BA SANGO YA CONGO KINSHASA

RASSEMBLEMENT : L’APRÈS-TSHISEKEDI DIVISE !

March 02, 2017

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* Dès lors que les membres de l’Opposition Genvaliste n’accordent plus leurs violons, des observateurs redoutent l’éclatement de la plateforme. <br />
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Ca ne sent pas du bon parfum au Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement. Depuis quelques jours, une querelle intestine semble avoir pris ses quartiers dans cette plateforme de l’Opposition. En toile de fond, deux problèmes majeurs. Le premier : le choix du successeur de feu Etienne Tshisekedi au poste de président du Conseil des sages du Rassemblement. Le second problème se rapporte à la problématique même de la restructuration de cette plateforme politique de l’Opposition.<br />
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Qui succédera donc à Etienne Tshisekedi ? Le Rassemblement doit-il continuer à évoluer dans son format actuel ? Voici donc deux questions essentielles qui font très polémique au Rassemblement. En ce qui concerne la succession d’Etienne Tshisekedi à la tête du Conseil des sages, il est légitime que des ambitions se manifestent. Dès lors que cette question n’a pas été clairement résolue dans l’ "acte de naissance" de la plateforme, il est donc normal qu’en l’absence de Tshitshi, les autres membres du Rassemblement puissent exprimer leurs intentions. <br />
Cependant, la question de réaménagement du Rassemblement parait cruciale aux yeux de ses sociétaires. Ici, se sont formés deux camps diamétralement opposés. D’un côté, ceux qui soutiennent l’idée de la mise en place de toutes les structures prévues dans l’Addendum à l’Acte d’engagement de Genval, portant "Restructuration du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement". De l’autre, les partisans du "Non". En d’autres termes, des membres de la plateforme qui s’opposent à la première idée. Dans l’un et l’autre camp, les arguments ne manquent pas. <br />
Selon les tenants de la thèse de restructuration, cette démarche a l’avantage de " déconcentrer " la gestion du Rassemblement. Intervenant hier mercredi sur Top Congo, Augustin Kabuya, porte-parole de l’Udps, ne s’est pas fait prier. " Depuis sa création, le Rassemblement a toujours été dirigé par feu le Président Etienne Tshisekedi qui en a assumé la double fonction d’Autorité morale et de président du Conseil des sages. Compte tenu du fait que le président du Conseil des sages, doublé de la casquette d’Autorité morale du Rassemblement, fut également le président national de l’Udps, cela a donné lieu à une concentration tacite du pouvoir. Maintenant qu’Etienne Tshisekedi n’est plus, il est tout à fait normal que tous ses orphelins politiques puissent effectivement participer à la gestion de l’héritage ", a-t-il dit. <br />
Par ailleurs, Augustin Kabuya a estimé que rien ne saurait justifier les discordances actuelles sur la question de restructuration. "Il ne s’agit pas de la création de nouveaux organes, dans la mesure où ceux-ci existent bel bien dans l’Acte d’engagement de Genval ", a-t-il poursuivi. Les structures à mettre sur pied sont la Coordination des actions et le Conseil de discipline et d’arbitrage. La première est l’organe d’exécution des décisions du Président et du Conseil des sages du Rassemblement. La Coordination des actions a pour rôle de concevoir et de proposer au président et au Conseil des sages les actions à mener sur le terrain et les exécute. Elle comprend une plénière et un bureau. La plénière est composée des représentants de toutes les composantes du Rassemblement suivant leurs poids politiques.<br />
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NON A LA FRAGILISATION DU RASSEMBLEMENT<br />
Quelle que soit la pertinence des arguments de ceux qui soutiennent l’idée de la restructuration du Rassemblement, le camp du "NON" perçoit tout autre chose. Gilbert Kiakwama Kia-Kiziki est de ceux-là. Fort de son expérience, il est convaincu que ce réaménagement prote les germes de déstabilisation. Gilbert Kiakwama, comme certains autres membres du Rassemblement, juge inopportune la suggestion et craint que cette restructuration de leur plateforme politique ne puisse déboucher sur sa fragilisation. Entre les deux, la raison s’invite au débat. Plus d’un observateur pense que les médias, comme espace public, ne doivent pas toujours servir de lieu où doivent être résolus certains problèmes internes. Car, il y a le risque de créer des frustrations. En tout cas, pour un débat sur le réaménagement du Rassemblement, les mêmes observateurs sont unanimes que les membres de cette plateforme devaient se garder de toute polémique ambiante à travers les médias. Les linges sales se lavant en famille.<br />
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UNE SUCCESSION QUI POSE PROBLEME<br />
Etienne Tshisekedi ! Voici un personnage politique à tout le moins "providentiel".Il n’aura pas été que Président national de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS). Bien au contraire. Feu Tshitshi a tout été. "Géniteur" du conclave de l’Opposition à Genval, Etienne Tshisekedi fut porté à la tête de la plateforme issue de cette messe de Bruxelles : le Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement. Pas seulement. En raison de son envergure politique et de l’ancrage sociologique de son parti, Etienne Tshisekedi fut désigné à la tête du Conseil national du suivi de l’Accord du 31 décembre 2016 (CNSA).<br />
Après sa disparition, c’est donc ce même Etienne Tshisekedi qui doit être "remplacé" à tous les postes naguère occupés de son vivant : président de l’Udps, président du Rassemblement, président du CNSA. De ce point de vue, la succession d’Etienne Tshisekedi pose une série de problèmes. Feu Etienne Tshisekedi ayant été un leader pas comme les autres, sa succession ne saurait procéder d’un simple exercice d’ordinaires conciliabules. Si l’Udps aura la Primature, par Félix Tshilombo Tshisekedi, quid du président du CNSA et du Conseil des sages du Rassemblement ? Les autres membres de la plateforme seront-ils prêts à accepter deux autres Udps à la tête de ces structures ? En d’autres termes, l’Udps doit-elle tout prendre ? <br />
A bien d’égards, le questionnement ci-dessus résume le problème de succession de Tshisekedi. Un atavisme qui se pose ainsi à plusieurs niveaux. Ceci expliquerait-il la guéguerre actuelle au sein du Rassemblement ? Un Après-Tshisekedi qui se dessine en des termes pas toujours très clairs. A priori, ce sont des ambitions qui s’expriment maintenant. Légitime. En ce qui concerne précisément le choix d’un nouveau président du Conseil des sages du Rassemblement, cet exercice offre un avantage certain. Son plus grand mérite est de doter le Rassemblement d’un leader devant désormais servir d’interface avec le Président de la République. Au stade actuel des choses, par exemple, personne n’a qualité d’engager cette plateforme auprès du Raïs. Tout bien considéré, l’Après-Tshisekedi divise.

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* Dès lors que les membres de l’Opposition Genvaliste n’accordent plus leurs violons, des observateurs redoutent l’éclatement de la plate...

"FAUT-IL EFFACER UNE MÉMOIRE POUR UNE AUTRE " ?

March 02, 2017

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Si l’histoire de la ville de Kinshasa nous était contée, nous connaîtrions l’origine des noms de nos communes et ceux de grandes artères de la capitale. Des noms de communes, aucun n’a été donné au hasard ou dans une euphorie générale.<br />
Je viens de lire dans le Journal "Forum des As" n°5332 du Mercredi 01 mars 2017 la demande de la débaptisation de la commune de Limete, adressée au Gouverneur de la Ville de Kinshasa par Monsieur Moni Della. Celui-ci fait une comparaison avec le nom de la commune de Kasa-vubu, appelée Dendale depuis sa création en 1957 jusqu’à 1966.<br />
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Une demande louable et candide de changement de nom, sans doute. Mais la réflexion ne va pas plus loin. Limete, que Monsieur Moni Délla propose de débaptiser, n’est pas un nom donné au hasard, ni un nom d’origine coloniale, comme on pourrait l’imaginer.<br />
En 1890, le grand village de Lemba fut incendié par l’Administration de l’Etat Indépendant de Léopold II. Le Chef du village Mukoko vint se réfugier dans un nouveau village, situé alors dans l’actuel quartier de Kingabwa (Kingabwa était un autre village de la région).<br />
Ce nouveau village porte le nom de Lumete ou Lumeta. En 1893, les Jésuites, venus pour fonder la Mission de Kimbangu-Kimwenza, avaient rendu visite au vénérable Mfumu Koko, Chef du village.<br />
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HOMMAGE A UN VENERABLE CONGOLAIS<br />
A la création de ce troisième quartier pour Européens en 1957, son nom fut "européanisé" ou lingala-isé en Limete (prononcez Limêté). Ainsi, Limete honore la mémoire d’un vénérable congolais des anciens villages pré-coloniaux de Kinshasa.<br />
Le changement du nom de la commune de Dendale en commune de Kasa-Vubu à laquelle Moni Délla fait allusion se situe dans le cadre de la vague de la débaptisation des noms coloniaux, considérés alors comme un patrimoine colonial aliénant en noms tirés du patrimoine national opérée par Mobutu en 1966. En ce temps-là, nationalisme et authenticité obligent.<br />
A titre d’illustration : la commune de Dendale était débaptisée pour devenir Kasa-Vubu. Dendale était un agent territorial colonial et Kasa-vubu, ancien bourgmestre de cette commune et premier Chef de l’Etat du Congo. La commune de Saint-Jean est devenue Lingwala (nom d’un Chef Humbu).<br />
C’est à cette même occasion que la ville de Léopoldville, elle-même, est devenue Kinshasa (Kinshasa est un grand ancien village pré-colonial du Pool). La commune de Léopoldville débaptisée au profit du nom Gombe. Le quartier Renkin est devenu Matonge, le Boulevard Albert 1er est devenu le Boulevard du 30 Juin, etc.<br />
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POURQUOI PAS UNE PLACE « TSHISEKEDI »<br />
Tous ces noms honorent la mémoire des ancêtres kinois. (Pour en savoir plus, lire Fumunzanza : Kinshasa d’un quartier à l’autre, L’Harmattan, Paris, 2008).<br />
Ainsi, si le changement de Limete en Tshisekedi était opéré, il serait difficile à le justifier. Limete est un nom d’un ancien village de la région de Kinshasa dont son chef avait souffert des brimades de l’Etat Indépendant du Congo de Léopold II. Pourquoi effacerait-on un mémorial national pour un autre mémorial national ?<br />
Chez les catholiques ont dit qu’ "il ne faut pas déshabiller Saint Pierre pour habiller Saint Paul" ! II faut plutôt "inventer" autre chose. Une "Place Tshisekedi" ?, Une grande nouvelle avenue ?... <br />
Jacques FUMUNZANZA<br />
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Auteur d’une véritable encyclopédie sur Kinshasa, Jacques Fumunzanza vient donc de réagir, sans le moindre esprit polémique, à la suggestion de l’Opposant Moïse Moni Della de débaptiser la commune de Limete.<br />
L’auteur de "Kinshasa, d’un quartier à l’autre " pense qu’on peut honorer le leader de l’Udps en lui dédiant par exemple une place ou une grande avenue qui porterait son nom.

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Si l’histoire de la ville de Kinshasa nous était contée, nous connaîtrions l’origine des noms de nos communes et ceux de grandes artères ...

SOCODA : L’APPUI DE SAMY BADIBANGA SOLLICITÉ POUR RECOUVRER DES MILLIONS

March 02, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4s6dLE5q0n0Bz2PXlx7ErYBzyfPyAhxYTkUsIbNg70B-3bJhi-YOKwPc6oTSlougJBNSVZgVu_zv07XwflJQkjR0KHCWNPsEqKcWC98MMt-Ua_Rzvp3d7ex2mNfguNAFYxQ1aPpOdaF9c/s1600/Snapshot_1340.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4s6dLE5q0n0Bz2PXlx7ErYBzyfPyAhxYTkUsIbNg70B-3bJhi-YOKwPc6oTSlougJBNSVZgVu_zv07XwflJQkjR0KHCWNPsEqKcWC98MMt-Ua_Rzvp3d7ex2mNfguNAFYxQ1aPpOdaF9c/s400/Snapshot_1340.jpeg" width="400" /></a></div>
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La Société Congolaise des Droits d’Auteurs et Droits Voisins (Socoda) réclame des millions de dollars auprès de ses assujettis. Ces fonds que refusent de payer ces derniers appauvrissent les artistes congolais. Ne voulant plus continuer à mordre la poussière, Verckys Kiamuangana Mateta et Jossart Nyoka Longo, respectivement président du Conseil d’Administration et Administrateur de la Socoda, sont allés voir le Premier ministre Samy Badibanga qui les a reçus hier mercredi 1er mars à la Primature.<br />
Selon un communiqué de presse, les deux artistes musiciens ont plaidé au nom de tous les artistes confondus, en faveur d’une action gouvernementale efficace en vue de redresser les comptes de la Socoda, à travers la facilitation de la perception des droits d’auteurs auprès des assujettis.<br />
Aux dires du patron de Zaïko Langa Langa, le rôle de la Socoda est de percevoir et de répartir les droits d’auteurs. « Or, il se fait que nos assujettis ne nous rendent pas service. Nous sommes alors venus chercher l’intervention du Gouvernement pour que nous rentrions dans nos droits, afin de nous permettre de nous prendre en charge en cas de problème, de maladie ou de décès », a renchéri M. Kiamuangana Mateta, se confiant à la presse à l’issue de l’audience.<br />
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PLUS DE 60 MILLIONS DE DOLLARS BLOQUES<br />
Jossart Nyoka Longo est monté au créneau en dénoncant l’attitude de certains acteurs qui dévastent le secteur. « Il y a la Fédération des entreprises qui demande à nos assujettis de ne pas payer des droits. C’est le cas d’une société de téléphonie cellulaire », a-t-il indiqué.<br />
« Ce sont près de 35 millions de dollars américains que doit cette société des télécoms à la Socoda », a précisé Verckys Kiamuangana. « Il faut ajouter à la liste de ces créanciers, les chaînes de télévisions, de radio ou encore Airtel qui doit quelques 28 millions de dollars américains. Tous donc ne respectent pas leurs obligations en termes de paiement des droits d’auteurs. Ce qui constitue un manque à gagner pour les artistes congolais. D’où, le recours au Gouvernement pour solliciter une intervention du Premier ministre pour une solution à l’amiable ».<br />
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NOTE D’ESPOIR DE SAMY BADIBANGA<br />
« Le Premier ministre s’est montré particulièrement attentif aux doléances que nous lui avons soumises. Il a promis de mettre en place une commission pour statuer sur la situation », ont déclaré les deux représentants des artistes, visiblement satisfaits.<br />
Mise en place en 2011 en remplacement de la Soneca, liquidée, la Société des Droits d’Auteurs et Droits Voisins est, à ce jour, la seule organisation reconnue par la législation congolaise chargée de l’exploitation, la perception et la distribution des droits d’auteurs, droits voisins, droits connexes ainsi que la défense des droits patrimoniaux. Précédemment dirigée par Jacques Mondonga à sa création le 18 mars 2011, elle est désormais pilotée par Verckys Kiamuangana depuis 2013.

Politique SOCODA : L’APPUI DE SAMY BADIBANGA SOLLICITÉ POUR RECOUVRER DES MILLIONS

La Société Congolaise des Droits d’Auteurs et Droits Voisins (Socoda) réclame des millions de dollars auprès de ses assujettis. Ces fonds...

LES PRÉSIDENTS DES ASSEMBLÉES PROVINCIALES DEMANDENT LE CONCOURS DU PREMIER MINISTRE

March 02, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEV0IN8hcUO3C3F_9W24uplQlh7ljMjSveNQhqvWm_OjbF7jFf0W4CmktQt8DJxlgitNLf424swYTto3veqGtUH_awGrV_HVyPdsXIUdPXQu5G4szqz-ZzLhKI3rYTYGOyY6ETuOL3expx/s1600/Snapshot_1341.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEV0IN8hcUO3C3F_9W24uplQlh7ljMjSveNQhqvWm_OjbF7jFf0W4CmktQt8DJxlgitNLf424swYTto3veqGtUH_awGrV_HVyPdsXIUdPXQu5G4szqz-ZzLhKI3rYTYGOyY6ETuOL3expx/s400/Snapshot_1341.jpeg" width="400" /></a></div>
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Les Présidents des Assemblées provinciales de la République en séjour à Kinshasa, ont présenté, le lundi 27 février 2017, au Premier ministre, Samy Badibanga Ntita, l’état des lieux de leurs Assemblées respectives. Ces problèmes sont notamment relatifs au fonctionnement des Assemblées, à la sécurité du territoire, au développement des provinces ainsi qu’à la légalité et au respect des institutions.<br />
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Dans une déclaration à la presse, l’honorable Augustin Kamuitu Lubadi, président de l’organe délibérant du Kasaï-Central et doyen des présidents, a indiqué que les Assemblées provinciales éprouvent d’énormes difficultés dans leur fonctionnement, prenant pour exemple le retard dû au paiement des frais de fonctionnement du mois de décembre 2016. <br />
A cela s’ajoute le manque de culture démocratique, qui consiste en l’acceptation de la légalité des institutions établies et à les respecter comme tel, en lieu et place de tergiversations, a-t-il précisé.<br />
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RESPECT DE LA LEGALITE<br />
« Les présidents des assemblées provinciales présents ont insisté sur la légalité et le respect des institutions. Il faut qu’en République Démocratique du Congo, on ait la culture du respect de la Constitution au lieu de tergiverser », a déclaré l’honorable Augustin KamuituLubadi, précisant qu’ils ont été honorés ce jour par un Premier ministre très réceptif et sensible aux problèmes de ses interlocuteurs.<br />
Les présidents des représentations provinciales ont saisi cette opportunité pour parler de la sécurité qui doit être assurée pendant les opérations d’enrôlement, afin de garantir plus tard le développement à la base. Devant cette réalité, le Premier ministre a pris l’engagement de s’y pencher pour que ces Assemblées entrent rapidement dans leur droit.

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Les Présidents des Assemblées provinciales de la République en séjour à Kinshasa, ont présenté, le lundi 27 février 2017, au Premier mini...

«Le pavé de Lubaya. Adieu l’accord de la Saint Sylvestre !»

March 02, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5cmTmx6zhS6BZFqGvBjdZnd8q_n-kTrHZE37rBh8QGQf2uoZVFgKuUa9G56mAZDoT0MpuR-1h4j7-SsmZhK8NUgLlPo0Ab2oL5vHIWCIrnuwouc0P4vXo6IjaSqL4XJRqKqHhxGtELdw/s1600/Snapshot_253.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="282" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5cmTmx6zhS6BZFqGvBjdZnd8q_n-kTrHZE37rBh8QGQf2uoZVFgKuUa9G56mAZDoT0MpuR-1h4j7-SsmZhK8NUgLlPo0Ab2oL5vHIWCIrnuwouc0P4vXo6IjaSqL4XJRqKqHhxGtELdw/s400/Snapshot_253.jpg" width="400" /></a></div>
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<span style="font-size: large;">La mise en œuvre de l’accord du 31 décembre piétine. La Majorité présidentielle et le Rassemblement se rejettent de responsabilité du blocage. Quelle est la suite réservée à cet accord ? À quel niveau se situe le blocage ? Ces deux questions font la une des journaux parus jeudi 2 février à Kinshasa.<br /><br /> <br /><br />Le Phare répond en se basant sur l’analyse du député national Claudel-André Lubaya et titre : « Adieu l’accord de la Saint Sylvestre ». <br /><br /><br />Visiblement ulcéré comme des millions de Congolaises et Congolais qui avaient placé tous leurs espoirs dans le deal politique du 31 décembre<br /><br />2016 entre la Majorité présidentielle et le Rassemblement pour sortir la République démocratique du Congo de la crise politique provoquée par la non tenue des élections dans le délai, Claudel André Lubaya tire la sonnette d’alarme, indique le journal.<br /><br /> <br /><br />Dans sa tribune publiée dans les colonnes du quotidien Le Phare, l’élu de Kananga affirme que la MP est résolument déterminée à bloquer par tous les moyens, la mise en œuvre de l’accord du 31 décembre 2016.<br /><br /> <br /><br />« Elle [la MP] n’y croit pas. Les signes palpables sont là. Et c’est fort de ces indices sérieux que je me fais le devoir de soulever ce débat que je veux sans passion. A mon humble avis, le Rassemblement gagnerait en repensant la lutte au lieu de continuer à rêver de la mise en œuvre d’un accord à ce jour hypothétique », écrit Lubaya dans les colonnes du Phare.<br /><br /> <br /><br />Pour le président de l’UDA, la famille politique de Joseph Kabila a déjà mis une croix sur l’Accord du 31 décembre 2016.<br /><br /> <br /><br /><a href="http://www.africanewsrdc.com/politique/2017/03/01/discussions-de-cenco-ont-echoue-aveu-de-lubaya.html">Africa News</a> souligne que soixante jours (janvier et février consommés) se sont écoulés sans qu’aucune clause importante dudit accord ne soit mise en œuvre, déplore Lubaya. Comble de tout, regrette le président de l’UDA originelle, la nomination du Premier ministre peine à se réaliser et suscite un débat dans tous les sens, à la grande satisfaction des stratèges de la MP qui ont décidé de rouler le Rassemblement dans la farine en faisant une lecture à contre sens de la disposition relative à ce sujet, ajoute Africa News.<br /><br /> <br /><br />Le blocage, selon la CENCO, proviendrait du Rassemblement, selon <a href="https://actualite.cd/2017/03/01/msgr-ambongo-question-leadership-sein-rassemblement-apparait-point-essentiel-de-blocage/">Actualité.cd </a>qui cite Mgr Ambongo qui affirme : «La question du leadership au sein du Rassemblement apparaît comme un point essentiel de blocage».<br /><br /><br />Dans une interview exclusive que le vice-président de la CENCO a accordée à ce média en ligne, déclare que « tant que le Rassemblement ne s’est pas encore donné un leadership, c’est très difficile pour nous d’avancer », allusion aux discussions au sein de cette plate-forme pour désigner le successeur d’Etienne Tshisekedi décédé le 1er février dernier à Bruxelles.<br /><br /> <br /><br />Sur la même lancée <a href="http://www.forumdesas.org/spip.php?article10624">Forum des As</a> affirme que «L’après Tshisekedi divise». Ce qui divise depuis quelques jours, fait savoir le quotidien c’est premièrement le choix du successeur de feu Etienne Tshisekedi au poste de président du Conseil des sages du Rassemblement. Et deuxièmement, c’est la problématique même de la restructuration de cette plateforme politique de l’opposition. Ainsi au stade actuel des choses, par exemple, personne n’a qualité d’engager cette plateforme auprès du président de la République.<br /><br /> <br /><br />«Le Rassemblement prêt à trahir», titre de son côté Le Potentiel.<br /><br /><br />Entre le compromis de Genval et les espoirs suscités en juin 2016 en Belgique, le Rassemblement a choisi la voie de la trahison. Entre ses composantes, c’est le langage des sourds, sous-tendu par des discours enflammés. Empêtré dans ses contradictions autour d’un hypothétique plan de restructuration, le Rassemblement plante le décor d’un énième glissement, après avoir subtilement concédé à celui du 19 décembre 2016, se désole le journal.<br /><br /> <br /><br />Dans ce qui parait être des atermoiements au sein du Rassemblement, <a href="http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=12959">La Prospérité</a> rapporte que «Clément Kanku exige la tenue de Genval II». L’opposant qui occupe un portefeuille ministériel dans l’actuel gouvernement estime que la succession du « sphinx de Limete », surnom de Tshisekedi, ne peut se faire qu’à travers un conclave afin de permettre à chaque membre du Conseil des sages du Rassemblement de donner son opinion. D’où, sa préconisation d’un nouveau conclave de refondation, comme ce fut autrefois, avec Tshisekedi, lui-même, de son vivant, à Genval I, fait savoir le journal.<br /><br /> <br /><br />« Il est inconcevable que le successeur de Tshisekedi provienne de la dissidence de la Majorité présidentielle (MP). Ceci serait une insulte au combat de plusieurs années de tous ceux qui ont refusé d’aller à la MP  mais aussi, une insulte à la personne de Tshisekedi qui a toujours combattu pour des principes », souligne le quotidien.</span><span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;"></span></div>

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La mise en œuvre de l’accord du 31 décembre piétine. La Majorité présidentielle et le Rassemblement se rejettent de responsabilité du blo...

Obsèques de Tshisekedi : la Monusco disposée à aider !

March 02, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9a1Z_MGY2ml-Lb8ec36fQWF4HDbBxj1HRJcs2acqZw9RElwZMMEtV3cNTl9Za8WH0ttsJl_p27E4C1YeNM860iMxX1Y96nDgsoLCxSI3e1iOEnbzhBqaCs1-xzBgIZNXosMFbT11dLqhx/s1600/Snapshot_1342.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9a1Z_MGY2ml-Lb8ec36fQWF4HDbBxj1HRJcs2acqZw9RElwZMMEtV3cNTl9Za8WH0ttsJl_p27E4C1YeNM860iMxX1Y96nDgsoLCxSI3e1iOEnbzhBqaCs1-xzBgIZNXosMFbT11dLqhx/s400/Snapshot_1342.jpeg" width="400" /></a></div>
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Ce n’est un secret pour personne, le rapatriement et l’organisation des funérailles d’Etienne Tshisekedi Wa Mulumba soulèvent des défis logistiques titanesques. Les préoccupations sont, en effet, légions. Quid de l’encadrement des foules lors du rapatriement de la dépouille mortelle du lider maximo ? Qu’en est-il de la sécurisation des lieux d’exposition temporaire et, enfin, du lieu des obsèques proprement dites ? Et encore, la question de la sécurisation du convoi lors de la levée du corps pour le cimetière, en passant par la ronde prévue. La Mission des Nations Unies au Congo-Kinshasa, lors de sa conférence de presse hebdomadaire du mercredi 1er mars 2017,  se dit prête, si besoin il y a, à apporter sa contribution en venant à la rescousse des forces de l’ordre et du dispositif de la famille biologico-politique du Sphinx de Limete.<br />
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Sauf imprévu, c’est le samedi 11 mars que le rapatriement de la dépouille de l’Opposant historique devrait-il être effectué. Nonobstant l’annonce de Félix Tshisekedi, et la confirmation de ce retour par un communiqué cosigné par l’épouse de Tshisekedi et son jeune frère, des tensions et divergences persistent encore à l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social -Udps- puisque le site de l’inhumation, celui du cimetière de la Gombe, ne met pas tous les combattants d’accord.  En effet, hier, ces divergences ont créé deux factions constituées de pro-cimetière de la Gombe et de ceux qui sont contre. A ce stade, la base serait même en ébullition à Limete car des affrontements ont été signalés. Toutefois, la question semble avoir été tranchée par les dirigeants du parti et les membres de la famille.<br />
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La Monusco réclamée<br />
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Soucieux de voir les obsèques être organisées dans un climat sécuritaire serein, le clan Tshisekedi, dans sa dernière communication, a sollicité une implication des éléments de la mission onusienne. ‘’ Nous sollicitons l’implication des éléments de la Monusco aux côtés des combattants de l’UDPS et de la police nationale pour sécuriser les personnes et leurs biens lors de l’arrivée de la dépouille du président Etienne Tshisekedi wa Mulumba à Kinshasa ‘’, était-il, noir sur blanc écrit sur le document signé par Maman Marthe et Gérard Mulumba. Grand animateur du jour, Charles Antoine Bambara, directeur de la division de l’information publique de la Monusco, a, face à une question d’un journaliste, donné l’économie des idées de sa structure. De prime abord, dans sa réponse, il a signifié que la charge de la sécurité revient en premier lieu à la Police Nationale Congolaise -PNC-  et aux forces de sécurité congolaise. Mais, a-t-il dit, en substance, la Mission des Nations Unies au Congo-Kinshasa est disposé à contribuer aux côtés des uns et des autres.

la Nation Politique Obsèques de Tshisekedi : la Monusco disposée à aider !

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Deux personnes échappent à l’enlèvement à Kinshasa

March 02, 2017

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Deux personnes, un homme et une femme d’une trentaine d’années ont échappé mardi 28 février d’un enlèvement vers 19 heures   sur le boulevard du 30 juin à Kinshasa.   Les victimes étaient montées à bord d’un taxi de marque Toyota IST (communément appelé Ketch) pour se rendre au Rondpoint Huilerie lorsqu’ils ont constaté que le chauffeur a changé d’itinéraire sur ordre de deux personnes armées.   « Ils nous ont ordonné de leur donner tout ce qu’on avait avec nos téléphones.</span><div>
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<span style="font-size: large;"> Ils ont dit qu’ils étaient des agents de l’Etat et qu'ils avaient le mandat de traquer tous ceux qui véhiculent de fausses informations sur le gouvernement », rapporte une des victimes à Radio Okapi, estimant que le chauffeur du taxi était également victime de cette tentative de raft « parce qu’il tremblait ». </span></div>
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<span style="font-size: large;"> Ce sont les cris de la jeune femme, alors paniquée, qui ont poussé le chauffeur à arrêter le moteur au niveau de l’Université Protestante du Congo (UPC) sur l’avenue de libération (ex-24 novembre), a-t-il ajouté, précisant qu’ils ont réussi à s’échapper durant la dispute qui s’en est suivie entre le chauffeur et les malfrats à cause de cet arrêt imprévu.</span></div>

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Deux personnes, un homme et une femme d’une trentaine d’années ont échappé mardi 28 février d’un enlèvement vers 19 heures sur l...

Bataille de succession à Tshisekedi. Rassemblement : Clément Kanku exige la tenue de Genval II !

March 02, 2017

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*Au cours d’un point de presse tenu hier, mercredi 1er mars 2017, en son cabinet de travail, Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua, Ministre de la Coopération au Développement et Autorité morale du Mouvement pour le Renouveau (MR), a éclairé l’opinion tant nationale qu’internationale sur la question liée notamment, à la succession d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Président du Conseil des Sages du Rassemblement des Forces Politiques et Sociales acquises au Changement et Président National de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), décédé le 1er février dernier à la Clinique Sainte Elisabeth, à Bruxelles. Pour lui, la succession du sphinx de Limete ne peut se faire qu’à travers un conclave afin de permettre à chaque membre du Conseil des Sages du Rassemblement de donner son opinion. D’où, la nécessité, pour lui, de tenir un nouveau conclave de refondation, comme ce fut autrefois, avec Tshisekedi, lui-même, de son vivant, à Genval I.<br />
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Très remonté, Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua proteste contre toute initiative tendant à la restructuration de la structure Rassemblement par une poignée de personnes sans tenir compte de toutes les sensibilités de ce regroupement politique. Il a rappelé que c’est sur convocation d’Etienne Tshisekedi qu’ils se sont retrouvés à Genval où ils ont mis en place cette structure de l’opposition appelée «le Rassemblement».<br />
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A l’issue de ce conclave, dit-il, ils ont désigné, à l’unanimité, Etienne Tshisekedi comme Président du Conseil des Sages, et surtout comme Chef de fil de l’Opposition dont le leadership a été accepté par tous.<br />
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Parce qu’il est mort, l’élu de Dibaya, au Kasaï Central, souhaite que sa succession ne se fasse que par le même canal, c’est-à-dire, à travers un autre conclave où tous ceux qui ont participé à Genval pourront venir, pour donner leur point de vue.<br />
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Par ailleurs, il considère que Genval, qui a connu la participation d’une centaine des partis politiques et personnalités ne peut, aujourd’hui, être réduit en une boutique privée de base à échelle, entre quelques personnes qui veulent s’arroger le droit de déterminer le destin de ce qu’ils ont mis ensemble,  qui n’est rien d’autre que le Rassemblement, une œuvre commune.<br />
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D’après lui, la succession de Tshisekedi ne peut s’opérer qu’à travers sa famille politique, compte tenue du poids politique de l’UDPS, de l’impact  moral, sociologique et politique conséquent de cette formation politique.<br />
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A l’en croire, la désignation d’une personnalité influente de l’UDPS tel que Félix Tshisekedi, qui a conduit la délégation du Rassemblement à la Cenco devrait être un choix judicieux pour éviter toute contestation de guerre, d’ambition au niveau du Rassemblement.  <br />
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«La désignation de Félix Tshisekedi viendrait réconforter tous ceux qui veulent voir à la tête du Rassemblement une personne qui pourra répondre aux exigences politiques du moment», a déclaré Clément Kanku. D’où, il souhaite que ce conclave se tienne très rapidement pour qu’à l’unanimité, qu’ils  désignent Félix Tshisekedi comme remplaçant d’Etienne Tshisekedi. Car, ce dernier incarne, aujourd’hui, le combat politique de Tshisekedi, un leadership qui sera accepté par tous, et surtout,  pourra, demain, être le Président du Rassemblement.<br />
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En outre, il s’est réservé le droit de contester toute désignation ou procédure unilatérale qui ne tienne pas compte de toutes les parties prenantes au conclave de Genval.<br />
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Ce, avant de rappeler qu’ils sont tous membres fondateurs du Rassemblement et qu’ils ont pris part active aux assises de Genval, en désignant Etienne Tshisekedi comme Autorité morale.<br />
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Ainsi, il a souligné qu’il est inconcevable, que le successeur de Tshisekedi provienne de la dissidence de la Majorité Présidentielle (MP). Ceci serait une insulte au combat de plusieurs années de tous ceux qui ont refusé d’aller à la MP  mais aussi, une insulte à la personne de Tshisekedi qui a toujours combattu pour des principes.

la Nation Politique Bataille de succession à Tshisekedi. Rassemblement : Clément Kanku exige la tenue de Genval II !

*Au cours d’un point de presse tenu hier, mercredi 1er mars 2017, en son cabinet de travail, Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua, Minis...

Atundu Liongo : «Le rapport du BCNUDH doit respecter la déontologie du droit et de l’équité»

March 02, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitcd-plORdZxfH9UA6nKMC2hqZSL6yrEf15pl8SQpuwjm89mNcpi70iouwhgyCRjR47xF5zJ-mkSfd1rOQMJs28sVXzWjylKf1BtdTmkmtKHlSRWd5lYiis760-UbzasQEF91it3bcxlk/s1600/Snapshot_251.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="283" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitcd-plORdZxfH9UA6nKMC2hqZSL6yrEf15pl8SQpuwjm89mNcpi70iouwhgyCRjR47xF5zJ-mkSfd1rOQMJs28sVXzWjylKf1BtdTmkmtKHlSRWd5lYiis760-UbzasQEF91it3bcxlk/s400/Snapshot_251.jpg" width="400" /></a></div>
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<br /><br />Alain-André Atundu, porte-parole de la Majorité présidentielle(MP) estime que le rapport Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme (BCNUDH) publié mardi 28 février doit être réécrit. Ce document faisait mention de quarante personnes tuées dans les protestations en rapport avec la date du 19 décembre correspondant à la fin du second mandat présidentiel de Joseph Kabila.<br /><br /> <br /><br />Il ne faut pas seulement dire que <a href="http://www.radiookapi.net/2017/03/01/actualite/politique/rdc-40-personnes-tuees-lors-des-evenements-en-relation-avec-le-19">40 personnes ont été tuées</a> sans expliquer et surtout, sans recourir aux criminologues qui pourraient expliquer pourquoi ces actes ont été commis, estime-t-il.<br /><br /> <br /><br />«Pour respecter l’esprit de la mission que les Etats membres ont confié à ce bureau, ce rapport doit être mieux rédigé en respectant la déontologie du droit et de l’équité. Il doit partir du principe de voir celui qui a commis le crime, le contradicteur, l’entendre, les raisons, ...  et puis faire appel quand même aux criminologues. Parce que la raison profonde des actes, c’est ça qui va empêcher la commission de tels actes dans l’avenir», recommande le porte-parole de la MP.<br /><br /> <br /><br />Alain-André Atundu s’oppose aussi au chiffre avancé dans ce rapport et à la période prise en compte par le BCNUDH.<br /><br /> <br /><br />« En principe, ce rapport devrait concerner les journées du 19 et 20 décembre. Mais ce rapport concerne une période qui va du 15 jusqu’au 30. Est-ce pour avoir assez des chiffres pour dramatiser la situation ou bien parce qu’on voulait absolument indexer le pouvoir congolais en disant qu’il est responsable », s’interroge le porte-parole de la Majorité présidentielle qui intervenait mercredi 1er mars dans le magazine Dialogue entre Congolais de Radio Okapi qui débattait sur la publication de ce rapport.<br /><br /> <br /><br />Le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme (BCNUDH) a publié mardi 28 février un rapport indiquant qu’entre le 15 et le 31 décembre 2016, au moins 40 personnes ont été tuées et 147 blessées par un usage excessif et disproportionné de la force par les forces de défense et de sécurité afin d’empêcher à la population de prendre part aux mouvements de protestation.</span>

Politique Atundu Liongo : «Le rapport du BCNUDH doit respecter la déontologie du droit et de l’équité»

Alain-André Atundu, porte-parole de la Majorité présidentielle(MP) estime que le rapport Bureau conjoint des Nations Unies aux droits ...

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