BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Imputations dommageables : Pero Luwara serait recherché par la justice

May 04, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjiLepKS6iNMdKCm8dr8XKbw-Mz5O5K4fvwxYlYodbDAwbiugFWVs_9eHoRQChcOOeu_PE2ppi6zH3FxkU7qOTWxxN6sN1U-SR4UEVHD7EmYeDUqjkCS-gOlgJCJElt9WjAz71nir7FYIzr9-rxeTFbasTtwoIlppjVG818KBq9Zai5Mt-RWc4IGFadSw/s997/Snapshot_28tfty.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="622" data-original-width="997" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjiLepKS6iNMdKCm8dr8XKbw-Mz5O5K4fvwxYlYodbDAwbiugFWVs_9eHoRQChcOOeu_PE2ppi6zH3FxkU7qOTWxxN6sN1U-SR4UEVHD7EmYeDUqjkCS-gOlgJCJElt9WjAz71nir7FYIzr9-rxeTFbasTtwoIlppjVG818KBq9Zai5Mt-RWc4IGFadSw/s320/Snapshot_28tfty.jpg" width="320" /></a></div>Le parquet général près la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe, a lancé ce 03 mai un mandat d'amener contre le journaliste Pero Luwara de CPL TV suite à des propos diffamatoires tenus contre le chef de l'État.<br /><br />Il faut souligner que dans une vidéo ,qui a fait là une des réseaux sociaux , le journaliste Pero Luwara a ténu des propos désobligeants à l'égard du président de la République Félix Tshisekedi jusqu'à toucher à sa vie privée.  Une sortie médiatique qui a choqué l'opinion publique.<br /><br /><br />D'après plusieurs sources  , le journaliste Pero Luwara  serait déjà en fuite en dehors de la ville de Kinshasa ,   même la corporation des journalistes, l' union nationale de la presse du Congo a lancé, sans succès, une invitation au journaliste Pero Luwara pour s'expliquer devant le tribunal des pères.

<br /><br />Pero Luwara risque deux mois ou plus de servitude pénale.<br /><br /> <br /><b><br />Ci dessous le mandat d'amener</b><br /><br /><img src="https://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2022_actu/05-mai/01-08/luwara_mandat_22_02141.jpg" /><br /><br /> <br /><b>Daniel Aloterembi<br />congo-press.com (MCP) </b><p></p>

Politique Imputations dommageables : Pero Luwara serait recherché par la justice

Le parquet général près la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe, a lancé ce 03 mai un mandat d'amener contre le journaliste Pero Luwara de...

Réunification de Wenge Musica 4×4 : « Si notre réconciliation fait mal à un jaloux, qu’il quitte le pays (Werrason)

May 03, 2022

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsb9U4uXOTi-2OJ3tGfDygC3H8gaRJjENys9AV9hk_NChEe_MH-yBqlw1xQPaGMri-aryJFdTt_Hymv0EuHmX9UKDDqmYXVdi3dlFUFe8buLosXg954N8s_3FXPVVZonP72Txy9es8HbnrwCf9fyeXzCdORpdD9IpN_nxwnPIH_PD2XZ1jvcQPL-Z_7Q/s1131/Snapshot_540.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="633" data-original-width="1131" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsb9U4uXOTi-2OJ3tGfDygC3H8gaRJjENys9AV9hk_NChEe_MH-yBqlw1xQPaGMri-aryJFdTt_Hymv0EuHmX9UKDDqmYXVdi3dlFUFe8buLosXg954N8s_3FXPVVZonP72Txy9es8HbnrwCf9fyeXzCdORpdD9IpN_nxwnPIH_PD2XZ1jvcQPL-Z_7Q/s320/Snapshot_540.jpg" width="320" /></a></div><p>Kinshasa, 03 Mai 2022 : Les co-fondateurs du groupe musical Wenge Musica 4×4 étaient les invités de l’émission Karibu Variété de la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC), ce dimanche 01 mai 2022.</p><p>Face à la présentatrice de cette émission, Mme Mamie Ilela, l’artiste Musicien Werrason, a expliqué que leur réconciliation après de 25 ans depuis leur séparation, est pour promouvoir la culture congolaise.</p><p>« Notre Réconciliation c’est pour promouvoir notre culture. Donc nous sommes réunis pour le bien de notre culture, nous ne somme pas là pour combattre qui que c’est soit . 
  
  
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  Je dis à tous nos jaloux que si notre réconciliation leur fait mal, qu’ils quittent le pays ce jour là », a laissé entendre le surnomé le roi de la forêt.</p><p><br /></p><p><br /></p><p>Par la même occasion, le groupe a présenté les musiciens qui font partie de ce grand projet. On pouvait voir sur le plateau Werrason, JB Mpiana, Didier Masela et Adolphe Dominguez. Ces grandes figures de Wenge Musica 4×4 ont, à leur tour, présenté les autres membres, avant de parler des projets à venir.

</p><p><br /></p><p>Il sied de rappeler que l'une des figures les plus connues de ce groupe en la personne de Ferre Gola a été absente lors de cette présentation. En revanche, le padre avait récemment souligné lors de son passage à l'émission "Bosolo n'a Politik", qu'il ne fera pas partie de ce groupe car, il est entrain de réaliser le même que ce que font ces vieux.</p><p>AIE</p>

Musique Réunification de Wenge Musica 4×4 : « Si notre réconciliation fait mal à un jaloux, qu’il quitte le pays (Werrason)

Kinshasa, 03 Mai 2022 : Les co-fondateurs du groupe musical Wenge Musica 4×4 étaient les invités de l’émission Karibu Variété de la Radio Té...

RDC : «cela fait plus d’une année qu’ils cherchent à me jeter en prison parce que j’ai refusé d’obéir à certaines instructions»(Matata Ponyo)

May 03, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj08RS1ZwxgoTA_xAGA08krcNwhpdBYFsPNT47EYuNtJ4NAJv_wsqvb3vc5G93cWF5shRgQhN_gfzO-YSCrw07id8Tr96tjSi4cF5I6knFhvHhFhQC3EsFFbCPJWSjV_o1a3yaJjU6v-k9q-nWQzs1Gwk6awc67SagjxIgm0XXkcis0NNBfG8YsvcQjFg/s991/Snapshot_539.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="991" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj08RS1ZwxgoTA_xAGA08krcNwhpdBYFsPNT47EYuNtJ4NAJv_wsqvb3vc5G93cWF5shRgQhN_gfzO-YSCrw07id8Tr96tjSi4cF5I6knFhvHhFhQC3EsFFbCPJWSjV_o1a3yaJjU6v-k9q-nWQzs1Gwk6awc67SagjxIgm0XXkcis0NNBfG8YsvcQjFg/s320/Snapshot_539.jpg" width="320" /></a></div>L’ancien premier ministre, Augustin Matata Ponyo et son nouveau parti politique dénommé Leadership et gouvernance pour le développement, LGD en sigle étaient en congrès ce mardi 03 Avril à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.<br /><br />En effet, l’homme à la cravate rouge a profité de ce grand rendez-vous pour parler de ses démêlés judiciaires. Revenant sur les affaires judiciaires qui l’ont opposé à l’état Congolais pendant environ une année, Augustin Matata Ponyo a affirmé que c’est parce qu’il n’a pas obéi à certaines instructions qu’il a failli être jeter en prison.<br /><br /><br />“Cela fait plus d’une année que l’on cherche à tout prix à me jeter en prison sans aucune preuve, tout simplement parce que j’ai refusé d’obéir à certaines instructions. Et la population Congolaise se pose des questions sur base de quels critères veut-on arrêter Monsieur Matata” a-t-il déclaré devant les participants.

<br /><br />L’ancien premier ministre de Joseph Kabila révèle que ces affaires qu’il considère des “tracasseries” sont politiques pour le contraindre d’entrer dans l’union sacrée, coalition autour de Félix Tshisekedi.

<br /><br />“Toutes tracasseries judiciaires dont je suis l’objet pendant plus d’une année ne sons pas fondées, ce sont des poursuites politiques et engagées pour me contraindre d’entrer dans l’union sacrée” a ajouté M. Mapon.<br /><br />Rappelons que la cour constitutionnelle s’était déclarée incompétente pour juger Matata Ponyo en sa qualité d’ancien premier ministre, deux affaires l’opposait à l’état Congolais dont Bukanga-Lonzo et Biens Zaïrianisés.<br /><br />Gaël Hombo/acturdc.com<p> </p>

Politique RDC : «cela fait plus d’une année qu’ils cherchent à me jeter en prison parce que j’ai refusé d’obéir à certaines instructions»(Matata Ponyo)

L’ancien premier ministre, Augustin Matata Ponyo et son nouveau parti politique dénommé Leadership et gouvernance pour le développement, LGD...

EN DIRECT DE LUBUMBASHI RENE , BENJAMIN,MWANA AKOLI , JOEL KITENGE : BA YIBI BA CABLES YA COURANTS OYO FATSHI ASOMBAKI PONA PUPULATION ( VIDEO )

May 03, 2022

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DOCTEUR MUKWEGE DEVANT BAHATI LUKUEBO : JE CONNAIS CERTAINS DEPUTES DE L ' EST COMPLICES DES ATROCITES ( VIDEO )

May 03, 2022

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RELIGION : Dénis Lessie pour un débat contradictoire avec le Révérend Paul Mukendi

May 03, 2022

<p></p><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkEbslfwvldBrOxx8IJGuvLD-aJheKMvGofTYs-7U59dfNX9QfZxkZIr8I2m-OyAMc-rkIQgfT2j5ZEW8KyXpzlgG7T1ai89swO39dkXgAik6sH9N3f6V4yvcBXh0Yvxzcm1-xKve_CuHpqnw6pg6TptDBt_MXqRmrpaEoDPOKNfRgpprhjsqNkyuAng/s640/Snapshot_538.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="640" data-original-width="640" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkEbslfwvldBrOxx8IJGuvLD-aJheKMvGofTYs-7U59dfNX9QfZxkZIr8I2m-OyAMc-rkIQgfT2j5ZEW8KyXpzlgG7T1ai89swO39dkXgAik6sH9N3f6V4yvcBXh0Yvxzcm1-xKve_CuHpqnw6pg6TptDBt_MXqRmrpaEoDPOKNfRgpprhjsqNkyuAng/s320/Snapshot_538.jpg" width="320" /></a></div>Kinshasa, 03 Mai 2022 : Le prophète Dénis Lessie a, au cours d'une récente émission tournée à Kinshasa, invité le révérend pasteur Paul Mukendi, à un débat contradictoire sur la parole de Dieu, à condition que celà soit en direct du tribunal Canadien. <br /><br />Cette déclaration de Dénis Lessie émane de la prédication du Pasteur Paul Mukendi, dans le cadre de la deuxième édition d'une conférence qui avait pour thème : "Ne vous conformer au siècle présent", organisée du 22 au 24 avril à Kinshasa. <br /><br />Dans son message, le pasteur Paul Mukendi condamnait avec dernière énergie, le comportement de certains hommes de Dieu qui chantent des chansons païennes et qui participent aux concerts mondains.<br /><br />Se sentant directement touché par ces propos, Dénis Lessie a déclaré : " Mukendi je te parle en face : tu es un fugitif, violeur. Toi, tu es qui pour juger les gens d'impurs ? Je ne peux même pas t'appeler pasteur et je suis très dur avec toi. Tu as violé une congolaise au Canada et on t'a condamné pendant 8 ou 9 ans. Même pour sortir du Canada, tu t'es déguisé en femme ".<br /><br />Et de poursuivre : " tu ne peux pas donner cours aux pasteurs de Kinshasa. Vous allez mentir ceux-là qui ne te connaissent pas, mais pas moi.

Je préfère Félix Wazekwa que toi. Un pasteur ne fuit pas, tu dois plutôt affronter les épreuves. Je te livre maintenant entre les mains du diable et je t'informe déjà que je vais entrer en contact avec le tribunal Canadien pour te dénoncer ".<br /><br />À cette occasion, Denis Lessie a annoncé le contrat d'un film lui proposer par la Radio France Internationale (RFI). Dans ce film qui sera tourné en décembre prochain, le prophète Dénis Lessie jouera le rôle d'acteur principal et il sera question pour lui de dénoncer tous les mauvais serviteurs de Dieu peut importe l'église en raison de 1 millions d'euros par dénonciation.

<br /><br />" J'ai déjà 21 noms des faux pasteurs avec moi parce qu'il faut retenir que la dénonciation d'un seul nom avec preuve, me vaut 1 millions d'euros. J'ai aussi reçu des images obscènes de quelques sœur religieuses de l'église Catholique voire de certains prêtres qui ont des enfants, je vais tous les dénoncer ", a-t-il souligné, avant d'inviter toutes personnes de bonne foi, à lui venir en aide avec des preuves à l'appui dans le but de se faire ensemble de l'argent.<br /><br /><br /><br /><b>AIE</b><p> </p>

Religion RELIGION : Dénis Lessie pour un débat contradictoire avec le Révérend Paul Mukendi

Kinshasa, 03 Mai 2022 : Le prophète Dénis Lessie a, au cours d'une récente émission tournée à Kinshasa, invité le révérend pasteur Paul ...

« Delly Sesanga : « L’exigence des Congolais de père et de mère est hors de la présente réforme »

May 03, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh03lyNjE6hDZIXtbKH0BOdLZ4o2BspqgY0si-0kUjPaB5Gf7EWRBUZl1TDqLWUNtMjKsDQgmkfJgfvkf7iJH2cNOABkaRHzgSEp9uJA98RK1aQBvr7OrT6PCPZWLNCDKGKNEqc2eF9tjMl16bT75wbXxMRsMzjPyV2J3LOJGOgug1YmE0ytW90pku-4w/s845/Snapshot_537.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="557" data-original-width="845" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh03lyNjE6hDZIXtbKH0BOdLZ4o2BspqgY0si-0kUjPaB5Gf7EWRBUZl1TDqLWUNtMjKsDQgmkfJgfvkf7iJH2cNOABkaRHzgSEp9uJA98RK1aQBvr7OrT6PCPZWLNCDKGKNEqc2eF9tjMl16bT75wbXxMRsMzjPyV2J3LOJGOgug1YmE0ytW90pku-4w/s320/Snapshot_537.jpg" width="320" /></a></div><br /> Revue de presse du mardi 3 mai 2022<br /><br />La clôture des débats sur la réforme de la loi électorale est largement commentée par la presse parue ce mardi.<br /><br />Le débat général sur la loi électorale est clos avec l’éclairage apporté par le G13, initiateur de ce texte majeur d’organisation des élections en République démocratique du Congo, rapporte Le Potentiel.<br /><br />La voie est balisée pour les scrutins de 2023 au niveau de la Chambre basse du Parlement qui vient de remplir sa part du contrat, explique le journal.<br /><br />À en croire les co-auteurs de ce texte de loi désormais envoyée à la commission PAJ pour examen approfondi et toilettage, la « loi électorale Lokondo » pose quatre exigences : la mise en place d’un système deproclamation des résultats bureau de vote par bureau de vote ; la femme doit être représentée de manière paritaire pour sacrifier à un impératif constitutionnelle ; une cartographie électorale élaborée avant les scrutins afin de donner à tout Congolais des milieux urbains ou les milieux ruraux la possibilité de connaître leurs bureaux de vote longtemps avant les scrutins ; le vote qui va se passer en 2023, dans le délai constitutionnel, sera mi-électronique, mi-manuel, dont les règles d’utilisation sont fixées dans la loi, détaille le quotidien.<br /><br />Prenant acte de la recevabilité de cette loi, le bureau de l’Assemblée nationale, par l’entremise de son président, Christophe Mboso N’kodia Pwanga, a décidé d’envoyer ce texte légal à la commission Politique, administrative et judiciaire pour un examen approfondi et insertion des amendements formulés par les députés nationaux, ajoute pour sa part La Tempête des Tropiques.

<br /><br />Puis, la PAJ va faire rapport des conclusions de ses travaux au bureau qui, à son tour, les soumettra à l’examen et adoption des parlementaires lors d’une séance plénière qui sera convoquée à cet effet, poursuit le tabloïd.<br /><br />Dans sa réplique aux préoccupations de ses collègues députés, au cours de la plénière de l’Assemblée nationale lundi 02 mai, rapporte Forum des As, Delly Sesanga, l’un des co-auteurs de la proposition de loi modifiant la loi électorale, en cours d’examen, a rejeté l’amendement formulé par le député N’singi Pululu.  <br /><br />« La question de l’exigence des Congolais de père et de mère est hors du périmètre de la présente réforme. La proposition de N’singi Pululu se heurte à notre Constitution », a argumenté  Delly Sesanga, dans les propos repris par le journal.<br /><br />En rejetant l’amendement du député Nsingi Pululu exigeant des candidats Président de la République la nationalité congolaise de père et de mère, Delly Sesanga a battu en brèche l’argumentaire de  Nsingi Pululu, en contextualisant les contraintes constitutionnelles à la base de l’interdiction de toute révision de la Constitution, conclut le quotidien.

<br /><br /> <br /><br />Comme le rappelle Africa News, cet amendement proposé par Nsingi Pululu avait créé des tensions. Dans une déclaration rendue publique le week-end, la jeunesse katangaise a dit s’opposer catégoriquement aux amendements planifiés par le député Nsingi Pululu considéré comme une nouvelle manœuvre pour allier un projet clivant à la loi électorale en vue de barrer la route de la course à l’élection présidentielle à Moïse Katumbi.<br /><br />La proposition de loi «Tshiani» endossée par le député Nsingi Pululu qu’on croyait être enterrée après le tollé qu’elle avait suscité au sein de la classe politique, de la société civile et même sur le plan international, semble ressuscitée sous une autre forme, fait remarquer le tri hebdomadaire.

<br /><br />Dans le même ordre d’idées, Le Journal titre : « De père et de mère », un dangereux risque de balkanisation ».<br /><br />Selon le quotidien, penser s’acharner à cibler Moïse Katumbi uniquement est une grossièreté politique qui fera inévitablement retomber la nation dans des tensions politico-militaires alors que plusieurs territoires du Nord-Kivu, de l’Ituri et du Sud-Kivu vivent en guerre permanente pour les mêmes velléités.

Politique « Delly Sesanga : « L’exigence des Congolais de père et de mère est hors de la présente réforme »

Revue de presse du mardi 3 mai 2022 La clôture des débats sur la réforme de la loi électorale est largement commentée par la presse parue c...

RDC : 750 policiers armés ont quitté le Grand Kasaï sans autorisation pour s'installer dans le Haut-Katanga (Gouverneur)

May 03, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh95Qqac7dsqahKfNWt_e1FsHBnFGXN9zZUm7FjjnhR0rGeESI5V-wZd2GszkJ6nqZZ04b9LwVljir-fXoleAC1wDXP829VxqIrfq9ONcCSr2RqfxstFpjaPx-L9no1LOzuzHn7c_zRGjGJQ8aEHxky6pgJ8mbCo7jiLdzBGHZIrUabDwPdN_Y0uZe1Uw/s1271/Snapshot_536.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="845" data-original-width="1271" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh95Qqac7dsqahKfNWt_e1FsHBnFGXN9zZUm7FjjnhR0rGeESI5V-wZd2GszkJ6nqZZ04b9LwVljir-fXoleAC1wDXP829VxqIrfq9ONcCSr2RqfxstFpjaPx-L9no1LOzuzHn7c_zRGjGJQ8aEHxky6pgJ8mbCo7jiLdzBGHZIrUabDwPdN_Y0uZe1Uw/s320/Snapshot_536.jpg" width="320" /></a></div>Au total, 756 policiers armés en provenance du Grand Kasaï se trouvent à Lubumbashi dans le Haut-Katanga depuis quelques semaines.<br /><br />D'après le gouverneur Jacques Kyabula Katwe qui l'a dit ce lundi 02 mai 2022 lors du briefing sur la conférence interprovinciale Katanga-Kasaï avec les journalistes à Lubumbashi, ces éléments de la Police Nationale Congolaise sont aussi à la base de la résurgence de l'insécurité dans le Haut-Katanga.<br /><br /><br />« En ce qui concerne la question sécuritaire, nous nous sommes rendus compte que le mouvement des masses qui viennent de 5 Kasaï vers les provinces du Katanga, c'est aussi des policiers armés qui se déplacent aussi avec la population.

Dans le Haut-Katanga, nous avons plus où moins 750 policiers armés qui se sont déplacés d'eux-mêmes vers le Katanga. Mais quand ces policiers arrivent et n'ont pas où passer nuit, ni à manger, donc ils vont créer l'insécurité naturellement. Raison pour laquelle vous voyez le fait qu'il y ait l'insécurité qu'on ne sait pas maîtriser jusqu'à aujourd'hui parce que, dès lors que c'est maîtrisé, il y a des arrivés », a-t-il fustigé.

<br /><br />Au total, plus de 1.000 policiers armés ont fui le Kasaï avec leurs armes. Selon le rapport de la conférence interprovinciale Katanga-Kasaï parvenu à 7SUR7.CD, 756 sont dans le Haut-Katanga, 300 dans le Lualaba et 220 dans le Tanganyika.<br /><br />Patient Lukusa, à Lubumbashi <p></p>

sécurité RDC : 750 policiers armés ont quitté le Grand Kasaï sans autorisation pour s'installer dans le Haut-Katanga (Gouverneur)

Au total, 756 policiers armés en provenance du Grand Kasaï se trouvent à Lubumbashi dans le Haut-Katanga depuis quelques semaines. D'apr...

Un canard permet aux policiers de résoudre une affaire de meurtre

May 03, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfdVrNEI4vfIeFiu7SFgZWyHPYXCPs-VS2KDnwFzouDIt5rvw4p34ZqQjAkx6VyVijD9ymodtA2vvNQ_3jTtAxg0R41KZW6z5m7gMRj--eLCbYL4MKoCHNWRdn315DIDbuPYGeGfFrnO4WeAwVe5YcIoApjsFx5VwLj1OwHPyUubn90FfezokRxPCEfQ/s999/Snapshot_535.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="539" data-original-width="999" height="173" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfdVrNEI4vfIeFiu7SFgZWyHPYXCPs-VS2KDnwFzouDIt5rvw4p34ZqQjAkx6VyVijD9ymodtA2vvNQ_3jTtAxg0R41KZW6z5m7gMRj--eLCbYL4MKoCHNWRdn315DIDbuPYGeGfFrnO4WeAwVe5YcIoApjsFx5VwLj1OwHPyUubn90FfezokRxPCEfQ/s320/Snapshot_535.jpg" width="320" /></a></div> Des enquêteurs de la Caroline du Nord ont reçu un coup de pouce inattendu dans une affaire de disparition, celui d’un canard.<br /><br />Depuis deux ans, les policiers étaient à la recherche de Nellie Sullivan, une nonagénaire qui était portée disparue.<br /><br />Deux suspects avaient été identifiés par la police: il s’agissait d’Angela Wamsley, la petite-fille de la disparue, ainsi que de son conjoint, Mark Barnes.<br /><br />Les autorités croyaient bien que la dame de plus de 90 ans avait été assassinée par Wamsley et Barnes, mais la dépouille de la victime était introuvable.

<br /><br />Ce n’est que la semaine dernière que les policiers ont retrouvé le corps de Nellie Sullivan, grâce à un canard domestique, a rapporté CNN.<br /><br />Ce dernier s’était enfui sous une remorque. En tentant de le rattraper, les propriétaires de l’animal ont découvert un conteneur à déchets où se trouvait le cadavre de Nellie Sullivan.<br /><br />«Si je pouvais donner une médaille à ce canard, je le ferais», a déclaré le sergent Mark Walker, du Bureau du shérif du comté de Buncombe.

<br /><br />La dépouille de la victime a été envoyée au laboratoire pour permettre aux policiers de comprendre depuis combien de temps Mme Sullivan était décédée.<br /><br />Selon le sergent Mark Walker, les deux suspects avaient caché le corps afin de continuer à recevoir des allocations.<br /><br />Grâce à la découverte de celui-ci, les deux suspects ont pu être formellement accusés de meurtre.<br /><br />Journal de Montréal<p></p>

Société Un canard permet aux policiers de résoudre une affaire de meurtre

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Ouganda: A 83 ans, il devient papa pour la première fois!

May 03, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhL2VWmlGZ6VtiN2snCYwA95QWdSmfgGl223REqavkhDwUD5qwZOdDw77HLY7qYLlIlrsj8Ki2Oe5rIEJBp0GKzANENbLOU8N0OucVjOjfw2PpPxitiAuAcBXdiUuylVL8_-CsDiX0ibnLbYvParMekdbTIW11v8Jg9vKgwAarHe-ba3OmEutoEZt4jAQ/s856/Snapshot_533.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="537" data-original-width="856" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhL2VWmlGZ6VtiN2snCYwA95QWdSmfgGl223REqavkhDwUD5qwZOdDw77HLY7qYLlIlrsj8Ki2Oe5rIEJBp0GKzANENbLOU8N0OucVjOjfw2PpPxitiAuAcBXdiUuylVL8_-CsDiX0ibnLbYvParMekdbTIW11v8Jg9vKgwAarHe-ba3OmEutoEZt4jAQ/s320/Snapshot_533.jpg" width="320" /></a></div>Yosia Mwesigye, 83 ans, a accueilli son premier enfant, après le décès de sa femme de 79 ans qui n'a pas laissé d'enfant.<br /><br />Dans son précédent mariage, Mwesigye a attendu 57 ans sans enfant. Alors que la société accorde une grande valeur à la maternité, Mzee Mwesigye ne regrette pas que sa défunte épouse ne lui ait pas donné d'enfant.<br /><br />Troisième d'une famille de 10 enfants, Mzee Mwesigye est né le 26 janvier 1939 à Nyamiyaga Cell, paroisse de Kazindiro, sous-comté de Bugangari, district de Rukungiri (Ouganda).<br /><br />À 23 ans, il épouse l'amour de sa vie, Jane Tukamuhabwa (aujourd'hui décédée), le 25 avril 1962.<br /><br />Mais le couple ne pouvait pas avoir d'enfants.<br /><br />"Lorsque nous nous sommes rendus dans les hôpitaux, on nous a dit que nous étions fertiles", raconte Mzee Mwesigye.<br /><br />Il est resté fidèle à sa femme. Malheureusement, en 2005, Tukamuhabwa a été diagnostiquée avec un cancer du col de l'utérus et elle est décédée en 2018.<br /><br />"Nous avons tout fait ensemble mais c'est tellement malheureux qu'elle soit décédée sans avoir donné naissance", dit-il.<br /><br />À 79 ans, Mzee Mwesigye a retrouvé l'amour.

<br /><br />"J'ai vécu avec des travailleurs et quelques enfants adoptés après le décès de ma femme, mais ils pouvaient dormir dans les quartiers des garçons et je dormais seul dans la maison principale.  C'est à ce moment-là que la vie s'est retournée contre moi et que j'ai pensé à épouser une seconde femme", raconte-t-il.<br /><br />Quelques jours plus tard, la sœur de Mzee Mwesigye lui a amené une femme pour une visite à la maison, qui est ensuite devenue sa nouvelle épouse.<br /><br />"J'étais excité à tel point que j'ai même pleuré et demandé à l'un de mes employés d'abattre une chèvre et c'est ainsi que j'ai eu ma deuxième femme Sharon Arinaitwe", dit-il.<br /><br />Après deux ans de mariage avec Mme Arinaitwe, aujourd'hui âgée de 29 ans, il a été informé qu'elle était enceinte.

<br /><br />Le 23 mars, des agents de santé du North-Kigezi Health IV Rugarama lui ont donné naissance à un petit garçon plein de vie.<br /><br />"Je suis tellement heureux que Dieu m'ait béni avec un enfant à mon âge. Je n'avais jamais pensé en avoir un, mais j'ai continué à prier et finalement Dieu a répondu à mes prières et maintenant je suis père", déclare Mzee Mwesigye, qui est riche selon les normes du village.<br /><br /> <br /><br />Afri-pulse<p> </p>

Insolite Société Ouganda: A 83 ans, il devient papa pour la première fois!

Yosia Mwesigye, 83 ans, a accueilli son premier enfant, après le décès de sa femme de 79 ans qui n'a pas laissé d'enfant. Dans son p...

La nouvelle stratégie du camp Tshisekedi pour réessayer d’éliminer Katumbi de la course à la présidentielle

May 03, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigO4x3p_DV2_SX7bkBoVEs5wtZ78WrNXSQ-wT5_ADZWPnKTTCsGamLYpuXAFsgw24cGQjBZT0wdiY8rGjilxV8_f3BrvKvFjVBDG4zykRdIXA2rSkC-_GEyBUFu0eW2Ji7HQUy_xbCYsqxIhLs5Cha9FBG_tIqcGuRngfTe3D5aRrKLdYziXlp_8cmiQ/s987/Snapshot_532.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="987" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigO4x3p_DV2_SX7bkBoVEs5wtZ78WrNXSQ-wT5_ADZWPnKTTCsGamLYpuXAFsgw24cGQjBZT0wdiY8rGjilxV8_f3BrvKvFjVBDG4zykRdIXA2rSkC-_GEyBUFu0eW2Ji7HQUy_xbCYsqxIhLs5Cha9FBG_tIqcGuRngfTe3D5aRrKLdYziXlp_8cmiQ/s320/Snapshot_532.jpg" width="320" /></a></div>Fébrile à un an et demi de l’élection présidentielle, le chef de l’Etat n’a pas renoncé à son projet d’écarter de ce scrutin celui qu’il perçoit comme en étant le grand favori : l’ex-gouverneur du Katanga. Voici comment il compte – cette fois-ci – procéder.<br /><br />Ceux qui pensaient que Félix Tshisekedi avait renoncé à la « funeste » proposition de « loi Tshiani » (un Congolais, titulaire de la nationalité américaine et originaire du Kasaï comme M. Tshisekedi), qui interdit aux Congolais qui ne sont pas nés et de père et de mère congolaise d’être notamment candidats l’élection présidentielle (comme c’est le cas de Moïse Katumbi né d’un père juif grec), en sont pour leur frais.<br /><br /><br />A l’approche de la prochaine présidentielle, prévue fin 2023, M. Tshisekedi, qui sait ne pouvoir ni compter sur sa base électorale (étriquée et érodée) ni sur un bilan catastrophique (marasme économique, forte augmentation du coût de la vie, construction d’infrastructures à l’arrêt, exacerbation de la guerre dans l’est du pays, etc.), cherche par tous les moyens à se maintenir au pouvoir.<br /><br />Sachant qu’il ne pourra y parvenir en cas d’élections régulières, il lui reste deux solutions. La plus mauvaise : tricher le jour du scrutin et les suivants. Outre le fait que ce serait compliqué, le prix à en payer vis-à-vis de la communauté internationale dont il a un impérieux soutien serait prohibitif.

<br /><br />Ne lui reste donc qu’une solution, certes guère originale, mais qu’il espère efficace : écarter en amont de la course son principal adversaire, considéré comme le grand favori du scrutin (s’il a lieu à la régulière) : Moïse Katumbi. Un stratagème déjà utilisé par son prédécesseur, Joseph Kabila, en 2018.<br /><br />Après avoir échoué une première fois, l’année dernière, face à la levée de boucliers des églises, des partis politiques d’opposition et de la communauté internationale (Etats-Unis et Europe en tête) à faire passer la proposition de « loi Tshiani », le président RD congolais et son entourage se sont résolus à remettre l’ouvrage sur le métier.<br /><br />Cette semaine, à l’Assemblée nationale, le groupe G13, qui réunit 13 parlementaires toutes tendances confondues, a présenté la proposition de loi électorale. S’en est suivie une discussion sur le dépôt d’amendements potentiels.

C’est ce moment qu’a choisi le député Nsengui Pululu, un cheval de Troie de l’UDPS bien qu’estampillé PPRD qui l’année dernière déjà avait tenté en vain de faire inscrire à l’ordre du jour la loi Tshiani, pour déposer un amendement qui reprend l’essentiel du contenu de la « loi Tshiani » : interdire aux Congolais qui ne sont pas nés de père et de mère congolais d’accéder aux plus hautes fonctions publiques et aux mandats électifs, dont celui de président de la République.<br /><br />André Mbata en première ligne<br /><br /><img height="480" src="https://www.opinion-info.cd/sites/default/files/styles/2048_1536/public/2021-06/Andr%C3%A9%20Mbata%202.jpg?itok=-D0t4GE9" width="640" /><br /><br />Problème : cette loi (qui n’existe nulle part ailleurs dans le monde) s’oppose frontalement aux articles 10 et 72 de la Constitution de 2004. Si l’entourage du chef de l’Etat a choisi d’en passer par la loi plutôt que de modifier la Constitution, c’est pour plusieurs raisons. D’abord, la procédure est moins lourde et a donc théoriquement plus de chance d’aboutir. Ensuite, durant l’état de siège – ce qui est actuellement le cas en RDC en raison de la situation à l’est -, il est impossible de changer la Constitution. Ses dispositions sont « gelées ».

<br /><br />Pour contourner ces obstacles, les « stratèges » de l’UDPS, au premier rang desquels le « constitutionnaliste » André Mbata, désigné pour succéder à Jean-Marc Kabund au poste de premier vice-président de l’Assemblée nationale, pensent avoir trouvé la solution.<br /><br /><br />Leur plan doit se dérouler en trois temps. Un, la commission PAJ de l’Assemblée nationale va accepter l’amendement Pululu. Deux, après s’être assuré à coup de milliers de dollars (une pratique courante en RDC) le vote d’une majorité de députés, l’amendement sera présenté en séance plénière pour être adopté. Trois, en cas de contestation, la Cour constitutionnelle, où siègent des magistrats nommés en majorité par Félix Tshisekedi et acquis à sa cause, sera chargée d’interpréter la loi dans le sens de sa compatibilité avec la Constitution. Juridiquement, c’est totalement abscons. Politiquement, c’est bien ainsi que compte procéder l’UDPS. Reste, comme le rappelle un précédent récent (celui de la mise en accusation de l’ancien premier ministre et sénateur Augustin Matata Ponyo), un sursaut de la part de la Haute-Juridiction n’est pas à exclure.

<br /><br />Tensions à l’est et risque de partition du pays<br /><br />Ironie de l’Histoire, ces manœuvres à l’Assemblée nationale interviennent quelques jours après le déplacement de Félix Tshisekedi à Nairobi au Kenya pour discuter de la paix à l’est avec le Rwanda et l’Ouganda et la semaine même où il s’est rendu à Lubumbashi pour clôturer un forum de réconciliation entre les Katangais et les Kasaïens. Or l’amendement Pululu, s’il était adopté, viserait directement les populations frontalières de l’est, dont les Banyamulenges, et les Katangais qui verraient leur « champion », Moïse Katumbi, une nouvelle fois exclu de la course à la présidentielle.<br /><br />« Le président Félix Tshisekedi donne l’impression de jouer avec des allumettes dans une grange plein de foin sec », s’inquiète un haut-diplomate occidental. Il ne croit pas si bien dire. Si l’amendement Pululu, qui n’est qu’une resucée de la loi Tshiani, venait à être adopté, l’est du pays swahilophone risquerait de s’embraser.<br /><br /><br />Déjà, des voix s’élèvent pour réclamer une scission d’avec le centre lubaphone afin de créer un Etat indépendant du Grand est.<br /><br />Congo Libéré <p> </p>

Politique La nouvelle stratégie du camp Tshisekedi pour réessayer d’éliminer Katumbi de la course à la présidentielle

Fébrile à un an et demi de l’élection présidentielle, le chef de l’Etat n’a pas renoncé à son projet d’écarter de ce scrutin celui qu’il per...

Processus électoral : l’insistance sur le consensus se multiplie de plus en plus

May 03, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5ZsmtB5CoL6K2d-XTy52sU6cdZjMEikA5kY71vd7GAuUU5wL7kaMk3D15eU9_ON8-FUBf5-gPNupo7Riz8USRz2Z8utnpcFVGFOwMfzVXqfA0JIJM_DKzoH1eV_3s-zQaCmNpkIkB4-5cdDe-k_M_SemtpNpXJ-Qse4ptfdKEvuNDx-MqS6BZDj6Dtg/s954/Snapshot_531.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="533" data-original-width="954" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5ZsmtB5CoL6K2d-XTy52sU6cdZjMEikA5kY71vd7GAuUU5wL7kaMk3D15eU9_ON8-FUBf5-gPNupo7Riz8USRz2Z8utnpcFVGFOwMfzVXqfA0JIJM_DKzoH1eV_3s-zQaCmNpkIkB4-5cdDe-k_M_SemtpNpXJ-Qse4ptfdKEvuNDx-MqS6BZDj6Dtg/s320/Snapshot_531.jpg" width="320" /></a></div>Kinshasa, 02 mai 2022- L’exigence du consensus autour du processus électoral qui pointe à l’horizon devient pendant à quelques mois de la tenue des élections en République Démocratique du Congo.<br /><br />Le Comité Laïc de Coordination est l’une des structures estimant que sans consensus les élections attendues en 2023 n’auront nullement des garantis de crédibilité.<br /><br />“[•••] s’agissant des élections, un effort doit être fait pour aboutir à un minimum de consensus, si indispensable pour garantir leur crédibilité future. La politique du passage en force et celle des positions extrêmes érigées en droits de veto, ont largement atteint leurs limites.

L’une et l’autre positions ne peuvent avoir pour consequences que de fragiliser d’avance la prochaine législature, alors que la RDC a besoin plus que jamais d’un pouvoir vertébré, ayant pour base une légitimité absolue”, déclare le CLC dans un document d’utilité publique dont la copie nous est parvenue.<br /><br /><br />Dans le même document le CLC dit considérer qu’il n’est pas trop tard pour bien faire. Ainsi, il exhorte le Chef de l’Etat et à la classe politique à prendre de l’initiative et de faire preuve d’un sens élevé de responsabilité.

<br /><br />Pour le CLC, au regard de la situation politique qui prévaut au pays, marquée par le règne de la méfiance réciproque, aux procès d’intention et aux multiples tentatives de débauchage, la vie nationale ne peut être dominée exclusivement par des competitions politiques et des calculs électoralistes, particulièrement en cette période critique où l’autorité de l’Etat doit absolument être restaurée et où la dignité nationale doit faire l’objet d’une nouvelle conquête. D’où, son appel afin qu’un consensus soit trouvé autour du processus électoral en cours.<br /><br /><br />Il faut dire que cette appel du CLC intervient pendant qu’à l’Assemblée nationale, les députés discutent sur la réforme de la loi électorale.<br /><br />Manassé DIBWA<p></p>

Politique Processus électoral : l’insistance sur le consensus se multiplie de plus en plus

Kinshasa, 02 mai 2022- L’exigence du consensus autour du processus électoral qui pointe à l’horizon devient pendant à quelques mois de la te...

RDC-Affaire Ferdinand Kambere: le ministère public a requis une peine d’une année contre Ardant Kambambi

May 03, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwk2fVHbXoWesNuJobfFvplG3yMHK5itG71eDvmgIOvf8QV-la7FzZRKGsriKz0QfUNUDyqTh8omBR-d7EEm_E0zmVIN9F1fxXo1Ewt3pxzDNTNohQH9GhAThjsp0qhQZZnpU_yKbT4X8w0R9Tfn3_zsjgRFJdpl3niLlfv0qJ_VgI2FO1MQ5qDzjT1g/s992/Snapshot_79.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="992" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwk2fVHbXoWesNuJobfFvplG3yMHK5itG71eDvmgIOvf8QV-la7FzZRKGsriKz0QfUNUDyqTh8omBR-d7EEm_E0zmVIN9F1fxXo1Ewt3pxzDNTNohQH9GhAThjsp0qhQZZnpU_yKbT4X8w0R9Tfn3_zsjgRFJdpl3niLlfv0qJ_VgI2FO1MQ5qDzjT1g/s320/Snapshot_79.jpg" width="320" /></a></div>Après avoir entendu les plaidoyers des parties, le ministère public a jugé bon de requérir contre Ardant Kambambi, une peine d’une année pour coups et blessures et trois ans pour la destruction méchante. À cet effet, le tribunal a promis de rendre son jugement le 11 mai 2022.<br /><br />Il sied de rappeler que c’est Ardant Kambambi qui a porté plainte contre le Secrétaire Permanent Adjoint du PPRD Ferdinand Kambere, et ce dernier a été condamné au premier degré à 6 mois de prison et 10.000 dollars américains comme dommages et intérêts.<br /><br />Ferdinand Kambere a toujours plaidé non coupable depuis le commencement de l’affaire; Ardant Kambambi n’a pas été convaincu quand à ce jugement, il déclara que la peine de 6 mois de prison et les 10.000 dollars américains lui alloués étaient « dérisoires » arrivant à ce stade l’affaire tourne contre lui.<br /><br />Acturdc.Com<p> </p>

Justice RDC-Affaire Ferdinand Kambere: le ministère public a requis une peine d’une année contre Ardant Kambambi

Après avoir entendu les plaidoyers des parties, le ministère public a jugé bon de requérir contre Ardant Kambambi, une peine d’une année pou...

Élection 2023: Ça sent mauvais pour Moïse Katumbi

May 03, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWMynMEl1iDXk2k5kxLLm8yK5TdzLxsEC5ObOoc80iEb577sc3ApCMEHbaKbjL-qoU9M5Zmlaz7DLLkxOfPypvJQa_zaZFpeMTIoI6pMMyq2jVQ9T2YeBY_KS2MiwFUT2bBiruJv4Arcp4dySRiAMfbRSp0eeb8vrNnq0v35lpaamn0dH-01LM5mNRqQ/s1239/Snapshot_518.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="769" data-original-width="1239" height="199" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWMynMEl1iDXk2k5kxLLm8yK5TdzLxsEC5ObOoc80iEb577sc3ApCMEHbaKbjL-qoU9M5Zmlaz7DLLkxOfPypvJQa_zaZFpeMTIoI6pMMyq2jVQ9T2YeBY_KS2MiwFUT2bBiruJv4Arcp4dySRiAMfbRSp0eeb8vrNnq0v35lpaamn0dH-01LM5mNRqQ/s320/Snapshot_518.jpg" width="320" /></a></div>Le président d’Ensemble pour la République, Moïse Katumbi est loin de jouer franc jeu au sein de l’Union Sacrée de la Nation où il est membre bénéficiaire des avantages comme tout le monde et plus que même certains grands partis.<br /><br /><br />C’est le moins que l’on puisse dire du comportement à la chauve-souris de l’ancien gouverneur de l’ex Katanga qui doit sa survie politique à Tshisekedi. Outre ses prises de position laconiques et aussi étonnant que cela puisse être, les délégués de Moïse Katumbi ont été aperçus lors de la récente reunion des Forces politiques et Sociales aux cotés du FCC/Kabila, LAMUKA, CAlCC, MILAPRO et CLC pour peaufiner des stratégies aboutissant à des manifestations contre le pouvoir.<br />Le président d’Ensemble joue à la traitrise. Il n’est ni chaud ni froid, attitude pourtant répréhensible en politique comme en religion. Comment comprendre qu’un acteur politique de son rang se range du coté des « sans positions »? Inadmissible répond vigoureusement un spécialiste de la politique congolaise.

<br /><br />L’opinion se souviendra à son temps, alors président provincial du PPRD et gouverneur de l’ex Katanga sous ce manteau, Moïse Katumbi « par convoitise au poste de président de la République, avait pris l’option de démissionner de son poste de gouverneur appuyé par un groupe d’opportunistes aujourd’hui en débandade » pour se présenter à la présidentielle ». Le traitant de Judas le traître, le régime Kabila va soumettre Katumbi aux sévices d’un exilé que Tshisekeki élu président de la République a pu venir à bout.

<br /><br />« Katumbi mérite le châtiment réservé à la chauve-souris », tonne l’interlocuteur d’ACTU7.CD. « L’homme est à coup sûr porteur des germes nuisibles à la bonne santé de l’USN. Et ça, la haute hiérarchie du pouvoir doit le comprendre et agir sans ménagement », a-t-il conclu.<div id="wpdevar_comment_2" style="box-sizing: border-box; width: 780px;"><span style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial, "Helvetica Neue", Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; padding: 10px; width: 100%;"></span><span style="background-color: white; color: #222222; font-family: Roboto; font-size: 19px;"></span></div><p><b>ACTU7.CD </b></p>

Politique Élection 2023: Ça sent mauvais pour Moïse Katumbi

Le président d’Ensemble pour la République, Moïse Katumbi est loin de jouer franc jeu au sein de l’Union Sacrée de la Nation où il est membr...

Justice : “François Beya vivrait déjà son enfer”(Famille)

May 03, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDWqWWqGwfxTQBZrA1IX9HtmE_X5uNW8jV8Ekt1ZYKx1KQr1c-lTAIDeFox88vDnrqKa60-2zbjQ-GXlOgHiA9RH-vzIxcxx-d476Dtbu1_MBxT1ZRFlZt9Jk1WF89Os5YONWXPMPnu1sCtgDUn2zvS1b-JIY8mx704eE99JiI5alK38SD919_2TkyIQ/s853/hbgvcfcf.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="853" height="206" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDWqWWqGwfxTQBZrA1IX9HtmE_X5uNW8jV8Ekt1ZYKx1KQr1c-lTAIDeFox88vDnrqKa60-2zbjQ-GXlOgHiA9RH-vzIxcxx-d476Dtbu1_MBxT1ZRFlZt9Jk1WF89Os5YONWXPMPnu1sCtgDUn2zvS1b-JIY8mx704eE99JiI5alK38SD919_2TkyIQ/s320/hbgvcfcf.png" width="320" /></a></div>La famille de François BEYA dénonce ls « tracasseries et traitements dégradants » auxquels il a été soumis ce dimanche 1er Mai « par des agents cagoulés de la DEMIAP et ANR », qui lui ont privé d’accès à sa cellule après y avoir fait irruption et procédé à une fouille systématique.<div><br />La famille BEYA exige que la dignité et l’intégrité physique de l’intéressé soient préservées et qu’il ne lui soit pas infligé un traitement différent des autres détenus. Tant que son innocence dont elle ne doute pas demeure, la famille en appelle au strict respect de ses droits.<br /><br />Conseiller spécial de Félix Tshisekedi en matière de sécurité, François Beya a été arrêté et détenu dans les locaux de l’ANR depuis le 5 février. Il a été incarcéré à la prison centrale de Makala dans la soirée du 4 avril.<br /><br />Gaël Hombo/acturdc.com<p> </p></div>

Politique Justice : “François Beya vivrait déjà son enfer”(Famille)

La famille de François BEYA dénonce ls « tracasseries et traitements dégradants » auxquels il a été soumis ce dimanche 1er Mai « par des age...

Lutte contre la corruption : franc succès de Jules Alingete après sa rencontre avec J.Peter Pham aux USA

April 30, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9YHv-900luqHCMMYeZA32J8pNZgNjVO4C48RdYUW4jfFXAfauy9hz_sQqQGHn55--u9n0DbtnOUGqwQU-lUVCNX0PbLDMe75eHwF4Sj08QYRSnsKhj3TO0bRu0-UatHZSgKCt_-n_P36_53iKTEXWz_feKhVSxki1Z7LLpG3VU78LBBan8gRvYMsyVg/s990/Snapshot_530.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="990" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9YHv-900luqHCMMYeZA32J8pNZgNjVO4C48RdYUW4jfFXAfauy9hz_sQqQGHn55--u9n0DbtnOUGqwQU-lUVCNX0PbLDMe75eHwF4Sj08QYRSnsKhj3TO0bRu0-UatHZSgKCt_-n_P36_53iKTEXWz_feKhVSxki1Z7LLpG3VU78LBBan8gRvYMsyVg/s320/Snapshot_530.jpg" width="320" /></a></div>L’Inspecteur général de l’ Inspection générale des finances ( IGF), Jules Alingete vend une bonne image de la RDC concernant la lutte contre la corruption. John Peter Pham, l’ancien représentant des États-Unis dans la région des grands lacs se dit très ravi du combat mené pour barrer la route à la corruption. C’était lors de sa rencontre avec le numéro de l’IGF au pays de l’Uncle Sam.<br /><br />Une bonne impression et image de la RDC en matière de lutte contre les anti-valeurs notamment le coulage des recettes, la corruption enracinée au sens propre et au figuré dans le chef de gouvernants.<br /><br />« Un plaisir d’échanger avec l’inspecteur général Jules Alingete, chef de service de l’IGF RDC et son collègue Jean Muntuabu sur la lutte contre la corruption et des autres efforts nécessaires pour que la RDC et son peuple profitent véritablement de ses ressources naturelles », a tweeté John Peter Pham.

<br /><br />C’est une réussite pour Alingete qui ne cesse de donner des  » insomnies » à tous ceux qui dans la sphère politico-socio-économique en RDC ont du mal à vivre l’ivresse du lait comme auparavant.<br /><br />N’en déplaisent à ses détracteurs qui ont mal interprété ses propos lors de son séjour au pays de Joe Biden:  » La RDC n’est pas en guerre », avait-il lâché.<br /><br />Une façon de dire qu’une guerre se décrète en se basant sur les dispositions de la constitution. Loin s’en faut pour le numéro un de l’IGF, de cracher sur la mémoire des Congolaises et Congolais qui sont tués dans la partie orientale du pays.

<br /><br />Dans le contexte actuel et à plusieurs milliers de kilomètres du Congo, la Russie de Vladimir Poutine est en  » guerre » contre l’Ukraine de Volodymyr Zelensky depuis le 24 février. Mais pour les Russes, ce n’est pas le cas, c’est  » une opération militaire spécialisée ». Les éléments du langage sont maniés d’une manière d’une autre selon que l’on est dans un coin du monde.<br /><br />GBK<p> </p>

Politique Lutte contre la corruption : franc succès de Jules Alingete après sa rencontre avec J.Peter Pham aux USA

L’Inspecteur général de l’ Inspection générale des finances ( IGF), Jules Alingete vend une bonne image de la RDC concernant la lutte contre...

Sénat : accusé de plagiat, “Bahati dit le droit”

April 30, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLw-16vHds4mKCaK_kcMAP5li409YDmsTcHeiJCWPHzp3FBfzrECURGD6EDwzQ4JZU0t5QrZacEKz79ZAAe4enbVmSRTF11g6J7apKswqTCsmdhsgRK7s96v8lUO9yclnhdSXL291Z59sHEtAa9YV0J4kCSVUL0ZhMz2Wss01qAIccegCywtGwIrXbtQ/s994/Snapshot_529.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="994" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLw-16vHds4mKCaK_kcMAP5li409YDmsTcHeiJCWPHzp3FBfzrECURGD6EDwzQ4JZU0t5QrZacEKz79ZAAe4enbVmSRTF11g6J7apKswqTCsmdhsgRK7s96v8lUO9yclnhdSXL291Z59sHEtAa9YV0J4kCSVUL0ZhMz2Wss01qAIccegCywtGwIrXbtQ/s320/Snapshot_529.jpg" width="320" /></a></div>Le président de la chambre haute du parlement congolais, Modeste Bahati Lukwebo est monté au créneau ce vendredi 29 avril afin d’éclairer la lanterne sur la question de la proposition de loi sur l’agriculture dont il en est l’auteur. La proposition de loi modifiant et complétant la loi n°11/022 du 24 décembre 2011 portant principes fondamentaux relatifs à l’Agriculture, initiée par le président du Sénat, Modeste Bahati Lukwebo est l’objet de plusieurs spéculations au sein du parlement congolais.<br />La ferme posture de Modeste Bahati.<br /><br />Le président du Sénat, Modeste Bahati réfute tous les arguments de plagiat portés contre sa personne en mettant en place une technique de défense basée sur l’analyse des textes. Le président de la chambre des speakers souligne que “La proposition est une loi modificative, elle modifie quelques articles et en ajoute un autre. Le reste du texte y compris l’exposé de motif à 90% reste le même. Le fait de garder le même texte de la loi en plusieurs titres, chapitres et exposé de motif ne signifie pas plagiat”.

<br /><br />Ce que dit la loi.<br /><br />Il en ressort que la proposition de l’Assemblée nationale est antérieure à celle que vient d’examiner le Sénat, à l’initiative de son président. En pareille circonstance, l’article 142 du Règlement d’ordre intérieur de l’Assemblée nationale définit le principe d’antériorité et précise que, lorsqu’une même proposition de loi émane de plusieurs initiatives, « le bureau donne priorité au texte antérieur en date ». Précédemment, l’article 141 du même Règlement rappelle que « l’initiative de loi appartient concurremment au Gouvernement, à chaque député et à chaque sénateur ». Au président du Sénat, Modeste Bahati, d’en tirer toutes les conséquences en déclarant sa proposition «mort-née».

<br /><br />Ce que renseigne l’histoire.<br /><br />Les faits reconstitués confirment que la proposition de loi modifiant et complétant la loi n°11/022 du 24 décembre 2011 portant principes fondamentaux relatifs à l’Agriculture a déjà été présentée à l’Assemblée nationale en date du 5 juin 2020 par l’Honorable Elvis Mutiri wa Bashara, son initiateur.<br />Cette proposition de loi a déjà franchi l’étape de l’adoption par l’Assemblée nationale.<div><br /><br />En effet, elle a été adoptée, moyennant quelques amendements, à la plénière du 26 novembre 2020 et programmée au calendrier de cette session de mars 2022 à l’Assemblée nationale pour adoption de ces amendements, avant sa transmission au Sénat en seconde lecture, comme le veut la tradition parlementaire.</div><div><br />Curieusement, l’Assemblée nationale, apprend-on, a constaté qu’une proposition similaire modifiant et complétant la loi n°11/022 du 24 décembre 2011 portant principes fondamentaux relatifs à l’agriculture, a été présentée, le jeudi 21 avril 2022 au Sénat, sous la signature de son président, Modeste Bahati Lukwebo.<br /><br />Jusque-là l’Assemblée nationale pensait juste à un télescopage qui pouvait se régler en interne, mais, à la lecture l’initiative portée par Modeste Bahati, on rapporte que les députés nationaux ont été stupéfaits, prenant le temps de comparer les deux propositions de loi, à savoir celle de l’honorable Mutiri wa Bashara Elvis, débattu quelques mois auparavant à l’Assemblée nationale, et celle présentée récemment au Sénat par l’honorable Modeste Bahati Lukwebo.<br /><br />Arguments de plagiat prouvés.
  
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  <br /><br />Il en ressort clairement que l’exposé des motifs, tel que présenté par Modeste Bahati Lukwebo serait identique avec celui présenté par Elvis Mutiri wa Bashara -«ponctuation comprise », confirment les sources internes de l’Assemblée nationale. Et de préciser : «Il en serait de même des articles de cette proposition de loi ».<br /><br />       Gaël Hombo/acturdc.com<div id="wpdevar_comment_2" style="box-sizing: border-box; width: 780px;"><span style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial, "Helvetica Neue", Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; padding: 10px; width: 100%;"></span><span style="background-color: white; color: #222222; font-family: Roboto; font-size: 19px;"></span></div><p> </p></div>

Politique Sénat : accusé de plagiat, “Bahati dit le droit”

Le président de la chambre haute du parlement congolais, Modeste Bahati Lukwebo est monté au créneau ce vendredi 29 avril afin d’éclairer la...

RDC : Tshisekedi et 2023 (Décryptage)

April 30, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiuXvdR-5QG7vTvHIdhZEHvv3wJoJj2Tmi7XoQfF7y0o62wKWK-h9kPlki016SA81djL1VEv4ZLsIOJvGz9Xopf3e49E91fnZYf9-SwV075o1CNZp2C46uID6--oikFIppe1TTKiFsMOU0tNnhaSlF-dmBFiyZcQMuTSeddC-ChDBOjZ6tMQP6xIYdHKQ/s988/Snapshot_528.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="988" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiuXvdR-5QG7vTvHIdhZEHvv3wJoJj2Tmi7XoQfF7y0o62wKWK-h9kPlki016SA81djL1VEv4ZLsIOJvGz9Xopf3e49E91fnZYf9-SwV075o1CNZp2C46uID6--oikFIppe1TTKiFsMOU0tNnhaSlF-dmBFiyZcQMuTSeddC-ChDBOjZ6tMQP6xIYdHKQ/s320/Snapshot_528.jpg" width="320" /></a></div>A moins de six cent jours de l’élection présidentielle de 2023, Félix Tshisekedi accumule à la fois actions et critiques. Et face à lui, des défis qui s’amoncellent : sécurité, développement, diplomatie, gouvernance et élections.<br /><br />Le temps passe vite pour le président Félix Tshisekedi. Si sa bonne foi n’est plus à démontrer, son énergie dépensée pour la nation étant visible, la situation sociopolitique doublée de la pandémie à coronavirus sont bien loin de lui faciliter la tâche. La majeure partie des congolais crient misère et mais les crises multiformes se dressent toujours devant lui. Tshisekedi ne semble pas jusque-là prendre la mesure de son avenir, insistent plusieurs observateurs congolais. Le président ressemble à un pilote abandonné à la cabine, sans co-pilote attentionné et sans assistants techniques soucieux de son sort. <div><br /></div><div>Il s’appuie principalement sur le gouvernement, une machine grippée qui demande d’être très vite rénovée pour être remise en course. Le chef du gouvernement se démène, avec sa bonne volonté qui ne suffit pas. Il faudra un peu plus qu’une volonté pour stabiliser l’équipage et tous les voyageurs à bord. La gouvernance échappe totalement aux gouvernés. 
  
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  Chaque ministre défend ses projets au Conseil sans vraiment tenir compte du qu’en dira-t-on et de qu’est-ce que chaque programme concrétisera réellement pour susciter des adhésions populaires. Seuls les médias qui couvrent les différentes cérémonies inaugurales peuvent en faire des résumés illustrés. </div><div><br /></div><div>Les fonctionnaires de l’État viennent d’apprendre avec satisfaction l’annonce d’une augmentation. Là encore, le gouvernement est très attendu sur le concret régulier. Les enseignants du primaire et du secondaire (syndicats) discutent chaque saison avec leur tutelle ministérielle autour du barème salarial. Tantôt ça se calme, tantôt ça reprend. Le poisson chinchard, le carburant, les zones économiques spéciales, le cours des mines, les catastrophes environnementales, la gabegie, les affrontements ethniques, etc. Plusieurs dossiers s’enlisent. Le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde est un homme réaliste. 
  
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  Il a reconnu qu’il y a encore du chemin à parcourir.<br /><b><br />Les promesses<br /></b><br />Le président est un homme engagé. Déterminé et persévérant. Depuis sa prise des fonctions, il n’a cessé de montrer la voie, en tirant verbalement les oreilles de ses collaborateurs. D’ambitieux programmes lancés dans la plus grande solennité… Le transport ferroviaire devenu opérationnel entre Lubumbashi et les provinces du Kasaï jusqu’à Ilebo, des routes en construction notamment dans quelques communes de Kinshasa et dans le Kasaï (projet Tshilejelu), des balises installées sur le fleuve Congo entre Kinshasa et Kisangani… .D’autres chantiers se comptent en provinces et dans quelques territoires. Mais par rapport aux projets phares lancés de la main du chef de l’État, les promesses font polémique. Félix Tshisekedi est très attendu sur des réalisations et des chantiers à impact direct sur le vécu quotidien de la population. Là, les signaux ne sont pas clairs. Beaucoup de Congolais exigent plus, mais la moisson est maigre. La gratuité de l’enseignement est une réussite dans quelques coins de la République pas totalement sur l’ensemble du territoire. Les syndicats du secteur le dénoncent à longueur de journée. La concrétisation du projet de la couverture santé universelle se fait toujours attendre.
  
  
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  <br /><br /><b>Le bilan</b><br /><br />Entre les actions en cours de réalisation et les projets annoncés, un grand pas reste à franchir. Surtout que certains actes posés par le régime ont tendance à annihiler les quelques efforts palpablement défendables devant la population. Cas de plusieurs mises en place dans certaines institutions d’intérêt politique comme la Cour constitutionnelle, la commission électorale nationale indépendante (CENI), la composition des bureaux de l’Assemblée nationale et du Sénat. Les échos ressentis de ces différentes nominations ont été suffisamment critiques contre Félix Tshisekedi en personne. Ce qui fait croire que le président n’a rien fait pour n’avoir entendu les voix discordantes sur certaines questions sensibles. Autre faiblesse qui va sûrement coller au bilan présidentiel, c’est la grande vague de détournements de deniers publics. </div><div><br /></div><div>Certes l’Inspection générale des finances (IGF) est à l’ouvrage pour décourager les vieilles habitudes, mais le triomphalisme de certains proches du président conforte la critique et affaiblit l’image de marque du chef de l’État. Au nombre de personnalités jugées intouchables figurent les grands dignitaires de l’UDPS qui résistent aux accusations de la clameur publique. L’ancien ministre de la santé Eteni Longondo passe pour un exemple d’échec de la lutte contre les antivaleurs ou encore l’ex-chef de la lutte contre la corruption, Dieudonné Lobo arrêté puis relâché. Dans ce registre, il y a lieu d’évoquer aussi la colère des combattants de l’UDPS à l’annonce de la libération conditionnelle de Vital Kamerhe.
  
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  <br /><br />L’autre dossier qui affecte négativement la réputation du chef de l’État est sans doute le dossier RAM, cette taxe sur le Registre des appareils mobiles tant dénoncée par l’opposition. Officiellement, cette taxe a été suspendue depuis le 1er mars 2022. La base de données y afférente devrait être actualisée et les paramètres réinitialisés, avait annoncé Kibassa Maliba, le ministre des Postes et télécommunications, très proche de Félix Tshisekedi.<br /><br /><b>Le front électoral</b><br /><br />L’investiture très polémique de l’expert électoral, Denis Kadima Kazadi aura sérieusement empoisonné la réputation du garant du bon fonctionnement des institutions. Le président Tshisekedi était très attendu sur une possible remise en cause de cette candidature fortement contestée par la majeure partie de la société civile congolaise. Mais la décision présidentielle sera tranchante, en investissant le candidat contre l’avis des Églises catholique et protestante. </div><div><br /></div><div>Cet acte considéré comme une consécration de l’irrégularité aux yeux de certains démocrates, n’a épargné l’image du chef de l’État. En dépit des manœuvres entendues ci et là, l’actuelle équipe de la CENI souffre toujours d’une crise de crédibilité.
  
  
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  Dans ce bourbier, s’y est ajoutée une dénonciation du ministre des Finances sur une tentative de détournement de fonds par Denis Kadima. Une crise semble-t-il arrondie entre Nicolas Kazadi et Denis Kadima mais dont les effets ont sérieusement affecté le prestige du régime. </div><div><br /></div><div>Ce chapitre des élections focalisera davantage toutes les attentions tant que toutes les parties prenantes au processus n’auront pas été convaincues de l’indépendance effective de la CENI et de la qualité des personnalités qui animent l’institution. Le FCC et Lamuka exigent à cor et à cri le changement de l’équipe Kadima pour se rassurer de l’indépendance de la CENI. Ensemble pour la République de Moïse Katumbi et le Mouvement de Libération du Congo (MLC) de Jean-Pierre Bemba l’ont clairement signifié à la mission d’évaluation des Nations unies qu’a conduite monsieur Simon-Pierre Nanitalamio, chef adjoint de la division électorale des Nations unies venu de New-York. Ce dossier sensible appelle à un consensus national pour des élections stables, crédibles et apaisées en République démocratique du Congo.<br /><br /><b>Kamerhe à quel poste d’ici 2023 ?</b><br /><br />Faut-il faire de lui directeur de campagne, Premier ministre ou directeur de cabinet à l’horizon 2023 ? L’ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi est un « passe-partout », capable de faire tourner n’importe quel département. Tout dépendra de l’axe prioritaire du patron. A peine sorti de prison, Vital Kamerhe attend assurément le dernier round du procès qui l’oppose au ministère public sur l’affaire des détournements dans le projet dit de « 100 jours ». </div><div><br /></div><div>
  
  
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  Dans les salons politiques de Kinshasa, Kamerhe est déjà pressenti élevé en dignité. Peut-être pour la primature, peut-être comme directeur de campagne de Félix Tshisekedi aux prochaines élections générales. D’autres n’excluent pas de le voir rediriger le cabinet présidentiel où se comptent quelques insuffisances de coordination. Kamerhe remplit plusieurs atouts politiques, diplomatiques et géopolitiques. C’est ce qui fait dire à l’UNC (Union pour la nation congolaise), parti politique de Vital Kamerhe qu’il est possible que son leader lève le doigt pour se représenter à l’élection présidentielle de 2023.<br /><br /><b>La brouille Katanga-Kasaï</b><br /><br />Déterminant pour la stabilité de la côte de popularité de Félix Tshisekedi, la gestion en cours du conflit entre Katangais et Kasaiens est un exercice d’ultime importance dans le contexte politique du moment. Notables, élus nationaux et provinciaux de deux régions du pays ainsi que des officiels de différents niveaux de la République se sont retrouvés a Lubumbashi pour passer au crible les différends politiques et sociaux qui opposent les deux peuples. Si cette question n’est pas définitivement réglée, le régime pourrait ne pas manquer d’en porter une part de responsabilité dans l’opinion publique. Ce qui affectera terriblement la réputation du régime UDPS.
  
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<br /><br /><br /><br /><b>Le bourbier de l’Est</b><br /><br />Pour honorer sa promesse de campagne, Félix Tshisekedi s’était délocalisé à Goma en octobre 2020. Séjour qui l’avait conduit jusqu’à Beni, proche de la ligne de front des forces armées (FARDC) avec les groupes terroristes ADF et à Bunia aux contacts de toute la notabilité locale. Tshisekedi a approché les pays voisins en l’occurrence l’Ouganda avant que le Rwanda ne s’invite à l’audience huit mois après, en juin 2021. Plusieurs accords seront conclus avec le Rwanda, l’Ouganda et même plus tard, avec le Burundi. Spécialement avec Kigalii, trois accords commerciaux seront signés à Goma, en terre congolaise, et ce, plus d’un mois après l’éruption du volcan Nyiragongo. Pour la première fois, Paul Kagame foulera le sol de Goma. L’un des accords conclus avec Kigali portait sur l’exploitation de l’or impliquant la société congolaise aurifère SAKIMA SA ainsi que la société rwandaise DITHER LTD. Tous ces efforts ne suffiront pas à éviter une nouvelle incursion armée sur le sol congolais par des anciens rebelles du M23 très protégés par Kigali. Même l’état de siège instauré dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri commence à susciter des questionnements quant à son efficacité. Il s’ajoute à ce portrait de l’Est, la situation qui dégénère sur les hauts plateaux d’Uvira vers Itombwe. Les consultations de Nairobi, si elles n’actionnent aucun cessez-le-feu, alimenteront la rude critique contre le pouvoir de Tshisekedi.<br /><br /><br /><b><br />Où est l’UDPS ?</b><br /><br />Critiquée pour ses méthodes plutôt efficaces dans l’exercice de la pression populaire, l’UDPS (parti présidentiel) peine toujours à se mettre résolument en ordre de bataille. Après une longue campagne d’implantation conduite par son secrétaire général, Augustin Kabuya, le parti fait face à lui-même. Plusieurs contradictions internes, guerre de positionnements et fuite des cerveaux vers des institutions plus juteuses.
  
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Alors que la base comptait sur les intelligences telles que Peter Kazadi, Paul Tshilumbu ou encore le professeur Tshilumbayi, force est de constater que la plupart se sont positionnés politiquement laissant le parti entre les mains de Kabund. Depuis l’éviction et l’exclusion de ce dernier, tout semble à refaire. L’imbroglio constaté lors de différentes mises en place, tantôt boudées à la base, tantôt contestées ou encore cette dernière querelle autour des candidatures à l’élection des gouverneurs font craindre une certaine impréparation du parti présidentiel à soutenir efficacement son champion Félix Tshisekedi à la glissante course pour la présidentielle de 2023. Heureusement qu’il existe plusieurs forces politiques et sociales engagées dans le même objectif en appui au président candidat à sa propre succession.<div id="wpdevar_comment_2" style="box-sizing: border-box; width: 780px;"><span style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial, "Helvetica Neue", Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; padding: 10px; width: 100%;"></span><span style="background-color: white; color: #222222; font-family: Roboto; font-size: 19px;"></span></div><p> </p></div>

Politique RDC : Tshisekedi et 2023 (Décryptage)

A moins de six cent jours de l’élection présidentielle de 2023, Félix Tshisekedi accumule à la fois actions et critiques. Et face à lui, des...

«Je partage la douleur de mes compatriotes de l’est qui souffrent des affres de la GUERRE » : le mea culpa de Jules Alingete

April 30, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimuko-_SGlXydSGL6LTwazAZlJpjOt1BbMPAmNiu55j1tr93KoaGKdP85RCDX24w4aQG8Jt2oGChtIh-u0VzMblKSnFzu71XYg4lP8G78HTR8vl0BlwCgHmTD9ld7wuTK38U4MfusPP4k2g_yLwi9hw7zaRkhv35fJwxqlK0KcOY7z8euengsOAssSMA/s991/Snapshot_527.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="991" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimuko-_SGlXydSGL6LTwazAZlJpjOt1BbMPAmNiu55j1tr93KoaGKdP85RCDX24w4aQG8Jt2oGChtIh-u0VzMblKSnFzu71XYg4lP8G78HTR8vl0BlwCgHmTD9ld7wuTK38U4MfusPP4k2g_yLwi9hw7zaRkhv35fJwxqlK0KcOY7z8euengsOAssSMA/s320/Snapshot_527.jpg" width="320" /></a></div> L’Inspecteur Générale des Finances, Jules Alingete est revenu sur ses propos tenus à la première édition du North Southern Investment Forum, aux États-Unis. Critiqué sévèrement pour avoir déclaré que « le Congo n’est pas un pays en guerre », il a fait amende honorable, en regrettant que ses propos aient été sortis de leur contexte pour de fins de manipulation.<br /><br />Le patron de l’Inspection Générale des Finances (IGF) que l’on sait intelligent et dont la traque des délinquants financiers est appréciée par la population congolaise, n’a sans doute pas consulté ses conseillers en communication. S’il les a consultés, c’est qu’il doit urgemment recruter des vrais experts en communication pour l’accompagner dans le noble travail qu’il fait.<br /><br />Pour cause, le flic anti corruption en chef en République Démocratique du Congo a bien fait de regretter l’incompréhension dont il a été victime et de partager la douleur des victimes de la guerre de l’Est du pays, mais il a fait une autre bourde impardonnable à ce niveau là de responsabilité, en laissant entendre que le territoire de Rutshuru ne ferait pas partie de la province du Nord-Kivu.<br /><br />Qu’à cela ne tienne, cette mise au point valait la peine d’être faite, pour calmer les esprits et mettre fin à la polémique du moment.

<br /><br />Voici la retranscription d’un extrait de la vidéo du mea culpa de Jules Alingete<br /><br />Je regrette sincèrement l’incompréhension dont nous avions été victime autour de ces propos. Je regrette et je partage également la douleur de mes compatriotes de l’Est du pays qui souffrent des affres de la guerre, qui souffrent avec des tueries, viols, des actes de barbarie. Nous partageons leur douleur et je regrette que nos compatriotes aient été vexés parce que nos propos ont été sortis de leur contexte. Je le dis toujours: un texte sans contexte est un prétexte. Nous avions été devant les investisseurs à Houston et les investisseurs avaient besoin d’être rassurés. Nous leur avons dit qu’il y a des avancées estimables en République Démocratique du Congo en matière de lutte contre la corruption et le détournement des deniers publics.<br /><br />Ils ne devraient pas avoir peur. La République Démocratique du Congo est un pays fréquentable en dépit du fait que nous avons un problème réel de l’insécurité à l’Est, particulièrement au Nord-Kivu et au Sud-Kivu. Je peux ajouter aussi le territoire de Rutshuru. Nous avons nos compatriotes qui souffrent à cause des atrocités qui sont créées par des groupes armés à Béni, Butembo, Bunia et Rutshuru. Nous partageons leurs douleurs.

Nous sommes congolais et le Congo est un. Quand ça ne marche pas à Bunia, c’est au Lualaba qu’on ressent le même phénomène. Quand ça ne marche pas à Béni, c’est à Matadi, c’est au Bandundu, c’est à Kinshasa que nous ressentons le même problème. Nous ne pouvons pas cracher sur la mémoire des milliers de congolais qui sont morts à cause de cette barbarie.<br /><br />Mais je regrette profondément que la situation qui s’est passée à Houston soit une simple manipulation. Parce que loin de moi l’intention de cracher sur la mémoire de mes compatriotes. Je partage ce qui se passe dans mon pays. Mais je devais rassurer les investisseurs que notre pays est fréquentable, que cette insécurité est contenue. Le président de la République a accepté que notre pays engage des pourparlers avec les responsables des groupes armés pour mettre fin à cette insécurité.<br /><br />Dans le même ordre d’idées, le Président de la République a décrété l’état de siège dans deux provinces de notre pays, le Nord-Kivu et l’Ituri. Ce sont des efforts menés par les autorités congolaises, soucieuses de la paix dans l’Est de notre pays. Et nos forces armées se battent jours et nuits.

Il y a de nos militaires qui tombent chaque jour, ils se battent pour que la paix revienne. Personne n’a le droit de cracher sur un tel travail qui est en train d’être fait par le Président de la République, le gouvernement de la République et par nos forces armées. Je n’ai pas ce droit là.<br /><br />Donc, je partage la douleur de nos compatriotes qui souffrent à l’Est. Nous sommes de cœur et je leur dis qu’il s’agit d’une simple manipulation. La manipulation est là car, parce qu’avant que je vienne, les prédateurs ont prétendu que je venais aux États-Unis pour chercher un appui. Je ne sais quel appui. Moi qui vous parle, retenez que je ne chercherai pas un mandat électif. Je ne serai ni député provincial, ni député national, ni un mandat quelconque. Je suis fier d’être un haut fonctionnaire et de traquer les délinquants financiers. J’adore ce travail.<p></p>

Politique «Je partage la douleur de mes compatriotes de l’est qui souffrent des affres de la GUERRE » : le mea culpa de Jules Alingete

L’Inspecteur Générale des Finances, Jules Alingete est revenu sur ses propos tenus à la première édition du North Southern Investment Forum...

Coopération : Tshisekedi et Hakainde mettent en place "le Conseil de la Batterie de la Zambie et de la RDC"

April 30, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtRZHYsCwPVaB4KeNxrgbM9XgEob5yT8ifPAT2vC6j0O1_DXgyT8VzhzyqZn4_2PgbDLK4ILs94hla0jwdb5lJuhVTE_XGOaUMgwOEpBY6gUxvbgRjh8rFJ0_OSoVHOLbNaBJiZtFipUJM4N3iC6l6AffgPjGoysrpVuia3wS7YIm06zh9lVU-TGeEkg/s990/Snapshot_526.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="990" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtRZHYsCwPVaB4KeNxrgbM9XgEob5yT8ifPAT2vC6j0O1_DXgyT8VzhzyqZn4_2PgbDLK4ILs94hla0jwdb5lJuhVTE_XGOaUMgwOEpBY6gUxvbgRjh8rFJ0_OSoVHOLbNaBJiZtFipUJM4N3iC6l6AffgPjGoysrpVuia3wS7YIm06zh9lVU-TGeEkg/s320/Snapshot_526.jpg" width="320" /></a></div>Le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi Tshilombo et son homologue de la République de Zambie, Hakainde Hichilema viennent de mettre en place un cadre de gouvernance commun dénommé « Conseil de la Batterie de la RDC et la Zambie », ce vendredi 29 avril 2022.<br /><br />Dans un communiqué conjoint signé par les deux chefs d'États à l'issue d'une bipartite et dont une copie a été consultée par 7SUR7.CD, ils ont pris l'engagement de travailler ensemble pour développer une chaîne de valeur et un marché autour de l'industrie des batteries, des véhicules électriques et des énergies renouvelables.<br /><br /><br />« Nos deux États frères conviennent de mettre en place un cadre de gouvernance commun dénommé le Conseil de la Batterie de la République de Zambie et de la République démocratique du Congo ainsi que du président de la Banque africaine d'import-export. En outre, cet organe de gouvernance sera doté d'un comité technique en charge du suivi et de l'évaluation de l'initiative », lit-on dans cette correspondance.

<br /><br />Par ailleurs, la RDC et la Zambie ont aussi pris pour mesure de créer un cadre législatif et réglementaire harmonisé.<br /><br /><br />« Identifier un site pilote pour l'érection d'une industrie de la chaîne de valeur de batteries devant abriter le projet en RDC, en Zambie ou à cheval entre les deux pays. À cet effet, le gouvernement se la RDC et de la Zambie mettent à la disposition pour ce projet des sites situés respectivement dans la province du Haut-Katanga et dans la province de Copperbelt », poursuit ce document.

<br /><br />Félix Tshisekedi Tshilombo et Hakainde Hichilema ont salué l'engagement de la Commission Économique des Nations-Unies pour l'Afrique, partenaire technique et la Banque africaine d'import-export, partenaire financier qui accompagnent ce projet pour son implantation. Cette initiative a été mise en place en novembre 2021 par le président Félix Tshisekedi lors de DRC-Africa Business tenu à Kinshasa.<br /><br />Patient Lukusa, à Lubumbashi<p></p>

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Félix Tshisekedi : une main de fer dans un gant de velours…/Félix Tshisekedi aux côtés du Président Uhuru Kenyata lors du dernier conclave de Nairobi

April 30, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAUaf-j-G-CR7wkBkX0ieSxkdGFp2gc9P97EEakpvypMLjKSL97fZDI0qB3NGYkUfhNmn_m0QPaOADMdQUtKPlbruZTlHPmWYQ-vTgcHE1DqHrTNpU72zfz2jSDc3UMsHqc7cJdvkXqDAhu_WS4zKTyoFp2eJ-cO0CMw0ou_XskVz_WwLu4r0sKmYRhA/s1216/Snapshot_525.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="925" data-original-width="1216" height="243" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAUaf-j-G-CR7wkBkX0ieSxkdGFp2gc9P97EEakpvypMLjKSL97fZDI0qB3NGYkUfhNmn_m0QPaOADMdQUtKPlbruZTlHPmWYQ-vTgcHE1DqHrTNpU72zfz2jSDc3UMsHqc7cJdvkXqDAhu_WS4zKTyoFp2eJ-cO0CMw0ou_XskVz_WwLu4r0sKmYRhA/s320/Snapshot_525.jpg" width="320" /></a></div><p></p><b>Près de deux semaines après l’adhésion de la République Démocratique du Congo à l’East African Community (EAC), la Communauté de l’Afrique de l’Est, et suite aux vœux formulés par les chefs d’Etat présents lors de ces assises, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, conformément à ses prérogatives constitutionnelles et en quête permanente d’une paix pérenne dans la région  des Grands Lacs,  en général,  ainsi que dans l’Est de la RDC,  en particulier, a participé à une réunion quintipartite à Nairobi, au Kenya, où il est arrivé dans la soirée du mercredi 20 avril 2022.</b><br /><br />Le deuxième conclave des Chefs d’Etat de l’EAC a effectivement réuni au State House de Nairobi, le 22 avril 2022, outre Uhuru Kenyata, le président du Kenya, pays hôte, les présidents Félix Tshisekedi de la République Démocratique du Congo, Yoweri Kaguta Museveni de l’Ouganda, Evariste Ndayishimiye du Burundi et le ministre rwandais des Affaires étrangères, représentant son président, Paul Kagame.

<br /><br />De cette rencontre à cinq, plusieurs résolutions ont été adoptées et qui, pour l’essentiel, contraignent les différents groupes armés étrangers et locaux à déposer les armes sans condition et à retourner dans leurs pays d’origine respectifs, pour les premiers et, pour les seconds, à déposer les armes sans condition et à intégrer le P-DDRCS ( Programme de Désarmement, Démobilisation, Relèvement Communautaire et Stabilisation ), sous peine d’être considérés par les pays de la communauté comme des forces négatives susceptibles d’être combattues par une force armée régionale devant être mise en place urgemment.
<br /><br />Il y a lieu de retenir que le Chef de l’Etat RD Congolais et ses pairs ont privilégié l’option politique, sans toutefois exclure le recours à la force pour mettre définitivement fin à cette gangrène qui ronge le pays de Lumumba depuis plus de deux décennies.<br /><br />« En conséquence, les chefs d’État ont été informés que le Président de la République Démocratique du Congo présidera une réunion consultative le 22 avril 2022… », nous renseignait une des résolutions dudit conclave.

<br /><br />Hélas, des problèmes logistiques s’étant posés pour l’acheminement des délégués représentants de certains groupes armés sur le site désigné pour la tenue des concertations, le premier RD Congolais a désigné des personnalités pour poursuivre cette démarche, en précisant clairement qu’il ne s’agit nullement de négociations en vue du « partage » d’un quelconque « gâteau » mais de consultations visant le retour d’une paix durable, passant par la cessation des hostilités, le dépôt des armes et l’intégration au Programme DDRCS.<br /><br />Bien lui en a fallu car, à peine les concertations entamées le vendredi 22 avril 2022, il fut fait état de la reprise des combats sur le terrain, initiative des rebelles du M23/Makenga. Sur ces entrefaites, la délégation gouvernementale a immédiatement sollicité et obtenu l’exclusion de ce mouvement insurrectionnel de la salle des consultations.<br /><br />D’autant plus que le point 7 du communiqué final stipule clairement en ses sections a) et b) qu’à défaut d’obtempérer et de s’inscrire dans ce processus, tous ces groupes armés seront soumis à une action militaire de la région.

<br /><br />Ainsi donc, l’adhésion de la RDC à l’EAC et cette initiative du Président de la République Démocratique du Congo, loin d’être interprétée telle une faiblesse comme d’aucuns la considèrent, doit être considérée comme une manœuvre digne des grands stratèges qui, en visionnaires courageux, savent approcher l’adversaire pour mieux le cerner et le connaître afin, in fine, d’atteindre l’objectif qui, ici est une paix durable dans l’Est de la République Démocratique du Congo.<br /><br />D’ailleurs, une source officielle vient de rapporter qu’une aile dissidente du M23 vient de se désolidariser de l’aile Makenga et souhaiterait réintégrer le processus initié par Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.<br /><br />L’après Nairobi nous en dira plus…..<br /><br /> De Nairobi, <br /><br /> Bernard Tshishimbi<p> </p>

Félix Tshisekedi : une main de fer dans un gant de velours…/Félix Tshisekedi aux côtés du Président Uhuru Kenyata lors du dernier conclave de Nairobi

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Elections 2023 : Matata Ponyo annonce les couleurs avec la création de son parti politique

April 30, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjlP5FI1yznvQshS4ddc1gNENaVr2YbxzbkEKVpEqJePTJ-dNkJHR1PPgbYuFgWj6kYzCSsOHV73HJHFzATwxZ75IS-cVg0Fr_onmDnRroIn0EygoaQt5Wo08C_YmIxavlopkIB5_9ZGZAE6hYdMO68zWuPflwISrueOS1cqB8NFRobvp_1Lq7cvMoHdA/s915/Snapshot_524.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="512" data-original-width="915" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjlP5FI1yznvQshS4ddc1gNENaVr2YbxzbkEKVpEqJePTJ-dNkJHR1PPgbYuFgWj6kYzCSsOHV73HJHFzATwxZ75IS-cVg0Fr_onmDnRroIn0EygoaQt5Wo08C_YmIxavlopkIB5_9ZGZAE6hYdMO68zWuPflwISrueOS1cqB8NFRobvp_1Lq7cvMoHdA/s320/Snapshot_524.jpg" width="320" /></a></div><p></p>L’ancien Premier ministre lance Leadership et Gouvernance pour le Développement (LGD), son parti politique, et affiche clairement ses ambitions pour les prochaines élections.<br /><br /><br />Leadership et Gouvernance pour le Développement (LGD), c’est le nom du parti politique créé par l’ancien Premier ministre, Augustin Matata Ponyo. Ce parti se veut ouvert à tous et prône un nouveau type de leaders pour la société congolaise, afin restituer à la RDC et à l’Afrique sa grandeur et sa dignité.<br /><br />A une année des élections générales prévues fin 2023, l’actuel sénateur, pressenti candidat à la présidentielle, affiche-t-il clairement ses ambitions politiques ? Depuis son départ du PPRD et du FCC de Joseph Kabila, l’homme à la cravate rouge est resté présent dans l’opinion, à travers notamment ses tribunes de presse et conférences autour du binôme gouvernance-leadership.

<br /><br />Bousculé dans l’affaire de la débâcle du projet de parc agroindustriel de Bukanga Lonzo par un rapport salé de l’Inspection générale des finances et des poursuites qui s’en sont suivies, Matata Ponyo n’a cessé de crier à une chasse aux sourcières. Il s’en sort bien à la Cour constitutionnelle qui s’est déclarée incompétente pour le poursuivre, mais est confronté au « refus » du président du Sénat de lui restituer son immunité parlementaire. Il dénonce aussi les manœuvres du procureur près la Cour de cassation qui voudrait se saisir à nouveau de l’affaire, alors qu’il s’était au départ déclaré incompétent.

<br /><br />Celui que ses détracteurs, curieusement nombreux parmi les supporters du régime actuel, critiquent avec un brin d’humour d’avoir « semé les maïs à Bukanga Lonzo pour récolter une université à Kindu », risque une disqualification à la prochaine présidentielle si jamais il se retrouve à nouveau poursuivi, puis condamné dans cette affaire. La sortie de son parti politique peut accélérer les choses dans un sens comme dans un autre.<br /><br />Socrate Nsimba<p> </p>

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Jules Alingete: «… je ne serai ni député provincial, ni député national… »

April 30, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8Uj9byPPvc3fLzImIt4VebGYhmlHnWqH58YAENkPn-4ObJba_ME486q96jvLsJ2cibOnMpQq6lN8xZfv_VOHNAbGierBNXyqvb0fitfJ5eodx9ZJlSsXVeJz2AarGgPmF84CKDzj53AEI2SA4lYCvZKXYFRGkbbwGyOa7-CIKPFbrC4bi70hD4-YpSQ/s1075/Snapshot_523.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="772" data-original-width="1075" height="230" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8Uj9byPPvc3fLzImIt4VebGYhmlHnWqH58YAENkPn-4ObJba_ME486q96jvLsJ2cibOnMpQq6lN8xZfv_VOHNAbGierBNXyqvb0fitfJ5eodx9ZJlSsXVeJz2AarGgPmF84CKDzj53AEI2SA4lYCvZKXYFRGkbbwGyOa7-CIKPFbrC4bi70hD4-YpSQ/s320/Snapshot_523.jpg" width="320" /></a></div>L’inspecteur général des Finances déclare que des réactions tous azimuts contre ses propos sur la situation de guerre à l’Est de la RDC seraient le fruit de manipulation de certaines personnes qui ont aussi soutenu que son voyage aux États-Unis d’Amérique serait effectué pour chercher des appuis dans le but d’avoir une bonne « position » au pays. D’après Jules Alingete, il se contente de sa casquette de fonctionnaire et il ne vise jamais un quelconque mandat électif.<br /><br />« Je peux (…) dire, avant même que nous arrivions ici, plusieurs de prédateurs inquiétés par l’allure que la lutte contre la corruption est en train de prendre en Rd Congo, ont prétendu que nous sommes venus aux États-Unis pour chercher des appuis. Je ne sais pas de quels appuis ? (…) Je ne chercherai pas un mandat électif; je ne serai ni député provincial, ni député national, ni un mandat quelconque », a-t-il dit lors d’un échange avec la Communauté congolaise à Washington le 29 avril dernier.

<br /><br />Et d’ajouter : « Je suis fier d’être fonctionnaire, de traquer les délinquants financiers; j’adore ce travail… ».<br /><br />Il faut dire que Jules Alingete a glissé ces mots lorsqu’il présentait ses excuses à la population congolaise « vexée » par ses propos selon lesquels il n’y avait pas de guerre en République démocratique du Congo.<div><b><br /></b></div><div><b>Par Fabrice Lukamba</b><br /><p> </p></div>

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"Il n'y a pas de guerre en RDC" : Jules Alingete interpellé à l'Assemblée nationale

April 30, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMhLowudklCimgptvOQL8jgA8431IqVAozx-Q-YznC1-iMEnfH_V2UQ3snPwQrnoAgltnEKZF8HWTM1Toxkipkd4XqKfiqKTzWNRth_0wMB9yJfeRQKk-C3QOZQMK-dCJm3DG3i8_i_9uW-1COD2v0j8-mDq7uItB6f_CTXPr2EXnv_5QwxKrh5ZMBow/s996/Snapshot_522.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="556" data-original-width="996" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMhLowudklCimgptvOQL8jgA8431IqVAozx-Q-YznC1-iMEnfH_V2UQ3snPwQrnoAgltnEKZF8HWTM1Toxkipkd4XqKfiqKTzWNRth_0wMB9yJfeRQKk-C3QOZQMK-dCJm3DG3i8_i_9uW-1COD2v0j8-mDq7uItB6f_CTXPr2EXnv_5QwxKrh5ZMBow/s320/Snapshot_522.jpg" width="320" /></a></div>Les réactions ne cessent de tomber au sujet des propos tenus par Jules Alingete, inspecteur général des finances chef de service, affirmant qu'il n'y a pas de guerre en République démocratique du Congo.<br /><br />La dernière en date est celle du député national Jackson Ausse. Cet élu du peuple a déposé ce jeudi 28 avril 2022, au bureau de l'Assemblée nationale, une interpellation adressée à J. Alingete pour qu'il s'explique devant la représentation nationale sur les raisons de ces propos tenus aux USA.<br />« Me fondant sur les dispositions de l'article 93 du règlement intérieur de notre chambre, j'ai l'honneur de vous transmettre en annexe l'interpellation adressée à Monsieur l'inspecteur général des finances, chef de service », lit-on dans cette correspondance.

<br /><br /><br />Il sied de rappeler que lors de sa prise de parole à la première édition du North Southern Investment Forum qui se tient à Houston aux États-Unis d'Amérique, Jules Alingete a déclaré devant des investisseurs américains qu'il n'y a pas de guerre en RDC.<br /><br />Roberto Tshahe<p> </p>

Politique "Il n'y a pas de guerre en RDC" : Jules Alingete interpellé à l'Assemblée nationale

Les réactions ne cessent de tomber au sujet des propos tenus par Jules Alingete, inspecteur général des finances chef de service, affirmant ...

Réformes électorales : le Bloc patriotique dans la rue la semaine prochaine

April 30, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjlZ--SiEeReYxiPOeS_yz2HHe3X0lyYyd21WUIyraj4YrbK4AXTyB8p4dwgyOwm3RhQxkywZ5BwnYl_tFmp02HedO7NihDrb0gMPwCBv2dam-INbK324dQeqj_EI7hT_BloCGbK0s6v5YHf5dkvZBHHPsbLzmP2idrjGqppfzVZORqMBubxwaJ_2HbYA/s996/Snapshot_522.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="556" data-original-width="996" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjlZ--SiEeReYxiPOeS_yz2HHe3X0lyYyd21WUIyraj4YrbK4AXTyB8p4dwgyOwm3RhQxkywZ5BwnYl_tFmp02HedO7NihDrb0gMPwCBv2dam-INbK324dQeqj_EI7hT_BloCGbK0s6v5YHf5dkvZBHHPsbLzmP2idrjGqppfzVZORqMBubxwaJ_2HbYA/s320/Snapshot_522.jpg" width="320" /></a></div>Répondant ce matin aux questions de 24h.cd au sujet de la réunion du « Bloc patriotique » tenue hier jeudi, le communicateur de Lamuka, Principe Epenge, explique que celle-ci a été convoquée pour planifier des actions à mener, afin d’appeler à un consensus autour des réformes électorales déjà engagées en RDC. Il a d’ailleurs signalé que ces actions commencent dès la semaine prochaine.<br /><br />« Nous commençons les actions populaires dès la semaine prochaine pour exiger un consensus sur la loi électorale », a-t-il annoncé.<br /><br />Proposée en 2021 par le leader de l’EciDé Martin Fayulu pour notamment exiger la recomposition de l’actuel Bureau de la CENI, le Bloc patriotique regroupe plusieurs forces politiques et sociales dont le Front commun pour le Congo (FCC) de Joseph Kabila, Lamuka de Martin Fayulu Madidi et d’Adolphe Muzito, le Ministère des laïcs protestants (MILAPRO), le Conseil de l’apostolat des laïcs catholiques du Congo (CALCC) et le Comité laïc de coordination (CLC).

<br /><br />Selon les acteurs politiques de l’opposition, la nouvelle loi électorale proposée serait en faveur du régime en place.<p> Par Fabrice Lukamba</p><br />

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