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Emission le panier : l 'honorable Patrick Muyaya parle de la jeunesse Congolaise . Et Kabila dans tout ça ? (vidéo)

August 24, 2017

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Pour le Katumbiste Evariste Omana, l'UDPS doit respecter les engagements pris avec M. Katumbi (vidéo)

August 24, 2017

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Pour le Katumbiste Evariste Omana, l'UDPS doit respecter les engagements pris avec M. Katumbi (vidéo)

Le général « Tango Four » soupçonné d’exploiter « illégalement » de l’or dans le Nord-Est du pays

August 24, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEETYubOtw9GDIBKuSt2S6VtuT7EcMDfXe_7GGIsIZw09RolU1UkW7YCQfkKUUmzb3jVZxl9fUxXtYhv-jEjOzGA83Kk6HcUnyllnn7mr_Lr8XfFfOAQEF63rLjcgD15xXJQRlC9lGAxwh/s1600/Snapshot_2303.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="410" data-original-width="539" height="303" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEETYubOtw9GDIBKuSt2S6VtuT7EcMDfXe_7GGIsIZw09RolU1UkW7YCQfkKUUmzb3jVZxl9fUxXtYhv-jEjOzGA83Kk6HcUnyllnn7mr_Lr8XfFfOAQEF63rLjcgD15xXJQRlC9lGAxwh/s400/Snapshot_2303.jpeg" width="400" /></a>C’est une nouvelle accusation qui tombe mal, au moment où la RDC tente de redorer son image auprès de la communauté internationale. Selon un rapport des Nations unies rendu public lundi, le commandant de la première zone de défense des FARDC, le général Gabriel Amisi, dit, « Tango Four », serait à la tête des opérations d’extraction de l’or dans le nord-est du pays, « en violation du code minier » du pays. 
 
Des révélations confirmées au Groupe d’études sur le Congo (GEC) par des fonctionnaires de l’État chargés de la fiscalité, des travailleurs miniers, mais aussi des responsables des dragues, selon lesquels, le général disposerait des dragues lui permettant d’extraire de l’or sur la rivière Awimi dans la Tshopo, comme le rapportait Reuters, lundi. 
 
Si elles étaient confirmées, ces informations constitueraient un coup dur pour le pouvoir congolais. Déjà dans le collimateur des États-Unis, qui lui ont infligé des sanctions financières l’année dernière, le général Amisi est un pilier du régime. Sa suspension en 2012, après un rapport de l’ONU l’accusant d’entretenir des milices dans l’Est du pays – rapport contesté par le gouvernement congolais – n’avait duré que deux ans avant de voir le commandant de la force terrestre revenir aux affaires avec à la clé, ses fonctions stratégiques actuelles, le contrôle de la vaste zone militaire incluant la capitale Kinshasa. Poste qui compte énormément dans ce contexte politique tendu que traverse le pays. 
 
cas-info.ca

Politique sécurité Le général « Tango Four » soupçonné d’exploiter « illégalement » de l’or dans le Nord-Est du pays

C’est une nouvelle accusation qui tombe mal, au moment où la RDC tente de redorer son image auprès de la communauté internationale. Selon un...

Félix Tshisekedi sur la VOA : « Il n’y a pas de quartier à faire à Joseph Kabila »

August 24, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEheIEIpzRp1Afw7g5EsAYCxRYoKzmEEykltyHeK_7tT1pGROFW4shAyQ_uFMkjSLYJ41be5ICDc1CIblkQW4822jFGUXZnZzJb99-Pe-MWNxDCajHtQZZwJzzPzGnkQQGcip4QFZ1U4lhkM/s1600/Snapshot_2302.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="406" data-original-width="537" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEheIEIpzRp1Afw7g5EsAYCxRYoKzmEEykltyHeK_7tT1pGROFW4shAyQ_uFMkjSLYJ41be5ICDc1CIblkQW4822jFGUXZnZzJb99-Pe-MWNxDCajHtQZZwJzzPzGnkQQGcip4QFZ1U4lhkM/s400/Snapshot_2302.jpeg" width="400" /></a>Félix Tshisekedi est Washington où il doit avoir plusieurs rencontres. Sollicité par la Voix de l’Amérique, VOA Afrique, le président du Rassemblement est revenu sur la stratégie de sa coalition face au Pouvoir de Joseph Kabila. Alors que la SADC envisage d’envoyer un émissaire à Kinshasa. 
 
Un envoyé spécial de la région, que le Rassemblement est prêt à écouter. Mais, « il n’y a pas de quartier à faire à Joseph Kabila », a prévenu le chef de file de la principale plateforme de l’opposition. Pour Félix Tshisekedi, la cause de la situation que traverse le pays s’appelle Joseph Kabila. 
 
« Il a eu l’occasion d’organiser les élections en 2016 et de partir avec les honneurs, il ne l’a pas fait. Il a eu une petite chance de sauver sa peau grâce à la Cenco, il a gaspillé cette chance. On ne peut pas continuer avec un tel interlocuteur », a fustigé le secrétaire général adjoint de l’UDPS. 
 
Et de poursuivre, en mettent en garde le Pouvoir : « pour nous, la limite c’est le 31 décembre, mais bien avant, nous allons monter en puissance pour qu’avec la pression, après le 31 décembre nous n’ayons plus Joseph Kabila à la tête du pays ». 
 
Du côté du Rassemblement, on exclut, en tout cas, toute idée d’un 3e dialogue pouvant permettre de désamorcer la crise. « Qu’est-ce qu’on va encore se dire de plus », s’est interrogé Félix Tshiskedi, qui promet, s’il n’ y a pas élections, d’aller en résistance « jusqu’à l’alternance » au pouvoir. 
 
cas-info

Politique Félix Tshisekedi sur la VOA : « Il n’y a pas de quartier à faire à Joseph Kabila »

Félix Tshisekedi est Washington où il doit avoir plusieurs rencontres. Sollicité par la Voix de l’Amérique, VOA Afrique, le président du Ras...

Roger Lumbala: "l'opposition est responsable du glissement annoncé en 2017"

August 24, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhCOfiIwh70big2kwMSXzamA9G3WQtCOx1O0pv0twDI-XvpIr8AYinwaXaznH96PPgGGuLrCXU4QHhgCYJ28DW-_Voae_pYqBIruig5GfdfRiDWQFIZqQSVBqcl_DLvb6Ix0lISCbAw7r_k/s1600/Snapshot_2300.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="275" data-original-width="551" height="198" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhCOfiIwh70big2kwMSXzamA9G3WQtCOx1O0pv0twDI-XvpIr8AYinwaXaznH96PPgGGuLrCXU4QHhgCYJ28DW-_Voae_pYqBIruig5GfdfRiDWQFIZqQSVBqcl_DLvb6Ix0lISCbAw7r_k/s400/Snapshot_2300.jpeg" width="400" /></a></div>"Dans un entretien accordé à Habari RDC, la plus importante plateforme de blogueurs Congolais, l’opposant Roger Lumbala est revenu sur la crise actuelle en RDC et ses rouages. À la question de savoir si c’est ne pas grâce à l’opposition au dialogue de la CENCO qui avait proposé son nom parmi 7 autres cas emblématiques pour la décrispation politique en marge dudit dialogue, le président du Rassemblement Congolais pour la Démocratie/National (RCD/N) rétorque: « si les opposants avaient un quelconque pouvoir, ils auraient pu négocier le retour de Moïse Katumbi, leur employeur. » 
 
 
Parlant du fait qu’il n’y aura pas d’élections cette année et que le président Joseph Kabila va se maintenir au pouvoir, Roger Lumbala déclare : « Ce n’est pas Roger Lumbala qui a signé l’accord du 31 décembre ! Il y a des gens qui l’ont fait et ils sont complices de ce qui se passe aujourd’hui. Le fait d’avoir empêché que le peuple agisse le 19 décembre 2016 [en acceptant le dialogue quelques jours plus tôt, ndlr], d’avoir anéanti l’action préparée depuis plusieurs mois par le peuple pour chasser Joseph Kabila à la fin de son dernier mandat. Ils sont responsables. Mais aussi le fait qu’ils aient accepté que Kabila reste le seul au pouvoir et que le gouvernement soit changé, c’était de l’immaturité politique ! Il fallait qu’il glisse avec tout son gouvernement! Nous devrions réfléchir autrement pour avoir l’alternance au pays » a conclu Roger Lumbala Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît,." 
 
POLITICO.CD

Politique Roger Lumbala: "l'opposition est responsable du glissement annoncé en 2017"

"Dans un entretien accordé à Habari RDC, la plus importante plateforme de blogueurs Congolais, l’opposant Roger Lumbala est revenu sur ...

Félix Tshisekedi, Premier Ministre, Kabila Insiste

August 24, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgb-xyUnQ41AN7DZfRTyXBWxUl7M0FdMcOG8pJg9hr6gQYXXzxXlNK97P5iCwNQTNaVtpby7hfmoPK85r4kTZtbtNic4d9-Kpx73lKlrO3oxxI3hs8DU9XlevcfV7xenekz8TgyQ8c9YqUV/s1600/Snapshot_2295.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="412" data-original-width="541" height="303" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgb-xyUnQ41AN7DZfRTyXBWxUl7M0FdMcOG8pJg9hr6gQYXXzxXlNK97P5iCwNQTNaVtpby7hfmoPK85r4kTZtbtNic4d9-Kpx73lKlrO3oxxI3hs8DU9XlevcfV7xenekz8TgyQ8c9YqUV/s400/Snapshot_2295.jpeg" width="400" /></a></div>
«Dans deux mois, Félix Tshisekedi sera nommé Premier ministre en remplacement de Bruno Tshibala. J’ai reçu cette information des sources crédibles». C’est ce qu’écrivait, en début de la semaine passée, Kudura Kasongo, ancien porte-parole de Joseph Kabila, aujourd’hui proche de Vital Kamerhe. Cette affirmation avait été balayée par Augustin Kabuya, porte-parole de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS). Ce dernier demandait à Kudura Kasongo d’apporter des preuves de ses affirmations. 
Le jeudi dernier, le député Jean-Claude Vuemba, membre influent du Rassemblement jetait le pavé dans la marre. Intervenant sur la radio Top Congo, l’élu de Kasangulu affirmait que les contacts existent entre le pouvoir et le Rassemblement, surtout avec son président, Félix Tshisekedi. Cette version a également été soutenue par Steve Mbikayi, ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire au sein du gouvernement Tshibala. 
Qui dit la vérité dans ce dossier ? Je vous laisse découvrir ces révélations faites par le site www.cas-info.ca. Yvon Muya, l’auteur de l’article avoue que « le chef de l’Etat, Joseph Kabila, propose avec insistance la Primature à Félix Tshisekedi ». « Le sujet fait l’objet d’âpres discussions entre les deux parties. D’après notre source, les dernières discussions ont eu lieu juste avant le départ, mardi, en Europe, du président du Rassemblement, entre lui et une délégation conduite par Me Norbert Nkulu », ajoute le site. Découvrez in extenso l’article publié par le site www.cas-info.ca sous la signature d’Yvon Muya. 
 
Thomas NABOR 
 
CONGONOUVEAU 
 
 Félix Tshisekedi, Premier ministre : Joseph Kabila insiste et pourquoi ça coince ? C’est un feuilleton qui se joue en coulisse. En parallèle des déclarations tonitruantes de deux camps dans les médias et sur les réseaux sociaux. Malgré le démenti du chef de file du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement (Rassop) affirmant, mercredi, n’être ni demandeur, ni preneur d’un poste de Premier ministre. Du côté du camp présidentiel, on est bien impatient de le lui confier. Selon nos informations, le chef de l’Etat propose avec insistance la Primature à Félix Tshisekedi. Et le sujet fait l’objet d’âpres discussions entre les deux parties. D’après notre source, les dernières discussions ont eu lieu juste avant le départ, mardi, en Europe, du président du Rassemblement, entre lui et une délégation conduite par Me Norbert Nkulu Kilombo. Des discussions confirmées dans les deux états-majors politiques. Kabila veut une transition longue durée, Félix refuse Après cette énième tentative d’embarquer le fils de l’ancien leader historique de l’opposition congolaise et la résistance opposée par ce dernier, cas-info.ca a pu recueillir les informations sur les points qui bloquent. Selon notre source dans l’entourage du secrétaire général adjoint de l’UDPS, présente lors de la toute dernière réunion, Joseph Kabila tiendrait au schéma d’Ibiza, selon lequel Félix Tshisekedi deviendrait chef du gouvernement pour une longue période de transition. Proposition rejetée par « Fatshi », qui maintient pour sa part son plan d’une courte transition, plutôt, de six mois. Ainsi, sa possible nomination, s’il doit l’accepter, devrait s’inscrire dans le cadre de l’accord de la Saint-Sylvestre. Preuve que les deux négociateurs ont pris la mesure de la situation, le président de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO), Mgr Marcel Utembi était attendu à cette dernière réunion, mais il a dû s’excuser en dernière minute, confie toujours notre interlocuteur. A Bruxelles où il a séjourné avant de rejoindre les Etats-Unis, Félix Tshisekedi devrait se référer à deux groupes : sa famille et l’UDPS dont le rôle pourrait être crucial dans le dénouement, mais aussi, le Rassemblement. Selon nos informations, le Conseil des sages de la principale coalition de l’Opposition devrait se réunir le mardi passé autour de Moïse Katumbi et de Félix Tshisekedi. Sans doute avec un sujet chaud sur la table. cas-info.ca

Politique Félix Tshisekedi, Premier Ministre, Kabila Insiste

«Dans deux mois, Félix Tshisekedi sera nommé Premier ministre en remplacement de Bruno Tshibala. J’ai reçu cette information des sources c...

Séjour de Félix Tshisekedi aux USA, un tête-à-tête prévu avec l’Ambassadrice Nikki Haley

August 24, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMLKgK80_W8gc5-z1XlKrkUnoVg8mAz44TMtAvpz-j1tc_z4jVIIt2DieVcF3TW64MKRxTbuePLNm1UPKmFli1Fg_mgus9qc-UAZJZMzQJsLkJ6yhPgzko1C1f2xgvWh466DbUYfE_Eq1X/s1600/Snapshot_2294.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="397" data-original-width="691" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMLKgK80_W8gc5-z1XlKrkUnoVg8mAz44TMtAvpz-j1tc_z4jVIIt2DieVcF3TW64MKRxTbuePLNm1UPKmFli1Fg_mgus9qc-UAZJZMzQJsLkJ6yhPgzko1C1f2xgvWh466DbUYfE_Eq1X/s400/Snapshot_2294.jpeg" width="400" /></a>Dans sa précédente édition, le très sérieux journal d’investigation C-NEWS avait révélé le déplacement du fils de l’opposant historique Etienne Tshisekedi et Président en exercice du Rassemblement aux USA. Au pays de l’oncle Sam, Félix Tshisekedi sera reçu par des personnalités influentes de l’Administration Trump notamment l’Ambassadrice des USA aux Nations-Unies. 
 
La dur à cuire et femme de fer Nikki Haley, on le sait, s’est formellement opposée au régime du tyran et imposteur Joseph Kabila, fin mandat depuis le 19 décembre 2016. Hormis Nikki Haley, Félix Tshisekedi sera reçu par des congressmen américains désireux de s’imprégner de la crise politique rd-congolaise, orchestrée par Joseph Kabila et ses faucons de la Majorité présidentielle. 
 
C-news 
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Politique Séjour de Félix Tshisekedi aux USA, un tête-à-tête prévu avec l’Ambassadrice Nikki Haley

Dans sa précédente édition, le très sérieux journal d’investigation C-NEWS avait révélé le déplacement du fils de l’opposant historique Etie...

Kalev tient à l’œil Franck Diongo au CMK avec des éléments de la GR et de l’ANR armés jusqu’aux dents

August 24, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNY91TKVWQ8xY1ysoWC6WJUsqnUoZEOE78T8ml735sHFYc0lxWpp7VXi-HNhYhfyS3_3Ub16kZHp2bxDbXnsTw5bgnVEMaUlio1o7z84CbenFtxk45Sz-dnOX3w7w-lGyESq7dTldl5iGC/s1600/Snapshot_2293.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="433" data-original-width="696" height="248" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNY91TKVWQ8xY1ysoWC6WJUsqnUoZEOE78T8ml735sHFYc0lxWpp7VXi-HNhYhfyS3_3Ub16kZHp2bxDbXnsTw5bgnVEMaUlio1o7z84CbenFtxk45Sz-dnOX3w7w-lGyESq7dTldl5iGC/s400/Snapshot_2293.jpeg" width="400" /></a>Le farouche opposant à Joseph Kabila, Franck Diongo, est malmené par le bourreau des opposants rd-congolais et tortionnaire, Kalev. Ce dernier a placé des militaires, agents de l’ANR et quelques éléments de la Police et des FARDC armés jusqu’aux dents aux alentours de l’hôpital CMK où est interné le dur à cuire Franck Diongo dont l’état de santé inquiète. Au CMK et ses alentours tout est passé au peigne fin par les hommes de Kalev qui, de fois, vers les heures tardives inspecte l’endroit, question de s’assurer que tout se passe bien, selon les directives qu’il a reçues de Joseph Kabila, pour sécuriser Franck Diongo, et que Joseph Kabila avait refusé de transférer dans un hôpital pour recevoir des soins. 
 
C’est à la suite des pressions extérieures, notamment de l’ONU, que la Kabilie a accepté de transférer Diongo dans un hôpital pour des soins appropriés. Malgré les humiliations, et dénigrements que la Kabilie a voulu infliger au chairman du MLP, un parti qui a le vent en poupe dans l’opinion grâce à l’intraitable Nico Mayengele dit «Franck Diongo Junior», Secrétaire général du MLP, Diongo garde un moral d’acier au CMK, comme l’ont constaté les reporters de C-NEWS, qui ont infiltré cet hôpital pour récolter des informations sur l’état de santé de Franck Diongo. «Je suis déterminé à mener mon combat même sur un lit d’hôpital, même sur une chaise roulante pour délivrer le peuple rd-congolais de l’imposture de Joseph Kabila dont les jours sont à compter à la tête du pays», a soupiré Diongo sur son lit avant d’être conduit aux urgences.Bien que malmené par Joseph Kabila suite à ses convictions politiques et son combat, Diongo ne lâche pas prise. 
 
Son parti, le MPL-Mouvement progressiste Lumumbiste, ne cesse de faire du boucan quand il le faut.Le samedi 19 août 2017 au siège de cette formation politique de l’opposition membre du Rassemblement située sur Enseignement, via une matinée politique, le MLP par l’entremise de son très dynamique secrétaire général, Nico Mayengele, a célébré deux activités marquant le huitième mois d’arrestation arbitraire de Franck Diongo, leader du MLP et le seizième anniversaire de la création de ce parti. Mayengele a, pour la circonstance, lu le message de Franck Diongo aux militants et cadres de ce parti, appelant à la résistance pour chasser l’illégal et l’illégitime Président Joseph Kabila. Invité à la manif, le très pondéré et modéré, Martin Fayulu a abondé sur le même sens que Nico Mayengele, en conviant les militants et les rd-Congolais à la résistance pour l’avènement de l’alternance d’ici fin décembre 2017. 
 
c-news

Politique Kalev tient à l’œil Franck Diongo au CMK avec des éléments de la GR et de l’ANR armés jusqu’aux dents

Le farouche opposant à Joseph Kabila, Franck Diongo, est malmené par le bourreau des opposants rd-congolais et tortionnaire, Kalev. Ce derni...

Plainte de Luzolo : Ça chauffe au Parquet Général, Abdallah Bilenge, ADG de la RVA est passé à la barre pendant quatre heures du temps

August 24, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfOxZCVvAkkQL4EKfdbQ3oJ8c4dR5cq7D0BPRVsgpvzRhs5fU9pGh3unH4yTFavFUVmz6OcUw6Ogvzw3KVnXJOhLL2bic60_mgYDFZyTl7_OsWKpHpvSVrIVR2SRxeNjwiNFwPdcxiZm_C/s1600/Snapshot_2292.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="296" data-original-width="518" height="227" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfOxZCVvAkkQL4EKfdbQ3oJ8c4dR5cq7D0BPRVsgpvzRhs5fU9pGh3unH4yTFavFUVmz6OcUw6Ogvzw3KVnXJOhLL2bic60_mgYDFZyTl7_OsWKpHpvSVrIVR2SRxeNjwiNFwPdcxiZm_C/s400/Snapshot_2292.jpeg" width="400" /></a></div>
Ça bouge au Parquet Général de la République avec la Plainte de Luzolo Bambi Lesa, le Spécial de Joseph Kabila contre la fraude, corruption et détournement. Des mandataires des Entreprises citées défilent pour comparaître afin de se justifier des accusations faites par Luzolo Bambi dans sa Plainte. Laquelle plainte accuse des Entreprises et mandataires d’avoir détourné les recettes de l’Etat, parmi lesquels l’ADG de la RVA, Abdallah Bilenge. Dans le rapport remis au PGR, Luzolo attribue à Abdallah Bilenge et à son staff d’avoir pris un crédit de 38 millions de Usd remboursable dans une durée de deux années pour les finissages des travaux à l’aéro Ndjili. 
 
Ne sachant pas rembourser les crédits, Bilenge a attribué à la RAWBANK le marché de la récolte des taxes IDF, laquelle taxe génère par an 19 millions de dollars. Ce mariage a été scellé en 2014 entre la RVA et la RAWBANK. Et voilà plus de trois années, la RAWBANK continue à récolter illégalement la taxe IDF.Car, en trois années la Banque RAWBANK devrait déjà apuré sa créance avec la RVA à la suite de la somme que génère la taxe IDF, lit-on dans la Plainte de Luzolo. D’où pour Luzolo,la RVA et la RAWBANK devraient se justifier sur ce contrat qu’il qualifie d’opaque générant un manque à gagner au trésor public. 
 
Devant le magistrat «OS», dit la dame de fer du Parquet Général de la République, très réputé pour son sérieux dans le travail, Bilenge a tenté vainement d’apporter ses moyens de défense. En bref, pendant son audition qui a duré plus de quatre heures du temps, Bilenge a rejeté la Plainte de Luzolo, arguant que la missive de Luzolo l’accusant est vide. Celle-ci, à en croire Bilenge, ne contient pas certains éléments du contrat liant la RVA avec la RAWBANK. Comme pour dire que la Plainte de Luzolo est biaisée. 
 
Pendant l’instruction, Bilenge aurait même refusé à Luzolo certains éléments du dossier du contrat liant la RVA avec la RAWBANK en prétextant que Luzolo n’est pas magistrat et n’a pas qualité. D’après un juge qui a requis l’anonymat, Bilenge n’était pas à son grand jour. L’ADG de la RVA s’était affiché timide et tremblotant, comme s’il se reprochait quelque chose devant le magistrat «OS». Bilenge n’a pas comparu seul, le lundi. La RAWBANK via son conseil, le Directeur financier de la RVA Sabiti, et un imprimeur des «Go pass» ont été auditionnés par le magistrat «OS» qui, depuis que le dossier Luzolo lui est parvenu, s’est activée à auditionner les mandataires et Entreprises cités par Luzolo. Bilenge risque gros dans ce dossier, car celui-ci est traité par une dame de fer «OS» qui n’a jamais reculé face à des injustices, détournements et vols. A Bilenge de batailler dur comme un diable pris dans un filet ; au cas contraire, il y laissera sa peau. 
c-news

Politique Plainte de Luzolo : Ça chauffe au Parquet Général, Abdallah Bilenge, ADG de la RVA est passé à la barre pendant quatre heures du temps

Ça bouge au Parquet Général de la République avec la Plainte de Luzolo Bambi Lesa, le Spécial de Joseph Kabila contre la fraude, corruptio...

ENRICHISSEMENT ILLICITE: UNE CONTRE-ENQUÊTE BLANCHIT KABILA

August 24, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEil_CGbgjmc8ISAWTsRGlNt3t7clZ7U6AZcXOKKoWhyphenhyphenLQWl1qKBwxK_byfTBalikIUqU0oKHtV8O4NN2oDxwYnfckGHGBbz50XRDrGW378Ed-o9czd6I5flc3-leSWAa2s9ubl0a3qJQPb8/s1600/Snapshot_2288.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="410" data-original-width="539" height="303" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEil_CGbgjmc8ISAWTsRGlNt3t7clZ7U6AZcXOKKoWhyphenhyphenLQWl1qKBwxK_byfTBalikIUqU0oKHtV8O4NN2oDxwYnfckGHGBbz50XRDrGW378Ed-o9czd6I5flc3-leSWAa2s9ubl0a3qJQPb8/s400/Snapshot_2288.jpeg" width="400" /></a>«Les allégations sur l’enrichissement de la famille présidentielle sont mensongères. Elles ont été publiées dans l’unique but de nuire à la réputation du Président de la République et de sa famille afin de les fragiliser politiquement», tranche, sans appel, une contre-enquête orchestrée par Barbara Nzimbi 
 
Il y a un mois, les révélations d’une enquête, accusant le Président de la République, Joseph Kabila, et sa famille d’être propriétaires de plus de 80 entreprises œuvrant dans tous les secteurs de la vie économique, ont fait jaser. Voilà qu’une contre-enquête, menée par des professionnels des médias RD-congolais, blanchit Kabila et dit de la première enquête de vouloir porter atteinte à la réputation du Président de la République ainsi que de sa famille. «Sur la centaine d’entreprises prétendument attribuées au Président de la République et à son entourage, seules deux leur appartiennent. Il s’agit d’un hôtel dans la ville côtière de Moanda, propriété du député Zoé, et de Wantashi en Tanzanie, une boîte de nuit appartenant à la sœur du Président», fait savoir la contre-enquête. 
 
Un mois s’est écoulé depuis la publication d’une enquête accusant le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, et son entourage d’enrichissement illicite. Selon cette enquête, fruit de l’agence Bloomberg, 13 membres de la famille présidentielle sont à la tête ou ont des parts dans au moins 80 entreprises. Celles-ci, selon le Groupe d’étude sur le Congo, sont dans presque tous les secteurs de l’économie RD-congolaise. Cela représente des centaines de millions de dollars de revenus depuis 2003 et des dizaines de millions en biens matériels. 
 
Cette enquête a fait tache d’huile. La réputation du Président de la République et de sa famille a été mise en jeu. Pas question pour certains professionnels des médias RD-congolais de voir leur Président emporter par une enquête diligentée par la presse étrangère. Ils ont initié une contre-enquête qui, noir sur blanc, dément toutes les allégations de l’agence Bloomberg. Les résultats de cette contre-enquête conduite de Barbara Nzimbi, sont surprennent: sur la centaine d’entreprises prétendument attribuées au Président de la République et à son entourage, seules deux leur appartiennent. Il s’agit d’un hôtel dans la ville côtière de Moanda, propriété du député Zoé, et de Wantashi en Tanzanie, une boîte de nuit appartenant à la sœur du Président. Une conclusion qui blanchit complètement le Chef de l’Etat, selon l’enquête, inutilement trempé dans une affaire dont la finalité n’était que de nuire à sa réputation. «Les allégations sur l’enrichissement de la famille présidentielle sont mensongères. Elles ont été publiées dans l’unique but de nuire à la réputation du Président de la République et de sa famille afin de les fragiliser politiquement», tranche cette contre-enquête. Et d’accuser: «ces fausses allégations sont le fait de certains membres de la Communauté internationale qui abhorre la souveraineté de la RD-Congo sur ses richesses naturelles. Eux qui souhaitent faire main basse sur les ressources naturelles de la RD-Congo». 
 
A en croire Barbara Nzimbi, la méthode utilisée pour jeter en pâture la dignité du Président Kabila n’est pas différente de celle employée par les mêmes impérialistes pour déstabiliser le feu Président Mobutu. 
 
«Par médias interposés, le Président Mobutu avait été présenté comme étant à la tête d’une fortune colossale évaluée en dizaines de milliards de dollars américains. A sa mort, la vérité éclata. Sa fortune avait été gonflée superficiellement pour l’opposer à l’opinion nationale et internationale. Mobutu n’était que la victime d’une machination de ses anciens alliés», dénonce cette contre-enquête. Et d’enchainer: «les comploteurs contre la souveraineté de la RD-Congo ont recouru à la même recette pour déstabiliser le Président Kabila dont le nationalisme et le patriotisme ne sont plus à démontrer». Après avoir abouti à ces résultats, Barbara Nzimbi, convaincu que les médias internationaux et nationaux ont diffusé des informations truffées des contrevérités dans l’unique but de nuire à la réputation du Président de la République et de sa famille, a appelé la presse à bannir, dans ses pratiques, des campagnes d’intoxication financées dans un but inavoué. 
 
Tino MABADA

Politique ENRICHISSEMENT ILLICITE: UNE CONTRE-ENQUÊTE BLANCHIT KABILA

«Les allégations sur l’enrichissement de la famille présidentielle sont mensongères. Elles ont été publiées dans l’unique but de nuire à la ...

Félix Tshisekedi Peut-Il Résister À La Tentation ?

August 24, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgcckF_VvvzJ-7PKDVgvQinNhCco-YLaIwUqn_1q2mejn08v_WUpHCGWABj5TrTmn2r3TVdhDCROxi7fAJzk73Y1UawenClraRDolRAobjP6G47r58kFSlQz4CmJfeaGiFlAYRY1vZYsO-a/s1600/Snapshot_2285.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="408" data-original-width="539" height="302" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgcckF_VvvzJ-7PKDVgvQinNhCco-YLaIwUqn_1q2mejn08v_WUpHCGWABj5TrTmn2r3TVdhDCROxi7fAJzk73Y1UawenClraRDolRAobjP6G47r58kFSlQz4CmJfeaGiFlAYRY1vZYsO-a/s400/Snapshot_2285.jpeg" width="400" /></a>De plus en plus cité pour succéder à Bruno Tshibala dans l’hypothèse où les élections ne pourront s’organiser cette année, le président du Rassemblement des forces politiques et sociales sera, peut-être, face à un test politique grandeur nature dans les mois qui suivent. 
 
Kudura Kasongo, président de FIS, parti d’opposition proche de Vital Kamerhe, a secoué les cocotiers mardi en révélant, citant des « sources sures », dans son tweet que Félix Tshisekedi sera nommé Premier ministre dans deux mois pour une transition de deux ans. Des réactions qui en ont suivi ont poussé le concerné à réagir, toujours par un tweet. 
« Je veux que ce soit clair: je ne suis ni demandeur, ni preneur d’un poste de Premier ministre. La Kabilie qui est à l’agonie doit se sauver seule », a précisé le président du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement. Et d’enchaîner : « 80 % des Congolais surtout de la diaspora auront tort de ne pas me croire. Qui vivra verra ». Entre les lignes, le fils Tshisekedi se veut catégorique : pas question donc pour lui de pactiser avec le régime actuel dans un gouvernement de coalition. Le défi est lancé. Mais la tentation est bien là. Fatshi pourra-t-il résister ? Un test grandeur nature l’attend. 
Tout ce que l’opinion sait est que l’homme a déjà proposé une transition de six mois. Mais sans Kabila. Ce qui suppose qu’il ne bouderait pas l’offre d’entrer dans le gouvernement, à condition que Joseph Kabila ne soit plus président de la République. « Pourquoi pas aussi faire l’inverse. C’est-à-dire, Kabila prend la Primature, Félix Tshisekedi la présidence », insinuait à Top Congo, Augustin Kabuya, porte-parole de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS). 
Mais ce schéma parait irréaliste, car à part Kabila à qui l’Accord du 31 décembre avait admis de « rester au pouvoir jusqu’à l’élection de son successeur », personne d’autre ne peut prétendre occuper la présidence de la République sans violer la Constitution. Hormis, peut-être, le président du Sénat au nom de l’incise constitutionnelle « toute autre empêchement définitif » du président de la République. 
Mais l’on voit mal le Rassemblement batailler pour défénestrer Kabila et laisser Kengo devenir chef de l’Etat, transitoire serait-il. 
Au cas où le départ de Kabila s’avérerait effectivement impossible, faute de son remplaçant, Félix Tshisekedi, pour rester logique avec lui-même, serait obligé de décliner l’offre de la Primature. Les vivants verront si le fils ressemble réellement à son père. Ou à lui-même. 
 
CN

Politique Félix Tshisekedi Peut-Il Résister À La Tentation ?

De plus en plus cité pour succéder à Bruno Tshibala dans l’hypothèse où les élections ne pourront s’organiser cette année, le président du R...

Chikito intégrerait Wenge Musica Maison Mère

August 24, 2017

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La nouvelle se reprend comme une trainée de poudre depuis le mois dernier. L’ancien musicien de Jet Set, Chikito aurait soumis sa demande d’intégration, depuis fin juillet 2017, auprès du groupe Wenge Musica Maison Mère de Werrason. L’artiste aurait fait l’annonce lui-même. Mais du côté de la Zamba Playa –lieu de répétition du groupe, aucun de Wenge Musica Maison Mère n’a jusqu’ici confirmé cette demande d’intégration. 
 
 
 
Et l’artiste Chikito n’a toujours pas pointé son nez aux séances de répétition de cet orchestre cher Noël Ngiama Makanda Werrason. Certaines gorges profondes affirment même le chanteur serait déclaré persona non grata par le public très exigeant de la Zamba Playa. Est-ce pour sanctionner ce jeu de ping-pong (Maison Mère-Jet 7) ? L’on se souvient aussi de cette forme de va-et-vient qu’a effectué l’animateur de Jet Set, aujourd’hui, Bercy Mwana après son départ du groupe de Ferré Gola. 
 
 
 
Ce virevoltant animateur avait fait un grand bruit lors de son test à la Zamba Playa. Avec son cri d’animation « Tempo » qui avait mis, un moment, tout Kinshasa à ses pieds. Cela, au point de battre en retraite l’animateur principal du groupe, l’honorable Lobeso, Bercy, n’a cependant, pas fait long feu avec Werrason. Mais pourquoi ? A en croire, certains chroniqueurs de musique en Rd-Congo, la remontada de Lobeso n’aurait laissé aucune chance à Bercy de pouvoir résister. Ce dernier, qui voulait être l’épicentre de l’animation du groupe s’est fait remonter les bretelles par celui qu’on surnomme « le tigre ». Cela, avec des cris d’animation qui ont quadrillé Kinshasa et l’intérieur du pays, notamment le très célèbre « Kata Mfumbwa » devenu la danse fétiche de l’international congolais, Firmin Mubele, aujourd’hui, sociétaire du Stade Rennais, en Ligue I française. Une révision de copie de Lobeso qui aurait beaucoup joué dans le départ de Bercy Mwana pour finalement réintégrer sa Jet Set qu’il avait quittée avant. 
 
 
 
Si du côté de Maison Mère, l’intégration du chanteur Chikito arrive à se concrétiser, ce mouvement serait là à son septième recrutement pioché essentiellement dans la Jet Set de Ferré Gola. Il s’agit principalement des chanteurs -Nicodème, Djeny, Rhizé (ils prestent toujours dans Maison Mère), R-Kelly (aujourd’hui, dans la Team Wata chez Héritier) et des animateurs Bercy (retourné dans Jet 7) et Golberg, actuellement, dans Maison Mère. 
 
DIDO NSAPU MMC (CONGO NOUVEAU)

Musique Chikito intégrerait Wenge Musica Maison Mère

Le jeu de ping-pong en termes de recrutement entre Jet Set et Wenge Musica Maison Mère pourrait bien continuer. Après le départ de Bercy Mw...

Reportage: Eliezer répond à ses détracteurs:je ne suis ni Katumbiste ni Sindikaiste ni Fatshisiste (VIDEO)

August 24, 2017

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RDC-Justine Kasa-Vubu: Qui es collabo?Ne Muanda N'Semi ou les Cachottiers D'Ibiza? Hypocrisies SADC (VIDEO)

August 24, 2017

infos en vidéos Politique RDC-Justine Kasa-Vubu: Qui es collabo?Ne Muanda N'Semi ou les Cachottiers D'Ibiza? Hypocrisies SADC (VIDEO)

RDC-Justine Kasa-Vubu: Qui es collabo?Ne Muanda N'Semi ou les Cachottiers D'Ibiza? Hypocrisies SADC (VIDEO)

Clôture des opérations d'enrôlement à Kinshasa ce 26 août

August 24, 2017

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 Joseph Olenghankoy et Corneille Nangaa se sont entretenus hier dans la capitale congolaise en marge de l’évaluation du processus électoral en République démocratique du Congo. Au terme de cette visite, le président de la CENI a affirmé que la clôture des opérations d’identification et d’enregistrement des électeurs à Kinshasa interviendra le samedi 26 août prochain. «Les centres seront fermes séquentiellement, au fur et à mesure, tel que nous avons commencé. Nous nous attendons à ce que ceux qui n’ont pas encore eu leurs cartes se mobilisent parce que nous nous conduisons lentement et sûrement vers la clôture de cette opération », dit-il. La capitale congolaise a depassé la barre de 4 millions d’électeurs comme prevu par la CENI, après près de trois mois d’actualisation du fichier électoral.

la Nation Clôture des opérations d'enrôlement à Kinshasa ce 26 août

Joseph Olenghankoy et Corneille Nangaa se sont entretenus hier dans la capitale congolaise en marge de l’évaluation du processus élect...

Haut-Katanga: Les candidats gouverneurs ont présenté aux députés provinciaux leur programme de développement

August 24, 2017

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 Les deux candidats à l’élection de gouverneur dans le Haut-Katanga ont présenté mercredi 23 août 2017 leur programme de développement devant les députés provinciaux dans la salle des plénière au bâtiment du 30 juin. Ceci rentre dans le cadre de la campagne électorale lancée mardi dernier. Célestin Pande Kapopo, candidat de la Majorité présidentielle entend relever les défis sécuritaire et politique dans le Haut Katanga. « Ma candidature est motivée par de raisons majeures. J’entends promouvoir la bonne Gouvernance et consolider la paix sur toute l’étendue du Haut Katanga”, a déclaré Célestin Pande, gouverneur intérimaire du Haut-Katanga, qui veut également “promouvoir la capacité d’écoute de la population”. Pour sa part, Lukona Mwila, candidat indépendant et avocat de profession mise sur “la parité salariale et s’engage à redresser l’économie de la province” . Au total, 30 députés provinciaux vont élire samedi 26 août prochain le nouveau gouverneur du Haut-Katanga en remplacement de Jean Claude Kazembe. La campagne électorale se clôture ce jeudi 24 août dans la soirée.

Politique Province Haut-Katanga: Les candidats gouverneurs ont présenté aux députés provinciaux leur programme de développement

Les deux candidats à l’élection de gouverneur dans le Haut-Katanga ont présenté mercredi 23 août 2017 leur programme de développement ...

RDC : Près de 5 000 enfants courent le risque d’être recrutés par des milices dans l’espace Kasaïen

August 24, 2017

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 La Monusco s’alarme sur les cas d’environ 5 000 enfants, séparés de leurs familles, qui courent le risque d’être recrutés par des milices et d’être victimes de violences ou d’abus dans l’espace Kasaïen. La mission onusienne rapporte également de nouvelles vagues de recrutement d’enfants par la milice Kamwina Nsapu « dans certains groupements des environs de Kananga et Tshimbulu ». « Il y a des raisons de penser que ces nouveaux recrutements font suite à la réunion de plusieurs leaders du groupe insurrectionnel, tenue le 5 août 2017 à Sabanga, 55 km au nord de Tshimbulu, territoire de Dibaya, Kasaï Central. La Section Protection de l’enfant s’emploie à faire la vérification de ces assertions», précise la Monusco au cours de sa conférence de presse de ce mercredi 23 août 2017. La même source signale qu’au moins 100 enfants ont été tués de janvier à mars 2017 et plus de 500 utilisés comme combattants ou boucliers humains par des milices. Dans le Kasaï Central, la section Protection de l’enfant de la Monusco dit également avoir eu connaissance de violences survenues dans le courant de mai à juin 2017, causant la mort de plusieurs enfants associés à la milice Kamwina Nsapu. La crise sécuritaire et humanitaire dans cette partie de la RDC a fait déplacer au moins 1,4 million personnes dont 850 000 enfants, rapportent des sources onusiennes.

la Nation Province RDC : Près de 5 000 enfants courent le risque d’être recrutés par des milices dans l’espace Kasaïen

La Monusco s’alarme sur les cas d’environ 5 000 enfants, séparés de leurs familles, qui courent le risque d’être recrutés par des mili...

Masisi : « Un enfant de 4 ans raconte à sa grande sœur que leur frère a été tué, qu’il est mort parce qu’on a tiré sur lui » -Témoignage

August 24, 2017

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 En 2007 MSF soignait notamment des blessés par balle à Masisi. 10 ans après, MSF soigne encore des blessés par balle. Les besoins humanitaires qui ont poussé MSF à ouvrir son projet demeurent encore d’actualité. Témoignage. B.M (nom d’emprunt) a accompagné ses deux enfants de 4 et 2 ans et demi aux urgences de l’Hôpital Général de Référence de Masisi vers la fin du mois de juin 2017. Ils avaient été blessés par balles. Le plus grand a été touché au dos et le plus petit, près du cou. Après deux jours passés à l’Hôpital avec ses enfants, BM se ressasse sans arrêt l’épisode tragique qui l’a amené à l’hôpital soutenu par MSF. Nous habitons un village du territoire de Walikale. C’était la nuit, j’ai vu des hommes armés dans ma maison. Je ne sais pas comment ils sont entrés. Je me souviens juste de les avoir vus à l’intérieur. Dès que je les ai vus, j’ai pris mes deux enfants dans mes bras, mon bébé et son grand frère de deux ans et demi puis j’ai cherché à nous abriter sous le lit. Mon autre fils de 8 ans voulait faire la même chose, mais ces hommes ont tiré sur lui. La balle a atteint sa poitrine et il est tombé à côté du lit. Après, ils ont encore tiré en direction du lit où nous nous cachions. Les balles ont blessé mes deux autres enfants, celui de deux ans et demi et son frère de 4 ans. J’ai crié « vous êtes en train de me tuer moi et tous mes enfants », ils ont répondu « vous n’avez qu’à mourir ! ». J’ai continué à crier. Pendant que certains tiraient, d’autres fouillaient ma maison à la recherche d’argent ou d’autres objets de valeur. Entre temps, mon mari lui, avait réussi à fuir hors de la maison. Après, je les ai entendus sortir. Ensuite, j’ai entendu des voix m’invitant à me rendre dehors parce qu’il n’y avait plus de tirs. J’avais peur et je me demandais si c’était encore ces bandits qui me mentaient pour me pousser à sortir ou si c’était des voisins, des personnes de bonne volonté. Dans le doute, je suis restée encore quelques temps sous le lit. Je suis sortie qu’après avoir vu des voisins entrer dans ma maison pour nous venir en aide. Ils m’ont aidée à transporter mes enfants blessés dans un Centre de Santé. Il faisait encore nuit et nous avons marché pendant environ une heure avant d’atteindre ce centre. Là, ils ont commencé à donner les premiers soins aux enfants. Mais ils ont commencé à demander de l’argent. Je n’étais pas en mesure de payer ce qu’ils me demandaient, j’ai donc décidé d’aller au Centre de Santé de Maya, l’endroit où l’ambulance de MSF arrive. Avant de partir pour Maya, je suis retournée à la maison pour les funérailles de mon fils tué. Nous l’avons enterré et j’ai pris le chemin pour Maya avec mes deux enfants blessés. Nous avons marché de 16 heures à 4 heures du matin le jour suivant. Ensuite, l’ambulance de MSF est venue nous chercher pour nous amener à l’Hôpital Général de Référence de Masisi. Mes enfants ont été pris en charge ici à l’HGR. Ils vont un peu mieux maintenant. J’espère qu’ils vont arriver à oublier cet épisode tragique. Jusqu’à maintenant, ils n’en parlent pas. Celui de 4 ans, vient de raconter à sa grande sœur – qui n’habitait pas avec nous et qui vient de nous rejoindre ici à l’hôpital- que leur frère a été tué, qu’il est mort parce qu’on a tiré sur lui. Dès qu’ils iront mieux, je vais rentrer avec eux dans mon village natal à Maya. Je ne vais plus retourner à Walikale car c’est le travail de mon mari qui nous avait amenés à nous installer là-bas. Maintenant je n’ai absolument plus envie d’y retourner. Pour le contexte, le projet MSF dans le territoire de Masisi prévoit l’appui à l’Hôpital Général de Référence et au Centre de Santé de Masisi ainsi qu’au Centre de Santé de Référence de Nyabiondo. Dans ces structures, les équipes MSF assurent des services de soins de santé gratuits : chirurgie, médecine interne, gynécologie, maternité, pédiatrie, néonatologie, traitement du choléra, programme nutritionnel et service des urgences avec ambulance. En dehors de l’hôpital et des centres de santé, MSF organise des cliniques mobiles pour assurer une assistance rapide et flexible aux populations habitant des zones très éloignées des structures sanitaires ainsi que le traitement du paludisme. MSF intervient également dans différents centres de santé pour soigner et assister les victimes de violence sexuelle.

Masisi : « Un enfant de 4 ans raconte à sa grande sœur que leur frère a été tué, qu’il est mort parce qu’on a tiré sur lui » -Témoignage

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En 2007 MSF soignait notamment des blessés par balle à Masisi. 10 ans après, MSF soigne encore des blessés par balle. Les besoins hu...

Election du gouverneur: La MP en soutien à son candidat dans le Kwilu

August 24, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipuO_W0GGnT_4LKoE7E8UZmRgn3yp-Atuv9eawcwmRjymzsZeab69WZMEZmxibtPmcPLPEAIBsXYeTM6U_IWNgza8YwHywvIpv1_d_y6fwE1cL6nYxHEscRh4X97S-5k7AHMJSNaLnYto/s1600/Snapshot_1859.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="429" data-original-width="955" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipuO_W0GGnT_4LKoE7E8UZmRgn3yp-Atuv9eawcwmRjymzsZeab69WZMEZmxibtPmcPLPEAIBsXYeTM6U_IWNgza8YwHywvIpv1_d_y6fwE1cL6nYxHEscRh4X97S-5k7AHMJSNaLnYto/s400/Snapshot_1859.jpg" width="400" /></a></div>
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 La secrétaire exécutive adjointe du Parti du Peuple pour la Reconstruction et Développement (PPRD), Micheline Kulumba est arrivé mercredi 23 août 2017 à Kwilu pour “soutenir le candidat ayant le ticket de la majorité” à l’élection du gouverneur de la province de Kwango. «Je suis venue à Bandundu en tant que député provinciale participer au vote et aussi, en tant que cadre du PPRD, soutenir notre ticket qui doit absolument gagner. Il est vrai que La population à voulu le changement et bien, nous allons changer le dirigeant”, a déclaré à la presse; la député provinciale Micheline Kulumba. Haut cadre du parti présidentiel, Mme Kulumba affirme cependant, le changement à la tête de l’exécutif provincial ne signifie pas forcément la “reconduction” du gouverneur sortant. “Le changement ne veut pas dire, reconduire. Il n’en est pas question de reconduire celui qui a déjà géré comme gouverneur. Le vice Gouverneur est déjà là, nous n’allons voter que pour lui donner un titulaire», a-t-elle ajouté. Dans son périple, cette deuxième personnalité du PPRD est accompagnée de certaines personnalités de la Majorité présidentielle. Deux candidats sont en course pour diriger la province de Kwango, Michel BalaBala et contre Floribert Lomboto.

la Nation Politique Election du gouverneur: La MP en soutien à son candidat dans le Kwilu

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Steve Mbikayi : ‘’On ne peut pas radicaliser la grève pendant que nous sommes en négociation ‘’

August 24, 2017

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De loin où il se trouve, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Steve Mbikayi, suit de près la situation de son pays, la République Démocratique du Congo, plus particulièrement en ce qui concerne la grève des Professeurs d’universités. Invité du journal sur les antennes de Top Congo, Steve Mbikayi a invité les professeurs à mettre un peu d’eau dans leur vin. A en croire ses propos, en matière des grèves, on ne monte pas les enchères, surtout quand vous êtes en négociation avec l’employeur. 
 
C’était hier, mercredi 23 août 2017 à 13 heures, que le Ministre de l’Enseignement Supérieur Congolais, Steve Mbikayi, a répondu à toutes les questions relatives à la grève de Professeurs des établissements de l’ESU. 
 
Ancien Syndicaliste, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire appelle, par la même occasion, les professeurs à ne pas supprimer le service minimum car, les étudiants doivent être délibérés surtout que chacun a déjà payé la totalité des frais académiques. Toujours sur les antennes de la Radio Top Congo, Steve Mbikayi demande aux profs de faire preuve de patience. D’autant plus que le pays éprouve beaucoup des difficultés. Il promet de tout mettre en œuvre pour voir dans quelle mesure trouver des solutions à ce problème, du moins en ce qui le concerne, dès son retour dans la Capitale. Pour rappel, le Ministre de l’ESU qui avait vu cette grève venir, avait dans sa politique d’anticipation, invité toutes les associations des Professeurs à son cabinet de travail pour échanger autour des différentes revendications. 24 heures juste après cette réunion, Steve Mbikayi, faisant preuve de pragmatisme, avait accompagné cette équipe des professeurs auprès de son collègue du Budget, Pierre Kangudia pour échanger autour de la question relative à l’adaptation de salaire au taux fixé par l’autorité budgétaire qui est l’assemblée nationale. Dès lors qu’il y avait déjà une volonté de régler cette situation à l’amiable, les professeurs ne pourraient donc pas monter les enchères et radicaliser la grève. Dossier à suivre.

Education Steve Mbikayi : ‘’On ne peut pas radicaliser la grève pendant que nous sommes en négociation ‘’

De loin où il se trouve, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Steve Mbikayi, suit de près la situation de son pays,...

Justine Kasa-Vubu: Qui es collabo?Ne Muanda N'Semi ou les Cachottiers D'Ibiza? Hypocrisies SADC(vidéo)

August 24, 2017

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Jusqu’où irait Sindika Dokolo ? RDC : l’ombre de Soros signalée !

August 24, 2017

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*‘’Ayant échoué dans cette tentative, ceux qui cherchent à balkaniser le pays ont modifié leur démarche depuis quelque temps. Il ne s’agit plus seulement de financer des guerres, mais de joindre à cette violence, des moyens apparemment plus acceptables. De plus en plus, le nom d’un homme est cité pour expliquer le drame congolais. L’américain SOROS apparaît comme le cerveau moteur de cette entreprise destinée à effacer la grande République Démocratique du Congo de la carte du monde et au cœur de l’Afrique’’, soutient un analyste pro-Majorité qui, à sa manière, fait une autre lecture de l’action de Sindika Dokolo, initiateur du tout nouveau Groupe Politique : «Debout Congolais ». L’analyste, dans une nouvelle tribune, explique la genèse, décortique les méandres et visualise les stratégies des réseaux Soros pour tenter, cette fois-ci, de nuire à la stabilité institutionnelle et de tout chambouler en RD. Congo. Il craint qu’au bout d’une telle entreprise somme toute dangereuse, que le pays n’en arrive à être taillé en mille pièces d’un puzzle qui, en réalité, révèle bien l’existence d’une véritable stratégie de fragilisation et de balkanisation. Il y a lieu de découvrir, ci-dessous, la trame cachée de cette nouvelle réflexion aux allures d’un florilège de révélations. 
 
Soros à la manœuvre pour dépecer la RDC 
Les Congolais ont appris, le 18 août 2017, l’apparition d’un nouveau groupe politique. Celui-ci s’est identifié : « Debout Congolais » ; l’organisation née à Paris prétend conscientiser les masses congolaises afin qu’elles se lèvent et marchent. 
 
Pas besoin de longues études pour comprendre qu’il s’agit d’une pâle copie de la démarche qui a été celle de l’actuel Président français. Suffira-t-il d’un copier-coller pour réussir ? 
 
Il s’agit d’une énième initiative de ceux qui estiment que c’est depuis l’Occident, avec des schémas de ce monde-là et des capitaux de la même origine, qu’ils vont développer la RDC. A la tête de cette initiative apparaît M. Sindika Dokolo. 
 
Personne ne reconnaît une quelconque expérience politique à l’ex-époux d’Isabel Dos Santos. Jusqu’ici, Sindika ne peut se vanter que d’être le fils d’un commerçant de Kinshasa. Dokolo père avait considérablement bénéficié des largesses du Maréchal Mobutu avant d’amener à la faillite, la banque qu’il avait créée avec l’argent de l’Etat. Son second «exploit » est d’avoir pu rencontrer et épouser la fille du Président Angolais. 
 
Sindika Dokolo, qui se fait passer pour un milliardaire, fréquente assidûment les réseaux sociaux. Les habitués du web l’ont vu notamment, sur une photo avec Moïse Katumbi et José Endundo. Jusqu’aujourd’hui, beaucoup de Congolais s’interrogent sur le symbolisme que voulait afficher cette image, dans laquelle on voyait un trio de métis revendiquer la direction de l’Etat congolais. L’impérialisme se fourvoie s’il pense mieux se servir de la RDC à travers un nouveau type de domination raciste. Qui peut croire, en effet, que ce choix est le fait du hasard ? 
 
Certainement coaché par les puissances de l’argent qui veulent contrôler la RDC, Sindika n’a pas rejoint le G7. Ses conseillers ont certainement dû lui faire remarquer qu’il n’irait pas loin aux côtés de ce groupe en perte de vitesse et qui, après avoir pillé la RD Congo, cherche maintenant à se faire blanchir par un exil volontaire. 
 
Avec l’aide de ses mentors, Sindika a lancé le 18 août 2017, son organisation, le même jour où il a réuni dans un hôtel de Paris, un groupe des potentiels terroristes congolais pour leur assurer qu’il dispose de moyens pour attaquer Kinshasa et s’imposer au pouvoir. 
 
Les événements qui se passent à propos et en RDC, mis ensemble comme des pièces d’un puzzle, révèlent l’existence d’une véritable stratégie de déstabilisation. En effet, notre pays fait véritablement l’objet d’un acharnement particulier. Dans le cadre du «Congo Batching», le slogan « le Congo est trop grand pour être gouverné par les Congolais », a repris surface. 
 
Le naïf politique voit dans la succession des événements, une volonté d’amener la RDC à une alternance politique. L’analyste perspicace perçoit dans ces manœuvres, l’exécution d’un complot qui se déroule en plusieurs phases successives et coordonnées, non seulement au détriment de l’Autorité de Kinshasa, mais principalement, contre l’intégrité et l’existence même de notre pays entant qu’Etat. La démarche consisterait à faire sauter le verrou qu’est Joseph KABILA afin de faire main basse sur les richesses de notre pays, en ce temps de crise économique. 
 
Pour comprendre la problématique congolaise, il faut remonter à l’histoire et surtout, examiner consciencieusement les divers faits qui se succèdent ces dernières années. 
 
Rappelons qu’il y a 15 ans, de grandes puissances financières, essentiellement anglo-saxonnes, s’étaient liguées pour encourager le Rwanda et l’Ouganda à attaquer la RD. Congo dans l’objectif de la dépecer. Le but était alors de balkaniser le pays afin de mieux exploiter les richesses minières qu’il regorge, au travers des mini-Etats très affaiblis. C’est la volonté d’unité des Congolais qui a fait avorter ce projet macabre. 
 
Ayant échoué dans cette tentative, ceux qui cherchent à balkaniser le pays ont modifié leur démarche depuis quelque temps. Il ne s’agit plus seulement de financer des guerres, mais de joindre à cette violence, des moyens apparemment plus acceptables. 
 
Le nom d’un homme est de plus en plus cité pour expliquer le drame congolais. L’américain SOROS apparaît comme le cerveau moteur de cette entreprise destinée à effacer la grande République Démocratique du Congo de la carte du cœur de l’Afrique. 
 
SOROS se présente comme un milliardaire, philanthrope, grand éditeur de presse. En fait, il s’agit d’un spéculateur, déstabilisateur des économies. Sans s’embarrasser des contradictions, il soutient les ONG militant pour le respect des droits humains et l’écologie, tout en excellant dans le financement des entreprises minières et autres sociétés actives dans la pollution de la nature et dans l’exploitation de l’homme par l’homme. 
 
On l’accuse d’avoir contribué au renversement de nombreux régimes politiques. Le Premier Ministre Hongrois et le Président TRUMP considèrent cet individu comme une menace pour la sécurité de leurs pays. 
 
Et, pourtant, les réseaux SOROS constituent actuellement un système d’influence, devenu tentaculaire. Les hommes du spéculateur contrôlent insidieusement tant l’ONU que l’Union Européenne. Partout, sans tenir compte des spécificités locales, SOROS se montre décidé à imposer, à tout prix, un libéralisme de type occidental. L’objectif du spéculateur n’est pas de promouvoir la démocratie, mais de favoriser ses propres entreprises capitalistes et mondialistes. 
 
La stratégie du spéculateur se veut multisectorielle. Elle englobe, à la fois, les activités relatives à la promotion des droits humains, celles ayant trait au financement des émeutes dans différents pays ainsi que l’instrumentalisation des divergences ethniques et la recherche des sanctions ciblées contre les autorités qui n’adhèrent pas à son système. 
 
Dans sa démarche, de grands organes de presse, le Parlement européen, les organisations spécialisées du système des Nations Unies, les Ambassades accréditées chez nous sont utilisés comme des simples pions participant directement à sa stratégie. 
 
Le champ du respect des droits humains apparaît, depuis quelque temps, comme l’arme de prédilection du spéculateur. Chacun se souvient de la convocation à l’île de Gorée au Sénégal, des mouvements citoyens, montés de toutes pièces et financés par le millionnaire SOROS. 
 
Des chaînes de télévision à diffusion mondiale préparent le terrain en donnant à certains pays, dont le nôtre, une image d’un lieu en régression où dominent des violences de toute nature. 
 
Le Parlement européen, temple théorique de la démocratie, mené par quelques leaders d’opinion, préparé par un lobbying puissant, se charge d’obtenir des sanctions ciblées contre des personnalités emblématiques qui n’adhèrent pas au projet impérialiste de la sphère SOROS. 
 
Ici même au pays, des Ambassades se transforment en officines de préparation des politiciens et autres activistes pour affaiblir les assises du pouvoir. Certaines n’hésitent pas à financer directement des actions de propagandes, voire des manifestations politiques violentes. 
 
Les Congolais ont assisté, médusés, lors de la 35ème session de la Commission des droits de l’homme à Genève à un acharnement difficilement compréhensible. Méprisant à souhait la souveraineté congolaise, certains membres Occidentaux de ladite commission ont voulu imposer, dans le cadre des massacres du Kasaï, une enquête internationale indépendante. C’est au terme d’un débat intense, entre les Africains et les Occidentaux, qu’un compromis fut trouvé pour que, de guerre lasse, le leadership des investigations soit laissé aux Congolais et que les internationaux y participent comme Experts. 
 
Mais voilà que sans attendre les conclusions de l’enquête demandée à Genève, le Haut-Commissariat aux Droits de l’homme a publié, au début du mois d’août, le résultat d’une enquête, à tout le moins, saugrenu. Celle-ci concluant, selon des entretiens menés auprès de 96 déplacés, vulnérables et fragiles ayant fui les zones de violence pour l’Angola, que l’Armée nationale aurait participé à l’exécution de 251 personnes. Les enquêteurs du HCDH se sont-ils assurés de la solidité des témoignages recueillis auprès des personnes manifestement affaiblies ? 
 
Quel sens donner alors à l’enquête décidée à Genève ? Avant même que les Experts onusiens ne foulent le sol kasaïen et en dehors de tout respect du protocole accepté à Genève, l’ONU a déjà, en toute précipitation et à la sauvette, tiré ses conclusions. A juste titre, le porte-parole du Gouvernement congolais a répondu : « qu’il est prématuré et inopportun à ce stade de publier un quelconque rapport sur des témoignages peu crédibles, non vérifiés et recueillis unilatéralement par le Haut-commissariat aux droits de l’homme (HCDR) sur des personnes ayant fui à l’étranger la crise dans le Kasaï ». 
 
Les responsables, les cadres et tous les patriotes partisans du respect de la souveraineté de notre pays doivent sortir de la naïveté consistant à croire que la pression que nous subissons actuellement viserait à établir une alternance démocratique en RDC. 
 
Cousues de fil blanc, les manœuvres actuelles, comme le démontrent les activités des réseaux SOROS, ne sont qu’une version révisée du vieux projet de balkanisation de la RDC. En fait, cette nouvelle stratégie inspirée et conduite par Monsieur SOROS, lui-même, après avoir tenté la carte Monsieur Moïse KATUMBI, essaie maintenant, ayant tiré maladroitement les leçons de l’expérience française, de nous imposer Sindika DOKOLO. Que l’on ne trompe aucun congolais. L’objectif final est, à travers tous ces hommes de paille, d’aboutir à la désintégration de la grande RDC, après l’étape du Soudan. Or, que sont devenues aujourd’hui, les deux entités soudanaises ? Des pays faibles, à peine viables. 
 
Ceci est cruel, diabolique et inacceptable. Mobilisons-nous contre ce projet !

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*‘’Ayant échoué dans cette tentative, ceux qui cherchent à balkaniser le pays ont modifié leur démarche depuis quelque temps. Il ne s’a...

Pie Roger niveau asokoli Roger Ngandu na Blanchard Mosaka, bazo luka nini?(vidéo)

August 24, 2017

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Pie Roger niveau asokoli Roger Ngandu na Blanchard Mosaka, bazo luka nini?(vidéo)

PLUS DE 70 VICTIMES DES CATASTROPHES EN SIERRA LEONE SOIGNÉES PAR L’ÉQUIPE MÉDICALE MILITAIRE CHINOISE

August 24, 2017

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FREETOWN, 22 août (Xinhua) — L’équipe d’aide médicale de l’Armée populaire de libération (APL) en Sierra Leone a soigné plus de 70 personnes touchées par le terrible glissement de terrain et les inondations qui ont frappé Freetown, la capitale du pays, le 14 août dernier. 
 
L’équipe a participé aux efforts de secours via l’unité médicale conjointe mise en place par les forces armées sierra-léonaises, a déclaré dimanche le chef de l’équipe, Guo Xuejun. 
M. Guo a expliqué que la Sierra Leone est un pays avec un taux élevé de maladies contagieuses et beaucoup de cas de paludisme et de maladies intestinales. 
Il a ajouté que les camps bondés qui accueillent les habitants touchés par les catastrophes combinés à l’environnement chaud et humide pourraient entraîner un accroissement des épidémies. 
Pour aider à éviter une telle situation, l’équipe a stérilisé la périphérie du camp et a désinsectisé pour empêcher la prolifération des espèces qui véhiculent les maladies. Les experts médicaux ont également sensibilisé les victimes en leur expliquant comment éviter les maladies contagieuses. 
Le groupe a également amené avec lui jeudi et vendredi derniers une centaine de boîtes de médicaments, dont des antibiotiques et anti-paludéens, ainsi qu’une trentaine de boîtes de nourriture, d’eau potable et de produits anti-moustiques. Il a également fait don de 1.400 dollars remis au gouvernement de Sierra Leone par le biais de l’ambassade chinoise. 
L’équipe médiale militaire a analysé la possibilité d’une épidémie et a donné des conseils quant aux méthodes de prévention à l’unité médicale conjointe des forces armées sierra-léonaises, a poursuivi M. Guo. 
Sarah, du Bureau de la sécurité nationale, a fait savoir qu’elle appréciait l’aide importante et d’urgence fournie par l’équipe médicale militaire chinoise sur les lieux. 
L’équipe est arrivée à Freetown en juin. Composée de 14 membres, elle a pour mission d’aider les forces armées sierra-léonaises à construire un centre moderne de prévention des maladies contagieuses dans l’ère post-Ebola. 
Le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA) a déclaré vendredi dernier que plus de 400 personnes ont perdu la vie dans le glissement de terrain et les inondations du 14 août et plusieurs centaines de personnes sont toujours portées disparues. 
Les aides humanitaires affluent des pays comme la Chine et le Ghana. 
D’après l’ambassade de Chine en Sierra Leone, en plus des dons de la part des entreprises locales chinoises et des organisations chinoises, le gouvernement chinois a décidé d’apporter une aide humanitaire d’un million de dollars au gouvernement sierra-léonais.

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FREETOWN, 22 août (Xinhua) — L’équipe d’aide médicale de l’Armée populaire de libération (APL) en Sierra Leone a soigné plus de 70 pers...

Qui est Sindika Dokolo, le dandy millardaire, féru d'art et nouvel opposant à Kabila?

August 24, 2017

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Un oeil sur la succession de son beau-père à Luanda, l'autre tourné vers l'opposition anti-Kabila à Kinshasa: gendre du président angolais sortant José Eduardo dos Santos, l'homme d'affaires et mécène congolais Sindika Dokolo, s'implique de plus en plus dans la crise politique dans son propre pays, la République démocratique du Congo (RDC). 
 
 
Gendre du président angolais Dos Santos 
Alors que l'Angola vote mercredi pour élire le successeur du président dos Santos, l'époux de sa fille Isabel, surnommée la "Princesse" en raison de la fortune du couple, vient de lancer sur les réseaux sociaux un mouvement "Les Congolais debout" contre Joseph Kabila. 
 
 
 
Sur une photo récente, l'élégant quadragénaire, jusque-là connu pour ses investissements et les milliers d'oeuvres de sa collection d'art africain, pose main dans la main avec les deux grandes figures de l'opposition congolaise, l'ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi Chapwe, et Félix Tshisekedi, le fils du défunt opposant Etienne Tshisekedi wa Mulumba. 
 
 
 
 
 
Des ambitions politiques? "Certainement pas", répond à l'AFP Dokolo, 45 ans, marié depuis 2002 à Isabel dos Santos. "Ce n'est pas une stratégie à la Macron", affirme l'ancien élève d'un lycée privé parisien en référence à la conquête-éclair du pouvoir par le jeune président français (39 ans). 
 
 
L'art avant tout 
Sindika Dokolo est né en 1972 d'une mère danoise, qui lui fait visiter tous les musées d'Europe, et d'un homme d'affaires florissant sous le régime de Mobutu Sese Seko, tombé en disgrâce avant le renversement du vieux maréchal en 1997. 
 
 
 
"Mon père a été le premier Congolais à créer une banque, la Banque de Kinshasa. Nous possédons encore de nombreux actifs stratégiques aux quatre coins du pays", raconte Sindika Dokolo dans un entretien à 'Afrique Magazine'. 
 
 
 
Après une jeunesse dorée entre l'Europe et l'Afrique, et l'exil pendant les deux guerres civiles dans l'ex-Zaïre (1997-2003), le jeune homme au look mi-dandy, mi-étudiant hipster avec ses montures de lunettes à la Buddy Holly, parvient à se faire accepter au sein du clan dos Santos. 
 
 
Saint-Tropez, palaces et mines de diamants 
Née d'une mère russe championne d'échec, à l'époque des noces d'or de son père avec le camp soviétique, Isabel dos Santos est la femme la plus riche d'Afrique avec plus de trois milliards de dollars, d'après le magazine Forbes. 
 
Habitué du festival de Cannes, des plages privées de Saint-Tropez et des palaces de Londres, le "premier couple d'oligarques africains" comme l'appelle le journal suisse 'Le Temps', s'enrichit dans la téléphonie, les mines de diamants, la banque, l'immobilier... 
 
 
 
Et le pétrole. Isabel dos Santos a été propulsée en 2016 à la tête de la compagnie nationale Sonangol qui a dégagé un bénéfice avant impôt de 3,16 milliards de dollars, malgré la baisse des prix du baril. "Népotisme", dénonce ses détracteurs. 
 
 
 
En Angola, Sindika Dokolo possède une des plus grandes mines de diamants et le "Palais de fer", la plus grande salle de spectacles de Luanda. 
 
 
Je préfère que la richesse du continent revienne à un Noir corrompu plutôt qu'à un Blanc néo-colonialiste 
En Europe, le couple serait considéré par les banques comme des "personnalités exposées politiquement, autrement dit qui présentent un risque de corruption", selon une enquête récente du 'Temps'. Réponse de Sindika Dokolo: "Je n'accepte pas que nous, les Africains riches, devions nous excuser ou nous justifier". Et d'ajouter: "Je préfère que la richesse du continent revienne à un Noir corrompu plutôt qu'à un Blanc néo-colonialiste". 
 
En RDC, Sindika Dokolo a été condamné dans une affaire immobilière qui l'empêche de revenir dans son pays d'origine, tout comme son allié politique Katumbi. "Intimidation dans le but de me décourager à me présenter aux élections", dénonce-t-il dans ce même entretien à l'AFP où il nie toute ambition politique. 
 
 
Trait d'union ? 
En Angola, le "gendre" a tenté d'afficher une proximité avec le dauphin du président dos Santos et grand favori de l'élection mercredi, l'actuel ministre de la Défense Joao Lourenço, en saluant "sa maîtrise profonde du dossier RDC". L'Angola veut "éviter que l'affaiblissement de ce grand voisin ne crée de l'instabilité dans la sous-région", analyse Dokolo. 
 
"Je connais profondément ces deux pays. Je crois qu'une relation de partenariat stratégique fondée sur le respect mutuel serait une vraie source de stabilité et de développement pour toute l'Afrique centrale", affirme Sindika Dokolo, comme s'il souhaitait jouer un rôle de trait d'union entre les deux géants de la sous-région. 
 
Par la RTBF

Politique Qui est Sindika Dokolo, le dandy millardaire, féru d'art et nouvel opposant à Kabila?

Un oeil sur la succession de son beau-père à Luanda, l'autre tourné vers l'opposition anti-Kabila à Kinshasa: gendre du président ...

Mike Mukebayi, journaliste activiste à Paris menacé par les combattants(vidéo)

August 24, 2017

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Mike Mukebayi, journaliste activiste à Paris menacé par les combattants(vidéo)

ELECTIONS DE CE SAMEDI POLÉMIQUE SUR LA VACANCE DES GOUVERNEURS RÉHABILITÉS !

August 24, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVnMBS6rdY8Fx2ns6xMBqT3EBqVG1jII5IytAbMBMrhMBYiTupZOO9O0TNouv1qs9SpuaFZjEzWC8beeenmoIMuN5-xDVf-VH4xX0HYs8IKDrqnCs4XZc79xRfgaa_Bctyy_Jhxf03rM_g/s1600/Snapshot_551.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="347" data-original-width="637" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVnMBS6rdY8Fx2ns6xMBqT3EBqVG1jII5IytAbMBMrhMBYiTupZOO9O0TNouv1qs9SpuaFZjEzWC8beeenmoIMuN5-xDVf-VH4xX0HYs8IKDrqnCs4XZc79xRfgaa_Bctyy_Jhxf03rM_g/s400/Snapshot_551.jpeg" width="400" /></a></div>
 
 
* Avec en toile de fond cette question : une motion de censure est-elle un acte législatif ? 
C’est ce samedi que se tiennent les élections de gouverneurs dans certaines provinces. Mais, dans la ville haute la polémique sur la légalité de ces scrutins à la tête de certains gouvernorats prend de plus en plus de proportion. Il s’agit plus particulièrement des provinces dont les gouverneurs ont été réhabilités par les Arrêts de la Cour constitutionnelle. 
 
Des voix s’élèvent de plus en plus pour critiquer et condamner le fait que la MP ait aligné ses candidats dans ces provinces alors qu’il n’y a pas vacance car les gouverneurs en fonction détiennent des Arrêts de la haute Cour. On accuse par conséquent la MP de violer la Constitution en foulant aux pieds les Arrêts de la Cour constitutionnelle réhabilitant ces gouverneurs de provinces. 
Il s’agit entre autres du Haut-Katanga (Lubumbashi) et Haut-Lomami (Kamina) pour l’ancien Katanga. Ces critiques rappellent que les décisions de la Cour constitutionnelle sont exécutoires et sans appel. Partant, la programmation par la CENI de l’élection des gouverneurs dans ces provinces est illégale. Car il n’y a pas de vacance. 
Du côté de la MP, c’est Me Tunda Ya Kasende, secrétaire général adjoint du PPRD qui a réagi. Il rejette en bloc toutes ces critiques de violation de la Constitution dans le chef de la MP. Pour lui, la MP est un compétiteur comme tous les autres concurrents aux postes politiques électifs. Ce n’est pas la majorité qui détermine les vacances à la tête des gouvernorats, mais plutôt c’est une compétence de la CENI. 
Dès lors que cette dernière a constate les vacances et programmé le calendrier des élections, la MP présente des candidats comme tout le monde. C’est ce qui a été fait. Il ne lui appartient pas du tout à débattre sur la question de vacance dès lors que la CENI a déjà publié le calendrier des élections. 
Quant aux Arrêts de la Cour constitutionnelle de réhabilitation de gouverneurs dont accuse la MP de violer, Tunda Ya Kasende réplique que ces Arrêts s’ils existent effectivement, c’est la CENI qui doit les appliquer et non la Majorité. Dès lors que la centrale électorale qui est indépendante publie les provinces où elle a constaté la vacance, la MP n’a arien à redire. 
Ces Arrêts, on ne les a pas envoyés à la MP. Celle-ci s’en tient dès lors à la programmation produite par la CENI et compétit. C’est ce qui a été fait par la MP qui s’explique mal ces critiques acerbes au sujet de la vacance à la tête des gouvernorats. 
A l’opposé de cette thèse, on retrouve ceux qui martèlent qu’on doit appliquer les Arrêts de réhabilitation de le Cour constitutionnelle comme l’exigent les bénéficiaires. 
Comme on le voit, il s’agit bien d’un dilemme cornélien. Il y a le droit. Mais il y a aussi une lapalissade connue de tous. C’est que ces Arrêts de la haute Cour réhabilitant de la manière qu’on sait les gouverneurs détourneurs de deniers publics laissent perplexe tout bon sens. 
Ces Arrêts sont discutables. Il s’agit là aussi d’un débat de droit qui doit immédiatement engager les Constitutionnalistes. Ceux-ci doivent déterminer si la Cour constitutionnelle est compétente pour examiner les motions de censure des Assemblées provinciales engagées dans une procédure parlementaire légale. On sait que Constitution permet à la Cour constitutionnelle de juger la constitutionnalité des actes législatifs. La question est dès lors de savoir si une motion de censure d’une Assemblée provinciale est un acte législatif.

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* Avec en toile de fond cette question : une motion de censure est-elle un acte législatif ? C’est ce samedi que se tiennent les électi...

MLC : MICHELINE BIE, ANCIENNE QUESTEUR ADJOINTE DE LA CENI, QUITTE JP BEMBA…

August 24, 2017

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Des rumeurs circulaient depuis peu. Mais on n’y accordait le moindre crédit, compte tenu des relations étroites de collaboration qui liaient Mme Micheline Bie Bongenge, affectueusement appelée « Maman Miche », au Sénateur JP BEMBA, Président national du MLC. Voilà que la nouvelle s’avère fondée. Micheline Bie Bongenge a bel et bien quitté le MLC ! 
 
Celle qu’on appelait « la dame de fer » de la formation bembiste, était l’œil et l’oreille de JP BEMBA, à qui elle avait juré loyauté et fidélité pour l’intérêt supérieur du Parti. Ce, depuis l’époque de la rébellion… Elle a été de tous les fronts avec JP BEMBA ! Son départ du MLC aujourd’hui confirme ce qu’une certaine opinion a toujours pensé. A savoir que le divorce était consommé entre JP Bemba et les pionniers de la première heure du MLC. 
Pour les Compagnons de lutte de JP Bemba, le MLC était une œuvre collective des compatriotes qui partageaient une vision commune du Congo, et dont le destin le liait à travers la lutte armée…Mais une fois, arrivé à Kinshasa, des divergences sont nées à la suite d’un leadership considérée comme personnalisé, égoïste et dont les seuls intérêts de JP BEMBA primaient sur toute autre considération. 
Le chairman, avec son management controversé, aura réussi à pousser tous ses compagnons de la première heure à quitter le Parti et le laisser seul maitre à bord, car pour lui le « MLC » est sa propriété privée, son « ligablo » diraient les kinois…Celui qui n’est pas d’accord avec lui, quitte, quels que soient les services et les sacrifices rendus et endurés ! 
 
QUEL CYNISME POUR UN LEADER ! 
Selon plusieurs témoignages, lorsque les Kamitatu, Thambwe, Endundo, Senga, Ghonda, Simene, Kanku, Kibonge, Sessanga, Makila, Bokolombe, Bolonge, Bongongo, Ndolela, Mwamba, Kande, N’dom, Mutiri, Egwake, Luhaka, Adam Bombole, Rogho, José Makila, Lucien Bussa, Kisombe, Nsingi , Lunda…la liste est très longue, décidaient de se séparer de JP BEMBA à cause de ses méthodes de gestion peu orthodoxes et égoïstes, c’est elle, « Maman Miche » grâce à l’aura morale qu’elle avait, qui se battait pour convaincre tous ses Camarades, compagnons de lutte de la première heure de ne pas démissionner…et elle essayait tant bien que mal de défendre les positions de JP BEMBA…si bien qu’on lui collait injustement la réputation d’être « l’agent de renseignements du Président », et pourtant c’est la loyauté et la fidélité qui la poussaient à agir ainsi ! Aujourd’hui elle vit un retour de la manivelle ! Elle se rend bien compte, quoiqu’en retard que les autres avaient bien raison de quitter le MLC dont la gestion actuelle ne serait fondée que sur le mercantilisme et la poursuite des dividendes financiers des individus qui auraient réussi à prendre BEMBA en otage… 
Dans l’entourage de Mme Bie où on nous a confirmé sa décision de quitter le MLC, on affirme que seule la jalousie a motivé l’acharnement contre elle… Elle a très mal supporté l’humiliation médiatique subie et le silence coupable et complice de JP BEMBA face à l’acharnement dont elle a été victime…Par honneur et par dignité, elle se refuse « d’éventrer le Boa », afin que l’opinion sache les vrais mobiles de son départ controversé et illégal de la CENI…Toutefois, elle promet un jour de graves révélations sur son départ ; révélations qui vont ternir davantage l’image du MLC et surtout des personnes qui ont reçu mandat de gérer le parti au quotidien et qui se sont illustrés dans les pratiques de règlement de compte, chasse aux sorcières avec comme objectif final : combattre tous les pionniers du Mlc. 
Il faut dire que ces mandataires véreux se sont distingués par des méthodes de gestion des ambitions qui sont décriées de partout ! 
Si, BEMBA est incapable de bien gérer un Parti politique, de bien consolider l’unité et la cohésion de sa formation politique, de gérer les conflits internes au sein d’un parti politique, de privilégier et placer les intérêts collectifs au dessus de ses intérêts personnels, de minimiser ses gains financiers personnels au profit des dividendes politiques communs, comment espère-t-il être en mesure de gérer tout un Etat, comme la République démocratique du Congo ? Car, c’est à travers la gestion de son Parti, qu’on peut tirer le modèle de gestion au niveau de l’Etat ! 
Les démissions successives et en cascade des tous les Compagnons de Bemba sont un signe inquiétant sur l’avenir de ce parti politique…Savez vous qu’une dizaine de partis politiques sont animés par d’anciens compagnons de JP Bemba ? Quel triste record ? Quel gâchis en termes de pertes de ressources humaines ? Peut-on dire que tous ces anciens compagnons, compatriotes de valeur, ont tort et que lui seul a toujours eu raison ? 
A ce jour, une rupture totale existerait entre JP BEMBA et les personnalités de l’ancienne province de l’Equateur (Députés nationaux, Sénateurs, Députés provinciaux…), et surtout ceux de l’Ubangui son fief électoral. Il y a lieu de signaler aussi que le groupe parlementaire du Mlc n’existe que de nom. Le départ forcé de Mme Micheline BIE de la CENI n’a pas plu à toutes ces personnalités, qui avaient tenté de convaincre BEMBA, mais en vain ! L’acharnement contre Maman Miche a été une grave maladresse politique qui a été contre productif et a beaucoup desservi le MLC… Car, politiquement cette ancienne élue députée a un poids politique certain. Elle est branchée sur plusieurs réseaux, et possède un ancrage dans son territoire…C’est une perte pour le Parti …En politique, ces genres de faute, il ne faut pas les commettre deux fois…mais JP BEMBA a commis cette faute à plusieurs 
reprises et de manière intentionnelle…L’effet boomerang est suicidaire et impardonnable dans ces gâchis ! 
Comment dès lors JP BEMBA espère-t-il conquérir le reste du Pays, s’il perd totalement le soutien de personnalités de sa province qui constituent les relais avec la population ? Le mythe BEMBA est en train lentement mais sûrement de s’éteindre…L’avenir nous donnera raison ! ENGWANGU AKOULA/CP

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HAUT-KATANGA : LA HAUTE COUR NOTIFIE NANGAA DE SON ARRÊT

August 24, 2017

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Partant d’une correspondance de la Cour Constitutionnelle adressée au n°1 de la Centrale électorale Corneille Nangaa, la Ceni risque d’annuler, dans les heures qui suivent, l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs dans la province du Haut-Katanga. 
 
« La Commission électorale nationale Indépendante prise en la personne de son président Monsieur Corneille Nangaa Yobeluo, en son bureau sis Kinshasa au 4471, immeuble CENI ( Ex BCCE en face du building ONATRA), l’arrêt rendu en date du 26 mai 2017 par la Cour constitutionnelle dans l’affaire R.const 469 en cause Monsieur Kazembe Musonda Jean Claude, résidant à Lubumbashi, sis avenue Kasavubu, dans la commune de Lubumbashi, contre l’Assemblée provinciale du Haut- Katanga, ayant son siège à Lubumbashi sis bâtiment du 30 juin dans la commune de Lubumbashi » , rapporte cet acte de notification d’un arrêt adressé au patron de la Ceni en date du 22 août 2017. 
Signalons par ailleurs que depuis mardi 22 août 2017, la campagne électorale a été lancée pour élire les nouveaux dirigeants de la Province du Haut-Katanga. 
Il faut rappeler que l’Assemblée provinciale du Haut- Katanga avait destitué le gouverneur Jean Claude Kazembe, l’accusant de mauvaises gestions et détournements. Le concerné avait saisi la Haute cour qui l’avait réhabilité. Décision qui jusqu’à ce jour pose problème dans son application.

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Partant d’une correspondance de la Cour Constitutionnelle adressée au n°1 de la Centrale électorale Corneille Nangaa, la Ceni risque d’a...

SENTENCE D’UN ANALYSTE POLITIQUE LE DESSEIN DE G. SOROS EN RDC : LA BALKANISATION

August 24, 2017

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Les Congolais ont appris le 18 août 2017 l’apparition d’un nouveau groupe politique. Celui-ci s’est identifié : " Les Congolais Debout " ; l’organisation née à Paris prétend conscientiser les masses congolaises afin qu’elles se lèvent et marchent. 
Pas besoin de longues études pour comprendre qu’il s’agit d’une pâle copie de la démarche qui a été celle de l’actuel Président français. Suffira-t-il d’un copier-coller pour réussir ? 
 
Il s’agit d’une énième initiative de ceux qui estiment que c’est depuis l’Occident, avec des schémas de ce monde-là et des capitaux de la même origine, qu’ils vont développer la RDC. A la tête de cette initiative apparaît Monsieur Sindika Dokolo. 
Personne ne reconnaît une quelconque expérience politique au porte-étendard de « Les Congolais Debout ». Jusqu’ici Sindika ne peut se vanter que d’être le fils d’un commerçant de Kinshasa : Augustin Dokolo Sanu. Son second " exploit " est d’avoir pu rencontrer et épouser la fille du Président Angolais. 
Sindika Dokolo, qui se fait passer pour un milliardaire, fréquente assidûment les réseaux sociaux. Les habitués du web l’ont vu notamment sur une photo avec Moïse Katumbi et José Endundu. Certainement coaché par les puissances de l’argent qui veulent contrôler la RDC, Sindika n’a pas rejoint le G7. Ses conseillers ont certainement dû lui faire remarquer qu’il n’irait pas loin aux côtés de ce groupe en perte de vitesse et qui, après avoir pillé la RD Congo, cherche maintenant à se faire blanchir par un exil volontaire. 
Avec l’aide de ses mentors, Sindika a lancé le 18 août 2017, son organisation, le même jour il a réuni dans un hôtel de Paris un groupe de potentiels terroristes congolais pour leur assurer qu’il dispose des moyens pour attaquer Kinshasa et s’imposer au pouvoir. 
Les événements qui se passent à propos et en RDC, mis ensemble comme des pièces d’un puzzle, révèlent l’existence d’une véritable stratégie de déstabilisation. En effet, notre pays fait véritablement l’objet d’un acharnement particulier. Dans le cadre du " Congo Baching ", le slogan " le Congo est trop grand pour être gouverné par les Congolais " a refait surface. 
Le naïf politique voit dans la succession des événements une volonté d’amener la RDC à une alternance politique. L’analyste perspicace perçoit dans ces manœuvres l’exécution d’un complot qui se déroule en plusieurs phases successives et coordonnées, non seulement au détriment de l’Autorité de Kinshasa, mais principalement contre l’intégrité et l’existence même de notre pays en tant qu’Etat. La démarche consisterait à faire sauter le verrou que Joseph KABILA afin de faire main basse sur les richesses de notre pays, en ce temps de crise économique. 
Pour comprendre la problématique congolaise, il faut remonter à l’histoire et surtout examiner consciencieusement les divers faits qui se succèdent ces dernières années. 
Rappelons qu’il y a 15 ans, de grandes puissances financières, essentiellement anglo-saxonnes, s’étaient liguées pour encourager le Rwanda et l’Ouganda à attaquer la RD Congo dans l’objectif de la dépiécer. Le but était alors de balkaniser le pays afin de mieux exploiter les richesses minières dont il regorge, au travers des mini-Etats très affaiblis. C’est la volonté d’unité des Congolais qui a fait avorter ce projet macabre. 
Ayant échoué dans cette tentative, ceux qui cherchent à balkaniser le pays ont modifié leur démarche depuis quelque temps. Il ne s’agit plus seulement de financer des guerres, mais de joindre à cette violence des moyens apparemment plus acceptables. 
Le nom d’un homme est de plus en plus cité pour expliquer le drame congolais. L’américain d’origine hongroise George SOROS apparaît comme le cerveau moteur de cette entreprise destinée à effacer la grande République Démocratique du Congo de la carte du cœur de l’Afrique. 
SOROS se présente comme un milliardaire, philanthrope, grand éditeur de presse. En fait, il s’agit d’un spéculateur, déstabilisateur des économies. Sans s’embarrasser des contradictions, il soutient les ONG militant pour le respect des droits humains et l’écologie, tout en excellant dans le financement des entreprises minières et autres actives dans la pollution de la nature et dans l’exploitation de l’homme par l’homme. 
On l’accuse d’avoir contribué au renversement de nombreux régimes politiques. Le Premier Ministre Hongrois et le Président TRUMP considèrent cet individu comme une menace pour la sécurité de leur pays. 
Et pourtant, les réseaux SOROS constituent actuellement un système d’influence devenu tentaculaire. Les hommes du spéculateur contrôlent insidieusement tant l’ONU que l’Union Européenne. Partout, sans tenir compte des spécificités locales, SOROS se montre décidé à imposer, à tout prix, un libéralisme de type occidental. L’objectif du spéculateur n’est pas de promouvoir la démocratie, mais de favoriser ses propres entreprises capitalistes et mondialistes. 
La stratégie du spéculateur se veut multisectorielle. Elle englobe, à la fois, les activités relatives à la promotion des droits humains, celles ayant trait au financement des émeutes dans différents pays ainsi que l’instrumentalisation des divergences ethniques et la recherche des sanctions ciblées contre les autorités qui n’adhèrent pas à son système. 
Dans sa démarche, de grands organes de presse, le Parlement européen, les organisations spécialisées du système des Nations Unies, les Ambassades accréditées chez nous sont utilisés comme de simples pions participant directement à sa stratégie. 
Le champ du respect des droits humains apparaît, depuis quelque temps, comme l’arme de prédilection du spéculateur. Chacun se souvient de la convocation à l’île de Gorée au Sénégal, des mouvements citoyens, montés de toutes pièces et financés par le millionnaire SOROS. 
Des chaînes de télévision à diffusion mondiale préparent le terrain en donnant à certains pays, dont le nôtre, une image d’un lieu en régression où dominent des violences de toute nature. 
Le Parlement européen, temple théorique de la démocratie, mené par quelques leaders d’opinion, préparé par un lobbying puissant, se charge d’obtenir des sanctions ciblées contre des personnalités emblématiques qui n’adhèrent pas au projet impérialiste de la sphère SOROS. 
Ici même au pays, des Ambassades se transforment en officines de préparation des politiciens et autres activistes pour affaiblir les assises du pouvoir. Certaines n’hésitent pas à financer directement des actions de propagande, voire des manifestations politiques violentes. 
Les Congolais ont assisté médusés, lors de la 35ème session de la Commission des droits de l’homme à Genève à un acharnement difficilement compréhensible. Méprisant à souhait la souveraineté congolaise, certains membres Occidentaux de ladite commission ont voulu imposer, dans le cadre des massacres du Kasaï, une enquête internationale indépendante. C’est au terme d’un débat intense, entre les Africains et les Occidentaux, qu’un compromis fut trouvé pour que, de guerre lasse, le leadership des investigations soit laissé aux Congolais et que les internationaux y participent comme Experts. 
Mais voilà que sans attendre les conclusions de l’enquête demandée à Genève, le Haut-Commissariat aux Droits de l’homme a publié, au début du mois d’août, le résultat d’une enquête, à tout le moins saugrenu. Celle-ci concluant, selon des entretiens menés auprès de 96 déplacés, vulnérables et fragiles ayant fui les zones de violence pour l’Angola, que l’Armée nationale aurait participé à l’exécution de 251 personnes. Les enquêteurs du HCDH se sont-ils assurés de la solidité des témoignages recueillis auprès des personnes manifestement affaiblies ? 
Quel sens donner alors à l’enquête décidée à Genève ? Avant même que les Experts onusiens ne foulent le sol kasaïen et en dehors de tout respect du protocole accepté à Genève, l’ONU a déjà, en toute précipitation et à la sauvette, tiré ses conclusions. A juste titre, le porte-parole du Gouvernement congolais a répondu : " qu’il est prématuré et inopportun à ce stade de publier un quelconque rapport sur des témoignages peu crédibles, non vérifiés et recueillis unilatéralement par le Haut-commissariat aux droits de l’homme (HCDR) sur des personnes ayant fui à l’étranger la crise dans le Kasaï ". 
Les responsables, les cadres et tous les patriotes partisans du respect de la souveraineté de notre pays doivent sortir de la naïveté consistant à croire que la pression que nous subissons actuellement viserait à établir une alternance démocratique en RDC. 
Cousues de fil blanc, les manœuvres actuelles, comme le démontrent les activités des réseaux SOROS, ne sont qu’une version révisée du vieux projet de balkanisation de la RDC. En fait, cette nouvelle stratégie inspirée et conduite par Monsieur SOROS lui-même après avoir tenté la carte KATUMBI, essaie maintenant, ayant tiré maladroitement les leçons de l’expérience française, de nous imposer Sindika DOKOLO. Que l’on ne trompe aucun congolais. L’objectif final est d’aboutir à la désintégration de la grande RDC, après l’étape du Soudan. Or, que sont devenues aujourd’hui les deux entités soudanaises ? Des pays faibles, à peine viables. 
Ceci est cruel, diabolique et inacceptable. Mobilisons-nous contre ce projet.

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