Kinshasa : fin annoncée de la circulation alternée sur la route des Poids lourds

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEikgmoy7MhK2a_lVAww9eP7XKWTeLlNGpkxqwRjFX0QSQTQ345inXgsX4_87nmXQzW8c-58RtfmlKlPwLzaIp-_-QhNbiuWibGH5mUMEWnJVYp2IQww3Xw6Awvx05yTrovtgEiSSROzr7tE-zQmV2-dKRrAF5r86UBhsNlLa-neSs5wM5SwiC9wELV0i8rL/s500/IMG_1033.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="375" data-original-width="500" height="286" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEikgmoy7MhK2a_lVAww9eP7XKWTeLlNGpkxqwRjFX0QSQTQ345inXgsX4_87nmXQzW8c-58RtfmlKlPwLzaIp-_-QhNbiuWibGH5mUMEWnJVYp2IQww3Xw6Awvx05yTrovtgEiSSROzr7tE-zQmV2-dKRrAF5r86UBhsNlLa-neSs5wM5SwiC9wELV0i8rL/w381-h286/IMG_1033.JPG" width="381" /></a></div><p><br /></p><p></p><p><span style="font-family: arial;">Le ministre provincial des Transports de Kinshasa, Bob Amisso Yoka Lumbila, a annoncé vendredi la levée imminente de la mesure de circulation alternée sur la route des Poids lourds. Cette décision, rapportée par l’ACP, met fin à une phase expérimentale destinée à évaluer les réalités du terrain et à identifier des solutions adaptées aux embouteillages dans la capitale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">« Nous tendons vers la levée de la mesure de circulation à sens unique alterné sur la route Poids lourd, précisément le soir », a affirmé le ministre lors d’une audience avec une délégation de la société civile.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette rencontre a été l’occasion pour la délégation, menée par Armonie Nzinga, de présenter une pétition lancée il y a deux semaines. Ce document exprime les préoccupations des Kinois face à la mesure de circulation alternée, notamment aux heures de pointe. Mme Nzinga a salué l’écoute du ministre et sa volonté d’intégrer les propositions de la population dans les décisions futures concernant la gestion du trafic.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Pour de nombreux automobilistes, cette annonce marque une amélioration attendue dans la fluidité du trafic sur cet axe crucial. La levée prochaine de la mesure devrait contribuer à réduire les désagréments liés aux embouteillages, un défi quotidien pour les habitants de Kinshasa.</span></p><p><span style="font-family: arial;"> </span></p>

Divers Kinshasa : fin annoncée de la circulation alternée sur la route des Poids lourds

Le ministre provincial des Transports de Kinshasa, Bob Amisso Yoka Lumbila, a annoncé vendredi la levée imminente de la mesure de circulatio...

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RDC : l’OMS recommande la vaccination des jeunes filles contre le cancer du col de l’utérus

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhlS0zMKnVWUjJuQ7nfeoGsLAGHDJmllDuJofYPxeImzYjPdYzGjJX1V7on2IaWM6IPCFt1JJyhf23E8ggDmNh9_kUyKY1dtcKFXCKhlh_McT-I-3X0k83jSoBdfKMw4WnSp-P8u5k-RNEZMRG33uQx8OLqdvjxjhuFY3yMFfg_GcQ2RN65EveOngddT7a0/s679/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2014.02.58.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="452" data-original-width="679" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhlS0zMKnVWUjJuQ7nfeoGsLAGHDJmllDuJofYPxeImzYjPdYzGjJX1V7on2IaWM6IPCFt1JJyhf23E8ggDmNh9_kUyKY1dtcKFXCKhlh_McT-I-3X0k83jSoBdfKMw4WnSp-P8u5k-RNEZMRG33uQx8OLqdvjxjhuFY3yMFfg_GcQ2RN65EveOngddT7a0/s320/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2014.02.58.jpeg" width="320" /></a></div><br /> <p></p><p><span style="font-family: arial;">Lors du Forum national pour l’élimination du cancer du col de l’utérus, qui s’est tenu à Kinshasa du 14 au 16 novembre 2024, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a fortement recommandé la vaccination des filles âgées de 9 à 14 ans en République démocratique du Congo.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le Dr Jean Baptiste Nikiema, représentant adjoint de l’OMS en RDC, a souligné que cette tranche d’âge est scientifiquement prouvée comme la plus propice pour une prévention efficace contre ce type de cancer. <em>« Lorsqu’on monte en âge, l’efficacité baisse. C’est pourquoi l’OMS, avec le ministère de la Santé et d’autres partenaires, encourage la vaccination à cet âge stratégique »</em>, a-t-il expliqué.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un objectif clair : éliminer le cancer du col de l’utérus d’ici 2030</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’OMS et le ministère congolais de la Santé visent à réduire considérablement les cas de ce cancer en RDC, qui reste un problème de santé publique majeur en Afrique. Pour ce faire, des stratégies ont été élaborées, notamment :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">La vaccination de 90 % des jeunes filles avant leurs 15 ans d’ici 2030.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Le dépistage de 70 % des femmes âgées de plus de 35 ans.</span></li><li><span style="font-family: arial;">La prise en charge de 90 % des femmes diagnostiquées avec des traits cancéreux.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Le Dr Bienvenu Lebwaze, directeur du Centre national de lutte contre le cancer (CNLC), a également annoncé des efforts pour rendre le vaccin contre le papillomavirus humain accessible à l’ensemble du territoire d’ici 2026.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Mobilisation nationale pour la sensibilisation</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Une marche symbolique a clôturé le forum, réunissant survivantes du cancer, élèves, étudiants, et partenaires techniques. Organisée par le Conseil national de la couverture santé universelle (CNCSU), elle visait à renforcer la sensibilisation et mobiliser les Kinois autour de la prévention et du dépistage.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Grâce à ces initiatives, la RDC espère atteindre ses objectifs d’élimination du cancer du col de l’utérus, tout en garantissant que personne ne soit laissé de côté.</span></p>

Santé RDC : l’OMS recommande la vaccination des jeunes filles contre le cancer du col de l’utérus

  Lors du Forum national pour l’élimination du cancer du col de l’utérus, qui s’est tenu à Kinshasa du 14 au 16 novembre 2024, l’Organisatio...

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Miss Univers 2024 : Victoria Kjaer Theilvig couronnée, Ilda Amani inspire les femmes congolaises

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmC2lkSvC2rFikXDjFQXb-cgh5dWRHdiCbEqS6f0K58qzc5u8ncKeXl-qRhtuFyRHaXzkZyi0wEU2IRnkexEhO0b1LfnQOAsBQcYIFObojPl8KhULnwEYI1W6vHAI90Q1u6pfDZLFRG6c5IrLeRUi9MOSFde2Fe_aCu01Btp0l8ehdngJJh97vQJetTvi5/s730/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2013.57.39.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="534" data-original-width="730" height="275" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmC2lkSvC2rFikXDjFQXb-cgh5dWRHdiCbEqS6f0K58qzc5u8ncKeXl-qRhtuFyRHaXzkZyi0wEU2IRnkexEhO0b1LfnQOAsBQcYIFObojPl8KhULnwEYI1W6vHAI90Q1u6pfDZLFRG6c5IrLeRUi9MOSFde2Fe_aCu01Btp0l8ehdngJJh97vQJetTvi5/w376-h275/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2013.57.39.jpeg" width="376" /></a></div><p><br /></p><p></p><p><span style="font-family: arial;">La 73ᵉ édition de Miss Univers, tenue le 16 novembre à l’Arena Ciudad de México, a vu Victoria Kjaer Theilvig, Miss Danemark, remporter la couronne. Âgée de 21 ans, cette danseuse professionnelle a devancé 130 candidates pour décrocher le prestigieux titre. La Nigériane Chidimma Adetshina a été élue première dauphine, suivie de María Fernanda Beltrán, du Mexique, sacrée deuxième dauphine.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Ilda Amani, une source d’inspiration pour la RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Représentant la République démocratique du Congo, Ilda Amani a marqué l’événement par son élégance et son message porteur d’espoir, bien qu’elle n’ait pas accédé aux phases finales. Sur ses réseaux sociaux, elle a exprimé sa fierté d’avoir représenté son pays et son engagement à encourager les femmes congolaises.</span></p><p><span style="font-family: arial;"><em>« Représenter la RDC sur une scène mondiale a été un honneur incomparable. À travers cette aventure, j’ai voulu montrer que peu importe nos origines, nos rêves sont valides et méritent d’être poursuivis avec détermination et foi, »</em> a-t-elle affirmé.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Son discours a résonné auprès des Congolaises, incarnant un modèle de résilience et d’ambition.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un concours ouvert à la diversité</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’édition 2024 a été marquée par des avancées inclusives, autorisant pour la première fois la participation de candidates ayant des enfants. Des figures inspirantes comme Logina Salah, mannequin égyptienne atteinte de vitiligo, ou Jennifer Colón, mère de trois enfants, ont illustré cette volonté d’ouverture.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Pour la RDC, la participation d’Ilda Amani a permis de mettre en lumière la richesse culturelle et la résilience de son peuple. <em>« Ce n’est pas une fin, mais un nouveau chapitre. Je reste engagée à porter haut les valeurs de notre nation, »</em> a-t-elle conclu, remerciant Dieu, son équipe et ses supporters.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Avec cette édition, Miss Univers continue de célébrer la diversité, l’inclusion et l’ambition des femmes du monde entier.</span></p><p><span style="font-family: arial;"> </span></p>

Divers Miss Univers 2024 : Victoria Kjaer Theilvig couronnée, Ilda Amani inspire les femmes congolaises

La 73ᵉ édition de Miss Univers, tenue le 16 novembre à l’Arena Ciudad de México, a vu Victoria Kjaer Theilvig, Miss Danemark, remporter la c...

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RDC : Nouvelle réglementation pour organiser des spectacles vivants en toute conformité

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpUD-zhvotHeTAzuj9TzmTDCxGYWdfYLFHzX0poPlRKIH19nJGsY8WV9PyegHzA7dKN-JJ7a6MHeqo6dTqFBpKzNIGjouSwbABRRatr4NVJJ1I41vcE2EPnD_LvcgP02Fwadwi1f8KkJO8Dp9Ac6qWTgxWdCDbFuQrwcEgsf6HLCH6NNnGdGB-2_9E0EKH/s678/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2013.44.22.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="452" data-original-width="678" height="264" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpUD-zhvotHeTAzuj9TzmTDCxGYWdfYLFHzX0poPlRKIH19nJGsY8WV9PyegHzA7dKN-JJ7a6MHeqo6dTqFBpKzNIGjouSwbABRRatr4NVJJ1I41vcE2EPnD_LvcgP02Fwadwi1f8KkJO8Dp9Ac6qWTgxWdCDbFuQrwcEgsf6HLCH6NNnGdGB-2_9E0EKH/w397-h264/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2013.44.22.jpeg" width="397" /></a></div> <br /><p></p><p><span style="font-family: arial;">Le secteur des <strong>spectacles vivants</strong> en République Démocratique du Congo (RDC) entre dans une nouvelle ère avec l’entrée en vigueur de l’<strong>Arrêté ministériel du 28 août 2024</strong>, signé par la Ministre de la Culture, Yolande Elebe. Ce texte vise à structurer une activité économique essentielle au développement des industries culturelles et créatives tout en garantissant sécurité et respect des normes. Voici ce qu'il faut savoir.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Objectifs principaux de la réglementation</span></strong></h3><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>Sécurité publique et protection civile</strong> : Les organisateurs doivent mettre en place des mesures pour prévenir les risques professionnels, gérer les flux de spectateurs et garantir la sécurité sur les lieux d’événements.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Respect des valeurs culturelles</strong> : Les spectacles doivent promouvoir et préserver le patrimoine culturel de la RDC.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Protection de l’environnement</strong> : Gestion rigoureuse des déchets et respect des espaces verts sont exigés.</span></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Trois catégories d’organisateurs reconnus</span></strong></h3><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>Exploitants de lieux de spectacles</strong> : Gèrent les espaces dédiés aux représentations publiques.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Producteurs ou entrepreneurs de tournées</strong> : Responsables de la création des spectacles et employeurs des artistes.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Diffuseurs de spectacles</strong> : Chargés de l’accueil du public, de la billetterie et de la sécurité.</span></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Obligations pour les organisateurs</span></strong></h3><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Licence obligatoire</strong> : Tout organisateur doit obtenir une licence annuelle délivrée par le Ministère de la Culture, après vérification de la compétence, de l’extrait de casier judiciaire, etc.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Typologie d’événements</strong> : Les spectacles sont classés selon le nombre de participants, la nature de l’événement ou encore les exigences liées à la billetterie et à l’espace.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Plan de sécurité</strong> : Les organisateurs doivent soumettre un plan détaillé de sécurité validé par le comité local de sécurité.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Démarches administratives</span></strong></h3><ul><li><span style="font-family: arial;">Les organisateurs doivent informer les autorités administratives (Gouverneur, Maire, Bourgmestre) <strong>3 mois avant l’événement</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Ils doivent également garantir :</span><ul><li><span style="font-family: arial;">La certification des installations.</span></li><li><span style="font-family: arial;">La présence d’un service de gardiennage.</span></li><li><span style="font-family: arial;">La souscription à une assurance couvrant les risques.</span></li></ul></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Sanctions en cas de non-conformité</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les contrevenants s’exposent à des pénalités telles que :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Suspension ou arrêt immédiat de l’événement.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Amendes ou emprisonnement en cas de trouble à l’ordre public.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Retrait de la licence ou interdiction d’organiser des spectacles pendant 3 ans.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Recommandations aux organisateurs</span></strong></h3><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>S’entourer de professionnels</strong> : Recourir à un avocat spécialisé en propriété littéraire et à un expert en sécurité publique.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Sensibilisation et formation</strong> : S’approprier les exigences légales pour éviter les sanctions.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Ce cadre réglementaire, bien que nouveau, offre une opportunité pour professionnaliser le secteur et renforcer la contribution des spectacles vivants au développement économique et culturel de la RDC.</span></p>

culture RDC : Nouvelle réglementation pour organiser des spectacles vivants en toute conformité

  Le secteur des spectacles vivants en République Démocratique du Congo (RDC) entre dans une nouvelle ère avec l’entrée en vigueur de l’ Ar...

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RDC : Félix Tshisekedi attendu à Kaniama Kasese pour suivre la formation des ex-Kulunas

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjg4OJJEJSa_Q1GhsBshm_LNXItL8hrXEutCyJwAv5GjbYX6kAzybSo0C7Pdx6ddclaNPVzYIVOvSPSJUydh-_t9ZxKW0IIDWRYmEUEnz8-u3gblomRCCQn3hmHU0VrNVHTrmhV338SEt5iKnYmmTuS-tbKvkLyN6UwEdUkoH2hqD8hXINvii4YEtKfUXwb/s803/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2012.54.45%20(1).jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="526" data-original-width="803" height="263" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjg4OJJEJSa_Q1GhsBshm_LNXItL8hrXEutCyJwAv5GjbYX6kAzybSo0C7Pdx6ddclaNPVzYIVOvSPSJUydh-_t9ZxKW0IIDWRYmEUEnz8-u3gblomRCCQn3hmHU0VrNVHTrmhV338SEt5iKnYmmTuS-tbKvkLyN6UwEdUkoH2hqD8hXINvii4YEtKfUXwb/w401-h263/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2012.54.45%20(1).jpeg" width="401" /></a></div> <br /><p></p><div class="flex max-w-full flex-col flex-grow"><div class="min-h-8 text-message flex w-full flex-col items-end gap-2 whitespace-normal break-words [.text-message+&]:mt-5" data-message-author-role="assistant" data-message-id="5d991d1c-7cfb-459b-a097-8c5368ff3986" data-message-model-slug="gpt-4o" dir="auto"><div class="flex w-full flex-col gap-1 empty:hidden first:pt-[3px]"><div class="markdown prose w-full break-words dark:prose-invert light"><p><span style="font-family: arial;">Après avoir amorcé sa tournée dans l’espace Katanga, le Président de la République démocratique du Congo, <strong>Félix Tshisekedi</strong>, s’apprête à se rendre dans le territoire de <strong>Kaniama Kasese</strong>, dans le Haut-Lomami. Il y inspectera les activités du <strong>Service national</strong>, une structure rattachée à la présidence et dédiée à la réhabilitation de la jeunesse délinquante, notamment les ex-<em>Kulunas</em>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un projet ambitieux pour transformer la jeunesse</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Lors d’un meeting à Lubumbashi, le chef de l’État a souligné l’importance du Service national dans la réinsertion socio-professionnelle des jeunes issus de milieux défavorisés ou impliqués dans des activités délinquantes.</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;"><em>« Le Service national est une initiative précieuse pour notre pays. Il offre à notre jeunesse délinquante une chance de se relever et de se réorienter vers une vie productive. C’est un investissement dans notre capital humain, qui est essentiel pour le Congo de demain »,</em> a-t-il déclaré.</span></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Cette institution forme ces jeunes à divers métiers et les accompagne dans leur intégration sociale, leur offrant ainsi une alternative à la criminalité.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">L’objectif : une jeunesse moteur de transformation</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le programme, supervisé par le général <strong>Jean-Pierre Kasongo</strong>, a permis de redonner vie à une institution autrefois méconnue. Félix Tshisekedi a salué les efforts entrepris pour transformer les ex-<em>Kulunas</em> en citoyens actifs et utiles à la société.</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;"><em>« Nous voulons montrer que l’État est là pour soutenir et accompagner ses enfants, peu importe leur passé, pour qu’ils puissent contribuer à la transformation de notre nation »,</em> a-t-il ajouté.</span></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Kaniama Kasese, une vitrine du renouveau</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Situé dans le Haut-Lomami, le centre de Kaniama Kasese est devenu une vitrine de cette réhabilitation nationale. Il accueille de nombreux jeunes pour leur offrir des formations dans des domaines variés, notamment l’agriculture, la mécanique, et d’autres métiers essentiels pour le développement du pays.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Avec cette visite, le président Tshisekedi espère mettre en lumière les progrès réalisés par le Service national et inspirer d'autres initiatives similaires pour lutter contre la délinquance juvénile à travers le pays.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ce déplacement s’inscrit dans la volonté du gouvernement de renforcer l’éducation et la réhabilitation sociale comme moteurs de développement en RDC.</span></p></div></div></div></div>

polique RDC : Félix Tshisekedi attendu à Kaniama Kasese pour suivre la formation des ex-Kulunas

  Après avoir amorcé sa tournée dans l’espace Katanga, le Président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi , s’apprête à s...

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Kongo Central : Arrestation de présumés coupeurs de route et bandits urbains à Matadi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCbN3PFBgHk25dzxABmbBBMyBl3L_vCEjp2m__3nXMGBuX3b6u6iZS4KiWHmT5pXgKAJ841ygSZATOShOsxxytKWZWoMqoTojMvmEzkZ0BJ_Zv6mzoCxzUpx3fCFXgDTHC5Ue-QDGG8OW4slAtX7FX0euvQTM7ArIfy1_tO8Kh2zNyL4s6EOQdGYlukpqn/s720/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2013.32.36.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="337" data-original-width="720" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCbN3PFBgHk25dzxABmbBBMyBl3L_vCEjp2m__3nXMGBuX3b6u6iZS4KiWHmT5pXgKAJ841ygSZATOShOsxxytKWZWoMqoTojMvmEzkZ0BJ_Zv6mzoCxzUpx3fCFXgDTHC5Ue-QDGG8OW4slAtX7FX0euvQTM7ArIfy1_tO8Kh2zNyL4s6EOQdGYlukpqn/w474-h222/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2013.32.36.jpeg" width="474" /></a></div> <br /><p></p><p><span style="font-family: arial;"><strong>Matadi, 16 novembre 2024</strong> – La Police nationale congolaise (PNC) a procédé à l’arrestation de deux présumés coupeurs de route et d’une dizaine de bandits urbains, communément appelés <em>kuluna</em>, dans la ville de Matadi, chef-lieu de la province du Kongo Central. Ces individus ont été présentés au public samedi par le commissaire urbain de la PNC, Baudouin Kilima, dans le cadre de l’opération <strong>« Kumbaki mbiko »</strong>, initiée pour renforcer la sécurité dans cette région.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Des activités criminelles ciblées sur la RN</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Selon les explications du commissaire Kilima, les coupeurs de route agissaient principalement sur la route nationale n°1, entre Kimpese et Matadi, où ils ciblaient les véhicules poids lourds pendant la nuit.</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;"><em>« Ils opèrent en intercalant les véhicules et en blessant les occupants pour les dépouiller de leurs biens. Dans la nuit de mardi à mercredi, un homme et une femme ont été attaqués et blessés. Après des recherches intensives, nous avons réussi à les appréhender »,</em> a-t-il précisé.</span></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">L’enquête a révélé qu’un des membres du groupe jouait le rôle d’éclaireur, transmettant des informations sur les cibles potentielles aux criminels.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un danger permanent pour les citoyens</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le maire de Matadi, <strong>Dominique Nkodia Mbete</strong>, a exprimé son inquiétude face à ces actes de banditisme, particulièrement à l’approche des fêtes de fin d’année.</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;"><em>« La liberté de ces malfaiteurs est un danger constant pour la population. Il est essentiel que le processus pénal suive son cours afin d’empêcher leur retour dans les rues »,</em> a-t-il déclaré.</span></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Renforcement de la sécurité dans la ville</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’opération <strong>« Kumbaki mbiko »</strong>, qui signifie « Prévenons les menaces » en kikongo, vise à neutraliser les criminels actifs à Matadi et dans ses environs. Les autorités locales, avec l’appui de la PNC, entendent intensifier leurs efforts pour garantir la sécurité des habitants durant cette période sensible.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ces arrestations marquent une étape importante dans la lutte contre le banditisme au Kongo Central, mais les autorités appellent à la vigilance et à la collaboration des citoyens pour signaler toute activité suspecte.</span></p>

Justice Kongo Central : Arrestation de présumés coupeurs de route et bandits urbains à Matadi

  Matadi, 16 novembre 2024 – La Police nationale congolaise (PNC) a procédé à l’arrestation de deux présumés coupeurs de route et d’une diz...

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Félix Tshisekedi défend la révision de la Constitution, exclut un troisième mandat

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhycAF1RECQ2r7Jc-ybLZwvO9Ij2G5XxBa2zY4xY7qlU8UexdBRtg1EUf4uB2qZXGGNgVc_HCaqLHANnzT0ootljxnKGJaLSwAOw4_6-gg-vRiBJe3NVmecsXf9XRMEV1EO6qGLI7Ikcdt3f3bqV43JDsII0AXWkpvUK5D__OGdR8iUfRltUJrslxJyWeIP/s817/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2012.54.46.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="544" data-original-width="817" height="251" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhycAF1RECQ2r7Jc-ybLZwvO9Ij2G5XxBa2zY4xY7qlU8UexdBRtg1EUf4uB2qZXGGNgVc_HCaqLHANnzT0ootljxnKGJaLSwAOw4_6-gg-vRiBJe3NVmecsXf9XRMEV1EO6qGLI7Ikcdt3f3bqV43JDsII0AXWkpvUK5D__OGdR8iUfRltUJrslxJyWeIP/w377-h251/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2012.54.46.jpeg" width="377" /></a></div><p><br /></p><div><p><span style="font-family: arial;"><strong>Lubumbashi, 16 novembre 2024</strong> – Le président de la République démocratique du Congo, <strong>Félix Tshisekedi</strong>, a réaffirmé que la révision ou le changement de la Constitution ne vise pas à lui permettre de briguer un troisième mandat. Il s'est exprimé samedi lors d'un meeting à la Place Moïse Tshombe, au cœur de Lubumbashi, dans le cadre d'une mission d'itinérance dans la province du Haut-Katanga.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un débat autour de la révision constitutionnelle</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Face à une foule scandant « Révisons la Constitution ! », Félix Tshisekedi a clarifié sa position :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« Ce que j’ai dit n’a rien à voir avec un troisième mandat. L’année prochaine, je mettrai en place une commission chargée de réfléchir sur la Constitution. Personne ne va changer ma position sur cette révision. »</span></em></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Le président a critiqué les discours de certains leaders religieux qu’il accuse de manipuler l’opinion publique sur cette question.</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;"><em>« Quel est ce peuple qui n’a pas le droit de remettre en question sa Constitution ? »</em>, a-t-il demandé, en défendant le droit de tout État souverain à adapter ses lois fondamentales à ses réalités et besoins.</span></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appel à la vigilance dans le Haut-Katanga</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Lors de son allocution, Félix Tshisekedi a également évoqué les tensions sécuritaires dans l'Est du pays, accusant certains compatriotes de complicité avec les agresseurs. Il a mis en garde le Haut-Katanga contre des tentatives de déstabilisation :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« Soyez vigilants, car l'une des provinces visées par ces ennemis est le Haut-Katanga. Ne laissez personne vous manipuler à cause de frustrations électorales. »</span></em></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Progrès économiques et sociaux dans le Haut-Katanga</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Sur le plan économique, le chef de l’État a annoncé la reprise de la production de zinc grâce à la relance de l’usine <strong>Kico</strong> à Kipushi, qu'il inaugurera ce dimanche. Il a salué les efforts du gouverneur Jacques Kyabula pour ses initiatives dans le domaine des infrastructures :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« Ce que ses prédécesseurs, ayant géré la province, n’ont pas fait. »</span></em></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">En s'adressant aux jeunes, Tshisekedi a souligné les engagements de son second mandat, notamment la promotion de l’entrepreneuriat et la création d’emplois.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une visite stratégique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Accompagné de la Première Dame Denise Nyakeru, Félix Tshisekedi effectue son deuxième déplacement dans le Haut-Katanga en 2024. Cette visite s’inscrit dans la continuité des efforts visant à améliorer les infrastructures, notamment avec le lancement de locomotives de la <strong>Société nationale de chemins de fer (SNCC)</strong> pour relier les zones rurales aux centres urbains.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ce déplacement reflète l’importance stratégique de la province dans les projets économiques et politiques du président, alors que le débat autour de la révision constitutionnelle reste au cœur des préoccupations nationales.</span></p></div>

Politique Félix Tshisekedi défend la révision de la Constitution, exclut un troisième mandat

Lubumbashi, 16 novembre 2024 – Le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi , a réaffirmé que la révision ou le ch...

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Martin Fayulu interpelle Félix Tshisekedi et appelle à l’intervention du pasteur Roland Dalo

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvRJh3bvAvwzewz-GaKaSxAAKPKW6HKlRbyrGZeGzVOcLMjFNShWWwHBx9fpc0fuS2Z12dysKvL9bHhyaTzHF0igOtIXJNigSfVFhIDbuakt-Int48onRiePUK4gTBq-IHIrjj1lUZihUit3J5TpawjlyrFL-Q4u9p3qHTdBGlg0RSlai2MeKY8qZzLECN/s783/Fayulu-a-Lacroix-les-FDLR-cest-le-probleme.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="391" data-original-width="783" height="255" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvRJh3bvAvwzewz-GaKaSxAAKPKW6HKlRbyrGZeGzVOcLMjFNShWWwHBx9fpc0fuS2Z12dysKvL9bHhyaTzHF0igOtIXJNigSfVFhIDbuakt-Int48onRiePUK4gTBq-IHIrjj1lUZihUit3J5TpawjlyrFL-Q4u9p3qHTdBGlg0RSlai2MeKY8qZzLECN/w510-h255/Fayulu-a-Lacroix-les-FDLR-cest-le-probleme.png" width="510" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;"> Dans un contexte de tensions croissantes autour des débats sur une éventuelle révision constitutionnelle, <strong>Martin Fayulu</strong>, leader de l’ECIDE et figure de la plateforme Lamuka, a vivement critiqué les récentes interpellations de manifestants à Kinshasa.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Des arrestations brutales dénoncées</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Jeudi 14 novembre, des manifestations pacifiques contre une modification présumée de la Constitution ont été violemment réprimées par les forces de l’ordre. Parmi les interpellés figuraient notamment <strong>Delly Sesanga</strong> et <strong>Aena Tokwaulu</strong>, dont l’arrestation a été largement relayée sur les réseaux sociaux, suscitant une vague d’indignation.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Fayulu, dans un tweet, a qualifié ces arrestations de :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« violences et abus inacceptables et indignes d’un État de droit ».</span></em></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Des vidéos montrent les forces de l’ordre traînant Sesanga par la ceinture de son pantalon, un geste perçu comme une humiliation publique, renforçant les critiques contre la gestion autoritaire de ces manifestations.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appel au pasteur Roland Dalo</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans un message chargé de symbolisme, Martin Fayulu s’est adressé directement au <strong>pasteur Roland Dalo</strong>, mentor spirituel de Félix Tshisekedi, l’exhortant à intervenir auprès du président.</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« L’orgueil et l’arrogance mènent inévitablement à la chute. Il accomplit actuellement son second et dernier mandat frauduleux. Cela suffit ! »</span></em></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Fayulu a rappelé que lors de l’investiture de Tshisekedi en 2024, le pasteur Dalo avait insisté sur l’importance de travailler pour le bien-être des Congolais. Il appelle aujourd’hui ce dernier à « raisonner » le président, afin qu’il évite de sombrer dans une dérive autoritaire.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un climat politique tendu</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette sortie intervient alors que la question d’une révision constitutionnelle divise profondément la RDC. Fayulu et d’autres opposants accusent Tshisekedi de vouloir modifier le texte fondamental pour prolonger son mandat.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Fayulu a averti des risques d’instabilité :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« D’autres leaders en Afrique ont payé le prix fort pour avoir ignoré les signes. Tshisekedi joue avec le feu. »</span></em></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">La liberté d’expression en danger ?</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les récentes interpellations, combinées à la répression des opposants, suscitent des inquiétudes croissantes sur l’état des libertés démocratiques en RDC. Les organisations de défense des droits de l’homme continuent d’appeler au respect des droits fondamentaux, notamment celui de manifester pacifiquement.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Alors que la pression s’intensifie, la réponse de Félix Tshisekedi et l’attitude des autorités seront déterminantes pour apaiser un climat politique de plus en plus explosif.</span></p>

Politique Martin Fayulu interpelle Félix Tshisekedi et appelle à l’intervention du pasteur Roland Dalo

 Dans un contexte de tensions croissantes autour des débats sur une éventuelle révision constitutionnelle, Martin Fayulu , leader de l’ECIDE...

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LA NOUVELLE VIENT DE TOMBER: ARRESTATION D'AMBONGO, SHOLE ET UTEMBI. LA RDC DECLARE LA GUERRE. COMPLOT KABILA-KATUMBI ET LA ZAMBIE DEVOILE. FATSHI TRES ATTENDUS À KREMLIN, DONALD TRUMP ANNONCE LA FIN DE LA COLLABORATION AVEC LE RWANDA . JEFF BADIBANGA DU 17/11/2024 . ( VIDEO )

<p> </p> <iframe width="653" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/AR4IstInq7Q" title="LA NOUVELLE VIENT DE TOMBER: ARRESTATION D'AMBONGO, SHOLE ET UTEMBI. LA RDC DECLARE LA GUERRE..." frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" allowfullscreen></iframe>

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Félix Tshisekedi : « Le dollar n’est pas notre monnaie, redonnons confiance au franc congolais »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-QV0WkUEa6G1Zhxu8En9lmOeIjzgOpxJL9BORxPLnBGF2r_3vDzNLLyjiUbAIFoN-k5ab57qpxwfQOjCIspPv5ddsShjSVo5XklXpNuN1oAHYWOMb35KojBTv7i6pTI2yEXYL9TUNv8JJOiF9HRUlucyWOxwbLCK-Rq3s7_OyHizwTpVEiq3AEyaG3iie/s814/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2012.54.45%20(3).jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="536" data-original-width="814" height="293" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-QV0WkUEa6G1Zhxu8En9lmOeIjzgOpxJL9BORxPLnBGF2r_3vDzNLLyjiUbAIFoN-k5ab57qpxwfQOjCIspPv5ddsShjSVo5XklXpNuN1oAHYWOMb35KojBTv7i6pTI2yEXYL9TUNv8JJOiF9HRUlucyWOxwbLCK-Rq3s7_OyHizwTpVEiq3AEyaG3iie/w444-h293/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2012.54.45%20(3).jpeg" width="444" /></a></div><p><span style="font-family: arial;">Lors de son déplacement à <strong>Lubumbashi</strong>, le président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a abordé la problématique de la domination du dollar américain dans les transactions financières en RDC.</span></p><p></p><hr /><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la fierté nationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Face à un auditoire attentif, Félix Tshisekedi a souligné l’impact de l’utilisation généralisée du dollar sur l’économie congolaise :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« Le dollar, malheureusement, n’est pas notre monnaie. C’est la monnaie des Américains. Nous avons perdu confiance en notre monnaie locale, le franc congolais. »</span></em></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Le président a ainsi exhorté ses compatriotes à redonner de la valeur au franc congolais, critiquant une dépendance excessive au dollar qui fragilise l’économie nationale.</span></p><hr /><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une confiance à reconstruire</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’utilisation du dollar est profondément enracinée dans les habitudes économiques du pays, notamment en raison de l’instabilité historique du franc congolais. Cette situation reflète une perte de confiance de la population envers la monnaie locale, jugée vulnérable face aux fluctuations économiques.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Tshisekedi a toutefois insisté sur le rôle clé des citoyens dans ce processus de redressement :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« Si vous ne donnez pas de la valeur à notre monnaie, elle continuera à perdre de la valeur face au dollar. Aidez-nous à redonner de la valeur à notre monnaie. »</span></em></p></blockquote><hr /><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une transition difficile mais essentielle</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré les efforts du gouvernement pour renforcer l’usage du franc congolais, notamment à travers des campagnes de sensibilisation et des réformes monétaires, le dollar reste omniprésent dans les transactions commerciales et salariales.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Pour inverser cette tendance, des mesures structurelles seront nécessaires :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Stabiliser le taux de change</strong> : Restaurer la confiance passe par une gestion rigoureuse de l’inflation et du taux de change.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Renforcer l’économie nationale</strong> : Une économie plus diversifiée et résiliente pourrait limiter les fluctuations monétaires.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Promouvoir l’usage du franc congolais</strong> : Imposer son utilisation dans certaines transactions ou secteurs stratégiques.</span></li></ul><hr /><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un défi pour l’avenir économique de la RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La transition vers une économie où le franc congolais est davantage valorisé représente un défi majeur. Mais pour Tshisekedi, il s’agit également d’une question de souveraineté économique et de fierté nationale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le président a ainsi appelé ses concitoyens à s’unir pour relever ce défi, conscient que ce changement prendra du temps mais qu’il est indispensable pour l’avenir du pays.</span></p><p><br /> </p>

Politique Félix Tshisekedi : « Le dollar n’est pas notre monnaie, redonnons confiance au franc congolais »

Lors de son déplacement à Lubumbashi , le président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a abordé la problématique de l...

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Félix Tshisekedi et la modification de la Constitution : une déclaration qui suscite le débat

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipP56nQcocLQA_vfnmQyNcMOhNJh77ZefHQx0Te91NtCQaE6g8D0m_MBJZpn93wLOuYujeiQvndkEfTi1H7Cc8rcAd7N9wykR514Itao5ncydZ5If4ia-k77o9fCsDQou9OO7R3a_AgJjskHeIFx8QXHGAK3m3iWBl2TSjAMtnsqAv3oF2Nl9VMqnYOoml/s809/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2012.54.45%20(2).jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="547" data-original-width="809" height="284" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipP56nQcocLQA_vfnmQyNcMOhNJh77ZefHQx0Te91NtCQaE6g8D0m_MBJZpn93wLOuYujeiQvndkEfTi1H7Cc8rcAd7N9wykR514Itao5ncydZ5If4ia-k77o9fCsDQou9OO7R3a_AgJjskHeIFx8QXHGAK3m3iWBl2TSjAMtnsqAv3oF2Nl9VMqnYOoml/w421-h284/WhatsApp%20Image%202024-11-17%20at%2012.54.45%20(2).jpeg" width="421" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">En visite à Lubumbashi, le président de la République Démocratique du Congo, <strong>Félix Tshisekedi</strong>, a tenu des propos qui ne laissent pas indifférents, affirmant sa détermination face à une éventuelle modification de la Constitution.</span><p></p><p><span style="font-family: arial;"><strong>« Qui est celui-là qui va m’interdire moi, le garant de la Nation, de ne pas modifier la constitution ? »</strong> a déclaré le chef de l’État, marquant ainsi sa volonté d’exercer pleinement ses prérogatives en tant que président.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un contexte de tensions politiques et de débats sur la réforme</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette déclaration intervient dans un climat où la possibilité d’une révision constitutionnelle alimente les débats. Les opposants à cette idée craignent une dérive autoritaire, rappelant des précédents sur le continent où des modifications de la Constitution ont permis à certains dirigeants de prolonger indéfiniment leur mandat.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Félix Tshisekedi, en s’exprimant ainsi, semble vouloir poser les bases d’un éventuel projet de réforme constitutionnelle. Toutefois, il devra convaincre que ses intentions sont alignées avec les intérêts de la Nation et qu'elles ne visent pas à consolider son pouvoir ou à prolonger son mandat au-delà des limites actuelles.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les enjeux d'une modification constitutionnelle en RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La Constitution de la RDC, adoptée en 2006, est considérée comme l’un des piliers de l’ordre démocratique du pays. Une modification pourrait être perçue comme une remise en question de cet équilibre, notamment si elle touche :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>La limitation des mandats présidentiels</strong>, actuellement fixée à deux mandats de cinq ans.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>La répartition des pouvoirs</strong> entre les différentes institutions.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Tshisekedi devra clarifier ses intentions pour apaiser les craintes de la société civile, des partis d’opposition et même de certains membres de sa coalition.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une déclaration stratégique ou un véritable projet ?</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Certains analystes estiment que cette déclaration pourrait être une <strong>stratégie politique</strong> destinée à tester les réactions ou à affirmer son autorité dans un contexte où il cherche à consolider sa position avant les prochaines élections.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Pour d’autres, elle pourrait traduire une <strong>véritable ambition réformatrice</strong>, visant à moderniser certaines dispositions constitutionnelles jugées inadaptées aux défis actuels du pays, tels que la décentralisation, la gestion des ressources ou la répartition des compétences.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réactions et perspectives</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette prise de position risque d’exacerber les tensions entre le pouvoir et l’opposition. Si le président Tshisekedi poursuit dans cette direction, il devra :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>S’appuyer sur un consensus national</strong> en associant les parties prenantes au débat.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Renforcer la transparence</strong> sur les objectifs des éventuelles réformes.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Éviter tout soupçon de manœuvres visant à prolonger son mandat</strong>.</span></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La déclaration de Félix Tshisekedi à Lubumbashi est un signal fort qui montre sa volonté d’assumer pleinement son rôle de leader. Toutefois, elle soulève des interrogations sur les réels objectifs d’une modification constitutionnelle et les implications pour la démocratie congolaise. Le président devra naviguer avec prudence pour éviter de susciter des tensions inutiles dans un pays aux équilibres politiques fragiles.</span></p>

Politique Félix Tshisekedi et la modification de la Constitution : une déclaration qui suscite le débat

En visite à Lubumbashi, le président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi , a tenu des propos qui ne laissent pas indiff...

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Circulation en heure de pointe : les Kinois s’expriment, Bob Amisso répond

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqD-wTA-lZdlj91RkYx9tfxNNzB2CVL9KWK3TeTc5vYhhWjxExu4JCW44q21v2duq7iPnGnZOEHaFYSObrf6-XExphgTII0kurYRavUEk_8fueUsnLVAiw_h9IVxpF801cpZXNBVOp8cWKW4bINSL-3KFI_PKL26t8mYhoCT7g5JCm59_gmulH7Bst5Xk/s739/IMG_2070.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="415" data-original-width="739" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqD-wTA-lZdlj91RkYx9tfxNNzB2CVL9KWK3TeTc5vYhhWjxExu4JCW44q21v2duq7iPnGnZOEHaFYSObrf6-XExphgTII0kurYRavUEk_8fueUsnLVAiw_h9IVxpF801cpZXNBVOp8cWKW4bINSL-3KFI_PKL26t8mYhoCT7g5JCm59_gmulH7Bst5Xk/s320/IMG_2070.jpeg" width="320" /></a></div><br /><div><br /></div> Le ministre provincial des Transports et Mobilité urbaine de Kinshasa, Bob Amisso, a reçu ce vendredi 15 novembre 2024 une délégation de la société civile citoyenne engagée. Cette rencontre visait à soumettre un plaidoyer sur la mesure de sens alterné instaurée pendant les heures de pointe, une initiative du gouvernement provincial pour réduire les embouteillages dans la capitale congolaise. <div><br /></div><div>  <b>Une pétition pour faire entendre les voix des </b></div><div><br /></div><div> La délégation, représentée par Armonie Nsinga, a présenté les résultats d’une pétition citoyenne lancée sur les réseaux sociaux une semaine auparavant. Avec plus de 1 200 signatures et de nombreux commentaires, ce document reflète les préoccupations des usagers de la route concernant l’impact quotidien de la mesure de sens unique. </div><div><br /></div><div> « Nous avons jugé bon de soumettre ces avis au ministre Bob Amisso pour qu’il comprenne ce que les Kinois pensent de cette mesure et de quelle manière elle les affecte au quotidien », a déclaré Armonie Nsinga. </div><div><br /></div><div>  <b>Engagement du ministre à trouver des solutions adaptées</b>  </div><div><br /></div><div>Le ministre Bob Amisso, salué pour son sens d’écoute, a assuré qu’il prendrait en compte les doléances des citoyens pour améliorer la situation. Il a promis une approche inclusive impliquant tous les acteurs concernés afin d’élaborer des solutions adaptées à la réalité quotidienne des habitants de Kinshasa. </div><div><br /></div><div> Par ailleurs, il a annoncé la levée de la mesure du sens unique pour les poids lourds, une décision qui pourrait apporter un certain soulagement aux transporteurs et aux usagers.</div><div><br /></div><div>  <b>Un pas vers une mobilité urbaine améliorée</b> </div><div><br /></div><div> Cette initiative illustre l’importance de la participation citoyenne dans les politiques de mobilité urbaine à Kinshasa. Si la mesure de sens alterné visait à désengorger la capitale, son application reste un sujet de débat. La société civile espère que cette collaboration avec le ministère aboutira à des solutions plus efficaces pour fluidifier la circulation et améliorer le quotidien des Kinois. </div><div><br /></div><div> Les prochaines semaines seront cruciales pour évaluer l’impact des ajustements annoncés par le ministre et mesurer les progrès réalisés dans la gestion de la mobilité urbaine dans une ville en proie à des embouteillages chroniques.</div>

Société Circulation en heure de pointe : les Kinois s’expriment, Bob Amisso répond

Le ministre provincial des Transports et Mobilité urbaine de Kinshasa, Bob Amisso, a reçu ce vendredi 15 novembre 2024 une délégation de la...

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RDC : Vers une révision de la Constitution pour adopter la double nationalité

<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6drxb0VDSNJU_oqdzNJvOtFGdgSjo5VFPIJ8hab0xrq0NAGPs-06rxRF9bBdyp_AClmGE_GdFBIFGHmnBiox4mKrRtJCXp1YavbTg7_MFZooWDYbg2b8KBMvtN03lPyXGQgLVLSyL_73dih4hP4R7GsHDuZdqKp2wVcE_BLHbVwCNvS0xBrYwknlFGj8/s679/IMG_2069.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="452" data-original-width="679" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6drxb0VDSNJU_oqdzNJvOtFGdgSjo5VFPIJ8hab0xrq0NAGPs-06rxRF9bBdyp_AClmGE_GdFBIFGHmnBiox4mKrRtJCXp1YavbTg7_MFZooWDYbg2b8KBMvtN03lPyXGQgLVLSyL_73dih4hP4R7GsHDuZdqKp2wVcE_BLHbVwCNvS0xBrYwknlFGj8/s400/IMG_2069.jpeg" width="400" /></a></div> Les États généraux de la justice, clôturés ce samedi au Palais du Peuple à Kinshasa, ont proposé une réforme majeure : la révision de l’article 10 de la Constitution afin d’autoriser la double nationalité en République démocratique du Congo (RDC). Cette mesure vise à répondre aux aspirations de la diaspora congolaise, tout en prévoyant des mécanismes stricts pour protéger la souveraineté nationale. <div><br /></div><div>  <b>Un compromis entre ouverture et sécurité</b> </div><div><br /></div><div> Actuellement, la Constitution congolaise impose une nationalité unique et exclusive : toute personne acquérant une autre nationalité perd automatiquement sa citoyenneté congolaise. Ce principe, établi pour préserver une identité nationale cohérente, est de plus en plus contesté, notamment par la diaspora, qui représente un atout économique et culturel pour le pays. </div><div><br /></div><div> « L’adoption de la double nationalité vise à refléter les réalités sociopolitiques de notre pays, tout en encadrant strictement son application », a expliqué Aimé Kilolo Musamba, rapporteur général des États généraux. Il a souligné que des sanctions rigoureuses, dont la déchéance de la nationalité pour haute trahison ou atteinte grave à l’État, accompagneraient cette réforme. </div><div><br /></div><div>  <b>Une réforme attendue, mais délicate</b> </div><div><br /></div><div> Si cette proposition est adoptée, elle marquerait une rupture importante avec le système actuel. Toutefois, une telle réforme nécessite une révision constitutionnelle, un processus politiquement sensible qui pourrait générer des débats intenses. La crainte d’une dilution de l’identité congolaise demeure chez certains, malgré les garanties proposées. </div><div><br /></div><div> Les États généraux ont également recommandé de renforcer les mécanismes pour encadrer cette double nationalité, en évitant toute exploitation abusive susceptible de nuire aux intérêts de l’État. </div><div><br /></div><div>  <b>Un tournant pour la diaspora et la justice congolaise</b></div><div><br /></div><div> La reconnaissance de la double nationalité permettrait à la RDC de mieux intégrer sa diaspora, estimée à plusieurs millions de personnes à travers le monde, et d’encourager sa participation au développement national. Cette mesure s’inscrit dans un contexte plus large de réformes ambitieuses visant à restaurer la crédibilité de la justice congolaise, conformément à l’appel lancé par le président Félix Tshisekedi lors de l’ouverture des assises le 6 novembre. </div><div><br /></div><div>Avec plus de 3 500 participants et 359 recommandations formulées, les États généraux de la justice ont mis en lumière des réformes nécessaires pour moderniser le système judiciaire congolais. La révision de l’article 10 de la Constitution pour introduire la double nationalité sera un test déterminant pour la volonté de changement du gouvernement.</div>

Politique RDC : Vers une révision de la Constitution pour adopter la double nationalité

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RDC : Vers la création d’un parquet financier pour lutter contre la corruption et l’impunité

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIqvrEtVY_F0CrfiN-OngzPNawGIu-F2mcMXr148lQrbkO1O0HeBuI1WaF19arQTN1FJ1ynjyRGQPOnK0XsHs5v5k3SXbrlXCgInsweVZXY3O10W-oOJiGj9HuoFVEUMHa_RzJzrRYuCaNzvR5t6kmz9V3ZJQ5-eIffn_cP9fqWWyv5N4vgZfzunXbU-Y/s1024/E5EC0739-E459-4BBA-95F9-52D8407BDA73.webp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1024" data-original-width="1024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIqvrEtVY_F0CrfiN-OngzPNawGIu-F2mcMXr148lQrbkO1O0HeBuI1WaF19arQTN1FJ1ynjyRGQPOnK0XsHs5v5k3SXbrlXCgInsweVZXY3O10W-oOJiGj9HuoFVEUMHa_RzJzrRYuCaNzvR5t6kmz9V3ZJQ5-eIffn_cP9fqWWyv5N4vgZfzunXbU-Y/s320/E5EC0739-E459-4BBA-95F9-52D8407BDA73.webp" width="320" /></a></div><br /><div><br /></div> Les États généraux de la justice, clôturés ce samedi au Palais du Peuple à Kinshasa, ont marqué un tournant décisif dans la lutte contre la corruption et l’impunité en République démocratique du Congo (RDC). Parmi les principales recommandations figure la création d’un parquet financier spécialisé dans la répression des crimes économiques et financiers, une réforme clé dans la politique de tolérance zéro prônée par le gouvernement. <div><br /></div><div> <b>Un outil stratégique contre les crimes économiques </b></div><div><br /></div><div> Ce parquet financier, conçu comme un organe central, aurait pour mission d’enquêter et de poursuivre les auteurs de détournements de fonds publics et d’actes de corruption. Les participants aux États généraux ont également proposé la création de chambres spécialisées pour juger ces infractions complexes, afin de combler les failles du système judiciaire actuel. </div><div><br /></div><div> « La mise en place de ce parquet est indispensable pour restaurer la confiance du peuple congolais en la justice », a déclaré Aimé Kilolo Musamba, rapporteur général des États généraux. Il a également insisté sur la nécessité de publier systématiquement dans le Journal Officiel les sanctions disciplinaires infligées aux magistrats corrompus, une mesure visant à renforcer la transparence. </div><div><br /></div><div><b> Une stratégie nationale en attente d’exécution </b></div><div><br /></div><div> Les débats ont également mis en lumière l’urgence d’accélérer l’adoption et la mise en œuvre d’une stratégie nationale de lutte contre la corruption, déjà validée par le Conseil des ministres. Cette stratégie coordonnerait les efforts des différentes institutions et garantirait une application rigoureuse des lois anticorruption.</div><div><br /></div><div> Jules Alingete Key, Inspecteur Général des Finances, a soutenu cette initiative en rappelant en février dernier l’importance d’un parquet financier pour traiter efficacement les dossiers de corruption. « Nous avons besoin de magistrats spécialisés pour traiter ces affaires complexes », a-t-il affirmé, tout en appelant à l’opérationnalisation rapide de ce projet. </div><div><br /></div><div> <b>Garantir l’indépendance judiciaire </b></div><div><br /></div><div> Toutefois, certaines voix ont exprimé des préoccupations concernant l’indépendance du pouvoir judiciaire. Les propositions incluent des garanties pour protéger le parquet financier des interférences politiques, afin qu’il puisse agir avec impartialité et efficacité. </div><div><br /></div><div> La création de ce parquet financier, si elle est mise en œuvre, pourrait représenter un pas décisif dans la lutte contre la corruption et l’impunité en RDC. Elle répondrait à une attente forte de la population congolaise et contribuerait à rétablir la crédibilité du système judiciaire, essentielle pour le développement et la stabilité du pays.</div>

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Chancel Mbemba prêt à quitter l’OM : “Gloire à Dieu”

<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhw-0wLrI2bRGXVWaFoDAKyG9rcBCgBW9wChtVqW3cJMzGB6s2lAmahtDtSVvG8MuLFzTWyZxUmomsOcMMnsE2OigIc2ryf8klHG-hfq_wBRa8IIN5qtJ7vRNAQrcitHHThpdvvnEdLY-auS0h7HIZTxpniXfZaJxW29CdoXyYikjbUG_Z-4O3tJroz0X4/s739/IMG_2067.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="415" data-original-width="739" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhw-0wLrI2bRGXVWaFoDAKyG9rcBCgBW9wChtVqW3cJMzGB6s2lAmahtDtSVvG8MuLFzTWyZxUmomsOcMMnsE2OigIc2ryf8klHG-hfq_wBRa8IIN5qtJ7vRNAQrcitHHThpdvvnEdLY-auS0h7HIZTxpniXfZaJxW29CdoXyYikjbUG_Z-4O3tJroz0X4/s400/IMG_2067.jpeg" width="400" /></a></div> La situation de Chancel Mbemba à l’Olympique de Marseille semble toucher à sa fin. Selon les informations recueillies, les dirigeants marseillais poussent désormais le défenseur international congolais vers la sortie, malgré un contrat qui le lie au club jusqu’en 2025. <div><br /></div><div> Interrogé sur son avenir, le capitaine de la RD Congo n’a pas caché son intention de partir dès le mercato hivernal de janvier : « J’ai un contrat avec Marseille. J’espère qu’en janvier, si Dieu le veut, [je pourrai trouver un autre club]. Gloire à Dieu », a-t-il déclaré avec résignation. </div><div><br /></div><div>  <b>Un joueur écarté des plans du club</b> </div><div><br /></div><div> Titulaire indiscutable la saison dernière, Mbemba n’entre plus dans les plans de l’entraîneur Igor Tudor. Cette situation reflète les nombreux changements au sein de l’effectif marseillais depuis le début de la saison, laissant l’international congolais sur la touche. </div><div><br /></div><div> Pour Chancel Mbemba, cette mise à l’écart est le résultat d’intérêts divergents au sein du club : « Sur cette terre, les humains sont compliqués. Chacun regarde ses intérêts. Mais le plus important, je fais mon boulot pour satisfaire tout le monde », a-t-il confié, affichant une attitude professionnelle malgré les tensions. </div><div><br /></div><div>  <b>Une nouvelle page à écrire</b> </div><div><br /></div><div> Alors qu’il était l’un des cadres de la défense marseillaise, Mbemba devra désormais se relancer dans un nouveau projet. Sa situation actuelle semble irréversible, et l’international congolais est déterminé à trouver un nouveau challenge dès cet hiver. </div><div><br /></div><div> Cette éventuelle séparation marque un tournant dans la carrière de Chancel Mbemba, qui devra prouver sa valeur ailleurs. Pour l’OM, il s’agit d’un choix stratégique ; pour Mbemba, d’une nouvelle opportunité à saisir. Les prochaines semaines seront décisives pour l’avenir du défenseur.</div>

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La situation de Chancel Mbemba à l’Olympique de Marseille semble toucher à sa fin. Selon les informations recueillies, les dirigeants mars...

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Fally Ipupa : le héros qui a brisé l’embargo des concerts congolais en Europe

<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZl2EnJpRWxn22xq_cPFRkCCb_eZmLRPXkk8aIg2XYkA4XEvArdzow7Qg6oqjz5ti32xpu0EgbvdHde17YEJtJY00BCTqd-yZuLzXtXXEHEWyf0i_GjkUygJ5Oz89Vpe7M_heVxt0DRQkkRle37t-kPx_RIzc1zMelyjA_vT7KCdlPm-LppvtILwRySg0/s2048/IMG_2066.jpeg" style="display: block; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="1536" data-original-width="2048" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZl2EnJpRWxn22xq_cPFRkCCb_eZmLRPXkk8aIg2XYkA4XEvArdzow7Qg6oqjz5ti32xpu0EgbvdHde17YEJtJY00BCTqd-yZuLzXtXXEHEWyf0i_GjkUygJ5Oz89Vpe7M_heVxt0DRQkkRle37t-kPx_RIzc1zMelyjA_vT7KCdlPm-LppvtILwRySg0/s400/IMG_2066.jpeg" width="400" /></a></div> Hier soir, au Dôme de Marseille, Fally Ipupa a offert à son public un concert mémorable, marqué par une célébration spéciale : la victoire sur l’interdiction des prestations d’artistes congolais en Europe. S’adressant à ses fans, la star de la rumba congolaise a exprimé sa fierté et son rôle décisif dans ce combat.<div><br /></div><div> « Avez-vous vu comment j’ai redonné du goût aux concerts congolais en Europe ? J’ai ramené de l’ambiance et les concerts congolais ici, bravo à nous », a-t-il déclaré, sous les applaudissements. </div><div><br /></div><div> Fally Ipupa faisait allusion à un embargo imposé en 2011 par des opposants politiques de la diaspora congolaise, qui avait restreint les prestations scéniques des artistes congolais en Europe. Cette interdiction a pesé lourd sur la scène musicale congolaise pendant plusieurs années, jusqu’à ce que l’artiste décide de relever le défi. </div><div><br /></div><div>  <b>Un combat historique</b> </div><div><br /></div><div> Le chanteur a rappelé un moment clé de ce combat : le concert du 28 février 2020 à Paris Gare du Nord, organisé malgré les restrictions. Ce concert a marqué le début de la fin de l’embargo, un processus qui s’est concrétisé en 2023 grâce à une tournée triomphale dans des salles prestigieuses comme Paris La Défense Arena, ING Arena à Bruxelles, et à Londres. </div><div><br /></div><div> « Bravo à nous », a répété Fally Ipupa, soulignant que cette victoire dépasse sa carrière personnelle. Elle représente une reconnaissance pour toute une génération d’artistes congolais, longtemps privés de leur public européen. </div><div><br /></div><div> <b>Une scène africaine en pleine expansion </b></div><div><br /></div><div> La performance de Fally Ipupa hier soir à Marseille a confirmé l’engouement renouvelé pour la musique congolaise en Europe. Le public, en communion avec l’artiste, a célébré cette nouvelle ère où les talents africains peuvent librement partager leur art. </div><div><br /></div><div> Fally Ipupa, surnommé le King de la rumba congolaise, continue ainsi de défendre et de promouvoir la culture de son pays à l’échelle mondiale. Cette soirée au Dôme restera comme un symbole de résilience et d’espoir pour les artistes africains, désormais libres de faire vibrer les scènes européennes.</div>

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Hier soir, au Dôme de Marseille, Fally Ipupa a offert à son public un concert mémorable, marqué par une célébration spéciale : la victoire...

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Cristiano Ronaldo annonce une possible retraite dans un ou deux ans

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxOze4pHhDNuymV8N0vj7dy8US3psY4LdzCILEVF5cDhLFP5uDfjIJptsaIAqcmgFf1yrRoAWsW5fY3AQKk7Y97NjzdmqGSKef5lUZJNWcu1_Zqcvqb7QFlDeNTP-XR9684-zriCCAI8Hv_cBAXNaTAksW8Gm4HuKFsJ8FKGiAqn6upjyB2LZuJzy5HBo/s500/IMG_2065.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxOze4pHhDNuymV8N0vj7dy8US3psY4LdzCILEVF5cDhLFP5uDfjIJptsaIAqcmgFf1yrRoAWsW5fY3AQKk7Y97NjzdmqGSKef5lUZJNWcu1_Zqcvqb7QFlDeNTP-XR9684-zriCCAI8Hv_cBAXNaTAksW8Gm4HuKFsJ8FKGiAqn6upjyB2LZuJzy5HBo/s320/IMG_2065.jpeg" width="256" /></a></div><br /><div><br /></div><div><br /></div> Vendredi soir, après la victoire écrasante du Portugal contre la Pologne (5-1) en Ligue des Nations, Cristiano Ronaldo a laissé entendre que la fin de sa carrière approche. Dans une déclaration émouvante en zone mixte, le quintuple Ballon d’Or a annoncé : « Je planifie ma retraite et cela arrivera dans un an ou deux. » <div><br /></div><div> Malgré ses 909e et 910e buts inscrits lors de ce match, l’attaquant de 39 ans, aujourd’hui joueur d’Al Nassr, semble prêt à envisager l’après-football. « Il s’agit de profiter du moment présent et du football. Quand je ne serai plus motivé pour aller à l’entraînement ou jouer, ce sera le moment d’arrêter », a-t-il expliqué.<div><br /></div><div> Cristiano Ronaldo, qui deviendra quadragénaire d’ici deux ans, savoure chaque instant sur le terrain. Mais il reste profondément attaché à son équipe nationale : « Ce que j’aime le plus, c’est jouer pour le Portugal. »</div><div><br /></div><div> Cette annonce marque une étape importante dans l’histoire d’un joueur qui a tout remporté, de la Ligue des Champions à l’Euro 2016. Ses fans auront encore quelques occasions de le voir briller avant qu’il ne mette un terme à sa carrière légendaire. Une ère touche à sa fin, mais son héritage restera à jamais gravé dans l’histoire du football mondial.</div></div>

Sport Cristiano Ronaldo annonce une possible retraite dans un ou deux ans

Vendredi soir, après la victoire écrasante du Portugal contre la Pologne (5-1) en Ligue des Nations, Cristiano Ronaldo a laissé entendre qu...

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URGENT🚨LES COMPLICES DE CORNEILLE NANGAA AUX ARRETS. LA VERITE ECLATE, LES M23 BOMBARDES COMME DES MOUCHES. VITAL KAMERHE CHERCHE À DIVISER L'UNION SACREE . PRESIDENT RENE DU 16/11/2024 . ( VIDEO )

<p> </p> <iframe width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/OcLY0DVH9PE" title="RENE: URGENT🚨LES COMPLICES DE NANGAA AUX ARRETS. LA VERITE ECLATE, LES M23 BOMBARDES COMME DES..." frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" allowfullscreen></iframe>

infos en vidéos Politique URGENT🚨LES COMPLICES DE CORNEILLE NANGAA AUX ARRETS. LA VERITE ECLATE, LES M23 BOMBARDES COMME DES MOUCHES. VITAL KAMERHE CHERCHE À DIVISER L'UNION SACREE . PRESIDENT RENE DU 16/11/2024 . ( VIDEO )

 

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Sénat : L’Écofin dispose de sept jours pour examiner les projets de loi de reddition des comptes 2023 et de finances rectificative 2024

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGfahhmGqedK_YELBEsOJEJ29ZWoomHFWG8pWO5Dr-FGYmRz_G98pzwB2OgDSQKUFnFga7H7qdoSzqhXhM5V7PBZR8Y20eSnGvZ2NVDsr6keeGpBWNaTCmFRXhBvn9FEzK1xpoTw10nn2rhYFTOmB6KZ_m8GjcCncj-AfYIMXROHzOgb0Dt-M0WV1Dqr0N/s800/Doudou%20au%20s%C3%A9nat.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="306" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGfahhmGqedK_YELBEsOJEJ29ZWoomHFWG8pWO5Dr-FGYmRz_G98pzwB2OgDSQKUFnFga7H7qdoSzqhXhM5V7PBZR8Y20eSnGvZ2NVDsr6keeGpBWNaTCmFRXhBvn9FEzK1xpoTw10nn2rhYFTOmB6KZ_m8GjcCncj-AfYIMXROHzOgb0Dt-M0WV1Dqr0N/w407-h306/Doudou%20au%20s%C3%A9nat.jpg" width="407" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le Sénat de la République démocratique du Congo a repris, jeudi 14 novembre, l’examen des projets de loi portant reddition des comptes 2023 et finances rectificative 2024, après une suspension due à l’absence du rapport de la Cour des comptes. Ce document, indispensable pour l’analyse des comptes, a été transmis aux sénateurs, leur laissant les 48 heures réglementaires pour l’examiner. Ces textes, présentés par les ministres Aimé Boji (Budget) et Doudou Fwamba (Finances), ont suscité un débat animé et de nombreuses critiques.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Présentation des projets de loi par le Gouvernement</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;"><strong>1. Loi de finances rectificative 2024 : un ajustement nécessaire</strong><br />Le ministre Aimé Boji a expliqué que ce projet de loi répond à des besoins découlant de nouvelles ressources générées par le Gouvernement. Parmi celles-ci figurent :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>300 millions USD par an sur 15 ans</strong>, issus de la renégociation du contrat chinois ;</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>15 millions d’euros</strong>, octroyés par l’Agence française de développement en appui budgétaire.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Ces fonds supplémentaires permettent de rehausser le budget 2024, avec un taux d’accroissement de <strong>8,4 %</strong>. Le nouveau budget s’élève à <strong>44 410,1 milliards de FC</strong> (15,8 milliards USD), contre 40 986 milliards initialement.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La majeure partie de ces ressources sera consacrée à l’investissement, conformément à la vision du Gouvernement de stimuler le développement à travers des infrastructures et des services publics renforcés.</span></p><p><span style="font-family: arial;"><strong>2. Loi de reddition des comptes 2023 : des performances en demi-teinte</strong><br />Le ministre Doudou Fwamba a présenté les résultats de l’exécution du budget 2023. Votée à hauteur de <strong>32 456,78 milliards de FC</strong>, la loi de finances 2023 a permis de réaliser des recettes équivalentes à <strong>91,22 %</strong> de l’objectif fixé, soit <strong>29 607,09 milliards de FC</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les dépenses, quant à elles, ont atteint un taux d'exécution de <strong>96,49 %</strong>, avec <strong>13 316,23 milliards de FC</strong>. Cependant, ces chiffres masquent des failles importantes dans la gestion budgétaire.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Observations et critiques des sénateurs</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les sénateurs ont exprimé des préoccupations majeures sur les deux projets, à la lumière du rapport de la Cour des comptes. Parmi les critiques soulevées :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Dépassements budgétaires</strong> dans plusieurs portefeuilles ministériels ;</span></li><li><span style="font-family: arial;">Paiement de <strong>dettes non certifiées</strong> ;</span></li><li><span style="font-family: arial;">Inclusion de projets prétendument réalisés alors qu’aucun travail n’a été effectué sur le terrain ;</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Inopérationnalisation de la Caisse nationale de péréquation</strong>, un outil essentiel pour réduire les inégalités provinciales.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Ces observations ont conduit certains sénateurs à demander des sanctions contre les responsables des fautes de gestion et à proposer une enquête approfondie pour déterminer les responsabilités.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Vers des mesures correctives ?</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pour pallier ces dysfonctionnements, les députés de l’Assemblée nationale ont déjà initié une commission d’enquête. L’objectif est d’identifier les auteurs des irrégularités et de proposer des solutions pour renforcer la gestion des finances publiques à l’avenir.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Avec sept jours impartis à la commission Écofin pour finaliser l’examen des deux textes, l’enjeu est double : assurer une gestion rigoureuse des ressources publiques et rétablir la confiance des citoyens envers les institutions financières.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un défi pour la transparence et la gouvernance</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Ces débats autour des finances publiques reflètent les défis auxquels fait face le Gouvernement pour instaurer une gestion plus responsable et transparente. Les décisions à venir, tant sur l’approbation des projets de loi que sur les sanctions éventuelles, seront déterminantes pour l’avenir de la gouvernance économique en RDC.</span></p>

Economie Sénat : L’Écofin dispose de sept jours pour examiner les projets de loi de reddition des comptes 2023 et de finances rectificative 2024

Le Sénat de la République démocratique du Congo a repris, jeudi 14 novembre, l’examen des projets de loi portant reddition des comptes 2023 ...

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RN4 Kisangani-Komanda-Beni : un projet de 1,453 milliard USD toujours au point mort

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQfXCrbp3Cdh-NMih8QlxR8-K4pzL9mT6MNveEQHK9rmPCQS9yojgtkUTKte7lPEQ-R6cTQkjc4NOOC2r7H_etqWCNSuk2yXNTDxXYSgIevyTrifNox9pdhlDNmv88E3eVfR7MwekI_oAwi75EJjj5t0378_WU2m33b_ssuQfYKQ9hyTUu-2Y41Yq9d5dW/s711/ituri_route_bunia_mahagi_19_000_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="248" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQfXCrbp3Cdh-NMih8QlxR8-K4pzL9mT6MNveEQHK9rmPCQS9yojgtkUTKte7lPEQ-R6cTQkjc4NOOC2r7H_etqWCNSuk2yXNTDxXYSgIevyTrifNox9pdhlDNmv88E3eVfR7MwekI_oAwi75EJjj5t0378_WU2m33b_ssuQfYKQ9hyTUu-2Y41Yq9d5dW/w372-h248/ituri_route_bunia_mahagi_19_000_jpg_711_473_1.jpeg" width="372" /></a></div><br /> <p></p><p><span style="font-family: arial;">La RN4, axe stratégique reliant les provinces de la Tshopo, de l’Ituri et du Nord-Kivu, est aujourd’hui synonyme de calvaire pour les usagers. Cette route, vitale pour l'économie congolaise et les échanges commerciaux avec l’Afrique de l’Est, est dans un état de délabrement avancé. Les travaux de reconstruction, annoncés avec grand espoir, peinent à démarrer, malgré une évaluation budgétaire colossale de <strong>1,453 milliard USD</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une route essentielle mais négligée</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La RN4, longue de 850 km, joue un rôle crucial en reliant l’intérieur du pays aux corridors commerciaux qui mènent vers l’Ouganda et l’océan Indien. Cependant, faute d’entretien depuis plusieurs années, elle est devenue impraticable. Les camions transportant des denrées alimentaires et des marchandises se retrouvent embourbés ou immobilisés pendant des jours, voire des semaines, perturbant les approvisionnements dans les villes comme Kisangani.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Selon le ministre des Infrastructures et Travaux publics, Alexis Gisaro, l'étude de faisabilité a été achevée et un contrat signé avec <strong>China Communications Construction Company (CCCC)</strong>. Pourtant, le principal obstacle reste la mobilisation des financements.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les défis financiers du projet</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Initialement, le financement du projet devait être assuré à <strong>85 % par CCCC via EximBank of China</strong> et à <strong>15 % par le Gouvernement congolais</strong>. Mais la partie chinoise a réduit sa contribution à <strong>50 %</strong>, obligeant le gouvernement à renégocier les termes du contrat. Ce changement, inattendu, a retardé le démarrage des travaux, alors que la situation sur le terrain continue de se détériorer.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le ministre a souligné la nécessité de trouver des solutions rapides pour sécuriser les fonds manquants, sans toutefois avancer de calendrier précis.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conséquences économiques et sociales</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’état déplorable de la RN4 entraîne des répercussions économiques graves, notamment sur les prix des denrées alimentaires.</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Augmentation des prix des haricots à Kisangani</strong> : Le haricot rouge, auparavant vendu à 2000 FC le kilo, coûte désormais 4000 FC, tandis que le haricot vert atteint 9000 FC le kilo, contre 4000 FC auparavant.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Blocage des marchandises</strong> : Des centaines de camions sont immobilisés sur l’axe Ituri-Kisangani, rendant difficile l’approvisionnement des marchés.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Perturbation des échanges commerciaux</strong> : Les produits manufacturés provenant de l’Afrique de l’Est via Beni arrivent au compte-gouttes, accentuant la précarité économique.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Promesses renouvelées, mais la population s’impatiente</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le président Félix Tshisekedi, lors de sa visite récente à Kisangani, a renouvelé l’engagement du gouvernement à reconstruire cette route stratégique. Pourtant, les habitants et les commerçants expriment leur frustration face à l’inaction prolongée.</span></p><p><span style="font-family: arial;">« Nous souffrons énormément à cause de cette route », a déclaré une commerçante de Kisangani, appelant le gouvernement à accélérer le financement des travaux.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Lancement symbolique sans suivi concret</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La cérémonie de lancement des travaux, organisée en grande pompe à Kisangani, avait suscité un espoir immense. Mais plusieurs mois après, la RN4 reste une plaie ouverte dans le réseau routier congolais.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement est désormais confronté à une double urgence : mobiliser les financements nécessaires pour ce projet et restaurer la confiance des populations touchées par cette crise logistique.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un chantier test pour la gouvernance</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La RN4 est bien plus qu’une route : c’est un baromètre de la capacité du gouvernement à gérer des projets d’envergure nationale. Si le projet de réhabilitation aboutit, il pourrait devenir un modèle pour d'autres infrastructures vitales en RDC. Mais pour l’instant, l’attente se prolonge, alimentant l’inquiétude et la colère des communautés affectées.</span></p>

Economie RN4 Kisangani-Komanda-Beni : un projet de 1,453 milliard USD toujours au point mort

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RDC : Dan Gertler sur le point de quitter les actifs congolais, selon le ministre des Hydrocarbures

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEicvIqf6CA8uk9OIhbz1h8rKxD8UZkRD34dmKzUbNv9hlfSLA521oNxcH_TvCIJohMvJFLV-1QVQpVLYz_E9fbyKL9tCVtSINizDrjbq0ZojzhOI0Rm9gFwDPXkmzBT1hECKPk_U3qYT7nA9sxgY4sxXxSabVI857CfxWFTEKct7gsbBStAQ2pb08XtiejD/s1080/MolDE.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1080" height="278" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEicvIqf6CA8uk9OIhbz1h8rKxD8UZkRD34dmKzUbNv9hlfSLA521oNxcH_TvCIJohMvJFLV-1QVQpVLYz_E9fbyKL9tCVtSINizDrjbq0ZojzhOI0Rm9gFwDPXkmzBT1hECKPk_U3qYT7nA9sxgY4sxXxSabVI857CfxWFTEKct7gsbBStAQ2pb08XtiejD/w418-h278/MolDE.jpeg" width="418" /></a></div><br /> <p></p><p><span style="font-family: arial;">Le ministre des Hydrocarbures de la République démocratique du Congo (RDC), <strong>Aimé Molendo Sakombi</strong>, a annoncé le <strong>désengagement imminent</strong> de l’homme d’affaires israélien <strong>Dan Gertler</strong> des actifs miniers et pétroliers du pays. Cette déclaration, faite lors du forum Makutano à Kinshasa, marque une étape cruciale dans la récupération par l’État congolais de ses ressources naturelles.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un retrait attendu de longue date</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">« Je peux confirmer que le processus touche à sa fin. D’ici quelques semaines, le groupe Ventora [de Dan Gertler] sera complètement désintéressé de tous les actifs congolais », a déclaré le ministre. Cette annonce fait suite à l’accord signé en <strong>février 2022</strong> entre le gouvernement congolais et Ventora, visant à résoudre les différends et permettre à la RDC de récupérer la pleine propriété de ses actifs.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cet accord, bien qu'initialement salué par le gouvernement comme une victoire, a suscité des critiques de la société civile, notamment de la coalition <strong>“Le Congo n’est pas à vendre”</strong>, qui l’a qualifié de déséquilibré et défavorable à la RDC. Les organisations dénoncent notamment les <strong>60 millions USD de royalties</strong> perçus par Dan Gertler depuis la signature de l’accord, et estiment que les termes du protocole manquent de transparence.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un contexte de souveraineté économique renforcée</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette confirmation intervient alors que la RDC multiplie les efforts pour reprendre le contrôle de ses ressources naturelles, essentielles à son développement. L’implication de Dan Gertler dans le secteur minier congolais, souvent critiquée pour son opacité, a fait l’objet de controverses internationales et nationales.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L’homme d’affaires est notamment accusé d’avoir bénéficié d’accords préférentiels qui auraient privé le pays de <strong>millions de dollars de revenus</strong>. Ces accusations ont valu à Dan Gertler des sanctions des États-Unis, bien que certaines aient été temporairement levées sous l’administration Trump.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un pas vers plus de transparence ?</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le retrait de Dan Gertler est perçu comme une opportunité pour la RDC de rétablir la transparence et l’équité dans la gestion de ses ressources naturelles. Cependant, les observateurs restent prudents.</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Questions sur l’accord de retrait</strong> : Les détails de l'accord restent flous pour de nombreux acteurs, en particulier sur l’utilisation future des actifs récupérés et sur les compensations éventuelles octroyées à Dan Gertler.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Impact sur les finances publiques</strong> : La société civile attend de voir comment ces ressources pourront désormais profiter directement à la population congolaise, notamment à travers des projets de développement.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Vers une nouvelle ère pour le secteur extractif congolais ?</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le départ de Dan Gertler pourrait marquer le début d’une nouvelle approche dans la gestion des ressources naturelles de la RDC. Alors que le pays s’efforce de maximiser les bénéfices de ses richesses minières et pétrolières, cette étape est perçue comme un signal fort en faveur de la souveraineté économique.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cependant, des défis demeurent. La RDC devra s’assurer que cette reprise se traduit par une gestion plus transparente et efficace des ressources, afin de répondre aux attentes de la population et des investisseurs, tout en renforçant sa crédibilité sur la scène internationale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La société civile, de son côté, promet de rester vigilante pour que ce désengagement soit réellement synonyme d’un nouveau départ.</span></p>

Politique RDC : Dan Gertler sur le point de quitter les actifs congolais, selon le ministre des Hydrocarbures

  Le ministre des Hydrocarbures de la République démocratique du Congo (RDC), Aimé Molendo Sakombi , a annoncé le désengagement imminent de...

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RDC : Jean-Pierre Lihau et l’IGF unissent leurs efforts pour assainir la gestion des fonctionnaires de l’État

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEib-cI8_twadlXgd3PlO_5x7GAfSm8VT4DQWo3ausm824B9yosT_L0ZU2re7qachSkUiyTyL1liGDIRhMnMDrYcP-WkuCj8b1JrmKoOpvrGYljQ4T7UJwMgtwydY4nDAcpN1t4SHNH1RTn3aK-1B_qPF_Feqie2n7BNjD2l_4k1KmSOAGeWZEgJonb1zgwm/s800/WhatsApp%20Image%202024-10-08%20at%2019.10.36.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEib-cI8_twadlXgd3PlO_5x7GAfSm8VT4DQWo3ausm824B9yosT_L0ZU2re7qachSkUiyTyL1liGDIRhMnMDrYcP-WkuCj8b1JrmKoOpvrGYljQ4T7UJwMgtwydY4nDAcpN1t4SHNH1RTn3aK-1B_qPF_Feqie2n7BNjD2l_4k1KmSOAGeWZEgJonb1zgwm/s320/WhatsApp%20Image%202024-10-08%20at%2019.10.36.jpeg" width="320" /></a></div><br /> <p></p><p><span style="font-family: arial;">Jean-Pierre Lihau Ebua, Vice-Premier ministre et ministre de la Fonction publique, de la Modernisation de l’administration et de l’Innovation des services publics, s’est engagé avec l’Inspection Générale des Finances (IGF), dirigée par Jules Alingete Key, dans une nouvelle initiative visant à assainir le fichier des fonctionnaires de l’État.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Lors d’une séance de travail tenue le <strong>7 novembre</strong>, les deux personnalités ont convenu de renforcer la collaboration entre leurs institutions pour éliminer les <strong>anomalies</strong> persistantes dans la gestion des ressources humaines de l’État, en particulier celles liées aux <strong>budgets annexes</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un plan ambitieux pour un fichier plus rigoureux</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le partenariat entre le ministère de la Fonction publique et l’IGF vise à :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Identifier et supprimer les fonctionnaires fictifs</strong> dans le fichier national,</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Traiter les doublons</strong>,</span></li><li><span style="font-family: arial;">Améliorer la transparence dans la gestion des budgets annexes, souvent considérés comme des sources majeures d’irrégularités.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Selon Jules Alingete, cette mission s’effectuera avec la participation active de l’Inspection Générale de l’Administration Publique (IGAP).</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« Nous devons commencer ce travail, même si nous ne savons pas encore quand il prendra fin. L’essentiel est d’entamer ce processus avec fermeté et dans le respect des lois », a-t-il affirmé.</span></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un contexte de réforme salariale et de retraite encadrée</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Outre l’assainissement des fichiers, les discussions ont abordé les <strong>inégalités salariales</strong> au sein de la fonction publique et la mise en place d’une politique salariale équitable. Cette réforme vise à garantir que seuls les <strong>véritables fonctionnaires</strong> soient rémunérés, permettant ainsi au gouvernement de rationaliser ses dépenses.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La question de la retraite des inspecteurs généraux des finances a également été évoquée. Bien que certains agents soient proches de l’âge de la retraite, leur maintien temporaire est jugé crucial pour accompagner les jeunes inspecteurs récemment recrutés.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un engagement pour une administration publique moderne</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de modernisation de l’administration congolaise, visant à :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;">Renforcer la <strong>transparence</strong> et la <strong>responsabilité</strong> dans la gestion des ressources humaines,</span></li><li><span style="font-family: arial;">Optimiser l’utilisation des ressources financières de l’État,</span></li><li><span style="font-family: arial;">Améliorer la <strong>confiance des citoyens</strong> envers les institutions publiques.</span></li></ol><p><span style="font-family: arial;">Jean-Pierre Lihau et Jules Alingete ont réitéré leur volonté de mener à bien ce projet avec loyauté et rigueur. La collaboration entre leurs institutions est vue comme un modèle pour d’autres secteurs.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Défis à surmonter</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré l’enthousiasme affiché, plusieurs défis demeurent :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Le <strong>nettoyage des fichiers</strong> des budgets annexes, souvent opaques, nécessitera une vigilance accrue,</span></li><li><span style="font-family: arial;">Les <strong>résistances internes</strong> aux réformes pourraient freiner la mise en œuvre rapide des changements.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Toutefois, la détermination affichée par les responsables augure des avancées significatives pour une administration publique plus efficace et crédible.</span></p>

Politique RDC : Jean-Pierre Lihau et l’IGF unissent leurs efforts pour assainir la gestion des fonctionnaires de l’État

  Jean-Pierre Lihau Ebua, Vice-Premier ministre et ministre de la Fonction publique, de la Modernisation de l’administration et de l’Innovat...

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La RDC : un cauchemar persistant pour le Syli national guinéen

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiY-fDwhtuSv7H1P6usDjEBo5C4TT2PZ_stHmmIbg1HYF570oM7He2lBI3YS9K2a98g2zLRC1MQ7nW-qsh6bVTyT26NiEX5K_NSJ_JDe0JyNKwOTwr9KNIw-LbQEhP1OcZGx7GeTwNAwLo8M58VuT-X70QbrU1CwIjMeTKNW_BIELFPIrObT30hiuhv3kkO/s1024/Guinee-RDC.webp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="576" data-original-width="1024" height="241" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiY-fDwhtuSv7H1P6usDjEBo5C4TT2PZ_stHmmIbg1HYF570oM7He2lBI3YS9K2a98g2zLRC1MQ7nW-qsh6bVTyT26NiEX5K_NSJ_JDe0JyNKwOTwr9KNIw-LbQEhP1OcZGx7GeTwNAwLo8M58VuT-X70QbrU1CwIjMeTKNW_BIELFPIrObT30hiuhv3kkO/w428-h241/Guinee-RDC.webp" width="428" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Samedi 16 novembre, la Guinée et la République Démocratique du Congo (RDC) se retrouvent dans un affrontement crucial des éliminatoires de la CAN 2025. Mais pour le Syli national, cette rencontre s’annonce redoutable, tant les statistiques penchent en faveur des Léopards congolais.</span><p></p><p><span style="font-family: arial;">Depuis près de deux décennies, la RDC a largement dominé la Guinée. Sur les 9 dernières confrontations, les Léopards ont décroché 7 victoires, incluant une série impressionnante de 4 succès consécutifs. La dernière victoire guinéenne remonte à la CAN 2004 en Tunisie, soit près de 20 ans.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les hommes de Florent Ibenge, déjà qualifiés pour la CAN 2025, aborderont ce match avec confiance et ambition, motivés à poursuivre leur hégémonie sur leurs adversaires. De leur côté, les Guinéens sont dans une situation délicate : ils jouent leur survie dans ces éliminatoires, en pleine compétition avec la Tanzanie pour une précieuse place qualificative.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Historiquement, seuls deux matchs entre ces deux nations se sont soldés par un nul, en 1970 (2-2) et 2016 (0-0). Ce duel s’annonce donc comme une rencontre décisive, où le Syli national devra puiser dans ses réserves pour briser cette série noire face à une RDC en grande forme.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Coup d’envoi samedi soir à Abidjan, pour un match à enjeu entre deux sélections africaines emblématiques. Les Léopards partiront favoris, mais tout reste possible sur le terrain !</span></p>

Sport La RDC : un cauchemar persistant pour le Syli national guinéen

Samedi 16 novembre, la Guinée et la République Démocratique du Congo (RDC) se retrouvent dans un affrontement crucial des éliminatoires de l...

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Le Karmapa dévoile son nouveau single ‘‘Lov’ezayo’’ : un hymne à l’amour pur

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhY0TVKeVUjTNUI1IHPzenCrEAH75HDaN3h3BlS4RCORL_JcHqjsy1BeP5z4vRQh1Oa1zCX_52cb92iIYbyMkzrNZfUOpX2WFM5ZjEshhcRQivW3jcWnb-WCQpOfWJy2gTvA6B3t-6yhE6bhOe7Bi0cx05bk0smT46vWcK9Syut1zd4GH7rQgLPWBMYbc45/s800/karmapa_musicien_20_0.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="800" height="258" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhY0TVKeVUjTNUI1IHPzenCrEAH75HDaN3h3BlS4RCORL_JcHqjsy1BeP5z4vRQh1Oa1zCX_52cb92iIYbyMkzrNZfUOpX2WFM5ZjEshhcRQivW3jcWnb-WCQpOfWJy2gTvA6B3t-6yhE6bhOe7Bi0cx05bk0smT46vWcK9Syut1zd4GH7rQgLPWBMYbc45/w430-h258/karmapa_musicien_20_0.jpg" width="430" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le chanteur congolais Le Karmapa, de son vrai nom Kibinda Pembele Jean-Jacques, vient de sortir son dernier single intitulé <em>Lov’ezayo</em>. Ce titre, désormais disponible sur toutes les plateformes de streaming et sur la chaîne YouTube officielle de l’artiste, est une véritable célébration de l’amour authentique et inébranlable.</span><p></p><p><span style="font-family: arial;">Dans un entretien avec l’ACP, Le Karmapa a décrit <em>Lov’ezayo</em> comme <em>"l’hymne des vrais amoureux"</em>, une invitation à vivre pleinement chaque instant dans une relation sincère. Avec sa signature musicale, le chanteur poursuit son exploration des thèmes universels comme l’amour et les valeurs sociales, tout en préservant l’authenticité de la rumba congolaise.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ce single s’inscrit dans un projet plus vaste, une dizaine de chansons qui composeront son prochain album. Parmi elles, une collaboration remarquée avec Debsito, fils du regretté Debaba El Shabab, sur le titre <em>Hello</em>. Le Karmapa continue ainsi de mélanger tradition et modernité, s’appuyant sur son héritage pour proposer des œuvres qui résonnent dans le contexte contemporain.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Connu pour des titres phares tels que <em>Topinambours</em>, <em>Le forgeron</em>, ou encore <em>Sérénité</em>, Le Karmapa est reconnu comme l’un des défenseurs de la rumba congolaise. À travers sa musique, il s’impose également comme une voix critique et inspirante, dénonçant les antivaleurs tout en sublimant les émotions humaines.</span></p><p><span style="font-family: arial;"><em>Lov’ezayo</em> est une nouvelle perle dans le riche répertoire de l’artiste, invitant les amateurs de belles mélodies à célébrer l’amour sous toutes ses formes. Ne manquez pas cette immersion musicale pleine de sensibilité et de passion !</span></p><p><br /></p>

Musique Le Karmapa dévoile son nouveau single ‘‘Lov’ezayo’’ : un hymne à l’amour pur

Le chanteur congolais Le Karmapa, de son vrai nom Kibinda Pembele Jean-Jacques, vient de sortir son dernier single intitulé Lov’ezayo . Ce t...

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Boxe : Martin Bakole face au désistement d’Agit Kabayel pour le combat IBF

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDVaHrfm2xenRPLW-n3fC50lg0-FSKoAqPrjPs07QrOm0AiyV2kMUb73_emzlBpgJkS5E0h-QY8_LfPYdDaOqMaJ9QrZ7OjUtT5PiGMkq0-86hr6yWqAdxGIpBkY8OvDjeN6CV9FKXr0RHV9WSOTJV4r4-ZYAInubDF6HlepX7EVc7L-01XNnoYuTfTKzJ/s1024/63d1c3e5-78fb-41ce-b944-68d94be72039-1024x684.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="684" data-original-width="1024" height="296" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDVaHrfm2xenRPLW-n3fC50lg0-FSKoAqPrjPs07QrOm0AiyV2kMUb73_emzlBpgJkS5E0h-QY8_LfPYdDaOqMaJ9QrZ7OjUtT5PiGMkq0-86hr6yWqAdxGIpBkY8OvDjeN6CV9FKXr0RHV9WSOTJV4r4-ZYAInubDF6HlepX7EVc7L-01XNnoYuTfTKzJ/w443-h296/63d1c3e5-78fb-41ce-b944-68d94be72039-1024x684.jpg" width="443" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le boxeur congolais Martin Bakole a annoncé que l’Allemand Agit Kabayel ne participera plus au combat organisé par l’International Boxing Federation (IBF) pour désigner un challenger officiel. Cette nouvelle a été partagée par Bakole lui-même dans une vidéo publiée sur ses réseaux sociaux, bien qu’aucune confirmation officielle de l’IBF n’ait encore été donnée.</span><p><span style="font-family: arial;">Les raisons de ce désistement restent floues, Kabayel n’ayant pas communiqué d’explication valable. Cette situation représente un coup dur pour Bakole, qui était déjà en pleine préparation pour ce duel crucial. Le combat n’avait pas encore de date fixe, les équipes des deux boxeurs étant en discussions pour déterminer un créneau.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Actuellement classé premier par la World Boxing Association (WBA) et troisième par le World Boxing Council (WBC), Martin Bakole continue sa quête pour décrocher une opportunité au titre mondial. Ce combat contre Kabayel aurait pu ouvrir la voie à une confrontation pour la ceinture IBF, actuellement détenue par le Britannique Daniel Dubois, vainqueur de son compatriote Anthony Joshua à Wembley.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Malgré ce revers, Martin Bakole garde les yeux rivés sur son objectif ultime : devenir champion du monde. Ses fans espèrent qu’une nouvelle opportunité se présentera rapidement pour ce talent prometteur du ring.</span></p><p></p>

Sport Boxe : Martin Bakole face au désistement d’Agit Kabayel pour le combat IBF

Le boxeur congolais Martin Bakole a annoncé que l’Allemand Agit Kabayel ne participera plus au combat organisé par l’International Boxing Fe...

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