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VIDÉO. UNC : Claudel Lubaya tourne en dérision Télé 50 . " Je n ' ai pas quitté l 'UNC pour l ' AR de Katumbiste " .

June 01, 2016

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UNC : Claudel Lubaya tourne en dérision Télé 50 . " Je n ' ai pas quitté l 'UNC pour l ' AR de Katumbiste " (vidéo)...

Comité préparatoire du dialogue politique : Lumuna Ndubu dénie à Tshisekedi la qualité d’opposant général

June 01, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuFR4AVG2CZN50mVkWGNOjZ-Xp6aSaQoE9PpdCX2kdN3h6rLg8qXRdm66KTaL1ME-TOwSv8kqAypLeUZuIyOye9Ohq_Z_NytdZNf9iit_7MDIyBETO7I10SGtIilXUinyIiHans7OoF0w/s1600/Snapshot_249.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuFR4AVG2CZN50mVkWGNOjZ-Xp6aSaQoE9PpdCX2kdN3h6rLg8qXRdm66KTaL1ME-TOwSv8kqAypLeUZuIyOye9Ohq_Z_NytdZNf9iit_7MDIyBETO7I10SGtIilXUinyIiHans7OoF0w/s400/Snapshot_249.jpeg" width="400" /></a>*La mise en place du comité préparatoire du dialogue politique national inclusif met au grand jour une rixe politique que le commun des mortels n’arrive à saisir le soubassement. A moins d’être un politique rompu. Car, c’est au jour le jour que les déclarations affluent du côté de l’opposition politique. En toile de fond, elles dénoncent la démarche cavalière du facilitateur Edem Kodjo, de se donner le culot de désigner Etienne Tshisekedi comme celui qui doit tamiser la liste de 12 délégués de l’opposition politique. Ce, au mépris des dispositions portant organisation et fonctionnement de l’opposition en RD Congo. Ensuite, l’appropriation de l’opposition par Tshisekedi et son parti politique, alors que l’opposition au Congo est bicéphale, c’est-à-dire parlementaire et Extra-parlementaire, ou encore plurielle, selon certains leaders politiques. Porte-parole de la Ligue Congolaise des partis libéraux de l’opposition extraparlementaire, Lumuna Ndumbu, qui s’est confié à La Prospérité, hier dans la soirée, a indiqué que si la participation de l’UDPS au dialogue doit être saluée par tous, il reste que son leader ne peut s’arroger la qualité d’opposant général, pour exclure certains cadres de l’opposition à la participation au comité préparatoire. Le dialogue, qu’il voit inéluctablement déboucher sur une transition politique, avec l’installation de nouvelles institutions, doit être inclusif, selon l’esprit du Chef de l’Etat, Joseph Kabila. <br />
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Comment organiser les élections crédibles, apaisées, dont les résultats seront acceptés par tous, dans un contexte actuel qui se caractérise par la levée de boucliers entre ceux qui considèrent que point n’est besoin d’organiser le dialogue, parce que la mandature actuelle court vers sa fin prochaine, et ceux qui sont d’avis que seul le dialogue reste la voie royale pour régler certains problèmes qui émaillent le processus électoral et qui empêchent la centrale électorale d’organiser les élections. C’est dans ces entrefaites que beaucoup d’acteurs politiques tant de la Majorité présidentielle, de l’opposition politique, ainsi que de la société civile ont accepté de soutenir le dialogue politique national inclusif convoqué par le Président de la République.<br />
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Du facilitateur<br />
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Acteur politique de l’opposition, Lumuna Ndubu est monté au créneau. Se confiant à La Prospérité hier, dans la soirée, il souligne que le facilitateur désigné pour aider la RDC à organiser le dialogue, a loupé sa coche dans la démarche cavalière qu’il a décidé de suivre. Cela, sans tenir compte des réalités politiques du pays et de la loi qui organise l’opposition politique. En effet, cet acteur politique dénonce la démarche suivie par Edem Kodjo ayant conduit à la désignation d’Etienne Tshisekedi comme chef de fil de l’opposition et dénie à ce dernier la qualité d’opposant général, avec rôle de tamiser les opposants devant prendre part au comité préparatoire. De Kodjo, Lumuna Ndubu croit qu’il doit se conformer à l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, à la Résolution 2277 du Conseil de sécurité, en ce que ces deux textes mettent en exergue l’idée de réconciliation nationale. Et par conséquent, le dialogue doit rassembler tous les acteurs politiques en vue de mettre en place un Gouvernement de Transition, dont les animateurs devront être désignés par les participants au dialogue. Ce faisant, il ne comprend pas comment Kodjo peut se liguer avec Tshisekedi pour préparer la liste de l’opposition politique, alors que celle-ci étant bicéphale, parce qu’il y a l’opposition parlementaire et Extra-parlementaire. Bien plus, parlant de Tshisekedi, il ne comprend pas comment il peut s’enfermer dans son carcan pour opérer un tamis parmi les participants. Est-ce qu’il a reçu mandat de l’opposition ? La réponse, dit Lumuna, est non. Alors, à qui la faute si les choses se déroulent comme cela est observé ? L’homme distribue les cartons à la fois à Kodjo et à Tshisekedi. D’abord Kodjo, parce qu’il a faussé le jeu, en s’arrogeant le pouvoir de désigner un opposant général, en la personne de Tshisekedi. Ce en oubliant que s’il faut tabler sur l’opposition, il faut voir les structures qui ont une existence juridique, qui pose des actes d’opposition par des prises de position contre le pouvoir et, enfin, qui milite pour le dialogue. A suivre son regard, l’homme souligne que comme Kodjo ne sait pas prendre ses responsabilités comme facilitateur, il n’a qu’à jeter l’éponge. Le second à qui Lumuna attribue la faute, c’est bien le sphinx de Limete. Tout en considérant le combat qu’il a mené depuis des années, Lumuna déplore le fait que Etienne Tshisekedi a accepté un jeu faussé dans lequel Kodjo l’a entraîné. C’est parce qu’il n’est pas opposant général et n’a obtenu aucun mandat de ses pairs de l’opposition. Bien plus, Lumuna considère que si la machine bloque, c’est justement du fait de ce dernier, qui est toujours négativiste. Et comme tel, ne peut permettre de faire avancer le dialogue, pourtant beaucoup d’acteurs ont accepté de mouiller leur maillot, afin qu’un compromis soit trouvé pour la suite du processus électoral et pour la mise en place d’un gouvernement de transition.

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*La mise en place du comité préparatoire du dialogue politique national inclusif met au grand jour une rixe politique que le commun des mo...

Edem Kodjo attendu à Bruxelles !

June 01, 2016

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Somme toute, le facilitateur est encore bloqué face à certains paramètres notamment, celui lié à la fronde des acteurs de la Société civile et d’une partie de l’opposition pro-dialogue exclue du Comité préparatoire, en l’occurrence les partisans du président Steve Mbikayi. Ce dernier monte toujours au créneau avec des envolés oratoires  pour fustiger la démarche du facilitateur.<br />
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Conditionnalités<br />
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A cette fronde, s’ajoutent également des conditionnalités de l’UDPS qui tient mordicus à l’application de sa feuille de route de 2015. A titre de rappel, ce document reconnait Etienne Tshisekedi comme président élu en 2011 et exige que le délai constitutionnel pour la tenue des élections soit respecté pour l’organisation de l’élection présidentielle, soit 90 jours avant la date du 19 décembre 2016. L’UDPS exige également la relaxation des prisonniers politiques et le respect des libertés politiques et d’expression à tous les Congolais.<br />
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Il convient de signaler cependant, que toutes ces conditions pour les moins réalistes au vu des enjeux de l’heure, semblent difficiles à tenir avant le dialogue car, ils dépendent aussi, des concessions que la Majorité peut accepter d’accorder au nom de l’apaisement.<br />
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Et pourtant, la MP croit avoir tout donné depuis 2015 à ce jour pour ramener les acteurs politiques et de la Société civile autour d’une table en vue de préparer des élections transparentes et apaisées.<br />
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Le souhait des Congolais est qu’après Addis-Abeba, Edem Kodjo devrait ramener depuis Bruxelles, la liste de 12 membres de l’Opposition attendus au Comité préparatoire.

Politique Edem Kodjo attendu à Bruxelles !

Le Facilitateur du dialogue politique national inclusif, Edem Kodjo, est attendu à Bruxelles pour une rencontre avec le leader de l’UDPS, ...

LE SÉNAT DURCIT LA PROCÉDURE D’ADOPTION D’ENFANT

June 01, 2016

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Les élus des élus ont voté hier, à l’unanimité et coup sur coup, au cours de la plénière présidée par le premier des sages, l’inusable Léon Kengo Wa Dondo, deux textes de lois. Il s’agit du projet modificatif de la loi du 10 janvier 2009 sur la protection de l’Enfant ainsi que de la loi portant ratification par la RDC de la Convention internationale amendée pour la simplification et l’harmonisation des régimes douaniers.<br />
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La plénière devait aussi examiner les propositions des recommandations élaborées par le sénateur Masudi Kalombo Bin Masudi à l’attention du Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur Evariste Boshab pour mettre un terme au phénomène de dédoublement des partis politiques. Ceci découle de la question orale avec débat adressée le jeudi 5 mai courant par le même sénateur au Vice-Premier ministre dont les réponses ne l’avaient pas du tout convaincu. <br />
Commençons par le projet modifiant la loi portant protection de l’Enfant de 2009 dont le rapport est présenté par la Commission socioculturelle de Nkole. Celle-ci a enregistré et intégré cinq amendements rédigés par Sébastien Adambo Lomanisa qui vise l’amélioration de la loi. <br />
L’approche prise par le Sénat dans l’examen de ce projet de loi est de durcir les procédures d’adoption suivies antérieurement. Celles-ci qui étaient trop laxistes donnaient libre cours au phénomène esclavage humain dont étaient victimes des enfants congolais internationalement adoptés. <br />
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METTRE FIN A LA PRATIQUE RETROGRADE D’ESCLAVAGE HUMAIN DANS L’ADOPTION DE L’ENFANT<br />
Il est question de mettre fin à cette pratique rétrograde. C’est pour lutter contre cet état des choses que le Sénat a mis sur pied des mesures coercitives pour arriver à l’adoption internationale d’un enfant. Désormais, c’est le Tribunal de l’Enfant qui connait les demandes d’adoption d’enfant sur requête du Ministère public. <br />
Quant à l’enfant à adopter, il doit vivre dans un établissement spécialisé qui est le centre d’hébergement d’enfant. Son adoption ne peut être consommée qu’en cas d’absence de famille ou de toute autre alternative dans une autre famille. <br />
La précarité des parents ne peut sous aucun prétexte justifier une adoption internationale d’un enfant. Ce n’est pas tout. Car ce n’est pas le ressortissant de n’importe quel pays qui peut adopter un enfant congolais. Les Etats dont la législation autorise le mariage gay, homosexuel, ne sont pas éligibles à l’adoption. D’où l’adoptant doit être un conjoint non homosexuel. <br />
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L’OBJECTIF POURSUIVI EST L’AMELIORATION DU CLIMAT DES AFFAIRES POUR ACCROITRE LES RECETTES DE L’ETAT<br />
La deuxième loi à être examinée par la plénière, c’est le projet de loi de ratification de la Convention internationale amendée pour la simlpification et l’harmonisation des régimes douaniers. Il a été examiné par la Commission des Relations extérieures (REX) présidée par Jean-Claude Mokeny. <br />
Lors de ses plénières, cette Commission REX avait auditionné le ministre des Finances Henri Yav Mulang et le DG de la Douane (DGDA). La ratification de cette Convention par la RDC permet la régularisation des engagements internationaux pris pour la pratique douanière de manière transparente par la loi et les directives administratives. <br />
L’objectif est d’améliorer le climat des affaires pour accroitre les recettes de l’Etat. Ce qui passe par la simlpification des procédures douanières et la lutte contre la fraude. La Convention proprement dite était signée à Bruxelles le 26 juin 1999 tandis que son entrée en vigueur est intervenue le 3 février 2006.<br />
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UNE COMMISSION SPECIALE POUR STATUER SUR LES PROPOSITIONS DES RECOMMANDATIONS EN RAPPORT AVEC LE DEDOUBLEMENT DES PARTIS POLITIQUES<br />
On en vient aux propositions des recommandations élaborées par le sénateur Masudi Kalombo Bin Masudi adressées au Vice-Premier, ministre de l’Intérieur Evariste à la suite de la question orale avec débat sur le dédoublement des partis politiques. L’auteur de la question rappelle que la situation qu’il avait dénoncée devant le ministre de l’Intérieur n’a pas du tout évolué à ce jour. <br />
Les partis politiques victimes du dédoublement sont le MLC /L, le PDC, l’ARC, l’ABAKO, le MSR, l’UNAFEC, l’UNADEF et ACO. Dans les propositions des recommandations formulées au gouvernement, Masudi Kalombo demande entre autres au ministre de l’Intérieur de rapporter tous les Arrêtés pris, selon lui, "en violation de la loi sur les partis politiques". <br />
Il exige que ne soit tenue compte que de la liste des partis politiques envoyés à la CENI par le ministère de l’Intérieur. Dans le débat qui s’en est suivi, les intervenants étaient partagés sur la légitimité de la démarche qui concerne les recommandations du Sénat au gouvernement sur les partis politiques. N’est-ce pas les juridictions administratives qui ont compétence d’examiner ces actes administratifs contestés ? Pour couper la poire en deux, le Président des céans a proposé à la plénière et obtenue de la plénière souveraine de confier cette question à une commission spéciale qui sera dirigée par le sénateur Masudi Kalombo Bin Masudi assisté de deux sénateurs MP et deux de l’Opposition qui vont procéder à la désignation des membres.

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*Les propositions des recommandations adressées au ministre de l’Intérieur pour mettre un terme au phénomène de dédoublement des partis po...

JP BEMBA ET SES AVOCATS DE NOUVEAU DEVANT LES JUGES DE LA CPI

June 01, 2016

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JP Bemba et ses avocats auraient également, selon la procureure de la CPI, versé de l’argent à des témoins afin qu’ils donnent de faux témoignages. Un témoin de la défense est également poursuivi dans cette affaire. "Il y a, parmi les accusés, ceux qui ont agi pour essayer de corrompre et d’influencer, ceux qui ont payé et reçu des cadeaux, ceux à qui l’on a promis une réinstallation et une sécurité, ceux à qui l’on a demandé de mentir lors de leur déposition ", a déclaré un membre du bureau de la procureure, Kweku Vanderpuye. " L’ancien chef militaire Jean-Pierre Bemba avait beaucoup à perdre dans son procès : sa fierté, sa stature, sa réputation, son pouvoir politique, la possibilité d’une victoire lors des élections présidentielles, sa liberté ", a ajouté M. Vanderpuye.<br />
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" FAIRE UN WHISKY ", UN CODE POUR FAIRE UN VIREMENT <br />
Selon l’accusation, huit témoins ont admis avoir menti alors que deux d’entre eux ont été payés quelques heures avant d’embarquer à destination de La Haye. Les instructions étaient données par téléphone à l’aide de codes : " faire un whisky ", par exemple, signifiait effectuer un transfert d’argent, selon la même source. Pour la défense, " Jean-Pierre Bemba n’a fait que ce que ceux qui se défendent sont en droit de faire ", a affirmé son avocate, Melinda Taylor, assurant que les preuves rassemblées par l’accusation n’était pas suffisantes. " Il n’y a rien d’illégal à indemniser les témoins, l’accusation le fait tout le temps ", a-t-elle ajouté. <br />
Jean-Pierre Bemba a été reconnu coupable le 21 mars 2016 des crimes commis par sa milice en Centrafrique en 2002 et 2003, en vertu du principe de la responsabilité du commandant. Ce jugement était également le premier de la Cour à avoir condamné le recours au viol comme crime de guerre. L’accusation a demandé au minimum 25 ans de détention. L’ancien chef rebelle de la RDC a déjà passé huit ans en prison.

Justice JP BEMBA ET SES AVOCATS DE NOUVEAU DEVANT LES JUGES DE LA CPI

"Les actes présumés de subornation de témoins de l’ex-vice président de la RDC Jean-Pierre Bemba et ses avocats montrent jusqu’où les...

Mission accomplie. Lusaka : Henri Yav Mulang frappe à la porte de la BAD et du FAD !

June 01, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmJ52dhacCeXTSSMn6JvaHcKdK3WIsGJxYeHijHIcsGXCWw6yW1s57qJH0HoIRnlaWkm2Hq4BN0MzoSMZxdaYRL7Gs09ZtCWR6W3b-Dgi6thNS-AxvMOj4AEHGDhCkupGNSJ641zgM75M/s1600/Snapshot_246.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmJ52dhacCeXTSSMn6JvaHcKdK3WIsGJxYeHijHIcsGXCWw6yW1s57qJH0HoIRnlaWkm2Hq4BN0MzoSMZxdaYRL7Gs09ZtCWR6W3b-Dgi6thNS-AxvMOj4AEHGDhCkupGNSJ641zgM75M/s400/Snapshot_246.jpeg" width="400" /></a>*Le Ministre congolais des Finances, Henri Yav Mulang, a participé  aux 51èmes  Assemblées du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) et aux 42èmes Assemblées du Fonds Africain  de Développement (FAD), organisées  à Lusaka, en Zambie, du 23 au 27 mai 2016. Dans sa délégation, l’on a remarqué la présence du Conseiller du Chef de l’Etat au Collège économique et financier, ainsi que celle du Vice-gouverneur de la Banque Centrale du Congo. Ces assises, de haute portée économique sur l’avenir du continent  avec tous les défis de l’émergence et de la croissance économique à maintenir, ont permis à Henri Yav Mulang d’échanger avec le Président de la BAD, Dr. A. Adesina, sur la qualité de la coopération  qui existe entre la Banque Africaine de Développement et la République Démocratique du Congo. Outre ces échanges, Henri Yav Mulang a eu plusieurs réunions de travail,  en marge des Assemblées annuelles de ces deux instances financières africaines.<br />
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Les Assemblées annuelles ont été ouvertes par le Président zambien, en présence d’autres Chefs d’Etat et de Gouvernement africains, des anciens Chefs d’Etat, d’un ancien Secrétaire général des Nations Unies et des Anciens Présidents du Groupe de la BAD. La délégation congolaise occupe la 2ème place,  après la Côte d’Ivoire, parmi les dix pays africains à croissance rapide. <br />
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Organisées sous le thème général :  «Energie et changement climatique», ces Assemblées annuelles ont mis l’accent sur les questions d’énergie et de changement climatique. Ces priorités auront de l’impact positif sur les autres. Ainsi, pour sa mise en effectivité, a-t-il  été convenu de la mise en place d’un «Nouveau Pacte pour l’énergie en Afrique» dont l’objectif principal vise à  garantir l’accès universel à l’énergie sur le continent d’ici 2025.<br />
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Les Assemblées 2016 ont été alors,  l’occasion,  pour les participants,  de dresser de nouvelles perspectives qui prévoient une croissance significative ainsi qu’une  reprise de la situation. Outre ce plan sommaire, le nouveau Président de la BAD a saisi l’opportunité  lui offerte,  pour décliner sa vision et son plan d’actions articulé autour de cinq priorités, à savoir : le développement des infrastructures, l’intégration économique régionale, le développement du secteur privé, la gouvernance, la responsabilisation, les technologies en mettant un accent particulier sur le genre, les Etats fragiles, l’agriculture et la sécurité alimentaire.<br />
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A en croire le Ministre des Finances, ces thèmes rencontrent aussi les stratégies nationales axées sur la modernité et l’émergence de la RDC à l’horizon 2030.<br />
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Mission capitale<br />
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Henri Yav a fait savoir que son pays, la RDC, est disposé à offrir son expertise à travers des cadres compétents qui ont  montré leurs preuves dans plusieurs  domaines liés notamment,  aux finances publiques. Il  a aussi plaidé pour les ajustements budgétaires sollicités par bon nombre de pays africains, dont la RDC. Message entendu, car le Président de la BAD a promis à la partie congolaise que l’accord sera conclu.<br />
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Le projet grand Inga a également retenu l’attention du Président de la BAD qui  a souligné, d’ailleurs,  la nécessité d’engager une communication  claire sur le projet grand Inga en direction des partenaires de la RDC.<br />
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De la BAD, la RDC attend 1,17 milliards de dollars américains pour financer des projets d’intérêt communautaire, tels que  dans le domaine de transport, de l’éducation, de la santé, des infrastructures et d’autres services publics.<br />
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Après, Henri Yav Mulang a, en outre, eu des entretiens avec la Directrice du Département Régional-centre autour du portefeuille.<br />
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Six nouveaux projets sont en cours de préparation en faveur de la RDC. La Directrice a informé la délégation congolaise de l’organisation prochaine,  par la BAD,  d’un atelier sur les nouvelles  directives en matière d’annulation de dons et prêts non consommés, qui sont très contraignantes pour les projets non performants. Elle  a, ainsi, recommandé l’accélération de l’exécution des projets pour ne pas perdre les ressources du FAD. Henri Yav Mulang a, en sus, présidé la réunion de la Circonscription Groupe Afrique centrale  de la BAD. Le mandat de l’équipe de ce bureau expire,  le 30 juin 2016. Il était question de renouveler ce bureau qui comprend 4 postes. Pour  le compte de la RDC, le Ministre des Finances a reconduit un Congolais au poste de Conseiller supérieur.<br />
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Toujours dans le sens de remonter la pente  financière  en RDC, des appuis budgétaires sont attendus de la BAD, de la Banque Mondiale, et de l’Afrexim Bank, avec le concours de la France.<br />
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Globalement, il y a lieu de retenir que ces Assemblées annuelles 2016 ont permis aux distingués participants de discuter des priorités de la Banque, liées aux Objectifs de Développement Durable (ODD), adoptés par les Nations Unies et à l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, plus  particulièrement,  les questions de l’énergie et de changement climatique qui sont déterminantes pour la réussite de ces priorités.<br />
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La RDC dispose d’un potentiel énorme en matière d’énergie, à travers le Site d’Inga. Elle est appelée à établir un partenariat efficace avec la Banque Africaine de Développement pour bénéficier d’un éventail d’opportunités de financement qui se cachent derrière  cet agenda.

Economie Mission accomplie. Lusaka : Henri Yav Mulang frappe à la porte de la BAD et du FAD !

*Le Ministre congolais des Finances, Henri Yav Mulang, a participé aux 51èmes Assemblées du Groupe de la Banque Africaine de Développeme...

Edem Kodjo convoqué à Addis-Abeba. Opposition : Steve Mbikayi crie victoire !

June 01, 2016

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*Le Porte-parole de la NCPS et Président du Parti Travailliste interprète le voyage du Facilitateur Edem Kodjo à Addis-Abeba, siège de l’Union Africaine, comme une victoire personnelle importante. Selon Steve Mbikayi, en effet, le diplomate togolais a cédé à l’ultimatum qu’il lui avait lancé de quitter la RDC au plus tard,  le 30 mai 2016. Il y a une semaine, Steve Mbikayi menaçait d’organiser un sit-in devant les bureaux de la Facilitation du Dialogue pour exiger et obtenir la démission de Kodjo. Hier, mardi 31 mai, Steve Mbikayi a réuni ses partisans et soutiens,  pour célébrer le départ de Kodjo.<br />
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A cette occasion, il a fait une déclaration politique dans laquelle il est largement revenu sur ce qu’il considère comme les dernières heures du diplomate togolais en terre rd-congolaise. Steve Mbikayi continue de reprocher au Facilitateur, qu’il venait de surnommer ‘‘complicateur’’, sa partialité pour avoir octroyé à l’UDPS/Tshisekedi,  la paternité de la liste de la composante Opposition au Comité Préparatoire du Dialogue.<br />
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Dans le cas où la Présidente de la Commission de l’Union Africaine, Mme Zuma, renouvelait sa confiance en  Kodjo, Steve Mbikayi estime qu’il ne reviendrait  plus en RDC avec des idées figées. Il espère qu’il  se sera ainsi mordu sur le doigt dans cette affaire et qu’il pourrait, s’il a compris la leçon de toutes les pressions, pour  se   revitaliser autrement avec   de nouvelles techniques d’approche du dossier de ce  dialogue  congolais, voulu inclusif.<br />
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Néanmoins, Steve Mbikayi constate une évolution dans la manière d’agir de l’UDPS qui va organiser, à Bruxelles, en Belgique, une réunion des Forces du changement. Il s’attend à ce que cette réunion de Bruxelles permette aux anti-dialogue de se ressaisir et  de changer d’avis. Steve Mbikayi ne s’oppose pas à cette démarche qu’il dit soutenir. Parce qu’il aimerait que l’Opposition, dans toute sa diversité, se rassemble en vue notamment, de définir les critères de sélection des délégués au Dialogue et, au besoin, s’y présenter unis avec,  éventuellement,  un seul cahier des charges et un seul Porte-parole. Ce que Steve Mbikayi n’a pas accepté, ce sont les velléités de l’UDPS de s’imposer plutôt que de fédérer.<br />
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La Pros.<br />
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NOUVELLE CLASSE POLITIQUE ET SOCIALE<br />
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OPPOSITION PRO-DIALOGUE<br />
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Chers amis de la presse,<br />
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Chers cadres des partis membres de la NCPS ;<br />
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Par  notre lettre n°051/PP/NCPS/2016, le 24 mai 2016, nous avions adressé un préavis à Monsieur Edem Kodjo, Facilitateur du dialogue lui demandant de quitter la RDC au plus tard le 30 mai 2016 et qu’au cas où il ne le ferait pas, nous organiserions un sit-in devant son bureau pour le désavouer et le pousser à la démission. Le même jour, nous avions adressé la lettre n°052/PP/NCPS/2016 à Madame Zuma, la Présidente de l’Union Africaine. Dans cette correspondance, nous nous plaignions de l’inefficacité  et de la partialité de Monsieur Edem Kodjo qui, au lieu de faciliter le dialogue politique, il est devenu le complicateur !<br />
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Nous proposions à Madame Zuma de rappeler Monsieur Kodjo pour le remplacer par une personnalité plus outillée et neutre. Par sa lettre N°008/PN/PT/2016, le Parti Travailliste tenait le Gouverneur de la Ville informé  du sit-in prévu pour aujourd’hui 31 mai 2016 au bureau du Facilitateur.<br />
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Alors que les banderoles, drapeaux étaient déjà imprimés et nos comités de base mobilisés, hier, le 30 mai 2016, le Gouverneur de la ville nous a répondu et s’est opposé à cette activité pourtant légale et démocratique. Réuni le même soir, le Bureau politique de la Nouvelle Classe Politique et Sociale s’est à son tour opposé à l’ordre illégal du Gouverneur de la ville de Kinshasa conformément à la Constitution de notre pays, qui nous interdit d’obéir à un ordre manifestement illégal comme celui interdisant aux Congolais de manifester pacifiquement. Le Bureau politique avait maintenu le sit-in pour aujourd’hui, le 31 mai 2016.<br />
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Une victoire partielle<br />
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Très tard dans la nuit du 30 au 31 mai 2016, nous avions appris que notre préavis avait produit ses effets. Le 30 mai 2016 soir, le jour de l’expiration de notre préavis, Monsieur Kodjo avait bel et bien quitté la RDC pour Addis-Abeba. Nous osons croire qu’il s’agit d’un départ définitif ou d’un appel en consultation du Facilitateur Kodjo  pour soit lui demander de rectifier le tir ou pour le remplacer par un autre Facilitateur qui jouirait de la confiance de toutes les parties au dialogue.<br />
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Pour la Nouvelle Classe Politique et Sociale/opposition pro-dialogue, le fait que Kodjo soit parti à l’expiration de son préavis est une victoire.<br />
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Toutefois, nous pensons qu’il s’agit d’une victoire partielle. Cette victoire sera totale au cas où Monsieur Edem Kodjo ne reviendrait plus en RDC ou au cas où il revenait avec de nouvelles directives de Madame Zuma pour qu’il ne subisse plus le sort humiliant déjà subi au Burundi où il fut récusé par la classe politique à cause de la partialité de sa démarche.<br />
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Au cas où le Facilitateur Kodjo serait maintenu dans son rôle, nous l’observerons à son retour. Au cas où il ne rectifierait pas le tir, nous mènerons d’autres actions contre lui.<br />
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La rencontre de Bruxelles<br />
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Nous ne saurons pas conclure notre propos sans dire un mot concernant la réunion convoquée à Bruxelles par le Président Tshisekedi en vue de la création d’une plateforme des Forces du changement. Comme vous le savez, il y a quelques jours, nous condamnions le fait que l’UDPS revendiquait la paternité de la liste des délégués de l’opposition au Comité préparatoire du dialogue sans avoir, au préalable, invité d’autres partis de l’opposition au rassemblement en vue notamment de mettre sur pieds les critères de sélection et, au besoin, se présenter unis au dialogue avec éventuellement un seul cahier des charges et un seul Porte-parole. Nous avions proposé à l’UDPS de fédérer et non de s’imposer.<br />
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Aujourd’hui que l’UDPS, à travers son Président Tshisekedi, invite certains partis et acteurs politiques à Bruxelles en vue de constituer une plateforme, nous estimons que nous avions été entendu. Nous félicitons le Président Tshisekedi et nous nous en félicitons.<br />
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Quand c’est bon, nous soutenons. Quand c’est mauvais, nous condamnons. Nous souhaitons que lors de cette rencontre, les opposants anti-dialogues changeront d’avis pour rejoindre le processus du dialogue qui reste la seule voie qui s’impose à nous en vue d’éviter l’impasse qui pointe à l’horizon et préparer le processus électoral dans la sérénité suivant la volonté du Peuple congolais et non suivant des directives dictées de l’étranger.<br />
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Vive la RDC indépendante, souveraine et Démocratique,<br />
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Vive une opposition congolaise forte et unie !                          <br />
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Steve Mbikayi<br />
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Porte-parole

Politique Edem Kodjo convoqué à Addis-Abeba. Opposition : Steve Mbikayi crie victoire !

*Le Porte-parole de la NCPS et Président du Parti Travailliste interprète le voyage du Facilitateur Edem Kodjo à Addis-Abeba, siège de l...

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