BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Dialogue : une nouvelle rencontre Tshisekedi – Kodjo en vueie à la place du 30 juin

May 30, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj83A-PxwHemTEcrOf9rsbK9ohYyElj03ip_iGwZEulUyCocxx2tJCjGG_kxC2vgey2zYfahDVAEn4jMORdBL5r3Aa-cLzLCH0v0vjzDBxs_m5IX5YTbvzjhYyCs2D4l7AT4z3KzrryuoU/s1600/Snapshot_267.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj83A-PxwHemTEcrOf9rsbK9ohYyElj03ip_iGwZEulUyCocxx2tJCjGG_kxC2vgey2zYfahDVAEn4jMORdBL5r3Aa-cLzLCH0v0vjzDBxs_m5IX5YTbvzjhYyCs2D4l7AT4z3KzrryuoU/s400/Snapshot_267.jpeg" width="400" /></a>Pour débloquer la machine du dialogue politique, des sources dignes de foi indiquent que le facilitateur Edem Kodjo pourrait se rendre encore cette semaine à Bruxelles pour y rencontrer le chef de file de l’UDPS, afin de discuter avec Etienne Tshisekedi des points qui bloquent. Objectif: décanter la situation au regard des exigences soulevées par le Lider Maximo avant de transmettre la liste de ses délégués devant prendre part au comité préparatoire du dialogue. 
 
 
 
Lors de sa dernière sortie médiatique à l’immeuble Serkas wa Ndeka, à Gombe, Edem Kodjo était clair à ce sujet. “je ne peux pas convoquer le dialogue sans l’UDPS “, avait-il reconnu. Ce qui prouve une fois de plus le rôle important d’Etienne Tshisekedi dans la tenue du dialogue politique en RDC. 
 
 
 
Plusieurs diplomates et émissaires qui suivent de près la crise politique que traverse la RDC n’hésitent pas non plus de passer par Bruxelles pour s’enquérir de la situation auprès du Lider Maximo. Thomas Pierello, l’envoyé spécial de l’Administration Obama dans la Région des Grands Lacs, a dans ce cadre fait plusieurs voyages pour rencontrer Tshisekedi dans la capitale belge. 
 
 
 
Tshitshi, un visionnaire 
 
Lorsque la guerre éclata dans la partie Est de la RDC entre le régime de Kinshasa sous Laurent Désiré Kabila et ses anciens camarades de l’Alliance des Forces de Libération (AFDL), Etienne Tshisekedi avait pris l’initiative de faire la médiation entre les deux camps, afin de trouver un cadre juridique pour la gestion du pays. 
 
 
 
Bien que Laurent Désiré Kabila promettait une guerre longue et populaire, il a fallu l’implication du leader de l’UDPS dont la tournée euro-américaine permit de convaincre la communauté internationale pour aboutir aux Accords de Lusaka ayant conduit laborieusement à l’Accord Global et Inclusif de Sun City. 
 
 
 
Etienne Tshisekedi reste un visionnaire dont les prises de position souvent incomprises finissent par avoir gain de cause. Lors d’un meeting tenu le 18 novembre 1995 au Parc de Boeck, il disait avec conviction que” La Conférence Nationale Souveraine (CNS) a consacré la souveraineté du peuple, et tout schéma qui s’écartera à ce principe est voué à l’échec ». 
 
 
 
Le 23 mai 1997, après plusieurs tentatives sans succès pour rencontrer Laurent Désiré Kabila, pour parler de l’avenir du pays, ii demanda à Laurent Désiré Kabila de faire partir les troupes étrangères et de payer, s’il le faut les factures promises à ces ex-alliés. LD. Kabila se refusa de l’écouter. Une relégation de Tshisekedi à Kabeya Kamuanga s’en est suivie. Mais, 1e 2 août 1998, la guerre éclata, la population finit par donner une fois encore raison à Etienne Tshisekedi. 
 
 
 
Il en est de même de la plaidoirie qu’Etienne Tshisekedi a faite au sujet du dialogue politique. Démarche pour laquelle il a été même l’objet de plusieurs critiques. Aujourd’hui, ceux qui critiquaient le sphinx de Limete lui donnent raison. Pour rappel, le dialogue tire son origine de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba et des Résolutions des Nations Unies, afin de résoudre la crise politique qui déchire la RDC depuis les élections chaotiques du 28 novembre 2011. 
 
Par GODE KALONJI 
 
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Politique Dialogue : une nouvelle rencontre Tshisekedi – Kodjo en vueie à la place du 30 juin

Pour débloquer la machine du dialogue politique, des sources dignes de foi indiquent que le facilitateur Edem Kodjo pourrait se rendre encor...

Des médias belges proclament Katumbi « CHEF » de l'opposition congolaise. Que dit le concerné ?

May 30, 2016

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Et l'article commence ainsi : 
« … Le chef d'opposition congolais, Moïse Katumbi, a quitté l'Afrique du Sud samedi pour être soigné en Grande-Bretagne, a indiqué dimanche un de ses conseillers. Une fois rétabli, il devrait rentrer au Congo, a expliqué Olivier Kamitatu à l'agence DPA. » 
Lapsus ? Choix délibéré ? 
Le 29 septembre 2015, on pouvait lire ceci dans les médias : 
« Dans un communiqué rendu public mardi en fin de journée, Moïse Katumbi annonce quitter le parti du président Joseph Kabila, le PPRD, et démissionner du gouvernorat du Katanga. Il motive cette décision en dénonçant le fait que, selon lui, "tout est mis en oeuvre pour ne pas respecter la Constitution". .. » 
Huit mois après, jour pour jour après avoir cessé d'être membre du parti de Joseph Kabila, monsieur Moïse Katumbi est proclamé « CHEF » de l'opposition ! Quelle sera la prochaine étape ? 
Pour ceux qui suivent même un tout petit peu l'histoire de la RD Congo, ils savent que la veille de la démission de Moïse Katumbi du parti de Kabila, il y avait des hommes politiques congolais qui s'opposaient déjà contre la dérive dictatoriale du régime de monsieur Joseph Kabila,où Moïse Katumbi était membre depuis une décennie. 
Ne pas tenir compte de cela, serait du mépris face à un peuple qui souffre et se bat depuis des années contre un système qui l'empêche de mieux vivre et en toute liberté sur la terre de ses ancêtres, une terre riche, mais dont la richesse profite plus à une clique ainsi qu'à certains étrangers, plutôt qu'à la majeure partie de la population congolaise. 
À quel moment des élections primaires ont-elles eu lieu dans l'opposition pour la désignation de Moïse Katumbi comme « CHEF » de tous les opposants ? 
Cela ne veut nullement dire qu'il est interdit à l'opposition congolaise de plébisciter un jour Moïse Katumbi « CHEF ». 
Faudrait-il pour cela mettre la charrue avant les bœufs ? 
Ou bien ces médias belges ont été contaminés par un travers de la société congolaise : la croyance en des prophètes. 
Oui, en RD Congo, la population se laisse facilement berner par des prophètes qui vendent des rêves. 
Est-ce opportun pour certains médias belges de concurrencer nos charlatans de pasteurs ? 
Enfin que dit le concerné, monsieur Moïse Katumbi Chapwe ? 
Il peut bien se taire. 
Mais un proverbe congolais dit : 
"Quand un enfant insulte une grande personne et que son père ne dit rien, c'est la pensée du père qui sort de la bouche de l'enfant." 
Bruxelles, le 30 mai 2016 
Cheik FITA 
 
 
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Politique Des médias belges proclament Katumbi « CHEF » de l'opposition congolaise. Que dit le concerné ?

Dimanche 29 mai 2016, des médias belges ont publié un article intitulé : « Le chef d'opposition congolais Moïse Katumbi soigné en Europe...

38 CONGOLAIS VISÉS PAR DES SANCTIONS AU SÉNAT AMÉRICAIN

May 30, 2016

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Le Potentiel 
 
 
 
 
Ils sont trois et arborent les couleurs des démocrates au sénat américain à prédominance républicaine. Les sénateurs Edward J. Market, Richard Durbin et Christopher Murphy, s’appuyant sur une décision de la Maison Blanche, ont saisi l’opportunité qui s’offre avec le passage de plusieurs acteurs congolais au Sénat et auprès des l’administration Obama pour exiger que l’on passe à la vitesse supérieure. 
 
 
Aux Etats-Unis, personne ne comprend que des Congolais meurent simplement parce qu’ils auraient exigé de leurs dirigeants le respect strict de la Constitution relativement aux délais d’organisation des scrutins. Cet étonnement est aussi accompagné du lobbying mené par les adversaires du chef de l’Etat qui ont démontré aux partenaires comment le pouvoir a tout fait pour retarder les élections et obtenir un glissement du calendrier ou, au pire, un troisième mandat pour le président Kabila. Et ce ne sont pas des arguments qui ont manqué aux interlocuteurs des Américains. 
 
 
Dans leur maladresse, certains responsables congolais ont pensé bien faire, en optant pour la répression brutale et aveugle, là où il apparaît clairement qu’il y avait moyen de procéder autrement ! En cherchant à inoculer la peur aux téméraires marcheurs et en promettant publiquement la mort à tout celui qui se hasarderait de descendre dans la rue, les adversaires politiques du président Kabila avaient le bon rôle auprès des partenaires qui ont obtenu des preuves matérielles de cette volonté de torpiller le processus démocratique et électoral en RDC. 
 
 
Dans leur détermination à réussir un passage en force à n’importe quel prix, les leaders de la Majorité présidentielle ont oublié que tout n’était pas permis sous couvert de la souveraineté. Il est des choses que la démocratie ne tolère pas et pour lesquelles il ne faut ni tuer encore moins blesser gratuitement des citoyens qu’on administre. 
 
 
Au nom de ce principe, les sénateurs américains, pour qui la situation en RDC suit le même cheminement qu’au Burundi est un pied de nez à la communauté internationale au point que la laisser évoluer sans agir en amont serait une manière de l’encourager. 
 
 
Pour le gouvernement, par le canal du ministre des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda, ces agissements s’apparentent à un recours par «certains partenaires » à un discours « teinté de menaces à géométrie variable et d’application sélective dans la région». Le chef de la diplomatie RD-congolaise, Raymond Tshibanda, est monté au créneau le 25 mai via un communiqué qui a tout l’air d’une mise au point face à la pression que subit de plus en plus la RDC de la part de ses partenaires extérieurs. 
 
 
Au décryptage, cela donne à peu près ce que redoutaient ces partenaires de la RDC, à savoir les autorités congolaises seraient tentées voire déterminées à violer la Constitution en usant des moyens de l’Etat pour atteindre leur objectif. Les diplomates qui s’occupent de la question congolaise sont plus qu’édifiés. Ils sont désormais convaincus qu’il serait temps de passer à une autre étape contre ceux qui violent les droits et libertés des Congolais, particulièrement les questions sur la liberté d’expression et les manifestations publiques jusqu’à l’expression des contestations pacifiques. 
 
 
38 noms en circulation 
 
 
Aussi curieux que cela puisse paraître, les noms en circulation ne visent plus exclusivement le haut de la hiérarchie de la prise de décisions. Même des échelons moins importants sont concernés par cette liste confectionnée à Bruxelles, Stockholm, Londres et Washington. Selon des sources, NewYork aurait également ajouté des noms avec le concours de la Monusco qui s’est déclaré « préoccupée » à travers « l’Africain » Mama Sidikou ! 
 
 
La mise en garde occidentale risque d’avoir tout son sens dans les tout prochains jours avec le passage en action qui se confirme de plus en plus et les circonlocutions diplomatiques sont désormais rangées au placard en faveur d’un langage sans ambages. Des sanctions ciblées se matérialisent et ne relèvent pas du domaine de la fiction. 
 
 
Le rétrécissement de l’espace politique vécu lors des manifestations des opposants tant à Kinshasa, Lubumbashi, Goma qu’à Bukavu, la traque contre tous ceux qui compatissent aux malheurs des compatriotes de Beni, principalement les activistes de la Société civile de la Lucha ou Filimbi sont autant d’éléments qui démontrent que la répression est une réalité en RDC. Le dernier cas en date est la répression exercée sur les étudiants de l’Ista (Institut supérieur des techniques appliquées). La police a fait irruption dans les auditoires et homes et a dépouillé les étudiants de tous leurs biens personnels : téléphones, argent, ordinateurs. 
 
 
Comme si cela ne suffisait pas, des procès sont organisés et des condamnations prononcées contre des manifestants pacifiques, juste pour jouer à la dissuasion. 
 
 
Les États-Unis et la Grande-Bretagne avaient récemment fait savoir qu’ils étudiaient la possibilité d’appliquer des « sanctions ciblées » contre les responsables des répressions en RDC. L’Union européenne avait, pour sa part, exprimé sa vive préoccupation quant aux harcèlements et intimidations dont font l'objet certains opposants dans le pays. 
 
 
Pragmatiques, les Américains passent des paroles aux actes, étant donné la lenteur dans les procédures d’adoption des décisions par l’administration Obama qui gère avec un parlement qui ne lui est pas tout à favorable. Ce qui est vrai c’est que la question congolaise est rangée dans les urgences de sécurité intérieure des USA. Il ne serait pas surprenant que démocrates et républicains embouchent un même discours. Surtout que les animateurs des institutions en RDC s’estiment en droit de s’octroyer certaines libertés au nom de la prétendue souveraineté du pays. Un discours facile à balayer par des arguments contenus dans la Constitution dont des partenaires et une frange importante des citoyens congolais exigent le respect. 
 
 
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Politique 38 CONGOLAIS VISÉS PAR DES SANCTIONS AU SÉNAT AMÉRICAIN

La question des sanctions contre des dirigeants congolais donneurs d’ordre et exécuteurs d’actes de répression contre l’expression démocrati...

Méditerranée : 700 portés disparus

May 30, 2016

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Environ 500 des victimes sont portées disparues depuis jeudi, après le naufrage d’une embarcation transportant des réfugiés et des migrants. 
Trois embarcations inadaptées à la navigation en haute mer ont chaviré dans le sud de l’Italie, en moins d’une semaine, a indiqué Mme Sami. 
Elles transportaient des migrants qui tentaient d’atteindre l’Europe, en passant par le territoire maritime libyen. 
Mercredi, l’une des embarcations a été filmée par des marins italiens lors de son chavirement. La marine italienne a réussi à sauver la plupart des personnes qui étaient à bord. 
Environ 100 autres personnes de la même embarcation sont portées disparues. 
Les drames causés par l’émigration en mer Méditerranée traduisent l'échec de la politique européenne en matière d'immigration, selon Violaine Carrère, chargée d'études au Groupe d'information et de soutien des immigrés (GISTI). Le GISTI est une association de défense et d'aide juridique des étrangers basée à Paris. 
"Il y a toujours des personnes qui essayent de venir en Europe. Il y a toujours, de même, des personnes qui meurent dans des conditions effroyables", s’est désolée Mme Carrère dans un entretien avec BBC Afrique. 
 
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Monde Méditerranée : 700 portés disparus

Selon Carlotta Sami, une porte-parole de l'agence de l'ONU pour les réfugiés, ce bilan découle d’une série de naufrages d’embarcatio...

PASTEUR .JACQUES DINABANZA SOUTIENT HONORE NGBANDA ET CARTE ROUGE A KATUMBI ET KAMERHE (VIDÉO)

May 30, 2016

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PASTEUR .JACQUES DINABANZA SOUTIENT HONORE NGBANDA ET CARTE ROUGE A KATUMBI ET KAMERHE (VIDÉO) 
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PASTEUR .JACQUES DINABANZA SOUTIENT HONORE NGBANDA ET CARTE ROUGE A KATUMBI ET KAMERHE (VIDÉO)

RDC : Moïse Katumbi à Londres !

May 30, 2016

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Autorisé par le Procureur Général de la République, l’ex. Gouverneur de la Province Cuprifère avait quitté Lubumbashi le vendredi, 20 mai 2016, pour l’Afrique du Sud, afin d’y bénéficier d’une prise en charge médicale conséquente. Cela, suite à la demande introduite par ses avocats, le 19 mai 2016, auprès de l’autorité du parquet général à Kinshasa. 
 
Inculpé du Chef d’atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l’Etat, prévue et punie par le titre VIII du Code pénal livre II, et placé sous mandat d’Arrêt Provisoire, le candidat du G7 et de l’AR à la prochaine présidentielle est astreint au devoir de réserve, en ce qui concerne les faits ayant donné lieu à l’instruction du dossier judiciaire en cours. 
 
Pour rappel, l’opposant Katumbi est poursuivi pour recrutement des mercenaires américains et sud-africains, et il est inculpé et placé sous mandat d’arrêt provisoire.

Politique RDC : Moïse Katumbi à Londres !

*Evacué en Afrique du Sud par un avion médicalisé pour y suivre des soins, Moïse Katumbi est arrivé samedi 28 mai, à Londres, la Capitale ...

Comité préparatoire du Dialogue : Edem Kodjo rejette une nouvelle liste de la Société Civile !

May 30, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh3-J4auN2AeGxdUhJDDmRHZ0CH116whshGKx-9w2jmjAzY_zUhbbiaalTXDXZFtLBBub0RD3pW46SJP38SA7a3UZ5W48gjVGTrTuF_jOpeeP2PfAWBoRxo5EdGhsgdpAeOctF3fny3L58/s1600/Snapshot_60.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh3-J4auN2AeGxdUhJDDmRHZ0CH116whshGKx-9w2jmjAzY_zUhbbiaalTXDXZFtLBBub0RD3pW46SJP38SA7a3UZ5W48gjVGTrTuF_jOpeeP2PfAWBoRxo5EdGhsgdpAeOctF3fny3L58/s400/Snapshot_60.jpeg" width="400" /></a></div>
 
 
Imbroglio ou amalgame ? L’interrogation n’est pas fortuite. Le Facilitateur du dialogue politique national voulu inclusif, Edem Kodjo, est devant un dilemme. Et pour cause ! Une liste de la Société Civile, composée de 10 personnes devant prendre part au Comité préparatoire, aurait déjà été réceptionnée et validée par l’ancien Premier Ministre Togolais. A son grand étonnement, un panel d’experts d’une autre Société Civile vient de lui transmettre une nouvelle liste de 17 personnes. Voilà qui place le facilitateur dans une sorte de confusion, mieux, dans l’embarras d’autant plus que le problème créé par l’UDPS Etienne Tshisekedi avec sa liste, qui tarde à être transmise, n’a jusqu’ici, trouvé aucune une issue favorable. 
 
Comme quoi, la nouvelle liste dite harmonisée de la Société civile, vient à nouveau surchauffer les nerfs du facilitateur déjà très tendus. En même temps, il est difficile que la machine de la facilitation puisse prendre son envol et tourner en plein régime. 
 
Ci-dessous, la correspondance de la Société Civile adressée à la facilitation avec, en annexe, le procès-verbal de désignation ainsi que la liste complète de 17 personnes. 
 
PANEL DES EXPERTS DE LA SOCIETE CIVILE 
 
Kinshasa, le 26/05/ 2016 
 
N/R : SC/CN/015/16 
 
V/R : 
 
Transmis copie pour information: 
 
A Son Excellence Monsieur le Président de la République (avec nos hommages les plus déférents) 
 
à Kinshasa/Palais de la Nation 
 
 
 
A Son Excellence Edem KODJO, Facilitateur du Dialogue Politique National Inclusif 
 
à Kinshasa/Gombe 
 
Concerne : Transmission de la liste des Délégués de la Société Civile au Comité Préparatoire du Dialogue Politique National Inclusif 
 
Excellence Monsieur le Facilitateur, 
 
Nous avons l’honneur de vous saisir pour ce dont l’objet est repris en marge. 
 
En effet, les membres des organisations de la Société Civile se sont réunis à plusieurs reprises sous la supervision de l’Autorité Morale de la Société Civile, Monseigneur MILENGE MWENELWATA. A l’issue de ces rencontres, les participants se sont convenus sur une liste harmonisée des Délégués qui devront représenter la Société Civile au Comité Préparatoire du Dialogue Politique National Inclusif. La composition de cette liste, représentative, tient compte de toutes les tendances de la Société Civile, du Genre et des Provinces. 
 
Veuillez agréer, Excellence Monsieur le Facilitateur, l’expression de notre haute considération. 
 
Pour le Panel des Experts 
 
De la Société Civile 
 
Monsieur NZAMBA BYGA Gabriel 
 
Président 
 
Madame MAZU MINONO Beatrice 
 
Rapporteur 
 
 
 
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO 
 
PROCES-VERBAL DE DESIGNATION DES DELEGUES DE LA SOCIETE CIVILE AU COMITE PREPARATOIRE DU DIALOGUE POLITIQUE NATIONAL INCLUSIF 
 
L’an deux-mille-seize, le Vingt-sixième jour du mois de Mai; 
 
Sous l’accompagnement de l’Autorité Morale de la Société Civile, Monseigneur Dr. MILENGE MWENELWATA, 
 
Nous, membres du Panel des Experts de la Société Civile pour le Dialogue Politique National Inclusif, Représentant des Plateformes et Regroupements de la Société Civile. 
 
Considérant l’Ordonnance N°15/084 du lundi 30 novembre 2015 portant convocation du Dialogue Politique National Inclusif en RDC par le Président de la République, 
 
Prenant acte de la désignation par la Communauté Internationale de S.E Monsieur Edem KODJO en qualité de Facilitateur du Dialogue Politique National Inclusif en République Démocratique du Congo, 
 
Mu par la volonté patriotique de participer activement au processus de reconstruction et de développement de notre pays, 
 
Après plusieurs réunions tenues en rapport avec la désignation des Délégués de la Société Civile au Comité Préparatoire du Dialogue Politique National Inclusif, 
 
Tenant compte des critères retenus à cet effet, 
 
Prenant en compte les différentes listes présentées par les différentes plateformes et regroupements de la Société Civile, 
 
Vu ce qui précède, 
 
Avons désigné, ce jour, les Personnalités ci-après pour nous représenter au Comité Préparatoire du Dialogue Politique National Inclusif, 
 
Cependant le nom du délégué de la jeunesse sera ultérieurement transmis après sa désignation par les associations des jeunes. 
 
 
 
 
 
NOMS 
 
POST NOM 
 
COMPOSANTE 
 
 
 
KINSHASA 
 
 
 
 
01 
 
LUBOYA KASONGO 
 
MUTEBA 
 
SOCICO 
 
02 
 
JEROME 
 
BONSO 
 
FORCES VIVES 
 
03 
 
JEAN MARIE 
 
NTANTU MEYI 
 
CNC 
 
04 
 
MAGUY 
 
KYALA 
 
FORCES VIVES 
 
05 
 
WIVINE 
 
CIMUSA 
 
FORUM DES LEADERS 
 
06 
 
BONGANGA 
 
DJEMA 
 
OL-FSD 
 
07 
 
CATHY 
 
KALANGA 
 
CNC 
 
08 
 
JONAS 
 
TSHOMBELA 
 
NSC 
 
09 
 
RACHIDI 
 
JOSEE 
 
RAFFDI 
 
10 
 
 
 
 
 
JEUNESSE 
 
11 
 
CARLOS 
 
MUPILI 
 
SOCIKIN 
 
 
 
PROVINCE 
 
 
 
 
12 
 
VALENTIN 
 
VANGI 
 
SOCIV 
 
13 
 
ODETTE 
 
MUAMBA 
 
SOCIV 
 
14 
 
THOMS D’AQUIN 
 
MWITI 
 
SOCIV 
 
15 
 
FABIEN MUNGUNZA 
 
MANGUBE 
 
SOCIV 
 
 
 
DIASPORA 
 
 
 
 
16 
 
JOHN 
 
KWETE MWANKWETE 
 
 
 
17 
 
JEEF 
 
PAMBI MABUDIGA

Politique Comité préparatoire du Dialogue : Edem Kodjo rejette une nouvelle liste de la Société Civile !

Imbroglio ou amalgame ? L’interrogation n’est pas fortuite. Le Facilitateur du dialogue politique national voulu inclusif, Edem Kodjo, ...

Dialogue : l’UDPS ignore le Groupe de travail de Kodjo !

May 30, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_0fA__U0TsMrSZOn3Op95ggRRDzuEAPLpgzm1qngpg5E4h490epsMzZC4jSOsiUCXCXOJWGcbc_x3_UrQ7lAEYD8FqR4Rtxz7gGXoRMmBOm6l5yi4QE6iwyIAS3SYFeRHowHZbqDNErY/s1600/Snapshot_225.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_0fA__U0TsMrSZOn3Op95ggRRDzuEAPLpgzm1qngpg5E4h490epsMzZC4jSOsiUCXCXOJWGcbc_x3_UrQ7lAEYD8FqR4Rtxz7gGXoRMmBOm6l5yi4QE6iwyIAS3SYFeRHowHZbqDNErY/s400/Snapshot_225.jpeg" width="400" /></a>Le parti d’Etienne Tshisekedi, l’allié d’Edem Kodjo dans l’organisation du Dialogue politique en RDC, estime que le Groupe de travail institué par le Facilitateur n’est qu’une cellule informelle à son service qui ne remplace nullement le Comité Préparatoire. Constitué essentiellement des activistes de la Société civile, le Groupe de travail, selon l’UDPS, ne peut faire le travail des politiques. 
 
Toutes ces affirmations ou négations ont été faites à la presse, lors d’une conférence de presse, à Bruxelles, le 27 mai dernier. Pour la circonstance, les deux cadres du parti qui ont le vent en poupe, à savoir : Bruno Tshibala (Secrétaire général adjoint et Porte-parole) et Félix Tshisekedi (Secrétaire national aux Affaires Extérieures) ont été envoyés au front. De cette conférence de presse, on retient plusieurs choses. L’UDPS poursuivra toujours sa lutte politique par des moyens pacifiques, excluant tout recours à la violence pour accéder au pouvoir. Le Dialogue politique, à venir, permettra au parti d’Etienne Tshisekedi d’obtenir la recomposition de la CENI de façon à la rendre impartiale. Il en sera de même avec la Cour Constitutionnelle. Sans oublier les médias publics qui méritent une séance d’exorcisme pour les mettre abri de l’emprise du parti au pouvoir. C’est, seulement, à ces conditions que l’UDPS ira aux élections présidentielle et législatives pour les gagner, a-t-on déclaré. Les cadres de l’UDPS ont aussi donné quelques grandes lignes sur la manière de gouverner la RDC et les priorités de leur futur Gouvernement. Comprenne qui peut, c’est encore la logique de Tshisekedi ou rien. Outre toutes les questions de politique générale, les deux cadres de l’UDPS se sont appesantis sur les sujets d’actualité politique du pays. Au sujet du Dialogue politique, particulièrement de la liste de délégués de l’Opposition au Comité préparatoire, il faudra encore attendre avant de voir Etienne Tshisekedi transmettre sa liste au Facilitateur.

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Le parti d’Etienne Tshisekedi, l’allié d’Edem Kodjo dans l’organisation du Dialogue politique en RDC, estime que le Groupe de travail inst...

Malgré la deuxième interdiction de Kimbuta : Clément Kanku tient mordicus à la marche ‘’PelisaMuinda’’ !

May 30, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFIAwwB7FcKwFrJlTIZQBmDZFuldZ0HVra2048z4JZm4OPWYKJQChsXir9K0SoRLrBc0bE10qsTA3T_JLQv_JKtAYP6YKYAlIO4cbpgIVxhuh0gW-3Gvddom_-phykl7AfEzix0jwtdBs/s1600/Snapshot_238.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFIAwwB7FcKwFrJlTIZQBmDZFuldZ0HVra2048z4JZm4OPWYKJQChsXir9K0SoRLrBc0bE10qsTA3T_JLQv_JKtAYP6YKYAlIO4cbpgIVxhuh0gW-3Gvddom_-phykl7AfEzix0jwtdBs/s400/Snapshot_238.jpeg" width="400" /></a>*Il n’arrêtera pas en si bon chemin la lutte qu’il a commencée en accord avec la population. Et, malgré une deuxième interdiction de la marche, « Pelisa Muinda’’, le vendredi 27 mai dernier, par de l’Hôtel de Ville de Kinshasa, Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua reste très déterminé à aller jusqu’au bout. Ainsi, a-t-il dénoncé cette manière d’empêcher une action qui, à son avis, est « citoyenne ». Selon lui, c’est juste une revendication qui cadre avec la mise en œuvre de l’article 48 de la Constitution, qui stipule que : « le droit à un logement décent, le droit à l’eau potable et à l’énergie sont garanties. La Loi fixe les modalités d’exercice de ces droits».Dans le cas contraire, il exige le départ de l’actuel comité de gestion de la Société Nationale d’Electricité (SNEL), pour laisser la place à ceux qui sont compétents. 
 
Ils étaient là comme prévu, le vendredi 27 mai2016, le long du Boulevard Triomphal. Ils, ce sont les Militants du Mouvement pour le Renouveau (MR), parti cher à Clément Kanku, ainsi que certaines organisations de la Société Civile qui se sont jointes à sa voix, afin d’exprimer leur ras-le-bol face aux coupures intempestives du courant. Mais, à leur grande surprise, des jeeps bondées des policiers étaient déjà placées sur le lieu du rendez-vous, les empêchant ainsi d’exécuter la marche ‘’Pelisa Muinda’’, encore moins de prendre l’itinéraire devant déboucher vers le siège de la Direction Générale de la SNEL, au coin des avenues de la Justice, dans sa jonction avec le chemin du Pullman Grand Hôtel. 
 
Et pour cause ? Le refus, par André Kimbuta Yango, le Gouverneur de la Ville, d’accorder l’autorisation à cet évènement qui s’apparente à la marche qui s’est déroulée, le 26 mai à Kinshasa. Allusion faite, ici, au mouvement de l’Opposition engagé contre l’arrêt de la Cour Constitutionnelle et qui, de ce fait, exprimait son indignation face aux attaques de Beni. Et, Clément Kanku qui l’a annoncé, a félicité la présence de la MONUSCO avec sa section Droits de l’Homme. Il estime tout de même qu’il est inconcevable que le numéro Un de la Ville de Kinshasa constitue soit obstacle à ce mouvement citoyen. ‘’Est-ce que le Gouverneur pense aux intérêts de la population ? Les gens ont des problèmes dans leurs maisons suite à ces coupures. Il y a même des familles qui ont tout perdu à cause des incendies causés par le courant’’, s’est-il indigné. D’ailleurs, le Président de la FEC a mis l’accent, dans sa récente déclaration, sur le manque d’électricité qui constitue un frein au développement du pays. Il a soutenu que, coincées par manque du courant, les industries sont souvent obligées d’aller se ravitailler dans d’autres pays, alors que la RDC dispose d’énormes potentialités sur le plan énergétique. 
 
Face à ce refus de marcher pacifiquement, dit-il, le MR prépare une réponse appropriée, le moment venu. Kanku ne comprend pas la face cachée de ce refus, alors que la population est en plein droit d’exiger ce qui lui est dû. Pour lui, les raisons avancées ne sont pas valables. A titre d’exemple, dit-il, en France, la population s’est jetée dans la rue contre la réforme de la loi sur le travail pendant toute la semaine et la police a continué à l’encadrer. ‘’ C’est seulement maintenant que la police dispose de capacités pour agir, alors qu’au moment où il faut secourir le peuple contre les criminels, il lui manque toujours quelque chose ?’’, s’est-il indigné. Il a rassuré, tout de même, que le MR ne lâchera pas prise, étant donné qu’il bénéficie de l’accompagnement de la population. 
 
A l’en croire, l’Opération ‘’Pelisa Muinda’’ va continuer jusqu’à ce que le Gouvernement prenne ses responsabilités en mains et mette en place une autre équipe dirigeante à la SNEL. Puisque, à ses yeux, Kanku considère que ce serait une utopie de croire à l’émergence de la RDC, sans électricité. ‘’La population veut tout simplement revendiquer ses droits et elle estime que quand un comité de gestion est incapable, il doit simplement partir’’, a-t-il conclu.

Politique Malgré la deuxième interdiction de Kimbuta : Clément Kanku tient mordicus à la marche ‘’PelisaMuinda’’ !

*Il n’arrêtera pas en si bon chemin la lutte qu’il a commencée en accord avec la population. Et, malgré une deuxième interdiction de la ...

3ème édition de la semaine française. CERENE : Claude Boisson et Gérard Royal à Kinshasa !

May 30, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8lxi5xbeY2CelB4cSm8Gnp-Yr3K_UKSo7Cubq0wiOs9GXSPNK_VdgKTaGHnsiAf4m-E6qY9TJfQR_J1WHek7srj3wfhyphenhyphen0bAepuDBrStd_epbhbEM4rSXZu0RA0w_c_UTR1lCY6KfdlcY/s1600/Snapshot_237.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8lxi5xbeY2CelB4cSm8Gnp-Yr3K_UKSo7Cubq0wiOs9GXSPNK_VdgKTaGHnsiAf4m-E6qY9TJfQR_J1WHek7srj3wfhyphenhyphen0bAepuDBrStd_epbhbEM4rSXZu0RA0w_c_UTR1lCY6KfdlcY/s400/Snapshot_237.jpeg" width="400" /></a>*C’est une forte délégation qui est alignée. Le Directeur Général Claude Boisson et les autres cadres du groupe français CERENE notamment, Gérard Royal, Jacques Boisson et Jack Tshika, Représentant CERENE en RDC, ont confirmé leur participation à la 3ème édition de la semaine française de Kinshasa qui se déroule du 1er au 4 juin 2016. CERENE qui, jusqu’ici, a pour ambition d’obtenir du Gouvernement congolais, les autorisations nécessaires en vue de la signature d’un contrat de partenariat afin de jouer un rôle déterminant dans la valorisation des ressources carbone et forestières de la RD Congo. Le gouvernement congolais qui, actuellement, fait face à des multiples défis, a là, une nouvelle opportunité de convoler en justes noces avec le Groupe CERENE dont la renommée internationale, à la fois, dans la fibre optique et dans les réalisations des cartographies, garantit le sérieux de ses engagements à travers le monde. 
 
Le groupe français spécialiste de la cartographie foncière, forestière, aéronautique ainsi qu’en Télécoms, souhaite ainsi faire bénéficier à la RD. Congo, de son expérience et de son expertise. Voilà pourquoi, il revient, pour la seconde fois sur le sol congolais, pour exposer ses idées et, même, à la limite, présenter l’éventail de ses activités aux invités à la semaine française, du 1er au 4 juin. 
 
A son agenda, le Groupe CERENE, en collaboration avec l’Agence française de développement, AFD en sigle, et la Chambre du Commerce et Industrie franco-congolaise, animera une grande conférence axée sur le développement urbain. Sans entrer dans les secrets, spéculer sur ce qui va se passer, il y a lieu de noter à ce stade qu’autour de cet échange, il sera question, pour CERENE, qui, présentement affiche complet, avec son staff dirigeant conduit par Claude Boisson et l’essentiel de ses cerveaux moteurs, d’étaler les avantages liés notamment, à tout ce qui est cartographie dans ses multiples facettes. 
 
L’occasion faisant le larron, il va de soi qu’au cours de la présentation sous forme d’exposé et de projection via Power point, les participants ainsi que tous ceux qui y assisteront, en seront, certainement, satisfaits. Lorsqu’on sait que M. Claude Boisson ne sera pas seul, dans cet exercice purement pédagogique et persuasif, il faut s’attendre à ce que les autres qui l’accompagnent contribuent, à leur tour, avec de nouvelles matières sur ce même sujet. C’est le cas, par exemple, de M. Jean-Christophe Maurin, Directeur Général de l’Agence Française de Développement. 
 
Au-delà de tout, l’Ambassade de France y apportera, naturellement, son soutien afin qu’à la fin de la semaine française, tout se déroule à la grande satisfaction de tout le monde. 
 
L’année dernière, à la deuxième semaine française, la présence du Groupe CERENE avait apporté à la kyrielle d’expositions, une touche particulière, dans un domaine apparemment inconnu de la plupart des congolais. 
 
Cette fois-ci, il revient encore en force, avec l’idée d’aller plus loin, jusqu’à la conclusion d’un partenariat durable avec les autorités congolaises. Des tractations fiévreusement menées dans ce sens, depuis plusieurs mois, permettent d’espérer que les choses iront vite, voire plus vite, pour que le Groupe CERENE, puisse, enfin, se déployer en RD. Congo. 
 
Tout récemment, en effet, Robert Bopolo, le Ministre de l’Environnement a découvert CERENE, lors d’une mission de travail en France. L’occasion lui a été offerte de s’assurer de ses capacités à aider la RD. Congo dans la réalisation, à brève échéance, de la cartographie forestière. Il suffirait que le contrat, dûment apprêté, soit signé entre les deux parties, pour faire avancer les choses dans la bonne direction. La présence aujourd’hui à Kinshasa du Staff dirigeant de CERENE, avec à sa tête, Claude Boisson et, surtout, Gérard Royal, le Directeur des Innovations et, en même temps, frère ainé de Ségolène Royal, est un atout pour faire décoller, finalement, ce partenariat dynamique.

la Nation 3ème édition de la semaine française. CERENE : Claude Boisson et Gérard Royal à Kinshasa !

*C’est une forte délégation qui est alignée. Le Directeur Général Claude Boisson et les autres cadres du groupe français CERENE notamment...

Moïse Katumbi au Royaume-Uni

May 30, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjAnh-7Ydcyx-KJI5SSDNPHT1jMf8cj0rABhF0-urv3l5BZD1PF-FlfM9RX-ME1RYl1Fs7OfE5_f4ed-mCax3w9bP-rZt7ZghzyT6XD_WM2J0LDB5mgHlDuuHzGa6xGrYeJY3tjIuzyiHM/s1600/Snapshot_140.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjAnh-7Ydcyx-KJI5SSDNPHT1jMf8cj0rABhF0-urv3l5BZD1PF-FlfM9RX-ME1RYl1Fs7OfE5_f4ed-mCax3w9bP-rZt7ZghzyT6XD_WM2J0LDB5mgHlDuuHzGa6xGrYeJY3tjIuzyiHM/s400/Snapshot_140.jpeg" width="400" /></a>Moise Katumbi est arrivé samedi à Londres où il repose .Moïse Katumbi, richissime homme d'affaires de 51 ans, a quitté la RDC pour l'Afrique du Sud au lendemain de l'annonce d'un procès intenté contre lui par le gouvernement congolais qui l'accuse d'avoir recruté des mercenaires. 
Son avocat Me Georges Kapiamba a confirmé son départ pour Londres. 
Il pourrait également se rendre dans les prochains jours à Paris, Bruxelles et à Bonn. 
Dimanche, Me Kapiamba a dénoncé "le transfert" à Kinshasa de quatre autres collaborateurs de M. Katumbi détenus jusque-là à Lubumbashi, dont deux officiers de police chargés de sa sécurité alors qu'il était gouverneur du Katanga. 
Quatre de ses proches, dont un Américain, avaient été arrêtés à Lubumbashi en avril dernier et transférés au siège de l'agence nationale des renseignements (ANR) à Kinshasa. 
Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mendé, lui a déclaré que Kinshasa a accepté que l'ex homme fort de Lubumbashi aille se faire soigner, à condition notamment de ne pas trop s'exprimer sur le dossier judiciaire qui le concerne. 
 
BBC 
 
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Politique Moïse Katumbi au Royaume-Uni

Moise Katumbi est arrivé samedi à Londres où il repose .Moïse Katumbi, richissime homme d'affaires de 51 ans, a quitté la RDC pour l...

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