MAÎTRE RICHARD MPINDA FATSHI FRANCHI LA LIGNE ROUGE KATUMBI PEUT QUITÉ L'UNION SACRÉE LE PAYS AVANCERA ( VIDEO )

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DECLARATION DES COMMUNICATEURS DEFENSEURS DE FATSHI SOUTENANT LES DIRIGEANTS DE LA CENI ENTERINES . PRESIDENT RENE , MWANA AKOLI SANS RIVAL ET LES AUTRES . ( VIDEO )

<p> </p> <iframe width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/tW0NKnM1kCk" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>

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FELIX TSHISEKEDI DEFIE MOISE KATUMBI ET LA CENCO , ENTERINE DEFINITIVEMENT LE BUREAU DE LA CENI (VIDEO)

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MOISE KATUMBI A FRACHI LA LIGNE ROUGE , LA REPLIQUE DE FELIX TSHISEKEDI : KATUMBI DEVENU OPPOSANT . MAITRE JOEL KITENGE DU 24 / 10 / 2021 . ( VIDEO )

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ON `NE QUITTE PAS LA TABLE AVANT LE ROI SINON C ' EST L ' EXIL . MOISE KATUMBI LE GRAND MANIPULATEUR POUR SAPER LES ACTIONS DU CHEF DE L ' ETAT . ( VIDEO )

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Gestion des écoles publiques en RDC : l’Eglise Catholique prête à en découdre avec l’Etat !

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjYepQ8tCwpS2b1jLQBSoVDdA_PIJiRO81EmQj6cDVOiaU53liO66yIfYRDgf8zSDucbTFWyHUrkmipGzsLzqmLBBqZNJZdzjs7DuhlkpclOU1Vu2_jiMqnZoR8W11pZ1R4iMSsjBMLmHssU40e_jA2LFG3Eo6POi6ViWG14_SDFZ7wzi9z0wR9NCc-uA=s1725" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="866" data-original-width="1725" height="161" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjYepQ8tCwpS2b1jLQBSoVDdA_PIJiRO81EmQj6cDVOiaU53liO66yIfYRDgf8zSDucbTFWyHUrkmipGzsLzqmLBBqZNJZdzjs7DuhlkpclOU1Vu2_jiMqnZoR8W11pZ1R4iMSsjBMLmHssU40e_jA2LFG3Eo6POi6ViWG14_SDFZ7wzi9z0wR9NCc-uA=s320" width="320" /></a></div>La grève des enseignants des écoles publiques, depuis le 04 octobre dernier, sur toute l’etendue de la République, risque de rendre exécrable le partenariat entre l’Etat et les associations signataires de la Convention.<br /><br />Au cours d’un point de presse, organisé le vendredi 22 octobre 2021, l’Eglise Catholique est montée au créneau pour fustiger le comportement de l’Etat.<br /><br /><br />Ce dernier, pense l’Eglise Catholique, ne respecte pas ses engagements. » Nous voudrions simplement rétablir la vérité. Si problème il y a, c’est du côté du Gouvernement qui ne respecte pas ses engagements « , a déclaré l’abbé Donatien Nshole, secrétaire général de la Conférence épiscopale nationale du Congo. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Concernant la gestion des Ecoles Conventionnées Catholiques, l’abbé Donatien Nshole a affirmé que : » Si l’Etat menace de retirer la gestion des écoles par l’Eglise, ça n’engage que lui « .<br /><br />Il a poursuivi : » Je vous mettrai au défi de vous donner prochainement les chiffres, l’argent sorti par les différentes congrégations, par des organes internes de l’Eglise pour construire des écoles, pas privées mais publiques. Si l’Etat pense mieux faire que l’Eglise, il est libre ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Évoluant dans son argumentaire, le Secrétaire général de la Cenco avait souligné que l’Eglise restera avec ses bâtiments et en fera ce que bon lui semble, avant de conclure que ça ne sera pas une bonne décision parce que c’est la population qui va en pâtir.<br /><br />Rappelons, pour conclure, qu’il existe, en République Démocratique du Congo, un partenariat entre l’Etat et les associations ( les Eglises).<br /><br />Ce partenariat a été concrétisé depuis 1977 par la signature d’une convention pour la gestion des écoles publiques.<br /><br />Cependant, l’actuelle grève des enseignants ouvre la voie à une escalade verbale entre acteurs et partenaires éducatifs.<br /><br /><br />Cela peut donner lieu à la conclusion que la situation n’est pas plausible dans le sous-secteur de l’EPST. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le décor n’est-il pas planté pour la revisitation de cette Convention ? Ou encore, ne tendons-nous pas vers une rupture de collaboration entre l’Eglise Catholique uniquement et l’Etat, dans la gestion des écoles publiques ?<br /><br />Il y a donc lieu de s’interroger sur l’avenir de ce partenariat entre l’Etat et les Eglises.<br /><br />Qui vivra verra.<br /><br /> Jules KISEMA/ Congoprofond. net.<p> </p>

Politique Gestion des écoles publiques en RDC : l’Eglise Catholique prête à en découdre avec l’Etat !

La grève des enseignants des écoles publiques, depuis le 04 octobre dernier, sur toute l’etendue de la République, risque de rendre exécrabl...

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RDC : Félix Tshisekedi instruit l’IGF, toutes affaires cessantes, de faire la lumière sur le présumé détournement des primes des Léopards Dames U20

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj6e7blBLA2Z5dVgARpV_V_49pBKI_RciXBp1_RN9BidTQa2UgZddDFaC2odeFrCU44xD0-17BAPElxxOEPihTLvykgr5jJSSwGbSiy4d9y-vL69Sdi2eWMQBIdxiA-ZV1S2erAyL6cqRdMRikd029ZgVmcpxiaVkUnq1yyksEtqxdIlM6it0qmGWzQfg=s993" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="565" data-original-width="993" height="182" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj6e7blBLA2Z5dVgARpV_V_49pBKI_RciXBp1_RN9BidTQa2UgZddDFaC2odeFrCU44xD0-17BAPElxxOEPihTLvykgr5jJSSwGbSiy4d9y-vL69Sdi2eWMQBIdxiA-ZV1S2erAyL6cqRdMRikd029ZgVmcpxiaVkUnq1yyksEtqxdIlM6it0qmGWzQfg=s320" width="320" /></a></div>RDC : Tshisekedi donne des instructions aux ministres de la Justice et de l’Intérieur, ainsi qu’à l’ANR pour lutter contre le tribalisme <br /><br />Le président de la République démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est une fois de plus monté au créneau pour dénoncer la montée en puissance du tribalisme au pays.<br /><br />C’était lors de la réunion du conseil des ministres tenue le vendredi 22 octobre 2021 par vidéo-conférence. <br /><br />Dans sa communication, Félix Tshisekedi a rappelé que le tribalisme est l’une des causes majeures de l’inversion générale des valeurs et de la ruine en RDC. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />« Il a déploré le fait que ce fléau refasse surface et qu’il soit de plus en plus véhiculé dans des chants et actes posés lors des manifestations, et/ou à travers les réseaux sociaux, notamment par certains acteurs politiques« , lit-on dans le compte-rendu du conseil des ministres. <br /><br />D’où, le « vibrant » appel du chef de l’État à lutter contre ce fléau et à le dénoncer publiquement. <br /><br />Par ailleurs, le président de la République a instruit la ministre de la Justice, Rose Mutombo, à ouvrir des enquêtes contre les personnes qui véhiculent des messages à caractère tribale. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />« Par conséquent, le président de la République a instruit la minstre d’État, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, sur base de l’ordonnance loi n°66342 du 7 juin 1966 portant répression du racisme et du tribalisme, d’ouvrir des enquêtes judiciaires à l’encontre de toute personne ou groupe de personnes qui secoue la fibre tribale à des fins séparatistes, de sorte que les auteurs des déclarations tribales répondent de leurs actes devant les instances judiciaires« , renchérit la même source.<br /><br />Par ailleurs, l’instruction a été également donnée au vice-premier ministre de l’Intérieur Daniel Aselo Okito, ainsi qu’à l’Agence Nationale de Renseignements (ANR) d’identifier les auteurs de ce « dérapage » et de mettre en garde tous les acteurs politiques qui se « complaisent dans ces mauvaises pratiques » et de les mettre à la disposition de la Justice. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Pour sa part, le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya, a été invité par le président Tshisekedi, à réguler son secteur dans une approche participative dans la lutte contre ce fléau car, estime le chef de l’État, les médias sont l’un des canaux majeurs utilisés pour faire germer la semence du tribalisme dans l’esprit et le cœur des Congolais. <br /><br />Félix Tshisekedi a, cependant, encouragé la ministre près le président de la République, Nana Manwanina Kiumba, à poursuivre la campagne de sensibilisation qu’elle a entreprise sur la cohésion et l’unité nationales.<br /><br />7sur7.cd<p> </p>

Politique RDC : Félix Tshisekedi instruit l’IGF, toutes affaires cessantes, de faire la lumière sur le présumé détournement des primes des Léopards Dames U20

RDC : Tshisekedi donne des instructions aux ministres de la Justice et de l’Intérieur, ainsi qu’à l’ANR pour lutter contre le tribalisme Le ...

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La Belgique veut des élections "crédibles" et "transparentes" en 2023

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiScJMfwbITADxAmmOWe5MK-uwCNwKMKLEGokaMlP6iVDEGCJJhRM0QL9Rn52_5RMdZy4LbCaJzbRZaVjQZ_4KWz6elkAhZgV2DmvBGJKnyRPCogl2SVXo9rmul-9VGg7APGYtMlRjqYv2yvJoGoRqXDvRZe5o1E-QB-PiFq3xXaNs6ooHT8wG_FCUybA=s995" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="555" data-original-width="995" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiScJMfwbITADxAmmOWe5MK-uwCNwKMKLEGokaMlP6iVDEGCJJhRM0QL9Rn52_5RMdZy4LbCaJzbRZaVjQZ_4KWz6elkAhZgV2DmvBGJKnyRPCogl2SVXo9rmul-9VGg7APGYtMlRjqYv2yvJoGoRqXDvRZe5o1E-QB-PiFq3xXaNs6ooHT8wG_FCUybA=s320" width="320" /></a></div>La ministre belge des Affaires étrangères, Sophie Wilmès, a indiqué vendredi avoir fait part à son homologue congolais, Christophe Lutundula Apala Pen’Apala, de l’attachement de la Belgique à la tenue d’élections "crédibles" et "transparentes" en 2023 en République démocratique du Congo (RDC), alors l’organisation de ces scrutins semble marquer le pas.<br /> La cheffe de la diplomatie belge et vice-Première ministre s’est entretenue vendredi à Bruxelles avec M. Lutundula, lui aussi vice-Premier ministre et qui séjourne en Belgique de jeudi à samedi.<br /><br />"Cette visite vient concrétiser la volonté de la Belgique et de la République démocratique du Congo de renforcer leur partenariat stratégique et d’entretenir une concertation étroite dans de nombreux domaines" à la suite de la visite effectuée du 18 au 22 septembre 2019 par le président congolais Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, ont indiqué les deux ministres dans un communiqué conjoint. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Cette visite présidentielle s’était notamment traduite par la signature d’un mémorandum sur le renforcement de la coopération entre les deux ministères des Affaires étrangères, qui prévoit des consultations bilatérales régulières.<br /><br />Dans leur communiqué, Mme Wilmès et M. Lutundula se félicitent de l'"excellence des relations bilatérales" et de l’esprit de respect mutuel qui les caractérisent, en faisant référence aux consultations politiques tenues à Bruxelles en septembre 2019 ainsi qu’en janvier 2021 au niveau des ministères des Affaires étrangères. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Lors de leur entretien, M. Lutundula a fait un large tour d’horizon des enjeux politiques actuels en RDC. Mme Wilmès a pour sa part "notamment réitéré l’attachement de la Belgique à la tenue d’élections crédibles et transparentes en 2023, à la lutte contre l’impunité et la corruption ainsi qu’à l’amélioration continue de la situation des droits humains", indique le communiqué.<br /><br />L’organisation des élections générales – présidentielle, législatives et provinciales – prévues fin 2023 semble patiner : la RDC ne dispose toujours pas d’une Commission électorale nationale indépendante (Céni) opérationnelle à deux ans de l’échéance. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />L’Assemblée nationale congolaise a bien entériné samedi le choix d’un bureau de la Céni présidé par Denis Kadima Kazadi, malgré le veto de l’épiscopat catholique, qui l’accuse de "corruption" – et de sa proximité présumée avec le camp présidentiel, dénoncée par l’opposition. Mais M. Tshisekedi doit confirmer ce choix par une ordonnance présidentielle qui se fait attendre.<p></p><div><b>rtbf.be</b></div>

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La ministre belge des Affaires étrangères, Sophie Wilmès, a indiqué vendredi avoir fait part à son homologue congolais, Christophe Lutundula...

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RDC: Les dessous des études de Joseph Kabila en Afrique du sud

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhjjxKRxLMcM2WpYJhaT2z3Lr2By4yqSs7c_zxTScjovbkcZBxHV17wkFvfmLZlZ0P0_-SM9rIUExbfos0BqoG-B1pw5DhNR2tSz6v2-mTtWI6Khv7CYnCKAEZ4nEEa9WSY7CXj7hbE0e2HkpHfwry05sU5AFd5ygfb0IYK3YXvJEYzJihmdiDwLpdHlw=s1490" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="870" data-original-width="1490" height="187" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhjjxKRxLMcM2WpYJhaT2z3Lr2By4yqSs7c_zxTScjovbkcZBxHV17wkFvfmLZlZ0P0_-SM9rIUExbfos0BqoG-B1pw5DhNR2tSz6v2-mTtWI6Khv7CYnCKAEZ4nEEa9WSY7CXj7hbE0e2HkpHfwry05sU5AFd5ygfb0IYK3YXvJEYzJihmdiDwLpdHlw=s320" width="320" /></a></div>L’ancien président de la République démocratique du Congo, le sénateur à vie Joseph Kabila a défendu son travail de fin d'études à l’Université de Johannesburg le vendredi 22 octobre 2021. Il obtient dans la foulée le diplôme de Master en sciences politiques et relations internationales à l’issue des études qui ont duré cinq ans.Comme un symbole, c’est une université située au cœur du quartier historique de Soweto en Afrique du sud, qui a été choisie par Joseph Kabila. Cette banlieue pauvre de Johannesburg fût à la base des émeutes ayant conduit au mouvement de lutte anti-Apartheid menée par l’icône mondiale Nelson Mandela. L’Université de Johannesburg a été fondée en 2005 à la suite de la fusion entre la Rand Afrikaans University (RAU, fondée en 1966) et l’ancienne Technikon Witwatersrand (TWR, fondée en 1903), après l’incorporation précédente des anciens campus East Rand et Soweto de l’ancienne Vista University dans la RAU en 2004. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Au milieu de la journée, le vendredi 22 octobre, Joseph Kabila est tiré à quatre épingles lorsqu’il descend d’une berline noire et s’engouffre dans les bâtiments de la l’African Diplomacy and Foreign Policy « NRF SARChI », un centre de recherche de la Faculté des sciences humaines de l’Université de Johannesburg, situés à Auckland Park. Débute aussitôt la cérémonie qui finit par couronner l’ancien président congolais. Il décroche y un diplôme de Master en sciences politiques et relations internationales. « Ce diplôme couronne cinq ans d’études à distance au cours d’une cérémonie tenue au campus de cette université sous la direction du Professeur Chris Landsberg du Centre Africain pour la Diplomatie et le Leadership », révèle Adam Chalwe, Secrétaire national du PPRD, parti de Joseph Kabila.<br /><br />POLITICO.CD s’est procuré une copie du travail de fin d’études de Joseph Kabila intitulé : « Du Désespoir à la Stabilité vers la Renaissance de la République Démocratique du Congo. Un narratif Auto-biographique et une Analyse Auto-ethnographique ». Il est structuré en six chapitres, y compris l’introduction et les remarques finales. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />La première partie traite de l’Indépendance au coup d’État militaire de 1965, la seconde allant de 1965 à 1997, lorsque les forces de libération ont renversé le régime Mobutu. La période de transition est suivie par la Troisième République avec la promulgation de la nouvelle constitution en février 2006, adoptée plus tard par référendum populaire. Le chapitre suivant aborde la question du fonctionnement des institutions au cours de la première et de la deuxième législatures (2006-2011et 2011-2018) avec une note particulière sur les institutions d’appui à la démocratie.<div><br /></div>Selon Joseph Kabila, il a fallu un “leadership fort” pour impliquer tout le monde dans ce qu’on appelle désormais la formule “1+4” convenue lors du dialogue de Sun City avec un président et 4 vice-présidents des anciens groupes rebelles, de l’opposition politique non armée et de la société civile. « Durant cette période, ce leadership a dû initier le programme de désarmement, démobilisation et réinsertion des ex-combattants dans la société (programme DDRR) pour assurer une paix durable dans le pays », explique-t-il dans son œuvre. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Sur le plan des relations internationales, le travail s’est appesanti sur les relations avec les Nations-Unies qui ont déployé une mission de maintien de la paix de près de 20 000 hommes, les relations avec les organisations multilatérales, les pays membres du Conseil de sécurité, le continent africain en particulier la SADC et les sous-régions d’Afrique centrale ainsi que les organisations influentes comme l’Union européenne et les pays de l’ASEAN.<br /><br />En guise de conclusion, l’ancien président fait remarquer tout d’abord que des efforts collectifs sous son leadership ont réussi à réunir le pays qui était au bord de la désintégration totale en 2001, avec six armées étrangères, quatre rébellions majeures et plus d’une centaine de groupes rebelles. « Deuxièmement, avec la mise en place d’une Constitution et d’un arsenal des structures étatiques tant aux niveaux national que provincial, il a pu être lancé des programmes de développement économique qui ont mis la RDC sur la voie d’une amélioration sensible des conditions de vie (PIB per capita en 2001 à 158 USD et 487 USD en 2018) notamment en remboursant et effaçant la dette de 14 milliards de USD laissée par le régime de la deuxième République, le pays est passé d’un taux de croissance négatif en 2001 à un taux de croissance à deux chiffres notamment avec l’appui des institutions de Bretton Woods et d’autres organisations financières internationales notamment africaines et en identifiant les 5 grands domaines prioritaires (Les 5 Chantiers de la République) : éducation, infrastructures, création d’emplois, santé, eau et électricité », commente-t-il ensuite <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> .<br /><br />Selon Joseph Kabila, les élections générales de 2018 ont permis de “boucler la boucle” d’un leadership innovant avec l’organisation sur fonds propres d’une élection avec pour la première fois dans l’histoire du pays depuis 1960, un transfert pacifique des pouvoirs présidentiels honorant la Constitution établie en 2006. <br /><br />Le Professeur Costa Georghiou, qui a dirigé ce travail, a plaidé auprès du récipiendaire d’accepter de prolonger son approche scientifique par un doctorat (PHD) dont le diplôme reçu ce jour lui ouvre scientifiquement les portes car équivalent à un Diplôme d’Études Approfondies (DEA) en système congolais.<div><br /></div><div><b>politico.cd</b></div>

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L’ancien président de la République démocratique du Congo, le sénateur à vie Joseph Kabila a défendu son travail de fin d'études à l’Uni...

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MOÏSE KATUMBI HYPOCRITE ET L'OPPOSANT DE FÉLIX TSHISEKEDI WAIT AND SEE . EDMOMD IZUBA REVELE ! POURQUOI LES ELEVES SONT DANS LES RUES ??? ( VIDEO )

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RENCONTRE SHADARI - FAYULU PAR LA MEDIATION DE JEAN PIERRE LA CROIX . JULES DENONCE UN COMPLOT ! ( VIDEO )

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MARTIN FAYULU : TO KENDE NA DIALOGUE TO BENDA MWA MBONGO,DJENNIT KANYINDA REVELE LE VRAI PROBLEME SUR LA GREVE DES ENSEIGNANTS , DENIS KADIMA OU DIALOGUE ? ( VIDEO )

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MAKOLO YA JP BEMBA EZA NA NZELA YA KO LONGWA NA UNION SACREE .AMBONGO ET SHOLE DOIVENT QUITTER LES CONFESSIONS RELIGIEUSES .PAUL TOSUWA FACE A GRACE BOLENGA . ( VIDEO )

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Covid-19 : Tshisekedi reçoit sa deuxième dose de vaccin et invite la population à se faire vacciner

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEijKpc8VvUdxePIjm2M5dLnTaKwBP92mKZtdRRX7hiAjkApgXac-upPhms5o63mXAgEYPtGlsbERFqzAXW6BU3x3ro2nY0nlAEubU7zvp2y1GCxdBzDdMdmmXAJzaUAaTYJU8nUW7tnR8VjtO6vWYO9Ewmc9A92HmR9aCaX_1UfdOifBnCza2QR80ds6A=s1084" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="773" data-original-width="1084" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEijKpc8VvUdxePIjm2M5dLnTaKwBP92mKZtdRRX7hiAjkApgXac-upPhms5o63mXAgEYPtGlsbERFqzAXW6BU3x3ro2nY0nlAEubU7zvp2y1GCxdBzDdMdmmXAJzaUAaTYJU8nUW7tnR8VjtO6vWYO9Ewmc9A92HmR9aCaX_1UfdOifBnCza2QR80ds6A=s320" width="320" /></a></div>Le Président de la République, Félix Tshisekedi et la Première Dame, Dénise Nyakeru ont bouclé, le jeudi 21 octobre en début de soirée, leur cycle vaccinal en prenant chacun leur deuxième dose de vaccin anti-Covid19 à la clinique présidentielle à Kinshasa.<br /><br />A cette occasion, le Chef de l’État a, une fois de plus, lancé un vibrant appel à la population l’invitant à se faire vacciner en masse, pour se protéger et stopper l’épidémie de Covid-19.<br /><br />À l’en croire, ainsi la relance de l’économie de la RDC permettra de répondre aux besoins sociaux du peuple.<br /><br />Le Chef de l’État, Félix Tshisekedi avait reçu sa première dose de vaccin contre la Covid 19 en septembre 2021. Le Chef de l’État avait pourtant en ce temps là, multiplié des sorties médiatiques contre le vaccin AstraZeneca. « Il n’est pas si sûr », disait-il. <div><br /></div><div><br /></div><div> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Ces propos avaient été vivement critiqués étant donné qu’ils tranchaient avec ceux du gouvernement et du Programme élargi de vaccination (PEV), qui tentaient de faire accepter le vaccin AstraZeneca dans l’opinion.<div><br /></div><div><b>Par Gilbert Ngonga</b><br /><p> </p></div></div>

Politique Covid-19 : Tshisekedi reçoit sa deuxième dose de vaccin et invite la population à se faire vacciner

Le Président de la République, Félix Tshisekedi et la Première Dame, Dénise Nyakeru ont bouclé, le jeudi 21 octobre en début de soirée, leur...

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Union sacrée : un château construit sur le sable au point de s’écrouler

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh4YSCcJkzs992j6cyK30k4rfybZswpb_shYA_85VyJo3DRlQIBarblzkwYIJXMXrIWS0m_V1VruoyKS47gHC9Hn_ZTs-D8amurtmwzEFpq8TrFNPm6BskPPM1WKxRtaUypHIplKDdVKr9u8wVuzg-bgu2QO_6riIUQsiteNiL_HcByuM8LQgSsBl8zXQ=s1084" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="773" data-original-width="1084" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh4YSCcJkzs992j6cyK30k4rfybZswpb_shYA_85VyJo3DRlQIBarblzkwYIJXMXrIWS0m_V1VruoyKS47gHC9Hn_ZTs-D8amurtmwzEFpq8TrFNPm6BskPPM1WKxRtaUypHIplKDdVKr9u8wVuzg-bgu2QO_6riIUQsiteNiL_HcByuM8LQgSsBl8zXQ=s320" width="320" /></a></div>On craignait d’évoquer l’événement avant d’en avoir les indices sérieux pour ne point être considéré comme une presse à sensation.<br /><br />Près d’un an après la formation de l’Union sacrée de la nation, la nouvelle coalition de Tshisekedi peine toujours à se stabiliser.<br /><br />La nouvelle vision du chantre de l’État de droit, ne sait plus à quel saint se vouer, pour colmater les brèches qui font entrer de l’eau à flots dans le navire qui est en train de sombrer.<br /><br />Avec l’entérinement des membres de la Commission Électorale Nationale Indépendante par l’Assemblée nationale, qu’est un passage en force réussi, l’Union sacrée subit maintenant les conséquences de ses stratégies mal réfléchies et mal conçues.<br /><br />Moïse katumbi, l’un des poids lourds de l’Union sacrée a d’ors et déjà lancé des consultations sur un éventuel départ de la majorité présidentielle.<br /><br />L’entérinement des membres de la centrale électorale qui n’est pas une surprise en tout cas, a plongé dans le désarroi la coalition Tshisekediste, dont l’UNC de Vital Kamerhe est aussi membre. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le parti rouge blanc va s’exprimer sur les sujets d’actualités politiques ce 23 octobre, dans un meeting populaire prévu à Kinshasa. Lors de cette activité, le parti cher à Vital Kamerhe, qui d’ailleurs avait suspendu sa participation aux réunions de l’Union sacrée va certainement éventrer le boa.<br /><br />La tension est montée d’un cran depuis quelques temps à la famille politique de Tshisekedi. Son camp et celui de Kamerhe ne s’entendent plus sur un certain nombre des choses, notamment l’emprisonnement de son ancien directeur de cabinet, vue de mauvais œil par ses adeptes.<br /><br />Après cette poussée de fièvre, l’éventualité d’une rupture de la coalition CACH signée à Nairobi est sans nul doute envisageable. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Jean Pierre Bemba, le leader du Mouvement de libération du Congo lui joue jusque-là à la sagesse, et observe de très près la situation, avant de prendre telle ou telle décision.<br /><br />La prudence et méfiance sont de mise à l’Union Sacrée de la Nation. Chacun des alliés a un agenda. L’avenir nous en dira plus.<div><br />Par Gilbert Ngonga</div>

Politique Union sacrée : un château construit sur le sable au point de s’écrouler

On craignait d’évoquer l’événement avant d’en avoir les indices sérieux pour ne point être considéré comme une presse à sensation. Près d’un...

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À Lubumbashi, Moïse Katumbi somme indirectement Félix Tshisekedi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh2cN7ULL-hnQMsA8fZHJzmfj1ChwQIPzBIFImwJqGl4yMU5Ypt_egFeQxCdEtsQJe_hl9JqLkv2S9dM8GeyFX-UxRyhiG2xrNC-fb5yzA2e2vgL7HDPZ187KTybgoSSkvWBxr0I_hr_uPPHBG1o_-dps93YWTF_TARuwj1vNoOzAunrxTR2SPmssEB0A=s1218" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="681" data-original-width="1218" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh2cN7ULL-hnQMsA8fZHJzmfj1ChwQIPzBIFImwJqGl4yMU5Ypt_egFeQxCdEtsQJe_hl9JqLkv2S9dM8GeyFX-UxRyhiG2xrNC-fb5yzA2e2vgL7HDPZ187KTybgoSSkvWBxr0I_hr_uPPHBG1o_-dps93YWTF_TARuwj1vNoOzAunrxTR2SPmssEB0A=w320-h179" width="320" /></a></div>Plusieurs dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées dans la commune de Kenya à Lubumbashi lors de la promenade qui serait improvisée de Moïse Katumbi, le jeudi 21 octobre 2021.<br />Moïse Katumbi, qui commence petit à petit à revendiquer le titre d’opposant, a tenu à l’improviste un grand meeting à Lubumbashi.<br /><br />La marée humaine avait des airs de tsunami, pour cette activité, qui selon plusieurs observateurs est un message fort lancé à Félix Tshisekedi, afin qu’il comprenne sa force de mobilisation.<p></p><p>Par Gilbert Ngonga</p><div><br /></div><figure class="wp-block-embed is-type-rich is-provider-twitter wp-block-embed-twitter" style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Merriweather; font-size: 18px; margin: 0px auto 1em;"><div class="wp-block-embed__wrapper" style="box-sizing: border-box; position: relative;"></div></figure> <blockquote class="twitter-tweet"><p dir="ltr" lang="fr"><a href="https://twitter.com/hashtag/RDC?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#RDC</a>: Alors que son appartenance à l'Union Sacrée ne tient plus qu'à la décision de Félix Tshisekedi d'investir Denis Kadima ou pas, Moïse Katumbi commence à se déployer sur terrain pour annoncer les couleurs de ce qui sera son engagement après l'Union Sacrée. <a href="https://t.co/Q9Mpqwe0U6">pic.twitter.com/Q9Mpqwe0U6</a></p>— Stanis Bujakera Tshiamala (@StanysBujakera) <a href="https://twitter.com/StanysBujakera/status/1451422309944864768?ref_src=twsrc%5Etfw">October 22, 2021</a></blockquote>Musique, cris de joie, bains de foule… Il aura fallu près d’une heure pour le leader du Grand Katanga de parcourir quelques kilomètres de la Commune de Kenya.<br /><br />En effet, la descente de Moïse Katumbi dans la commune de la Kenya, à Lubumbashi, était préparée. Tout était fait à dessein et bien calculé. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />L’objectif est simple, faire comprendre à Felix Tshisekedi que l’ancien gouverneur de l’ex Province du Katanga, contrôle en solo et règne en maître au Grand Katanga, après la mort de Baba Kyungu et Charles Mwando Nsimba. <script async="" charset="utf-8" src="https://platform.twitter.com/widgets.js"></script>

Politique À Lubumbashi, Moïse Katumbi somme indirectement Félix Tshisekedi

Plusieurs dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées dans la commune de Kenya à Lubumbashi lors de la promenade qui serait improv...

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Tony Mwaba : "Les élèves ont été transportés dans les bus jusqu’au palais du peuple" On leur a remis 5000 FC à chacun

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEipCfQwbayg1ClUXo1QsAKqwytcqzVCCQudCm5bLoLLamItmSEUCqaXaWeBvlC4Y0E6MB-NEgJexCYd2P9vR_byMS4kgM7WksB5_1Q2qSf1hIgkmshNaK3kSR_rkgIk8bAmvWGGTHLegpGbHPdcCagXxBzgQGVX2nV9R35fl2pPGQPq3sYcgkqtBPFgsQ=s950" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="630" data-original-width="950" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEipCfQwbayg1ClUXo1QsAKqwytcqzVCCQudCm5bLoLLamItmSEUCqaXaWeBvlC4Y0E6MB-NEgJexCYd2P9vR_byMS4kgM7WksB5_1Q2qSf1hIgkmshNaK3kSR_rkgIk8bAmvWGGTHLegpGbHPdcCagXxBzgQGVX2nV9R35fl2pPGQPq3sYcgkqtBPFgsQ=s320" width="320" /></a></div>Des centaines d’élèves en uniforme scolaire ont pris d’assaut jeudi le siège du parlement à Kinshasa pour réclamer la reprise effective des cours.<br /><br />En direct de la RTNC, le Ministre de l’EPST, Tony Mwaba a déploré la manipulation des élèves par « un mouvement » qu’il qualifie d’« anti-gratuité ».<br /><br />D’après lui, « les élèves ont été transportés dans les bus jusqu’au palais du peuple. On leur a remis 5000 FC à chacun », a-t-il dénoncé.<br /><br />Il s’agit de « la manipulation », a décrié, Tony Mwaba. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Pour rappel, trois semaines après l’annonce officielle de la rentrée scolaire, plusieurs écoles catholiques s’entêtent jusque-ici à ne pas reprendre effectivement avec les cours.<br /><br />critikinfo<br /><br />

Education Tony Mwaba : "Les élèves ont été transportés dans les bus jusqu’au palais du peuple" On leur a remis 5000 FC à chacun

Des centaines d’élèves en uniforme scolaire ont pris d’assaut jeudi le siège du parlement à Kinshasa pour réclamer la reprise effective des ...

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RDC : Fayulu et Kabila, futurs alliés objectifs face à Tshisekedi ?

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEi2a2e5zjvbgPfNT68EeBDL4DPwICGG9HcWMFowAg6i71VelRulgIB0M6PEZaJ552ySJ_UYlKUk-a_dYpwyranPl7tv2OsxwZBZl9fOOJY-Kzp6pqGSon9PfW2Oj1xwSrwjg14JOVi45WIwh4EI4XnkpM8L4zdN1mHKuiJx5kXPRzwb4Bt46IxWBSfj5g=s834" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="462" data-original-width="834" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEi2a2e5zjvbgPfNT68EeBDL4DPwICGG9HcWMFowAg6i71VelRulgIB0M6PEZaJ552ySJ_UYlKUk-a_dYpwyranPl7tv2OsxwZBZl9fOOJY-Kzp6pqGSon9PfW2Oj1xwSrwjg14JOVi45WIwh4EI4XnkpM8L4zdN1mHKuiJx5kXPRzwb4Bt46IxWBSfj5g=s320" width="320" /></a></div>Si une alliance entre l’opposant et l’ancien président semble pour le moins improbable, les deux hommes ont désormais un combat commun : dénoncer ce qu’ils qualifient de « passage en force » à la tête de la Ceni.<br /><br />Les manifestations publiques annoncées par certains commentateurs politiques n’ont pas eu lieu. Mais le feu vert donné par l’Assemblée nationale, le 15 octobre, <b>à la nomination de Denis Kadima à la tête de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) </b>n’en continue pas moins d’animer les débats dans le microcosme politique kinois.<br /><br />De l’opposant Martin Fayulu au Front commun pour le Congo (FCC) de Joseph Kabila en passant par la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco), la Lucha et même Moïse <b>Katumbi,</b> le front anti-Kadima ne cesse de se renforcer. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Tous sont vent debout contre la nomination d’un homme réputé proche de Félix Tshisekedi, lequel doit encore donner son imprimatur à cette décision par le biais d’un décret présidentiel.<br />« Passage en force »<br /><br />Martin Fayulu, que ses affidés surnomment le « soldat du peuple », en appelle désormais à un « rassemblement républicain » en vue d’organiser prochainement « des manifestations de grande envergure » sur toute l’étendue du territoire national. S’il paraît improbable de voir un jour ses militants manifester aux côtés de ceux du FCC, l’un de ses cadres, Félix Kabange Numbi, n’en dénonce pas moins un « passage en force sur fond de dérive dictatoriale » et craint de voir menacée la sérénité des élections – dont la présidentielle – prévues en 2023.<br /><br />Les partis de Jean-Pierre Bemba et de Vital Kamerhe, membres de la majorité présidentielle, restent pour l’heure silencieux sur le sujet. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Mais Moïse Katumbi, qui avait pris ses distances avec Lamuka, la coalition de l’opposition, pour entrer dans l’Union sacrée, la majorité construite autour de Tshisekedi après sa rupture avec Kabila, a écrit au chef de l’État pour lui demander de ne pas valider cette nomination controversée.<br /><br /><b><br />SI LES ÉLECTIONS AVAIENT LIEU AUJOURD’HUI, TSHISEKEDI L’EMPORTERAIT AVEC 32 % DES VOIX</b><br /><br />Alors que l’avenir même de l’Union sacrée semble désormais en jeu, et qu’une nouvelle redistribution des cartes sur la scène politique congolaise est en cours, tous ses acteurs ont sans doute en tête les chiffres du tout récent sondage publié par le Groupe d’étude sur le Congo. « Notre sondage suggère que, si les élections avaient lieu aujourd’hui, Tshisekedi l’emporterait avec 32 % des voix. Katumbi, Fayulu et Bemba sont loin derrière, avec respectivement 16 %, 13 % et 12 % des intentions de vote », écrivent les experts.<p> JeuneAfrique</p>

Politique RDC : Fayulu et Kabila, futurs alliés objectifs face à Tshisekedi ?

Si une alliance entre l’opposant et l’ancien président semble pour le moins improbable, les deux hommes ont désormais un combat commun : dén...

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Corruption: Luzolo Bambi révèle que les 15milliards $ continuent de se volatiliser sous la complicité des autorités

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgFwPzslwtgRzDCPKCCbWjXhjYDtsKQ6sB4KsETVun6lNMdYYKAGAL6E3Sfb4U6vOMdiXXnCAhI5OKajIQ5IVs4L5oLY55G9k34OwIG1NoBNaQErkt-IelXLzgfaN2cRKp0sORTQb2wchfKQZ-59JjNV--6thZhTtYy9LjtHwPZqVOEAU8ftF9BNckKOA=s1163" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="865" data-original-width="1163" height="238" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgFwPzslwtgRzDCPKCCbWjXhjYDtsKQ6sB4KsETVun6lNMdYYKAGAL6E3Sfb4U6vOMdiXXnCAhI5OKajIQ5IVs4L5oLY55G9k34OwIG1NoBNaQErkt-IelXLzgfaN2cRKp0sORTQb2wchfKQZ-59JjNV--6thZhTtYy9LjtHwPZqVOEAU8ftF9BNckKOA=s320" width="320" /></a></div>« Nous sommes en train de rechercher les 15 milliards de tous les ans, ça n’a pas changé, qu’on nous les donne pour nourrir la population, on sait là où ça se trouve, vous savez où ça se trouve mais vous faites semblant, c’est aussi ça l’esprit de corruption », a déclaré ce 21 octobre 2021, Luzolo Bambi, ministre honoraire de la justice sous Kabila .<br />Ces propos démontrent que la corruption continue son bonhomme de chemin même dans ce régime actuel, qui chante à chaque seconde lutte contre l’impunité, sans impact réel sur le social du peuple. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Plusieurs arrêtés aujourd’hui, libérés demain sans raison juridique valable, surtout ceux qui ont été arrêtés pour détournement, malheureusement dans la plupart de cas, ils sortent sans rembourser l’argent pour combler les caisses de l’État.<br /><br />Les efforts de l’inspection générale des finances (IGF), sont parfois neutralisés par la justice et les services de migration. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Rappelons que c’est depuis le règne de Kabila que cet ancien conseiller de Kabila en charge de la lutte contre la corruption avait dénoncé l’affaire de 15milliards de dollars américains qui se volatilisaient chaque année. Depuis lors, rien n’a jamais été fait par la justice jusqu’aujourd’hui .On dirait que la justice congolaise n’a jamais été sensible face aux révélations de Luzolo Bambi pour se saisir de l’affaire.<br /><br />Iwebrdc <p></p>

Politique Corruption: Luzolo Bambi révèle que les 15milliards $ continuent de se volatiliser sous la complicité des autorités

« Nous sommes en train de rechercher les 15 milliards de tous les ans, ça n’a pas changé, qu’on nous les donne pour nourrir la population, o...

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L’incursion rwandaise à Kibumba alourdit un contentieux vieux d’environ 30 ans

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgWkj-0KPutExwzInONI4jOJcNAWKUZsRA1zgRvJidSz2Z610k2QWzFBySyyqWQjKcJOLMIpQp-TP3yFLI0UxFWo_BbbQSNolm_IvwxYLqdMixiJt5OD5meL9mbEhs3l8ZlAQOAv5uFhxm8QChk70ZbflHyebdjLd5Zd7DiCEx35v2O9qquK08kzZIe0A=s990" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="990" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgWkj-0KPutExwzInONI4jOJcNAWKUZsRA1zgRvJidSz2Z610k2QWzFBySyyqWQjKcJOLMIpQp-TP3yFLI0UxFWo_BbbQSNolm_IvwxYLqdMixiJt5OD5meL9mbEhs3l8ZlAQOAv5uFhxm8QChk70ZbflHyebdjLd5Zd7DiCEx35v2O9qquK08kzZIe0A=s320" width="320" /></a></div>Un haut fait d’armes porte à l’actif des Forces Armées de la République Démocratique du Congo mérite des fleurs. Il s’agit de la capture de 67 militaires rwandais à Kibumba, groupement Buhumba, en territoire de Nyiragongo, dans la province du Nord-Kivu. La mésaventure de l’armée régulière du Rwanda en territoire congolais, du 18 octobre 2021, qui n’est pas une première du genre au pays de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo vient alourdir un contentieux politique vieux d’environ 30 ans.<br /><br />En effet, au lendemain du changement de régime politique au Rwanda suite à l’avènement de Paul Kagame qui venait d’être élu président de la République par le Parlement de son pays, le 22 avril 2000, il y avait eu plusieurs incursions du territoire congolais par des éléments armés en provenance de ce pays voisin et sous divers prétextes.<br /><br />Au nombre de ces prétextes figuraient de prétendues connexions entre des mouvements insurrectionnels rwandais et congolais qui agiraient contre le nouveau régime de Kigali. Au nom de ces prétextes, des nombreux congolais avaient été enlevés par des éléments armés de Kigali sur le territoire de la RDC avant d’être conduits au Rwanda puis portés disparus jusqu’à ce jour.<br /><br />Contre les interahamwe<br /><br />Mais le plus scandaleux de cas d’incursions rwandaises en RDC reste sans nul doute la chasse organisée par Kigali contre les interahamwe au lendemain de l’accession au pouvoir de Paul Kagame dans ce pays. Au terme de cette chasse des millions des congolais furent massacrés dans plusieurs localités de l’Est de la RDC: Goma au camp de refugiés de Mungunga, notamment à Kabunga, Itebero, Walikale sur la route de Kisangani et en pleine ville de Kisangani, transformée en champ de bataille par les armées Ougandaise et rwandaise en conflit d’intérêt.<br /><br />Comme on peut le constater, l’incursion de Kibumba par les militaires rwandais vient ainsi alourdir un contentieux politique vieux d’environ 30 ans. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Mis en sourdine par le régime politique porté au pouvoir par l’Alliance des Forces Démocratiques pour la libération du Congo(AFDL), nombre de congolais pensent que le moment est venu maintenant pour en parler sans ambages.<br /><br />En effet, malgré la bonne direction prise par le rapprochement entre les Présidents Paul Kagame et Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, l’intérêt de la nation congolaise plusieurs fois bafoué doit primer. Pour le pouvoir établi à Kigali, il faut négocier la libération de 67 soldats rwandais capturés lundi dernier à Kibumba, mais l’immense majorité de Congolais exige que la situation entre la RDC et le Rwanda fasse l’objet d’un arbitrage élargi impliquant les hautes instances internationales. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />C’est aussi l’occasion d’exiger l’indemnisation de la RDC après la guerre survenue entre les armés de l’Ouganda et du Rwanda à Kisangani et après les massacres de Congolais aux différents sites précités. Il doit être aussi question de la prise en charge des familles des victimes portées disparues après leur enlèvement en RDC.<br /><br />Un haut fait d’armes porte à l’actif des Forces Armées de la République Démocratique du Congo mérite des fleurs. Il s’agit de la capture de 67 militaires rwandais à Kibumba, groupement Buhumba, en territoire de Nyiragongo, dans la province du Nord-Kivu. La mésaventure de l’armée régulière du Rwanda en territoire congolais, du 18 octobre 2021, qui n’est pas une première du genre au pays de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo vient alourdir un contentieux politique vieux d’environ 30 ans. En effet, au lendemain du changement de régime politique au Rwanda suite à l’avènement de Paul Kagame qui venait d’être élu président de la République par le Parlement de son pays, le 22 avril 2000, il y avait eu plusieurs incursions du territoire congolais par des éléments armés en provenance de ce pays voisin et sous divers prétextes. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Au nombre de ces prétextes figuraient de prétendues connexions entre des mouvements insurrectionnels rwandais et congolais qui agiraient contre le nouveau régime de Kigali. Au nom de ces prétextes, des nombreux congolais avaient été enlevés par des éléments armés de Kigali sur le territoire de la RDC avant d’être conduits au Rwanda puis portés disparus jusqu’à ce jour.<br /><br />Contre les interahamwe<br /><br />Mais le plus scandaleux de cas d’incursions rwandaises en RDC reste sans nul doute la chasse organisée par Kigali contre les interahamwe au lendemain de l’accession au pouvoir de Paul Kagame dans ce pays. Au terme de cette chasse des millions des congolais furent massacrés dans plusieurs localités de l’Est de la RDC: Goma au camp de refugiés de Mungunga, notamment à Kabunga, Itebero, Walikale sur la route de Kisangani et en pleine ville de Kisangani, transformée en champ de bataille par les armées Ougandaise et rwandaise en conflit d’intérêt.<br /><br />Comme on peut le constater, l’incursion de Kibumba par les militaires rwandais vient ainsi alourdir un contentieux politique vieux d’environ 30 ans. Mis en sourdine par le régime politique porté au pouvoir par l’Alliance des Forces Démocratiques pour la libération du Congo(AFDL), nombre de congolais pensent que le moment est venu maintenant pour en parler sans ambages. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />En effet, malgré la bonne direction prise par le rapprochement entre les Présidents Paul Kagame et Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, l’intérêt de la nation congolaise plusieurs fois bafoué doit primer. Pour le pouvoir établi à Kigali, il faut négocier la libération de 67 soldats rwandais capturés lundi dernier à Kibumba, mais l’immense majorité de Congolais exige que la situation entre la RDC et le Rwanda fasse l’objet d’un arbitrage élargi impliquant les hautes instances internationales.<br /><br />C’est aussi l’occasion d’exiger l’indemnisation de la RDC après la guerre survenue entre les armés de l’Ouganda et du Rwanda à Kisangani et après les massacres de Congolais aux différents sites précités. Il doit être aussi question de la prise en charge des familles des victimes portées disparues après leur enlèvement en RDC.<p> Par Bamporiki Chamira</p>

Politique L’incursion rwandaise à Kibumba alourdit un contentieux vieux d’environ 30 ans

Un haut fait d’armes porte à l’actif des Forces Armées de la République Démocratique du Congo mérite des fleurs. Il s’agit de la capture de ...

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RD Congo : Félix Tshisekedi sous surveillance positive

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOU291KkU4laR2z08VJEZyT7SYW-lR9ZTiroRrsCrWT_z8h1u5xqc95UcK9s1aachVuj6qiEuQhxv2zPSOcJ-CXdBkGcqEcJ60HC1She5RI8dT7DBSx7_B7VcW5gvZYhbLz47wYHsPmxIs/s1192/BHGVTFTFYGY.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="809" data-original-width="1192" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOU291KkU4laR2z08VJEZyT7SYW-lR9ZTiroRrsCrWT_z8h1u5xqc95UcK9s1aachVuj6qiEuQhxv2zPSOcJ-CXdBkGcqEcJ60HC1She5RI8dT7DBSx7_B7VcW5gvZYhbLz47wYHsPmxIs/s320/BHGVTFTFYGY.png" width="320" /></a></div> Sur le plan politique, les analystes s’attendent à ce que la majorité parlementaire nouvellement formée autour du président Félix Tshisekedi soit en mesure de garantir une bonne mise en œuvre des réformes. Voilà qui rassurerait les analystes concernant le volet « gouvernance » dans son appréciation du pays.<br /><br />Moody’s émet une appréciation « positive » à l’égard de la RD Congo. Certes, les risques demeurent, mais le pays semble s’orienter vers une gouvernance stable, les réformes avancent, et son secteur minier est bien orienté.<br /><br />Tout comme pour une copie d’élève, les commentaires d’analystes financiers valent mieux que leur note finale. Si Moody’s a maintenu son « rating » relatif à la dette long terme de la RD Congo à « Caa1 », elle a indiqué relever de « stable » à « positive » son appréciation. Ce qui signifie que l’agence américaine pourrait relever sa note – guère brillante – d’ici quelques mois. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le pays, détaillent les analystes, offre des perspectives économiques solides, tirées par le secteur minier et le potentiel d’amélioration de la résilience économique. Les réformes structurelles, engagées par le gouvernement dans le cadre du programme du FMI, commencent à porter leurs fruits.<br /><br />Ce regain d’optimisme reflète également l’augmentation des réserves officielles en devises, qui devraient continuer à s’accumuler au cours des prochaines années. Cela est de nature à réduire l’exposition aux baisses des prix des matières premières et aux épisodes graves de volatilité macroéconomique qui y sont associés.<br /><br />Bien sûr, la notation reste faible, au regard de la grille de l’agence et de ses consœurs. Elle reflète des niveaux de richesse particulièrement bas, des institutions très faibles. Et donc, une capacité d’absorption des chocs économiques encore faible ainsi qu’un risque politique élevé, contre une dette publique faible et abordable. Malgré une forte reprise économique portée par le secteur minier, les finances publiques restent vulnérables à la volatilité des prix des matières premières. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Moody’s s’attend à ce que le secteur extractif de la RD Congo continue de jouer un rôle central dans l’économie en tant que principale source de croissance à l’avenir dans un contexte de forte demande mondiale pour les principales exportations du pays, à savoir le cuivre et le cobalt.<br /><br />Cela fait suite à la solide performance de l’année dernière, la production du secteur minier augmentant de 9,7%, au sein du PIB, ce qui a plus que compensé la contraction de 1,3% du reste de l’économie à la suite du choc du coronavirus. La production de cuivre a atteint un niveau record à près de 1,6 million de tonnes en 2020 contre 1,1 million en 2017.<br /><br />Une bonne gestion des recettes<br /><br /><img src="https://magazinedelafrique.com/wp-content/uploads/2021/04/Felix-Tshiseksdi-investiture-mines-RDC-300x188.jpg" /><br /><br />Avec la mine de Kamoa-Kakula – le plus grand projet de mine de cuivre du continent déjà en avance sur le calendrier –, la production de cuivre de la RD Congo devrait dépasser 2,5 millions de tonnes au cours de la prochaine décennie. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Dans ce contexte, Moody’s s’attend à ce que la croissance du PIB réel de la RD Congo dépasse les 6% en moyenne sur la période 2021-2025. En outre, l’engagement des autorités à mettre en œuvre les réformes structurelles incluses dans le programme triennal de 1,5 milliard de dollars du FMI soutiendra davantage la croissance et contribuera à renforcer la résilience économique dans son ensemble.<br /><br />Un domaine d’intérêt est la mobilisation des recettes intérieures, qui est une contrainte de crédit clé pour la RD Congo ; le gouvernement est généralement contraint de limiter les dépenses pour éviter tout dérapage budgétaire qui, autrement, alimenterait l’inflation.<br /><br />Le programme contient un ensemble de réformes pour atteindre cet objectif, notamment la modernisation de l’administration, une TVA fixe pour en accroître l’efficacité et la portée, la rationalisation des charges non fiscales et parafiscales à tous les niveaux de gouvernement. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Sans oublier la rationalisation des dépenses fiscales estimées, jusque-là, à 20 % des recettes. Parmi les autres objectifs figurent la maîtrise des dépenses publiques, le renforcement du cadre de la politique monétaire et du niveau des réserves de change et l’amélioration de l’environnement des affaires.<br /><br />En outre, l’imposition de contrôles budgétaires relativement stricts a permis d’éviter des dérapages budgétaires importants pendant près de deux décennies et s’est traduite par un fardeau de la dette publique très faible et abordable, inférieur à 15 % du PIB. « Par conséquent, la probabilité de défaut du gouvernement reste assez faible bien que l’économie reste intrinsèquement vulnérable aux chocs », juge Moody’s.<br /><p></p><p>Par Serges David</p>

Politique RD Congo : Félix Tshisekedi sous surveillance positive

Sur le plan politique, les analystes s’attendent à ce que la majorité parlementaire nouvellement formée autour du président Félix Tshiseked...

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Dossier MATATA PONYO : un scandale de plus

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg0N7PtWCr6djGN00cP_Kf6TAp3EY9zxYwhgnQYpSlLRd8BiVUxUX2JMG7bTcBn2eoCBUIQx2cl0aMi6BsmPN4P0Tdnh9Uyb8BItDyzTMOOHgXIkhVE8akY_yl9YmuPCDyoCz6oJsb8JoP9B7g3ukmcK0gccRky6g9hQRZlOY2MVHCZekaMN1OUGCzY4A=s1006" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="668" data-original-width="1006" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg0N7PtWCr6djGN00cP_Kf6TAp3EY9zxYwhgnQYpSlLRd8BiVUxUX2JMG7bTcBn2eoCBUIQx2cl0aMi6BsmPN4P0Tdnh9Uyb8BItDyzTMOOHgXIkhVE8akY_yl9YmuPCDyoCz6oJsb8JoP9B7g3ukmcK0gccRky6g9hQRZlOY2MVHCZekaMN1OUGCzY4A=s320" width="320" /></a></div><p></p>Notifié pour une audience le 25 octobre 2021 à 10h00 par la Cour Constitutionnelle, l’ancien premier ministre vient de se voir refuser son droit à se défendre valablement.<br /><br />En effet, ayant fait appel aux services de maître Antoine VEY, Avocat au barreau de Paris, une accréditation a été sollicitée il y a plus d’un mois et demi au barreau de la RDC, devant lui permettre de plaider en faveur de son client. Contre toute attente, cette demande vient d’être refusée. Les indiscrétions du barreau de Kinshasa évoquent des menaces des forces obscures.<br /><br />Pire encore, des instructions seraient clairement données à notre ambassade en France de refuser le visa à maître Antoine VEY, l’avocat de MATATA PONYO. Un scandale qui rappelle l’épisode KAMERHE. Jusqu’où veulent-ils pousser le bouchon de la dictature en RDC? <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Avec des telles méthodes, il n’y a plus de doute sur leurs intentions de vouloir à tout prix couper la tête aux candidats potentiels à l’élection présidentielle du 25 octobre 2023. Grave erreur de stratégie, ils ne font que renforcer la haine des congolais contre eux.<br /><br />Si on doit considérer que le refus d’accorder le visa à maître Antoine VEY est un stratagème pour empêcher au sénateur MATATA PONYO de se défendre, les congolais seraient en droit de croire à une affaire déjà préjugée. *Doit-on parler de la résurgence de la justice du loup contre l’innocent agneau MATATA PONYO ?*<br /><br />Les congolais n’ont pas encore oublié les conditions de la nomination des juges de la Cour Constitutionnelle. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Même s’il n’y a aucune illusion à se faire, ces hauts magistrats peuvent-ils aussi facilement manquer de respect à la science ?<br />D’abord, l’affaire qui est inscrite au rôle est irrégulière. Tout est faussé : le fond comme la forme. Ensuite, cette affaire risque de jeter les bases d’une mauvaise administration de la justice. Enfin, c’est un dossier qui terni l’image de notre pays à l’international. Même le secrétaire général de l’ONU l’a évoqué au conseil de sécurité. Tout serait donc programmé pour que notre pays soit condamné devant les juridictions internationales. Et qui payera les frais ?<br /><br />Le pays meurt tous les jours par la méchanceté de ses propres fils: des élèves dans la rue assiègent le siège de l’assemblée nationale. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Les enseignants sont en grève. Le peuple pleure dans le dossier RAM. Les politiques, la société civile, l’église catholique et protestante ainsi que l’ensemble de la population sont remontés contre leur Devis KADIMA, le chouchou du fleuve Congo Hôtel… Et comme si cela ne suffisait pas, on nous ramène encore le dossier MATATA PONYO, un dossier illégal et illégitime. Finalement, où veulent-ils conduire notre pays?<br /><br />*C’est difficile à brûler des meubles qui ont une histoire* Pierre MAGNAN.<br /><br /><b> c-news </b><p> </p>

Justice Politique Dossier MATATA PONYO : un scandale de plus

Notifié pour une audience le 25 octobre 2021 à 10h00 par la Cour Constitutionnelle, l’ancien premier ministre vient de se voir refuser son d...

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RDC : Le président Félix Tshisekedi sous la pression de l’ONU

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgGFi7hYG6xbvRjxOarqqQdatbHNWNteYuWmfi8d8hrB2JD_tczqhZ47MUb14Xa21-yuxhgK2lz9tsIHF9H70KP2fmKOf6eXXJz8JQKdKzdsP5tbWlczAxcgUgj-OWSMyRs_hceSHsAyanxC5FF5PutLnFV357MWEHgVmzmis8EJLl13sNh9x1GetIGIA=s1197" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="792" data-original-width="1197" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgGFi7hYG6xbvRjxOarqqQdatbHNWNteYuWmfi8d8hrB2JD_tczqhZ47MUb14Xa21-yuxhgK2lz9tsIHF9H70KP2fmKOf6eXXJz8JQKdKzdsP5tbWlczAxcgUgj-OWSMyRs_hceSHsAyanxC5FF5PutLnFV357MWEHgVmzmis8EJLl13sNh9x1GetIGIA=s320" width="320" /></a></div>Deux ans se sont écoulés depuis la tenue d’un sommet sur l’accord-cadre sur la paix, la sécurité et la coopération en RDC et dans la région des Grands Lacs. Les éditions d’octobre 2019 et de février 2020 n’ont pas eu lieu en raison de difficultés d’organisation du côté congolais, et la pandémie de Covid-19 n’a pas permis aux autorités de tenir leur engagement pour mars 2020.<br /><br />En septembre 2020, la réunion a été une nouvelle fois reportée après que l’Ouganda a fait remarquer à la RDC que la nouvelle date, fixée à un mois plus tard, coïncidait avec une réunion ministérielle de l’Union africaine (UA), qui est actuellement présidée par Kinshasa. Cependant, le dossier est revenu sur le bureau du président Felix Tshisekedi depuis trois semaines. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Selon nos informations, le président de la RDC envisage de tenir le sommet début décembre, mais cette nouvelle date ne fait pas l’unanimité.<br />Un refus clair<br /><br />Le Chinois Huang Xia, envoyé spécial des Nations unies pour la région des Grands Lacs, insiste sur le fait que les préparatifs doivent commencer le plus tôt possible. A la mi-septembre, il s’est adressé directement à Tshisekedi. Selon nos informations, le diplomate lui a d’abord suggéré de confier la préparation de cette réunion à l’Angola. En effet, Luanda organise début novembre un sommet extraordinaire entre les pays de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Selon une source onusienne, « il est possible pour plusieurs pays de la région de faire d’une pierre deux coups en organisant en même temps le sommet sur l’accord-cadre. » Le Burundi, en particulier, serait prêt à accepter cet arrangement.<br /><br />Néanmoins, Tshisekedi reste sur ses positions et insiste pour que l’événement se déroule dans son pays. Xia lui a conseillé de tout mettre en œuvre pour que le sommet se tienne le 24 février 2022, date du neuvième anniversaire de la signature de l’accord-cadre d’Addis-Abeba. Le chef de l’État a toutefois refusé catégoriquement, affirmant qu’il voulait organiser le sommet avant de céder la présidence de l’UA au Sénégal.<br /><br />Une équipe d’experts du bureau de l’envoyé spécial des Nations unies pour la région des Grands Lacs s’est rendue à Kinshasa début octobre pour faire le point sur l’avancement des préparatifs, mais à ce jour, aucune équipe n’a été mise en place à Kinshasa. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Le comité d’organisation – qui était co-présidé par Marie Tumba Nzeza, alors chef de la diplomatie, et François Beya, le « Monsieur Sécurité » du président – n’a toujours pas été réactivé. Au ministère congolais des Affaires étrangères, plusieurs sources indiquent qu’aucune initiative n’a été prise et que – à ce jour – les notes verbales informant les pays de la région de la nouvelle date du sommet n’ont pas encore été envoyées.<br /><br />Source : africanreport, congoactu.net<p style="background-color: white; color: #353535; font-family: Georgia, "Times New Roman", Times, serif; margin: 0px 0px 1em; padding: 0px;"><strong><br /></strong></p><p> </p>

Politique RDC : Le président Félix Tshisekedi sous la pression de l’ONU

Deux ans se sont écoulés depuis la tenue d’un sommet sur l’accord-cadre sur la paix, la sécurité et la coopération en RDC et dans la région ...

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LES ÉLÈVES MANIPULES PAR LES ÉCOLES CONVENTIONNÉES CATHOLIQUES ONT SIÉGÉ A L' ASSEMBLÉE NATIONALE (VIDEO)

<iframe width="643" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/TCjJ99fbwsU" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>

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LES IMAGES EXCLUSIVES DE KABUND ET LES ELEVES INSTRUMENTALISES PAR CEUX QUI REPARTISSAIENT LES FRAIS (VIDEO)

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