BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Succession de Malumalu – CENI : Non à un président imposé

October 13, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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L’abbé Apollinaire Muholongu Malumalu a présenté, le 10 octobre 2015, sa démission, pour raison de santé, de son poste de président de la CENI (Commission électorale nationale indépendante) au chef de l’Etat, Joseph Kabila, qui en a pris acte et a demandé à la composante, d’où était venu ce prélat catholique, de désigner un nouveau candidat.<br />
<br />
La Société civile doit ainsi s’organiser, puisque c’est à elle que revient le choix de désigner le successeur de l’Apollinaire Malumalu et de le proposer au Parlement avant sa nomination par le chef de l’Etat.<br />
<br />
La Société civile doit donc être libre pour faire son choix, plus précisément sa sous- composante “Election et éducation civique”. Surtout quand on sait que, plus d’une fois, le choix du président de la centrale électorale congolaise a été imposé à la société civile par le régime de Kinshasa.<br />
<br />
<br />
Raison pour laquelle, des voix se lèvent, cette fois-ci, pour dire « Non à un président imposé à la CENI ». Pour ces nombreux voix, le choix du président de l’organe électoral doit être judicieux tandis que le candidat doit remplir le profil d’un homme intègre, impartial et compétent.<br />
<br />
A l’heure actuelle, des Candidatures pour succéder à l’abbé président de la CENI sont de plus en plus évoquées. Parmi ces candidatures, celle du Monseigneur Marini Bodho, le numéro un de l’ECC (Eglise du Christ au Congo), pour prendre la tête de la CENI.<br />
<br />
Monseigneur Marinni Bodho, le pire choix pour la CENI<br />
<br />
Sur ce choix, de nombreux des observateurs avertis ont vite réagi pour présenter ce sénateur et ancien chef de la chambre haute pendant la transition comme le pire choix pour la CENI. Non seulement, parce qu’il n’a pas le profil intellectuel de l’abbé Malumalu qui s’y connaît véritablement en matière des élections, mais surtout parce que l’impartialité du Monseigneur Marini Bodho a toujours été mise en doute.<br />
<br />
Au sein d’ailleurs de l’Eglise protestante, ce serviteur de Dieu, n’a jamais fait l’unanimité.<br />
<br />
Monseigneur Marini, selon des sources au sein de l’ECC, se maintient à la tête de l’ECC grâce au régime de Kinshasa, lui qui est au-delà de son mandat.<br />
<br />
Des Synodes ont été organisés, il devait normalement laisser la place aux autres. Il s’était toujours arrangé pour se maintenir à la tête de cette grande communauté, de plus de 30 millions de fidèles, ont relevé ces sources. Alors que l’on s’attendait à ce qu’il rende le tablier lors du dernier synode, tenu en 2014, Monseigneur Marini Bodho a évité cette question pendant les travaux, ont soutenu encore des sources.<br />
<br />
Face à ce comportement qui frise la dictature au sein de l’église de Dieu, des communautés commençaient à quitter l’ECC. Ce qui témoigne surtout le manque d’impartialité pour le représentant légal de l’ECC, c’est la déclaration qu’il avait faite lors des travaux préparatifs du dernier synode, “il n’y a que la Bible qui ne peut pas être changée, alors que la Constitution peut être changée à tout moment, quand le besoin se fait sentir”.<br />
<br />
Chose que la majorité des Congolaises et des Congolais, aspirant au changement dans le pays, ne pardonneront pas à Monseigneur Marini. Lui qui faisait partie de ceux qui avaient toujours soutenu la révision constitutionnelle afin de permettre au président Kabila de briguer le troisième mandat.<br />
<br />
Cela sans compter avec la détermination du peuple congolais qui s’était opposé à cette démarche soutenue par de nombreux membres de la MP (Majorité présidentielle).Les évènements du mois de janvier 2015 rappellent encore cette détermination du peuple congolais de s’opposer au maintien du régime actuel de Kinshasa au-delà de 2016.<br />
<br />
Ainsi, des observateurs avertis se posent la question de savoir comment est-ce qu’un homme de Dieu, qui a toujours affiché sa tendance pour le maintien de l’actuel régime de Kinshasa jusqu’au-delà de 2016, peut organiser de manière juste, libre et juste, dans un climat apaisé, les prochaines élections.<br />
<br />
Le profil du président sortant de la CENI<br />
<br />
Si beaucoup de choses ont été dites sur l’abbé Malumalu, sur ses accointances avec le régime de Kinshasa, il est difficile de trouver un remplaçant qui a le même profil que lui, ce président de la défunte CEI (Commission électorale indépendante) et qui vient de démissionner de l’actuelle CENI.<br />
<br />
<br />
Une fois de plus, il a été relevé que Monseigneur Marini Bodho est loin d’avoir ce profil. Surtout que cet abbé est né le 22 juillet 1961 dans le territoire de Lubefu au Nord-Kivu, dispose d’un doctorat en sciences politiques à l’Université de Grenoble-II (Université Pierre Mendès-France) et une maîtrise en sciences des droits de l’homme et un diplôme d’études approfondies en philosophie et en théologie à Lyon.<br />
<br />
<br />
La balle est désormais dans le camp de la structure de la société civile qui doit trouver cet oiseau rare, disposant du meilleur profil intellectuel et intègre afin d’épargner les Congolais des durs moments après les prochaines élections.<br />
<br />
<br />
<br />
Par EL-KAS<br />
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Politique Succession de Malumalu – CENI : Non à un président imposé

L’abbé Apollinaire Muholongu Malumalu a présenté, le 10 octobre 2015, sa démission, pour raison de santé, de son poste de président de la ...

Kabila et Minaku face à une nouvelle fronde

October 13, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWxDbgM9furzUKfzeFUHwfcTxEj97sWDVyRyF4U4XYYRNvyGPh5f_KlacmhsTLiS6uM9DxrE0TQpSlcOJKJ8HYzTGhGys9hx2Cuvb6AkOLUTp7XnCQggn-wuwgiJxV_Zal2sO_QW7b8kPW/s1600/Snapshot_672.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWxDbgM9furzUKfzeFUHwfcTxEj97sWDVyRyF4U4XYYRNvyGPh5f_KlacmhsTLiS6uM9DxrE0TQpSlcOJKJ8HYzTGhGys9hx2Cuvb6AkOLUTp7XnCQggn-wuwgiJxV_Zal2sO_QW7b8kPW/s400/Snapshot_672.jpeg" width="400" /></a></div>La collecte des signatures pour une pétition visant la destitution du bureau de l’Assemblée nationale déjà en circulation.<br />
<br />
Une forte agitation est observée dans les milieux des députés nationaux dont un des leurs, élu de la circonscription électorale de Kimbombo dans la province du Maniema, est entrain de collecter des signatures pour une motion contre le bureau de la Chambre basse du Parlement. Ce sont ses collègues qu’il a contactés les 9 et 10 octobre par des appels téléphoniques ou des SMS qui ont ébruité cette affaire dont les échos nous sont parvenus hier lundi 12 octobre. Ceux qui dénoncent cette manoeuvre, déplorent non seulement la corruption mais aussi la provenance des espèces sonnantes et trébuchantes.<br />
<br />
Certains esprits faibles, d’après les informations qui nous sont parvenues, acceptent de signer cette pétition en échange de 1000 $ (mille dollars), tandis que les esprits avisés perçoivent 5000$ (cinq mille dollars).<br />
<br />
La plupart de ceux qui ont délié leurs langues restent dubitatifs face à cette opération. Les uns ont rejeté l’offre au motif de ne pas trahir leur foi chrétienne, ont-ils soutenu. D’autres soutiennent avoir pris, l’argent du contribuable congolais sans adhérer à la démarche de la destruction de la majorité parlementaire.<br />
<br />
Bénéficiant d’un appui non négligeable de la part d’une grande autorité de la place, l’élu de Kimbombo chercherait à manipuler ses collègues dans le but de montrer à la face du monde que l’Assemblée nationale n’est plus gérable depuis le départ des membres du G7 vers l’opposition. L’objectif visé au finish est de faire tomber le bureau de l’Assemblée nationale, de manière à entraîner le changement de rapports de forces à la Chambre basse. Avec l’ultime objectif de pousser le Président Joseph Kabila à tirer les conséquences de ce changement envisagé dans le camp des tenants de la fameuse motion en gestation par la dissolution de cette institution politique.<br />
<br />
Mais cette opération à son revers de médaille susceptible d’être dramatique pour Joseph Kabila à qui d’autres forces et l’opinion internationale risquent de demander de rendre aussi le tablier. Comme on le voit, la majorité est sérieusement menacée par ses propres membres qui se règlent des comptes.<br />
<br />
Par K.M.<br />
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Politique Kabila et Minaku face à une nouvelle fronde

La collecte des signatures pour une pétition visant la destitution du bureau de l’Assemblée nationale déjà en circulation. Une forte agita...

L 'opposant Moise Moni Délla se dit favorable au dialogue mais pas celui de Kabila ( vidéo)

October 13, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFmzp_3FUdQeqk6Z7a91wH_6mkk1VeWOMmmhGGRNRnZhRNZ-dFfMmVyIShXMNe-BZ2ZxDbrJYCk5ixEEWg7MdSXDz1vUSo_PuDCa9cU47am9cWJervAJuDNbofsqJViBLF2G0ePJlB9lAP/s1600/Moise+Moni+Della.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFmzp_3FUdQeqk6Z7a91wH_6mkk1VeWOMmmhGGRNRnZhRNZ-dFfMmVyIShXMNe-BZ2ZxDbrJYCk5ixEEWg7MdSXDz1vUSo_PuDCa9cU47am9cWJervAJuDNbofsqJViBLF2G0ePJlB9lAP/s200/Moise+Moni+Della.jpg" width="200" /></a>L 'opposant Moise Moni Délla se dit favorable au dialogue mais pas celui de Kabila ( vidéo<br />
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L 'opposant Moise Moni Délla se dit favorable au dialogue mais pas celui de Kabila ( vidéo

Lambert Mende, ce qu'il dit contre Kabila en coulisse

October 13, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEif4dPFvASu1GKGtlyoRSb930SlFKajdGTEv6q5sZjZT0LdcpbQpvnSjApYU2xQMnQufQplz_YP6HUGMaKNSkmiRDyH0pCahjbwpDvHD8uuoUQ-bujHKe0AKD1HV2S9L0xWjXKDoLrms8ec/s1600/omalanga.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="290" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEif4dPFvASu1GKGtlyoRSb930SlFKajdGTEv6q5sZjZT0LdcpbQpvnSjApYU2xQMnQufQplz_YP6HUGMaKNSkmiRDyH0pCahjbwpDvHD8uuoUQ-bujHKe0AKD1HV2S9L0xWjXKDoLrms8ec/s400/omalanga.png" width="400" /></a><br />
Ce ne sont pas des rumeurs ni des racontars de la rue. CONGO-NEWS, RD-CONGO NEWS, aujourd'hui C-NEWS, n'a jamais publié des rumeurs ou des mensonges.<br />
<br />
Quand nous avions dénoncé la tentative de la révision constitutionnelle, nous avons été traité de tous les noms. Puis, le projet est fini par sortir en public. Quand nous avons parlé des visites de Théodore Mugalu, chef de Maison civile de Kabila chez la famille biologique de Tshisekedi, président de l'UDPS, nous avons été qualifié de tout. Au finish, les vas et viens de Mugalu dans la famille de l'opposant, se sont confirmés.<br />
<br />
Pour ne citer que ces deux exemples. Les révélations, C-NEWS, les a faites et sait bien le faire. Ce que nous publions ce jour, sur le porte-parole du gouvernement, ce sont des informations très crédibles.<br />
<br />
Elles nous viennent de plus proches de Lambert Mende, ministre de la communication et des médias, porte-parole du gouvernement. Cet homme qui venait, il y a peu d'étaler son ignorance sur la constitution, affirmant sans froid aux yeux, lors d'une conférence avec les journalistes, que nulle part dans la loi fondamentale, l'on a parlé de l'alternance.<br />
<br />
Ce monsieur, n'est pas en fait, celui que l'opinion croit. C'est un monsieur à double face. Un véritable hypocrite, susceptible de changer de position et s'adapter à la nouvelle situation qui se présente devant lui sans aucune difficulté. Dans le passé, nous l'avons vu à l'œuvre pendant les périodes de transition et rébellions, changeant des camps et mouvements rebelles sans arrêt, jusqu'à s'approcher de Joseph Kabila, celui qu'il a combattu et même trainer son nom et sa personne dans la boue.<br />
<br />
Il se dit aujourd'hui, plus kabiliste que Kabila lui-même. Pour la petite histoire. Nous sommes dans la commune de Mont-Ngafula, dans les confins de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, RDC. Ici, Lambert Mende Omalanga vient de perdre un proche de famille. Il est presque 21 heures, quand il débarque au lieu du deuil. Mende n'est pas seul. Il se fait accompagner d'une suite des collaborateurs et des gardes.<br />
<br />
Quelques minutes plu tard, il va demander à sa suite de rentrer et qu'il était très bien arrivé, il compte resté avec ses siens en famille, qu'il pourra rentrer seul aux petites heures du matin sans problème.<br />
<br />
L'ordre donné, l'ordre exécuté. Sa suite va ainsi rentrer. Mende reste alors seul avec sa famille. Pendant que là certains  pleurent le défunt, Mende ici taille bavette avec ses siens. En tout cas, on ne parle pas deuil. On parle politique dans ses dimensions sensibles. Mende rapporte à ses siens, que ne suivez pas ce qui se passe ou se qui se dit dans des radios et télévision par des politiciens.<br />
<br />
Soi-disant, Kabila ne partira pas en 2016. C'est faux. Le petit partira, puisque les occidentaux l'ont déjà demandé de respecter la constitution. Même si Kabila pense rester au pouvoir, ça sera difficile, puisque les blancs quand ils ont déjà décidé, en tout cas c'est fini. Ils ne reculent pas du tout. Moi, explique Mende à ses interlocuteurs, si je suis encore à ses côtés, c'est dans le seul intérêt de gagner encore beaucoup plus d'argent pour garder ce train de vie. Le moment venu, poursuit-il, je partirai mais pas à partir de Kinshasa.<br />
<br />
Je préfère faire cela à l'extérieur du pays. Quand, à la veille des élections de 2011, Tshisekedi dit que Kabila est aujourd'hui seul, Boshab et Mende ont rapproché UDPS, mais c'est vrai.<br />
<br />
Vrai, parce que Mende était sur que Kabila perdrait face à Tshisekedi. Boshab s'était même permis de faire parvenir à Tshisekedi une enveloppe pour soutenir son élection.<br />
<br />
Aux proches de Tshisekedi, Mende n'arrêtait pas de leur dire de saluer le vieux de sa part.  A sa famille à Mont-Ngafulu, il a laissé entendre qu'il ne travaillait pas pour Kabila. "Je travaille pour moi-même, puisque, c'est moi qui empoche l'argent", a révélé Mende, en indiquant, que c'est pourquoi je ne m'en fait pas, quand on m'appelle Tshaku national. Et d'interroger ses interlocuteurs, vous m'aviez déjà vu me plaindre, un seul jour quand on dit de moi tshaku national? Non, pas du tout. Le chien aboie la caravane passe. C'est la fin qui justifie les moyens. Le problème avec Kabila, disait-il, il n'a pas les atouts de Mobutu.<br />
<br />
S'il les avait, il resterait encore quelques années aux affaires. A un confrère, Mende pose la question de savoir s'il avait combien d'enfants? Le confrère répond, six filles. Et Mende de poser une deuxième question. Vous n'avez que des filles? Oui répond le confrère. Mende de poser encore une autre question. Elles étudient où? Le confrère de répondre. Au lycée Kabambare. Et Mende de poursuivre:"moi, je ne peux pas envoyer mes enfants aux écoles du pays. Mes enfants sont tenus d'étudier à l'étranger.<br />
C-News<br />
Au pays, les enseignements sont nuls". Voyez-vous comment un ministre du gouvernement dénigre le niveau d'éducation de son propre pays.<br />
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Ce ne sont pas des rumeurs ni des racontars de la rue. CONGO-NEWS, RD-CONGO NEWS, aujourd'hui C-NEWS, n'a jamais publié des rumeurs...

Remplacement de Malumalu : la CASE interdit aux politiques de s’immiscer !

October 13, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHYDkb-4HURLW9FcStSpeHXbp7T9rqk7VJojwiGe1MpxAYxAk9qZciXOsFAErQBmfWsYloSdcaja6Mv_s0QPVXe5CNqUHJSHhZrmlUl4htTKB_QGI_FeduVORo5LxGvYuOelCSmbkA8sCV/s1600/Snapshot_554.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHYDkb-4HURLW9FcStSpeHXbp7T9rqk7VJojwiGe1MpxAYxAk9qZciXOsFAErQBmfWsYloSdcaja6Mv_s0QPVXe5CNqUHJSHhZrmlUl4htTKB_QGI_FeduVORo5LxGvYuOelCSmbkA8sCV/s400/Snapshot_554.jpeg" width="400" /></a></div>*La Commission Africaine  pour la Supervision des Elections (CASE) regrette la démission de l’Abbé Malumalu de la Présidence du Bureau de la CENI. Une démission qui constitue sans nul doute un coup dur pour le processus électoral. En effet, Apollinaire Malumalu est considéré depuis des années comme une bibliothèque, un monument vivant en matière électorale en RDC, en Afrique et dans le monde. Puisque la vie de la Nation ne va pas s’arrêter, la CASE avance des pistes de solution pour bien procéder au remplacement de l’Abbé-président de la CENI. D’abord, il faudra que tous les acteurs politiques, qu’ils soient de la Majorité, de l’Opposition, du Centre, ou d’on ne sait où, se gardent de s’ingérer dans la cuisine interne de la Société civile. Par consensus, le poste de Président du Bureau de la CENI revient aux Confessions Religieuses. Parmi lesquelles l’Eglise catholique, l’Eglise du Christ au Congo, la Communauté Islamique au Congo, l’Eglise Kimbanguiste, l’Eglise de Réveil du Congo, l’Armée du Salut, l’Eglise Orthodoxe et les Eglises Indépendantes. Toutes ces confessions religieuses ont l’obligation d’ouvrir des consultations devant conduire à la désignation du successeur de l’Abbé Malumalu. Découvrez la teneur de la déclaration de la CASE relative à la démission du Président de la CENI.<br />
<br />
Commission Africaine pour la Supervision des Elections<br />
<br />
CASE<br />
<br />
Déclaration d’observation N° … 00378…/15.<br />
<br />
La CASE s’exprime sur la démission du Président de la CENI<br />
<br />
La Commission Africaine pour la Supervision des Elections (CASE), plate-forme de 74 réseaux et organisations de la Société Civile congolaise spécialisées en éducation civique et observation électorale, vient de suivre non sans regret ce samedi, 10 octobre 2015, l’annonce par la voie des ondes de la démission du Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante, Monsieur l’Abbé Apollinaire Malumalu pour raison de santé.<br />
<br />
La CASE tient d’abord à rendre un hommage mérité à ce collègue membre de la Société Civile pour les précieux et remarquables services à la Nation et au monde entier, dans le domaine des élections et le rassure de son soutien dans cette grave épreuve de maladie qui vient brutalement priver à la Nation de son immense expertise et de sa profonde richesse d’intelligence dans ce domaine.<br />
<br />
La démission de l’Abbé Malumalu constitue sans nul doute un coup dur pour le processus électoral tant il est vrai qu’il est considéré depuis des années comme une bibliothèque, un monument vivant en matière électorale en RDC, en Afrique et dans le monde.<br />
<br />
La CASE exprime donc sa vive préoccupation quant à la poursuite normale du processus électoral en République Démocratique du Congo et invite les Membres de la CENI à maintenir l’élan de solidarité, de professionnalisme, de transparence, d’unité et de responsabilité afin de mener à bon port les échéances électorales attendues d’ici-là.<br />
<br />
La CASE s’adresse précisément aux Chefs des Confessions Religieuses de la République Démocratique du Congo à savoir :<br />
<br />
L’Eglise Catholique, l’Eglise du Christ au Congo, la Communauté Islamique au Congo, l’Eglise Kimbanguiste, l’Eglise du Réveil du  Congo, l’Armée du Salut, l’Eglise Orthodoxe et les Eglises Indépendantes, à procéder immédiatement aux consultations en vue de la désignation de leur candidat au poste du Président de la CENI.<br />
<br />
Ce choix devrait impérativement se conformer aux critères ci-après :<br />
<br />
Un homme (ou une femme) faisant preuve d’une meilleure connaissance de notre société et d’une maitrise avérée en matière réelle de la machine électorale actuelle afin de vite relancer la centrale électorale avec ses acquis et atouts actuels à savoir :<br />
Les résultats de la cartographie électorale, la transmission rapide et sécurisée des résultats électoraux, un  plan de recrutement du personnel électoral obéissant aux normes établies, un fichier électoral crédibilisé, etc.<br />
<br />
Il en est de même des principes et valeurs d’indépendance, de leadership et de transparence, tout comme de la capacité à rassurer les parties prenantes et les partenaires engagés dans l’accompagnement du processus électoral ;<br />
<br />
-Un homme (une femme) connu du domaine et faisant preuve d’un esprit d’ouverture, de compétence, d’efficacité, d’énergie et d’une force de communication publique,  de grande conviction dans la vérité ;<br />
<br />
-Un homme (une femme) disponible et capable de résister aux pressions politiques et sociales d’où qu’elles viennent.<br />
<br />
D’autre part, la CASE invite les acteurs politiques de la Majorité, de l’Opposition, des centristes et des groupes nouvellement constitués à ne pas s’ingérer dans le processus de désignation du nouveau Président de la CENI et de n’user d’aucune influence négative quant à ce.<br />
<br />
La  CASE invite enfin les partenaires techniques et financiers du processus électoral en République Démocratique du Congo, les acteurs de la Société Civile et Chefs des Confessions Religieuses à ne pas se décourager et s’investir sérieusement dans le suivi de cette situation.<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 11 octobre 2015<br />
<br />
Pour la Commission Africaine pour la Supervision des Elections (CASE)<br />
<br />
Simaro Ngongo Mbayo <br />
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Politique Remplacement de Malumalu : la CASE interdit aux politiques de s’immiscer !

*La Commission Africaine pour la Supervision des Elections (CASE) regrette la démission de l’Abbé Malumalu de la Présidence du Bureau de la...

Albert Moleka pense qu’il faut laisser Kabila violer la constitution,au finish le poursuivre pour haute trahison

October 13, 2015

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L’ancien directeur de cabinet de Tshisekedi, Albert Moleka a expliqué à C-NEWS que Joseph Kabila n’est pas prêt à partir. Le président sortant, selon Moleka multiple des stratégies pour se maintenir au-delà de la constitution. Ses propos à Kingakati face aux parlementaires de la majorité n’étaient que mensonge. D’après Moleka, Kabila n’a pas dit la vérité. Voilà pourquoi, il pense qu’il faudra face ce refus de quitter le pouvoir selon ce que prévoit la constitution, il faut laisser Kabila violer la constitution, pour le poursuivreau finish pour haute trahison, étant donné qu’il ne passera pas, ne gagnera pas non plus. Moleka a profité également de l’occasion pour affirmer qu’il rejetait l’offre de Tshisekedi, qui lui proposait de conduire la délégation UDPS-Tshisekedi au dialogue envisagé par le même Kabila.<br />
Depuis Bruxelles, des proches du président de l’UDPS, nous font remarquer que Tshisekedi tente de vous rappeler pour conduire la délégation de l’UDPS aux négociations pré-dialogue avec les délégués du sortant Kabila. Tshisekedi aurait mis à contribution un conseiller spécial d’un chef d’Etat de la région, grand ami à vous. Pourquoi refusez-vous ce rappel?<br />
Je ne vois pas comment, est-ce possible. Depuis le 25 septembre, mon successeur a été nommé. Je ne vois pas dans quel cadre ce rappel, peut-il se matérialiser. J’ai démissionné de l’UDPS –Tshisekedi, et depuis je suis l’un de vice-présidents de l’UDPS-Kibasa, qui se trouve être l’aille originelle de notre formation politique fondée par les treize parlementaires au début des années 80. L’UDPS-Kibasa ne souscrivant pas à ce fameux dialogue, parce qu’inutile et inopportun, je ne vois pas pour quelles raisons dois-je m’impliquer pour ces assises. Imaginez-vous que même le G7, qui vient de quitter pas plu tard que hier la majorité au pouvoir était pro-dialogue, mais y renonce aujourd’hui.<br />
Parce que vous parlez du G7, quel est votre point de vue par rapport à leurs actions contre leur ancienne famille politique et leur autorité morale, Joseph Kabila?<br />
Je les félicite et les encourage. Ce groupe de sept partis politiques ont réussi une opération sans trop de casses et sans perdre trop d’éléments. Ils viennent de faire leur entrée dans l’opposition, qu’ils sachent que c’est un monde différent dans lequel ils ont choisi d’évoluer désormais. Je les félicite, puisque plusieurs ont logiquement démissionné d’eux-mêmes. Ce qui n’est pas propre aux Congolais. Les structures de leurs partis sont restées fidèles aux leaders.<br />
Votre parti UDPS-Kibasa, aurait des rapports très poussés avec le G7, a-t-on appris?<br />
Non. Mais, bien sur s’il y a des relations personnelles entre baba Kyngu et le président LumbuMaloba. Les deux sont fondateurs de l’UDPS. Mwando et le président Kibasa étaient très proches. José Endundo est un aîné et frère à moi, Olivier Kamitatu un frère, Lutundula un Anamongo comme moi.<br />
Pierre Lumbi et vous, c’est la politique pure. Parce que vous avez eu à approcher son parti le MSR, alors que vous étiez encore dans l’UDPS-Tshisekedi?<br />
J’avais tenu de rencontrer la direction du MSR après la réunion de Kingakati. J’étais allé me renseigner à la source sur la position du MSR concernant la révision constitutionnelle, plutôt que d’aller vers le PPRD. Je n’ai jamais caché mon admiration sur le travail fait par les organisations à la base de la création du MSR. Ce parti a montré de quoi il est capable sur le plan de son implantation sur l’ensemble du territoire national. C’est dans toute objectivité que je le dis.<br />
Confirmez-vous, qu’il n’y a pas d’alliance politique entre votre parti et le G7?<br />
Pas d’alliance politique en vue pour le moment. En cultivant de rapport entre politiciens, ça vous permet d’accroitre votre connaissance afin de préparer l’avenir. Le contact humain prépare toujours l’avenir. Le dialogue, c’est une manière de vivre. Une éducation en fait. Ce ne sont donc pas de rendez-vous exceptionnels.<br />
Vous vous opposé à un dialogue avec Kabila, mais ici vous évoquez le bien fondé d’un dialogue. Ne voyez-vous pas que vous êtes entrain de vous contredire?<br />
Je parle ici de dialogue entant que culture, contact humain, respect et considération de l’autre. Si aujourd’hui je cause avec Fayulu, je parle avec Olengan Nkoy, ça ne doit pas être une chose exceptionnelle. De même que si j’ai des amis dans l’autre camp de la majorité, ça ne doit pas être non plus une chose exceptionnelle.<br />
Malumalu vient de démissionner de la présidence de la CENI, quelle lecture vous faites de la suite du processus électorale en RD-Congo?<br />
Cette démission était attendue depuis le mois de juin. Vu son état de santé, je le souhaite un bon rétablissement entant que chrétien. Son remplacement devrait se faire rapidement. La société civile ne manque pas de personnes expertes dans le domaine des élections pour faire fonctionner la CENI comme il se doit.<br />
Le nom de Jérôme Bonso revient dans toutes les lèvres pour remplacer Malumalu. Que pensez-vous de ce choix?<br />
Effectivement, on parle beaucoup de Jérôme Bonso. Ce grand expert sur la problématique du processus électoral. Au sein de la CENI même, il y a des gens capables –des compatriotes aussi comme Paul Sapu, qui peuvent aussi faire l’affaire.<br />
Où en sommes-nous avec la démarche de l’UDPS-Kibasa sur la réunification?<br />
L’objectif de la réunification que soutient l’UDPS-Kibasa est politique. Il vise à fortifier, consolider les forces udpsienes. Nous continuons à travailler dans ce sens. Mais notre priorité est de relancer les activités d’implantation du parti afin d’organiser rapidement possible le congrès.<br />
Epousez-vous la démarche d’André Kalonzo et son groupe contre Tshisekedi?<br />
Je les connais tous. Kalonzo et son groupe. Ce sont des anciens proches collaborateurs de Tshisekedi. Leur démarche telle que je la comprends et leurs réponses à la crise qui prévaut dans ce parti et leurs arguments est principalement basée sur la modification irrégulière des statuts de l’UDPS-Tshisekedi en dehors du congrès. Juridiquement, ils peuvent avoir raison. Mais pas sur le plan politique. Tshisekedi politique c’est une autre affaire. Il reste une légende, une icône et un mythe. Certaines personnes ont besoin de ces genres des personnes. Ce qui se passe à l’UDPS-Tshisekedi, c’est un problème interne, à ce parti.<br />
Votre parti, s’est opposé à la condamnation de Vano Kiboko à 3 ans de prison. Votre réaction a été très musclée. Envisagez-vous toujours d’interjeter appel?<br />
Vano Kiboko ne devrait pas être condamné. C’est une injustice issue d’une parodie de procès. Kiboko on le fait payer sur sa position contre le 3ième mandat de Joseph Kabila et son leadership avéré dans la zone géographique très sensible de Kolwezi.<br />
Quels commentaires faites-vous de la dernière sortie de Joseph Kabila à Kingakati devant les parlementaires de la majorité présidentielle?<br />
Kabila a menti sur toute la ligne. Kabila n’a pas dit la vérité. D’ailleurs à entendre les commentaires et les déclarations de ses proches qui étaient à Kingakati, on comprend qu’eux-mêmes ont compris que Kabila n’est pas prêt pour partir dans le délai constitutionnel. Attendons voir le nouveau calendrier que la CENI va proposer, les positions et les positionnements des uns et des autres éclaireront la lanterne.<br />
Il semble que vous n’approuvez pas l’équipe Matata III?<br />
C’est un gouvernement des godillots. Un gouvernement des gens qui obéissent au doigt et à l’œil. Ce n’est pas un gouvernement d’initiateurs ni de créateurs.C’est un gouvernement bling-bling. Voyez-vous comment ils se sont mobilisés rien que pour l’inauguration de deux avions. Imaginez si nous étions à la 2ième République, quand le gouvernement avait et achetait plusieurs les avions neufs, on allait avoir un gouvernement qui allait de manière continue commencer à inaugurer les vols d’avions tous les jours. L’immeuble intelligent n’allait pas être érigé sur le boulevard du 30 juin, mais plutôt à l’aéroport de N’Djili pour tout voir.Parlons des choses beaucoup plus sérieuses. Qu’on arrête de distraire notre peuple avec des futilités.<br />
Choses sérieuses comment quoi selon vous?<br />
Moi je pense qu’il faut laisser finalement Kabila faire tout ce qu’il veut. Qu’il commette des gaffes comme il veut. Mais, le moment venu nous allons le poursuivre pour haute trahison. Nous allons le poursuivre parce qu’il ne passera pas, ne gagnera pas non plus. Ne voyez-vous pas comment toutes ses stratégies montées pour se pérenniser au pouvoir ne passent plus.Il y a des dossiers comme celui du non respect de la constitution en multipliant des tactiques pour bloquer la République par le fait de ne pas organiser les élections selon la constitution. En plus, le dossier sur le charnier de Maluku, que ce régime veut étouffer et banaliser ; le dossier des prisonniers politiques (Vano Kiboko, Muyambo, Christopher Ngoyi, DiomiNdongala, Fred Bahuma, Serge Makwambala et tant d’autres gardés dans des lieux secrets…). C’est comme le distributeur de votre journal C-NEWS, DidoZamwangana coffré depuis près de trois mois dans les cachots de l’agence nationale de renseignement. Son dossier n’a jamais été transféré devant un magistrat pour instruction. Il y en a plein de dossiers sur lesquels nous allons nous appuyer. Entre autres aussi le non respect des droits humains. Ce régime étouffe même notre droit à l’information et à la liberté d’expression. Voyez comment, le pouvoir avait planifié l’attaque du meeting de l’opposition à N’Djili.<br />
Le meeting auquel vous avait assisté?<br />
J’ai assisté à ce meeting. C’était inimaginable. Envoyer des bandits pour saboter une activité légalement autorisée. C’est décevant pour ce pouvoir. Qui met l’accent sur des futilités que sur les vrais problèmes du pays notamment des frustrations au sein de l’armée. L’invasion de l’armée rwandaise à l’Est. A Kasindi où le shiling est utilisé à la place du franc congolais. Il y a aussi la désertion du régiment du camp Kimbembe dont on n’évoque pas. Il y a des dossiers qui peuvent occuper ce pouvoir mon cher ami.<br />
JOHN TSHINGOMBE I<br />
<br />
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Politique Albert Moleka pense qu’il faut laisser Kabila violer la constitution,au finish le poursuivre pour haute trahison

L’ancien directeur de cabinet de Tshisekedi, Albert Moleka a expliqué à C-NEWS que Joseph Kabila n’est pas prêt à partir. Le président sort...

Kalev menace Katumbi, Kyungu, Mwando, Banza et leurs partisans à travers une prétendue réunion de sécurité ?

October 13, 2015

<div style="background-color: white; color: #141823; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNK1xzzKEwwan0c5MONtmVeFd1jtl_GY60na1GsUIPeoy27xQWnLH8zGq2dR_i8LLJ03iACFm8hz0bv1VKf4OnaFVocn3bM-0wnyWY_RpqF2ik7nLZTXF6_ZBfuCrf7RTPXaCMfC2gmxhi/s1600/Snapshot_605.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNK1xzzKEwwan0c5MONtmVeFd1jtl_GY60na1GsUIPeoy27xQWnLH8zGq2dR_i8LLJ03iACFm8hz0bv1VKf4OnaFVocn3bM-0wnyWY_RpqF2ik7nLZTXF6_ZBfuCrf7RTPXaCMfC2gmxhi/s400/Snapshot_605.jpeg" width="400" /></a></div>Un général de la police nationale a fait le compte rendu d'une prétendue réunion de sécurité tenue le samedi, 10 octobre à Lubumbashi, sous la direction des autorités nationales.<br />
<br />
En réalité, la réunion s'est ténue sous la direction du directeur général de l'ANR, agence nationale de renseignements, le redoutable Kalev. Dans le compte rendu, il est affirmé que la situation sécuritaire était calme sur l'ensemble de l'ex Province du Katanga.<br />
<br />
Cependant, dans le compte rendu, la réunion de sécurité met en garde toute personne, qui tenterait de troubler l'ordre public dans la province, à travers des propos, prises de position ou déclarations contre l'autorité établie. Une façon de menacer les frondeurs de la majorité fin mandat notamment Charles Mwando Simba, ancien vice-président de l'assemblée nationale, Gabriel Kyngu, président de l'assemblée provinciale de l'ex province du Katanga et l'homme d'affaires, Banza, président du parti ACO,qui n'arrêtent pas à appeler Kabila au respect de la loi fondamentale.<br />
<br />
Tous auteurs de trois lettres couvertes appelant Joseph Kabila au respect de la constitution. Les menaces sont aussi orientées vers le Gouv', Moïse Katumbi, qui vient de démissionner et de son parti PPRD, et de son poste pour oeuvrer en faveur du respect de la constitution.<br />
<br />
Ces leaders de premier plan, sont depuis objets de menaces et intimidations de la part du régime depuis qu'ils ont lâchés le président sortant, Kabila. Des complots se concoctent dans des officines pour neutraliser ces acteurs politiques.<br />
<br />
La réunion de Kalev à Lubumbashi, c'est un avertissement. Des officines montent pendant ce temps, même des faux dossiers judiciaires contre ces dignes fils katangais, prêts à mourir désormais pour le respect de la constitution et du délai des mandats. Ce n'est pas cette petite réunion de Kalev qui pourrait les ébranler, faisait entendre l'un d'entre eux. Kyngu wa Kumwanza, son activité de samedi 10, a été annulée.<br />
<br />
Des policiers armés jusqu'aux dents étaient déployés dans toute la ville de Lubumbashi. Une ONG de défense de liberté et justice a promis de porter plainte contre le maire de Lubumbashi, pour avoir interdit une marche pourtant autorisée par la loi.<br />
<br />
Kalev, après avoir échoué de ramener vers Kabila les opposants, le voilà vouloir bondir avec sa réunion de Lubumbashi, une activité de répression qui ne fait que clouer Kabila.<br />
<br />
C-News.<br />
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Un général de la police nationale a fait le compte rendu d'une prétendue réunion de sécurité tenue le samedi, 10 octobre à Lubumbashi, s...

La démission de Malumalu ne devrait pas avoir d’incidence sur les élections, selon Jacques Djoli

October 13, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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La démission du président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), l’Abbé Apollinaire Malumalu ne devrait pas avoir d’incidence sur le processus électoral en cours si la gestion de cette institution était collégiale, a déclaré dimanche 11 octobre à Radio Okapi, le sénateur Jacques Djoli. A en croire l’ancien vice-président de la Ceni, la fonction et la mission du président de la Ceni exigent des considérations qui néanmoins pourraient peser à son remplacement.<br />
<br />
«Si sur le plan du droit, la question ne se pose pas mais c’est le remplacement à titre individuel, la susceptibilité, la sensibilité, la spécificité de cette fonction qui suscitent quand même un certain nombre des questions qu’il faudra examiner. Et je crois que ce n’est pas un hasard, si l’article 53 bis de la loi portant organisation de la Ceni confie la tâche de consultation, d’installation, de désignation des membres du bureau de la Ceni à l’Assemblée nationale», a-t-il indiqué.<br />
<br />
Selon M. Djoli, c’est la société civile particulièrement la composante confession religieuse qui doit automatiquement designer un autre candidat en tenant compte de l’ensemble d’équilibres et de susceptibilité liés à cette fonction.<br />
<br />
La démission d’Apollinaire Malumalu a été rendue publique samedi 10 octobre à la télévision nationale à travers un communiqué du cabinet du président Joseph Kabila.<br />
<br />
Le texte évoquait des raisons de santé comme motif de cette renonciation. Une démission qui intervient dans un contexte marqué par des incertitudes liées au financement et à la faisabilité d’un calendrier électoral qui prévoit sept scrutins, en plus de l’élection des gouverneurs de nouvelles provinces, censées culminer par la présidentielle couplée aux législatives nationales en novembre 2016.<br />
radiookapi.net<br />
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La démission du président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), l’Abbé Apollinaire Malumalu ne devrait pas avoir d’in...

L’après Malumalu a commencé : CENI, la Société civile face à ses responsabilités !

October 13, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOyEtRrezvbfM7tauRamB5j9kqs8uT3N9iKrzMd3BdH6TCOoL6R-MKlnY2qwODGngLqavAug5fIJrzcUF4gShTZqFF6XxWyLKH5swYK9_lYigTmEQUviWV85kbVUtyQX8EdOLTsEsOf7Sj/s1600/Snapshot_548.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOyEtRrezvbfM7tauRamB5j9kqs8uT3N9iKrzMd3BdH6TCOoL6R-MKlnY2qwODGngLqavAug5fIJrzcUF4gShTZqFF6XxWyLKH5swYK9_lYigTmEQUviWV85kbVUtyQX8EdOLTsEsOf7Sj/s400/Snapshot_548.jpeg" width="400" /></a></div>
*La grande bataille de succession est engagée, à la tête de la CENI, depuis que M. l’Abbé Muholongu  Malumalu Apollinaire  a jeté l’éponge, le 10 octobre dernier, dans la soirée. Ce prêtre kivutien, arrivé  à ce poste, le 12 juin 2013,  laisse ainsi, derrière lui, une Centrale électorale confrontée  à des multiples difficultés. Le calendrier global tétanisé, les affaires  de l’enrôlement des jeunes devenus majeurs et   de la révision du fichier électoral trainent encore sur  la table. A cela, il faut ajouter  l’épineux problème de financement et de la sécurisation de processus électoral, sans oublier que du retard accumulé, dépendra la suite des événements en RD. Congo. Surtout qu’en 2016, il y a des délais inextensibles et incompressibles qu’il faudrait, à tout prix,   respecter, pour  rester dans les bornes tracées par la Constitution. Où trouvera-t-on le nouvel oiseau rare pour présider à la destinée de la CENI dont le rôle dans l’organisation des élections est, comme tout le monde sait, incontournable.  La société civile, plus que jamais divisée et éparpillée, en raison du manque d’unité, de cohésion et de la prévalence de  composantes plurielles aux intérêts divergents, peut-elle parler d’une seule  voix, pour que dans un temps relativement court, qu’elle propose au Parlement, le nom d’un nouveau Président de la CENI ? La tâche est difficile, certes. Mais, elle   n’est pas, forcément,  impossible.<br />
<br />
La société civile  y est obligée.  Car, à la vitesse du temps, correspond l’exigence de   plusieurs contraintes à relever,  pour que le processus électoral, déjà en retard, ne soit pas  totalement paralysé. Ceci aurait l’avantage d’éviter que le pays, lui-même,  plonge ses pénates  dans un cycle infernal de violences et de confusion. Si la société civile ne s’assume pas, elle contribuerait, par le fait même, au long et pernicieux  feuilleton du glissement, très décrié  par une frange importante des acteurs politiques. Dans le même esprit, des langues se délient, pour profiter du départ de Malumalu, pour réclamer  la reconfiguration de la centrale électorale. Là-dessus, c’est encore un tout nouveau problème qui, si l’on n’y prend garde, peut produire des effets toxiques, en retardant inutilement  l’essentiel du travail à faire, avant les échéances  2016. Chercher à désintégrer l’équipe actuelle, c’est la meilleure façon d’ouvrir les alvéoles du barillet des règlements  des comptes. On y perdrait encore du temps…<br />
<br />
Rappel des faits<br />
<br />
Investi  à la tête de la Commission Electorale Nationale Indépendante par Ordonnance n°13/058 du 12 juin 2013, Abbé Malumalu a démissionné de ses fonctions,  le samedi 10 octobre dernier. Depuis l’étranger où il séjourne, depuis un certain temps, il  a écrit au Président de la République,   en évoquant, entre autres,  des raisons de santé. Un  communiqué officiel de la Présidence de la République  confirme que le Chef de l’Etat a pris acte de cette démission. Mais, ledit communiqué, sans avancer,  outre mesure, d’autres motifs, invite, plutôt, la Composante dont était issu M. l’Abbé Muholongu Malumalu Apollinaire, à  pourvoir à la vacance ainsi créée, conformément à la loi organique portant organisation et fonctionnement de la CENI. Une fois le nom de son  successeur connu, il sera transmis à l’Assemblée Nationale, pour entérinement. <br />
<br />
Dans cette édition, relisez le contenu de ce communiqué,  si clair que l’eau de roche.<br />
<br />
La Pros.<br />
<br />
Communiqué Officiel de la Présidence de la République<br />
<br />
Le Cabinet du Président de la République porte à la connaissance de l’opinion que le Chef de l’Etat a reçu ce samedi 10 octobre 2015,  la lettre de Monsieur l’Abbé Apollinaire Muholongu Malumalu, Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante, CENI en sigle, lui présentant sa démission de ses fonctions de Président de la CENI, pour raison de  santé.<br />
<br />
Le Président de la République a pris acte de cette démission.<br />
<br />
En conséquence, il est demandé à la Composante dont était issu le Président de la CENI, de se réunir en vue de désigner son remplaçant,  conformément aux articles 10, 12, 14 et 15 de la Loi Organique N° 13/012 du 19 avril 2013 modifiant et complétant la Loi Organique N°10/013 du 28 juillet 2010 portant organisation et fonctionnement de la commission Electorale Nationale Indépendante et de communiquer le nom de l’intéressé à l’Assemblée Nationale,  pour entérinement.<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 10 octobre 2015<br />
<br />
Le Cabinet du Président de la République<br />
<br />
<br />
<br />
Ordonnance n°13/058 du 12 juin 2013 portant investiture des membres de la Commission Electorale Nationale Indépendant<br />
<br />
Le Président de la République ;<br />
<br />
Vu la Constitution, telle que modifiée par la Loi n° 11/002 du 20 janvier 2011 portant révision de certains articles de la Constitution de la République Démocratique du Congo du 18 février 2006, spécialement en ses articles 79 alinéa 3 et 211 ;<br />
<br />
Vu, telle que modifiée et complétée à ce jour,  la Loi Organique n° 10/013 du 28 juillet 2010 portant organisation et fonctionnement de la Commission électorale Nationale et Indépendante, spécialement en son article 12 alinéa 3 et 53 ;<br />
<br />
Vu la Résolution de l’Assemblée Nationale n°004 CAB/P/AN/AM/2013 du 08 juin 2013 portant entérinement de la désignation des membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante, « CENI » ;<br />
<br />
Vu l’urgence et la nécessité ;<br />
<br />
Ordonne :<br />
<br />
Article 1 : Sont investis membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante, conformément à la Résolution de l’Assemblée nationale n°004CAB/P/AN/AM/2013 du 08 juin 2013, portant entérinement de la désignation des membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante, les personnalités, ci-après :<br />
<br />
Abbé Apollinaire Muholongu Malumalu <br />
Monsieur André Mpungwe Songo<br />
Monsieur Jean-Pierre Kalamba Mulumba<br />
Monsieur Onésime Kukatula<br />
Madame Chantal Ngoyi Tshite Wetshi<br />
Madame Micheline Bie Bongenge<br />
Madame Keta Tamuzinda<br />
Monsieur Gustave Omba<br />
Monsieur Jean-Baptiste Ndundu<br />
Monsieur Augustin Ngangwele Mbobi<br />
Article 2 : Sont abrogées, toutes les dispositions antérieures contraires à la présente Ordonnance.<br />
<br />
Article3 : La présente Ordonnance entre en vigueur à la date de sa signature.<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 12 juin 2013<br />
<br />
Joseph Kabila Kabange<br />
<br />
Pour copie certifiée conforme à l’original<br />
<br />
Le 12 juin 2013<br />
<br />
Le Cabinet du Président de la République<br />
<br />
Gustave Beya Siku<br />
<br />
Directeur de Cabinet  <br />
<br />
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOyEtRrezvbfM7tauRamB5j9kqs8uT3N9iKrzMd3BdH6TCOoL6R-MKlnY2qwODGngLqavAug5fIJrzcUF4gShTZqFF6XxWyLKH5swYK9_lYigTmEQUviWV85kbVUtyQX8EdOLTsEsOf7Sj/s400/Snapshot_548.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br />
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Politique L’après Malumalu a commencé : CENI, la Société civile face à ses responsabilités !

*La grande bataille de succession est engagée, à la tête de la CENI, depuis que M. l’Abbé Muholongu Malumalu Apollinaire a jeté l’éponge...

Assemblée Nationale : Une pétition circule contre Minaku !

October 12, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEir3ECyimohKpe08GbNk8N9TV-lZWdFpVH48sce1Z8QC0CQMeyVZx9p9wxlrzCNPYuQtYWI2MmT1DTIHDJOhmxBBnWqJjrVce9Li65IczlA7RlVgfg1JzaocXjRpzrn8Z4xFgUYKkWJrha_/s1600/Snapshot_77.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEir3ECyimohKpe08GbNk8N9TV-lZWdFpVH48sce1Z8QC0CQMeyVZx9p9wxlrzCNPYuQtYWI2MmT1DTIHDJOhmxBBnWqJjrVce9Li65IczlA7RlVgfg1JzaocXjRpzrn8Z4xFgUYKkWJrha_/s400/Snapshot_77.jpeg" width="400" /></a><br />
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="line-height: 1.6em;">Des sources généralement bien introduites,  font état d’une pétition en gestation qui viserait le Président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku. Un Député du Maniema, plus précisément de Kibombo,  serait à la base de cette  manœuvre. Il aurait tenté, d’après certains élus qu’il a contactés  moyennant espèces trébuchantes dont l’origine remonterait au Trésor public,  d’arracher leur consentement, pour  faire chuter  Aubin Minaku et  l’ensemble de son  Bureau. Et, pourtant, une telle démarche aux accents  peu orthodoxes, même  si elle devait atteindre ses objectifs, elle  aurait  pour triste mérite,  de retarder l’adoption du Budget de l’Etat 2016 et, par conséquent,  de dérailler le processus électoral, sans compter l’effet d’amplifier  des contradictions au sein  de  la Majorité Présidentielle. L’on craint que dans les pires des cas que l’on  en arrive, si la Majorité tangue,  à la dissolution de l’Assemblée Nationale.       </strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
De l’argent circule pour acheter les consciences à l’Assemblée nationale et mettre au tapis,  le Président de l’Assemblée nationale, celui-là même qui dirige la grande famille de la Majorité Présidentielle. A Minaku, on reproche tous les pêchés d’Israël. On peut, toutefois, s’interroger sur le bien-fondé de la démarche de ceux qui s’activent à avoir sa tête, en ce moment particulier de l’histoire du pays, dominé par les enjeux politiques et sociaux de grande envergure. Rien qu’à l’Assemblée nationale, il se déroule, depuis le 15 septembre dernier, la session ordinaire budgétaire. Une session d’une importance particulière dans la mesure où les Députés se doivent d’affecter des ressources financières nécessaires à l’organisation des élections. Si Aubin Minaku partait, poussé par une nébuleuse subtilité politicienne, il va sans dire que l’examen du Budget 2016 serait retardé. Nébuleuse parce que ceux qui commanditent l’opération de déchéance du Speaker de la Chambre basse sont perchés dans les Institutions du pays. Tout serait  parti, semble-t-il,  de la volonté du Président du Bureau de l’Assemblée nationale de conditionner l’examen du Budget 2016 à la reddition des comptes, pour l’exercice  2014. L’idée était d’analyser correctement la manière dont les dépenses publiques sont effectuées. N’est-ce pas secouer le cocotier ? Ce qui est curieux dans cette affaire qui sent le roussi, c’est le fait que la tentative de défenestration de Minaku intervient, juste après la défection du G7 dont les conséquences sont encore incalculables. En milieu de semaine dernière, des consultations ont été ouvertes pour que chaque camp compte ses forces à l’hémicycle. La famille politique présidentielle que dirige Minaku revendique plus de 300 Députés. Si Minaku n’avait pas été là, on ne sait pas ce que la MP  serait devenue. On l’a vu au four et au moulin,  pour colmater les brèches, mobiliser les soutiens au Président de la République dont l’image a  fortement  été écornée par ses opposants anciens et nouveaux. Les pourfendeurs de Minaku sont allés jusqu’à dire qu’il tomberait malade, au regard de la multitude des réunions nocturnes et diurnes qu’il initiait  et continue à présider. La MP n’a définitivement pas traversé la zone de turbulence. En principe, les deux postes du Bureau laissés vacants par les démissionnaires du G7,  devraient être comblés,  ce jeudi 15 octobre. Le calendrier a pris du retard. Certainement qu’il y a encore beaucoup de phases ombrageuses à franchir.  Trois tendances se dessinent à l’Assemblée nationale. Les uns veulent tout juste pourvoir aux vacances (1<sup>ère</sup> Vice-présidence et Rapporteur), les autres cherchent à étendre l’élection à la 2<sup>ème</sup> Vice-présidence et au Questeur, et, enfin, ceux qui souhaitent le remplacement de l’ensemble du Bureau.        </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>La Pros. </strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><br />
</strong></div>
<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br />
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la Nation Politique Assemblée Nationale : Une pétition circule contre Minaku !

Des sources généralement bien introduites, font état d’une pétition en gestation qui viserait le Président de l’Assemblée nationale, Aubi...

COMMUNIQUE OFFICIEL N°033/2015 DE LA DIASPORA RD CONGOLAISE D’AFRIQUE, D’AMERIQUE, D’ASIE, D’EUROPE ET D’OCEANIE

October 12, 2015

<div>
<b>Objet : Remplacement immédiat de Monsieur Apollinaire MALU-MALU à la CENI par un autre prêtre Catholique sur proposition de la Conférence Épiscopale de la RDC (CENCO).</b></div>
<div>
<br /></div>
<div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFjRgfL3-7KCLcM0V_5btSPPLhkIpz_Zxq5wYGU3zf8rYYB5vD4sP0FbOKSfy_dCHhfj5we_15sa4Ye7S6SwsZpvy-VmqwAQwTbf0ITj5t-SMHmPLPshJELjnri9jkWMIAh2t8Du9q53Ss/s1600/malu+malu+malade.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFjRgfL3-7KCLcM0V_5btSPPLhkIpz_Zxq5wYGU3zf8rYYB5vD4sP0FbOKSfy_dCHhfj5we_15sa4Ye7S6SwsZpvy-VmqwAQwTbf0ITj5t-SMHmPLPshJELjnri9jkWMIAh2t8Du9q53Ss/s400/malu+malu+malade.jpg" width="400" /></a></div>
 La Diaspora RD Congolaise politique du Réel en appelle à la conscience des membres de la Société civile afin de se réunir en toute urgence pour le remplacement de Monsieur MALU-MALU. Le poste du Président de la Commission Nationale Électorale Indépendante (CENI) est réservé pour la société civile. Et, un consensus national au niveau de la Société civile s'est dégagé pour attribuer ledit poste à l'Église Catholique. Le même consensus autour l'Église Catholique, s'est manifesté aussi au niveau de la Majorité présidentielle et l'Opposition politique. Seulement, il n'y avait pas un point d'accord sur la personne de MALU-MALU. D'ailleurs, c'est la Majorité présidentielle qui soutenait MALU-MALU comme candidat Catholique et, par contre, l'Opposition politique souhaitait un autre candidat de la CENCO. Pour ce faire, la Conférence Épiscopale (CENCO) est obligé de se réunir en urgence en vue de présenter à l'ensemble de la Société civile, son candidat. Le temps étant imparti, une importante institution d'appui à la démocratie comme la CENI ne peut rester sans Président pendant plus d'une semaine. Le peuple Congolais de l'intérieur et de l'extérieur n'acceptera jamais une récupération politique sur ce dossier. Mettons-nous d'accord, le poste du président de la CENI revient à l'Église Catholique. Les politiques, mettez-vous à l'égard, svp. Ce dossier concerne strictement l'ensemble de la société civile et l'Église Catholique. A bon entendeur …............................................. L'œil de la diaspora est derrière ce dossier. Ainsi fait à Paris, le 12 octobre 2015 Pour la Diaspora RD Congolaise politique du Réel Guillaume PURBUAR NZIM-NZIAM Porte-parole</div>
<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br />
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Politique COMMUNIQUE OFFICIEL N°033/2015 DE LA DIASPORA RD CONGOLAISE D’AFRIQUE, D’AMERIQUE, D’ASIE, D’EUROPE ET D’OCEANIE

Objet : Remplacement immédiat de Monsieur Apollinaire MALU-MALU à la CENI par un autre prêtre Catholique sur proposition de la Conférence É...

Jérôme Bonso pour remplacer Malumalu

October 12, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpxSC2-Se2Otkn4Xmgpfx9W7zX0TsJqWSs9RjK8xU1mzlPaJ12688FpbCfBpzqiJekP-B7WdNcCeL95vk_tNRGfEa7CLzWaEDKulUnT-351bTPoq70whEITjlwUb0Iy4yfSUTRzkWEYZwy/s1600/Snapshot_576.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpxSC2-Se2Otkn4Xmgpfx9W7zX0TsJqWSs9RjK8xU1mzlPaJ12688FpbCfBpzqiJekP-B7WdNcCeL95vk_tNRGfEa7CLzWaEDKulUnT-351bTPoq70whEITjlwUb0Iy4yfSUTRzkWEYZwy/s400/Snapshot_576.jpeg" width="400" /></a>Le président de la ligue nationale des élections, LINELIT, Jérôme Bonso semble être l'homme apte pour succéder à Malumalu, le désormais ex président de la commission électorale nationale indépendante, CENI, qui venait de démissionner de son poste.<br />
<br />
Le président de la République Joseph Kabila, qui a pris acte de la démission de l' abbé Apollinaire Malumalu a demandé à la composante société civile de proposer un candidat à l'assemblée nationale pour remplacer le démissionnaire.<br />
<br />
Apparemment les choses vont très vite. Des sources rapportent que Bonso pourra prendre la tête de la CENI. Ceux qui portent leur choix sur lui, estiment que Bonso maitrise les questions des élections que beaucoup d'autres.<br />
<br />
Il est dans ce domaine depuis des années. Il pourra faire l'affaire. "Cette fois-ci pas question de prendre des gens sans expertise ni connaissance dans le domaine. Il ne faut pas non plus placer, un président pace qu'il est proche de Kabila. Bonso est mieux placé pour ce travaille", indique une source.<br />
<br />
Dans sa dernière sortie, Bonso a proposé un chronogramme adapté pour sauver le processus électoral. Il affirmait dans sa problématique du processus électoral que si un compromis politique n'était pas trouvé vite, il y a risque d'aller au delà du délai constitutionnel.<br />
<br />
Avec la démission de Malumalu les choses devraient d'accélérer. Une dynamique serait mise en place pour porter le choix de Jérôme Bonso.<br />
C-News<br />
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpxSC2-Se2Otkn4Xmgpfx9W7zX0TsJqWSs9RjK8xU1mzlPaJ12688FpbCfBpzqiJekP-B7WdNcCeL95vk_tNRGfEa7CLzWaEDKulUnT-351bTPoq70whEITjlwUb0Iy4yfSUTRzkWEYZwy/s400/Snapshot_576.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br />
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Politique Jérôme Bonso pour remplacer Malumalu

Le président de la ligue nationale des élections, LINELIT, Jérôme Bonso semble être l'homme apte pour succéder à Malumalu, le désormais ...

Affaire Willy Makiashi – Palu-MP : pas de nuages entre les deux alliés idéologiques

October 12, 2015

<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEglV0-GGpGmFdo_WYLlbDL8VyKdRYNjKneC9MWLY4KM1cP4xChHsLhrks7aAnU7mQ6uGqiM1pTZ1H_oxOBSECaD0WT9qeoi9o-0th_ID_Vosv3o1olFpEY1oPCt2BVUxGlnnX8QaUil1r5B/s1600/555.png" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="258" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEglV0-GGpGmFdo_WYLlbDL8VyKdRYNjKneC9MWLY4KM1cP4xChHsLhrks7aAnU7mQ6uGqiM1pTZ1H_oxOBSECaD0WT9qeoi9o-0th_ID_Vosv3o1olFpEY1oPCt2BVUxGlnnX8QaUil1r5B/s400/555.png" width="400" /></a></div>
<br />
La tempête qui souffle à la Majorité présidentielle provoque une crise de loyauté dans les états-majors des grands alliés. Après le départ de sept principaux frondeurs de la MP suivi d’une kyrielle de défections, désaveux et démissions, le PALU d’Antoine Gizenga vient d’exclure de son bureau politique son ancien secrétaire permanent, Willy Makiashi, devenu vice-premier ministre de l’Emploi, travail et prévoyance sociale.<br />
<br />
Il est reproché à Willy Makiashi de s’activer dans les activités politiques avec les alliés du Palu alors qu’il n’en a plus qualité. Ce sont surtout ses apparitions aux cotés des membres du bureau politique de la MP lors de la déclaration de l’auto-exclusion des frondeurs de G7, qui ont énervé son parti.<br />
<br />
Dans une correspondance adressée â Willy Makiashi (e 06 octobre 2015, Antoine Gizenga rappelait à ce dernier ce qui suit: “Afin de vous permettre de vous occuper pleinement de vos fonctions ministérielles, je vous informe que vous ne faites plus partie du Bureau Politique”. Le secrétaire général du Palu exhortait à Willy Makiashi de ne plus prendre part aux réunions politiques avec ses alliés du parti présidentiel ou et porte-parole du parti ira à la rencontre de nos partenaires accompagné de ses adjoints”, note la correspondance.<br />
<br />
Cette décision préventive d’un parti qui fonctionne avec beaucoup de respect pour ses textes, apparaît comme un désaveux du vice premier ministre en charge du travail et prévoyance sociale. Certains analystes sont allés jusqu’à y voir des intentions d’une nouvelle fronde du Parti cher à Antoine Gizenga contre la MP alors qu’il n’en est rien.<br />
<br />
En effet, le PALU demeure un allié idéologique de la Majorité présidentielle. Un allié et non de moindre qui a permis au Président Joseph Kabila de remporter haut la main les élections présidentielles en 2006 et 2011 et de s’assurer une majorité très confortable au sein du parlement.<br />
<br />
La crise qui secoue actuellement la MP affecte le PALU plus que tout autre allié en raison de sa fidélité aux engagements et son attachement aux accords politiques qui lient le président Kabila et le patriarche du Palu, Antoine Gizenga. Ainsi, envisager une polémique entre les deux alliés en ce moment ne profiterait à personne. Car ce serait pareil à la démolition d’un édifice par ses propres architectes.<br />
<br />
Les extrémistes qui soufflent sur les charbons ardents devraient mettre de l’eau dans leur vin et comprendre où se trouve l’intérêt supérieur de la MP et du Palu afin de ne pas créer un précédent fâcheux.<br />
<br />
Au-delà de l’agitation observée sur cette décision qui n’avait d’ailleurs été signifiée qu’au seul concerné sans lettre d’ampliation aux autres structures du parti, Willy Makiashi bénéficie encore de la pleine confiance d’Antoine Gizenga qui veut bien le voir servir le pays à la tête du Ministre de l’Emploi, Travail et prévoyance sociale. En cette qualité, il reste en même temps l’interface attitré entre le président de la République et le Chef du parti.<br />
<br />
<br />
Son attitude diplomatique envers les alliés de la MP s’inscrit sans doute dans le souci qui a toujours animé certes Antoine Gizenga d’éviter tout ce qui risque de porter un coup dur à la nation.<br />
<br />
Par LRP<br />
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEglV0-GGpGmFdo_WYLlbDL8VyKdRYNjKneC9MWLY4KM1cP4xChHsLhrks7aAnU7mQ6uGqiM1pTZ1H_oxOBSECaD0WT9qeoi9o-0th_ID_Vosv3o1olFpEY1oPCt2BVUxGlnnX8QaUil1r5B/s400/555.png" rel="image_src" width="400"></link><br />
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Politique Affaire Willy Makiashi – Palu-MP : pas de nuages entre les deux alliés idéologiques

La tempête qui souffle à la Majorité présidentielle provoque une crise de loyauté dans les états-majors des grands alliés. Après le dépa...

PDC : les dissidents soutiennent Kabila

October 12, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhql0_RdX-ZXxucuyPgwqrOuCCZcXF4h62W_gx31W65EQQ6djL6WOgBckpFZyyLybmxY0qicb-DVLB2x1jqRCmNVvShiGim5dJyJtGzo8mIcFQrNIJ0e2SZAkl1Yc0QS4Zz-4J4zBgKzal2/s1600/Snapshot_553.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhql0_RdX-ZXxucuyPgwqrOuCCZcXF4h62W_gx31W65EQQ6djL6WOgBckpFZyyLybmxY0qicb-DVLB2x1jqRCmNVvShiGim5dJyJtGzo8mIcFQrNIJ0e2SZAkl1Yc0QS4Zz-4J4zBgKzal2/s400/Snapshot_553.jpeg" width="400" /></a></div>Vingt quatre heures après la sortie officielle du G7, qui s’est positionné comme un cartel des partis politiques de l’opposition, des cadres du PDC (Parti Démocrate Chrétien), l’un des sept partis membres de cette nouvelle plateforme politique, qui ont refusé d’obéir au mot d’ordre de leur autorisé, ont réaffirmé par contre leur soutien chef de l’Etat.<br />
<br />
Une matinée politique a été organisée pour ce faire, hier dimanche 11 octobre au Jardin botanique de Kinshasa, au cours de laquelle une déclaration politique de soutien à la Majorité présidentielle et à Joseph Kabila a été lue.<br />
Après avoir rappelé la genèse du feuilleton G7, notamment sa lettre ouverte à Joseph Kabila du 14 septembre 2015, les cadres dissidents du PDC restés fidèles à la famille politique du chef de l’Etat, s’insurgent à leur tour contre le comportement des leaders du G7. Ce, avant de dénoncer l’abus de pouvoir de José Endundo Bonongo, leur ancienne autorité morale.<br />
« C’est ici l’occasion pour nous, cadres et militants du PDC, non seulement de protester énergiquement contre le comportement de ces leaders, mais aussi de dénoncer avec force l’abus que s’est octroyé Monsieur José ENDUNDO BONONGE, en sa qualité d’autorité morale du PDC », lit-on dans la déclaration, qui indique que l’acte posé par lui est fondamentalement contraire aux statuts du parti, le PDC.<br />
Ils reprochent ainsi à José Endundo d’avoir violé les dispositions impératives qui régissent les organes du parti. Il s’agit notamment de :<br />
– L’article 18 qui confère au congrès les prérogatives de traiter des matières relatives à l’idéologie, à la doctrine et aux options fondamentales du parti ;<br />
– L’article 23 qui fait du bureau politique l’organe d’orientation et de décision du parti ;<br />
– L’article 26 donnant mandat au bureau politique, lorsque les circonstances l’exigent, de se réunir entre deux sessions pour statuer sur les matières dont la compétence est dévolue au congrès.<br />
«Au regard de ce qui précède, personne, soit-elle président national ou autorité morale, ne peut s’ériger en organe ni se substituer au congrès et bureau politique dans leurs attributions respectives.<br />
Il est donc établi qu’en décidant seul de la désolidarisation du Parti Démocrate Chrétien de la vision politique de la Majorité Présidentielle, Monsieur José ENDUNDO BONONGE, en sa qualité honorifique d’autorité morale, s’est arrogé indûment le droit de porter unilatéralement changement à une option politique fondamentale, ce, sans se référer aux instances compétentes du parti en cette matière ».<br />
Tout en réaffirmant leur appartement à la MP et leur soutien à Joseph Kabila, les signataires de la déclaration souscrivent à la tenue du dialogue politique prôné par le chef de l’Etat.<br />
Parmi les cadres        dissidents du PDC ayant signé la déclaration politique, on note 5 députés nationaux (John Tokole Elongo, Bienvenu Liyota Ndjoli, Bavon N’sa Mputu Elima, Anselme Enerunga, Castro Bamboka), 1 ministre du gouvernement central, en l’occurrence celui de l’Environnement, Robert Bopolo Mbongeza, le gouverneur ai de l’Equateur Sébastien Impeto Pengo, la PCA de l’ACP Lydie Ebenga, une députée honoraire nommée Annie Kayba.<br />
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Politique PDC : les dissidents soutiennent Kabila

Vingt quatre heures après la sortie officielle du G7, qui s’est positionné comme un cartel des partis politiques de l’opposition, des cadres...

VIDÉO. AS VITA CLUB 0 - 1 DARING CLUB MOTEMA PEMBE . [Première Mi-Temps LINAFOOT 2015-2016 ]

October 12, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirCd31tsaYx_yXejTBdYKb9VXp0xV4mqKN0jZsdirC_SQMHFskl2gKmMoCzu0FfQm1IJh1XqxjHouknaebFVcNBYG5UNkg_FDbQ9kK38rOTcSt1OhVUKbAKtH814HuCh1rgZjrwCgMTLyL/s1600/Snapshot_73.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirCd31tsaYx_yXejTBdYKb9VXp0xV4mqKN0jZsdirC_SQMHFskl2gKmMoCzu0FfQm1IJh1XqxjHouknaebFVcNBYG5UNkg_FDbQ9kK38rOTcSt1OhVUKbAKtH814HuCh1rgZjrwCgMTLyL/s200/Snapshot_73.jpeg" width="200" /></a>VIDÉO. AS VITA CLUB  0 - 1 DARING CLUB MOTEMA PEMBE . [Première Mi-Temps LINAFOOT 2015-2016 ]<br />
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Après le succès de ses deux vols inauguraux : Congo Airways lance la ligne Kinshasa-Lubumbashi le 20 octobre 2015

October 12, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHAbi4pxsk1Sya4R0qrAbo7WY6Tvn-aEoSs5_jHpq9ZFBGn4dwznwHAIfb8rYCLL8dw8SXGGTP1utp1pyTTp_Y6jFVPU32u46r0zWe6dyGlkfo91KaJ4Lrs57WZ-xd6eclnUnoLj_J_uhJ/s1600/Snapshot_552.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHAbi4pxsk1Sya4R0qrAbo7WY6Tvn-aEoSs5_jHpq9ZFBGn4dwznwHAIfb8rYCLL8dw8SXGGTP1utp1pyTTp_Y6jFVPU32u46r0zWe6dyGlkfo91KaJ4Lrs57WZ-xd6eclnUnoLj_J_uhJ/s400/Snapshot_552.jpeg" width="400" /></a></div>Fini les élucubrations ! Après donc les vols inauguraux, effectués avec succès vers Goma et Lubumbashi, la compagnie aérienne Congo Airways annonce le début de ses vols commerciaux à partir de mardi 20 octobre prochain, avec comme première ligne d’exploitation Kinshasa-Lubumbashi. Le coût pour cette destination est fixé au minimum à 260 dollars pour voyager dans ces aéronefs qui garantissent une sécurité maximale.  C’est le Directeur Général de cette compagnie nationale, Claude Kiringozi, qui a donné cette information, en présence de la présidente du Conseil d’administration, Mme Louise Mayuma, lors de la première conférence de presse organisée par le staff dirigeant de cette entreprise. Ça s’est passé le samedi 10 octobre dernier, dans les locaux de sa toute nouvelle agence de voyage de Kinshasa qui vient d’ouvrir ses portes à l’Immeuble Futur Tower, situé le long du boulevard du 30 juin, non loin de l’Hôtel des Postes.<br />
<br />
Il a vidé toute la substance des préoccupations des professionnels des médias au cours du tout premier point de presse du staff dirigeant de Congo Airways, qui a coïncidé avec l’ouverture de la première agence de voyage de la compagnie à l’immeuble Futur Tower, sur le boulevard du 30 juin. Claude Kiringozi, c’est de lui qu’il s’agit, le Directeur Général de Congo Airways, a, d’entrée de jeu, fait savoir que sa compagnie appliquera des prix justes, calculés sur base du cadre tarifaire règlementaire en vigueur en RDC. Ceci, conformément à l’arrêté du Ministre de l’économie nationale.<br />
<br />
A en croire le DG Kiringozi, Congo Airways a été créé dans le souci d’offrir aux congolais une démocratisation du prix sur le marché de transport aérien. C’est donc, dit-il, un tournant majeur. «Fini en RDC l’époque où le prix du billet était fixé à la tête du client», a-t-il  paraphrasé le Premier ministre à Goma lors du vol inaugural. Et d’ajouter avec ses propres termes : «Fini la période sombre et sinistre où les passagers et où le prix des billets d’avion sur le réseau domestique était plus élevé que celui fixé pour se rendre à l’étranger à partir de notre pays».<br />
<br />
S’agissant des autres lignes, hormis celles déjà  programmées à partir de ce 20 octobre, le DG a indiqué qu’elles seront lancées progressivement, tout comme l’ouverture des agences dans l’ensemble du pays afin de permettre à tout citoyen de se rendre partout en RDC.<br />
<br />
Affaire patrimoine des L.A.C<br />
<br />
Claude Kiringozi a rejeté toutes les allégations qui font croire que Congo Airways utilise le patrimoine des  défuntes Lignes Aériennes Congolaises, LAC en sigle. Il a posé la question de savoir si les locaux qui abritent leur première agence de voyage ainsi que leurs deux avions appartiennent-ils aux LAC ?<br />
<br />
Etant né de la volonté du Chef de l’Etat, celle de doter le pays d’une nouvelle compagnie aérienne, Congo Airways, a poursuivi le DG, est constitué légalement, il dispose d’un capital social et a des actionnaires. Il  s’agit, entre autres, du Gouvernement, l’INSS, la Gécamines, l’OGEFERM, le FPI, la SCTP, la RVA…Et d’avancer que c’est sur base de leurs apports que cette société aérienne fonctionne, tout en annonçant qu’elle est déjà en train d’acquérir ses propres matériels pour l’exploitation.<br />
<br />
Outre sa flotte actuelle composée de deux Airbus A320 et, soucieuse d’étendre sa couverture sur l’ensemble du pays, Congo Airways compte, d’ici janvier 2016, acquérir un autre Airbus A320 et un avion turbopropulseur. Deux autres aéronefs seront acquis avant la fin 2016 pour ainsi amener sa flotte à 6 aéronefs. <br />
<br />
Cédric Beya     <br />
<br />
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Economie Après le succès de ses deux vols inauguraux : Congo Airways lance la ligne Kinshasa-Lubumbashi le 20 octobre 2015

Fini les élucubrations ! Après donc les vols inauguraux, effectués avec succès vers Goma et Lubumbashi, la compagnie aérienne Congo Airways ...

Café politique : PPRD, les cadres à la conquête de la Tshangu !

October 12, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSsZ3UqcsPrmZptyt5PF3TuvVj13EFlo424uclEM3It9clmbt2hnz_pwFFOzIm1ZU-aImNCO3EZrpMGtzKwyBwXlibAzLiZjFwvQ4Vq4-r1hBnA9tV4LUPs_yhkP8NSPSjepG6ctwc9GD1/s1600/Snapshot_549.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSsZ3UqcsPrmZptyt5PF3TuvVj13EFlo424uclEM3It9clmbt2hnz_pwFFOzIm1ZU-aImNCO3EZrpMGtzKwyBwXlibAzLiZjFwvQ4Vq4-r1hBnA9tV4LUPs_yhkP8NSPSjepG6ctwc9GD1/s400/Snapshot_549.jpeg" width="400" /></a></div>Le vendredi 9 octobre 2015 a été ponctué de plusieurs activités au Pprd, avec la descente, à la Tshangu, des  cadres du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD). Le but visé, dans cette percée,  est  d’entrer  en contact directement  avec la base  du parti. Les communes de Masina et N’sele étaient choisies,  pour ce faire. En effet, le professeur Bongeli et l’Honorable Fofo Konzi ont signalé leur présence au marché de la Liberté, à Masina, pour échanger avec un nombre important de membres de ce coin de la capitale. Tandis que  la commune de N’sele a été quadrillée  par l’Honorable Mota, pour expliquer aux militants,  le bien-fondé de cette initiative prise par le Secrétaire général,  Henri Mova Sakanyi. On pouvait aussi noter la présence des bourgmestres de deux communes visitées.<br />
<br />
En effet, au marché de la Liberté, dans la commune de Masina, le Député  Fofo Konzi a commencé par remercier le Secrétaire Général, Henri Mova Sakanyi, pour cette idée géniale de voir les cadres échanger avec la base. Tout en captivant le regard de toute la population,  venue écouter les nouvelles du parti, il  a dit,  dans son mot de circonstance,  qu’il était important que l’on établisse un mini-bilan de ce café politique à la  Tshangu. Mais, c’était aussi  une occasion pour échanger avec la base dans la perspective de  voir ce qu’on va apporter dans la vie politique des militants du PPRD, a déclaré l’Honorable Fofo, avant d’ajouter qu’il est nécessaire de montrer le bien-fondé de cette rencontre, parce qu’il est préférable de descendre à la base que de rester dans les salons huppés à la  Gombe, au siège du parti. ‘’Nous devons expliquer à nos militants l’a,b,c du parti. Il a étalé,  noir sur blanc,  le fonctionnement du parti,  tel qu’envisagé  par l’actuelle équipe dirigeante. En outre, il a félicité Henri Mova pour cette innovation. Il a expliqué, en outre,  que le SG a apporté un souffle nouveau-là où  les autres n’ont pas su. En fait, il a ajouté un plus, a-t-il fait savoir. Par ailleurs, il a rappelé que le début de ce café politique a vu le jour à l’hôtel Venus, à  la Gombe. A cette occasion,  Mova avait pris l’initiative de décentraliser le café dans les différentes communes et fédérations de la ville de Kinshasa. C’est pour aider les camarades du parti qui n’ont pas de moyen de descendre au siège, au quartier général, pour avoir les informations réelles et en temps réel.<br />
<br />
Peu avant l’intervention de l’Honorable Fofo Konzi, le modérateur du jour,  M. Liyaza, président du PPRD/Masina,  a emballé le public,  venu pour la circonstance,  par des chants souhaitant la bienvenue aux cadres du parti à la Tshangu. Par ailleurs, il en a  profité,  pour lancer un message à Mova Sakanyi en faveur de la commune de Masina. Car, disait-il, le PPRD n’a rien fait dans cette contrée, pas d’avenues réhabilitées, ni d’écoles construites. La commune est enclavée, et elle n’acceptera pas que la révolution du 17 mai 1997 tombe caduque. <br />
<br />
Par contre, à N’sele, toujours dans cette même optique, les militants étaient réunis dans l’espace Sydney Palace. L’Honorable Mota a démontré l’importance de la décentralisation  administrative  du pays. « Jadis, le pays comptait 11 provinces. Aujourd’hui, nous sommes à 26 provinces. C’est l’esprit de l’actuelle Constitution. Et de poursuivre qu’au niveau du parti : ‘’nous avons commencé à Kinshasa avec un seul comité exécutif provincial. Après, on est passé à 4 fédérations, avant d’atteindre actuellement,  le nombre de 13 », a-t-il fait savoir. Il a soutenu que le souci majeur de la décentralisation est de rapprocher les gouvernants des  gouvernés. Il a également fait observer que pour le parti, c’est aussi rapprocher les camarades vis-à-vis des cadres. C’est là qu’il a dit que le café politique poursuit 3 objectifs essentiels  notamment,  maintenir le contact avec les camarades du parti car, ils se sentent abandonnés ou éloignés. Ensuite, analyser un certain nombre de thématiques pour permettre à ce que les camarades du parti soient éduqués politiquement. Et, enfin, partager l’actualité. Car, il y a  dans notre cher beau pays beaucoup d’experts en rumeur. Vous avez appris que le pays venait d’accueillir les deux nouveaux avions. Certaines langues ont tenté de   propager des fausses informations disant que ces appareils sont en panne. Bien au contraire, nous avons démontré à la face du monde que ces avions sont en bon état, prêts à servir l’Etat congolais, a conclu le Député  Mota.   <br />
<br />
Jimmy Biata<br />
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Politique Café politique : PPRD, les cadres à la conquête de la Tshangu !

Le vendredi 9 octobre 2015 a été ponctué de plusieurs activités au Pprd, avec la descente, à la Tshangu, des cadres du Parti du Peuple pour...

CENI : Malumalu démissionne, Kabila prend acte !

October 12, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjIZOxpWP2rNRs7svKtsviIXHpj60nnyNZLT8AyEiwva7oJDdT7mjYF3jTQ92i3_hcYiKCjMuJt0_DM54Zc8fujW8sUHQ1XssIvI2Kgkif4rwHNc8ROhwk6QC2Dqncvl_NvfFl96WAEJXK/s1600/Snapshot_548.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjIZOxpWP2rNRs7svKtsviIXHpj60nnyNZLT8AyEiwva7oJDdT7mjYF3jTQ92i3_hcYiKCjMuJt0_DM54Zc8fujW8sUHQ1XssIvI2Kgkif4rwHNc8ROhwk6QC2Dqncvl_NvfFl96WAEJXK/s400/Snapshot_548.jpeg" width="400" /></a></div>La guerre de succession à la Présidence du Bureau de la CENI est lancée depuis que le Président Kabila a pris acte, dans la nuit de samedi 10 à dimanche 11 octobre, de la démission, pour raisons de santé, de l’Abbé-Président Apollinaire Malumalu. Même si personne, de bonne foi, ne peut douter de l’état de maladie de l’Abbé-Président, à Kinshasa, ils sont nombreux les Congolais à affirmer qu’il aurait choisi d’abandonner  le navire à cause de quelques  malentendus. En septembre, peu après l’arrêt de la Cour Constitutionnelle qui rendait caduc,  le  calendrier électoral global, Apollinaire Malumalu avait réagi, depuis l’Occident où il est en convalescence. Il ne voyait pas la nécessité de recourir à des mesures exceptionnelles urgentes pour administrer les 21 nouvelles provinces  nées du démembrement.<br />
<br />
L’Abbé-Président faisait savoir, en réaction, que si les nouvelles Assemblées provinciales adoptaient leurs Règlements Intérieurs et mettaient en place leurs Bureaux définitifs, la CENI n’aurait aucun mal à organiser, dans les 21 jours qui suivaient, conformément à la Loi électorale, l’élection des Gouverneurs intérimaires. Malumalu, comme pour préciser sa pensée, envisageait la possibilité pour la Centrale électorale d’organiser progressivement l’élection de nouveaux  Gouverneurs, au fur et à mesure que les provinces évacueraient les deux préalables.<br />
<br />
Certainement qu’il n’a pas été suivi, le Gouvernement ayant privilégié la nomination des Commissaires spéciaux. La démission de l’Abbé-président intervient à un moment tout aussi particulier où la CENI est totalement bloquée dans son travail. Le calendrier électoral, qualifié de global, rendu public le 12 février 2015, n’a jamais connu un début de mise en œuvre.  Le train, dit-on, n’a jamais quitté la gare. Dans ces conditions, l’avènement d’un sang  nouveau à la tête de la CENI peut aider à solutionner certaines questions, jusque-là insolubles. A condition, évidemment, que les Confessions Religieuses, appelées à désigner le Président de la CENI, ne versent plus dans la complaisance, comme ce fut le cas, dans un passé récent.<br />
<br />
C’est en connaissance de cause que certaines organisations spécialisées en matières électorales fixent des conditions d’éligibilité très rigoureuses. Par exemple, que le nouveau Président ou la nouvelle Présidente soit une personne connue du domaine, faisant preuve d’un esprit d’ouverture, de compétence, d’efficacité, d’énergie et d’une force de communication publique, de grande conviction dans la vérité ; un homme ou une femme capable de résister aux pressions politiques et sociales d’où qu’elles viennent.<br />
<br />
Au chapitre des réactions, le Député d’Opposition Clément Kanku a, lui, estimé que l’Assemblée nationale, mandante de la CENI, devrait saisir l’opportunité pour restructurer le Bureau de la CENI dans son ensemble. L’idée étant de doter la Centrale électorale d’une nouvelle race des dirigeants capables de travailler en toute indépendance. Au passage, Clément Kanku égratigne l’actuel Bureau de la CENI qu’il juge trop inféodé à la Majorité Présidentielle.<br />
<br />
Le Député de la Majorité Présidentielle Ramazani Emmanuel Shadary, par contre, ne voit pas les choses de la même manière. Pour lui, la Société Civile n’a qu’à présenter un candidat à l’Assemblée nationale qui se contentera de prendre acte, afin de combler rapidement le poste laissé vacant par Malumalu. Dans l’opinion, on se demande combien de temps la Société civile mettra à la recherche du nouvel oiseau rare. De la célérité avec laquelle sera traité le dossier du Bureau de la CENI, dépendra la suite du processus électoral.<br />
<br />
La Pros.     <br />
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Politique CENI : Malumalu démissionne, Kabila prend acte !

La guerre de succession à la Présidence du Bureau de la CENI est lancée depuis que le Président Kabila a pris acte, dans la nuit de samedi 1...

Début de manœuvres politiques : G7, le Dialogue jugé sans objet !

October 12, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbFpfm996mlP2fjfNzui2Z-O70Hwr-yY67oVSclfDo-LCoynArRjECPj2DrpPIjs4fhy9HYWJFchjs7raZjoeDCbYkWk3V3pBJVy85C8UO-isKezdOSKYq_N9raZwVu6jrG2I58ehLdr5v/s1600/Snapshot_547.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbFpfm996mlP2fjfNzui2Z-O70Hwr-yY67oVSclfDo-LCoynArRjECPj2DrpPIjs4fhy9HYWJFchjs7raZjoeDCbYkWk3V3pBJVy85C8UO-isKezdOSKYq_N9raZwVu6jrG2I58ehLdr5v/s400/Snapshot_547.jpeg" width="400" /></a></div>*Au grand complet, les 7 dirigeants du G7 ont décidé, samedi 10 octobre, de basculer  dans l’Opposition. Avec un candidat unique et commun, ils ambitionnent clairement  d’aligner des candidats  à tous les niveaux, y compris à  la Présidence de la République, lors  des élections de 2016.  Pour ce faire, ils s’organisent et s’ouvrent à toutes les forces vives de la Nation dans le cadre d’un large Front républicain. Le G7 juge sans objet,  la tenue d’un dialogue politique pour préparer les élections. A la CENI, à la CENI seule, de réunir les forces politiques et sociales à travers le Cadre de Concertations qu’elle a institué. Le G7 demande, alors, à la Centrale électorale de rendre public,  le calendrier réaménagé  déjà fin prêt.<br />
<br />
Au G7, on estime, désormais, que le pire est derrière. Allusion faite,  ici,  à toutes les menaces qui ont failli étouffer dans l’œuf,  le projet politique commun mis en route par les dirigeants du MSR, de l’ARC, du PDC, de l’ACO, de l’UNAFEC, de l’UNAFEC, ainsi que de l’ADP/MSDD. Après avoir passé avec succès le test de solidité de la nouvelle plateforme, les 7 dirigeants ont signé l’Acte constitutif. Ils veulent aller de l’avant. Ils se donnent les moyens de leurs ambitions. Pendant qu’ils s’organisent, les membres du G7 formulent des critiques sur le blocage du processus électoral et font des propositions de sortie de crise. Dans la déclaration politique, lue en marge de la cérémonie de signature de l’Acte constitutif, le G7 tire sur le Gouvernement, accusé  de mettre la pression sur la CENI, l’obligeant à ne pas publier le calendrier électoral réaménagé, déjà élaboré. Les Parlementaires, pour leur part, sont invités à faire correctement leur travail,  en accordant des ressources financières importantes aux opérations électorales. Cela s’explique par le fait que la période est essentiellement électorale, il n’y a plus d’autre priorité. C’est peut-être une réponse à la Majorité Présidentielle qui soutient que la gestion de la Nation ne se limite pas qu’à l’organisation des élections. Au sujet du dialogue politique annoncé par le camp présidentiel, le G7, après analyse, n’y  trouve   aucune opportunité. Il y a six mois, la situation aurait été différente. A près de treize mois   de la fin de la législature, le dialogue, d’après le G7,  servirait à retarder les aspirations légitimes du peuple congolais à l’alternance 2016. Pour dégager le consensus nécessaire et mobiliser les différents acteurs impliqués dans les élections, c’est à la CENI qu’il faut se référer. C’est aussi la proposition soutenue par la Dynamique de l’Opposition qui comprend, entre autres, le MLC, l’UNC, l’Envol et les autres. Le G7 envisage de prendre, sans tarder, des initiatives pour atteindre ses objectifs notamment,  barrer la route, par des moyens démocratiques, à la stratégie du pourrissement, du sabordage du processus électoral et du fait accompli,  pour disqualifier la loi fondamentale et justifier le glissement. Glissement, ici, compris comme le dépassement délibéré de la durée constitutionnelle des mandats politiques.<br />
<br />
Le basculement du G7 dans l’Opposition va, dans une certaine mesure, changer la donne politique. Les équilibres des forces sont, quoiqu’on dise, bouleversés à l’Assemblée nationale. La famille politique présidentielle ne dispose plus de la majorité écrasante avec  laquelle, elle opérait,  il y a encore quelques semaines. Et si d’autres forces politiques, représentées au Parlement, devraient encore suivre le G7, les rapports de force à l’hémicycle ne seront, forcément, plus les mêmes.<br />
<br />
La Pros. <br />
<br />
<br />
<br />
DECLARATION POLITIQUE DU G7<br />
<br />
Nous, partis politique regroupés au sein de la plate-forme dénommée G7- MSR, ARC, PDC, ACO, UNAFEC, UDADEF, ADP/MSDD, -au regard de la situation politique qui prévaut dans le pays, situation caractérisée par la montée des tensions politiques dues notamment, à l’accumulation des retards dans l’organisation des élections, aux tergiversations sans cesses répétées qui entachent ce processus et qui indiquent qu’il y a, dans le chef du pouvoir, une absence manifeste de volonté d’organiser les élections dans les délais constitutionnels, rendons public la déclaration suivante :<br />
<br />
Le G7 demande avec insistance au Gouvernement de cesser de mettre la pression sur la commission Electorale Nationale Indépendante, CENI, l’obligeant à ne pas publier le nouveau calendrier électoral aménagé.<br />
Le G7 sait que ce calendrier aménagé existe. La CENI doit donc s’assumer en toute indépendance pour le rendre public, toutes affaires cessantes, et en faire ainsi une boussole éclairant les pas des congolais vers l’alternance politique apaisée qui doit intervenir en décembre 2016.<br />
<br />
Le G7 demande aux parlementaires,  réunis en session budgétaire,  de dégager en priorité les ressources nécessaires pour l’organisation des élections nationales démocratiques de 2016 à travers des scrutins transparents et crédibles.<br />
Le G7 estime que le dialogue politique promis  depuis 6 mois, n’a plus aujourd’hui de raison d’être car,  il ne servirait qu’à retarder inutilement par de petits arrangements, les aspirations légitimes du peuple congolais à l’alternance prévue en 2016.<br />
Si concertation, il doit encore y avoir, il appartient- à la CENI seule- de s’y employer dans le cadre habituel qu’elle a mis en place de manière à dégager le consensus et la mobilisation la plus large des forces politiques et sociales pour le respect de la constitution.<br />
<br />
Le G7, plate-forme désormais organisée, se positionne clairement comme une force de l’opposition et en appelle à toutes les forces politiques et sociales- tant de l’intérieur que de la diaspora- convaincues de la nécessité d’assurer l’alternance politique, de se joindre à lui, dans un large front républicain, pour la réussite de ce combat.<br />
Le G7 remercie la population pour son soutien et sa confiance. Il rappelle à la vigilance afin de dénoncer les manœuvres tendant à lui confisquer son droit le plus légitime de choisir en 2016 ses nouveaux dirigeants.<br />
Fait à Kinshasa, le 10 octobre 2015<br />
<br />
Pour le G7<br />
<br />
Le Mouvement Social pour le Renouveau, MSR<br />
L’Alliance pour le Renouveau du Congo, ARC<br />
Le Parti Démocrate Chrétien, PDC<br />
L’Avenir du Congo, ACO<br />
L’Union Nationale des Fédéralistes Congolais, UNAFEC<br />
L’Union Nationale des Démocrates Fédéralistes, UNADEF<br />
L’Alliance des Démocrates pour le Progrès, ADP/MSDD<br />
<br />
<br />
MOT DE CIRCONSTANCE PRONONCE PAR L’HONORABLE CHARLES MWANDO NSIMBA, PRESIDENT DE L’UNADEF ET DOYEN D’AGE DU G7, A L’OCCASION DE LA SIGNATURE DE SON ACTE CONSTITUTIF<br />
<br />
Honorables Députés et Sénateurs,<br />
<br />
Mesdames et Messieurs les membres des directions politiques des partis du G7,<br />
<br />
Mesdames et Messieurs de la presse<br />
<br />
Distingués invités,<br />
<br />
Au nom de mes collègues Présidents et autorités morales des partis du G7 et au mien propre, je voudrais vous exprimer nos remerciements les plus sincères,  pour votre présence nombreuse à cette cérémonie officielle de signature de l’Acte de notre plate-forme politique.<br />
<br />
Le G7 vient de naître ce jour. Ses motivations, ses objectifs, ses principes d’organisation et de fonctionnement et ses organes  sont désormais connus.<br />
<br />
Cette naissance traduit, sans aucun doute, la détermination de tous ses membres de poursuivre dans le cadre d’une dynamique collective, forte et bien structurée leur combat citoyen en vue de la sauvegarde de la Constitution de la République et de l’organisation rationalisée des élections libres, pluralistes, transparentes et apaisées, dans le respect de notre loi fondamentale ainsi que des normes élémentaires de tout régime démocratique.<br />
<br />
Cependant, en nous constituant en plate-forme politique, nous, les 7 partis signataires de cet Acte constitutif, entendons aussi dire que nous avons reçu cinq sur cinq le message d’espoir de l’écrasante majorité des congolais, de l’intérieur comme de la diaspora, qui ne cessent de nous témoigner leur soutien et de nous exprimer leurs encouragements depuis la publication de notre lettre adressée au Président de la République,  le 14 septembre dernier.<br />
<br />
A eux tous, nous disons grand merci. Nous sommes conscients qu’ils attendent beaucoup de nous pour leur donner de nouvelles raisons d’espérer dans ce pays où des nuages épais s’amoncellent chaque jour davantage et assombrissent l’horizon.<br />
<br />
Nous demandons à nos compatriotes de nous faire confiance et de compter désormais sur le G7.<br />
<br />
Nous voulons saisir cette opportunité pour rassurer que non seulement nous nous battrons de toutes nos forces pour faire aboutir leurs aspirations légitimes au bien-être, à la liberté, au respect de leurs droits fondamentaux, à l’alternance politique et à la paix, mais aussi nous ne ménagerons aucun effort pour renforcer l’unité de tous ceux qui mènent le même combat que nous, sans complaisance ni compromission, au sein de l’opposition.<br />
<br />
En tous cas, le G7 n’entend point trahir ce serment de fidélité qu’il prête ainsi au peuple congolais.<br />
<br />
C’est pourquoi, maintenant que nous venons de structurer notre démarche, des initiatives seront prises sans tarder pour atteindre les objectifs fixés et contrer par tous les moyens démocratiques et légaux, la stratégie du pourrissement, du sabordage du processus électoral et du fait accompli actuellement mis en œuvre pour disqualifier la loi fondamentale et justifier le glissement, c’est-à-dire, le dépassement délibéré de la durée constitutionnelle des mandats politiques donnés par le peuple souverain que le G7 continue à dénoncer.<br />
<br />
Honorables Députés et Sénateurs,<br />
<br />
Mesdames et Messieurs les membres des directions politiques des partis du G7,<br />
<br />
Mesdames et Messieurs de la presse,<br />
<br />
Distingués invités,<br />
<br />
Je ne saurai terminer ce mot de circonstance sans réitérer l’appel pressant du G7 au rassemblement des congolais, toutes tendances politiques et catégories sociales confondues, pour la consolidation de la paix et de la démocratie ainsi que la sauvegarde de la stabilité des institutions républicaines et cordon ombilical entre les composantes de notre grande nation.<br />
<br />
Notre plate-forme reste ouverte, à cet effet, à tous les compatriotes et à toutes les organisations politiques et sociales qui partagent des idéaux ainsi que ses objectifs.<br />
<br />
Je vous remercie<br />
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