BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Kinshasa : 10 militants de l'ECIDé de Fayulu condamnés à 10 ans de prison "pour avoir tabassé un député UDPS"

March 02, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEi76c0-g6rSy9sTD7aT87F50LxMnSaHe7HPOi-zeC-eeOazg2gHfrubTkjsaBgIbcum9aXcGaPXnFvgfcEpgHUE--Pr1S_vgjfKdWT4AO6FRSxM0VgxPAbcYqgL68MAAgqQ1g7SYI5z_fdPzDoZ0l2TmEYuMw7D1mrOsG-7aqpcVDXaM8N4lvirVeQCqg=s991" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="991" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEi76c0-g6rSy9sTD7aT87F50LxMnSaHe7HPOi-zeC-eeOazg2gHfrubTkjsaBgIbcum9aXcGaPXnFvgfcEpgHUE--Pr1S_vgjfKdWT4AO6FRSxM0VgxPAbcYqgL68MAAgqQ1g7SYI5z_fdPzDoZ0l2TmEYuMw7D1mrOsG-7aqpcVDXaM8N4lvirVeQCqg=s320" width="320" /></a></div>Au total, 10 militants du parti politique ECIDé de Martin Fayulu Madidi ont été condamnés à 10 ans de servitude pénale par le Tribunal de Grande Instance de N'djili.<br /><br />Ils ont été reconnus coupables de vol, coups et blessures volontaires et destruction méchante. Jugés en procédure de flagrance, ils ont été immédiatement mis en état d’arrestation.<br /><br />D'après le verdict rendu public le lundi 28 février 2022, ces condamnés sont sommés de payer aussi une amende de 10.000 dollars américains chacun pour avoir mis la main sur le député national Bruno Kabangu, élu de l'Union pour la Démocratie et le Progrès (UDPS).<br /><br />A en croire la même décision du TGI, 4 présumés mineurs ayant participé à cet acte ont été acquittés et appelés à comparaître devant leur juge naturel.

<br /><br />Il est à rappeler que le député national Bruno Kabangu de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) avait affirmé avoir été tabassé par ces jeunes du parti de Martin Fayulu le samedi 26 février dernier au quartier 3 dans la commune de Masina à Kinshasa pour avoir porté un T-shirt avec l'effigie du président Tshisekedi.<br /><br />Jephté Kitsita<p></p>

Justice Politique Kinshasa : 10 militants de l'ECIDé de Fayulu condamnés à 10 ans de prison "pour avoir tabassé un député UDPS"

Au total, 10 militants du parti politique ECIDé de Martin Fayulu Madidi ont été condamnés à 10 ans de servitude pénale par le Tribunal de Gr...

APR NEWS : des relations de plus en plus tendues entre la RDC et le Rwanda

March 02, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiana1oGHO8wmvvZhxuMvu2ir-VSXlsWVFg0dz8MZzypeRho6Qri2sDICj1NByuTgPb_3EfBAZvNyrrLUzkGYCvy-svex0Ti7683kPNANi6WgBJT0bhzO5_JpU9Sf2rPNjazVoq6jXvbeyO5vI3GV3l7hSusLumRzTCB9mP92VTX1oh1hfRFIlDjKvGXA=s841" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="606" data-original-width="841" height="231" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiana1oGHO8wmvvZhxuMvu2ir-VSXlsWVFg0dz8MZzypeRho6Qri2sDICj1NByuTgPb_3EfBAZvNyrrLUzkGYCvy-svex0Ti7683kPNANi6WgBJT0bhzO5_JpU9Sf2rPNjazVoq6jXvbeyO5vI3GV3l7hSusLumRzTCB9mP92VTX1oh1hfRFIlDjKvGXA=s320" width="320" /></a></div><p></p>Lors de la douzième conférence diplomatique qui s’est déroulée à Kinshasa, du 26 au 28 février 2022, Félix Tshisekedi a lancé des piques à l’endroit du Rwanda, qui ne sont pas passées inaperçues. Les propos du Président congolais en disent long sur les rapports de plus en plus tendus entre Kigali et Kinshasa.<br /><br /><br />APRNEWS - S’achemine-t-on vers un raidissement des relations entre la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda?<br /><br />S’il est encore trop tôt pour le dire, reste que les propos tenus par le Président congolais, Félix Tshisekedi, lors de la douzième conférence diplomatique qui s’est déroulée à Kinshasa du 26 au 28 février 2022, le laissent penser. Durant cet événement auquel ont pris part plusieurs ambassadeurs congolais et chefs des missions diplomatiques étrangères, Tshisekedi a abordé la question sécuritaire dans la région des Grands Lacs, fustigeant le comportement de certains pays de la région qui génèrent des tensions avec leurs voisins.

<br /><br /><br />"Il est un devoir sacré de chaque État de notre sous-région d’éviter tout acte générateur de tensions et de conflits avec les autres ou, à tout le moins, d’en minimiser le risque", a-t-il déclaré, avant d’ajouter: "En tout cas, il est irréaliste et improductif, voire suicidaire, pour un pays de notre sous-région de penser qu’il tirerait toujours des dividendes en entretenant des conflits ou des tensions avec ses voisins".

<blockquote class="twitter-tweet"><p dir="ltr" lang="fr">Félix Tshisekedi : « il est irréaliste et improductif, voire suicidaire pour un pays de notre sous-région de penser qu'il tirerait toujours des dividendes en entretenant des conflits ou des tensions avec ses voisins » <a href="https://t.co/48JvsfaAZg">https://t.co/48JvsfaAZg</a></p>— ACTUALITE.CD (@actualitecd) <a href="https://twitter.com/actualitecd/status/1498255163957690370?ref_src=twsrc%5Etfw">February 28, 2022</a></blockquote> <script async="" charset="utf-8" src="https://platform.twitter.com/widgets.js"></script>
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<br /><br /><br /><br />Bien qu’il n’ait nommé explicitement aucun pays, l’allusion au Rwanda, qui entretient des relations assez acrimonieuses avec la plupart de ses voisins, ne fait pas de doute.<br />Tensions avec le voisin rwandais<br /><br />Il faut dire que les relations entre la RDC et le Rwanda, qui se sont renforcées depuis l’arrivée au pouvoir de Félix Tshisekedi, ne semblent plus être au beau fixe. En cause: les opérations conjointes menées par les armées congolaise et ougandaise dans la province de l’Ituri, dans l’est de la RDC, pour traquer la milice ougandaise des Forces démocratiques alliées (ADF) qui opère dans cette région.<br /><br />Le Président rwandais Paul Kagame n’a pas digéré que Félix Tshisekedi ait autorisé ces opérations sans lui en faire part. Lui, dont les relations avec le Président ougandais Yoweri Museveni sont empreintes de méfiance en dépit de quelques signes de normalisation observés ces dernières semaines, et qui considère la partie orientale de la RDC comme sa zone d’influence. Dans un discours d’une cinquantaine de minutes tenu devant le parlement rwandais, il y a trois semaines, Kagame avait tenu des propos qui ont surpris plus d’un observateur en RDC en raison du ton particulièrement menaçant employé...<br />Entre deux feux<br /><br />En outre, Tshisekedi s’est retrouvé au centre d’une rivalité qui ne dit pas son nom entre Museveni et Kagame. Depuis sa prise de fonction, il a tout fait pour les réconcilier, sans grand succès. Écartelé entre deux voisins se disputant la partie orientale de son pays, le numéro un congolais s’est résolu à ménager les susceptibilités de ses homologues, en répondant favorablement à leurs requêtes tant sur le plan économique qu’en matière de sécurité — la RDC hébergeant dans sa partie orientale des groupes armés que les régimes du Rwanda et de l’Ouganda prétendent vouloir neutraliser.

<br /><br />Mais toutes ces "concessions" ont été balayées d’un revers de la main par le Rwanda à partir du moment où la RDC a invité sur son territoire l’armée de son meilleur "ennemi". Pour montrer son mécontentement, Paul Kagame a boycotté le 10e sommet de l’évaluation de l’accord-cadre d’Addis-Abeba qui s’est déroulé le 24 février dernier à Kinshasa et auquel plusieurs chefs d’État de la région et des diplomates de haut rang ont pris part. Il a préféré se faire représenter par son Premier ministre...<br />Entre lassitude et ras-le-bol<br /><br />Une attitude qui déçoit Kinshasa où l’on a pourtant cessé de vanter les bonnes relations avec Kigali et qui permet de comprendre la sortie de Félix Tshisekedi lors de la douzième conférence diplomatique qui vient de s’achever dans la capitale congolaise. Selon l’expert militaire Jean-Jacques Wondo, cette sortie est aussi l’expression d’une accumulation de frustrations d’un Félix Tshisekedi mis sous pression par ses voisins et les événements du moment dans la sous-région.

<br /><br />"Je lis l’expression d’un Président mis sous pression par Museveni après la rencontre de Brazzaville <b>[un sommet quadripartite </b>qui s'est tenu à la mi-février, ndlr] boudée par Kigali et probablement frustré par l’absence de Kagame au sommet sur l’accord-cadre d’Addis-Abeba à Kinshasa, où il s’est fait représenter par le Premier ministre rwandais [personnalité sans aucune influence politique et diplomatique, ndlr]", souligne-t-il à Sputnik.<br /><br />Pour Jean-Jacques Wondo, la conférence diplomatique a été l’occasion pour Félix Tshisekedi de répondre à son homologue rwandais qui n’a cessé de multiplier des propos discourtois à l’égard de sa gouvernance: "Les récentes sorties médiatiques de Kagame à propos de la gouvernance sécuritaire du régime congolais avaient un caractère moqueur et humiliant à l’égard de Tshisekedi", a-t-il fait remarquer, avant d’ajouter: "Ce dernier a probablement utilisé l’occasion de sa rencontre avec les diplomates pour répliquer".<br /><br />Cette réponse du berger à la bergère, qui s’apparente à une forme de lassitude frôlant les frontières du ras-le-bol, marque-t-elle un tournant dans les relations entre la RDC et le Rwanda?

<br /><br />Jean-Jacques Wondo se permet d’en douter. Selon lui, Félix Tshisekedi n’oserait pas aller en confrontation avec Paul Kagame. Il fait observer qu’au moment où le Président congolais lançait des piques à l’endroit de son homologue rwandais, une forte délégation de militaires congolais de très haut niveau se trouvait discrètement à Kigali. Parmi ces "visiteurs du soir", il y avait les généraux Constant Ndima, gouverneur militaire du Nord-Kivu, et Michel Mandiangu Mbala, qui est à la tête des renseignements militaires. Les raisons de leur présence à Kigali sont aussi floues que le brouillard du matin qui envahit les collines du Nord-Kivu...<p> </p>

Politique APR NEWS : des relations de plus en plus tendues entre la RDC et le Rwanda

Lors de la douzième conférence diplomatique qui s’est déroulée à Kinshasa, du 26 au 28 février 2022, Félix Tshisekedi a lancé des piques à l...

Après sa consultation d’une semaine à Kinshasa : le Lt- Général Johnny Luboya regagne l’Ituri ce mardi

March 02, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj8dmQFV1iTPd1JOz6a_xa_TgvsQhT6pCYIZokN8E8aKmAHyVX4gsKuCMvvm5zox1vK5Oi4tPzKVwg3pYOAf4tiuRC1QnfmFyDJq96SK7qgsDXA0kfPtQII2mMe2O87u7NCcUUyV6DyHzUlH9NlrwsS6_K3vJJaPodekXnhjEe8fNPblLRZ7loyma1rZA=s1014" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="481" data-original-width="1014" height="152" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj8dmQFV1iTPd1JOz6a_xa_TgvsQhT6pCYIZokN8E8aKmAHyVX4gsKuCMvvm5zox1vK5Oi4tPzKVwg3pYOAf4tiuRC1QnfmFyDJq96SK7qgsDXA0kfPtQII2mMe2O87u7NCcUUyV6DyHzUlH9NlrwsS6_K3vJJaPodekXnhjEe8fNPblLRZ7loyma1rZA=s320" width="320" /></a></div> Après un séjour de plus d’une semaine à Kinshasa où il était en mission de travail avec le Président de la République, le Lt- Général Johnny Luboya , NKashama rentre ce mardi 1er mars 2022 à Bunia, chef -lieu de la Province de l’Ituri où la mobilisation sera totale à l’aéroport national de Murongo pour l’accueillir.<br /><br /><br />Ce retour du Gouverneur militaire en Ituri vient couper court aux rumeurs que véhiculaient les ennemis de la paix dans cette partie du pays. C’est aussi la preuve que ce digne officier a bel et bien le soutien de la haute hiérarchie de l’Armée, notamment celle du Chef de l’Etat et Commandant suprême des FARDC.<br /><br />Dans un communiqué publié le lundi, 28 février 2022 par le service de protocole du cabinet du gouverneur militaire, le Lt -Général Luboya NKashama va atterrir à l’aéroport national de Bunia ce mardi dans l’avant-midi.<br /><br />Finie l’agitation<br /><br />Le bref séjour du Lt-General Luboya NKashama dans la capitale avait alimenté des spéculations en Ituri où les ennemis de la paix ont tenté de désorienter l’opinion en diffusant des informations mensongères selon lesquelles, ce haut gradé de l’armée serait en voie d’être remplacé.

<br /><br />Ces spéculations fantaisistes ont même envahi les réseaux sociaux. En réalité, il ne s’agissait là que d’une agitation entretenue par ceux profitaient du désordre de ll’insécurité qui régnaient en Ituri avant l’instauration de l’état de siège par le Chef de l’Etat, pour piller les ressources de cette province.<br /><br />Leur coup a échoué.<br /><br />a lutte contre l’insécurité et les anti-valeurs reste le cheval de bataille du Gouverneur militaire,le Lt- Général Johnny Luboya NKashama. C’est d’ailleurs la raison de l’agitation de ces pêcheurs en eaux troubles qui sont désormais démasqués.<br />La détermination du Gouverneur militaire d’asseoir la paix sans état d’âme, dérange les ennemis de la paix. Malheur aux supporteurs de groupes armés et leurs financiers.

<br /><br />Car, leur place sera la prison. La population de l’Ituri soucieuse de la paix attend à bras ouverts le retour du Gouverneur militaire, confirme un tweet de Christian Shauri. L’homme vante les qualités morales du Gouverneur militaire de l’Ituri dont la lutte contre la fraude et le détournement dans cette province font aussi partie de ses priorités, afin de priver de moyens qui financent les groupes amés à l’est du pays.<div><br /></div><div><br style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #666666; font-family: "Open Sans"; font-size: 18px; margin-bottom: 0px; text-size-adjust: none;" /><span style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Open Sans"; font-size: 18px;">Par GKM</span></div>

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Après un séjour de plus d’une semaine à Kinshasa où il était en mission de travail avec le Président de la République, le Lt- Général Johnn...

Le Représentant du Pape chez le Président Tshisekedi

March 02, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjPF2zWQe3qMdXvwVyZyIyp4TZHsoWXtcGNGlGE-FFB1Eyr92xcn31MgMjT2vChVC2BMmQE1l9s-5sOKGXXgcVOjt3HxvKrypfq4nMINAYkwRNFTQRYNtR9ctQdd4rW8qnmS6kFIHcLtySab7lzMQ67ulL7AezFhACVY-gmlAk19m9KgUBReELMQFVDqw=s992" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="555" data-original-width="992" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjPF2zWQe3qMdXvwVyZyIyp4TZHsoWXtcGNGlGE-FFB1Eyr92xcn31MgMjT2vChVC2BMmQE1l9s-5sOKGXXgcVOjt3HxvKrypfq4nMINAYkwRNFTQRYNtR9ctQdd4rW8qnmS6kFIHcLtySab7lzMQ67ulL7AezFhACVY-gmlAk19m9KgUBReELMQFVDqw=s320" width="320" /></a></div>A la Cité de l’Union africaine, Mgr Ettore Ballestero, Nonce apostolique à Kinshasa, a été reçu par le Président Félix Tshisekedi, dans la soirée du lundi 28 février 2022.<br /><br />Une visite de courtoisie, selon la presse présidentielle, qui a toutefois servi d’occasion pour aborder d’autres questions d’intérêt commun entre la République Démocratique du Congo, pays à forte communauté chrétienne catholique, et le Vatican, siège du Catholicisme.Cette visite du Représentant du Pape François en RDC au Président congolais, témoigne, à en croire le service de communication de la présidence, que « les relations bilatérales entre les deux États sont très bonnes ». <div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="font-size: medium;"><b> opinion-info.cd</b></span></div>

Politique Religion Le Représentant du Pape chez le Président Tshisekedi

A la Cité de l’Union africaine, Mgr Ettore Ballestero, Nonce apostolique à Kinshasa, a été reçu par le Président Félix Tshisekedi, dans la s...

« Nous n’allons pas partager le bilan comme vous l’entendez, c’est à dire cautionner les mauvais choix de l’UDPS’’ (Francis Kalombo)

March 02, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhv2-BDRKtMOXb7TOULqZXbARkkvGlp6YdgbprloxlG9T2m6bjtzFhrjoW0nPXkERjq7dzf5c-XEzBQ0waNJMv5a-kzGG2PwqN_pxvGzNbQmPnrQPhRmaQXWW-hNGlImh-kMoyRQgbt59iyn6flRXXUQ0znZFNFUMsudYNEsKTSFHhHnq2BIFtnUP97-w=s1014" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="576" data-original-width="1014" height="182" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhv2-BDRKtMOXb7TOULqZXbARkkvGlp6YdgbprloxlG9T2m6bjtzFhrjoW0nPXkERjq7dzf5c-XEzBQ0waNJMv5a-kzGG2PwqN_pxvGzNbQmPnrQPhRmaQXWW-hNGlImh-kMoyRQgbt59iyn6flRXXUQ0znZFNFUMsudYNEsKTSFHhHnq2BIFtnUP97-w=s320" width="320" /></a></div>Francis Kalombo rejette en bloc les propos tenus par le ministre des Affaires Étrangères Christophe Lutundula. Ce dernier avait déclaré que  » le parti Ensemble pour la République partagerait le bilan de l’Union Sacrée, et sera derrière Félix Tshisekedi en 2023″.<br /><br />Le porte parole de cette formation politique explique : « Nous n’allons pas partager le bilan comme vous l’entendez, c’est à dire cautionner les mauvais choix des ministres de l’UDPS et d’autres partis. Ce que nous condamnons ici, ce qu’on ne gère pas un pays sans pour autant que toutes les parties prenantes (Union Sacrée) se soient mis d’accord sur un programme réfléchi, partagé et conçu par tous, et non voir l’instauration de RAM sans pour autant que nous soyons consulté avant » , a signifié Francis Kalombo face aux professionnels des médias.<br /><br /><br />À l’en croire, le ministre Lutundula en tant qu’individu ne peut en aucun cas engager le parti par ses déclarations.

<br /><br />« Lutundula en tant qu’individu ne peut jamais engager le parti politique Ensemble. Tous nos ministres qui sont dans le gouvernement sont allés avec un cahier de charge. Ils sont là pour travailler pour l’Etat congolais et non pour Moïse Katumbi. Il y a un moment où chaque ministre rendra compte de son bilan », a-t-il fait savoir.<br /><br />Et de poursuivre : « On ne regrette pas d’avoir répondu à l’appel du Président Félix pour constituer l’Union Sacrée. Même s’il refait cet appel, on viendra. Mais cet espoir qu’a suscité cet appel patriotique n’existe plus aujourd’hui. Les gens souffrent dans ce pays » , a-t-il expliqué.<br /><br />

Le porte parole du parti de Moïse Katumbi n’a pas manqué de mots au sujet du travail abattu par l’inspection générale des finances.<br /><br />« Coup de chapeau à l’IGF d’Alingete qui ne cesse de dénoncer les corrupteurs qui ont infesté le Gouvernement. Mais qui est-ce qu’on a déjà arrêté ? Personne. Le plus important, ce n’est pas seulement de quitter l’Union Sacrée, mais plutôt de dénoncer les mauvaises pratiques tout en étant dans la majorité », a-t-il martelé.<br /><br />Ensemble de Moïse Katumbi n’est pas prêt à s’aligner derrière Félix Tshisekedi pour la présidentielle de 2023./mediascongo.net

Politique « Nous n’allons pas partager le bilan comme vous l’entendez, c’est à dire cautionner les mauvais choix de l’UDPS’’ (Francis Kalombo)

Francis Kalombo rejette en bloc les propos tenus par le ministre des Affaires Étrangères Christophe Lutundula. Ce dernier avait déclaré que ...

EcoNews: « Union sacrée : le mois de mars de tous les dangers »

March 02, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEimWeVIvMUwMMW-tDpOcOhbo2Uv-0Lq5yEA-o9FtR6rOKmAvYoxPq3zA6M6RoiJJQsTivcM1aMHLrmjNqml18v7N7PPMnQ3IvnrWbmpNneT_tivfTOKW5ZRou4xXniJjRC0f1chSfGFguYv9oAZjVlNehjSwEXfuQFYgx4YaTZXzZ9ZMYk6i-rsUscf1Q=s984" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="655" data-original-width="984" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEimWeVIvMUwMMW-tDpOcOhbo2Uv-0Lq5yEA-o9FtR6rOKmAvYoxPq3zA6M6RoiJJQsTivcM1aMHLrmjNqml18v7N7PPMnQ3IvnrWbmpNneT_tivfTOKW5ZRou4xXniJjRC0f1chSfGFguYv9oAZjVlNehjSwEXfuQFYgx4YaTZXzZ9ZMYk6i-rsUscf1Q=s320" width="320" /></a></div> Revue de presse du mercredi 2 mars 2022<br /><br />Les journaux parus mercredi 2 mars à Kinshasa annoncent une session parlementaire de mars très agitée.<br /><br />« Rude épreuve de loyauté et de respect à l’Union sacrée de la nation. Motion contre Christophe Mboso à l’Assemblé nationale, Modeste Bahati acculé au Sénat, projet de révision de la Constitution, ça va chauffer au sein de l’Union sacrée en cette session parlementaire de mars », prévient EcoNews, estimant qu’il s’agit d’un test grandeur nature de l’unité et de la cohésion autour de Félix Tshisekedi, autorité morale de l’Union sacrée de la nation.<br /><br />Le tabloïd est d’avis que « L’Union sacrée de la nation surmontera cette montagne russe que le FCC, en son temps, n’a pas su franchir, jusqu’à se plier à l’alternance démocratique au terme de la présidentielle de décembre 2018. Difficile à prédire. Les trois mois de la prochaine session parlementaire promettent bien des surprises ».

<br /><br />Le quotidien Le Journal prédit également « une session de mars qui s’annonce très agitée » à l’Assemblée nationale. Cette cession aura des contours extrêmement politiques : révision de la constitution, débat sur la proposition sur la nationalité congolaise, la destitution de Christophe Mboso…<br /><br />« Enfin, toujours pendant cette session ordinaire, l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) et l’Union sacrée de la Nation se débarrasseront finalement de Jean-Marc Kabund qu’il faudra éjecter de son poste de premier vice-président, au cas où il ne démissionnait pas.

Des noms sont cités pour son remplacement, à l’instar du professeur Mbata », poursuit le quotidien.<br /><br />La session de mars 2022 pourrait, à certains égards, « devenir une session de grands enjeux politiques. Tous les yeux sont, en effet, braqués sur le Bureau de l’Assemblée nationale, présidé par Christophe Mboso N’KodiaPwanga et composé sur base d’appartenance politique », indique La Tempête des Tropiques. L’exclusion et la radiation de Jean-Marc Kabund de l’UDPS suscitent des interrogations au sein de l’opinion qui se demande sur quelle base cette personnalité va continuer à exercer ses fonctions de premier vice-président du Bureau de la Chambre basse du Parlement congolais, poursuit le journal ; précisant qu’au niveau du parti présidentiel, le débat a ce sujet est déjà clos.

<br /><br />Affaire François Beya<br /><br />Un autre sujet largement commenté par les journaux de Kinshasa concerne le cas de François Beya, conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de sécurité, détenu à l’Agence nationale des renseignements (ANR) depuis le 5 février.<br /><br />« Ne remarquant aucune évolution dans le dossier, le collectif Free François Beya Kasonga (FFBK) monte au créneau et exige la libération sans condition de François Beya. Au cours d’un point de presse tenu le mardi 1é mars 2022, au Centre d’études pour l’action sociale (CEPAS), le collectif FFBK, association regroupant des personnes éprises de justice et de paix, déclare que l’arrestation de l’ex conseiller du Chef de l’Etat en matière de sécurité est arbitraire et viole les lois du pays », informe La Prospérité.

<br /><br />Vu les motifs d’arrestation jugés vagues, le collectif Free François Beya Kasonga lance un appel au Président de la République, poursuit le quotidien, lui rappelant ainsi ses promesses faites dès son accession au pouvoir, sur suppression des cachots de l’ANR, qui se transforment en «Police politique du pouvoir».<br /><br />Forum des As rapporte aussi la déclaration de ces défenseurs des droits de l'homme qui plaident pour la libération de François Beya : « Avant d'occuper de hautes fonctions au sein de l'appareil sécuritaire, il est et reste un citoyen congolais dont les droits sont garantis, tant par la Constitution que par les lois de la République, ainsi que les outils internationaux dûment ratifiés par le pays ».

<br /><br />Guy Vanda, le secrétaire particulier de François Beya, est aussi détenu à l’ANR, renchérit AfricaNews. « La nouvelle de son arrestation se racontait depuis une dizaine de jours mais la confirmation en a été donnée par le Collectif Free François Beya, une structure composée des activistes des droits humains pour dénoncer les conditions de détention de l’ex-Monsieur Sécurité de Félix Tshisekedi », précise le journal.<br /><br />Ce Collectif dénonce « l’arrestation et la détention arbitraire de Guy Vanda (…), sans motif avéré. Il est toujours privé de liberté ».<p></p>

Politique EcoNews: « Union sacrée : le mois de mars de tous les dangers »

Revue de presse du mercredi 2 mars 2022 Les journaux parus mercredi 2 mars à Kinshasa annoncent une session parlementaire de mars très agit...

Du nouveau dans le dossier François Beya : Un collectif fantomatique demande à Félix Tshisekedi d’ordonner la libération du Fantômas

March 02, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgFqIwm7PvRelgm4jnOScZMtoJTqUzCP98-fbL4AMCzm0_3yH5hsmpOHFQi97Wpl34SA0_ZSfp0a2ZyEMKkwS_0tVWBzS4Gh5jGHP4451_USTEsAaIRuEKdvlsPw9YYrXTKhbE-V_Z-LUx_zmUhqGPzyu9FSnTD-GmaPHE4_KTrA5YxANV-GQKeh2A_-w=s853" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="853" height="206" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgFqIwm7PvRelgm4jnOScZMtoJTqUzCP98-fbL4AMCzm0_3yH5hsmpOHFQi97Wpl34SA0_ZSfp0a2ZyEMKkwS_0tVWBzS4Gh5jGHP4451_USTEsAaIRuEKdvlsPw9YYrXTKhbE-V_Z-LUx_zmUhqGPzyu9FSnTD-GmaPHE4_KTrA5YxANV-GQKeh2A_-w=s320" width="320" /></a></div>Arrêté le 5 février dernier, l’ancien Conseiller spécial du Chef de l’Etat en matière de sécurité, François Beya, surnommé Fantômas est toujours détenu à l’Agence Nationale de Renseignement(ANR). Alors que peu d’informations sont connues sur la « tentative de déstabilisation des institutions » , évoquée par la Présidence de la République comme motif de son arrestation, une association hausse le ton pour solliciter auprès du président de la République sa libération.<br /><br />Elle se dénomme « Collectif Free Beya » et a fait sa première véritable sortie médiatique ce mardi 1 er mars 2022.<br /><br />Se définissant comme « une association de fait regroupant des personnes éprises de justice et de paix », ce collectif prétend qu’il est composé des « défenseurs des droits de l’homme évoluant au pays et à l’étranger qui militent et mobilisent pour la promotion et la défense des droits de l’homme ».

<br /><br />Ses membres affirment que Francois Beya est victime d’une injustice et plaident « pour le respect de la Constitution et de lois qui régissent le pays, en toute circonstance ».<br /><br />Pour le « Collectif Free Beya », l’ancien Conseiller spécial en matière de sécurité du Chef de l’Etat, la condition sine qua non pour que la RDC poursuive sa voie vers une « véritable démocratie » est le respect de la Constitution, entendu le cas échéant par la libération du Fantômas.

<br /><br />« En l’absence de charges concrètes contre François Beya, le collectif Free François Beya Kasonga appelle le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, en tant que garant d’un État de droit, à ordonner la libération immédiate et sans condition de M. François Beya, et à mettre un terme à toute forme de harcèlement à son endroit et à celui de ses proches », a déclaré ce collectif fantomatique car non formel et reconnu que de ses membres, au cours d’une conférence de presse organisée à Kinshasa.<br /><br />Junior Lomanga<p> </p>

Politique Du nouveau dans le dossier François Beya : Un collectif fantomatique demande à Félix Tshisekedi d’ordonner la libération du Fantômas

Arrêté le 5 février dernier, l’ancien Conseiller spécial du Chef de l’Etat en matière de sécurité, François Beya, surnommé Fantômas est touj...

Daniel Safu : « S’il n’y a pas élections en 2023, nous allons chasser Félix Tshisekedi »

March 02, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhBIts-nyTTWnNpIi8dVBvTL7Y9xgysBi4ProAzgaglbwrX0kbQFYdTzaw4F6cVxE_CPl8nwCRpd1JK8Dngf9IuY4MBUZu8idmm3gUnIxrr-dP-BeJC3qDVf4MYsRHFD8stXdxk4e6D4052EH1u8gxiFSnnqcuxTRgL72NaKGqsbATdWH4_NXphFFMoYQ=s589" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="439" data-original-width="589" height="239" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhBIts-nyTTWnNpIi8dVBvTL7Y9xgysBi4ProAzgaglbwrX0kbQFYdTzaw4F6cVxE_CPl8nwCRpd1JK8Dngf9IuY4MBUZu8idmm3gUnIxrr-dP-BeJC3qDVf4MYsRHFD8stXdxk4e6D4052EH1u8gxiFSnnqcuxTRgL72NaKGqsbATdWH4_NXphFFMoYQ=s320" width="320" /></a></div> Le député national Daniel Safu, a, au cours de l’émission organisée par des journalistes dernièrement à Kinshasa, dit, s’opposer au présumé report des élections en 2023.<br /><br />À l’en croire, faute d’organisation d’élections en 2023, une transition sans l’actuel président de la République Démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi, sera mise sur pied.<br /><br />« Je m’inspirais d’Étienne Tshisekedi, voilà ce qu’il nous disait, si Kabila n’organise pas les élections, le pouvoir sera dans la rue, soyez prêts pour récupérer ce pouvoir. S’il n’y a pas élections en 2023, nous allons chasser Félix Tshisekedi pour mettre en place une transition sans lui », a-t-il déclaré.<br /><br />Il ajoute par ailleurs qu’il s’agit d’une obligation constitutionnelle et non d’une supplication.<br /><br />P.K<p></p>

Politique Daniel Safu : « S’il n’y a pas élections en 2023, nous allons chasser Félix Tshisekedi »

Le député national Daniel Safu, a, au cours de l’émission organisée par des journalistes dernièrement à Kinshasa, dit, s’opposer au présumé...

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