monsengwo et les jeunes catholiques, la belle histoireIls sont attachés à jamais. Dès sa prise de fonction en qualité de cardinal (2010), Laurent Monsengwo avait instauré une rencontre annuelle avec tous les jeunes de la Capitale. De 2010 jusqu’à avant sa démission comme archevêque de Kinshasa, le prélat priait avec les jeunes chaque année, le jour de la fête des rameaux. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6ex25kWeoegulSuzGEGuuHIdx5YfoHnMF_4sojfgf89KcwOtdek9euJOaFJELcqZgBufjfbxXgCzxBtzdIuoL7dKyprAII9BRhfrST-StUP6Gm9VUM_jck7mPUazOHUwpcEW1YwlGWg/s1000/PSX_20210718_101033.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="523" data-original-width="1000" height="334" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6ex25kWeoegulSuzGEGuuHIdx5YfoHnMF_4sojfgf89KcwOtdek9euJOaFJELcqZgBufjfbxXgCzxBtzdIuoL7dKyprAII9BRhfrST-StUP6Gm9VUM_jck7mPUazOHUwpcEW1YwlGWg/w640-h334/PSX_20210718_101033.jpg" width="640" /></a></div> L’archevêque de Kinshasa avait l’habitude d’organiser cette Eucharistie dans les lieux publics, comme au stade (Martyrs de la Pentecôte ou Tata Raphaël ) où encore dans l’enceinte de l’Institut professionnel de la Gombe (IPG). Son remplaçant Fridolin Ambongo lui a emboîté le pas pour pérenniser cette belle initiative de communier chaque année avec la catégorie de citoyens de la ville.

A LA UNE Aéroport de N’djili′ : les jeunes déjà mobilisés pour accueillir la dépouille de Monsengwo

Ils ne l’ont pas oublié. Reconnaissant à leur « Tata cardinal », les jeunes sont les premiers à atteindre, par centaine, l’aéroport internat...

Diomi libéré, la police poursuit les enquêtes

July 18, 2021

Sale temps pour Diomi Ndongala. Libéré après 24 heures de détention au camp Lufungula, le leader de la Démocratie chrétienne sera de nouveau entendu dans une affaire de viol sur mineure. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDerLvCaPqZnuzBdyxLY0cwNRhPzdRc_3YkzOJkPoW881ZgMMmOg0MaQc2LTldoj7o8vJQUoP9eCNxwJxtHO0wJHdMUJAFJ5ow05SVClxMTLpY8x7A-WiaV2lDl42xyiZw-aLpwpsJgQ/s810/PSX_20210718_063159.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="424" data-original-width="810" height="336" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDerLvCaPqZnuzBdyxLY0cwNRhPzdRc_3YkzOJkPoW881ZgMMmOg0MaQc2LTldoj7o8vJQUoP9eCNxwJxtHO0wJHdMUJAFJ5ow05SVClxMTLpY8x7A-WiaV2lDl42xyiZw-aLpwpsJgQ/w640-h336/PSX_20210718_063159.jpg" width="640" /></a></div> Après un interrogatoire serré et la confrontation avec l’accusée, l’ancien ministre des Mines sous Kabila a été relaxé. Il est accusé de viol sur une mineure de 13 ans. Depuis vendredi, le candidat malheureux à la présidentielle de 2006 est derrière les barreaux.Les sources policières renseignent qu’il a été appréhendé à l’hôtel Terra Nova, situé dans la commune de Kinshasa, à la suite d’une clameur publique. Il a médité une journée dans une cellule au cachot du camp Lufungula, dans la commune de Lingwala avant de recouvrer sa liberté. Lui-même a balayé ses accusations renvoyant l’acte à un client de son hôtel. Entendue sur procès-verbal, la victime a pourtant attesté les faits. Selon la même source, le bourreau des mineures n’en serait encore qu’aux attouchements sexuels au moment où les éléments de la police l’ont surpris.
 
 
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 Bien que tiré momentanément d’affaire, le casier judiciaire de l’ancien président contesté de l’AS V.Club de Kinshasa est entaché. En 2014, il a été condamné à dix ans de servitude pénale pour la même infraction. Présenté par l’opposition de l’époque comme un prisonnier politique du régime Kabila, Diomi Ndongala bénéficie d’une libération conditionnelle en mars de 2019 sous l’ère Félix Tshisekedi.Cet énième scandale intervient avant la date du 8 avril 2023 fixée par l’arrêté ministériel signé par le ministre de la Justice pour lui accorder la libération définitive en cas de non révocation. Lors de sa remise en liberté conditionnelle, Diomi Ndongala a été enjoint de rester à 500 mètres des écoles des filles à cause de sa pédophilie.

Société Diomi libéré, la police poursuit les enquêtes

Sale temps pour Diomi Ndongala. Libéré après 24 heures de détention au camp Lufungula, le leader de la Démocratie chrétienne sera de nouveau...

Urgent : Jacky Ndala enlevé ou arrêté?

July 18, 2021

Les menaces pesaient sur sa personne. Finalement, le président de la Ligue des jeunes d’Ensemble pour la République vient d’être enlevé près de chez lui, alerte Papy Mbaki, son adjoint à la coordination de la Jeunesse d’Ensemble pour la République. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5NEOjpDFMa7DqEcJtFmZmwP0SpKRmZA4RVdF5CDp_2Ap2xd7mqvkAsAiyzm3UcHN66Tk0XROa5raVs8LxGIc_NHMW4JfjoxNe96-vLisjRGLDj5PESLLndIO0eabSJx4xIq00gyKBOQ/s1050/Jacky-ndala.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="750" data-original-width="1050" height="458" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5NEOjpDFMa7DqEcJtFmZmwP0SpKRmZA4RVdF5CDp_2Ap2xd7mqvkAsAiyzm3UcHN66Tk0XROa5raVs8LxGIc_NHMW4JfjoxNe96-vLisjRGLDj5PESLLndIO0eabSJx4xIq00gyKBOQ/w640-h458/Jacky-ndala.jpeg" width="640" /></a></div> « J’informe l’opinion tant nationale qu’internationale que le coordonnateur national de la Jeunesse de Ensemble pour la République (JER) Jacky Ndala vient d’être enlevé il y a quelques minutes », dénonce Mbaki dans un bref communiqué parvenu dimanche à 11h30′ à Ouragan.cd.
 
 
 
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 Le jeune Katumbiste ajoute qu’il a été amené vers une destination inconnue par des hommes en uniforme non autrement identifiés. Le JER condamne cette arrestation arbitraire visant à taire les voix contraires au régime Tshisekedi. « Nous condamnons cette arrestation arbitraire visant à décourager en vain notre détermination à barrer la route à quiconque qui tentera de prendre des initiatives discriminatoires contre tout congolais », hurle Papy Mbaki qui appelle à la mobilisation pour obtenir la libération sans condition du résistant patriote, Jack Ndala.

Politique Urgent : Jacky Ndala enlevé ou arrêté?

Les menaces pesaient sur sa personne. Finalement, le président de la Ligue des jeunes d’Ensemble pour la République vient d’être enlevé près...

Minembwe : l’armée reconquiert la localité de Kakenge et neutralise 15 assaillants de la coalition Twirwaneho/Ngumino

July 17, 2021

Le Ministre de la Défense Nationale et Anciens Combattants a, au cours de la douzième réunion des Ministres tenue vendredi 17 juillet, fait état d’une situation générale qui, selon lui, demeure relativement calme et sous contrôle des Forces Armées de la République Démocratique du Congo en dépit de la persistance des poches d’insécurité dans la partie Est du pays, notamment dans les provinces où se déroulent les opérations militaires relatives à l’état de siège.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgH5bvfVhM20nDldw_x2kq0myOYjf0y6IyCW2CSVqc6LOp1t-gOzWAwvHCQlhuW18RWK65EbyX1pVN-5sDF7NAcu1QfAZsShUO3hRSjUZcykJjiIqxLndVJ3Bkvq9WFDtRoQbOZ4_VDWQ/s480/WhatsApp+Image+2020-04-20+at+10.58.16.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="270" data-original-width="480" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgH5bvfVhM20nDldw_x2kq0myOYjf0y6IyCW2CSVqc6LOp1t-gOzWAwvHCQlhuW18RWK65EbyX1pVN-5sDF7NAcu1QfAZsShUO3hRSjUZcykJjiIqxLndVJ3Bkvq9WFDtRoQbOZ4_VDWQ/w640-h360/WhatsApp+Image+2020-04-20+at+10.58.16.jpeg" width="640" /></a></div> Évoquant la situation de la province du Sud-Kivu, le Ministre Gilbert Kabanda Kurhenga a fait état “d’un calme dans les hauts-plateaux de Minembwe en territoire de Fizi après des violents affrontements entre les FARDC et la coalition des groupes armés Twirwaneho/Ngumino déclenchés le 10 juillet 2021. Après d’intenses combats dans cette zone du Sud-Kivu, confie-t-il, le gouvernement a dressé un bilan selon lequel : 15 assaillants ont été neutralisés et quarante-cinq autres blessés ;Perte de six militaires FARDC et 15 autres blessés ;Réouverture par les FARDC de la route Minembwe –Mikenge ;
 
 
 
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 Reconquête par les FARDC de la localité de Kakenge située à 13 kilomètres au Nord-Est de Minembwe.Pendant ce temps, Gilbert Kabanda a indiqué qu’en province de l’Ituri, l’axe sud du territoire d’Irumu autrefois sous menace des ADF et groupes armés est aujourd’hui sous contrôle des FARDC. “Actuellement, cette zone, y compris la Route Nationale N°4, sont sécurisées grâce aux opérations militaires. Sous l’autorité de l’Administrateur du territoire, des camions des FARDC ont acheminé des populations déplacées suite aux hostilités dans leurs milieux d’origine.” rapporte le compte-rendu du conseil des ministres exploité par POLITICO.CD
 
 
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 En outre, le Ministre en charge de la Défense Nationale et Anciens Combattants, Gilbert Kabanda Kurhenga, a aussi informé le Conseil de l’achèvement par le génie militaire de près de 700 maisons à Goma pour reloger les compatriotes qui ont perdu leurs domiciles à la suite de l’éruption volcanique du Nyiragongo. La construction des 300 autres maisons restantes, renseigne le compte-rendu, s’achèvera le 26 juillet prochain.

Société Minembwe : l’armée reconquiert la localité de Kakenge et neutralise 15 assaillants de la coalition Twirwaneho/Ngumino

Le Ministre de la Défense Nationale et Anciens Combattants a, au cours de la douzième réunion des Ministres tenue vendredi 17 juillet, fait ...

COVID-19 : le Gouvernement renouvelle pour la deuxième fois toutes les 19 mesures de riposte pour une durée de 15 jours

July 17, 2021

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a présidé vendredi 16 juillet la douzième réunion du conseil des Ministres. Évoquant la situation sanitaire, le Chef du Gouvernement a informé au Conseil de la baisse progressive de contamination au coronavirus grâce à l’efficacité des mesures qui ont été prises par le Président de la République.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhVJv9_Ev2cekaXFW4oa4iL03Rwyva6gQQXTrroYZcBFnD-YkkhlgxGrlCjepVX7NRSzNzsc0bYGjRp1Oog0Go1iBy5gZIFyB3zl7Rqj5bzTIVGZjDYdQbYqHTfH8fQ4A_XY5hXNQZHmQ/s554/8D3A331D-7B82-419F-B418-BB14161BDEC4.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="554" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhVJv9_Ev2cekaXFW4oa4iL03Rwyva6gQQXTrroYZcBFnD-YkkhlgxGrlCjepVX7NRSzNzsc0bYGjRp1Oog0Go1iBy5gZIFyB3zl7Rqj5bzTIVGZjDYdQbYqHTfH8fQ4A_XY5hXNQZHmQ/w640-h640/8D3A331D-7B82-419F-B418-BB14161BDEC4.jpeg" width="640" /></a></div> Malgré cette baisse, le gouvernement veut rester prudent . A cet effet, Jean-Michel Sama Lukonde a annoncé le renouvellement de toutes les 19 mesures de riposte prises lors du conseil des ministres du 19 juin dernier pour limiter la propagation du virus ce, après l’expiration du délai de 15 jours en attendant l’évaluation avec le Comité Technique de Riposte.Parmi ces mesures il y en autres : Le Maintien et renforcement du couvre-feu de 22 heures à 4 heures du matin avec patrouilles militaires
 
 
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 Stricte application des gestes barrières ( le port correct et obligatoire des masques, le respect de la distanciation physique, le lavage régulier des mains ou l’application de gel hydro alcoolique , la prise de température )L’interdiction de tout rassemblement de plus de vingt (20) personnes sur les lieux publicsLa subordination de la prise de température à l’entrée des marchés publicsL’interdiction des veillées mortuaires dans les funérariums et à domicile. Les dépouilles mortelles seront directement conduites de la morgue au lieu d’inhumation avec un nombre d’accompagnateurs n’excédant pas cinquante (50) personnesLe renforcement des contrôles sanitaires aux postes de frontière nationaux et obligation de présenter un test Covid négatif réalisé endéans de 3 jours ;Toute entrée sur le territoire nationale demeure subordonnée à un nouveau test Covid-19 auquel nul ne pourra déroger ;La fermeture des discothèques et boîtes de nuit, mais les restaurants seront opérationnels avec le strict respect des mesures barrières ;La gestion efficiente du personnel et le recours le cas échéant au travail à distance ;La prise en charge de tous les malades positifs de Covid-19 sur toute l’étendue de la république par le gouvernement continue à prendre en charge ;
 
 
 
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 Les universités et les milieux scolaires demeurent ouverts avec le renforcement du strict respect des gestes barrières ;La réduction du nombre des participants des églises à leurs cultes avec respect des mesures barrières, ainsi que la distanciation sociale ;Du point de vue sanitaire, il a été recommandé le test régulier, obligatoire et gratuit devant toutes toux associées ou non avec de la fièvre pour toutes les personnes à risque ou les plus exposées.

la Nation Santé Société COVID-19 : le Gouvernement renouvelle pour la deuxième fois toutes les 19 mesures de riposte pour une durée de 15 jours

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a présidé vendredi 16 juillet la douzième réunion du conseil des Ministres. Évoquant la situat...

Enjeux de l’heure : la loi Tshiani entre référendum et processus législatif

July 17, 2021

La voie du référendum est préférée par ceux qui estiment que seul le peuple devrait trancher.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEm4BZtW6_-Xzi_gvPKX1stcL5JP60pYze342OIbpQ7AW6mRY9T1lUgZRUdTuh7JdB5B8mIsPC0gfTD6ftw-FQExbdK0Her0JWaZ_tHGio0UaCBXxTsZggqr8QNOHMsnHIczniTaPHPQ/s480/WhatsApp-Image-2021-07-08-at-14.50.07.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="480" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEm4BZtW6_-Xzi_gvPKX1stcL5JP60pYze342OIbpQ7AW6mRY9T1lUgZRUdTuh7JdB5B8mIsPC0gfTD6ftw-FQExbdK0Her0JWaZ_tHGio0UaCBXxTsZggqr8QNOHMsnHIczniTaPHPQ/w640-h480/WhatsApp-Image-2021-07-08-at-14.50.07.jpeg" width="640" /></a></div> Le consensus s’avère difficile ou quasi impossible autour de la loi Tshiani. Alors que le président de la chambre basse du Parlement, Christophe Mboso, a annoncé qu’elle sera soumise au processus législatif conformément à la Constitution et au règlement intérieur de l’Assemblée nationale, certains élus proches de Moïse Katumbi proposent qu’elle soit soumise à un référendum populaire puisque violant les articles 13 et 220 de la loi fondamentale. Le président de la chambre basse du Parlement a récemment affirmé que la loi Tshiani sera traité suivant le processus législatif. Il a, de ce fait, clairement  condamné les réactions hostiles contre cette proposition de loi, son auteur, les institutions de la République ainsi que le chef de l’Etat. Il a jugé anormal que les acteurs politiques, les étrangers ayant acquis la nationalité congolaise ainsi que les diplomates étrangers se permettent de s’attaquer à la RDC à la suite d’une initiative législative qui permettra à la RDC de faire face aux actes de trahison.
 
 
 
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 Par contre, les groupes parlementaires G7-MS craignent que la loi sur la nationalité portée par le député Nsingi Pululu ne soit source de profondes divisions dans le pays et l’expose à une grave crise multiforme à la suite de son caractère séparatiste. Ils s’appliquent à mettre toutes les batteries en marche pour faire obstacle à cette proposition de loi qui, selon une certaine opinion, exclurait Moïse Katumbi de la course au pouvoir en 2023. Selon l’article 13 de la Constitution, « aucun Congolais ne peut, en matière d'éducation et d'accès aux fonctions publiques ni en aucune autre matière, faire l'objet d'une mesure discriminatoire… ». L’article 220, quant à lui, précise qu’il est formellement interdite toute révision constitutionnelle ayant pour objet ou pour effet de réduire les droits et libertés de la personne ou de réduire les prérogatives des provinces et des entités territoriales décentralisées.
 
 
 
 
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 Le projet de loi initiée par Noël Tshiani Muadiamvita propose que certaines fonctions régaliennes comme celle de président de la République soient réservées uniquement aux Congolais de père et de mère. Il a été déposé le 8 juillet  par le député Nsingi Pululu au bureau de l’Assemblée nationale.

Politique Enjeux de l’heure : la loi Tshiani entre référendum et processus législatif

La voie du référendum est préférée par ceux qui estiment que seul le peuple devrait trancher. Le consensus s’avère difficile ou quasi imposs...

Jacques Djoli : « A environ 884 jours, lier les élections de 2023 au recensement risque d’occasionner des échauffourées »

July 17, 2021

Le Groupe de treize (G13) personnalités politiques a fait une déclaration mardi 13 juillet à la presse, pour dénoncer le manque de consensus pour la désignation des membres de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Ces personnalités dénoncent aussi certaines initiatives susceptibles à replonger le pays dans la crise. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiPdwfEUOtavpvnx1q92rqFP3dclba9yBJcZk9aEZRCpdnMTSyPwO-uPnCXEFcfFQk59BSBKQ9w4vQlixfz2PRqHnmktSYEqBIj-pUaueaPQj2eEuiBwHZaghrM1q6hIy9zgbQ5CIemNg/s500/DJOLI-Jacques.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="375" data-original-width="500" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiPdwfEUOtavpvnx1q92rqFP3dclba9yBJcZk9aEZRCpdnMTSyPwO-uPnCXEFcfFQk59BSBKQ9w4vQlixfz2PRqHnmktSYEqBIj-pUaueaPQj2eEuiBwHZaghrM1q6hIy9zgbQ5CIemNg/w640-h480/DJOLI-Jacques.jpg" width="640" /></a></div>  Elles parlent notamment de l’option du gouvernement tendant à conditionner la tenue des élections au recensement de la population. « A plus ou moins 884 jours, lier la question des élections de 2023 à la problématique de recensement risque encore d’être encore une occasion d’échauffourées et de tiraillement au sein de la classe politique », estime Jacques Djoli, député national et membre du Groupe des 13 parlementaires.
 
 
 
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 Dans cet entretien accordé ce vendredi 16 juillet 2021 à Radio Okapi, il commente aussi la loi sur la nationalité congolaise, déposée à l’Assemblée nationale. Interview. Radio Okapi : Jacques Djoli, bonjour. Dans votre déclaration de mardi 13 juillet dernier, le G7 se dit préoccupé par la situation socio-politique et économique du pays. Qu’est-ce qui vous préoccupe le plus ? Jacques Djoli : [ce qui nous préoccupe le plus, c’est] la situation socio-économique caractérisée notamment par une certaine embellie de chiffres, notamment l’accroissement de réserve dû essentiellement à la bonne tenue de nos exportations minières. Cependant, l’allocation de ces ressources vers le secteur social reste encore timide, nonobstant par exemple l’augmentation de salaire des magistrats. Ce qui préoccupe le G13, c’est une approche globale qui viserait la transformation de notre économie, de cette économie de rente et d’exploitation brute des matières premières à une économie de transformation qui ferait de notre pays un bassin industriel. Sur le plan socio-politique, si on peut se féliciter de cette alternance, nous restons quand même préoccupés par la permanence de tension à tous les niveaux. Il y a un dysfonctionnement grave au niveau provincial et au niveau national. Les éphémérides créées par les dernières propositions de lois créent des dissensions au sein de la plateforme majoritaire. De même, la promulgation de la loi sur la CENI risque d’être aussi une occasion de fissure, non consensuelle, alors que le G13 en ce qui concerne cette question électorale, nous aurions voulu que la démarche soit consensuelle. Vous dénoncez dans votre déclaration l’option prise par le gouvernement de conditionner les élections par le recensement de la population. Est-ce que cette option du gouvernement est officielle ? Si oui, qu’est-ce qui vous préoccupe ? L’option du gouvernement peut se comprendre ou doit se comprendre, parce que nous sommes un pays qui a fait plus de 40 ans aujourd’hui sans recensement. Il est quand même dommage que cette question qui doit être prioritaire, soit une question plus ou moins sous liée à la question des élections.
 
 
 
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 A plus ou moins 884 jours, lier la question des élections de 2023 à la problématique de recensement risque encore d’être encore une occasion d’échauffourées et de tiraillement au sein de la classe politique. Comment analysez-vous la proposition de loi sur la nationalité déposée par le député Nsingi Pululu et la mise au point de président de l’assemblée nationale sur la question ? Je crois qu’au-delà de la chamaillerie et autres, il faudra se dire que la question de la nationalité, c’est une question substantielle d’un État. Et cette question était fixée à partir des éléments analysés à San city. Nous avons à cet effet résolu la question dans notre Constitution à l’article 70. Alors, lorsqu’on prend des initiatives dans le cas de liberté, il faudra savoir que la Constitution est le socle et le cadre et la mesure de tout. A partir du moment où une loi ne respecte pas la Constitution, il est important que pour la sérénité et la stabilité d’un état, qu’on ne puisse pas prendre cette tendance que moi j’appelle du « rabougris me ethno racial ». Le processus de désignation de membres de la CENI a été lancé. Quelle perception avez-vous du prochain processus électoral ? Le processus de désignation des membres de la CENI a été lancé, comme qui dirait « dura lex sed lex ». Cependant, il faudra qu’on prenne en compte les précédents. Il faut une CENI impartiale, les lois organiques sur la CENI ce sont des lois d’arbitrages, il est important que ces lois puissent sécuriser tout le monde. Quelle que soit la beauté de la loi, des acteurs qui seront choisis auront un rôle fondamental.

Politique Société Jacques Djoli : « A environ 884 jours, lier les élections de 2023 au recensement risque d’occasionner des échauffourées »

Le Groupe de treize (G13) personnalités politiques a fait une déclaration mardi 13 juillet à la presse, pour dénoncer le manque de consensus...

Le président Tshisekedi à Conakry : ‘’le président Alpha Condé est quelqu’un que j’affectionne particulièrement’’

July 17, 2021

Comme annoncé, le président de la République Démocratique du Congo (RDC) et président en exercice de l’Union africaine Félix Tshisekedi, en compagnie d’une forte délégation, est arrivé à Conakry ce vendredi, 16 juillet 2021 pour une visite de travail et d’amitié.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0-751SHX9JpIznVSl0oEesCAXHMgMR67hKR1qFNpnHB3JwbKkvPRn5tUYiZDQwCNNtwG8tG-sPdNyDLxOiz2HnAN25P5wKOt18eknDRDCew1LxPxingerVx5R0YTRRWujrYIoMwi4QA/s640/fatshi_zlcaf_21_02145_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0-751SHX9JpIznVSl0oEesCAXHMgMR67hKR1qFNpnHB3JwbKkvPRn5tUYiZDQwCNNtwG8tG-sPdNyDLxOiz2HnAN25P5wKOt18eknDRDCew1LxPxingerVx5R0YTRRWujrYIoMwi4QA/w640-h350/fatshi_zlcaf_21_02145_jpg_640_350_1.jpeg" width="640" /></a></div> C’est à 22h 08 mn que son avion de commandement s’est posé sur le tarmac de l’aéroport international de Conakry-Gbessia, et il a été accueilli par le Premier ministre, Ibrahima Kassory Fofana, en présence de quelques membres du gouvernement et de la hiérarchie militaire.  Au salon d’honneur où il y a eu un premier tête-à-tête entre lui et le Premier ministre Kassory, l’hôte de la Guinée (Félix Tshisekedi) a tenu à préciser :
 
 
 
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 « C’est une visite de fraternité. Mon ainé (président Alpha Condé) est quelqu’un que j’affectionne particulièrement. Comme vous le savez, contrairement à beaucoup de chefs d’Etat africains, lui (président Alpha Condé) m’a reçu ici, alors que j’étais encore opposant. Malgré tous les risques diplomatiques qu’il y avait, il m’a ouvert la porte de son palais à deux reprises et il m’a accueilli comme un père pouvant accueillir son fils, accompagnant de ses conseils et de ses observations. Je lui avais promis que si je deviendrais président en exercice de l’Union africaine, je viendrais lui faire honneur. Et c’est qui explique la raison de ma présence tout simplement. Evidemment, à côté de cela, nous parlerons de l’amitié historique entre nos deux peuples et de la coopération aussi entre nos deux pays. Vous savez qu’il y a une bonne communauté guinéenne à Kinshasa et également ici beaucoup de congolais. »
 
 
 
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 Poursuivant, il a tenu à mentionner : « Au moment où le président Alpha Condé me recevait ici en 2017, il s’apprêtait le lendemain à aller prendre son mandat de président de l’Union africaine. Comme je l’ai dit, en tant que président en exercice de l’UA, les conseils et les observations du président Alpha Condé seront précieux », a-t-il martelé.

Politique Le président Tshisekedi à Conakry : ‘’le président Alpha Condé est quelqu’un que j’affectionne particulièrement’’

Comme annoncé, le président de la République Démocratique du Congo (RDC) et président en exercice de l’Union africaine Félix Tshisekedi, en ...

Félix Tshisekedi: un bilan très contrasté à mi-mandat !

July 17, 2021

Depuis décembre 2020, le paysage politique congolais s’est profondément transformé. Félix Tshisekedi a réussi à rompre son alliance contre-nature avec l’ancien président Kabila, et a repris le contrôle de l’Assemblée nationale, du Sénat et de nombreuses Assemblées provinciales.  <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjni0b67F7rT7rilundlCf0C8xqTCl-0XJpyThHCOjUfYuQ1Xu8lfSQeDzZ9Ytkywdh5oQKt0dW_iG7XqifAvHpKyNtBVW2G_qGT-7trFXzsoMFzEO2_i5B2bt_h8g8RXb5SkdOPxySUA/s800/WhatsApp+Image+2021-02-27+at+8.06.49+AM+%25281%2529.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjni0b67F7rT7rilundlCf0C8xqTCl-0XJpyThHCOjUfYuQ1Xu8lfSQeDzZ9Ytkywdh5oQKt0dW_iG7XqifAvHpKyNtBVW2G_qGT-7trFXzsoMFzEO2_i5B2bt_h8g8RXb5SkdOPxySUA/w640-h480/WhatsApp+Image+2021-02-27+at+8.06.49+AM+%25281%2529.jpeg" width="640" /></a></div> Pour inverser les rapports de force et s’émanciper de son prédécesseur, le chef de l’Etat s’est constitué une nouvelle coalition, composée majoritairement d’anciens alliés de Joseph Kabila. Dans cette nouvelle configuration politique, 1.724 personnes ont été interrogées par le Groupe d’études sur le Congo (GEC) et la Fondation Berci. Le sondage a été réalisé dans 25 des 26 provinces entre le 14 et le 20 mars 2021.L’enquête publiée le 15 juillet affiche des résultats très ambivalents. Côté positif, les Congolais se disent d’abord très satisfaits de la manière dont Félix Tshisekedi a décidé de mettre fin à la coalition CACH-FCC (80%). Plébiscitée également, la création de l’Union sacrée (USN) et le nouveau gouvernement Sama Lukonde dont 7 Congolais sur 10 ont une bonne opinion. La cote de popularité du président est également à la hausse. En mars 2021, 62 % des personnes interrogées estiment que Félix Tshisekedi dispose de tous les atouts nécessaires pour diriger la RDC, contre 50 % au mois de février 2020.
 
 
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 La gratuité de l’enseignement plébiscitéeSi une majorité de Congolais valide l’habilité politique du chef de l’Etat, ils applaudissent aussi à l’une des mesures phares du programme présidentielle : la gratuité de l’enseignement de base (29%). Cependant, estime le sondage GEC-Berci, la mise en oeuvre de la gratuité de l’enseignement de base ne convainc pas. 67 % des personnes interrogées « sont peu ou pas du tout satisfaits de la manière dont cette mesure est appliquée ». Une large majorité (75 %) reste cependant très favorable à la poursuite de cette mesure. La réforme de la justice, la fermeture des prisons de l’ANR, la lutte contre l’impunité et l’arrestation de Vital Kamerhe sont également appréciés par 17% des Congolais consultés. Echecs dans la lutte contre l’insécurité et l’économieCôté négatif, l’enquête souligne trois points noirs dans le bilan de Félix Tshisekedi : l’amélioration des conditions de vies qui se fait toujours attendre (44%), l’insécurité en hausse (28%), l’économie et l’emploi (13%). Dans ces trois domaines, les Congolais estiment que le président a, pour l’instant, échoué à réaliser ses promesses et inverser la tendance. La gestion de la crise du Covid-19 est également fortement critiqué. Notamment avec la mise en place du couvre-feu qui ne semble « pas ou peu adaptée à la situation » congolaise (64%). Katumbi, Bemba, Fayulu challengersAprès la reprise en main de l’Assemblée nationale, du Sénat et la constitution d’une nouvelle coalition, il est intéressant de voir comment les Congolais perçoivent ces bouleversements, et comment les cartes se trouvent redistribuées à deux ans de la prochaine présidentielle. Premier enseignement : aucune personnalité politique n’émerge véritablement, même l’actuel chef de l’Etat. A la question de savoir quelle est la personnalité politique « la plus proche de 2020 », une majorité de Congolais répondent « personne », puis suivent Tshisekedi, Fayulu, Katumbi, Bemba, Kamerhe, Bahati… et Kabila. L’ensemble des ténors politiques, en dehors de Tshisekedi, voient leur cote de popularité baisser en mars 2021. Moïse Katumbi arrive en tête des bonnes opinions (61%), suivi de Bemba (49%), Fayulu (46%), Muzito (34%), Kamerhe (28%) et Kabila (16%). Mukwege superstarL’UDPS récolte les fruits de la bonne image du président Tshisekedi en se plaçant premier parti congolais. L’Ecidé de Martin Fayulu résiste bien, puisqu’il occupe la seconde place, ex-aequo avec Ensemble de Moïse Katumbi, dont le parti créé récemment n’a pas encore « imprimé ». Mais la personnalité préférée des Congolais, société civile et politiques confondus, reste sans contestation possible le docteur et prix Nobel Denis Mukwege avec 78% de bonnes opinions. Le premier politique est une surprise, puisqu’il s’agit de l’actuel locataire de la Primature, Jean-Michel Sama Lukonde (66%), suivi de Moïse Katumbi (61%) et (nouvelle surprise) de Eve Bazaïba (51%) qui coiffe son patron de 2%. Martin Fayulu occupe la 8ème place avec 46%.
 
 
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 Le FCC sans candidatA un peu plus de deux ans de la prochaine présidentielle, les pièces maîtresses de l’échiquier politique commencent à se mettre en place. Sauf invité surprise, un quatuor déjà connu se dessine pour la course à la présidence : Félix Tshisekedi, Moïse Katumbi, Jean-Pierre Bemba et Martin Fayulu. Pour le camp de l’ancien président Kabila, rien n’est encore fixé, mais l’enquête d’opinion démontre que, pour l’instant, l’ex-chef de l’Etat et son PPRD restent largement impopulaires. Un nouveau Shadary est-il en préparation pour représenter le camp Kabila ? Les ambitions ne manquent pas, mais à part Joseph Kabila, aucune personnalité n’a encore émergé. Katumbi et Bemba empêchés?Face à Félix Tshisekedi, restent Moïse Katumbi, dont la candidature pourrait avoir du plomb dans l’aile si la loi sur la « congolité » venait à être adoptée, et enfin Jean-Pierre Bemba, qui pourrait être empêché de se présenter après sa condamnation pour subornation de témoin par la Cour pénale internationale. Dans ce cas, l’option Eve Bazaïba pour représenter le MLC à la présidentielle semble envisagée, surtout au vu de sa popularité dans le sondage GEC-Berci.
 
 
 
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 CENI: attention dangerCandidat à sa succession, Félix Tshisekedi pourrait donc voir Katumbi et Bemba hors-jeu et se retrouver confronté à Martin Fayulu et à un candidat du PPRD. Une configuration optimale pour espérer briguer un second mandat. Mais attention, pour garder sa popularité, le président devra afficher un bilan plus présentable en 2023. Notamment sur deux fronts : l’amélioration de la vie quotidienne et la lutte contre l’insécurité à l’Est. Pour le premier dossier, le président tente de trouver des marges de manoeuvres financières, notamment auprès des bailleurs internationaux. Concernant le dossier sécuritaire, Félix Tshisekedi a instauré l’état de siège dans les trois provinces de l’Est touchées par les groupes armés. Une mesure qui peine, pour l’heure, à porter ses fruits. Mais beaucoup de ses détracteurs attirent l’attention sur la réforme de la Commission électorale (CENI) en cours. Une réforme contestée, qui donne la part belle au pouvoir en place, et qui, pourrait « influencer » le scrutin en faveur du président Tshisekedi… pour ne pas parler de « tripatouillages » dont la RDC à une solide expérience. Christophe Rigaud – Afrikarabia

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