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RDC : les acteurs politiques accusés de retarder la sortie du gouvernement Sama Lukonde

March 19, 2021

Les acteurs politiques sont indexés comme ceux qui sont à la base du retard pris dans la formation du gouvernement Sama Lukonde. Trente et un jours sont passés depuis que Jean-Michel Sama Lukonde a été nommé Premier ministre mais son gouvernement n’est toujours pas connu du peuple congolais.  <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjglvl9KGmb-Jc8LBD8m3phpMrlyH1KqYUxW8haVRsRGXyo2_ZDAdxUuRyXu_vzd5pyhdGBIhMRQhSQ16RGn9vQM0rELQU9ksI2oXWNKzIGYrFTeApD0NsWjdtl6vIdAmWZLq0pmtLw0A/s1080/20210215_223736.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1080" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjglvl9KGmb-Jc8LBD8m3phpMrlyH1KqYUxW8haVRsRGXyo2_ZDAdxUuRyXu_vzd5pyhdGBIhMRQhSQ16RGn9vQM0rELQU9ksI2oXWNKzIGYrFTeApD0NsWjdtl6vIdAmWZLq0pmtLw0A/w640-h426/20210215_223736.jpg" width="640" /></a></div> La gestion du pays est quasi à l’arrêt. Un frein donc pour la réalisation des attentes des citoyens.  Certains congolais relativisent cet état de choses, estimant que le Premier ministre et le Chef de l’Etat doivent être pointilleux quant au profil des futurs ministres. Pendant ce temps, d’autres dénoncent une lutte éhontée des politiques dans le partage du gâteau.   Chacun botte en touche   Le regroupement Ensemble pour la république refuse carrément de généraliser cette responsabilité.  « Le peuple ne nous met pas en cause. Ils peuvent peut-être mettre ne cause ceux qui sont chargés de mettre en place le gouvernement et régenter les différentes tractations. Cette globalisation est très dangereuse. Il faut l’éviter. Nous dans Ensemble pour la république nous sommes en train de nous évertuer pour faire une politique efficiente qui tient compte des exigences des peuples congolais », se justifie Cherubin Okende.  Pour l’UDPS, il ne faudrait pas que le gouvernement Sama Lukonde soit une source de frustration pour le peuple congolais mais plutôt efficace pour répondre aux attentes de la population.   « Ce n’est pas l’UDPS qui bloque quoi que ce soit. Personne au stade actuel ne peut bloquer le Président de la république. Ceux qui vont s’amuser pour faire du chantage, le chef de l’Etat va décider de la sortie du gouvernement.  Même si le Premier ministre m’appelle maintenant pour dire qu’il n’y a que la liste de l’UDPS qui pose problème je suis prêt dans vingt minutes je serai là pour lui remettre nos huit noms qui sont là. Puisque nous avons déjà tout le bloc devant nous », a affirmé Augustin Kabuya.  Delly Sessanga, une des têtes d’affiches du groupe des 13 personnalités politiques, attribue ce retard au mécanisme complexe précédant la mise en place d’un gouvernement en RDC.   Quoiqu’il en soit, les uns et les autres reconnaissent la situation pas du tout reluisante dans laquelle se trouve le pays.  Promesse à tenir  « Nous n’avons pas le temps qui joue avec nous. Le 15 mars, nous devons déjà nous présenter. C’est déjà dans un mois. Je vais compter sur leur bonne foi pour que nous allions vraiment dans la célérité dans la formation du gouvernement », avait souhaité Sama Lukonde, quelques heures seulement après sa nomination et son entretien avec Felix Tshisekedi.

Politique RDC : les acteurs politiques accusés de retarder la sortie du gouvernement Sama Lukonde

Les acteurs politiques sont indexés comme ceux qui sont à la base du retard pris dans la formation du gouvernement Sama Lukonde. Trente et u...

Gouvernement : Après Kabila, Katumbi bloque Tshisekedi et le décollage de l’Union Sacrée

March 19, 2021

C’est désormais en passe de devenir un rituel à l’UDPS. Le blocage ou la lenteur de Sama Lukonde dans la formation d’un nouveau gouvernement s’accommode très mal des périodes difficiles des congolais. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqRxCY7dIyfdQmYgCjI4Hp0UHgoJPHQc4Gs76fDS_AtrbxOSEU8eGTfx3tKOlVMCTbnSNdnZqHBjXXGMf9xeVrpAh3gM0zk8l_GpeiGKmb1nIkkI7vMjEQQSwIa-7u4EMxqCfxoY1Idw/s1280/moise_katumbi_prw_img_1656_0.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1280" data-original-width="1280" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqRxCY7dIyfdQmYgCjI4Hp0UHgoJPHQc4Gs76fDS_AtrbxOSEU8eGTfx3tKOlVMCTbnSNdnZqHBjXXGMf9xeVrpAh3gM0zk8l_GpeiGKmb1nIkkI7vMjEQQSwIa-7u4EMxqCfxoY1Idw/w640-h640/moise_katumbi_prw_img_1656_0.jpg" width="640" /></a></div> D’où la colère immédiate des combattants de l’UDPS, qui ont dénoncé un système ubuesque, poussant mécaniquement Félix Tshisekedi à l’échec faute d’amour patriotique. Ces militants, qui disent s’être battus depuis des lustres pour défendre le parti ,promettent de déclencher les foudres contre les sociétaires de l’Union Sacrée à la base du blocage dans la formation rapide du gouvernement.
 
 
 
 
 
 
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 Sans aller par quatre chemins, ils ont cité Moïse Katumbi qui ne facilite la tâche suite à ses exigences de contrôler les mégas ministères. A en croire cette vidéo devenue virale dont 24H.CD a vérifié l’authenticité, Moïse Katumbi veut bloquer Tshisekedi au sein de l’Union Sacrée pour occulter sa présidentielle de 2023. Après quelques jours de flottement des opinions, le premier Ministre a apaisé les émotions hier au sortir de l’UA en appelant les Congolais à ne pas « confondre urgence et précipitation ». D’après des sources qui s’étaient confiées à 24H.CD, le premier serait soumettre au Chef de l’État la deuxième mouture de l’équipe gouvernementale après le rejet de la première. Sauf changement de dernière minute, le nouveau gouvernement sera connu ce week-end, précise la même source bien introduite à la cité de l’UA.
 
 
 
 
 
 
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 Pour éviter les crises institutionnelles de la coalition FCC-CACH après les déchéances de Mabunda, Sylvestre Ilunga Ilunkamba et Alexis Tambwe Mwamba, respectivement présidente de l’Assemblée nationale, Chef du gouvernement et président du Sénat, Félix Tshisekedi pensait cette fois tenir la bride haute en créant l’Union Sacrée de la Nation( panier des crabes ?) qui rassemble tous les Congolais partageant sa vision pour refonder l’action gouvernementale.

Politique Gouvernement : Après Kabila, Katumbi bloque Tshisekedi et le décollage de l’Union Sacrée

C’est désormais en passe de devenir un rituel à l’UDPS. Le blocage ou la lenteur de Sama Lukonde dans la formation d’un nouveau gouvernement...

Décès de Magufuli : " Son combat pour la corruption est un exemple pour chacun de nous "( Sama Lukonde)

March 19, 2021

Le décès de John Pombe Magufuli à l’âge de 61 ans des suites des complications cardiaques continue à faire réagir sur le continent. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEii7Ci8wPxoyltaCymC5HrHl8GJYSJg61URKcd8og4ptU899AzYACBbQpd_C_1xkJkdpnxGjl5U-MKIOm16631bmJLJbFIrCOAisOebZ62HineWK4ob96sv6hOo3hilsLtkbbKJq2Pryg/s700/50803950_303.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="394" data-original-width="700" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEii7Ci8wPxoyltaCymC5HrHl8GJYSJg61URKcd8og4ptU899AzYACBbQpd_C_1xkJkdpnxGjl5U-MKIOm16631bmJLJbFIrCOAisOebZ62HineWK4ob96sv6hOo3hilsLtkbbKJq2Pryg/w640-h360/50803950_303.jpg" width="640" /></a></div> Le premier Ministre ne se souvient sans doute pas du 5ème président Tanzanien, mais il est impossible qu’il ait complètement oublié son combat contre la corruption.
 
 
 
 
 
 
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  » Mes condoléances au peuple Tanzanien et à la famille biologique de SEM Président John Magufuli. Son combat contre la corruption est un exemple pour chacun de nous. L’Afrique est en deuil », a-t-il brièvement écrit sur son compte Twitter. Rares sont les leaders Africains que toute l’Afrique a pleurés. John Magufuli est le dernier qui entre sur cette liste très restreinte de Lumumba , Sankara, Mandela , Samora.

Politique Décès de Magufuli : " Son combat pour la corruption est un exemple pour chacun de nous "( Sama Lukonde)

Le décès de John Pombe Magufuli à l’âge de 61 ans des suites des complications cardiaques continue à faire réagir sur le continent. Le prem...

Election 2023: la CENCO lance sa feuille de route

March 19, 2021

L'épiscopat catholique congolais met le curseur sur le processus électoral. A travers "Agenda 2023", la feuille de route que le Secrétaire général de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), l'abbé Donatien Nshole, a officiellement lancée hier jeudi 18 mars au centre interdiocésain de Kinshasa, le clergé catholique tâche de maintenir la pression sur la classe politique, soupçonnée de vouloir jouer aux prolongations. Loin de se tourner le pouce, les évêques donnent le ton et balisent déjà la voie pour la tenue du scrutin de 2023. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8Nb0GZAt_kUqCSkiF5ANNcRQMAD0qvjWPlFt1fM8HHINUxzt_eVC9zCKCh3c6kOY4eulLRceFz-rBAxGPNCCYfES9GvD4dP2AkT1-hYg-aokvBG44pSe3Cw_i73u2ZxySxIpag4zJQg/s500/EVEQUES-CENCO.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="376" data-original-width="500" height="482" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8Nb0GZAt_kUqCSkiF5ANNcRQMAD0qvjWPlFt1fM8HHINUxzt_eVC9zCKCh3c6kOY4eulLRceFz-rBAxGPNCCYfES9GvD4dP2AkT1-hYg-aokvBG44pSe3Cw_i73u2ZxySxIpag4zJQg/w640-h482/EVEQUES-CENCO.jpg" width="640" /></a></div> Se voulant pragmatique, la CENCO a peaufiné un programme pratique pour préparer l'opinion aux échéances électorales, bravant ainsi la fronde de leurs pourfendeurs qui n'ont pas tardé à déclencher une campagne de dénigrement contre les autorités ecclésiales.
 
 
 
 
 
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 C'est dans cette perspective que l'abbé Donatien Nshole a remis hier la feuille de route de l'épiscopat congolais à l'équipe technique de la CENCO pour sa matérialisation. L'"Agenda 2023" a été ainsi confié à la Commission épiscopale justice et paix (CEJP), représentée par le Père Clément Makiobo.Au parfum de l'avalanche déclenchée par la récente déclaration du Comité permanent de la CENCO, l'abbé Nshole a jugé opportun d'apaiser l'ire des partisans du pouvoir qui se sont répandus en invectives contre les princes de l'Eglise. Aux cadres et militants des partis et regroupements politiques, le porte-parole de l'épiscopat congolais a fait remarquer que "l'Agenda pour les élections de 2023 n'est pas une feuille de route pour combattre les acteurs politiques".UN PROGRAMME PLANIFIE"C'est plutôt un programme planifié pour mobiliser la population autour de la question électorale, afin que son vote arrive au pouvoir des personnes et programmes qui répondent à leurs aspirations", a précisé l'abbé Nshole, relayé par un communiqué de presse de la CENCO. Il rappelle, à cet effet, qu'il y a quelques semaines, les évêques membres du Comité permanent de la CENCO ont été pris à parti après le message qu'ils ont adressé aux fidèles catholiques ainsi qu'aux hommes de bonne volonté au terme de leurs travaux tenus du 22 au 25 février 2021 à Kinshasa.Dans cette déclaration, les pères évêques ont examiné la situation sociopolitique, sécuritaire et humanitaire de la RDC, a poursuivi l'abbé Nshole. "S'agissant de la situation sociopolitique, les Evêques membres du Comité permanent ont recommandé au Gouvernement de tout mettre en œuvre pour gagner le pari de l'organisation des élections crédibles, transparentes et apaisées en 2023 et pas plus tard", a évoqué le Secrétaire général de la CENCO. "Cette déclaration a suscité des réactions diverses, allant jusqu'aux insultes, à la médisance et aux menaces proférées contre certaines personnalités de l'Eglise", fait-il remarquer.LE ROLE PROPHETIQUE D'"EVEILLEUR""Pourtant, conformément à son rôle prophétique d' "Eveilleur", la CENCO n'a fait qu'un simple rappel de quelques dispositions des articles 70, 103, 105, 197 et 198 de la Constitution de la RDC qui déterminent la durée et le nombre de mandats du Président de la république, des députés nationaux, des sénateurs, des députés provinciaux ainsi que des gouverneurs et vice-gouverneurs", signale le communiqué de presse de la commission épiscopale.Secrétaire de la CEJP, le père Clément Makiobo a profité de l'occasion pour souligner le fait que "préparer les élections demande du temps et des moyens". Il revient donc aux différents acteurs du processus électoral, partis politiques en tête, de s'impliquer réellement dans les différentes phases de ce processus, a-t-il mentionné.
 
 
 
 
 
 
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 HALTE AU RETARD DANS LES PREPARATIFS"Dans tout Etat de droit, l'autorité des pouvoirs publics ne peut être fondée que sur la volonté du peuple, exprimée à la faveur des élections sincères, libres et régulières, c'est-à-dire périodiquement au suffrage universel", a commenté le Père Clément Makiobo. Pour le secrétaire de la CEJP, le peuple attend concrètement du Parlement de répondre à la question du cadre légal des élections, c'est-à-dire de voter des réformes électorales prioritaires, tout en évitant que ces réformes n'entraînent un retard dans l'organisation des élections."En accumulant le retard dans la préparation des élections, on hypothèque leur tenue à la date prévue... Il est (donc) bon de comprendre que les questions politiques sont flexibles et les solutions peuvent rapidement être trouvées, alors que les questions techniques sont rigides", a martelé le Père Clément Makiobo, paraphrasant Corneille Nangaa, le président sortant de la Centrale électorale.UNE CONTRIBUTION POSITIVELe Père Clément Makiobo formule, dès lors, le vœu de voir cette feuille de route "apporter réellement une contribution positive à la consolidation de la démocratie congolaise". De même, la paix et la cohésion nationale. "Que cette feuille électorale, dit-il, soit accueillie comme un instrument de travail et d'échange dans un esprit de tolérance et de respect mutuel, permettant ainsi l'émergence d'une authentique culture démocratique chez les citoyens".A la lumière de l'"Agenda 2023", le chargé de programme Education civique et électorale de la CENCO, M. Cyrille Ebotoko, a dévoilé les trois volets de ce document phare, à savoir: Plaidoyer et médiation, Observation électorale et Education civique.

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L'épiscopat catholique congolais met le curseur sur le processus électoral. A travers "Agenda 2023", la feuille de route que l...

Trésor public: la présidence de la république a dépensé plus de 29 millions de dollars en fin février

March 19, 2021

Contrairement à l'équipe de Kabila qui ne comptait que 445 membres, le cabinet Tshisekedi aligne 1.018 cadres et agents. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiacJ9lu1yf5oxPyo_hY6A40C6TnDsUYGczmTy0pJI7-CPF16jFVqDg9q7O6p_v1PMlYKG0XvcHOPmSMC0BPU3NuSDpHWA6ZZhlDQcGGJBlh7Ip3iK9jplqkFTfox00W4ZTf_jgxkzd5g/s2048/Presidence-RDC.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1366" data-original-width="2048" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiacJ9lu1yf5oxPyo_hY6A40C6TnDsUYGczmTy0pJI7-CPF16jFVqDg9q7O6p_v1PMlYKG0XvcHOPmSMC0BPU3NuSDpHWA6ZZhlDQcGGJBlh7Ip3iK9jplqkFTfox00W4ZTf_jgxkzd5g/w640-h426/Presidence-RDC.jpg" width="640" /></a></div> La Présidence de la république a dépensé, à elle toute seule, 60,4 milliards de francs congolais, soit 29,2 millions USD (au taux budgétaire de 2067 pour 1 dollar) à fin février. Pourtant, les prévisions linéaires étaient de l'ordre de 53,2 milliards de francs congolais, équivalent à (25,7 millions USD), soit 113,5%.
 
 
 
 
 
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 Selon le rapport de la Direction générale des politiques et programmation budgétaire, service du ministre du budget, 16,6 millions de dollars américains ont été utilisés pour les rémunérations et 11,5 millions de dollars américains pour le fonctionnement.Fin décembre 2020, la Présidence de la république avait dépensé 335,0 milliards de FC (181,6 millions USD au taux budgétaire de 1844 FC pour 1 dollar), sur les prévisions.Selon le rapport de fin février de la Direction générale des politiques et programmation budgétaire, les besoins en rémunération de la Présidence de la république ont été payés à hauteur de 34,3 milliards de franc congolais (16,6 millions USD au taux budgétaire de 2067 FC).Comparés aux engagements de 34 milliards de FC, il se dégage un taux d'exécution en deux mois de 100%. Selon la loi de finances 2021, un effectif de 7.934 agents a été aligné à la rémunération.Dans ces effectifs, "1.018 membres du cabinet du Président de la république (personnels politiques) sont bénéficiaires des indemnités de logement et de salaire", précise la même source. Ce, avec un salaire moyen de 3.319 USD.En 2020, l'effectif aligné était de 6.728, dont 721 membres (personnels politiques) du cabinet du président de la République, renseigne la loi des finances de l'année. Fin décembre, le trésor public a dépensé 176 milliards de FC, soit 95,4 millions de dollars américains.
 
 
 
 
 
 
 
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 Selon la loi de finances 2021, un crédit budgétaire de 174,8 milliards de FC, soit 84,5 millions USD a été voté pour les dépenses de rémunérations de la Présidence de la république.Sous l'ancien président Joseph Kabila, c'est à peine 445 membres de cabinet qui étaient pris en charge pour un crédit budgétaire de 13,5 milliards de FC, soit 8,1 millions USD, indique la loi de finances 2018.

Politique Trésor public: la présidence de la république a dépensé plus de 29 millions de dollars en fin février

Contrairement à l'équipe de Kabila qui ne comptait que 445 membres, le cabinet Tshisekedi aligne 1.018 cadres et agents. La Présidence d...

Henri-Thomas Lokondo reçoit des hommages officiels ce vendredi au Palais du peuple

March 19, 2021

<h1 style="text-align: left;">La dépouille mortelle de l'honorable député national, Henri Thomas Lokondo Yoka, est arrivée hier jeudi 18 mars à Kinshasa, en provenance de la République Sud-africaine. Elle est gardée à la morgue de l'hôpital du cinquantenaire. Des hommages officiels de la nation seront rendus à cet élu de Mbandaka ce vendredi 19 mars au Palais du peuple, rapporte la cellule de communication de la représentation nationale.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLV6r8Pewv4uGaq-uUK5oDvetRJMb-4iHXGPmUcUxVF-GvjahWLmo9l4H5jAP-2HGEYCoNNeJLgQCIF0FG1vuTkbT4dvsPq-VZHBj6R_A2cm1d2ad7f24UZ15kQglRoYmQ9tYiXP7l8g/s499/Henri-Thomas-Lokondo-juge-sa-suspension-du-regroupement-PALU-et-Allies.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="375" data-original-width="499" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLV6r8Pewv4uGaq-uUK5oDvetRJMb-4iHXGPmUcUxVF-GvjahWLmo9l4H5jAP-2HGEYCoNNeJLgQCIF0FG1vuTkbT4dvsPq-VZHBj6R_A2cm1d2ad7f24UZ15kQglRoYmQ9tYiXP7l8g/w640-h480/Henri-Thomas-Lokondo-juge-sa-suspension-du-regroupement-PALU-et-Allies.jpg" width="640" /></a></div> Une délégation, composée des députés nationaux, était dépêchée le même jeudi 18 mars en Afrique du Sud pour rapatrier le corps du député Henri-Thomas Lokondo. Cette délégation était conduite par le deuxième Vice-président de l'Assemblée nationale, Vital Banywesize.
 
 
 
 
 
 
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 Le programme des obsèques prévoit l'enterrement de feu Henri Thomas Lokondo le dimanche 21 mars à Mbandaka, chef-lieu de la province de l'Equateur.Henri Thomas Lokondo Yoka est né le 27 juillet 1955 dans la province de l'Équateur, dans une famille Mongo. Il a obtenu son diplôme en sciences politiques avec une spécialisation en relations internationales de l'Université libre de Bruxelles.Il a ensuite travaillé dans les services de renseignement du gouvernement congolais à Uvira. De 1991 à 1992, il a participé à la Conférence Nationale Souveraine - une convention nationale qui discutait de la démocratisation et de la réforme politique. Il a ainsi été expert auprès du Haut Conseil de la République.Lokondo a siégé au Sénat de 2006 à 2011 et presté à la commission de politique étrangère. Il a été élu à l'Assemblée nationale sur un billet UCL, représentant la circonscription de Mbandaka.
 
 
 
 
 
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 Henri Thomas Lokondo a contracté le Covid-19 au mois de janvier dernier, avant d'être transféré à Johannesburg, en Afrique du sud, pour des soins appropriés. Il est décédé le 10 mars 2021 au pays de Nelson Mandela.</h1>

Politique Henri-Thomas Lokondo reçoit des hommages officiels ce vendredi au Palais du peuple

La dépouille mortelle de l'honorable député national, Henri Thomas Lokondo Yoka, est arrivée hier jeudi 18 mars à Kinshasa, en provenanc...

Avis de recherche: la résidence secondaire de Kalev Mutomb a été perquisitionné alerte la famille!

March 19, 2021

La famille de l'ancien patron de l'ANR, qui donne l'alerte, demande aux institutions de la République de la sécuriser. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhy2Ob0KNToibX74_Sr_TcVmGkCtPXG7huzpQlNl_xbA88GxfgtHQRmAMGWTjs22YlQKU276PveApuKlqsN8NjaeDpzvLrEqm1c5VclbO9Qi2Cq5Ep5m3iT-iWdvfqyF4YJkqOKXCJeg/s1068/IMG-20200818-WA0565-1068x801.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="801" data-original-width="1068" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhy2Ob0KNToibX74_Sr_TcVmGkCtPXG7huzpQlNl_xbA88GxfgtHQRmAMGWTjs22YlQKU276PveApuKlqsN8NjaeDpzvLrEqm1c5VclbO9Qi2Cq5Ep5m3iT-iWdvfqyF4YJkqOKXCJeg/w640-h480/IMG-20200818-WA0565-1068x801.jpg" width="640" /></a></div> La résidence secondaire de GB, dans la commune de la Gombe, de l'AG honoraire Kalev Mutondo a été perquisitionnée aujourd'hui 18 mars 2021 de 16 heures à 20 heures par des éléments des FARDC, à bord de 5 jeeps, accompagnés de quelques agents non identifiés.
 
 
 
 
 
 
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 Aucune copie du Mandat de perquisition n'a été remise à la famille et aucun membre de la famille n'a été associé à cette perquisition. Devant cet acharnement qui frise une expression de haine manifeste envers sa personne, la présence de la Monusco est vivement souhaitée pour empêcher que ces éléments non identifiés ne déposent des armes pour nous faire porter le chapeau injustement et inutilement. La famille demande encore une fois de plus aux Institutions de la République de garantir la sécurité et l'intégrité physique de notre père et réitère sa demande aux Églises et aux autres personnes de bonne volonté de nous aider à le localiser. La famille Quid des actes posés au nom de l'Etat congolais? C'est la toute première fois dans le monde entier qu'un ancien chef des Services de Renseignements est poursuivi en justice pour des faits commis dans l'exercice de ses fonctions officielles. Et pour cause. L'exercice légal de cette activité est à la lisière de l'illégalité. Ces Services de sécurité opèrent généralement dans l'illégalité et tous, de la CIA américaine au MOSSAD israélien ou à la DGSE " Direction générale des services extérieurs " française ou encore l'AND " Agence nationale de documentation " dans l'ancien Zaïre du tout puissant Maréchal Mobutu Sese Seko disposent toujours, tous sans exception d'une Division des Opérations clandestines qui opère officiellement dans l'illégalité totale. Ce qui offre un statut particulier aux Services de Renseignements différents des autres services de l'Etat. Ainsi va ces services de Renseignements dans tous ces Etats de vielle démocratie d'où on les a hérités. La difficulté, c'est que puisque ces services travaillent officiellement dans l'illégalité couverte par l'Etat lui-même, comment organiser les procédures pénales pour des faits commis par leurs responsables dans l'exercice de leurs fonctions. C'est ici où il faut réfléchir de manière froide, sans avoir en tête l'affaire Kalev Mutondo. Pour bien cerner la question, on est obligé de se transporter aux USA que la planète entière prend comme référence en cette matière des Renseignements. Analysons les actes posés par le Kalev de l'ère Bush après les attentats de Ben Laden à New York le 11 septembre 2001. A travers le monde la CIA a impitoyablement traqué les djihadistes d'Al Quaïda dont certains étaient arrêtés et détenus sans procès à la prison américaine de Guantanamo, torturés à mort chaque jusqu'à l'arrivée de Barak Obama qui a fermé ce camp. D'autres djihadistes étaient torturés dans des avions de la CIA alors que la torture est prohibée sur le territoire américain. Maintenant question, les djihadistes d'Al Qaïda libérés de Guantanamo peuvent-ils porter plainte pour tortures contre le directeur de la CIA à l'époque des faits ? Non. Car il n'est pas pénalement responsable des actes commis par les agents de la CIA mais plutôt le gouvernement américain. Toute plainte ne peut être adressée que contre l'Etat américain qui a créé la CIA et qui emploie ses agents.
 
 
 
 
 
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 Revenons en RDC pour voir si Kalev Mutondo, l'ancien patron de l'ANR sous Joseph Kabila rentre-t-il dans ce cas de la CIA américaine ? Naturellement. Etant donné qu'il faut faire la part des choses entre Kalev individu et Kalev, chef de l'ANR. Les actes posés alors par les agents de son Service ne l'engagent pas lui pénalement, car il s'agit el et bien de agents de l'Etat. C'est l'Etat, civilement responsable, qui doit répondre de tout. Sauf, s'il est démontré que Kalev lui-même de sa main comme AG de l'ANR avait torturé les détenus comme le soutiennent les plaignants. Même dans ce cas précis, il faudrait qu'il y ait une preuve montrant Kalev en train de les torturer de sa main. Jusqu'à ce jour, on n'a pas entendu qu'il y avait des images dans ce sens. Partant, Kalev Mutondo devrait aller se présenter chez le PG près la Cour d'appel de Gombe d'autant plus qu'il y a du mal à distinguer le " Kalev individu" et du "Kalev AG de l'ANR". Comme à l'époque de Bush, le chef de la CIA qui irait répondre à la place de l'Etat américain

Justice Avis de recherche: la résidence secondaire de Kalev Mutomb a été perquisitionné alerte la famille!

La famille de l'ancien patron de l'ANR, qui donne l'alerte, demande aux institutions de la République de la sécuriser. La réside...

Gouvernement Union Sacrée Sama Lukonde: "il ne faut pas confondre urgence et précipitation"

March 19, 2021

Le Premier ministre Sama Lukonde, s’est voulu rassurant après s’être entretenu, hier jeudi 18 mars, avec le Président de la République Félix-Antoine Tshilombo à la Cité de l’Union africaine. Face à la pression de plus en plus croissante au sein de la population, quant à la publication du gouvernement, le nouveau Premier Ministre a lancé un appel à la sérénité. « C’est vrai que nous comprenons l’urgence de la sortie du gouvernement, mais il ne faut pas confondre urgence et précipitation», s’est-il exprimé à la presse au sortir de l’audience avec le Chef de l’Etat qui s’est déroulé en toute sérénité. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZUeIx8keOTaLbZutEjPJKo6LhWnJqmlyKtDy0sxgSgK4HgZ7H2Mu8nJTX0FIcBLU7Xk3UOPvzTYU2Oswrk2SAzdqXdcjD-uWYACuhRXxQVsmIIPjuik-Mayda_O8HhZ7bHQdlvoqF1A/s800/Sama7_1.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="800" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZUeIx8keOTaLbZutEjPJKo6LhWnJqmlyKtDy0sxgSgK4HgZ7H2Mu8nJTX0FIcBLU7Xk3UOPvzTYU2Oswrk2SAzdqXdcjD-uWYACuhRXxQVsmIIPjuik-Mayda_O8HhZ7bHQdlvoqF1A/w640-h320/Sama7_1.png" width="640" /></a></div> Le chef du Gouvernement est tout à fait conscient du temps relativement long qu’il a pris par rapport à sa promesse de tout finaliser avant l’ouverture de la session parlementaire ordinaire de mars, ouverte le lundi 15 mars courant. En dépit de cette situation, le Premier ministre reste serein et estime qu’il est encore possible de rattraper le temps perdu. Car, au niveau de l’Assemblée nationale, l’harmonisation du calendrier des travaux peut s’étaler sur quelques jours encore. Ce qui lui laisse tout de même un moment nécessaire pour fignoler la composition de l’équipe gouvernementale qu’il compte présenter aux Congolais dans le meilleur délai.
 
 
 
 
 
 
 
 
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 «Nous espérons que dans les prochains jours, nous serons en mesure de nous présenter au Parlement avec un programme du Gouvernement enrichi des apports de toutes les forces vives de la Nation que nous avons reçues», a fait savoir Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge. Depuis le début des consultations, le 22 février dernier, le Premier Ministre dit avoir rencontré tous les regroupements politiques qui, dans leur large majorité, lui ont réaffirmé leur soutien au projet de l’Union sacrée de la nation. Sama Lukonde a indiqué avoir reçu de différentes délégations, non seulement des propositions en termes d’enrichissement du Programme gouvernemental en gestation, mais aussi, l’engagement de participation au futur Exécutif sur le principe d’inclusivité. Le Premier ministre a également évoqué la participation de la Société civile, des femmes et des jeunes dans son gouvernement. Tout ceci expliquerait, d’après lui, le caractère laborieux de la mission qui est la sienne. Quant à la taille du gouvernement, il a indiqué que cela fait également partie des contraintes d’autant plus que l’option d’une réduction de 30% par rapport à la stature actuelle (67 membres), devrait cadrer avec les aspirations de certaines forces politiques qui ont vu leur quota baisser en même temps qu’elles doivent désigner leurs délégués selon la nouvelle configuration. «Nous y tenons. Nous avons dit que nous devons réduire le train de vie des institutions, et indépendamment de toutes ces difficultés, il faut qu’on arrive à ce résultat», a-t-il ajouté.
 
 
 
 
 
 
 
 
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 A l’approche de la sortie imminente du gouvernement, Jean-Michel Sama Lukonde a promis de s’adresser aux Congolais et de leur faire l’économie de ses consultations avec les forces vives de la nation et leur présenter, très prochainement, la mouture finale.

Politique Gouvernement Union Sacrée Sama Lukonde: "il ne faut pas confondre urgence et précipitation"

Le Premier ministre Sama Lukonde, s’est voulu rassurant après s’être entretenu, hier jeudi 18 mars, avec le Président de la République Félix...

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