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La Guerre sans fin à l'Est; M23 passe le relais à ADF-NALU !

December 10, 2013

Au tour de Kinshasa la Nation Politique La Guerre sans fin à l'Est; M23 passe le relais à ADF-NALU !

Fuyant le Nord-Kivu après la mise en déroute du M23 par les FARDC, les rebelles ougandais d'ADF-NALU ont choisi de faire la rés...

Etienne Tshisekedi rend hommage à Nelson Mandela

December 10, 2013

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6Z_fFNCwnE1Bd_dyAo_l9-oV4H2V7Ps-USPOtkBryAT8fg3o7_ZV5KowrZX7XQ9HoDEaFxQ0d1lR6gKWjwRwHC1r0dvzN0AJwmR-K5kIxhl8ZDTWI32FSsEGF2j-Np62tcw-X50-yn7w/s1600/instantan%C3%A9_019~1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6Z_fFNCwnE1Bd_dyAo_l9-oV4H2V7Ps-USPOtkBryAT8fg3o7_ZV5KowrZX7XQ9HoDEaFxQ0d1lR6gKWjwRwHC1r0dvzN0AJwmR-K5kIxhl8ZDTWI32FSsEGF2j-Np62tcw-X50-yn7w/s400/instantan%C3%A9_019~1.jpg" width="400" /></a></div>
<h3>
<span style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif;">En signant hier le registre de condoléances à l’Ambassade de l’Afrique du Sud en RDC</span></h3>
Etienne Tshisekedi, président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), a rendu hommage à Nelson Mandela, héros de la lutte anti-apartheid, cours d’une visite effectuée  hier lundi 09 décembre 2013  à la résidence officielle  de l’ambassade de l’Afrique du Sud à Kinshasa, capitale de la Rd Congo.<br />
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Le sphinx de Limete a signé, à cette occasion, le registre de condoléances pour témoigner sa grande considération pour<br />
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ce digne fils d’Afrique aujourd’hui une icône pour le monde entier à travers sa lutte contre l’apartheid dans son pays ainsi qu’en faveur de la paix et la liberté de l’homme.<br />
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Mais auparavant, le président Tshisekedi a présenté à l’ambassadeur de l’Afrique du Sud, qui l’a reçu personnellement à son arrivée, ses condoléances à la suite de la disparition de Nelson Mandela, premier président élu démocratiquement en Afrique du sud.<br />
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L’ambassadeur sud-africain a remercié le père de la démocratie congolaise pour son soutien en ce moment de douleur. Il a ensuite donné le programme des obsèques à Etienne Tshisekedi, tout en lui confirmant que c’est ce mardi 10 décembre que  Mandela sera enterré dans son village natal.<br />
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Etienne Tshisekedi était accompagné d’une forte délégation de l’UDPS à la résidence officielle de l’ambassadeur de l’Afrique du Sud. Parmi les membres de la délégation, il y avait notamment le secrétaire général du parti, M. Bruno Mavungu. De nombreux membres du parti, sur des motos, ont également suivi le cortège du lider maximo en scandant les chansons du parti.
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Au tour de Kinshasa la Nation Politique Etienne Tshisekedi rend hommage à Nelson Mandela

En signant hier le registre de condoléances à l’Ambassade de l’Afrique du Sud en RDC Etienne Tshisekedi, président de l’Union pour...

JOURNEE CHOMEE ET PAYEE UNIQUEMENT A KINSHASA La « kinoisisation » s’invite aux obsèques de Tabu Ley

December 09, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZ4DkTMlaOWcHNqWPqsEQs2tbLsYqbO4ODLKLkAOhE2OevoSSOHmYt9uh1WItSOLBEoYrsmsu_cwuLF7jObNqIX6Jlq9KnKqUVibWLgJb82jW6mLdPzuQw4DucT3WqkHGev3ZN3fDDVU8/s1600/1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="281" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZ4DkTMlaOWcHNqWPqsEQs2tbLsYqbO4ODLKLkAOhE2OevoSSOHmYt9uh1WItSOLBEoYrsmsu_cwuLF7jObNqIX6Jlq9KnKqUVibWLgJb82jW6mLdPzuQw4DucT3WqkHGev3ZN3fDDVU8/s400/1.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;"><strong>A l’heure de la cohésion nationale, l’hommage au roi de la rumba congolaise aurait dû concerner toute la Nation</strong><img alt="" src="http://www.forumdesas.com/admin/gallery/photo/La%20%C2%AB%20kinoisisation%20%C2%BB.JPG" style="float: left; height: 201px; margin-left: 5px; margin-right: 5px; width: 300px;" /></span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;"><strong>Au lendemain de l'inhumation de Tabu Ley, des interrogations. D'abord sur la confusion autour du caractère " </strong><strong><em>chômé </em></strong><strong>" de la journée d'hier lundi. Ensuite sur sa restriction à la seule ville de Kinshasa. Enfin, suite au précédent, sur la tendance à la "<em>kinoisisation</em>" de l'hommage à un artiste à vocation nationale et de renommée internationale. </strong></span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;">     Bon nombre de parents de la capitale ont envoyé leurs enfants hier à l’école pour, par la suite, s’entendre dire que la journée de lundi 09 décembre 2013 avait été décrétée « <em>chômée et payée</em> » à Kinshasa. Quelle consternation de la part de ceux qui n’avaient pas été informés bien à temps pour prendre des dispositions utiles. Du carburant ainsi gaspillé au lieu d’être économisé juste parce que la « <em>kinoisisation</em> » de Pascal Tabu Ley, icône de la musique congolaise comme on n’a cessé de le dire, était au centre de ses obsèques en lieu et place d’un hommage national pour redonner à une star internationale sa vraie dimension et lui offrir des honneurs dignes de son nom.</span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;">     Pour une journée chômée et payée, on ne peut pas dire que les Kinois étaient suffisamment préparés à cet évènement. D’abord, c’est tard dans la nuit que certains habitants de la capitale congolaise avaient été informés alors que la nouvelle pouvait faire le tour de la ville si elle avait été annoncée dès samedi pour que les uns et les autres le sachent déjà et prennent les dispositions utiles. Mais, à la place, c’est la « <em>kinoilisation</em> » de Tabu Ley qui était malheureusement au centre de tout.</span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;">     Fallait-il réellement réduire Pascal Tabu Ley à un Kinois là où partout en Afrique et même à Cuba, en passant par l’Europe et les Etats-Unis, il compte un nombre incalculable d’admirateurs ? Logiquement, une telle icône ne méritait pas d’être réduite à une affaire des Kinois. D’ailleurs, le Congo voisin a même dépêché son ministre de la Culture pour émettre sur le même diapason que celui qui quitte la terre de ses ancêtres avec environ 3000 chansons léguées à la postérité. Si l’Afrique est trop petite pour incarner la stature de « <em>Seigneur Ley</em> », rien ne justifiait qu’on le réduise au rang d’un simple artiste kinois alors que même à Cuba on ne cesse de pleurer Pascal Tabu Ley.</span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;">     Par rapport au souci même de conférer à Tabu Ley des honneurs dus à son rang, c’est le Gouvernement central qui aurait dû prendre les choses en mains. Même l’annonce d’une journée chômée et payée pouvait déroger à la règle voulant que ce soit en dernière minute que l’on précise les choses. D’où, la confusion qui a régné hier à Kinshasa où, dans certains coins de la ville, il fallait attendre le rétablissement du courant électrique pour comprendre que la journée de lundi 09 décembre était décrétée « <em>chômée et payée</em> », non pas dans la capitale congolaise seulement, mais plutôt sur toute l’étendue du pays. Sinon, cela reviendrait à dire que seuls les Kinois ont pleuré l’icône de la musique congolaise.</span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;"><strong>LA JOURNEE DU 30 NOVEMBRE DEDIEE A LA RUMBA CONGOLAISE</strong></span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;">     Dans leur déclaration lue par Antoine Agbepa alias Koffi Olomide, les artistes musiciens de la RDC ont recommandé que la journée du 30 novembre, symbolisant la disparition de Pascal Tabu Ley soit dédiée à la rumba congolaise, c’est-à-dire à la musique congolaise en général. Ils ont invité les députés et sénateurs ainsi que le Gouvernement à s’impliquer pour l’effectivité de cette demande. Il revient aux instances sollicitées de donner une suite favorable au souhait des musiciens de la RD Congo pour qu’ils se souviennent, chaque année, de nombreux disparus. Tout comme les Congolais se souviennent des martyrs de l’indépendance le 04 janvier, de Laurent-Désiré Kabila et de Patrice Lumumba le 16 et 17 janvier et de bien d’autres personnalités ayant déjà quitté la terre des hommes.</span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;">     C’est dire que Rochereau Tabu Ley ne devrait pas être réduit à un scénario propre aux Kinois. D’ailleurs, bien que Kinois, « <em>Seigneur Ley</em> » était originaire d’une province, celle du Bandundu en l’occurrence. Mais, il ne pouvait pas non plus être confié à cette sphère au risque de mécontenter ceux qui, à travers le monde, admiraient sa musique à sa juste valeur. Il convient donc de respecter la stature d’une icône internationale au lieu de tenter de la réduire à la capitale congolaise. Car, un mythe vaut d’abord par sa stature et non par une sorte de récupération culturelle qui demeure loin de la réalité. On doit tirer les leçons d’une tentative de « <em>kinoisisation</em> » de Pascal Rochereau Tabu Ley.       <strong>M. M.</strong></span></div>
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Au tour de Kinshasa la Nation Musique JOURNEE CHOMEE ET PAYEE UNIQUEMENT A KINSHASA La « kinoisisation » s’invite aux obsèques de Tabu Ley

A l’heure de la cohésion nationale, l’hommage au roi de la rumba congolaise aurait dû concerner toute la Nation Au lendemain de l&...

Suivez EN INTÉGRALITÉ les obsèques de PASCAL TABU LEY ROCHEREAU DU 9 DEC 2013 ( 4 h du temps)

December 09, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj37GpZOu23nANOd9-6eoQ3OgXY5cFxpX_2aUs29NSl7k9Bfaru-OxdrYW6NBC1oaPIVdJJRohQRYCCfKHQ7DEcHjG2yQ0yTJ_w5RQUW7Pyj1p9toAauyfDRniJ1YaNRS3mJFhRA5AI6S8/s1600/instantan%C3%A9_011~2.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="281" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj37GpZOu23nANOd9-6eoQ3OgXY5cFxpX_2aUs29NSl7k9Bfaru-OxdrYW6NBC1oaPIVdJJRohQRYCCfKHQ7DEcHjG2yQ0yTJ_w5RQUW7Pyj1p9toAauyfDRniJ1YaNRS3mJFhRA5AI6S8/s400/instantan%C3%A9_011~2.jpg" width="400" /></a></div>
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Coupe du Monde (Handball féminin) : la France gagne la RDC , les détails !!!

December 08, 2013

la Nation Sport Coupe du Monde (Handball féminin) : la France gagne la RDC , les détails !!!

Les handballeuses françaises ont lancé leur Mondial par une facile victoire sur une très faible équipe de République démocratique du C...

Les ministres Matata en congé du 15 décembre 2013 au 15 janvier 2014

December 08, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjC01NAcJx9YfHYaJ3FF5lkya4lJBGVjO09Gww2jWSJziKTLd9AGjZkRGZrR70ZHi7tupeFAKDC6T525Qd9WTfeM7eInuMWoytIpBDxbwl5aRfpyXlK8hcmOMBQE_1LMLQilkrH4frcbzE/s1600/instantan%C3%A9_014.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjC01NAcJx9YfHYaJ3FF5lkya4lJBGVjO09Gww2jWSJziKTLd9AGjZkRGZrR70ZHi7tupeFAKDC6T525Qd9WTfeM7eInuMWoytIpBDxbwl5aRfpyXlK8hcmOMBQE_1LMLQilkrH4frcbzE/s400/instantan%C3%A9_014.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px;">
<span style="font-size: 11px;"><strong>Les ministres Matata iront tous en congé. Mais pas au même moment. Le mouvement prévoit deux rotations. La première vague va du 15 au 30 décembre. Par ailleurs, le deuxième groupe de ministres ira en congé du 1er au 15 janvier 2014. Cependant, toute la question est de savoir si le départ des ministres en congé implique le renvoi aux calendes grecques, de la formation di Gouvernement de cohésion nationale annoncée par le chef de l'Etat depuis le mois de septembre dernier. Question légitime.</strong></span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;">     A quand l'avènement du Gouvernement de cohésion annoncé par le chef de l'Etat et tant attendu par l'opinion ? Cette question, bon nombre de Congolais sont fatigués de se la poser. Car, la longue attente demeure encore loin de se terminer. Surtout que, chaque jour qui passe, en rajoute à l'attente au point de renvoyer au tapis tous les apprentis prophètes se félicitant d'avoir accès au secret du Raïs.</span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;">     Mais, à l'arrivée, tous les pronostics sont déjoués. En fin de compte, seul Joseph Kabila pourra abattre ses cartes au moment qu'il aura choisi pour le faire. D'ailleurs, les dernières informations en notre possession font état d'un congé attribué aux ministres en décembre.</span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;">     Les ministres actuels commencent leur congé le 15 décembre 2013 et cette opération se terminera le 15 janvier 2014. En fait, ce congé de quinze jours seulement et non trente comme prévu par un décret présidentiel, se réalisera en deux vagues. Une bonne partie des membres du Gouvernement  chargé d'expédier les affaires courantes sera en congé du 15 au 30 décembre 2013. L'intérim sera assuré par leurs collègues qui, eux, iront en congé du 1er au 15 janvier 2014.</span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;"><strong>LE GOUVERNEMENT DE COHESION NATIONALE RENVOYE AUX CALENDES GRECQUES ?</strong></span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;">     La question est sur toutes les lèvres. Car, si l'avènement du Gouvernement de cohésion nationale est si imminent qu'on semble le dire, pour envoyer les ministres de l’équipe Matata en congé lorsqu'on sait que le bon sens voudrait qu'on ne les remercie pas pendant cette période ? Le fait qu'ils soient en congé jusqu'au 15 janvier, cela reviendrait à dire que le chambardement attendu ne serait guère à l'ordre du jour du calendrier du Raïs du 15 décembre 2013 au 15 janvier 2014. Un bon moment de répit pour les ministres qui semblaient être plus préoccupés par leur maintien ou départ du Gouvernement que par toute autre chose. Sans doute que les cardiaques ont une période de grâce.</span></div>
<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 24px; text-align: justify;">
<span style="font-size: 11px;">     Surtout quand des sources dignes de foi renseignent que le Raïs attendrait tout d'abord l'adoption du budget 2014 au Parlement. Or, la session ordinaire de septembre tirant à sa fin le 15 décembre 2013, la seule possibilité qui reste, c'est la session extraordinaire qui pourrait débuter dans la deuxième quinzaine du mois de décembre avec pour seule matière à examiner le projet de budget 2014. Le Gouvernement de cohésion nationale devant être investi par l'Assemblée nationale, il faudra alors attendre la session de mars. C'est dire, in fine, que l'attente risque d'être assommante.</span><span style="font-size: 11px;">        <strong>M. M.</strong></span></div>
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Au tour de Kinshasa la Nation Politique Les ministres Matata en congé du 15 décembre 2013 au 15 janvier 2014

Les ministres Matata iront tous en congé. Mais pas au même moment. Le mouvement prévoit deux rotations. La première vague va du 15 a...

Kinshasa-M23 .L'euphorie passée, Kampala reprend ses droits.

December 08, 2013

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhBmDjItZEXuGL4GpyoylZYac1_0l534WAXzpGpTPMYn_2kVg9UE37Jmd2D95sLJul_Lb4uOR8wcbS4EPjZvu5uCsO52URokWULj_BA1kPZ8wNPoo6xJtCwRgJvr2gR24Vzp77po7yW9Ss/s1600/instantan%C3%A9_003.bmp" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="268" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhBmDjItZEXuGL4GpyoylZYac1_0l534WAXzpGpTPMYn_2kVg9UE37Jmd2D95sLJul_Lb4uOR8wcbS4EPjZvu5uCsO52URokWULj_BA1kPZ8wNPoo6xJtCwRgJvr2gR24Vzp77po7yW9Ss/s400/instantan%C3%A9_003.bmp" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
<em><strong>Cette nouvelle donne est la preuve que l'ONU considère qu'il n'y a ni vainqueur ni vaincu</strong></em></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
<img border="0" height="182" src="http://www.latempete.cd/images/stories/rpresentant%20m23.jpg" style="border: 1px solid rgb(216, 216, 216); float: left; margin: 3px; padding: 5px;" width="183" />Aussitôt la défaite du M23 consommée, l'ONU par le truchement de ses plénipotentiaires de New York et de la MONUSCO, s'était empressée d'inviter les officiels rdcongolais à faire preuve de plus de retenue.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Pourquoi rapidement cet appel à la réserve et à la prudence pour un événement qui, aux yeux des dirigeants rdcongolais, méritait d'être marqué d'une pierre blanche et donnait lieu de pavoiser légitimement ? En d'autres termes, les exhortations à s'abstenir des démonstrations excessives de jubilation parce que cette débâcle serait la résultante d'une tactique dont les plénipotentiaires de l'ONU seraient les seuls à percer le dessous des tenants et des aboutissants, mais inaccessibles aux Congolais ? Malgré cette exhortation à la modestie et à la pondération, Kinshasa n'a pas pu s'empêcher d'extérioriser ostensiblement son ivresse de la victoire.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Des marches collectives de soutien aux FARDC par certaines couches politiques et sociales; une pluie de messages de félicitations au commandant suprême des FARDC.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
La concours appuyé et déterminant de la Monusco et de la brigade spéciale d'intervention de l'ONU semblait compter pour du beurre. Des observateurs étrangers, des politiques nationaux avertis, des analystes lucides s'étonnaient de ce déploiement de griserie qui contrastait avec les réticences recommandées aux officiels rdcongolais par la communauté internationale.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Ce même quotidien " La Tempête des Tropiques ", dans son édition du mardi 05 novembre 2013, a publié une analyse en rapport avec la plus grande retenue à laquelle Kinshasa était exhorté. Le journal arrivait à la conclusion qu'en se laissant aller à pareil débordement de joie, les sphères officielles donnaient l'impression qu'elles n'ont rien compris au film de la débâcle du M23.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Logiquement, en cas de victoire, c'est le vainqueur qui dicte ses volontés au vaincu. Ce qui se passe encore maintenant entre Kinshasa et M23 est troublant. La défaite du M23 était-elle tout simplement apparente et non réelle ? La communauté internationale, par Martin Kobler et Mary Robinson interposés, obligent impérativement le gouvernement rdcongolais et le M23 à entrer de nouveau en pourparlers en vue de signer un compromis final de leurs tractations perturbées par la reprise  fulgurante des hostilités qui ont mis le M23 K.O. débout.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
<strong>Une tutelle inqualifiable</strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Il est donc clair que L'ONU et Kinshasa n'avaient pas la même perception et la même compréhension de la défaite du M23. Pour les dirigeants rdcongolais, les carottes étaient définitivement cuites pour le M23 ; tandis que pour les plénipotentiaires, on a tout simplement entrevu le bout du tunnel sans pouvoir en sortir.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
C'est pour cette raison qu'ils avaient recommandé aux officiels rdcongolais de faire preuve de plus de retenue, car la partie cachée de l'iceberg n'était pas encore dévoilée.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Pour Kinshasa, le M23 est un mouvement rebelle déjà mis hors d'état de nuire à jamais, et avec lequel on ne peut pas traiter sur un pied d'égalité. Mais la communauté internationale persiste et signe : les deux parties doivent absolument entrer de nouveau en pourparlers et signer d'un commun accord un document final de 11 points.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Les sphères officielles ont beau donner de la voix et snober le M23, mais elles ne peuvent pas résister longtemps à la pression exercée discrètement par la communauté internationale, détentrice d'un schéma dont les méandres nous échappent totalement. Le président Joseph Kabila a dû se rendre à Kampala où il s'est retrouvé en tête-à-tête avec son homologue ougandais Yoweri Museveni.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Aux termes du communiqué final sanctionnant leur entrevue, Joseph Kabila a déclaré que les négociations à Kampala devraient reprendre rapidement et aboutir. Cela sous-entend la signature d'un modus vivendi entre les deux parties, c'est-à-dire en l'occurrence Kinshasa et le M23. Nous sommes sous une tutelle qui n'ose pas dire non.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
C'est l'ONU qui assume notre destin. On ne peut rien entreprendre et réussir à l'encontre de son propre schéma vers lequel elle nous conduit graduellement et prudemment.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Pour elle, il n'y a ni vainqueur ni vaincu en dépit des fantasmes d'ivresse et de jubilation donnés en spectacle à Kinshasa. A-t-on le courage de s'interroger sur la signification et la portée des pourparlers encore à Kampala entre Kinshasa le vainqueur et le M23 le vaincu ? Des manifestations de joie et des marches pour la victoire, des tonnes de messages de félicitations au chef suprême des Forces Armées, n'ont-elles été que des mirages de fantasmes vaporisés aujourd'hui par le rendez-vous post-victoire de Kampala, une terrible douche froide ? On risque d'en apprendre encore de belles après la signature du compromis.<br />
<br />
<strong>Indépendance et souveraineté soldées</strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Dans son analyse politique parue dans l'édition du jeudi 28 novembre dernier, le quotidien " La Tempête des Tropiques " sous le titre " Kinshasa embarrassé par le texte ", soulignait que des embûches tendues au pouvoir gisaient plutôt dans le texte et non dans l'intitulé du document à signer avec le M23 à Kampala.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Officiellement, selon le porte-parole du gouvernement montant au créneau à plusieurs reprises, Kinshasa bataillait apparemment pour faire modifier l'intitulé du document final conçu par le médiateur ougandais, qui devrait être une simple " Déclaration " et non un " Accord ".</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
A supposer que l'intitulé soit modifié, le contenu du texte restera toujours le même. Et si ce contenu est signé tel quel par les deux parties, il n'y aura plus de quoi pavoiser encore par les hautes sphères officielles comme elles l'ont fait depuis la défaite apparente du M23. Ni marches de joie ni messages de félicitations.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
L'application des points énoncés dans le texte mettra sûrement le pouvoir dans l'embarras. L'intégration des milliers d'éléments du M23 et de réfugiés en provenance du Rwanda et de l'Ouganda soi-disant congolais, ce ne serait pas chose facile. Surtout que le pays est déjà infiltré presque partout d'agents de la cinquième colonne.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Nous prétendons être un pays tout à fait indépendant et souverain, capable de s'assumer et de défendre ses intérêts s'ils sont menacés d'une manière ou d'une autre.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Mais nous n'avons pas réussi à récuser le président ougandais Yoweri Museveni devenu l'arbitre juge et partie dans les tractations avec le M23. Nous n'avons pas non plus amené les plénipotentiaires de l'ONU à considérer comme absolument inutiles et dépassés les pourparlers entre le vainqueur et le vaincu.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Au contraire, avec nos états d'âmes, nous nous résignons à nous retrouver nez à nez avec les rebelles défaits du M23 comme pour traiter d'égal entre le vainqueur et le vaincu ! La conscience de la souveraineté et le sens de la dignité nous interdisent pareille résignation.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Nous sommes tenus à la merci de l'ONU qui régule le sort de la RDC avec ses voisins de l'Est selon son schéma, et met le vainqueur et le vaincu au même diapason.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
La victoire célébrée bruyamment du fait des revers infligés par les FARDC au M23 n'aurait été qu'un déjeuner de soleil, et nous voilà désillusionnés par la reprise des pourparlers à Kamala ! Ce, malgré les miettes exprimées cette sémaine par les députés nationaux.</div>
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<br />
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Au tour de Kinshasa la Nation Politique Kinshasa-M23 .L'euphorie passée, Kampala reprend ses droits.

Cette nouvelle donne est la preuve que l'ONU considère qu'il n'y a ni vainqueur ni vaincu Aussitôt la défaite du M23 c...

Traque de Kuluna à Kinshasa /Alerte d'Amndh Oui à " l'opération Likofi ", non aux dérapages

December 06, 2013

<br />
<table class="contentpaneopen" style="color: black; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 11px; line-height: 16.5px;"><tbody>
<tr><td valign="top"><div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
<a href="http://www.latempete.cd/images/stories/anti-kuluna.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="276" src="http://www.latempete.cd/images/stories/anti-kuluna.jpg" width="400" /></a><br />
Dans une publication, l'organisation non gouvernementale de défense et de promotion des droits de l'homme dénommée " Les Amis de Nelson Mandela Pour les Droits de l'homme(ANMDH) salue l'opération " Likofi " déclenchée par le gouvernement de la RDC à travers le ministère de l'Intérieur, pour traquer les malfrats communément appelés Kuluna dans la Capitale, mais l'Ongdh s'oppose aux dérapages qu'enregistrent l'opération en question.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Vu l'ampleur de la situation et les pratiques utilisées par la police, ANMDH invite le ministre de l'Intérieur à veiller à ce qu'il n'y ait pas des dérapages dans l'opération dite " Likofi ", de crainte que la RDC soit placé dans la liste des Etats criminels.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
L'Ongdh exhorte le ministre de la Justice et des Droits humains à veiller afin que les prétendus KULUNA soient appréhendés avec dignité, jugés et condamnés conformément à la loi.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
A en croire Robert Ilunga Numbi, directeur de l'ANMDH, son organisation soutien la police dans la traque aux Kuluna, mais  dénonce tout acte de dérapage.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
<strong>Autopsie faite par ANMDH</strong><br />
<br />
Faisant l'analyse du phénomène Kuluna, Anmdh estime que ce fléau a commencé à prendre de l'ampleur à Kinshasa et à Kisangani en 2005, (à la veille des élections de 2006) quand les politiciens congolais étaient à la quête du pouvoir.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Pour Robert Ilunga, tout est parti par la création dans différents quartiers des communes de Kinshasa et de Kisangani des gangs surnommés " Ecuries ".<br />
Pour le cas de Kinshasa et Kisangani, des " Ecuries " telles que " Armée rouge ", " les salopards ", " les Irakiens ", "Chicago", "Base Rwanda", "les Zulu", "Maï-Maï", "Mbeli-Mbeli", "Bana 7ème", "les Anti-drogue", "Bic rouge", " Bana Etats-Unis ", " Kata moto "," Bibérons " et " Caleçons peté " (composé principalement des jeunes filles)…se sont transformées en bande de voyous ,pour s'attaquer à la population aux heures tardives. Et, les chefs de bande   de ces écuries portaient des noms mystérieux, tels "esprit de mort", "roi de la forêt", "effacer le tableau", "Satan", " roi de bêtes "... Ce qui a fait que ce phénomène puisse s'amplifier dans la capitale.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Ces groupes semaient la terreur partout, même dans les camps militaires et opéraient en toute impunité sous la barbe des autorités congolaises.<br />
La Police Nationale Congolaises (PNC) avait difficile de les traquer et se plaignait chaque jour de la manière dont ces jeunes brigands, arrêtés, étaient relâchés quelques heures après.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
La relaxation de certains d'entre eux, était dû à l'intervention si pas à l'injonction des personnalités politico-administratives. Après relaxation, ces gangs étaient portés en triomphe sur les épaules de leurs camarades, devant les commissariats de police, scandant " maître alenda " autrement dit, leur chef qualifié de maître, était considéré comme " un brave ".</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Ce qui avait scandalisé les Amis de Nelson Mandela pour la Défense des Droits de l'homme " (ANMDH)et d' autres Organisations  des droits de l'homme qui avaient fustigées cette façon de se comporter des politiciens congolais  cherchant  le pouvoir en créant ou en soutenant des groupes de brigands.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Selon Anmdh, ces mouvements étaient vantés et même vénérés dans plusieurs chansons des musiciens congolais. ANMDH avait à son temps et plusieurs fois dénoncé ce phénomène en 2005, en 2006 comme en 2011) en le traitant de " bombe à retardement " qui finira par mettre l'Etat en difficulté.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Comme si cela ne suffisait pas, avant les élections de 2011, au-delà du soutien des leaders politiques, les partis politiques, pour la cause électorale, ont pris la chose en mains en renforçant leur soutien à ces criminels, rappelle Robert Ilunga.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Ces gangs, en majorité des sportifs costauds et musclés communément appelés " Pomba" (judoka, boxeurs, lutteurs, Karatéka, catcheurs, etc.) ont été intégrés dans les mouvements des jeunes des partis politiques du pouvoir et de l'opposition sous divers dénominations : " Dynamiques des jeunes", "combattants", " brigades", etc.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Pour lui, lors des élections de 2006 et de 2011, les partis politiques ont été " les principaux bailleurs des fonds de ces " Kuluna ". Selon le rapport de ANMDH sur l'observation des manifestations publiques en 2011, la barbarie de ces soient disant " jeunesse du parti " est montée d'un cran à Kinshasa pendant la période électorale de 2011, sous la protection de certains acteurs politiques. Chose curieuse, parmi ces gangs l'on voyait des policiers et des militaires en tenue civile associés à ces groupes.<br />
<br />
<strong>Préoccupations de l'Ongdh</strong></div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Avec l'ampleur que prend cette situation ANMDH se pose les  questions de savoir  si la police Nationale congolaise ne sera pas essoufflée, découragée et déçue des décisions qui proviendraient plus tard des dirigeants politiques ?</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Oui à " l'opération Likofi ", mais à qui est-elle réellement destinées ? Concerne-t-elle aussi les Kuluna militant dans les partis politiques au pouvoir ?, s'interroge l'Ongdh.</div>
<div style="font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Anmdh craint de voir un jour la PNC trahie par les comportements de certains éléments zélés.Mais  à la cité, les Ongdh et la population soutiennent l'opération, en même temps, elles émettent des critiques sur les dérapages constatés.</div>
</td></tr>
<tr><td class="modifydate">Mise à jour le Vendredi, 06 Décembre 2013 09:26</td></tr>
</tbody></table>
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<br />
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Au tour de Kinshasa la Nation Traque de Kuluna à Kinshasa /Alerte d'Amndh Oui à " l'opération Likofi ", non aux dérapages

Dans une publication, l'organisation non gouvernementale de défense et de promotion des droits de l'homme dénommée " L...

Affaire Chebeya : le RENADHOC promet de saisir les instances judiciaires supranationales

December 05, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhusQH83pH22YqGs6dBHDGMg7_Ce2cQ8RYUrx78dAsg0_i2CtVMYngiIZ1ClNy5MVTspB_c6PmIErU09ljnVWbOjU_PT9oHFCws-zOVpjf-4GImanbr2VqWcBVzNGRI6IRHVW4zzo_STVA/s1600/instantan%C3%A9_010.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="267" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhusQH83pH22YqGs6dBHDGMg7_Ce2cQ8RYUrx78dAsg0_i2CtVMYngiIZ1ClNy5MVTspB_c6PmIErU09ljnVWbOjU_PT9oHFCws-zOVpjf-4GImanbr2VqWcBVzNGRI6IRHVW4zzo_STVA/s400/instantan%C3%A9_010.jpg" width="400" /></a></div>
42 mois après le double assassinat des défenseurs des droits de l'Homme Floribert Chebeya Bahizire et Fidèle Bazana Edadi, le Réseau National des ONGs des Droits de l'Homme de la République Démocratique du Congo (RENADHOC) demeure profondément préoccupé par la lenteur excessive de la procédure judiciaire frisant le déni de Justice en République Démocratique du Congo.<br />
<br />
Ainsi donc, le RENADHOC a ,dans un communiqué, annoncé qu'il compte saisir d'ici janvier 2014 les instances judiciaires extraconstitutionnelles et autres mécanismes conventionnels et/ou supranationaux des droits de l'homme<br />
<br />
pour déni de justice en République Démocratique du Congo dans les affaires concernant les assassinats crapuleux de ces deux défenseurs des Droits de l'Homme au motif que la Haute Cour Militaire refuse délibérément de faire comparaître le général John Numbi Banza Tambo, alors qu'elle est habilitée à le faire, au motif du retard excessif mis par les juges de la Cour Suprême de Justice à statuer sur la requête en inconstitutionnalité des arrêts rendus par la Haute Cour Militaire, mais aussi suite aux présomptions d'interférences de hautes personnalités pour annuler ou modifier les décisions de Justice.<br />
<br />
Depuis le début des audiences devant la Haute Cour Militaire, les parties civiles se sont plus qu'engagées à avoir un procès exempt d'irrégularités et de vices de procédure.<br />
<br />
C'est dans cette logique qu'il faut inscrire les moyens et exceptions soulevés devant la Haute Cour Militaire par les parties civiles. En effet, en l'espace de 11 mois et pendant 13 audiences, la tâche n'a pas été facile pour les parties civiles à qui la Haute Cour Militaire n'a pas hésité d'opposer une fin de non recevoir pour la plupart des moyens soulevés, et ce, malgré leur influence directe sur la suite de la procédure et les intérêts immédiats des parties civiles, à savoir : l'éclatement de la vérité sur ce double assassinat ainsi que la réparation morale, matérielle et psychologique des préjudices subis.<br />
<br />
Déni de Justice<br />
<br />
Il y a de rappeler que pendant toutes les 13 audiences passées, les parties civiles ont démontré qu'il y a lieu de commencer l'instruction avec le général John Numbi, dont elles ont l'intime conviction du rôle joué dans le double assassinat de Chebeya et Bazana. Elles ont voulu que la Haute Cour Militaire instruise en tenant compte des dernières révélations d'un des prévenus en fuite,  le major Paul Mwilambwe.<br />
<br />
Les parties civiles ont même demandé à la Haute Cour Militaire de sécuriser les lieux révélés comme ceux où serait enterré le corps de Fidèle Bazana Edadi. Au-delà de ces moyens, les parties civiles ont également soulevé des vices de procédure dont était entaché le déroulement du procès devant la Haute Cour Militaire. Malheureusement, celle-ci, à l'instar de la Cour Militaire de Kinshasa/Gombe, s'est distinguée par le rejet de tous ces moyens sans se soucier de l'intérêt de la recherche de la vérité ni de l'implication de ces moyens sur la suite de la procédure.<br />
<br />
Au vu de la manière dont la Haute Cour Militaire s'est comportée au cours de 13 audiences susmentionnées, le RENADHOC déplore  l'impunité  dont bénéficie les assassins de Floribert Chebeya et Fidèle bazana.<br />
<br />
La CSJ devant ses responsabilités<br />
<br />
N'eût été l'exception d'inconstitutionnalité des derniers arrêts pris par la Haute Cour Militaire, moyen soulevé à la 13ème audience du 07 mai 2013, les parties civiles étaient déjà contraintes de subir l'allure d'une instruction marathon qui risquait de déboucher rapidement sur un arrêt identique à celui du premier degré.<br />
<br />
En effet, le dossier a été envoyé depuis six mois déjà à la Cour Suprême de Justice pour violation intentionnelle de la Constitution par la Haute Cour Militaire, le RENADHOC exhorte  la Cour Suprême de la Justice à être à la hauteur de ses missions, à défendre son rang et à agir dans l'intérêt d'une justice juste, socle d'un Etat de droit.<br />
<br />
Mais si à dater du 31 décembre 2013, la Cour Constitutionnelle (actuellement Cour Suprême de Justice) n'arrive pas à rendre son arrêt, le RENADHOC estime que le comportement de cette Cour déterminera ses réactions, et il assumera alors toutes ses responsabilités.<br />
<br />
Il fixera prochainement l'opinion publique nationale et internationale sur ce que sera sa dernière décision sur la poursuite du procès.C'est pourquoi, le RENADHOC envisage de saisir les instances supranationales, pour faire éclater la vérité dans cette affaire.<br />
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px;">
<br /></div>

Au tour de Kinshasa Justice Politique Affaire Chebeya : le RENADHOC promet de saisir les instances judiciaires supranationales

42 mois après le double assassinat des défenseurs des droits de l'Homme Floribert Chebeya Bahizire et Fidèle Bazana Edadi, le Rés...

Mandela est mort annonce le président Zuma

December 05, 2013

<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNDo-KMvaUph5tJK9RrOoE_uhtJcn76zG9TkO78RlpMVDsKa_qkdoaWHGIlNwYjZx0eu0pGneOOqBrloL2YYskf2MDT0sbNhenUOYgZTpKC84ESjFIQA2ZzbQMeISdHsKHEfO3g5z3w8A/s1600/instantan%C3%A9_009.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNDo-KMvaUph5tJK9RrOoE_uhtJcn76zG9TkO78RlpMVDsKa_qkdoaWHGIlNwYjZx0eu0pGneOOqBrloL2YYskf2MDT0sbNhenUOYgZTpKC84ESjFIQA2ZzbQMeISdHsKHEfO3g5z3w8A/s400/instantan%C3%A9_009.jpg" width="400" /></a></div>
Nelson Mandela N'est plus.<br />
<br />
les détails arrivent.<br />
<div class="panel-pane pane-node-content" style="border: 0px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="pane-content" style="border: 0px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div id="article" style="border: 0px; font-size: 13px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<br />
<article><div id="body_text" style="border: 0px; margin: 0px 0px 20px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Deux petites-filles de Mandela et un proche de la famille, l’homme politique Bantu Holomisa, ont été aperçus en train d’entrer dans la maison devant laquelle plusieurs dizaines de voitures sont venues déposer des visiteurs et des militaires, a constaté une journaliste de l’AFP.</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
La raison de ces allées-venues plus nombreuses que d’habitude n’a pas été communiquée mais elles interviennent deux jours après que Makaziwe, l’aînée des enfants de Mandela encore vie, a indiqué pour la première fois que le héros de la lutte anti-apartheid était «sur son lit de mort» bien que toujours combatif.</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
«Tata (Père) est toujours avec nous, très fort, (...) très courageux, même -- faute d’une meilleure expression -- sur son lit de mort. Je crois qu’il nous donne toujours des leçons: des leçons de patience, des leçons d’amour, des leçons de tolérance», a-t-elle déclaré à la télévision publique SABC mardi.</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Nelson Mandela se trouve dans un état critique depuis plus de cinq mois, selon la présidence sud-africaine, qui dans son dernier bulletin du 18 novembre notait qu’il réagissait toujours aux traitements.</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Il a été ramené début septembre chez lui dans un état critique après trois mois d’hôpital pour une infection pulmonaire récidivante, probable séquelle des 27 années passées en prison sous le régime raciste blanc de l’apartheid.</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Interrogé jeudi par l’AFP, le porte-parole de la présidence Mac Maharaj a répété que «la dernière mise à jour (du bulletin de santé de M. Mandela) tenait toujours».</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Un petit-fils, Ndaba, a confié à une télévision locale cette semaine que le héros de la lutte anti-apartheid «n’était pas au mieux alité chez lui».</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Un autre petit-fils, Mandla, a fait reporter une comparution en justice prévue vendredi à Mthatha, dans le sud du pays. Il est accusé d’avoir menacé un automobiliste avec une arme lors d’un embouteillage en octobre.</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
«Il ne comparaîtra pas demain» vendredi, a indiqué à l’AFP Luxolo Tyali, porte-parole du parquet. «Ses avocats ont pris des dispositions pour qu’il se présente au tribunal le 12 décembre», a-t-il ajouté, précisant que c’était normal quand un prévenu est en déplacement.</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Son avocat Matthew Mpahlwa a confirmé que Mandla, qui est aussi député de l’ANC, le parti au pouvoir, avait quitté la province du Cap oriental dans la matinée.</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Lui-même a ensuite confié à l’agence sud-africaine Sapa ne pas être au courant d’une réunion de famille.</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Mandla est le chef coutumier de Mvezo, le village natal de son grand-père et le principal protagoniste d’une querelle avec le reste de la famille.</div>
<div style="border: 0px; margin-bottom: 10px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Il a été accusé de violation de sépultures pour avoir déplacé les tombes de trois enfants de Nelson Mandela dans son village, avant que les poursuites ne soient récemment abandonnées.</div>
</div>
</article></div>
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</div>
<div class="panel-pane pane-custom-version pane-4" style="border: 0px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="pane-content" style="border: 0px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="OUTBRAIN" data-dynload="" data-ob-mark="true" data-ob-template="Sudinfo.be" data-src="http://www.sudinfo.be/874645/article/actualite/monde/2013-12-05/nelson-mandela-sur-son-lit-de-mort-d-apres-son-fils-des-proches-se-sont-rendus-a" data-widget-id="AR_1" id="outbrain_widget_0" style="border: 0px; clear: both; margin: 0px 0px 10px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="ob_stripDual_container AR_1" style="border: 0px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="ob_dual_right" style="background-color: white; border: 0px; color: #4d4c45; float: left; font-family: Arial, FreeSans, Helvetica, 'Trebuchet MS', Tahoma, verdana, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.8125px; margin: 0px 0px 0px 10px; padding: 0px; vertical-align: baseline; width: 304px;">
<div class="odb_div ob-recIdx-3   ob-even" style="background-color: transparent; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial; border-bottom-color: rgb(204, 204, 204); border-bottom-style: dotted; border-width: 0px 0px 1px; clear: none; margin: 0px 0px 10px; overflow: hidden; padding: 0px 0px 10px; position: relative; quotes: « , », ‹ , ›; vertical-align: baseline; width: 304px;">
<div>
<span class="ob_source" style="background-color: transparent; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial; border: 0px; margin: 0px; padding: 0px; quotes: « , », ‹ , ›; vertical-align: baseline;"><br /></span></div>
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<span style="background-color: white; color: #4d4c45; font-family: Arial, FreeSans, Helvetica, 'Trebuchet MS', Tahoma, verdana, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.8125px;"></span></div>
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Justice la Nation Politique Mandela est mort annonce le président Zuma

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Ligue 1 : Paris patauge face à Evian. Un héros du Match Clark N'sikulu L'international Espoir Congolais.

December 05, 2013

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Le fait divers du jour : violée, une chèvre assiste au procès de son agresseur (vidéo)

December 05, 2013

<h2 class="subtitle" itemprop="alternativeHeadline" style="background-color: white; color: #272727; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 17px; line-height: 22px; margin: 0.83em 0px;">
NSOLITE – Un Kenyan a écopé de 10 ans de prison pour avoir violé une chèvre. Lors du procès qui s'est tenu dans la ville de Malindi, la bique a assisté aux aveux et au pardon du prévenu.</h2>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzAFRLVI5VtIJnuQXi4jKH_8dHdUheQmhFg0cvaKfWufVzAs8iAGzrVroqMYR61igUaLPoil6AP5YhV3UHdT1XAuvAcLb3FnRduoLN8z8ZlflAPDLwczV08Or2i7TlZkpIqgvWhV7AUqI/s1600/instantan%C3%A9_005.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzAFRLVI5VtIJnuQXi4jKH_8dHdUheQmhFg0cvaKfWufVzAs8iAGzrVroqMYR61igUaLPoil6AP5YhV3UHdT1XAuvAcLb3FnRduoLN8z8ZlflAPDLwczV08Or2i7TlZkpIqgvWhV7AUqI/s400/instantan%C3%A9_005.jpg" width="400" /></a></div>
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<div style="background-color: white; color: #272727; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; line-height: 22px; margin-bottom: 1em; margin-top: 1em;">
Non cette chèvre n'a pas assisté au procès d'un bouc émissaire mais de son véritable... coupable ! C'est la chaîne<a href="http://www.metronews.fr/x/metro/2013/12/04/PhU6ei7p4uN0w/" style="color: #0065ac; text-decoration: none;" target="_blank"> keynane KTN</a> qui a révélé cette étonnante affaire. "Katana Kitsao Gona, un Kenyan de 28 ans a plaidé coupable pour s’être engagé dans des relations sexuelles avec une chèvre après avoir été interpellé en train de violer l'animal derrière un buisson", lance la journaliste qui ne peut cacher son sourire. Plus insolite encore, l'homme a dû s'expliquer devant la victime abusée.</div>
<div style="background-color: white; color: #272727; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; line-height: 22px; margin-bottom: 1em; margin-top: 1em;">
<b>Des aveux sous le regard de la bique</b></div>
<div style="background-color: white; color: #272727; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; line-height: 22px; margin-bottom: 1em; margin-top: 1em;">
Amour impossible ou perversion zoophile ? Le coupable pris sur le fait par le propriétaire de la chèvre accompagné de voisins, n'a pas pu mentir. Il a ainsi avoué à l'audience avoir eu une relation sexuelle forcée avec la bique et a écopé de dix ans de prison pour "bestialité".<br />
<br />
Mais en plus de cette condamnation, Katana a subi une autre peine. Le regard triste et fuyant, l'homme a en effet dû s'expliquer, devant sa victime présente au procès. Face à un jury "choqué" et à la chèvre qui a "regardé calmement la sentence infligée à son assaillant", l'homme a demandépardon. Expliquant que son épouse était handicapée et qu'elle dépendait de lui pour vivre. Si l'herbivore n'a pas bêlé, il est probable que le regard insistant de la victime ait influencé les magistrats qui ont exclu toutes circonstances atténuantes. Laissant dix années à Katana "pour ruminer ses actes", comme l'a ironiquement souligné la chaîne de télévision.</div>
<div style="background-color: white; color: #272727; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; line-height: 22px; margin-bottom: 1em; margin-top: 1em;">
<a href="https://www.youtube.com/watch?v=vVInnZF2pgA" target="_blank">Cliquer ici pour voir la vidéo directement sur youtube</a></div>
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la Nation Le fait divers du jour : violée, une chèvre assiste au procès de son agresseur (vidéo)

NSOLITE – Un Kenyan a écopé de 10 ans de prison pour avoir violé une chèvre. Lors du procès qui s'est tenu dans la ville de Malindi, la...

DÉSARMEMENT DES GROUPES ARMÉS : LE POINT DE NON-RETOUR !

December 03, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgWqxhkAcw1LBZxL_FgoxRfc8H6nKTgD-ZWaZRrEeQMSshFIzV1I5jhN8SPRDWl65zuwykLNChsMYT7SeD0EyaNl56M6LAbYdmK2lj2io2-St6BJNF0ddd2Zq7oXdNaztf7ukH_NEkFpos/s1600/instantan%C3%A9_017.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgWqxhkAcw1LBZxL_FgoxRfc8H6nKTgD-ZWaZRrEeQMSshFIzV1I5jhN8SPRDWl65zuwykLNChsMYT7SeD0EyaNl56M6LAbYdmK2lj2io2-St6BJNF0ddd2Zq7oXdNaztf7ukH_NEkFpos/s400/instantan%C3%A9_017.jpg" width="378" /></a></div>
Est de la RDC<br />
<br />
Lors de sa tournée dans le Nord-Kivu et une partie de la Province Orientale, le chef de l’Etat ne s’est pas entouré de circonlocutions. Son message a été plus que clair : c’est le point de non retour en ce qui concerne les groupes armés, locaux ou étrangers. Leur sort est-il d’ores et déjà scellé ?<br />
<br />
Décidément, leurs jours sont comptés. Qu’il s’agisse de groupes armés locaux ou étrangers, ils doivent faire avec la nouvelle dynamique qui s’est mise en branle dans la partie orientale de la RDC. Ou ils s’alignent  sur le gentleman agreement qui met en avant le désarmement, la démobilisation…ou la réinsertion sociale. Ou bien, deuxième possibilité, ces groupes armés se la font conter ailleurs : ils seront désarmés de force. C’est à prendre !<br />
<br />
Pas de demi-ton !<br />
<br />
Pendant sa tournée de fin novembre qui l’a conduit dans une partie de la Province Orientale et le Nord-Kivu, le président de la République a concentré le gros de son message principalement sur le processus de reconstruction de la partie orientale du pays et le désarmement des groupes armés.<br />
<br />
Que ces deux éléments-clés aient constitué le socle de différentes adresses du chef de l’Etat, cela ne pouvait qu’aller de soi. Ainsi qu’il l’a souligné, Joseph Kabila accorde un soin particulier à la reconstruction d’une province qui a connu une difficile période de rupture de la paix, des affres de la guerre.Et tout ce que cela comporte de drame humanitaire à travers de centaines de milliers de déplacés, errant ici et là, de destruction des infrastructures routières notamment, etc…<br />
<br />
A n’en point douter, ils sont de plus en plus nombreux, les groupes armés, locaux, à avoir accepté, sans hésiter, d’adhérer au processus de désarmement. Ils ont suivi la voie de la raison. Dans ses interventions, le chef de l’Etat a fait comprendre à la population l’intérêt qu’il y avait de se désolidariser de ces groupes armés.<br />
<br />
Le message ne pouvait donc donner lieu à équivoque. En tout cas, pas de demi-ton dans le processus de désarmement des groupes armés qui, jusque-là, avaient pris l’habitude d’écumer les provinces du Nord et du Sud-Kivu ainsi qu’une partie de la Province Orientale. <br />
<br />
Une odieuse page<br />
<br />
Pendant longtemps, les groupes armés ont semé désolation et morts au sein des populations civiles.  Ils ont fait d’elles des déplacés internes. Avec au bout du compte, un drame humanitaire innommable.  Mais cela appartient désormais au passé.<br />
<br />
Après avoir, en effet, mis en déroute ce mouvement rebelle, « il n’y a plus de place dans notre pays pour quelque groupe irrégulier que ce soit », avait déclaré le mardi 5 novembre 2013 le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende.<br />
<br />
Kinshasa avait annoncé au même moment que les FARDC allaient lancer « incessamment une offensive contre les rebelles hutus rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda et qu’après les FDLR, ce sera les ADF-NALU et la LRA (rebelles ougandais), puis les FNL « burundais » et ensuite les différentes milices congolaises.<br />
<br />
Aujourd’hui, une odieuse page est en train d’être tournée, conséquence logique de la défaite que les Forces armées de la RDC ont infligée au désormais ex-M23. Une déroute qui a ouvert de nouveaux horizons aux populations du Nord-Kivu.<br />
L’heure a donc sonné pour que les populations du Nord-Kivu, avec le gouvernement de la République et de toutes les forces vives de la nation, s’apprêtent à écrire et à vivre une nouvelle ère de leur histoire. Une histoire marquée au sceau de la révolution de la modernité. <br />
<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;">
<br /></div>
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Est de la RDC Lors de sa tournée dans le Nord-Kivu et une partie de la Province Orientale, le chef de l’Etat ne s’est pas entouré de cir...

NORD-KIVU : LES ADF/NALU SE CHERCHENT DES BOUCLIERS HUMAINS POUR ÉCHAPPER AUX FARDC

December 03, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9wG5CPsmKWIP1Emu_M43dFi0UzO_jA9SDRnQkrxWrexv4VrDCfEYcrfEsKpoTAnWPZRBFCcW_8mmCJc2U920tHqVVeTbODla6ikxJIKNGb8QaiEH4BVJgW0H7LsBw_lm_bpCLAmL7xFs/s1600/instantan%C3%A9_014.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="227" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9wG5CPsmKWIP1Emu_M43dFi0UzO_jA9SDRnQkrxWrexv4VrDCfEYcrfEsKpoTAnWPZRBFCcW_8mmCJc2U920tHqVVeTbODla6ikxJIKNGb8QaiEH4BVJgW0H7LsBw_lm_bpCLAmL7xFs/s400/instantan%C3%A9_014.jpg" width="400" /></a></div>
En territoire de Beni, dans la province du Nord-Kivu (Est de la RD Congo), les rebelles ougandais des ADF/NALU se cherchent des boucliers humains pour échapper à la frappe annoncée par le chef de l'Etat Joseph Kabila.<br />
<br />
<br />
Selon la société civile, « la tendance de ces rebelles est de vouloir prendre la population pour bouclier humain afin de défier les opérations militaires qui seront lancées d’ici peu par les FARDC dans le territoire de Beni ».<br />
<br />
Des mouvements de centaines de rebelles ADF/NALU et alliés lourdement armés ainsi que leurs dépendants ont été vus depuis le 27 novembre 2013 allant de l’Est vers l’Ouest du groupement Bambuba-Kisiki, une quinzaine de kilomètres de la cité d'Oicha, en traversant la Nationale n°4. Le dernier cas est celui du dimanche 1er décembre à 5 heures.<br />
<br />
Les mouvements de ces rebelles sont confirmés par l’administrateur du territoire de Beni, Amisi Kalonda. Cette situation crée la panique au sein de la population du secteur de Beni-Mbau.<br />
<br />
Les rebelles ADF/NALU sont visibles sur les axes Chuchubo-Linzo-Kitseme entre le camp des FARDC et l’église catholique vers Samboko. D’autres empruntent l’axe Makobu-Samboko et l’axe Mabikobia vers la province Orientale.<br />
<br />
Opérations planifiées<br />
<br />
C’est au cours d’une réunion tripartite tenue vendredi 22 novembre 2013 à Goma (Nord-Kivu) que le chef d’Etat-major général des FARDC Didier Etubmba, son homologue ougandais et le chef militaire de la Monusco ont planifié des opérations contre les rebelles ougandais de l’ADF/NALU, actifs dans le territoire de Beni.<br />
<br />
« Il ne s’agit pas de planifier conjointement des opérations militaires avec l’armée ougandaise, mais plutôt de prendre des dispositions quant aux effets collatéraux des opérations militaires des FARDC contre les ADF/Nalu. Car, elles impliqueraient certainement l’Ouganda », a expliqué le gouverneur du Nord-Kivu Julien Paluku à l’issue de cette réunion tripartite.<br />
<br />
Il a souligné qu’« il était temps que l’armée congolaise, appuyée par la Monusco planifie des opérations militaires contre les rebelles ougandais ADF/NALU, après avoir défait le M23 ».<br />
<br />
« Au moins 800 personnes, dont 250 mineurs, sont retenues en otage par ces rebelles ougandais depuis 2011 », a indiqué de son côté le président de la société civil de Beni.<br />
<br />
Les rebelles ougandais des ADF/NALU, présents en territoire de Beni depuis plus de 20 ans, sont actifs dans les secteurs de Watalinga, Rwenzori et Mbau ainsi que dans la chefferie des Bashu où ils ont déjà enlevé plusieurs Congolais.<script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<br />
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Justice la Nation NORD-KIVU : LES ADF/NALU SE CHERCHENT DES BOUCLIERS HUMAINS POUR ÉCHAPPER AUX FARDC

En territoire de Beni, dans la province du Nord-Kivu (Est de la RD Congo), les rebelles ougandais des ADF/NALU se cherchent des boucliers ...

Conclusion immédiate : Kampala, Kabila et Museveni d’accord !

December 02, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgs5xO4GJuda6T3n-B7zD-tLgyNqw3FrgcYhJkmIXFFM4g9j31I4NS6aaY7PonXsqgIzVLVyCEYV5bFAdHjh3Tsb5FQDN99zbLDploWChupYp8iDvG-c3Vlol8H2a9NI71IwU9xtgHhPZE/s1600/instantan%C3%A9_013.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="227" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgs5xO4GJuda6T3n-B7zD-tLgyNqw3FrgcYhJkmIXFFM4g9j31I4NS6aaY7PonXsqgIzVLVyCEYV5bFAdHjh3Tsb5FQDN99zbLDploWChupYp8iDvG-c3Vlol8H2a9NI71IwU9xtgHhPZE/s400/instantan%C3%A9_013.jpg" width="400" /></a></div>
De Goma où il se trouve présentement, Joseph Kabila  a fait un aller-retour, ce lundi 2 décembre 2013, à Entebbe où il s’est entretenu, à huis clos, avec son homologue Ougandais, Yoweri Kaguta Museveni. Au centre de leurs échanges, la finalisation  des pourparlers de la Capitale ougandaise. A en croire le porte-parole du Gouvernement ougandais, M. Ofwono Opono, les deux Chefs d’Etat ont convenu que les négociations de Kampala  reprennent et qu’ils soient  conclus immédiatement. Toutefois, à l’issue de cette rencontre, aucune date n’a été avancée, encore moins le lieu de la tenue du prochain round des discussions. Cependant, à se fier aux dernières déclarations du Président Kabila faites au cours d’un point de presse à l’étape de la Province Orientale, à Bunia,  la fameuse conclusion pourrait  intervenir d’ici le 15 décembre 2013. Comme quoi, ce n’est qu’une question de jours. Encore faut-il souligner que le déplacement du Chef de l’Etat  dénote de la volonté de Kinshasa de maintenir le rapprochement avec la médiation. Car, pour Joseph Kabila, la solution à la crise dans l’Est de la RDC passe aussi par la contribution de tous les pays de la région des Grands Lacs. Il faut, tout de même, signaler que la position de Kinshasa reste la même. A savoir : qu’il ne va nullement s’agir d’un accord, mais plutôt d’une simple déclaration. Et, même Mme Robinson aurait, également, reconnu qu’il faudrait tenir compte de la situation sur terrain.  <br />
<br />
A Goma, juste à la veille de son voyage éclair au pays de Museveni, Kabila Joseph a eu à présider le Conseil des Ministres extraordinaire. Au cours de cette réunion, le Ministre des Affaires Etrangères, Coopération Internationale et Francophonie a fait part au Conseil des dispositions à prendre pour parachever et consolider le processus de rétablissement de la paix et de la sécurité dans les Provinces de l’Est. Pour lui, le Gouvernement doit clôturer correctement le processus de Kampala afin, entre autres,  de constater, de manière formelle, y compris par la communauté internationale, la fin de la rébellion du M23; disposer d’un instrument juridique contraignant, parce que convenu entre parties avec l’aval de la région et de la communauté internationale, permettant d’organiser et de gérer efficacement le rapatriement, le cantonnement, le désarmement, la démobilisation et la réinsertion sociale des ex-combattants du M23 particulièrement.<br />
<br />
La bonne fin de Kampala, a estimé, par ailleurs, le Chef de la délégation de Kinshasa devant la représentation nationale, participe des engagements de la République à l’égard de la région et de la communauté internationale. Sans conclusion de Kampala, pense-t-il, le Congo-Kinshasa se prive d’une base consensuelle pour solder la rébellion du M23 et notamment, régler la question du rapatriement, cantonnement, démobilisation et réinsertion sociale des ex-combattants du M23 aujourd’hui réfugiés au Rwanda et en Ouganda.<br />
<br />
Kinshasa reste sur sa position<br />
<br />
Rappelons que c’est l’intitulé du document devant sanctionner les discussions de la capitale ougandaise qui était à la base de l’échec du 11 novembre dernier à Entebbe. Kinshasa préférant le terme ‘‘déclaration’’ à celui d’‘‘accord’’. Cette position, à en croire Raymond Tshibanda, reste intact et n’est pas à négocier.<br />
<br />
Et donc pour le Gouvernement de la RDC, tout document marquant la fin des Pourparlers de Kampala doit tenir compte de l’évolution de la situation sur le terrain, à savoir que le M23 a été militairement défait, qu’il ne contrôle plus aucune position du territoire congolais et que l’autorité de l’Etat a été rétablie sur tous les espaces jadis sous son contrôle. Il doit comporter une renonciation claire, sans équivoque, et irréversible de renonciation à la rébellion par le M23. Bien plus, le Gouvernement refuse  catégoriquement  d’être placé sur le  pied  d’égalité que le M23 et cela doit se refléter aussi bien dans le texte à signer pour clore les pourparlers que sur le plan protocolaire. <br />
<br />
En clair, pour Tshibanda et sa suite, le document à signer doit donc, dans le fonds comme dans la forme, éviter de donner l’impression que les deux parties aux pourparlers se valent ou jouissent de la même légitimité. Il ne peut donc s’agir d’un «Accord», mais plutôt d’une «Déclaration», des «Conclusions», d’un «Communiqué» oud’un «Acte final».<br />
<br />
Situation sur terrain<br />
<br />
L’appel à la démobilisation de tous les groupes armés lancé par Joseph Kabila a trouvé un écho favorable auprès de ces derniers, renseigne-t-on. Plusieurs se sont rendus, en dépit de la résistance de quelques groupes qui cherchent à conditionner leur démobilisation. Aussi, plusieurs redditions d’éléments des groupes armés ont-ils été enregistrées,  depuis l’accentuation de la pression militaire sur le M23 et sa défaite. A ce jour, les effectifs des rendus sont estimés à  plus de 4.000 personnes.<br />
<br />
Il est également fait état d’une désertion de près de 400 personnes parmi les 1.700 éléments du M23 que l’Ouganda aurait  reçus  sur son territoire.<br />
<br />
Pour la restauration de l’autorité de l’Etat au Nord-Kivu, les unités de la Police Nationale Congolaise ont été déployées dans toutes les localités libérées. Elles sont renforcées par l’arrivée du premier groupe d’éléments de la Légion Nationale d’Intervention, LENI en sigle. A ce jour, tous les territoires et villes de la Province connaitraient une présence bien visible des éléments de la Police Nationale.<br />
<br />
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<br />
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Politique Conclusion immédiate : Kampala, Kabila et Museveni d’accord !

De Goma où il se trouve présentement, Joseph Kabila a fait un aller-retour, ce lundi 2 décembre 2013, à Entebbe où il s’est entretenu, à ...

JOSEPH KABILA NE VEUT « PAS DE RÈGLEMENT DE COMPTES » À RUTSHURU

December 01, 2013

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Le président Joseph Kabila Kabange a appelé vendredi 29 novembre 2013 après-midi les habitants de Rutshuru (à 80 km au nord de Goma) à ne pas être « ivres de cette victoire » sur la rébellion du M23, soulignant qu’il ne veut « pas de règlement de comptes » au Nord-Kivu (Est de la RD Congo).<br />
<br />
<br />
« Beaucoup de sang a été versé depuis près de 20 ans maintenant. La guerre que nous venons de terminer, que ce soit la dernière guerre. Il faut que les habitants de Rutshuru soient vigilants, qu’ils ouvrent l’œil. Ne soyons pas ivres de cette victoire. Je ne veux pas de règlement de compte, je ne veux pas de brutalités à Rutshuru, au Nord-Kivu, comme dans tout le Congo », leur a-t-il recommandé dans un message d’une dizaine de minutes au stade de Rutshuru-centre.<br />
<br />
<br />
Les « moyens » de la guerre au service du développement<br />
<br />
Souhaitant aux populations « une paix durable », le chef de l’Etat a annoncé que « les moyens, qui servaient à financer la guerre, pourront être utilisés pour relancer les activités de développement au Nord-Kivu ».<br />
<br />
Dans la foulée, il a appelé les habitants de Rutshuru à « reprendre le travail », les déplacés à « rentrer chez eux » et les Congolais ayant fui la guerre dans les pays voisins à « rentrer pour aider à reconstruire le pays ».<br />
<br />
« Il y a beaucoup de problèmes: la sécurité, la réinsertion des groupes armés, le retour et l'encadrement des déplacés, le chômage accru, les enfants qui ne sont pas scolarisés parce que leurs parents n'ont pas pu cultiver les champs à cause de la guerre », a indiqué  à l'AFP Jean-Claude Bambanze, de la société civile de Rutshuru.<br />
<br />
Le président Joseph Kabila a également invité les pays voisins à « respecter le Congo, la population et la province du Nord-Kivu ».<br />
<br />
Chronologie de la victoire des FARDC sur le M23<br />
<br />
<br />
19 novembre 2012 : Chute de la Ville de Goma.<br />
20 novembre 2012 : <br />
- Repli stratégique des FARDC<br />
- Le chef EMG ordonne au commandant 8ème région militaire de procéder au réarmement moral des cadres et troupes ainsi que sur la réorganisation des unités pour une meilleure operationnalité.<br />
<br />
27 novembre 2012 : Le chef EMG ordonne au commandant général de la 8ème région militaire de réorganiser et de redéployer les unités en défensive.<br />
<br />
20 décembre 2012 : Le chef EMG instruit le commandant de la 8ème région militaire d'établir les états des lieux de toutes les unités de la 8ème région militaire en vue d'évaluer le degré de leur operationnalité, accompagnés des états de besoin.<br />
<br />
05 avril 2013 : Le chef EMG ordonne,  par une directive, au commandant de la 8ème région militaire de réorganiser et de ré articuler les unités en trois échelons; les moyens financiers et logistiques nécessaires étant libérés.<br />
<br />
20 avril 2013 : <br />
-Le chef EMG informe le commandant de la 8ème région militaire de la création, par le commandant suprême, des unités d'appui feux, appelées Task Forces, constituées des unités d'élite de la Garde républicaine, dotées de moyens de feux importants, sous le commandement d'un officier général, le général de brigade Ilunga Kampete.<br />
<br />
- Le chef EMG ordonne au commandant de la 8ème région militaire d'intégrer ces unités d'élite dans le dispositif opérationnel.<br />
<br />
15 août 2013 : Le chef EMG décide de créer, dans le plus grand secret, les bases et les dépôts logistiques avancés. Un processus de ravitaillement sans interruption desdites structures est déclenché. Le chef Emg et le chef EMG particulier de président de la République y veillent de manière particulière.<br />
<br />
26 août 2013 :<br />
<br />
-  Le chef EMG convoque une réunion dans le plus grand secret à Kisangani, le commandant de la 8ème région militaire, en présence de deux officiers généraux de l'Etat-major et du commandant de la 9ème région militaire.<br />
<br />
- Le chef EMG dévoile au commandant de la 8ème région militaire, pour la première fois, le volet opérationnel du plan du commandant suprême pour la neutralisation totale du M23, opération dénommée "Pomme Orange", avec délais maxima d'exécution en 30 jours et trois phases, assortie d'une phase intermédiaire TEST. La MONUSCO, par son commandant Force et son adjoint ainsi que deux collaborateurs, participe à cette réunion secrète.<br />
<br />
28 août 2013 : Le chef EMG ordonne le déclenchement de la phase intermédiaire TEST et Kibati est récupérée.<br />
<br />
31 août 2013 : <br />
-Le chef Emg instruit le commandant de la 8ème région militaire de réorganiser les unités et de consolider les objectifs conquis.<br />
<br />
- A partir de cette date : visite surprise du chef EMG au front suivant les instructions du commandant suprême, accompagné du commandant de la 8ème région militaire, pour la tenue des réunions et des causeries morales sur terrain en vue de s'assurer que les cadres et troupes sont suffisamment réarmés moralement et prêts pour les opérations. Transmission, par la même occasion des félicitations du commandant suprême et instructions du chef EMG sur le dernier réglage pour la suite de l'opération "Pomme Orange" qui devrait conduire à la victoire finale.<br />
<br />
- Agitation de l'ennemi. Le chef EMG ordonne le déploiement des hélicoptères de combats et des Sukoy sur zone.<br />
<br />
25 octobre 2013 : Le commandant suprême ordonne le déclenchement de l'opération « Pomme Orange » et transmission par le chef EMG au commandant de la 8ème région militaire de 5 dernières consignes particulières du commandant suprême pour le bon déroulement de l'opération.<br />
<br />
25 - 27 octobre 2013 :<br />
<br />
- Le front Sud s'empare de Kibumba et Gasizi<br />
- Le front Centre conquiert Kalengera et Rubare<br />
- Le front Nord récupère une partie de Kahunga et s'empare de Nyongera<br />
<br />
27 octobre 2013 :<br />
<br />
- Le front Sud s'empare de Rugari et Rumangabo<br />
- Le front Centre conquiert Ntamungenga<br />
- Le front Nord s'empare de Kahunga et dans la foulée, Kiwanja, Camp Mulima et Rutshuru.<br />
- Jonction de tous les trois fronts et ouverture de la route Goma - Rutshuru<br />
<br />
28 octobre - 05 novembre 2013 : Tous les trois fronts s'emparent successivement de Bunagana, Mbuzi, Runyoni et Tshanzu.<br />
<br />
Ainsi, l'opération « Pomme Orange », prévue pour durer un maximum de 30 jours, a atteint sa maturation en dix jours, soit du 25 octobre au 05 novembre 2013, avec atteinte de tous les objectifs fixes par le commandant suprême pour la neutralisation totale du M23.<br />
<br />
Le triangle de la victoire, composé du commandant suprême, Joseph Kabila, du chef d'Etat-major général des FARDC, du général d’armée Didier Etumba, et le commandant de la 8ème région militaire, le général Bahuma, a fonctionné en parfaite harmonie avec toutes les unités combattantes sur terrain.<br />
<br />
Bien conçue par le commandant suprême, orchestrée par le chef d'Etat-major général des FARDC  et mise en œuvre par le commandant de la 8ème région militaire, le plan opérationnel « Pomme Orange » a été remarquablement exécuté et a conduit à la capitulation de l'ennemi, le M23.
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la Nation Politique JOSEPH KABILA NE VEUT « PAS DE RÈGLEMENT DE COMPTES » À RUTSHURU

Le président Joseph Kabila Kabange a appelé vendredi 29 novembre 2013 après-midi les habitants de Rutshuru (à 80 km au nord de Goma) à n...

ALLEMAGNE: SAISIE DE DEUX CARGAISONS DE BOIS ILLÉGALEMENT EXPORTÉ DE LA RDC

December 01, 2013

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Les autorités allemandes ont saisi cette semaine deux cargaisons de bois en provenance de la RDC à l’issue d’une action qui a débuté au mois de novembre à la suite d’une alerte de Greenpeace, renseigne un communiqué de presse de cette ONG environnementale.<br />
<br />
<br />
Selon Greenpeace, cette saisie constitue le premier cas d’application du nouveau règlement européen sur le bois depuis son entrée en vigueur auau mois de mars 2013.<br />
<br />
«Cette saisie lance un signal fort à toutes les entreprises d’exploitation forestière ainsi qu’à leurs clients européens, afin qu’ils évitent toute pratique commerciale frauduleuse », a déclaré Danielle Van, chargée de la campagne Forêt à Greenpeace Hollande.<br />
<br />
Le bois saisi est du Wengé, espèce d’arbre tropical en voie de disparition, enregistré en RDC par la société d’exploitation forestière libanaise la Bakri Bois Corporation.<br />
<br />
Destiné à l’entreprise suisse Bois d’Afrique mondiale, ce bois a transité par le port d’Anvers, avant d’être mis sur le marché européen via différents commerçants de bois allemands, expliqude-t-on.<br />
<br />
«Les autorités ne peuvent plus fermer les yeux. L’exploitation forestière illégale et destructrice doit cesser. Il en va de l’avenir des forêts et de millions de personnes qui en dépendent. Aucune écharde de bois illégal ne devrait se retrouver sur le marché européen »,  explique Raoul Monsembula, coordinateur national RDC de Greenpeace Afrique.<br />
<br />
Ce bois saisi, dont la valeur n’a pas été révélée, sera vendu et l’argent déversé dans le trésor public allemand, ont affirmé à Greenpeace les autorités allemandes.<br />
<br />
Au total, 40 mètres cubes de bois sciés Afrormosia exploités en RDC avaient aussi été saisis à Anvers (Belgique), avait annoncé le ministre congolais de l’Environnement, Bavon N’sa Mputu, dimanche 21 avril dernier.<br />
<br />
«La justice congolaise doit éclairer l’opinion sur ce bois d’une valeur estimée à entre 60 000 et 70 000 euros exporté par la société d’exploitation forestière Tala Tina » avait-il poursuivi.<br />
<br />
Dans un rapport publié en octobre dernier, l’ONG Greenpeace a dénoncé l’exploitation illégale du bois en République démocratique du Congo, précisant que « les compagnies forestières, y compris des multinationales, bafouent systématiquement la loi congolaise, en toute impunité », appelant ainsi les instances internationales et d’autres nations à se saisir du dossier du commerce illicite du bois à travers le monde.
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Justice la Nation ALLEMAGNE: SAISIE DE DEUX CARGAISONS DE BOIS ILLÉGALEMENT EXPORTÉ DE LA RDC

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