PIECE CONTRE PIECE : KALEV MUTOMB DEBARQUE DE L ' AVION , REPONSE A LA FILLE DE NGOY KASANDJI ( VIDEO )

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FRAIS EKITI NA 55.000 FC DE 1 - AUX SIXIEMES ANNEES DES HUMANITES ! TOURNEE DE LA PREMIERE DAME DENISE NYAKERU DANS LES ECOLES DE KINSHASA ( VIDEO )

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EN DIRECT YOKA SON 🔊 DU 18/08/2020 : REPONSE A LA FILLE DE NGOY KANSAJI CONTRE MAMAN DENISE NYAKERU ET FELIX TSHISEKEDI. ( VIDEO )

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LE SENAT AMERICAIN RECLAME KABILA ET TOUS SES POULINS , PLUSIEURS CADRES DU FCC BIENTOT AUX ARRETS ! PATIENT MWANA AKOLI DU 18/08/2020 ( VIDEO )

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LA FILLE DE NGOY KANSADJI BIENTOT AUX ARRETS SUR PLAINTE DE MAMAN DENISE NYAKERU. MIYAKE DE L ' UDPS DU 18/08/2020 ( VIDEO )

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Opinion: il faut à la RDC une banque centrale crédible

<p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEji1-VqJFKCOgPkuiCct7eyFqFCR_EPeWcvbG1ZymdhsigE0Bozme0_gOD1ES9qbKa89YutCRGCTDqfKQU6_PcY34c7Rho9B3UGZBsvRkAwgKQnaQpvKPb9leaH3XhGGIeE2Gkys0T9zA/s696/Snapshot_305.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="405" data-original-width="696" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEji1-VqJFKCOgPkuiCct7eyFqFCR_EPeWcvbG1ZymdhsigE0Bozme0_gOD1ES9qbKa89YutCRGCTDqfKQU6_PcY34c7Rho9B3UGZBsvRkAwgKQnaQpvKPb9leaH3XhGGIeE2Gkys0T9zA/s640/Snapshot_305.jpeg" width="640" /></a></span></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><span style="background-color: white; font-size: 16px; font-style: inherit; font-weight: inherit;"><br /></span></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><span style="background-color: white; font-size: 16px; font-style: inherit; font-weight: inherit;"><br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><span style="background-color: white; font-size: 16px; font-style: inherit; font-weight: inherit;">Depuis plus de six décennies, les Congolais ont toujours imaginé un avenir prospère, où leur bien-être économique était garanti par le fait qu’ils vivent sur une ‘terre bénie’. Les dirigeants ont vendu un rêve illusoire selon lequel le Congo prospérerait en peu de temps, sans prendre les précautions nécessaires pour que ces objectifs se concrétisent. En raison de leur incapacité non seulement à diriger le pays efficacement, mais aussi à assurer un leadership économique gérant efficacement toutes les ressources. Et pourtant, ce rêve ne s’est pas matérialisé pour les citoyens, ni aujourd’hui alors que le nouveau gouvernement de Félix Tshisekedi envisage de reconstruire une économie détruite, sans compter les conséquences de la pandémie de Covid-19. Il est désormais primordial de développer des politiques économiques agressives, qui conduiront à la réalisation du programme de transformation longtemps retardé, même si des mesures d’urgence sont appliquées à court terme.</span></span></p><p style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span lang="FR" style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Il est impossible de bâtir un avenir sans une connaissance approfondie du passé. C’est le seul moyen dont dispose une société pour empêcher la répétition des erreurs précédentes, briser les schémas improductifs et tirer parti des leçons apprises. Il est clair que, pour le Congo, grand pays à la puissance économique non réalisée, le passé est particulièrement instructif parce qu’il fournit de nombreux exemples de programmes économiques qui ont échoué.</span></span></p><p style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span lang="FR" style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">La Banque Centrale du Congo a été un acteur majeur au cours des six dernières décennies. Cependant, elle n’a pas toujours reçu les outils nécessaires pour conduire le pays vers un avenir prospère. Il y a une question fondamentale qui s’est posée au fil des années à son propos: quel est le rôle approprié du gouvernement et du secteur privé dans la construction d’une banque centrale crédible et d’un système financier moderne pour relever les vrais défis du développement ?</span></span></p><p style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span lang="FR" style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Il existe d’innombrables preuves que le développement du secteur financier peut apporter une contribution importante à la croissance économique et à la réduction de la pauvreté. La RDC est certainement l’un des pays qui peut bénéficier d’un tel développement car les structures économiques se sont effondrées et doivent être réformées.</span></span></p><p style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span lang="FR" style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Les banques centrales opèrent dans des conditions difficiles à travers le monde, car elles doivent assurer la stabilité des prix et être attentives aux demandes légitimes du gouvernement. Mais, surtout, il faut noter qu’elles doivent être indépendantes de toute influence. Ces deux objectifs, souvent contradictoires, opposent les banques centrales à leur gouvernement, créant ainsi souvent des conflits entre les deux institutions.</span></span></p><p style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span lang="FR" style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Cependant, les économies émergentes comme la RDC doivent agir de manière décisive, en veillant à ce que la banque centrale se libère de l’influence du gouvernement. Il y a des avantages à cette indépendance. Ainsi, les gouvernements ont tendance à prendre de mauvaises décisions en matière de politique monétaire parce qu’ils sont souvent influencés par des considérations politiques à court terme. En outre, une banque centrale indépendante a plus de crédibilité et si les gens font plus confiance à la Banque centrale, cela contribue à réduire les anticipations inflationnistes et rend l’inflation plus facile à maintenir faible.</span></span></p><p style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span lang="FR" style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Il est important que les politiques qui régissent la relation entre l’État et la banque centrale soient modifiées. Cela ne signifie pas que la banque centrale ne serait pas tenue responsable de ses décisions: le contraire doit être vrai. Cependant cela permettra une stabilité des prix. Voilà pourquoi, l’idéal est de confier à la banque centrale un objectif tangible de contribution à la stabilité économique.</span></span></p><p style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><a name="x__gjdgxs" style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: none; overflow: hidden; padding: 0px; vertical-align: baseline;"></a><span lang="FR" style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Cette position peut-être controversée, non pas parce que les réformes sont inutiles – elles sont en effet indispensables – mais pour deux raisons liées: premièrement, parce que la banque centrale est une institution spécialisée avec un mandat étroitement défini qui ne comprend pas de réformes structurelles; et deuxièmement, parce que de nombreuses réformes reviennent à changer les institutions économiques et sociales qui sous-tendent une société et impliquent donc des choix que seul un organe élu peut faire. Ce n’est pas par hasard que les réformes du marché du travail, des lois sur la concurrence, des procédures de faillite ou des retraites, pour n’en citer que quelques-unes, nécessitent une législation et donc une décision du parlement.</span></span></p><p style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span lang="FR" style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Il s’agit d’un exercice collectif, impliquant tout l’appareil d’Etat car ce qui est en jeu, c’est la qualité de vie des citoyens; cela ne peut être abordé que si la question économique est résolue. Le monde est rempli d’exemples réussis de banques centrales, il est possible de les imiter afin de résoudre nos problèmes. Cela ne veut pas dire que c’est la seule solution. L’argument ici est que la réforme du cadre législatif de la banque centrale doit faire partie de la vision stratégique et de l’agenda de développement.</span></span></p>

Economie Opinion: il faut à la RDC une banque centrale crédible

  Depuis plus de six décennies, les Congolais ont toujours imaginé un avenir prospère, où leur bien-être économique était garanti par le fai...

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Lutte contre la corruption et les détournements en RDC : parmi les signes de progrès, il y a la condamnation de Kamerhe (Sénateurs américains)

<p style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUvH3IRSJv_OdrfpvnXdD79B__JPMbcfcajIzEBegDHWG9ew49qTIPPVTeKEzSwRocayPFRfoGne6wuqhAJ1_ApvEicRdmnEMSbCxk59hFrstJQtZmkpKTRfofIrt6H94gLz1kzY2dNw/s777/Snapshot_74.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="595" data-original-width="777" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUvH3IRSJv_OdrfpvnXdD79B__JPMbcfcajIzEBegDHWG9ew49qTIPPVTeKEzSwRocayPFRfoGne6wuqhAJ1_ApvEicRdmnEMSbCxk59hFrstJQtZmkpKTRfofIrt6H94gLz1kzY2dNw/s640/Snapshot_74.jpeg" width="640" /></a></div><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;"> <span style="background-color: white; font-size: 18px;">Malgré la persistance de la corruption et des détournements des fonds en RDC, les sénateurs américains membres du comité en charge des relations étrangères croient fermement au changement grâce aux engagements de Félix Tshisekedi. Ils notent d’ailleurs des signes prometteurs dans ce sens, notamment la condamnation en juin dernier de Vital Kamerhe, directeur de cabinet du Chef de l’Etat à 20 ans de travaux forcés à cause de détournement des deniers publics.</span></span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 30px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Les sénateurs américains épinglent aussi l'enquête ouverte sur le présumé détournement de 200 millions USD impliquant le président du Conseil d'administration de la Gécamines, Albert Yuma.  </span></p><blockquote style="background-color: white; border-left: 5px solid rgb(238, 238, 238); box-sizing: border-box; font-size: 17.5px; font-weight: 600; margin: 0px 0px 20px; padding: 10px 20px;"><p style="box-sizing: border-box; font-weight: 200; line-height: 2; margin: 0px 0px 30px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">"L'enquête en cours sur l’ancien président de la Gécamines Albert Yuma (un personnage clé du cercle restreint de Kabila) et condamnation du chef de cabinet du président Tshisekedi, Vital Kamerhe, pour corruption et les détournements de fonds sont des signes prometteurs de progrès.”, affirment-ils dans une correspondance au secrétaire d’Etat et au secrétaire au département du Trésor américain lundi 17 août.  </span></p></blockquote><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 30px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">En dehors de ces deux cas emblématiques, les sénateurs américains estiment que les autorités congolaises peuvent faire plus. </span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 30px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">C’est pourquoi, ils proposent que “le gouvernement pourrait profiter de certaines des réformes apportées dans le Code minier de 2018 pour améliorer la transparence dans les domaines des revenus et des contrats dans le secteur extractif.”</span></p><blockquote style="background-color: white; border-left: 5px solid rgb(238, 238, 238); box-sizing: border-box; font-size: 17.5px; font-weight: 600; margin: 0px 0px 20px; padding: 10px 20px;"><p style="box-sizing: border-box; font-weight: 200; line-height: 2; margin: 0px 0px 30px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">“Les États-Unis devraient faire pression sur l'administration Tshisekedi pour qu'elle prenne de nouvelles mesures dans ce sens, et utiliser les outils disponibles pour isoler les fauteurs de réformes.”, disent-ils.</span></p></blockquote><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 30px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Ils préconisent des sanctions contre ceux qui s’illustrent dans la corruption. Les USA avaient déjà sanctionné des personnalités congolaises dont des membres de la CENI à cause de la corruption. </span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 30px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Les sénateurs américains ont appelé les USA à aider Félix Tshisekedi dans cette lutte en démantelant le système “cleptomane” de l’ancien président Joseph Kabila. </span></p>

Politique Lutte contre la corruption et les détournements en RDC : parmi les signes de progrès, il y a la condamnation de Kamerhe (Sénateurs américains)

  Malgré la persistance de la corruption et des détournements des fonds en RDC, les sénateurs américains membres du comité en charge des rel...

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ABBE SHOLE REPOND A LA FILLE DE NGOY KASANJI ET DEVOILE LA REPONSE DE DENISE NYAKERU A NGOY KASANJI ( VIDEO)

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RDC : Des sénateurs américains appellent les USA à se concentrer sur le démantèlement du "système de corruption" hérité du régime Kabila

<p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNy2uxLQlHrPWp9978y5pf5l4xDUeV7-XhRqMbxaUbMzGtxh0JlPlKI_LKJBKKylqZFOs-EyJeLHLjL7z-lK_QOTxAUMviZmLa-tFRsjxnQtJ-QvYN6TEqcu87ip-VOJVqIlJsIkl0IQ/s787/Snapshot_303.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="405" data-original-width="787" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNy2uxLQlHrPWp9978y5pf5l4xDUeV7-XhRqMbxaUbMzGtxh0JlPlKI_LKJBKKylqZFOs-EyJeLHLjL7z-lK_QOTxAUMviZmLa-tFRsjxnQtJ-QvYN6TEqcu87ip-VOJVqIlJsIkl0IQ/s640/Snapshot_303.jpeg" width="640" /></a></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Un groupe de sénateurs américains ont dans une lettre envoyée le lundi 17 août 2020 au secrétaire au Trésor, Steven Mnuchin et au secrétaire d'État, Mike Pompeo, encouragé l'administration Trump d'aider à relever les défis structurels en République Démocratique du Congo, pour lutter contre la corruption de haut niveau et mettre fin à la violence systématique contre le peuple congolais.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">« Les États-Unis ont une opportunité historique d'aider à relever les défis structurels en RDC en travaillant avec des partenaires pour construire des institutions démocratiques fortes, en mettant particulièrement l'accent sur celles qui combattent la corruption et construire l'état de droit», ont écrit ces sénateurs américains.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Par contre, ces derniers suggèrent aux États-Unis à concentrer leurs efforts sur le démantèlement du système «kleptocratique» de l’ex-président Joseph Kabila Kabange.</span></p><div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></div><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">« En particulier, les efforts des États-Unis devraient se concentrer sur le démantèlement du système kleptocratique de l’ancien président Kabila, de sorte que les vastes richesses naturelles de la RDC profitent au peuple congolais. Sans s'attaquer à la corruption et à son impact sur les questions de gouvernance, du conflit violent aux élections et aux droits humains, ce bref moment de promesse sera perdu pour les mêmes forces qui ont contribué à une histoire d'exploitation en RDC », ont-ils martelé.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Et de poursuivre : « Si l’administration Tshisekedi peut démontrer des progrès dans la lutte contre la corruption et faire progresser les réformes pour répondre aux besoins du peuple congolais, cela affaiblira le système prédateur qui a frappé le pays et laissé trop de citoyens vivant dans la pauvreté et vulnérables à la violence».</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">De plusieurs sénateurs  signataires de cette lettre adressée aux autorités américaines, on peut citer entre autres Jim Risch (R-Idaho) et Bob Menendez (DN.J.), respectivement  président et membre de rang du Comité des relations extérieures du Sénat. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Il sied rappeler que depuis l'avènement de Félix Tshisekedi au pouvoir, les États-Unis d'Amérique ont toujours exprimé leur volonté de soutenir la République Démocratique du Congo dans la lutte contre la corruption et l'instauration d'un État de droit.</span></p>

Politique RDC : Des sénateurs américains appellent les USA à se concentrer sur le démantèlement du "système de corruption" hérité du régime Kabila

  Un groupe de sénateurs américains ont dans une lettre envoyée le lundi 17 août 2020 au secrétaire au Trésor, Steven Mnuchin et au secrétai...

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RDC: des responsables de la gestion des fonds anti-Covid suspectés de détournement

<p style="text-align: justify;"><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjRn9QB6Xx6cSZU-xHjMtOViXPvXAfdmWN918GfMpg6CKj7MTKTPgBOlxFd8hIjJIgtM6p7c2r_c_9K7DR1d4lZv39fCrZSReBbbKB99fuNWpJwvLlCWGQ7K0nyN6rp6aLvLPtHECI4vg/s962/Snapshot_301.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="493" data-original-width="962" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjRn9QB6Xx6cSZU-xHjMtOViXPvXAfdmWN918GfMpg6CKj7MTKTPgBOlxFd8hIjJIgtM6p7c2r_c_9K7DR1d4lZv39fCrZSReBbbKB99fuNWpJwvLlCWGQ7K0nyN6rp6aLvLPtHECI4vg/s640/Snapshot_301.jpeg" width="640" /></a></div><p style="text-align: justify;"><br /></p><p style="text-align: justify;"><br /></p><p style="text-align: justify;"> <span style="font-weight: 700;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Des responsables de la gestion des fonds alloués à la riposte contre la Covid-19 sont mis en accusation par l’Inspection générale des finances (IGF) à l’issue d’une enquête qui remet en cause plusieurs personnes, dont des membres du gouvernement impliqués dans la chaîne de dépenses.</span></span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Plusieurs hauts responsables, dont des membres du gouvernement, sont remis en cause dans cette enquête. D’après des sources judiciaires, le ministre de la Santé, Eteni Longondo, est parmi les personnalités soupçonnées de malversations financières pour, notamment, la surfacturation de soins et de services aux malades.</span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">A ses côtés, son collègue des Finances. Il est cité pour avoir notamment ordonné le paiement de dépenses non facturées, selon une source proche de l’enquête. D’autres personnes soupçonnées sont, soit responsables à la Banque centrale, soit responsables de services rattachés au gouvernement, toujours selon nos informations.</span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">En réunissant la presse, jeudi dernier, Jules Alingete, l'inspecteur général des Finances, est apparu rassurant, affirmant que la justice interpellera les personnes impliquées. C’est sur demande du président Tshisekedi que l’IGF avait lancé ses enquêteurs pour auditer comptes de plusieurs administrations.</span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Si le chef du gouvernement affirmait avoir débloqué de mars à juin, plus de 10 millions de dollars pour la riposte, le chef de la lutte contre la pandémie, Jean-Jacques Muyembe, assurait n’avoir géré qu'un peu moins d’1,5 million de dollars depuis l’apparition des premiers cas. Le ministre de la Santé, pour sa part, disait n’avoir géré que quelque 3 millions. Le tout dans un climat de grogne des agents et du personnel soignant non payés.</span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">A cela s’ajoute, des allégations massives de listage de faux cas pour gonfler le budget.</span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Une copie de ce rapport a été remis, la semaine dernière, au président Félix Tshisekedi et au premier ministre Sylvestre Ilunga. Le travail le plus exhaustif a été déposé au parquet général près la cour de cassation pour des poursuites judiciaires.</span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Le ministre des Finances réagit</span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Remis en cause dans le décaissement des fonds par l’IGF, le ministre congolais des finances, Sélé Yalaguli, se dit surpris et assure n’avoir pas été complaisant face aux actes de mauvaise gestion décriés par l’IGF de la part notamment du ministère de la Santé.</span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Qu’ai-je à me reprocher ? Je devais exécuter les instructions des plus hautes autorités du pays. Au regard de l’urgence, il fallait mettre à disposition des ressources pour protéger la population congolaise, quitte à ce que les services utilisateurs de ces ressources en fassent bon usage et justifient sur base de preuves documentées.</span></p>

Economie Politique Santé RDC: des responsables de la gestion des fonds anti-Covid suspectés de détournement

  Des responsables de la gestion des fonds alloués à la riposte contre la Covid-19 sont mis en accusation par l’Inspection générale des fina...

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RDC: les détails troublants de la gestion des fonds anti-Covid

<p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;"> </span></p><p style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiXO_ZAzK-yCdLVEzB1Va-gxLWBAbVxPtuEeyM0LJW1j8UsEmy3T674xE_pS9li3wf9DWp3q2XH4Eghn_YHUv5LP6CqEfg0dP1pyMTvP5XKxkZZM-YnRnFMuC3qQCvbbjCj20ZFUaew3w/s962/Snapshot_300.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="515" data-original-width="962" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiXO_ZAzK-yCdLVEzB1Va-gxLWBAbVxPtuEeyM0LJW1j8UsEmy3T674xE_pS9li3wf9DWp3q2XH4Eghn_YHUv5LP6CqEfg0dP1pyMTvP5XKxkZZM-YnRnFMuC3qQCvbbjCj20ZFUaew3w/s640/Snapshot_300.jpeg" width="640" /></a></div><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">On compte beaucoup de réactions au sein de l'opinion en République démocratique du Congo (RDC) depuis les dénonciations concernant la mauvaise gestion des fonds anti-Covid. À l'Inspection générale des finances, on persiste à dire que les gestionnaires de ces fonds ont du mal à justifier l'utilisation des 10 millions de dollars affectés par le gouvernement à la lutte anti-Covid-19.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Cette correspondance qui émane de l'hôpital du Cinquantenaire de Kinshasa et adressée au ministre de la Santé avec copie à l'Inspection générale des finances est très révélatrice.</span></p><p><span style="font-family: Roboto, Arial, sans-serif;"><span style="font-size: 19px;"><b><br /></b></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><span style="font-size: 19px;">L'établissement hospitalier renseigne qu'il a interné et soigné 268 malades atteints du Covid-19, pour un coût de 12 000 dollars par personne et une hospitalisation de plus ou moins vingt jours chacun.</span></span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Dépenses douteuses</span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Selon une source proche de l'enquête de l'Inspection générale des finances (IGF), les quelques 3 millions de dollars destinés à l'hôpital ont été payés, en espèce, au guichet, une pratique qui n'est pas autorisée par la loi.</span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">À cette irrégularité, s'ajoutent des dépenses douteuses, déclarées mais non justifiées par le ministère de la Santé, de deux millions de dollars. Parmi ces dépenses, l'achat d'ambulances pour 260 000 dollars dans le cadre du plan Covid, ambulances qui n'ont jamais été livrées, précise la source.</span></p><p style="border: none; box-sizing: border-box; line-height: 1.4; margin: 0px 0px 28px; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Selon le Premier ministre Ilunga Ilunkamba, plus de dix millions de dollars ont été débloqués depuis mars pour la riposte, mais le coordonnateur de la lutte contre la pandémie, le docteur Jean-Jacques Muyembe, assurait lui, la semaine dernière encore, n'avoir géré que 1,5 million de dollars. C'est pourquoi l'Inspection générale des finances a été chargée de s'intéresser de près <a href="https://www.rfi.fr/fr/afrique/20200816-rdc-responsables-gestion-fonds-covid-suspicions-detournement" style="border: none; box-sizing: border-box; margin: 0px; outline: none; padding: 0px; text-decoration-line: none;" target="_blank">à la gestion des fonds Covid-19</a>.</span></p>

Santé RDC: les détails troublants de la gestion des fonds anti-Covid

  On compte beaucoup de réactions au sein de l'opinion en République démocratique du Congo (RDC) depuis les dénonciations concernant la ...

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Le CSAC suspend le magazine Bosolo na Politik officielle pour une durée de 7 jours suite aux injures publics contre Hamida Kamerhe et Daniel Massaro

<p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8YSzUgusEEyPQ-p_4weoZ53DztQMrzkz926QybFI7ifkLTyATtnHFVpjtJwSrERPprhZlHfW9mrssB0N_CHnzusodoCaJiGlvsXd6RmqW1KIM7ZymB99sjWXVf2rWbzCK28VVG0Bjow/s615/Snapshot_299.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="355" data-original-width="615" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8YSzUgusEEyPQ-p_4weoZ53DztQMrzkz926QybFI7ifkLTyATtnHFVpjtJwSrERPprhZlHfW9mrssB0N_CHnzusodoCaJiGlvsXd6RmqW1KIM7ZymB99sjWXVf2rWbzCK28VVG0Bjow/s0/Snapshot_299.jpeg" /></a></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"> Le magazine « Bosolo na Politik officielle » vient d’être suspendu, ce lundi 17 août, par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) pour une durée de 7 jours.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Cette suspension fait suite aux « injures publiques » proférées par l’invité M. Bernabé, dans son édition du 02 juin 2020, contre Hamida Chatur, l’épouse de Vital Kamerhe, et M. Masaro, son cousin. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">« Considérant la nécessité d’amener les professionnels des medias à respecter la loi et la déontologie en matière de communication audiovisuelle, après débat et délibération, le magazine Bosolo na Politik officielle est suspendu de diffusion sur toute l’étendue de la République Démocratique du Congo pour une durée de 7 jours à dater de sa notification », a écrit le CSAC dans son communiqué signé par Christophe Tito Ndombi et Chantal Kanyimbo Manyonga, respectivement président et rapporteur du CSAC.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">L’Assemblée plénière du CSAC révèle qu’en date du 02 juin 2020 entre 11h14′ et 12h24′, sur la chaîne de télévision PSTVHD, M. Barnabé invité du présentateur Israël Mutombo a tenu des propos qui portent atteinte à l’honneur et dignité de Hamida Chatur et Daniel Massaro. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">« Attendu que ces propos constituent des injures publiques proférées contre Amida Chatur, une femme mariée et monsieur Masaro Daniel, portant atteinte à leurs honneurs et dignités en violation des articles 5 de la loi n°11/001 du 10 janvier 2011, 8 et 9 de la loi n°96-022 du 22 juin 1996, 5 et 11 de la déontologie des journalistes précités », dit le CSAC.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Et d’ajouter : « Avant la fin de la suspension, le magazine est tenu de transmettre au Conseil son dossier administratif relatif aux conditions d’exploitation, en matière de radiodiffusion sonore et de télévision pour des dispositions utiles avant toute reprise de diffusion ».</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Il est également réproché à Israël Mutombo de n’avoir pas voulu se présenter devant son secrétariat d’instruction pour donner ses moyens des défenses</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">sous prétexte d’occupation.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">« Attendu que, Sieur Trésor Kafalayi, coordonnateur du magazine a, ainsi au cours d’une audition en lieu et place de Monsieur Israël Mutombo, reconnu les faits mis à charge du magazine, a relevé que suite à des nombreux appels reçus de toutes parts, il a obligé Sieur Barnabé auteur des propos incriminés, de présenter publiquement des excuses à Madame Hamida Shatur et à Monsieur Massaro au cours d’une émission ultérieure », poursuit l’organe d’autorégulation des médias en RDC qui toutefois parle d’un « repenti tardif et inopérant » quant au manquement au devoir de recadrement spontané des invités sur le plateau qui incombe au présentateur d’une émission.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: white; font-size: 18px;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Par ailleurs, le CSAC rappelle que le magazine n’est pas à son premier forfait et continue d’opérer sans avis de conformité.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><br /></p>

Politique Le CSAC suspend le magazine Bosolo na Politik officielle pour une durée de 7 jours suite aux injures publics contre Hamida Kamerhe et Daniel Massaro

 Le magazine « Bosolo na Politik officielle » vient d’être suspendu, ce lundi 17 août, par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Co...

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RDCongo: BCC double son taux directeur pour lutter contre la chute du franc

<p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhi1KvEalRvakjUXhCBbAl1f1R8yCP4qSmq8oPOiBMjvkGpJ4nLI2kRm2yXne3U08Z6Z0huKzYTUi5FhGc5g75AykBpn6dOlbLso94ii-ih0H-IS2JBqJWtGIxkXoPsMQpurb0Gh3PAlg/s688/Snapshot_298.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="341" data-original-width="688" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhi1KvEalRvakjUXhCBbAl1f1R8yCP4qSmq8oPOiBMjvkGpJ4nLI2kRm2yXne3U08Z6Z0huKzYTUi5FhGc5g75AykBpn6dOlbLso94ii-ih0H-IS2JBqJWtGIxkXoPsMQpurb0Gh3PAlg/s640/Snapshot_298.jpeg" width="640" /></a></span></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"> </span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">La Banque centrale du Congo (BCC) a procédé à un spectaculaire relèvement de son taux directeur, qui passe de 7,5% à 18,5%, pour combattre l’inflation en République démocratique du Congo (RDC) et la hausse du dollar face au franc congolais.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">« Sur le plan monétaire, une mesure vient d’être prise. C’est le relèvement du taux directeur de la Banque centrale à 18,5% », a affirmé le gouverneur de la BCC, Déogratias Mutombo, à l’issue de la réunion du Comité de politique monétaire.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Il a rappelé qu’avant la crise sanitaire provoquée par le nouveau coronavirus, la BCC avait baissé son taux directeur de 9% à 7,5%. « C’était pour soutenir l’activité économique et permettre le refinancement. C’est une mesure qui avait été prise dans plusieurs pays africains. Maintenant qu’il y a une surliquidité et pour contenir l’expansion monétaire, nous avons opéré ce réajustement à la hausse », a précisé M. Mutombo devant la presse.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Il a souligné que le taux d’inflation attendu à la fin du mois de décembre prochain est de 20%.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Hausse des prix</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">La RDC est aussi confrontée à la hausse du dollar face au franc congolais, qui a provoqué une flambée des prix et réduit les marges des opérateurs économiques déjà confrontés à la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Après quelques mois de stabilité autour de 1.600 à 1.620 francs congolais pour un dollar, le franc a repris sa dégringolade face au dollar américain depuis mi-juillet, provoquant une surchauffe du marché des changes.</span></p>

Economie Société RDCongo: BCC double son taux directeur pour lutter contre la chute du franc

  La Banque centrale du Congo (BCC) a procédé à un spectaculaire relèvement de son taux directeur, qui passe de 7,5% à 18,5%, pour combattre...

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RDC : Moïse Ekanga plaide pour une collaboration avec… la Belgique

<p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCgqGkZH87v46FgfLoEaJ5lNUjTYuHyAmfNey2d4W_RwVuc7T-DRpJeFtoz79D7d5mFxF5VHuagmn9AMoSGYpX6SUvWGPy2eu_zxDZ5PmSTw1NcVLbWSeAXwoC5f8TQSkicZTpOIiqwA/s688/Snapshot_296.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="476" data-original-width="688" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCgqGkZH87v46FgfLoEaJ5lNUjTYuHyAmfNey2d4W_RwVuc7T-DRpJeFtoz79D7d5mFxF5VHuagmn9AMoSGYpX6SUvWGPy2eu_zxDZ5PmSTw1NcVLbWSeAXwoC5f8TQSkicZTpOIiqwA/s640/Snapshot_296.jpeg" width="640" /></a></span></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><span style="background-color: white; font-size: 20px; font-weight: inherit;"><br /></span></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><span style="background-color: white; font-size: 20px; font-weight: inherit;"><br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><span style="background-color: white; font-size: 20px; font-weight: inherit;">Moïse Ekanga, un nom synonyme de… contrats chinois en République démocratique du Congo et dans le monde des affaires qui observe, ne fût-ce qu’un tantinet, ce qui se passe dans ce géant d’Afrique centrale. Proche de Kabila, l’homme, élu député national de Lomela sur la liste du PPRD puis sénateur du Sankuru en mars 2019, comme indépedant, demeure aussi et surtout le coordonnateur du Bureau de coordination et de suivi du programme sino-congolais, alias BCPSC, alias le “contrat chinois”.</span></span></p><div class="text" style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;">Un contrat signé le 22 avril 2008 entre l’État congolais et un groupement d’entreprises chinoises (deux entreprises étatiques et une société privée de droit chinois). De ce contrat naîtra la Socomines SA, la joint-venture constituée par le gouvernement congolais (représenté ici par la Gécamines) et le Groupe des entreprises chinoises (GEC). Les Chinois détenant 68 % de cette joint-venture, pour 32 % à la Gécamines.</div></span><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; font-weight: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Le système mis en place est relativement simple et répond à la fois aux besoins de la Chine de se garantir l’accès aux matières premières dont elle a besoin pour faire tourner son secteur industriel, tout en se protégeant contre les risques que la dette contractée par la RDC ne soit jamais honorée. La RDC peut, via ce contrat, financer les infrastructures dont elle a besoin pour son développement. C’est donc un système de troc dans lequel ce sont les bénéfices futurs de la Socomines SA qui serviront à rembourser les travaux d’infrastructures.<span style="box-sizing: border-box;"> “Une fois la dette effacée, les installations et les concessions seront transférées à l’État congolais après concertation”</span>, explique Moïse Ekanga.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; font-weight: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"></p><div style="text-align: justify;"><strong style="box-sizing: border-box; color: #666666; font-family: arial;">Plus de 12 ans après la signature de ce “contrat du siècle”, on peut dire, M. Ekanga, que tout ne s’est pas déroulé comme prévu ?</strong></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;"><span style="font-weight: inherit;">Tout n’a pas été parfait mais je pense que nous progressons de manière satisfaisante. Si les travaux d’infrastructures ont pu commencer rapidement, dès 2009, la production minière, elle, a mis beaucoup plus de temps à se mettre en route. Ce n’est qu’en 2016 que la production a réellement pu commencer pour la Socomines. La production minière, c’est un processus lourd, sans oublier que la RDC connaît de gros soucis d’énergie. Or, les mines ont besoin de beaucoup d’énergie. Les travaux d’infrastructure, qui sont vitaux, car je dis toujours que la route du développement passe par le développement de la route, ont commencé essentiellement dans les zones les plus facilement accessibles comme le Katanga, le Bas-Congo ou Kinshasa. Le centre du pays n’est pas oublié mais il est difficilement accessible et nous avons dû freiner le rythme des travaux d’infrastructure tant que les investissements dans le secteur minier ne rapportaient pas car la RDC ne pouvait alors pas rembourser les investissements réalisés par les entreprises chinoises. Si nous ne pouvions rembourser, la charge de la dette s’accumulait. C’était un cycle dangereux.</span></div></span><p></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; font-weight: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"></p><div style="text-align: justify;"><strong style="box-sizing: border-box; color: #666666; font-family: arial;">Le contrat chinois prévoit que 6,6 milliards de dollars soient apportés par les partenaires chinois ?</strong></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;"><span style="font-weight: inherit;">Oui, 3 milliards pour les infrastructures et 3,6 milliards pour le projet minier.</span></div></span><p></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; font-weight: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"></p><div style="text-align: justify;"><strong style="box-sizing: border-box; color: #666666; font-family: arial;">Concrètement, qu’est-ce qui a été investi jusqu’à aujourd’hui ?</strong></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;"><span style="font-weight: inherit;">On a décaissé 900 millions de dollars pour les infrastructures, intérêts compris, et 1,8 milliard pour les investissements miniers.</span></div></span><p></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; font-weight: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"></p><div style="text-align: justify;"><strong style="box-sizing: border-box; color: #666666; font-family: arial;">Vous dites que la production minière a commencé fin 2015. Pouvez-vous nous donner une idée de ce qui a été produit.</strong></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;"><span style="font-weight: inherit;">Je peux vous dire que les bénéfices vont croissants malgré les fluctuations des cours des matières premières. En 2016, le bénéfice a flirté avec les 100 millions de dollars. On a triplé ce chiffre en 2017, et on a atteint les 400 millions de dollars de bénéfices en 2018 et 2019.</span></div></span><p></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Comment sont ventilés ces bénéfices ?</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Tout est très transparent. 35 % de ces bénéfices vont au paiement de dividendes aux actionnaires et 65 % servent au remboursement des emprunts, capital et intérêt.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Où vont ces 35 % de bénéfices qui reviennent à l’État congolais ?</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">C’est argent va à la Gécamines.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Pas dans les caisses de l’État congolais ?</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Le contractant, ce n’est pas l’État congolais mais la Gécamines.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Le souci de fourniture énergétique vous a obligé à revoir vos prétentions à la baisse.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">En effet, vu ce souci d’approvisionnement en énergie électrique, l’objectif de production de 250 000 tonnes de cuivre par an a été revu à la baisse. Les partenaires chinois et congolais se sont entendus pour investir pour la première phase dans des installations industrielles d’une capacité de production de 125 000 tonnes par an en attendant l’accroissement de l’offre énergétique qui passe par la construction d’une centrale hydroélectrique à Busanga.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">La population locale de Busanga, dans la province du Lualaba, doit quitter ses terres face à la construction de la retenue d’eau pour la centrale hydroélectrique. Elle se plaint du peu qu’elle reçoit pour cette expropriation…</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Les soucis pour les habitants de Busanga ont été réglés. Aujourd’hui, la Gécamines et le ministère des Mines travaillent sur les questions relatives aux personnes qui y exploitaient des carrés miniers. Si ces exploitants sont dans leur bon droit, ils recevront un autre carré minier. Les autres ne recevront rien.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">La centrale hydroélectrique sera financée par les Chinois alors qu’initialement l’État congolais devait investir 50 % ?</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">En effet, le budget de ce projet estimé à 656 millions de dollars devait être financé à parts égales entre la RDC et la Chine. Mais en 2014, le président Kabila a promulgué la loi sur la libéralisation du secteur de l’électricité. Laquelle permettait notamment à l’État congolais de chercher des investisseurs privés plutôt que d’engager des millions de dollars destinés au financement des projets d’infrastructure. Les actionnaires chinois de Socomines SA ont pris la résolution de signer un contrat de concession avec le gouvernement congolais pour le développement du projet de Busanga. Ce projet est totalement financé par les Chinois, lesquels détiennent 75 % des parts et ont cédé 25 % aux entreprises d’État et privées congolaises via un système de portage. Busanga doit permettre la production de 240 mégawatts. Le projet minier a besoin de 170 mégawatts, il sera donc possible de réinjecter 70 mégawatts sur le réseau national qui viendront s’ajouter aux 50 mégawatts fournis jusqu’ici par la SNEL (société nationale d’électricité) au projet minier. C’est donc un projet très important pour l’avenir énergétique du pays.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"></p><div style="text-align: justify;"><strong style="box-sizing: border-box; color: #666666; font-family: arial;">A vous entendre, ce contrat du siècle est très avantageux pour toutes les parties. Pourquoi ne pas avoir multiplié ce genre d’initiative avec d’autres partenaires  ?</strong></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;">Nous avons reçu des demandes mais nous sommes bloqués parce que nous ne disposons pas à ce jour de concessions minières ayant des réserves prouvées. Nous savons que nous disposons d’un potentiel important mais nous ne pouvons pas le chiffrer scientifiquement.</div></span><p></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"></p><div style="text-align: justify;"><strong style="box-sizing: border-box; color: #666666; font-family: arial;">Pourquoi ne pas investir dans ce genre de recherches ?</strong></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;">Le ministère de Mines a signé un contrat avec la société espagnole Excalibur qui dresse des cadastres miniers mais, une fois de plus, s’est posé un problème de financement. Du coup, ce projet n’a toujours pas commencé.</div></span><p></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"></p><div style="text-align: justify;"><strong style="box-sizing: border-box; color: #666666; font-family: arial;">On vous sent un peu désabusé face à ce constat ?</strong></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;">Si nous ne changeons pas de mentalité, nous n’évoluerons pas. Vous avez vu la place de la RDC dans le classement mondial du doing business ? Ce n’est pas encourageant. Comment voulez-vous attirer les investisseurs s’ils n’ont pas la garantie d’opérer avec sérénité et d’être à l’abri des tracasseries administratives et judiciaires. J’ai vu défiler des hommes d’affaires très intéressés. La journée, ils rencontrent les officiels qui leur présentent une certaine vision du potentiel du pays mais la nuit, ils voient les opérateurs économiques qui travaillent sur le terrain et qui leur expliquent les difficultés auxquelles ils sont confrontés. Dans ce contexte, c’est très compliqué de faire venir des investisseurs. La RDC est évidemment responsable de cette situation mais je pense que la Belgique a aussi un rôle à jouer. Je suis très sérieux. Vous connaissez le pays mieux que les autres et votre voix est écoutée dans toute l’Europe et même aux États-Unis. Il est important que nous puissions retravailler ensemble, chacun faisant sa part. Je ne demande pas aux Belges de faire tout le travail à notre place mais ce sera plus facile de commencer avec des gens que l’on connaît.</div></span><p></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"></p><div style="text-align: justify;"><strong style="box-sizing: border-box; color: #666666; font-family: arial;">Voilà une invitation surprenante dans le chef d’un homme souvent considéré comme anti-occidental ?</strong></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;">Cette image est née avec le contrat chinois. Je suis un pragmatique. Je suis prêt à travailler avec tout le monde si c’est pour le bien de mon pays.</div></span><p></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"></p><div style="text-align: justify;"><strong style="box-sizing: border-box; color: #666666; font-family: arial;">Le contrat chinois est basé sur la production et la vente de cuivre et de cobalt, pourtant, initialement, lors de vos premiers voyages en Chine vous cherchiez à commercialiser d’autres matières ?</strong></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><div style="text-align: justify;">C’est exact, en 2007, quand nous avons commencé les discussions avec la Chine, nous pensions leur vendre du chrome et du nickel. Les Chinois étaient intéressés. Ils sont allés dans le Kasaï, où se trouvent ces matières premières. Ils ont fait des prélèvements qui étaient très positifs. Mais il n’y avait pas d’électricité du tout au Kasaï, le projet n’est pas allé plus loin et nous nous sommes tournés vers le cuivre et le cobalt. Ce qui signifie que lorsque nous aurons de l’électricité, il y a là un vrai potentiel.</div></span><p></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"></p><div style="text-align: justify;"><strong style="box-sizing: border-box; color: #666666; font-family: arial;">Le 6 août dernier, l’ONG britannique Global Witness a critiqué un contrat passé entre la Gécamines et une société chinoise (CNMC) pour le projet minier de Deziwa. Un projet qui porte sur 4,6 millions de tonnes de cuivre et 420 000 tonnes de cobalt et qui prévoit un investissement de 880 millions de dollars de la société chinoise sous forme de prêt. Après quoi, les infrastructures doivent être transférées à la Gécamines (qui possède 49 % des parts de la nouvelle société Somidez, pour 51 % à son partenaire chinois). Mais il y a un souci pour l’ONG britannique : CNMC veut réaliser au préalable des “bénéfices raisonnables”. Or, faute de chiffres et de date, difficile de savoir si ce mégacontrat est équitable. Vous pouvez rassurer l’ONG ?</strong></div><span style="box-sizing: border-box;"><div style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Selon les informations qui m’ont été transmises par la Gécamines, les choses sont très claires. Au bout de 9 ans, les Chinois auront récupéré leur mise avec bénéfices et l’ensemble des infrastructures sera alors transféré à la Gécamines. Ce sera peut-être même plus rapide, les calculs sont faits sur un prix de 5 000 dollars la tonne de cuivre. Aujourd’hui, le cours est à un peu plus de 6 000 dollars.</span></div></span><p></p></div>

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RDC : L'UNC de nouveau dans la rue le 21 août pour réclamer l'acquittement de Kamerhe

<p><span style="color: #666666; font-family: arial;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0z1Aev8U60_bfWnIQUD1uqpJjJXcQRNimlI8bZhML4ujjhGTYwNhVU1vRPQUaYdZggD7uhVATHAVsiaDEFnKWvMw2YEbrZ1D_7Hd4WUtcVk4VvesC9Ya3tHmGpRef4E0yC8MCKNl87w/s787/Snapshot_295.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="378" data-original-width="787" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0z1Aev8U60_bfWnIQUD1uqpJjJXcQRNimlI8bZhML4ujjhGTYwNhVU1vRPQUaYdZggD7uhVATHAVsiaDEFnKWvMw2YEbrZ1D_7Hd4WUtcVk4VvesC9Ya3tHmGpRef4E0yC8MCKNl87w/s640/Snapshot_295.jpeg" width="640" /></a></span></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"> </span><p></p><p><span style="color: #666666; font-family: arial;"><span style="background-color: white; font-size: 18px; text-align: justify;"><br /></span></span></p><p><span style="color: #666666; font-family: arial;"><span style="background-color: white; font-size: 18px; text-align: justify;">L'Union pour la Nation Congolaise (UNC) sera une fois de plus dans la rue le vendredi 21 août 2020 pour réclamer encore l'acquittement de son président national, Vital Kamerhe Lwa Kanyiginyi Nkingi.</span></span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Cette annonce a été faite par Aimé Boji Sagaré, secrétaire général a.i de l'UNC au cours d'un échange samedi 15 août dernier avec les coordonnateurs nationaux de la cellule de mobilisation et propagande ainsi que celle du recrutement et implantation.</span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Sur ce, B. Sangaré, précise que ladite marche permettra aux militants de son parti, convaincus de l'innocence de Vital Kamerhe, de réclamer son acquittement.</span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">« Cette marche pacifique de soutien sera une nouvelle occasion pour les militants et autres partisans de Vital Kamerhe, toujours convaincus de son innocence, d'exiger son acquittement », a déclaré Aimé Boji Sagaré.</span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Il sied de signaler que ça sera pour la deuxième fois que l'UNC organise une marche de soutien à son président national, condamné à 20 ans des travaux forcés et détenu  à la prison centrale de Makala, pour détournement des fonds alloués à la construction des maisons préfabriquées pour le compte du programme d'urgence de 100 jours du chef de l'État.</span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">À noter que l'audience en appel du directeur de cabinet du chef de l'État a été renvoyée à la même date, précisément le 21 août, à la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe.</span></p>

Politique RDC : L'UNC de nouveau dans la rue le 21 août pour réclamer l'acquittement de Kamerhe

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Procès Mukuna : L'affaire prise en délibéré, le jugement attendu dans moins de 10 jours

<p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNceui7-oOIUgVEM9MqiM2OCLd05V2Ed0ZuOqq5OVmFjsA8jQSv_R53OpP6U2B1wfo5np4jeSr7FxASipDwdT9m3UaqnYqfCPcbzEPUOoAtuFiWADOScp5zMuiakxXleCmULCW6s_OVw/s787/Snapshot_294.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="378" data-original-width="787" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNceui7-oOIUgVEM9MqiM2OCLd05V2Ed0ZuOqq5OVmFjsA8jQSv_R53OpP6U2B1wfo5np4jeSr7FxASipDwdT9m3UaqnYqfCPcbzEPUOoAtuFiWADOScp5zMuiakxXleCmULCW6s_OVw/s640/Snapshot_294.jpeg" width="640" /></a></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"> <span style="background-color: white; font-size: 18px; text-align: justify;">Le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa-Gombe siégeant dans l'affaire viol sur Mamie Tshibola qui oppose l'évêque Pascal Mukuna au ministère public, a pris la cause en délibéré ce lundi 17 août 2020. </span></span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Selon maître Jean-Claude Katende, membre de l'Éveil Patriotique qui livre l'information à 7SUR7.CD, la décision finale du Tribunal devra être rendue dans le délai requis par la loi, c'est-à-dire "à la huitaine".</span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Il sied de signaler que l'audience de ce lundi à laquelle ont participé toutes les parties prenantes au procès, a été consacrée à la réouverture des débats. </span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Les deux parties ont confirmé leurs moyens de défense. Ce qui a permis au Tribunal de prendre l'affaire en délibéré. </span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Pour rappel, l'évêque Mukuna est poursuivi par la justice pour entre autres détention illicite d'arme et viol sur Mamie Tshibola, veuve de son ancien collaborateur Kantshia Milongo.</span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px; text-align: justify;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">Prince Mayiro</span></p>

Justice Politique Procès Mukuna : L'affaire prise en délibéré, le jugement attendu dans moins de 10 jours

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RDC : La rentrée scolaire 2020-2021 envisagée au 5 octobre

<p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxhV7pwQHagUwOY4_raXtQkkb0UlRtk_frD6tW1PaonESGvBtA0-wS-eyewab6kDqTjUkLSlmshA8FG5sV7CB3-kxQcq8Y9RKR3em2CePrpubKDgeHsfLEpLHWYFn4bASyR3ZJwrqzNg/s787/Snapshot_293.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="487" data-original-width="787" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxhV7pwQHagUwOY4_raXtQkkb0UlRtk_frD6tW1PaonESGvBtA0-wS-eyewab6kDqTjUkLSlmshA8FG5sV7CB3-kxQcq8Y9RKR3em2CePrpubKDgeHsfLEpLHWYFn4bASyR3ZJwrqzNg/s640/Snapshot_293.jpeg" width="640" /></a></span></div><span style="color: #666666; font-family: arial;"> </span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><span style="background-color: white; font-size: 18px; text-align: justify;"><br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;"><span style="background-color: white; font-size: 18px; text-align: justify;">La rentrée scolaire 2020-2021 est envisagée pour le 05 octobre 2020 sur toute l'étendue de la République Démocratique du Congo.</span></span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">C'est ce qui ressort d'une séance de travail organisée ce lundi 17 août 2020 entre le ministre de l'enseignement primaire secondaire et technique  (EPST) Willy Bakonga et l'intersyndicale des syndicats dudit ministère. </span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Selon le calendrier réaménagé du ministère de l'EPST, la fin de l'année scolaire en cours (2019-2020) est fixée au 10 septembre 2020. </span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">Elle avait connu une interruption de plus de 4 mois suite à la fermeture des établissements scolaires pour éviter la propagation de la Covid-19. </span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">La reprise des cours est intervenue le 10 août uniquement pour les finalistes du primaire et secondaire. </span></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px; text-align: justify;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">Ange Makadi Ngoy</span></p>

Education RDC : La rentrée scolaire 2020-2021 envisagée au 5 octobre

  La rentrée scolaire 2020-2021 est envisagée pour le 05 octobre 2020 sur toute l'étendue de la République Démocratique du Congo. C'...

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PASTEUR GUILY 📖 DU 18/08/2020 REPOND A LA FILLE DE NGOY KASANDJI QUI A INSULTE MAMAN DENISE NYAKERU ( VIDEO )

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PIECE CONTRE PIECE : NGOY KASANJI ET LAMBERT MENDE BA LELI , KABILA N ' A PLUS LE POUVOIR ! BENJAMIN ( VIDEO )

<p> </p> <iframe width="641" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/z5m1_y-quiw" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>

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PASTEUR GUILY 📖 DU 17/08/2020 : KABILA A COMPRIS QUE DIEU N ' EST PLUS AVEC LUI . C' EST LA FIN ! ( VIDEO )

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EN DIRECT YOKA SON 🔊 ET AUGUSTIN KABUYA DU 17/08/2020 : TO BOSANI TE BA CRIME NIONSO YA KABILA ASALA . KO LONGWA NA BISO NA BA NEGOCIATION EZA SIGNE YA MABE PONA KABILA ! ( VIDEO )

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RENE DE L ' UDPS DU 17/08/2020 :L 'AUDIO DE LAMBERT REVELE LE GRAND COMPLOT DE KABILA SUR LA COUR CONSTITUTIONNELLE. POURQUOI KABUND ET KABUYA BAZA ECARTE ? NGOY KASANDJI ALELI MAKASI , BA BENGANI YE ! ( VIDEO )

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KABILA RECLAME SA SECURITE A João Lourenço en ANGOLA ET FATSHI RAMENE 1 MILLIONS D ' EMPLOIS. MIYAKE DE L ' UDPS DU 17/08/2020 ( VIDEO )

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KABUND ET KABUYA ECARTES DES NEGOCIATIONS FCC - CACH : FELIX TSHISEKEDI JOUE LA CARTE DU DIVORCE ! PRESIDENT J.C MWAMBA EXPLIQUE ! ( VIDEO )

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ABBE SHOLE DE L ' UDPS DU 17/08/2020 : COUP D ' ETAT CONSTITUTIONNEL RATE , L ' AUDIO DE LAMBERT MENDE DEVOILE LE PLAN DE KABILA CONTRE FELIX TSHISEKEDI ( VIDEO )

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