BA SANGO YA CONGO KINSHASA

24 avril 2016-24 avril 2017. Papa Wemba : l’An un de choc

April 24, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCAEK2g7rp5zy6qzTcE2vw4mRt_VZ7UAy5byKhn9ny1395oaCcNXW2ee_sDRzDqqqaMuS0K725SC7J4eLQEDs-gSYigyWRFKj2g0eaoOg2E02SLSTdh4CEI4ehzX74ve4mk2FR40Rdhfc/s1600/Snapshot_600.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="267" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCAEK2g7rp5zy6qzTcE2vw4mRt_VZ7UAy5byKhn9ny1395oaCcNXW2ee_sDRzDqqqaMuS0K725SC7J4eLQEDs-gSYigyWRFKj2g0eaoOg2E02SLSTdh4CEI4ehzX74ve4mk2FR40Rdhfc/s400/Snapshot_600.jpg" width="400" /></a></div>
<div>
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<span style="font-size: large;"></span><br />
<div>
<span style="font-size: large;"><span style="font-size: large;"><br /></span></span></div>
<span style="font-size: large;">
<br /><br />Sa disparition était tragique. Très douloureuse et inoubliable lorsque la mort le surprend dans une circonstance où on ne peut pas s’attendre. Bien sapé, bien parfumé,  Papa Wemba est décédé d’une belle mort en toute prestance comme un véritable soldat avec arme à la main. 24 avril 2016, cette date restera désormais mémorable dans l’esprit de toute l’humanité qui a perdu un des grands disciples d’Orphée.<br /><br /><br /><br /><br />Un an après, la famille, les fanatiques ainsi que l’Afrique gardent tous une pensée pieuse en mémoire de celui qui a sacrifié toute jeunesse pour l’émergence de la rumba à travers sa voix extraordinaire et sa musique légendaire.<br /><br /><br /><br /><br />Il était l’artiste musicien de tous les superlatifs.  Pour les uns, Papa Wemba était un  patriarche, une figure tutélaire, un monument, une icône.  Pour les autres, il était  le roi  de la sape, le musicien africain le plus populaire ou encore la star planétaire.  D’autres encore le considéraient  comme le Pape de la musique africaine. Sa  mort  survenue  le 24 avril 2016, sur scène au Festival d’Anoumabo à Abidjan, constitue un départ  en apothéose comme Molière, en son temps. <br /><br /><br /><br /><br />Il est mort comme, il l’avait souhaité. Une mort subite sur scène, retransmise en direct  sur les écrans de télévision ivoirienne.      <br /><br /><br /><br /><br />L’onde de choc est énorme à travers la planète. Au Japon, on parle  d’une page monumentale de l’épopée musicale  mondiale qui se ferme. Ses fanatiques sont inconsolables. Un peu partout dans les grandes capitales africaines, l’émotion est grande.  A Kinshasa, son fief et terre de la rumba, la disparition de Kuru Yaka a fait l’effet d’une bombe. Sa musique, en effet, a influencé plus d’une génération. Il a réussi, tout au long de sa riche et abondante carrière  artistique, à propulser au devant la scène  de nombreux autres  musiciens de renom. Parmi lesquels un certain Kester Emeneya que l’on ne  présente plus, déjà décédé. Koffi Olomidé, une autre star et légende vivante, est sorti de l’école  de Papa Wemba. Franchement, il est difficile d’énumérer tous les prodiges qu’il a fabriqués. Sur le plan discographique, 100 % Star a réalisé des œuvres de haute facture qui continuent à peindre la société.   Peu avant sa mort, il a mis sur le marché du disque un album intitulé «Maître d’école». Un album  dans lequel Papa Wemba a voulu rendre à la rumba ses lettres de noblesses. Le chanteur congolais aura  tout connu dans  sa vie. Les hauts et les bas. Malgré sa popularité,  sa gloire, le patron de Viva-la-Musica n’a jamais accepté de faire la politique. Pour la bonne simple raison que les politiciens divisent l’humanité. Son rôle, affirmait-il,  était de préserver l’humanité  par la chanson. Cela ne l’avait pas empêché de prendre position contre l’apartheid  en Afrique du sud.  Papa Wemba a vécu. Il a sillonné  le monde  à près de 50 ans de carrière musicale. Il est né en 1949 d’un père soldat de la Force publique et d’une mère pleureuse. Les artistes ne meurent pas, dit-on. Papa Wemba continuera à survivre grâce à ses œuvres.  </span><br />
<br />
<br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="320" src="https://www.youtube.com/embed/MLbxFCxx90o" width="650"></iframe>

Musique 24 avril 2016-24 avril 2017. Papa Wemba : l’An un de choc

Sa disparition était tragique. Très douloureuse et inoubliable lorsque la mort le surprend dans une circonstance où on ne peut pas s...

Felix Tshisekedi s’adressera aux congolais ce lundi 24 avril

April 24, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhPJ9i_aIvIkpbo2HTZFHhO8mIDg58WgsUwVLZt6o-sTDnTgtk29PcVwDp2wdvMGhhekj6t6kPxpZ56H-oFpC7ytykBBLPcWrfBMdOWWJgNebpIo1DaniNuMWvWfnu5IR1VMf7z5r07gEo/s1600/Snapshot_366.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="305" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhPJ9i_aIvIkpbo2HTZFHhO8mIDg58WgsUwVLZt6o-sTDnTgtk29PcVwDp2wdvMGhhekj6t6kPxpZ56H-oFpC7ytykBBLPcWrfBMdOWWJgNebpIo1DaniNuMWvWfnu5IR1VMf7z5r07gEo/s400/Snapshot_366.jpeg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;">Le Président du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi s’adressera à la population congolaise ce lundi 24 avril lors d’une matinée politique à Limete.                                                                L’honorable Muhindo Nzangi (Député G7-MSR) l’a annoncé via son compte Twitter.                                                                    Clément Muamba</span>

Politique Felix Tshisekedi s’adressera aux congolais ce lundi 24 avril

Le Président du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi s’adressera à la...

Kengo dit oui à Tshibala, et plaide pour la mise en place du CNSA

April 24, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEisEGhpTirkmk5aUr0QBoIN3lmZIZWpQOf581pON69j2zhbfcYpADhPW8_L9waNIlGcQw12jQnbYixtusTz5yvi5yQTfd-kT57S1vm40q6dD3YVKJ-ax8BgACwjM5LhjsrZWhOxJ6PpghA/s1600/Snapshot_365.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="305" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEisEGhpTirkmk5aUr0QBoIN3lmZIZWpQOf581pON69j2zhbfcYpADhPW8_L9waNIlGcQw12jQnbYixtusTz5yvi5yQTfd-kT57S1vm40q6dD3YVKJ-ax8BgACwjM5LhjsrZWhOxJ6PpghA/s400/Snapshot_365.jpeg" width="400" /></a>Le President du Sénat et autorité morale de l’OR Kengo wa Dondo souhaite le parachèvement rapide de la mise en application de l’accord. Il l’a exprimé par sa plateforme samedi 22 avril à Kinshasa. « L’opposition Républicaine exige le le parachèvement de l’Accord du 31 décembre 2016, par la mise en place du Conseil National de Suivi de l’Accord- CNSA », peut-on lire dans cette déclaration relayée par ses fidèles Michel Bongongo, Franck Apanela Malila et Matadi Nenga.<br />
Selon eux, c’est le meilleur moyen pour faciliter l’organisation des élections prévue fin décembre 2017, conformément à l’Accord de la Saint-Sylvestre. L’autorité morale de l’Opposition Républicaine considère que « l’impératif de la tenue des élections a été la motivation, le socle même de l’Accord de la Saint-Sylvestre qui a suscité l’espoir du peuple ».<br />
L’Opposition Républicaine constate que « près de quatre mois d’atermoiements de la classe politique ont mené la Nation à la perplexité ». Chaque jour, la dégradation de l’environnement économico-social plonge la population dans le désarroi.<br />
Il faut reagir, Dans cette situation socio-économique difficile. Ainsi pour mettre fin à ce cycle et assurer le fonctionnement de l’Etat, La plateforme note que « le Président de la République en conscience, a procédé à de consultations et désigné M. Bruno Tshibala comme Premier Ministre, avec assignation de réaliser l’objectif premier de l’Accord du 31 décembre 2016, à savoir l’organisation des élections en 2017 dans un esprit consensuel.<br />
Visiblement Léon Kengo wa Dondo valide la nomination de Tshibala Bruno Nzenze Et sa famille politique se penche du même côté que le président Kabila pour dire qu’il faut avancer, mettre en place un gouvernement qui doit conduire le peuple aux élections, au lieu de traîner les pas.                                                                            Clément Muamba

Politique Kengo dit oui à Tshibala, et plaide pour la mise en place du CNSA

Le President du Sénat et autorité morale de l’OR Kengo wa Dondo souhaite le parachèvement rapide de la mise en application de l’accord. Il l...

Haut-Katanga: Pande Celestin désigné gouverneur intérimaire

April 24, 2017

<span style="font-size: large;"></span><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="font-size: large;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4WX5OsCopZ-CGkWb63_jPIof_hhQ8gOOZUW22Ed45RcFmX6sxqvOYQ0YXjm2iIfYcKB5SZqshy5Atbs4WPEh5esOGj2y1sRtWipqU0fj9YhJ1NOhDa6TS47c-lXtvabnjAA6OMYDIY5c/s1600/Snapshot_363.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="351" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4WX5OsCopZ-CGkWb63_jPIof_hhQ8gOOZUW22Ed45RcFmX6sxqvOYQ0YXjm2iIfYcKB5SZqshy5Atbs4WPEh5esOGj2y1sRtWipqU0fj9YhJ1NOhDa6TS47c-lXtvabnjAA6OMYDIY5c/s400/Snapshot_363.jpeg" style="cursor: move;" width="400" /></a></span></div>
<br />
Célestin Pande Kapopo est désigné gouverneur intérimaire de la province du Haut-Katanga. Comme l’indique une correspondance d’Emmanuel Ramazani Shadari Vice-Premier ministre et ministre de l’intérieur. Après le refus de Bijoux Kat d’assurer l’intérim du Gouverneur de la province du Haut-Katanga après la destitution de Jean Claude Kazembe, Emmanuel Shadari vient de nommer Pande Celestin gouverneur par intérim en attendant la tenue des élections dans les prochains jours. Rappelons qu’avant sa désignation comme gouverneur intérimaire, Célestin Pande était ministre provincial de l’économie, finances et porte-feuilles. Clément Muamba

Politique Haut-Katanga: Pande Celestin désigné gouverneur intérimaire

Célestin Pande Kapopo est désigné gouverneur intérimaire de la province du Haut-Katanga. Comme l’indique une correspondance d’Emmanuel R...

CENI: Corneille Naanga confirme l’enrôlement à Kinshasa pour ce samedi 29 avril

April 24, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh3E3mq9r-hMDqBQ6QrbZMXXoEOS3n_XOqnnKZ31CRSBgV-vDQp0JtYdsoAEcB5ysjtal30AVZQQv2B8JGKpdkq8bKaU_t86bnFidcRo4bmPOrJfrO_eFwTzxDA2xGkBWaKRSGa2m_g-II/s1600/Snapshot_362.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="271" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh3E3mq9r-hMDqBQ6QrbZMXXoEOS3n_XOqnnKZ31CRSBgV-vDQp0JtYdsoAEcB5ysjtal30AVZQQv2B8JGKpdkq8bKaU_t86bnFidcRo4bmPOrJfrO_eFwTzxDA2xGkBWaKRSGa2m_g-II/s400/Snapshot_362.jpeg" width="400" /></a></div>
<br />
Joind au téléphone par nos confrères de Radio Okapi, Le président de la Ceni Corneille Naanga a annoncé dimanche 23 avril que l’enrôlement des électeurs se deployera dans les 11 provinces restantes dans pratiquement cinq jours donc le 29 avril.                                                                                                                                                    La CENI tient à la tenue des élections. «Ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes en train de poursuivre avec l’enrôlement des électeurs. Et l’opération se passe bien. Nous avons atteint plus ou moins 22,3 millions électeurs», rappelle le président de la CENI.<br />
Par ailleurs, Corneille Naanga a annoncé les noms de onze des vingt-six provinces de la RDC dans lesquelles l’opération va s’étendre:<br />
«Nous commençons dès le samedi 29 avril. Nous commençons à délivrer les cartes dans les provinces qui restent, c’est-à-dire les provinces du Haut-Uele, Bas-Uele, la Tshopo, Kasaï-Oriental, Lomami, Sankuru, Kwango, Kwilu, Mai Ndombe, Kongo-Central et Kinshasa».Les provinces du Kasaï et du Kasaï-Central devront elles attendre un peu avant de commencer leur enrôlement d’électeurs. Les provinces du Kasaï connaissent un climat d’insécurité, liée aux affrontements entre les forces de l’ordre et les miliciens se réclament du défunt chef coutumier Kamuina Nsapu.                                                                    « La date des élections présidentielles et législatives sera connue après la publication du calendrier électoral » a conclu Naanga.                                                                   Clément Muamba

Politique CENI: Corneille Naanga confirme l’enrôlement à Kinshasa pour ce samedi 29 avril

Joind au téléphone par nos confrères de Radio Okapi, Le président de la Ceni Corneille Naanga a annoncé dimanche 23 avril que l’enrôlemen...

Vendredi 12 mai 2017 : l’UDPS décidée à rapatrier Etienne Tshisekedi et à l’enterrer à Limete

April 24, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhlhBKikwRssYm7-ekBuM5m6U7v7CM9H10OdsQZX0fI80-z4nn4RAvdJFfZ1xccfZy8nckmzeUtZJnto4_DOdG-Lx1j-L1RHWYuuIx5VmFvenqDT8KNC6HPe3TIqQMModclGo_UulEyi3A/s1600/Snapshot_256.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="232" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhlhBKikwRssYm7-ekBuM5m6U7v7CM9H10OdsQZX0fI80-z4nn4RAvdJFfZ1xccfZy8nckmzeUtZJnto4_DOdG-Lx1j-L1RHWYuuIx5VmFvenqDT8KNC6HPe3TIqQMModclGo_UulEyi3A/s400/Snapshot_256.jpeg" width="400" /></a>Gardée à la morgue depuis son décès, le 1er février 2017 à Bruxelles, la dépouille mortelle du président de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, est attendue le vendredi 12 mai 2017 à Kinshasa. L’annonce a été faite par le Secrétaire Général de l’UDPS, Jean-Marc Kabund, au cours d’une conférence de presse qu’il animée le samedi 22 avril au siège de son parti, sur la 11me Rue, dans la commune de Limete.<br />
<br />
A l’en croire, le corps de l’opposant historique sera exposé au Palais du peuple, avant son inhumation dans l’enceinte de la permanence de son parti. On a noté la présence à ce point de presse du président du Rassemblement, Félix Tshisekedi, habillé en noir pour la circonstance, en signe de deuil.<br />
<br />
Jean Marc Kabund, qui a appris le décès de son fils cinq minutes avant le début de la conférence de presse, a dû faire preuve de beaucoup de courage pour s’adresser aux journalistes, qui ne lui ont pas tenu rigueur pour le zapping du jeu des questions et réponses.<br />
<br />
Apparemment, cette initiative de l’UDPS sur les obsèques de son président n’a pas encore reçu le quitus des autorités nationales et urbaines. S’achemine-t-on vers un bras de fer ? La question reste posée.<br />
<br />
Mesdames et Messieurs de la presse,<br />
<br />
Près de deux mois et demi après son décès, le Président de l’UDPS, Président du Conseil des Sages du Rassemblement, Son Excellence Dr. Etienne TSHISEKEDI WA MULUMBA, n’est toujours pas conduit à sa dernière demeure.<br />
<br />
Cette situation préoccupe tout autant sa famille biologique et politique que l’ensemble du peuple congolais. Elle est due, en grande partie, à la mauvaise foi des autorités en place au niveau provincial et national pour empêcher que le peuple congolais ne rende un hommage<br />
digne et à fa hauteur de l’illustre disparu lors de ses obsèques.<br />
<br />
Quelques faits  saillants viennent corroborer notre affirmation<br />
<br />
– Quelques heures seulement après le décès de notre leader<br />
charismatique, alors que le pays tout entier était encore dans l’émoi<br />
et la consternation, Mr Joseph Kabila a été informé du drame via son<br />
directeur de cabinet, Mr Néhémie Mwilania, qui a été informé par les<br />
autorités du Parti pour cette fin.<br />
– Dès lors, il est clair que le créneau de l’Etat était saisi au<br />
sommet pour la mise en œuvre du dispositif approprié, pouvant répondre<br />
à tous les défis que soulève encore, aujourd’hui, la mise en terre<br />
d’un personnage surdimensionné comme le Président Etienne Tshisekedi<br />
qui a sacrifié ses ambitions personnelles et familiales au profit<br />
d’une longue et périlleuse lutte pour l’émergence d’un Etat de droit<br />
et de justice sociale en République Démocratique du Congo.<br />
<br />
– C’est dans ce cadre que deux jours après, soit le 03 février 2017,<br />
en vue de circonscrire le cadre et les mesures pratiques relatives à<br />
l’organisation des  obsèques, un cadre du Parti et conseiller<br />
politique du feu Président, en l’occurrence Monsieur Gilbert KANKONDE,<br />
accompagné d’un délégué de la famille du feu Président, Mgr Gérard<br />
Mulumba Kalemba, ont pris contact avec le ministre de l’Intérieur,<br />
Monsieur Ramazani Shadary.<br />
En date du 07 février 2017, le Secrétaire général adjoint du parti,<br />
Monsieur Eteni Longondo et le représentant de la famille de feu<br />
Président Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Mgr Gérard Mulumba Kalemba,<br />
ont eu des séances de travail avec plusieurs responsables<br />
gouvernementaux et sécuritaires conduits par Monsieur Emmanuel<br />
Ramazani Shadary avec lesquels plusieurs engagements avaient été pris,<br />
notamment :<br />
– l’indication du site d’inhumation du Président;<br />
– les mesures sécuritaires et protocolaires à prendre durant les obsèques;<br />
– la prise en charge matrielle et financière des obsèques.<br />
Fort malheureusement, ces pourparlers n’ont pas rencontré les<br />
attentes du peuple congolais, celles de voir le Père de la déomocratie<br />
et héros national être rapidement rapatrié au pays de ses ancêtres.<br />
A la suite du mutisme ainsi constaté dans le chef des autorités<br />
nationales, j’ai pris, pour ma part, l’initiative de saisir, en date<br />
du 16 février 2017, le gouverneur de la ville de Kinshasa avec des<br />
propositions concrètes des sites en vue de permettre l’inhumation<br />
rapide du Président.<br />
Après de longues discussions, sans compromis, monsieur André Kimbuta<br />
promettra une nouvelle rencontre dans les 48 heures qui suivaient.<br />
Mais, chose étonnante, grande a été ma surprise d’apprendre par la<br />
voie des ondes que monsieur Kimbuta avait désigné d’autorité et sans<br />
tenir compte del’opinion publique opposée à sa proposition en évoquant<br />
une loi de 1914 complétement violée dans l’ensemble du pays, un<br />
parking, au cimetière de la Gombe, du reste fermé depuis plusieurs<br />
années, pour inhumer notre héros national, feu Président Dr Etienne<br />
Tshisekedi wa Mulumba.<br />
Cette décision unilatérale de Monsieur André Kimbuta fera, par la<br />
suite, l’objet de sérieuses contestations de la part de la population,<br />
occasionnant même d’importants dégâts matériels et humains.<br />
Ce qui nous amènera à déclarer, à notre corps défendant, cette<br />
proposition mal prise.<br />
Entre-temps, du côté de la familie, je dois ici relever que<br />
monseigneur Gérard MULUMBA KALEMBA a maintes fois sollicité des<br />
rendez-vous auprès de monsieur Emmanuel RAMAZANI SHADARY qui s’est<br />
toujours fondu en excuses sans qu’aucune rencontre n’ait lieu jusqu’à<br />
ce jour.<br />
Profitant de la proximité lors de la reprise des travaux du dialogue<br />
politique national au Centre Interdiocésain au mois de mars dernier,<br />
l’honorable Félix TSHISEKEDI, usant de sa double qualité de membre du<br />
Parti et du fils biologique du défunt Président a, à plusieurs<br />
reprises, approché monsieur Emmanuel SHADARY RAMAZANI pour solliciter<br />
son implication dans le dénouement de la situation de blocage<br />
constaté.<br />
Comme vous pouvez le remarquer, nous avons mené toutes les démarches<br />
nécessaires pour trouver un arrangement avec le pouvoir en place afin<br />
d’offrir des obsèques dignes et à la hauteur de la personnalité du<br />
.Président ETIENNE TSHISEKEDI WA MULUMBA.<br />
Nous réalisons qu’en dépit des efforts consentis, nous nous butons<br />
simplement à la mauvaise foi de nos interlocuteurs qui, manifestement,<br />
ne veulent pas du rapatriement de la dépouille du Président Dr.<br />
Etienne TSHISEKEDI et ne souhaitent pas son inhumation avec l’honneur<br />
qu’il mérite sur le sol de ses ancêtres.<br />
<br />
Mesdames et Messieurs de la presse.<br />
C’est avec beaucoup d’amertume, que nous annonçons ce Jour à l’opinion<br />
tant nationale qu’internationale ce qui suit:<br />
Primo: la dépouille du Président Dr. Etienne TSHISEKEDI WA MULUMBA<br />
sera rapatriée au pays le 12 mai 2017;<br />
Secundo: Le corps de notre Président et père de la démocratie sera<br />
inhumé au siège de l’UDPS situé au n°2600, sur le petit boulevard<br />
Lumumba, dans la commune de Limete à Kinshasa;<br />
Tertio ; la dépouille mortelle de l’illustre  disparu sera exposée au<br />
Palais du peuple pour les hommages populaires mérités.<br />
A cette occasion, les femmes et hommes d’Etat ou de la scène<br />
culturelle, ainsi que tous ceux qui n’ont pas encore eu l’opportunité<br />
d’exprimer leurs condoléances pourront le faire durant cette période.<br />
Nous sollicitons la sécurisation des obsèques par les forces de<br />
l’Ordre de la République Démocratique du Congo, ainsi que celle de la<br />
Monusco, conformément à la Résolution 2348 du Conseil de Sécurité des<br />
Nations Unies.<br />
Que les combattantes et combattants ainsi que tout le peuple viennent<br />
rendre un dernier hommage au Père de la démocratie et super héros<br />
national, Dr Etienne Tshisekedi wa Mulumba.<br />
<br />
Le peuple d’abord ! La lutte continue<br />
<br />
Jean-Marc Kabund a Kabund<br />
<br />
Secrétaire Général

Politique Vendredi 12 mai 2017 : l’UDPS décidée à rapatrier Etienne Tshisekedi et à l’enterrer à Limete

Gardée à la morgue depuis son décès, le 1er février 2017 à Bruxelles, la dépouille mortelle du président de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, est ...

Sessanga salue la position de la CENCO

April 24, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgWaYYt7IahQ_rpdkjtMaRyVGdRFxtWteIPdFa0bJekmvZdvGZ3INZKV1k-kOZcZCvjOd2CFuxD4UelF9E5ZMm7VAlC9YBrolH7prugDhn7aqTiQ8Lwx7VdjvWhS7-DncDONC-MN0UjuFw/s1600/Snapshot_361.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="271" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgWaYYt7IahQ_rpdkjtMaRyVGdRFxtWteIPdFa0bJekmvZdvGZ3INZKV1k-kOZcZCvjOd2CFuxD4UelF9E5ZMm7VAlC9YBrolH7prugDhn7aqTiQ8Lwx7VdjvWhS7-DncDONC-MN0UjuFw/s400/Snapshot_361.jpeg" width="400" /></a>Le désaveu du virtuel Premier ministre, Bruno Tshibala, par la Conférence Episcopale Nationale du Congo, est accueilli chaleureusement par le président de l’Envol, Delly Sessanga. Au cours d’une matinée politique organisée le samedi 22 avril 2017 à l’intention des cadres et militants des quatre fédérations de son parti à Kinshasa, dans la salle des conférences Chanimétal,  Delly Sessanga s’est réjoui du fait que la CENCO a remis les pendules à l’heure dans le débat relatif au mode de désignation du Premier ministre dans le cadre de l’Accord de la Saint Sylvestre.<br />
<br />
Ce membre du Rassemblement estime que la position des Evêques reflète la réalité des faits. Il relève que pour avoir piloté les négociations directes entre le Rassemblement et les signataires de l’Accord de la Cité de l’Union Africaine, les prélats catholiques ont fait une<br />
lecture correcte et impartiale de l’esprit ainsi que de la lettre du compromis politique du 31 décembre 2016.<br />
<br />
L’élu de Luiza pense que les princes de l’Eglise catholique sont bien<br />
placés pour donner une interprétation exacte de l’Accord du 31<br />
décembre 2016.<br />
Il a condamné l’attitude de certains « faucons » de la Majorité<br />
présidentielle qui remettent en cause le principe de la signature de<br />
l’Arrangement particulier comme un  préalable à l’application dudit<br />
accord.<br />
«L’Accord est un tout et il n’est pas un kit où on va se saisir des<br />
éléments favorables et se débarrasser de tout ce qui vous contraint »,<br />
a martelé Delly Sessanga. Pour le président de l’Envol, la nomination<br />
de Tshibala a violé l’accord et sorti le fonctionnement des<br />
institutions actuelles du compromis politique négocié et adopté par<br />
toutes les parties prenantes.<br />
Le chef de file de l’Alternance pour la République a tenu la Majorité<br />
et son « autorité morale » pour responsables de la persistance de la<br />
crise politique actuelle.<br />
Tout en dénonçant le montage grossier fait pour nuire à son image, en<br />
le présentant comme candidat ministre dans l’équipe Tshibala, il s’est<br />
insurgé contre la stratégie du pouvoir consistant à débaucher des<br />
membres de l’Opposition pour fragiliser cette dernière.<br />
Sessanga a accusé la majorité au pouvoir de vouloir à tout prix<br />
contourner le compromis politique du 31 décembre 2016, qui interdit au<br />
Chef de l’Etat de postuler pour un troisième mandat. Il a appelé la<br />
population à se mobiliser pour la tenue des élections présidentielle<br />
et législatives nationales au mois décembre 2017.<br />
ERIC WEMBA

Politique Sessanga salue la position de la CENCO

Le désaveu du virtuel Premier ministre, Bruno Tshibala, par la Conférence Episcopale Nationale du Congo, est accueilli chaleureusement par l...

Condamné à 5 ans de prison : Muyambo se tourne vers les Evêques catholiques

April 24, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFd0AxXPHpIXRwNjCNlzQgyVKqQ9HelA_JbFLpKw4dX1XP2akOv0pCYHs3I65bQmru_9UBVolsZtKFzUUqdXwBgS7RIzFPVtUeb08PnSi7moDq6EL6vKhhI2bYxxh_ofLh2Icw4NxuL2s/s1600/Snapshot_360.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFd0AxXPHpIXRwNjCNlzQgyVKqQ9HelA_JbFLpKw4dX1XP2akOv0pCYHs3I65bQmru_9UBVolsZtKFzUUqdXwBgS7RIzFPVtUeb08PnSi7moDq6EL6vKhhI2bYxxh_ofLh2Icw4NxuL2s/s400/Snapshot_360.jpeg" width="400" /></a></div>
En dépit de sa condamnation à 5 ans de prison dans une affaire de stellionat qui l’opposait au sujet grec Stoupis, le Bâtonnier Jean-Claude Muyambo, ministre honoraire, ne s’avoue pas vaincu. Selon le collectif de sa défense, il envisage d’aller en cassation et de ne ménager aucun effort pour user de tous les droits lui reconnus par la Constitution pour démontrer son innocence.<br />
<br />
Il n’exclut pas non plus la possibilité de recourir aux instances internationales pour recouvrer ses droits bafoués par ce qu’il qualifie de  simulacre de procès.<br />
<br />
Repris sur la liste des figures emblématiques de l’opposition devant bénéficier des mesures de décrispation politique dans le cadre du Dialogue du Centre Interdiocésain, Jean-Claude Muyambo trouve là un motif supplémentaire de se montrer optimiste. Le président de SCODE attend impatiemment le rapport des Evêques catholiques à ce sujet car les éléments ayant servi aux juges pour le condamner sont les mêmes qui ont été transmis aux prélats pour leur enquête.<br />
<br />
Lors d’une conférence de presse animée le jeudi 20 avril 2017 dans la résidence de Jean- Claude Muyambo au quartier Ma Campagne, dans la commune de Ngaliema, ses avocats ont dénoncé toutes les irrégularités qui ont émaillé le feuilleton judicaire  de leur client.<br />
<br />
Maître Thierry Muteba a fustigé le fait que la justice a condamné<br />
Jean-Claude Muyambo en s’appuyant sur des pièces qui n’avaient jamais<br />
fait l’objet des débats en audiences publiques, notamment le jugement<br />
ayant condamné Moïse Katumbi dans le seul but de lier son sort à celui<br />
de l’ancien gouverneur de l’ex- province du Katanga.<br />
Pour Me Therry Muteba, la condamnation de Jean-Claude Muyambo était<br />
simplement préméditée, comme c’est souvent le cas dans les affaires<br />
qui opposent les opposants politiques au pouvoir en place.<br />
Il s’est plaint du trafic d’influence qu’exerceraient certaines<br />
personnalités de la République sur les juges qui instruisent les<br />
dossiers des opposants, en illustrant cela par le cas de la juge<br />
Chantal Ramazani du Tribunal de Kamalondo, partie en exil après avoir<br />
été contrainte de signer, contre son grès, l’acte de condamnation de<br />
Moïse Katumbi.<br />
ERIC WEMBA

Justice Politique Religion Condamné à 5 ans de prison : Muyambo se tourne vers les Evêques catholiques

En dépit de sa condamnation à 5 ans de prison dans une affaire de stellionat qui l’opposait au sujet grec Stoupis, le Bâtonnier Jean-Claud...

Héritier Watanabe na Canada répond sur l’affaire test infection VIH et affaire Kikwit (VIDEO)

April 24, 2017

infos en vidéos Musique Héritier Watanabe na Canada répond sur l’affaire test infection VIH et affaire Kikwit (VIDEO)

Héritier Watanabe na Canada répond sur l’affaire test infection VIH et affaire Kikwit (VIDEO)

A Malabo, Constant Omari décante la crise à la Fédération équato-guinéenne de football après avoir rencontré le président Teodoro Obieng Nguema Mbasogo

April 24, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiemV7scwsL-jglyn2k0Nzn8wxY4W6yqJOdoLEsWt0IBd99SPn822rIk3LALpZP8GwrUB9ZoujvOEhQ4XDOinvTtq02M-Zy2468v4-MTV2tr-63rnaC7qeCGmJz6I3SE0Kvi3WpJpU_BKI/s1600/Snapshot_350.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiemV7scwsL-jglyn2k0Nzn8wxY4W6yqJOdoLEsWt0IBd99SPn822rIk3LALpZP8GwrUB9ZoujvOEhQ4XDOinvTtq02M-Zy2468v4-MTV2tr-63rnaC7qeCGmJz6I3SE0Kvi3WpJpU_BKI/s400/Snapshot_350.jpeg" width="400" /></a>Un succès retentissant pour Constant Omari. Le président de la Fédération congolaise de football association vient de décanter la crise qui plombait le football guinéen. Résultat positif obtenu, après seulement, quatre jours passés à Malabo soit du 18 au 22 avril 2017.<br />
<br />
Mais avant d’y arriver, le délégué de la Fifa et de la Caf s’est entretenu avec le chef de l’État équato-guineen, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Après le Président de la République, il a échangé également avec son fils, Teodorin Nguema Obiang, le vice-président de la République chargé de la défense, sur le même sujet. « Tout s’est bien passé », explique Omari visiblement ravi d’être compris au sommet de l’État.<br />
<br />
De leurs entretiens, il s’est dégagé une convergence de vues pour solutionner le problème qui empoisonnait le climat au sein de la fédération équato-guinéenne de football. Deux poids lourds du football équato-guinéen se disputaient le contrôle, mieux le leadership de la Fédé.<br />
<br />
Et la mission lui confiée par la Fifa/ Caf s’inscrivait dans le cadre de la résolution de litiges récurrents au sein de la fédération équato-guinéenne de football. Donc, il fallait à tout prix mettre fin à un conflit ouvert entre le président de cette fédération qui est, en même temps, ministre des sports et de la jeunesse et le vice-président qui a aussi pignon sur rue.<br />
<br />
Après avoir écouté les deux parties, le membre du comité exécutif de la Fifa et de la Caf a bien cerné le problème. Il a communiqué le point de vue de l’organe faîtière du football mondial était clair. « Pas de politique dans le football ». Séance tenante, le chef de l’État équato-guinéen a demandé à son ministre des sports de faire le choix. Un choix difficile entre rester au gouvernement ou demeurer à la tête de la fédération. Le Ministre a opté pour la fédération.<br />
<br />
L’accord trouvé. Constant Omari a prodigué de sages conseils aux intéressés. La sérénité a regagné le fédération. Mission donc accomplie pour l’un des ténors du football africain. Heureux qui comme Constant Omari a su user d’une bonne stratégie, de la finesse et la diplomatie de proximité pour arriver à résoudre ce conflit qui a miné, des années durant, le développement du football équato-guinéen.<br />
<br />
Dirigeants politiques et du football guinéen ont jeté des fleurs à ce digne fils du Congo-Kinshasa qui s’est toujours battu, selon eux, pour le développement du football africain. Omari a regagné Genève, au siège de la Fifa , pour faire rapport à sa hiérarchie.<br />
<br />
Alphonse Muderhwa

A Malabo, Constant Omari décante la crise à la Fédération équato-guinéenne de football après avoir rencontré le président Teodoro Obieng Nguema Mbasogo

Sport A Malabo, Constant Omari décante la crise à la Fédération équato-guinéenne de football après avoir rencontré le président Teodoro Obieng Nguema Mbasogo

Un succès retentissant pour Constant Omari. Le président de la Fédération congolaise de football association vient de décanter la crise qui ...

JAMAIS DECLARATION DES EVEQUES CATHOLIQUES N’A SUSCITE AUTANT DE POLEMIQUE LA CENCO DANS L’ARÈNE POLITIQUE !

April 24, 2017

<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHiBA_GWWPkxOjSDuFjKw47oqlnuvcH4oiIeaX6NDVtY-zSZ9The96RFCwLSHqkaFRSUymAacYUF_2ZRZf_3nTZbjXUngiKlE0p5Rr5Y5dmw55ZNtuUaWWTa9E0a-9k9puaJN6aIo8FWk/s1600/Snapshot_1190.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHiBA_GWWPkxOjSDuFjKw47oqlnuvcH4oiIeaX6NDVtY-zSZ9The96RFCwLSHqkaFRSUymAacYUF_2ZRZf_3nTZbjXUngiKlE0p5Rr5Y5dmw55ZNtuUaWWTa9E0a-9k9puaJN6aIo8FWk/s400/Snapshot_1190.jpeg" width="400" /></a><br />
<br />
Foulant aux pieds le précepte biblique qui veut que l’Eglise laisse à César ce qui lui appartient et se consacre au spirituel, l’Episcopat congolais déborde de son rôle et trahit sa vocation. Méprisant la séparation des pouvoirs, ignorant que la République Démocratique du Congo est un Etat laïc,oubliant sa mission de maintien des équilibres au sein de la société, la CENCO a décidé, ce vendredi 21 avril 2017, de faire tomber les masques.<br />
Contrairement aux règles établies, lespasteurs abandonnent la chaire pour descendre dans l’arène. Jamais on n’a vu la CENCO aussi engagée politiquement, jusqu’à tronquer sa neutralité au profit d’une prise de position franchement partisane.<br />
Voilà déjà un certain temps que moult observateurs soupçonnaient que la CENCO ne se contentait plus de son "rôle de prestataire de bons offices " et qu’elle jouait carrément une partition politique active dans la lutte pour le contrôle du pouvoir en République Démocratique du Congo.<br />
Appelée à la rescousse, pour sa sagesse supposée, mais aujourd’hui démentie, en matière de conciliation, la CENCO s’est progressivement délestée de cette responsabilité de pasteur-conciliateur en devenant partie prenante d’une des causes en conflit.Trois mois durant, l’organisation des évêques catholiques congolais n’est pas parvenue à concilier les thèses en présence. Mais en réalité, la CENCO voulait-elle sincèrement réussir ? On peut en douter.<br />
Les analystes politiques avertisaccusent la CENCO d’avoir, par la ruse, orchestré la dislocation du Rassemblement pour se substituer à lui et ainsi faire face directement au Président de la République dans la lutte pour le pouvoir. Aujourd’hui, nous comprenons pourquoi la CENCO avait eu le culot d’interrompre sa participation au dialogue de la Cité de l’Union Africaine. Il s’agissait déjà d’une première tentative de torpiller le nécessaire Dialogue entre Congolais. Le stratagème a partiellement réussi ; le Rassemblement, entré uni aux négociations, le 8 décembre 2016, en sort aujourd’hui scindé en trois. La mort du Président de l’UDPS et Président du Conseil des Sages du Rassemblement n’a donc pas été une perte pour tout le monde !<br />
Dans sa détermination à s’inviter à nouveau dans la scène politique, longtemps après avoir remis au Président de la République ses conclusions d’échec, le 28 mars 2017, mettant ainsi officiellement fin à ses bons offices, la CENCO tente encore, indûment, de s’introduire dans le processus politique en cours. <br />
Dès lors que, la CENCO ayant jeté l’éponge et qu’à la suggestion des évêques, le Président de la République a repris, conformément à ses prérogatives constitutionnelles, l’initiative de l’action, de quoi se mêle encore le clergé catholique ?<br />
Les évêques ne cachent plus leur objectif. Cette fois-ci, la CENCO sort du bois ; les choses sont dorénavant claires : l’organisation des prélats catholiques s’est précipitée sur les médias, motivée par la peur. La CENCO craint que Bruno TSHIBALA, Premier ministre présenté par le Rassemblement et nommé par le Président de la République conformément au chapitre III, point III.2.1 de l’accord de la Saint Sylvestre,ne réussisse à sortir un gouvernement là oùla CENCO a échoué. En effet, plusieurs signes montraient que le " cheval de Troie " utilisé par la CENCO, en l’occurrence "le Rassemblement/aile Limete", se vide progressivement de ses membres à mesure que les consultations du Premier ministre nommé évoluent. Il fallait un coup politique pour tenter de remettre le Rassemblement de Moïse Katumbi dans les débats. De plus, preuve est faite que la CENCO ne tient pas à disparaitre de la scène politique. Elle se devait donc d’agir en provoquant un nouvel incident sur le parcours. Voilà ce qui explique la déclaration du 21 avril 2017.<br />
Et pourtant, les dés sont jetés ! Il n’y aura plus de rétropédalage.<br />
Le peuple congolais espère que sa classe politique se montrera lucide, pour ne pas jeter la nation entre les mains de ceux qui, pour des raisons idéologiques et d’intérêts privés, se mettent d’eux-mêmes au service des puissances étrangères.Celles-ci ne veulent rien d’autre que nous maintenir sous leur joug. Il faut dénoncer ce projet avec la plus grande force. La CENCO doit renoncer à n’être plus que l’instrument docile des néolibéraux belges, auxquels nous devons farouchement résister.<br />
J’exhorte le clergé de notre Eglise catholique du Congo à ne pas se détourner de sa vocation première, le service de l’évangile. <br />
La place de l’église est au milieu du village ! K.M./CP<br />
<br />
DECLARATION DE LA CONFERENCE EPISCOPALE NATIONALE DU CONGO SUR LA SITUATION SOCIO-POLITIQUE ACTUELLE EN RD CONGO<br />
" Proclame la parole, insiste à temps et à contretemps, réfute, menace, exhorte, avec une patience inlassable et le souci d’instruire " (2 Tm 4,2)<br />
1. Mue par sa foi et sa sollicitude pastorale, interpelée par les attentes du Peuple congolais, encouragée par la Résolution 2348 du Conseil de Sécurité des Nations Unies et par amour de la République Démocratique du Congo, notre pays, la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) n’abandonne pas le Peuple congolais et ses aspirations les plus légitimes, surtout pas en ce temps de crise.<br />
<br />
Mission prophétique<br />
2. Bien qu’ayant clôturé sa mission de bons offices auprès des Acteurs politiques et sociaux, la CENCO réaffirme sa solidarité avec le Peuple congolais et son souci de contribuer à son bien-être en ce temps critique. Ainsi, en conformité avec sa mission prophétique, elle " est décidée à accompagner le Peuple congolais dans la mise en œuvre de l’Accord de la Saint-Sylvestre "1, pour avoir assuré la médiation dans les négociations et engagé sa responsabilité morale.<br />
3. Cet Accord, salué par tout le Peuple congolais, a été en plus sanctionné par la Résolution 2348 du Conseil de Sécurité des Nations Unies qui "souligne qu’une mise en œuvre complète et rapide de l’Accord du 31 décembre 2016 est essentielle pour appuyer la légitimité des institutions chargées de la transition, exprime son plein appui à la médiation conduite par la Conférence épiscopale nationale du Congo, demande instamment à toutes les parties prenantes nationales de poursuivre la concertation de manière transparente et ouverte et de coopérer avec la Conférence à cet égard, et prie le Secrétaire Général de fournir un appui politique à ces efforts conformément aux dispositions de la présente résolution, notamment en usant de ses bons offices " (n.7).<br />
4. A cet effet, réuni à Kinshasa, le 20 avril 2017, le "Comité de Suivi de la CENCO", chargé des négociations politiques directes entre les Acteurs politiques et sociaux de la République Démocratique du Congo, s’est penché sur l’état actuel de la mise en application de l’Accord politique global et inclusif du Centre Interdiocésain.<br />
<br />
Respect intégral de l’Accord<br />
5. Il sied de rappeler que l’Accord de la Saint-Sylvestre a été motivé par la nécessité de trouver un consensus global sur la cogestion du pays par les parties prenantes après le 19 décembre 2016, date de la fin du deuxième et dernier mandat de l’actuel Chef de l’Etat. Signé le 31 décembre 2016, cet Accord historique a l’avantage de contenir plusieurs acquis dont l’application ne nécessite pas un arrangement particulier, notamment :<br />
a) Le Chef de l’Etat ne briguera pas un troisième mandat (cf. 111,2.1.) ;<br />
b) Le Président de la République reste cependant en fonction jusqu’à l’installation du nouveau Président élu (Idem) ;<br />
c) Les élections présidentielles, législatives et provinciales seront tenues avant fin décembre 2017 (cf. IV.2.) ;<br />
d) Aucune initiative de révision de la Constitution et de son changement ne sera consentie ni par voie référendaire ni par voie parlementaire pendant la période pré-électorale et électorale (cf. 11.1.).<br />
La mise en œuvre d’autres points de l’Accord étant liée à la signature de l’Arrangement particulier qui en fixe les modalités d’application, il est urgent de hâter la signature dudit Arrangement.<br />
6. Dans son discours sur l’état de la Nation, le 5 avril 2017, le Chef de l’Etat s’est engagé à trouver une solution aux deux points de blocage de l’Arrangement particulier, à savoir : le mode de désignation et nomination du Premier Ministre ainsi que la présidence du Conseil National de Suivi de l’Accord et du Processus Electoral (CNSA).<br />
7. Ledit Accord stipule que " Le Gouvernement de la République est dirigé par le Premier Ministre présenté par l’Opposition politique non-signataire de l’Accord du 18 octobre 2016/Rassemblement et nommé par le Président de la République conformément à l’article 78 de la Constitution " (III.3.3). La CENCO déplore que les consultations entre le Chef de l’Etat et le Chef de délégation du Rassemblement aux négociations au terme desquelles allait être nommé le Premier Ministre n’aient pas eu lieu. Malgré tout, un Premier Ministre a été nommé. Ceci constitue une entorse à l’Accord de la Saint-Sylvestre et explique la persistance de la crise.<br />
8. Quant à la présidence du CNSA, le Président de la République, dans son discours susmentionné, " en appelle à l’accélération des tractations au sein de la classe politique en vue de la désignation (...) d’une personnalité consensuelle devant présider cette structure ". Force est de rappeler le contenu de l’Accord à ce sujet : " Le CNSA sera présidé parle Président du Conseil des Sages du Rassemblement " (V.2.2.). En vue de surmonter le blocage sur ce point, la médiation de la CENCO avait proposé de concilier la lettre et l’esprit de l’Accord, c’est-à-dire que le Président du CNSA provienne du Rassemblement mais qu’il fasse l’objet d’un consensus.<br />
9. Sur ces deux questions, et sur celles restées pendantes, la CENCO considère que sortir du compromis politique convenu entre les parties prenantes serait violer l’Accord de la Saint-Sylvestre, Le consensus ayant été le mode de prise de décisions lors des négociations politiques, la CENCO encourage les Acteurs politiques et sociaux à plus d’efforts et de concessions afin de parvenir à une solution complète et rapide de la crise.<br />
10. Par conséquent, la CENCO en appelle aux Acteurs politiques et sociaux à être plus sensibles aux souffrances du Peuple congolais. Aussi convient-il de souligner avec force que l’Accord du 31 décembre 2016 vise "l’organisation des élections au plus tard en décembre 2017" (IV.2.) en vue de l’alternance démocratique et pacifique.<br />
11. Dans l’Accord du 31 décembre 2016, un chapitre a été consacré à la décrispation du climat politique, notamment par la libération des prisonniers politiques et d’opinion, le respect des droits humains et la réouverture des médias. Plusieurs prisonniers politiques et d’opinion ont bénéficié des mesures de relaxe, dont quatre dits " cas emblématiques ". D’autres cas, en particulier ceux de Jean-Claude MUYAMBO et de Moïse KATUMBI, n’ont pas encore été résolus. Quelques radios et télévisions ont été rouvertes ; d’autres devraient l’être aussi si les concernés adressent des demandes quant à ce. Tout en saluant les résultats déjà obtenus sur ce chapitre, la CENCO déplore cependant une certaine léthargie dans l’application de ces mesures de décrispation. Elle demande de mettre tout en œuvre en vue de favoriser un climat de quiétude et d’inclusion propice à la tenue d’élections.<br />
<br />
SITUATION SECURITAIRE ET RESPECT DES DROITS HUMAINS<br />
12. La CENCO suit avec beaucoup d’inquiétude la situation socio-sécuritaire et humanitaire à travers le territoire national. Récemment, dans le Grand-Kasaï et plus particulièrement dans l’Archidiocèse de Kananga et dans les Diocèses de Mbujimayi, de Luebo et de Luiza des affrontements sanglants ont opposé les Forces de l’ordre aux milices se réclamant du Chef coutumier KAMUINA NSAPU. Des violences d’une rare cruauté ont causé de nombreuses pertes en vies humaines et des destructions des infrastructures publiques et ecclésiastiques. La CENCO dénonce et condamne fermement ces actes ignobles. Elle en appelle à la retenue et à l’apaisement. En même temps, elle réitère sa demande d’enquête indépendante et objective afin d’établir les responsabilités.<br />
13. La CENCO salue les efforts de réconciliation déployés par le Gouvernement central avec l’appui de la MONUSCO afin de ramener la paix dans le Grand-Kasaï. Elle rappelle que tout problème social ne nécessite pas une solution par la voie des armes. Comme le dit le Pape François dans son Message Ubi et Orbi le Dimanche de Pâques, le 16 avril 2017 : " Qu’on puisse construire des ponts de dialogue, (...) dans la recherche de solutions valables et pacifiques aux controverses (...)".<br />
14. La CENCO recommande vivement que ce processus de pacification prenne également en compte l’aspect humanitaire et s’étende sur l’ensemble de cette contrée sinistrée afin de favoriser l’accès aux populations meurtries. Bien entendu, il appartient au Gouvernement congolais d’apporter l’assistance humanitaire nécessaire aux victimes de cette tragédie. En outre, la CENCO sollicite l’appui multiforme de la MONUSCO, de la Communauté internationale, des Organisations humanitaires, ainsi que des hommes et des femmes de bonne volonté pour résorber cette crise socio-sécuritaire.<br />
<br />
SITUATION ECONOMIQUE<br />
15. La crise socio-politique et sécuritaire décrite ci-haut a des conséquences néfastes sur le plan social et économique. En effet, le manque de consensus sur la gestion du pays pendant la période préélectorale et électorale sème la peur, éloigne les investisseurs et affecte sérieusement le climat des affaires. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que les sources principales de la trésorerie de notre pays connaissent une baisse sensible des recettes.<br />
16. Cette crise économique se manifeste également par la dépréciation inquiétante du franc congolais et la diminution croissante du pouvoir d’achat de la population. La situation est encore plus déplorable dans les provinces directement concernées par l’insécurité. La CENCO exhorte les Acteurs politiques et sociaux à adopter des comportements responsables dans la gestion de la "res publica ", afin d’améliorer le social de la population.<br />
17. En ce temps de Pâques, que le Christ vainqueur du mal et de la mort fasse de nous des hommes et des femmes nouveaux, artisans de justice et de paix. Que la Vierge Marie, Notre Mère, intercède pour notre pays, la République Démocratique du Congo.<br />
Fait à Kinshasa, <br />
le 20 avril 2017<br />
<br />
<br />
ARCHEVEQUES ET EVEQUES PRESENTS A LA REUNION DU COMITE DE SUIVI DU 20 AVRIL 2017<br />
1. Son Exc. Mgr Marcel UTEMBI, Archevêque de Kisangani Président de la CENCO<br />
2. Son Em. Laurent Cardinal MONSENGWO, Archevêque de Kinshasa<br />
3. Son Exc. Mgr Jean-Pierre TAFUNGA, Archevêque de Lubumbashi<br />
4. Son Exc. Mgr Marcel MADILA, Archevêque de Kananga<br />
5. Son Exc. Mgr François Xavier MAROY, Archevêque de Bukavu<br />
6. Son Exc. Mgr Joseph MOKOBE, Evêque de Basankusu<br />
7. Son Exc. Mgr Fidèle NSIELELE, Evêque de Kisantu<br />
8. Son Exc. Mgr Nicolas DJOMO, Evêque de Tshumbe<br />
9. Son Exc. Fulgence MUTEBA, Evêque de Kilwa-Kasenga<br />
10. Son Exc. Mgr Félicien MWANAMA, Evêque de Luiza

Politique JAMAIS DECLARATION DES EVEQUES CATHOLIQUES N’A SUSCITE AUTANT DE POLEMIQUE LA CENCO DANS L’ARÈNE POLITIQUE !

Foulant aux pieds le précepte biblique qui veut que l’Eglise laisse à César ce qui lui appartient et se consacre au spirituel, l’Episcopa...

LA FAMILLE ET LE PARTI ONT DECIDE LA DÉPOUILLE D’ÉTIENNE TSHISEKEDI SERA RAPATRIÉE À KINSHASA LE 12 MAI PROCHAIN

April 24, 2017

<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEfYrAGdYm_cxFQAgzH1Zl8yaFoMiirNUfu6onGqW8PcP_vqVXqajCfMB7ElcfjIKiUXDQx3Y72oHU_NZLEBZKf4cM0ABZ-6vFrrE1W3ZsH-MitMmlSN4ujcvazC6VSJwZreh70ml0wuI/s1600/Snapshot_69.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEfYrAGdYm_cxFQAgzH1Zl8yaFoMiirNUfu6onGqW8PcP_vqVXqajCfMB7ElcfjIKiUXDQx3Y72oHU_NZLEBZKf4cM0ABZ-6vFrrE1W3ZsH-MitMmlSN4ujcvazC6VSJwZreh70ml0wuI/s400/Snapshot_69.jpeg" width="400" /></a><br />
<br />
C’est décidé. Le corps d’Etienne Tshisekedi, mort le 1er février à Bruxelles, sera rapatrié le 12 mai prochain à Kinshasa et exposé au palais du peuple pour les hommages populaires. L’emblématique président de l’UDPS sera enterré au siège du parti, sur le petit boulevard Lumumba dans la commune de Limete à Kinshasa. Ainsi en ont décidé la famille biologique de l’illustre disparu et son parti. L’annonce a été faite lors d’une conférence de presse qu’ils ont animée conjointement samedi 22 avril à la permanence de l’UDPS à Kinshasa. Les familles politique et biologique du Sphinx de Limete disent s’appuyer sur le droit positif congolais en matière de sépultures et inhumations des personnes décédées.<br />
<br />
Le Sg de l’UDPS, Jean-Marc Kabund-A-Kabund, justifie cette décision quelque peu unilatérale de rapatriement de la dépouille d’Etienne Tshisekedi par le fait que « toutes les démarches auprès des autorités provinciales n’ont pas abouti positivement. »<br />
« Nous avons mené toutes les démarches nécessaires pour trouver un arrangement avec le pouvoir en place afin d’offrir des obsèques dignes et à la hauteur de la personnalité du président Etienne Tshisekedi Wa Mulumba. Nous réalisons qu’en dépit des efforts consentis, nous nous butons simplement à la mauvaise foi de nos interlocuteurs qui, manifestement ne veulent pas du rapatriement de la dépouille du président Etienne Tshisekedi et ne souhaitent pas son inhumation avec l’honneur qu’il mérite sur le sol de ses ancêtres », explique Jean-Marc Kabund-A-Kabund. <br />
On rappelle que lors d’un Conseil des ministres, le gouvernement central avait décidé de prendre en charge l’organisation des obsèques d’Etienne Tshisekedi. Les travaux de la construction, par l’hôtel de ville, d’un mausolée sur une superficie de 500 mètres carrés au cimetière de la Gombe à Kinshasa, ont été suspendus. L’UDPS tenant alors à enterrer son leader sur l’un des trois sites ciblés par elle. A savoir, la place de la 10ème Rue Limete, les abords du Palais du Peuple, ou ceux du Palais de justice.<br />
L’UDPS soutient qu’il existe, dans la ville de Kinshasa, des précédents à Bibwa, à Makala et à Maluku où les personnes ont été enterrées dans leurs parcelles et en violation de la condition de proximité d’habitation.

la Nation Politique LA FAMILLE ET LE PARTI ONT DECIDE LA DÉPOUILLE D’ÉTIENNE TSHISEKEDI SERA RAPATRIÉE À KINSHASA LE 12 MAI PROCHAIN

C’est décidé. Le corps d’Etienne Tshisekedi, mort le 1er février à Bruxelles, sera rapatrié le 12 mai prochain à Kinshasa et exposé au pa...

LA CENI ETANT PRISE POUR CIBLE PAR LES TERRORISTES LABELLISES KAMWINA NSAPU PEUT-ON ORGANISER LES ÉLECTIONS SANS LE KASAÏ ?

April 24, 2017

<br />
<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXF47U67XXRA7ks3zJfQdydYttrd8K41LScw6ud6-8myCYZNv-638_W1wdROLvtx0YIJpJnhsrYm1W1vPIC_IQQaawOwngH5Z4Wm6QnJil0kXku5D8s0rrLpyDI73XB_eu2uSylZ9QxzA/s1600/Snapshot_71.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXF47U67XXRA7ks3zJfQdydYttrd8K41LScw6ud6-8myCYZNv-638_W1wdROLvtx0YIJpJnhsrYm1W1vPIC_IQQaawOwngH5Z4Wm6QnJil0kXku5D8s0rrLpyDI73XB_eu2uSylZ9QxzA/s400/Snapshot_71.jpeg" width="400" /></a>Le gouvernement fait face à un mouvement terroriste dans l’espace Kasaï, avait déclaré, début avril, le Vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, Ramazani Shadary. Le VPM répondait à une question du Bureau du Sénat élargi aux sénateurs du Kasaï Central au sujet du phénomène Kamwina Nsapu.<br />
<br />
Décapitation, tueries et massacres aveugles des civils et agents des forces de l’ordre, incendie des édifices publics, privés et religieux, attaques contre les symboles de l’Etat et autres méthodes relevant de la guerre asymétrique….sont là le mode opératoire de ces miliciens. <br />
Ces exactions menées dans le Kasaï par des terroristes qui usent et abusent du label Kamwina Nsapu n’épargnent pas, hélas, la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Corneille Nangaa a touché un mot de ces violences inouïes à la délégation de la SADC qui a séjourné à Kinshasa dans le cadre du suivi de la situation politique en RDC, marquée par la mise en œuvre de l’accord du 31 décembre.<br />
La Centrale électorale, par la voix de son président, a déploré la disparition de son chef d’Antenne de Dekese, dans le Kasaï, séquestré puis décapité récemment. Le numéro un de la CENI a évoqué aussi la réticence désormais de son institution, chargée d’organiser les élections en RD Congo, d’exposer agents opérationnels et matériels électoraux.<br />
A Luebo, indique-t-on, les kits électoraux destinés à l’enrôlement des électeurs ont été détruits, vandalisés et des infrastructures les contenant simplement incendiées. <br />
Il est évident que si ces violences ne s’estompent pas, elles vont impacter négativement le déroulement des opérations pré et électorales. Notamment l’enrôlement qui est un préalable aux élections. Il va donc y avoir une incidence sur le chronogramme de la CENI. <br />
La famille régnante a fait la paix le 16 avril dernier avec le gouvernement, représenté par le Vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Emmanuel Ramazani Shadary, lors d’une rencontre à Kananga. La succession a même été déjà réglée. Jacques Kabeya Ntumba, le tout nouveau chef traditionnel installé, a adressé, samedi 22 avril, un message de paix à la population et a demandé à tous ceux qui utilisent le nom de son frère, feu Kamwina Nsapu, pour commettre des crimes de cesser immédiatement. C’était à l’issue d’une audience au cours de laquelle le nouveau chef coutumier a été présenté aux autorités provinciales.<br />
Question : Si la Centrale électorale n’arrive pas à enrôler, en raison des violences dans cette partie de la province, que va-t-il se passer ? Allons-nous organiser des élections sans le Kasaï ? Doit-on aller jusqu’à priver des Congolais habitant cette contrée de leur droit constitutionnel de participer aux élections ? Doit-on organiser des scrutins ailleurs en attendant que la paix soit rétablie dans cette partie du pays ? Auquel cas il faudra faire bouger les lignes constitutionnelles pour que l’on réaménage le tout. C’est un problème qui n’est pas de la compétence de la CENI, laquelle est juste un organe technique chargé d’organiser les élections. La Centrale électorale n’a pas en charge la sécurité du pays. Elle n’a pas non plus vocation à lever des options dans le sens de trancher sur la menace ou sur l’hypothèque que font peser les violences sur la tenue des élections dans le Kasaï au même moment que partout ailleurs dans le pays. <br />
Des observateurs avisés estiment que c’est maintenant qu’il faut mener ce débat relatif aux élections avec ou sans le Kasaï. Il appartient au Gouvernement, les partis politiques, bref toutes les parties prenantes aux scrutins de se pencher dès à présent sur la question. Avant qu’il ne soit trop tard.

la Nation Politique LA CENI ETANT PRISE POUR CIBLE PAR LES TERRORISTES LABELLISES KAMWINA NSAPU PEUT-ON ORGANISER LES ÉLECTIONS SANS LE KASAÏ ?

Le gouvernement fait face à un mouvement terroriste dans l’espace Kasaï, avait déclaré, début avril, le Vice-Premier ministre en charge de...

EST DU PAYS : EMMANUEL SHADARY À GOMA POUR ÉVALUER LA SITUATION SÉCURITAIRE

April 24, 2017

<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0BkTWRQxSVviVC7Uk08D7N2Y0iyWpTFMjAnWZlLOd0z6kUzWc6dLz_LheIXDvJKKDvBXH9yv8vhDBBnplVhtx5mOKLQi_u2R0EG3cwg9c2xA9OOPBQbtKLBOM-p0uEPHWASKJJfx5570/s1600/Snapshot_70.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0BkTWRQxSVviVC7Uk08D7N2Y0iyWpTFMjAnWZlLOd0z6kUzWc6dLz_LheIXDvJKKDvBXH9yv8vhDBBnplVhtx5mOKLQi_u2R0EG3cwg9c2xA9OOPBQbtKLBOM-p0uEPHWASKJJfx5570/s400/Snapshot_70.jpeg" width="400" /></a><br />
<br />
Après le Tanganyika et le Grand Kasaï, le Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et sécurité séjourne dans la ville volcanique depuis hier dimanche 23 avril. Emmanuel Ramazani Shadari effectue une visite de travail à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu pour évaluer la situation sécuritaire. Se confiant à la presse à son arrivée, le VPM Shadary a déclaré : « Je suis dans une mission d’administration du territoire mais également une mission d’itinérance et je vais échanger avec les autorités locales et la population sur les questions sécuritaires ».<br />
<br />
Pendant son séjour de travail à Goma, le patron de la territoriale va, après échange avec les différentes parties prenantes, mener des actions par rapport à la situation sécuritaire qui prévaut dans cette partie de la République. <br />
Réagissant à une question sur les mesures à prendre pour mettre un terme à l’activisme des groupes armés nationaux comme étrangers qui sèment la désolation dans cette province, Emmanuel Shadary a promis de revenir à cette question à la fin de sa mission pendant qu’il va s’entretenir avec les responsables de la province pour trouver des solutions durables et définitives à cette préoccupation.<br />
Son agenda à Goma prévoit une réunion avec les membres du Comité provincial de sécurité de la province ainsi que des rencontres avec les délégués de différentes couches sociales. Après Goma, le VPM Shadary se rendra à Kindu dans la province du Maniema. <br />
A sa descente d’avion, l’homme de terrain a été accueilli par une foule immense et avec à sa tête le Gouverneur Julien Paluku entouré de membres du comité provincial de sécurité.

Politique EST DU PAYS : EMMANUEL SHADARY À GOMA POUR ÉVALUER LA SITUATION SÉCURITAIRE

Après le Tanganyika et le Grand Kasaï, le Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et sécurité séjourne dans la ville volcanique de...

FIN DU SÉJOUR DU CHEF DE L’ÉTAT AU CAIRE

April 24, 2017

<br />
<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirjn2Kz9hUlXDY6qBTsJezsqLaA9KxF8bbjpsUTYoI1F1W3Q3PGKzIdHPAlmK8seRIhBD1-sF53bPp1HGXcNU2_Z6dXLE8IleLHoYRxWkaTgP5CeDIYHKhlXuG7yk4CQgsQZm2Vf0xBBc/s1600/Snapshot_72.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirjn2Kz9hUlXDY6qBTsJezsqLaA9KxF8bbjpsUTYoI1F1W3Q3PGKzIdHPAlmK8seRIhBD1-sF53bPp1HGXcNU2_Z6dXLE8IleLHoYRxWkaTgP5CeDIYHKhlXuG7yk4CQgsQZm2Vf0xBBc/s400/Snapshot_72.jpeg" width="400" /></a><br />
Le Président Joseph Kabila Kabange a quitté Le Caire, capitale de l’Egypte, dimanche, au terme de sa visite officielle de 48 heures.<br />
<br />
Au cours d’une conférence de presse conjointe animée samedi, en début de soirée au « State House », le Président Joseph Kabila Kabange a dit avoir insisté, lors d’un entretien avec son homologue égyptien, sur le renforcement des relations de coopérations entre Le Caire et Kinshasa, sur la gestion des projets en cours ainsi que sur l’importance des investissements égyptiens en RDC. « L’Egypte a toujours été à nos côtés, notamment dans les domaines de la diplomatie, de la sécurité, de la défense et dans plusieurs projets de développement qui sont en cours », a dit le Président Joseph Kabila, qui a exprimé le souhait de voir cette coopération continuer et se renforcer davantage.<br />
Le Chef de l’Etat a remercié, à cette occasion, son homologue égyptien de l’invitation qui lui a été adressée et de l’accueil qui lui a été réservé au Caire. « Je tiens à confirmer que nous avons de très bonnes relations qui ne datent pas d’aujourd’hui », a déclaré le Chef de l’Etat, qui a précisé que sa troisième visite au Caire s’inscrit dans le cadre de renforcement des relations de coopération dans plusieurs domaines entre l’Egypte et la RDC, l’objectif, selon lui, étant d’inviter, d’appeler et d’accueillir davantage d’investisseurs égyptiens en RDC.<br />
Le Chef de l’Etat a enfin invité en RDC le Président Abdel Fattah Al-Sisi et les investisseurs égyptiens concernés par des projets en cours au pays, pour que les relations entre les deux pays puissent être cimentées et consolidées. « J’insiste beaucoup sur les investissements, parce que l’objectif de tout ce que nous faisons c’est le développement de nos pays. Dans ce cadre, l’objectif pour nous est d’inviter et d’accueillir davantage les investisseurs venant d’Egypte en RDC. Je vous invite de visiter la RDC pour que nous puissions cimenter, développer nos relations », a insisté Joseph Kabila.<br />
De son coté, le Président Abdel Fatah Al-Sissi a réitéré le soutien de l’Egypte à la RDC qui fait face à des défis majeurs, notamment la présence de plusieurs groupes armés. L’Egypte va accompagner la RDC à mettre fin à ces groupes armés qui écument ses territoires. « L’Égypte respecte la souveraineté de la RDC et rejette toute ingérence dans ses affaires intérieures. J’ai exprimé au Président Kabila notre conviction qu’il est important de faire avancer la communauté internationale afin de soutenir les efforts visant à vaincre ces groupes, ainsi qu’à mettre en place des mécanismes efficaces pour mettre un terme à l’exploitation illégitime des ressources naturelles de la RDC », a promis le Président égyptien.<br />
La délégation de la RDC était constituée, outre du Président Joseph Kabila, du vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères Léonard She Okitundu, des ministres Wivine Mumba Matipa du Portefeuille, de l’Energie, Anatole Matusila, des Petites et moyennes entreprises Eugene, Serefuli, de l’environnement, Atis Kabongo, de la Santé, Holy Ilunga et de l’Agriculture, Patrick Mayombe, ainsi que du vice-ministre de l’Intérieur Basile Olongo et du DG de l’DEPI, Bruno Kapandji, du Conseiller Principal du Collège Diplomatique, Kikaya Bin Karubi et de l’ambassadeur itinérant, Séraphin Ngwej.

Politique FIN DU SÉJOUR DU CHEF DE L’ÉTAT AU CAIRE

Le Président Joseph Kabila Kabange a quitté Le Caire, capitale de l’Egypte, dimanche, au terme de sa visite officielle de 48 heures. Au...

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]