Kisangani : Violentes Protestations des Étudiants de l'IFA Yangambi Contre la Grève des Professeurs

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjyMOaDbh27JWxbwiZV5qM03Szwodf0FVYUeHCskw36ABzx2Yc5Wt48tkYi-egeNSdaZuTTPfuBNNTb20KYDBzjFpniYCIAToDy_orwl7p0ez_RjSWeaBDbJlKorqMMj_pHObKRUM0u4bIIfCmUAw4uxrFHXSyyzOiMXtKdKB1RhuYLUXW728rIdFMhP7CY/s1040/IMG-20241216-WA0862.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="780" data-original-width="1040" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjyMOaDbh27JWxbwiZV5qM03Szwodf0FVYUeHCskw36ABzx2Yc5Wt48tkYi-egeNSdaZuTTPfuBNNTb20KYDBzjFpniYCIAToDy_orwl7p0ez_RjSWeaBDbJlKorqMMj_pHObKRUM0u4bIIfCmUAw4uxrFHXSyyzOiMXtKdKB1RhuYLUXW728rIdFMhP7CY/s320/IMG-20241216-WA0862.jpg" width="320" /></a></div><br /><p><span style="font-family: arial;">Le <strong>lundi 16 décembre 2024</strong>, des étudiants de l'<strong>Institut Facultaire des Sciences Agronomiques (IFA)</strong> de <strong>Yangambi</strong>, situé à Kisangani, ont déclenché des manifestations violentes en réponse à la grève des professeurs. Ces derniers, mécontents du retard des examens et de la situation académique chaotique, ont intensifié leur mécontentement en s'attaquant violemment aux infrastructures de l’Institut.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Dégâts considérables dans l'établissement</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les manifestants, visiblement frustrés, ont brûlé des <strong>matériels administratifs</strong>, dont <strong>des ordinateurs, des documents</strong>, et des <strong>meubles</strong>. L'infirmerie de l'Institut a également été vandalisée, et l'unique minibus de l'établissement a été réduit en <strong>cendres</strong>. Des bureaux, dont ceux du <strong>jury</strong> et du <strong>décanat</strong>, ont été détruits.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le recteur <strong>ad intérim</strong>, le <strong>professeur Joël Osombause</strong>, a exprimé sa profonde consternation en découvrant l'ampleur des dégâts. « C'est vraiment un sentiment de regret », a-t-il déclaré après avoir observé les <strong>vitres brisées</strong>, et le <strong>matériel brûlé</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte de la grève et de l'énervement des étudiants</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La grève, déclenchée par les <strong>enseignants</strong>, fait suite à un manque d'organisation des examens de la <strong>première session</strong> qui devaient se tenir vendredi dernier. Selon plusieurs enseignants, <strong>l’année académique</strong> a été prolongée sans la tenue des examens, ce qui a ajouté à la frustration des étudiants.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le <strong>comité de gestion</strong> de l'Institut, dirigé par le <strong>professeur Joël Osombause</strong>, avait déjà tenté de négocier avec les professeurs le <strong>14 décembre</strong>, en mettant en avant la <strong>gravité de la situation</strong> et l'importance de continuer les <strong>activités académiques</strong>. Ils avaient distribué des tracts pour avertir les enseignants de la colère grandissante des étudiants et ont demandé un retour à la normale avant que la situation ne dégénère davantage.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">La grève continue et les étudiants réclament des solutions</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La grève persiste à l'<strong>IFA Yangambi</strong>, et bien que le comité de gestion ait exprimé sa volonté de trouver une solution rapide, la tension reste palpable. Le <strong>professeur Osombause</strong> a appelé les enseignants à adoucir leur position et a plaidé pour la poursuite des <strong>examens restants</strong>, soulignant que des progrès avaient été réalisés au niveau national dans les discussions entre les professeurs et le gouvernement. Cependant, les étudiants, fatigués de l'attente, continuent de manifester leur mécontentement, tandis que l'administration tente de contenir la crise.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le comité de gestion a reconnu ses responsabilités vis-à-vis des étudiants, qui continuent de payer leurs frais, et a promis de travailler activement à la résolution du conflit.</span></p>

Societé Kisangani : Violentes Protestations des Étudiants de l'IFA Yangambi Contre la Grève des Professeurs

Le lundi 16 décembre 2024 , des étudiants de l' Institut Facultaire des Sciences Agronomiques (IFA) de Yangambi , situé à Kisangani, on...

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La RDC Porte Plainte Contre Apple en France et en Belgique pour Exploitation de Minéraux de Conflit

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjGZPDRLPwobR_X5QnB8fYIGEPHbGU5j2iRyGApD9Edd3_wnJV8oXH1v8k69cNuO-wuKxKHhV_LV9WeKZlcUtlFa913lfowAKy6fcf1H3nbmdYlXwa-WK25jfCEoFDdfc_LaS5QrInWg-xB7tCfqZiF5tY2KTZfxe_gqXoVp3BClH82tZ3jD_DHIMnPKy5q/s400/download%20(10).jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="242" data-original-width="400" height="247" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjGZPDRLPwobR_X5QnB8fYIGEPHbGU5j2iRyGApD9Edd3_wnJV8oXH1v8k69cNuO-wuKxKHhV_LV9WeKZlcUtlFa913lfowAKy6fcf1H3nbmdYlXwa-WK25jfCEoFDdfc_LaS5QrInWg-xB7tCfqZiF5tY2KTZfxe_gqXoVp3BClH82tZ3jD_DHIMnPKy5q/w407-h247/download%20(10).jpeg" width="407" /></a></div><br /><p></p><p><span style="font-family: arial;">La <strong>République Démocratique du Congo (RDC)</strong> a déposé des plaintes pénales contre des filiales d'Apple en <strong>France</strong> et en <strong>Belgique</strong> pour exploitation de minerais extraits illégalement et blanchis à travers des chaînes d'approvisionnement internationales. Cette action juridique a été entreprise avec l’aide des avocats <strong>Robert Amsterdam</strong> (cabinet Amsterdam & Partners à Washington DC), <strong>William Bourdon</strong> (cabinet Bourdon & Associés à Paris), et <strong>Christophe Marchand</strong> (cabinet Jus Cogens à Bruxelles).</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Accusations Portées Contre Apple</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les plaintes alléguant l’implication d'Apple dans des pratiques liées aux <strong>minerais de sang</strong> contiennent plusieurs accusations graves :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>Exploitation de minerais pillés</strong> en RDC, souvent extraits par des groupes armés dans des conditions violentes.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Blanchiment de ces minerais</strong> via des chaînes d'approvisionnement internationales, ce qui permet de les intégrer dans la production d’Apple.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Pratiques commerciales trompeuses</strong>, où Apple aurait assuré à ses consommateurs que ses chaînes d’approvisionnement sont « propres » et exemptes de minerais issus de conflits.</span></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Dialogue avec l'Union Européenne</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les avocats de la RDC ont également écrit à <strong>Ursula von der Leyen</strong>, présidente de la <strong>Commission européenne</strong>, pour l'informer du dépôt des plaintes et encourager un dialogue sur le rôle de l'UE dans la <strong>responsabilisation des acteurs impliqués</strong> et dans la <strong>cessation de la violence armée</strong> liée aux chaînes d'approvisionnement des minerais en Afrique subsaharienne.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Commentaires des Avocats de la RDC</span></strong></h3><ul><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Robert Amsterdam</strong> considère cette action comme une « première salve » dans un processus judiciaire visant à tenir Apple responsable. Selon lui, <strong>Apple</strong> ne peut ignorer les conséquences de ses actions, et il estime que se cacher derrière un faux récit sur sa chaîne d’approvisionnement est inacceptable.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>William Bourdon</strong> a souligné la modernité des législations françaises et belges sur le <strong>blanchiment d'argent</strong>, affirmant que ces pays ont développé une <strong>conscience judiciaire accrue</strong> concernant les grandes entreprises et leur responsabilité éthique. Il a précisé que la <strong>jurisprudence</strong> de ces nations permet désormais de poursuivre des entreprises pour des infractions liées au blanchiment de minerais de sang.</span></p></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte et Investigations Préalables</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette action fait suite à un rapport publié en avril 2024, intitulé <strong>“Minerais de sang - Le blanchiment des 3T de la RDC par le Rwanda et des entités privées”</strong>, qui a révélé des <strong>violations des droits humains graves</strong> dans les régions minières de la RDC. Le rapport a mis en lumière la <strong>complicité silencieuse</strong> de la communauté internationale, notamment des grandes entreprises technologiques comme Apple, dans le <strong>commerce illégal de minerais</strong> extraits par des groupes armés.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les <strong>Nations Unies</strong>, le <strong>Département d’État américain</strong>, et des ONG internationales comme <strong>Global Witness</strong> ont documenté ces pratiques et ont établi des liens entre les <strong>pillages</strong> en RDC et des entreprises mondiales du secteur technologique, automobile, aéronautique, et des énergies renouvelables. </span></p>

Securité La RDC Porte Plainte Contre Apple en France et en Belgique pour Exploitation de Minéraux de Conflit

La République Démocratique du Congo (RDC) a déposé des plaintes pénales contre des filiales d'Apple en France et en Belgique pour exp...

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Lancement de "Air Congo" par le Président Tshisekedi : Un Nouveau Chapitre pour le Transport Aérien en RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNeQwrOw3Wht4LVdgWD6fb_dq7EbB5eHc09jjsGIoc4926i84y_iGftznda_UbnCkZF8NvSuo9YMh90O5iDxlCyEt70ul1La3hCg458hGWmFblWoUA4R_shA0tzxlIcwUjehkXubWMwHI-8WhKM8yNsQYm47KYBZmP_K4mSf3By1zdWzXVVZQlfHgtOaeV/s741/IMG_1782-741x486.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="486" data-original-width="741" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNeQwrOw3Wht4LVdgWD6fb_dq7EbB5eHc09jjsGIoc4926i84y_iGftznda_UbnCkZF8NvSuo9YMh90O5iDxlCyEt70ul1La3hCg458hGWmFblWoUA4R_shA0tzxlIcwUjehkXubWMwHI-8WhKM8yNsQYm47KYBZmP_K4mSf3By1zdWzXVVZQlfHgtOaeV/s320/IMG_1782-741x486.jpeg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le <strong>Président Félix Tshisekedi</strong> procèdera ce mardi 17 décembre 2024 au lancement officiel de la nouvelle compagnie aérienne <strong>"Air Congo"</strong>, un projet majeur destiné à renforcer le secteur du transport aérien en <strong>République Démocratique du Congo</strong>. L'événement aura lieu au <strong>tarmac de l'aéroport international de N'djili</strong>, situé dans la commune de N'sele à <strong>Kinshasa</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une Ambition Nationale et Internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">"Air Congo" débute son opération avec <strong>deux avions</strong>, un début modeste mais prometteur, avec pour objectif d’atteindre <strong>huit avions</strong> dans un avenir proche. Ce projet est le fruit d'un partenariat stratégique entre la RDC et la compagnie <strong>Éthiopian Airlines</strong>, l'un des leaders aériens en Afrique.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Jean-Lucien Busa, ministre du Portefeuille, a exprimé l’ambition claire du gouvernement congolais : <strong>désenclaver le pays</strong> et offrir une connectivité accrue à partir de <strong>Kinshasa</strong>, avec des vols vers des destinations africaines, mais aussi internationales, y compris vers <strong>les États-Unis</strong> et <strong>la Chine</strong>. Ce partenariat avec <strong>Éthiopian Airlines</strong> est vu comme un levier important pour la modernisation du transport aérien en RDC et pour offrir une alternative plus fiable et efficace aux Congolais.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réception de Nouveaux Appareils</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Un deuxième avion de <strong>type Boeing 737-800</strong> a été réceptionné ce <strong>dimanche 15 décembre 2024</strong> à l'aéroport international de N'djili, en provenance de <strong>Addis-Abeba</strong>. Cet avion marque une étape importante pour la compagnie, qui prévoit de continuer à accueillir d’autres avions au fur et à mesure. Selon <strong>Weldegeorgis Mesfin Biru</strong>, Directeur général d’<strong>Air Congo</strong>, la réception d'avions se poursuivra jusqu'à l’atteinte de huit appareils, et d’ici un an, la compagnie devrait disposer de <strong>six avions opérationnels</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte du Transport Aérien en RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Ce lancement intervient dans un contexte où le secteur aérien congolais a récemment traversé des difficultés. La compagnie nationale existante, <strong>Congo Airways</strong>, avait connu des <strong>pannes prolongées</strong> et un manque d'avions pour assurer un service fiable. Cependant, <strong>Congo Airways</strong> progresse également en acquérant progressivement de nouveaux appareils.</span></p><p><span style="font-family: arial;">"Air Congo" vise à combler cette lacune et à renforcer la compétitivité du pays dans le domaine du transport aérien, tout en offrant aux Congolais des solutions pratiques pour voyager à l'intérieur et à l'extérieur du pays.</span></p>

Transport Lancement de "Air Congo" par le Président Tshisekedi : Un Nouveau Chapitre pour le Transport Aérien en RDC

Le Président Félix Tshisekedi procèdera ce mardi 17 décembre 2024 au lancement officiel de la nouvelle compagnie aérienne "Air Congo...

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Luanda : Les Accusations de la RDC sur la "Fuite" de Paul Kagame et les Blocages des Pourparlers de Paix

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUj1ftdpcVmqyemXUJ-qwHpp_2roab-6SwJlVGHFc5FP5LBSpAi3I7fCJ5fAnaqS-ynp4j-TGGAWbEXOJSXr6TpE738pAL_bniAmIqJN-TkFBWQ3FESMxiyVcV5eFUg3WfB1ofd6RPSDtBL4KZyQFQvcpG_pL4XgD7R8VpCjO5-WxDIUvJxPFY9Egdsyys/s2560/1f9227f3-f29d-4769-9cf6-3d2b2ccfc282.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1592" data-original-width="2560" height="246" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUj1ftdpcVmqyemXUJ-qwHpp_2roab-6SwJlVGHFc5FP5LBSpAi3I7fCJ5fAnaqS-ynp4j-TGGAWbEXOJSXr6TpE738pAL_bniAmIqJN-TkFBWQ3FESMxiyVcV5eFUg3WfB1ofd6RPSDtBL4KZyQFQvcpG_pL4XgD7R8VpCjO5-WxDIUvJxPFY9Egdsyys/w396-h246/1f9227f3-f29d-4769-9cf6-3d2b2ccfc282.jpeg" width="396" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Les négociations de paix entre la <strong>République Démocratique du Congo (RDC)</strong> et le <strong>Rwanda</strong>, qui se déroulaient sous l'égide de l'<strong>Angola</strong> à <strong>Luanda</strong>, ont une fois de plus échoué à aboutir à un accord de paix, en raison de différends sur la question du <strong>M23</strong>. Ces pourparlers étaient censés résoudre la crise, mais la situation a pris une tournure tendue après que le <strong>Président rwandais Paul Kagame</strong> a quitté la rencontre en boycottant la tripartite prévue.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les Divergences sur le M23 : Un Point de Friction</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L'un des principaux obstacles à l'accord de paix a été la question du <strong>M23</strong>, un groupe rebelle congolais. Le <strong>Rwanda</strong> a exigé qu'un <strong>dialogue direct</strong> entre le gouvernement congolais et le M23 soit une condition préalable à la signature de l'accord, un point que <strong>Kinshasa</strong> a formellement rejeté. En réponse, le Rwanda a intensifié sa pression en insistant sur la nécessité de ce dialogue avant toute avancée.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réactions de la RDC : Dénonciation des "Mensonges" du Rwanda</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans une déclaration vigoureuse, la <strong>cheffe de la diplomatie congolaise</strong>, Marie Tumba Nzeza, a dénoncé ce qu'elle considère comme les <strong>mensonges</strong> répétés du Rwanda au sujet du processus de paix. Elle a qualifié la fuite du <strong>Président Kagame</strong> de <strong>lâcheté</strong>, soulignant qu'il refusait d'assumer ses positions devant ses pairs et de répondre aux accusations de son rôle dans la crise du M23. La RDC a ainsi rétabli plusieurs faits pour répondre aux accusations du Rwanda :</span></p><ol><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>La Question du M23</strong> : La RDC affirme que l'introduction du M23 dans les discussions à <strong>Luanda</strong> n'a pas été initiée par le Rwanda, mais par le <strong>facilitateur angolais</strong>, dans le cadre d'une consultation générale, et non pour établir un dialogue direct entre la RDC et le M23.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Le Dialogue avec le M23</strong> : La RDC rejette catégoriquement l'idée d'un dialogue direct avec le M23, insistant sur le fait que cette question relève exclusivement du <strong>processus de Nairobi</strong>, qui inclut tous les groupes armés congolais sous la médiation de l'ex-président kényan <strong>Uhuru Kenyatta</strong>.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Les Propositions du Rwanda</strong> : Selon la RDC, les demandes répétées du Rwanda d'imposer un dialogue direct entre Kinshasa et le M23 visent à <strong>saper</strong> le processus de paix en place et à <strong>satisfaire</strong> ses propres intérêts géopolitiques.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Le Boycott de Kagame</strong> : Après que la facilitation angolaise ait proposé d'examiner directement la question du M23 avec les Chefs d'État, le <strong>Rwanda</strong> a rejeté cette proposition et <strong>Paul Kagame a quitté la réunion</strong> à 1 heure du matin, empêchant même la rédaction d'un compte-rendu officiel.</span></p></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une Fuite Symbolique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L'attitude du <strong>Rwanda</strong>, selon la RDC, met en lumière un <strong>mépris flagrant</strong> envers les efforts de paix dans la région et une volonté manifeste de <strong>saboter</strong> le processus diplomatique. Le gouvernement congolais a accusé Kagame et son gouvernement de mener une guerre cachée contre la RDC, tout en dissimulant la réalité de leurs actions auprès de leur propre population. La RDC considère que cette situation est d'autant plus inacceptable que le <strong>Rwanda</strong> refuse même de reconnaître les pertes humaines qu'il inflige à la population congolaise.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : Un Échec pour la Paix ?</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La situation actuelle, marquée par l'absence de volonté de compromis de la part du <strong>Rwanda</strong>, met en péril les chances de paix dans la région des Grands Lacs. Tandis que les dirigeants congolais et angolais continuent de chercher des solutions diplomatiques, la RDC semble déterminée à mettre en lumière ce qu'elle considère comme les vérités sur la manipulation et l'obstruction rwandaise dans ce processus de paix.</span></p>

Securité Luanda : Les Accusations de la RDC sur la "Fuite" de Paul Kagame et les Blocages des Pourparlers de Paix

Les négociations de paix entre la République Démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda , qui se déroulaient sous l'égide de l' Angol...

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Chancel Mbemba parmi les 11 meilleurs africains de l'année 2024 !

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZfihE5aA2wvPQB0XO-4csBAPluMewUassCiFU2mLoQRw15rtB_44oDFh5m0SN7cJabPDi1qNHmQnXdjCw4YU3nKKbYLWjKvag_6VP9PYhUdyui2LVIaEYevUMOrhekE_eRB-3ciZ-UFgrg4xHtx9AwEh7hf1G7Gm1nn48GML6q8ENHF-2-UQxkNR-u4AQ/s1080/1702324400187.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1080" data-original-width="1080" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZfihE5aA2wvPQB0XO-4csBAPluMewUassCiFU2mLoQRw15rtB_44oDFh5m0SN7cJabPDi1qNHmQnXdjCw4YU3nKKbYLWjKvag_6VP9PYhUdyui2LVIaEYevUMOrhekE_eRB-3ciZ-UFgrg4xHtx9AwEh7hf1G7Gm1nn48GML6q8ENHF-2-UQxkNR-u4AQ/s320/1702324400187.jpg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Lors de la prestigieuse cérémonie des <strong>CAF Awards</strong> du 16 décembre 2024 au <strong>Maroc</strong>, le footballeur congolais <strong>Chancel Mbemba Mangulu</strong> a été distingué en étant classé parmi les <strong>11 meilleurs joueurs africains de l'année</strong>. Cette reconnaissance témoigne de son excellent parcours au cours de la saison et de son rôle central dans l’équipe des <strong>Léopards de la RDC</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">L’équipe type de la saison : Un honneur pour Mbemba</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le défenseur central congolais figure aux côtés de grands noms du football africain, notamment :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>André Onana</strong> (gardien camerounais),</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Achraf Hakimi</strong> (membre du PSG, Maroc),</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Kalidou Koulibaly</strong> (défenseur sénégalais),</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Yves Bissouma</strong> (milieu malien),</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Sofyan Amrabat</strong> (milieu marocain),</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Frank Kessié</strong> (milieu ivoirien),</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Mohamed Kudus</strong> (attaquant ghanéen),</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Mohamed Salah</strong> (l'incontournable égyptien),</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Victor Osimhen</strong> (attaquant nigérian),</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Lookman Ademola</strong> (attaquant nigérian).</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Cette sélection fait honneur à <strong>Chancel Mbemba</strong>, qui continue de briller dans sa carrière internationale et club. Il a récemment été aussi nominé parmi les 10 joueurs prétendants au <strong>Ballon d'Or africain</strong>, un autre indicatif de son impact sur le terrain.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Autres distinctions : Mazembe et la Côte d'Ivoire récompensés</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Lors de cette cérémonie, <strong>le Tout-Puissant Mazembe</strong> a remporté le prix de la <strong>meilleure équipe féminine</strong>, soulignant la qualité du football féminin en RDC. D'autre part, la <strong>Côte d'Ivoire</strong> a été couronnée <strong>meilleure sélection masculine</strong>, une reconnaissance bien méritée pour ses performances sur la scène internationale.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Prix individuels</span></strong></h3><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Emerse Fae</strong> a été sacré <strong>meilleur entraîneur</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Ronwen Williams</strong> a remporté le prix du <strong>meilleur joueur des interclubs de la CAF</strong>.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Un moment marquant pour le football africain, et une belle reconnaissance pour la <strong>République Démocratique du Congo</strong> grâce à Chancel Mbemba.</span></p>

Sport Chancel Mbemba parmi les 11 meilleurs africains de l'année 2024 !

Lors de la prestigieuse cérémonie des CAF Awards du 16 décembre 2024 au Maroc , le footballeur congolais Chancel Mbemba Mangulu a été dist...

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Processus de Luanda : la RDC dénonce l'attitude du Rwanda après l'échec des négociations

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtcQHWYECZ2daLJSohJromWMoMPy9SHkqfq0AC3AaEasaZeArR8cu9yMgQzFyecQXhylw8DAan6mVIkQigIrFJqBvTEzMZ_uxm_2kz2_9zRXDzYekY7TXDPgDn7GOR2m-famrrc2WVMvwQRleniaw3XhmfN2sPXGTdqde89V8kVMjOsc0cpg4S3r9XSEK7/s1536/118c0d94-f351-4513-82e4-c4796820dd18-1536x1024.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1024" data-original-width="1536" height="275" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtcQHWYECZ2daLJSohJromWMoMPy9SHkqfq0AC3AaEasaZeArR8cu9yMgQzFyecQXhylw8DAan6mVIkQigIrFJqBvTEzMZ_uxm_2kz2_9zRXDzYekY7TXDPgDn7GOR2m-famrrc2WVMvwQRleniaw3XhmfN2sPXGTdqde89V8kVMjOsc0cpg4S3r9XSEK7/w414-h275/118c0d94-f351-4513-82e4-c4796820dd18-1536x1024.jpeg" width="414" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Suite à l’échec des négociations tripartites prévues le dimanche 15 décembre 2024 en Angola, réunissant <strong>Félix Tshisekedi</strong> (RDC), <strong>João Lourenço</strong> (Angola), et <strong>Paul Kagame</strong> (Rwanda), le gouvernement de la République démocratique du Congo a exprimé sa vive indignation dans un communiqué officiel.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un boycott de dernière minute</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La RDC accuse le Rwanda d’avoir <strong>boycotté la rencontre</strong> en formulant, à la dernière minute, une <strong>condition nouvelle et inacceptable</strong> : l’engagement de pourparlers directs entre le gouvernement congolais et les rebelles du M23. Cette exigence, selon le communiqué congolais, <strong>contredit les termes des discussions antérieures</strong>, où il avait été convenu que le Rwanda retire ses troupes des zones occupées en RDC et s’engage sincèrement dans le processus de paix.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le communiqué précise :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« En introduisant cette condition de dernière minute, contraire aux discussions précédentes, le Rwanda démontre, une fois de plus, son soutien inconditionnel au M23. »</span></em></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une attitude jugée irresponsable</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La RDC a fermement condamné ce qu’elle qualifie d’<strong>« attitude irresponsable et provocatrice »</strong> de la part du Rwanda. Le gouvernement congolais estime que cette posture montre un <strong>manque de volonté réelle du Rwanda à s’impliquer dans une démarche sincère</strong> pour la paix dans les Grands Lacs.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le texte souligne également que ces manœuvres constituent une <strong>violation des principes convenus</strong> dans le cadre des initiatives internationales et régionales, notamment le <strong>Processus de Luanda</strong> et les résolutions prises lors des sommets de l’EAC (Communauté d’Afrique de l’Est).</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la communauté internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans son communiqué, la RDC a appelé la <strong>communauté internationale</strong> et les partenaires régionaux à prendre acte de la position ambiguë du Rwanda et à accentuer les pressions pour que ce dernier respecte ses engagements en faveur de la stabilité régionale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Enfin, la RDC a réaffirmé son refus catégorique de toute négociation directe avec le M23, qu’elle continue de considérer comme une <strong>organisation terroriste</strong> soutenue par Kigali.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un revers pour la paix régionale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’échec de cette rencontre tripartite marque un revers pour les efforts visant à restaurer la paix dans l’Est de la RDC. Ce blocage révèle à nouveau les tensions profondes entre Kinshasa et Kigali, qui entravent les initiatives de médiation régionales.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Alors que les hostilités continuent d’affecter des millions de civils dans la région, la communauté internationale est désormais confrontée à l’urgence de trouver une solution durable face à une crise qui menace davantage la stabilité des Grands Lacs.</span></p>

info Processus de Luanda : la RDC dénonce l'attitude du Rwanda après l'échec des négociations

Suite à l’échec des négociations tripartites prévues le dimanche 15 décembre 2024 en Angola, réunissant Félix Tshisekedi (RDC), João Louren...

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« Nous ne sommes pas le seul pays à appliquer la peine de mort » — Constant Mutamba

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinqgltDNX3shgwetEr9kjR-wBJRA8VJkIwFYbxc1U4XnF8Un6IF4S12AE25W_5GLUUzGxzUd59hR1tP82oLqQibCeI77EsWgFdU12ygzK1qGwOpsX7pIv4wx5c1eaJ6VjRowQYLlPeodrNDAiu2b_Uf2uPttg4VMwROhJmhUBjNpoVVF8f3ek5FI6FVPuk/s682/CONSTANT-MUT.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="558" data-original-width="682" height="262" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinqgltDNX3shgwetEr9kjR-wBJRA8VJkIwFYbxc1U4XnF8Un6IF4S12AE25W_5GLUUzGxzUd59hR1tP82oLqQibCeI77EsWgFdU12ygzK1qGwOpsX7pIv4wx5c1eaJ6VjRowQYLlPeodrNDAiu2b_Uf2uPttg4VMwROhJmhUBjNpoVVF8f3ek5FI6FVPuk/s320/CONSTANT-MUT.jpg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le ministre d’État de la Justice et garde des Sceaux, <strong>Constant Mutamba</strong>, a récemment affirmé la position ferme du gouvernement congolais sur l’application de la peine de mort. Ses déclarations interviennent dans le cadre de deux affaires emblématiques : la condamnation des accusés du <strong>coup d’État avorté du 19 mai dernier</strong> et celle des <strong>"Kuluna"</strong>, ces bandes urbaines accusées de semer la terreur dans plusieurs quartiers du pays.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">La peine de mort comme mesure dissuasive</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">S’exprimant sur les récentes condamnations à la peine capitale par la Haute Cour militaire, Constant Mutamba a déclaré que ces exécutions seront effectuées sans faute pour <strong>« servir d’exemple »</strong>. Selon lui, l’application stricte de la loi est essentielle pour protéger les citoyens et dissuader ceux qui portent atteinte à la vie humaine et à la stabilité nationale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">« Nous ne sommes pas le seul pays à appliquer la peine de mort », a-t-il martelé, rappelant que de nombreux États à travers le monde maintiennent cette sentence sans être critiqués par les grandes puissances ou les organisations de défense des droits humains.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un défi aux criminels et aux détracteurs de la peine capitale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pour le ministre, la RDC fait face à des défis uniques qui justifient pleinement le recours à la peine de mort. Entre les <strong>tueries dans l’Est du pays</strong>, les crimes imprescriptibles, et les tentatives de déstabilisation nationale, <strong>« la justice, c’est bien aussi la peine capitale »</strong>, a-t-il ajouté.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Mutamba a également critiqué ceux qui s’opposent à cette sentence, estimant qu’ils donnent l’impression de cautionner les crimes et de protéger les auteurs d’atrocités.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une souveraineté affirmée</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le ministre a rappelé que la RDC reste un <strong>État souverain</strong>, signataire de certains traités internationaux, mais qu’aucun engagement extérieur ne prime sur la responsabilité de protéger ses citoyens.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Concernant le débat sur le moratoire sur la peine de mort, il a souligné qu’il n’a jamais été officiellement appliqué en RDC, et que la peine capitale demeure pleinement reconnue par les lois nationales. « Ne pas l’appliquer serait une injustice envers les victimes et une trahison envers le peuple congolais », a-t-il conclu.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un débat controversé</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les propos du ministre suscitent un débat intense. Si certains saluent cette fermeté comme une réponse adaptée à la montée des violences et des crimes graves, d’autres dénoncent une approche répressive contraire aux engagements internationaux en matière de droits humains.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La question reste donc ouverte : la peine de mort est-elle une solution efficace ou une entrave à la justice et aux valeurs universelles des droits humains ?</span></p>

Justice « Nous ne sommes pas le seul pays à appliquer la peine de mort » — Constant Mutamba

Le ministre d’État de la Justice et garde des Sceaux, Constant Mutamba , a récemment affirmé la position ferme du gouvernement congolais sur...

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Tshisekedi - Kagame : le tête-à-tête annulé

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsicHG6pV1vCJNPkkeCYjob5t_-jWNig2xMgQ5qJt7ALdJrnlIqWTZR6qhkMmb22l9qqvlgIKcDWYXv_3NZNjERDkj2yf8_ofJbL81bI7qX2XUozcHMWdOyTI1NURU6w-XcLcPeqA630_6WY4fTMBpzErdA-vIYbyLM3WJfV4HIF1TWk9POHJepsEPVW6B/s2048/1734263741.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1366" data-original-width="2048" height="262" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsicHG6pV1vCJNPkkeCYjob5t_-jWNig2xMgQ5qJt7ALdJrnlIqWTZR6qhkMmb22l9qqvlgIKcDWYXv_3NZNjERDkj2yf8_ofJbL81bI7qX2XUozcHMWdOyTI1NURU6w-XcLcPeqA630_6WY4fTMBpzErdA-vIYbyLM3WJfV4HIF1TWk9POHJepsEPVW6B/w393-h262/1734263741.jpg" width="393" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La rencontre tripartite prévue le dimanche <strong>15 décembre 2024</strong> entre le président de la République démocratique du Congo, <strong>Félix Tshisekedi</strong>, le président rwandais, <strong>Paul Kagame</strong>, et leur homologue angolais, <strong>João Lourenço</strong>, a été officiellement annulée.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les raisons de l'annulation</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le principal point de discorde reste la condition imposée par Kigali pour la signature d’un accord : l’organisation d’un <strong>dialogue direct entre la RDC et les rebelles du M23</strong>. Ce groupe armé, qualifié de <strong>« terroriste »</strong> par Kinshasa, est accusé d’être soutenu militairement par le Rwanda.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La RDC, à travers son président Félix Tshisekedi, a catégoriquement rejeté cette exigence, réaffirmant sa position ferme de ne pas négocier avec des groupes armés impliqués dans des violences sur son territoire.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Tshisekedi rencontre João Lourenço</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré l’absence de Paul Kagame, Félix Tshisekedi a poursuivi son agenda diplomatique à Luanda. Arrivé dans la matinée du <strong>15 décembre</strong>, il s’est entretenu avec le président angolais, <strong>João Lourenço</strong>, facilitateur du <strong>processus de Luanda</strong>, qui vise à rétablir la paix dans l’Est de la RDC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les discussions ont porté sur des alternatives pour la stabilisation de la région, notamment :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Le retrait des forces rwandaises</strong> des territoires congolais occupés.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Le renforcement des mécanismes régionaux</strong>, sans passer par une médiation directe avec le M23.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un dialogue sous tension dans les Grands Lacs</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette annulation illustre les profondes tensions entre la RDC et le Rwanda, qui rendent difficile toute avancée dans le processus de paix. Kinshasa accuse Kigali de soutenir activement le M23 pour déstabiliser la région et exploiter ses ressources naturelles.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En refusant de participer à la rencontre, Kigali affiche une position qui, selon les autorités congolaises, compromet gravement les efforts de paix dans les <strong>Grands Lacs</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : une impasse diplomatique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’annulation de ce tête-à-tête témoigne de l’impasse dans laquelle se trouve actuellement le processus de Luanda. Tandis que la RDC reste déterminée à défendre sa souveraineté sans négocier avec des groupes armés, le Rwanda persiste dans ses revendications.</span></p><p><strong><span style="font-family: arial;">La stabilité de la région dépendra désormais de la capacité des médiateurs, notamment João Lourenço et d’autres acteurs internationaux, à rapprocher les positions des deux parties.</span></strong></p>

Diplomatie Tshisekedi - Kagame : le tête-à-tête annulé

La rencontre tripartite prévue le dimanche 15 décembre 2024 entre le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi , l...

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Patrick Muyaya : « L’ennemi de la paix dans les Grands Lacs s’appelle Paul Kagame »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXQNDr2mmC1GBt1Rh7-paEGcn17MUHzWyoBO_gqLeu3vTMISWDaEHasEcQNVkFiSNsJg5xONJKwF7w6CAUyENKIo0QYWUJtuuBkd-i7tq1vE4CwZmiNdogQgems8sdLj7LfFWhU9zfBx1FVYQnFMaoe1T4sNlzt7AfxUFTgW-NoP5MpywvkqaNnA8gsATe/s1260/WhatsApp-Image-2022-10-10-at-21.55.04-768x512.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="960" data-original-width="1260" height="244" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXQNDr2mmC1GBt1Rh7-paEGcn17MUHzWyoBO_gqLeu3vTMISWDaEHasEcQNVkFiSNsJg5xONJKwF7w6CAUyENKIo0QYWUJtuuBkd-i7tq1vE4CwZmiNdogQgems8sdLj7LfFWhU9zfBx1FVYQnFMaoe1T4sNlzt7AfxUFTgW-NoP5MpywvkqaNnA8gsATe/s320/WhatsApp-Image-2022-10-10-at-21.55.04-768x512.jpeg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Patrick Muyaya, ministre de la Communication et des Médias de la République démocratique du Congo (RDC) et porte-parole du gouvernement, a lancé une critique cinglante contre le président rwandais Paul Kagame. Dans un message publié sur X (anciennement Twitter), il a déclaré :</span><p></p><p><strong><span style="font-family: arial;">« Le monde entier a constaté aujourd’hui que l’ennemi de la paix dans les Grands Lacs s’appelle Paul Kagame. »</span></strong></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Annulation de la tripartite du processus de Luanda</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette déclaration intervient après l’échec de la rencontre prévue le <strong>15 décembre 2024</strong>, entre les présidents <strong>Félix Tshisekedi</strong> (RDC), <strong>Paul Kagame</strong> (Rwanda) et <strong>João Lourenço</strong> (Angola), dans le cadre du <strong>processus de Luanda</strong> visant à stabiliser l’Est de la RDC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La réunion devait établir une feuille de route pour la paix, notamment en imposant un <strong>retrait effectif des troupes rwandaises</strong> des territoires congolais. Cependant, Kigali a annulé sa participation, conditionnant sa présence à l’ouverture d’un <strong>dialogue direct entre Kinshasa et les rebelles du M23</strong>, qualifiés de <strong>« terroristes »</strong> par les autorités congolaises.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">La position ferme de la RDC : "Pas de négociation avec le M23"</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Patrick Muyaya a rappelé la ligne rouge tracée par le gouvernement congolais :</span></p><p><strong><span style="font-family: arial;">« Nous ne négocierons jamais avec les supplétifs, terroristes du M23. »</span></strong></p><p><span style="font-family: arial;">Pour Kinshasa, accepter les conditions du Rwanda reviendrait à légitimer une rébellion armée soutenue par Kigali. Selon Muyaya, ce refus de dialoguer avec des groupes armés souligne l’engagement de la RDC à préserver sa souveraineté et à rejeter toute forme de pression extérieure.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L’absence de la délégation rwandaise à cette rencontre est perçue par Muyaya comme une reconnaissance tacite de l’<strong>incapacité du Rwanda à œuvrer pour le retour à la paix dans les Grands Lacs</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une diplomatie active malgré l’absence rwandaise</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré le retrait de Kigali, le président Félix Tshisekedi a poursuivi des discussions bilatérales avec son homologue angolais, João Lourenço. Les échanges se sont concentrés sur :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>Le retrait des forces rwandaises</strong> des zones occupées en RDC.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Le renforcement des mécanismes régionaux</strong> pour stabiliser l’Est de la RDC.</span></li></ol><p><span style="font-family: arial;">Les deux chefs d’État ont réaffirmé leur détermination à avancer sans le Rwanda, en mettant en place des stratégies alternatives pour restaurer la paix et la sécurité dans les zones touchées par les conflits.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un conflit aux enjeux régionaux et internationaux</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette crise met en lumière la complexité des relations dans les Grands Lacs, où des conflits internes se mêlent à des ingérences extérieures. Le soutien présumé de Kigali aux rebelles du M23, couplé aux accusations de pillage des ressources congolaises, a renforcé les tensions entre la RDC et le Rwanda.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Dans ce contexte, la communauté internationale est appelée à jouer un rôle plus actif pour résoudre ce conflit. Les propos de Patrick Muyaya témoignent d’une volonté de Kinshasa de mobiliser l’opinion publique mondiale pour isoler Kigali sur la scène diplomatique.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion : un appel à l’action internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En dénonçant ouvertement le rôle de Paul Kagame dans l’instabilité des Grands Lacs, le ministre Patrick Muyaya cherche à attirer l’attention sur les responsabilités du Rwanda dans la persistance des conflits. Pour la RDC, la quête de la paix dans la région passe par une condamnation claire des actes de déstabilisation et par une mobilisation internationale accrue pour soutenir la souveraineté et l’intégrité territoriale du pays.</span></p><p><strong><span style="font-family: arial;">La balle est désormais dans le camp de la communauté régionale et internationale pour briser l’impasse et mettre fin à l’impunité dans les Grands Lacs.</span></strong></p>

Politique Patrick Muyaya : « L’ennemi de la paix dans les Grands Lacs s’appelle Paul Kagame »

Patrick Muyaya, ministre de la Communication et des Médias de la République démocratique du Congo (RDC) et porte-parole du gouvernement, a l...

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Corridor de Lobito : le Sénat congolais adopte l’accord pour la création de l’Agence de Facilitation du Transport

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRaG_HtoFHRf0a4yOXuFVRN_etD0kprvstYHIHCHR7KTMeI4jZfKmFqkoFy6244sN6P5S6i6rf0lSKgdsE44hTmT6KYQDU4qpR3-zimW1Xn8ELH0s7s5cnGGUlj-TyCNU-FtD4uEt7X529XQaMhRqQWFnSvfOdP_Ri0KWQM20NICTJC4ZCNYtNERU1zPs1/s711/senat_senateurs_vote_24_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRaG_HtoFHRf0a4yOXuFVRN_etD0kprvstYHIHCHR7KTMeI4jZfKmFqkoFy6244sN6P5S6i6rf0lSKgdsE44hTmT6KYQDU4qpR3-zimW1Xn8ELH0s7s5cnGGUlj-TyCNU-FtD4uEt7X529XQaMhRqQWFnSvfOdP_Ri0KWQM20NICTJC4ZCNYtNERU1zPs1/s320/senat_senateurs_vote_24_jpg_711_473_1.jpeg" width="320" /></a></div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /> </div><p><span style="font-family: arial;">Le Sénat de la République Démocratique du Congo a franchi une étape importante dans le développement des infrastructures de transport en adoptant, lors de la plénière du <strong>2 décembre 2024</strong>, l’accord portant création de l'<strong>Agence de Facilitation du Transport en Transit du Corridor de Lobito (AFTTCL)</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Signé le <strong>27 janvier 2023</strong> à Lobito, en Angola, cet accord réunit trois pays : la RDC, l’Angola et la Zambie, autour d’un projet stratégique visant à optimiser le transport en transit dans la région.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un accord stratégique pour l'économie congolaise</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Présenté au Sénat lors de la plénière du <strong>22 novembre 2024</strong>, le projet de loi autorisant la ratification de cet accord avait été confié à la <strong>Commission des Relations extérieures</strong>, dirigée par le sénateur Christophe Lutundula Apala Pen Apala.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les membres de la Commission ont souligné l’importance du corridor de Lobito pour :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Faciliter les échanges commerciaux régionaux</strong>, en reliant les provinces minières du sud-est de la RDC, notamment le Grand Katanga, au port de Lobito, en Angola.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Réduire les coûts logistiques</strong> pour les exportations de minerais, en offrant une alternative moins onéreuse aux autres corridors actuellement utilisés par la RDC.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Renforcer l’intégration régionale</strong>, en s’inscrivant dans une dynamique de coopération économique gagnant-gagnant entre les trois pays partenaires.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Recommandations et ambitions pour les infrastructures nationales</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En adoptant cet accord, le Sénat a également formulé des recommandations au Gouvernement congolais :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>Maximiser la rentabilité économique</strong> du corridor de Lobito pour la RDC, en exploitant pleinement son potentiel pour le transport de marchandises et de passagers.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Accélérer le développement du corridor interne Est-Ouest</strong>, reliant le <strong>Grand Katanga</strong> au futur port en eaux profondes de <strong>Banana</strong>. Ce projet stratégique passerait par les régions du Grand Kasaï, du Grand Bandundu, Kinshasa et le Kongo Central, renforçant ainsi les infrastructures de transport nationales.</span></li></ol><p><span style="font-family: arial;">Le corridor de Lobito est perçu comme une solution intermédiaire et stratégique, en attendant la construction de ce réseau interne qui pourrait jouer un rôle clé dans le désenclavement économique de la RDC.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte international : soutien des États-Unis</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette adoption intervient quelques jours après la visite officielle du président américain <strong>Joe Biden</strong> en Angola, marquée par l’annonce d’un investissement supplémentaire de <strong>600 millions USD</strong> dans les infrastructures et projets liés au corridor de Lobito. Cet engagement financier des États-Unis témoigne de l’intérêt croissant pour cette voie de transport stratégique en Afrique australe.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un corridor à fort potentiel</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le <strong>corridor de Lobito</strong>, grâce à sa connexion ferroviaire et routière, se présente aujourd’hui comme la voie d’exportation la plus compétitive pour la RDC. Avec cet accord, les trois pays partenaires visent à renforcer les échanges commerciaux régionaux et à améliorer la logistique de transport.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En adoptant cet accord, la RDC s’inscrit dans une vision stratégique de modernisation de ses infrastructures, tout en affirmant son rôle central dans l’intégration économique régionale. Le défi pour le gouvernement reste désormais de traduire ces ambitions en projets concrets qui profiteront à l’ensemble de la population congolaise.</span></p><p><strong><span style="font-family: arial;">Le corridor de Lobito s’impose ainsi comme un levier de développement et de coopération régionale, tout en ouvrant de nouvelles perspectives pour l’économie congolaise.</span></strong></p><span style="font-family: arial;"> </span><p></p>

Politique Corridor de Lobito : le Sénat congolais adopte l’accord pour la création de l’Agence de Facilitation du Transport

  Le Sénat de la République Démocratique du Congo a franchi une étape importante dans le développement des infrastructures de transport en a...

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La modernisation des entreprises publiques en RDC apparaît comme une priorité stratégique pour relancer le développement économique du pays

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgN_12T6gimIrG4u4ngb4uILrvucBfTelCvpkj_-_rg85h9-Q-PmUZ9c47mC765Wn16zaJA-souhFALQbAG7AgSwJkLk8MBPfRI-jnkpC_QIwbVQEtOrLr0WzhG2fa1UfJ7_zP_HxVYXjkgM1BqWIHyHvwkCFrxGWGneWHq5xYhPjJvtMlnlbyZYlOu8r8o/s1080/20240816_210541.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1080" height="265" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgN_12T6gimIrG4u4ngb4uILrvucBfTelCvpkj_-_rg85h9-Q-PmUZ9c47mC765Wn16zaJA-souhFALQbAG7AgSwJkLk8MBPfRI-jnkpC_QIwbVQEtOrLr0WzhG2fa1UfJ7_zP_HxVYXjkgM1BqWIHyHvwkCFrxGWGneWHq5xYhPjJvtMlnlbyZYlOu8r8o/w398-h265/20240816_210541.jpg" width="398" /></a></div><br />Selon la Première ministre <strong>Judith Suminwa</strong>, lors de la clôture des <strong>États généraux des entreprises du portefeuille de l’État</strong>. Voici les principaux axes évoqués dans son allocution :<h3><strong>1. Une gouvernance modernisée et transparente</strong></h3><p>La Première ministre a insisté sur la nécessité de :</p><ul><li><strong>Repenser les cadres juridiques</strong> et de gouvernance des entreprises publiques.</li><li><strong>Renforcer la transparence et l’indépendance</strong> des conseils d’administration pour garantir une gestion exemplaire.</li><li>Assurer que les mandataires publics soient compétents, intègres et choisis sur la base du <strong>mérite</strong>, avec un encadrement accru par l’État actionnaire stratégique.</li></ul><h3><strong>2. Rentabilité et autonomie financière</strong></h3><p>Les entreprises publiques doivent devenir :</p><ul><li><strong>Financièrement autonomes</strong>, en générant des revenus propres et en réduisant leur dépendance vis-à-vis de l’État.</li><li>Plus performantes en mettant en place des <strong>pratiques de gestion rigoureuses</strong>, incluant des mécanismes de contrôle interne et une audibilité complète des résultats financiers.</li><li>Capables d’explorer de nouveaux <strong>modèles économiques rentables</strong> et d’élargir leurs sources de financement à travers des partenariats stratégiques mieux encadrés.</li></ul><h3><strong>3. Innovation et digitalisation comme levier de transformation</strong></h3><p>La modernisation des entreprises passera par :</p><ul><li>L’intégration des <strong>technologies modernes</strong> pour optimiser les processus, réduire les coûts, et améliorer la transparence et la compétitivité.</li><li>L’adoption d’outils de gestion numérique pour des domaines comme la logistique, la comptabilité, les ressources humaines et la gestion financière.</li><li>Un <strong>investissement dans le capital humain</strong>, via des programmes de formation continue pour accompagner la transformation numérique.</li></ul><h3><strong>4. Un engagement collectif pour une réforme durable</strong></h3><p>Les États généraux ont permis de dresser :</p><ul><li>Un <strong>bilan des défis</strong> auxquels sont confrontées les entreprises publiques.</li><li>Des <strong>solutions concrètes</strong> pour transformer ces entreprises en moteurs de développement économique.<br />La Première ministre a salué l’implication de toutes les parties prenantes (gouvernement, partenaires internationaux, acteurs académiques et scientifiques) et souligné l’importance d’une <strong>vision partagée</strong> pour atteindre ces objectifs ambitieux.</li></ul><h3><strong>5. Impact attendu sur le développement de la RDC</strong></h3><p>La modernisation des entreprises publiques doit permettre de :</p><ul><li>Stimuler la croissance économique nationale en améliorant leur contribution au PIB.</li><li>Réduire la pauvreté et les inégalités à travers des retombées économiques et sociales durables.</li><li>Positionner les entreprises publiques congolaises comme des acteurs compétitifs sur les marchés régionaux et mondiaux.</li></ul><p><strong>En conclusion</strong>, Judith Suminwa a réitéré l’engagement du Gouvernement à faire de cette réforme une réalité. La clé réside dans la capacité à conjuguer <strong>transparence, innovation, bonne gouvernance et gestion rigoureuse</strong> pour transformer ces entreprises en leviers de développement durable.</p><p>Qu’en pensez-vous ? Est-ce une démarche réaliste, compte tenu des défis structurels auxquels la RDC fait face ?</p><p></p>

Societé La modernisation des entreprises publiques en RDC apparaît comme une priorité stratégique pour relancer le développement économique du pays

Selon la Première ministre Judith Suminwa , lors de la clôture des États généraux des entreprises du portefeuille de l’État . Voici les prin...

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Constant Mutamba au cœur de la polémique : « Une femme, il faut l’aimer par l’argent ou les paroles »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4gUfHd0DhLewVX8zJdQhQCyOzomD5C9UGM4l2csJYgheO_K8Dnh37UAaviJV0dnFWJmw76ZvacgN8bLSHonc_xX6ZMZVr7ZwFelo5WxB3giXBbZQGVQhZTcwQPmDJ9tzMejljH6pxy7m_Xk-ZHiBHXUtSzpUNH-KLEXucU1A7CAZrwzDqG6fnYQBtxnln/s2048/IMG_6459.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1365" data-original-width="2048" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4gUfHd0DhLewVX8zJdQhQCyOzomD5C9UGM4l2csJYgheO_K8Dnh37UAaviJV0dnFWJmw76ZvacgN8bLSHonc_xX6ZMZVr7ZwFelo5WxB3giXBbZQGVQhZTcwQPmDJ9tzMejljH6pxy7m_Xk-ZHiBHXUtSzpUNH-KLEXucU1A7CAZrwzDqG6fnYQBtxnln/s320/IMG_6459.jpeg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le ministre de la Justice de la République démocratique du Congo, <strong>Constant Mutamba</strong>, a provoqué un tollé après des déclarations controversées faites lors d’un meeting dans la commune de Tshangu, à Kinshasa. Le ministre, s’exprimant sur des abus présumés dans l’utilisation du système judiciaire, a notamment déclaré :</span><p></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« Les histoires de faire arrêter quelqu’un à cause d’une femme doivent s’arrêter. Une femme, il faut l’aimer par l’argent ou les paroles. Pour ça, il ne faut pas faire arrêter quelqu’un. La justice n’est pas un lieu de règlement de comptes. »</span></em></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Des propos qui suscitent l'indignation</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Ces propos ont rapidement suscité une vague d'indignation, tant au sein de la société civile que parmi les acteurs politiques. Plusieurs critiques ont émergé, notamment sur deux aspects majeurs :</span></p><ol><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>La banalisation des abus judiciaires :</strong> En minimisant le problème des arrestations injustifiées pour des conflits d’ordre privé, les déclarations du ministre pourraient être perçues comme une forme de complaisance envers l’instrumentalisation du système judiciaire à des fins personnelles.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Une vision rétrograde des femmes :</strong> La phrase selon laquelle « une femme doit être aimée par l’argent ou les paroles » a été jugée insultante et réductrice. Pour beaucoup, cette déclaration perpétue des stéréotypes sexistes qui réduisent les femmes à des objets de transaction ou de séduction.</span></p></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réactions de la société civile et des femmes politiques</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Plusieurs organisations de défense des droits des femmes ont condamné ces propos, y voyant un manque de respect envers les femmes et un signal inquiétant venant d’un ministre censé défendre la justice et l'égalité des droits.</span></p><ul><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Marie-Louise Mwange</strong>, ancienne ministre et activiste pour les droits des femmes, a déclaré :<br /><em>« Ces propos sont non seulement choquants mais ils montrent aussi combien le leadership politique doit évoluer pour inclure une vision plus respectueuse des femmes. Le ministre de la Justice ne devrait pas tenir ce genre de discours. »</em></span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>La société civile</strong>, pour sa part, a dénoncé un discours qui détourne l’attention des vrais problèmes auxquels la justice congolaise fait face, notamment la corruption, l’absence d’indépendance et les abus de pouvoir.</span></p></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un enjeu plus large : l’indépendance du système judiciaire</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Au-delà de l'indignation provoquée par la déclaration, cette polémique soulève un problème récurrent : l'utilisation abusive du système judiciaire pour régler des conflits privés. Les cas où des individus influents utilisent leur pouvoir pour faire incarcérer des adversaires, souvent pour des motifs futiles, restent monnaie courante en RDC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le ministre Mutamba, au lieu de s’attaquer aux racines de ce problème, semble avoir minimisé sa gravité. Cela risque de nuire davantage à la perception déjà fragilisée de la justice congolaise, souvent critiquée pour son manque d’intégrité et de transparence.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un défi pour le gouvernement</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Ce nouvel épisode met en lumière la nécessité pour le gouvernement congolais de s’engager de manière sérieuse dans des réformes judiciaires et de promouvoir une culture de respect envers les femmes.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La lutte contre les violences faites aux femmes, l’égalité des sexes, et l’indépendance du système judiciaire sont des piliers essentiels pour la construction d’un État de droit. Des propos comme ceux du ministre Constant Mutamba montrent à quel point ces défis sont encore loin d’être surmontés en RDC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Face à la controverse, beaucoup attendent une prise de position officielle de la part du ministre ou du gouvernement. Ce sera l’occasion de clarifier la vision des autorités sur des questions aussi fondamentales que l'égalité des sexes et l'intégrité du système judiciaire.</span></p>

Justice Constant Mutamba au cœur de la polémique : « Une femme, il faut l’aimer par l’argent ou les paroles »

Le ministre de la Justice de la République démocratique du Congo, Constant Mutamba , a provoqué un tollé après des déclarations controversée...

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Air Congo réceptionne son deuxième avion à Kinshasa et poursuit son expansion

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgU68eXS6vn3AUjEJzGf7AknDJ8fADwjT1Y2CQnihHPlnJ1C6YT3LoLPlgG_UP4mlv2mnaqjotwnra7O9GmEqII3lY0gDU0UIodtycsIPAtC9fchBQJ1RkNl7hK4hENwyCbMQq2Ze9G5kFleWZNoB12_70wAdNktarbuaN8zZncWphZdknDwA1IuXiFzMXQ/s1200/IMG-20241201-WA0005.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="1200" height="241" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgU68eXS6vn3AUjEJzGf7AknDJ8fADwjT1Y2CQnihHPlnJ1C6YT3LoLPlgG_UP4mlv2mnaqjotwnra7O9GmEqII3lY0gDU0UIodtycsIPAtC9fchBQJ1RkNl7hK4hENwyCbMQq2Ze9G5kFleWZNoB12_70wAdNktarbuaN8zZncWphZdknDwA1IuXiFzMXQ/w362-h241/IMG-20241201-WA0005.jpg" width="362" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Un deuxième Boeing 737-800 destiné à la compagnie aérienne nationale <strong>Air Congo</strong> a atterri dimanche 15 décembre 2024 à l’aéroport international de N'djili, à Kinshasa. Cet avion, en provenance d’Addis Abeba, marque une nouvelle étape dans le développement de cette jeune compagnie créée pour répondre aux besoins de transport aérien domestique et international en République démocratique du Congo.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une flotte en pleine expansion</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le directeur général d'Air Congo, <strong>Weldegeorgis Mesfin Biru</strong>, s'est réjoui de cette acquisition, qui vient renforcer les ambitions de la compagnie. Il a déclaré :<br /><em>« Ce soir, nous sommes venus à la réception d'un 2ᵉ avion d'Air Congo qui va opérer bientôt avec l’enregistrement de la République démocratique du Congo, le 9S. La réception des avions va continuer jusqu’à atteindre huit avions, et dans un an, nous aurons six avions. »</em></span></p><p><span style="font-family: arial;">Ce nouvel appareil rejoint le premier Boeing 737-800, réceptionné le 30 novembre 2024, marquant le début des opérations pour cette compagnie aérienne nationale.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un partenariat stratégique pour une compagnie moderne</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le lancement d’Air Congo repose sur un <strong>partenariat stratégique</strong> entre la République démocratique du Congo (51 % des parts) et le groupe Ethiopian Airlines (49 %). Ce partenariat, d’un montant total de <strong>40 millions USD</strong>, vise à doter la RDC d’une compagnie aérienne moderne et compétitive tout en s’appuyant sur l’expertise d’Ethiopian Airlines, leader du secteur en Afrique.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Lors de la 14ᵉ session du Conseil des ministres, tenue le 20 septembre 2024, le vice-Premier ministre et ministre des Transports, <strong>Jean-Pierre Bemba</strong>, avait souligné l’importance de ce projet pour le développement du transport aérien en RDC :<br /><em>« Ce partenariat nous permettra non seulement d'améliorer la connectivité nationale et internationale, mais aussi de renforcer la position stratégique de la RDC comme hub aérien en Afrique centrale. »</em></span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un avenir prometteur pour le transport aérien en RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le Gouvernement congolais a annoncé son ambition d’élargir rapidement la flotte d’Air Congo. En plus des deux avions déjà réceptionnés, <strong>quatre autres appareils sont attendus d’ici juin 2025</strong>, portant le total à six d’ici un an, avec un objectif à terme de huit avions.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ce développement s’inscrit dans une stratégie visant à :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Renforcer la connectivité domestique</strong>, facilitant les déplacements à travers le vaste territoire congolais.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Étendre le réseau international</strong>, en reliant la RDC à d’autres hubs majeurs en Afrique et dans le monde.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Réduire le désenclavement</strong> des provinces congolaises, une priorité pour stimuler le développement économique et social du pays.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un accueil symbolique pour un projet d’envergure</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’arrivée de ce deuxième avion a été saluée par un cérémonial de <strong>jet d’eau</strong>, symbole de célébration dans l’aviation. Cet événement marque la volonté du Gouvernement de faire d’Air Congo un levier de transformation du secteur aérien national.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Avec le soutien d’Ethiopian Airlines et une flotte en croissance rapide, Air Congo s’impose comme un acteur clé pour répondre aux besoins croissants en transport aérien, tout en jetant les bases d’un hub aérien stratégique en Afrique centrale.</span></p><p><strong><span style="font-family: arial;">Air Congo est ainsi bien placée pour devenir un symbole de renouveau et d’espoir pour l’aviation en RDC.</span></strong></p>

Societé Air Congo réceptionne son deuxième avion à Kinshasa et poursuit son expansion

Un deuxième Boeing 737-800 destiné à la compagnie aérienne nationale Air Congo a atterri dimanche 15 décembre 2024 à l’aéroport internation...

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Prix Lokumu 5 : Les personnalités congolaises qui ont marqué 2024

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioXVrhPAUcVDVuLwaGzjunCxsrHx2Mprzz6pg2pxO_xgsqioGoAlyNTrpdExIt_ZVnqaOedrvmq2hwG-EZEqcsFm_V-HgBOltUar0QDTR_okJtYUfkogUNmh97L40937rLtKm2WWl8NQZjM2rogo0kqM8k0i1DH50Ko3eAsYZyHtVahDLBT-fY0_mb6VXn/s2560/Heritier%20Wata%20lokumu.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1920" data-original-width="2560" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioXVrhPAUcVDVuLwaGzjunCxsrHx2Mprzz6pg2pxO_xgsqioGoAlyNTrpdExIt_ZVnqaOedrvmq2hwG-EZEqcsFm_V-HgBOltUar0QDTR_okJtYUfkogUNmh97L40937rLtKm2WWl8NQZjM2rogo0kqM8k0i1DH50Ko3eAsYZyHtVahDLBT-fY0_mb6VXn/s320/Heritier%20Wata%20lokumu.jpg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La cinquième édition du <strong>Prix Lokumu</strong> et de la <strong>Soirée des Arts</strong>, organisée le 12 décembre 2024 au centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa, a une fois de plus mis en lumière des talents congolais remarquables. Cet événement culturel de grande envergure, initié par le média <strong>arts.cd</strong>, célèbre chaque année ceux qui font la fierté de la République Démocratique du Congo dans différents domaines artistiques et culturels.</span><p></p><p><span style="font-family: arial;">Avec une <strong>thématique centrale</strong> intitulée <em>« Les gestes qui sauvent l'ère digitale »</em>, l’édition 2024 a également eu un volet de sensibilisation sur les premiers secours, impliquant près de <strong>8 000 élèves finalistes, 150 étudiants et des acteurs culturels</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">La soirée en bref</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Outre les <strong>24 trophées</strong> décernés dans des catégories variées, des <strong>prix spéciaux du jury</strong> ont été attribués à des figures et initiatives ayant un impact significatif, sans passer par le vote public. La soirée a réuni de nombreux artistes congolais de renom, tels que <strong>Héritier Watanabe</strong>, <strong>Michel Bakenda</strong>, <strong>Herman Amisi</strong>, et le groupe <strong>MPR</strong>, dans une ambiance riche en performances artistiques et partages culturels.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Lauréats des prix 2024</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;"><strong>Prix artistiques et culturels principaux</strong> :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Littérature</strong> : <em>David Lucas Kayeye Kasongo</em> pour <em>Alter Ego</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Meilleur média</strong> : <em>Educ TV</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Journaliste culturel</strong> : <em>Joe Bangato</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Maître des cérémonies</strong> : <em>Naomie Dangbele</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Cinéma</strong> : <em>Eric Kasongo</em> pour son film <em>Film Coop</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Photographie</strong> : <em>Nathanaël Milambo</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Art visuel</strong> : <em>Benjamin Benga</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Théâtre de chez nous</strong> : <em>Pierrot Ndombasi</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Album de l’année</strong> : <em>Chemin de la gloire</em> d’<strong>Héritier Watanabe</strong></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Rumba</strong> : <em>Héritier Watanabe</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Hit de l’année</strong> : <em>207</em> de <strong>Fally Ipupa</strong></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Humour</strong> : <em>Herman Amisi</em></span></li></ul><p><span style="font-family: arial;"><strong>Autres distinctions</strong> :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Manager</strong> : <em>Christian Lepira</em>, manager de Céline Banza</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Événement de l’année</strong> : <em>Makutano</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Concert de l’année</strong> : <em>Fally Ipupa</em> à Paris La Défense Arena</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Concert gospel</strong> : <em>Concert du peuple</em> de Moïse Mbiye au Stade des Martyrs</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Prix spéciaux du jury</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;"><strong>Personnalités et institutions honorées</strong> :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Immortel</strong> : <em>Orchestre Symphonique Kimbanguiste</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Légendes urbaines</strong> : <em>MPR</em> et des icônes telles que <em>Eric Nice</em>, <em>Lexxus Légal</em>, <em>Marshall Dixon</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Littérature</strong> : <em>Didier Mumengi</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Impact sociétal</strong> : <em>Pygma</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Humanitaire</strong> : <em>Congo Food</em>, <em>Faustin Ika</em>, <em>Liliane Temuni</em></span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Légendes sportives</strong> : <em>Martin Bakole</em> et <em>les Aigles du Congo</em></span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un rendez-vous culturel unique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le <strong>Prix Lokumu 5</strong> démontre la diversité et le dynamisme du secteur culturel en RDC. Avec une mission claire d’inspirer, de célébrer et de promouvoir les talents congolais, cet événement annuel continue de jouer un rôle essentiel dans la reconnaissance des contributions culturelles et artistiques du pays sur la scène nationale et international</span></p>

culture Prix Lokumu 5 : Les personnalités congolaises qui ont marqué 2024

La cinquième édition du Prix Lokumu et de la Soirée des Arts , organisée le 12 décembre 2024 au centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa, a une...

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Lualaba : Le bourgmestre de Fungurume rétabli par le VPM Jacquemain Shabani après sa suspension par la gouverneure Masuka

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHVQeNlDcev4lOS1ryg_gCvik-P-Qpxb8d4JnoW7o4NSB83rvOy0jnqYyaFffxahtAstybKqzcplCCvr9aADmAZvmBvprRGZ2rA4GkkaxSw147rw9uCyTW9c66ITS3Jc5mUKiitp7EyyW0oJPuFWkvE7mM24yWpJUxKBoF3tskzl51S-v96A8JnQRo5VBO/s970/1734095329.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="570" data-original-width="970" height="188" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHVQeNlDcev4lOS1ryg_gCvik-P-Qpxb8d4JnoW7o4NSB83rvOy0jnqYyaFffxahtAstybKqzcplCCvr9aADmAZvmBvprRGZ2rA4GkkaxSw147rw9uCyTW9c66ITS3Jc5mUKiitp7EyyW0oJPuFWkvE7mM24yWpJUxKBoF3tskzl51S-v96A8JnQRo5VBO/s320/1734095329.png" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Moins de 48 heures après sa suspension par la gouverneure de la province du Lualaba, <strong>Fifi Masuka</strong>, le bourgmestre de la commune rurale de Fungurume, <strong>Leusaint Kalend Ntamb</strong>, a été rétabli dans ses fonctions par le Vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur, <strong>Jacquemain Shabani</strong>.</span><p></p><p><span style="font-family: arial;">Dans un télégramme adressé à la gouverneure, le VPM a ordonné le retrait de l’arrêté suspendant le bourgmestre, tout en convoquant Fifi Masuka à Kinshasa pour des consultations immédiates. Cette décision vient raviver des tensions politiques dans la province.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte de la suspension</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le bourgmestre de Fungurume avait été suspendu à titre préventif pour des accusations de :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Manquement grave</strong>,</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Indiscipline</strong>,</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Insubordination</strong>,</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Détournement présumé des deniers publics</strong>.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">La gouverneure Masuka avait justifié cette décision en se basant sur les conclusions d’un rapport de mission mixte d’évaluation des Entités Territoriales Décentralisées (ETD), publié le <strong>23 septembre 2024</strong>. Ce rapport soulevait des indices de mauvaise gestion des fonds issus de la redevance minière sur la période 2021-2024.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réactions et implications</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le télégramme du VPM <strong>Jacquemain Shabani</strong>, qui rétablit Leusaint Kalend Ntamb, a non seulement annulé l’arrêté de suspension, mais a aussi fragilisé l’autorité de la gouverneure sur la gestion de cette affaire. En convoquant cette dernière à Kinshasa, le ministre de l’Intérieur semble vouloir centraliser la gestion de cette crise.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Prochaines étapes</span></strong></h3><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Consultation à Kinshasa</strong> : Fifi Masuka devra s’expliquer devant le VPM sur ses décisions.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Enquête sur les accusations</strong> : Bien que le bourgmestre ait été rétabli, les accusations de détournement et d’indiscipline pourraient faire l’objet d’une enquête approfondie.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Cette affaire souligne les tensions récurrentes entre les autorités provinciales et nationales dans la gestion des entités locales, particulièrement dans des régions stratégiques comme le <strong>Lualaba</strong>, riche en ressources minières.</span></p>

Politique Lualaba : Le bourgmestre de Fungurume rétabli par le VPM Jacquemain Shabani après sa suspension par la gouverneure Masuka

Moins de 48 heures après sa suspension par la gouverneure de la province du Lualaba, Fifi Masuka , le bourgmestre de la commune rurale de Fu...

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Kinshasa : Le Conseil des ministres examinera les mesures de décongestion routière ce vendredi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCYyPAw1LPJ1Lmd1siqsv83dVI0lFj3h35Xwk_ytEpD4-SNYkJ6uSkfXAWR2H56A14EgQi0qOgipoSaz1gsKhXTJCjdubfX7urKQkx5Tco8tdSLIS5ZflYuKyeMhp-5O8FzYyc3X_sB8yl6FqlB4JV7RyHw2kcxhtA7tYYjLsADSjNT7FM__4gm7CDlEVp/s1280/WhatsApp%20Image%202024-08-07%20at%2019.51.13%20(2).jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="853" data-original-width="1280" height="237" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCYyPAw1LPJ1Lmd1siqsv83dVI0lFj3h35Xwk_ytEpD4-SNYkJ6uSkfXAWR2H56A14EgQi0qOgipoSaz1gsKhXTJCjdubfX7urKQkx5Tco8tdSLIS5ZflYuKyeMhp-5O8FzYyc3X_sB8yl6FqlB4JV7RyHw2kcxhtA7tYYjLsADSjNT7FM__4gm7CDlEVp/w356-h237/WhatsApp%20Image%202024-08-07%20at%2019.51.13%20(2).jpeg" width="356" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;"></span><p></p><p><span style="font-family: arial;">Ce vendredi 13 décembre 2024, le <strong>rapport d’évaluation des mesures de décongestion routière</strong> sera présenté au Conseil des ministres. L’objectif est de permettre au gouvernement d’analyser l’impact de ces initiatives sur la circulation, les embouteillages et les coûts de transport à Kinshasa, afin de décider de leur maintien, modification ou abandon.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Annonce officielle</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette annonce a été faite par <strong>Jacquemain Shabani</strong>, Vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur, lors d’un point de presse conjoint avec <strong>Patrick Muyaya</strong>, ministre de la Communication et des Médias. Selon Shabani, le rapport compile des retours de la population et des parties prenantes, discutés lors d’une réunion d’évaluation organisée trois jours auparavant à la demande de la Première ministre <strong>Judith Suminwa Tuluka</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte et mesures adoptées</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pour répondre à la congestion routière chronique de la capitale, plusieurs mesures expérimentales ont été mises en place par la <strong>Commission nationale de prévention routière (CNPR)</strong> et d’autres services :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Sens unique</strong> sur certaines artères très fréquentées ;</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Renforcement de la présence policière</strong> aux intersections clés ;</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Campagnes de sensibilisation</strong> au civisme routier ;</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Circulation alternée</strong> sur certains axes.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Ces initiatives, bien qu’instaurées pour fluidifier le trafic, ont été critiquées par une grande partie de la population. Les Kinois estiment que les embouteillages ont empiré, avec des retards fréquents et une augmentation des coûts de transport.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Prochaines étapes</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le <strong>Conseil des ministres</strong>, sous la direction de la Première ministre, se prononcera sur les conclusions du rapport. Plusieurs options sont envisagées :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>Poursuite des mesures avec ajustements</strong> : en se basant sur les observations collectées ;</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Abandon partiel ou total</strong> des mesures controversées ;</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Lancement de nouvelles initiatives</strong> pour traiter les faiblesses actuelles.</span></li></ol><p><span style="font-family: arial;">Le président <strong>Félix Tshisekedi</strong> a également souligné l’importance de l’amélioration de ces stratégies pour offrir une meilleure fluidité et des déplacements plus agréables aux Kinois.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Tensions entre autorités et population</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le mécontentement général reflète les frustrations quotidiennes des usagers de la route à Kinshasa. Si les autorités affichent un optimisme quant aux résultats à long terme, elles doivent désormais concilier <strong>les attentes de la population</strong> et <strong>les impératifs de gestion urbaine</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ce rapport pourrait donc marquer un tournant dans la manière dont les embouteillages, un des défis majeurs de Kinshasa, sont abordés.</span></p>

Politique Kinshasa : Le Conseil des ministres examinera les mesures de décongestion routière ce vendredi

Ce vendredi 13 décembre 2024, le rapport d’évaluation des mesures de décongestion routière sera présenté au Conseil des ministres. L’object...

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RDC : Le gouvernement vise 1.476,4 milliards CDF de recettes fiscales en décembre 2024

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiaxNuG0AkkyLDLBk0IjDE39BcefqMyHGl-9XjXJM4NxLIj96Px77G1bIqTcKJxR_ZiLwFbfzGm0sh9CFQy59fDcSN3ulW1hAMTdY3Q8Lu16vBrQ1yd_38MxCKdLvpZG1sS9FVr3SzQm-Wu3p8T-DPFRfd2yGCz6MgEBpk4Pz1L4AHtYwpRRD67sLx5WANh/s737/0AE5118E-E403-4537-A1AC-B97BF42B99F2.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="416" data-original-width="737" height="227" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiaxNuG0AkkyLDLBk0IjDE39BcefqMyHGl-9XjXJM4NxLIj96Px77G1bIqTcKJxR_ZiLwFbfzGm0sh9CFQy59fDcSN3ulW1hAMTdY3Q8Lu16vBrQ1yd_38MxCKdLvpZG1sS9FVr3SzQm-Wu3p8T-DPFRfd2yGCz6MgEBpk4Pz1L4AHtYwpRRD67sLx5WANh/w401-h227/0AE5118E-E403-4537-A1AC-B97BF42B99F2.jpeg" width="401" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais prévoit de mobiliser <strong>1.476,4 milliards de CDF</strong> en recettes fiscales pour le mois de décembre 2024, selon le <strong>plan de trésorerie prévisionnel</strong> consulté par l'Agence Congolaise de Presse (ACP).</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte budgétaire</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La note de conjoncture économique publiée par la <strong>Banque Centrale du Congo (BCC)</strong> révèle que, malgré ces prévisions de recettes, les dépenses projetées pour la même période s’élèvent à <strong>2.239,7 milliards de CDF</strong>, ce qui laisse entrevoir un <strong>déficit budgétaire significatif</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En novembre 2024, le Plan de trésorerie de l’État s’est également soldé par un déficit de <strong>651,6 milliards de CDF</strong>, bien supérieur au montant initialement programmé de <strong>305,1 milliards de CDF</strong>. Ce déficit a été comblé grâce à :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>457,2 milliards de CDF</strong> provenant des titres publics ;</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>194,4 milliards de CDF</strong> issus d’une marge de trésorerie constituée auparavant.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Performance des régies financières</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré quelques contre-performances, notamment à la <strong>Direction Générale des Impôts (DGI)</strong>, d’autres régies ont surpassé leurs objectifs :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA)</strong> : réalisation de <strong>534,4 milliards CDF</strong>, soit une plus-value de <strong>7,7 %</strong> par rapport à la prévision de 496,4 milliards.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Direction Générale des Recettes Administratives, Domaniales, Judiciaires et de Participation (DGRAD)</strong> : collecte de <strong>402,9 milliards CDF</strong>, dépassant la projection de 359,6 milliards, avec une plus-value de <strong>12,1 %</strong>.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">En revanche, la <strong>DGI</strong> a enregistré une collecte de <strong>1.539,2 milliards CDF</strong>, en dessous du montant prévisionnel de <strong>1.652,9 milliards CDF</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Taux de réalisation global en novembre</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En novembre 2024, les recettes publiques ont atteint <strong>2.476,6 milliards CDF</strong>, soit un taux de réalisation de <strong>98,1 %</strong> par rapport à une prévision de 2.525,7 milliards.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Défis et perspectives</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais devra non seulement combler les déficits budgétaires persistants, mais aussi renforcer la mobilisation des recettes fiscales pour répondre aux exigences des dépenses publiques. Le recours à des <strong>titres publics</strong> et une gestion plus efficace des ressources parafiscales pourraient continuer à jouer un rôle clé dans la stabilisation financière du pays.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L’efficacité des trois principales régies financières (DGI, DGDA, et DGRAD) sera déterminante pour atteindre les objectifs budgétaires fixés pour la fin d’année 2024.</span></p>

Economie RDC : Le gouvernement vise 1.476,4 milliards CDF de recettes fiscales en décembre 2024

Le gouvernement congolais prévoit de mobiliser 1.476,4 milliards de CDF en recettes fiscales pour le mois de décembre 2024, selon le plan d...

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Opération « Ndobo » à Kinshasa : 784 arrestations pour lutter contre le banditisme urbain

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhoS8TSYXlJa47piGzdEl-nL-S4idmM2XH-43LtGdv_EAYZTASa1HsgWq4j6a3MOm4i9ugqvxfQ1VnGYEB5CNCO7Wxe_SNck1sPjfjP5LZ1YP7iylVA-Z7rujfv8PHJ2lex7tegj1jSiIfb8cWnrfweo6_qzyWdr49R_F0mezjUw80n_EIvQgIZWx0A3wSW/s1024/WhatsApp-Image-2024-12-12-at-23.40.07-1024x585.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="585" data-original-width="1024" height="209" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhoS8TSYXlJa47piGzdEl-nL-S4idmM2XH-43LtGdv_EAYZTASa1HsgWq4j6a3MOm4i9ugqvxfQ1VnGYEB5CNCO7Wxe_SNck1sPjfjP5LZ1YP7iylVA-Z7rujfv8PHJ2lex7tegj1jSiIfb8cWnrfweo6_qzyWdr49R_F0mezjUw80n_EIvQgIZWx0A3wSW/w366-h209/WhatsApp-Image-2024-12-12-at-23.40.07-1024x585.jpeg" width="366" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Dans le cadre de l’opération <strong>« Ndobo »</strong>, lancée pour combattre le banditisme urbain, la police nationale congolaise a arrêté <strong>784 individus</strong> à Kinshasa, a annoncé <strong>Jacquemain Shabani</strong>, vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, lors d’un briefing tenu le 12 décembre 2024.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Justice et État de droit</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Selon Jacquemain Shabani, ces personnes sont en cours de transfert devant leurs juges naturels, conformément aux lois de la République :</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« Nous sommes un État de droit. Chaque individu arrêté sera présenté à la justice, qui est indépendante et chargée de statuer sur leur sort », a-t-il souligné.</span></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Déploiement de l’opération dans d'autres provinces</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Bien que l’opération ait débuté à Kinshasa, elle sera étendue progressivement aux autres grandes villes de la RDC où le taux de criminalité est préoccupant. Un plan opérationnel national, élaboré par le commandement général de la police, prévoit un appui renforcé pour les zones particulièrement touchées par le banditisme urbain.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Shabani a précisé :</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« Kinshasa a été choisie comme ville pilote, mais bientôt des actions similaires seront mises en œuvre dans d’autres provinces identifiées comme à risque. »</span></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Problématique des embouteillages à Kinshasa</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Lors de ce même briefing, le vice-Premier ministre a abordé la question cruciale des <strong>embouteillages à Kinshasa</strong>, qui suscitent de nombreuses plaintes.</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« La circulation dans la capitale est une préoccupation majeure du gouvernement. Des solutions telles que la circulation à sens unique et une campagne de civisme routier ont été expérimentées sur certains tronçons », a-t-il indiqué.</span></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Une réunion d’évaluation s’est tenue récemment à la demande de la Première ministre <strong>Judith Suminwa Tuluka</strong>, pour examiner les résultats et les retours de ces mesures. Un rapport détaillé sera présenté au <strong>Conseil des ministres ce vendredi</strong>, afin de décider de leur éventuelle amélioration ou de leur abandon.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Vers une stratégie globale pour Kinshasa et le pays</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais semble déterminé à s’attaquer à deux problématiques majeures :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>La lutte contre l’insécurité urbaine</strong> avec des initiatives comme l’opération « Ndobo ».</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Le désengorgement des routes</strong> à travers des mesures expérimentales et des consultations pour identifier les solutions les plus efficaces.</span></li></ol><p><span style="font-family: arial;">Ces efforts traduisent la volonté de renforcer la sécurité et la fluidité dans la capitale et les grandes villes de la RDC.</span></p>

Justice Opération « Ndobo » à Kinshasa : 784 arrestations pour lutter contre le banditisme urbain

Dans le cadre de l’opération « Ndobo » , lancée pour combattre le banditisme urbain, la police nationale congolaise a arrêté 784 individus ...

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CAF Awards 2024 : qui succédera à Victor Osimhen comme meilleur joueur africain ?

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFdQcqBCLMLl1-blMpiGnpKmW2fKwB2oGTHTq-du15RmGIqVFTowVm1TzN_F4-UvMOe5b6EeOZqC6i5W6evnsPuPjuhHoe6SOYh5cBkBtichQ52AV64EF8iVFpkoXLk5ORBHeNyjItEM_FyPbguO8Qj81kWgHKqOzPBPyulva2fXLG0OtxfviSX5zUPWMb/s711/caf_awards_2452_png_711_473_1.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="248" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFdQcqBCLMLl1-blMpiGnpKmW2fKwB2oGTHTq-du15RmGIqVFTowVm1TzN_F4-UvMOe5b6EeOZqC6i5W6evnsPuPjuhHoe6SOYh5cBkBtichQ52AV64EF8iVFpkoXLk5ORBHeNyjItEM_FyPbguO8Qj81kWgHKqOzPBPyulva2fXLG0OtxfviSX5zUPWMb/w372-h248/caf_awards_2452_png_711_473_1.png" width="372" /></a></div> <p></p><p><span style="font-family: arial;">Le suspense est à son comble à l’approche de la cérémonie des <strong>CAF Awards 2024</strong>, prévue le <strong>16 décembre à Marrakech</strong>, au Maroc. Les regards sont tournés vers les cinq finalistes en lice pour le prestigieux <strong>Prix du meilleur Joueur Africain de l’Année</strong>, une récompense qui honore les performances individuelles exceptionnelles et l’impact des joueurs africains sur la scène mondiale.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les finalistes de cette année</span></strong></h3><ol><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Simon Adingra (Côte d’Ivoire)</strong><br />Le milieu offensif de <strong>Brighton & Hove Albion</strong> en Premier League a ébloui par sa créativité et sa régularité tout au long de l’année. Il est considéré comme l’une des révélations du football européen.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Serhou Guirassy (Guinée)</strong><br />L’attaquant du <strong>Borussia Dortmund</strong> a connu un début de saison exceptionnel, inscrivant des buts décisifs en Bundesliga et en compétitions européennes, ce qui en fait un sérieux candidat.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Achraf Hakimi (Maroc)</strong><br />Le défenseur polyvalent du <strong>Paris Saint-Germain</strong> continue de prouver son immense talent dans les plus grandes compétitions. Son leadership et son influence sur le terrain le placent parmi les favoris.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Ademola Lookman (Nigéria)</strong><br />L’ailier de l’<strong>Atalanta</strong> en Serie A a confirmé son rôle clé cette saison avec des performances brillantes et des buts importants pour son club.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Ronwen Williams (Afrique du Sud)</strong><br />Le gardien de but de <strong>Mamelodi Sundowns</strong> a été un héros lors de la CAN TotalEnergies 2023, contribuant aux succès de son équipe par ses parades décisives.</span></p></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un prix emblématique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Depuis sa création en 1970, ce prix est devenu une référence dans le football africain. Sous l’égide de la <strong>CAF depuis 1992</strong>, il célèbre les joueurs qui marquent leur époque. Cette année, l’enjeu est de succéder au Nigérian <strong>Victor Osimhen</strong>, lauréat en 2023.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un palmarès dominé par les légendes</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Avec chacun quatre trophées, le Camerounais <strong>Samuel Eto’o</strong> et l’Ivoirien <strong>Yaya Touré</strong> restent les figures emblématiques de ce prix. Qui parmi les finalistes rejoindra cette élite ou inscrira son nom pour la première fois ?</span></p><p><span style="font-family: arial;">La réponse sera dévoilée à Marrakech dans quelques jours, pour une soirée qui s’annonce mémorable pour tous les passionnés de football africain. <strong>Qui, selon vous, mérite ce titre cette année ?</strong></span></p>

Sport CAF Awards 2024 : qui succédera à Victor Osimhen comme meilleur joueur africain ?

  Le suspense est à son comble à l’approche de la cérémonie des CAF Awards 2024 , prévue le 16 décembre à Marrakech , au Maroc. Les regards ...

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Une vive réaction de l'opposition, notamment de Prince Epenge, porte-parole de Lamuka sur le discours sur l'état de la nation prononcé récemment par le président Félix Tshisekedi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiElJ0MriW45LiRtWYc_dTJp8uXISjN-h4HcKoltX41C5hiSDkJBIs12RlrSryfxY6HG8gfUP-nUcbTsY0Maxjgf4Fs1xCa55LYN6Y6xxGT_7LUVCLBFHTs2HyM34ypgGxmSFQ3lmQhnZ7xZMF1V8GI8plb9dQHT8erfD5p16RHZDARSHdvrWtMsyCd5JBE/s711/prince_epenge_243_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiElJ0MriW45LiRtWYc_dTJp8uXISjN-h4HcKoltX41C5hiSDkJBIs12RlrSryfxY6HG8gfUP-nUcbTsY0Maxjgf4Fs1xCa55LYN6Y6xxGT_7LUVCLBFHTs2HyM34ypgGxmSFQ3lmQhnZ7xZMF1V8GI8plb9dQHT8erfD5p16RHZDARSHdvrWtMsyCd5JBE/s320/prince_epenge_243_jpg_711_473_1.jpeg" width="320" /></a></div><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une critique acerbe du discours présidentiel</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Prince Epenge a qualifié l'allocution présidentielle de "discours fleuve plein de promesses", en déplorant que les Congolais, confrontés à des problèmes quotidiens, n'y aient trouvé aucun intérêt. Selon lui, les défis majeurs du pays restent sans réponse :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Une <strong>espérance de vie en régression</strong>,</span></li><li><span style="font-family: arial;">La <strong>faim et la pauvreté</strong> en augmentation,</span></li><li><span style="font-family: arial;">Une situation sécuritaire préoccupante, avec le <strong>M23</strong> occupant des territoires plus vastes qu'en 2012,</span></li><li><span style="font-family: arial;">Un <strong>chômage massif</strong> affectant une majorité de Congolais en âge de travailler.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">La réforme constitutionnelle remise en question</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L'idée de réformer la Constitution, évoquée en fin de discours par Félix Tshisekedi, a été rejetée avec fermeté par Prince Epenge. Selon lui, les Congolais ont déjà "réfléchi" et concluent que le problème du pays ne réside pas dans la <strong>Constitution</strong>, mais dans la gouvernance du président lui-même.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Epenge insiste que <strong>ce qui doit changer</strong>, ce n'est pas le cadre légal en vigueur, mais les <strong>conditions sociales et économiques</strong> des citoyens. Il souligne que la Constitution actuelle est une œuvre <strong>conçue par et pour les Congolais</strong>, et qu'elle ne devrait pas servir de prétexte à détourner l'attention des enjeux sociaux.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à l'action sociale plutôt qu'à des réformes structurelles</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Prince Epenge conclut en rappelant que les priorités du peuple congolais sont ailleurs : améliorer leur quotidien, assurer la sécurité et créer des opportunités économiques. En ce sens, il critique ce qu’il considère comme une tentative de diversion face aux vrais problèmes de la RDC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette intervention illustre l’opposition croissante entre le camp présidentiel et une partie de la classe politique et sociale, à l’approche d’échéances électorales cruciales pour le pays. <strong>Pensez-vous que cette réforme constitutionnelle pourrait apaiser ou au contraire aggraver les tensions politiques actuelles ?</strong></span></p>

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La question de la révision ou du changement de la constitution , la CENCO en appelle à une réflexion approfondie sur le sujet

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLNw4DYHyMhniQlPoPSSnOVsAK9Jso2-rTXsdCyUyTRxitWFgouOG_jHMBP5Uvh27bqJI_O1jnKOtaDoLKf8MPwCpdIA8B2E9QnOptlk0T-qiUhWZ6XkKWmS4zPrm_OdgeP8Js1GcZprqH40I9ZexKbT9iq2BVM3gstnftIcPDQNj4EqVvrNAzFe9rK41N/s750/cq5dam.thumbnail.cropped.750.422%20(1).jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="422" data-original-width="750" height="207" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLNw4DYHyMhniQlPoPSSnOVsAK9Jso2-rTXsdCyUyTRxitWFgouOG_jHMBP5Uvh27bqJI_O1jnKOtaDoLKf8MPwCpdIA8B2E9QnOptlk0T-qiUhWZ6XkKWmS4zPrm_OdgeP8Js1GcZprqH40I9ZexKbT9iq2BVM3gstnftIcPDQNj4EqVvrNAzFe9rK41N/w368-h207/cq5dam.thumbnail.cropped.750.422%20(1).jpeg" width="368" /></a></div><br /><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la réflexion scientifique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Lors d’une conférence-débat organisée en collaboration avec l’Université Catholique du Congo (UCC), à l’occasion de la <strong>Journée internationale des droits de l’homme</strong>, la CENCO a encouragé les experts, universitaires et acteurs politiques à analyser de manière objective les enjeux liés à une éventuelle réforme constitutionnelle. Sous le thème <em>« La paix et les droits humains en RDC à l’aune de la Constitution du 18 février 2006 : défis et perspectives »</em>, les débats ont mis en avant des visions divergentes mais constructives.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Des points de vue variés</span></strong></h3><ol><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Jean-Claude Tshilumbayi Musawu</strong>, 1ᵉʳ vice-président de l’Assemblée nationale, a soutenu la nécessité de revisiter la <strong>Loi fondamentale</strong>, estimant que certains ajustements sont indispensables pour répondre aux défis actuels de gouvernance et de développement.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Delly Sessanga</strong>, président du parti Envol, a plaidé pour la prudence, insistant sur le fait qu’une révision ou un changement de la Constitution pourrait compromettre la <strong>stabilité</strong> du pays. Selon lui, les priorités devraient se concentrer sur la cohésion sociale et le renforcement du vivre-ensemble.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;">La professeure <strong>Arlette Masamuna Silumvumina</strong> a élargi le débat en évoquant les <strong>droits des femmes</strong>, notamment leur accès à l’éducation comme une condition préalable au développement du pays. Elle a souligné qu’une meilleure participation citoyenne des femmes ne peut être garantie sans des mesures concrètes pour réduire leur analphabétisme.</span></p></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un débat à fort enjeu politique et social</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cet échange intervient dans un contexte où la question constitutionnelle est devenue un sujet sensible. Le président Félix Tshisekedi a récemment évoqué une "réflexion nationale" sur ce thème, provoquant des réactions diverses. Certains acteurs politiques, comme <strong>Lamuka</strong>, estiment que la priorité devrait être donnée à l'amélioration des conditions de vie des Congolais, plutôt qu'à un changement de cadre légal.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">CENCO : promouvoir la stabilité et les droits humains</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La position de la CENCO reste celle d’un acteur neutre et modérateur, encourageant un dialogue basé sur des analyses scientifiques et des consultations inclusives. Pour l’Église catholique, toute décision concernant la Constitution doit servir à <strong>renforcer la stabilité</strong>, promouvoir la paix et garantir les droits humains en RDC.</span></p><p><strong><span style="font-family: arial;">Qu’en pensez-vous ? La révision de la Constitution peut-elle être une solution pour relever les défis actuels de la RDC ou risque-t-elle d’aggraver les tensions sociales et politiques ?</span></strong></p>

Politique La question de la révision ou du changement de la constitution , la CENCO en appelle à une réflexion approfondie sur le sujet

Un appel à la réflexion scientifique Lors d’une conférence-débat organisée en collaboration avec l’Université Catholique du Congo (UCC), à l...

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Le Ferre Gola : Tête d'affiche de l'ouverture de la Foire Internationale de Kinshasa

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidyMKh_xpI6-EIBfgI1OXH2btl3yQ75lrSOXFxdhxAVQv-1_GyfZbph-fPZn7faXaC4AGfEFz8VlIjez0qHwdNlz5FlLe00kD29ltROeVkcZFH-gqZSbetUSa-sJpTHsTPZkKQreG_ePpR7lLmIqG0HDlkVya87NkMTyczAZVvWHh2WTTGkEyCpclkBRxg/s1075/Snapinstaapp_438804742_17912760047931784_1107281324698017157_n_1080-e1715247854813.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="906" data-original-width="1075" height="270" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidyMKh_xpI6-EIBfgI1OXH2btl3yQ75lrSOXFxdhxAVQv-1_GyfZbph-fPZn7faXaC4AGfEFz8VlIjez0qHwdNlz5FlLe00kD29ltROeVkcZFH-gqZSbetUSa-sJpTHsTPZkKQreG_ePpR7lLmIqG0HDlkVya87NkMTyczAZVvWHh2WTTGkEyCpclkBRxg/s320/Snapinstaapp_438804742_17912760047931784_1107281324698017157_n_1080-e1715247854813.jpg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le célèbre chanteur <strong>Le Ferre Gola</strong>, également connu sous le nom de <strong>Le Padre</strong>, animera la soirée d'ouverture de la <strong>Foire Internationale de Kinshasa (FIKIN)</strong>, le <strong>21 décembre 2024</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un événement culturel et économique majeur</span></strong></h3><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Lieu :</strong> FIKIN, un site emblématique de Kinshasa.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Ticket d'entrée :</strong> 5000 FC, rendant l'événement accessible à un large public.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Pourquoi Le Ferre Gola ?</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le choix de cet artiste incontournable reflète son influence sur la scène musicale congolaise et internationale. Connu pour ses performances captivantes et son répertoire varié, il apportera une dimension culturelle forte à cette manifestation.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">La FIKIN : Plus qu'une foire</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La <strong>Foire Internationale de Kinshasa</strong> est un événement attendu, mêlant :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Opportunités commerciales :</strong> Rencontres entre opérateurs économiques congolais et étrangers.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Animations culturelles :</strong> Musique, expositions et spectacles.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Promotion locale :</strong> Valorisation des produits et savoir-faire congolais.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">À ne pas manquer !</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cet événement promet d’être un mélange vibrant de musique, d’affaires et de culture. Si vous êtes à Kinshasa ou prévoyez d’y être, réservez votre soirée pour vivre un moment unique en compagnie de <strong>Le Ferre Gola</strong> et d’autres surprises qui marqueront le lancement de cette 46e édition de la FIKIN.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Envisagez-vous d’assister à cet événement ou souhaitez-vous des informations sur d'autres activités prévues lors de la Foire ?</span></p>

Musique Le Ferre Gola : Tête d'affiche de l'ouverture de la Foire Internationale de Kinshasa

Le célèbre chanteur Le Ferre Gola , également connu sous le nom de Le Padre , animera la soirée d'ouverture de la Foire Internationale d...

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